Apollinaire, Obus-Roi
Le monument appelle le monument. Apollinaire en est un dans le paysage de notre histoire littéraire : le Guillaume Apollinaire (810 pages, 30 euros, Gallimard) de Laurence Campa est son vis à vis désormais bien planté dans le champ si fertile de l’érudition. On connaît le bonhomme né Wilhelm de Kostrowitzky, issu d’une famille italo-polonaise de petite noblesse lituanienne, qui le fit parler italien jusqu’à l’âge de sept ans, avant que sa drôle de mère ne vienne s’installer à Paris. Cosmopolite en majesté, il tenait qu’un poète n’est jamais un étranger dans le pays de la langue qu’il emploie ; d’ailleurs, ses amis venus de partout, l’étaient tout autant que lui, et Laurence Campa voit juste, sans solliciter abusivement l’œuvre, lorsqu’elle voit dans le nomadisme des siens à travers l’Europe une inquiétude et une fragilité qui ont irrigué son univers pour le meilleur dans une constante recherche de la reconnaissance et de la stabilité. Si on ne l’a pas déjà entrevu du côté de chez Lagarde & Michard, on l’a nécessairement croisé dans les souvenirs ou les Vies de tout ce que la France artistique a compté de génies créateurs à la frontière des deux derniers siècles.
Impressionnant comme tout est documenté jusqu’au moindre soupir. C’est le complet absolu universitaire, plus porté par le souci de rigueur historique que par la préoccupation poétique, dans lequel l’absence de bibliographie étonne et détonne. Trop de densité tue l’émotion. Au-delà de dix noms par page, on rend les armes. Parfois, on aimerait ne pas en savoir tant, non pour entretenir le mystère mais pour alléger le propos. La langue ni l’écriture ne sont en cause car la forme en est fluide. C’est juste que la somme assomme. Nécessairement ponctuée d’éclats de poèmes, elle souffre de la comparaison, cruelle injustice dont pâtissent nombre de biographies littéraires, mais c’est inévitable.
La guerre de tranchées y est si bien reconstituée, avec un tel luxe de précisions, que c’est à se demander si l’auteur ne l’a pas faite ; il est vrai que l’usage des archives de l’Armée de terre l’ont grandement aidé à reconstituer la vie militaire du poète. Les travaux et les jours de la 45ème batterie, on dirait des pages écrites à la lueur des tirs en Champagne et dans l’Aisne. La guerre selon Apollinaire, c’est l’air à doubles croches que joue la mitrailleuse, c’est une boue qui a la consistance du mastic, de la crème fouettée ou de l’encaustique, c’est « Obus-Roi ! » et tout est dit. Le rappel de l’hécatombe dans les rangs des écrivains et des poètes, spécialité de l’auteur, est particulièrement bienvenu : près de cinq cents noms sur les murs du Panthéon.
Les Calligrammes, son grand livre de guerre, dont l’étymologie évoque déjà la rencontre de l’écriture et de la beauté, pouvait bien être raillé par Maurras comme « un truc », il n’en marquait pas moins l’invention d’une forme libre. De là à imaginer que ce délassement devenu une discipline pourrait un jour connaître le destin du sonnet… Le critique d’art demeure une balise pour l’évolution du goût de l’époque, malgré ses complaisances coupables pour Marie Laurencin. La biographe apporte des précisions, des détails sans que cela modifie ou enrichisse toujours notre vision. L’édition critique des Lettres et des Poèmes à Lou suffisait déjà pour que Louise de Coligny-Châtillon, la fantasque et peu farouche amante niçoise, n’en sorte pas grandie ; son existence est de celles qui s’oublient facilement ; qu’importe puisque ce que leur relation passionnée a inspiré au poète demeure inoubliable.
Apollinaire, aventureux épris d’ordre, déroutait ses contemporains car il n’était pas d’un bloc. Ceux qui étaient séduits par la loufoquerie des Mamelles de Tirésias ne l’étaient pas nécessairement par ses élans cocardiers, et les amateurs de mystifications par le sérieux du guerrier. La biographie de Laurence Campa a le mérite de dissiper tout ce que les apparences ont de trompeur (facilité d’écriture, aisance de la conversation, spontanéité des intuitions, tension entre tradition et modernité) pour mettre en valeur la pugnacité et le travail, les paradoxes et les contradictions, comme si le double jeu pouvait mieux protéger une vie intérieure. Une pirouette telle que « J’ai tant aimé les Arts que je suis artilleur ! » ne suffit pour s’en sortir. Il savait comme peu d’autres « lustrer l’ancien et patiner le nouveau », métamorphoser tout éclat de réel en matériau poétique sans que cela tournât jamais au procédé.
« La faculté d’enchanter le réel lui venait d’une disposition naturelle au merveilleux et d’un caractère étonnamment mobile, ondoyant et parfaitement plastique, partant insaisissable, comme le temps qui passe ou qu’il fait, tempérament capable d’engendrer tour à tour la fluidité familière du « Pont Mirabeau », les collages de « Lundi rue Christine », la brûlante célébration de Madeleine, la gravité tragique de Couleur du temps, la noirceur terrifiante des Onze mille verges et la fantaisie déconcertante de L’Hérésiarque et Cie »
Le plus souvent, il faut attendre l’épilogue pour connaître l’opinion du biographe, les enseignements qu’il tire de son exploration. Or là, c’est le contraire : les sept pages lumineuses formant le prologue sont un condensé remarquable du travail de Laurence Campa, les huit cents pages qui leur succèdent constituant en quelque sorte les attendus du jugement. Un éclat d’obus lui transperça le casque et lui perfora la tempe droite en 1916. C’était le début de la fin. Il eut la force d’être le témoin de Picasso à son mariage avec Olga. Le poète à la tête bandée était à l’agonie, dans son pigeonnier du boulevard Saint-Germain, les poumons rongés par la grippe espagnole et les miasmes des gaz allemands, quand dehors, à deux jours de l’armistice, la foule parisienne hurlait sous ses fenêtres « A mort Guillaume ! A mort Guillaume ! » ; dans la confusion due à son état, il prit pour lui ce qui était destiné au Kaiser. Promu lieutenant quelques moins avant, il avait 38 ans. Il s’en alla l’esprit embué d’un prochain livre : un roman sur Dieu incarné dans une pierre ou dans une femme.
Les témoignages des amis d’Apollinaire recueillis par Pierre-Marcel Adéma en 1950 et les recherches de Michel Décaudin faisaient référence, les deux l’ayant établi de concert en ses Pléiades. Désormais, il faudra compter avec « le » Campa car sa profondeur de champ historique ne concerne pas seulement la guerre mais aussi bien l’analyse du cubisme orphique ou la querelle de l’obscurité et l’héritage de Mallarmé. L’essentiel y est, n’y manque que le superflu : cette respiration, ce tremblé, cette grâce qui font le poème dans toute sa splendeur. Aussitôt reposée, la biographie nous donne déjà la nostalgie des rois trismégistes, des effroyables jardins et du prince Vibescu, quel que soit « notre » Apollinaire, faut-il qu’il nous en souvienne. Il revient au fond à un tel livre d’unir tous ses amateurs, ce peuple de lecteurs dissemblables, dans une même « parenté d’âme ». Mais quel poème saura nous faire ressentir ce que le biographe entendait par là ?
(« Apollinaire et calligramme » photos D.R.)
640 Réponses pour Apollinaire, Obus-Roi
moi c’est un peu pareil, c’est vrai, je tiens de ça.
Ce n’est pas une réponse. D’ailleurs peu importe. Juste de passage, je m’en vas. Petit con, gros con, c’est vrai qu’il y en a de toutes les tailles à la RDL, y compris le refoulé qui m’a répondu comme Thomas-le pot-de-chambre, sans avoir été appelé.
(Cet après-midi, je lisais un résumé des âneries écrites sur Cavafy par la critique des années 20 et 30 dans le N° qu’Europe lui a consacré. Édifiant. Comme vous).
Bon été.
Mais TKT viendra encore dire que non, que je ne suis qu’un simple abruti, et une fois encore il se trompera lourdement.
Édifiant. Comme vous).
Bon été.
lui c’est pas la journée mais tout l’été qu’il tient absolument à passer meilleur que nous
Et après ça on va encore dire que je ne fais qu’à parler de mon cul !
on..on..gaga n’a pas fait le printemps a lui tout seul..nonobstant on lui souhaite un été solide..en écosse tient, avec un 19 un peu frais le soir en sortant du pub
Non, Jacques. D. H. Lawrence n’a passé à Port-Cros qu’un mois, en octobre-novembre 1928, dans la maison de Jean Paulhan (avec pour domestique le sicilien Joseph Barezzi). Je disais à Lew, en reprenant la correspondance, qu’il s’y ennuyait, trouvait qu’il faisait froid, qu’il pleuvait, qu’il était difficile de faire des allers-retours vers la côte, et il a donc regagné Bandol (lettres de novembre et décembre à Maria et aux Huxley). C’est bien à Vence qu’il est mort et enterré, après d’autres résidences, un retour à Bandol, etc.
