Bernanos, électron libre
Qui lit encore Bernanos ? On ne sache pas qu’il soit souvent au programme. N’eut été le cinéma, ou plutôt de rares cinéastes de génie de Bresson à Pialat, sans oublier le génie du Poulenc du Dialogue des Carmélites, on le lirait encore moins alors que son oeuvre est l’une des plus profondes, et des plus proprement bouleversantes, de la première moitié du XXème siècle littéraire. Lorsqu’on déplore cette désaffection, on s’entend répondre que les tourments de ses héros sont trop datés. Comprenez que les cas de conscience d’un jeune prêtre ou les désarrois d’une novice ne sont plus de notre temps. Comme si la confrontation de l’être avec le Mal n’était pas de tout temps, et que la question de la grâce relevait d’une mode ! C’est dire si le Bernanos (258 pages, 23 euros, Perrin), que Philippe Dufay vient de consacrer à son itinéraire ici-bas, vient à point. Son grand mérite n’est pas seulement d’engager à chaque page à la (re)lire, mais de le rendre vivant avec une finesse et une sensibilité remarquables. Les portraits, exécutés par petites touches, sont saisissants de vérité. A commencer par celui de Bernanos, qui se disait heureux comme un poisson hors de l’eau. Adepte d’un catholicisme « sanguin et médiéval », prolixe à l’écrit comme à l’oral, le bretteur s’épanouissait dans le conflit, le bruit, la dispute. Ce qui valut d’être souvent comparé par facilité à Léon Bloy, et ce n’était pas pour lui plaire. Il était d’une fidélité indéfectible à ses valeurs, ses idées, ses principes. Cela l’a pris tôt et ne l’a jamais lâché. Ce n’est pas une question de politique mais de tempérament. Jeune dragon, il soudoie un camarade pour que celui-ci prenne sa place dans le peloton qui doit passer par les armes l’agent H21 alias Mata-Hari, car il a signé pour être soldat, pas bourreau. Sur la page de garde, quelques lignes isolées annoncent le personnage et son biographe, mieux que bien des analyses :
« Le 25 octobre 1415, un champ de bataille trop gras pour la lourdeur de ses armures et les flèches meurtrières des archers anglais ont raison de la fine fleur de la chevalerie française. On ne passe pas impunément toutes les grandes vacances de son enfance à sept kilomètres et demi d’Azincourt »
Philippe Dufay, déjà auteur il y a plusieurs années d’un Giraudoux d’aussi belle facture, a fait le choix de la biographie mais de la biographie seule. Entendez qu’il raconte sa vie sans analyser son œuvre. Nombre de biographes agissent ainsi, notamment en Angleterre et aux Etats-Unis, afin de ne pas verser dans l’essai, laissant ce domaine aux universitaires. Cette démarche éditoriale se conçoit donc parfaitement, même si elle m’a toujours parue étrange car, dans un parcours de créateur, l’œuvre et la vie sont aussi indissociables que la forme et le fond. En l’espèce, cela nous frustre un peu des attendus des appréciations de l’auteur ; ainsi, on ne saura pas pourquoi Monsieur Ouine est « le vrai livre de sa vie » et « son roman le plus profond ». Chemin faisant, à travers cette élégie française, le biographe laisse entendre en creux un écho de ses propres convictions, malgré les contradictions que cela suppose. Car Philippe Dufay, royaliste de sensibilité et catholique identitaire (comme on ne dit pas mais cela ne saurait tarder), n’est pas croyant, lui ; or dans cette tradition-là, le trône ne va pas sans l’autel. Ce trouble rend son livre plus attachant encore pour son empathie même, mieux que tant de biographies si complètes mais si froides. Un livre à l’unisson d’un héros nostalgique d’une France qui n’est plus et horrifié d’une France qui s’annonce.
Les pages sur ses démêlés avec Charles Maurras sont passionnantes, de même que celles sur ses rapports avec « son meilleur ennemi » François Mauriac, sur son copain le père Bruckberger et son entourage (« Bruckberger et ses bruckbrebis » se moquait Blondin) ou sur ses brèves rencontres avec le dépressif Stefan Zweig. Plon fut son éditeur sur la durée. On croit comprendre qu’à chaque best-seller, l’auteur eut « le bonheur de péter les Plon ». Son éditeur est également son banquier ; leur correspondance bruit davantage d’éternels problèmes d’avance sur droits, d’impayés, de retards, de poursuites, que de questions formelles ou esthétiques. Père de famille assez nombreuse, le plus motard des écrivains (« Catholique et mécanique toujours ! ») est tout le temps pris à la gorge ; il consacre ses dernières années à des articles et des conférences alimentaires, aux dépens de son œuvre mise sous le boisseau ; pour s’en sortir, il est même prêt à écrire des polars sous pseudonyme, c’est dire ! Ainsi a-t-il perpétré Un crime. Mais lorsque le livre même est évoqué dans les lettres, l’auteur remporte rarement le bras de fer, ce qui ne fait qu’augmenter son amertume. Ainsi ne pardonne-t-il pas à son éditeur de lui avoir imposé de scinder son second roman intitulé Les Ténèbres en deux : L’Imposture et La Joie. Réunis, leur effet sur le lecteur eut été tout autre. La réaction enthousiaste d’Antonin Artaud mettra du baume sur cette plaie. De toute façon, dès Sous le soleil de Satan, il est adoubé par Léon Daudet, Anna de Noailles, Paul Claudel…
C’est un homme aux abois qui choisit de fuir en Amérique latine. Direction : le Paraguay, malgré les préventions de Jacques Maritain contre « cette souricière à émigrants ». Sa première escale le mène aux Baléares où il reste de 1934 à 1937, le temps d’écrire quatre romans au bistro. Ce n’est pas si loin de la France, mais juste assez pour prendre la mesure. Le royaliste en lui comprend et admet que « rétablir la monarchie est aujourd’hui un mot vide de sens ». L’Espagne est livrée à une atroce guerre civile. On s’attendrait à le voir glisser naturellement dans le camp phalangiste. Ce n’est pas le cas. Tout en lui s’insurge contre l’idée qu’on puisse tuer au nom du Christ-Roi. Son admiration pour les nationalistes est de plus en plus nuancée. Le suivi de ses articles dans l’hebdomadaire catholique Sept à partir de mai 1936 tient registre de son lent glissement. C’est Bernanos-le-très-chrétien qui tient la plume, de plus en plus critique, hostile, ennemi des nationalistes ; d’autant que son fils aîné, désillusionné après un passage chez les Phalangistes, lui communique sa révolte. N’empêche : « Qu’est-ce qui, au cours de son séjour à Majorque, a fait « changer de camp » Bernanos ? Si tant est qu’il ait changé de camp… » écrit Philippe Dufay, en dressant l’inventaire des motifs, sans répondre mais en augmentant le mystère. Il faut lire Les Grands cimetières sous la lune, œuvre puissante, pour se faire une idée. On ne s’étonne pas que la presse de gauche s’en soit réjouie, et que celle de droite en ait été consternée. Ce n’est pas un retournement de veste mais quelque chose de plus profond. Les vrais amis que Bernanos compte alors dans les deux bords lui savent gré de déceler dans la guerre civile espagnole la répétition générale de la seconde grande guerre qui s’annonce à l’horizon de l’Europe.
