de Pierre Assouline

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La République des livres
Bernanos, électron libre

Bernanos, électron libre

Qui lit encore Bernanos ? On ne sache pas qu’il soit souvent au programme. N’eut été le cinéma, ou plutôt de rares cinéastes de génie de Bresson à Pialat, sans oublier le génie du Poulenc du Dialogue des Carmélites, on le lirait encore moins alors que son oeuvre est l’une des plus profondes, et des plus proprement bouleversantes, de la première moitié du XXème siècle littéraire. Lorsqu’on déplore cette désaffection, on s’entend répondre que les tourments de ses héros sont trop datés. Comprenez que les cas de conscience d’un jeune prêtre ou les désarrois d’une novice ne sont plus de notre temps. Comme si la confrontation de l’être avec le Mal n’était pas de tout temps, et que la question de la grâce relevait d’une mode ! C’est dire si le Bernanos (258 pages, 23 euros, Perrin), que Philippe Dufay vient de consacrer à son itinéraire ici-bas, vient à point. Son grand mérite n’est pas seulement d’engager à chaque page à la (re)lire, mais de le rendre vivant avec une finesse et une sensibilité remarquables. Les portraits, exécutés par petites touches, sont saisissants de vérité. A commencer par celui de Bernanos, qui se disait heureux comme un poisson hors de l’eau. Adepte d’un catholicisme « sanguin et médiéval », prolixe à l’écrit comme à l’oral, le bretteur s’épanouissait dans le conflit, le bruit, la dispute. Ce qui valut d’être souvent comparé par facilité à Léon Bloy, et ce n’était pas pour lui plaire. Il était d’une fidélité indéfectible à ses valeurs, ses idées, ses principes. Cela l’a pris tôt et ne l’a jamais lâché. Ce n’est pas une question de politique mais de tempérament. Jeune dragon, il soudoie un camarade pour que celui-ci prenne sa place dans le peloton qui doit passer par les armes l’agent H21 alias Mata-Hari, car il a signé pour être soldat, pas bourreau. Sur la page de garde, quelques lignes isolées annoncent le personnage et son biographe, mieux que bien des analyses :

« Le 25 octobre 1415, un champ de bataille trop gras pour la lourdeur de ses armures et les flèches meurtrières des archers anglais ont raison de la fine fleur de la chevalerie française. On ne passe pas impunément toutes les grandes vacances de son enfance à sept kilomètres et demi d’Azincourt »

Philippe Dufay, déjà auteur il y a plusieurs années d’un Giraudoux d’aussi belle facture, a fait le choix de la biographie mais de la biographie seule. Entendez qu’il raconte sa vie sans analyser son œuvre. Nombre de biographes agissent ainsi, notamment en Angleterre et aux Etats-Unis, afin de ne pas verser dans l’essai, laissant ce domaine aux universitaires. Cette démarche éditoriale se conçoit donc parfaitement, même si elle m’a toujours parue étrange car, dans un parcours de créateur, l’œuvre et la vie sont aussi indissociables que la forme et le fond. En l’espèce, cela nous frustre un peu des attendus des appréciations de l’auteur ; ainsi, on ne saura pas pourquoi Monsieur Ouine est  « le vrai livre de sa vie » et « son roman le plus profond ». Chemin faisant, à travers cette élégie française, le biographe laisse entendre en creux un écho de ses propres convictions, malgré les contradictions que cela suppose. Car Philippe Dufay, royaliste de sensibilité et catholique identitaire (comme on ne dit pas mais cela ne saurait tarder), n’est pas croyant, lui ; or dans cette tradition-là, le trône ne va pas sans l’autel. Ce trouble rend son livre plus attachant encore pour son empathie même, mieux que tant de biographies si complètes mais si froides. Un livre à l’unisson d’un héros nostalgique d’une France qui n’est plus et horrifié d’une France qui s’annonce.

Les pages sur ses démêlés avec Charles Maurras sont passionnantes, de même que celles sur ses rapports avec « son meilleur ennemi » François Mauriac, sur son copain le père Bruckberger et son entourage (« Bruckberger et ses bruckbrebis » se moquait Blondin) ou sur ses brèves rencontres avec le dépressif Stefan Zweig. Plon fut son éditeur sur la durée. On croit comprendre qu’à chaque best-seller, l’auteur eut « le bonheur de péter les Plon ». Son éditeur est également son banquier ; leur correspondance bruit davantage d’éternels problèmes d’avance sur droits, d’impayés, de retards, de poursuites, que de questions formelles ou esthétiques. Père de famille assez nombreuse, le plus motard des écrivains (« Catholique et mécanique toujours ! ») est tout le temps pris à la gorge ; il consacre ses dernières années à des articles et des conférences alimentaires, aux dépens de son œuvre mise sous le boisseau ; pour s’en sortir, il est même prêt à écrire des polars sous pseudonyme, c’est dire ! Ainsi a-t-il perpétré Un crime. Mais lorsque le livre même est évoqué dans les lettres, l’auteur remporte rarement le bras de fer, ce qui ne fait qu’augmenter son amertume. Ainsi ne pardonne-t-il pas à son éditeur de lui avoir imposé de scinder son second roman intitulé Les Ténèbres en deux : L’Imposture et La Joie. Réunis, leur effet sur le lecteur eut été tout autre. La réaction enthousiaste d’Antonin Artaud mettra du baume sur cette plaie. De toute façon, dès Sous le soleil de Satan, il est adoubé par Léon Daudet, Anna de Noailles, Paul Claudel…

C’est un homme aux abois qui choisit de fuir en Amérique latine. Direction : le Paraguay, malgré les préventions de Jacques Maritain contre « cette souricière à émigrants ». Sa première escale le mène aux Baléares où il reste de 1934 à 1937, le temps d’écrire quatre romans au bistro. Ce n’est pas si loin de la France, mais juste assez pour prendre la mesure. Le royaliste en lui comprend et admet que « rétablir la monarchie est aujourd’hui un mot vide de sens ». L’Espagne est livrée à une atroce guerre civile. On s’attendrait à le voir glisser naturellement dans le camp phalangiste. Ce n’est pas le cas. Tout en lui s’insurge contre l’idée qu’on puisse tuer au nom du Christ-Roi. Son admiration pour les nationalistes est de plus en plus nuancée. Le suivi de ses articles dans l’hebdomadaire catholique Sept à partir de mai 1936 tient registre de son lent glissement. C’est Bernanos-le-très-chrétien qui tient la plume, de plus en plus critique, hostile, ennemi des nationalistes ; d’autant que son fils aîné, désillusionné après un passage chez les Phalangistes, lui communique sa révolte. N’empêche : « Qu’est-ce qui, au cours de son séjour à Majorque, a fait « changer de camp » Bernanos ? Si tant est qu’il ait changé de camp… » écrit Philippe Dufay, en dressant l’inventaire des motifs, sans répondre mais en augmentant le mystère. Il faut lire Les Grands cimetières sous la lune, œuvre puissante, pour se faire une idée. On ne s’étonne pas que la presse de gauche s’en soit réjouie, et que celle de droite en ait été consternée. Ce n’est pas un retournement de veste mais quelque chose de plus profond. Les vrais amis que Bernanos compte alors dans les deux bords lui savent gré de déceler dans la guerre civile espagnole la répétition générale de la seconde grande guerre qui s’annonce à l’horizon de l’Europe.

Il est loin quand la France est occupée. Mais il voit clair dès le premier jour.  Au grand dam de ses anciens amis pas encore remis de son revirement espagnol, l’ancien Camelot du Roi réagit sans tarder : « Philippe Pétain est sorti de l’histoire de France le jour de la capitulation de la France, et il n’y rentrera plus désormais ». Que ce soit dans les colonnes de la presse émigré ou micro des radios libres, il ne cessera de dénoncer Vichy. Sans indulgence et sans ambiguïté. De Gaulle, que deux des fils Bernanos rejoignent à Londres, dira de l’écrivain : « Celui-là, je n’ai jamais pu l’atteler à mon char ». Ce n’est pas faute d’avoir essayé. Un électron libre !… De même qu’il avait plusieurs fois refusé la Légion d’honneur, il refusa l’invitation gaullienne à entrer à l’Académie française. On sent le regret du Général qui plaçait le Journal d’un curé de campagne au-dessus de tous les romans publiés en français durant ce premier demi-siècle et même au-dessus de la Condition humaine, c’est dire ! On peut se demander d’ailleurs comment un esprit aussi résolument libre et indépendant que celui de Georges Bernanos avait pu s’accommoder de la discipline et des limites du militantisme lorsqu’il était à l’AF. Jacques Laurent, qui en fut également mais un peu plus tard, livre la clef :

« L’Action française était une chose merveilleuse. Elle était catholique, mais excommuniée. Elle était royaliste, mais complètement bannie par le comte de Paris. C’était une liberté de l’esprit totale ».

A condition, naturellement, de considérer la démocratie comme l’erreur capitale. Quelles que furent les circonstances, il n’a jamais désemparé contre « l’erreur démocratique » et « l’humanitarisme foireux ».

Et les Juifs ? Ce point-là, c’est probablement celui qui freine jusqu’à présent son retour en grâce. Car si ses lecteurs les mieux intentionnés peuvent tenir son royalisme pour du folklore, sa haine de la démocratie pour un excès de langage, ils ne peuvent depuis 1945 contourner la matière brute, primaire, irréductible de son antisémitisme. Il n’use de termes amicaux à l’endroit des Juifs qu’à la condition de voir en eux des étrangers. Jusqu’à sa dernière heure, il n’en a jamais démordu comme le reconnaît son biographe : « Les Juifs, c’est l’argent, et l’argent et les Juifs, c’est la République ». Il n’a jamais renié son seul, son vrai maître : le pamphlétaire Edouard Drumont, auteur de La France juive. Bernanos a même écrit à sa gloire La Grande peur des bien-pensants (1931, originellement intitulé Un témoin de la race, titre rejeté par son éditeur bien inspiré). En 1944, dans le Chemin de la Croix-des-Ames, il écrit ceci à propos du mot « antisémites » qu’il traînera longtemps comme une casserole assourdissante mais qu’il ne reniera jamais : « Ce mot me fait de plus en plus horreur. Hitler l’a déshonoré à jamais ». Est-ce cela qu’on appelle, comme le fait son biographe, un « antisémite vieille école » ? En tout cas, s’il a pris effectivement la plume contre le nazisme, il n’a fort heureusement pas eu à le faire « sa vie durant » ; plutôt quatre années durant, ce qui était déjà bien ; avant 1940, il faut plutôt voir du côté d’André Suarès pour trouver une dénonciation absolue,  véhémente et permanente, des méfaits du nazisme.