Les derniers jours à Vence, au sanatorium Ad Astra, sont tristes. Ses lettres à Huxley et à Maria, en février (il meurt le 2 mars 1930), notent que le mimosa est fleuri, mais la toute dernière se termine par : « Cet endroit ne vaut rien ».
Bouguereau, ce n’est pas ce que j’ai écrit. Toi, tu l’es vraiment…un vrai de de vrai.
Sors de tes commodités, il fait beau.
« Bon été ».
Peut-on vraiment encore dire qu’on ne peut pas faire chier avec des trucs qui n’intéressent pas ?!?..!
Non mais, je rêve ! Est-ce que cela vaut le coup d’éclairer la question bouguereau / Claro ? bouguereau s’en fiche, et il a bien raison. Il suffit d’ailleurs de réfléchir un brin.
Merci, C.P., je ne savais pas pour D-H L, à Vence. Je me proposai d’aller y faire un tour, pour voir si je ne pouvais pas m’y installer. MAis si cet endroit ne vaut rien, comme dit Lawrence, autant s’abstenir ! C’est un mouroir à écrivains !!!
il eut été intéressant, Chaloux, que vous nous résumiez ce qui s’écrivait en France sur Cavafy, avant qu’il ne fut traduit par Yourcenar et Dimary !
et d’abord, qui c’est Claro ? Connais pas !
J’ai été content d’apprendre, en lisant la rubrique nécrologique du « Monde » la mort de Jack-Alain Léger. Non pas que je nourrisse la moindre hostilité à l’égard d’un écrivain dont je n’ai rien lu et dont j’ignorais d’ailleurs jusqu’à l’existence. Mais « Encore un que j’aurai enterré », me suis-je dit avec satisfaction, un peu comme un de mes grands-pères s’exclamait « Encore une que les Boches n’auront pas », en vidant une bouteille. Il faut reconnaître que la nouvelle de la mort des autres est une des grandes consolations de l’existence, et si quelque chose est susceptible de nous remonter quotidiennement le moral et de nous faire attaquer la journée d’un bon pied (je lis toujours le journal le matin), c’est bien cela. C’est pourquoi je suis un lecteur assidu des notices nécrologiques et autres oraisons funèbres, et puis c’est une façon de vieillir agréablement car on y apprend toujours ; on y découvre que, pendant que soi-même on s’occupait à toute autre chose, ici et là dans le monde un tas d’énergumènes s’activaient de façon insoupçonnée. C’est pourquoi, si Assouline nous sort un éloge funèbre de Jack-Alain Léger, je le lirai avec plaisir, même s’il est un peu éventé.
et d’abord, qui c’est Claro ? Connais pas ! (rédigé par jacques Barozzi)
Connectez-vous d’urgence au « Clavier cannibale », le site de Claro, l’incomparable traducteur de Pynchon et de quelques autres excellents romanciers américains !
Une personnalité complexe, qui avait fait paraît il son outing tardif de façon fort intempestive, JB, le Jack Alain Léger ! Une proie et victime de la psychanalyse dont je ne me souviens pas de l’avoir lu et que l’on pouvait suivre régulièrement chez Pivot…
Le clavier d’annibal !
C’est pour ça qu’il me conseillait de créer mon propre site, le boug ?
C’est un indice pour l’inspecteur Chaloux…
Jacques Barozzi dit: 20 juillet 2013 à 14 h
« En revanche, j’aime beaucoup Porquerolles, JC ! »
Mais… moi aussi, Jacky !…
PS : que les connes enburquées par provocation aillent dégrader l’nevironnement, et leur capacité cérébrale, …. ailleurs !
Vous m’excuserez C.P. mais cette question m’intéresse, j’ai mes raisons.
(De DHL, je relirai peut-être à la rentrée son Apocalypse, écrit durant les derniers mois de sa vie.)
Pardon Jacques, mais je m’en vais, plus le temps. Le nom de Cavafy fait son apparition en France juste après la première guerre mondiale, dans le Mercure. Sa notoriété grandissante a commencé à faire de l’ombre à la gloire de Palamas, poète national grec, dont le clan s’est ingénié à minimiser le génie de Cavafy. Un des membres de ce clan, un certain « Roussel » écrit un mois après la mort du poète: » L’épouvantable prosaïsme dans lequel Cavafy se complaît provoquera le rire d’ici quelques années ».
Voir l’article très documenté de Lucile Arnoux-Farnoux.
Egalement dans le même numéro d’Europe un bel article de l’écrivain grec Xenopoulos, rédigé en 1903 (Cavafy avait quarante ans) qui montre comment s’est imposé, par la seule force de ses textes, ce poète qui ne publiait pas plus d’un poème par an.
Pour le reste, Yourcenar est loin d’être la première (en réalité, c’est Constantin Dimaras qui a traduit ; Yourcenar ignorait le grec moderne et n’avait pas la moindre notion de la prosodie de cette langue, ce qui explique que son adaptation soit en prose). Tout poète contemporain qu’il fut, Cavafy a connu dans le même temps plusieurs traducteurs plus ou moins complets et plus ou moins publiés.
Boh les énergumènes faut leur laisser un fil, comme Téléféric…
c’est pas a tes filles que tu causes comme ça jicé au moins..
j’ai mes raisons
assez lâche pour pas insulter ce pauvrom directement chaloux ?..c’est éventé
Claro est certainement un bon traducteur. Il écrit également des romans genre trash sans grand intérêt mais « qui provoqueront le rire dans quelques années ».
Je fais mon « Roussel », comme tout le monde.
Adios.
C’est pour ça qu’il me conseillait de créer mon propre site, le boug ?
que l’évidence de ton talent pour une telle entreprise baroz..fais simple et ça marchera
Bouguereau, je n’insulte personne, je dis simplement que j’ai certaines raisons pour me poser la question. Tu divagues.
Des filles ? je n’en ai pas, et c’est dommage.
( sur quatre générations, le ratio est de une fille pour quatre garçons dans cette famille génétiquement déséquilibrée …)
soit t’as pas l’temps soit t’as pas d’estomac..et zouzouz qui tarde a donner sa définition de la « chose littéraire »..faut reconnaitre chaloux que t’es sans secours
Tu divagues
ha bon je vais lui écrire a ce pauvre claro que ce nest pas un gros con..un vrai un tatoué comme moi..mais rien qu’un faux
cette famille génétiquement déséquilibrée
tu vas pas nous faire une crise à la dracul jicé..
Je suis féministe, tu peux pas comprendre … !
( tu n’es que la honte, de haut niveau je l’admets, de ce blog prestigieux, Bougboug ! va rôtir en Enfer !)
Intéressant votre historique sur Cavafy, Chaloux : à la question pourquoi écrivez-vous ? qu’aurait-il répondu ?
Bouguereau, tu divagues vraiment ou tu ne comprends rien. Toi, avec tes jugements qui sentent l’école communale dont tu ne t’es jamais émancipé, il y a une barre (qui que tu sois, au fond je m’en contrefous) que tu ne passes pas, tout est dit rapidement. Pour d’autres, c’est une autre affaire. Ici, ce n’est pas le lieu de ces développements, et c’est pourquoi je ne les fais pas. Sans compter que tu n’es pas non plus quelqu’un avec qui j’aurais envie de les partager. Mais pas d’inquiétude, j’ai certainement autant « d’estomac » que toi, et quant à être « sans secours », ce n’est pas toi qui me mettra au pied du mur. Petite pomme.
Et où l’on voit que partout ça s’étripe et qu’en vain je tente de relever le niveau au dessus de la ceinture et des gros biscottos…
Je ne sais pas Jacques, je repasserai quand j’aurai lu le volume entier. Europe est vraiment une revue passionnante.
Fallait pas vous arrêter aux trois fils, JC, la fille arrivait juste après, tu pouvais déjà plus ?
Chaloux dit: 20 juillet 2013 à 17 h 17 min
l’école communale
Ha oui ça c’est la France coupée en deux y a les « Jules Ferry » et les « Paul Bert »…
Pardon pour la faute, je suis en retard, il faut que je sois à 20 H tout près de chez la grande Colette.
