C’est confirmé : Napoléon perçait déjà sous Bonaparte !
Ce Bonaparte (854 pages, 30 euros, Gallimard) est l’histoire, riche en détails et intuitions, d’un homme pressé, impatient, sûr de lui. Pas la première du genre, observera-t-on ; il est vrai que la bibliographie napoléonienne est des plus fournies. Quel écrivain n’a pas donné sa vision du personnage ! A croire que ce fut un genre en soi, une figure imposée : Chateaubriand, Stendhal, Bloy, Suarès, Cabanis, Malraux. Pour ne rien dire des historiens, dont c’est le rayon. Alors, n’en jetez plus ? Pas si sûr. Car Patrice Gueniffey, ancien assistant de François Furet devenu lui-même un spécialiste de la Révolution, ne s’est pas contenté de tout lire sur le sujet et de nous en offrir une brillante synthèse ; pratiquant l’admiration critique, il a le don du pas de côté et du regard en biais. De telles qualités ne sont pas de trop lorsqu’on s’attaque à un tel monument, si visité qu’il en devient un lieu commun, si caricaturé qu’il donne l’impression d’avoir lui-même créé son poncif.
L’auteur, professeur à l’Ecole des Hautes études en sciences sociales, ne va pas se faire des amis parmi ses amis, bien que des piliers de la revue des Annales aient depuis des années déjà fait un pas vers la biographie, genre longtemps méprisé. Jugez-en par cette déclaration au site Napoleon.org :
“Bonaparte est le vivant démenti de la conception « démocratique » de l’histoire. Il est la preuve parfaite, achevée, que parfois, l’histoire est l’oeuvre d’un individu et non une oeuvre collective. L’histoire n’est pas que le fait des peuples. Elle peut parfois être le fait d’un grand homme, d’une volonté supérieure, pour peu que les circonstances s’y prêtent.”
Il serait vain de dresser ici l’inventaire de ce que ces pages exposent en détail. Ce Bonaparte contient tout ce qu’il est possible et utile de savoir factuellement du héros avant qu’il ne se mue en anti-héros, du moins aux yeux de certains. Où est sa « valeur ajoutée » comme diraient les comptables de Clio ? Outre le rapport robespierriste à la Révolution, mais gouverné par la conviction et non par l’opportunisme, fil rouge parfaitement tenu de bout en bout par le narrateur, elle est probablement dans la passionnante exploration de ce que son âme avait de profondément corse : le tempérament insulaire, le sens du clan sans oublier le particularisme ajaccien, une île dans l’île, qui le faisait se sentir plus proche des Italiens que de ses compatriotes montagnards., ce qui n’empêche pas l’auteur d’insister sur la « naturalisation française » de son personnage, loin du cortège de mythes attaché à la figure de Paoli. La « valeur ajoutée » est enfin dans la réflexion de Patrice Guennifey sur l’art de la biographie. Elle court tout le long du livre mais se condense avec éclat dans une préface qui tient lieu de discours de la méthode.
« Il rendit l’espèce humaine anonyme en accaparant la célébrité à lui seul » écrivait Mme de Staël qui exagérait à peine en des temps où tout le monde n’avait pas son quart d’heure de gloire. Autoritaire, pragmatique, réaliste, despote éclairé, c’est un modéré mais qui fonde son pouvoir sur la force. Dès le Consulat, où la société est « façonnée à l’obéissance passive », Napoléon perce sous Bonaparte. Pour autant, Patrice Gueniffey se défend d’adhérer aux interprétations libérales qui, de Taine à Bainville, associent l’esprit d’aventure à la nécessité d’un homme aux prises avec la fatalité.
L’auteur est, heureusement, moins pressé que son héros ; il prend le temps de raconter. Car Bonaparte, lui, traverse son histoire en météore : siège de Toulon, campagne d’Italie, victoires de Rivoli et de Lodi, expédition d’Egypte, destruction de la flotte à Aboukir et la geste du Premier consul tout à ses réformes de l’Etat, sa plus belle mais plus discrète victoire, le Concordat et le Code civil étant moins spectaculaires, mais tellement plus durables, que de hauts faits d’armes immortalisés par des peintres de batailles.
Une biographie se juge d’abord à son plan. Y surgissent les moments de rupture. On devine les partis pris d’un biographe aux césures qu’il opère dans une vie. Patrice Gueniffey s’engage et se dévoile dès lors en choisissant d’interrompre ce premier volume en 1802 avec la proclamation du consulat à vie et non comme tant d’autres en 1799 avec le coup d’Etat du 18 brumaire. Manière de prendre d’emblée sa place dans l’éternel débat et d’annoncer qu’à ses yeux, loin d’enterrer la Révolution, Bonaparte l’a continuée, perfectionnée et achevée. On peut d’ailleurs lire son récit en filigrane comme une réponse à la question : comment sortir au mieux d’une Révolution ?
Déjà plusieurs fois lauré, ce grand livre force l’admiration car l’auteur, historien déjà consacré, s’y révèle également un authentique écrivain et un styliste (ici des extraits), espèce rare dans la catégorie. Par ses milliers de notes, sa bibliographie actualisée, son index des noms, il s’impose déjà comme l’ouvrage de référence sur le sujet. Il ne sera pas facile à détrôner. Pour la suite, on verra car son Napoléon sera, on s’en doute, attendu au tournant.
(« Ebauches », 1797, et « Portrait inachevé », 1798 de Jacques-Louis David)
1 405 Réponses pour C’est confirmé : Napoléon perçait déjà sous Bonaparte !
Il paraît que les ouvrages en plusieurs volumes ne se vendent plus : comment a-t-il fait pour convaincre son éditeur ?
Pour Hitler, il en faudrait bien trois : des origines à 1933, de 1933 à 1939, et la guerre. Avis aux professionnels !
Enfin du Victor Hugo !
Napoleone Buonaparte était « autoritaire, pragmatique, réaliste, despote éclairé »
Tiens, ça nous rappelle quelqu’un de connu : mou, embrouilleur, complètement irréaliste. Bref, un despote sinistrement éteint !
Ya pas de psy à PéQ?
11h42 est-ce qu’il vaudrait mieux un fou allumé manipulateur hypnotiseur super-tribun, un nouvel Hitler? Au moins avec celui-ci personne ne rate le match
Certainement pas un Hitler !
Un Cincinnatus, peut-être…
Mais les hommes, et les femmes, politiques ont oublié ce qu’est la grandeur du politique.
Colette et Christiane,
Auriez vous du sang anglais qui coule dans vos veines…? (juron censuré)
Chouette, encore un bouquin que je suis sûr de ne pas lire.
30 euros à mettre d’un l’achat d’un Criots-Bâtard, pas de petits plaisirs.
JC….. dit: 27 novembre 2013 à 12 h 59 min
Colette et Christiane
Colette et Christiane ont été censurées.
Victimes du despotisme éclairé ?
@ « Pour Hitler, il en faudrait bien trois : des origines à 1933, de 1933 à 1939, et la guerre. Avis aux professionnels ! »
C’est drôle, car je pensais à la monumentale entreprise de Sir Ian Kershaw, apparemment ignorée de FD, et me demandais si Guennifey s’était positionné par rapport au projet de Kershaw (dix années de boulot effectif).
Les biographies monumentales sont à la mode, certes, mais quand on connaît un peu les deux personnages, -et le comparatif Bonaparte/Hitler n’est certainement pas osé-, on se demande si le style d’un biographe censé apporter une « plus-value » réelle d’un énième opus (comme on l’entend dire à satiété de celui-ci depuis un mois), suffirait vraiment à nous apprendre quelque chose de nouveau. Quant à la césure de 1802 plutôt que de celle de 1799,… elle reste évidemment des plus discutables. Elle n’est qu’un point de vue, un parti pris distinctif, sans plus, je la trouve assez faiblement convaincante chez Guennifey, contrairement à la RDL.
JC nous pourrions nous satisfaire d’une taille plus modeste pourvu qu’elle fut efficace et prompte à réformer dans un sens différent que celui attendu et connu, pas de changement et cette invariabilité a gagné en se vêtant d’habits d’une garde robes qui à l’évidence n’est pas la sienne, finalement on penche toujours à droite ce qui a le don de déplaire comme une supercherie, une imposture inadmissible qui nous force à penser que les Menteurs qui méritent bien la majuscules car ils sont grands s’invitent tous les 5 ans pour obtenir un droit d’asile élyséen.
Pourquoi Colette et Christiane (deux prénoms à vous faire fantasmer jusqu’à l’heure de la confession) ont été censurées, mystère ?!
