Bernanos, électron libre
Qui lit encore Bernanos ? On ne sache pas qu’il soit souvent au programme. N’eut été le cinéma, ou plutôt de rares cinéastes de génie de Bresson à Pialat, sans oublier le génie du Poulenc du Dialogue des Carmélites, on le lirait encore moins alors que son oeuvre est l’une des plus profondes, et des plus proprement bouleversantes, de la première moitié du XXème siècle littéraire. Lorsqu’on déplore cette désaffection, on s’entend répondre que les tourments de ses héros sont trop datés. Comprenez que les cas de conscience d’un jeune prêtre ou les désarrois d’une novice ne sont plus de notre temps. Comme si la confrontation de l’être avec le Mal n’était pas de tout temps, et que la question de la grâce relevait d’une mode ! C’est dire si le Bernanos (258 pages, 23 euros, Perrin), que Philippe Dufay vient de consacrer à son itinéraire ici-bas, vient à point. Son grand mérite n’est pas seulement d’engager à chaque page à la (re)lire, mais de le rendre vivant avec une finesse et une sensibilité remarquables. Les portraits, exécutés par petites touches, sont saisissants de vérité. A commencer par celui de Bernanos, qui se disait heureux comme un poisson hors de l’eau. Adepte d’un catholicisme « sanguin et médiéval », prolixe à l’écrit comme à l’oral, le bretteur s’épanouissait dans le conflit, le bruit, la dispute. Ce qui valut d’être souvent comparé par facilité à Léon Bloy, et ce n’était pas pour lui plaire. Il était d’une fidélité indéfectible à ses valeurs, ses idées, ses principes. Cela l’a pris tôt et ne l’a jamais lâché. Ce n’est pas une question de politique mais de tempérament. Jeune dragon, il soudoie un camarade pour que celui-ci prenne sa place dans le peloton qui doit passer par les armes l’agent H21 alias Mata-Hari, car il a signé pour être soldat, pas bourreau. Sur la page de garde, quelques lignes isolées annoncent le personnage et son biographe, mieux que bien des analyses :
« Le 25 octobre 1415, un champ de bataille trop gras pour la lourdeur de ses armures et les flèches meurtrières des archers anglais ont raison de la fine fleur de la chevalerie française. On ne passe pas impunément toutes les grandes vacances de son enfance à sept kilomètres et demi d’Azincourt »
Philippe Dufay, déjà auteur il y a plusieurs années d’un Giraudoux d’aussi belle facture, a fait le choix de la biographie mais de la biographie seule. Entendez qu’il raconte sa vie sans analyser son œuvre. Nombre de biographes agissent ainsi, notamment en Angleterre et aux Etats-Unis, afin de ne pas verser dans l’essai, laissant ce domaine aux universitaires. Cette démarche éditoriale se conçoit donc parfaitement, même si elle m’a toujours parue étrange car, dans un parcours de créateur, l’œuvre et la vie sont aussi indissociables que la forme et le fond. En l’espèce, cela nous frustre un peu des attendus des appréciations de l’auteur ; ainsi, on ne saura pas pourquoi Monsieur Ouine est « le vrai livre de sa vie » et « son roman le plus profond ». Chemin faisant, à travers cette élégie française, le biographe laisse entendre en creux un écho de ses propres convictions, malgré les contradictions que cela suppose. Car Philippe Dufay, royaliste de sensibilité et catholique identitaire (comme on ne dit pas mais cela ne saurait tarder), n’est pas croyant, lui ; or dans cette tradition-là, le trône ne va pas sans l’autel. Ce trouble rend son livre plus attachant encore pour son empathie même, mieux que tant de biographies si complètes mais si froides. Un livre à l’unisson d’un héros nostalgique d’une France qui n’est plus et horrifié d’une France qui s’annonce.
Les pages sur ses démêlés avec Charles Maurras sont passionnantes, de même que celles sur ses rapports avec « son meilleur ennemi » François Mauriac, sur son copain le père Bruckberger et son entourage (« Bruckberger et ses bruckbrebis » se moquait Blondin) ou sur ses brèves rencontres avec le dépressif Stefan Zweig. Plon fut son éditeur sur la durée. On croit comprendre qu’à chaque best-seller, l’auteur eut « le bonheur de péter les Plon ». Son éditeur est également son banquier ; leur correspondance bruit davantage d’éternels problèmes d’avance sur droits, d’impayés, de retards, de poursuites, que de questions formelles ou esthétiques. Père de famille assez nombreuse, le plus motard des écrivains (« Catholique et mécanique toujours ! ») est tout le temps pris à la gorge ; il consacre ses dernières années à des articles et des conférences alimentaires, aux dépens de son œuvre mise sous le boisseau ; pour s’en sortir, il est même prêt à écrire des polars sous pseudonyme, c’est dire ! Ainsi a-t-il perpétré Un crime. Mais lorsque le livre même est évoqué dans les lettres, l’auteur remporte rarement le bras de fer, ce qui ne fait qu’augmenter son amertume. Ainsi ne pardonne-t-il pas à son éditeur de lui avoir imposé de scinder son second roman intitulé Les Ténèbres en deux : L’Imposture et La Joie. Réunis, leur effet sur le lecteur eut été tout autre. La réaction enthousiaste d’Antonin Artaud mettra du baume sur cette plaie. De toute façon, dès Sous le soleil de Satan, il est adoubé par Léon Daudet, Anna de Noailles, Paul Claudel…
C’est un homme aux abois qui choisit de fuir en Amérique latine. Direction : le Paraguay, malgré les préventions de Jacques Maritain contre « cette souricière à émigrants ». Sa première escale le mène aux Baléares où il reste de 1934 à 1937, le temps d’écrire quatre romans au bistro. Ce n’est pas si loin de la France, mais juste assez pour prendre la mesure. Le royaliste en lui comprend et admet que « rétablir la monarchie est aujourd’hui un mot vide de sens ». L’Espagne est livrée à une atroce guerre civile. On s’attendrait à le voir glisser naturellement dans le camp phalangiste. Ce n’est pas le cas. Tout en lui s’insurge contre l’idée qu’on puisse tuer au nom du Christ-Roi. Son admiration pour les nationalistes est de plus en plus nuancée. Le suivi de ses articles dans l’hebdomadaire catholique Sept à partir de mai 1936 tient registre de son lent glissement. C’est Bernanos-le-très-chrétien qui tient la plume, de plus en plus critique, hostile, ennemi des nationalistes ; d’autant que son fils aîné, désillusionné après un passage chez les Phalangistes, lui communique sa révolte. N’empêche : « Qu’est-ce qui, au cours de son séjour à Majorque, a fait « changer de camp » Bernanos ? Si tant est qu’il ait changé de camp… » écrit Philippe Dufay, en dressant l’inventaire des motifs, sans répondre mais en augmentant le mystère. Il faut lire Les Grands cimetières sous la lune, œuvre puissante, pour se faire une idée. On ne s’étonne pas que la presse de gauche s’en soit réjouie, et que celle de droite en ait été consternée. Ce n’est pas un retournement de veste mais quelque chose de plus profond. Les vrais amis que Bernanos compte alors dans les deux bords lui savent gré de déceler dans la guerre civile espagnole la répétition générale de la seconde grande guerre qui s’annonce à l’horizon de l’Europe.
Il est loin quand la France est occupée. Mais il voit clair dès le premier jour. Au grand dam de ses anciens amis pas encore remis de son revirement espagnol, l’ancien Camelot du Roi réagit sans tarder : « Philippe Pétain est sorti de l’histoire de France le jour de la capitulation de la France, et il n’y rentrera plus désormais ». Que ce soit dans les colonnes de la presse émigré ou micro des radios libres, il ne cessera de dénoncer Vichy. Sans indulgence et sans ambiguïté. De Gaulle, que deux des fils Bernanos rejoignent à Londres, dira de l’écrivain : « Celui-là, je n’ai jamais pu l’atteler à mon char ». Ce n’est pas faute d’avoir essayé. Un électron libre !… De même qu’il avait plusieurs fois refusé la Légion d’honneur, il refusa l’invitation gaullienne à entrer à l’Académie française. On sent le regret du Général qui plaçait le Journal d’un curé de campagne au-dessus de tous les romans publiés en français durant ce premier demi-siècle et même au-dessus de la Condition humaine, c’est dire ! On peut se demander d’ailleurs comment un esprit aussi résolument libre et indépendant que celui de Georges Bernanos avait pu s’accommoder de la discipline et des limites du militantisme lorsqu’il était à l’AF. Jacques Laurent, qui en fut également mais un peu plus tard, livre la clef :
« L’Action française était une chose merveilleuse. Elle était catholique, mais excommuniée. Elle était royaliste, mais complètement bannie par le comte de Paris. C’était une liberté de l’esprit totale ».