A très bientôt,
vas vas..je m’en voudrais de pourrir ton été chaloux. quant à l’école communale, c’est trés vrai..enfin ne soyons pas prétentieux: j’essaie
« Fallait pas vous arrêter aux trois fils, JC, la fille arrivait juste après, tu pouvais déjà plus ? »
Jacky, puisque nous sommes entre nous : mon dernier redressement fiscal remonte à Albert Lebrun, mon dernier redressement productif à Georges Pompidou …
tu pouvais déjà plus ?
au dessus de la ceinture et des gros biscottos qu’il disait
J’admets que les gros biscottos liés à la compétition sportive de haut niveau se font au détriment d’un développement des connaissances intellectuelles littéraires ! So what !!! …
Admettez le ! Les filles les plus intelligentes ont de ces faiblesses exquises et coupables pour les brutes méditerranéennes. Cela demeure pour beaucoup de couilles molles fainéantes germanopratines, totalement inexplicable ! La vie est mal faite.
J’admets que les gros biscottos liés à la compétition sportive de haut niveau se font au détriment d’un développement des connaissances intellectuelles littéraires ! So what !!! …
Admettez le ! Les filles les plus intelligentes ont de ces faiblesses exquises et coupables pour les brutes méditerranéennes. Cela demeure pour beaucoup de couilles molles fainéantes germanopratines, totalement inexplicable ! La vie est mal faite.
Et puis les gares ! Même dans le désert au milieu des chameaux où qu’il y a rien… Et en Indo pareil itou Deschanel aurait pu descendre tant qu’il voulait il aurait rien remarqué !
Hop ! ça y est ! On en est sûr ! les jeunes singes détrousseurs et pillards de Brétigny sont des néo-nazis norvégiens ….
« tout près de chez la grande Colette », il y a la petite daaphnée, Chaloux !
ZZ Top – Greatest Hits :
http://www.youtube.com/watch?v=-2V6qGX7VRs&feature=em-subs_digest-vrecs
BàV comme disait MàC
« tu pouvais déjà plus ?
au dessus de la ceinture et des gros biscottos qu’il disait »
Pardon, le boug, à défaut d’amicale, là c’était une question purement médicale : c’est de la culture !
Bourgogne…
» couilles molles fainéantes germanopratines »
C’est pas un peu xénophobe et raciste, JC ?
Bourgogne pouilleuse ?
Les plaisirs de la table !
Certainement ni xénophobe, ni raciste, … En cherchant bien, on pourrait trouver un poil de régionalisme provincial de bon aloi, doublé d’un rien d’ironie corrosive, mais usée…
Remarquez qu’autour du Palais Royal on trouve encore de bons petits restaurants, Chaloux !
Laissons sa bouillabaise à JC : il parait que tout Marseille se précipite au fort Saint-Jean, par la nouvelle passerelle, et redécouvre les plus beaux points de vue sur la ville ! Va falloir que je descende faire un tour, d’autant plus que j’y suis invité !
Non, c’est à Saint-Sauveur en Puisaye que je faisais allusion, Jacques.
Du côté de chez la grande Colette, rue de Valois, en face de l’entrée du ministère de la culture il y en a un très bon à gauche au fond de la cour dont je ne sais plus le nom (cour de Valois?).
Cette fois, je suis vraiment en retard…
A bientôt,
Jacques, quand même ! Claro, qui a eu droit à un chouette billet ici (je ne fais donc pas de réclame), est un grand traducteur, vraiment (je vous épargne les auteurs, en particulier des américains de première bourre). J’ai le vice, moi, de bien aimer également ses romans, dont, après des polars (Fleuve Noir, Verticales…), « CosmoZ » (Actes Sud). Nous nous voyons de temps en temps au théâtre, pas assez souvent, parce que c’est un garçon épatant à mon goût. John signale son blog « Le Clavier cannibale » (c’était auparavant un de ses titres), vous pouvez aussi le retrouver dans Linked in, etc.
En cherchant bien, on pourrait trouver
ouais mais faut surtout pas oublier les psychorigides..
JC, « puisque c’est samedi », je transmets votre doublon de 17h42 à mes quatre filles, à mes six petites filles. C’est terminé, les caresses à Mimi !
Ni les témoins civils, ni les sauveteurs ni les poulets présents sur place en mal de distraction arrivés plus tard prétendent mais que JC les gros sabots extralucide en mal de distraction sait par définition. Il n’a même pas besoin de s’informer. il sait comment être désinformé, ça suffit à son bonheur
Ni les témoins civils, ni les sauveteurs ni les poulets présents sur place n’ont vu que qu eles c rs arrivés plus tard prétendent mais que JC les gros sabots extralucide en mal de distraction sait par définition. Il n’a même pas besoin de s’informer. il sait comment être désinformé, ça suffit à son bonheur
Chaloux dit: 20 juillet 2013 à 17 h 02 min
Claro est certainement un bon traducteur.
Uniquement de l’avis de ses copains.
« Uniquement de l’avis de ses copains. »
A moins d’être copains entre eux, les traducteurs critiquent les autres traducteurs
Les poulets on en a deux milliards à Nancy ça gruine de partout comme des bauges on peut facilement en envoyer sur le réseau ferré du monde entier même dans les Andes à douze mille mètres ou sur le pont de la rivière Kwaï…
Un grand moment de télévision :
abdelkader dit: 20 juillet 2013 à 0 h 15 min
C.P. dit:19 juillet 2013 à 20 h 34 min
merci C.P. pour ce poème que je ne connaissais pas…mélancolique, nostalgique et tout en douceur puis une fin assez abrupte…j’aime beaucoup…
@ autant d’avis que de traducteurs :
C’est juste. Mais Brice Matthieussent, plus âgé d’une bonne dizaine d’années je crois, s’est associé à Claro pour traduire Thomas Pynchon (« Mason & Dixon »).
JC vous avez raison la vie est très mal faite, j’ai été, à une autre époque, une de ces brutes méditerranéenne dont vous parlez, je m’en souviens, les étés de folie que j’ai pu passer à l’époque à Avignon au moment du festival, ensuite j’y suis retourné avec la casquette d’intellectuel de gauche, pour voir les choses de l’intérieur, d’abord au ‘off’ ensuite au ‘in’, c’est là que ma vie a commencé à partir en déconfiture.
ma foi, aujourd’hui c’était un grand jour : j’ai séquencé le génome de mon chat, je lui ai montré les résultats tout à l’heure, même lui avait de s’en taper totalement.
vous ne pouvez pas imaginé combien je regrette l’époque où j’étais une brute méditerranéenne.
imaginer
image innée
un mage est né
hamlet nous livre enfin la réponse à cette grande question posée il y a peu en ces lieux : Qu’est-ce qu’un intellectuel (de gauche) ? Eh bien, c’est une casquette.
L’image est usée…
Moi je n’ai jamais été une brute méditerranéenne, D., j’étais distingué dès la naissance, ce sont les paysages alentour qui se sont peu à peu vulgarisés…
C’est peut-être en Albanie, qui s’est timidement ouverte au tourisme, que je pourrais retrouver les paysages idéaux de mon enfance perdue ?
Philippe Régniez dit: 20 juillet 2013 à 19 h 33 min
Un grand moment de télévision :
Ah M. l’abée…long time no spit…how’s your big ass? What ? you’re still grooming it ? well…whatever floats your boat…sinon, c’est de la TV en noir et blanc, Vot’Grace…de celle du temps des lilas…que pensez vous de mon p’tit texte sur les ponts de Paris? Pour des histoires de Copy Not Right, j’peux pas vous faire passer la bande sonore…mais ce soir la, on s’était déchainés au studio de mon pote Tayeb a Notting Hill…un blues a la base, grosse guitare, luth arabe et des castagnettes africaines… Comment ? je me disais aussi…ca doit vous manquer tous ca…tuer gratuitement et ne jamais jamais avoir a rendre des comptes…ah oui…Vot’ maitre le Papin la, un grand serviteur de la France…si si…z’avez pensé a lui faire ériger une p’tite statue a Porquerolles ?
Donc tous les papys joueurs de pétanque à casquette sont des intellectuels de gauche !
L’image est vraiment usée !
Jacky je ne doute pas que l’image soit usée, certains ne construisent leur vie qu’avec des images usées.
vous savez savez Jacky le seul don que la nature m’a donné ? vous avez qui avez tellement de cordes à votre arc?
le seul don que je possède est celui de reconnaitre un vrai nietzschéen.
je veux dire reconnaitre ceux qui, si le choix leur en était donné, revivrait la même vie.
grâce à ce don je peux vous dire que vous Jacky vous êtes un nietzschéen.
Apollon Apollinaire n’en est pas.
C.P. en est.
JC en est aussi.
Abdelkader en est aussi.
Traube en est.
lew n’en est pas.
u. en est.