Il est loin quand la France est occupée. Mais il voit clair dès le premier jour. Au grand dam de ses anciens amis pas encore remis de son revirement espagnol, l’ancien Camelot du Roi réagit sans tarder : « Philippe Pétain est sorti de l’histoire de France le jour de la capitulation de la France, et il n’y rentrera plus désormais ». Que ce soit dans les colonnes de la presse émigré ou micro des radios libres, il ne cessera de dénoncer Vichy. Sans indulgence et sans ambiguïté. De Gaulle, que deux des fils Bernanos rejoignent à Londres, dira de l’écrivain : « Celui-là, je n’ai jamais pu l’atteler à mon char ». Ce n’est pas faute d’avoir essayé. Un électron libre !… De même qu’il avait plusieurs fois refusé la Légion d’honneur, il refusa l’invitation gaullienne à entrer à l’Académie française. On sent le regret du Général qui plaçait le Journal d’un curé de campagne au-dessus de tous les romans publiés en français durant ce premier demi-siècle et même au-dessus de la Condition humaine, c’est dire ! On peut se demander d’ailleurs comment un esprit aussi résolument libre et indépendant que celui de Georges Bernanos avait pu s’accommoder de la discipline et des limites du militantisme lorsqu’il était à l’AF. Jacques Laurent, qui en fut également mais un peu plus tard, livre la clef :
« L’Action française était une chose merveilleuse. Elle était catholique, mais excommuniée. Elle était royaliste, mais complètement bannie par le comte de Paris. C’était une liberté de l’esprit totale ».
A condition, naturellement, de considérer la démocratie comme l’erreur capitale. Quelles que furent les circonstances, il n’a jamais désemparé contre « l’erreur démocratique » et « l’humanitarisme foireux ».
Et les Juifs ? Ce point-là, c’est probablement celui qui freine jusqu’à présent son retour en grâce. Car si ses lecteurs les mieux intentionnés peuvent tenir son royalisme pour du folklore, sa haine de la démocratie pour un excès de langage, ils ne peuvent depuis 1945 contourner la matière brute, primaire, irréductible de son antisémitisme. Il n’use de termes amicaux à l’endroit des Juifs qu’à la condition de voir en eux des étrangers. Jusqu’à sa dernière heure, il n’en a jamais démordu comme le reconnaît son biographe : « Les Juifs, c’est l’argent, et l’argent et les Juifs, c’est la République ». Il n’a jamais renié son seul, son vrai maître : le pamphlétaire Edouard Drumont, auteur de La France juive. Bernanos a même écrit à sa gloire La Grande peur des bien-pensants (1931, originellement intitulé Un témoin de la race, titre rejeté par son éditeur bien inspiré). En 1944, dans le Chemin de la Croix-des-Ames, il écrit ceci à propos du mot « antisémites » qu’il traînera longtemps comme une casserole assourdissante mais qu’il ne reniera jamais : « Ce mot me fait de plus en plus horreur. Hitler l’a déshonoré à jamais ». Est-ce cela qu’on appelle, comme le fait son biographe, un « antisémite vieille école » ? En tout cas, s’il a pris effectivement la plume contre le nazisme, il n’a fort heureusement pas eu à le faire « sa vie durant » ; plutôt quatre années durant, ce qui était déjà bien ; avant 1940, il faut plutôt voir du côté d’André Suarès pour trouver une dénonciation absolue, véhémente et permanente, des méfaits du nazisme.
Bernanos est mort convaincu que Dreyfus était coupable. Il était royaliste avant de connaître la pensée de Maurras, et l’est demeuré jusqu’à la fin. Le jeune Bonnier de la Chapelle, assassin de l’amiral Darlan à Alger, fut son Guy Mocquet à lui. A chacun ses martyrs. Philippe Dufay en convient : « Il aurait pu être fasciste s’il n’avait, toute sa vie, conservé une foi chrétienne exceptionnelle ». Mais n’est-ce pas au fond la clef de tous ses engagements ? L’oeuvre de Georges Bernanos, tout autant que sa personne, échappent aux catégories en usage. C’est aussi ce qui explique l’indifférence dont ils pâtissent. Nous avançons dans un monde où il se trouvera de moins en moins de gens à qui ce nom dira quelque chose. C’est dire le prix de ce livre.
(Photos Adalberto de Queiroz et D.R)
534 Réponses pour Bernanos, électron libre
D’ailleurs je pense que l’intéressé lui-même, conscient de cette faiblesse si saillante parmi toutes ses faiblesses, ne me contredira pas; c’est la raison pour laquelle je n’hésite pas à m’exprimer à sa place sur le sujet, et pourquoi pas d’ailleurs, en son nom.
L’hypothèse Motobécane reste assez gratuite
par rapport aux sources mentionnant Peugeot.
La « lecture » de la photo est peu convaincante
mais qui sait ici-bas ?
Motoculturellement.
l’autre jour j’ai cliqué sur un bidule avec la bidouille de Matthieu Ricard et c’était écrit « empathie »..
d’un coup une gourde n’a pas pu se retenir de dire « c’est scientifique » dans la 5 premières secondes.. (là, j’ai stoppé net)
bon.. quand je lis ce qu’il y a ici, je comprends.. comme ça fait un peu maison de la radio..
>D.
cela ne me dérange pas ; vous avez le droit de vous exprimer ; d’autres aussi. J’y ai songé l’autre jour et aujourd’hui je le lui dis.
>D. je ne crois pas planer ; mais si vous le sentez ainsi c’est que vous avez des raisons.
Sur le billet et sur soudoyer, cela été très commun qu’un riche paie un pauvre pour aller à la guerre à sa place.
Un féru en histoire pourrait aisément le rappeler à autrui.
Bon soir,
Je me demande nuitamment si cette moto ne serait pas allemande et si nombre de collectionneurs n’ont pas roulé avec bonheur sur ce modèle précisément.
cela a été très commun dans l’Histoire des conscrits.
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la tendresse c’est un truc qui ne s’explique pas. Je comprends que cela plonge certaine dans le désarroi ; mais pourtant c’est ainsi.
C’est ce qui rend inutile de chercher ailleurs ce que l’on a ici.
Surtout quand le mec te dit que à notre âge on ne va pas mettre six mois à coucher ensemble ; j’ai frémis. Puis fui.
Et cela n’a aucune importance.
S’il croit l’innocent qu’avec sa gratte il emballe mieux qu’Olivier Chararas avec Socrate il se gourre un max. Qu’il baise des filles qui couchent le premier soir.
je ne suis pas épiée.
J’ai dit ce que j’ai pu, et l’ai écrit.
Le reste je ne le peux.
Pour mettre fin à cette polémique sur la moto prise en photo, j’ai procédé à une analyse des dimensions, diamètres et angles de nombreux éléments et cela donne une Gnome & Rhône D4 avec 98 % de matching. J’ai largement l’habitude de ce genre d’exercice, que ce soit sur des aéronefs ou des vaisseaux spatiaux.
Par contre Bernanos a eu son accident à Montbéliard sur une Peugeot 350.
Donc sujet clos.
Pour une prof de français, vous pourriez employer autre chose que le mot cul, qui est assez vulgaire.
