Ave Marias !
Voilà bien une merveille : Si rude soit le début (Asi empieza lo malo, traduit de l’espagnol par Marie-Odile Fortier-Masek, 576 pages, 25 euros, Gallimard). Javier Marias (Madrid, 1951) y témoigne de ce qu’il demeure l’un des meilleurs écrivains européens, vingt-cinq ans après le roman qui l’avait révélé Corazon tan blanco (Un Cœur si blanc, Rivages) traduit en 37 langues et vendu dans 44 pays, avant Demain dans la bataille pense à moi qui fut couronné du prix Femina étranger. Cette fois, c’est tout autre chose mais c’est bien sa manière à l’envoûtement de laquelle on résiste difficilement.
Quatre personnages principaux, peu de créatures secondaires, occupent la scène en permanence. Outre le narrateur, Juan de Vere, 24 ans (l’âge de l’auteur à la mort du général Franco) qui vit à demeure pour mieux faire son apprentissage et son doctorat auprès d’un homme qu’il admire et dont il devient de facto le secrétaire, il y a donc Eduardo Muriel, cinéaste borgne qui eut son heure de gloire et sait encore la faire scintiller, un homme cynique, excentrique jusque dans l’harnachement de son Harley-Davidson ; son épouse Beatriz Noguera, fan de l’écrivain Juan Benet, qu’il n’a de cesse d’abaisser, d’avilir, d’insulter, de rejeter, de frustrer avec une perversité et une cruauté inouïes, refusant de la toucher et la laissant le supplier sans l’autoriser à franchir le seuil de sa chambre, son obscure vengeance en raison d’une ancienne faute inconnue que le narrateur mettra près de six cents pages à élucider ; leur ami le médecin au passé trouble Jorge Van Vechten.
Le couple cohabite dans un grand appartement de la Calle Velazquez avec vue sur le Retiro, l’un de ces immeubles où les vastes intérieurs bourgeois n’ont pas encore été morcelés comme c’est la règle ailleurs, les familles étant moins nombreuses qu’avant, les enfants plus indépendants et les domestiques logés ailleurs. C’est peu dire que la maison bruisse de mille rumeurs tant elles irriguent le récit. Le narrateur se métamorphose sous nos yeux dès lorsque Eduardo Muriel l’a pris comme confident :
« Que ferais-tu si tu apprenais qu’un ami de longue date n’a pas toujours été tel qu’il est à présent ? Pas tel qu’on l’a connu. Ni tel qu’on a toujours cru qu’il était. »
Voyeur amené par la situation à écouter aux portes à mesure que progresse le récit, il se met dans la peau d’un espion, d’un mouchard ; mais il ne suit pas seulement le mystérieux docteur Van Vechten à la demande de son commanditaire, pour savoir si ce qu’on dit de lui dans ses rapports avec les femmes est vrai : il en vient à suivre également Béatriz Noguera dans ses pérégrinations madrilènes et découvre qu’elle se rend régulièrement dans une sorte de sanctuaire appelé Notre-Dame de Darmstadt, antenne locale d’un mouvement apostolique allemand très implanté en Amérique latine, ce qui nous vaut des scènes à mi-chemin entre le Alfred Hitchcock de Vertigo et le Graham Greene de la Fin d’une liaison. Il s’y sent dans « une sensation de fange » tant il a l’impression d’être instrumentalisé au sein d’un mécanisme dont le ressort le dépasse, jusqu’à être embarqué dans une affaire hors de ses compétences, rendu témoin par ce couple de « l’interminable et indissoluble malheur qu’était leur mariage ».
L’action se situe dans le Madrid de la fin des années 70. Le général Franco était mort depuis plusieurs années, Adolfo Suarez dirigeait le gouvernement et assurait la transition démocratique, mais c’était encore un temps où l’on redoutait qu’un coup d’Etat militaire ramène le pays dans la dictature (n’y eut-il pas deux tentatives pour donner du crédit aux fantasmes ?). Javier Marias donne le sentiment qu’il ne peut croiser quiconque sans se demander s’il n’a pas plus ou moins trempé dans le franquisme au cours des trente six années de dictature, que l’individu l’ait fait par conviction politique, par indolence ou par peur. La Guerre civile, toujours avec un G majuscule car c’est la grande guerre des Espagnols, était achevée depuis 1939 mais « d’une façon ou d’une autre, tout a encore à voir avec la Guerre » » ; tout y ramène, et plus encore dans la bouche de ceux qui ne l’avaient pas vécu,
« qui seront ceux qui en auront le plus besoin pour donner un sens à leur existence : pour fulminer, pour s’apitoyer, pour avoir une mission, pour se persuader qu’ils appartiennent à une faction idéale, pour chercher une vengeance rétrospective et abstraite qu’ils appelleront justice, quand elle ne peut être posthume ; pour s’émouvoir et émouvoir les autres, leur faire verser des larmes, pour écrire des livres, tourner des films et faire du fric, pour s’auréoler de prestige, pour tirer quelque profit sentimental des malheureux qui sont morts, pour imaginer les peines qui leur ont été infligées, leur souffrance que nul ne saurait imaginer même s’il les a entendu raconter de première main ; pour se prétendre leurs héritiers. Une guerre comme celle-ci est un stigmate qui ne s’efface pas en un siècle ou deux, parce qu’on le retrouve en tout, il affecte et avilit toute chose. Il représente ce qu’il y a de pire. Cela revint en quelque sorte à retirer le masque de civilisation que portent les nations dites présentables (…) Cette guerre perdra de sa virulence avec le temps, et c’est déjà le cas. Mais elle sera comme l’un de ces conflits familiaux qui se perpétuent au fil des générations… »
Or non seulement nul n’en voulait parler de même que des interminables années de la dictature, mais on aurait cherché en vain des Espagnols qui n’en avaient pas été victimes ; même Eduardo Muriel, qui était pourtant très jeune en ce temps-là, assure que s’il est borgne, c’est à cause de la balle d’un paco, un franc-tireur. Comme si tous avaient été du même côté. Soudain, leur antifranquisme parut remonter à « des temps immémoriaux ». Ca fanfanronnait et ça bombait le torse de partout, y compris chez des universitaires et des intellectuels de gauche ou autoproclamés tels ; on peut voir là l’écho du propre ressentiment de l’auteur dont le père, un Républicain, dut s’exiler aux Etats-Unis pour pouvoir continuer à enseigner (difficile d’oublier que Marias décline par principe tout prix à caractère officiel ou institutionnel remis par l’État espagnol pour protester contre les coupes dans le budget de la culture).
Les vrais, les rares authentiques, se gardaient bien de dénoncer ceux de la dernière heure pour ne pas faire obstacle au pacte social (on a connu ça dans la France de 1945) ; de toute façon, ils était habitués « à perdre et à se taire ». Marias, lui, s’interroge sur la facilité avec laquelle n’importe lequel d’entre eux, qu’il fut républicain ou nationaliste, pouvait faire des paseos, spécialité nationale de l’époque qui consistait à aller en groupe chercher quelqu’un chez lui, à l’emmener dans un coin isolé à seule fin de lui loger une balle dans la tête avant de balancer son corps dans un fossé.