A condition, naturellement, de considérer la démocratie comme l’erreur capitale. Quelles que furent les circonstances, il n’a jamais désemparé contre « l’erreur démocratique » et « l’humanitarisme foireux ».
Et les Juifs ? Ce point-là, c’est probablement celui qui freine jusqu’à présent son retour en grâce. Car si ses lecteurs les mieux intentionnés peuvent tenir son royalisme pour du folklore, sa haine de la démocratie pour un excès de langage, ils ne peuvent depuis 1945 contourner la matière brute, primaire, irréductible de son antisémitisme. Il n’use de termes amicaux à l’endroit des Juifs qu’à la condition de voir en eux des étrangers. Jusqu’à sa dernière heure, il n’en a jamais démordu comme le reconnaît son biographe : « Les Juifs, c’est l’argent, et l’argent et les Juifs, c’est la République ». Il n’a jamais renié son seul, son vrai maître : le pamphlétaire Edouard Drumont, auteur de La France juive. Bernanos a même écrit à sa gloire La Grande peur des bien-pensants (1931, originellement intitulé Un témoin de la race, titre rejeté par son éditeur bien inspiré). En 1944, dans le Chemin de la Croix-des-Ames, il écrit ceci à propos du mot « antisémites » qu’il traînera longtemps comme une casserole assourdissante mais qu’il ne reniera jamais : « Ce mot me fait de plus en plus horreur. Hitler l’a déshonoré à jamais ». Est-ce cela qu’on appelle, comme le fait son biographe, un « antisémite vieille école » ? En tout cas, s’il a pris effectivement la plume contre le nazisme, il n’a fort heureusement pas eu à le faire « sa vie durant » ; plutôt quatre années durant, ce qui était déjà bien ; avant 1940, il faut plutôt voir du côté d’André Suarès pour trouver une dénonciation absolue, véhémente et permanente, des méfaits du nazisme.
Bernanos est mort convaincu que Dreyfus était coupable. Il était royaliste avant de connaître la pensée de Maurras, et l’est demeuré jusqu’à la fin. Le jeune Bonnier de la Chapelle, assassin de l’amiral Darlan à Alger, fut son Guy Mocquet à lui. A chacun ses martyrs. Philippe Dufay en convient : « Il aurait pu être fasciste s’il n’avait, toute sa vie, conservé une foi chrétienne exceptionnelle ». Mais n’est-ce pas au fond la clef de tous ses engagements ? L’oeuvre de Georges Bernanos, tout autant que sa personne, échappent aux catégories en usage. C’est aussi ce qui explique l’indifférence dont ils pâtissent. Nous avançons dans un monde où il se trouvera de moins en moins de gens à qui ce nom dira quelque chose. C’est dire le prix de ce livre.
(Photos Adalberto de Queiroz et D.R)
534 Réponses pour Bernanos, électron libre
« la marque de la moto. »
Marque allemande dit le texte.
Bon, cette moto ..
On ne voit pas bien s’il y a le porte-bagage pour mettre la famille nombreuse ..
Mais ce pourrait être une Guzzi, non ?
« ça y va fort, dans la bande à u »
des tordus
La moto est une Gnome Rhône d4
« Pour ma part, je me suis senti instinctivement mille fois plus près de nos ex-ennemis allemands que de toute cette racaille juive prétendument française et bien que je n’éprouve aucune sympathie personnelle pour M. Hitler, M. Blum m’inspire une bien autrement profonde répugnance. »
Marcel Jouhandeau, Le Péril juif , Editions Sorlot, 1938.
Un érudit du blog pourrait-il trancher sur la paternité de cette phrase attribuée ci-dessus à Jouhandeau, oui ou m…?
Oui, Jouhandeau. DHH, le bonnet d’âne!
Daaphnée dit: 13 octobre 2013 à 17 h 26 min
Bon, cette moto ..
Mais ce pourrait être une Guzzi, non ?
Normalement, et même canoniquement, les Guzzi sont, depuis la formation des terres émergées sans compter le Pentateuque, des bicylindres en V. face à la route ; mais celle-ci est sépia et en outre, on n’y voit goutte : donc comme dirait Passou il y a hésitation sans compromis…
L’homme à la moto dit: 13 octobre 2013 à 17 h 32 min
La moto est une Gnome Rhône d4
Bon. Ce qu’il faudrait, c’est que les modérateurs, qui servent à rien, tant on est bons garçons et gentilshommes, téléphonent immediately à Devil pour voir s’ils ont un modèle approprié…
TKT Aucune mais ce ne serait ni le lieu ni l’heure j’insiste néanmoins je réitère ma remarque quant à votre esprit à la chasse TKT vous rentrerez bredouille. Rien à ajouter vous pouvez disposer.
« Bande à U »
Ça évoque une tige coudée.
Sepia, sepia, ne m’en parlez pas .. Sergio !
Bref,
j’avais trouvé un belle image,
http://ts1.mm.bing.net/th?id=H.4620200587821951&pid=1.9&w=300&h=300&p=0
Heu … non, celle-là a 4 roues. C’est too much.
Bon, alors … voilà la Guzzi ( où ça des choses en V ?)
http://ts2.mm.bing.net/th?id=H.5061890679311193&w=201&h=149&c=7&rs=1&pid=1.7
Et tiens, une petite BMW … juste pour le ronronnement,
http://nice-cool-pics.com/data/media/16/bmw_r3__1936.jpg
« « C’est la motocyclette de M. Olivier. » — Une machine allemande, extraordinaire, qui ressemble à une petite locomotive étincelante »
oulala, le bidule va disjoncter
Bon, alors … voilà la Guzzi ( où ça des choses en V ?)
http://ts2.mm.bing.net/th?id=H.5061890679311193&w=201&h=149&c=7&rs=1&pid=1.7
Et tiens, une petite BMW … juste pour le ronronnement,
http://nice-cool-pics.com/data/media/16/bmw_r3__1936.jpg
ça y est, le chose chauffe à mort !
Tout va exploser!
Et tiens, une petite BMW … juste pour le ronronnement,
http://nice-cool-pics.com/data/media/16/bmw_r3__1936.jpg
( 3 images et your comment is awaiting moderation ! pfff !)
Jante caractéristique des Gnome Rhône.
Le Bernanos, électron libre, tourne autour de mon pastaga sur sa Gnome Rhône 13°… il me cerne à vitesse réduite. Menaçant le mec ! Il me regarde avec ses petits yeux cruels et froids … Passou, au secours !
« Bande à U »
Ça évoque une tige coudée.
C’est un peu ça.
Daaphnée dit: 13 octobre 2013 à 18 h 12 min
Et tiens, une petite BMW … juste pour le ronronnement,
On n’avait les Terrot, René Gillet, etc., et depuis, pratiquement plus rien. J’aimerais bien savoir pourquoi la Gaule est devenue incapable de mettre sur pieds une honnête fabrication de motos ou d’ordinateurs, alors que, s’agissant d’un nouveau whisky ou d’une nouvelle vodka, il faut deux heures…
L’homme à la moto dit: 13 octobre 2013 à 18 h 43 min
Jante caractéristique des Gnome Rhône
En tous cas il prend pas trop d’angle, les pneumatiques sont plus neufs que le pavillon de Breteuil…
Daaphnée est innocente. Elle ne maîtrise pas bien le discours, ce n’est pas sa faute. Mais je peux vous assurer que, moi, je sais parfaitement ce que je dis.
incapable de mettre sur pieds une honnête fabrication de motos ou d’ordinateurs
Euh, patron, des ordinateurs gaulois, ça existe. Ils sont paraît-il très bien, mais ils se vendent pas (souvenez-vous du Concorde). Pour les motos, il est vrai que Motobécane a raté sa tentative. Pour les voitures de sport, il y avait MVS, devenu Venturi, des superbagnoles mais, pareil, face aux allemandes, italiennes et anglaises, pas moyen de se faire une place.