Meuh non, elle est infirmière!
Meuh non, elle est infirmière!
ou une laborantine qui aurait oublié la tolérance des instruments de mesure qu’elle brandit tout le temps
enfin, faut vivre avec son temps.. elle pourrait tout aussi bien sortir d’une fac de lettres et écrire dans 20 minutes..
ooops.. bouille.. les..
buona notte……
elle pourrait tout aussi bien sortir d’une fac
poussée vers la sortie
…
…sur le besoin de fonds de roulement prévisionnel,…fixe et variable en univers certain et en univers aléatoire,…
…
…bon, ou en somme nous,…Darling-Dada,…à la bise sur roses,…du Bourre-bon,…du bourre-bon,…encore du Bourbon de roses,…
…
…le tirage des billets à fond la bécane,…les nouvelles liasses à 100 $ sont arriver,…avec le Bourdon nouveau à-roses les,…
…
…bon,…encore loin, les timbrés aux marcs de milliards,…
…la chevauchée fantastique s’arrose derrière le Cinéma souterrain,…remiser à l’en-droit,…la bande-rôle aux vents,…
…
…etc,…Oui,…ces cravaches de striptease sur tryp’s-tiques en panneaux multidirectionnels,…c’est par ici, c’est par là,…
…la nature » humaine « ,…jouer son cocu volontaire ,…pour accélérer la croissance d’Ô-truie,…ma-queue-rote des Mundi-Macro-crotte,…
…encore du coffre à clé-romaine vergée en Opus aux lys,…elle est bien bonne la rédemption sonnante et trébuchante,…à nouer les deux bouts,…etc,…
…le chef à mariner,…poils à niquer,…
…etc,…envoyez,…
Des syndicalistes, élus de toutes les centrales venant chercher le soir, chaque semaine, durant 30 ans, les enveloppes de l’Union Patronale pour « fluidification des relations sociales »…..
L’argent, qui loin de corrompre, révèle !
Le prix des hommes ! Quel beau sujet classique ! Rien d’exotique : ça se passe au pied de chez vous. Il y a matière à un roman riche de sens… Qui s’y colle ?
» ma queue rote des Mundi-Macro-Crotte »
allitération inspirée du beau Serge? Je pisse et je pète…? Faut-il vraiment y déceler une critique en creux de notre politique économique? Giovanni quelques difficultés à vous traduire en justesse, prière de fournir la synthèse, le résumé explicite, l’analyse de votre puissant résultat micro-éconoclaste.
JC dressez donc puisque vous semblez en super-forme la liste de toutes les commissions présidant à tous les arrangements à droite à gauche balle au centre.
Pas de fromage pas de partage question virage
à la page saccage
Einstein à la plage
nage doux visage
pas de bagage à la casse passe
oisillon boitillant
dans la boite à bijoux joue
bouh choux tutu.
Jean-Pierre Mignard, qui préside la Haute autorité des primaires du Parti socialiste, a reconnu une « transgression générale du règlement de la primaire et des élections républicaines » à Marseille. Cependant « Les urnes n’ont pas été bourrées », a-t-il tenu à préciser.
Ah ! Les bonnes habitudes se perdent au PS : il manquait Martine de Lille ! Une spécialiste de l’axe Nord-Sud …
ça vous étonne?
Cela m’enchante…
Zilé pien hun hasbeg deulla banzé deux Bélnanoche queue cheu blizhottemand, chéchon anti-hachémidizm qhue jeu baldaje hapzolumand. Cheu vé zan éfé baldi téjean gui banjent queue zi on haffé léjé Astolf finy leu draffail, hon zélé moins emmelté auzoul’dui, égue londres vlait pien lenvoyé douché Lomes en Loumany à goût dpié danlgul.
On Lola zéltélmand lemalgué queue cheu tonne zizi un essempleu simpmle d’une méttote évigaze boule gazer la gangue de poix, délivrée de la méttote S+7 du leglédé lemond Gueu-Nô. Elle pelmé de deal doux zgon ha zulla patate zan zuretloufé deux vents les tlibunô sul plinthe deux zézenfoilé de la Zig dédoigts deullohm. Consuldiz !
Et sans accent za donneu quoi?
Vêle-Sion âme étiolée :
S’il hait un Naze bègue de la banchée de Belle-Nanoche queue jeu Pliz happe-joliment, sais bien son anti-hachémichtimichme.
La Licla peut chleu foulé là où chpervenche
Les racines serbes de John Brown réapparaissent littéralement ce matin : cet homme admirable ne cessera pas de nous étonner …
Rose, vous ne me choquez pas, peu de choses me choquent. Vous avez la manie de vouloir employer un langage vert vif et d’utiliser le vocabulaire des p’tits jeunes du 93.
Il est vrai que je rebondis sur vos commentaires quand ils sont, pour moi, négativement critiquables.
Bien entendu:
« Votre humble
À vos pieds »
n’est pas mon genre, je parle d’hommages respectueux quand je m’adresse à des Dames, au sens de Dame employé dans ma famille, sens que je ne vais pas développer ici. Sens qui a peu de connotation économique, mais une bonne Kinderstube aide quand même…
Quant à vos pieds, c’est à dire moi à genoux devant vous, franchement, ce n’est pas mon genre non plus, vous n’entrez pas dans le cadre qui puisse me faire jouer au prince Orlov devant Catherine II.
Vous parliez de Clopine Trouillefou, je vais vous faire un aveu, elle m’énerve souvent, je n’aime pas les Tricoteuses, surtout celles qui se croient Juge Suprême dans un tribunal populaire, et éditent des listes appréciatifs des commentateurs (ce fut son premier commentaire sur la RdL). Je n’aime pas le coté snob de Clopine, qui se croit simple et ne l’est pas. Mais j’aime sa franchise, pas le genre de personne qui vous plante un poignard dans le dos après avoir tenu un langage sirupeux (ex. vous ou D. & Pathos).
Je sais par le téléphone arabe, que vous êtes enseignante, prof de Lettres (collègue de ML), je vous suis grée de ne pas étaler votre culture littéraire, mais au finish, cela me siérait mieux que vos pastiches des jeunes du 93, genre langage de rappeur, talent des rappeurs en moins.
Il va sans dire, que votre antisémitisme chronique, ne plaide pas pour que je puisse vous apprécier. Vous n’êtes ni Céline, ni Bernanos, ni aucun des auteurs des année 30.
listes appréciatives
JC et Bérénice, vraisemblablement la même personne, se font la conversation.
John Brown, vous allez vous faire réprimander par D.bile-le-cantalouphone-langue-maternelle, vous avez fait des fautes d’orthographes.
Thierry, bonjour !
je vois que vous êtes toujours aussi perspicace et que me voici découvert dans ma riche pseudo-personnalité.
Résumons, je suis galactico-scientifique comme D., affriolant comme Bérénice, fol du cul comme rose, bête et snob comme Clopine, aménageur musical de gode-ceinture comme l’infâme Boug, fasciste, raciste, comme Philou d’America et cultivé comme Court. Je suis d’ailleurs apparenté à Marc Court, puisque je suis, ne le dites à personne, un Court espagnol : Jésus Court. D’où mon pseudo…! Bien à vous !
au sens de Dame employé dans ma famille
Ah oui, au sens boniche alors ?
je vous suis grée
joli tournure que je ne connaissais pas.
