Ce que républicain veut dire
« En vous écoutant, je me rends compte de la chance que j’ai eue d’avoir une enfance républicaine ». Elle n’a l’air de rien, cette phrase. On la dirait banale. Elle sortirait par inadvertance dans la bouche d’un invité du « Grand journal » qu’elle ferait aussitôt rire sans que nul ne se demande pourquoi. Et pourtant, elle me poursuit depuis des années. Depuis un petit quart de siècle précisément. En 1989, quand personne ne connaissait le nom de Daniel Cordier en dehors du cercle étroit des historiens de la seconde guerre mondiale, et de celui, plus restreint encore, des survivants de la Résistance des réseaux et des mouvements, la parution du premier tome de sa biographie de Jean Moulin L’inconnu du Panthéon (Lattès) me secoua. Un monument. Après avoir consacré plusieurs jours et plusieurs nuits à lire les épreuves de ce pavé de plus de mille pages, je rencontrai son auteur à Biarritz pour son premier entretien. Il me parla de 10h à 18h sans s’interrompre. Bien qu’il fut plus âgé que moi d’une trentaine d’années, il en ressortit en pleine forme, prêt à poursuivre si nécessaire, et moi, exténué. L’homme se révéla certes prolixe, bavard, intarissable, digressif, mais passionnant, d’une intelligence aigue et d’une mémoire phénoménale. De quoi remplir dix pages dans le magazine Lire et consacrer sa couverture à saluer l’apparition d’un chef d’œuvre dans l’ordre de la biographie historique. Mais de son flot de paroles, de dates, de noms, de faits, une phrase m’est restée qui me hante depuis notre première rencontre en 1989 : « En vous écoutant, je me rends compte de la chance que j’ai eue d’avoir une enfance républicaine ». Me croira-t-on si j’avoue que, plus encore que la fameuse formule sur la république des lettres, elle a inspiré le nom de baptême de ce blog ?
C’était à l’été 1942. Daniel Cordier, 22 ans, engagé dans la France libre dès juin 1940, tout à sa haine du maréchal Pétain à qui il ne pardonnera jamais de s’être couché en signant l’armistice au lieu de continuer le combat, venait de passer plusieurs mois à être formé aux techniques du Renseignement par le BCRA en Angleterre. Après y avoir suivi une spécialisation en transmissions radio (codage, décodage etc), il fut parachuté en France, en zone libre près de Montluçon, pour servir de radio à Georges Bidault, alors l’un des chefs du mouvement Combat. Sauf qu’à l’arrivée, le jeune homme vit son affectation modifiée et il retrouva secrétaire d’un autre dirigeant de la Résistance dont « Rex » était le pseudonyme (et dont il apprendra bien plus tard qu’il s’appelait Jean Moulin). Le soir où il lui fut présenté, le « patron » l’emmena dîner dans un restaurant de la place Bellecour et lui demanda de raconter sa vie. Alors deux heures durant, Cordier lui raconta son jeune passé d’activiste : antisémite, antiparlementaire, anticommuniste, antidémocrate, antirépublicain, antimaçon… Animateur d’un Cercle Charles Maurras et responsable des Camelots du roi à Bordeaux, peu avant de trouver un bateau pour l’Angleterre à défaut de l’Afrique du nord, il en était encore à briser les vitres des magasins juifs de sa ville à la tête de son petit groupe de nervis. Durant tout le récit, Rex/Jean Moulin ne dit mot. Puis il lui dit : « En vous écoutant, je me rends compte de la chance que j’ai eue d’avoir une enfance républicaine ». Et en faisant quelques pas dans la rue, cet homme qui allait devenir le plus recherché de France à la fois par la police de Vichy et par la Gestapo, celui à qui l’on doit d’avoir unifié les mouvements de résistance derrière le général De Gaulle, ce haut-fonctionnaire radical-socialiste, préfet d’Eure-et-Loir révoqué et mis en disponibilité par Vichy, l’engagea comme son secrétaire particulier ; il lui témoigna une absolue confiance dans la clandestinité en lui confiant la tache de le remplacer en son absence auprès des mouvements pour leur distribuer l’argent de Londres et les consignes du chef de la France libre.
Cette première rencontre avec Daniel Cordier à Biarritz en 1989, j’y ai repensé en visionnant Alias Caracalla, un film d’Alain Tasma, adapté du livre éponyme (Folio) de Daniel Cordier, deux épisodes diffusés ce samedi et ce dimanche à 20.45 sur France 3, à la veille du 70 ème anniversaire de la première réunion du CNR (Conseil National de la Résistance) présidée par Jean Moulin dans un appartement de la rue du Four, à Paris. La réussite du film tient à ce qu’il rend bien le quotidien des résistants lyonnais en zone libre et parisiens en zone occupée : rendez-vous, relevés de boîtes aux lettres, moyens de fortune, longues errances urbaines à porter des valises, restaurants aux oreilles indiscrètes, planques incertaines, réunions houleuses, querelles de chefs, difficultés à s’entendre avec les partis etc. Sans oublier l’essentiel : la solitude des uns et des autres, à commencer par celle des deux protagonistes d’Alias Caracalla. Au lieu d’en faire des tonnes sur le romantisme de l’espionnage, il démystifie tout ce que cette activité a pu avoir d’héroïque en montrant bien qui étaient les soutiers de la Résistance. Non pas Moulin, Bidault, Passy, Frenay, Bourdet et d’autres, tous impeccablement interprétés (surtout Moulin par un Eric Caravaca très convaincant) qui étaient déjà des hommes faits, mais ceux de la génération de Cordier : des gamins et des amateurs inconscients du danger. C’est à peine si on aperçoit des Allemands. L’Occupation prend dans ce film son vrai visage de guerre civile, qui s’affirmera au grand jour à la Libération. Alain Tasma livre en creux un beau portrait de la relation, toute de respect, de confiance et d’admiration, qui lie Daniel Cordier à Jean Moulin, d’une vingtaine d’années son aîné, son patron dans l’action clandestine sur le terrain mais aussi son Pygmalion en politique et en art. Celui qui le décille de tous ses préjugés et de ses haines. Alain Tasma a eu également bien du mérite à convaincre Daniel Cordier (interprété de manière saisissante par le jeune Jules Sadoughi) de se prêter au jeu et à s’accommoder de ses exigences; car celui-ci est d’une précision maniaque et ne laisse rien passer qui puisse paraître exagéré, inauthentique ou anachronique.
Le premier épisode du film traite de l’avant-guerre, de l’engagement et de la formation en Angleterre ; le second du quotidien du résistant sur le terrain. Ce n’est pas qu’un film sur la guerre. Il va au-delà, plus loin, jusqu’à nous. Il trouve un écho très contemporain dans la récente décision du ministre de l’Education nationale de faire arborer en permanence au fronton de toutes les écoles de France le drapeau et la devise de la République. Car si j’avais une phrase à en retenir, c’est bien celle-ci, à peine modifiée, et qui n’a pas besoin d’être explicitée pour revêtir son sens le plus profond : « En vous écoutant, je me rends compte de la chance que j’aie eue d’avoir une enfance républicaine ».
(« Eric Caravaca et Jules Sadoughi, alias Jean Moulin et Daniel Cordier, dans le film d’Alain Tasma » photo D.R.)
865 Réponses pour Ce que républicain veut dire
Ce qui a été dommageable pour la suite des évènements…
—
Merci d’expliquer. De votre fauteuil.
Oui, d’accord, on se fait expliquer le monde par un scientifique d’emprunt.
JC agrippé à ce qu’il jette prétend faire la leçon…
le pauvre JC continue à s’agiter dans le vide, sans rien comprendre -ça fait des heures qu’il planche pour essayer d’articuler- ml va venir pleurer à son tour
et vitupérer dès sa digestion et sieste terminées- les pauvres, pas encore de mort dans la manif?
« (vous ne pourrez pas dire que vous n’avez pas été prévenu !) »
le christ ne dirait pas mieux
« De votre fauteuil. »
Déjà je ne suis pas assis dans un fauteuil mais sur un tapis… et sans table basse. Puis, réfléchir au temps que vous avez perdu parce que ce fifre de Sartre n’a pas compris que le communisme soviétique était un fascisme comme les autres, mais vous le savez, n’est-ce pas.
« La classe était suspendue à ses lèvres. Pourtant, à quelques exceptions près, personne ne s’intéressait à la philosophie. Il était très laid, mais les filles sont folles de lui. »
Cordier-Bloom
Un lycée mixte au Havre avant guerre.
Ben ça alors !
c butin dit: 26 mai 2013 à 15 h 44 min
« (vous ne pourrez pas dire que vous n’avez pas été prévenu !) »
le christ ne dirait pas mieux
Ne faites pas parler en vain ce pauvre prophète sémite : vous savez bien que je suis du côté des Romains !
renato, j’attends toujours votre définition de « scientifique d’emprunt »… histoire de rire !
Mais je vous l’ai donnée, si vous êtes aussi court de la comprenette je n’y peux rien.
renato, votre dérobade est un aveu : vous ne savez pas de quoi vous parlez lorsque que vous abordez les sciences dures.
Je ne parle pas de votre « art », ne parlez pas du mien, ok ? cela nous évitera d’être ridicule…
« Accrochez-vous ! Ecoutez ! Il y a des messages dans les hurlements que vous croyez incompréhensibles ! »
Tu décoiffes, JC!
Debout sur la proue, face au vent, à la di Caprio…
« Hold on, Rose, hold on! »
(Honte à l’oeil sec)
« Brûlez vos vaisseaux universitaires vermoulus, vos idéologies mortes, il n’y a pas de retour arrière possible ! Proust ne vous servira à rien, ce monde là est complètement perdu … Regardez comment est le monde, réellement ! »
L’eau et le feu, ça fout en l’air les moisissures, c’est ça que Mauvaise Langue n’a pas compris!
Quand je t’écoute, j’ai envie de monter sur un tonneau.
Scientifique d’emprunt
Mais JC celui que vous avez pris pour la villa trop tapageuse, le 4×4 teuton, le Beneteau 50 et les bijoux de Madame, la frime quoi.
« vous savez bien que je suis du côté des Romains ! »
Au cinéma, tout le monde a entendu enfant derrière soi: « Quand même, ils étaient beaux, ces romains. »
Rex…
Rex Harrison dans le rôle de César…
« … vous ne savez pas de quoi vous parlez lorsque que vous abordez les sciences dures. »
Mais je n’aborde pas les sciences dures, JC, j’affirme que vous êtes un scientifique d’emprunt (ou de pacotille si vous préférez un mot plus à votre portée) ce qui n’est vraiment pas la même chose.
JC dit: 26 mai 2013 à 15 h 59 min
Je ne parle pas de votre « art », ne parlez pas du mien, ok ?
Touché le roquet ?
