Avec Aragon, une question de distance
Ces trente dernières années, l’éditeur Antoine Gallimard n’a eu de cesse de trouver un biographe qui veuille bien s’attaquer au monument Aragon. A ses débuts dans le métier, il avait bien connu l’écrivain dont il considère que l’œuvre est de celles qui dominent la littérature française du XXème siècle. Il essuya maints refus avant de convaincre le romancier Philippe Forest, à l’instigation du directeur de la collection Biographies/Nrf Ran Halevi. C’est que le personnage ne suscite guère l’empathie, alors même que son œuvre ne semble pas près de sortir du purgatoire trente trois ans après sa mort.
La somme que vient donc de lui consacrer Philippe Forest sous le simple titre Aragon ( (896 pages, 29 euros, Gallimard), un vrai livre d’écrivain malgré la rigueur des notes et sources, s’impose déjà comme la biographie de référence. Elle renvoie d’emblée au rayon des témoignages les deux précédentes, tant celle de Pierre Daix que celle de Pierre Juquin. Ceux-ci avaient pour eux d’avoir bien connu leur héros, et contre eux d’avoir bien connu leur héros. De plus, ils avaient tous deux été des apparatchiks, l’un culturel, l’autre politique. Ce qui n’est pas le cas de Philippe Forest. C’est dire à quel point le cas d’Aragon est, pour un biographe, emblématique. Sa réussite est une question de distance. Ni trop près ni trop loin. Il se tient à mi-chemin de l’ancienne et de la nouvelle génération, n’ayant été ni pro ni anticommuniste (il est né en 1962).
De son propre aveu, il n’a pas la tête très politique et reconnaît entretenir un rapport plutôt sentimental avec Aragon. Forest se tient également à distance de l’illusion biographique, ce confort dans lequel le présent juge rétrospectivement le passé. Il a fait sienne la réflexion de Milan Kundera selon laquelle la cécité dénoncée de ceux qui marchaient autrefois dans le brouillard est moins grave que la cécité de ceux qui ne tiennent pas compte aujourd’hui du brouillard de ce temps-là. Les fameuses circonstances. Pour réduire l’énigme Aragon, un homme qui s’était appliqué à se rendre incompréhensible, l’auteur a privilégié l’enquête par rapport au respect complaisant, tout en déléguant à un doctorant en histoire les recherches aux archives de la police. Il s’est laissé guider par l’admiration critique à seule fin de faire entendre la note juste.
Si toute cette vie se déroula sur le territoire de l’ambiguïté, c’est surtout aux tournants les plus politiques que son biographe est attendu : le stalinisme (en tenant compte de l’évolution de la résonance de l’adjectif « stalinien » au cours du siècle), le pacte germano-soviétique (et son fameux « Vive la paix »), son rôle au Comité national des écrivains, son attitude durant l’épuration, le silence sur le goulag etc Pas facile avec un écrivain qui plaide pour le mentir-vrai sans jamais sacrifier son souci du réel. D’ailleurs, si l’empathie du biographe va tout de même au styliste en Aragon, ce n’est pas pour sa technique mais pour sa vision du réel comme vertige face au vide, « ce grand vide où se défait toute conscience d’être soi ».
Forest souligne ce que le personnage peut avoir de « tordu », cynique et calculateur, joueur fasciné par le pari, accumulant des contradictions qui ajoutent à sa complexité. Lors d’une récente journée d’études à l’ENS, au cours de laquelle des aragoniens passèrent au crible le travail de Philippe Forest en sa présence, il fut souligné qu’il n’avait pas été un opportuniste pour autant et qu’il méritait que ne fussent pas confondus « sa conviction communiste et le parti communiste ». Peut-être ne faut-il pas avoir, comme son biographe, un mais des points de vue puisqu’il n’y a pas un mais des Aragons. Pas sûr que cette biographie, si réussie soit-elle dans la mise à nu du mouvement d’horlogerie qui les animait, ait pour autant réussi à les faire mieux aimer.
Daniel Bougnoux, l’un de ses éditeurs dans la Pléiade, parle même d’une « haine d’Aragon » : dépréciation et soupçon du côté des élites de gauche, exécration et mépris du côté de celles de droite. Cela a été vrai mais ce ne l’est même plus. Les enjeux liés au communisme ayant été emportés avec l’effondrement du mur de Berlin, Aragon et son œuvre souffrent désormais de l’indifférence, ce qui est pire.
L’Aragon de Forest a reçu un accueil critique abondant et laudateur. Deux rares journaux ont exprimé des réserves plus ou moins acides : l’Humanité et les Lettres françaises. Ils lui ont reproché son absence d’empathie politique. Un compliment, au fond.
(« Aragon, place de la Sorbonne, 9 mai 1968 » photo Claude Raimond-Dityvon ; « Aragon au milieu des années 20 » photo Man Ray)
1 014 Réponses pour Avec Aragon, une question de distance
mais moi qui n’ai que peu de prétentions dans ce monde,
MONTAIGNEACHEVAL dit: 8 janvier 2016 à 8 h 47 min
ARAGON est à la poésie amoureuse ce que Hamilton
C’est pas par manque, c’est par trop plein.
Virtuose, il lui arrivait de mettre son pilotage automatique, comme qui dirait une crise d’Elsameir.
Certains vers sont atroces de culculterie
« … mais c’est notre amour à tous deux… »
Un homme qui prétend vivre sous masque a droit à son Harlequin!
Pour » Clopine « :
56 ans(!)de lectures et n’avoir toujours pas su goûter Marcel Proust mais encenser cette « merde académique » de Colette comme disait Céline, c’est à se l’attraper et … 56 ans à côté de la plaque, c’est n’avoir pas réussi à éviter celle de l’égout littéraire où coule cette » merde académique » donc.
On ne s’y attendait pas.
Il parlait peu, il était timide mais il saluait dans l’escalier.
Il m’a aidé chez Lidl à remplir mon caddie.
Les mous solitaires.
« il est actuellement sur France-Inter chez Augustin Trapenard »
Flaubert aurait donné beaucoup pour qu’on lui cède ce nom-là.
Mais pour l’amour on ne demande pas
Aux filles d’avoir inventé la poudre…
Seulement de bien vouloir l’allumer.
IL est en train de découvrir que l’art
IL?
Clopine, vous allez écrire comme WGG
IL est en train de découvrir l’a.rt.
C’est con mais devant de telles phrases je me découvre instinctivement.
93 pour cent de sondés pensent que l’actuel Garde des Sceaux doit quitter le gouvernement.
C’est beaucoup.
« Il est en train de découvrir que l’art (pour lui, c’est la littérature) est le seul mensonge capable de dire la vérité. » (Clopine)
Premier Prix de la Gourdes’Cup ! Majesté*, il n’y a pas de second !
*22 aout 1851 / Coupe de l’America
La Reine Victoria et le « Signal Masters » :
– Les yachts sont-ils en vue ?
– Oui, Votre Majesté.
– Quel est le premier ?
– America.
– Et le second ?
– Ah, mais Majesté … il n’y a pas de second !
Le mot est resté.
que savez-vous de mes engagements et de mes combats?
Je ne dit pas qu’il me serait impossible de dire cette phrase.
Mais je serais en toge, en scène, et sous les spots sinon rien.
renato dit: 8 janvier 2016 à 8 h 31 min
À propos du blanc, Schönberg
À propos du blanc renato, son heure se rapproche (toujours sec).
Mise en vitrine par un commerçant hollandais sadique, une négresse se montre comme elle est : incompétente.
Chaloux dit: 8 janvier 2016 à 8 h 13 min
Bloomy, personne ne défend l’antisémitisme de Céline. Tu tapes à côté.
C’est un homme à principe.
Confronté à un pauvre à hachoir et un sale flic, il tire d’abord sur le sale flic.
Maîtrisé, il reste capable d’un magnifique orgueil: « A bas la répression ».
Daaphnée est tonique, elle préserve des assoupissements.
la brêle de PQ, ce JC, tient vraiment le pompon
Daphnée ayant posté le 666e, le chiffre de la Bête.
On peut enlever la majuscule à « Bête ».
Et rajouter « méchante ».
Daaphnée .. dit: 6 janvier 2016 à 19 h 25 min
Quelque chose me dit que le JC a usurpé le pseudo de Miss Languedepute.
La vraie ne dit jamais de mal d’un homme.
Observatoire des débiles dit: 8 janvier 2016 à 11 h 41 min
la brêle de PQ, ce JC, tient vraiment le pompon
Ne souffrez plus, frère humain.