Bernanos est mort convaincu que Dreyfus était coupable. Il était royaliste avant de connaître la pensée de Maurras, et l’est demeuré jusqu’à la fin. Le jeune Bonnier de la Chapelle, assassin de l’amiral Darlan à Alger, fut son Guy Mocquet à lui. A chacun ses martyrs. Philippe Dufay en convient : « Il aurait pu être fasciste s’il n’avait, toute sa vie, conservé une foi chrétienne exceptionnelle ». Mais n’est-ce pas au fond la clef de tous ses engagements ? L’oeuvre de Georges Bernanos, tout autant que sa personne, échappent aux catégories en usage. C’est aussi ce qui explique l’indifférence dont ils pâtissent. Nous avançons dans un monde où il se trouvera de moins en moins de gens à qui ce nom dira quelque chose. C’est dire le prix de ce livre.

(Photos Adalberto de Queiroz et D.R)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature de langue française.

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commentaires

534 Réponses pour Bernanos, électron libre

D. dit: à

Qui lit encore Bernanos ?

Ben, moi. Évidemment.

D. dit: à

Comprenez que les cas de conscience d’un jeune prêtre ou les désarrois d’une novice ne sont plus de notre temps.

Grosse erreur.

D. dit: à

C’est un homme aux abois qui choisit de fuir en Amérique latine. Direction : le Paraguay.

Coucou Philippe !

les vertus de l'oubli dit: à

kath-ol-oo identitaires & archers anglais se sont mis à la navigation.tant qu’on peut couper des doigts les flèches sans cible divaguent. raccourcis

John Brown dit: à

Et les Juifs ? Ce point-là, c’est probablement celui qui freine jusqu’à présent son retour en grâce.

jusqu’à présent…

christiane dit: à

Bernanos… Je ne suis pas certaine de préférer sa vie à son œuvre tant je la place haut. Cette écriture qu’il nous a laissée est tellement plus forte que sa vie (à en lire ce billet)…

u. dit: à

En haut, Sergio.

En bas, son nègre.

Chez nous les serviteurs sont plus élégants que leur maître.

u. dit: à

« Ma paroisse est une paroisse comme les autres. Toutes les paroisses se ressemblent. Les paroisses d’aujourd’hui, naturellement. Je le disais hier à M. le curé de Norenfontes: le bien et le mal doivent s’y faire équilibre, seulement le centre de gravité est placé bas, très bas ».

Ça a débuté comme ça.

Sergio dit: à

u. dit: 12 octobre 2013 à 21 h 51 min
Chez nous les serviteurs sont plus élégants que leur maître.

Réplique de Bussy d’Amboise lors que, une fois de plus, il avait servi toute une mise en scène aux mignons d’Henri III, histoire de les provoquer derechef…

hamlet dit: à

« Nous avançons dans un monde où il se trouvera de moins en moins de gens à qui ce nom dira quelque chose »

Dieu merci, oublions le au plus vite, pourquoi vouloir à tout prix réhabiliter des antisémites de cette espèce ? Même Raoul Girardet en était dégoûté… Qui lit encore Bernanos ? Plus personne…

Sergio dit: à

Bon je sais pas si le ramage ressemble au plumage, mais en tous cas cela se présente moultement bien ; j’espère que c’est un billet purement technique, au moins !

Sergio dit: à

« Jeune dragon, il soudoie un camarade pour que celui-ci prenne sa place » : ha ben voilà il a désescaladé son ours alors, comme dirait Ferdine…

contreplaqué dit: à

quand le ciel et la terre se confondent, ça se complique

Au rapport dit: à

Bernanos au programme.
Consensus mou assuré sur la rdl.

Philippe Régniez dit: à

Bon papier.

Pierre Assouline, désarroi ou provocation, vous seriez surpris du nombre de gens qui lisent Bernanos, et pas que des papis. Je ne partage pas votre conclusion pessimiste, c’est tout l’un ou tout l’autre, je penche pour l’autre et il y aura de plus en plus de gens à qui ce nom dira quelque chose. Les sanctuaires sont rares et font partie des besoins humains.

Sergio dit: à

Bon mais est-ce qu’il changeait tout le temps de marque de moto ?

D. dit: à

Attention, Bouguereau, attention. Il y a des limites que je n’aime guère qu’on dépasse.
Si tu veux que je garde la relative sympathie que j’ai à ton égard, tu dois t’excuser de l’insulte que tu fais à l’Église en faisant la promotion de ce genre de vidéo.
Sinon tu n’auras plus que mon mépris, et pour longtemps. Ceci n’est pas dans ton intérêt, car tu n’a plus beaucoup d’amis. Donc j’attends.

Philippe Régniez dit: à

Monsieur Ouine, la présentation de Bruno Lafourcade à la réédition de 2008 :

MONSIEUR OUINE
Présentation
Monsieur Ouine a été écrit entre février 1931 et mai 1940. Ses dix-neuf chapitres furent rédigés en cinq étapes : les cinq premiers, en 1931 ; les huit suivants, de décembre 1932 à décembre 1933 ; trois autres, pendant les sept premiers mois de 1934 ; deux, en 1936 ; l’ultime, au début de 1940.
Ces dates témoignent que ce livre, que Bernanos a porté, posé et repris comme le Christ sa Croix, qui l’a accompagné, parfois comblé et souvent tourmenté neuf ans durant, a connu plusieurs stations : les difficultés matérielles (la toile où l’écrivain fut pris, comme d’autres, toute sa vie) ; les combats politiques (c’est entre le début et la fin de la rédaction de Monsieur Ouine, période rien moins que stérile, que paraissent plusieurs volumes violemment visionnaires, – et autant de récits) ; les angoisses esthétiques (qui culminent dans les premiers mois de 1934), liées au thème et à la complexité de l’œuvre, peut-être aiguillonnées à proportion du sentiment où il est de tenir son texte le plus accompli ; les attaques contre la carcasse, et singulièrement celle du 21 juillet 1933, l’accident de motocyclette qui, à Montbéliard, écrasa et sa jambe et son élan. – Bernanos doute, fléchit, met plusieurs fois le genou à terre – proprement et figurément –, avant de conduire à son terme la sombre histoire de la paroisse de Fenouille.
Curieusement, la parution du récit ne fut pas moins chaotique que sa composition. La guerre venant d’éclater en Europe, le roman vit d’abord le jour à Rio, aux éditions Atlantica Editora, en 1943, – mais dans une copie fautive, tronquée, et notamment amputée d’une partie du chapitre XIII ; or c’est sur cette version que Plon s’appuiera, en 1946, pour éditer une première fois Monsieur Ouine en France.
En 1938, Bernanos avait bien envoyé à son éditeur parisien la dactylographie définitive de la plus grande partie du livre (dix-huit chapitres sur dix-neuf), et en 1940 celle des pages ultimes ; mais le conflit mondial en a bouleversé la publication.
Près de dix ans plus tard, Albert Béguin remet la main sur le manuscrit définitif : ce sera la troisième édition de ce texte, – mais la première qui soit conforme à celle voulue par son auteur.
D’autres ont suivi, notamment en 1961 et 1966 ; cependant, depuis plusieurs décennies, Monsieur Ouine n’était plus disponible en volume autonome, et le public était privé du roman le plus ambitieux d’un grand écrivain français. – C’est ce vide, aujourd’hui, que les Éditions de la Reconquête viennent combler.
Bruno Lafourcade

D. dit: à

Bérénice,

Ce soir j’ai longtemps marché, au soleil couchant, traversant des étendues verdoyantes. Au loin vers l’Est, de gros nuages cotonneux bourgeonnaient et je me suis dit que ceux-ci vous auraient tellement plu, que c’était trop bête d’être là tout seul devant ces merveilles, et vous toute seule ailleurs je ne sais où mais en tout cas pas où j’étais.
Si l’espace-temps vous est difficile à concevoir, je vais évoquer l’espace-moment. Tout lieu est marqué des moments et les aucun moment ne se passe en dehors d’un lieu.
Il me pèse terriblement que vous ne soyez pas dans les lieux de mes moments.