J’espère que Passou leur offrira une burka en nylon gratuite !
(ne riez pas, en Syrie, c’est ce qu’il y a dans la hotte à Noel !)
Lu dans Pankaj Mishra (On the Ruins Of Empire), des précisions étonnantes sur la campagne d’Egypte:
-le penchant de Bonaparte pour l’islam (horresco referens!) expliquant que ses troupes se convertiraient bien mais que le vin, le vin et encore le vin les en empêche…
– les choses tournent mal, les Egyptiens se révoltent comme de juste, et
c’est ce même pinard avec lequel la soldateque de Bonaparte arrose la mosquée Al-Azhar en pissant dans ses coins, et pire encore, si l’on en croit le chroniqueur égpytien Jabarti:
« The French entered the city like a torrent rushing through the alleys and streets without anything to stop them, like demons of the Devil’s army… And the French trod in the Mosque of al-Azhar with their shoes… They treated the books and Qur’anic volumes as trash, throwing them on the ground, stamping on them with their feet and shoes. Furthermore they soiled the mosque, blowing their spit in it, pissing, and defecating in it… They are enemies of the Religion, the malicious victors who gloat in the misfortune of the vanquished, rabid hyenas, mongrels obdurate in their nature ».
Pas de trace de tout cela chez les peintres orientalistes. Chez Gueniffey?
« le penchant de Bonaparte pour l’islam (horresco referens!) »
Bloom, vous savez bien que Naboleon le Tyran ne raisonne qu’en terme d’outils … à son usage personnel ! Le Sacre, le Pape, l’Islam, il en a rien à branler !
une burka en nylon gratuite
Parce que c’est inflammable et qu’ils sont prévoyants? Un stock offert par Poutine pour habiller Prada? Quel souk où quand tout n’est pas récupéré rapidement le sera à qui sait attendre alors les tueries seront justifiés.
Pour compléter, la révoltre du Caire, par Girodet:
soldateSque
Leo Pold Bloom
La Campagne d’Egypte a donné lieu à des pamphlets documentés sur Napoléon et l’envers du décor, notamment la mortalité extreme des soldats. Je soupçonne cette histoire de mosquée arrosée d’en provenir.Voir aussi la toujours dérangeante Bio de Walter Scott sur les arrières_plans de l’expédition, et un Bonaparte ne reculant pas devant une éventuelle conversion à l’Islam pour mieux conquérir le pays…
Pour le reste ,et bien qu’il soit classé, Madame Filezpetit de la Rue de Valois condamne à mort l’escalier d’honneur de la vieille BN, encore coupable d’exister, mais tout le monde s’en moque.CF, en ligne, La Tribune de l’Art pour informations complémentaires.
MCourt
En Asie, le climat se charge de dilapider le patrimoine, c’est un poste de ministre en moins.
Quelle découverte !
“Bonaparte est le vivant démenti de la conception « démocratique » de l’histoire. Il est la preuve parfaite, achevée, que parfois, l’histoire est l’oeuvre d’un individu et non une oeuvre collective. L’histoire n’est pas que le fait des peuples. Elle peut parfois être le fait d’un grand homme, d’une volonté supérieure, pour peu que les circonstances s’y prêtent.”
Philou,
Y a que les cons pour croire que l’histoire vit aux battements de cœur des peuples ! Elle est souvent une pute soumise au premier venu…
Diagonal dit: 27 novembre 2013 à 13 h 31 min
@ « Pour Hitler, il en faudrait bien trois : des origines à 1933, de 1933 à 1939, et la guerre. Avis aux professionnels ! »
C’est drôle, car je pensais à la monumentale entreprise de Sir Ian Kershaw, apparemment ignorée de FD
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Souffrez que je raille !
Le Kershaw est en deux volumes alors
-soit, prolongeant votre courageux pseudo qui pourrait se traduire par 2=1, vous considérez que 2=3 et réciproquement,
-soit vous ne connaissez pas le Kershaw,
-soit vous êtes à moitié saoûl, ne voyant pas double mais multipliant les objets par 1,5.
Toute ma sympathie à ce dirigeant retraité qui ne va toucher que 25.833 euros par mois pour vivre, après avoir occupé les plus hautes fonctions chez PSA.
Combien de ploucs, représentants du peuple, n’ayant rien foutu de leur vie, n’ayant jamais couru aucun risque, complètement incompétents, vont vivre avec bien plus que cela ….?
Vas-y Varin, éclate toi ! Profite ….!
15h10
Delpla petit joueur,
comme quoi tout est possible.
PS.- Je parlais des éditeurs actuels et de leur frilosité devant les livres en plusieurs tomes. Le Kershaw a plus de dix ans, et son contrat une vingtaine.
jc est payé pour ‘faire’ bouffon du blog?
Ça devient pénible. Entre le crétinisme habituel de JC (que son mentor u. devrait surveiller davantage), de Régniez ou autres « Colette et Christiane » et ceux qui essaient de frimer en attaquant Delpla sur un sujet qui est sa spécialité (et se couvrent donc de ridicule), il ne reste plus beaucoup de place pour autre chose que du vomi. C’est triste.
Merci de votre attention.
(que son mentor u. devrait surveiller davantage)
Entre mentor et larbin, y a une nuance, bon dieu !
« Merci de votre attention. »
Tu rigoles, ou quoi ?
Tu ne mérites aucune attention…
JC 15h20
Vous parlez bien du Varin qui a mis PSA au fond du trou et qui est limogé pour être remplacé par un mec qui a fait toute sa carrière chez Renault.
Billancourt rigole.
Bien évidemment ! Il s’agit de lui…
Dur métier PDG de PSA.
Bien plus risqué, et difficile, que SG de la CGT ….. ahaha !
Allez ! Pour en finir aujourd’hui…
« Le tribunal correctionnel de Lille a condamné mercredi trois hommes à six mois de prison avec sursis pour avoir frappé en avril trois employés du Vice & Versa*, un bar homosexuel de Lille, en plein débat sur le mariage pour tous. »
C’est un scandale !
Si on ne peut plus tabasser les pédés et violer les gouines sans choper du sursis … c’est la mort de notre civilisation humaniste !
* appréciez l’esperluette churchilliennes !
ne va toucher que 25.833 euros par mois pour vivre, (JC)
Non, il s’agit d’une retraite complémentaire hors barème, venant s’ajouter à la retraite complémentaire de cotisant et à la retraite de base.
Deuxièmement, une provision de 21 millions d’euros versée sur 25 ans égale 33.333 euros par mois, non 25.833.
« Dur métier PDG de PSA.
Bien plus risqué, et difficile »
JC
Difficile ?
Bof, foutre à genoux une entreprise en moins de quatre ans me semble à la portée du premier venu.
Peut-être faudrait-il prendre le SG de la CGT pour voir s’il fait pire.
Même pas sûr.
JC comme je comprends votre ironie quand pour éviter tant de réformes courageuses il aurait simplement fallu en rester aux conditions du 19ème siècle, envoyer les enfants à la mine dés l’age de 7 ans, n’envoyer au sanatorium que les riches tuberculeux et offrir en goûter la psychanalyse au baronnes hystériques.
Pimpin dit: 27 novembre 2013 à 15 h 27 min
C’est vrai, u. fait un peu office de larbin de JC, mais certaines vérités sont rudes à dire. Le terme « mentor » du précédent commentateur doit être considéré comme une antiphrase élégante. Personne ne s’y tromperait, de toute façon.
Quand Colette & Christiane écrivent que MCourt est abscons, elles restent extrêmement polies, pasque que moi…
Bérénice,
– Les enfants c’est si facile à faire … on peut en user tant qu’on veut, à la mine ! On refait des futurs petits travailleurs, la nuit, pour pousser les p’tits chariots
– pourquoi encombrer les belles cliniques de la Montagne magique avec des pauvres sans avenir, dont personne ne se soucie, hein ?
– je suis d’accord avec vous et Marie Bonaparte, la chirurgie ablative du clitoris, c’est bien meilleur que le divan viennois…
Bonne soirée !
là ma foi nous sommes priés d’assister à une révolution industrielle à l’envers, du moins en Europe, qui ne renonce pour autant pas en approvisionnant l’humanité asservie à sa cause et dépendante, à l’évolution de son profit, la technologie décuplant la diffusion des produits et inventant en même que de nouveaux produits des nouveaux besoins de produits qu’il faut se résigner voir fabriquer au loin à l’abri d’une législation permissive en matière de droit du travail.