Juger Sartre uniquement à l’aune de son égarement sur l’URSS revient à juger l’intégralité de l’intelligentsia française. Sur cela, comme sur d’autres choses, il a effectivement eu tort.
Souvenez-vous, le PCF faisait encore 28% au début ses années 80. Ca fait beaucoup de gens à juger de son confortable tapis de l’illusion rétrospective, non? Tout ce qui a compté dans la vie intellectuelle française fut, à un moment ou un autre, plus ou moins longtemps, communiste, y compris Furet, Leroy Ladurie.
L’aura formatrice de Sartre ne peut être sous-estimée. Parfois pour le pire, très souvent pour le meilleur. Lisez Situations 3, édition augmentée, un pur chef d’oeuvre.
Libre à quiconque de ne pas aimer. Est-ce trop demander d’accepter qu’on puisse y trouver son compte.
Quand à Wittgenstein (dont le traducteur français était mon prof de Khâgne, très mauvais prof), qui se disait paraît-il « communiste de coeur », il est mort un peu tôt pour avoir mis ses convictions à l’épreuve de la réalité totalitaire soviétique, non?. Et puis ses romans n’ont pas été de grands succès, ni ses pièces.
Allez renato, brisons là ! J’accepte le qualificatif de « scientifique de pacotille » si ça peut vous faire plaisir.
Et c’est tellement drôle ….!
« Souvenez-vous, le PCF faisait encore 28% au début ses années 80. »
Bloom
Soutenir Sartre amène toujours à quelques énormités, je me demande pourquoi ?
Nausée ?
Ah oui, 1981, Marchais 15,34 %.
Zhu,
Ce n’est pas une question de « beauté » romaine, mais de paix . Cet emmerdeur de Jésus-Christ, il fallait bien s’en débarasser, non ? Qu’est ce que vous auriez fait, vous ?
(y a prescription, vous ne risquez rien …)
« Juger Sartre uniquement à l’aune de son égarement sur l’URSS »
Bloom
C’est bien vrai ça, pour Mao il a eu tout juste.
La chose que vous n’avez pas compris JC c’est qu’il n’a aucune importance si on parle art ou physique. Si votre approche du réel est correcte dans une discipline le sera en toutes les disciplines et cela se perçoit lorsque vous parlez de faits divers ou faits de société aussi. Or, personne ne vous empêche d’être contre le mariage pour tous, c’est même une attitude juste un peu kitsch que je peux comprendre. C’est votre façon de le dire qui trahi le scientifique d’emprunt : on dirait que vous ne bénéficiez pas bon parcours universitaire… bon, c’est vrai qu’à une époque on donnait les diplômes à l’aveugle… d’autre part je comprends aussi que ‘sciences dures’ c’est vachement chic… enfin, assez pour enchanter un gars qui ne les pratique pas…
Ok pour la correction,
1978: 20% aux législatives.
( RPR: 22, UDF: 21)
juste pour faire mentir le sartrophobe de service – on sait corriger ses erreurs.
Non mais les Rouges faut les habiller chez Hugo Boss ça va remonter immédiatement illico presto subito…
renato, je vous adore ! vous n’êtes ni bête, ni méchant, juste tristounet, peut-être, étriqué certainement, jaloux, à coup sûr. votre humour vous sauve… c’est clair !
Allez ! un coup de Bowmore. Clic ! il n’y paraitra plus !
invité du « Grand journal » qu’elle ferait aussitôt rire sans que nul ne se demande pourquoi. Et pourtant, elle me poursuit depuis des années.
Il faut bien reconnaître qu’en France tous les français sont polarisés par une sorte d’esprit du dvan psy qui , selon eux veut dire , faire renaître ou l’accoucher : dans tous les cas une naissance en vue : ce qui est moins « évident »
est-ce ecore « »drôle »?
pour moi: non!
C’est bien vrai ça, pour Mao il a eu tout juste
—
Pas glorieux, mais beaucoup se sont trompés, à commencer par les Chinois eux-mêmes, Malraux, Peyrefitte, etc.
A la vue du monde que nous faisons en ce moment, je ne serais un peu moins fanfaron.
Quelques éléments pour mémoire: la France a donné officiellement l’asile à Khomeni, elle a soutenu Saddam Hussein, Sarko a invité Kaddafi à planter sa tente en terre d’Elysée, et le tropisme pro dictature de nos gouvernements (Ben ali, la Birmanie, la Chine) est patent tout les jours, on ferme les yeux pour vendre. Pas pire que Sartre.
un mot de rechange si les nuls et les chéris , et les nains venaient à claquer entre vos doigts pygmaléonins pour vos portraits et appels : (les) créatures
renato vous êtes trop dur avec Sartre – (certes il a été un peu ridicule avec son appui pour les maos mais ça n’était pas important)- vous ne vous rendez pas bien, ou pas du tout compte qu’en France (j’ignore comment comment était » l’ambiance » en italie) le contexte de la Guerre froide et de la Guerre d’Algérie ça compte pas pour du beurre – et Sartre a eu du cran à sa manière pendant la guerre d’algérie, beaucoup ne peuvent pas en dire autant- il a été infâme avec camus, dont il était sans doute jaloux et qui était trop fin pour l’époque et « étranger » à ce monde intello franco-parisien pur jus), mais c’est une autre histoire. Les rangs de l’antistalinisme de gauche n’étaient pas encore très touffus au début des anénes 606. Et de toute façon les intello n’avaient pas trop d’importance
début des années 60
Je ne parle pas de votre « art », ne parlez pas du mien. JC.
Renato sais toujours de quoi il parle!
Bloom dit: 26 mai 2013 à 16 h 42 min
Typique des idolâtres,
« il s’est trompé mais d’autres aussi donc il est excusé ».
Emballé, c’est pesé.
Renato sais toujours de quoi il parle!
Hélas, oui, toujours assis sur son « trône », il « surveille » la RDL…
« Est-ce trop demander d’accepter qu’on puisse y trouver son compte. »
Mais non Bloom, ce n’est pas trop demander, d’ailleurs ses livres sont en vente. Le problème c’est que l’homme ne s’est pas seulement trompé sur le communisme, il a aussi mal glissé sur l’existentialisme mais on ne va pas emmerder le monde avec ce gars et ses drôles de relations avec l’ek-sistence… en tout cas maintenant c’est BHL qui a prit la relève… et la responsabilité de ‘défendre’ l’héritage du grand philosophe.
Juste encore quelque mot pour vous signifier qu’être « communiste de cœur » ce n’est pas la même chose que soutenir un système qu’on savait criminel déjà en 47. Or, personne ne me fera croire que Sarte ne savait pas ce qui se passait sous la paisible domination du camarade Staline.
paul dit: 26 mai 2013 à 16 h 48 min
renato vous êtes trop dur avec Sartre
Ben il a rien dit.
paul, si vous lisez Sartre comme vous lisez renato tout s’explique.
Trois ânes dans la manif pour tous, portant des panneaux « Je suis un âne ! J’ai voté pour Hollande ! »
Assez d’insultes ! L’âne est un animal intelligent ! Bien plus intelligent qu’un électeur socialiste …
Je trouve peu responsable d’emmener ses enfants à une manifestation. Ces manifestants ont un côté mouton assez pénible. Cela dit je soutiens entièrement leur revendication bien que pour des raisons qui me soient propres je ne participe pas aux manifestations.
mais on ne va pas emmerder le monde avec ce gars et ses drôles de relations avec l’ek-sistence…
Mais si, au contraire,on va entrer enfin dans le vif du sujet!
Vous avez perdu une occasion de vous taire la monnaie de sa pièce car je n’ai pas parlé de l’art de JC qui s’est, ma fois, fort mal exprimé.
D’ailleurs, …des broutilles aurait mieux fait de suivre le fil avant de causer en suivant la vague…
Quelque chose déconne dans votre §, Bloom:
Quand à Wittgenstein (dont le traducteur français était mon prof de Khâgne, très mauvais prof), qui se disait paraît-il « communiste de coeur », il est mort un peu tôt pour avoir mis ses convictions à l’épreuve de la réalité totalitaire soviétique, non?. Et puis ses romans n’ont pas été de grands succès, ni ses pièces.
Plutôt que de manifester contre un texte de loi dont le décret d’application est passé, il suffira de le faire sauter lors du prochain gouvernement qui sera de droite.
Qui viendra s’y opposer ? Quelques poignées d’ultra-gauchistes quinquagénaires, voire sexa, dont certains seront obligés d’acheter des ceintures Damart avant d’y aller. La jeunesse de gauche et d’extrême-gauche n’existe quasiment plus – ou existe à l’état de curiosité zoologique – alors que les mouvements de jeunes nationalistes montent en force de toutes part, ce qui peut d’ailleurs être qualifié d’inquiétant. Mais une société a ce qu’elle mérite et ce qu’elle a provoqué, au cas où vous l’auriez oublié.
La gauche et l’ultra-gauche se sont tellement décrédibilisées partout dans le monde ces dernières décennies qu’elles ne peuvent aujourd’hui que prêter à sourire. Un sourire jaune, mais tout de même un sourire.
On peut affirmer sans trop, se tromper que la gauche est universellement morte. UNIVERSELLEMENT MORTE.
Reste à savoir par quoi il faut la remplacer.
« Cet emmerdeur de Jésus-Christ, il fallait bien s’en débarasser, non ? Qu’est ce que vous auriez fait, vous ? » (JC)
C’est un problème.
Mais non, je ne m’en lave pas les mains.
Longtemps après l’heure, les sangliers viennent encore boire à l’étang désert.
des ceintures Damart.D.
Dame art, terme aux lactiles, fallait-il lire…
B.A. BA dit: 26 mai 2013 à 16 h 58 min
si vous lisez Sartre comme vous lisez renato tout s’explique
ah ben si tu sais pas lire (le commentaire de renato à 15h45 )hein va te faire voir
Quelque chose déconne dans votre §, Bloom:
U; je blaguais, en sous-entendant que Ludwig W. n’était « que » philosophe.
renato, Sartre et BHL, non non et non. Le modèle de BHL c’est Malraux (voir le dico du CNRS), l’action et la réflexion. Sartre, c’est la réflexion faite action.k, pour schématiser.
Quand bien même les livres de Sartre ne seraient pas en vente, je continuerai à les lire. Ce n’est pas un argument. Georges Schehadé est introuvable et je prends grand plaisir à le lire.
continuerais
le .k?
K?