En tous cas il prend pas trop d’angle
Sur la photo, le mec a l’air d’un unijambiste. Ça expliquerait. L’unijambiste craint la gîte, c’est connu.
Mais Sergio, pour traduire une idée de moto en réalité de production, il faut un ou plusieurs entrepreneurs, qu’ils soient aidés par des politiques adeptes d’un pragmatisme solide. Une action soutenue. A moyen terme.
Tu vois ce que je veux dire, camarade motard ?! Exception culturelle …
Au bar de la RdL dit: 13 octobre 2013 à 19 h 07 min
Mais Sergio
y a pas de mais !
J’aime beaucoup ce « TKT ». Je trouve qu’il a une voix, une vraie personnalité, une belle énergie.
T’es un vrai motard, Sergio, un vrai… Comme un motard !
Nous sommes nombreux, ici et maintenant, à penser qu’il faut CLONER le sieur TKT et l’envoyer rayonner sur tous les blogs du royaume et d’ailleurs !
La tige coudée dit: 13 octobre 2013 à 18 h 58 min
Venturi
On a bien Bugatti, qui enfonce tuut, seulement je me demande si le seul truc français, là-dedans, n’est pas le nom de la commune : Molsheim…
En tous cas il prend pas trop d’angle
.forcément..nonos va tout droit
le seul truc français
le coeur l’est?..tout suit..sauf le cul évidemment..il reste international..cosmopolite dirait dafnoz
« Bernanos débarqué au Brésil en pleine guerre s’occupe simplement de religion » dit Phil à 16h10
les jésuites n’ont jamais une conception simple de la religion; à y regarder à deux fois, il y a toujours un vice de forme quelque part :
« Imbéciles, ne voyez-vous pas que la civilisation des machines exige en effet de vous une discipline chaque jour plus stricte ? Elle l’exige au nom du Progrès, c’est-à-dire au nom une conception nouvelle de la vie, imposée aux esprits par son énorme machinerie de propagande et de publicité. Imbéciles ! Comprenez donc que la civilisation des machines est elle-même une machine, dont tous les mouvements doivent être de plus en plus parfaitement synchronisés ! Une récolte exceptionnelle de café au Brésil influe aussitôt sur le cours d’une autre marchandise en Chine, ou en Australie; le temps n’est certainement pas loin où la plus légère augmentation de salaires au Japon déchaînera des grèves à Detroit ou à Chicago, et finalement mettra une fois encore le feu au monde. »
http://lodel.irevues.inist.fr/cahierspsychologiepolitique/index.php?id=950
Sergio,quand même, le corporatisme du clan des grosses mobylettes, ça fait pas un peu ancien régime ?
dhh est coincé..ça doit être de quelquepart..enfin que quelqu’un lui donne un coup de main..enfin un coup de n’importe quoi..de manivelle a laverda..en cas d’urgence tout est permis
Faut reconnaître que les P.C. Goupil c’était quelque chose… Déjà c’était compatible avec queue de chique, fermé comme fermé, ensuite j’en ai vu physiquement un dont l’alim grillait, une immense fumée comme dans Gaston Lagaffe…
et finalement mettra une fois encore le feu au monde
il dit surement que c’est l’anglais qui est fétichiss de la machine..c’est eux qu’on inventé la chasse d’eau..le water closette et qu’on ruiné le style jean marron..sus à eux
l’alim grillait, une immense fumée
bref il marchait bien..qu’est ce que tu viens nous embrouiller espèce d’agent de l’étranger
Le texte de Bernanos mis en lien par l’Homme des Bois : « Contre les robots », est d’une drôlerie absolument hilarante….
Le Temps est le meilleur ami de l’Homme.
mobylettes, ça fait pas un peu ancien régime ?
Heu …. ça dépend du tatouage.
est d’une drôlerie absolument hilarante….
..heidegger moins..dans les sacristies on parle futurologie tout en s’occupant de ton oignon jicé..t’es un petit joueur
Au bar de la RdL dit: 13 octobre 2013 à 19 h 07 min
il faut un ou plusieurs entrepreneurs, qu’ils soient aidés par des politiques adeptes d’un pragmatisme solide.
S’agissant des PC (Intel, donc), à un moment on rencontrait quelques intégrateurs qui avaient réussi à sortir du cadre de leur petite ville d’origine, avec des concessionnaires parfois bien situés, d’ailleurs il y en avait des pleins SICOB. Mais maintenant tout cela semble forclos pour de bon. Par exemple Bull aurait pu tenir etc.
bouguereau dit: 13 octobre 2013 à 19 h 30 min
bref il marchait bien
N’eût été le problème du pognon, c’était vraiment à pisser de rire, je revoyais le pauvre machin toute la soirée…
Reconnais Bougboug, que Bernie a la rondelle pendante* du vieux con dogmatique à la fin de sa vie, non ?
*demande une explication ultérieure détaillée
nonos il était bien rencardé question alim qui fume..maritain..bloille..les royaliss..t’en as déja rencontré des royaliss sergio?..moi oui..j’ai été invité plusieurs fois fois dans des « nuits » dans des chateaux mais hantés à fond qu’ils étaient..
du vieux con dogmatique à la fin de sa vie, non ?
dogmatique..tout ça pasque l’a envoyé chier charlot..bien fait!
« Bull aurait pu tenir »
Euh…! Sergio…
Pour qu’ils tombent, il a suffit de les laisser faire… « aidés » par eux-mêmes et le Plan Calcul du grand !
“c’était vraiment à pisser de rire, je revoyais le pauvre machin toute la soirée…“
C’est Barozzi en Asie?
Je suis une burne
JC….. dit: 13 octobre 2013 à 19 h 43 min
Pour qu’ils tombent, il a suffit de les laisser faire…
J’y ai fait des stages d’IA. Des palais bouyguiens, maintenant on verrait cela sous Googleearth… Personnel d’accueil et flics maison à la pléthore, enfin la parfaite image d’Epinal de la gabegie. Les machines, elles, faisaient bonne impression.
Je suis deux burnes
enfin la parfaite image d’Epinal de la gabegie. Les machines, elles, faisaient bonne impression
ho mais ibm c’était plus pire..kurkurk..jicé t’es pas dans l’coup..il s’en ait fallu d’un cheveux..dommage
Tiens, un peu d’humeur douce,
Buarque et Nascimento
O que sera que sera
( la musique, le Boug’, est encore ce qu’il y a de plus cosmopolite ..)
Sergio dit: 13 octobre 2013 à 20 h 08 min
J’y ai fait des stages d’IA.
Ah le bon temps.
Tout le monde avait fait une formation, un stage, un projet de deux mois,
L’université formait, tous voulaient en faire, le marché explosait.
Et l’an 2000 est arrivé.
Ils ont fait du Cobol.
Daaphnée ,Bernanos vit mal au Brésil. Ce n’est pas un gestionnaire, il a contacté la mauvaise (?) habitude de demander des avances substantielles à son éditeur. Le voyage à Majorque a été financé comme cela. D’où cercle vicieux. on dépense vite,la famille est nombreuse, il faut publier, on est sur la paille, on s’ y remet. D’où aussi cette Grande Peur des Biens Pensants, pamphlet alimentaire et drumontolatre, indigeste et baclé comme les livres du modèle. Au Brésil, son expérience d’écrivain éleveur n’est pas loin d’etre une catastrophe. Il faut de nouveau écrire, donner des conférences. De manière générale, et meme en tenant compte des conditions d’écriture du Soleil de Satan de quatorze ans antérieur, les conditions de l’exil Sud-Américain sont tout sauf favorables à l’épanouissement d’un roman.Bernanos vit le drame de la France et multiplie les prises de parole. Il canonne avec des bonheurs parfois inégaux le Philippe Maréchal . On lui doit le mot Pétainerie.Ce n’est pas si mal.Fait moins connu: Bordélique, il égare des manuscrits entre Rio etParis, ce qui fait que la publication de La France contre les Robots,celle des Enfants Humiliés, comme celle de Ouine, devra bien plus à Albert Béguin puis, avec les Cahiers de Mr Ouine, à Daniel Pézeril qu’à Philippe Regniez proprement dit.