Faut se cotiser pour lui offrir un beau cadeau? à pévé, et grossir sa retraite si bien méritée§ c’est pas une feignasse ni un assisté, lui, il a bossé dur trimé, lui, contrairement aux cocos
JC vous oubliez l’infibulation avec laquelle tout le monde est d’accord d’ailleurs en projet une exposition de membres virils prélevés sur le vivant puisqu’ils ne servent à rien dans ces conditions.
Petite piqure de rappel : avis aux usurpateurs de pseudo, et en particulier à celui qui se reconnaîtra, n’empruntez pas la signature de « Christiane » si vous ne voulez pas être « censuré »…
il s’agit d’une retraite complémentaire hors barème, venant s’ajouter à la retraite complémentaire de cotisant et à la retraite de base.
Deuxièmement, une provision de 21 millions d’euros versée sur 25 ans égale 33.333 euros par mois, non 25.833.
Impossible à un surhomme de finir le mois avec si peu
Varin est d’ailleurs un bel exemple de cette école militaire créée par l’ex Bonaparte.
Une école où l’on apprend à reproduire des schémas appris par coeur (les créateurs sont une très infime minorité).
Les ennuis surviennent quand les schémas sont obsolètes.
Nos brillants anciens élèves sont incapables d’en imaginer de nouveaux.
Le vrai problème de la France se sont ses vieux polytechniciens reproduisant infatigablement leurs erreurs à la tête du CAC40.
la chirurgie ablative du clitoris
Elle n’a pas subi l’ablation du clitoris!
Pour lever une équivoque : sur Napoléon comme sur Bonaparte, je n’en sais guère plus que l’honnête homme. J’en sais davantage sur la cérémonie du retour des cendres de l’Aiglon, le 13 décembre 1940 ! Une manière pour Hitler d’assurer sa prise sur Pétain en ayant l’air du contraire.
Je suis intéressé cependant par la thèse de Bruno Roy-Henry sur l’absence du vrai cadavre de Napoléon dans la crypte des Invalides, et curieux de ce qu’en dira Patrice Gueniffey.
le « vrai cadavre » de Napoléon ? Mais enfin, voyons, je ne suis pas mort.
Passou,
Pourquoi la protéger, elle seule, Christiane ? l’épouvantable JC est manifestement usurpé à 16:04 et 16:07. Remarquez ! Il adore ses trolls…laissez tomber.
PS : les vieux polytechniciens, les vieux énarques, les vieux centraliens, même jeunes, ils sont morts dès qu’ils ont le parchemin !
Exception culturelle française ! Il n’ y a jamais remise en cause permanente du diplôme ! Nomenklatura…
Passou dit: 27 novembre 2013 à 16 h 06 min
Petite piqure de rappel : avis aux usurpateurs de pseudo,
n’étant pas usurpateur , je regrette que P.Assouline ne se soit pas soucie de cette tendance de son blog plus tôt .
ce réveil de P.Assouline signe-t-il une rupture ?
L’usurpation de pseudos serait un acte grave si ce que disaient les pseudos était important. Ce n’est pas le cas.
En conséquence, ne nous affolons pas.
OK, Passou, elle restera à la maison
Mes voies sont impénétrables et le dieu de 16 h 54 n’est pas le Dieu éternel.
admiration critique
les deux mots en un et érigés en UN concept me réconcilieraient avec la question sur l’admiration : toujours à distinguer du « héros » .
En novembre 2004, Simon Leys depuis Canberra, conte chez Plon la façon dont il écrivit « La mort de Napoléon », ouvrage magnifique où l’Empereur vivant, son sosie enterré, réfugié à Paris, devient grossiste vendeur de pastèques et melons en provenance d’Avignon…
Patrice Gueniffey l’a forcément lu.
Qu’il y ait plusieurs Papes, ce n’est guère gênant. Plusieurs dieux, c’est un recul inadmissible vers la barbarie.
Il y a un seul Dieu.
C’est moi.
@15.21, J’estime que « La fin, Allemagne 1944-1945 » (publié en français cette année) constitue le troisième opus de Kershaw sur Hitler et le nazisme. La « fin » explique-t-il, c’est également le point final de son monumental travail sur le sujet, ne vous en déplaise.
moi aussi, j’aimerais qu’on cessât d’usurper mon pseudo.
..ferme ta sale gueule tes une raclure épicétou vdqs ds4 cfdt
Quelle charmante attention à laquelle je suis tellement sensible comme déjà le voile du soir vient nous celer les teintes mordorées d’une belle après-midi automnale.
constitue le troisième opus
..ma mère..insiste pas nanal tu tes prit le gode ceinture dans le neuil épicétou..un pouce dans le fion ca remplace pas dirait jicé..hurkhurkhurk
Quelle joie indicible d’effleurer de mon regard emperlé de larmes les délicieux propos de notre amie ! Mes sens sont à nouveau affolés et mon cœur bat plus vite de bonheur…
Avant que le voile du soir ne recouvre notre immeuble de rapport de Montreuil, le coucher de soleil faisait revivre en moi ce goût de la langue qui plonge dans le pot de confiture en haut de l’armoire.
Que j’aimais en faire profiter la fille de notre garde-chasse Napoleone, un Norvégien marginal, veuf, mais aimant …
Je pleure à chaudes larmes, impossible de poursuivre !
Diagonal dit: 27 novembre 2013 à 17 h 12 min
@15.21, J’estime que « La fin, Allemagne 1944-1945″ (publié en français cette année) constitue le troisième opus de Kershaw
Vous êtes de mauvaise foi, Diago :
Hitler, tome 1 : 1889-1936 (Flammarion, 1999)
Hitler, tome 2 : 1936-1945 (Flammarion, 2000)
Il s’agit bien d’un corpus en deux tomes, qui s’achève en 1945. « La Fin », parue en 2012 et chez un éditeur différent (Le Seuil) après d’autres ouvrages sur la Deuxième Guerre mondiale, est un livre à part.
Silence, silence, je les vois les petites ailes de mes lucioles chéries bleues oh c’est beau elles brillent et illuminent l’horizon oh l’une d’elles s’approche et se pose sur ma main silence amour toutouche pipi popot ohoh c’est bô
Le contrat porte sur la mise à l’écart du sieur Bouguereau, petit caillou gênant dans notre chaussure. Faire offre, Boite Postale 6.35, Palermo.
Usurpations de pseudos, jugements non argumentés à l’égard d’un spécialiste reconnu, la RDL tombe bien bas, ces temps-ci. De quoi faire regretter à Churchill d’avoir œuvré pour la Libération de la France?
MC
Court, dit: 27 novembre 2013 à 17 h 56 min
Usurpation de pseudo : MC ne peut pas avoir écrit une ânerie pareille…
François Delpla, cette thèse du faux corps apparait déjà sous la plume de Georges Rétif de La Bretonne en 1969 in « Anglais , rendez-nous Napoléon ». Des rectificatifs argumentés parurent alors émanant de l’Institut Napoléon. Une chose est certaine, aucun contemporain n’émit le moindre doute en France sur la réalité du retour du Corps Impérial.
MC
Veuillez excuser l’absence de mon Johnny, il est un peu barbouillé aujourd’hui.
elle est probablement dans la passionnante exploration de ce que son âme avait de profondément corse :
dommage de rabattre la question du »grand homme et de l’histoire » sur celle de « identité » au sens le plus commun; mais le billet expose de manière très séduisante les questions de l’Histoire .
plus les billets de P.Assouline sont séduisants, moins les comment
moins les commentaires requis semblent justifiés, et je me dis qu’il n’a qu’à aller les glaner chez les blogueurs avec lesquels il est en débat
Diagonal dit: 27 novembre 2013 à 17 h 12 min
@15.21, J’estime que « La fin, Allemagne 1944-1945″ (publié en français cette année) constitue le troisième opus de Kershaw sur Hitler et le nazisme. La « fin » explique-t-il, c’est également le point final de son monumental travail sur le sujet, ne vous en déplaise.
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Si un livre sur la dernière année du Troisième Reich peut être étiqueté tome 3 d’une biographie de Hitler qui allait déjà jusqu’en 1945, ma tante peut faire un enfant à ma cousine !
18h57
F. Delpla s’obstine à jouer dans le bac à sable, il y a des jours comme cela.
La fin novembre est toujours propice à ces sombres soirées.