Il va sans dire, que votre antisémitisme chronique…
est une poussière au regard de ma paranoïa aiguë.
John Brown est parfois un peu puéril. Je pense qu’il n’a pas encore atteint la totale maturité de la pensée et de l’esprit. Mais il m’est quand même sympathique.
Comme chaque matin, le camarade JC commence sa journée par un petit échauffement (tricot rayé, espadrilles).
De fait, JC a de bons réflexes, qui dira le contraire?
Les aides des patrons métallurgistes aux syndicats était un secret de Polichinelle, mais ça va mieux en le disant, surtout avec des chiffres.
« Il a précisé que ces aides se présentaient sous deux formes. La première, sous forme de chèques… «Mais cela n’était pas suffisant, c’était un prétexte qui avait ses limites», a-t-il poursuivi en précisant que le reste des aides étaient données «en liquide» de façon «plus discrète».
Alors pourquoi cette discrétion?, a interrogé la présidente Agnès Quantin. «Dire que l’UIMM finançait des stands à la fête de l’Huma n’était pas pensable», a-t-il répondu. «Si cela s’était su, je pense que certains auraient perdu leur emploi, leur mandat (…) et je ne vois pas comment les syndicats étudiants qui passaient leur temps à nous crier dessus pourraient reconnaître avoir été aidés», a-t-il ajouté… »
J’ai quand même lu ceci avec incrédulité:
« Les bénéficiaires étaient aussi «les syndicats étudiants», a affirmé Dominique de Calan, ex-délégué général de l’UIMM »…
Il me paraît peu vraisemblable que des étudiants reçoivent de l’argent du patronat.
En effet:
1. Ils sont jeunes, donc idéalistes;
2. Ils sont instruits, donc informés et lucides;
3. Ils ne se battent pas pour eux mais pour la société, c’est l’Autre qui est au centre de leur préoccupation, ils sont donc incorruptibles.
Idéalistes, lucides, altruistes, il est clair qu’ils ont fermé leur porte au nez des porteurs d’enveloppes.
Du reste, il suffit de regarder le beau visage de M. Cambadélis, empreint d’intelligence, de franchise et de modération pour réaliser que ce sont des sornettes: il vaut tous les témoins de moralité.
D+,
Vous avez vu juste, concernant John Brown !
Lorsqu’il veut gazer tous les Inutiles, tous les Intouchables, tous les Indignés, tous les Invertis, tous les Incapables, il blague !
C’est puéril : comment réussir un coup aussi magistral sans en oublier ?!…
Ben, non, D.burné, les Dames ont en général des domestiques et n’emploient pas le mot bonniche, sauf pour des gens comme vous. Un comptable reste dans le back-office et comme il ne voit pas les clients, son look importe peu. J’imagine que Mimi, votre chat castré, vous donne des leçons de maintien. Je vous souhaite ainsi qu’à JC, une journée de merde !
Bonniche est une jeune bonne, une domestique junior, pas encore femme-de-chambre ou housekeeper. Comme adjectif cela s’adresse aux petits employés étriqués.
D., quand votre retour dans votre campagne natale, pour confirmer les statistiques ?
« je vous suis grée »
C’est un bateau qui parle ?
Camarade u.
Avez-vous reçu de l’argent lorsque vous exerciez vos talents de Président de l’Union des Nippons Nimauvais ?
Humaniste moi-même, j’ai palpé plus que de raison, et croqué du nougat à satiété : les cinq premiers mètres de mon fidèle esquif sont labellisés UIMM…
Cher TKT,
D. (puisque c’est ici son pseudonyme) n’est pas un simple comptable, c’est un expert-comptable, profession qui n’a pas grand chose à voir avec la comptabilité en tant que telle. Son cabinet est très coté, il a de très grandes entreprises (dont deux du CAC 40) parmi sa clientèle.
« Je vous souhaite ainsi qu’à JC, une journée de merde ! »
Le sens régional helvète de ce vœu charmant m’échappe… mais faisons comme la Reine Victoria :
« Bonne journée de merde, Thierry ! »
le 10h42 est un tissu de mensonges. D. habite Porquerolles, vit sur un bateau de 12 m et arrondit ses fins de mois en faisant la bonniche sous le nom de Bérénice.
Ah, mon hôte, je crois qu’enfin, et malgré ma fidélité à votre égard, je suis lassée… L’inanité de la majorité des commentaires, le départ de ceux qui pimentaient le blog, la mainmise de tant qui me déplaisent, les blagues foireuses et les redites… Les trolls m’avaient posé problème : j’étais partie furieuse de leur laisser la place, et n’avais pu revenir qu’une fois acquise une bienheureuse carapace. Mais, à l’époque, j’étais encore curieuse de ce blog, nez en l’air et preneuse de l’érudition des uns, de la drôlerie des autres, et du talent des troisièmes. Hélas ! Plus de Lavande, mais Daaphnée tous les jours. Plus de débats, mais des postures navrantes (JC, soupir !). Plus d’ouverture et d’échange, mais des ressassements, d’infantiles gémissements…
En deux mois, la lecture des commentaires de ce blog ne m’a apporté qu’une chose positive : une indication de titre (merci Curiosa) pour une introduction à la lecture de Munro. C’est bien peu, comparé à l’avalanche des soi-disants fumantes saillies d’un D., ou la pesante présence d’un TKT qui n’est pourtant pas le pire (c’est dire !)
Ce blog tourne en rond, entre ricanements et prises de bec. Où est la littérature ? Où sont les plaisirs partagés, les opinions construites sur la connaissance et l’argumentaire, le don d’un peu de soi et le soin apporté à l’expression ? Qu’est-ce qui différencie, désormais, votre blog, mon hôte, des autres forums du net, où le point Goldwin est atteint en trois interventions ? La fatuité de certains de ses participants ? Les petits coqs dressés sur leurs « ego » ?
Un jour, vous m’avez demandé de « tenir bon », de continuer à venir ici. Je vous respecte et vous admire, et puis je suis fidèle : j’avais décidé, en reconnaissance de ce que vous nous donnez (une critique littéraire approdondie et brillante, des prescriptions intelligentes, une certaine alacrité dans le ton et une connaissance parfaite de ce milieu littéraire, que vous nommez « République » alors qu’on pourrait tout aussi bien le qualifier de « Marigot »), j’avais décidé, dis-je, de répondre à votre souhait le plus longtemps possible…
Mais voilà, je suis lassée. Vraiment, profondément. Cela n’a plus aucun intérêt, on ne croise plus, ici, que quelques habitués du genre café du commerce. Oh, certains, comme Bloom, Chaloux et d’autres, possèdent évidemment une culture que le commun des mortels ignore. Mais le persiflage d’un D. rend leur accès si difficile : comment justifier de venir perdre ainsi son temps ici ?