Quittez le manège!
@al-bukhari dit: 8 janvier 2016 à 11 h 28 min
Elle provoque surtout du ressentiment par sa méchanceté, sa misogynie, sa vanité. Tonique ? Vous ne remarquez donc pas ses petites manœuvres ? Elle n’écrit ici que pour exclure, verser sa rancune, se défouler avec un regard dénué de toute émotion. Elle montre un appétit de violence de perversité insatiable lorsque qu’un désir rivalitaire la saisit. Un rôle de persécutrice méprisante, voilà ce qu’elle a choisi. Seul « U » agit sur elle comme une espèce de calmant, un antidote.
Son piège ? l’illusion dangereuse d’être invulnérable, libre.
« Libre comme une vache, comme une huître, comme un rat !
Le rat dans son labyrinthe, est capable de véritables prouesses… »
Et son labyrinthe est funèbre. Elle y devient un fossile dans un lieu déserté : sa parole. Quelle femme est enfermée là, je ne sais… Kirikou lui chercherait une épine dans le dos !
En basse Normandie c est calva au petit déjeuner, maintenant je soupçonne que ce soit pareil dans la haute
J’arrive de mon cours de Paresse à l’Université du Temps Libre de la Santé-Salpêtrière …. et je tombe sur une Christiane folle de rage contre cet angelot délicieux de Daaphnée ! Où on va, là ? où on va, si les meilleures d’entre nous ont la bave aux lèvres, pour un rien ?
Il est vrai que je ne suis pas jésus mais peu s’en faut.
« Le rat dans son labyrinthe, est capable de véritables prouesses… » (christiane)
Elle joue Jésus que ma joie demeure et c’est divin.
Mais toi pauvre Dedalus, il n’y avait pas de labyrinthe. Faux prisonnier, ta porte était ouverte. Nul garde ne se tenait devant, nul chef des gardes au bout de la galerie, nul Grand Inquisiteur à la petite porte du jardin.
(Je vais laisser le blanc, je vais prendre du Perec)
une adaptation lyrique de « En attendant Godot » de Beckett pour la Scala de Milan
On aurait déchanté.
Merci Popaul !
Je comprends tout
Normandie ?
Calva ! Beaubec ! Eddy Beaucul ! Clopine !
Merci Paul …
Jésus a dessiné des poissons et changé l eau en vin mais savait il lire et écrire? Aucune trace dans les évangiles je crois.
Dans « le Monde des livres » de ce jour, un très élogieux compte-rendu du dernier livre d’Edouard Louis, singé de Raphaëlle Leyris. De quoi conforter Clopine dans son admiration pour l’intéressé.
Les rats du futur auront des puces-labyrinthes numériques greffées dans le cerveau pour se tirer de ces situations soi-disant inextricables.
Les rats du passé continueront à la kalachnikov : des écologistes ?…
@al-bukhari dit: 8 janvier 2016 à 12 h 15 min
Bravo ! Vous n’êtes pas un homme qui dort !
Alors j’ai ouvert mon lit.
J’ai ouvert ce fichu vers 6 h du mat’ et là je viens de finir la violence.
(Faut dire, au bout de cinquante six ans de pratique quotidienne, ce serait dommage s’il en était autrement…)
Je suis encore sous le choc et je vais laisser passer du temps.
Et si je pouvais vous convaincre VOUS, ah là là…
@JC….. dit: 8 janvier 2016 à 12 h 11 min
C’est… tonique !
Jésus savait-il écrire ?
http://www.interbible.org/interBible/decouverte/comprendre/2011/clb_110225.html
T’as beau faire mine de te planquer derrière l’oeuvre,Rouge Brun, c’est l’homme Destouches, indéfendable ordure, qui te fais jubiler et plus encore. (Bloom)
Le cas Céline est sans doute la plus convaincante illustration de la thèse proustienne qui veut que, dans l’oeuvre littéraire, s’exprime un moi radicalement étranger au moi de l’individu engagé dans les activités ordinaires de l’existence. Je ne sais pas si, comme il en existe un dans l’édition Pléiade de la « Comédie humaine », quelqu’un s’est attelé à la tâche d’établir un index des personnages des romans de Céline. Je peux me tromper, mais je crois qu’il n’y aurait pas un seul Juif identifiable en tant que tel dans cet index. L’antisémitisme de Céline est un antisémitisme singulier : étranger à l’oeuvre romanesque, tandis que, dans les pamphlets, il prend des formes rationnellement aberrantes, au point qu’à la parution de « Bagatelles pour un massacre », Gide y avait vu une parodie. Ce qui frappe dans les écrits antisémites en France depuis Drumont, ce sont les efforts de leurs auteurs pour donner une improbable base rationnelle à l’antisémitisme. Chez Céline, c’est le contraire : le pseudo argumentaire antisémite de « Bagatelles pour un massacre « est burlesque; c’est d’ailleurs ce qu’en avaient pensé les responsables allemands de la propagande antisémite en France sous l’occupation.
christiane dit: 8 janvier 2016 à 12 h 01 min
Si la Daaf avait besoin d’une petite laine pour passer les frimas, la voilà avec une chaude pelisse.
Bravo Cricri, t’es meilleure dans le salé que dans le sucré !
Jésus et Moha enfermés pour la dictée de Pivot.
Seul certitude, le premier ne serait pas venu avec des anti-sèches.
Le second…
Chez Céline, c’est le contraire : le pseudo argumentaire antisémite de « Bagatelles pour un massacre « est burlesque; c’est d’ailleurs ce qu’en avaient pensé les responsables allemands de la propagande antisémite en France sous l’occupation. (Brown)
Impossible de confier à ce loustic les clés du camp.
Bravo Cricri, t’es meilleure dans le salé que dans le sucré !
Cricri fait la saucisse.
« le seul mensonge capable de dire la vérité »
S’il n’y en a qu’un halors vaut mieux l’omettre dirait on. Et le passé recule…
Bon, et sinon maintenant quoi ? On plie ? On fait une ronde ?
Hum, heure médiane. Je vais bouquiner.
« Quand le vent souffle du nord
les feuilles mortes
fraternisent au sud »
Buson
Christiane se retire dans son broux noir.
Et Homère, savait-il écrire, Christiane ?
Clopine, dans la mesure où les romans d’Edouard Louis tiennent plus du récit autobiographique que de la fiction, où est le mensonge ?
Je vais bouquiner. (cricri sur toupie)
Saperlipopette, plus forte que Jésus !
Juste avant d’aller affronter le réel, càd une équipe pointue et internationale de baby-foot, dans le grenier d’un chirurgien dentiste malvoyant et combatif, un conseil raisonnable …
Christiane ! Arrêtez de lire … ! ce ne sont que mensonges proférés par des handicapés, tous ces livres : seule l’oralité compte.
c’t’un fait que céline c’étoit pas une bonne recrue pour la race des seigneurs..hon dirait hitler en lederhausène
menguélé est a porc and roll..fais gaffe jicé
Ils disaient cela pour le mettre à l’épreuve, afin d’avoir matière à l’accuser.
Mais Jésus, se baissant, se mit à écrire avec son doigt sur le sol…
Il y a quand même kategraphen en Jean 8, 6 et engraphen en 8,8.
Evidemment, graphein ça peut être inciser, tracer des lignes, etc…
Mais la référence à Jérémie, etc.
Simple métaphore?
« Je ne rencontre sue Fès gens sui lisent Aurélien ou Blanche ou l oubli avec passion »
Aragon est lu au Maroc et Paul Edel a délaissé Rome pour Fez ???
Bon, et sinon maintenant quoi ? On plie ? On fait une ronde ?
arrête de nous faire ta hamiltone aragon srait plus radical
Tous les mêmes niant, les autres aussi.
des signes..il dessinait une bite mexicaine..une grosse
Christiane se retire dans son broux noir
octopoussy
« il dessinait une bite mexicaine »
Hon n’avait pas encore découvert l’Amérique, bouguereau, et tu enseignais l’histoire-géo !?
C’est comment une bite mexicaine ?
Ça pique ou ça porte oune sombrero ?