« ma tante peut faire un enfant à ma cousine ! »
Mais que vient faire baroz dans cette histoire ?
chimie said…it’s time to put god away
@18.57 « ma tante peut faire un enfant à ma cousine !…
Mais c’est cela justement, la fécondité de « la nouvelle histoire », cher monsieur : le fruit heureux d’accouplements auxquels vous n’auriez pas pensé de prime abord, tant votre imaginaire reste assez étriqué au sens des réalités, ce qui est tout à fait regrettable.
La mort bégaye et, fidèle à la théorie des deux corps du roi, chaque historien procède aux redécoupages qu’il veut. D’autant que, conformément aux préceptes de Paul Veyne ou de Paul Feyerabend pour évoquer des gens connus mais moins conventionnels que d’autres, l’historien moderne peut éprouver le besoin d’ajouter un 3e tome en codiscille au vu de l’insatisfaction de la linéarité d’une biographie castratrice écrite en 2 tomes (naissance/mort). Je ne vois rien des raisons pour lesquelles la biographie d’Hitler devrait s’arrêter au 30 avril 1945 du 2e tome. Après tout, l’âme de Napoléon (fichée dans la cervelle de Léon Bloy) comme celle d’Hitler (fichée dans la vôtre ?) sont restées vivantes et inspirantes chez pas mal de salauds qui n’admirent pas la thèse du suicide du petit moustachu, pour ne citer que lui.
Et les nouveaux historiens se doivent évidemment d’en tenir compte. Ce n’est certainement pas un François Furet ou une Jacques Le Goff qui nous auraient contredit sur ce point. Donc, pas du tout d’accord avec votre affrimation gratuite d’un « livre à part ». La fin n’est que la suite logique de la biographie d’un mort qui n’en finit pas de mourir avec son peuple.
Ne vous laissez pas abuser, cher monsieur, par les changements d’éditeurs, cet argument ne prouve pas grand chose. Allez donc plutôt interroger I. Kershaw ou P. Gueniffey, je pense que vos certitudes pourraient en prendre un sacré coup ! Amicalmement.
L’auteur, professeur à l’Ecole des Hautes études en sciences sociales, ne va pas se faire des amis parmi ses amis,
Ô vous savez les amis, dans l’enseignement supérieur , ce qu’ils disent de ceux qui les présentent dans leurs écrits de recherches comme leurs amis …..
Warburg détesta Berenson
se faire des amis parmi ses amis,
Ô vous savez les amis, dans l’enseignement supérieur , ce qu’ils disent de ceux qui les présentent dans leurs écrits de recherches comme leurs amis …..
Warburg détesta Berenson
Celui-ci est sur ma liste. Ce que j’ai lu de Patrice Gueniffey m’a paru remarquable (La politique de la Terreur et sa préface à la réédition du Sacre de Napoléon de Cabanis, peut-être le chef d’œuvre de cet écrivain, que je relis une fois par an comme autrefois Le Grand Meaulnes). N’oublions pas le petit brulot d’Henri Guillemin qui vaut le détour, ni le très beau livre de Jean-Paul Kaufmann, La Chambre Noire de Longwood. Napoléon, c’est une maladie. Même quand on le déteste, on ne cesse jamais de lire sur lui.
Mais pour l’heure, La Correspondance Morand Chardonne est sur ma table. Pierre Assouline se donne-t-il le temps de la réflexion, ou ne veut-il pas en parler? On verra bien.
En attendant, le voyage d’automne de François Dufay est à lire.
Bonne soirée,
sûr de lui.
un homme sûr de lui : encore une plaisanterie biographique de P.Assouline !
le tr
sûr de lui:lire Françoise Héritier sur la psychologie des hommes !
Diagonal
Outre que le lien entre Kershaw et la Nouvelle Histoire est moins qu’évident, c’est François Delpla lui-même qui renouvelle notre perception de la période en distinguant les »hitlerographes », ceux qui écrivent des bios sans chercher à comprendre le personnage, les « fonctionalistes », pour qui le nazime est, je résume, on rectifiera si c’est inexact, un mauvais moment de l’Histoire, mais inévitable ma bonne Dame, et un courant récent non réductible à sa personne qui tente de comprendre AH de l’intérieur, en lui faisant crédit d’un génie politique et tacticien sans en occulter la part d’ombre: névrose, etc. Si cela choque de bon esprits, on peut difficilement soutenir que FD en est un rabougri, qui ne pense pas les problèmes qu’il traite. J’ajouterais que son statut de germaniste lui permet d’exhumer des documents pas seulement traduits de l’Anglais. Voyez sa thèse, si vous ne me croyez pas.
MCourt
Si on m’usurpe, j’exige une censure immédiate du responsable. Question de principe.
Donc, prudence, renato. Prudence.
La corsitude de Nabulione, boursier du roi, « loin du cortège de mythes attaché à la figure de Paoli »
c’est un peu hâtif, non ?
Court, dit: 27 novembre 2013 à 20 h 49 min
M. Court pourquoi penser à la place des autres ( lecteurs/trices) et leur prêter des velleités de considérer M. Delpla comme rabougri et autres insanités
M. Delpla est sans doute reconnu comme spécialiste de hitler « de l’intérieur ».
Il y a un mot qui me plaît bien dans le billet, c’est: factuellement.
!
intéressant
; il en a même la nostalgie, lui qui croyait à l’authenticité de sa noblesse corse. Il comprenait très bien les Français, mais, au fond, il ne partageait pas leurs passions, et notamment celles que la Révolution avait déchaînées. Il les observait de l’extérieur, donc froidement. C’est un réaliste, à la fois révolutionnaire et critique de la révolution. C’est elle qui lui permettra d’ailleurs de réconcilier les Français (provisoirement) et de reconstruire une société, mais celle-ci sera aussi un mélange d’ancien et de nouveau. Personne d’autre que lui n’aurait pu faire la même chose.
la citation , toute la citation
» pour peu que les circonstances s’y prêtent. »
Ma bio de Hitler (la seule française à ce jour) date de 1999, même si Pascal Galodé l’a ressortie en poche avec des ajouts la semaine dernière. Elle est tout imprégnée de la découverte des capacités cérébrales de Hitler, que quelques auteurs avaient perçues (Trevor-Roper, Raymond Cartier notamment) mais sans en tirer toutes les conséquences. On peut dire à peu près la même chose de Kershaw, qui publie son tome 1 la même année. Dans les années 2000 je suis devenu plus sensible à sa fragilité psychologique, notamment en étudiant (en 1985) ses relations féminines et depuis trois ou quatre ans je réinterprète le tout sous l’angle de la folie. Je l’avais toujours perçue mais pensais à une dualité entre une intelligence rationnelle et un délire raciste. A présent je mets ce dernier au poste de commande et parle non de névrose mais d’une psychose, déclenchée en novembre 1918 et expliquant que ce solitaire devienne en quelques mois un pôle d’attraction (sur ce point le maître est Rudolph Binion, même si son livre pionnier de 1976 est inégal). Il croit vraiment que les Juifs sont la cause de tous les maux, il joue sa vie sur la base de ce postulat.
Ses serviteurs les plus proches et les plus utiles (Göring, Himmler, Goebbels), ne sont pas fous et il en faudrait surtout pas qu’ils le soient : ils sont fascinés et ils partagent son pari; ils ont raison sur un point : les ambitions impériales de l’Allemagne sont enterrées s’il n’y a pas très vite une tentative de revanche militaire, et seul ce type peut en prendre la tête. Donc on lui obéit, sans chercher à comprendre.
Pour en revenir au plat du jour, cela rend Hitler très, très différent de Napoléon, même si tous deux peuvent nourrir notre réflexion sur le rôle de l’individu dans l’histoire. J’ai planché là-dessus pour mon habilitation : http://www.histoquiz-contemporain.com/Histoquiz/Lesdossiers/interviews/memoiredelpla/Dossiers.htm .
notamment en étudiant (en 1985) ses relations féminines
en 2005, bien sûr !
Oui, enfin, M. Delpla, n’ajoutez pas à la confusion, l’anachronie.
On en est à Napoléon, à la carte.
mais se condense avec éclat dans une préface qui tient lieu de discours de la méthode.
l’histoire est ici hanté par la philosophie , ce qui lui donne une touche élégante d’ailleurs.
dans l’envoi de François Delpla dit: 27 novembre 2013 à 21 h 19 min, le passage de névrose à psychose est explicitement sur fond de psychanalyse , (ou de psychiatrie )tous psys qui ne dédaignent pas de s’intéresser aux figures de l’histoire
remarque sur le psy
Frued disait avoir emprunté à Napoléon
Mais cette avancée dans son parcours ne contredit pas la phrase qu’il disait avoir emprunté à Napoléon et qu’il se plaisait à rappeler : « l’anatomie c’est le destin ».
il serait intéressant de savoir s’il y a des gens qui dans des délires se prennent pour Napoléon ou un membre de sa famille ! (serait-ce une définition de la vr
les ambitions impériales de l’Allemagne sont enterrées s’il n’y a pas très vite une tentative de revanche militaire, et seul ce type peut en prendre la tête.