« vous savez bien que je suis du côté des Romains ! »
c’est mal barré (et, ici, renato est un peu con )
renato, vous savez combien je vous admire dans vos dispositions naturelles à ne jamais céder ni aux lamentations ni aux poncifs.
dire :
« Juste encore quelque mot pour vous signifier qu’être « communiste de cœur » ce n’est pas la même chose que soutenir un système qu’on savait criminel déjà en 47. Or, personne ne me fera croire que Sarte ne savait pas ce qui se passait sous la paisible domination du camarade Staline. »
est pour vous tout sauf un poncif.
sans doute n’avons-nous pas le même dictionnaire : qui est un poncif pour l’un devient tout le contraire d’un poncif pour un autre.
renato cela dit j’aimerais ici vous faire l’éloge du poncif, non pas des poncifs que vous sortez et dont vous n’avez même pas conscience qu’ils en ont mais du vrai poncif.
renato, rassurez-vous je ne vais pas recopier ici tous vos commentaires pour vous montrer la quantité astronomique de poncifs que vous êtes capable, comme Bloom, de débiter en une journée.
non, je ne vous renverrai pas vos poncifs à la figure d’autant que depuis ma plus tendre enfance j’ai toujours eu un faible pour les poncifs.
prenez par exemple une phrase comme celle mise en exergue par Monsieur Assouline :
« en vous écoutant, je me rends compte de la chance que j’aie eue d’avoir une enfance républicaine ».
renato, avez la moindre idée du nombre de poncifs que nous pourrions sortir à partir de cette phrase.
sur l’enfance républicaine, vous savez ce qu’est une enfance républicaine ?
et sur la chance d’avoir eu une enfance républicaine.
j’imagine que vous avez une petite idée de la notion de chance dont il est question ici car un type qui essaie, comme vous, aux poncifs, sait forcément ce que signifie cette chance d’avoir eu une enfance républicaine.
et surtout d’un individu qui en 2013 parlerait encore de la chance d’avoir eu une enfance républicaine.
j’imagine que nous pourrions, en cherchant bien, trouver des individus proclamant en 2013 la chance d’avoir eu une enfance républicaine et souhaitant donner à leur tour à leurs enfants la chance d’avoir une enfance républicaine.
renato, pourrions-nous faire ensemble un petit tour parmi les différents corps de métiers dans lesquels nous pourrions trouver en 2013 des individus souhaitant donner à leurs enfants une enfance républicaine :
1 – chez les instituteurs, les professeurs, d’une façon générale parmi les enseignants ? je pense que nous en trouverions une proportion différente suivant qu’ils sont des profs d’histoire, de maths, de biologie ou de lettres.
2 – chez les sociologues bourdieusiens ? aucune chance vous n’en trouverez pas un seul.
3 – chez les profs de philo : il faut savoir que les profs de philo ont reçu dernièrement une tuile sur la tête en apprenant qu’ils allaient devoir donner des cours de morale civique à leurs élèves. la plupart ont refusé en disant qu’ils n’étaient pas payés pour faire les clowns.
3 – les journalistes ? il faudrait poser la question à Mr Assouline, il semble que lui même soit resté assez sensible à la transmission de valeurs républicaine même après la disparition de cette République engloutie dans les articles de droits européens.
– les experts comptables : c’est la profession où nous risquons d’en trouver le plus dans la mesure où il n’est pas rare d’en trouver un faisant l’éloge de la comptabilité républicaine.
– les artistes : alors là j’ai gardé le meilleur pour la fin, pour vous renato, vous êtes un artiste, pourriez-vous nous dire, sans bien sûr tomber dans vos habituels poncifs la proportion que nous pouvons trouver chez les artistes d’individus souhaitant donner à leurs enfants la chance d’avoir une enfance républicaine et d’une manière plus générale nous dire les liens qui existent actuellement entre les artistes et la République.
merci.
Georges Schehadé est introuvable et je prends grand plaisir à le lire.
Mais si, mais si, Bloom ne soyez pas aussi élitiste!
« Cela dit je soutiens entièrement leur revendication bien que pour des raisons qui me soient propres » (Dédé)
Des raisons propres sur elles, on peut dire ça en français?
Cette manif charrie son lot de croûtons (qui a chanté: « soupe à l’oignon, bouillon démocratique »?) mais on voit aussi quelques belles jeunes filles, séduisantes avec leurs bonnets phrygiens.
Il faut se gendarmer pour ne pas faiblir.
Une jeune femme au visage pur se promène toute de blanc vêtue, dans cette sorte de niqab chrétien qu’on portait, comme ma soeur pour sa première communion. J’ai oublié comment ça s’appelle, tellement mon imaginaire est marabouté.
Comment on dit halal en latin?
Tabernacle, tout fout le camp.
@U,
J’ai embrassé « l’aube » d’été!
le nsdap dédé
Mais non, je ne m’en lave pas les mains
je crois qu’il est vaguement saint chez les coptes..tu serais pas si mal loti devant saint pierre
Un brin d’humour Bloom. En 2000 BHL a publié ‘Le Siècle de Sartre’, chez éditions Grasset… Les livres de Sartre sont en vente, ce qui signifie que personne ne s’étonnera si vous les lisez ni vous stigmatisera… figurez-vous que moi-même je l’ai lu… pas tout n’est-ce pas… mon masochisme étant limité… mais assez pour passer quelques bon moment dans le bon humeur tant sa vis comica peut enchanter le lecteur… faut savoir que Heidegger m’a fait le même effet… bien qu’étant moins brouillon le comique involontaire que j’apprécie beaucoup chez le Français est pratiquement absent chez l’Allemand…
INCROYABLE !
Le militaire français agressé au cutter par un terroriste musulman s’appelait CORDIER !
Tout un symbole.
dans cette sorte de niqab chrétien qu’on portait, comme ma soeur pour sa première communion
ma mère t’as pas avalé les cotes de moutons..pourtant c’est excellent
dis donc dracul..t’as essayé le vermifuge ?..l’ail cru ça marche trés bien..hein?..qu’est ce que tu dis?..mais non tu peux en manger dracul..dracul c’est que tout un symbol..essaie avec une croix voir
L’ « aube », bien sûr.
Ça vient pas d’alba?
Que nul n’en porte s’il est moisissure.
mais on voit aussi quelques belles jeunes filles, séduisantes avec leurs bonnets phrygiens.
Il faut se gendarmer pour ne pas faiblir
..cède non de dieu..faut pas être comme ça..ça sale droldement la fesse
les Rouges faut les habiller chez Hugo Boss
les libéros ça cours partout ou y’a l’ballon..les ultra bons changent de maillot pour pas être hors jeux..hop hop hop..pas mao pas staline pas hitler pas pot..rien que du bon
Vous faites horriblement long hamlet, et ça c’est un poncif. Que nous poncifons à longueur de journée c’est une évidence.
Par exemple, vous vous plaignez constamment de la qualité du produit récent tout en vantant celle des vieux produits. Mais cela se fait depuis toujours (enfin un toujours relatif mais quand même un toujours). C’est comme si moi je me plaignais du fait que les footballeurs gagnent plus que la moyenne des artistes. Déjà un poète grec se plaignait de ça, maintenant le nom me fuit mais dès qu’il me revient je vous le dis.
Pour l’enfance républicaine vous avez une théorie, je suppose, vous savez sans doute que toute question philosophique renvoie à l’existence et que selon le très connu comique Allemand Martin Heidegger, ‘l’existence dont on parle n’est pas la réalité de l’ego cogito’… cela dit, ce qui ne dit rien, je crois avoir eu une enfance républicaine, et faire tout mon possible afin d’en transmettre le sens… cela dit, c’est parce que je suis nait en république… il est évident que si je venais au monde en monarchie j’aurais eu une enfance monarchiste et si on prends à exemple Churchill ou John Mayall je n’aurais pas eu de quoi me plaindre…
@u,
Albus en Latin -alphos en grec- blanc mat (opposé à ater;candidus,blanc éclatant opposé à niger.)
pas envie de corriger le quelques erreurs…
Vous faites horriblement long hamlet, et ça c’est un poncif.
Faire long n’est pas un poncif, Renato,c’est une caractéristique de style, alors que le poncif est une détermination d’idée.
Et dire que vous voulez nous parler de Heidegger par dessus la jambe!
pas envie de corriger le quelques erreurs…
..faire plus jeanfoutre en se fendant d’un mot pour le dire..c’est laborieux..ça fait art contemporain
Heidegger par dessus la jambe!
..faut reconnaitre que par dessous..faut s’accrocher..quoique il en avait peut être une grosse noueuse..ça compte pour le dasein dans sa culotte
Et b ien Much ado about nothing, dans le cas d’hamlet faite long est justement est une détermination d’idée.
avec keupu est con et plus il fait long plus c’est con..rénato tient un tractatus faut reconnaitre
oublions tous les commentaires à la con et ne retenons que ce beau billet de Passou, un billet qui l’honore et nous donne à aimer la République, encore un peu plus que ce que nous l’aimons. Je parle pour moi, d’accord, mais j’imagine ne pas être le seul dans ce cas…
Je reviens de ma cinquième Manif pour tous depuis Décembre: comme à chaque fois, une foule familiale, sympathique, pleine d’humour, comme à chaque fois, pas la moindre trace d’extrémisme ni d’homophobie, comme à chaque fois les efforts désespérés des médias pour en donner une image négative ou sous-estimer son importance…
« comme à chaque fois les efforts désespérés des médias »
Les décervelés reprennent toujours la même argumentation qu’ils soient pétainistes ou mélenchonistes.
renato, désolé, c’est vrai je fais trop long, il ne faut pas m’en vouloir, j’ai tellement de mal à mettre de l’ordre dans mes idées, tout est tellement confus dans ma tête, si vous saviez, difficile de retrouver le fil… croyez moi j’aimerais être aussi concis que vous, écrire de tout petits commentaires, une foultitude de petits commentaires, mais pour ça il faudrait que mon esprit puisse retrouver un peu de cohérence, comme vous, j’ai relus tous vos commentaires depuis hier, j’aimerais être aussi cohérent que vous, sérieux je vous admire :
« 21 coups de cutter au visage… enfin-bref, nous sommes sur terre, entre humains !
…
« tout le monde n’a pas eu des problèmes de rosebud …avec ses psys ! »
Déjà il fait ‘avoir’ un psy… plusieurs ce serait Byzance… mais il faudrait aussi être décadent, ce qui est assez fatigant et ennuyeux si l’on y réfléchit.
Quant au ‘rosebud’, la saison est juste déphasée, faut faire avec… donc — quand j’étais enfant mai était le mois des roses…
Mais l’art est une marchandise interchangeable : « Et avec les dividendes j’acheté un tableau ou une Lamborghini ? ».
D’ailleurs, tous ceux qui croyant le contraire devaient produire et faire circuler l’art gratuitement et sans les aides de l’État… en vivant, naturellement, d’eau fraiche… mais bon, un malhonnête homme dira que l’art n’est pas une marchandise interchangeable afin de cacher sa mauvaise foi…
Je n’excuse pas le fric, je mets sur la table des évidences… et la dernière est vraiment chaude… mais quand on prend Alter ego comme pseudo on ne peut qu’être un hypocrite…
Donc Alter ego, pour que la chose soit transparente à souhait, on prend les deux points qui génèrent l’ellipse à tendance moraliste d’hamlet :
1. Cahuzac interrogeant Lagardère devant une commission parlementaire ;
2. Lagardère se fout de la gueule de la commission en faisant comme s’il était interrogé par un animatieur à la roue de la fortune.