Hon n’avait pas encore découvert l’Amérique
..bien une réflexion de mécréant positiviss
Fascinant Édouard louis chez busnel,il n ose pas parler de l’aspect sexuel de sa nuit
.il parle de coup de foudre avec quelqu’un qui fait le trottoir et c est busnel qui lui fait dire le mot viol, on est en plein gala avec un jeune écrivain célèbre à 24 ans qui se fait violer voler et étrangler tout ceci devient médiatiquement intéressant
« mexican dick » dédé..c’est celle du redneck..la « sale »..bref pas celle de jésus
octopoussy
On choisit ses amis, les tiens t’on dit feu ?
Avec « yapalfeu » on fait aussi des tondus faut admettre.
L’évangile selon saint Bouguereau !
http://www.pornodingue.com/videos/ecoliere-mexicaine-attendant-pour-sa-bite/
« Avec Aragon, une question de distance », titre Passou, juste sous la photo où le poète se fait mettre la main au cul !
De quelle longueur la distance ?
« tout ceci devient médiatiquement intéressant »
Chez « j’adore! » on dit Fahrenheit…
Sallah Ali, terroriste âgé de 20 ans, tué hier à Barbès, était un clandestin déjà condamné au pénal et « enjoint de quitter le territoire français ».
Cherchez l’erreur.
D. dit: 8 janvier 2016 à 13 h 44 min
Sallah Ali, « enjoint de quitter le territoire français ». Cherchez l’erreur.
Ce n’est pas de l’erreur mais de la civilisation.
Chez nous, on est « courtoisement enjoint de quitter les lieux ».
Et sur la passerelle, « Bon eh bien… bonne continuation! »
Autant le premier livre d’Edouard Louis était intéressant, autant le dernier semble « racoleur », on finit par se demander qui « faisait le trottoir ». Le livre autobiographique a ses limites, le lecteur peut avoir l’impression de faire du voyeurisme, surtout dans ce contexte, ce qui n’est pas le cas lorsque le livre se présente sous forme de roman, même si l’on devine que l’histoire est autobiographique. Mais il est évident qu’Eddy a réussi son coup médiatique.
Les millions de visiteurs de la Wikipedia apprennent au moins quelque chose de la culture française.
C’t’une richesse.
Now, the interracial blending of some native French and newcomers stands as a vibrant and boasted feature of French culture, from popular music to movies and literature.
Therefore, alongside mixing of populations, exists also a cultural blending (le métissage culturel) that is present in France. It may be compared to the traditional US conception of the melting-pot.
The French culture might have been already blended in from other races and ethnicities, in cases of some biographical research on the possibility of African ancestry on a small number of famous French citizens. Author Alexandre Dumas, père possessed one-fifth black Haitian descent, and Empress Josephine Napoleon who was born and raised in the French West Indies from a plantation estate family. We can mention as well, the most famous French-Canadian singer Celine Dion whose grandmother was a North African from Kabylie.
Pour Wiki et le global village qui la lit, la France c’est une petite Amérique qui n’a pas encore complètement réussi.
Races and ethnicities…
Crénom, il serait temps de passer en revue tous nos quarterons pour obtenir leur respect.
Dans un dîner, mentionner le Chevalier de Saint Georges, ça permet de finir son plat tranquillement (« a black Mozart? »).
un jeune écrivain célèbre à 24 ans qui se fait violer voler et étrangler
Mince alors, plus fort que Christine Angot !
“A côté des vrais grands hommes existent ceux qui croient l’être, innombrables, perchés à chaque étage de l’échelle des grandeurs.”
Citation de François Mitterrand, en cette journée de souvenir.
l’homme Destouches, indéfendable ordure (Bloom)
C’est parce qu’il est Juif que Bloom s’accroche à cette dérisoire caricature de Céline. Je le comprends parfaitement : il n’y a aucune raison de faire preuve d’indulgence à l’égard d’un individu qui s’est attaqué avec haine et constance à votre communauté et qu’on juge collectivement (quoiqu’indirectement) responsable de l’assassinat de millions de personnes. Cette attitude fut naguère bien représentée par les témoignages de quelques lecteurs juifs de Céline dans un numéro spécial des Cahiers de l’Herne. Mais moi qui ne suis pas Juif et qui suis, par ailleurs, et depuis l’âge de dix-sept ans, un admirateur inconditionnel et fervent du génie romanesque de l’intéressé (pour moi le plus grand romancier français du XXe siècle avec Proust), je n’ai aucune raison de me laisser emporter par cet excès de haine sans nuance. J’ai lu avec un très vif intérêt les bios de Céline par Frédéric Vitoux et, plus récemment, par Henri Godard ; le moins qu’on puisse dire, c’est que l’image de Céline/Destouches qui en ressort n’est pas celle d’un misérable salopard tous azimuts. La vie et la personnalité de Céline telle que les décrivent ses biographes les plus autorisés ressemblent au fond à la vie de tout un chacun, pour peu qu’on soit attentif aux détails : un patchwork, particulièrement fascinant, complexe et coloré dans le cas de Céline. L’antisémitisme est une pièce de ce patchwork, non négligeable certes, mais seulement une pièce.
« L’antisémitisme est une pièce de ce patchwork, non négligeable certes, mais seulement une pièce. »
L’antisémitisme n’est évidemment pas une « pièce » comme les autres. C’est la faute imprescriptible.
WGG qui se prend pour un petit jésus?
Même pas une grosse andouille de Lyon!
La photo de passou est explicite.
Aragon, la main droite au mégaphone, la main gauche dans la culotte du zouave d’ à côté. Et il jouit, le bougre!
12 h 19 min »
» changé l eau en vin »
Et complètement bourré , titubant et hoquetant,il voulut faire croire aux badauds que c’était son sang et qu’ils devaient en boire – il espérait qu’ils allaient le croire
mais ferme donc ta sale gueule de raclure keupu
L’antisémitisme n’est évidemment pas une « pièce » comme les autres. C’est la faute imprescriptible. (Jem)
Pour beaucoup de Juifs, sûrement. Mais chez les non-Juifs, ce genre d’anathème à consonance religieuse se rencontre beaucoup moins souvent.
(« a black Mozart? »)
celui là c’est qu’une demi pièce..
C’est la faute imprescriptible.
pour un bien y manque des majuscules ici et là et un authentique..et peut ête même un transcendental
bouguereau dit: 8 janvier 2016 à 15 h 13 min
« mais ferme donc ta sale gueule de raclure keupu »
Tiens, un échappé de l’asile !
le boug toujours aussi con !
Mais chez les non-Juifs, ce genre d’anathème à consonance religieuse se rencontre beaucoup moins souvent.
plaider la cause ha l’henvers de kabloom fra jamais qu’une catégorie en plus à ajouter au boutonneux et au rombière à l' »illusion littéraire »..
christiane dit: 8 janvier 2016 à 12 h 01 min
« …un regard dénué de toute émotion… un appétit de violence de perversité insatiable »
le plus triste c’est qu’ elle n’est pas stupide
« Seul « U » agit sur elle comme une espèce
de calmant, un antidote. »
Il est pareil (pervers etc) en jésuite lourd un peu c.nc.n
« aimer céline » pour kabloom c’est comme avoir des envie imprescriptibe a sfaire casser l’pot en aimant proust..et toi jean marron t’aimes les 2..t’en fais une sacrée pièce
Je le répète encore et très serieusement :
Très peu de choses ont été faites en un an.
Il est indispensable de contrôler systématiquement les frontières de la France, quitte à ce que cela ait un impact sur l’économie. Des milliards auraient déjà du être investis là-dedans. Des scanners de véhicules auraient du être achetés par dizaines, des milliers d’emplois auraient du être créés pour le contrôle des frontières.
La conscription aurait dû être restaurée, les populations volontaires mobilisées pour la surveillance, le contrôle et la défense, formées et dotées de réserves d’armement potentiellement utilisables.
Ce sont des milliers de personnes qui auraient dû être reconduites dans leur pays d’origine.
Un plan de mobilisation à plusieurs niveau aurait du être organisé.
Je vous le dis sérieusement : nous allons droit vers une catastrophe en continuant comme cela. Tous les experts en terrorisme vous confirmeront ce que je viens d’écrire.
La menace est extrêmement importante et l’endormissement actuel, le défaut d’action, d’initiative et d’exploitation de l’énorme potentiel offert par les populations est une faute majeure.
Non mais surtout fait pas trop chauffer ta Mastercard Zoon.
Alors, cet article richement documenté – Celine Dion, rien que cela .. – sur Wikiki, sait-on quel en est l’illustre auteur ?
Non ?
Comme c’est dommage .
On aurait pu lui envoyer la série des 130 portraits diffusée par Le Monde des victimes des attentats du 13 novembre , avec les noms et nationalités.