C’est quand même cela qui est fou au plan politique, d’organiser le pouvoir autour d’un personnage hystérique (tel qu’il nous apparaît dans ses discours ) – vous parlez de psychose – mais propre à galvaniser les foules …
Il devait bien y en avoir à qui il devait faire peur ..
une définition de la vraie gloire
rappel sur le rôle d’une Bonaparte dans l’histoire de la psychanalyse
Quelqu’un sait-il pourquoi l’abeille fut choisie comme emblème par Napoléon 1er Bonaparte ?
Bzzzzzzzzz .. il ronflait ?
et un article du code civil, pour prendre le ton … flipping the bird @
http://stendhal.bm-grenoble.fr/moteur/ms/299_1/index.htm
D. dit: 27 novembre 2013 à 21 h 52 min
Quelqu’un sait-il pourquoi l’abeille fut choisie comme emblème par Napoléon 1er Bonaparte ?
Peut-être en commun le côté travailleur (et puis il dormait peu). Pas sûre.
P.S le bruit qui accompagne le tournoiement des pages est terrible, ds le code civil.
P.P.S création des lycées et du corps des agrégés pour former une élite.
Tiens, D., sur le Web ( à vérifier, donc, si le coeur vous en dit ..)
http://www.dictionnairedessymboles.fr/
« Les abeilles dans l’histoire
En 1653, on découvrit, à Tournai, dans l’actuelle Belgique, le tombeau de Childéric 1er, roi des Francs saliens et père de Clovis. Parmi les nombreux artéfacts se trouvaient une trentaine d’insectes d’or et d’émail [2] — certains disent 300 — qui peut-être avaient constellé le manteau du roi défunt. La science du XVIIe siècle y distingua des abeilles et avec elles un symbole de souveraineté. Le trésor de Childéric fut offert à Louis XIV par Léopold 1er (du saint Empire). Conservé à la Bibliothèque Royale depuis le début du XVIIIe siècle, il fut volé en 1831. On ne retrouva que deux exemplaires des joyaux en forme d’abeilles. De nos jours, les spécialistes ne sont plus tout à fait certains qu’il s’agisse d’insectes mellifères. On peut, en effet, y voir des mouches, des cigales, et même des hannetons [3], mais la corrélation entre abeilles et Mérovingiens perdure. Napoléon Bonaparte à beaucoup contribué à la persistance de cette croyance en prenant l’insecte butineur comme l’un des emblèmes de l’Empire, l’autre étant l’aigle. L’aigle le rattachait à Charlemagne et à l’empire carolingien ; les abeilles aux mérovingiens, la plus ancienne dynastie de France [4]. Le jour de son sacre, le semis d’abeilles supplanta le semis de fleurs de lys des armoiries des rois. De royale, l’abeille devint impériale. »
pour les accro psys
Quand Sigmund Freud analyse Napoléon Bonaparte, cela donne ça :
http://menon.canalblog.com/archives/2007/01/11/3660170.html
D. dit: 27 novembre 2013 à 21 h 52 min
A cause du miel, D., à cause du miel…
Les abeilles
Symbole d’immortalité et de résurrection, les abeilles sont choisies afin de rattacher la nouvelle dynastie aux origines de la France. En effet, des abeilles d’or (en réalité des cigales) avaient été découvertes en 1653 à Tournai dans le tombeau de Childéric Ier, fondateur en 457 de la dynastie mérovingienne et père de Clovis. Elles sont considérées comme le plus ancien emblème des souverains de la France.
what does ‘napoleon in rags’ actually means…
http://vimeo.com/20289762
« Napoléon Bonaparte à beaucoup contribué à la persistance de cette croyance en prenant l’insecte butineur comme l’un des emblèmes de l’Empire »
Ce sont vraissemblablement les maréchaux qui l’ont vêtu.
Rome, Clovis, Charlemagne, les Bourbons,
« Quand vous m’emmailloterez avec ces habits-là, j’aurai l’air d’un magot,a-t-il dit à son entourage »
La déclaration au site Napoléon.org citée par Assouline est assez typique de la fascination exercée sur beaucoup par les grands hommes, Bonaparte/Napoléon étant l’archétype de l’espèce. Le personnage est pourtant, par bien des aspects, fort peu sympathique. Mais enfin, il faut reconnaître qu’à une époque où on n’a plus qu’un Mitterrand ou un Chirac à se mettre sous la dent, le petit caporal peut encore satisfaire quelques aspirations à la Grrandeur par procuration. Quant à savoir si l’Histoire est faite par les grands hommes ou par les peuples (ou par les deux), l’affaire est, sans doute, beaucoup plus compliquée, comme le savent du reste tous les historiens sérieux.
Bravo à Daaphnée et Chaloux.
L’abeille est le véritable emblème de la monarchie française, le trône devant revenir à un descendant de la lignée mérovingienne. La fleur de Lys ne l’est pas.
Bien entendu Napoléon avait volé l’emblème et ne méritait aucunement de l’arborer. Surtout après ce qu’il a fait subir à Pie VII.
Qui fait l’histoire?
John Brown, Jacques Bergier te répond.
abeilles — rien sur Virgile et les Géorgiques (IV) et Aristée ?
rien, Elena.
Étant moi-même Roi temporel, j’ai le droit de porter la robe constellée d’abeilles, et je ne m’en prive pas de temps à autres.
J’ai conscience que ça vous en bouche un coin, mais c’est le pure vérité.
…
…on n’en est pas, à une connerie près,…que çà se sache !,…je me disait bien !,…
…
…donc, c’était à un virage près dans le ravin,…de la diligence France,…offerte aux chevaliers-bandits,…La Fayette et consorts des Amériques,…
…un coup presque manqué par les vautours d’Albion la perfide,…encore des £ivre’s sur un détour de l’opportunisme régalien à l’affût,…
…
…quelle différence,…consolider la fascination plébéienne du personnage,…
…et se sucrer,…sur l’histoire,…
…on offre des Louis d’or aux Amériques à libérer,…la Grande Politique,…c’est sûr !,…
…on revend les Amériques, avec les nôtres,…pour consolider l’empire !,…
…Oui !,…le quel des en-pires,…à la Pyrrhus roi d’Epire,…
…
…c’est quoi la Grande Politique,…assurer la domesticité des citoyens,…
…en plein dans le mille,…encore un verre Mister Rabelais,…c’est un con-court,…
…of course l’opportunité,…
…etc,…envoyez !,…
JC….. dit: 27 novembre 2013 à 14 h 15 min
(ne riez pas, en Syrie, c’est ce qu’il y a dans la hotte à Noel !)
L’ignorance crasse de ce type est incommensurable.
Bon, tout est parti avant que ne puisse corriger
On raconte que l’omniscient, l’omniprésent Naboléon, qui dédaignait l’omnibus, supervisait tout. Quand il n’était pas retenu au loin à guerroyer, il allait présider les travaux des doctes juriste qui élaboraient le code civil. Lors d’une de ces séances, il fut discuté de savoir comment faire revenir au foyer conjugal, une femme qui l’a fui. Un des juristes suggéra de la sommer. Et naboléon, grand humaniste déclara : N’allons pas jusque là, qu
Aux grands hommes mes parties méconnaissables
Marcel dit: 28 novembre 2013 à 3 h 42 min
« JC…/…L’ignorance crasse de ce type est incommensurable. »
Il n’y a rien de plus goûteux que d’être pris pour un ignorant par un imbécile insomniaque et gâteux…
RENGAINE DU MATIN : CHAGRIN
Stupéfaction !
L’Etat, monstre obèse dépensier, incapable de se réformer, d’appréhender le monde économique concurrentiel, conduisant depuis 40 ans les entreprises publiques les unes après les autres à la faillite ou au déclin, ce joyau d’incompétence arrogante, cette énarchie anarchique, se mêle de légiférer sur la conduite des entreprises privées, seuls pourvoyeurs d’emplois à créer en n’y connaissant strictement rien !!! Quelle imbécillité !
Français, vos dirigeants jacobins, privilégiés politiques incapables, marchent sur la tête ! Le chômage va croitre…l’inversion de la courbe est une impossibilité mensongère ! On vous amuse avec les « sujets de société », mariage des invertis, prostitution, etc, on invente les emplois aidés, emplois inutiles, non-créateurs de richesse économique, cadeaux faits aux banlieues et on coule, on coule … en attendant un changement impossible !