C’est un roman magnifique, saisissant, pénétrant et d’une belle ampleur, américaine (il n’est pas pour rien le traducteur de Faulkner en espagnol, mais aussi de Nabokov, Thomas Hardy, Conrad, Yeats, Shakespeare, cela laisse des traces) au sens où on l’entend généralement pour louer le légendaire Grand-roman-américain (encore que les romans de Marias ne semblent guère passionner le public outre-Atlantique), digressif à souhait (il a adopté la devise de Laurence Sterne dans son Tristram Shandy : « Je progresse- à mesure que je digresse »), plein d’incises et de phrases serpentines, de couleurs, de fumets et de parfums (le narrateur attribue même une certaine odeur à l’extrême-droite et relève que des locaux, des salons, des lieux publics, des personnes puent le franquisme). Sous sa plume, chaque description physique élève le souci du détail et son exploration au rang d’un des beaux-arts, c’est tout en tout cas l’ambition qu’il se donne et le résultat auquel il aboutit avec l’air de ne pas y toucher.
Profus et épais mais jamais bavard, ce roman plein de milliers de mots s’offre même le luxe de s’achever par un éloge du silence dans la bouche du narrateur : « Non, pas de mots », et là, on se retient de saluer Marias plein de grâce. Son roman appartient à cette catégorie de livres, récemment pointée dans un billet de son blog par Claro, qui nous ralentissent, nous invitent naturellement à nous attarder sur la page et à y prêter attention, non en raison de sa complexité mais pour son charme, sa capacité à nous séduire, nous envelopper, nous captiver. Comme on sent que l’auteur a pris goût à s’installer dans son histoire, on a envie d’en faire autant. C’est d’autant plus nécessaire en l’espèce que, comme le fait observer le narrateur, dans un pays qui vécut tant d’années sous une chape de plomb, « le temps passe au ralenti pendant les dictatures »
Des réflexions vitales sur la cruauté, la trahison, la jalousie, le secret, la loyauté sont habilement énoncées comme des généralités à la manière des grands moralistes. Et si cela a parfois le goût d’une citation (« La vérité est une catégorie que l’on met entre parenthèses pendant la vie ») fût-ce dans un dialogue, ce n’est peut-être pas un hasard. La vérité : y penser toujours en sachant qu’on n’y accèdera jamais. Naturellement, nous ne dirons rien de la progression de l’enquête ni de son issue. Tout juste pouvons-nous éclairer le lecteur sur la mystérieuse beauté du titre, annonciatrice de celle de la traduction de tout le roman. Marie-Odile Fortier-Masek a réussi là une prouesse dès le titre : Asi empieza lo malo est finement adapté en Si rude soit le début ce qui rend justice à… Shakespeare :
«Thus bad begins and worse remains behind… (Hamlet, III, 4)
« Si rude soit le début, le pire reste derrière nous… » Javier Marias en a fait l’étendard et le chevau-léger de son histoire, manière de dire que nous faisons parfois en sorte qu’advienne ce que nous redoutons afin de le mettre derrière nous, de le reléguer dans le passé afin de lui enlever ce qu’il a de plus effrayant et de plus pesant.
(« La nuit » photo José Ayma ; « Le médaillon à l’effigie du général Franco qui sera bientôt enlevée sur décision du conseil municipal, plaza Mayor à Salamanque » photo Passou ; « Javier Marias » photo Leemage)
964 Réponses pour Ave Marias !
Les places peuvent prendre des noms successifs.
Je ne sais si cela convient ou pas du tout, néanmoims, le ton de Shakespeare.doit rester amphigourique.
Rien de populaire. Ni de vulgaire.
Respect du rythme et de la rime.
Ainsi le malheur advient. D’autres le supplanteront.
C’est mauvais mais c’est l’idée.
Qui envoie un fax à la traductrice ?
a kind-hearted man : un homme bon, un homme au bon cœur
the most kind-hearted man le meilleur homme qui soit
« Take care, » he said in a kind voice. (d’une voix aimable,
a kind smile : un sourire plein de bonté, de tendresse
would you be so kind as to …? auriez-vous la gentillesse de …?, seriez-vous assez aimable pour …?
Non, c’est pas du tout l’idée… pas supplanteront mais s’accumuleront. C’est un contre-sens, rose.
D’accord.
Supplanteront ne convient pas.
Mais juste convient mieux que tendre me semble-t’il.
Supplanter c’est dépasser non ?
Rose
Tu préfèrerais ne pas finir ta vie découpée en rondelles et jetée dans le Dniepr, hmmm ?
Apprends le russe dans une cuisine, matriochka.
Mauvais début donc
—
Non Baroz, on n’est pas au café du commerce.
(Rose, wish you would tell your ass from your elbow).
ML, yes, this translation sounds pukka. Bravo!
I must be cruel to be kind
Je dois être cruel pour être juste
Bonnefoy & Desprats
Il faut que je sois cruel, rien que pour être humain.
FV Hugo
« gentil »…c’est cela, oui…Comme si l’anglais de WS était celui des séries US…
(il a adopté la devise de Laurence Sterne dans son Tristram Shandy : « Je progresse- à mesure que je digresse »)
Cette soi-disant devise est une interprétation, elle ne figure pas pas le texte de TS, dans lequel Sterne écrit, p.64:
« In a word, my work is digressive, and it is progressive too,—and at the same time. »
I must be cruel to be kind
Je dois être cruel pour être juste
Bonnefoy & Desprats
Bien évidemment, pourquoi rajouter ce lourdingue « mais c’est » ?
Non, pas gentil, on est pas au théâtre de boulevard, Bloom !
Bon, le rassemblement du Trocadero ne sera pas une date qui entrera dans l’Histoire. Aussitôt oublié que hâtivement organisé dans la débâcle !
Les lieux ne s’en souviendront guère…
Tristes représentants d’une France vieillotte et bourgeoise semblant sortie d’une messe d’enterrement…
De profundis Fillon.
Vous êtes méchant avec cet homme sans qualités qui fit les croisades, rédigea l’Encyclopédie, prit la Bastille puis le maquis, se confessa régulièrement et ne commit jamais le péché de parjure. Un homme exemplaire…un héro sarthrien passé si vite de l’Etre au Néant…Son enfer, c’est nous autres.
Avec les mains sales et sa P(énélope) respectueuses, XYZ ?
Passer la nuit à transformer Shakespeare en Montherlant emberlificoté, est-ce une occupation d’homme sage?
Fillon la métaphore…: on attendait les Mots, on a eu les Mouches. Il va dans Le Mur, son destin scellé à Huis-Clos. Simple Question de Méthode et le sort de l’Idiot de la Famille au Nekrassov sera réglé.
(Pas pu caser la Critique de la raison dialectique, et pour cause..!)
Place Venceslas, son histoire est bien connue, la « compliquer » est parfaitement inutile ; moi, je me souviens surtout de Jan Palach.
AS :
http://blogfigures.blogspot.fr/2011/03/august-sander-karl-with-art-connoisseur.html
Jan Palach, il a sa place et ce n’est pas celle-là.
I must be cruel to be kind
boum..j’aime l’amour qui fait boum..
C’est pas lourdingue, Jibé, c’est nécessaire. Tu n’as même pas pris soin de relire la scène 4 de l’acte III tel que je te connais… C’est pour souligner l’opposition et aussi pour une question de rythme.
son bum à dracul y fait boum
ce roman plein de milliers de mots
celle là est bien..
Je parlais du fait historique (1969) !
qui seront ceux qui en auront le plus besoin pour donner un sens à leur existence : pour fulminer, pour s’apitoyer, pour avoir une mission, pour se persuader qu’ils appartiennent à une faction idéale, pour chercher une vengeance rétrospective et abstraite qu’ils appelleront justice, quand elle ne peut être posthume ; pour s’émouvoir et émouvoir les autres, leur faire verser des larmes, pour écrire des livres, tourner des films et faire du fric, pour s’auréoler de prestige, pour tirer quelque profit sentimental des malheureux qui sont morts, pour imaginer les peines qui leur ont été infligées, leur souffrance que nul ne saurait imaginer même s’il les a entendu raconter de première main ; pour se prétendre leurs héritiers.
fantomes mit uns !
renato dit: 6 mars 2017 à 9 h 08 min
Je parlais du fait historique (1969) !