Soit dit en passant, l’édition de Ouine qui est introuvable sur internet est essentiellement la sienne…
C’est curieux qu’Urs von Balthazar cité par Paul Edel ne soit pas en odeur de sainteté aux éditions de la Reconquete. A la réflexion, non. On doit s’y méfier des Jésuites, surtout quand ils sont vraiment mystiques et de plus très intelligents…
Bien à vous.
MC
» L’unijambiste craint la gîte, » (sur sa moto)
Mais il est couvert…
La moto, je crois me souvenir que c’est une Peugeot… En tout cas j’ai pu identifier le nom du photographe et je l’ai rajouté. Depuis un grave accident, Bernanos s’aidait de cannes pour marcher. Il les ficelait sur le cadre pour rouler…
Merci, M.Court, pour cette réponse très intéressante .. et très sentie,
énergique.
J’aime beaucoup .
Ce que vous dites correspond à ce que je captais un peu du bonhomme, sans bien connaître l’oeuvre pour autant.
Avec ce que vous dites, tel que vous le dites, on comprend tout.
Merci, encore.
vani dit: 13 octobre 2013 à 21 h 47 min
Ils ont fait du Cobol.
C’était mignon, le cobol ; enfin on n’est quand même pas revenu aux cartes perforées…
Passou dit: 13 octobre 2013 à 22 h 26 min
Il les ficelait sur le cadre pour rouler…
On fait ça maintenant, on va directos hiberner non pas dans le transhibernien comme dirait Joyce, mais à la maison Poulaga… Avec les questions, les légères bourrades, etc…
J’attends toujours tes excuses, Bouguereau. Je ne suis pas du genre à oublier.
Le Cobol existe toujours, c’est ce qui sort vos feuilles d’impôts. Pour ceux qui en payent, bien entendu. J’ai conscience que je ne m’adresse pas à tout le monde.
« bouguereau dit: 13 octobre 2013 à 20 h 15 min »
C’est cela ! ….c’est cela …certainement !
TKT, vos propos à l’intention de Bérénice sont ceux d’un parfait goujat. Je pensais que vous aviez quelques manières avec les dames, même pas.
Revenons au sujet dit: 13 octobre 2013 à 19 h 13 min
J’aime beaucoup ce « TKT ». Je trouve qu’il a une voix, une vraie personnalité, une belle énergie.
_
et surtout une vulgarité sans pareille et tout à fait innée. Il n’y a jamais besoin de forcer chez lui.
Quelle lamentable pitre que ce TKT. Le parfait enfant gâté, largement inculte, prétentieux, arrogant, tête à claques et vieux goujat empâté, rancunier comme pas deux, sans esprit et à l’humour d’un chansonnier de quatrième zone.
Je veux bien respecter toute la Création, mais là je dis Stop, y’a des limites.
C’est des types comme ça qui me feraient perdre la foi.
…
…l’origine de la guerre de cent-ans,…
…
…c’est, le mariage avec le roi d’Angleterre de l’héritière de France,…
…
…coutumes et cupidités, se défient dans cette unions,…présentée comme perfide par les barons et cousins du roi de France,…
…
…à quel sujet sur le vif,…
…le roi d’Angleterre de l’époque était normand de souche, bien sûr,…de par ceux qui s’établirent en Normandie et conquérants du peuple saxon d’Alfred le grand à Hastings « ,..avec l’aval du roi de France,…
…et donc, en vassaux de la couronne de France,…( tout çà de l’époque du haut-moyen-âge ),…
…
…en conséquence, la norme du droit des lignages, était,…disons bousculé, forcé, violé,…( petites habitudes normandes les pieds dans les bottes à sables ),…en somme,…
…
…facilement, le dessein de renverser l’autorité des nobles français sur leurs terres est apparus avec force,…qui refusèrent de s’en remettre au joug » normand-anglais « ,…
…déjà,…que Guillaume le conquérant, à anéantis la noblesse saxonne de son temps,…
…
…ce mariage était apparu comme une » perfidie « , aux yeux des gros Barons français de l’époque,…
…une sorte inverse équivalente du mariage à l’€uro,…refusé par nos amis » normands-anglais « , encore de nos jours,…
…
…or,…le fait d’Azincourt dans la bataille,…
…est que l’ordre du roi anglais de l’époque à été,…
…tués tous ces Barons/français (qui se sont rendus derrière les pics anglais, sans armes en main, et dans les règles de la chevalerie de l’époque ),…
…
…donc,…déjà,…le code de chevalerie » normand/anglais « ,…c’est le cynisme, la perfidie de toute normes de stabilité,…
…
…alors, la chevalerie à l’€uro,…pour mettre les pieds sur la France,…en tenaille avec les à l’€uro,…un dessin,…
…
…c’est évident,…les amis des amis de nos instances européennes,…çà crève les yeux,…outre les francs-maçons – unis de Grande-Bretagne et €cosse,…Cinéma,…pour dominer le monde,…Oui,…
…etc,…Ah,…Ah,…Bip,…Bip,…etc,…
…
…le théâtre des opérations à venir,…toujours du meilleur au pire,…
…
…la cinquième république des lois pour en rire,…c’est court disant,…Ah,…Ah,…Bip,…etc,..
…
…
…pour simplifié,…tués tout ces barons/français,…sans armes à la main,…les rançons on s’en fout,…
…c’étaient, Azincourt,…simplifier,…etc,…
…
Le Front Républicain n’a pas tenu contre le Front National à Brignoles. Pourquoi ? … La nation serait-elle une notion plus prégnante, plus forte, plus profondément enfouie qu’on ne le croit dans l’esprit du bolo de base ? Que la république, avec ses alternances, déçoit ?
Que signifie tout ce merdier ? Une chose toute simple : le niveau politique de nos compatriotes est voisin de zéro, aidé par une Europe impossible à réaliser.
La France redevient provinciale, faite de villages à la Bernanos. GAUDEAMUS …!?
Par bonheur, la république est en train de réagir dans le var contre le cancer frontiste !
Les maçons de la république se sont mis au travail tard dans la nuit. Un mur, déjà baptisé « Mur de la Honte Marine », se construit à grande vitesse tout autour du canton ! « Isolez ! Isolez ! » est le cri entendu par la population fautive qui se réveille et passe de la joie à l’angoisse.
« Vont-ils nous enfermer derrière un mur d’incompréhension ? » interrogent les plus audacieux.
« Vous êtes malades, peut-être contagieux ! nous devons vous enfermer » assure le Préfet.
Il se pourrait qu’il soit déjà trop tard …
Nous voici revenus à des temps pré-révolutionnaires. L’Etat, mastodonte idiot, dépensier, levant impôt sans cesse, est désormais aussi mal aimé que Louis XVI le fût. La grande tweeteuse Marie-Antoinette ne nous fait plus rire par ses manières de précieuse ridicule… Duflot-Lamballe est en fuite.
Le peuple a faim d’emploi, de croissance, de sécurité, et voit l’énarchie politique s’empiffrer de sa misère dans les ors de la république bonne fille, ignorant son quotidien. Les grandes compagnies régentent les trafics dans les quartiers abandonnés, perdus, sous l’oeil compréhensif de la Justice de classe. Que faire ?
Les provinces vont-elles renaitre ? Les gouverneurs, les fermiers généraux vont sauter. La centralisation va être soumise à rude épreuve ! Perdus pour perdus, les ruraux, les citadins vont s’organiser entre-eux pour « appuyer » les missions régaliennes voire les re-créer sur place. Pogroms, exécutions sommaires, règlement de compte révolutionnaire, épuration ethnico-religieuse,… tout est possible.
Tout cela fait peur ! Que vont devenir mes amis de la RdL ? Brûleront-ils mes chers livres …?! Que vont devenir TKT ? Court ? Renato ? Et Christiane… mon dieu ! mon dieu !
Nous voici revenus à des temps etc etc (JC)
Analyse insane
Et John Brown, comment va t il vivre ces temps troublés…. diable, diable ! Il est si fragile.
Et John Brown, comment va t il vivre ces temps troublés…. diable, diable ! Il est si fragile. (JC)
Il n’y survivra pas ; ça vaut mieux d’ailleurs pour l’avenir de ce pays au bord de la faillite; à 102 euros en moyenne par citoyen, l’élimination massive des parasites du genre de John Brown dans des établissements spécialisés discrètement installés dans les forêts du Haut-Var ou du Morvan apparaît comme une mesure de salut public. A l’aune des urgences de l’heure, le programme du FN relève de la poudra aux yeux. Qu’on en finisse vraiment avec le cancer d’un humanisme bêlant d’un autre âge et qu’on se décide à adopter les mesures drastiques tique qui qui s’impoposent. Heil !