Chères autruches velléitaires, plongeons la tête dans les cadeaux à crédit et passons de bonnes fêtes ! A la santé des jeunes chômeurs… Tous ensemble ! Tous ensemble ! Ouais …
@Marcel 3h42
L’ignorance crasse de ce type est incommensurable.
c’est une taipe fhaine le pire c’est qu’il se croit libre dans son désert
@Marcel 3h42
L’ignorance crasse de ce type est incommensurable.
c’est une taupe fhaine le pire c’est qu’il se croit libre dans son désert
Quand il était petit, JC a échoué lamentablement à un concours de la fonction publique, catégorie C (contrôleur du trésor). Il ne s’en est jamais remis. Blessure narcissique majeure. Cette plaie béante est le premier état de sa conscience politique. Le désir de chaos est souvent lié à une incapacité chronique à s’insérer.
Tu parles, Charles ! Comme napoléonien, tu es plutôt Waterloo qu’Austerlitz…
JC historique dit: 28 novembre 2013 à 8 h 33 min
cf aussi le milieu fascisant (oas) du malade en question
L’autre Historique hystérique qui se la joue lacanien sectoriel et public ! Misère …
Lacanien ? Bon à rien !
« Ce Bonaparte contient tout ce qu’il est possible et utile de savoir factuellement du héros avant qu’il ne se mue en anti-héros, du moins aux yeux de certains. »
J’ai trouvé que ce livre sur Bonaparte contient dans l’introduction une indication utile sur ce qu’est la biographie selon l’auteur.
En ce qui concerne le « sujet » du livre, il est précisé que « l’historiographie napoléonnienne est un champ de bataille si labouré et traversé par des armées si nombreuses qu’on est toujours un peu le descendant de quelqu’un. Tout est ensuite question de dosage dans les grands systèmes d’interprétation qui ont vu le jour au XIXéme siècle »
Ce n’est pas tant que ce livre contient tout ce qu’il est utile de savoir factuellement du « héros », mais je comprendrais mieux: ce qu’il est utile de savoir sur ceux qui ont déjà labouré l’historiographie napoléonienne.
Car sur ce « monument », à part la mise en présentation qui se veut novatrice, et qui a ses partis pris, rien de nouveau sous le soleil ?
Daniel Mesguich en Napoléon: http://www.youtube.com/watch?v=BzTwhqxcqzs!
Parce qui c’est pour faire un beau cadeau pour Noel, on peut aussi trouver, mais plus cher, un Napoléon en douze volumes.
Loin de moi l’idée de comparaison, mais Napoleone Buonaparte, c’est l’irruption du tyran moderne, homme du peuple, emmerdeur européen, bagarreur doué, post-révolutionnaire, qui bâtit un nouveau monde en créant une « aristocratie bourgeoise » de type nomenklatura mafieuse.
Adolf Hitler, d’une autre façon, procède à l’identique …
Ce qui m’intéresse chez ces deux tyrans, ce sont les conditions extérieures qui facilitent leur émergence. Quel ouvrage cible ce point là ? S’intéresser au héros, certes, mais essentiellement au fumier sociétal qui va nourrir la fleur…
Bérénice, je vous fais impératrice.
[[desolé, Daaphnée]]
au fumier sociétal
sois pas si dur avec toi jicé..
s’il avait pu rester aux études ce si chiant david..ses dessins sont beaux
Outre le rapport robespierriste à la Révolution, mais gouverné par la conviction et non par l’opportunisme, fil rouge parfaitement tenu de bout en bout par le narrateur, elle est probablement dans la passionnante exploration de ce que son âme avait de profondément corse : le tempérament insulaire
..quand les forces historiques s’entrenculent..ça gueule!
JC….. dit: 28 novembre 2013 à 9 h 04 min
Loin de moi l’idée de comparaison, mais Napoleone Buonaparte, c’est l’irruption du tyran moderne, homme du peuple, emmerdeur européen, bagarreur doué, post-révolutionnaire, qui bâtit un nouveau monde en créant une « aristocratie bourgeoise » de type nomenklatura mafieuse.
Adolf Hitler, d’une autre façon, procède à l’identique …
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m’est avis que pas du tout.
Bonaparte est rationnel, tant en tant qu’héritier sauvant de la Révolution ce qui peut l’être qu’en tant qu’arriviste installant son propre culte avec un sourire en coin (« c’est avec des hochets qu’on mène les hommes »).
Hitler se prend en novembre 1918 d’amour fou pour l’Allemagne à terre, et d’hostilité non moins folle envers le « cancer juif » qui la terrasse. Il n’y a rien de personnel dans son ambition, comme le prouve tout le reste de sa vie et de sa carrière, jusqu’à l’ultime instant.
Boug, je suis sérieux : quel ouvrage met la lumière sur le « fumier sociétal » postrévolutionnaire, propice à l’émergence de Popauleone … ? Pareil pour Dolfie.
FD,
OK pour des motivations tout à fait différentes entre les deux tyrans, liées aux conditions personnelles et extérieures.
Même remarque de votre part sur le substrat sociétal des deux pays ?
« Il rendit l’espèce humaine anonyme en accaparant la célébrité à lui seul »
l’espèce humaine anonyme aux noeils d’elle même.. et ya un public au fond de l’espace..louche cette phrase
c’est la faute au matérialisme dialectique jicé..entre lukaxien on peut bien deviser un peu..dans cette phrase de de stael y’a un vrai : appeler appeler les monstres du fond de l’univers et ils finissent par venir
Clément Rosset, dans les Inrocks :
« Aux yeux de beaucoup, ce que j’ai écrit est absolument immoral. C’est simplement amoral : l’idée du bien et du mal est pour moi, comme le disait Spinoza, la principale sottise de l’espèce humaine. Et ça, ça ne passe pas…
Nous touchons le sommet d’une vague de moralisme née après les horreurs de la Seconde Guerre mondiale. On ne peut plus rien dire sans tomber sous le coup d’une loi. Si je proclame ‘Napoléon est une vaste blague’, je peux me retrouver en prison !
Cela aboutit à une intolérance à toute parole libre que, je crois, on n’a jamais connue en République. »
« Si je proclame ‘Napoléon est une vaste blague’, je peux me retrouver en prison ! »
c’est l’goulag
Bonaparte est rationnel
rien ne réussit comme le succés
@ JC
On l’a souvent remarqué : l’antisémitisme est une tare bien partagée des pays chrétiens. C’est donc un substrat quasiment neutre. Sa forme extrême et exterminatrice lui est donnée par la folie de Hitler et par rien d’autre. Y compris de nos jours chez ceux des dirigeants iraniens qui campent sur les positions d’Ahmadinedjad, pas négationniste pour des prunes.
Il en va de même de la « crise de la démocratie » aggravée par la Première Guerre mondiale, telle que l’étudie par exemple un Marcel Gauchet. Elle balaye toute l’Europe et ne produit qu’en Allemagne ces conséquences-là.
Le moment napoléonien rend beaucoup plus compte d’une mutation de civilisation, au demeurant durable, cf. nos sous-préfets en appétit de légions d’honneur !
On l’a souvent remarqué : l’antisémitisme est une tare bien partagée des pays chrétiens. C’est donc un substrat quasiment neutre
plétment con..l’antisémitisme a une histoire comme le reste biroute de delpla..toi aussi tu vas nous sortir « des insulaires » « des corses »..bref t’es mur pour dédé et la tarte tatin
jicé c’est l’adolf à marinette: encore plus faucuq que le pape il omet de préciser que le terme qu’il utilise, fumier sociétal, est un terme fhaine pour désigner les immigrés
« Sa forme extrême et exterminatrice lui est donnée par la folie de Hitler et par rien d’autre. »
J’ai du mal à vous suivre, FD, un fou s’il est reconnu comme fou par sa société d’accueil, on l’enferme, on le soigne …
Pourquoi Hitler atteint de « folie » est-il si parfaitement obéi ? Pourquoi Napoléon s’épanouit-il aussi vigoureusement en France ?