__________
Moi aussi !
Et c’est en 68 pas en 69 qu’il s’est fait brûler sur la place qui aujourd’hui porte son nom, le pauvre. L’invasion de la Tchécoslovaquie, c’est 1968 ! Le printemps de 1968.
« Mémorial à Jan Palach et Jan Zajíc sur la place Venceslas à Prague. »
https://commons.m.wikimedia.org/wiki/File:Prag10i.jpg#mw-jump-to-license
C’est la petite place au bord de la Moldau sur laquelle donne l’université Rudolfinum que Kafka mentionne dans un rêve qu’il fait en compagnie de Milena, où il se promène. Le pont mánesúv a son embranchement sur cette petite place.
Oui, le mémorial est sur cette place mais ce n’est pas là qu’il s’est mis le feu ! Ah, têtu et coriace, le bougre.
Regardez sur Google Maps !
« Jan Palach, né le 11 août 1948 et mort le 19 janvier 1969, est un étudiant en Histoire tchécoslovaque qui s’est immolé par le feu sur la place Venceslas à Prague le 16 janvier 1969. » Wiki fr.
Oui, c’est moi qui me suis trompé ! Désolé.
Curieux le comportement des ces messieurs qui chipotent sur les traductions, chacun voulant montrer son « savoir » et méprisant celui des autres… qu’attendant-ils pour proposer LEUR traduction ? les éditeurs les attendent, impatiemment
Trois semaines après le 21 août 1968, soit bien avant l’acte de Jan Palach, un Polonais, Ryszard Siwiec, père de 5 enfants, s’était aussi immolé par le feu dans un stade de Varsovie.
Le problème c’est que les éditeurs n’attendent rien du tout justement.
Toutes nos élucubrations autour de ces deux phrases de Shakespeare illustrent bien la difficulté de la traduction. Noble profession de passeurs littéraires de moins en moins reconnu par les forces économiques actuelles. Moi, qui ne peut lire qu’en traduction les textes étrangers, j’ai une grande reconnaissance pour traducteurs. Le danger est qu’à force de vouloir se démarquer de ce qui a été fait auparavant, on en arrive au contresens. Dès que j’ai lu la proposition qui avait été faite ici, sans rien savoir du contexte, il m’a sauté aux yeux que l’on avait confondu le derrière avec le devant…
Les touristes Chinois, que nous devenons tous, ne font pas la différence entre une plaque à la mémoire de Jan Palach et le buste de Dalida.
I must be cruel to be kind
La citation exacte est :
« I must be cruel only to be kind »
et le sens : « Qui aime bien châtie bien »
Lorsque le père de MàC est venu nous saluer au crématorium du Père-Lachaise, Christiane et moi, je lui ai dit que grâce à lui j’avais découvert l’oeuvre de Peter Handke…
Un autre métier tout aussi important de l’édition et tout aussi malmené : celui de correcteur.
Baroz, Green (que vous aimez sûrement lire) répétait à son homme (et à d’autres) que la traduction de Shakespeare laissait échapper incontinent la plupart des pointes. Evidence rare, qui n’enlève pas le mérite des traducteurs comme Bloom, dont le rôle consiste aussi à priser la version originale.
Excellent billet passoulinien. Il faut aussi « see more » dans la colonne d’à côté, Thomas Clerc ds Libé sur Barrès introuvable, « les gens coupés de leur propre culture, ce qui est le but inavoué du monde moderne. Le monde libéral est offshore, hors-sol en bon français, c’est-à-dire «déraciné». C’est tout le débat actuel. Le hors-sol et l’enracinement sont les deux faces d’une alternative politique négative »
A propos de traduction, rendre hommage à
LAURE GUILLE – BATAILLON, traductrice des œuvres de JULIO CORTAZAR
Phil, Green est un peu comme une infusion de tilleul à mon goût, et je suis essentiellement amateur de café…
Merci Annelise, failli manquer cette résurgence de Barrès (dans le bain fascistoïde, of course what else) dont l’enracinement humain et littéraire donnait du prix à la libération de Gide, bien éloignée du Libération d’aujourd’hui.
Baroz, en littérature comme au cinéma, il faut parfois revenir au noir et blanc pour sentir la douce violence de l’image.
…
…des histoires, des faits crédibles,…des révolutions, sur le parvis,…des diamants au collier,!…du pain et des brioches,!…
…
…enfin du tout, pour revivre avec rien,…d’une contrée à l’autre,!…non merci,!…chacun à sa vie de châteaux,!…
…
…déjà, avec les robots,!…les entreprises, produire pour des chômeurs,!…enfin,…produire, pour ne pas retourner à nos campagnes,…bien, sur,!…
…
…des châteaux, mais Oui,!…facile,…déja, avec les » bêtes 3 systèmes D,…tout de tout,!…un rien bricoleur,…
…poules et vergers,!…lapins et truites,…
…
…envie de rien,!…ni de chevaliers , ni de dames,…
…trop, de premieres sur selles, à rien foutre,…
…attendre la fin des travaux,!…pour y transmettre ma bibliothèque; l’art de vivre, avec rien,…la salle d’armes,…
…nos travestis aux écritures, des techniciens en managements politiques,…
…
…déjà, les micros aux fesses,!…un pouding de trop,!…St-Thé-Raise du plafond,…à jours,!…Clovis à son bâpthème,!…alors, juste un orteil,…of course,…etc,…
…
…la bande à tout permis,…Ah,!Ah,!…
…çà ne date pas d’hier,!…
…
…
Le monde libéral est offshore, hors-sol en bon français, c’est-à-dire «déraciné». C’est tout le débat actuel. Le hors-sol et l’enracinement sont les deux faces d’une alternative politique négative
nan..dailleurs 3j quand qui rentra dla piscine va vous dégueuniller cette guignolrie du bon docteur vite fait
et le sens : « Qui aime bien châtie bien »
pourquoi pas zerbinette..là où t’as bon c’est que shakespeare c’est du français mal traduit..mais du vieux..vla l’probloc
…poules et vergers,!…lapins et truites,…
culs et belles carottes
« Le hors-sol et l’enracinement sont les deux faces d’une alternative politique négative »
Pourquoi négative, Annelise ?
Les touristes Chinois, que nous devenons tous
tout ça pasque tu veux cracher par terre
Barrès introuvable https://www.amazon.fr/Maurice-Barr%C3%A8s/s?ie=UTF8&page=1&rh=i%3Aaps%2Ck%3AMaurice%20Barr%C3%A8s lol
Je suis tout déraciné, et je m’envole comme un petit cuicui dans les bourrasques et giboulées. Tout trempé comme mes yeux quand j’épluche des oignons.
Cette phobie tourne au surréalisme absurde.
zerbinette dit: 6 mars 2017 à 10 h 14 min
I must be cruel to be kind
La citation exacte est :
« I must be cruel only to be kind »
et le sens : « Qui aime bien châtie bien »
—
Effectivement, mais avec une virgule, je n’ai pas la Pléiade avec moi, mais vérifierai ce soir.
Il y a une virgule, dans certains textes sur le Net (pour WS, il faut déjà établir le texte de départ (Quarto, Folio, Arden, Cambridge, mélange…c’est vous dire…)
I must be cruel, only to be kind.