Ce fut quand même une belle aventure, mon hôte. Certaines personnalités m’ont fait signe à travers les lignes, m’ont souri à travers les mots : je vous en reste reconnaissante. Mais ma vie personnelle s’emplit de projets, et puis je sors un petit livre de nouvelles – Leo Nemo avait financé le premier ouvrage jamais sorti de ma cervelle, et largement inspiré des échanges tenus ici même « la recherche racontée à mes potes »; Jacques Barozzi a, lui, cherché à appuyer ma tentative de trouver une éditeur pour mes « Petites histoires familiales et nombreuses ». Qu’ils en soient ici publiquement remerciés : c’est un des miracles que le net m’a procurés, comme certaines amitiés nouées en passant derrière le miroir. Jacques Barozzi, surtout, s’est montré particulièrement généreux avec moi. Il m’a aidée à monter une lecture publique sur le thème de la marche, et je lui dois, en plus, quelques jolies trouvailles à travers ses « goûts », que j’ai fait partager à mes hôtes à moi, ceux qui viennent se poser parfois, comme des oiseaux, derrière la fenêtre de la petite chambre du jardin.
J’embrasse aussi les filles de ce blog (sauf celle dont l’arrogance et la soif de pouvoir se manifestent sous la forme d’un mépris difficilement digestible), qui ont bien du mérite, mon hôte, à résister aux vieux machos qui leur envoient leur féminité dans les dents, à chaque occasion, soit pour s’accrocher encore un peu à des jeux vaguement libidineux, soit par incapacité à accepter qu’une femme ait un cerveau. Ce n’est pas la moindre plaie de votre blog, mon pauvre Pierre Assouline, et cela ne vous grandit pas, puisque vous laissez faire (voire pis : vous rendez bien plus rarement compte de la littérature féminine que masculine. Il faut obtenir au moins le Nobel, ou être une de vos amitiés, pour être chroniquée ici. Et encore !)
Ce fut pourtant une traversée dont je me souviendrai toujours. J’en suis, je crois, sortie plus forte, mieux armée devant ce monde du net où l’anonymat permet l’abominable. Mais où, aussi, parfois, au détour d’une phrase, d’un partage, d’une confidence,l’émotion de la découverte de l’autre vous saisit.
Au point que je suis désolée, aujourd’hui, d’être si fatiguée de vous…
Clopine Trouillefou, souveraine de la Cour des Miracles, qui hélas n’ont pas lieu…
(PS : au fait, et ceci est un pied de nez à mes trolls, mon bouquin coûtera 12 euros version papier et 8,60 euros version téléchargeable. C’est un mince bouquin de nouvelles, que j’ai remaniées et qui contient désormais une progression dramatique. Qu’au moins cette république des livres, que je quitte avec des sentiments si mélangés, serve pour une fois à ma publicité : les trolls qui la hantent m’ont bien fait fermer les commentaires de mon blog – alors, ce n’est que juste retour des choses si je vends, grâce à cet endroit, ne serait-ce qu’un exemplaire de mon travail – que je revendique littéraire !!!)
JC a raison, conformons-nous aux règles élémentaires de la politesse : bonne journée de merde, Thierry !
Parole de marin dit: 15 octobre 2013 à 10 h 39 min
« je vous suis grée »
J’ai connu une navigatrice à la belle architecture navale qui, lorsqu’elle était prête, s’exclamait aimablement :
« Je suis gréée »
Clopine, je ne vous reprocherais qu’une seule chose, vous critiquez, faites des listes, et n’acceptez pas la critique à votre égard.
Je vais télécharger votre texte et, j’espère y trouver quelque plaisir.
Pour D., il ne vit que de sa présence en face de son écran, pour vomir sur les Blogs. Je parierais volontiers que c’est lui qui vous a fait fermer les commentaires sur votre Blog. Signait-il alors D. ou JC, ou il utilisait un autre pseudo ?
Tout comme Clopine Trouillefou, mon hôte, je rends mon tablier. Je ne supporte plus ce blog, qui est devenu la honte du Net.
Je ne voudrais pas partir cependant sans rappeler que mes deux romans, « Cornedouille va à la chasse » et « Hazenfratz perd sa place », sont en vente en librairie au prix de 17 € chacun.
Adieu,
Jacqueline Rotrou.
Clopine, « rhôôô »….
(bouguereau)
J’ai connu une écrivaine à l’expression pompeuse qui, lorsqu’elle était épuisée de ne plus rien comprendre au monde, s’exclamait dramatiquement urbi et orbi :
« Je suis une caravelle dégréée. Recalfatez-moi ! »
Signait-il alors D. ou JC, ou il utilisait un autre pseudo ?
Non, pas si bête, Thierry, j’utilisais un autre pseudo, bien sûr. Oui, j’ai fait tout mon possible pour faire fermer les commentaires du blog de Clopine, et avec une bassesse que nul ne saurait imaginer. J’ai même eu recours à des menaces de contrôle fiscal.
« je vous suis grée de ne pas étaler votre culture »
Loué soit le seigneur ! Il nous manquait cette nuance de grée pour que notre catalogue soit complet.
Thierry, comment vous remercier ? Nous pouvons vous faire livrer un muid de notre dernière peinture de synthèse, si vous voulez ?
Vous n’aurez qu’à la mélanger discrètement à votre pinard au moment de l’embouteillage, vos clients vont adorer.
Encore un mot, Clopine, partir est donné le dernier mot à D.
Pourquoi faire ? Cela ne lui rendrait même pas service, sans les Blogs, ce pervers narcissique finirait, par agresser les gens de sa rue.
Pour la tranquillité des habitants de « La Résidence Porquerolles », de Melun, laissons au pathétique D., le bonheur de se défouler ici.
Monsieur Kron vous saurait gré de cesser de l’importuner avec des questions grammaticales et orthographiques. Nous vous rappelons que le français n’est plus sa langue principale et qu’il pourrait vous en remontrer, vadiou, sur les problèmes linguistiques, grâce à son polyglottisme.
@ “Il nous manquait cette nuance de grée ».
Ducornaud, cela me fait sourire, joli jeu de mots.
Merci, TKT. Ravi de vous avoir fait sourire.
» j’espère y trouver quelque plaisir »
Non mais qui c’est c’te radasse que tu causes, Thierry ? Tu m’ferais pas des infidélités, des fois, dis ? Attation, hein ! j’aime pas la concurrence déloyabe, tu sais bien ! Tu m’connais, mon biquet, quand t’est-ce que j’suis colère, j’me contrôle pus et les gnons pleuvent plus mieux que vache qui pisse dans l’Oberland bernois !
« Il semble que je n’intéresse plus personne dans ce forum. »
Georges Bernanos, La Grande peur des bien-pensants.
D., votre langue maternelle étant un dialecte régional, le cantalou, et votre français oral et écrit, étant maladroit, voir souvent assez vulgaire ou hors-périphérique (merci Madame Angot, pour le concept) , vous êtes fort mal placé pour critiquer les autres. Mais bon, vos autres arguments ne valent pas grand chose.
« Et Thierry tira toute la couverture à lui. »
Georges Bernanos, Nouvelle Histoire de Mouchette.
Thierry, tu sais que tu me fais de la peine ?