Bonaparte est le vivant démenti de la conception « démocratique » de l’histoire
..non mais franchement…en voilà une belle connerie..la « conception démocratique »..comme quoi on peut faire des glissement de sens idéologique imperceptible pour révéler sa connerie..la connerie est un substrat neutre dirait francois..chié fumier sociétal
Ta gueule, bernard ! tu vois pas qu’on cause entre adultes ? Révise ton examen…
Tandis que les commentateurs erdéliens de base, JC, JB, D. et autres avatars, semblent la proie d’une hystérie collective, notre hôte nous apparait plongé, lui, dans une perplexité de plus en plus grande. Après en avoir appelé à la sagesse divine, via Job, ne voilà t-il pas que pour nous sortir de la merde dans laquelle nous serions plongés, il en appelle désormais à Guy Debord, sur le plan intellectuel, puis à l’homme providentiel Napoléon, pour l’aspect sociopolitique !
Marine Le Pen ou Mélenchon ?
N’est-il pas temps que TKT revienne, pour éteindre la lumière ?
Pourquoi Hitler atteint de « folie » est-il si parfaitement obéi ?
herman broch dit des trucs pas mal la dessus jicé, plutôt il dit combien même au moment où ça se passe c’est incommunicabe..je cite de mémoire..c’est bien mieux dit..c’est d’époque et c’est poignant: on voit ce qui se passe, c’est même en nous, on ne sait pas du tout ce que c’est et on ne sait pas quoi faire pour l’empécher et quoiqu’on fasse on sait que ça va arriver..hach mes mots sont pauvres
« hystérie collective »
T’as mal dormi, Jacky ?
Tiens, HS, le touit’
« Cinq manuscrits de Jean Genet, dont certains inédits, vendus aux enchères le 6 décembre à Paris. t.co/jXb8oe1lVd »
avec notamment,
« También hay fragmentos nunca publicados en el texto autógrafo Le Funambule (1957), un ejercicio poético que combina verso y prosa y que está dedicado a su amante, el acróbata Abdallah Bentaga.
Asimismo salen a la venta dos borradores de L’Atelier d’Alberto Giacometti (1955-1957), que permiten ver la génesis de esta obra mayor de la crítica de arte. De hecho, el pintor Pablo Picasso aseguraba que se trataba del mejor ensayo sobre arte contemporáneo y el propio Giacometti consideraba el texto como su comentario preferido sobre sus esculturas y pinturas. »
Le fumambule et l’Atelier D’A.giacometti sont deux textes relativement courts que j’aime beaucoup .. à voir, à voir ..
hach mes mots sont pauvres
l’émotion ?
( Au fait, le Boug’, avez-vous vu le documentaire sur Arte « L’appartement de ma grand-mère » et si oui, qu’en avez-vous pensé ? )
Boug, tu parles de l’Hermann Broch de « la mort de Virgile » ?
(quel livre magnifique ! je l’ai prêté à ma belle-soeur, ça lui a pas plu … Cornecul ! J’ai bien fait de choisir sa sœur. Quelle diablesse !)
D si c’est pour me ré-pudier et bien que la république n’ait pas encore dit son dernier mot et veuille gagner des milliards je préfère rester sur mon manège pour y tourner trouver le bon époux, O céder n’est pas mon unique pensée et vous tend le manche à balai, le lac des cygnes et casse noisette, voui voilà ce que vous héritez, au désert! dégobille, prenez ce sac pour vous y épancher
@bougre pas bien haut
biroute de delpla nous avons d’autres attributs dont un cerveau et vous engageons instamment à ne pas laisser le vôtre plus longtemps en jachère.
@JC
J’ai du mal à vous suivre, FD, un fou s’il est reconnu comme fou par sa société d’accueil, on l’enferme, on le soigne …
Pourquoi Hitler atteint de « folie » est-il si parfaitement obéi ?
deux questions fort différentes !
nous vivons entourés de psychotiques en liberté, cela commence à se savoir.
L’obéissance à Hitler repose sur un malentendu.
Peu de gens comprennent que dans Mein Kampf tout, ou presque, est au premier degré, et dans sa politique à partir de 1933 tout, ou presque, au second.
Par exemple, son discours pacifiste, de 1933 à 1939, est cru au moins en partie par une grande majorité, en Allemagne et ailleurs. Je veux dire que même ceux qui n’y croient pas totalement sont dupés sur l’ampleur et la précision de ses projets.
Grâce à votre lien, Daaphnée, j’ai vu « L’appartement de ma grand-mère ».
Etonnante cette relation amicale, avant et après la guerre, entre ce couple de Nazis pur jus et de Juifs allemands exilés à Tel Aviv. Edifiante aussi ces enfants des uns et des autres qui ne veulent rien savoir…
Hermann Broch de « la mort de Virgile » ?
naturliche..c’est un finaud
Je ne voudrais pas taper sur un ambassadeur galactique de l’importance de D., Bérénice (ça peut être grave, aussi grave que de traiter un ministre de singe)… mais Dédé, c’est un dragueur impénitent ! Ce Dom Juan va de l’une à l’autre sans la moindre affection, la moindre sincérité, la moindre moralité ! N’espérez rien de lui …
Si vous cherchez un époux, je suis là.
Au fait, le Boug’, avez-vous vu le documentaire sur Arte
non..
le plouc raciste de porquerolles incapable de réfléchir mais toujours à essayer de faire le jeu de marine sa madone ne peut pas comprendre que napoleon n’est pas hitler – quand à la montée de l’hitlérisme se reporter à la situation en Allemagne et dans les pays voisins
nous avons d’autres attributs dont un cerveau
t’en causes comme d’un substrat neutre..par exempe si lysenko t’avais bien nourri tu srais prix nobel françois..peut être même conseiller du présidiomme..éh oui la face du monde en aurait été changé
« Cinq manuscrits de Jean Genet, dont certains inédits, vendus aux enchères le 6 décembre à Paris. »
Genet était connu pour recopier ses manuscrits afin de les revendre à de riches héritières en mal de sensations fortes : mieux que des godes ceintures, Daaphnée, comme dirait le boug !
FD,
C’est ça le plus étrange : tout est écrit noir sur blanc* dans Mein Kampf !
La lecture des budgets du réarmement allemand aurait du servir à contrebalancer les « discours pacifistes », non ? Difficile à comprendre, cet endormissement allemand pré-1939…
*cette expression n’est pas raciste.
Baroz
« Marine Le Pen ou Mélenchon ? »
zen, baroz, zen!
« cet endormissement allemand pré-1939… »
on sait où tu veux en venir ignob le faf
antoine dit: 28 novembre 2013 à 10 h 15 min
Pauvre gosse ! Sa moman génétiquement modifiée lui a donné tous les prénoms du calendrier.
A l’école, on l’appelle « Rotacteur » ….
Ce que vous êtes con, Barozzi !
Faites-vous traduire l’article .
Difficile à comprendre, cet endormissement allemand pré-1939…
je sais pas pourquoi exactement mais c’est les crobards de georges groz de l’époque qui font sur moi le plus gros effets façon groddeck jicé, cet espèce d’avilissement maous..c’est l’artetekunst qui est une des portes d’entrée les générations futurs et nous..un coup de géni politique dailleurs..c’est l’image qui est la plus chargé, bien plus que le tesque, un bon historien devrait bosser la dessus
Passou est-il est adepte de la marche nordique?
Ce matin par moins cinq degrés et un beau dénivelé de 380 mètres, ce fut la joie!
Peu de gens comprennent que dans Mein Kampf tout, ou presque, est au premier degré
..c’est du stuck « françois »..dla ritournelle..les mots sont des ron ron de pub et marketting qui vallent pas un buz de stucka..le pilote avec les chemise retroussée.. »rien ne réussit comme le succés »..ça c’est neuf
Juste ! Georges Grosz frappe fort : un signal clair de l’époque.
L’endormissement n’est pas seulement allemand, il est français tout autant : où est passée la vigilance des années 1890, qui « nous » précipitait dans les bras du tsar ? les raisons, toutes plus pétainistes les unes que les autres, qu’on en donne habituellement (pacifisme, congés payés et compagnie) ne valent pas un clou. C’est bien l’hypnotiseur qui est au poste de commande. Il ne rêve que d’assassiner la France et elle se prend à rêver qu’il ira plutôt, ou au moins plus tôt, vers l’est. Elle se laisse fasciner par le boa.
Certes les appeasers britanniques ont été au-dessous de tout, mais la France pouvait prendre des initiatives, notamment en matière d’alliance de revers avec Moscou, au moins jusqu’en 1935, et en a gâché les occasions.
.le pilote avec les chemise retroussée.
pêpêpe baroz..je parlais des manches..pas du manche..faut garder la tête froide au combat..aprés aprés si t’as gagné..goering préfère pas le savoir
le raciste varois occupe-toi de tes biquettes
Serais-je le compagnon idéal pour partager avec Daaphnée, menopausée ou pas, une tasse de camomille et commenter les programmes d’Arte !