Sergio dit: à

Qu’est-ce encore que ces gars-là, les catholiques identitaires ? Ils vont se mettre des écharpes comme les autres ? C’est l’hiver alors…

xlew.m dit: à

J’ai lu pour la première fois « La Grande peur des bien-pensants » au mois de mars dernier. Une chaîne du service public venait de diffuser un téléfilm sur la vie de Drumont qui dépeignait le journaliste et politicien raté comme un pauvre type scrofuleux et pestilent à souhait joué par un Podalydès convaincu qu’il ne fallait pas se priver de sur-commenter les propos les plus odieux par la gestuelle d’un cabotinage des plus tristement boiteux.
Retrouver le « maître pamphlétaire » dans le livre de Bernanos fut une expérience bizarre, c’est plus l’anti-parlementarisme et la prétendue lutte anti-capitaliste de Drumont qui semblaient le retenir.
Bien sûr pour l’infâme Drumont les puissants juifs, c’était l’argent, et les puissances de l’argent, c’était les Juifs, mais la révérence anti-judaïque n’occupait qu’une petite partie du livre, n’allait pas forcément plus loin. Finalement Drumont apparaissait comme le vaincu de sa propre trahison (après tout il avait requis les suffrages des électeurs. Bernanos se sentira trahi par le chef de l’Action Française peut-être pour les mêmes raisons.)
Habitant à une rue du parvis d’une ancienne cathédrale, je voyais aussi les catholiques de la ville et du département réunis tous les vendredi soirs devant l’édifice dédié à « Notre-Dame » pour un sit-in avec bougies et fanions roses afin de protester pacifiquement contre le « mariage pour tous. » Les contours de la rencontre avec cette lecture bernanosienne prenait un relief de plus en plus nettement découpé, les robots chargés de faire remonter à la France le temps passé semblaient travailler d’arrache-pied et faire les trois-huit, on respirait le grand air des montagnes russes dans la soufflerie de cet étrange manège, le catholicisme français, ce grand muet, s’inventait des supplices pour exercer sa capacité à chanter au milieu d’eux, et chacun pouvait s’en faire le témoin.
Je me permets de faire part de ça pour dire que rien chez Bernanos ne m’a jamais choqué, même sa charge contre l’asservissement humain par la « technique » (à mon avis la racine de l’amour de A. Finkielkraut à son égard, comme de celui qui l’attachera à Heidegger à peu près à la même époque, lorsqu’il se mit à les lire après les avoir voué aux gémonies tous les deux plus tôt sans vraiment les connaître) sonnait un bel accord. La grande beauté de ses romans et de son « cimetière » sont responsables, je le sais bien.
Bernanos, et le billet en fait un rappel utile, fut l’un des premiers français (peut-être lisait-il lui-même le Suarès mis en lien dans le texte) à prédire que le moloch politique bossu né en Allemagne en 1933 allait s’en prendre aux gens du Livre (donc au message chrétien), puis après 1945 à comprendre le développement du foyer juif en Palestine (cf. ce qu’il disait en `48 dans son « Chemin de la croix des âmes. »)
S’il ne devrait y avoir peut-être qu’une chose d’un peu déplaisante chez lui ce serait la reprise du terme « foireux » cher à Drumont. Mais pourquoi le retenir spécifiquement contre lui alors qu’on lit ce mot à tout bout de champ sur internet et dans la presse pour disqualifier tranquillement quelqu’un dans l’incontrôlable joie de montrer la force d’un manque de charité éperdument festif ?
Peut-être justement à cause de cette reprise par un grand écrivain ? Cela voudrait dire qu’on l’a lu et qu’on le lira longtemps encore, mais pour d’infiniment plus profondes choses, profuses dans son oeuvre.

D. dit: à

…qui plus est arborent la cocarde tricolore.

D. dit: à

l’infâme Drumont l’infâme Drumont l’infâme Drumont. Mais Drumont reste un homme, tout infâme qu’il soit.

Philippe Régniez dit: à

Une bonne partie des contributeurs à ce blogue passe son temps à donner des gages ou à se rassurer. Un peu comme ces clubs de supporteurs des équipes de football de Paris ou de Marseille qui voient des arènes partout.

Patrice Merville dit: à

Monsieur Ouine,un chef d’œuvre absolu
Bernanos,respect absolu

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Oui,…je suis là,…je vous écoute,…aussi,…je vous lit très fort,…Ah,…Ah,…c’est çà,…secrétariat & C°,…voilà,…

…Non,…je m’ennuies très fort de tout,…et rien ne m’accroche,…

…quand à ,…Bernanos,…libre,…
…juste un petit rappel,…
…si vous en faite de la mayonnaise,…assumé,…Oui,…assumé,…Nom de Dieu,…suivez les instructions,…
…vous nous ferez de la moutarde après,…mais suivez les instructions,…encore,…

…je m’ennuie, je m’ennuie,…c’est pas une raison de foutre la merde sur le  » théâtre  » des opérations,…

…comme dis B.B., dans sa chanson,…tu veux ou tu veux pas,…j’en ferait pas une maladie,…
…approche Bernard-boss,…Oui,…Couture,…un point à l’an-droit,…un point à l’envers,…
…la flexibilité de Gaule au charbon en- gages des aux parfums de Versailles,…

…l’art de la flexibilité versatile,…du beurre et de l’argent du beurre,…
…résultats des comptes,…forcément, ou en est l’intérêt qui ne se partage point,…

…des rôles, des rôles,…et des devises,….sous l’oreiller,…trempoline plus haut son heaume sur son  » €-cul  » futur,…Bond’s-issant du chef,…Stop,…etc,…
…Oui, c’est beau l’humour Bernanos,…un pied dedans et un pied dehors,…
…pour se les roulez,…le juste-€space,…rien à redire,…c’est comme les taxes,…Non,…retient la vie,…etc,…

…les quiproquos à repassez,…vite fait bien fait à l’emporte-pièce,…etc,…
…dessine-moi, un mouton,…of course,…etc,…
…Oui,…Stop,…Bip,…Ah,…etc,…
..

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Oui,…Oh,…qu’est ce que, je m’ennuis,…
…tout ces sado-mado de marquis à l’attrape-moi-le-Bern-ma-noce,…à deux balles sur la Bastille,…pesants-faux,…Non-Stop,…etc,…
…laisse en pour demain,…etc,…

JC..... dit: à

« A condition, naturellement, de considérer la démocratie comme l’erreur capitale. Quelles que furent les circonstances, il n’a jamais désemparé contre « l’erreur démocratique » et « l’humanitarisme foireux ». »

Judéophobe …! par dessus le marché, potentiellement islamophobe, royaliste et catholique anti Taubira … clairement, Bernie n’est pas fréquentable.

Pourquoi lirait-on un type qui n’est plus « dans le coup, coco », comme on dit ?

Bref, comment peut-on être paraguayen ?!

ELECTRON dit: à

Libre, d’accord, mais qu’est ce que je m’ennuie, tout seul !

Aube Dorée dit: à

Nous Grecs aimer beaucoup Georges Bernanos car avons sentiment même combat aujourdui Action Française jadis.

u. dit: à

Un jour que je visionnais le « Journal d’un CC », une femme de l’est me dit:
« Pourquoi cet homme déteste tant les femmes? »
Il s’agissait de Bresson, bien sûr.

Je suis resté coi.

jojo dit: à

8 h 17 min

toi être ami-ami avec jicé et ténié

georges dit: à

u. dit: 13 octobre 2013 à 8 h 22 min

Toutes des … sauf maman

u. dit: à

Titres de rentrée.

« Pierre Assouline, une passion française ».

u. dit: à

Catholique identitaire, oxymore.

Clopine Trouillefou dit: à

C’esr rigolo, précisément cette semaine, un article aussi élogieux que celui ci-dessus, à propos du même Bernanos, dans… Charlie Hebdo (!)

Bon, c’est juste une coïncidence. Parce que « rigolo » à propos de Bernanos, je suis pas sûre…

Il est vrai qu’à chaque fois que j’ai ouvert un de ses livres, je n’ai pu le refermer qu’une fois dévoré jusqu’à l’os.

Bon, allez, je vous laisse les enfants. Ce matin : cueillette de champignons, cet après-midi : concerts rocks chez les prolos de Cléon.

u. dit: à

« Il est vrai qu’à chaque fois que j’ai ouvert un de ses livres, je n’ai pu le refermer qu’une fois dévoré jusqu’à l’os. » (Clopine)

Inclus?

A mon avis, la phrase en os est appelée par Bernanos.
Une phrase en ailes pourrait venir de Claudel.

Je dis ça je dis rien, c’est Mme Françoise Héritier qui en cause dans son dernier livre, la « parlure » qu’elle dit.

John Brown dit: à

dans un parcours de créateur, l’œuvre et la vie sont aussi indissociables que la forme et le fond

C’est une évidence, bien que ce ne soit pas précisément ce qu’en pensait Proust. Le travail de création fait partie de la vie, et l’étude de leur entrelacement rend passionnante , entre autres,la biographie de Céline par Godard. Cela n’implique pas que l’essayiste porte des jugements de valeur sur l’oeuvre ni qu’il verse dans l’analyse littéraire proprement dite, ce qui est cependant son droit.

u. dit: à

« Bon, allez, je vous laisse les enfants.
Ce matin : cueillette de prolos, pour notre association; cet après-midi : concerts rocks sous champignons-peyotl à Cléon »

On est gamin…

Daaphnée dit: à

D’humeur taquine, ce matin, U. ?

des journées entières dans les arbres dit: à

A la campagne, le curé va devoir changer de Pater.
Une info pour Job: Bientôt une nouvelle traduction de la bible !

Bientôt, à la messe, les prêtres ne liront plus le «Notre Père» en demandant à Dieu : «(…) Et ne nous soumets pas à la tentation (…)». Ils diront : «(…) Et ne nous laisse pas entrer en tentation (…)».

Le Vatican a donné son accord cet été à la publication d’une nouvelle traduction française complète de la Bible liturgique, dont la dernière version remontait à 1993.

Cette modification, destinée à la célébration du culte, sera diffusée en France à partir du 22 novembre.

source: le Progrès.

u. dit: à

Sergio, il a une sacrée gueule.

Vu de plus près, on voit qu’il prend la pose sur un carton peint.
Il ne bougera jamais d’un centimètre.

C’est le photographe qui fournit la moumoute.

Daaphnée dit: à

« L’Action française était une chose merveilleuse. Elle était catholique, mais excommuniée. Elle était royaliste, mais complètement bannie par le comte de Paris. C’était une liberté de l’esprit totale ».

Ah, la liberté d’esprit .. ! Quoi de plus grisant ?

u. dit: à

Le Jour du Seigneur, Daaphnée, à l’écoute de l’Autre.

Dac, Pierre dit: à

Bernanos, à moëlle

u. dit: à

« il n’a jamais désemparé contre « l’humanitarisme foireux ».  »

Je vois, xlew, que foire et foireux viennent de foiron, c’est-à-dire le cul.

« Tu tomb’s su’ l’ foiron, tu ramasses ta viande » (Bruant, 1901)

Mais un humanisme debout?
Il aggrave son cas?

Daaphnée dit: à

Au fait, le jeune secrétaire de Jean Moulin, Daniel Cordier, était à AF ?