ML le névrosé n’en est pas : aucun débile de névrosé n’en est.
Pierre Assouline n’en est pas non plus.
comme vous Jacky, car je sais que vous en êtes.
vous oyez Jacky j’aurais aimé en être, je veux en être aurait été mon souhait le plus fort.
pour acquiescer à la vie est une richesse, pour en disposer il faut posséder la plus nature qui soit.
« Philippe Régniez dit: 20 juillet 2013 à 20 h 27 min
hamlet nous livre enfin la réponse à cette grande question posée il y a peu en ces lieux : Qu’est-ce qu’un intellectuel (de gauche) ? Eh bien, c’est une casquette. »
parce qu’être papiste n’est pas une casquette peut-être?
Monsieur Regniez croyez-moi j’éprouve une très admiration à votre endroit, j’ai toujours eu un faible pour les personnes qui défendent de grandes idées, et de toutes les grandes idées Dieu est sans doute la plus grande.
Mais je vous en supplie, je vous le demande à genoux : de votre hauteur propre à ceux qui portent en eux des grandes idées, ne méprisez pas les crétins qui ont passé leur vie à prendre des casquettes!!!
« … aucun débile de névrosé n’en est. / Pierre Assouline n’en est pas non plus. »
Bon, là il y a quelque chose qui ne tourne pas rond, mais il est parfaitement inutile d’aller chercher… et ce serait même cruel, à bien regarder… pour lew aussi… cruel, j’entends.
je transmets votre doublon de 17h42 à mes quatre filles (rédigé par C.P.)
On réclame un moderne George Cukor pour tourner « Les Quatre filles du Docteur C.P. «
Ai relevé (ne lis que les derniers comment’s), l’un d’eux :
« Bientôt les bobos socialos vont nous interdire de baiser vous allez voir ! Ou il faudra cotiser pour !!!
Concernant La richissime Touraine, elle a des yeux de folle, d’hystérique, c’est pas étonnant qu’elle soit hostile à certaines libertés comme celle de fumer en plein air ! »
C’est du Charb (sic – anti-fumeur comme Charb, la Touraine ne lui arrive pas à la euh-euh …
Encore une (effort ?)couille de traviole chez Marisol –> urgent : il est demandé un volontaire (service civique, pris en charge par l’Elysée) : jeune mâle, capable de fumer un pétard, culnul, & s’envoyer en l’air (tout en fessant la Marissol – j’fais du Tex Avery actualisé – on a souffert de la Bachelot, la Touraine, socialiste, est-il dit au parti … beg your paron !
Je ne suis pas sûr que j’aimerais recommencer la même vie, hamlet, je suis plutôt porté par ce qui vient que par ce qui s’est passé, mais je n’oublie rien : pourrait-on imprimer éternellement le disque dur, l’éternel recommencement mais différemment, c’est possiblement nietzschéen ?
Moi non plus, je ne vois aucun intérêt à recommencer une nouvelle vie. Il faut regarder droit devant. De toutes façon nous sommes prédestinés. Quoique on fasse, ce qui doit arriver arrive, les bon choix comme les mauvais, c’est écrit.
Il y a l’âme, qui va d’excellente à exécrable en passant par toutes les nuances, et puis il y a les étoiles et les astres.
Une excellente âme avec une bonne étoile (je pense à moi) n’a pas de souci à se faire.
Ulysse dit: 20 juillet 2013 à 14 h 52 min
Pauvre D., personne ne l’aime non plus…
—
Le fait est que l’excellence appelle la jalousie. Beaucoup (pour ne pas dire l’essentiel) d’idées lumineuses sont apportées par moi et moi seul ici sur ce blog. Depuis l’enfance j’ai été habitué à être mis à l’écart, ce n’est pas maintenant que ça va changer.
J’ai beau essayer de vous secouer tous autant que vous êtes, vous restez attachés à vos schémas et à vos savoir. Pourtant mon chat en sait plus que vous sur la vie, ses mécanismes et la beauté du monde.
Bientôt je vais partir d’ici et plus rien ne sera comme avant. Vous me supplierez (oh, jamais directement, de façon détournée) pour que je revienne et je ne reviendrai pas, parce que ceci ne peut durer des années et des années et doit bien trouver son terme d’une façon ou d’une autre.
Bouguereau, qui fut jadis un de mes plus grands admirateurs, a fini par se rendre compte qu’il était tout simplement écrasé par le poids de ma pensée. Depuis il m’ignore totalement. renato : pareil. Daaphnée : itou. Bérénice : amoureuse, mais incapable de se projeter. etc..etc..
Je vais me coucher, tiens. Je pense que c’est la dernière fois que je commente ici.
Dédé, ça va comme ça.
Je suis mort de fatigue, accablé de chaleur et le reste ne regarde que moi; non que ce soit intéressant, c’est le contraire.
Vous avez ici plus d’un compte philosophique à rendre, et vous le savez bien.
Ce sera donc demain?
(Quand je pense qu’un innocent a pu imaginer que je pouvais être professeur de philosophie…
Bah, il sera parvenu à me faire rêver cinq minutes.
Quelle merveilleuse pratique.
Peu sont à la hauteur.
Soyons sérieux.
J’ai lu aujourd’hui, comme renato et tkt, « Le Temps » (ici, les Suisses ne sont pas du tout satisfaits de la grossièreté des Français), leur supplément culturel dit en somme: lisez donc L’Homme sans Qualités.
La fantaisie c’est bien mais ça va comme ça.
Il faut parfois répondre présent, nom de dieu.
Sinon qui?)
Bon, c’est bien beau tout ça mais a quelle page de la biographie de Guillaume Apollinaire en êtes-vous?
( à hue et à D. et compagnie.)
D l’amour est aussi une idée rejouée à chaque nouveau désir puisqu’il faut après l’avoir déshabillé le rhabiller avant de sortir s’en jeter un par exemple ou se promener dans les allée du musée ou faire du tourniquet ou dîner élégamment devisant tentant de prouver l’esprit qui nous accable sa pauvreté sa sécheresse sa misère voilà donc l’amour avec ses sucres d’orge ses cotons hydrophile ses fleurs ses rubans ses parfums comme des soies qui nous enveloppent
Page 318,par exemple, notre Guillaume était partout nous précise Laurence campa..
Et le compte rendu de l’exposition Benjamin Rabier qui lui vaut ce cadeau :
Somme toute cette vache n’a pas réussi à effacer notre Courbet inter galactique qui lui ne réussit pas à résoudre la véritable énigme procurant travail et médailles à tous ces savants qui cherchent comme des alchimistes à nous rapprocher du grand commencement alors que
Du tourniquet…
…
…Albion’s,…Confiance & Trust’s C°,…
…
…la mondialisation ne peut pas être seulement,…un jeux de dupes de toutes sortes,…au détriments de la qualité et fiabilité des marchandises et des hommes,…
…
…sans parler aussi de communications objective,…
…etc,…que du bonheur,…en pièces détachées,…
…
Vot’Imminence, je regardais un docu sur la BBC un jour et ils disaient que les hippocampes étaient en voie de disparition a cause qu’ils sont chassés a mort parce que des couilles molles quelque part pensent que ce sont des aphrodisiaques…moi qui les aime beaucoup, j’avais écrit un p’tit texte de pas grand-chose en hommage aux poissons en genral et donc a ces purs-sang de la mer…z’en pensez quoi, Vot’Grace ? non, suis sur que vous n’avez pas besoin de poudre d’hippocampe pour servir madame…les gauchos font l’affaire hein…pouvez meme prendre des photos aussi…
Entre le croissant et l’enclume
J’laisse des plumes
J’trouve leurs réponses importunes
J’préfère la pleine lune
En attendant ce jour
Je prends le grand détour
Et cherche mon lot
Vingt pieds sous l’eau
Je fais la planche
Et me branche
Sur la fréquence
Du grand silence
Des profondeurs marines
Ou la coquine
Et noire Murène
Règne en reine suprême
Entre le croissant et l’enclume
J’laisse des plumes
J’trouve leurs réponses importunes
J’préfère la pleine lune
L’hippocampe
Se moque du CAC 40
Et promène ses gamins
Dans son sous-marin
Et si tu laisses ton harpon
A la surface
Tu verras que la rascasse
Te fera les yeux ronds
Entre le croissant et l’enclume
J’laisse des plumes
J’trouve leurs réponses importunes
J’préfère la pleine lune
Je mettrai les voiles
Plein cap sur les étoiles
Qui dansent nues
Devant le sillon de la charrue
En attendant ce jour
Je prends le grand détour
Et cherche mon lot
Vingt pieds sous l’eau
ceci dit, comme n’arrête pas de le promettre D. je vais m’absenter pour un bout de temps…take it easy y’all…
Du tourniquet…
Le col du Tourniquet 1972 mètres beaucoup moins connu que celui du Tourmalet 2215 mètres accessible par mauvais temps est régulièrement emprunté par le parcours du tour de France, point d’arrivée d’un pèlerinage que les amoureux effectuent afin de rendre plus fertiles leurs amours, un sanctuaire à la vierge s’y découvre, on y accède à pied par un chemin de randonnée répertorié qui serpente le long du ruisseau de l’adret.