Il ne vous vient pas à l’esprit que Lagardère savait à l’époque ce que tout le monde sait aujourd’hui, et que donc, en ce sens « c’est ce que nous savons de l’autre que dans une situation critique (interrogé devant une commission parlementaire) détermine notre attitude… » ?
Enfin, hamlet ! déjà on ne peut pas comparer les institutions françaises aux institutions étasuniennes (où, je vous rappelle, JC aurait été poursuivi pour parjure) ; puis, lorsque vous mettez JC entre Lagardère et la commission parlementaire il se créé une situation plutôt cocasse… Ou pas ?
Bon, hamlet, cela dit (à 18 h 28 min) si un peuple se définissait par des ‘valeurs communes partagées’ nous n’aurions pas besoins de la politique… disons donc, quelques valeurs partagés…
hamlet, votre truc marketing ne marche pas.
D’abord vous dites que ‘le 80% des journalistes sont de gauche, ils ne laissent pas ceux qui ne pensent pas comme eux s’exprimer publiquement sans les flinguer au premier mot’.
Puis vous dites ‘qu’un sombre crétin se permette d’insulter la France sous prétexte qu’il a du pognon’, mais que les média ils s’en tapent.
Et là je ne comprends pas car si le 80% des journalistes sont de gauche le sombre crétin devrait passer un sale quart d’heure… ou alors le 80% des journalistes ne sont pas de gauche… n.b. qu’il est aussi possible que le sombre crétin soit de gauche… enfin, ce n’est vraiment pas clair…
Par contre je suis en accord avec vous pour ce qui est du fait que ‘personne ne devrait rien avoir à ciré de savoir si des homos veulent se marier et élever des enfants dans la mesure où c’est des trucs qui ne gênent personne et que si les hétéros savaient correctement élever des gamins on s’en serait rendus compte’…
« (à l’époque où il peignait encore bien) »
Bien peindre était une expression passablement vétuste déjà vers 1916, en 43 elle est décidément insensée car, puisque seule compte l’efficacité, le problème de la belle peinture ne se pose plus ; mais bon, se libérer des poncifs de langage est difficile…
Vous venez donc de l’opinion que le suicide à Notre Dame de votre idéologue de référence ne fut que la grosse connerie d’un dément exalté et décadent dépourvu d’imagination… et que comme tel il inscrit merveilleusement bien son geste dans la suite de conneries produite par une chiée d’autres déments exaltés et décadents dépourvus d’imagination.
Hé ! le scientifique d’emprunt ! j’ai écrit « dément exalté et décadent dépourvu d’imagination » ; pas le truc que vous avez compris, c’est-à-dire : « dément exalté et attardé ». Apprenez donc à lire avant de déblatérer.
Et puisque vous êtes là, JC, vous en dites quoi du fait que 20 minutes après avoir rendu hommage au suicidé de Notre Dame votre égérie ait corrigé le tir ? (Rappel : « Il n’en demeure pas moins que c’est dans la vie et l’espérance que la France se redressera et se sauvera. »).
Cette correction du tir, sous son air de simple action politique, ne serait par hasard, et plus banalement, la conséquence du fait qu’elle a pris conscience que la première partie de son message aliénait la valeur de toute l’énergie mise en jeu afin de donner une crédibilité à son travail de normalisation ?
Nous en sommes donc toujours au même point : elle corrige le tir et vous déblatérez vos opinions du haut de votre pseudo… Bref, vous causez, vous causez, c’est tout ce que vous savez faire…
Pour une fois, JC, réfléchissez !
Cela dit, comment vous n’avez pas « d’égérie », vous vous lisez de temps à autre ?
« … -de la camelote entre nous soit dit- … »
Voilà une affirmation qui trahi le scientifique d’emprunt. Vous avez des preuves de ce que vous avancez ? vous connaissez la descendance de bouguereau ?
« elle avait pas encore bu une goutte de la journée quand elle a dit ça »
Pas une goutte, pas une goutte… enfin ! elle peut avoir trinqué à l’exemplarité de l’action, et voilà le premier tweet.
20 minutes c’est le temps qu’il a fallut à son spin doctor pour tomber sur le problème et trouver une solution.
Bref, je vois la chose comme ça :
Lorsqu’elle fait son premier tweet son spin doctor est au pressing chercher ses chemises… petite conversation froufroute avec la fille de la gérante : « Vous avez des beaux yeux Mademoiselle »… et ce n’est qu’après qu’il est rentré à la maison et qu’il a rangé ses chemises qu’il tombe sur le tweet de la patronne… lui il espérait un message de la fille du pressing mais on ne peut pas tout avoir… le voilà donc, langue dehors, qu’il téléphone :
« Merde ! Qu’est-ce que tu me fais là ?
— OK, j’ai merdé, qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
— Réfléchissons…
— Je te rappelle que t’es payé pour ne faire que ça !
— Oui, d’accord… l’espérance. Qu’est-ce que tu dis de l’espérance ?
— Oui, l’espérance c’est bon.
— Bien, t’as de quoi écrire ? ».
Sur ça il lui dicte le raccommodage à faire et la salue vite fait car il espère encore avoir ferré la fille du pressing… Finché c’è vita c’è speranza…
« Serait-ce là une approche anthropologique ? »
Merleau-Ponty cité par christiane, Daaphnée, Merleau-Ponty cité par christiane… donc, en un sens, oui…
« S’il avait été plus solidement encadré par Merleau et Aron, Sartre aurait pu aller loin! »
Là, parfaitement d’accord.
Pour l’autre question… Enfin ! un brin d’histoire. La ‘conquête’ de l’Occident a fonctionné une fois car l’Empire Romain d’Occident était en crise et celui d’Orient était dans l’incapacité de gérer les affaires courantes. Aujourd’hui, étant donné les forces en jeu, c’est utopique… mais bon, les gens aiment se faire peur…
« Le défi de l’islamisme soft », u, c’est une peur pour certains et une illusion pour d’autres… certes, le côté spectaculaire n’est pas ce qu’il y a de plus civilisé, mais croyez-moi, au cours du dernier millénaires nous avons vu pire… et parfois sans même aller cherchez le produit exotique.
« Mais allez voir de plus près les ghettos dans lesquels l’islamisme fait son lit en banlieue… »
Ça c’est un problème, mais nous l’avons déjà connu avec les fascismes historiques et les terrorismes des années 70 : ça marchera jusqu’à ce qu’il y aura intérêt à que ça marche.
D’autre part, c’est assez navrant de rappeler que le terrorisme n’est que l’action de la diplomatie là où la diplomatie n’a aucune possibilité d’action… je me souviens d’un gars qui, vers 73 ou 74, voyageait avec passeport diplomatique et me disait ‘qu’ils auraient’ conquis l’Europe par la drogue… la guerre civile au Liban c’est 1975, si je ne fais pas erreur…
u, pour ce qui est de défiler ‘dans le rue pour protester contre ces mouvements idéologiques dont ils sont les premières victimes’, ça pourrait marcher, mais la valeur émotionnelle de l’acte terroriste ne pouvant être disjoint de l’action diplomatique (puisque cela lui ferait perdre toute sa valeur), ceux qui réellement agissent ont tout intérêt à en préserver la possibilité… pas de manif, donc, mais des couleuvres pour ceux qui ont cru en une possibilité…
Je serais même favorable à une moratoire de… disons 50 ans sur l’expression publique de toute conviction religieuse, cela devrait calmer le jeu des exaltés déments et en ce sens être bien compris par les ‘bons croyants’… en admettant que l’on puisse parler de ‘bons croyants’… etc., etc.
D’accord, mais lorsque vous parlez de société civile, vous pensez à quoi ? Aux organisations syndicales et patronales ? Aux associations professionnelles et organisations caritatives ? Aux organisations de base, c’est-à-dire celle qui impliquent les citoyens dans la vie locale ? Non, parce que ça c’est une chose, mais de l’autre côté vous avez le peuple qui a voté… et en terme de poids électorale je ne sais pas qui pèse plus lourd. D’autant plus que même si certaines organisation et association prétendent incarner l’ensemble des citoyens et s’attribuent ainsi une légitimité de représentant de LA société civile, la vérité est à la sortie des urnes pas dans les articles de presse.
Ce qui est vrais c’est que les forces au pouvoir semblent avoir pris la mesure de la dangerosité (pour leur survivance) des organisations non gouvernementales et non seulement les caritative, seulement il leur est difficile de les mettre en marge… donc il leur faudrait composer avec, et c’est probablement là qui verra le jour le vrai processus de démocratisation…
Éléments de réponse… on s’en fout, bouguereau, mais imagine : 50 années sans entendre des trucs métaphysique à deux balles, en d’autres mot, 50 années de paix.
C’est purement égoïste bouguereau. Incidents bien à part et compte tenu de la tenue de quelques ancêtres, je n’ai encore pour une quarantaine d’années… plus 10 ans pour avoir une marge… une moratoire de 50 ans me semble un bon compromis…
C’est malheureusement impossible car rien de déterminant n’est prévu pour les prochains 50 ans, mais je dois avouer que participer au spectacle final ne me dérangerait pas… en bon lombard, je pourrais même vivre ça pliniennement…
Post-ancien, S.V.P., postmoderne c’est une expression-concept au souffle court…
« les malheurs ne sont pas fait pour être appelés »
Peut-être, mais tu avoueras que participer au dernier spectacle ça doit être grisant…
C’est quoi au juste la culture officielle d’état, un truc que vous avez hérité de la monarchie absolutiste qui vous tient tant à cœur ?
Ce qui a été dommageable pour la suite des évènements… ils auraient mieux fait de lire Wittgenstein…
Oui, d’accord, on se fait expliquer le monde par un scientifique d’emprunt.
Déjà je ne suis pas assis dans un fauteuil mais sur un tapis… et sans table basse. Puis, réfléchir au temps que vous avez perdu parce que ce fifre de Sartre n’a pas compris que le communisme soviétique était un fascisme comme les autres, mais vous le savez, n’est-ce pas
Mais je n’aborde pas les sciences dures, JC, j’affirme que vous êtes un scientifique d’emprunt (ou de pacotille si vous préférez un mot plus à votre portée) ce qui n’est vraiment pas la même chose.