(bien aimé le film « alias caracalla au cœur de la résistance » )

Daaphnée dit: à

à l’écoute de l’Autre.

Oulala !
Mon chat n’a pas encore mangé et je vois bien dans son regard insistant, l’ombre d’un léger reproche .. je me sauvvvvvvvvvvve

John Brown dit: à

Monsieur Ouine,un chef d’œuvre absolu (Patrice Merville)

Si c’est un chef-d’oeuvre absolu (qu’est-ce au juste qu’un chef-d’oeuvre « absolu »?), il faudrait tenter de dire pourquoi. C’est le genre d’assertion qu’on peut servir à propos de n’importe quel nanard, de Sollers ou de Weyergans par exemple, ça ne mange pas de pain. « Monsieur Ouine » m’était tombé des mains l’année de mes quinze ans (comme le temps passe), à l’époque où je lisais « le Journal d’un curé de campagne » et « Sous le soleil de Satan ». C’est fou comme les ados d’autrefois étaient affamés de lecture, tout de même. Depuis cette époque lointaine, je n’ai jamais remis le nez dans un livre de Bernanos, n’ayant pas été fortement tenté de le faire. Aussi aurais-je bien besoin qu’un admirateur passionné de « Monsieur Ouine » me donne l’envie de le lire, démonstration à l’appui. Christiane ou Clopine nous font part de leur admiration pour tel ou tel aspect de l’oeuvre de Bernanos, mais sans entrer autrement dans les détails. Des preuves, on veut des preuves.

u. dit: à

Bernanos en 1943, craignant pour la vie de Georges Mandel:

« Si vos maîtres ne nous rendent pas Mandel vivant, vous aurez à payer ce sang juif d’une manière qui étonnera l’histoire entendez-vous bien, chiens que vous êtes – chaque goutte de ce sang juif versé en haine de notre ancienne victoire nous est plus précieuse que toute la pourpre d’un manteau de cardinal fasciste. »

u. dit: à

Celle-ci, sur Daladier et Chamberlain est assez roide:

« On croit entendre la petite bonne s’excuser auprès de sa maîtresse d’avoir été engrossée par le boucher. Après tout, il y a longtemps que Monsieur Chamberlain ne porte plus une natte dans le dos et si on lui a fait une guerre, c’est sûrement qu’il a dû écarter les jambes. »

u. dit: à

« Je suis content d’avoir si mal bâti ma vie qu’on peut y entrer comme dans un moulin. »

John Brown dit: à

Bientôt, à la messe, les prêtres ne liront plus le «Notre Père» en demandant à Dieu : «(…) Et ne nous soumets pas à la tentation (…)». Ils diront : «(…) Et ne nous laisse pas entrer en tentation (…)» (Des Journées..)

Les théologiens catholiques découvrent enfin combien la Réforme protestante avait du bon. Encore un effort…

christiane dit: à

JB
Nous avons longuement et souvent évoqué Bernanos sur le blog de Paul Edel…
Comme ça, à l’arrachée, je vous dirais bien que c’est l’homme qui n’attend rien de Dieu dans ses galères. Un monde dur, noir, froid, incompréhensible pour un croyant sauf que dans les dernières lignes du JCC il écrit : « Qu’est-ce que cela fait ? Tout est grâce »…

u. dit: à

L’ancienne formulation du Notre Père est aujourd’hui jugée blasphématoire, en référence à l’épitre de Jacques:

« Que nul, quand il est tenté, ne dise: « Ma tentation vient de Dieu. » Car Dieu ne peut être tenté de faire le mal et ne tente personne (1, 13) »

Paul Edel dit: à

Une des meilleures études sur Bernanos, on la doit à Hans Urs vont Balthasar , théologien, avec son essai de 5OO pages intitulé « le chrétien Bernanos », éditions « parole et silence ».
Un chapitre époustouflant sur Bernanos et l’église de son temps, est très éclairant, tres riche , et l’itinéraire moral des principaux personnages de bernanos est magnifiquement étudié..
On y trouve aussi des citations rares puisées dans des textes difficiles d’accès ou des extraits de lettres. Ouvrage capital.
Enfin la question des personnages « datés « .
Trop « daté » le personnage de Mouchette? trop daté le jeune curé d’Ambricourt, le prêtre du « journal d’un curé de campagne »? Bien sûr que non.
Mais son curé est confronté, comme Pascal au néant, à l’agonie, à l’indifférence de tout un chacun dans la paroisse, à la maladie. Bernanos est le seul romancier français du XX°°siècle a nous faire sentir comment des personnages sont confrontés au surnaturel, comment ils sont cernés par le mal.. Son jeune prêtre est brulant, complexe, démuni, acharné, fraternel avec le lecteur , déchiré et épuisé à vouloir sauver sa paroisse.. , pris dans les Mystères du désespoir et à la recherche des signes sensibles de la grâce dans son humble vie et dans celle des autres. Dans le « journal d’un curé de campagne », on a tout simplement tout bêtement la question centrale: qu’est-ce qu’une vie morale?
Mais c’est posé en termes d’une exactitude lumineuse.
En comparaison, il y a beaucoup de personnages des romans de Mauriac qui me semblent –pas tous- curieusement datés, comme ses jeunes bourgeoises à chapeaux cloches et ses notaires balzaciens qui vont s’encanailler à Paris..

jean-luc dit: à

@Jonh Brown, vous avez oublié de lire « Nouvelle histoire de Mouchette », jais, chef d’oeuvre absolu. Je vous en rappelle l’argument. Ce roman prend place juste après le célèbre Journal d’un curé de campagne (1936), et avant Monsieur Ouine (1946) qui a occupé les dernières années de l’imagination du romancier. Le prénom du personnage éponyme rattache ce récit au Soleil de Satan dont le prologue relate la triste destinée de la première Mouchette. « La Mouchette de la Nouvelle Histoire n’a de commun avec celle du Soleil de Satan que la même tragique solitude où je les ai vues toutes deux vivre et mourir », écrit son créateur. Le second personnage entretient cependant plus que cette déréliction avec le premier ; de même la Nouvelle Histoire de Mouchette annonce un certain nombre de thèmes développés dans Monsieur Ouine, si bien que la Nouvelle Histoire constitue un pont entre le premier et le dernier roman de Bernanos. Bernanos a voulu écrire une pure tragédie : le destin inéluctable d’une enfant misérable, vouée à la mort par le Mal qui a submergé le monde. La Nouvelle Histoire révèle à sa manière l’emprise démoniaque du Soleil de Satan et décrit minutieusement, comme dans Monsieur Ouine, les arcanes infernaux. En effet, de même que le Royaume de Dieu commence secrètement à advenir dès cette vie terrestre, la voie de la perdition est, elle aussi, également présente. Mais elle est tellement plus prégnante qu’elle obsède Bernanos. Le péché originel y destine toujours l’homme à la solitude éternelle ; le silence de Dieu s’y fait toujours plus mystérieux. Pour certains êtres misérables, l’annonce d’un salut reste inaccessible, c’est pourquoi, en dernier recours, l’écrivain catholique révolté les confie à la grâce divine : « À l’une et à l’autre [les deux Mouchette] que Dieu fasse miséricorde ! » Le lecteur ne sait pas encore qu’il va prendre de plein fouet les conséquences de son manque de responsabilité personnelle : si Dieu paraît silencieux, c’est que nos existences n’incarnent plus sa voix.

Lire la suite sur : http://www.etudes-litteraires.com/bernanos-nouvelle-histoire-de-mouchette.php#ixzz2haVYxI2R

bouguereau dit: à

la reprise du terme « foireux » cher à Drumont

la sactologie meussieu, une des 12 mamelle de la litterature française ! que même lassouline a censurée en son temps rapport a l’effet délétère de ce cucul de proust..qui dans certains passages va jusqu’à s’émouvoir par exemple qu’une fille puisse aller pisser

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…après, une relecture,…un filigrane moins abstrait,…avec un arsenal, de conjectures,…encore french-cancan,…

… » …la page de garde,…on ne passe pas,…à 7 km et demi d’Azincourt « ,…

…comme chacun sait,…il y a bataille et bataille,…c’est pas une  » messe de théâtre pour un carnage  » à se tailler des éperons d’or,…dans la-bourre french,…

…quoi encore, la sentinelle d’état-major,…

…moi,…Monsieur,…de l’analogie des cynismes << sous le Soleil de Satan << et à d'Azincourt,…sur page de garde,…er , alors,…Zorro,…Chef,…à l'€uro,…

…aujourd'hui,…cela, équivaut, à rester planter dans la taxation du " français à-zin-court ",…les bourse vides,…
…pour se les nouer les bouts,…des 3° %,…à l'€,…et,…en même temps la France-moisie ",…de la-bourre,…pleine,…à craquer à droite,…

…en somme, l'économie d'aujourd'hui,…calquée sur les configurations de la bataille d'Azincourt,…( les pieux dans la boue, cachés derrière les banquiers – soldats,…)

…Sant'Angelo,…une autre,…les sacs d'Hermès,…etc,…aux Good's,…Ah,…Bip,…Bip,…Ah,…etc,…

…Bernanos gagnant sur la troisième,…avec les pieds dans le plat,…comme outsider,…

…je m'ennuie c'est fort,…etc,…

bouguereau dit: à

Les théologiens catholiques découvrent enfin combien la Réforme protestante avait du bon. Encore un effort…

c’est à peu prés le contraire jean marron..tu devrais te coltiner un peu la réforme et son primat de la grace..et celle de la contreréforme surtout..foireux!

bouguereau dit: à

en 43 les chleu étaient fait apsque les « curés changeaient »..jme fais pas dbille, nonos est sur le pont avec son kil de gros qui tâche pour allowine..zouzou calçonne none stope

bouguereau dit: à

Ah, la liberté d’esprit .. ! Quoi de plus grisant ?

trés bel hommage..le plusse beau sans doute..suffit d’essayer

cneff dit: à

Qui lit encore Bernanos ? J’ai lu Bernanos durant mes études, pour préparer une „excursion“ à Majorque …. mais il y a longtemps, plus de trente ans déjà ! Bon papier, – peut-être je vais lire le livre de Dufay ….

u. dit: à

 » ‘La France va mieux’. Moscovici ne comprend pas l’attitude des Français’  » (les journaux)

Les Français voient tout en noir, c’est la faute à GB.
Plus fort que le pinard.