Assortie d’une légende:
Ceci n’est pas un melting-pot, c’est la France .
et toi jean marron t’aimes les 2..t’en fais une sacrée pièce (bouguereau)
C’est vrai, mon admiration pour les deux est inconditionnelle; c’est pourtant le jour et la nuit; tout ou presque les oppose; les sarcasmes de Céline contre Proust me font rigoler mais je les trouve ridicules et à côté de la question; les cris de haine de Bloom contre Destouches m’amusent. Devant le génie d’un artiste, quelles qu’aient été les turpitudes de l’homme, on rend les armes. Gesualdo avait assassiné sa femme, mais il a composé des madrigaux sublimes. Vigny était un mouchard de la police de Napoléon III, mais il a écrit « La mort du loup ».
Philippe Forest c’est le mec qui monte, alors ? Ma pauve Clopine on est encore doublé ! On est de la revue comme disait Boby Lapointe…
« Seul « U » agit sur elle comme une espèce
de calmant, un antidote. »
Il est pareil (pervers etc) en jésuite lourd un peu c.nc.n
Oh, super !
Avec ça, U., on va se faire la méga sieste crapuleuse de l’année !
Avec 1 règle du jeu,
plein de trucs hyper pervers et plein de mots hyper crados ..
.
Oups, j’oubliais !
Même des trucs c.nc.n à souhait .
Si c’est pas génial, ça !
D 15h32
les migrants boudent la France
http://fanzine.hautetfort.com/media/01/01/732936562.2.jpg
« on rend les armes »
et on tape son petit fichier robots.txt
La critique du Monde n’est pas ici littéraire. Elle est pure adhésion à l’univers politique d’Edouard Louis. En ce sens, elle est en effet clopinienne :
« Cette intrication des narrations correspond à celle des logiques de domination (ici le catalogue:) « racisme, mépris de classe, homophobie, misogynie
« que EL, admirateur de Pierre Bourdieu, dissèque en confrontant les registres de langue » (!) ça fait un peu thèse, mais bon.
Conclusion: ce n’est pas la langue, ce n’ est pas le vécu ,vrai ou faux , ce n’est pas la prouesse littéraire qui est jaugée, éventuelles citations du texte à l’appui, c’est l’orientation politique. « Que nul n’entre ici s’il n’est bourdieusien. »
A propos du précédent opus, un écrivain disait qu' »une bonne histoire vécue bien sanglante était toujours bien accueillie, spécialement au moment des prix. » Vu les accusations de mensonge bien étayées après la parution du Bellegueule, on devrait ici etre plus prudent.
La thuriféraire du Monde aussi, qui écrit « c’est alors que la nuit bascule, Reda frappe et insulte celui qu’il tenait plus tot dans ses bras, (pahétique, non?) le viole, et l’étrangle. »
Un étranglé qui porte plainte? C’est le moment de dire, comme dans le Menteur de Corneille, un grand normand, celui-là:
« Les gens que vous tuez se portent assez bien! »
MC
mais je les trouve ridicules et à côté de la question
..ils n’ont pas non plus d’autres prétentions que le bon mot, quand céline dit qu’il n’est pas un homme à idée c’est qu’il s’en défi vraiment, quand une vaguement se profile il s’empresse de la nier et de lui cracher à la face comme les myards de christ de giordano..et cqui est marrant dailleurs c’est qu’elle n’apparait au lecteur qu’a ce moment là, encalcifée, cul de jatte.. »détruite »..c’est une vie infinie de fausse couche et d’avorton ballé aux chiottes..et faut rconnaite que la nature a un sens plastique infini dans cette manière là..elle ne se respecte que pasqu’elle se renouvelle sans cesse..elle a tout ltemps dvant elle..pas céline..elle lui roule même sur la gueule
robots.tkt halors…
Si « l’esprit Charlie » n’était que du vent ! Mais il est pernicieux : il focalise la problématique sur la liberté d’expression, fait croire à une capacité illusoire de lutte et d’organisation spontanée par l’idée et lexpression, prétend aller au delà de la peur par une seule attitude rebelle, exacerbe le sentimentalisme et le souvenir au détriment de l’action de défense civile coordonnée professionnellement.
Or la peur est légitime. Seuls les fous n’ont pas peur.
La peur se surmonte, et cela s’appelle le courage, non pas par des postures mais par des actions, des décisions, par un combat véritable, organisé legalement, militairement et méthodiquement, ou pas un millimètre n’est laissé au hasard, ou pas une ressource n’est gâchée. Nous sommes en guerre.
L’étrangler, ça veut dire : il lui serre le ziguigui.
« Mais chez les non-Juifs, ce genre d’anathème à consonance religieuse se rencontre beaucoup moins souvent. »
Je ne pense pas qu’il s’agisse d’ « anathème à consonance religieuse », mais avant tout d’une réalité politique née de l’après-guerre, qui perdure jusqu’à aujourd’hui et qui est d’une portée universelle. La décision que vient de rendre le Conseil constitutionnel contre les négationnistes en est une preuve claire et évidente supplémentaire.
Daaphnée dit: 8 janvier 2016 à 15 h 59 min
plein de mots hyper crados ..
Non non non non le divin marquis i faisait pas ça faut faire comme ceux qui savent…
Une critique du Monde parue dans Le Monde des Livres est forcément littéraire…!!!
Mais bon, tellement de nullités qu’on passe au scanner dans ce canard pourri.
Passer de la tendresse à la tentative de meurtre, ça ne me paraît nullement pathétique. Ça s’appelle un tragique retournement de situation, mes pauvres petits chéris…
C’est comme la poule au pot, un migrant un téléphone…
Il y avait un D. très fort en karaté et endives au jambon .
Ce ne doit pas être lui, en-dessous .
MC à 16:10, ce sont ceux qui n’ont pas lu le livre (et ne le liront pas) qui en parle le plus
Paul edel dit: 8 janvier 2016 à 13 h 21 min
« Fascinant Édouard louis chez busnel,il n ose pas parler de l’aspect sexuel de sa nuit »
Le « critique » bourgeois est frustré. Rien de croustillant, de scabreux, pas de confession intime avec détails séminaux, pas de témoignage vénérien canaille.
« Ralliez-vous à mes bérets INA ». M’en vais méditer sur la légèretè des 2CV tiens.
L’étrangler, ça veut dire : il lui serre le ziguigui.
Le « ziguigui » !
C’est là qu’on voit que notre Wiwi maîtrise fort mal les registres de langue .
Aucun sens de la plasticité de la chose .
Pff !
Paul edel dit: 8 janvier 2016 à 13 h 21 min
« … on est en plein gala avec un jeune écrivain célèbre à 24 ans qui se fait violer voler et étrangler tout ceci devient médiatiquement intéressant »
Sauf que le « violé, volé, étranglé » ne joue pas le jeu. Bisque ! bisque ! rage !
La peur se surmonte, et cela s’appelle le courage
bon dédé..cabu est au trou..lui il a pus peur c’est ça qutu veux dire..les morts c’est toujours des laches
Le « critique » bourgeois est frustré. Rien de croustillant, de scabreux, pas de confession intime avec détails séminaux, pas de témoignage vénérien canaille
polo a pas faux..y’a un peu dla carambouille au populo « elle mange le fer et l’acier c’est pour ça qu’on l’a mis dans une cage en osier »
@jem
Résumons : pour les non-juifs, dont je suis, les Juifs sont une communauté qui a souffert, un peu plus que les autres…. si on veut bien oublier des tapées de morts non comptabilisé « affectivement », mais une communauté COMME LES AUTRES.
Faut pas pousser mémé dans les orties tout de même, en parlant de souffrance universelle… ils ne sont pas les seuls à être en droit de se plaindre (cf communismes divers, maoisme, afrique…)
Une communauté, comme les autres.
Mais si, ma chère Daaphnée, c’est le même, seulement il sait être sérieux quand ça en vaut la peine et la France en vaut la peine et la France n’est pas Charlie, comme on a essayé de nous le mentir.
les cris de haine de Bloom contre Destouches
—
Surtout du mépris, du mépris par dessus tout, un mépris profond, insondable, incommensurable, pour la crapule antisémite parcourue de spasmes délirants.