=
Si je dois être cruel, c’est pour être juste.
Ce qui ne change rien au contresens de la madame, qui porte sur le vers suivant.
Si Shakespeare avait voulu user du dicton « Qui aime bien châtie bien », il l’aurait fait, d’autant plus que c’est une quasi citation de la Version Autorisée de la Bible de 1611 : Spare the rod and spoil the child.
Seulement ce n’est pas ce qu’il a écrit, mais « I must …etc. » CQFD.
Oui, c’est moi qui me suis trompé ! Désolé
finkie il a fait tout un laius sur les sales jeunes qui savent pus s’escuser et dise ha la place ‘désolé’ dézolé..signe d’himpuissance des temps qu’il dit..henfile toi ta médcine bien profond dracul
Le problème c’est que les éditeurs n’attendent rien du tout justement
tu penses qu’a ta geule dracul..ta gueule havec quelques fantomes..vas chyer dans l’caniveau
Annelise dit: 6 mars 2017 à 10 h 22 min
_______
Justement, chez Popaul, j’ai laissé un commentaire sur La semaine sainte, d’Aragon qui cherche précisément dans et par ce roman de 1958 à penser le problème de l’identité nationale mais d’un point de vue révolutionnaire, de gauche, et pas de droite comme Barrès. D’où l’importance de ce roman à lire ou à relire aujourd’hui. Popaul a consacré son billet à ce roman qui fait en quelque sorte partie d’une trilogie du problème de l’unité de la nation, de la France après la grande Leçon de Ribérac sur le rayonnement de la France comme civilisatrice de l’Europe grâce à la poésie courtoise en opposition à la virilité triomphante chez les idéologues fascistes de la collaboration et des écrivains comme Drieu, Montherlant et Chardonne dans l’immédiat après-guerre.
C’est pas déjà en NB, la littérature?
Roots Rock Reggae ! https://youtu.be/2jN1bqGr3ZY
L’ambition cachée d’Aragon était de reprendre le thème de l’identité française, confisquée par Barrès, qu’il explore successivement dans Aurélien, écrit pendant la guerre et qui retrace toute la période de l’entre-deux guerres, dans Les communistes pour la guerre et La semaine sainte qui évoque en même temps par allusion l’exode de 1940 et l’origine de la France moderne. Mais d’un point de vue de gauche. C’est en cela que La semaine sainte est d’actualité. Mais aussi Aurélien qui est un grand roman de la dimension de La Recherche de Proust, et qui n’est pas sans analogie critique avec le précédent proustien d’ailleurs sur bien des points.
Surtout que Green c’est plutôt en rose, D., ou dans les tons pastel ?
Le communisme c’était pas plutôt l’international que le national, WGG ?
Bloom a bien expliqué la chose en effet.
La traduction que rapporte Zerbinette n’est valable en tout état de cause que pour la seconde partie du premier vers. Et ce n’est qu’une façon de traduire, et une façon fautive comme le montre bien Bloom par la citation biblique. Le vers contien bien en effet « only » mais ça ne change rien à la traduction proposée.
Je dois être cruel mais c’est pour être tendre.
Ainsi commence le malheur, et de pires restent à venir.
Le sens de ces deux vers est, comme je l’ai longuement expliqué, très ambigu, exprimant à la fois la recherche légitime de la justice pour la mort suspecte de son père et la perversité pour le désir qu’ils expriment secrètement pour sa mère. C’est bien ce qui fait la grande puissance émotionnelle des textes de WS.
JiBé dit: 6 mars 2017 à 11 h 41 min
Justement Jibé, c’est tout le débat de l’époque de l’après-guerre face à la puissance américaine, le plan Marshal, etc. Ce sont aussi les orientations nationalistes du PCF dont Aragon est tributaire comme membre du PC.
Bloom à 11 h 17 min
Je n’ai pas voulu faire la traduction de Shakespeare, j’ai simplement voulu donner la citation exacte et son sens, par rapport à la « tendresse » évoquée par ailleurs pour ‘kind’ (wgg)
Juppé vient de lâcher son camp devant le merddier qu’est devenu pour la droite cette élection. C’est la bérézina pour la droite ! Je pense que c’est aussi la fin de la Vè république. Du moins ces événements trahi-comiques vont en hâter la fin. À mon avis.
Mais l’expression « qui aime bien châtie bien » ne peut pas s’appliquer ici, car le vers se réfère à l’assassinat de Polonius qui vient d’avoir lieu. Il l’a assassiné par hasard, et il n’y a pas de plan concerté dans cet acte pour venger son père. Quand il dit, faisant la théorie du malheur, « Ainsi commence le malheur », il signifie par là que c’est par des dégâts qu’on appellerait aujourd’hui « collatéraux » que s’imisse le malheur dans nos vies qu’on commet sans même le vouloir. Cela est bien conforme d’ailleurs avec la vision tragique de WS qui lui vient de Montaigne et de son sens du tragique où le hasard est le grand deus ex machina.
« offshore, hors-sol en bon français, »
offshore= au large
…
…le pire reste à venir,…
…
…c’est la traîtrise des siens, pour qui on à tout fait pour les voir vivre heureux sur nos dos,!…avant ou après l’extrême – onction,!…
…Vamos a La Playa , Loona,…pas trop, coup de soleil trop instantané,!…
…etc,!…envoyé,!…
Heureusement qu’il est là, bob Sinclar, pour éclairer notre lanterne…!
74% des sondés pensent que le refus de de Juppé est justifié. Vote ambigu, comme Shakespeare… Approuvent-ils Juppé de ne pas entrer dans ce « cirque » comme l’a qualifié Villepin ? Ou approuvent-ils Fillon de ne rien céder ? Va savoir…
À lire aussi un grand article de Paxton dans Le Monde de cet après-midi sur Trump, qu’il qualifie de dictateur voulant abolir tous les droits qui protègent les travailleurs américains.
Hier soir, c’était l’inauguration du centre Pierre Boulez à Berlin. On y a joué une œuvre de lui qui était absolument fascinante. Vraiment d’une beauté sublime. Ça me fait plaisir parce que je désespérais d’entendre un jour une œuvre de Boulez qui me satisfasse. C’est fait.
« shore » c’est quand même bien la rive en anglais. Donc « hors sol » n’est pas inexact pour « offshore ».
Chacun donne SA traduction exacte… peu importe, je trouve que le titre français du livre de Marias correspond parfaitement bien à l’intrigue et à la tonalité du livre…. que j’ai lu ; qui d’autre ?
C’est pas le problème, Jacques Chesnel, parce que la bonne traduction de WS s’adapte très bien aussi au contenu du roman de Marías. Et une mauvaise traduction, bancale, en titre d’un grand roman, ça la fou t mal !
WGG 11 h 55
Et la tendresse?… B.ordel! Qu’est-ce qu’elle vient faire dans votre traduction ?
Chacun donne SA traduction exacte…
Il a raison, ce brave homme: Sanctuary, de Faulkner, c’est Crime et châtiment. Et Le Bourgeois gentilhomme, c’est Comme il vous plaira.
Comme Fillon, pourquoi s’emmerder avec la recherche de la Vérité, hein…Chacun mon tour, je le vaux bien.
J’ai lu le tire du Marias: j’aime pas.
Moi aussi, Jacques Chesnel, je trouve que « Si rude soit le début » est un très beau titre en soi !