AFP Dimanche, deux hommes « alcoolisés » ont pris à partie une femme « parce qu’elle était voilée » et l’ont menacée avec un couteau
AFP: Deux hommes ont été condamnés à deux mois de prison ferme mardi par le tribunal de Versailles pour l’agression d’une femme voilée survenue dimanche à Trappes (Yvelines)-
ces deux ersatz d’humains étaient tégniez et jicé
Je n’ai fait qu’obéir aux injonctions du Seigneur ! Sa Voix venue d’En-Haut m’a dit :
– Ecoute et agis, mon fils ! Libère ces femmes de leur sac poubelle islamique ! J’ai fait l’homme et la femme égaux entre eux. Déchire ces voiles nés de l’imagination fertile des chameliers. Pourquoi cacher leur beauté ?
– Seigneur ! Tu n’y penses pas ! Je vais au delà de graves ennuis. La Reine Noire de l’Injustice me fera condamner !
– Si tu ne m’obéis pas, crapulet agnostique, tu paieras le prix de ta lâcheté !
– Ah bon ?! Je voudrais bien voir ça !
– Oui … Je te rendrai aussi bête que le commentateur plaintif et ronchon de 8h17 …
– Ah, non Seigneur ! Tout ! Le pire !… Mais pas ça…
Il fait chaud.
Il fait chaud aussi.
Pas de vent. C’est énervant.
Her soir Don Giovanni à Aix. Orchestre très finement défini, très belles voix avec parfois un rare petit glitch. Selon la classification classique :
L0 : illustration actualisée, Leporello en cousin saprophyte
L1 : la surimposition de liens familiaux révolutionne l’art du voyeurisme
L2 rev : un seul indice avec une référence à la fresque de Michelange et il faut vraiment le savoir pour y retrouver la création à la fin.
Bonne société aixoise dans les gradins de la cour de l’archevêché. Savoir que dans ce théâtre, on peut facilement, la disponibilité le permettant, se placer au dernier rang en tout confort.
Bonjour Ursula. Tu n’étais pas à Andros ?
No
On a pu observer durant toute cette semaine une nuée de petits hommes roses, agiles, délurés, obéissants, serviles, tous munis de coussins lourds et ouatés, farfadets qui s’agitaient sans bruit autour d’un dossier ferroviaire volontairement maltraité.
Une vérité : l’étouffement de l’affaire se passe bien. Merci !
L’été dernier à Ἄνδρος …
Prairie fleurie :
@ U.: Je ne lis pas « Le Temps », mais « Le Monde » et comme j’habite en Suisse germanophone, je lis souvent en plus des quotidiens en allemand.
D., vous n’êtes pas un simple crétin mais un débile complet multigraines et fortement congelé tout en étant maintes fois réchauffés. Votre bêtise paramount vous différencie de JC ou ML. JC s’amuse souvent à vous plagier et c’est assez réussit bien que souvent trop élaboré pour votre tête de moineau.
Après avoir voulu nous faire croire qu’il était chinois, u. veut nous faire croire qu’il n’a jamais été prof de philo.
Vous êtes aimable, Thierry, mais je ne serais pas le prince des cons si je n’étais pas, sans conteste, beaucoup plus stupide que ML, Dédé et tant d’autres. Le fait est connu, la citadelle imprenable…
JC, Obtus-Roi !
je lis souvent en plus des quotidiens en allemand.
C’est bien. Je vous félicite, Thierry. Continuez.
« l’étouffement de l’affaire »
hallucinations du malade de pq et sa version extrême-droite (des casques arrivés plus tard) versus les témoignages des sauveurs de la Croix-Rouge et des policiers sur place
jc honte de la famille, comme tous les fafs en plus de con tu es pervers
Tout à fait dans le sillage poétique du billet, une merveille digne d’Appolinaire : « La chanson du Faf », signée Willy Asshole, 1998
TROU DU CUL (1998)
TU TE BALLADES CHEVEUX COLORES
T’AS RESSORTI TON VIEUX JEAN’s DECHIRé
TU TRAINES TA CARCASSE DANS LE QUARTIER
POUR EFFRAYER TOUTES LES PETITES MéMéS
TU TE REVENDIQUES ANARCHISTE ET REBELLE
MAIS TU POSSEDES UN CARNET DE MUTUELLE
TU AS DECIDE DE NE JAMAIS TRAVAILLER
C’EST BIEN PLUS FACILE D’ALLER POINTER
(REFRAIN)
ANARCHISTE-PUNKY-SQUATEUR : T’ES QU’UN TROU DU CUL
REBELLE-GAUCHISTE-PROFITEUR : T’ES QU’UN TROU DU CUL
BAZANNE-DROGUE-VOLEUR : T’ES QU’UN TROU DU CUL
HUMANISTE-DEGENERE-DEALER : T’ES QU’UN TROU-DU-CUL !
TOUT LE MONDE DEVRAIT TOUT PARTAGER
AVEC TES COPAINS LES P’TITS CROLLéS
VOILA POURQUOI TU T’ES RADICALISE
SOUS CETTE SALOPE DE BANNIERE ETOILEE
T’AS JAMAIS SU BLAIRER LES FACHOS
TU N’AS QUE HAINE POUR TOUS LEURS IDEAUX
TU CRACHES TON VENIN SUR LES MURS
C’EST PLUS FACILE QU’A DIRE EN PLEINE FIGURE !
(REF.)
TU NE CONNAIS PAS LA SIGNIFICATION
DES MOTS COURAGE, HONNEUR ET FAMILLE
PAR CONTRE TU AIMES LA CONJUGAISON
DES VERBES : SE DROGUER, GLANDER, VOLER
TU N’AIMES PAS LA JUSTICE ET LES CONDES
MAIS A CHAQUE FOIS QUE TU TE FAIS SHOOTER
TU TE PRECIPITES CHEZ EUX POUR RECLAMER,
TU NE MERITES MEME PLUS AUCUNE PITIE !
Bonne journée…
Parce que on n’est pas obligé de croire Apple quand il nous dit qu’un appareil photo est un grand truc plat sans lentille, ce qui manque c’est un appareil photo numérique connectable.
– Haha, oui mais le clavier / écran (lisible) ?
– l’iPad, Haha.
Je sors content.
T’as du talent Abdel…Tu t’absentes pour où?
il a pas eu sa dose de médocs ce mat
Un des textes les plus passionnants de guillaume apollinaire (et il y en a beaucoup chez lui) est « le poète assassiné » -écrit en 1914 après de multiples brouillons..c’est un écrit tres autobiographique.il tente avec son personnage de Croniamantal de fixer une image du poète selon lui.Il se réfère autant à Homère qu’à Charles d’Orléans qu’à lui-même ; jean Cocteau et son Orphée n’oubliera pas ce « poète assassiné ». A signaler aussi dans « la femme assise », roman, beaucoup de détails intéressants sur la vie de bohème à Montparnasse entre 191O et 192O. enfin, sans lui, est-ce que le surréalisme de Soupault, Breton et Aragon aurait existé ? Pas sûr.
A Trappes, les électeurs socialistes religieux tirent sur la police socialiste laïque. Je n’y comprends plus rien !
Un Paul Edel, un Pierre Assouline, un intellectuel inconnu, un Richard Millet, pourrait m’expliquer ce qui se passe ? Hurk ! Hurk …
Et aussi parmi ses textes en prose, « Le Flâneur des deux rives », Paul Edel, d’où j’extrais cette phrase :
« On lui demandait quelles étaient ses
opinions politiques : Je suis républicain, répondit-il, mais
de la république des lettres. »
Paul Edel, j’ai la même question que la vôtre sur ce que le Surréalisme doit à Apollinaire. La question a déjà été abondamment débattue, mais sur ce qu’il RECONNAÎT lui devoir, j’ai repris les douze numéros de « La Révolution surréaliste » (1924-1929), où Apollinaire est évoqué huit fois, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il y a ambiguïté. Je ne détaille pas, mais pour un hommage d’Eluard à propos de Sade, bien des réticences, ou des abandons : pour « Le Surréalisme et la peinture », à propos de Braque, Breton considère que si Apollinaire est devenu sévère pour Braque en 1918, lui-même (Apollinaire), « la mort l’a arrêté à temps ». Le « Second Manifeste » ne retient plus d’Apollinaire que les poèmes-conversations et les « Quelconqueries ». Je trouve très significatif, qu’il soit ou non « arrangé », dès le numéro I, le récit de rêve de Breton où Apollinaire est une ombre appuyée à une porte et où Picasso déclare qu’il n’a jamais eu pour lui « qu’une banale sympathie »…
Ouvrage de Guillaume Apollinaire
Contemporains pittoresques
Portrait par Picasso
Paris » la belle page » éd. 1929 Edition originale in-8°couronne.