» …à l’Institut allemand, rue Saint-Dominique…Céline, grand, osseux, robuste, un peu lourdaud, mais alerte dans la discussion ou plutôt le monologue (…) Il y a chez lui, ce regard des maniaques, tourné en dedans, qui brille comme au fond d’un trou. (…)
J’ai appris quelque chose à l’écouter parler ainsi deux heures durant, car il exprimait la monstrueuse puissance du nihilisme (…) »
Paris, 7 décembre 1941
Ernst Jünger, Premier journal parisien, p. 255
Rouge-Brun, insignifiance brouillonne, va pas te jucher sur les épaules du mauvais géant pour vainement tenter d’exister. Tu fais pitié.
Eddy Beaucul écrit sa vie d’enculeh.
On n’est pas obligé de le lire sa merbe.
L’étrangler, ça veut dire : il lui serre le ziguigui
on jouit plus biroute de dracul..par exempe clopine elle prends une grosse corde à l’étabe qui sent bon le suif et elle lui serre le kiki a son julot au moment du climasque..pas trop faut faire gaffe..
lui y fait pareil avec ses mains calleuse..jla connais moi la picardie..et les picardes..toute des filles à néron
@paul edel et autres barbons de la même eau
Relevé dans L’Obs (horresco referens) : « Chaque page de ce brouillon donnerait motif de le brûler », lit-on dans une descente d’une brutalité irréelle publiée par « le Magazine littéraire » avant même la mise en piles d' »Histoire de la violence ». Le plus bel hommage involontaire pour un livre dont les phrases consument. Aude Lancelin
Le dernier projet de Pierre Boulez à la veille de sa mort : une adaptation lyrique de « En attendant Godot » de Beckett pour la Scala de Milan
—
Boulez + Beckett = Boulett..?
Ca en fera une de moins.
Toujours ça de pris.
Eddy Beaucul écrit sa vie d’enculeh.
On n’est pas obligé de le lire sa merbe.
le deal polo a pas faux c’est de laissez croire que sa vie d’enculeh est plus enculeh qula tienne..plus ou moins ça hoblige..la noblesse elle vient dla qu’est ce tu crois
Bloom s’énerve lorsqu’on parle de Céline ? Parlons lui de Margaret Thatcher, ça le détendra….
Bougboug,
J’men doutais que la Clopine elle avait le gout de syndrome pénien du pendu…. uhuhu !
Toujours ça de pris.
c’est comme godot..reuzment qu’on l’voit pas..non mais tut t’rends compte il déboule sur scène.. »scuzez les gars..j’étais en retard jme suis fais enculeh et étrnaglé par mon amour »..polo a pas faux que jdis..le bourgeois a bon dos
Comptons sur Virgine Despentes pour défriser ces notaires calamistrés des lettres.
syndrome pénien du pendu
—
L’amant Dragor.
Rappel : la boutique de JC
« Au petit porc queue rot laid » ferme à 18 heures mais ya plus personne depuis longtemps
les cris de haine de Bloom contre Destouches
–
Surtout du mépris, du mépris par dessus tout, un mépris profond, insondable, incommensurable, pour la crapule antisémite parcourue de spasmes délirants. (Bloom)
Tant pis pour Bloom. Il n’aura pas connu les heures de lecture jubilatoire que Céline nous aura fait connaître, à moi et à tant d’autres. Quant à l’antisémitisme de Louis-Ferdinand Destouches, j’avoue que je m’en fous. Si j’ai lu en entier « Bagatelles pour un massacre » (livre qui ne doit pas être réduit à ses imprécations antisémites), les autres pamphlets, je l’avoue, me sont tombés des mains. Mais pas « Casse-pipe » ni « Guignol’s band » ni « D’un château l’autre » ni « Mort à crédit », ah ça non. Rappelons aussi à Bloom Bloom Trallalla que les romans de Céline connaissent depuis longtemps les honneurs de la Pléiade. Vive Céline, grand écrivain vrrounnzé !
« un livre dont les phrases consument »….Ou un très honnete allume-feu pour l’hiver?
Le gros Goncourt annuel se révèle le livre le plus revendu sur le net. Allez savoir pourquoi…
MC
Aragon réclame, inquiet, à la foule estudiantine une assistance conjoncturelle :
– Camarades ! l’un de vous pourrait il me dépanner d’une lingette ? ce grand c.ouillon jouisseur, tireur de langue, m’a déchargé dans la pogne gauche ! Vive la révolution prolétarienne propre !….
Importante décision du Conseil constitutionnel, surtout pas les temps qui courent :
« Le Conseil constitutionnel a validé la loi réprimant la contestation des crimes contre l’humanité commis pendant la Seconde Guerre mondiale, dans une décision publiée vendredi sur son site internet. Saisi d’une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) du négationniste Vincent Reynouard, qui estimait que la loi impliquait une discrimination injustifiée entre les victimes et une atteinte aux libertés d’expression et d’opinion, le Conseil constitutionnel a écarté ces deux griefs. Introduit par la loi Gayssot du 13 juillet 1990, l’article 24 bis de la loi sur la presse fait référence aux crimes contre l’humanité définis par le statut du tribunal militaire international de Nuremberg, visant ainsi la Shoah. » Le Point
Pourquoi diable vouloir que les non-juifs soient moins sensibles aux poussées de haine céliniennes ? D’autant que selon l’école Drumont, tous ceux qui lui déplaisent, meme Mauriac ,sont des figures du Juif? De ce point de vue, le Procès Rouquès, du nom d’un médecin qui n’était pas juif, s’est tout de meme soldé par la condamnation du tandem Céline Denoël, et par le retrait de quelques pages abjectes, trop peu, hélas.
MC
A propos de Céline, je suis plus Bloom que Zoon
jem dit: 8 janvier 2016 à 17 h 30 min
« Importante décision du Conseil constitutionnel, surtout pas les temps qui courent »
Seuls les gros c.ons peuvent se réjouir de cette décision digne de ce tueur d’opinion : Gayssot
JC….. dit: 8 janvier 2016 à 17 h 29 min
« Aragon réclame, inquiet, à la foule estudiantine une assistance conjoncturelle »
Mais non, et ça a déjà été dit ici: il était hué par les étudiants c’était place de la Sorbonne en mai 68 ils sont en train de se fiche de sa tronche épicétout
17:27, pouvez-vous nous donner la liste complète de vos publications ?
tous ceux qui lui déplaisent, meme Mauriac ,sont des figures du Juif? De ce point de vue, le Procès Rouquès, du nom d’un médecin qui n’était pas juif, s’est tout de meme soldé par la condamnation du tandem Céline Denoël, et par le retrait de quelques pages abjectes, trop peu, hélas. (MC)
Deux exemples du caractère délirant de l’antisémitisme célinien. Céline voyait des Juifs partout et peut-être que, dans le secret de son coeur, il se sentait lui-même un peu Juif. C’est dommage que, de son vivant, personne n’ait songé à l’invectiver en l’accusant de l’être. On imagine la tête qu’il aurait faite, le procès qui s’en serait suivi et les arguments qu’il aurait sortis pour prouver qu’il ne l’était pas. Les gens manquent vraiment d’imagination.
M’est avis que votre 17h 36 ne va pas rester longtempsx JC…
Radioscopie si mon age vous gêne oubliez le ,et j oublierai votre muflerie!lisons le texte car il n y a pas de mauvais thèmes ni de mauvais sujets de roman. angot en est l exemple!
ce qui m intéresse dans le texte d Édouard Louis c est le dispositif du recit et le role qui selon les critiques est donné à la sœur du narrateur ,c est peut etre tres faulknerien…
André Courrèges, 92 ans, vient de mourir. Avec lui, meurt une certaine idée de l’élégance, idée qui ira loin, et pas nécessairement dans la bonne direction. Mademoiselle Chanel ne dirait point le contraire.
Zoon dit: 8 janvier 2016 à 17 h 25 min
Vive Céline, grand écrivain vrrounnzé !
Il aurait dû s’échapper en ballon comme Gambetta, tiens… Le ballon à Courtial, et dans la nacelle, le matos à Sosthène !
Le ballon à Courtial (Sergio)
Courtial des Pereires, l’inventeur génial ! Bloom ne sait pas ce qu’il a raté.
« surtout pas les temps qui courent »
un contexte t’aurais mal mis dehors
Courtial des Pereires, l’inventeur génial ! Bloom ne sait pas ce qu’il a raté.
Tu me diras que de mon côté, je suis bien passé à côté de la Torah. Chacun ses lacunes.
Paul edel dit: 8 janvier 2016 à 18 h 01 min
Qui vous parle de « votre âge » ? C’est vous qui faites une fixation sur les « 24ans » de l’auteur. Pour le reste, rassuré de constater que vous avez mis de l’eau dans votre… vinaigre.
