C’est confirmé : Napoléon perçait déjà sous Bonaparte !
Ce Bonaparte (854 pages, 30 euros, Gallimard) est l’histoire, riche en détails et intuitions, d’un homme pressé, impatient, sûr de lui. Pas la première du genre, observera-t-on ; il est vrai que la bibliographie napoléonienne est des plus fournies. Quel écrivain n’a pas donné sa vision du personnage ! A croire que ce fut un genre en soi, une figure imposée : Chateaubriand, Stendhal, Bloy, Suarès, Cabanis, Malraux. Pour ne rien dire des historiens, dont c’est le rayon. Alors, n’en jetez plus ? Pas si sûr. Car Patrice Gueniffey, ancien assistant de François Furet devenu lui-même un spécialiste de la Révolution, ne s’est pas contenté de tout lire sur le sujet et de nous en offrir une brillante synthèse ; pratiquant l’admiration critique, il a le don du pas de côté et du regard en biais. De telles qualités ne sont pas de trop lorsqu’on s’attaque à un tel monument, si visité qu’il en devient un lieu commun, si caricaturé qu’il donne l’impression d’avoir lui-même créé son poncif.
L’auteur, professeur à l’Ecole des Hautes études en sciences sociales, ne va pas se faire des amis parmi ses amis, bien que des piliers de la revue des Annales aient depuis des années déjà fait un pas vers la biographie, genre longtemps méprisé. Jugez-en par cette déclaration au site Napoleon.org :
“Bonaparte est le vivant démenti de la conception « démocratique » de l’histoire. Il est la preuve parfaite, achevée, que parfois, l’histoire est l’oeuvre d’un individu et non une oeuvre collective. L’histoire n’est pas que le fait des peuples. Elle peut parfois être le fait d’un grand homme, d’une volonté supérieure, pour peu que les circonstances s’y prêtent.”
Il serait vain de dresser ici l’inventaire de ce que ces pages exposent en détail. Ce Bonaparte contient tout ce qu’il est possible et utile de savoir factuellement du héros avant qu’il ne se mue en anti-héros, du moins aux yeux de certains. Où est sa « valeur ajoutée » comme diraient les comptables de Clio ? Outre le rapport robespierriste à la Révolution, mais gouverné par la conviction et non par l’opportunisme, fil rouge parfaitement tenu de bout en bout par le narrateur, elle est probablement dans la passionnante exploration de ce que son âme avait de profondément corse : le tempérament insulaire, le sens du clan sans oublier le particularisme ajaccien, une île dans l’île, qui le faisait se sentir plus proche des Italiens que de ses compatriotes montagnards., ce qui n’empêche pas l’auteur d’insister sur la « naturalisation française » de son personnage, loin du cortège de mythes attaché à la figure de Paoli. La « valeur ajoutée » est enfin dans la réflexion de Patrice Guennifey sur l’art de la biographie. Elle court tout le long du livre mais se condense avec éclat dans une préface qui tient lieu de discours de la méthode.
« Il rendit l’espèce humaine anonyme en accaparant la célébrité à lui seul » écrivait Mme de Staël qui exagérait à peine en des temps où tout le monde n’avait pas son quart d’heure de gloire. Autoritaire, pragmatique, réaliste, despote éclairé, c’est un modéré mais qui fonde son pouvoir sur la force. Dès le Consulat, où la société est « façonnée à l’obéissance passive », Napoléon perce sous Bonaparte. Pour autant, Patrice Gueniffey se défend d’adhérer aux interprétations libérales qui, de Taine à Bainville, associent l’esprit d’aventure à la nécessité d’un homme aux prises avec la fatalité.
L’auteur est, heureusement, moins pressé que son héros ; il prend le temps de raconter. Car Bonaparte, lui, traverse son histoire en météore : siège de Toulon, campagne d’Italie, victoires de Rivoli et de Lodi, expédition d’Egypte, destruction de la flotte à Aboukir et la geste du Premier consul tout à ses réformes de l’Etat, sa plus belle mais plus discrète victoire, le Concordat et le Code civil étant moins spectaculaires, mais tellement plus durables, que de hauts faits d’armes immortalisés par des peintres de batailles.
Une biographie se juge d’abord à son plan. Y surgissent les moments de rupture. On devine les partis pris d’un biographe aux césures qu’il opère dans une vie. Patrice Gueniffey s’engage et se dévoile dès lors en choisissant d’interrompre ce premier volume en 1802 avec la proclamation du consulat à vie et non comme tant d’autres en 1799 avec le coup d’Etat du 18 brumaire. Manière de prendre d’emblée sa place dans l’éternel débat et d’annoncer qu’à ses yeux, loin d’enterrer la Révolution, Bonaparte l’a continuée, perfectionnée et achevée. On peut d’ailleurs lire son récit en filigrane comme une réponse à la question : comment sortir au mieux d’une Révolution ?