Soupault raconte qu’il a rencontré Breton au café de Flore à l’instigation d’Apollinaire, on peut donc dire qu’il fut à l’origine du mouvement !
Avant de devenir existentialiste, le Flore fut donc surréaliste !
JC……….. dit: 20 juillet 2013 à 11 h 24 min
[…]
Tout ça est sans gravité … exactement comme l’importance des lecteurs pour un écrivain. Nulle
Un écrivain aime avoir des lecteurs.
Maintenant que nous le fassions iech je ne conteste pas. Mais avoir des lecteurs pour un écrivain est nourricier et vital. Pareil que avoir des commentateurs sur son blog.
Où est l’information dans tout ce fatras ?
D. dit: 20 juillet 2013 à 15 h 41 min
Oui, c’est vrai Jacques,il faut que je me rassemble un peu.
[…] constitue en quelque sorte une trame topologique à géométrie complexe de tout ce bordel.
D. dit: 20 juillet 2013 à 15 h 43 min
moi c’est un peu pareil, c’est vrai, je tiens de ça.
D’un beau bordel donc.
Eh bé.
« Tu me prêtes tes filles à Porquerolles je te prêtes ma fille à Trifouillis les Oies. Je te prête ses cours pour la pornographie. Mais pas avec avec ma fille hein. Avec les tiennes d’accord. »
Un beau bordel ?
nuance
« Tu me prêtes tes filles à Porquerolles je te prête ma fille à Trifouillis les Oies. Je te prête ses cours -ceux de ma meuf- pour la pornographie. Mais pas avec avec ma fille hein. Avec les tiennes d’accord. »
>Jacques B. moi non plus, vous ne m’avez pas rencontrée.
Jacques Barozzi dit: 20 juillet 2013 à 16 h 15 min
Merci, C.P., je ne savais pas pour D-H L, à Vence. Je me proposai d’aller y faire un tour, pour voir si je ne pouvais pas m’y installer. MAis si cet endroit ne vaut rien, comme dit Lawrence, autant s’abstenir ! C’est un mouroir à écrivains !!!
Où que tu meures, le coin est minable. Pourquoi ? Parce que tu vas mourir ?
Mais si tu meurs chez toi, ben t’es un homme heureux. Pourquoi ? Parce que t’es chez toi.
Alors Vence ou pas D-H Lawrence eût été de toute façon de mauvais poil. Comme celui qui prépare sa mort en faisant de sales nécrologies sur autrui, pour que son jour à lui on dise quel salopiot !
Mais tant, on ira à la plage ce jour-là. Et on ne dira rien.
« parce que c’est un garçon épatant à mon goût. »
ben voilà !
Quand on voit ce qu’il cuisine on sait que c’est un mec épatant. Pas besoin d’aller chercher midi à quatorze heures.
Et si sa femme est d’accord pour l’entretenir, je ne vois pas qui cela dérange. Pendant qu’il écrit, il l’écrit. Pas besoin de secrétaire lui. Au moins.
Pourtant, en Avignon, y’avait la toute petite maison avec la treille sur la terrasse, toute petite elle aussi.
pour acquiescer à la vie est une richesse, pour en disposer il faut posséder la plus nature qui soit.
Ne serait-ce pas ?
pour acquiescer à la vie est une richesse, pour en disposer il faut posséder la plus belle nature qui soit.
« moi non plus, vous ne m’avez pas rencontrée. »
Je ne sors guère de Paris que pour partir à l’étranger, rose. Généralement, c’est à l’initiative des personnes mentionnées ci-dessus, que je les ai rencontrées : je suis d’un naturel réservé et plus fier qu’un Algérien !
« u. veut nous faire croire qu’il n’a jamais été prof de philo. »
Marrante votre fixette, Adalbert.
Ça fait envie, tout d’un coup…
Franchement, je n’aurais jamais tenu la distance.
À titre privé, ça a pu tous nous arrivé.
J’ai dû aider mon neveux à faire une disert’.
Le sujet était (à peu près): Doit-on être de son temps?
Il avait l’air malheureux en me montrant ça.
Comme si on lui faisait un sale coup, sans aucune nécessité.
« Pourquoi on nous demande des trucs pareils? Il faut plutôt dire oui ou non? »
(C’est le tennis qui l’intéresse).
Bérénice : amoureuse, mais incapable de se projeter. etc..etc..
Disons plutôt assommée par son destin tragique. Pré-assommée.
JC tes copains fascistes ont agressé une femme à trappes t’as pas honte
Ça y est, j’ai tâté l’book.
On me l’a passé.
Le paveton.
Suffisamment de matos historique pour m’intéresser, mais il fait trop chaud.
On verra.
Pareil que s’appeler Cassandre. Tu t’appelles Cassandre t’as un destin tragique et tu t »étonnes ?
Ben t’aurais pu écouter en classe. Éviter Cassandre comme prénom pour ta môme. Ben oui, quoi.
Bérénice itou. Ton mec se fut appelé Pelléas ta fin eût été moins tragique.
Pourquoi ?
Parce que t’aurais mouru avant lui. Donc t’aurais moins souffert.
En mission divine, le courageux Saint-Père va aller se rincer l’oeil sur les plages de Copacabana
Jacques Barozzi dit: 21 juillet 2013 à 14 h 09 min
Je serai à Paris la semaine prochaine.
Barozzi
Apollinaire a par exemple était le premier à apprendre à André breton l’importance de ce qu’on appelle aujourd’hui les « arts premiers »,et sa passion pour les masques africains, c’est d’abord lui.. il a aussi avec « les mamelles de tiresias » par exemple était surréaliste au théâtre de la plus belle eau.
avant tout le monde, avec Jarry il a été srréaliste au théatre….ensuite vint le grand Vitrac.. N’oublions pas non plus qu’il a, dans les cafés, rapproché les uns des autres et que ses déambulations genre « rue Christine » ont marqué tres fort le Aragon du « paysan de paris » (qui reste un chef- d’œuvre dans la parfaite ligne Apollinaire).. et que ses grands textes érotiques ont fort marqué Aragon et Breton. « le con d’irène » est un vrai démarquage Apollinaire.
*il a donc été défricheur et découvreur, d’une nouvelle sensibilité .son originalité qui reste totale c’est qu’il a vu la guerre de 14-18 tout autrement que les autres,tout seul dans son coin de tranchée devant sa gamelle.. : féerie mortelle et belle comme un ultime feu d’artifice..la guerre moins importante que les amours et les lettres d’amour…. ce qui le distingue du surréalisme c’est ce mélange de tendresse, de féerie et d’érudition onirique et une innocence magnifique… dans les tranchées……voir les seins de la femme qu’il aime dans les obus qui tuent ses camarades et vont finir par l’atteindre…fait le faire….c’est comme même pas banal.
« je flatte de la main le petit canon gris
Gris comme l’eau de Seine et je songe à Paris
Mais ce pâle blessé m’a dit à la cantine
Des obus dans la nuit la splendeur argentine
Je mâche lentement ma portion de bœuf
Je le promène seul le soir de 5 à 9
Je selle mon cheval nous battons la campagne
Je te salue au loin belle rose ô tour Magne »
extrait de « à Nîmes »
(C’est le tennis qui l’intéresse)
.. »avoue que t’aimes te faire enculer aussi et termine en disant que ça vaut vachment lcoup d’être de son temps »..
Il faut plutôt dire oui ou non? »
(C’est le tennis qui l’intéresse).
Ben pourtant c’est la même histoire que le tennis.
Paf la balle dans un camp paf la balle dans l’autre camp.
Et zou. Celui qui perd est celui qui renvoie pas la balle parce qu’il la laisse tomber au sol.
Faut pas être sorcier quand même.
»avoue que t’aimes te faire enculer aussi »
Il m’est arrivé une fois de prendre le dossier en main.
Enfin, de me le voir proposer.
C’est non.
et sa passion pour les masques africains, c’est d’abord lui
une vraie tartalacrème cette histoire de masque..la mode trace des symboliss polo..on croirait pas comme ça..c’est sûr que ces clodos qui sentent le vieux grenier ça fait pas classe
Enfin, de me le voir proposer.