…
…on se calme,…y a rien à voir ou à traduire,…
…
…chacun,…comprend ce qu’il lui plait d’imaginez,…en rose-bonbon,…s’il en reste,…de la cervelle à masser encore plus profond,…
…
…je suis séduit par la contenance des valeurs encore bien conservés au chaud,…TKT, je vous remercie,…de nous les exhiber,…
…
…encore, que,…pour vous traduire à vous bérénice,…mes réflexions de la nuit,…
…
…j’écris donc, comme sur une peinture à l’huile,…lumières, mélange des couleurs,…
…des détails, que vous désirer plus net,…presque comme des familiarités conjugales,…en public,…non pas en hard,…
…
…donc, vous comprenez que je ne suis pas » acteur » de Cinéma,…et du reste,…je déteste les casting, autant pour moi,…
…
…donc, vous avez bien compris la démesure de mon sens artistique qui en soit n’a nul besoin d’être développer à desseins,…etc,…
…
…Oui,…arrête,…remplie les godets avec tes tubes de couleurs,…et pousse ton pinceau sur la toile,…sur le vif, impressionniste un jour,…réaliste un autre jour,…et abstrait,…Ô-ciel,…
…
…quoi,…encore,…j’écris qui je suis,…et j’ignore à qui je parle,…faut pas pousser dans les brancarts,…
…en plus,…sans châteaux milliardaires,…qui va payez mes avocats,…si d’aventures on abuse d’épingles sur mes plis,…une toge qui se prend une tête à travers son col,…au bénéfice des ourlets pour y glisser ses mains,…d’un genre Boniface,…etc,…
…
…vous m’en direz temps et si peu,…du reste,…etc,…envoyez,…
…
Un blog de haut niveau, c’est un blog où les commentaires sont fermés ou censurés. Heil !
Le quartier de la HB est Hurenfrei, d’un coté la Bahnhofstrasse, de l’autre, un quartier qui se bobo-ise. D’autre part, je ne pense pas qu’il y ait encore des professionnelles du sexe, qui ne soient pas étrangères.
D. vous devez confondre avec une autre ville ou une autre époque. Vos fantasmes et préjugés sont restés coincés dans les années 50/60/70.
« votre français oral et écrit, étant maladroit, voir souvent assez vulgaire »
Bon, par charité bien ordonnée commençant par toi-même, Thierry, je vais faire comme si je n’avais rien vu.
Pas un mot sur la place de cette virgule superfétatoire, voir(e) tout à fait foireuse, séparant arbitrairement le GNE (groupe nominal expansé, en PVC ultra haute densité) du participe présent « étant ».
Les choses étant ce caleçon, compte tenu de ton exil fiscalo-linguistique, il serait mesquin de ma part de mégoter. D’ailleurs, moi,désormais, je vapote. Avant, quand je bombais sur mon 103, des mouchettes plein les gencives, je mettais des cendres partout. Mais ça, c’était avant.
Et toi, Thierry, tu avales la fumée ?
D., vous ne connaissez pas la peine. Votre prédateur vous a rendu immune.
Ciao stronzo !
Clopine Trouillefou dit: 15 octobre 2013 à 10 h 48 min
ce n’est que juste retour des choses si je vends, grâce à cet endroit, ne serait-ce qu’un exemplaire de mon travail – que je revendique littéraire !!!)
C’est fait :
TKT dit: 15 octobre 2013 à 10 h 58 min
Je vais télécharger votre texte et, j’espère y trouver quelque plaisir.
Bien joué, Clopine. Vous avez gagné un lecteur de poids.
Exact Thierry !
J’ai connu D., et Giovanni Sant’Angelo, au Stalag 13, où nous étions tortionnaires intellectuels …
On disait, là-bas, que D. faisait sauter Hindenburg sur ses genoux.
Pierre Assouline est notre Pétrone !
(ne me demandez-pas pourquoi, merci)
« Le quartier de la HB est Hurenfrei »
Hurenfrei est un adjectif, crâne de piaf. Tu dois donc écrire « hurenfrei », capito ? Tu me feras 1000 lignes pour demain (non, pas ce genre de lignes, va pas épuiser ta réserve d’un coup).
‘tain, même le schleu, faut lui apprendre…On n’est pas rendu.
« Pierre Assouline est notre Pétrone ! »
Sachant que « Pétrone » veut dire « gros Pierre », comment faut-il le prendre ?
Non JC, D.burné utilisait une brosse en métal, pour faire la toilette des burnes du jeune enfant Adolf H. Bref, dans une autre vie, D&JC était mère autrichienne maniaque de la propreté.
« comment faut-il le prendre ? »
Pétrone ? dans l’esprit de ses ouvrages…
« D., vous ne connaissez pas la peine. Votre prédateur vous a rendu immune. »
Thierry, ta dureté à mon égard, doublée d’une profonde injustice, me plonge dans des abîmes de désolation.
Je te croyais mon ami, indéfectiblement et pour l’éternité. Aurais-je fait fausse route ? Me serais-je enflammé trop vite, tel le brin d’amadou quand on bat le briquet ? Tu veux mon zippo, Thierry, pour allumer ta pipe ? Comment dis-tu ? Toi aussi, maintenant, tu papotes, je veux dire, tu vapotes ? Viens çà, Thierry, mon semblable, mon frère ! Nous sommes pareils, toi et moi, ne le vois-tu donc pas ? Cette évidence ne crève-t-elle pas ton iris velouté et smaragdin que van Gogh, s’il t’avait connu, t’aurait pris pour modèle, ce con ? Aujourd’hui, tu serais riche, Thoerry, vermögend, au pèze, et tu pourrais t’offrir autre chose que ces infâmes gagneuses du quartier de la gare.
Allons Thierry, vidons là cette querelle d’Allemand, fumons le calumet de la paix retrouvée et embrassons-nous, fol vil !
Tu veux bien, dis ?
@ D.bile/Chaloux de 11 h 47
Monsieur nous prie de vous faire savoir qu’il vous empapahoute.
J’ignore qui sont ces D.u corps nu, D.uren durent et autres D.résipiscent, et je les ré-ignore, mais je tiens à faire savoir à tous, et à Thierry en particulier, que je n’ai rien de commun avec eux, ni eux avec moi.
A bonne en tendeur…
…
…@,…bérénice,…à,…7 h 01 mn,…prière de fournir la synthèse,…un résumé explicite,…
…puissant micro-iconoclaste,…
…
…Pétain,…elle est bonne celle là,…
…de l’arbre à la branche et l’hiver à la bûche au foyer,…Oui,…c’est bien sortis,…
…
…Non,…n’en rajoute pas,…envoyez,…etc,…
…
Cher Thierry, tu imagines bien que le 11 h 55 n’est pas de moi. Mes collaborateurs prennent parfois des libertés.
@ frida l’empapahoutée
Notre patron nous prie de vous transmettre ce message, que nous jugeons pour notre part sibyllin, mais on ne critique pas le patr…aïe, patron, pas taper !
« Non, ce n’est pas la boucherie Sanzot ! »
Tant qu’une Paix affectueuse et sincère ne sera pas signée entre TKT, D., Chaloux, et d’autres éminents commentateurs dont moi-même, la situation en Palestine restera invivable ! Aile de papillon …
Bernanos ! Prie pour nous…
Merci à tous les contributeurs qui ont signé de mon initiale pour prendre ma défense contre les odieuses attaques dont je suis l’objet.
Merci donc à u., JC….., Chaloux, xlew.m., des journées entières dans les arbres.
Comment ne pas t’aimer D. ?