La chose que vous n’avez pas compris JC c’est qu’il n’a aucune importance si on parle art ou physique. Si votre approche du réel est correcte dans une discipline le sera en toutes les disciplines et cela se perçoit lorsque vous parlez de faits divers ou faits de société aussi. Or, personne ne vous empêche d’être contre le mariage pour tous, c’est même une attitude juste un peu kitsch que je peux comprendre. C’est votre façon de le dire qui trahi le scientifique d’emprunt : on dirait que vous ne bénéficiez pas bon parcours universitaire… bon, c’est vrai qu’à une époque on donnait les diplômes à l’aveugle… d’autre part je comprends aussi que ‘sciences dures’ c’est vachement chic… enfin, assez pour enchanter un gars qui ne les pratique pas…
Mais non Bloom, ce n’est pas trop demander, d’ailleurs ses livres sont en vente. Le problème c’est que l’homme ne s’est pas seulement trompé sur le communisme, il a aussi mal glissé sur l’existentialisme mais on ne va pas emmerder le monde avec ce gars et ses drôles de relations avec l’ek-sistence… en tout cas maintenant c’est BHL qui a prit la relève… et la responsabilité de ‘défendre’ l’héritage du grand philosophe.
Juste encore quelque mot pour vous signifier qu’être « communiste de cœur » ce n’est pas la même chose que soutenir un système qu’on savait criminel déjà en 47. Or, personne ne me fera croire que Sarte ne savait pas ce qui se passait sous la paisible domination du camarade Staline.
Vous avez perdu une occasion de vous taire la monnaie de sa pièce car je n’ai pas parlé de l’art de JC qui s’est, ma fois, fort mal exprimé.
D’ailleurs, …des broutilles aurait mieux fait de suivre le fil avant de causer en suivant la vague…
Un brin d’humour Bloom. En 2000 BHL a publié ‘Le Siècle de Sartre’, chez éditions Grasset… Les livres de Sartre sont en vente, ce qui signifie que personne ne s’étonnera si vous les lisez ni vous stigmatisera… figurez-vous que moi-même je l’ai lu… pas tout n’est-ce pas… mon masochisme étant limité… mais assez pour passer quelques bon moment dans le bon humeur tant sa vis comica peut enchanter le lecteur… faut savoir que Heidegger m’a fait le même effet… bien qu’étant moins brouillon le comique involontaire que j’apprécie beaucoup chez le Français est pratiquement absent chez l’Allemand…
Vous faites horriblement long hamlet, et ça c’est un poncif. Que nous poncifons à longueur de journée c’est une évidence.
Par exemple, vous vous plaignez constamment de la qualité du produit récent tout en vantant celle des vieux produits. Mais cela se fait depuis toujours (enfin un toujours relatif mais quand même un toujours). C’est comme si moi je me plaignais du fait que les footballeurs gagnent plus que la moyenne des artistes. Déjà un poète grec se plaignait de ça, maintenant le nom me fuit mais dès qu’il me revient je vous le dis.
Pour l’enfance républicaine vous avez une théorie, je suppose, vous savez sans doute que toute question philosophique renvoie à l’existence et que selon le très connu comique Allemand Martin Heidegger, ‘l’existence dont on parle n’est pas la réalité de l’ego cogito’… cela dit, ce qui ne dit rien, je crois avoir eu une enfance républicaine, et faire tout mon possible afin d’en transmettre le sens… cela dit, c’est parce que je suis nait en république… il est évident que si je venais au monde en monarchie j’aurais eu une enfance monarchiste et si on prends à exemple Churchill ou John Mayall je n’aurais pas eu de quoi me plaindre… »
renato, pour ce qui de la comparaison entre le présent et le passé, je n’ai jamais dit que le présent serait moins bien que le passé.
au contraire, notre génération est la seule à ne pas avoir connu la guerre, ni pour nous, ni pour nos enfants : nous avons eu cette chance de ne pas voir nos enfants partir à la guerre….
(pour éviter de faire trop long je continue après).
Prince hamlet, je partage votre point de vue !
Nous devrions être aussi concis que notre ami renato ….
C’est tout moi ça, hamlet, vous admettrez cependant que je tombe presque toujours près du nœud… et celle-ci vous pouvez la mettre dans votre catalogue des poncifs renatiens mais sans tout remettre en ligne… cela dit, vous avouerez que vous lisez « 21 coups de cutter » et « nous sommes sur terre, entre humains ! » vous sort naturellement du clavier…
toutefois j’ai du mal à voir notre époque autant auto satisfaite d’elle-même.
il ne faut pas se lamenter : nos écrivains ne sont peut-être pas très mauvais mais je n’en connais aucun qui soit bon : la littérature n’a jamais retrouvé son niveau d’entre 2 guerres.
Ne jouez pas le con hamlet, vous savez très bien qu’on cause de livres… pour la guerre vous avez raison, mais vous voulez dire, je suppose, que l’on n’a pas eu à subir une guerre sur nos territoires… bien que…
…
…alias,…en manque de Pygmalion,…13 h 24,…
…
…le rêve éveillé,…je marche,…je marche,…en chemin, en rue,…par mont et par vaux,…je marche,…encore et toujours,…dans un monde ou règne le sexe et la débauche,…
…tant qu’à faire,…autant choisir les meilleurs morceaux,…que d’attendre les » os « ,…des seigneurs pour leurs chiens,…
…le système,…la machine démocratique à deux balles de discernement,…
…j’aime, j’aime,…d’abord les châteaux et domaines,…les culs-culs aux lambrequins peuvent attendre,…et se faire baiser par les chiens,…à l’€uro des connivences,…etc,…
…vive mes jeux P.C. Just for Gamers,…
…
…autant, l’état vous poussent à la nullité,…autant,…l’état peut vous obliger à vous valoriser,…on en est très loin du compte,…sans faire valoir,…
…l’existence, ce corps qui contient l’univers,…face aux galaxies,…le couvercle à l’espace vide,…etc,…Ah,…Ah,…
…
quant à la politique, il s’est passé une chose curieuse dans les années 70, l’histoire propose souvent des voies possibles, qu’est-ce qui fait que celles choisies ne soient pas les meilleures ? tout au moins celles qu’on avait espéré ?
renato, nous sommes de la même génération, celle que chantaient les Who..
« Le défi de l’islamisme soft » c’est une peur pour certains et une illusion pour d’autres…
On admirera la profondeur de vue digne de Gilles Kepel. L’islamisme ? Bah ! l’Europe en a vu d’autres, les gars !
Sacré renato !
je veux dire que l’Europe a sorti de sa tête l’idée de régler les problèmes par la violencce.
Heidegger a admis dans le spiegel être devenu nazi parce qu’il ne voulait pas que les allemands deviennent des américains.
Habermas a appris aux allemands à devenir des anglo saxons, aujourd’hui les allemands sont des anglo saxons, nous sommes tous des anglo saxons, même les chinois sont des anglosaxons, les seuls à refuser de l’être sont les arabes, quand ils seront fatigués de poser des bombes et s’entretuer ils deviendront des anglo saxons comme les autres et le monde entier vivra en paix.
Disons que pour ce qui est de notre génération, hamlet, si on était honnêtes avec nous même et on s’en foutait du pouvoir il aurait été con de se lancer dans ce jeu.
Bon, A+
Il est un constat: beaucoup n’ont pu/voulu invité leur mère au resto à midi pour ainsi contribuer à l’édification de la république.
Accessoirement des livres. Avec plus ou moins de bonheur; on ne va pas se le cacher.
Je n’avais pas vu cela:
Vincent Peillon, ministre de l’éducation nationale, salue l’adoption à l’unanimité par le Sénat de l’amendement du Gouvernement proposant que le drapeau et la devise de la République soient apposés au fronton de toutes les écoles et de tous les établissements d’enseignement du second degré, qu’ils soient publics ou privés sous contrat.
Cet amendement, qui figurera dans la loi de refondation de l’école de la République, ajoute que la Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen de 1789 sera affichée de manière visible à l’intérieur des établissements scolaires.
Le Sénat réaffirme ainsi le lien de notre République à son École ; parmi les missions du système éducatif figure la transmission des valeurs de la République. Ces valeurs sont incarnées dans des symboles comme la devise et le drapeau et sont exprimées dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
symbolique, non ?
Hamlet, c’est vrai c’est long.
En arrivant au bout: Churchill
Vous avez vu ça, » a drunken wartime » ?
‘Willkie…made a great impression on Stalin, and the reverse is certainly the case…Willkie showed great interest in the new Russian sub-machine gun…At Willkie’s request Stalin sent somebody to bring in a specimen, and within five minutes, one was brought in. Barnes was very nervous, because by this time everybody was in a high state of intoxication. He gives full marks to Sir Archibald Clark-Kerr who gracefully took the gun out of Voroshilov’s hands and span the drum to make certain it was quite empty before handing it to Willkie. A banal and drunken incident followed when Cowles placed an apple on top of his head, Willkie aimed the gun and pressed the trigger, and Cowles jiggled the apple of his head. At this everyone laughed, and Stalin said: ‘You know you ought to be careful carrying a machine gun in the Kremlin’. Willkie replied: ‘Why should I care? It isn’t my apple’. Stalin laughed so much, he almost rolled off his chair’.
C’est que le séisme ne fait que continuer.
a+ renato
…
…les banlieux en état de » pétrole « ,…humain,…çà se consume, çà travaille pour rien,…Métropolis,…( film ),…
…le travail,…des manifestants par » Pub « ,…d’état,…
…Mai 68,…Oui,…Oui,…mais faut pas pousser les pédérastes comme faire valoir d’enseignants,…( faut voir ),…
…caméra et son et lumières, par internet,…dans tout les établissements publics et dans chaque classe,…
…comme sur les autoroutes,…en mieux,…
…
…l’établissement,…horaire de sa classe,…
…c’est bien,…là c’est lui,…Oui,c’est pas en direct,…pourquoi,…le pull sur l’écran,…s’il est là, il peut être la-bas,…etc,…
…l’autoroute et ses tracteurs » flachés « ,…à 130 Km à l’heure,…c’est pas nouveau, ce que tu regarde,…etc,…Ah,…Ah,…
…
Je n’écris plus de bestises, mais je lis toujours les vôtres. Merci de les faire si charnues et saignantes. Plaisir de lire…
des journées entières dans les arbres dit: 26 mai 2013 à 19 h 31 min
au fronton de toutes les écoles et de tous les établissements d’enseignement du second degré
Oui mais même celui de Courtial des Pereires ?
Chaloux revient, dur dur dur pour onenotelamauvaiselangue de défendre le titre de con des cons
…
…tous des anglo-saxon,…un monde d’enculés de première,…venez à moi dans les mains des seigneurs du capitalisme mafieux à poils de chameaux,…comme désert,…dates à l’oasis,…
…
…les magouilles et des magouilles anti-populaires à tondre les pigeons,…plum, plum,…etc,…tous des anglo-saxon,…l’espoir fait vivre les fourmis,…etc,…
…
Ah, oui Chaloux, merci de me le rappeler.