Après avoir fait part de son indignation alors que l’affaire commençait à prendre de l’ampleur, la chancelière Angela Merkel a jugé que les incidents du Nouvel An posaient de « très sérieuses questions qui vont au-delà de Cologne ». Ces incidents sont-ils liés à « des modèles de comportement collectifs » particuliers ? « Y-a-t-il quelque chose de l’ordre de la misogynie ? », s’est interrogée Mme Merkel.
Ha ha ha ha…..
Zoon dit: 8 janvier 2016 à 18 h 54 min
ne sait pas ce qu’il a raté.
Faut être quand même circonspect, passeque sa femme, à Courtial, quelle canule ! Et des visites domiciliaires au boulot, et confisquer toute l’oseille, empêcher de jouer aux courses… La fin des haricots !
Contresens : je suis positivement à genoux devant l’oeuvre de Marcel Proust, mais ce n’est pas pour cela que l’homme qu’il était m’éblouit, au contraire. Il n’était pas très aimable, je trouve, le Marcel qui ne supporte pas que son frère lui vole la vedette le jour de son mariage (!), ni celui qui « répare » quelques actes pédophiles en arrosant les parents d’argent, ni celui qui fréquentait les maisons closes, ni celui qui, dans la Recherche même, mélange allègrement dreyfusisme et propos antisémites (ainsi, la maladie de peau de Swann serait due à ses « origines hébraïques » !?!, etc.
N’empêche que littérairement parlant, c’était un génie, qu’il avait un tel sens aigu de la psychologie que la moindre de ses phrases vous dévoile plus que des bouquins entiers chez d’autres, que sa position au monde était d’une infinie finesse désabusée et si malheureusement humaine, et qu’il est mort sous son oeuvre, comme une bête de somme (lui qui était prince de l’insomnie, ahaha)…
Quant au livre d’Edouard Louis, il est supérieur au premier de bien des façons – Et curieusement, je pense à Truman Capote pour définir une possible « lignée littéraire », mais en fait, je crois que Louis vient d’en créer une nouvelle, mais rendez-vous sur mon blog demain ( si cela vous intéresse, bien sûr. Si c’est juste le côté scandaleux ou vos pulsions homophobes qui vous animent, passez votre chemin…)
Telerama, dans sa grande bonté, nous offre les premières pages du dernier livre d’Edouard…
« Je suis caché de l’autre côté de la porte, je l’écoute, elle dit que quelques heures après ce que la copie de la plainte que je garde pliée en quatre dans un tiroir appelle la tentative d’homicide, et que je continue d’appeler comme ça, faute d’autre mot, parce qu’il n’y a pas de terme plus approprié à ce qui est arrivé et qu’à cause de ça je traîne la sensation pénible et désagréable qu’aussitôt énoncée, par moi ou n’importe qui d’autre, mon histoire est falsifiée, je suis sorti de chez moi et j’ai descendu l’escalier »
Ce qui surtout me trouble, c’est le grand nombre de « que » disséminés dans ce texte.
Clopine est tombée sur la crête!!!
c’est le grand nombre de « que » disséminés dans ce texte
c’est subliminal..vraiment t’y connais qudale en critique
mais en fait, je crois que Louis vient d’en créer une nouvelle, mais rendez-vous sur mon blog demain
hum..
Ha ha ha ha…..
z le modi
Clopine, votre premier articulet est déjà un poème.
les arguments qu’il aurait sortis pour prouver qu’il ne l’était pas
trop bien
Il y a chez lui, ce regard des maniaques, tourné en dedans, qui brille comme au fond d’un trou
jalousie d’arien pour les noeils bleue
Tu me diras que de mon côté, je suis bien passé à côté de la Torah. Chacun ses lacunes.
c’est la reum qui compte jean marron..la littérature c’t’un truc pour boutonneux et rombière
Il y a chez Clopine la naïveté de l’incompétente qui jette à un naufragé du monde une enclume en guise de life jacket !
L’enclumé coulera …. Eclats de rire dans la salle…
De nota, je me suis enfin autorisée à lire l’article de Fabienne Pascaud ; quelqu’un ici a dit qu’elle était « perplexe » ; je ne suis pas d’accord : elle essaie surtout d’être honnête, ce qui l’amène, comme moi, à écarter définitivement toute accusation de « racolage » : il s’agit ici de toute autre chose. (ou alors, disons carrément que « de sang-froid » est un livre racoleur façon ta mère la pute !)
Fabienne Pascaud a bien vu la force inouïe de cette écriture-là. Comment une oeuvre construire de façon si complexe, jouant sans arrêt entre types de langage différents, changeant perpétuellement de registre (au sens musical du terme), peut-elle être à la fois si limpide et accessible qu’en trois heures, voici la lecture finie ? Cette apparente facilité, qui existait déjà dans le premier, a forcément à voir avec cette sorte de « sincérité » de celui qui se met à nu (devant ses célibataires même). I y a effectivement comme un effet démultiplié du « nu descendant un escalier », dans cette oeuvre-là.
» J’ai pensé à Truman Capote » (Bibine)
Je me demande si invoquer Truman n’est pas ici de trop…
« Ce qui me frappe c’est le grand nombre de que »
(De Nota)
Ne dit-on pas que la fonction crée l’organe?!
Clopine, définitivement un cas à part… dit: 8 janvier 2016 à 19 h 12 min
je suis positivement à genoux devant l’oeuvre
C’est insuffisant.
Homme à principe comme Bloom mais ayant su anticiper à temps les effets de la devotio moderna qui nous vient du Sud, j’exige désormais que les mains soient solidement posées à terre et que les culs soient par conséquent largement ouverts.
Si vous voulez, c’est une question de cohérence logique ou, pour prendre un raccourci, d’honnêteté.
Le discours d’Angela vous a aussi amusé?
Vive Céline, grand écrivain vrrounnzé !
il peut le dire
https://www.youtube.com/watch?v=TvsTWIOJf4o
Mes amis Bloom et Brown, sachons poser un instant de côté les vieilles dentelles de l’antisémitisme (sans jamais les ignorer, nom de dieu), pour goûter en commun l’arsenic passionnant qui nous est à présent proposé.
On pourrait appeler ça mithridatisation, si ce n’était un chouia capitulard.
Bon-européen, j’entend vivre jusqu’au bout le déroulement de la tragi-comédie annoncée!
J’entends jouir de chacun de ses épisodes et en prendre note, jour après jour, parce que c’est trop bon!
Ce n’est pas parce que vous avez l’impression qu’on suit à la lettre ce que vous avez prévu (vanitas vanitatis) qu’il faut rechigner devant l’originalité des petites adaptations locales: elles sont nombreuses.
« Croire en l’homme », « croire dans la résilience démocratique »…
Je compte sur mon expérience pour que le rire l’emporte toujours sur les larmes.
Vieilles dentelles?…, je sais que vous allez faire la grimace.
Disons éternelles dentelles si vous vous sentez mieux, ravivées ou ravaudées par le fatum islamicum (sed more moderno!) avant que celui-ci ne passe la main à un autre.
« la plus belle bande dessinée de tous les temps est l’œuvre d’une femme »
Soeur Emmanuelle de ce jour.
Ueda, à la décharge de notre ami Bloomy, je dois avouer être resté pendant des années incapable de lire une ligne de Céline, après la lecture du maître-livre de Philippe Alméras, « Les Idées de Céline » (Berg International, 1992). Mais un beau jour un de mes amis me dit qu’il est en train de relire Mort à Crédit et que c’est vraiment génial. Je réponds: »je ne peux plus », mais le soir même je ré-ouvre le livre et je le relis en deux jours. Et en effet, c’est génial. On n’y peut rien, c’est ainsi.
Poète!
Vos papiers!
Ces policiers sont admirables, ils sont la conscience de notre vieille Europe.
Hélas, nous les verrons un jour confrontés à d’abominables milices, auxquelles ils sauront résister (je dis ça je dis rien).
Soyons sérieux.
Avez vous remarqué combien la grande-petite chancelière est sophistiquée pour ce qui est de l’est, et bécassine pour ce qui est du sud?
Etre d’une culture politique à la fois post-totalitaire et post-coloniale, c’est rare.