Je n’y survivrai pas, moi non plus. Sans Bougboug pour la partie jambes en l’air et Brownie sur son pliant, pour la culture intensive… quel ennui ! La RdL saccagée par des hordes racistes, fascistes, humanistes !
Je ne paniquerai pas : la poudre aux yeux, j’en ai eu plein les mirettes depuis le temps. Mais soyons prudents, tout de même, armons la goélette, soyons prêts. Armes, vivres, une Bible, la trousse de premiers soins, le Bowmore … Partir s’il faut partir ! Arriverai-je jusqu’à Port-Cros, mon dernier refuge ? le monastère des Iles de Lérins, peut-être ? Qui le sait !
Ah ! Brignoles ! Brignoles… ! tu me crèves le cœur !!!
Une grande satisfaction, une joie sans mélange, de la fierté même : les primaires socialistes se sont parfaitement déroulées à Marseille, une ville de « tradition » …
Les résultats de la primaire PS sont à la hauteur de la flotte de minibus communautaires engagés en grand nombre pour ce combat de titan au service des Marseillais ! Quelle managère, cette dynamique Samia Ghali !
Elle s’y connaît en organisation élective dans les quartiers Nord !
Bon ! c’est un blog littéraire, ici.
« JC, dégage ! »
A demain !
Allez, j’ai décidé de quitter la RdL, afin que le niveau s’élève. Adieu !
Allez, j’ai décidé de quitter la RdL, afin que le niveau s’élève. Adieu ! (D)
Moi aussi. D’ailleurs il n’y a pas que la RdL que je quitte. A 102 euros par tête de pipe, j’ai conscience d’être un fardeau pour mes concitoyens. D’ailleurs, en toute honnêteté, je dois reconnaître que je ne les vaux pas. J’ai donc décidé de me porter volontaire pour la première fournée. On m’a dt que notre gouvernement négociait discrètement avec les autorités syriennes le rachat de stocks de gaz. C’était bien dommage en effet de le laisser se perdre. On demande des volontaires pour une première session expérimentale.Je propose aux inutiles dans mon genre de m’accompagner.
Evitons la rupture de stock gazeuse, les inutiles pouvant se présenter nombreux ! Organisons une Primaire des Inutiles désirant accompagner JB dans son sacrifice
Moi aussi, j’ai décidé de quitter la RdL. Je quitte tout, comme Brownie.
Aujourd’hui le haut, demain le bas.
Le plan qu’u. prévoit : notre départ. bouguereau, fais tes valises, l’heure a sonné.
En fait je ne partirai que quand Bouguereau se sera excusé. J’ai des principes.
Noooooooon, pas le bas!
Mais, comme je suis indispensable, je reste, seul lumière évangélique de la RdL, seul troll assermenté par mon maître Philippe Reignez, seul génie scientifique et unique représentant des extraterrestres.
Je suis toujours juste avec mes frères de bloc, et aujourd’hui, jour de Saint Juste, c’est ma fête.
Nous commencerons par une prière pour ces chères âmes de Brignoles, et un Ave Marine pour la future Présidente.
Vive MOI, vive la nouvelle monnaie: Le DD, composé de 100 Deb.
Quelqu’un pourrait-il se dévouer pour commenter sur le blog de John Brown ? Il s’ennuie, tout seul.
Parmi les différents intervenautes qui signent D., certains sont meilleurs que d’autres. Vous ne trouvez pas, Thierry ?
Tous les commentaires (intelligentaires) sont certifiés de ma main et cerise sur ma réserve d’hosties, ils sont garantis bio.
Olivier Chararas dit: 13 octobre 2013 à 12 h 20 min
Bien fait pour vous, il ne fallait pas abandonner les gens en chair et en os.
Bernanos a dit : « Quand la jeunesse a froid, c’est le monde entier qui claque des dents » (je cite de mémoire)
Il suffit de mettre une petite laine. les jeunes sont en général négligents et pensent d’abord à leurs jeux-vidéo.
Quand Daaphnée a chaud, c’est la RdL entière qui a chaud.
M; Court, Ouine est introuvable sur internet tandis que La grande peur des bien-pensants surcote chez les bouquinistes.
J’ai eu une tata qui s’appelait ouine.
Gwenaëlle Ouine. Assistante maternelle DPLG.
Allez-y, Court, il y a un blanc. C’est à vous.
à Phil, 11:00 : c’est un Court-circuit
Phil dit: 14 octobre 2013 à 11 h 00 min
Ouine est introuvable sur internet tandis que La grande peur des bien-pensants surcote chez les bouquinistes.
« introuvable sur internet », vous voulez dire en lecture gratuite ? Sinon, il y en a plein chez Amazon.
surcote chez les bouquinistes ? Pour des éditions originales peut-être, sinon idem, en rayon chez Amazon.
« (Bernanos) aurait pu être fasciste s’il n’avait, toute sa vie, conservé une foi chrétienne exceptionnelle » écrit l’auteur du livre.
« un pessimiste actif fera un fasciste.. » disait à cette époque Malraux de Drieu La Rochelle.
Avec le temps qui passe, il n’est pas sûr que Malraux fût bien écouté aujourd’hui sur franceculture.
« Une sévère. J’en garde des séquelles. »
Sûrement moins cruelle que la marâtre de certain commentateur célèbre, tout de même.
tid, surcote pas seulement des éditions originales. pour les éditions courantes également, papiers normaux. l’année d’édition évidemment, jus d’époque.
(Amazonbook ne chevauche que d’une fesse).
Judicieux rappel, Pierre Assouline. Le Bernanos d’après l’accident est foudroyé dans son corps. Le géant doit s’aider de béquilles. De ce point de vue, il y a un avant et un après 1933. Cela explique-t-il le pessimisme de Ouine?
Sur le séjour au Brésil, consulter le Lapaque qui a rencontré les survivants.
Phil,préférez le français Livre-Rare book, ou le cosmopolite Via libri.
Rien que pour 2008, quatre exemplaires au seul Castor astral, qui ‘illustra naguère en publiant Féliciano,Le Musée Disparu…Et largement plus de 20 dans l’édition d’Albert Béguin…
Bien à vous.
M.Court
PS
La haine du XVIIIeme siècle, bien portée àl’époque par un parti royaliste puissant et sensible aux sirènes de l’Uchronie façon si le Prétendant revenait est antérieure à Bernanos . On la trouve entre autres chez Ernest Hello, article Saint Benoit Labre. Je pourrais ajouter qu’elle transcende les clivages politiques. Cela aboutit à la vente des Fragonard de Grasse à la Frick Collection…
Bouguereau se fait tout petit en tous cas. Je pense qu’il regrette amèrement ce qu’il a écrit.
Je suis prêt à pardonner, mais je veux d’abord le voir à genoux et en larmes.
Phil dit: 13 octobre 2013 à 16 h 36 min
Daphnée, Bernanos n’était pas pauvre, écrivain connu et lu avant de débarquer au Brésil.
Parce que vous croyez vraiment que, en pleine guerre mondiale, il continuait à recevoir tranquillement ses droits d’auteur de l’autre côté de l’Atlantique ?
« monsieur ouine » est en poche au prix de 6, 47 euros.terrifiant constat d’une univers en perdition pour le catho, bernanos, un pessimisme qui laisse perplexe et contredit le message d’espoir des evangiles, le roman , disns le, apparait écrit avec des moyens littéraires assez grossiers,febriles, qui rappellent un honoré de balzac qui « peint » ses personnages,parfois, à gros traits… Il vaut mieux relire « le journal d’un curé de campagne », « sous le soleil de satan » et « nouvelle histoire de Mouchette ».
Probablement une Peugeot 350. Modèle P107 ?
Donnée pour « rouge et grise »…
Réservoir chromé sur la photo : P112 L(uxe) ?