…
…bob Sinclair, dans le Magnifique,…avec Belmondo,…
…ils auraient pu en faire des séries à la » Dallas ‘,…c’est jamais trop tard,…
…pour humilier les tyrans à l’eau bénite de fabrication de Christ,…et Water-Gâte,!…et voyage sur la lune, avec boîte de coca sur le sol lunaire,…avec des ombres statiques,!…
…
…la politique, des marchands à tout faire,!…tous des saints en pâtures,…
…etc,…
kind ça veut dire « tendre », zerbinette.
Ben non. Pas lu.
Peut-être pour longtemps.
Cela rend la parole incongrue ?
Se dit d’un bateau offshore. Grande vitese plane sur l’eau.
Passionnant, lorsque nous débattons ensemble : c’est une des choses que je préfère ici, lors de nos échanges.
Hier, ai données miettes à un jeune pigeon aux yeux ourlés de bleu outremer. J’étais assise à côté d’un homme aux fines lunettes rondes qui lisait un livre. Calmes, tranquilles… Presque affectueux. J’ai posé mon pied sur son pied. Lui ai enlevé une pétale sur son costume.
D’autres pigeons sont venus. Dont un avrc des plumes aux pattes.
Que nib.
Le petit et moi avons continué notre trafic. Les autres étaient des repus et noud des affamés.
Quand je suis partie, il m’a suivie…je l’ai sommé de rester chez lui, dans son parc avec le jet d’eau et les bassins. L’homme, de bronze, croyez qu’on peut-être de marbre tout le temps, vous ? est resté sur son banc.
Grande vitesse
Je sais la différence des siècles pour Shakespeare.
Mais kind ne veut pas dire tendre. Même si gentil est moderne.
Nota : les séries US quel niveau de nullité !
S’excuser c’est grand. Reconnaıtre ses torts, c’est très grand. Faut de surcroît se prendre un truc dans la tronche ?
Pas pigé le lien entre le cul et le coude.
Si rude soit le début, et je crains que la suite soit particulièrement gratinée !
Non, je ne parle pas de la traduction de Shakespeare, mais de cette incroyable période électorale, violente et nauséabonde comme jamais !
Après la rumeur sur l’homosexualité supposée de Macron, je découvre la polémique autour de l’annonce, à demi mots, mercredi dernier, du suicide de Pénélope Fillon. C’est le règne du bruit et de la fureur !
Le lien, pour ceux qui, comme moi, avaient raté le coche…
http://www.huffingtonpost.fr/2017/03/05/non-les-chaines-de-tele-nont-pas-annonce-le-suicide-de-penelop/
Les mots de Juppé sont très durs vis-à-vis de son camp comme à l’égard d’un certain esprit d’aujourd’hui quand il parle des « démolisseurs de réputation ». C’est un ton de guerre civile presque. C’est en fait toute la classe politique qui est aujourd’hui déligitimée. Un boulevard pour le FN ? Faut quand même espérer que non. Mais toute une partie de la droite, pour se maintenir au pouvoir, est prête à basculer dans le populisme à la Trump. La dictature nous guette de ce côté-ci de l’Atlantique.
rose, vous avez eu l’audace incroyable de consulter un dictionnaire anglais de la langue du 16è-17è siècles ?
Non Widergänger, mais je pourrais.
Suis tout à fait d’accord avec vous sur l’importance du titre.
Me viennent des titres fabuleux
Les petits chevaux de Tarquinia
L’amant de la Chine du nord
Barrage contre le Pacifique
Yeux bleux cheveux noirs
Le ravissement de Lol V. Stein
La douleur
Le marin de Gibraltar.
J’en suis à me demander si le titre ne fait pas le livre, in fine.
Non, je charrie ?
De plus, ne comprends pas bien pourquoi cet jomme, espagnol, s’exprime en anglais et oas en espagnol ?
Tout au plus une guerre entre le pouvoir politique, médiatique et judiciaire, WGG, pour la guerre civile on attendra un peu…
« Ce qui ne change rien au contresens de la madame, qui porte sur le vers suivant. »
La version « originale » du texte de Hamlet, dispo sur le web diffère peu, en anglais dit ancien.
Déjà la trad’ en anglais contemporain- voir lien dans le billet- biaise le sens
Ce contresens de la traductrice,Marie-Odile Fortier-Masek, n’est pas établi.
Car si le pire reste behind le rideau, il n’en demeure pas moins que selon le point de vue de Hamlet, les ennuis ne font que commencer.
Indeed Baroz, la période est rude au sens anglais.
Green, à qui vous préférez un café aux origines nébuleuse, a su reconnaître la grossièreté de la société en marche. En 1960, il fait part de son choc en écoutant son coiffeur proposer « une lotion qui défrise la négresse ».
Voilà ce qu’on trouve pour l’adjectif « kind ». Le sens de « tendre », « affectueux » fait bien partie de son champ sémantique.
kind
adjective
Definition of kind
1
chiefly dialectal : affectionate, loving
2
a : of a sympathetic or helpful nature was helped by a kind neighbor They were very kind to us.
b : of a forbearing nature : gentle kind treatment of animals
c : arising from or characterized by sympathy or forbearance a kind act a kind smile
3
: of a kind to give pleasure or relief cooled by a kind breeze
J’ai fermé pourtant
Désolée
Quant à Pénélope elle doit être chez Givenchy. Discrétion assurée dans les maisons de haute couture.
Comment, lorsqu’on admet qu’une touche 600 euros par mois alors que soi, entre-soi, touche 4500, comment donc envisager de se suicider ? Elle n’y a pas songé un quart de seconde.
Devient clair le rôle de l’argent dans le fonctionnement des couples : fascinant : les femmes payent leurs mecs. Pénélope, Clara, Brigitte, la femme de Besancenot etc.
Les femmes gagnent l’égalité, la parité, par l’argent ? En payant ?
Malheureusement, Juppé, dans cette Tragédie, joue au vieux, qui reconnaît qu’il faut un renouveau politique, qu’il n’incarne pas.
Opposer un consensus mou, à une volonté d’adhésion, claire et loyale, voilà le dilemme que Juppé ne reconnait pas.
Les choses n’arrive jamais d’un seul coup, Jibé, mais par une lente dérive. Et la dérive a déjà commencé. On est au commencement de quelque chose de très grave. Qu’on l’appelle guerre civile ou autrement peu importe. La chose est là.
pour la guerre civile on attendra un peu…
du courteline rilodid..dracul qui monte sur scène pasqu’on parle de cocu
Kind, c’est une marque de chaussettes ?
Pointing to POLONIUS
I do repent: but heaven hath pleased it so,
To punish me with this and this with me,
That I must be their scourge and minister.
I will bestow him, and will answer well
The death I gave him. So, again, good night.
I must be cruel, only to be kind:
Thus bad begins and worse remains behind.
One word more, good lady.
Je veux bien affectueux, voire de bon coeur.
C’est un pas en avant.
Tendre is tender is the night. Suave en espagnol (brrrrrrr).
Le pigeon, avec mes miettes, a été le okus heureux des pigeons.
Pauvre Pénélope. Réduite à la place publique.
okus =plus
Le suicide de Pénélope, c’était un fait alternatif… On attend sa résurrection…
Good lady c’est comme bonne Clopine.
en, à qui vous préférez un café
à la chaussette ou mieux au calbut qu’il pense..hin qu’on lit chez toi comme dans un live baroz
Fillon tombe par une femme. C’est un singe de sainteté flagrant.
C’est pas déjà en NB, la littérature?
dpuis gutinbère expirant havec samsung c’est en taule et en couleur..la poésie à l’école avec les dessins etait en couleur dédé..ha c’était bien..serdgio havait toujours 10
un signe, pardon.