Eine Woche nach den Überfällen in Köln sind neue, politisch brisante Berichte und Zeugenaussagen aus der Silvesternacht öffentlich geworden – und sie werfen möglicherweise ein schlechtes Licht auf die Kölner Polizeiführung. Sie muss sich des Vorwurfs erwehren, falsch informiert zu haben. So sagte ein Bereitschaftspolizist, der in der Nacht Dienst hatte, gegenüber ZEIT ONLINE, es seien seiner Einschätzung nach etwa 70 Menschen kontrolliert worden. « Kaum eine der kontrollierten Personen konnte sich auf Deutsch verständigen. Die Mehrheit dieser 70 konnte sich nur mit einem Papier vom Bundesamt für Migration und Flüchtlinge ausweisen. Darunter waren viele Nordafrikaner beziehungsweise Araber, auch Syrer », sagte der Polizist.
Wie belastbar diese Beobachtungen sind, ist noch unklar. Auch sind solche Papiere der Aussagekraft eines Ausweises nicht gleichzusetzen. Der Bereitschaftspolizist sagte weiter, die Beamten hätten in der Nacht viele Menschen kontrolliert, ohne dass dabei eine Straftat beobachtet wurde.
Die Namen seien von den Beamten an die Einsatzleitstelle weitergegeben worden. « Dort wird überprüft, ob gegen die entsprechende Person etwas vorliegt. Wenn das nicht der Fall ist, und wir keinen konkreten Verdacht einer Straftat haben, müssen wir die Person laufen lassen. » Auf der Einsatzleitstelle werde der Name aus datenschutzrechtlichen Gründen wieder gelöscht.
L’ours de Berlin à Poutine et qu’on n’en parle plus. Euh de quoi? Rien…
Ruge Brun, j’ai lu Céline, ai adoré le Voyage et Death on The Instalment Plan. D’un Chateau l’autre & le Pont de Londres m’ont paru nettement inférieur.
Je ne savais pas que Bagatelles était dans la Pléïade. Une autre crapule animée par le seul ressentiment, Gobineau aussi est dans la Pléïade. Ca prouve quoi? Qu’il y a toutes sortes dieux dans le Temple du Conformisme à la française.
L’écrivain Céline avait du talent, voire parfois du génie. Mais l’homme est une infection qui a mis sa plume et sa voix au service de l’abjection. Parles-en à Lucette, qui sait de quoi il retourne. Elle repousse sa mort pour pas que la décharge de Bagatelles se trouve en devanture du peu de librairies qui restent.
Elle a tort: dans moins 20 ans, Céline aura rejoint Henri Bordeaux &
Marcel Jouhandeau au rayon vieilleries racornies. Le Destoucher rectal a de moins en moins d’adeptes, malgré les efforts louables de Gode (comme ses doctorants appellent familièrement Henri Godard) pour le rendre indolore. Le parler popu fabriquévdu toubib à putes ne passe plus la rampe, sauf chez les morts des années à venir. Du Gobineau en devenir.
Céline? C’est la fille du patron d’HUGO-FRET? C’est ça?
al-bukhari 8 janvier 2016 à 20 h 53 min / 2 1 h 25 min
on attend que vous l’éclairiez de vos con seils, bien sapé comme vous êtes
A propos de l’angoisse d’Edouard Louis lors de l’émission « La grande librairie » (que je viens de regarder) où il est fuyant, mutique. Souriant seulement quand quelqu’un sur le plateau le nomme « écrivain », et écrivain qui certainement écrira d’autres livres, je pense à ces paroles de Bernard Frank dont les livres sont essentiellement autobiographiques pour lesquels on a parlé de mystification, de mythomanie.
« Pourquoi l’écrivain a-t-il si peur qu’on l’accuse de s’être raconté et, à un moindre degré, de s’être servi de personnes vivantes pour composer ses héros ? Il semble que c’est le contraire qui devrait se produire et que l’écrivain aurait toutes les raisons de craindre qu’on le soupçonne d’avoir créé des personnages inexistants trop littéraires, plutôt que d’avoir utilisé la réalité. Mais où les choses s’embrouillent, c’est que l’écrivain se voit le plus souvent accusé des deux crimes : il n’a fait que se raconter et, d’autre part, son roman est atrocement littéraire, ses personnages inexistants. »
(La Panoplie littéraire – livre qu’il écrivit à 29 ans et qui fut publié chez Julliard en 1958.)
Auteur de livres où il décrit le devenir médiatique, voire publicitaire de la littérature :
« Pourquoi la réalité d’un livre détruirait-elle la saveur d’un commentaire, et son absence la créerait-elle ? Quelle est cette loi littéraire, qui donne tort au labeur, à la probité, et encourage la mythomanie, le canular, l’inachevé ? »
Enfin, bon ! on peut écrire des romans ou autres amusements, pour soi, pour se faire plaisir, pour distraire les amis, les proches… c’est compréhensible.
Mais franchement, il faut avoir une sacrée dose d’orgueil, et se réaliser nulle part ailleurs, pour courir après un éditeur et des lecteurs… !
Quelle solitude, quelle étrange activité qui prendrait tout le temps, quel esclavage et, je le répète qu’elle solitude orgueilleuse … ! Ecrire pour être LU …. !
@JC….. dit: 9 janvier 2016 à 10 h 57 min
Plein de bon sens, JC !
Je ne faisais que reprendre les choix que j’avais fait en ce qui me concerne : étudier, jouer de la musique, éduquer les mômes, bosser, manager les compétences, faire du sport, écrire ne venant qu’en complément d’une vie bien remplie.
EddyBeaucul me fait de la peine : sera t il capable de sortir de sa prison ringarde, bourdieusienne, phiottinesque, et surtout littéraire mais précieuse et fausse ? Je ne crois pas. Son visage est celui d’un condamné … j’irai pas recruter un gars pareil.
« en complément d’une vie bien remplie »
La Naomi Campbell soupe à JC yakeuhssa de vrè…
« il faut avoir une sacrée dose d’orgueil, »
L’orgueil est péché c’est bien connu! (c’est même écrit !!)
« se réaliser nulle part ailleurs (… )courir après un éditeur et des lecteurs »
Au lieu de faire satyre à pq et proposer à christiane de faire des tours en mobylette pour se rappeler son adolescence!!
« une vie bien remplie »
jc le frustré, scotché à son écran 24h sur 24 en plus de roi decs, c’est le roi des mythos
D’abord, Christiane a ‘différé’ la promenade en scooter rose, elle n’a jamais ‘refusé’ mon honnête proposition !
« Elle a tort: dans moins 20 ans, Céline aura rejoint Henri Bordeaux &
Marcel Jouhandeau au rayon vieilleries racornies. »
Qu’il est con et prétencelard, ce Bloomy.
On rêve.
« elle n’a jamais ‘refusé’ mon honnête proposition ! »
va-t-elle vous faire languir encore longtemps?
à propos de (..)je pense à ces paroles de Bernard Frank – Cricri
En effet, on avait déjà compris que vous aviez quelque incapacité à penser par vous-même.
Céline aura rejoint Henri Bordeaux &
Marcel Jouhandeau au rayon vieilleries racornies.
Vous savez quoi, Bloom ?
Au lieu de nous fatiguer avec Celine, vous devriez relire Le marchand de Venise ..
Daaphnée dit le 9 janvier 2016 à 13 h 24 min….
Et elle, cette daaphnezpointu, que pense-t-elle par elle-même, en dehors de suivre bêtement les autres et de prendre la RDL pour un crachoir ou un terrain à déjections où elle cite entre guillemets tout ce qu’elle lit ? Pas grand chose, hélas… Elle crachouille, elle bave, elle éructe. Quel spectacle !
vous devriez relire Le marchand de Venise ..
—
The lady* doth protest too much, methinks.
(*the wench » being possibly more appropriate in the painful case at hand)
vous devriez relire Le marchand de Venise ..
–
(…) that were pity.
I would entreat you rather to put on
Your boldest suit of mirth, for we have friends
That purpose merriment. But fare you well.
I have some business.
—
The Merchant…II,2.
Pardon d’arriver après la bataille : pour une fois que je lisais le livre que Passou commentait, je ne m’en étais pas avisé !
L’analphabétisme politique n’est tout de même pas, pour ce genre d’exercice, un atout. Je pense en particulier au pacte germano-soviétique, salué par Aragon comme une contribution à la paix. C’était ô combien sot et il faut le dire… à condition de dire que la sottise, cette sottise, était alors la chose du monde la mieux partagée, bien que des mêmes prémisses (la cécité devant le jeu de Hitler) tout le monde ne tirât pas les mêmes conclusions.