La fête des mères est une fête pétainiste.
C’est ce que m’a rétorqué un ami, ayant eu une éducation tout ce qu’il y a de plus républicaine, une réussite totale de l’égalité des chances pour ce cas, double doctorat ( en sciences dites dures), alors que rien dans son milieu d’origine ne l’y prédisposait.
Sergio, je n’ai pas lu « mort à crédit »
j’ai bon ?
Ce sera dur, Jamie, et ce sera long, mais à la fin nous vaincrons !
…
…je m’éclipse,…on va pas mourir de rire,…etc,…
…
C’est certain (réponse pour tout le monde).
sacré Popol : « vous vous rendez pas bien compte »… parbleu, il n’y a que lui qui sait et qui se la pète comme dit l’autre
Attention, « des journées entières », « Jaimie », « Ophélie », l’absence de ponctuation en fin de phrase est révélateur de graves pathologies mentales. Mais on le savait déjà…
Une vie d’ intérêt avec un livre pour la retracer et la suite du téléfilm ce soir.
Mettons un point ! dit: 26 mai 2013 à 20 h 20 min
Je respecte le pseudonymat.
Ce en quoi, mettre un point -ou trois- en fin de phrase relève du respect de la langue française.
Qu’il m’arrive de malmener, plus souvent qu’à mon tour.
Maintenant, comme pour tous les pseudos-psys, je ne paie jamais la consultation que je n’ai pas sollicitée.
Vous avez un cabinet ?
Bof, il y en a qui mettent les point qu’il faut mais pour ce qui est de leur santé mentale ne mettrais pas la mains au feu…
« ne mettrais pas la mains au feu… »
Et de deux pour l’ek-sistence!
des journées entières dans les arbres dit: 26 mai 2013 à 20 h 25 min
Mettons un point ! dit: 26 mai 2013 à 20 h 20 min
ayant assez peu contribué, je n’en ai pas moins survolé les commetaires, et cette dernière passe
touche à la si pénible question qui revient sur ce blog, un soir de « fête »! Cannes impose un peu d’Eros … bleu : De quoi titiller républicainement Onklapis Lassouline sans para Mister, et Sister Noïaque .
un article que je lis précise avec une faute de grammaire assez grave,cette question des Pygmalion de l’école, l’étude, la pensée
l’éducation scolaire tue progressivement chez l’enfant ce qu’il nomme la « pensée divergente », c’est-à-dire la capacité à examiner toutes les questions sous plusieurs angles possibles, y compris les plus inattendus – en somme, à penser hors des schémas préétablis.
http://tempsreel.nouvelobs.com/education/20130524.OBS0606/et-si-l-ecole-devenait-un-lieu-de-creativite.html#xtor=EPR-3-%5BActu17h%5D-20130526
On fait des erreurs et ce machin ne permet pas de corriger ce qui en fait un truc plutôt vieillot. Enfin, on ne peut pas tout avoir…
Cette aticle m’intéressa d’auatnt plus que c’est en détournant des trombones que j’i retr dans une création que j’offirs et qui valut beaucoup de succès à la persone à laquelle je l’avais offerte que j’ai commencé trouver du dernier ennui les échanges habituels des maîtres et fuir visiter des galeries: surtout sans compagnie
des trombones que j’ai détournés
une création que j’offris
des agrafes(un sac d’agrafes) de soutien gorge font très bien l’affaire pour faire passer un test de créatiité à des littéraires, critiquess ou non
d’autant plus que
la personne
que j’ai commencé à trouver
très bonne soirée que vous soyez ou non en palmooison
un test de créativité
des trombones que j’avais retravaillés
bref, il n’y a pas ques les schémas de Lacan et ses sigles
bags’ groove :
» Il n’y a pas qu’en politique que la révolution fait changer les hommes » dit Rex à Daniel Cordier à la fin du film.
Et il lui offre une histoire de l’art…
Tout au début de leur rencontre, il lui dit encore : » Vous ne connaissez pas Picasso? »
Beau temps de l’art et de la politique!
Depuis quelques temps déjà, n’importe quel quidam devant un tableau qui le dépasse dit : » c’est un Picasso! » et devant la politique, qui le dépasse : » c’est la mondialisation! »
Doit-on être pessimiste?
Mettons un point ! dit: 26 mai 2013 à 20 h 20 min
Attention, « des journées entières », « Jaimie », « Ophélie », l’absence de ponctuation en fin de phrase est révélateur de graves pathologies mentales. Mais on le savait déjà…
Tiens Chachal passe, toujours aussi mauvais lecteur (sans point)
Mais quelle burne (toujours sans point)
Le livre était impressionnant par son acuité, par le courage évident de Daniel C., etc., mais il avait aussi quelque chose de « charmant »: la capacité de restituer cette histoire avec ce mélange de naïveté et de hardiesse du jeune homme de l’époque.
Le film est fidèle à cette qualité du livre.
J’aime bien cet homme avec l’envie, qui sait, de pouvoir le rencontrer un jour.
Avez-vous rencontré un artiste à la personnalité aussi impressionnante que celle de Jean Moulin ?
Jean Dubuffet. Un peintre immense, qui m’a ouvert les portes de l’art brut. Quelqu’un d’extrêmement cultivé aussi, du point de vue de la peinture et de la littérature. Pourtant, il n’avait pas de bibliothèque : dès qu’il terminait un livre, il le jetait ou le donnait. On a fini par se brouiller parce qu’il se brouillait avec tout le monde. Dubuffet était brutal.
(Entretien Télérama)
Daniel Cordier, de plus en plus sympathique, formidable même!
parce qu’il se brouillait avec tout le monde. Dubuffet était brutal.
et de qoi parle-ton quand on parle de peintres et de peintures sur la RdL , et ailleurs ?
…
…qu’est ce qu’il reste comme » croûte « , à casser,…pas de quoi y trouver son » l’ard « , fumé d’entant,…etc,…
…
difficile d’oublier un éparce que » de P.Assouline
avec cette histoire Cordier .
« Pierre Assouline : “Cartier-Bresson n’a jamais changé d’avis. C’est pour cela que je suis proche de lui”
Cordier est un homme dont on voit qu’il a changé d’avis .
Ce n’est pas le moins intéressant des angles d’approche
un parce que
j’ai pris conscience que j’avais changé d’avis dans ma vie sur les gens, les situation , des questions, sur moi-même aussi bien sûr
autre angle d’approche avec une remarque :
dans un assez ancien billet, P.Assouline parla d’une angoisse ? qu’il avait qu’i lui manquerit toujours quelque chose
et Cordier plus précis – revenons à l’enfance républicaine-épond:
« , j’ai compris qu’il m’avait manqué quelque chose depuis l’enfance. Ce quelque chose dont Jean Moulin m’avait parlé.
quand même ça caut la peine de mettre en perspective la petite phrase de l’enfance républicaine et
Cordier répond, j’ai compris qu’il m’avait manqué quelque chose depuis l’enfance. Ce quelque chose dont Jean Moulin m’avait parlé.
assez vraisemblableent n’aurais jen’aurais jamais pensé à cette perspective si je n’avais connu dans mon enfance et après, des personnes dont ce furent les questions qui les travaillèrent jusque dans la haine et l’antisémitisme .
« Dubuffet était brutal. »
Rencontré trois ou quatre fois en 71, je me souviens d’un homme franc et direct, jamais rude ni raide, et pas brutal du tout.
Je crois que Clement Greenberg est le critique qui l’a mieux compris.
qu’il lui manquerait
une expression que j’ai entedue autrdois de ces personnes de mon enfance
« il lui manque 20 sous pour faire un franc
c’était dans les années 50
Alias,
Une petite fille était au fond de la classe, en train de dessiner.
La maîtresse est surprise de la concentration de cette jeune élève alors qu’elle montrait le plus souvent des difficultés à se concentrer.
La petite lui dit qu’elle dessine dieu.
Mais personne ne sait à quoi ressemble dieu, répond la maîtresse.
Ils le sauront dans une minute, répond l’enfant.
Celui qui raconte cette histoire est agréable à écouter :
http://www.ted.com/talks/ken_robinson_says_schools_kill_creativity.html
Il aurait le talent pour réécrire la parabole des trente mille de Saint Simon
On change d’avis tout le temps, en réalité seulement les crétins ne changent jamais d’avis — mais c’est vrai que on prend les gens qui ne changent pas d’avis pour plus sérieux de ce qu’ils sont.
Cela dit, et à bien réfléchir, on peut développer une opinion le matin au réveil et l’avoir complètement modifiée le soir, après le théâtre… enfin, changer d’avis c’est plutôt salutaire…
voici la citation
« artier-Bresson n’a jamais changé d’avis. C’est pour cela que je suis proche de lui, comme de tous les « héros » de mes biographies : Gaston Gallimard, Albert Londres, Simenon, Hergé… Ils ont un point commun : à 20-25 ans, ils ont eu une idée précise de ce qu’ils voulaient faire et ils s’y sont tenus toute leur vie
http://television.telerama.fr/television/pierre-assouline-cartier-bresson-n-a-jamais-change-d-avis-c-est-pour-cela-que-je-suis-proche-de-lui,85700.php
( — … — ),
Pas pour rien,
j’espère /.
À un moment on se dit : « Merde, c’est une enfance raciste ce qui me manque ».
C’est vrai que c’est une occasion pour changer de point de vue — toutefois, devenir raciste aujourd’hui afin de changer de point de vue me semble fatigant vu le paquet de choses qu’il faut apprendre pour faire un raciste crédible.
Dubuffet était un homme intransigeant, qui n’a pas changé d’avis sur ses conceptions de l’art, lui aussi…
Il savait ce qu’il voulait.
(enfin, changer d’avis c’est plutôt salutaire…=poncif)
« … à 20-25 ans, ils ont eu une idée précise de ce qu’ils voulaient faire et ils s’y sont tenus toute leur vie »
Ça c’est autre chose. J’ai connu des gens qui ont décidé entre le 3 et 5 ans ce qu’ils auraient fait de leur vie. Moi, je n’ai jamais décidé et je m’y tiens car ça me semble une très bonne attitude vis à vis des événement et des choses.
C’est vrai que c’est un poncif, le fait est que ceux qui ne savent pas changer d’avis sont généralement des désastres pour la marche du monde, surtout lorsqu’ils sont aux commandes.