Dac, Pierre dit: à

(Cul)veni, (Taxa)vidi, (Mosco)vici !

u. dit: à

Thank you, Paul Edel (Jour du Seigneur), pour Urs von B.

Paul Edel dit: à

Une des meilleures introduction au monde de Bernanos c’est : »Nouvelle histoire de Mouchette ».
Il faut lire les dernières pages sur le suicide. Mouchette pénétrant dans l’eau claire d’une « ancienne carrière de sable fin », et s’y couche comme dans un lit, dans un endroit où les filles du village retrouvent les garçons.
»Le silence qui s’était fait soudain en elle était immense . »
Le silence et la stupeur du lecteur se font immense devant ce récit, net comme un coup de couteau .méditation inspirée sur les convulsions d’une âme : cruauté, solitude, charité, indifférence et égoïsme des autres, grâce.
Récit d’une chute.Parcours et récit des dernières heures d’une ado qui se heurte à aux égoismes d’un village picard et de ses alcooliques.. Meditation aussi chez bernanos sur la predestination au suicide .
Une âme tombe devant nous. Bernanos a le génie de nous faire sentir de l’intérieur les mouvements d’une révolte morale intérieure, une lutte désespérée contre un monde froid

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…comme dirait,…l’autre,…encore du saucisson du Berger,…
…queue c’est bon la crise,…je vois pas l’oignon,…mais je me baisse aux mains de Dieu,…

…Oui,…l’éxil en Sicile,…Non,…
…au moins du Saint- Hélène de Troie,…en Châteaux bordelais du Pape,…avec un gros cachet d’armoirie sur papier  » verge, un jour,… verge toujours « ,…etc,…Stop,…etc,…envoyez,…du re-cul,…

D. dit: à

Très bien dit. Je suis une mouchette à ma façon.

D. dit: à

Je me réjouis d’avoir réussi à stimuler Giovanni.

JC..... dit: à

Il est grand temps que la quarantaine de ministres qui se plantent et nous plantent, se convertissent au Catholicisme Salvateur et que le Roy épouse enfin sa maitresse devant Dieu …

Changeons de logiciel !

Car il n’y a que le Seigneur qui puisse sauver la France au bord de l’abîme laïc et humanistique, facteur du déclin . Que les Maçons aillent faire des pâtés de sable, plus loin … pissant dans leurs frocs, de désespoir.

D. dit: à

Par contre je suis contre le suicide. C’est la seule différence. N’y comptez-plus.

D. dit: à

Je connais de Maçons qui sont des gens très bien, qui ont des principes et qui font vraiment du bien à la société. Je n’aime pas qu’on s’en prenne à la Maçonnerie. Je ne l’encourage pas, mais je reconnais qu’elle attire vers elle des gens souvent très bien et intègres.

John Brown dit: à

Les récents posts de Christiane, de Jean-Luc et de Paul Edel répondent à mes souhaits. Merci à eux. San être du tout allergique à Bernanos, l’athée que je suis se sent très étranger à sa problématique toute imprégnée de christianisme. Le dernier post de Paul Edel à propos de Mouchette me donne des raisons d’y aller voir, d’un point de vue qui n’est pas nécessairement celui d’un croyant.

JC..... dit: à

Tu es payé, Dédé, ou exceptionnellement tu serais franc & maçon ?!

Daaphnée dit: à

Non, non, le Boug’, on la possède ou on ne la possède pas … et elle s’exprime.
Bref, je vais vous faire une confidence.
Si.
Savez-vous avec quelle idée je me suis réveillée ce matin ?
Hé bien, que cette « liberté d’esprit » était la première qualité que j’apprécie chez qq.
Comment ?
J’aurais pu m’en apercevoir plus tôt ?
mmm … déjà, trouver de l’esprit à qq .. !
Oui .. bon, enfin, je ne vous demande pas non plus de commenter ..

Daaphnée dit: à

Je suis une mouchette à ma façon.

C’est vrai que c’est un petit nom qui vous convient très bien.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…du Sir sourire,…Domine-nique,…nique , nique,…s’en allaite en chemin du coeur au seigneur,…des gay’s par çi,…des dépraves par là,…et Du-tronc,…et moi,…émois, émois,…
…Oui,…etc,…envoyez,…

christiane dit: à

Paul Edel et Jean-Luc : MERCI !

JC..... dit: à

Bernanos, Wagner et Bedos : MERCI !

Insectivor dit: à

…une mouchette ?

Paul et Jean-Luc dit: à

christiane : MERCI !

Bernanos, Wagner et Bedos dit: à

JC….. : DE RIEN !

JC..... dit: à

Il suffit d’un rien pour passer des commentaires intéressants de personnes cultivées sur Bernanos -rempart chrétien contre les envahisseurs sarrazins- aux imbécilités structurelles de certains ici qui feraient mieux de se taire, lorsque de beaux acrobates voltigent en l’air sous les hourrah de la bourgeoisie repue …

Grandeur et désespoir des blogs !

il n'a pas tout dit: à

« imbécilités structurelles de certains ici qui feraient mieux de se taire »

Des noms ! Des noms !

dvz dit: à

En tout cas JC vit avec son temps. A bas les cocos et les francs-maçons : voilà une préoccupation très post-moderne. Même u. craint d’aller aussi loin dans la nouveauté.

D. dit: à

J’ai constaté que les gens qui se dirigeaient vers la Franc-maçonnerie étaient des gens en recherche de quelque chose. D’une Fraternité, d’un savoir. Ces personnes sont souvent sympathiques, intègres et altruistes.
Elles ont deux voies devant eux : utiliser leurs qualités au service de l’adoration divine et la sainteté; toujours plus de connaissance sans jamais atteindre la connaissance ultime qu’ils auraient pu en revanche facilement trouver dans l’adoration divine. C’est en cela que la franc-maçonnerie est une œuvre diabolique. Mais ceux qui en font partie restent des hommes pleins de qualités, pas des démons. Les seules qualités qui leur ont manqué à la base sont sans doute le discernement et la clairvoyance.

D. dit: à

Comment va le minou, Daaphnée ?

Le regard fixé sur l'horizon dit: à

JC….. dit: 13 octobre 2013 à 10 h 54 min
sauver la France au bord de l’abîme laïc et humanistique, facteur du déclin .

ah ! voilà une idée neuve ! au nom du sacré-cœur, je dis bravo.

MORASSE dit: à

Merci Passou pour cette chronique… et merci Paul Edel (qui parle à 10.18 et 10.50)… Les bons points suivent (car le vieux motard ne parvient pas à faire démarrer sa machine). Au Paraguay, Bernanos s’essayait entre autres à l’agriculture, comme le raconte si bien Roger Gouze (le beau-frère) qui fut son commensal, là-bas, dans les dures années de la guerre.

JC..... dit: à

Petit oubli. Une faute de frappe, certainement, au sujet de la pensée franche et maçonnée des personnes attirées par la Fraternité :

« Elles ont deux voi(l)es devant elles »
– croire que la part d’animalité diminue chez l’homme lorsque la techné progresse
– imaginer des valeurs universellement partageables

Daaphnée dit: à

Certains devraient prendre à leur compte, et pour le style, le petit chat est mort  » ..

DHH dit: à

aucun commentateur n’a encore cité cette phrase de bernanos qu’il a dû traîner comme une casserole et à laquelle on pense chaque fois qu’il est question de ce romancier
• « Pour ma part, je me suis senti instinctivement mille fois plus près de nos ex-ennemis allemands que de toute cette racaille juive prétendument française et bien que je n’éprouve aucune sympathie personnelle pour M. Hitler, M. Blum m’inspire une bien autrement profonde répugnance. » Bernanos dans La grande peur des bien-pensants

Daaphnée dit: à

Vous vous y êtes reconnue, DHH, c’est tout .

JC..... dit: à

DHH,
Arrêtons de crier à l’antisémitisme des écrivains de l’époque, époque où TOUT le monde était peu ou prou antisémite (à des degrés divers…) car le caractère industriel de la Shoah était à venir. La référence : on avait juste en tête les juifs qui polluaient les puits au médiéval. On était dans l’artisanat…

JC..... dit: à

Ceci étant dit, Blum et Chamberlain sont personnages pour moi très répugnant, mais pour des raisons politiques.

Bien plus répugnants que ce vieux con de Pétain.

Olivier Chararas dit: à

Puisque la RdL s’interesse a tous les aspects de la vie du livre, je profite de la tribune qui m’est ici offerte pour remercier LIBRISTO pretendu libraire sur internet qui attend le week end de mon départ en congé pour me relancer d’un contentieux douteux douteux sans pour autant répondre aux arguments de mes mails précédents, alors que je n’ai pas ici aux pièces du dossier et suis contraint d’attendre le retour à Paris le 23/10 pour pouvoir répondre à leur réclamation. Je recommande LIBRISTO a tous mes amis de la RdL. Urkurkurk.

Emiliano Z dit: à

MORASSE dit: 13 octobre 2013 à 11 h 58 min
Au Paraguay, Bernanos s’essayait entre autres à l’agriculture

C’est curieux, je croyais que la Croix-des-âmes était au Brésil, que Bernanos s’était exilé au Brésil et non au Paraguay, comme il en avait d’abord eu l’intention.

JC..... dit: à

Olivier Chararas,
Il y a ici suffisamment d’aventuriers manquant de jugement pour que vous ne vous sentiez pas seul dans cette tragi-comédie qui vous accable …

Aimé Legandin dit: à

Comme Olivier Chararas, je profite de mon passage à la RdL pour rappeler que la librairie Fromont de Vierzon me doit toujours 27, 90 €.

u. dit: à

« aucun commentateur n’a encore cité cette phrase de bernanos qu’il a dû traîner comme une casserole et à laquelle on pense chaque fois qu’il est question de ce romancier » (DHH)

Cette casserole est la vôtre, cette citation est de Jouhandeau.