Personne ne voyait en Hitler un joueur d’échecs qui avançait méthodiquement des pièces depuis 1933 pour faire la guerre en 1939 et écraser la France l’année suivante, afin de pouvoir grignoter l’URSS à loisir sans craindre dans son dos une trop forte mobilisation anglo-saxonne (un calcul qui échouera de justesse contre un Churchill fortuitement au pouvoir au mauvais moment -pour Hitler).
Le 24 août 1939, jour de l’édito aragonien de Ce Soir, où en est-on ? Hitler, qui a tout obtenu sans guerre à force de moulinets de sabre, et encore dernièrement la Tchécoslovaquie, semble récidiver contre la Pologne, dont il affecte de ne réclamer que Dantzig et son corridor. En réalité il veut et la guerre (contre Paris, Varsovie et Londres), et l’intégralité du territoire polonais.
Partant de telles prémisses (un Hitler en gamin cherchant les limites, trépignant d’impatience de manger Dantzig et espérant que ces grands lâches d’adultes vont encore céder), un Chamberlain a raison de dire qu’en montrant un peu de fermeté on va le faire aller bouder dans sa chambre…
… et Aragon d’écrire que le pacte germano-soviétique est une contribution à la paix !
« Personne ne voyait »
« … et Aragon d’écrire que le pacte germano-soviétique est une contribution à la paix ! »
Gracq, encore lui, a rendu sa carte après le pacte germano-soviétique. On ne peut donc pas écrire que « personne ne voyait ». Pour sortir de ce songe, de cet insupportable « personne ne voyait », une petite étude s’imposerait sur ces ruptures.
Ce serait mal de dire, que dans la lutte d’aujourd’hui contre l’avatar actuel du nazisme, il serait bien utile d’avoir un Churchill plutôt qu’un Chamberlain et son apaisement du « vivre-ensemble » avec Hitler le djihadiste ?!
Sans compter l’ultra-libéralisme, dans lequel sont en train de nous entraîner sans aucun état d’âme les Merkel, Bruxelles, les « socialistes » aujourd’hui, les Sarkozy demain, et qui est un totalitarisme.
Dans cinquante ans, les historiens seront unanimes, ils écriront que « personne ne voyait ».
HE HO LES DUPONT-DUPOND !
Lisez et citez jusqu’au bout.
Les voyants et voyeurs pullulaient, mais ne voyaient pas ce qu’il aurait fallu voir en priorité : que Hitler manoeuvrait, et plutôt bien. Apparemment VOUS ne le voyez toujours pas, si j’en juge par vos amalgames avec le temps présent.
EH ! OH ! LE DELRA-PLAPLA
Ce n’est pas la même chose, peut-être, la capacité manœuvrière des envahisseurs d’aujourd’hui, au regard de celle des djihadistes du nazisme ?
Pas d’amalgame ? Pourquoi donc ?…
Qui détient « la » vérité ? Personne ! Ni toi, l’historien, ni moi, le citoyen. Profil bas, ok ? Merci !
Delpla, vous énoncez une contre-vérité qu’il est très facile de contrer. Penchez-vous plutôt sur la résistance au pacte germano-soviétique, vous n’en serez que davantage historien et non cette marionnette à histoires.
Dire que « personne ne voyait » alors qu’il est bien évident que quelques uns « ont vu » est une faute extrêmement grave dont vous ne semblez pas mesurer la portée.
Effectivement, je suis spécialiste du passé et non du présent aussi m’en tiendrai-je, pour distinguer les deux, à une banalité : autant les attentats de janvier pouvaient avoir un sens en termes de stratégie (enfoncer un coin entre Français suivant leurs confessions, par le meurtre de policiers, de journalistes pouvant passer pour s’en être pris au Prophète et de Juifs), autant ceux de novembre, frappant aveuglément tous azimuts des gens coupables d’aimer la musique ou le foot, ou de dîner en ville, semblent relever d’un simple délire totalitaire matiné d’une vengeance primaire contre les bombardements occidentaux des positions de Daesh.
Quant à ce que les uns ou les autres, en 1939, voyaient, je confirme qu’il faudrait
– voir à voir la fin de ma phrase
– donner des exemples de la lucidité de vos héros QUANT A LA MANIERE DONT HITLER MANOEUVRAIT : par exemple en faisant mine de vouloir une négociation sur Dantzig alors qu’il avait décidé depuis des mois (voire des années) de s’en prendre d’emblée à toute la Pologne.
Je ne vous insulte pas, moi, ni ne vous accuse de choses très graves, je vous dit simplement : au boulot !
Delpla, où se trouve de ma part l’amalgame? Cherchez vous ne trouverez pas.
D’autre part, la question est bien celle de la résistance au pacte germano-soviétique que vous continuez à occulter. La question serait de savoir pourquoi. La réponse, comme d’habitude, ne doit pas être bien difficile à trouver.
Bon dimanche,
Incroyable ! Il y a exacte adhérence idéologique entre janvier et novembre….
Si vous plaisantiez à propos d’un esprit différent entre les actes islamistes de Janvier et Novembre… j’admets la blague.
Bonjour François ! Cela fait une paye que l’on ne vous avait lu ici. Au moins depuis que Churchill avait affamé le Bengale , en 1943… Comme vous nous l’aviez annoncé ici.
Vous avez bien raison de faire attention au temps présent.
Que pensez-vous de cette initiative allemande qui fait reparaitre de manière confidentielle, 3000 ou 4000 exemplaires, avec 2000 annotations , les élucubrations de votre héraut, qui lors de son incarcération, dans les années 20, a commis un bestzeller, qui nous a été proposé, en même temps que » beaux livres à offrir pour Noël » ?
http://www.ifz-muenchen.de/aktuelles/artikel/datum/2016/01/08/mein-kampf-2/
Je ne comprends pas M. Delpla, je vous demandais votre avis sur une récente réimpression d’un succès littéraire des années 30, et Robotspierre ne veut rien savoir.
En tout cas cela me fait plaisir de vous relire. Cela faisait très longtemps. Depuis que Churchill avait affamé le Bengale en 1943, comme vous nous l’aviez certifié, non ?
Pour ce succès éditorial, limité à 3 ou 4000 exemplaires, qui fait grand bruit en Allemagne, il serait bien que vous leur fassiez part de votre avis.
http://www.ifz-muenchen.de/aktuelles/artikel/datum/2016/01/08/mein-kampf-2/
Je me tord de rire…
« Mein Djihad » de Dolphie P’tit Moustach fait grand bruit en Allemagne, mais pas autant que les Joyeux Arrivants de Köln !
Finalement, à bien regarder l’illustration première du billet, il n’y a pas grande différence entre le vieux c.on d’Aragon qui pontifie, et le jeune c.on qui s’en amuse …
Juste une question de génération …
JC : « adhérence idéologique »(sic : lapsus pour communauté ou similitude ?) entre janvier et novembre
FD « autant les attentats de janvier pouvaient avoir un sens en termes de stratégie »
@ Chaloux : « Dans cinquante ans, les historiens seront unanimes, ils écriront que « personne ne voyait ». » Si ce n’est pas un amalgame entre 1939 et 2015, quésako ?
et puis arrêtez de jouer en duo et engueulez JC au moins aussi énergiquement que moi (vous m’engueulez) pour confusionnisme aigu quand il écrit
« Ce n’est pas la même chose, peut-être, la capacité manœuvrière des envahisseurs d’aujourd’hui, au regard de celle des djihadistes du nazisme ?
Pas d’amalgame ? Pourquoi donc ?… »
@lvdlb : vous faisiez plus ou moins équipe avec un spécialiste du ressassement à sa façon de vieux débats internautiques sans en donner les liens; aurait-il déteint ?
Heureusement j’ai le défaut inverse, et quiconque y attache de l’importance pourra juger de votre mérite : http://larepubliquedeslivres.com/sanjay/ .
sur la réédition de Mein Kampf
1) adeptes de Facebook, rendez-vous ici
https://www.facebook.com/groups/StudyOfNS/797568450389777/?notif_t=like
2) sur mon site, j’en cause à propos du contempteur principal : http://www.delpla.org/site/articles/articles-11-64+johann-chapoutot-publie-un-livre-important.php
et de mon côté je réédite un autre texte :
http://www.delpla.org/site/articles/articles-8-102+hitler-parle-alias-propos-de-table-de-l.php
Merci Delpla. Que de souvenirs…
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