« Il savait ce qu’il voulait. »
Je ne suis pas si sûr, c’est vrai qu’il donnait cette impression… mais ce n’était qu’une impression, justement…
D’ailleurs la conceptions subjacente à l’art brut est plutôt fruste… amusante mais fruste.
in’est pas inutile d’avoir une idée un peu élaborée de ce qu’on ne veut absolument pas, ou plus .
je ne vous raconte donc pas l’histoire de la créativité du petit garçon qui voit sa _mère pleurer parce qu’on lui a volé son arbre généalogique : elle n’est pas pour les gens trop intelligents
Les livres de Sartre sont en vente, ce qui signifie que personne ne s’étonnera si vous les lisez ni vous stigmatisera…
—
renato, vous dites des choses étranges. Etre ‘stigmatisé’ pour ses lectures, en France au 21e s…je n’y avais pas pensé. Mais vous avez certainement raison.
Certes, une des toutes premières libertés que la République et la démocratie nous garantie est la liberté de lire ce que bon nous semble. Et cette liberté, comme bien d’autres, est d’autant plus précieuse qu’elle est loin d’être universelle.
J’ai vécu dans des pays où il existait une liste noire de livres et d’auteurs interdits; la poste pakistanaise m’a confisqué le Rushdie que m’envoyait un ami; il m’a fallu cacher la biographie de Mahomet par Maxime Rodinson dans un tiroir pendant trois ans dans un autre pays musulman, où elle est interdite ( Mein Kampf, lui, est autorisé); ma femme et moi avons pris le risque d' »importer » un peu de Gao en Chine pop, en français et en chinois, édition taiwanaise.
Soyons reconnaissants à nos pays bien imparfaits de nous donner la liberté de lire Sartre ou Montherlant ou Drieu ou Rushdie ou Céline ou Georges Politzer.
Je suis toujours plaisamment surpris de constater que l’oeuvre de JPS exerce encore une influence non négligeable sur les élites cultivées des « pays les plus peuplés », comme on dit maintenant. A l’heure où ce qui émane de l’Hexagone est assez faible et inquiétant, on ne va pas se refuser un petit motif de satisfaction.
…
…le raisonnement c’est une planche de salut pour tous,…
…le couple, les familles, les corporations, la société,…tout tourne autour du pouvoir d’achat ou de vivre sur ses fiefs ou ses rentes,…
…voilà,…ou est la république de quoi,…
…les châteaux et fortunes d’abord, de naissance ou d’ailleurs,…
…le reste,…j’ai compris,…toute des salopes pour des salopards,…des fondues de pouvoir,…en fin de compte,…
…des riches et des pauvres,…tous des sadique-masochistes,…voilà,…qui en veut,…
…perdre son temps,…en se faisant engluer par la misère de survivre,…dans des hiérarchies cloisonnées pour débiles de première classe,…
…c’est quoi ce cirque,…cette tombola de misère sans limites dans le respect de la république,…à s’en foutre par la nomenclature d’état,…qui soutient quoi,…rien,…
…la propriété privé à redéfinir,…de l’éducation privé à l’enseignement privé personnaliser aussi,…Massif,…rien en partage avec quiconque,…
…son université, son hôpital, sa cour,…
…le rôle des pauvres,…au bac +10,…de parasite sophiste à poils de chameaux à deux balles,…etc,…
…les petits points, les rails pour ma locomotive,…
…l’enfance de l’art,…etc,…Ah,…Ah,…
…ou sont les riches « au naturel « ,…ou,…etc,…
…
…
…ce que républicain veut dire,…tous » roi « ,…avant la lettre,…
…du public au privé,…la loi des cow-boy’s,…et des lèche-culs,…
…the Riche and the Super-Riche,…by Ferdinand Lundberg ,Lyle Stuart, 1968,…etc,…
…
Bloom il existe mille et une manières de stigmatiser, cessons d’être hypocrite en public cependant il faut que vous sachiez que je n’ai toujours pas lu mon voisin marié et père de deux adorables garçonnets. Beaucoup aimé le Jean Sol Partre de l’écume des jours et vu par Gondry, j’avais occulté ce personnage du livre.
Ce que républicain peut dire :
Belle et imposante manifestation à Paris sur un sujet mineur qui a le mérite de faire révélateur. Il y a nombre d’autres sujets encore plus importants qui attendent. Beaucoup de manifestations seront nécessaires pour faire comprendre aux Socialautistes nuageux que gouverner c’est agir autrement que ne le fait ce poulailler de ministres en papier mâché, totalement incompétents !
Au boulot, les brêles, le pédalo coule … écoutez Didier Migaud, par exemple, au lieu de suivre Peillon. Ecoutez les entrepreneurs, au lieu d’écouter les profs… !
le pq, pour qui les coups de menton reflètent l’intelligence, est payé pour dire des co.neries à moins que ça soit du bénévolat pour les intégristes ces fascistes qui s’ennuient et ne savent pas comment dépenser leur énergie faute de guerre comme ils l’ont encore montré hier –
non osanto, je ne suis pas payé …
(et vous êtes, vous, impayable !)
A Alias de 0h17, Moi non plus je n’ai pas changé d’avis là-dessus : ce que je louais, et je loue encore, chez les personnages que vous citez, c’est leur constance non dans leurs opinions politiques, qui ne sont pas le sujet, mais dans l’idée qu’ils se font de leur art ou de leur métier : ils creusent toujours le même sillon à partir de l’idée qu’ils s’en font ou de la conception qu’ils en ont.
Oui, c’est cela qui est important « creuser le même sillon » même si pour cela il faut évoluer, se contredire en apparence. C’est comme ôter des écorces qui empêchent de se trouver. Très beau film et billet important dans les traces que laisse P.Assouline de livre en livre, d’article en billet. Homme probe.
Ce n’est pas pour vous fâcher, les agriculteurs, mais vous verriez les sillons de mes champs ! … On n’est pas dans la géométrie euclidienne, les parallèles se coupent, les points sont surdimensionnés, les segments sont immenses ou minuscules, ça sillonne à tort et à travers, ça tourne en rond, ça s’intersectionne tous les dix mêtres… bref, je n’ai jamais réussi à « creuser le même sillon » ! Oserai-je m’écrier « Grâce à Dieu !… »
Quelqu’un parlait plus haut d’un art officiel d’État, n’est-ce pas le cas de la palme d’or de cette année?
Une des actrices s’exclamant qu’elle avait tout montré de la liberté sur le tournage, jusqu’à « leurs culs ».
Voilà la jeunesse – même âge que Daniel Cordier – libertataire bobo. A t-elle pris une leçon de républicanisme auprès d’un cinéaste franco-tunisien qui sert objectivement la politique nationale d’État?
Nous confirmons: JC n’est pas payé par nous, mais par c’eux d’à côté.
Daniel Cordier était un résistant, contre le pouvoir en place, contre les dominants illégitimes, contre le pouvoir établi tout comme l’a été Dubuffet avec constance et ténacité contre l’art officiel d’État, comme le fut l’art brut contre l’air du temps et les pratiques majoritaires objectivement imposées.
mais dans l’idée qu’ils se font de leur art ou de leur métier
avec un bémol lassouline, beaucoup d’arts et mucho de métiers changent a vu de nez, plus vite qu’une vie d’homme..tiens un beau cadeau a te faire..scuz l’abominab brand droping..concerver le concèpe..imagine un truc : son retroinginiringue..pas de raison qu’il y ait pas moyen dy backtracker tout proust.. »retour sur traces »
http://www.gizmodo.fr/2013/05/24/appareil-photo-descriptif.html#more-204804
beaucoup d’arts et mucho de métiers changent a vu de nez,
Oui, mais c’est toujours le même corps qui « sent » dans la continuité
Enfin, que cela plaise aux fantassins qui se battent contre l’art d’État, le vinettier fit de la contreculture d’État.
D’ailleurs, si on prend ses critères au sérieux, ceux qui sont exemptes de culture artistique ne sont vraiment pas des pauvres créatures perdues dans la jungle de ce fantasme connu sous le nom d’art d’État car, d’après ce que j’ai vu, il connaissent merveilleusement bien les horaires des trains et même des avions.
Il faudra voir avec quelle précision cette camera arrivera à identifier correctement les objets — si la fameuse ‘table basse’ chère à bouguereau n’est qu’un cageot renversé, elle identifiera un cageot renversé ou une table basse ?
@passouline
merci de votre intervention.
Je cherchais simplement à remettre en relief, ou au travail ce qu’on appelle aujourd’hui des « éléments de langage » ?leur rendre leurs ressorts.
J’ai fort peu choisi, et bien plus accepté de considérer ce qui m’était proposé .
@ Mauvais film – 9h22
Abdellatif Kechiche cet acteur autrefois confiné dans de petits rôles, d’origine modeste, qui est passé derrière la caméra, est devenu un grand directeur d’acteurs et un réalisateur important du cinéma français dans ses trois premiers films : « La Faute à Voltaire », « L’Esquive » et « La Graine et le mulet ». Il fait surgir la vie à l’écran avec beaucoup d’humanité. Un Lion d’or de la meilleure première œuvre à Venise pour « La Faute à Voltaire » (2000), cinq Césars (dont le meilleur film français de l’année 2005) pour les deux autres films. Deux fois, ses oeuvres ont permis aux jeunes actrices principales de décrocher le César du meilleur espoir féminin (Sarah Forestier pour « L’Esquive » et Hafsia Herzi pour « La Graine et le mulet »), cette année Adèle Exarchopoulos (nouveau talent ?) Il faudra patienter jusqu’en octobre pour découvrir ce film. Lui, il reste humble et solitaire. (Un défaut peut-être : la longueur excessive de ces films…)
Quant à Béatrice Bejo (palme d’or de la meilleure actrice) et Tahar Rahim, ils sont époustouflants de vérité dans ce beau film d’Asghar Farhadi que j’ai vu hier, « Le passé ».
Un autre très grand film qui sort cette semaine (vu avant-hier) « La grande Bellezza » de P. Sorrentino avec cet acteur si fin, Toni Servillo. Ce dernier film, je ne suis pas prête à l’oublier.
Ah, ce bonheur du cinéma !
A suivre…
« creuser le même sillon »
Il faut savoir mettre le terrain en friche, parfois…
Ah, ce bonheur du cinéma !
A suivre…
En passant, christiane, je remarque que les amateurs de cinéma laissent désespérément vide de tout commentaire le site de Mme Avon (République du cinéma), qui fait partie du joint-venture Assouline.
(Je ne vous blâme pas, le temps manque toujours…)
« bref, je n’ai jamais réussi à « creuser le même sillon » ! »
Il ne faut pas pousser trop loin le refus du ruralisme, JC, les racines, hein.
C’est vrai que les libéraux sont pour les sports de glisse?