Blousonnement.
mais je veux d’abord le voir à genoux et en larmes
tout le long du labyrinthe de la cathédral de chartres, qu’est ce que j’ai fait dédé
« un pessimiste actif fera un fasciste.. » disait à cette époque Malraux
malraux a essayé de le circonvenir aussi en en faisant un genre de truqueur..l’est pas gonflé malraux
« tout le long du labyrinthe de la cathédral de chartres »
Tout le long !!! le voyage intérieur du labyrinthe circulaire… ? Le long ?!
Pauledel, n’en jetez plus. Le « catho », même gratifiée d’un « foi exceptionnelle », n’est qu’un cache-sexe du fasciste pour la franceculturelle d’aujourd’hui. Le tout est de savoir pour combien de temps encore.
lebouquet de violette, m. Cour a répondu sur ce point. Bernanos n’était pas fils de famille pour passer la guerre en amérique sans problèmes (cf gallimard pour la première).
et n’avait pas la fortune de Zweig qui permit à l’Autrichien de s’installer à Petropolis (Versailles de Rio, pour ceux qui voyagent en costa).
Nucléaire.
« Quand les vits doubles abolissent les frontières » (de la jouissance).
Dessin de Reiser.
cet électron libre là.
« Les jambes serrées contre ce ventre d’essence
Un peu comme sur un cheval j’imagine
Qui aurait deux roues, et ce bruit désagréable
Pour ceux qui ne profitent pas du mouvement »
(merci *°°° )
Ne vous désespérez pas, D+, j’en connais un qui a eu une enfance heureuse excessivement brève : de -9 mois à zéro…
Oui ! notre patronne a toute sa place auprès des Handicapés….
pour 44 euros,on peut acheter le volume »Romans » édité chez gallimard en 1959(cartonnage Bonet)qui comprend sept romans dont,entre autres, « Monsieur Ouine », »Sous le soleil de Satan »et »Journal d’un curé de campagne »
Diable, 44 euros, c’est une somme ! Qui serait bien mieux utilisée dans nos caisses vides que dans la poche d’un libraire riche de regrets
À quand des émissions catholiques pour adultes le dimanche sur France Culture?
Ô mon Eglise!
Laisse la messe aux radios locales ou à l’internet, et invite des intellectuels catholiques à nous présenter leurs analyses!
Ne peux-tu faire aussi bien que les Juifs (Ouaknin) et les Musulmans (Meddeb)?
(Comment ça, « pompeux »?)
Nous rêvons d’un cataclysme météoritique s’abattant sur le sanctuaire saoudique en ce moment, tant de vierges sont insatisfaites : nous manquons cruellement de martyrs.
vu chez Popol : après Christian danseuse, Christiane comédienne (on s’en doutait déjà)
comme les martine. à la plage, à la montagne, sympa. ici, c’est dédé chez tkt.
…
…c’est vraiment des propos,…pour que tout le monde y glisse et s’en tasse,…
…
…vraiment,…la diversion,…tout ces €uros me les glacent à deux balles,…
…
…Vive la France libre,…libre de quoi,…Stalag 13 à Brêge-ty-Gniolles,…encore un effort,…
…
…Tournage-Cinéma,…Coco-Chanel rapplique son Ferdine à Céline,…la Cola-boss,…
…long-métrage,…prévoir gode-portatif et pile de rechange,…pour l’apparition de la vierge avec lunettes 3D,…relief,…Strip-intégral,…Sissi,…
…
…le Cinéma qui abroge vos péchés,…vous en gagner en sainteté,…pour y revenir toujours plus nu,…en Grâces imberbes,…aux folies bergères des Dieux en transhumance,…
…
…QUI DIT MIEUX,…
…on va la vendre cette littérature d’illusions,…sans châteaux sans domaines sans pantalons,…à deux balles,…d’intérêts,…le col-blanc,…les mains propres,…aux pompes,…etc,…
…
…avec tout çà,…métro-boulo-dodo-photo-moto-aoto,…le Japon occidental sur mesure,…etc,…
…envoyez d’un trait,…à la grâce des Dieux,…
…reçu cinq sur cinq,…aux baise-mains,…l’aristocratie des parfums aux toisons d’or de Versailles,…Bip,…Bip,…Ah,…etc,…
…Sir Domine-nique – nique,…etc,…
…
» u’est ce que j’ai fait dédé »
Inutile de faire l’âne pour avoir du son, bouguereau. Surtout quand le son en question émane de créatures satanisses et bolchéviques, créées à ta monstrueuse image par David Lee Astaroth.
Tu le sais, pourtant, abject bouguereau,mais tu n’en n’as cure, que que mes délicats tympans ne vibrent qu’aux accents douloureux du Stabat mater de Pergolèse.
Ou alors aux cantates, qui s’élèvent en volutes déchirant la troposphère, la stratosphère, l’hémisphère pour arriver jusqu’à Ses oreilles, du sublime Johan Sebastian.
Jesus, bleibet meine Freude !
Que dis-tu, immonde mécréant ? Quelle abomination sort de ta bouche écumante, fétide, où les chicots sont plus nombreux que les puces sur un chien ? Jésus, que ma queue meure de joie?
C’en est trop.
C’en est davantage que je ne puis endurer.
La messe est dite.
Je quitte pour toujours, pour toujours dis-je bien, ce pandémonium qu’est devenue la RdL. Ma décision est irrévocable, sachez-le.
Je me retire dans un monastère, probablement du côté des Météores, car j’adore la cuisine grecque, melitzanes et tzatziki de préférence.
Mais jamais de viande, mon estomac ne le supporte pas. Un petit souvlaki de rien du tout et me voilà malade comme un chien, à vomir mes tripes comme un possédé (pardonnez-moi ces détails peu ragoûtants, amis lecteurs, mais j’ai juré, jadis, vous en souvient-il ? de ne jamais rien vous celer).
J’aime assez Agios Stefanos. Qu’en dites-vous Sergio, homme de sagesse et de culture ?
dédé devrait faire un stage de morse chez l’angelo.
Giovanni Sant’Angelo dit: 14 octobre 2013 à 16 h 23 min
gode-portatif
Les fixes aussi ont leur charme… Finalement c’est comme tout faut les deux…
des journées entières dans les arbres dit: 14 octobre 2013 à 13 h 27 min
ce bruit désagréable
Pour ceux qui ne profitent pas du mouvement »
Faut les mater ; en plus de toutes manières les taupes se retournent immanquablement et immediately à plus de deux kilomètres…
…
…merci,…pour votre invitation,…votre participation nous assure des trip’s-types,…
…un paradis de J.Boch,…sur langues de bois,…etc,…
…
Prière de ne plus me déranger pour des vétilles, siouplé.
Je suis en ce moment même au guichet de la Lufthansa. Une charmante hôtesse (1,92 m au garrot) me propose une place en bizness class. Je me tâte, j’hésite. Je suis tenté d’accepter l’alléchante proposition. C’est un peu cher pour mon budget, certes, mais je n’ai qu’une parole et mon départ ne saurait souffrir davantage d’atermoiements.
Tiens,tiens… la voilà qui griffonne à la hâte quelques chiffres sur la pochette du billet, en me gratifiant d’une oeillade que je qualifierais de coquine, si ce mot faisait partie dans mon vocabulaire.
On dirait bien un n° de portable, tout compte fait.
Qu’est-ce que cela peut bien vouloir dire ?
…
…une macro – économie à deux balles sur le plat-pays,…etc,…
…
votre invitation… au panier…vite fait… trop tentant…tout de même, …etc,…
Bon alors, ces excuses, bouguereau, ça vient ?
Ca fait trois fois que le commandant de bord vient me voir dans ma cabine, la casquette à la main, les yeux fixant ses godasses, l’air un rien gêné.
Un peu comme Thierry quand il va se faire mettre à jour par la grosse Hilda, derrière la gare centrale de Zürich.
Je sens qu’il veut me dire quelque chose, mais il n’ose pas.
Je lui ai dit en embarquant que j’attendais un câble de la plus haute importance. D’ici là, interdiction ab-so-lue de décoller. Verboten !
Je ne vais plus pouvoir maîtriser la situation très longtemps.
Bouguereau, si tu te maniais la rondelle, mmmhhh ?
D. dit: 14 octobre 2013 à 17 h 12 min
Qu’est-ce que cela peut bien vouloir dire ?
Si c’est aussi en classe biznesse ça risque de pas être donné…
Je suis serein, distancé, ami d’tout le monde, mais cet empâtement sous casque m’inquiète un peu.