Déjà plusieurs fois lauré, ce grand livre force l’admiration car l’auteur, historien déjà consacré, s’y révèle également un authentique écrivain et un styliste (ici des extraits), espèce rare dans la catégorie. Par ses milliers de notes, sa bibliographie actualisée, son index des noms, il s’impose déjà comme l’ouvrage de référence sur le sujet. Il ne sera pas facile à détrôner. Pour la suite, on verra car son Napoléon sera, on s’en doute, attendu au tournant.
(« Ebauches », 1797, et « Portrait inachevé », 1798 de Jacques-Louis David)
1 405 Réponses pour C’est confirmé : Napoléon perçait déjà sous Bonaparte !
mince je me suis embrouillée les pédales ; vous djedla, c’est le vol de l’aigle : pardon !
Un peu de douceur dans ce monde de brutes dit: 30 novembre 2013 à 9 h 13 min
Parlons plutôt d’un « peu plus de connerie dans ce monde de brutes ». Grâce à vous …
Alexia Neuhoff dit: 30 novembre 2013 à 9 h 19 min
« A propos de « bourdon », comme cloche, vous vous posez là. Vous feriez bien d’apprendre aussi à raisonner. »
Vous raisonnez et moi, je déraisonne ! Facile ! Comme votre propos est facile ! et stupide ! et insultant ! et drôle ! quelle ouverture d’esprit pour une autre pensée que votre pensée en remugles …!
Vous êtes amusante, risible … Cela m’inquiète pour votre évolution cérébrale : vous devriez reprendre vos études, il vous manque quelques éclairages pertinents. Un petit diplôme, comme tout le monde, ne suffit pas.
JC, quelque chose que je ne comprends pas. Vous avez un esprit scientifique, rigoureux, logique.
Christiane Taubira est une personne sympathique, assez spirituelle et profondément humaine.
Comment se fait-il que muni de ces éléments vous n’ayiez pas réussi à déduire la loi qui en découle : ‘Quantité de personnes sympathiques, assez spirituelles et profondément humaines se sont laissé abuser par le socialisme, croyant bien faire.’
Daaphnée dit: 30 novembre 2013 à 8 h 44 min
Bien évidemment que je n’approuve pas JC quand il s’en prend à la personne de Taubira !
réponse de JC 30 novembre 2013 à 8 h 52 min
je revendique le droit de dire que c’est une mocheté, d’une extrême vulgarité, laide comme un thon* : bonne à jeter !
Admirable. Merci u., il est super ton copain. (Bon, c’est vrai, il a un bateau, c’est appréciable, avalons notre chapeau et dorons-nous au soleil.)
Tout à fait d’accord avec Rose sur le fait que l’homme Rousseau fut une ordure d’abandonner ses gosses à l’Assistance.
Difficile ensuite de croire un mot de son traité sur l’éducation, lui qui a préféré son « ouvrage pédagogique » à sa responsabilité d’homme…
Une ordure, donneuse de leçons aux autres, le Jean-Jacques, tueur d’Emile ! Beurkbeurk !
JC….. dit: 30 novembre 2013 à 10 h 39 min
quelle ouverture d’esprit pour une autre pensée que votre pensée en remugles …!
JC….. dit: 30 novembre 2013 à 10 h 32 min
JC j’espère qu’aujourd’hui vous soutenez vos camarades entrepreneurs routiers qui s’élèvent contre cet impôt infâme qui pourrait s’appliquer à des patrons libres et tatoués.
Et vive Madame Taubira.
une seule solution contre l’infâme JC : ne pas lire ses commentaires et surtout ne pas lui répondre, ça le fait jouir !
D. dit: 30 novembre 2013 à 10 h 47 min
« Taubira est une personne sympathique, assez spirituelle et profondément humaine. »
Ce n’est pas évident à mes yeux. Soyons nuancé pour ne pas choquer : antipathique, arrogante, incompétente dans son ministère, indépendantiste refoulée, chillante à entendre et voir … aucune confiance en elle. Parlons d’autre chose : c’est perdre son temps de parler de cet alibi socialiste, employée comme alibi communautariste !
JC….. dit: 30 novembre 2013 à 10 h 55 min
Une ordure, donneuse de leçons aux autres
C’est confirmé : Régniez perçait déjà sous JC.
@Bouguero & autres Chaloup (hier) : Mauvaise pioche. La plupart des intervenautes d’ici, comme vous dites, sont de droite bon teint, tendance « avec l’ump on est peinard, pas de prolo dans ma cour ».