Aimé Legandin dit: à

« cette citation est de Jouhandeau. »

Sachant que u. connaît Google comme sa poche et les sites de citations mieux qu’un compilateur du Reader’s Digest, ça doit être vrai.

JC..... dit: à

Aimé,
Puisque vous êtes de ceux qui transformez la RdL en Cour des Miracles, j’en profite pour prendre votre sillage et rappeler à mon beau-père qu’il m’avait promis 12 chameaux et chamelles, si j’épousais sa fille ainée !!!

Et libre accès à la cadette … ce qui ne gâtait rien

John Brown dit: à

époque où TOUT le monde était peu ou prou antisémite (à des degrés divers…) (JC)

N’importe quoi.

Le nègre d'u. dit: à

« La Damnation ne serait-elle pas de se découvrir trop tard, beaucoup trop tard, après la mort, une âme absolument inutilisée, encore soigneusement pliée en quatre, et gâtée, comme certaines soies précieuses, faute d’usage ? »
Nos amis les saints

« Ce sont les Forces spirituelles qui en finiront avec la Tyrannie de l’Argent parce qu’elles en délivreront les consciences, elles redresseront les consciences en face de ces maîtres comme en face de tous les autres. Alors sera vraiment constitué le front de la liberté ».
Lettre aux Anglais

« L’artiste peut se taire, non se donner à demi ».
Nous autres Français

« D’une manière générale, il est juste d’écrire que la Bourgeoisie, depuis cent cinquante ans, peut être définie : la classe française dont le sort, dès l’origine, s’est trouvé lié à l’économie libérale, qui a défendu pied à pied le régime inhumain de l’économie libérale, qui s’est laissé arracher un par un, ainsi que des concessions gratuites, les réformes indispensables. »
Nous autres Français

« Le Brésil n’est pas pour moi l’hôtel somptueux, presque anonyme, où j’ai déposé ma valise en attendant de reprendre la mer et de rentrer chez moi : c’est mon foyer, c’est ma famille, mais je ne me crois pas encore le droit de le lui dire, je me sens trop son obligé pour mériter d’en être cru. »
Lettre aux Anglais

D. dit: à

Sauf bien entendu si nous considérons tout cela selon la Prédestination des âmes. On peut alors considérer que ces gens-là sont voués depuis le début au démon et à l’Enfer. Je n’aime pas trop cette façon de voir les choses, mais je me refuse toutefois à l’exclure.

u. dit: à

@ Aimé Legandin

Merci, Mémé.

TKT dit: à

@ D. dit:13 octobre 2013 à 10 h 57: « Je connais de Maçons qui sont des gens très bien »:
« de » Maçons: Faute de frappe d’une frappe, ou erreur de français ? Votre mot « diabolique » est assez drôle, de la part d’un troll qui empeste ce site depuis 2005, laissant les paroles de l’évangile dans vos toilettes…
Mon grand-père maternel et le père de ma marâtre étaient francs-maçons. Pour celui qui vivait en Saxe, à partir de 1933, c’était assez dangereux de se dire maçon et plus tard, il eut à subir des sévices de la part du Régime (rien de vraiment dérangeant, il eut quand même droit à un prisonnier Français pour sa petite usine). Être franc-maçon est aussi une manière de faire partie d’un réseau économique et vraisemblablement obtenir des marchés. À Londres, le siège est un fort beau bâtiment, avec un magasin qui vend des objets en argent fort décoratif. Se trouve entre le Dorchester et le quartier des théâtres.
D. vous vous mêlez les pinceaux (j’emploie cette expression pour faire plaisir à Clopine, notre humble sœur qui vit retirée sur ses terres), ou c’est diabolique et vous détestez (flirté avec le diable étant votre monopole*) ou, c’est une bonne institution et vous pourriez, alors, y travailler, comme comptable bénévole ?
* Vos jeux S&M, n’ont rien à voir avec la parole de JC (lire celui du nouveau-testament, pas celui de Melun ou d’un Porquerolles fantasmé).
Il y a-t-il une corporation des francs-comptables ?

Dugommeau Roger dit: à

« Blum, bien plus répugnant que Pétain » (JC)

Merci u. de nous avoir fait connaître ce sympathique commentateur.

TKT dit: à

Père Dédé, prêtre-comptable laïc et franche-ordure

D. dit: à

TKT dit: 13 octobre 2013 à 12 h 40 min

Ha ha ha, sacré Thierry, tu m’as bien fait rire. Heureusement que je te connais.
Mais, dis donc, je ne savais pas que ton grand-père faisait tourner son usine avec des prisonniers français, tu m’avais caché ça.

u. dit: à

Bah, il arrive à JC de pousser un peu loin l’élastique, Roger, c’est pour foutre sur la gueule du joueur d’en face…

Rémi Lancel dit: à

Bon, ce blog devient infréquentable, je me casse.
Merci de votre attention.

bouguereau dit: à

ta gueule raclure de jicé..dsk vdqs épicétou..

Hopital, Charité et autre Lazaret dit: à

« Faute de frappe d’une frappe, ou erreur de français ? »
TKT

Miroir, mon beau miroir dit: à

un troll qui empeste ce site depuis 2005
TKT

Choix des mots dit: à

« de la part du Régime »
vontraube

Cette majuscule en dit plus que bien des discours sur les inclinaisons profondes de l’exilé fiscal.

bérénice dit: à

je ne connais pas plus l’oeuvre de Bernanos que les nombreuses dont il est toujours question ici en appel à ces échanges fructueux sur l’honneur attesté cependant l’on pourra voir que l’Homme au centre des débats a du subir comme la moto qui porte l’écrivain vers sa destination finale(terminus frigo?)quelques améliorations liées à l’indéniable et inaliénable progrès qui alimentent nos esprits et psychés jusque dans nos conduites des choses qui nous emploient des loisirs aux engagements les plus fervents en passant par la Lorraine avec ses nike. C’est extrêmement rassurant, votons pour des idées mourons pour un exil vivons tout notre soûl.

bouguereau dit: à

bouguereau dit: 13 octobre 2013 à 12 h 59 min

on en à profité que j’étais en cuisine jicé, occupé à pétrir..une gâche

bérénice dit: à

TKT vous deviez écrire votre généalogie au lieu de venir nous faire transpirer sur le site, c’est rasoir à la fin ceci dit sans animosité aucune mais vous nous faites ….r.

bouguereau dit: à

N’importe quoi.

mais si toutafé jean marron..c’est pas compliqué si les juifs s’aiment maintenant c’est grace a eux..nos pères nos chvaux et celles qui les montaient..dailleurs si dracul s’en va dans les bois c’est pour ne pas avoir a manisfester sa gratitude..si zouzou se coupe l’élastique c’est pour provoquer contre sa volonté des danses irrépréssibles inesthétiques aux environs de saint nic du chardonneret..jicé c’est l’angelot cul nu qui vole sur tout ça

DHH dit: à

Daaphnée dit: 13 octobre 2013 à 12 h 04 min
Vous vous y êtes reconnue, DHH, c’est tout .

Daphnée ,pouvez vous préciser votre pensée ;ce que je crains de comprendre ne vous grandit pas et me semble indigne de l’intellectuelle de haute volée ,bardée des plus hauts diplomes de l’université, que vous etes et qui fait de vous la star de ce blog

bouguereau dit: à

Merci u. de nous avoir fait connaître ce sympathique commentateur

sans caleçon ça srait pas le mauvais bougre..comme disent clopine et jicé c’est le vétement qui rend fourbe et mauvais

bouguereau dit: à

ce que je crains de comprendre

tu hésites à t’en couper l’élastique ?.. ne le fais pas je t’en conjure..

bouguereau dit: à

..pense a ta dignité !

bouguereau dit: à

..putain ma gâche

JC..... dit: à

John Brown dit: 13 octobre 2013 à 12 h 37 min
« N’importe quoi. »

N’importe quoi, toi-même, n’importe qui !

JC..... dit: à

Rédigé par Thierry Idéfix 12:40
« Melun ou d’un Porquerolles fantasmé »

Que les Melunois (Melanésiens ?), et les Melunaises me pardonnent : je crois n’avoir jamais mis le pied dans leur riante cité. (bien entendu, je répondrai favorablement à toute invitation écrite)

bérénice dit: à

DHH Daphnée vite fait bien fait ce que je crois comprendre concernant l’auteur est qu’il n’aimait pas les juifs en raison de leur pouvoir et que ce pouvoir fut lié à l’argent, après tous les diplômes mènent à Rome? N’y aurait il qu’unique destination soumise aux check point que les cohortes interminables d’affeux barbares issus des exclusions sociales ne passeraient? Inclusion élitiste DHH à votre com plissée, haut les mains? Mais il est vrai que pour faire oeuvre de littérature ils ne sont pas les meilleurs, simples esclaves ne sachant pas s’emballer dans l’étoffe des héros ils serviront probablement de chair à pâté pour émission de télé réalité, indispensable nutriment de la masse à jamais débarrassée du labeur opprimant.

JC..... dit: à

Roger,

Blum, avec les conneries imbéciles socialistes d’époque -congés payés, illusions, câlin avec les communistes- n’a rien vu venir des années de préparation de la catastrophe de 1940, et ce vieux con de Pétain a cru, lui dans son gâtisme, traiter avec les Allemands  » honnêtes ennemis » de 1914, alors qu’il jouait avec des fripouilles Nazis et des collaborateurs frankaouis, bien plus frais que lui…

des journées entières dans les arbres dit: à

Bon, voilà du lourd:
« Alain Finkielkraut parle de l’immigration sans nuance et de la nation. Il fait une lecture intéressée de la laïcité, fausse, parce que trop autoritaire par rapport à la version libérale choisie par la France d’hier, que par ailleurs il vénère. Quant à la « nation » et son identité nationale, Alain Finkielkraut les utilise pour sa thèse abusivement. »
http://www.franceinfo.fr/politique/france-info-idees/la-nation-en-questions-1175193-2013-10-13

des journées entières dans les arbres dit: à

Pour les cultureux qui ont une certaine idée de la  » nation », comme d’autres ont une certaine idée de la « radio »

et pour tous ceux, pas dupes:

« Alain Finkielkraut intitule son livre L’identité malheureuse. Fernand Braudel intitulait le sien L’identité de la France. Ouvrons le. On y voit que le premier chapitre de ce livre célèbre porte tout simplement comme titre « Que la France se nomme diversité ».