« Il s’est beaucoup restreint, aujourd’hui il se permet le fromage » (Valérie T., interrogée sur la 5)
Qui abuse du fromage devient poire.
si c’est qu’un peu zouzou..tu serres les fesses tu devrais sauver la face
« Une charmante hôtesse me propose une place . Je me tâte, je suis tenté »
Gros dégueulasse.
pour bien récipiscer faut connaite la cause dédé..sans savoir on est innocent
« de couacs au sein du gouvernement »
Je n’aime pas cette expression.
On prend des ministres pour des bêtes à plumes.
J’ai remarqué dans les commentaires de Giovanni san’Angelo la rémanence systématique de la locution « à deux balles » destinée à le faire s’auto-dénigrer dans sa critique du j’menfoutisme généralisé des interventions sur ce blog. Au fond, rien pour lui n’aurait de poids ni de valeur mesurable dans les propos échevelés des trolls de ses pairs sévissants, pas plus que dans ceux de sa personne souffrant apparemment le calvaire d’une fièvre aphteuse ou de cachexie exanthématique endémiques. Tout se passe un peu pour lui comme pour la Naja-Naja aspirée dans les volutes de fumée impondérables des premiers romans de JMG Le Clézio.
On peut par ailleurs légitimement se demander si la plupart des propos ouvertement racistes ou xénophobes de ce blog… ne correspondraient pas à la nécessité d’une soupape de sûreté commune chez leurs auteurs, en vue d’exorciser dans le confort de l’anonymat, la haine qu’ils se portent à eux-mêmes et à leurs pairs d’infortune, à cause d’un sentiment indicible de détestation de leurs élèves en classes de français. C’est un peu comme chez L.R. des Forêts, dans le Bavard, quand l’indicible vient frapper quelque part à mesure qu’il est devenu incoercible, ou mieux, comme chez H. Melville, quand le bégayeur Billy Budd, n’a plus d’autre ressources, -devant une scandaleuse accusation-, que de ne pouvoir contrôler le langage des ressorts de ses poings.
Et tout cela, sous le regard indifférent d’un dieu demandant vengeance, un dieu totalement désertifié des lignes virtuelles de ce blog.
Les fixes aussi ont leur charme… Finalement c’est comme tout faut les deux…
il suffit de coincer un portatif entre 2 commodes
« On dirait bien un n° de portable, tout compte fait.
Qu’est-ce que cela peut bien vouloir dire ? »
N’y vas pas.
À tous les coups tu tombes sur un mec.
Perpendicul.
c’est pas d’équerre ton truc
Berne à nonosse, électron libre… et Electre tronc libre aussi ?
..t’es souvent mal tombé zouzou
..les deux commodes doivent être maous aussi..sinon raaaaf..sur le cul
boudegras, Electre étron coincé
« Perpendicul »?
Paire pend di cul?
C’est non.
On se moque ici de l’accent de nos frères des quartiers sensibles.
« la plupart des propos ouvertement racistes ou xénophobes de ce blog… ne correspondraient pas à la nécessité d’une soupape de sûreté commune chez leurs auteurs, en vue d’exorciser dans le confort de l’anonymat, la haine qu’ils se portent à eux-mêmes »
C’est extrêmement sévère.
On veut des noms et des citations précises.
Court, Electre tronc déchéreautisé
« ..les deux commodes doivent être maous aussi..sinon raaaaf..l »
Je suis un gros cul, c’est ça?
Gueule de poire aussi?
Mais n’est-ce pas au fond la clef de tous ses engagements ? L’oeuvre de Georges Bernanos, tout autant que sa personne, échappent aux catégories en usage. C’est aussi ce qui explique l’indifférence dont ils pâtissent. Nous avançons dans un monde où il se trouvera de moins en moins de gens à qui ce nom dira quelque chose. C’est dire le prix de ce livre.
qui patissent..et le nom c’est qui ? j’comprends pas sauf que ça fait exécuter demain à l’aube un gazier déjà anonyme par un ploton qui doit ête de service dans un vague cul de basse fosse..chronique d’un genre de duel par procuration dont t’as choisi les armes..vdqs
Tu relis le billet à chaque fois que tu interviens?
Respect.
On veut des noms et des citations précises
..mais non c’est pas toi qui patissent zouzou..t’es trop parano..
Respect.
hum..disons que je préfère les remords aux regrets
Et tout cela, sous le regard indifférent d’un dieu demandant vengeance, un dieu totalement désertifié des lignes virtuelles de ce blog
comme par exemple ça tu vois zouzou..ben c’est un peu l’même genre
c’est dénégatif machin truc
En plus, là-dessus, faut kicker. Avec une jambe pratiquement en moins, c’est déjà plus coriace.
Enfin cela n’empêche pas de mettre des cornets, une fois qu’on est dessus faut que ça trace. Un seul, probablement, puisqu’il doit n’y avoir qu’un cylindre. Comme cela on peut se débarrasser du filtre à air, c’est très laid, un filtre à air…
Enfin il a quand même pas cassé autant de motos que Saint-Ex d’avions ? Ca c’était des mecs, au vrai…
« faut que ça trace »
ouh mais elle devait bien faire du 60 à l’heure, attention.
quand même pas cassé autant de motos que Saint-Ex d’avions ?
ni autant que bouguereau de pots.
mouais, ça pourrait bien être une Peugeot :
http://www.pixauto.net/circuit-montlhery-2010/moto-peugeot.jpg
euh non, en regardant bien on peut voir la marque sur le réservoir et je crois lire Motobécane.
je me demande si Philippe Dufay est un parent à François Dufay qui fut un grand journaliste.
En tout cas il n’est pas parent avec Marcel Dufay.
je confirme. ou alors un cousin éloigné…
Ma mère a un frère qui s’appelle Philippe, mais son nom de jeune fille n’est pas Dufay, donc ça ne peut pas être le même.
« je me demande si Philippe Dufay est un parent à François Dufay »
TKT doit savoir.
François Dufay qui fut un grand journaliste
Impossible : il a travaillé à L’Express.
@ Bouguereau… « chronique d’un genre de duel par procuration dont t’as choisi les armes..vdqs »
Quique pas toujours d’équerre, j’aurais mis cqfd, mais sait-on jamais ? Quant à partager le plaisir de la dive bouteille avant tout, et tant qu’à être supérieurement olympien, suffisament assis sur toutes les provocs au point de ne tomber dans aucune des chausse-trapes tendues, alors il est bien clair maintenant qu’une sainteté laïque incarnée et assidue se dégage de ce blog à qui veut bien la dénicher. Elle n’est pas loin, comme à portée de la main, il suffisait de la sentir : chapeau bas, monsieur de Bougrelon !
Y’en a quan y cause qu’on comprend rin de rin.
l’écriture en mouvement
http://www.youtube.com/watch?v=g266Uwp6ZnI
Sergio dit: 14 octobre 2013 à 16 h 45 min
Alors, Sergio, mater je ne sais pas.
J’ai lu un peu de « Exil, errance et marginalité dans l’oeuvre de Georges Bernanos » ( ouvrage collectif, sous la direction de Max Milner), et dispo sur la toile.
Si je devais meubler lors d’un dîner en ville, je dirais:
Bernanos ?
Ah mais oui. Il s’est exilé volontairement au Brésil, il y a passé presque 8 années. Au départ c’était des destination le Paraguay, un » rêve de jeunesse », et puis le » leurre » s’est révélé catastophique !
« Pourquoi le Brésil ? »
Car les accords de Munich ne lui convenaient pas.
Eh oui, mais l’idéologie, même chrétienne » médiévale », même antisémite ne nourit pas son homme. Alors les buffles, c’était un mi-temps, en fait. Et il ne parlait pas le portugais, vous voyez, les buffles, ça ne pouvait être qu’une couverture. Le reste du temps il donnait des conférences . On pourrait dire à l’AF. En fait ce n’était pas action française, mais une sorte d’ancêtre d’alliance française,( un truc d’expat’) j’imagine.
Mais il était plus doué pour les fictions que pour les pamphlets, ou autres prophéties venues d’ailleurs. C’est que pensait son éditeur à l’époque, qu’il était plus doué pour les fictions. Alors il faisait des fictions pour gagner un peu de quoi nourrir sa nombreuse famille, et le reste du temps, pour le fun, il faisait l’apôtre.