Je n’y crois pas un seul instant. L’anonymat de ce blog a ceci d’extraordinaire qu’il permet à des gens aux valeurs de gauche -que viendraient y faire les incultes de la vraie droite ?- de s’essayer à proférer toutes sortes d’immondes saletés (de droite extrême, préférentiellement) pour éprouver durant qq minutes l’excitation sexuelle que leur procure cette facile catharsis. Après quoi, ils peuvent reprendre leur bien pensance publique habituelle dans l’enseignement de la littérature humaniste française, au sein de leurs lycées respectifs.
Nouvelle Donne dit: 30 novembre 2013 à 11 h 14 min
Ce post est probablement de JC.
Le jugement de ces disciples qui admirent, bouche bée de satisfaction des Taubira, Montebourg, Hamon, Filipetti, Duflot, Fabius et la tapée de glands jouant aux ministrules que nous avons démocratiquement porté au pouvoir, ce jugement béat me désespère. Je songe au suicide par indigestion !
Au moins Napoleone Buonaparte avait, lui, des Maréchaux qui savaient faire …
Nouvelle usurpation de pseudo dit: 30 novembre 2013 à 11 h 16 min
Que non !
Tintin me souffle à l’oreille : « Taubira, c’est la Castafiore du Pépère ! »
JC….. dit: 30 novembre 2013 à 11 h 17 min
Je songe au suicide par indigestion !
Je crois hélas que c’est horrible.
Le contraire aussi. Je l’ai vu dans Titicut folies de Wiseman.
Il a dit je suis un adolescent (il a 80 ans je crois -je vais craquer, je songe à me bourrer de chocolats). Aussi je suis misanthrope (qui ne s’en serait douté ?).
Et aussi à la question posée dans la salle par une grand-mère qui a dit « je suis éprouvée à voir ZOO, Primate et Titicut folies ; vous ne portez pas un regard sur les humains réjouissant. Extrêmement violent, obscène ds certaines scènes. […]
il a répondu « je ne suis pas le premier à parler de la violence du monde, des humains. Puis taquin, il a dit « je suis le deuxième ». Il a dit que lui, à Primate il s’amusait bien. J’ai cru comprendre que cela le faisait rire.
Il parle français couramment. Plutôt bien.
Tout à fait d’accord avec Rose sur le fait que l’homme Rousseau fut une ordure d’abandonner ses gosses à l’Assistance. (JC)
Il a eu entièrement raison. J’en aurais fait autant. Je hais les enfants.
Une petite meuf qui ne comprend rien au cinéma -mais qui a 25 ans – de l’association Tilt nous a proposé d’aller voir dans une abbaye à Aix (la Baume les Aix ?) aujourd’hui la projection durant 6 heures de son film sur les derniers jours de la vie. Il a demandé instamment que cela ne soit pas coupé. Je n’irai pas. les gens auront le droit de sortir. Les autres auront une palme d’or.
Les enfants grandissent et dans l’ordre normal des choses deviennent des adultes.
Certains renâclent. Surtout après être passé dans le tambour. Il est possible de les comprendre.
D’autres stationnent à l’âge ado. Bloquent. Patinent. N’avancent pas (comme bibi avec Melville – en suis au chapitre trois).
on ne fait pas des enfants pour les coller à l’Assistance (ni leur frapper le crâne contre le sol, ni les mettre dans un sac congélateur, ni les plonger dans la machine à laver le linge (Rose)
Mais c’est qu’elle m’en donne, des idées, la Rose ! c’est bien Souchon qui chante « Passez vos enfants à la machine » ? A la machine à décerveler, s’entend. Hourra, cornes au cul ! Vive le père Ubu !
Demain à Martigues en avant première projection de At Berkeley, il sera reparti.
A côté de la Josette en rade au vieux port, le Marseillois a coulé par le fond. Émergent trois mâts dont celui de misaine.
Vous comprenez bien, Rose, que je choisis ce mode de suicide, l’indigestion*, pour frapper les esprits. Pour qu’on dise : « il voulait souffrir beaucoup, car c’est horrible ! »
J’écrirai une lettre dédouanant la RdL, et Passou, mais je donnerai quelques noms, le nom de ceux qui se sont crû autorisé à pratiqué la vivisection sur un être qui demeure exquis à mes yeux scientifiquement entraînés, moi-même … hurkhurk !
*un beau récit de mort par indigestion dans « La tortue d’Eschyle et autre morts stupides de l’Histoire/les arènes »
Dans ZOO, scène atroce en // avec Primate : la mise bas d’une rhinocéros. Puis la femme mort-née. Plus tard la dissection du cadavre.
Les sun-lignts plein pot sur la scène de mise bas. Elle met si longtemps à faire sortir la petite qu’elle en meurt. Mais ce n’est que le début.
Puis la castration programmée d’un chien devenu sauvage et errant. Que des femmes autour de la table d’opération et la véto disant à une « qui la veut ? » en montrant la prostate sectionnée ». longs plans interminables.