C’est non
..toi tu dates zouzou
Le Crime de Brétigny… dit: 21 juillet 2013 à 9 h 39 min
On a pu observer durant toute cette semaine une nuée de petits hommes roses, agiles, délurés, obéissants, serviles, tous munis de coussins lourds et ouatés, farfadets qui s’agitaient sans bruit autour d’un dossier ferroviaire volontairement maltraité.
Une vérité : l’étouffement de l’affaire se passe bien. Merci !
Comme tout étouffement d’affaire, cela se passe bien, merci !
Dix ans, quinze ans ou plus ? avant que l’on ne dévoile l’affaire. Mais si elle n’avait pas été étouffée, comment dès lors la dévoiler ?
Jacques Barozzi dit: 21 juillet 2013 à 13 h 24 min
Où est l’information dans tout ce fatras ?
Ce qui est frappant, c’est combien la parole publique suscite aujourd’hui une suspicion généralisée.
http://www.causeur.fr/caillassage-bretigny-sur-orge-medias,23497#
La mère de Camus et sa grand-mère triait de slentilles sur le palier dans l’escalier quand le maire du village est arrivé, costard cravate ? grave et a annoncé la mauvaise nouvelle. La mère n’a pas entendu (demi-surdité) sa mère lui dit « Henri est mort ». Elle va dans sa chambre talalatalala pleure bien après. On lui a envoyé dans une enveloppe le morceau d’obus qui a tué son mari. Il n’est pas mort immédiatement le père de Camus. Sa femme a reçu deux cartes postales ; une de sa main où il écrivait « j’ai été blessé mais je vais bien. Ton mari. »La seconde de l’infirmière qui écrit « il est mort cela vaut mieux parce qu’il aurait été fou ou aveugle. Il était bien courageux ».
Je vous essplique pour ceux qui comprennent rien à la vie : quand Henri écrit à son épouse « Ce n’est rien(j’ai vérifié dans le livre c’est ce n’est rien, ce n’est pas je vais bien) » il lui dit en fait je ne suis pas mort. Mais il meurt ensuite. Il a tenu néanmoins à la rassurer.
Et donc l’épouse a reçu le morceau d’obus qui a tué au front son mari. Pourquoi a-t-il été enterré à Saint Brieux je vous avoue que je ne le sais pas encore. Je vous tiens au courant.
Bérénice je ne te réponds pas mais je t’aime bien.
Je me retrouve assez en toi. Pour le côté sommaire. Mais généreux.
La mère de Camus et sa grand-mère triaient des lentilles
quand que tu te répétes quelquechose a part toi ça fait pas du généralisé..disons que ce qui est « généralisable » c’est la suspiçion..casseurs.. barbare..pédé..juif! là d’accord zouzou..là t’as bon, continue t’es bien sur la pente savonneuse
A chaque fois que sont évoqués les Arts premiers, l’Afrique est prise en exemple; le continent africain ne présente pourtant qu’une fraction de ces arts qui d’ailleurs sont d’abord chamaniques et tribaux avant d’être premiers.
casseurs.. barbare..pédé..musulman!..s’cuz y’avait un aiguillage vérolé..je mets l’inspecteur jicé sur l’enquête
Bon je vais travailler ciao.
trés juss dédé et breton son trip c’était les max océaniens..vlaminck les africains..et picasso disait que c’était la dame d’elché..donné par ce grotenlécu de pétin!
« rose dit: 21 juillet 2013 à 14 h 08 min
pour acquiescer à la vie est une richesse, pour en disposer il faut posséder la plus nature qui soit.
Ne serait-ce pas ?
pour acquiescer à la vie est une richesse, pour en disposer il faut posséder la plus belle nature qui soit. »
ou « acquiescer à la richesse est une nature, pour en disposer il faut la plus belle vie qui soit? »
ou « disposer de l’acquiescement est la vie, pour en avoir la nature il faut être riche? »
tout simplement?
Bon je vais travailler ciao
et on veut que ça sue jusque dans la raie du cul
ferme la keupu
A propos de Brétigny j’ai lu du Monde me semble-t-il qu’un technicien en retraite avait signalé de nombreuses anomalies (37) sur la voie et visibles du quai a reçu pour réponse en gros que tout était okay et que l’entretien était suffisant pour garantir la sécurité des usagers.
(rose, je suis dans l’annuaire…)
Quand tu reçois un éclat d’obus quelque part ce n’est pas rien du tout.
C’était vraiment gentil de sa part d’écrire cela à sa femme.
Un éclat d’obus lui avait ouvert la tête et il avait été transporté dans un de ces trains sanitaires dégoûtant de sang de paille et de pansements qui faisaient la navette entre la boucherie et les hôpitaux d’évacuations à Saint Brieuc. Là, il avait pu griffonner deux cartes au jugé, car il ne voyait plus.[…]Et puis il était mort au bout de quelques jours.[…]
Et puis l’éclat d’obus.Le premier homme
Camus
Voir le film c’était très bien.
Lire le livre cela me chavire.
Lire Camus me fout le cœur à l’envers et le cul par dessus tête.
Je réfléchis à mon panthéon pour entrer Camus dedans. Mais il est déjà plein. Et je ne veux pas sortir quelqu’un d’autre. Je pourrai donc l’élargir à quatre au lieu de trois.
>Jacques B.
(D’ac. Merci. Hors cimetière si vous êtes d’accord.)
bouguereau dit: 21 juillet 2013 à 14 h 43 min
Bon je vais travailler ciao
et on veut que ça sue jusque dans la raie du cul
C’est à dire ? En français qu’est ce que cela veut dire le boug. ?
Cher Thierry, sachez que JC n’atteint pas le centième du niveau d’excellence nécessaire à la performance de la pâle imitation de moi-même.
Pas de x à Saint-Brieuc s’il vous plaît, encore que je sois pas Breton, mais je m’entends plutôt bien en règle générale avec eux, même s’ils sont souvent tête de mule.
Le courant passe moins bien avec les Gascons.
hamlet dit: 21 juillet 2013 à 14 h 42 min
Effectivement ; il suffit d’en disposer pour savoir que ce n’est rien. Tant qu’on n’en dispose pas, c’est tout.
Néanmoins, je peux affirmer que sur le plan de l’angoisse cela aide à ne pas en avoir.
Camus chez sa mère ouvre tous les tiroirs. Elle lui dit « tu fouilles encore ? ». Il parle du rien des objets. Un chez moi récemment m’a dit « on pourrait ouvrir une brocante ». Un autre m’a dit à la mort de sa mère avoir donné, offert 1200 livres.
L’argent ce n’est rien.
Le cul ce n’est pas plus.
Mais ce que dit Jacques B. Je l’entends et je le comprends la vie réelle est bien mieux que la vie virtuelle.
Si j’ai à travailler, c’est pour que ma vie réelle soit meilleure quand je reviens chez moi : ma vie virtuelle n’améliore pas ma vie réelle et surtout ne me rend pas meilleure.
J’ai préféré votre première assertion sur la belle nature.
(rose, pour l’état civil mon nom est Jacky B., pour le lieu, anywhere mais à l’ombre !)
Est-ce que certains ici insinueraient que B╚rétig╬ny était un at╔ten╩tat, comme l’était A╠Z═F en son temps ?
Un homme dur, amer, qui avait travaillé toute sa vie, avait tué sur commande, accepté tout ce qui ne pouvait s’éviter, mais qui, quelque part en lui-même, refusait d’être entamé. Un homme pauvre enfin. Car la pauvreté ne (se)choisit pas, mais elle peut se garder.
>Jacky B. (D’ac pour l’ombre)
« L’argent ce n’est rien.
« Le cul ce n’est pas plus.
rose,
deux erreurs fondamentales ! En si peu de mots : redoublez d’efforts !
La thèse de l’attentat arrangerait bien du monde ajouté à celui-ci la SNCF mais je pencherais pour la carence d’entretien, la vétusté du matériel, la réduction des crédits avec ses conséquences.
JC pour une chose élémentaire je tombe d’accord avec vous, rose néglige deux piliers de la civilisation en cours d’extraction.
Je me suis enfin détaché de toutes choses naturelles, je peux enfin mourir mais non pécher. Et ce qu’on n’a jamais touché, je l’ai touché je l’ai palpé, et j’ai scruté tout ce que nul ne peut en rien imaginer, et j’ai soupesé maintes fois même la vie impondérable.
Je peux mourir en souriant.
Habituez-vous comme moi à ces prodiges que j’annonce, à la bonté qui va régner, à la souffrance que j’endure, et vous connaîtrez l’avenir.