Et à la fin de sa vie, toujours en exil volontaire, il a passé les derniers mois en Tunisie. Je ne sais pas s’il avait encore sa moto, à cette époque là.
Voilà Sergio, et je ne fais jamais de moto. Trop dangereux !
Bon, Sergio, il y a quelques fautes de frappe.
Mais à l’oral, ça ne se voit pas.
Je commence à en avoir marre de ces roues à rayons et de ce phare surdimensionné.
De plus il n’y a pas besoin de se vêtir de la sorte pour faire de la moto. Quand je fais du 103 en été, je suis en short et polo, avec de simples lunettes pour faire écran aux mouchettes.
@ »Y’en a quan y cause qu’on comprend rin de rin ».
Faites un effort pour une fois, au lieu de jouer les abrutis ou les demeurés…
« Et ne nous laisse pas entrer en tentation »… sûr qu’avec cette nouvelle formule messalisante du pater noster parpaillot, le pieux et tourmenté Bernanos n’aurait pas eu besoin d’écrire « sous le soleil satanique », ni même de pétarader en motocyclette.
DJEDLA dit: 14 octobre 2013 à 21 h 07 min
En fait c’est pas tout à fait ça.
G.B n’a pas du tout, mais pas du tout supporté le soleil brésilien.
« Nous avançons dans un monde où il se trouvera de moins en moins de gens à qui ce nom dira quelque chose. C’est dire le prix de ce livre. »
Enfin, quand on me diras » et Bernanos ? », au moins ça me dira quelque chose.
Je saurai répondre quand on me dira : « C’est un homme aux abois qui choisit de fuir en Amérique latine. »
quand on me dira, naturellement.
Ici je suis chez moi.
Qui lit encore Bernanos ?
Ben, moi.
Et, en classe, l est son arrière petite fille. Lou.
Et avant de vous quitter Djedla , il me faut vous préciser que, – Dufay, je ne sais autre que » royaliste et catholique identitaire »-, Max Milner est professeur émérite à Paris III.
Et que ma lecture d’une partie de son ouvrage, nécessite que vous alliez y voir de plus près.
Et, en classe, la mienne, est son arrière petite fille.
Drôle de vie j’ai.
Mon ordinateur renâcle, moi aussi.
Je ne vais pas vous parler ; ai acheté cinq cartouches d’encre pour copier le post d’Olivier C. sur Socrate.
Et y penser.
A plus tard.
Pire que l’alcool et pire que le cul (sans amour) il y a l’argent.
Certaines choses sont incompréhensibles.
Les rêves parfois, sans les attendre, donnent des clés effrayantes. Et intimes.
On pourrait espérer que le Notre Pére soit au minimum écrit en français…
« Entrer en tentation »…grotesque. On succombe à la tentation ou on y résiste…on n’y entre part ni n’en sort. En plus, trois « en » pratiquement de suite, sonorité hideuse.
Comment peut-on être aussi nul?
« on n’y entre pas », pardon
Rose, seul l’alcool est mauvais, regardez votre copain Dédé.
L’alcool sans le cul, toujours DD, c’est encore pire.
Quant à l’argent, comme disait Sofia Loren (à peu près) « L’argent n’est rien, j’ai été pauvre et j’en suis reconnaissante ».
Ah, je viens vous relire, vous parliez de cul sans amour, mais Rose, l’amour sans le cul, c’est pas gratifiant non plus.
Pour une prof de français, vous pourriez employer autre chose que le mot cul, qui est assez vulgaire.
M. Ouine est disponible sur le Net ici : http://www.ebooksgratuits.com/ebooks.php
Débrouillez-vous pour le télécharger. Je l’ai fait.
Je préfère lire Bernanos plutôt que de déblatérer sur le royalisme, l’antisémitisme, etc. L’article de Pierre Assouline reconduit au texte même.Il n’y a rien de mieux à faire que de s’y coller.
Paul Edel, Non, ils ne sont pas parents
des journées entières dans les arbres dit: 14 octobre 2013 à 20 h 19 min
il y a quelques fautes de frappe.
Ca c’est embêtant, les fautes de frappe, parce que cela peut rejaillir après, comme tout, et adonc les huit mecs que l’on a étendus peuvent fort bien sortir du coma avant terme, ce qui peut occasionner des impondérables. Il faut donc faire comme les dactylos, en avoir peur, des fautes de frappe, mais alors bien plus que de la moto, qui est un petit animal de deux-cent soixante-dix kilos parfaitement inoffensif.
Bernanos il paraît que c’est bien, d’ailleurs Passou a l’air d’être de cet avis. Donc je vais en râcler quelques-uns à la bib de Nancy, des Bernanos, pas des Passou, là lui Passou il y en a tellement d’exemplaires squattés de partout à tous les rayons dans le moindre recoin que même avec un side on pourrait en ramener que un cent-millionième du lot.
Les pamphlets faut le dire quand on a un casuel d’écrivain faut évidemment regarder en haut et pas savoir que ça existe. C’est au moins aussi choquant dans ce registre que dans les autres pour Ferdine d’avoir condescendu à cela. Mais cela peut arriver à tout le monde c’est ça le problème…
>TKT
d’accord.
Vous avez raison.
Je vais employer la baise.
L’amour sans la baise, c’est pas mieux que la baise sans l’amour.
Cela vous va comme cela ?
Pour moi, le cul n’a rien de vulgaire.
Allez, salut, je vais lire Olivier Chararas.
on peut être maçon sans être franc-maçon et vice et versa.
Sur ce,
Paul Edel dit: 13 octobre 2013 à 10 h 18 min
merci Paul pour vos commentaires ici et pour vos posts, chez vous.
Mouchette est aussi l’alliance entre la simplicité et la complexité et l’on revoit Sandrine Bonnaire dans ce mélange de perversion et de naïveté et surtout si à l’étroit dans une vie réduite à la grisaille, (si je puis me permettre d’en parler après vous…).
Bises,
rose
http://www.youtube.com/watch?v=fUOsNH3iNus
pas trouvé Mouchette ; mais elle est toujours étonnamment belle.
>TKT
chaque fois que vous me parlez, vous m’engueulez.
Or, je pense que vous pourriez me parler sans m’engueuler.
Il me semble.
J’aimerai bien.
Oui, Rose, cela s’appelle tout simplement l’arrogance de TKT. Vous aurez mis le temps, mais finalement vous y êtes arrivée, comme tout le monde.
>TKT
de l’élégance, de la classe, de la délicatesse ; je vous montre L’exemple ci-dessous, prenez-en de la graine):
chère rose,
ne croyez-vous pas, eu égard au langage châtié que vous employiez souvent, jadis, pouvoir remplacer, par une de vos arabesques qui vous est habituelle, remplacer_disais-je- ce terme cul que vous employiez fort souvent, si cru, si choquant et entachant vos propos souvent courtois, par un équivalent, quelque peu primesautier, manifestant certes, votre goût pour la chose érotique, mais laissant aux balourds ce terme qui con-vient si peu à votre classe naturelle.
Rose, je vous prie, songez-y, car ce terme, sachez-le, ne vous sied point.
Je ne vous en tiendrai pas rigueur, devinant votre appétence pour la verdeur des propos, mais simplement, vous me choquez, rose.
Cela étant dit, je ne reviendrai pas sur ce sujet.
votre humble TKT,
à vos pieds.
Voilà : ceci est un exemple donné.
A vous de voir, si vous vous sentez cap.
Si vous n’êtes pas cap. TKT, la prochaine fois, je ne me laisserai pas faire. Vous êtes prévenu.
>D je ne trouve pas TKT arrogant du tout. Je trouve qu’il ne sait pas parler aux femmes. Il passe son temps à nous engueuler (surtout Clopine et moi c’est vrai).
Nanmého.
>TKT je vous attends au virage.
(la ‘tite ligne jaune).
et grrrmlgulllmdrum
si talaltsointsoin, je ne me laisserais pas faire.
Au lit, bibi,
bises D. (sur la joue)
Je ne voudrais pas intervenir à tout bout de champ dans une conversation qui après tout ne me regarde pas, Rose, mais je me dois de vous rappeler que TKT est absolument incapable de s’exprimer d’une façon aussi fluide. Je me demande parfois si vous ne planez pas un peu trop.
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