Les sarkosystes demandent à Fillon de se choisir un successeur… C’est vraiment la chienlit. Enfin, De Gaulle l’avait bien prédit qu’après lui… On y est.
C’est kindy la marque de chausettes.
Et kind vieil anglais c’est cynd, même racine que child.
Et puis Hamlet s’adresse à sa mère.
ML, le premier dictionnaire unilingue anglais date de 1604 & s’inspire de listes de mots. Pas un dico au sens moderne.
L’anglais n’a pas eu de Malherbe, juste Shakespeare et la King James’s Bible/Authorized version (comme l’allemand a eu la traduction de Luther).
L’ouvrage de référence est bien postérieur, puisqu’il s’agit du Dictionary of the English Language du Dr Johnson, qui date du 18e.
if « you can’t tell your arse from your elbow », you are easily confused about things – tout sauf un compliment.
Le plus simple serait, mais personne n’ose le dire en premier, que Sarkozy reprenne tout ça en main.
Et kind vieil anglais c’est cynd, même racine que child.
—
Kind (er) en allemand.
Kith an Kin en anglais.
kith anD kin
Que veut dire « your arse », Bloom ?
Good lady c’est comme bonne Clopine
c’est la channel à boire
bloom, j’ai expliqué le mot kind.
Comme j’ai pu, et ma foi, je m’en tire pas trop mal.
Vous trouverez confirmation sur wiki, votre bible.
Et ma conclusion est que la traductrice a parfaitement compris le sens de ce qu’elle a traduit.
Le plus simple serait, mais personne n’ose le dire en premier, que Sarkozy reprenne tout ça en main
si phil et tous les tourists japonais..havant d’cracher par terre
Pour la poésie en couleur, le boug et D.
A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles,
Je dirai quelque jour vos naissances latentes :
A, noir corset velu des mouches éclatantes
Qui bombinent autour des puanteurs cruelles,
Golfes d’ombre ; E, candeur des vapeurs et des tentes,
Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d’ombelles ;
I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles
Dans la colère ou les ivresses pénitentes ;
U, cycles, vibrements divins des mers virides,
Paix des pâtis semés d’animaux, paix des rides
Que l’alchimie imprime aux grands fronts studieux ;
O, suprême Clairon plein des strideurs étranges,
Silences traversés des Mondes et des Anges :
– O l’Oméga, rayon violet de Ses Yeux ! –
Arthur Rimbaud
Et ma conclusion est que la traductrice a parfaitement compris le sens de ce qu’elle a traduit
..sapré tarzoune
« on lit chez toi comme dans un live baroz »
Exact, le boug
http://www.mercuredefrance.fr/livre-Le_goût_du_café-136-1-1-0-1.html
les tourists japonais
chinois..chinois..
« que Sarkozy reprenne tout ça en main. »
Trop tard aussi, comme Juppé, D. ?
12 h 12 min
« shore » ne veut pas dire « sol » et « offshore » veut dire « au large »
donc traduire « offshore » par « hors-sol » c’est n’importe quoi
à moins de mettre entre » , faute d’avoir trouvé la traduc qui convient
ou que la traducteur ou l traductrice soir à côté de ses pompes et plane ou signe de son nom le texte qu’il ou elle est censé ( e) traduire
à moins de mettre ‘hors sol’ entre « » , faute d’avoir trouvé la traduc qui convient
ou que la traducteur ou la traductrice soit à côté de ses pompes et plane, ou signe de son nom le texte qu’il ou elle est censé ( e) traduire comme si lui ou elle était l’auteur (e) du texte original donc
Le bon docteur G. en est à se plumer les ailes pour savoir comment prendre racine. Pour lui, c’est pas un dilemme à la barrès en alternative polititique négative, mais plutôt un mécanisme de désublimation répressive mal négocié, en sortant du bain. Sue la place Venceslas, d’autres ont voulu foutre le feu au bocal jadis. Et aujourd’hui ils sont tous là en troupeaux, les talons sur des anti-pigeons peinant à décrypter les sentences de Valéry sur les frontispices tandis que Fion leur fait croire des sornettes. Certains pensaient qu’il aurait inconsciemment poussé sa conjointe au suicide depuis qu’elle voulait raconter aux galas le calvaire enduré depuis qu’elle était obligée de bosser dix heures par jour pour pas un rond. Ils préfèrent le consensus mou d’un jeune homme féministe aux c. d’un vieux macho sectaire qui s’escape en RV réguliers avec MD, une pute de la côte normande. Et l’état d’urgence a surtout permis de sécuriser la COP21, voilà ce qu’a jamais voulu admettre J.M.
Arcloch, madderchod, buco del culo, etc…
Archloch (Archlöcher) avec un H.
wgg à 12 h 37 min, je ne conteste pas que « kind ça veut dire « tendre », je trouve simplement que ce n’est pas adapté dans le contexte pour Hamlet.
@Rose : le quatrième pilote, j’y ai repensé dans ma petite tête, c’était pas Gavoille, tout bonnement ?
D’ailleurs justement Saint-Ex il a été offshore dans le désert !
Patricia Cornwell : « Ne pas mentir est le meilleur moyen de combattre l’homophobie. »
Je contresigne !
A force de tout traduire on va recevoir des commandes par l’intermédiaire de Passou ! Ca va donner…
bloom
on s’en fout de toute façon en plus j’ai pas lu le contexte mais « hors sol » est ridicule
« On a demandé à Laurent Laffont, le directeur général de Lattès (groupe Hachette), combien il était prêt à mettre sur la table pour éditer le couple Obama. « Vous devinez ma réponse : je suis tenu par un secret professionnel absolu », lance-t-il. « On fait des calculs plutôt instinctifs. Grosso modo, c’est un livre qui va se vendre à 300 ou 500.000 exemplaires. On est dans un registre tout à fait unique. On n’aura pas beaucoup de témoignages comme cela », assure-t-il à propos de l’ancien président américain.
« Il y a aussi Michelle (Obama), qui est une personnalité très libre. Ce ne sera donc pas un livre langue de bois. Comme on sait que la plupart des lecteurs sont des lectrices, le livre va marcher aussi formidablement bien », ajoute Laurent Laffont. »
Et quelques miettes pour le traducteur !
Puisqu’on parle de la future traduction des futurs livres des Obama, que pensez vous de la traduction de « Dreams from my father » par « Les rêves de mon père »? Il me semble que le titre anglais veut dire « les rêves qui me viennent de mon père » plutôt?
Hors sol ce sont les nouvelles cultures de tomates sous goutte à goutte.
Sergio ne sais pas. Pas mes bouquins.
Guillaumet Mermoz Saint Ex. et ?
800 000 euros pour Valérie.
Ça rapporte. Après, on aura Julie.
Pour nous, je propose
« We must be the change we wish to see in the world ».
Le mahatma
(Pour moi, ce serait « I would like »
Faut voir le contexte, comme dirait WGG, Lavande ! Le père de Barack Obama rêvait peut-être d’être président des Etats-Unis ?
Offshore c’est largué ?
Largué ds le désert ? À Cap Juby ?
Je pensais à Terre des hommes, c’est en Libye, je crois ; mais la Mauritanie n’en est pas moins désertique…
La Mauritanie ? Je peux vous confirmer qu’il n’y a rien du tout là-bas sinon d’immenses étendues désertiques très rarement traversées par un ou deux dromadaires en quete d’une improbable flaque d’eau. Moi personnellement je n’y mettrai jamais les pieds, que ce soit dit.