C’est vrai que tu es coupable : tu n’as rien écrit ! Mais tout a déjà été écrit et les lecteurs sont si las …
Lieber Thierry, du weisst doch, dass ich keinerlei Mitarbeiter beschäftige (mein geringer, doch mit grösster Bemühung verdienter Lohn erlaubt mir leider nicht, auf grossem Fusse zu leben).
Der Kommentar von 11: 58 ist also endgültig gesfälscht.
Hochachtingsvoll,
Dein D.
..achtungs…, verdammt noch mal !
…gefälscht…Sch**ss Klavier !
« Mais tout a déjà été écrit et les lecteurs sont si las … »
Euh … ! Sans mauvaises intentions.
« Bonnes ventes, Clopine ! »
…
…qu’elle colle,…tout ces débats d’omelettes à pain perdus,…
…y en à qui n’on vraiment rien à foutre en avion en voyage ou ailleurs,…des amuse-gueules de derrière les cuisines,…
…ils y poirotent la journée avec rien,…
…
…l’âge de cristal sur le net à deux balles,…sur le cour de dessin,…et papier verge collé/copier sur papier bible,…
…etc,…
TKT dit: 15 octobre 2013 à 9 h 40 min
Clopine Trouillefou……..(ce fut son premier commentaire sur la RdL)
Ce goût pour les fiches et les lettres de dénonciation doit remonter à la petite enfance (dénonciation de la marâtre ?)
Il est peut-être question
d’une moto allemande
dans le « Journal… »
mais pas sur la photo en tête.
La Gnome D4, une 500 ?
Bien essayé mais la transmission
est de l’autre côté.
Motocanardement.
Sur France-Info, Camus (ni Rena.., ni Alb…) explique le fascisme, le racisme, l’extrême truc… de Marine-Brigno aux enfants (dans « le quotidien des 10/15 ans », une intox pédophile, à l’air libre…).
Sur le site du Point, en réponse au discours de « Médan » de BHL (Médan, n’est pas une médina de Lybie, c’est pas Meudon non plus) j’ai cherché à dire maladroitement, naturellement, quant à Zola… Dreyfus et Cie, que la seule chose dont on était sûr, c’est qu’à cette date, notre Zola s’était bien trompé sur Cézanne (ce que dit aussi Sollers) et aussi, que bhl n’avait pas été gêné d’avoir été privé d’une toile de ce maître, pour son expo de Vence-Maeght…
Et v’lan, le modérateur a sévi…
Heureux le blog « Rép. des Lettres » où l’on se modère comme on peut.
D;-le-vrai, votre légendaire perspicacité prise en défaut, c’est toute votre expertise qui vole en éclats (en tout cas à mes yeux.) Je n’ai jamais endossé le pseudo de quelqu’un ici, c’est quelque chose de sacré. À part un malheureux « Das Gespenst » (emprunté par d’autres depuis) et un joualeux « Robert Charlebois », je n’ai jamais donné dans la création de masques.
Pour participer au jeu de la détection de la marque de l’engin deux-roues, personne n’évoque la possibilité que ce soit une Ural dotée d’une boîte de vitesse à marche arrière (je blague car les Soviétiques n’ont créé leurs motocyclettes qu’à partir de 1940 en pompant des plans allemands, même si on pourrait persister à penser que Bernanos roule en marche arrière sur la photographie, ça paraît assez net, la visière frontale de son casque en cuir n’étant pas déformée par le force de frottement du vent de face.)
Dans sa préface à La Grande peur parue au Livre de poche, Bernard Franck parle de « quelques phrases formidables » de l’auteur du pamphlet pro-Drumont (mais attention, Drumont semble passé au laser de sa réflexion aussi, et je ne crois pas que ce soit simplement à cause d’un facile effet de lecture moralement rétroactive de notre part), Quand on lit ce livre jusqu’au bout, on voit bien que Bernanos prend la peine (pour moi cela dut en être véritablement une, si’il tire à la ligne, il est également complet sur bien des aspects de la société politique de l’époque et son style est percutant, bien souvent) de décrire dans le détail l’atmosphère du temps. Il y avait un talent d’historien chez Bernanos, qu’il ne laisse pas latent, en jachère, dans cette oeuvre. En 1938, cela sera repris dans son « Scandale de la vérité », c’est l’un des premiers à dire et écrire que tout en lui le pousse instinctivement à se dissocier de « l’hideuse propagande antisémite » qui opère déjà à plein en Allemagne.
je ne pense pas qu’il y ait encore des professionnelles du sexe, qui ne soient pas étrangères.
Je ne saurais te contredire, Thierry, en ta qualité d’expert.
Polémikeur, j’ai dit que le sujet était clos. Ne vous rendez pas ridicule. J’ai tous les calculs sous le coudes. Vous les voulez ?
« La dernière voix qu’on entendra sera la sienne… »
oui, enfin, s’agit pas de la soeur Bogdanov, autrement nommée, « soeur à pommettes saillantes ».
non, c’est une autre histoire:
« Blanche de la Force a peur, peur du monde qui l’entoure, peur de la révolution qui commence à gronder. Nous sommes en avril 1789. Blanche entre au carmel de Compiègne, comme pour se protéger dans le cocon du couvent. Mais sa peur continue de la hanter, et sa hantise de la mort est amplifiée par l’agonie terrible et misérable de la Prieure : pour ce modèle de foi pourtant, Dieu semble s’être retiré devant la peur de la mort et la souffrance.
Été 1794 : la Grande Terreur. Les carmélites ont été arrêtées, emprisonnées, jugées. Auparavant, le roi, la reine, Danton, Camille Desmoulins et des milliers d’autres ont été guillotinés, le marquis de la Force aussi, père de Blanche. C’est dans son hôtel particulier déserté que Blanche, ayant réussi à prendre la fuite, s’est réfugiée. Mais le 17 juillet, elle rejoint ses soeurs, chantant le Salve regina en montant à la guillotine. La dernière voix qu’on entendra sera la sienne… »
http://www.opera-lyon.com/spectacles/opera/fiche-opera/fichespectacle/dialogues-des-carmelites/
Blague acceptée (13 h 12) !
Pas connaissance d’une marche arrière
sur les modèles français supposés,
donnés pour 3 vitesses au levier
devinable à la droite du réservoir.
Quant à « Dé », les modèles évoqués
échappent, de toute évidence,
à votre mécanique quantique céleste
par leur modeste célérité infra-luminique
et leur rusticité.
Le crâne du génie est désarmé
devant le gourdin de son ancêtre
ou la clé à molette de son garagiste.
Primituitivement.
« J’ai tous les calculs sous le coudes. »
Si vous constatiez qu’ils descendent jusqu’à votre reins, ne tardez pas à consulter, sire Didier !
Cela ne constitue pas le socle d’un système de défense personnel, néanmoins… admettez que l’influence motocyclettiste de Sergio est beaucoup trop forte, sur ce billet !!!
Par sa faute, lui et ses goûts dévoyés à deux roues, on merdoie en RdL !
La personnalité, l’oeuvre, de Bernanos : zéro !
L’identité, la marque, la cylindrée de la Moto : énorme intérêt ….