Nos pères, ces héros, voulaient non seulement qu’on tienne bon sur ce foutu sillon, mais qu’on l’irrigue par l’hémoglobine pourrie des brutes d’en face, venues « dans nos bras » (dans nos bras!, il y a quand même de l’hybris, et pourquoi pas l’égorgement au cutter tant qu’on y est?).
elle identifiera un cageot renversé ou une table basse ?
tout dépendra de sa « profondeur de champ » bref de la base de connaissance de référence choisie par le photographe..sergio va nous faire un cours la dessus, et c’est tout a fait dans l’esprit de la photographie numérique..trés belle idée qui au moins est dans un garage..pas dans une gallerie
C’est vrai que les libéraux sont pour les sports de glisse?
tartinés de vazeline zouzou « j’ai rien sentu et vous? »
« est devenu un grand directeur d’acteurs et un réalisateur important du cinéma français » christiane
L’art est un cimetière de « gens importants » et ce, à toutes les époques.
C’est comme les médailles sur les plastrons d’ailleurs!
Allez voir les personnages d’ Erico Baj, un des peintres favoris de Daniel Cordier.
toujours le même corps qui « sent » dans la continuité
tu devrais travailler a la télévision française..t’as des dispositions
oui u. les sites cinéma et jazz sont délaissés par les amateurs… on les comprend : nuls !
Zhu,
Comme disait TKT, à l’époque où il était inventif, la campagne m’a toujours fait somptueusement « chillier » ! La mer, jamais.
L’art est un cimetière de « gens importants » et ce, à toutes les époques
tu vois renato ça c’est c’est l’aoutpout passe partout..en cas de panne..hop hop..pas bouger..la grosse autruche va sortir
oué mais c’est pasque la campagne pardonne plusse jicé..t’es un vieux loulou
Est-ce un médaillé du cinéma français?
http://artnews.org/files/0000071000/0000070073.jpg/Enrico_Baj.jpg
fais pas l’amateur que tu comprends keupu..c’est toi qu’es nul
Daniel Cordier était un résistant, contre le pouvoir en place, contre les dominants illégitimes, contre le pouvoir établi tout comme l’a été Dubuffet avec constance et ténacité contre l’art officiel d’État, comme le fut l’art brut contre l’air du temps et les pratiques majoritaires objectivement imposées.
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ralala!!!! Les non-sartriens profèrent de ces énormités…!
Alors comme ça, à travers la pratique de son art, Dubuffet aurait risqué sa vie et celle de ses spectateurs? Un art brut pour brutes?
Allons bon…!!!
« (..) depuis mon engagement, j’ai la certitude que je ‘ne reviendrai pas » D.Cordier; Alias C., p. 363.
Pour less années que j’ai suivi la RdL, je n’ai jamais mis en doute que ce fût une « république » et j’ai aussi découvert que c’étit une république pleine de républiques. mais il n’y est pas dit que comme il m’est apparu que la plupart des commentateurs se considéraient comme ses ministres .
si loin qu’on en soit , un peu comme comme on se croit dans ses rêves, sans doute loin du monde de la veille -il y a des rêves dont construcyion est bien plus subtile, ne serait-ce que ceux qui stipulent ceci est un rêve ,on s’y trouve avec une identité que l’on n’a pas toujours imaginée » administré-e » : et beaucoup de inistres revendiquent leur droit de vie et de mort . une idée que je n’aurais jamais eue, surtout pas celle d’être ministre :
c’est pourtant une idée qui me semble de celles qu’on dit en français banale, un mot que je trouve très difficile à comprendre , aussi difficile que l’idée d’être ministre . c’et peut-être l’overépublicaine des idéeset on me cache qu’il y a l’overépublicanisme?
Bonne journée ministres et mini-stressantes !
Et oui, Bougboug, il y aura probablement des obsédés qui vont dire : « Oui ! Oui ! JC, c’est un loulou de Poméemarine ! »
(.. mille pardons ! je suis un peu fatigué. Les bringues du week-end …)
Bof, le travail d’Enrico Baj était très-très-très maniériste, dans le sens que, tout comme le vinettier, il avait tendance à dissoudre ses conflits d’intérêt dans une image bien reconnaissable (évidemment dénoncée chez les autres comme élement commerciale), mais c’était une époque où tout ce qui était ‘avant-garde’ était admirable…même la connerie pseudo-nationaliste de Baj…
des rêves dont la construction
toutes mes excuses ordinaires
WoW Bloom ! de quels éléments de langage déduisez vous que « Il n’y a pas qu’en politique que la révolution fait changer les hommes » est un non-sartrien ?
ce qui est étrange c’est que des personnes qui ont ici assez souvent parlé des années où elles ensignaient ne soient pas venues témoigner de « leur école »à l’occasion de ce billet .
je ne sais ce qu’il convient d’en penser , nimême ce que je peux en penser, même si c’est inconvenant
Bloom est incorrigible à défendre l’art officiel d’Etat…
Amalgame entre l’esprit de liberté commun aux deux personnages et l’esprit de suivisme!
( Allez voir comment le milieu de l’art officiel à « canardé » l’art brut pendant des décennies pour tenter de le récupérer ( par occupation) ensuite.
ralala!!!! Les non-sartriens profèrent de ces énormités…!
on a quand même pas besoin de sartre pour ignorer de telle comparaison bête kabloom..c’est comme de dire que les pieds de cochon de sainte ménéhould n’aurait pas l’même gout sans lui
Une Palme d’Or qui devrait s’abattre comme une tonne de briques sur les petites cervelles affolées des zombies du Printemps français : un Franco-Tunisien pas mal arabe avec un film sur des lesbiennes. Bravo, Monsieur Kechiche. Félicitations républicaines. Grâce à vous, la France et son cinéma rayonnent encore un peu.
mauvais film? dit: 27 mai 2013 à 9 h 22 min
mais qu’il est con ce JC.
l’art officiel à « canardé » l’art brut
..c’était pas du 75..mais en me^me temps tu vois mal la cia promouvoir un art offici du libéralisme avec des maboul de la campagne en plein urgence d’exode rurale..ça fait pas tiptop pilpoul
officiel qu’il était l’art..mais faut pas l’dire
« Allez voir comment le milieu de l’art officiel à « canardé » l’art brut pendant des décennies pour tenter de le récupérer ( par occupation) ensuite. »
C’est un phénomène spécifiquement français ça, allez voir l’état des collections publiques en 1947 (tout respectable baudelairien comprend pourquoi cette date apparait ici, je suppose).
…
…il y a créativité,…si complicité des média’s,…
…parce qu’il y a des trucs,…pour suborner l’objectivité, la qualité, l’authenticité du produit fini,…dans chaque métier,…
…
…si le client est contant,…
…je ne connait aucun client qui aime se faire » rouler « ,…et se prendre en dindon de la farce,…
…
…tout les métiers c’est ma passion,…en plus des arts du luxe,…
…
…mais, osez vendre des pseudo-tableaux d’art,…avec un simple transfert de photo’s sur toile,…surchargé de quelque dégradés d’aquarelle à l’huile en « glacis »,…
…
…et vendre tout çà,…par la « suite », présidentielle à papa du précédent » royaltie’s « ,…de la république,…
…
…çà donne,…la mesure, de l’objectivité en connivence des bénéfices d’influence des im-postures à l’art,…au détriment de la morale en art,…qui est totalement absente,…
…
…nous arrivons à l’art sauvage-cannibale des lèche-culs de billets complices,…
…
…des listes de trucs pour se faire un « style »,…digne,…du temps des dinosaures,…
…
…et le Louvre et ses cabinets de restauration,…au courant de rien,…l’état et ses enfants de la république à magouilles,…
…
…la Chine, la mondialisation,…presque un prétexte,…
…un métier, roule l’autre métier, qui se refait par une autre supercherie,…en somme de tout, sauf de l’authenticité,…
…je convient, que pour certains tableaux d’état,…les artistes compétents n’existe plus,…aux prix des radis sous l’égide du Christ pour rester pauvre, après être abrutis,…etc,…sujet suivante, à poils d’emplois,…etc,…Ah,…Ah,…
…
Avoir l’esprit libre c’est avoir le courage contre tous les discours établis sur la résistance d’avancer avec rigueur, pour Daniel Cordier, son propre témoignage et pour Dubuffet d’ avancer, dans Asphyxiante culture, par exemple les conditionnements culturels qui nous empêchent de librement s’exprimer.
un Franco-Tunisien pas mal arabe avec un film sur des lesbiennes. Bravo, Monsieur Kechiche. Grâce à vous, la France et son cinéma rayonnent encore un peu.
Le film est bon, Bloom?
sur la palme , je crois que je dirais « bien vu » !bien pensé Monsieur Kechiche.
aprè le raisonnenment, le rayonnement et pour ce qui est du rayonnement, je n’ai pas un compas temporel dans l’oeil
» nous exprimer »…
C’est un phénomène spécifiquement français ça
?? en 1947 qu’est ce donc le « typiquement français « ..tu carambouilles renato
Le film est bon, Bloom?
..on voit des culs ?..les lesbiennes c’est un vieux nanar hétéro
« … les conditionnements culturels qui nous empêchent de librement s’exprimer. »
Vous prenez le fond de commerce du vinettier pour une idéologie portante, mais c’est à savoir que personne ne vous empêche de librement vous exprimer… enfin, dans les zones d’influence de la pensée Occidentale personne ne vous empêche de librement vous exprimer…
« un Franco-Tunisien pas mal arabe avec un film sur des lesbiennes. Bravo, »
Une affiche de propagande!
Le vrai combat se situe en Tunisie, là serait le vrai courage!
( Kechiche, avec lucidité, l’a d’ailleurs exlicitement déclaré en dédiant sa palme au sursaut démocratique Tunisien.)
le fond de commerce du vinettier
cet archarnement sur le pinard fait tâche
.les lesbiennes c’est un vieux nanar hétéro:
c’est aussi mon avis que ce n’est pas très original , mais au cinéma aussi ?
bouguereau, j’entends qu’en 47 les collections publiques ne rendaient pas compte de la réalité du travail des avant-gardes… le vinettier vient après, évidemment…
A Delle dit: 27 mai 2013 à 11 h 26 min
mauvais film? dit: 27 mai 2013 à 9 h 22 min
mais qu’il est con ce JC.
Adèle, détends toi ….
je n’y suis pour rien, je n’ai pas vu ce film !
Le vrai combat se situe en Tunisie, là serait le vrai courage!
des lesbiennes déculottées matées par des hétéro calconnant ça fait lâche..et alors jicé!?
C’est vrai que, chez les hétéros, les lesbiennes passent mieux que les pédés… ça doit être un reflexe conditionné par la consommation de porno…
Bloom, vous limitez à votre petite vue partisane le message général de liberté de ce film. Vous détournez pour votre parti ce qui devrait être à tous. Vous nous faites penser à ces chefs de la résistance – vous êtes loin d’en être un, d’ailleurs – qui voulaient tout pour eux alors que jean Moulin voulait partager et unifier.
en 47 ça sentait encore la poudre dans toute l’europe renato..qu’est ce tu racontes
bouguereau dit: 27 mai 2013 à 11 h 45 min
Vous étiez dans quel cortège hier bouguereau ?
Civitas ?
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