Pourquoi d’ailleurs s’intéresser à ces contrées, on dirait que la France qui est pourtant si pleine de charmes, ne vous plaît pas.
Je peux vous dire que quelqu’un de souche n’est jamais aussi bien que chez lui. Et le corollaire est vrai.
Quand aux « traductions » des titres de films étrangers !… vu hier soir le film de Robert Aldrich « Kiss me, deadly », en français « En quatrième vitesse »
Ainsi, Juppé a jeté l’éponge, décidant de faire cesser l’insupportable suspens. Il est désormais fait un boulevard au prochain homme providentiel que la France et les Français vont rencontrer sur leur chemin. Le danger insurrectionnel persiste. Comment va s’en sortir notre démocratie ?
Cap Juby le Sénégal. Au nord de Dakar.
le film de Robert Aldrich « Kiss me, deadly », en français « En quatrième vitesse » (Laura Delair)
égalité, titre aussi débile en français qu’en anglais. il n’empêche, très bon film
« Dreams from my father »
Sans doute pas assez efficace pour un titre mais « Les songes formés par mon père » me semblerait pas mal sinon.
Juppé a jeté l’éponge ?
C’est affreux. Qui nous reste-il ?
Baroin ? Mon D.
Houi le désert c’est avant, Port-Etienne (Nouadhibou), terminus de l’actuelle voie ferrée du minerai ; et c’est là qu’il y a eu des types prisonniers et même zigouillés du temps de l’Aéropostale.
« Juppé a jeté l’éponge ? C’est affreux. Qui nous reste-il ? »
Il nous reste celui qui se poussera du col, assez indifférent à la démocratie, et prêt à tous les putschs imaginables pour régner. Juppé se retire de la compétition, mais Sarkozy n’a pas encore eu cette sagesse…
Vous en savez des choses, Sergio, mine de rien.
Il reste aussi les « jeunes », qui sont autant d’apprentis putschistes se voyant déjà au pouvoir. Ils en vibrent déjà, les Baroin, les X. Bertrand, etc., etc.
A droite, cela va être bientôt la curée. Les chiens vont fondre sur le cadavre à peine refroidi et le dévorer.
Donc en résumé, en substitution au plan Fion : pas de plan J, un plan B riquiqui et un ENAURME plan S.
Je serai un chien j’en mangerai pas.
De toutes façon c’est Marine Le Pen qui sera élue alors qu’est-ce que ça change, Delaporte ?
Vous ne voulez pas me répondre ?
C’est que vous n’en pensez pas moins.
En tous cas je n’engage plus aucune conversation avec Rose, ça tourne tout le temps au vinaigre. Que ce soit dit.
Il est difficile de dire qui va remporter cette élection. C’est une sorte de chaos dont rien de bon ne devrait sortir, selon moi. Sauf si jamais Hamon était élu, l’homme qui veut rendre le travail illégal…
barouin macron au deuxième tour..delaporte des chiottes est hors de ses gonds
Quand aux « traductions »
canto raclure de keupu
Je serai un chien j’en mangerai pas
n’importe quoi pour pouvoir tirer sa crampe sur le trottoir le dédé
« hors sol » est ridicule
radio caroline radio hors sol ça fait con c’est certain..j’étais tromepti
Je peux vous dire que quelqu’un de souche n’est jamais aussi bien que chez lui
ça donne des srizes aigres et dla confiture de coing que t’en as raz l’fion dédé
« Je n’aime pas les étiquettes, mais oui, je suis convaincue qu’on ne résoudra pas les conflits internationaux sans les femmes. Elles portent plus la paix que les hommes ».
Elle fait pas l’âge annoncé sur sa photo, cette patricia cornwell. Tu y crois vraiment à cette sentence ? Est-ce une bonne romancière au regard des standards de la rdl ? Je l’ai jamais lue. Est-ce que son homophilie influe sur la qualité de sa littérature ? D’une manière générale, ne vaut-il pas mieux cacher sa pédérastie pour mieux écrire que de la divulguer au risque d’écrire comme une pénélope sortie du placard ? Eternel débat : est-ce que les hétéros écrivent mieux que les homos ? Sont-ils/elles génétiquement plus pacifiques pour régler les pb du monde ? Ou est-ce que les homos mecs seront toujours plus cons que les homos femmes pour les régler ?… Faudrait argumenter ce dossier au café philo, ça nous changerait des mauvaises traductions de W. Shakespeare par Anne Hathaway et/ou Javier Marias qui s’enferrent toute la journée.
D. dit: 6 mars 2017 à 16 h 31 min
Vous en savez des choses
Je me plante une fois tous les six coups comme à la roulette russe ; pourquoi ? Parce qu’il est devenu tellement facile de vérifier que je le fais plus jamais, de peur de rester collé pendant deux heures !
Donc c’est toujours « en gros », « à une vache près », « guère plus ni moins »…
Puisque, Cher Delaporte, vous évoquez Benoit Hamon, il faut bien avoir à l’esprit que toute personne acceptant par avance que l’emploi soit rationné, se faisant dès lors l’exécutant des calculs communautaire européens et extra-Européens pronant 20 pour cent de chômeurs et l’indigence pour ce qui s’appelait encore hier la petite classe moyenne, au profit de la subversion migratoire remplaçante, ne peut raisonnablement pas prononcer le mot France sans montrer les symptômes de l’oedème allergique aigu, doublé d’un choc anaphylactique. En théorie. Parce que dans la pratique, avec des médicaments, ça lui arrache pas trop la gueule hélas, que je suis vulgaire, je sais.
submersion, fallait-il lire, encore que subversion ne soit pas inintéressant.
Je pense qu’on peut régler tous les problèmes sans les femmes, mis à part ceux de la natalité, de la maternité et du pouponnage mais pourquoi s’y obliger ?
Nan je rigolais. Aïe, ouille…ma puisque je vous dis que je rigolais…
Il y en a ici qui se braquent sévère avec les mots anglais. Faut être plus souple que ça pour aborder les langues, mes pauvres chéris. Certains ne semblent pas supporter la complexité de la langue anglaise et veulent la restreindre doctoralement, arbitrairement et autoritairement dans ses emplois.
Le mot « offshore » a un champ sémantique plus large que ne le croient certains ; s’il signifie « hors des rives », cela ne veut pas forcément dire « au large ». Par exemple on peut trouver comme phrase :
« Le centre d’appel a été délocalisé auprès d’une société offshore située à l’ile Maurice. »
Ce centre d’appel a beau être « au large », « hors des rives », il n’en est pas moins sur la terre ferme et pas les pieds dans l’eau… Le sens ici est « extraterritorial », qui s’oppose à « onshore », territorial.
Dans un langage métaphorique — ce qui était bien le cas dans le message objet de l’ire de certains ici — on peut fort bien, en conséquence, employer l’expression « offshore » pour parler de quelqu’un qui n’est plus rattaché à ses racines, il est en situation d' »extraterritorialité » par rapport à ses origines. Deleuze à paropos de Kafka avait même parleé de « déterritorialisation », ce qui n’est pas loin d’une adaptation de l’anglais « offshore ».
Pas de quoi prendre la mouche ou monter sur ses grands chevaux ou ses ergots de coq de basse-cour, vous voyez.
Ce soir je mange de l’andouillette au four sauce moutarde, avec gratin bressois aux pattes de poulets confits (sans les griffes).
Pourquoi vous nous racontez tout ça, WGG ? Vous ne voyez donc pas qu’on s’en fout ? Ne seriez-vous pas du signe du Capricorne ? Vous avez des manières de Capricorne.
Lavande, vous semblez découvrir l’art de la traduction. Bienvenue au club.