Jacques Barozzi dit: à

« Je l’ai déjà écrit, je l’écrirai encore. Cinq cents phalangistes le 17 juillet (1936). Quinze mille quelques semaines plus tard, puis vingt-deux mille. Bien loin de contrôler ce recrutement vertigineux, l’autorité militaire le favorise de tout son pouvoir, car elle a son plan. Le jour venu, la besogne faite, rien ne sera plus facile que de désarmer une multitude dont la poussée a rompu les anciens cadres et à laquelle on en a fourni de nouveaux, faits à sa mesure, des cadres policiers. Puis on la versera, par fournées, dans la troupe. L’épuration sera terminée. […]

L’épuration à Majorque a connu trois phases, assez différentes, plus une période préparatoire. Au cours de cette dernière, on nota sans doute des exécutions sommaires, opérées à domicile, mais qui gardaient, ou semblaient garder, le caractère de vengeances personnelles plus ou moins réprouvées par tous, et dont on se confiait les détails à voix basse. C’est alors qu’apparut le général comte Rossi. […]

Dès lors, chaque nuit, des équipes recrutées par lui opérèrent dans les hameaux et jusque dans les faubourgs de Palma. Où que ces messieurs exerçassent leur zèle, la scène ne changeait guère. C’était le même coup discret frappé à la porte de l’appartement confortable, ou à celle de la chaumière, le même piétinement dans le jardin plein d’ombre ou sur le palier, le même chuchotement funèbre, qu’un misérable écoute de l’autre côté de la muraille, l’oreille collée à la serrure, le cœur crispé d’angoisse. – « Suivez-nous ! » – … Les mêmes paroles à la femme affolée, les mains qui rassemblent en tremblant les hardes familières, jetées quelques heures plus tôt, et le bruit du moteur qui continue à ronfler, là-bas, dans la rue. « Ne réveillez pas les gosses, à quoi bon ? Vous me menez en prison, n’est-ce pas senor ? – Perfectamente », répond le tueur, qui parfois n’a pas vingt ans. Puis c’est l’escalade du camion, où l’on retrouve deux ou trois camarades, aussi sombres, aussi résignés, le regard vague… Hombre ! La camionnette grince, s’ébranle. Encore un moment d’espoir, aussi longtemps qu’elle n’a pas quitté la grand-route. Mais voilà déjà qu’elle ralentit, s’engage en cahotant au creux d’un chemin de terre. ,
« Descendez. » Ils descendent, s’alignent, baisent une médaille, ou seulement l’ongle du pouce. Pan ! Pan ! Pan ! – Les cadavres sont rangés au bord du talus, où le fossoyeur les trouvera le lendemain, la tête éclatée, la nuque reposant sur un hideux coussin de sang noir coagulé. Je dis le fossoyeur, parce qu’on a pris soin de faire ce qu’il fallait non loin d’un cimetière. L’alcade écrira sur son registre : « Un tel, un tel, morts de congestion cérébrale. » »
Les Grands Cimetières sous la lune
Editions Plon, 1938

u. dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 13 octobre 2013 à 14 h 00 min

Je n’ai pas lu le livre de Finkelkraut, mais Frédéric Martel, avec cette prose de pion sentencieux, se discrédite lui-même:

« Mais quand on est un intellectuel doit-on mettre de l’huile sur le feu ? Doit-on entretenir les peurs ou tenter de les atténuer ? Doit-on exciter les sentiments les plus vils ? Doit-on citer les auteurs cultes de l’extrême droite sans réserve ? »

Les sentiments les plus vils…

Il n’a rien à répondre, sinon qu’on ne devrait pas penser comme ça.

D. dit: à

TKT a ses ours, il faut l’excuser. Pour moi, il reste un ami. Je sais pas pourquoi d’ailleurs, mais j’y tiens.

des journées entières dans les arbres dit: à

uh uh pas tout compris votre prose
« Il y en a qui contestent
Qui revendiquent et qui protestent
Moi je ne fais qu´un seul geste
Je retourne ma veste, je retourne ma veste
Toujours du bon côté »

En revanche, j’ai parfaitement compris Finkie.
Scandale qu’il ait encore tribune sur une radio !

u. dit: à

Difficile de ne pas avoir de la considération pour Léon Blum, mais il est en matière politique absurdement surestimé.

Un André Tardieu reste complètement méconnu des Français.
Il ne plaisait pas aux notables de province.

u. dit: à

Ma chère Journée, êtes-vous sûre en descendant de ne pas avoir emprunté le toboggan du conformisme?

bérénice dit: à

Eclairez mon ignardise, le conformisme est-ce l’isthme du confort? Ce confort qui nous berce et nous tend les bras de l’oubli mais l’oubli n’est-il pas une des conditions à la vie sinon nous mourrions pour une raison une peccadille un grumeau un autre?

Philippe Régniez dit: à

La phrase à laquelle on pense quand il est question de Bernanos ne serait-elle pas : La sainteté est une aventure, elle est même la seule aventure.

Bernanos vint au Paraguay pour s’y installer, mais il ne trouva pas ce qu’il était venu chercher, il reprit donc ses valises et s’en fut au Brésil, ce qui est une toute autre histoire.

Bizarre de lire ces tentatives de description ou d’explication des oeuvres de Bernanos par des non-catholiques, celle de Mouchette par P.E. ressemble fort à ce que ferait un professeur de seconde aux prises avec un roman américain. De la sociologie aux bras amputés.

Deux essais intéressants sur Bernanos et M. Ouine, Les boues profondes de Georges Bernanos de Bruno Lafourcade, et Georges Bernanos ou la tentation du désespoir de Robert Brasillach. Tous deux partie de la réédition de 1998.

des journées entières dans les arbres dit: à

Le conformisme, uh uh.
C’est l’un de vos  » concepts » ?
Pas des miens.
Voyez le « conformisme » des exilés au Paragay, ça donne des gens à qui personne ne parlera plus. C’est tant mieux. Aux dealers de « bonne aventure » il leur faut des « clients ».

Je viens de voir sur Arte la fin de « la solitude des champs de coton »,
la BO de la fin je pense que c’était ça:
http://www.youtube.com/watch?v=Vi76bxT7K6U

Aucun regret de ne pas avoir vu le début, uh, uh.

le posteur du dimanche dit: à

J’ai peur que bougereau fasse encore une connerie, alors je le mets en garde : la fleur d’oranger est pas du tout indispensable mais, surtout, ne pas lésiner sur le beurre, en mettre 150 g au moins pour une livre de farine.

Feu d'huile dit: à

« Il n’a rien à répondre, sinon qu’on ne devrait pas penser comme ça. »

Comme Finky ?

sam dit: à

DHH l’intellectuelle de haute volée ,bardée des plus hauts diplomes de l’université, que vous etes et qui fait de vous la star de ce blog

là vous en faites un peu trop, elle risque de s’apercevoir que vous vous foutez de gu..

Daaphnée dit: à

Vérifiez vos sources, DHH, cela vous évitera de trébucher en cherchant à vous faire valoir.

Miroir, mon beau miroir dit: à

Daaphnée dit: 13 octobre 2013 à 15 h 39 min
trébucher en cherchant à vous faire valoir.

u. dit: à

M. Régniez aime Bernanos.

Bernanos aime-t-il M. Régniez?

JC..... dit: à

Fabius chantant les louanges de Giap, oubliant nos compatriotes prisonniers assassinés dans les camps ! Et si on remontait à WWII, oserait-il d’autres hommages… ?

Mdr dit: à

A la suite du Philippe Régniez (13 octobre 2013 à 14 h 53 min)
M. Paul Edel est prié :
1°/ de montrer son Certificat de baptême
2°/ de montrer le reçu de son acquittement du denier du culte (ces 5 dernières années)
3°/ de montrer un Certicat d’assiduité aux offices établi par sa paroisse (préférence sera donnée à une paroisse méprisant les réformes Vatican II)
A la suite de ces formalités, M. Paul Edel sera habilité à s’exprimer sur Georges Bernanos et ses oeuvres.
Ces restrictions s’appliquent également à tout commentateur éventuel qui se trouverait dans l’impossibilité de réunir lesdits documents.

Phil dit: à

Bernanos débarqué au Brésil en pleine guerre s’occupe simplement de religion, comme cinq siècles plus tôt Jean de Léry a soutenu Luther sur Copacabana, alors enplumée dans le bon sens, face à Villegagnon, considérable Breton plus occupé de controverses bibliques que de commerce d’esclaves laissé aux mercantiles portugais.
Bernanos n’avait pas d’oreille pour les tourments agnostiques d’un Zweig, couronné d’or et languide au pied d’une secrétaire soubrette.

Daaphnée dit: à

Et l’autre guenille qui vient astiquer son miroir !

Daaphnée dit: à

Bernanos débarqué au Brésil en pleine guerre s’occupe simplement de religion

Mais de quoi exactement, Phil ? Il y vit de quoi ?

Miroir, mon beau miroir dit: à

Daaphnée dit: 13 octobre 2013 à 16 h 10 min
Et l’autre guenille qui vient astiquer son miroir !