Il semble, d’après « L’appartement de ma grand-mère », que ce n’est qu’à la troisième génération, qui s’en fout globalement, qu’il s’en trouvera toujours un pour poser les bonnes questions sur cette histoire particulièrement complexe entre vistimes et bourreaux, n’est-il pas, ma Daaphnée liftée ?
Voilà ce qui a manqué à notre Napoléon dans ses campagnes…!
http://www.youtube.com/watch?v=pW2LrVeFLKE
la France pouvait prendre des initiatives, notamment en matière d’alliance de revers avec Moscou, au moins jusqu’en 1935, et en a gâché les occasions
..avec moscou..non mais t’es bien dans ta tetê françois ?..mets donc la peur du coco avant celle du totenkopf..tu dégazeras un peu ta chambrée de tes pets
Ce téléfilm d’Arte, est à mettre aussi en regard avec celui de Lanzmann, « Le dernier des injuste », Daaphnée, mais ne le dites pas à u., car je ne l’ai toujours pas vu !
la peur du coco avant celle du totenkopf
l’opposition avait été décapitée
FD,
Comment imaginer une seconde que les dirigeants français auraient pu tenter une alliance de revers avec les Révolutionnaires de 17, les « effroyables rouges » mal habillés, niant la propriété bourgeoise (!), brigands qui devaient faire encore plus peur aux contemporains des années 30, que les paroles apaisantes du « Chancelier » Hitler !
A l’époque, le choix c’était Charybde ET Scylla !
Ah le bâton de maréchal, nous voilà!
JC qui dit époux dit poux et de dire dit n’exclue pas les centaines, ceci dit s’il est facile d’identifier le sieur Adolph comme étant un monomaniaque homicide mégalomane nous devrions grâce à l’avancée des sciences et à une meilleure prise en charge de la maladie pouvoir éliminer de la scène les malades qui y sévissent, l’histoire récente prouve que non, si vous en retirez un de l’échafaudage qui soutient le monde géo-politique, les éléments adjacents se précipitent sur la place vacante pour y semer des morts qui seront expliqués et justifiés au nom d’une cause qui si elle n’est pas commune trouverait tout aussi bien un chapitre dans une revue de psychiatrie parce qu’il est impossible de classer les crimes génocidaires sous le registre homicide involontaire ou crime passionnel, le crime politique n’est à ce jour pas en théorie répertorié et excusable.
En revanche, j’ai vu hier, au Reflet Medicis (5e arr.), un flm particulièrement dérangeant, le « 25 novembre 1970, le jour où Mishima choisit son destin » de Koji Wakamatsu. On verra si Sophie Avon en parle, j’y reviendrais peut-être ?
antoine dit: 28 novembre 2013 à 10 h 40 min
« le raciste varois occupe-toi de tes biquettes »
Tu vas la fermer, sale bouc de nègre sémite homosexuel simiesque ? Passe ton bac d’abord avant d’embêter l’élite de la RdL …
Non, Bérénice, je prend les génocides pour ce qu’ils sont : des crimes passionnels. De masse.
PS : j’espère que la polygamie ne vous fait pas peur ? Il faut vivre avec son temps …
mais enfin avec toutes ces salles de sport, impossible de ne pas voir dans un meurtre, qui sous-entend un minimum d’organisation et de préméditation quand il agit sur plus d’une « unité », de la folie; la pulsion de mort qui s’exerce sur autrui quand elle survient dans un équilibre bien calé trouve un canal de dérivation pour ne pas attenter à une vie.
De plus en plus connaud, Barozzi !
JC….. dit: 28 novembre 2013 à 10 h 48 min
FD,
Comment imaginer une seconde que les dirigeants français auraient pu tenter une alliance de revers avec les Révolutionnaires de 17, les « effroyables rouges » mal habillés, niant la propriété bourgeoise (!), brigands qui devaient faire encore plus peur aux contemporains des années 30, que les paroles apaisantes du « Chancelier » Hitler !
A l’époque, le choix c’était Charybde ET Scylla !
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je ne sais pas très bien à quel degré vous discourez, mais c’est bien le « ou » qui s’imposait, et le Mosc-ou.
d’un côté, un totalitarisme provincial en crise (même s’il surjouait des visées « internationales ») mais capable d’efficacité industrielle et militaire;
– de l’autre un projet de conquête à dimension européenne, sur la base d’une idéologie et d’une pratique mortifères.
Churchill n’hésitait pas et il me semble que l’écrasement du nazisme lui doit quelque chose.
Bérénice,
Vous croyez « dur comme fer » qu’en toutes circonstances la pulsion de mort peut être contrainte par la raison ! Mais non… il suffit de galvauder un tout petit peu l’exigence de la raison, de faire passer la passion un tantinet au dessus de cette raison froide… et hop ! Vous êtes partie dans la foule anonyme génocidaire ! Quel régal d’avoir raison avec les autres mammifères tueurs.
à moins que vous considériez que la volonté de nuire jusqu’à l’élimination par la mort soit une donnée de la normalité et puisse s’exercer comme affirmation d’un équilibre soit pour l’affirmer le confirmer le consolider le préserver(légitime défense de haut en bas de droite à gauche d’avant en arrière…)
Bérénice, vous signiez SMDR avant?
JC ce n’est pas une histoire de passion c’est une question de pulsion, je ne suis pas spécialiste et il me semble qu’il soit impossible de colmate les failles chez certains d’où le recours à la chimie, la médecine, la prison.
FD, c’est là où nous divergeons.
Qu’un fou comme Churchill ou De Gaule voie loin, ou décide court, je veux bien. Mais il me semble que toute la société de l’époque devait voir la Russie soviétique comme un danger au moins aussi grand que l’Allemagne nazie …
Le choix : Charybde ET Scylla. Pas OU !
« à moins que vous considériez que la volonté de nuire jusqu’à l’élimination par la mort soit une donnée de la normalité »
C’est exactement ça ! En terme de conduite des affaires d’Etat, des passions religieuses, économiques, culturelles, ethniques, ou de tout autre organisation décidant que la fin justifie les moyens.
« toute la société de l’époque devait voir la Russie soviétique comme un danger au moins aussi grand que l’Allemagne nazie … »
Pour JC le petit peuple des usines ne fait pas partie de la « Société ».
Ne jamais oublier que pour lui le mot « communisme » est le pire mot de la langue française, bien pire que le mot « nazisme »
JC….. dit: 28 novembre 2013 à 11 h 14 min
FD, c’est là où nous divergeons.
Qu’un fou comme Churchill ou De Gaule voie loin, ou décide court, je veux bien. Mais il me semble que toute la société de l’époque devait voir la Russie soviétique comme un danger au moins aussi grand que l’Allemagne nazie …
Le choix : Charybde ET Scylla. Pas OU !
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rire de Hitler qui tire les ficelles et cultive de « et » de toute sa malice… avant de se récupérer Staline pour lui tout seul.
Votre position de 2013 est merveilleusement pédagogique pour comprendre les Français de 1935.
cultive CE est
si vous placiez et c’est me semble-t-il ce que nous défendons: la vie c’est sacré, les moyens utiles à une fin seraient disposés autour de cet axe et respecteraient au moins ce dispositif ce qui en chaîne se traduirait en effets.
« Si vous n’aviez plus qu’un an à vivre, à quoi le consacreriez-vous ? Lisez l’histoire de cet américain, traducteur du russe, qui occupa ses derniers mois à traduire la plus belle agonie de la littérature, « La mort d’Ivan Illitch » de Tolstoï. »
Daaphnée pourrait le consacrer à traduire Lolita ?
@ Jacques Barozzi dit:28 novembre 2013 à 9 h 53 min: « N’est-il pas temps que TKT revienne, pour éteindre la lumière ? »:
Je lis les Notes, les commentaires, mais je ne désire pas participer au plaisir des deux crétins de service.
Dommage, les Notes donneraient la possibilité de conversations passionnantes…
Richter dit: 28 novembre 2013 à 11 h 21 min
« Pour JC le petit peuple des usines ne fait pas partie de la « Société ». Ne jamais oublier que pour lui le mot « communisme » est le pire mot de la langue française, bien pire que le mot « nazisme » »
Propos idiot ! invention stupide de votre part. Comment pouvez-vous dire une chose aussi ridicule. La société contient tous les membres, sans réserve ! … et comment comparer des régimes totalitaires criminels si différents ?
Ah ! j’oubliais…
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