Le mot « from » introduit une nuance intraduisible en français. C’est comme le mot « aux » en allemand, à la place d’un simple génitif en français.
« Les rêves de mon père » est la seule possibilité qu’offre la langue française. La traduction que vous proposez n’est tout simplement pas du français, c’est un anglicisme. Et demeure en français l’ambiguité du génitif actif/passif. Instinctivement on comprend très bien la formulation : ce ne peuvent être que les rêves que son père a formulé à son égard. Il n’y a donc aucun problème de compréhension.
Qu’est-ce que c’est que cette poulette russe à six coups, Sergio ? Vous allez nous créer un incident diplomatique abec les oligarques à la fin…
« aus » en allemand…
En attendant, un commentateur avait interpellé, il y a peu ici, pour que ce livre de J. Marias soit chroniqué.
Je n’ai pas lu son compte-rendu , et toi, non plus djavert ?
Une critique italienne, ( genre qui l’emporte, hein) avait dit un truc comme: Trois hommes en odeur de machisme.
Il parait qu’en plus ce livre est dans le registre comique.
tu peut toujours te moquer d’hamon ; n’empeche que se sachant n’avoir aucune chance, ce gars là est le seul à avoir annoncé un vrai objet de réflexion pour l’avenir sur le revenu universel, pas comme les aut’. A condition de faire soi-même l’effort d’en comprendre les enjeux plutôt que de les caricaturer à l’aune de ces petites manœuvres qui font les délices de D. et de ses semblables en mmes michu du blog les yeux rivés sur leurs horoscopes de 20 minutes. Allez, instruisez vous un peu, manouches et gourgandins dégingandés !
http://www.laviedesidees.fr/Les-cles-d-un-nouveau-modele-social.html
T / vers 12 h. « Je trouve que le titre français du livre de Marias correspond parfaitement bien à l’intrigue et à la tonalité du livre…. que j’ai lu », a dit jacques bx chesnel à plusieurs reprises, mais il a pas encore rendui sa fiche de restitution, y’en a qui jouent pas le jeu. Fastaoche à dire qu’on a lu qq chose, ça reste encore à prouver. Moi non, sur ce coup-là, et d’ailleurs pas du tout envie quand on voit les débats (?) que ça suscite, craignos. Donc j’attends plutôt la traversée du Ch., qui lit tout ce que recommande passoul pour pas s’en laisser conter (décompter ? hein).
C’est vrai que le travail a toujours été un grave problème pour l’être humain, et que presque aucun homme politique n’a jamais envisagé de lui donner une solution satisfaisante et donc radicale : à savoir, l’éradiquer totalement comme étant une nuisance souveraine, qui empoisonne toutes les générations. Donc, Hamon arrive là-dessus, avec des idées qu’il faudra bien sûr savoir creuser.
Avec une ong française, en Inde, des enfants de dalits font une exposition de leurs photos; ils ont fabriqué eux-mêmes une camera obscura, et ont pris des scènes de leurs villages. Le résultat est incroyable, le tremblé de l’image superbe. Le procédé technique est celui du sténopé…Je ne connaissais pas ce mot et ai été infoutu d’en déduire le sens… parce que mes prises de paroles sont bilingues ou en anglais, je recherche la traduction anglaise: sténopé = pinhole camera…pas besoin de dictionnaire pour comprendre tout de suite e dont il s’agit…l’anglais, langue concrète, ne met pas le réel à distance…Le chatoiement du monde serait-il plus aisément intelligible à qui parle anglais?
apparemment il y a dans le commerce 17 livres du même auteur qui commencent pas « le goût de » et aucun pour clore le cycle en forme de « le dégoût du goutteux » 🙂
Hamon est le candidat du 800 euros pour tous.
Le mal débute ainsi, pour ceux qui ont autre chose à faire de toute façon: Le travail est un mal nécessaire. Et puis il y aura raréfaction du travail, avec les automatisations, les robots, faisant bosser des robots qui font bosser des robots, qui sont finalement totalement autonomes, alors autant se la couler douce.
Mais des économistes se sont penchés sur cette question de taxer les robots, pour financer ceux qui ont autre chose à faire.
Donc, le verdict: c’est pas possible.
Hamon va devoir rebosser son projet.
Il se rend compte, en écoutant ses conseillers, que Liliane Bettencourt, habituée aux visiteurs du soir, n’est pas concernée.
Ce sera donc 800 euros de prime, pour les accidentés de la vie, en somme.
Et ça, ce n’est pas un mal, c’est nécessaire.
Autant que les autres candidats profitent de cette vraie belle et solidaire idée.
http://www.lcp.fr/actualites/presidentielle-juppe-renonce-une-bonne-fois-pour-toutes-et-denonce-lobstination-de-fillon … Et quelques autres choses encore
Oui, Bloom, c’est comme ça que la résistance polonaise a pris les fameuses photos clandestines à Auschwitz où on voit des femmes nues se diriger vers les chambres à gaz et dans le fond les fosses où brûlent les corps. Didi Hubermann a écrit un bouquin là-dessus.
« Et quelques autres choses encore »
allez, on en a marre, de ce cirque merdiatique.
(sans les griffes)
dans l’gras du cul c’est cqui a dmeilleur dédé..décidément sur pluton on sait pas vivre
Donc, le verdict: c’est pas possible
tarzoune assit sur sa crotte déléfant il écoute son banquier..et houi tout se tient qu’il dit tarzoune
à 20 h 08 min
djavert, tu bois trop. Tu deviens ce que tu es.
à savoir, l’éradiquer totalement comme étant une nuisance souveraine, qui empoisonne toutes les générations
sroudzedoor y dvrait souvnir d’aristote dmarx..de proudon..et dlafargue
djavert, tu bois trop
haaa c’est donc moi djavert..merde jai raté des trucs
Hamon pose la question du progrès, à l’horizon 2150 au moins. Il ne sera plus là pour se présenter.
« .merde jai raté des trucs »
pas tant que ça.
ce gars là est le seul à avoir annoncé un vrai objet de réflexion pour l’avenir sur le revenu universel
..bon c’est fridman qui l’avait rmis dans la boucle..y’était pas con l’lascar..un robot un banquier..c’est fragil et délicat qu’il disait
pas tant que ça
pfiou tu m’rassures..des fois qut’aurais bossé pour la peau tarzoune..dléopard attation
à l’horizon 2150 au moins
y fait rrempart dson petit corps tarzoune..
« La France contre les robots est un essai de Georges Bernanos publié en 1947. Il s’agit d’un recueil de différents textes formant une violente critique de la société industrielle. Bernanos y estime que le machinisme limite la liberté des hommes, et perturbe jusqu’à leur mode de pensée. Pour lui, la civilisation française est incompatible avec une certaine idolâtrie anglo-saxonne pour le monde de la technique. »
vite fait
Et qui c’est qui va te le payer ton revenu universel, rigolo, sinon ceux qui travaillent ?
C’est simplement un impôt supplémentaire. Mais apparemment c’est pas bien compris ici cette affaire.
Parce qu’il est devenu tellement facile de vérifier que je le fais plus jamais, de peur de rester collé pendant deux heures !
serdgio y tire mal et y s’en vante..en tout cas si c’est la guerre civil je srais pas dans ton camp..vdqs
Que ne dirait aujourd’hui Bernanos contre les ordinateurs qui nous sont pourtant devenus absolument indispensables pour vivre, consulter son compte bancaire, acheter des livres en lignes, converser même sur la Rdl ou ailleurs, et même travailler de chez soi.
964
commentaires