N’oubliez pas Daaphnée que ce pseudo est très usurpé,
si ça se trouve Chaloux vous fait une niche pour son anniversaire.

des journées entières dans les arbres dit: à

Il élevait des buffles

TKT dit: à

D., comme vous êtes particulièrement stupide, vous n’avez pas compris ce qu’est un exilé fiscal. Je n’ai jamais gagné un sou en France et je n’aie pas de rentes qui seraient françaises d’origine. Quant je mets la majuscule à Régime, je ne vois pas en quoi cela me rendrait sympathisant du NSDAP. Par contre vous aimez Philippe Régniez pour son travail politique et JC, mets constamment en ligne des propos plus à droite que le FN. Pour ce qui est d’ouvriers Français pendant WW », en Allemagne, il y en avait aussi dans les fermes (voir un film avec Fernandel), cela rien d’extraordinaire. Ce qui est ou était plutôt rare, ce sont les Entreprises, d’une certaine taille, qui avaient un KZ à disposition. La plus connue est IG Farben. Sur les centaines ou milliers de boites du Reich, seulement 50 profitèrent de ce que je nomme des « KZ tender to ». Cela a bien dû exister en France, il est impossible de mettre la main sur des documents (en ligne). Vous aimez aussi rappeler le CNIP, mais D.burné, avec vos idées politiques, je ne vois pas pourquoi vous en parlez. Idem pour votre fiche à propos de Daphnée, quand elle nous raconta une anecdote dans les Andes.
Vous êtes vraiment le plus sinistre sire, qui n’ait jamais écrit ici. Et vous avez l’impertinence de signer « miroir, mon beau miroir ». Vous êtes irresponsable, car atteint de « perversité narcissique ».
Vos circonstances atténuantes ne me font aucun effet.
Je vous souhaite une très mauvaise fin de journée

test dit: à

Le commentaire suivant étant « en attente de modération », nous prenons la liberté de le copier/coller (en ajoutant des traits d’union) pour le restituer :

Nous rap-pelons que les di-plômes de Mlle Daphné (pro-noncer Daaph-néeu) Bouchon sont une maî-trise de lettres et un D.E.A. en com-munication. Comme on dit en lan-gage adminis-tratif : pas de quoi en faire un plat.

Phil dit: à

Daphnée, Bernanos n’était pas pauvre, écrivain connu et lu avant de débarquer au Brésil. Et Rio ne coûtait pas la peau des fesses. Ni Majorque, où l’on risque aujourd’hui plus son caleçon que sa religion.
Comme le temps passe, disent en chœur passoupline et Brasillach.

D. dit: à

« Je vous souhaite une très mauvaise fin de journée »

Eh bien tu as réussi, mon Thierry, je viens de vomir mon quatre-heures.
(Et arrête de me vouvoyer, je t’en prie, tout le monde sait à quoi s’en tenir, ici, au sujet de notre trio, JC, toi et moi.)

bouguereau dit: à

enplumée dans le bon sens

one way !

Dr Lehmann, diététicien, Zurich dit: à

TKT dit: 13 octobre 2013 à 16 h 31 min
je mets la majuscule à Régime

Toujours ces fameux quatorze kilos à perdre, eh ?

Miroir, mon beau miroir dit: à

« Par contre vous aimez Philippe Régniez pour son travail politique »
vontraube

bouguereau dit: à

Fabius chantant les louanges de Giap

c’était le maitre de jcvd et c’est un fan..t’es pas au jus jicé

D. dit: à

Hum, enfin, puisque nous faisons semblant de nous vouvoyer…

Hum, comment allez-vous, cher Thierry ? Vous m’avez l’air de mauvais poil, aujourd’hui.

Prophy dit: à

TKT dit: 13 octobre 2013 à 16 h 31 min

Tu te mélanges Kron.enbourg, tu ne sais plus à qui tu d’adresses.
Tu vasouilles, tu vasouilles.

JC..... dit: à

« Par contre vous aimez Philippe Régniez pour son travail politique et JC mets constamment en ligne des propos plus à droite que le FN. »

Cher Thierry,
Rapport à mes idées de facho con raciste épanoui, le Front National me semble être un parti de gauche conventionnel, quasi mélenchonien, humaniste et collectiviste. Très peu pour moi !

A ma droite … il n’y a plus rien, ni personne. De là, debout sur mon scooter, j’observe avec intérêt l’ensemble du bac à sable qui s’agite frénétiquement : un spectacle prodigieux.

TKT dit: à

@ bérénice dit:13 octobre 2013 à 13 h 20 : Vous n’êtes pas obligée de lire les commentaires. Je vous conseillerais volontiers d’installer l’air conditionné dans votre résidence et de changer souvent de linge, de boire de l’eau fraiche avec du jus de citron, des feuilles de menthe et un peu de gingembre coupé en tranches très fines.
Vous vivez quelle tragédie, Bérénice ?

bouguereau dit: à

la fleur d’oranger est pas du tout indispensable

j’ai mis du gnak..la fleur d’oranger me porte un peu sur le coeur..allaoukbar mais charles martel

Phil dit: à

gare au panneau, jc

TKT dit: à

D. votre dernier pseudo, Prophy, vous l’avez trouvé où ?

u. dit: à

Giap, ça se prononce Ziap, comme l’épée qui tranche le cou d’un fumier de mandarin local.

C’est un grand méconnu.
Il faut encore attendre un peu pour le « revisiter » comme on dit, pendant qu’il sèche dans son impeccable uniforme blanc, avec ses gamelles sur les seins.

bouguereau dit: à

beacoup d’énergie von traube, du temps de nonos, un lavement au cidre vert picard..température de cave..demande a clopine : fraiche comme une gardonne!

bouguereau dit: à

C’est un grand méconnu

pas du tout..grand poteau de qui tu sais..il fait des sketchs pour 250000 spectateurs

Sergio dit: à

On va quand même pas me dire qu’avec une moto comme ça, on peut pas faire mieux ; naturellement faut la préparer, faut pas rester les bras croisés…

Le théâtre de TKT a perdu un âne (un seul) dit: à

TKT dit: 13 octobre 2013 à 16 h 45 min
Vous vivez quelle tragédie, Bérénice ?

WWaahhhh l’humour !
La classe TKT.
On jurerait du Chevalier/Laspalles.

bouguereau dit: à

Bernanos n’avait pas d’oreille pour les tourments agnostiques d’un Zweig

.. »vas te faire enculer » qu’il lui disait

Prophy pas D. dit: à

TKT dit: 13 octobre 2013 à 16 h 47 min
D. votre dernier pseudo, Prophy, vous l’avez trouvé où ?

Cherche Thierry, cherche.

Philippe Régniez dit: à

« Bernanos n’était pas pauvre », il n’était pas riche non plus, il avait pour habitude de se débarrasser de l’argent qu’il recevait en le donnant aux autres, sans compter, histoire de garder la ligne sans doute.

bouguereau dit: à

on peut pas faire mieux

..un tatouage avec un coeur bleue sur la peau blème ?

Dugommeau Roger dit: à

DHH dit: 13 octobre 2013 à 12 h 02 min
aucun commentateur n’a encore cité cette phrase de bernanos
• « Pour ma part, je me suis senti instinctivement mille fois plus près de nos ex-ennemis allemands que de toute cette racaille juive prétendument française et bien que je n’éprouve aucune sympathie personnelle pour M. Hitler, M. Blum m’inspire une bien autrement profonde répugnance. » Bernanos dans La grande peur des bien-pensants

Daaphnée dit: 13 octobre 2013 à 12 h 04 min
Vous vous y êtes reconnue, DHH, c’est tout .

Décidément, ça y va fort, dans la bande à u.

bouguereau dit: à

et celui qui dit qu’il buvait tout en prend une !

Au bar de la RdL dit: à

Vous prendrez bien une Tite mousse, Bérénice ?

Sergio dit: à

bouguereau dit: 13 octobre 2013 à 16 h 58 min
..un tatouage

Il faut d’abord penser à la machine ! Et puis, il a pas de pognon. Adonc, pour commencer, des bracelets : c’est pas cher, les bracelets, et ça pose son mec…

Au bar de la RdL dit: à

Euh… ça fait pas chochotte, les bracelets ?

le clan u. dit: à

Dugommeau Roger dit: 13 octobre 2013 à 16 h 59 min

Avant d’attaquer le vin blanc, avec un sourire.

Daaphnée a un jugement réservé mais très sûr, sur le judaïsme. Il ne faut pas prendre ses propos au pied de la lettre, comme disent les lycéens. Ses dérapages ont leur charme, hein. Bah, ce n’est pas bien grave.

u. dit: à

Avant d’attaquer le vin blanc, avec un sourire.

Yé souis nu.
On m’a arracé le masque.

Fastoche! dit: à

« Bernanos n’était pas pauvre », il n’était pas riche non plus, il avait pour habitude de se débarrasser de l’argent qu’il recevait en le donnant aux autres, sans compter, histoire de garder la ligne sans doute.

Il tirait le diable par la queue et Dieu le lui rendait au centuple.

bouguereau dit: à

c’est pas cher, les bracelets, et ça pose son mec…

pourquoi pas des sacoches a franges ! non..à la rigueur une queue de davicrocket

Sergio dit: à

Au bar de la RdL dit: 13 octobre 2013 à 17 h 05 min
Euh… ça fait pas chochotte, les bracelets ?

Meuh von c’est technique d’ailleurs ça s’apprend dans les bars. Ensuite, il lui faut une poignée de gaz rapide, sinon évidemment ça se traîne…

Daaphnée dit: à

Yé souis nu.
On m’a arracé le masque.

Tout nu !
Est-ce bien raisonnable, U. ?

le gnôme du rhône rôde dit: à

Bon, Sergio, ce qu’on voudrait savoir c’est la marque de la moto.

Sergio dit: à

Fastoche! dit: 13 octobre 2013 à 17 h 11 min
il avait pour habitude de se débarrasser de l’argent qu’il recevait en le donnant aux autres, sans compter, histoire de garder la ligne sans doute.

Ca, ça va. Mais le grand Marcel, lui, il a bouffé toute la galette de son père directos à la bourse. Et un Goncourt, avec tous les ceusses qu’on invite, ça fait jamais qu’un repas, sauf bien sûr pour Romain Gary où lui ça lui a fait midi et soir…

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