Guillaume Apollinaire, (sur sa tombe).
Je suis effondré par la fascination qu’exerce la célébrité sur les femmes! Le prestigieux Jacques Barozzi (qui passe à la télé, oui je l’ai vu) n’a qu’à se baisser pour récolter les avances de Rose, la femme la plus fascinante du blog…
C’est vraiment trop injuste, moi qui ait tant de choses à offrir qu’elle ne connaîtra jamais!
Snif
Bérénice, depuis combien d’années n’avez-vous plus 38 ans, que je me fasse une idée précise ?
Sirius, prenez la file d’attente, comme tout le monde …. merci pour votre patience !
Le prestigieux Jacques Barozzi (qui passe à la télé, oui je l’ai vu)
J’en étais sûr. C’était lui qui faisait goûter aux gensles raviolis Buitoni dans la rue en 1979 ?
Précisément depuis trop longtemps mais n’entendez-vous pas comme moi cette chanson triste trop d’ailleurs la femme qui est dans mon lit n’a plus vingt ans depuis ETC pour cette raison je préfère jouer les descentes de lit en attendant de faire du ski cet hiver.
Bérénice,
nous sommes d’accord sur l’essentiel : vous dites que c’est un attentat (signé SNCF RFF), je dis que c’est un attentat (signé Banlieues Bleues) !
les raviolis? Vraiment? Quel produit comestible tout de même!
JC cessez de délirer dans le sens qui vous arrange c’est quoi banlieues bleues? Un festival de Jazz aux dernières de mes info et un accident n’est pas un attentat voyez le lâchage de freins sur le Saint Laurent
C’était juste avant que vous ne me piquiez le job pour Panzani en 1985, D., le beret vous va à ravir !
http://www.dailymotion.com/video/xmvvc_1985-ravioli-panzani_news#.Uevi2RaFtaU
Bérénice, le délire provient de la valeur que vous donnez aux mots, etc, etc … essayez de déplacer un peu votre curseur.
Je savais D que vous me tromperiez pour une autre plus alléchante!
Saint Brieuc c’est l’hôpital à l’arrière pour soigner les grands blessés de guerre. Faire tout ce trajet avec un éclat d’obus dans le crâne c’est à peine croyable.
à force de déplacer les curseurs un n’a jamais été suffisant pour la mesure il faut pincer ou lâcher l’événement vous écrivez le vide c’est pratique mais c’est de la peinture! De la fiction!
La grand-mère est de Mahon
Port Mahon ou Port-Mahon (officiellement Maó en catalan ; Mahón en espagnol castillan) est une ville située dans l’est de l’île de Minorque (Îles Baléares, Espagne). Latitude : 39º 52′ 1 N, longitude : 4º 18′ 6 E.
Son mari aussi.
Je vous le dis parce que cela peut vous intéresser ou pas.
On trace une diagonale : on a de l’est vers l’ouest Minorque, Majorque, Ibiza.
Mahon est sur Minorque.
rose après l’histoire du canard qui nous est racontée assez tôt dans l’enfance nous devrions pouvoir croire à la résistance des corps quoique celle du cerveau soit toujours en cours d’exploration, les neuro-sciences sont loin d’avoir tout dit tout expliqué et tout soigné mais les progrès sont grands.
JC…. dit: 21 juillet 2013 à 15 h 16 min
« L’argent ce n’est rien.
« Le cul ce n’est pas plus.
rose,
deux erreurs fondamentales ! En si peu de mots : redoublez d’efforts !
JC non.
Vous me distrayez de mes tâches.
bérénice dit: 21 juillet 2013 à 15 h 49 min
> Bérénice ma belle c’est trop de trajet.Ils leur ont fait traverser toute la France sur un organisme affaibli.
>Plus avenante sûrement pas.
rose,
Je vous invite à laisser tomber vos tâches actuelles et à vous consacrer entièrement aux joies que procurent les deux piliers de la vie en société : l’argent et le cul.
Avec un peu de chance, le pouvoir devrait suivre … il fait cousinage avec l’argent et le cul.
rose, n’écoutez pas JC.
Ecoutez notre bon pape François.
Et tu noteras JC…pas un mot de compassion! C’est dur, très dur…
L’ « Algérien », Albert Camus (1913-1960), qui repose pour l’éternité au cimetière de Lourmarin, en Provence, était originaire, du côté maternel, d’une famille des Baléares : sa grand-mère, Catherine Sintès, née Cardona, chez laquelle il a passé toute son enfance dans le quartier populaire de Belcourt à Alger (son père étant mort durant la Première Guerre mondiale), était native de San Luis de Minorque. C’est dire que l’auteur de L’Etranger, qui se sentait plus ou moins en exil partout, est désormais, au minimum, triplement méditerranéen ! Parmi ses premiers textes, écrits à vingt-deux ans, et réunis dans le recueil « L’Envers et l’Endroit », il en est un particulièrement émouvant, titré « Amour de vivre », où Camus chante ses retrouvailles, en 1935, avec le pays de sa mère :
« Et jamais peut être un pays, sinon, la Méditerranée, ne m’a porté à la fois si loin et si près de moi-même.
(…)
Là était tout mon amour de vivre : une passion silencieuse pour ce qui allait peut-être m’échapper, une amertume sous une flamme. Chaque jour, je quittais ce cloître comme enlevé à moi-même, inscrit pour un court instant dans la durée du monde. Et je sais bien pourquoi je pensais alors aux yeux sans regard des Apollons doriques ou aux personnages brûlants et figés de Giotto. C’est qu’à ce moment, je comprenais vraiment ce que pouvaient m’apporter de semblables pays. J’admire qu’on puisse trouver au bord de la Méditerranée des certitudes et des règles de vie, qu’on y satisfasse sa raison et qu’on y justifie un optimisme et un sens social. Car enfin, ce qui me frappait alors ce n’était pas un monde fait à la mesure de l’homme – mais qui se refermait sur l’homme. Non, si le langage de ces pays s’accordait à ce qui résonnait profondément en moi, ce n’est pas parce qu’il répondait à mes questions, mais parce qu’il les rendait inutiles. Ce n’était pas des actions de grâces qui pouvaient me monter aux lèvres, mais ce Nada qui n’a pu naître que devant des paysages écrasés de soleil. Il n’y a pas d’amour de vivre sans désespoir de vivre. »
(in « Le goût des îles Baléares »)
La « Loi » chez les barbus (?) & consorts: du gratiné !!!
« Marte Dalelv, âgée de 24 ans, a été condamné mercredi pour comportement indécent (une relation sexuelle hors mariage), parjure et consommation d’alcool.
L’affaire est ahurissante. Tout bonnement incroyable. De quoi créer des tensions diplomatiques entre la Norvège et Dubaï. En effet, ce mercredi, une Norvégienne, qui avait porté plainte pour viol, a été condamnée à 16 mois de prison par un tribunal de ce petit Etat des Emirats arabes unis. Une histoire qui surprend jusqu’aux membres du gouvernement norvégien. En effet, le ministre des Affaires étrangères Espen Barth Eide a relaté vendredi la stupéfaction régnant dans son pays après ce jugement. « Il semble très étrange qu’une personne qui dénonce un viol soit condamnée pour des actes qui dans notre région du monde ne sont même pas des délits », a-t-il affirmé à l’agence de presse NTB.
Selon la BBC, Marte Dalelv, une femme de 24 ans, avait porté plainte après le viol qui s’était produit en mars, alors qu’elle était de sortie avec des collègues. Première surprise pour elle, lorsqu’elle se rend au commissariat, les policiers lui supprime son passeport et son argent. Mais le pire est donc intervenu ce mercredi. Elle a écopé de 16 mois de prison pour comportement indécent (une relation sexuelle hors mariage), parjure et consommation d’alcool. La Norvégienne a fait appel et doit être rejugée, probablement début septembre. Pour le moment, Marte a trouvé refuge dans une église norvégienne de Dubaï. Mais elle n’a plus d’argent car elle a utilisé toutes ses économies en frais d’avocat. C’est pourquoi elle a lancé un appel aux dons en direction de son pays afin de pouvoir survivre et payer le procès en appel. »
dépêche AFP que je viens de lire à l’instant.
Une vistime colatérale du choc des cultures, Daaphnée !
victime, oups !
« bouguereau dit: 21 juillet 2013 à 14 h 40 min
casseurs.. barbare..pédé..musulman!..s’cuz y’avait un aiguillage vérolé..je mets l’inspecteur jicé sur l’enquête »
Pas la peine d’enquêter : jicé sait tout d’avance, programmé pour radoter
Jacques Barozzi
Une vistime colatérale du choc des cultures,
si on peut appeler « culture » machisme/connerie…
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