» je n’ai jamais donné dans la création de masques »
Nous confirmons cette assertion, faite par aujourd’hui en notre étude, par le Dr Alec Odradekbratdebistrot, qui tient le calame d’une main et tire la chose au clair de l’autre.
Accordé, les petites querelles personnelles
sont autrement envahissantes et captivantes,
récurrentes et dégraissantes !
Paillépoutrement.
L’identité, la marque, la cylindrée de la Moto : énorme intérêt ….
le médium c’est l’message..énorme intérét rapport a ta petite cylindré..c’est le connoté
L’identité de la moto…
Papiers, siouplé !
Controllestement.
de décrire dans le détail l’atmosphère du temps. Il y avait un talent d’historien chez Bernanos
c’est la moto le msg du temps pas nonos..assez d’instrumentalisation
Décor, costumes, accessoires : même combat !
Machinistement.
Bouguereau,
Ma petite cylindrée à deux roues est bien plus plaisante que ta grosse prothèse !
Ce n’est pas la moindre plaie de votre blog, mon pauvre Pierre Assouline, et cela ne vous grandit pas, puisque vous laissez faire
bref tu te tais pasque les autes ne se taisent pas ou que lassouline devrait les faire taire.. et t’en fais tout un long laius…c’est pas bon. et puis on ne « revendique pas le litteraire » on écrit c’est suffisant..on propose et les autres disposes, c’est la loi que même calamity djane fait régner à l’ouest du pécos..
est bien plus plaisante que ta grosse prothèse !
t’en es trop sur jicé..tu devrais faire des gallup..faut ête de son temps
A propos de gallup, tu sais que tu commences à me courir sur le haricot, bouguereau ?
Et ces excuses, c’est pour la Saint-Trohu ? Les rosières, c’est pas dans mes emplois.
je ne pense pas qu’il y ait encore des professionnelles du sexe, qui ne soient pas étrangères.
..tu vois vontraube, c’est l’un des principaux arguments contre la prostitution, qu’on ose jamais montrer comme une des preuves de l’antilibéralisme : car tu sais comme moi que c’est pour des raisons économiques qui font qu’on ne peut qu’assez difficilement considérer la prostituion comme un métier comme un autre
dédé, tu simules mal..et mon précédent msg est long et contrefait..j’ai honte et je m’en vais..mais je reviendrais dédé
oui xlew, « La grande peur.. » est « Notre avant-guerre » de Bernanos.
Clopine quitte ce blog comme elle a quitté celui de Popol, comme Elena et tant d’autres que je comprends… trop c’est trop… il ne s’agit pas de censure mais laissez dire n’importe quoi et n’importe qui est tout simplement de la complaisance ; il ne restera bientôt que boudegras, JC, Court-sur-pattes et Christiane, triste cortège… alors, adieu
Je quitte ce blog définitivement !
Car je me considère comme un ancien de grande valeur, digne de MàC, Mauvaise langue, Elena, Diagonal, Odradek, Annibal, Lavande, Sandgirl, Clopine, un honnête homme de culture en serre, certes, mais qui n’a plus sa place dans cette Cour des Mirages où régneront désormais en toute impunité boudegras, D., TKT, Court-sur-pattes, rose et Christiane, triste cortège …
Adieu !
Vous devrez vous débrouiller sans moi dans les jours qui viennent, car ma présence à une émouvante cérémonie funèbre est requise.
23 ans à compter des fraises tagada et des soucoupes, ça compte pas pour des prunes.
D., c’est vous qui avez copié-collé un très vieux commentaire de Daphnée, avec la date en plus, pour prouver votre pathologie de troll-corbeau. Le corbeau collectionneur de fiches, c’est vous, pas moi. Moi, je ne fais que me souvenir. J’ai bien en mémoire les premières apparitions d’anciens commentateurs (vous, vous deviez être « miaou »). J’ai en effet quelques uns de vos commentaires, gardés en word, ceux où vous pourriez être poursuivit pour diffamation et allégation. Vous avez bien raison de vouloir rester anonyme.
Clopine a raison, tant que vous viendrez sur ce site, il est préférable de lire les Notes, et les commentaires qui ne sont pas de vous. Comme me disait Jacques Barozzi, vous répondre est vous nourrir.
Pourquoi nourrir le plus infâme troll ?
Et puis, quand on souhaite la disparition de quelqu’un, c’est le moment de changer de lieu.
qui aviez
Car Daaphnée aussi signe D. à l’occasion.
Non, résolument non. Désolée de vous décevoir!
@Clopine
Ce blog tourne en rond, entre ricanements et prises de bec
Ne lisez plus les commentaires
TKT dit: 15 octobre 2013 à 15 h 58 min
D., c’est vous qui avez copié-collé un très vieux commentaire de Daphnée,
Mais quelle burne.
Même pas capable de tenir ses fiches à jour.
ferme ta sale gueule raclure de keupu..globalement l’antijeux est l’expression du mal dans la vie sociale « moderne »..attenter délibérément au plaisir de ses partenaires en jouant grossièrement avec des régles que sont si ténue que tu peux en être si facilement le maitre c’est l’expression de la petitesse dédé..l’univers n’y change rien
et toi vontraube on dirait que tu fais t’es dans un rimèque du servant..en moins bien malgré tout tes efforts reconnais le..pensez à nous bordel, c’est pas trop jojo
ah oui, bien vu, ce remec du servant. d’ailleurs, à la revoyure même l’original devient gonflant. tout ça devrait se finir avec un trou de balle dans le latex.
faut dire que pinter n’a pas amélioré losey. mais c’est un autre débat, folks.
« ferme ta sale gueule raclure de keupu.. »
Mais il est où, keupu ? Vous voyez keupu partout, bouguereau, comme TKT voit D., mais dites-nous qui vous visez, pour qu’on se fasse une idée.
Inédit: le … de porquerolles et u. en grande conversation:
http://www.youtube.com/watch?v=KD9mlvojQRY
Nous avançons dans un monde où il se trouvera de moins en moins de gens à qui ce nom dira quelque chose.
—
Le seul lot de Bernanos? On peut en douter. Qu’il disparaisse à jamais en touche une sans faire bouger l’autre. En revanche, quand les Grands Noms auront été effacés du paysage, il ne restera plus que quelques vieux touristes japonais pour fleurir leur tombe.
A Azincourt, les archers, qui avaient l’arc long, étaient anglais et gallois.
georing était bavarois
http://www.slate.fr/life/78092/psychiatre-hermann-goering-nuremberg
c’est dans slate et tu l’as pas vu kabloom
il ne restera plus que quelques vieux touristes japonais pour fleurir leur tombe
sais tu que tu réécris prex au mot prés les prévisions des historiens d’arts extrémiss de droite du xixeme kabloom..t’as le bonnet d’âne
bref aprés le ploton dassouline qui tire in their général daïrection c’est bénissez moi tout ça de kabloom et fosse commune..bonjour !
mais dites-nous qui vous visez, pour qu’on se fasse une idée
..les « on » qui enculent les « nous » pour se donner du courage et dla cervelle
..allez tous vous faire enculer épicétou
Clopine, presque toutes vos raisons sont excellentes mais vous ne devriez pas partir.
Elle vend des slips.
..allez tous vous faire enculer épicétou
http://50.img.v4.skyrock.net/2096/9302096/pics/181304182.gif
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