Il n’aime pas les femmes.
Après l’opération, le documentariste explique pourquoi ce mâle est castré et on voit la razzia commise dans les parcs auprès de braves bêtes sur quatre pattes, par icelui et un pitt-bull tué à bout portant dans une chasse au chien.
Pittbull jeté au crématoire.
Zoo se passe à Dallas : ton univers impitoyable. Je passe sur le vol des œufs de crocodiles etc.
Ce film est vieux les gens étaient comme ça.
John Brown dit: 30 novembre 2013 à 11 h 31 min
Tout à fait d’accord avec Rose sur le fait que l’homme Rousseau fut une ordure d’abandonner ses gosses à l’Assistance. (JC)
Il a eu entièrement raison. J’en aurais fait autant. Je hais les enfants.
MOI AUSSI, JE HAIS LES ENFANTS COMME TOUT PARENT QUI SE RESPECTE !
(mais je n’écris pas un livre pompeux/pompant sur leur éducation, je m’en occupe… sans blablateries et couillonnades diverses)
La minette ci-dessus (maintenant ici-bas depuis l’aller-retour des commentaires) – Polanski dit 34 pétasses au tout début de son film ; les autres, il se faisait baiser par Emmanuelle et sa collection d’olisbos, donc il ne les a pas vues, l’heureux homme (80 ans : puise-t-il son énergie dans le cul des filles ?) – signale en fin d’entretien avec le réalisateur (où nombre de questions passionnantes sont posées) – Han han là Mémé tu verras pas de scènes de dissection dans The Store..
JC….. dit: 30 novembre 2013 à 11 h 48 min
(mais je n’écris pas un livre pompeux/pompant sur leur éducation, je m’en occupe… sans blablateries et couillonnades diverses)
Voilà : tu peux pas et t’occuper d’eux et écrire le bouquin, alors tu choisis de t’occuper d’eux (quoique là je bloggue avec toi, au moins je lui fous la paix, elle respire !).
Bises
« Court est bien fatigué »
Le Hugo des débuts comporte précisément « Les Deux Iles », le Buonaparte, et l’on sait que le Cromwell est une sorte de mise en abyme de Napoléon . Un autre poème est une grandiose reverie sur un Paris fantome, réduit à l »Arc et à la Colonne.
Enfin, on vous rappelle pour mémoire le jugement de Léopold Hugo vis-à-vis de son jeune fils rapporté dans Raconté. « L’enfant est de l’opinion de sa mère, l’homme sera de l’opinion de son père ».S’il est apocryphe, je vois mal quelle nécessité pousse Hugo à le révéler en plein Second Empire!
Et de fait,l’attraction -répulsion des premières pièces -Buonaparte- fait place à une fascination grandissante pour l’Empereur déchu. -L’Ode à la Colonne, entre autres.-
Les Funérailles de L’Empereur peuvent etre donc lues comme un inconscient prélude de ce qui va se jouer dans l’exil.Il n’ y a pas loin entre
« Jacob luttait avec l’ange
Tu luttais contre Jéhovah »
Et l’autre grande figure, le Satan Hugolien dont les rapports avec Dieu sont pour le moins tendus.
Ms La fleche
Etait teinte de sang, il avait blessé Dieu ».
(Nemrod Version publiée:
« Avait-il blessé Dieu? »
Ou bien.
« Y songez-vous, seigneur, un partage entre nous? »
Loc cit, Lamento de Satan
La différence étant que dans un cas, elle est suggérée, et dans l’autre,parfaitement assumée.
La mortde Léopoldine et la gestation des Contemplations ont passées par là.
En bref, la figure napoléonienne, à travers les Funérailles, par la dimension christo-prométhéenne qui lui est donnée, vaut comme jalon inconscient du propre itinéraire d’Hugo devenant lui-même son propre Prométhée, rebelle en gestation à un Dieu dont la puissance créatrice surpasserait sa propre poésie,après qu’il ait lui-même accompli comme me l’Empereur dans ce poème, une sorte d’expiation grandiose.
Bien à vous.
MC
rose dit: 30 novembre 2013 à 11 h 39 min
« A côté de la Josette en rade au vieux port, le Marseillois a coulé par le fond. Émergent trois mâts dont celui de misaine. »
Les navires meurent aussi. Ce qui est dégueulasse c’est que ce vieux bateau – qui avait « travaillé » à la mer – a fini par devenir un « restaurant »… Misère !
Marseillais. Retirez-le du port et brûlez-le. Decent.
La mémé super tranquille dans son coin a vue le film, elle. Pas la minette.
Eh couillone de la lune : si tu regardais les films de Wiseman
1/ tu constaterais combien il est sexiste
2/ tu verrais le sale portrait qu’il dresse de l’Amérique mais surtout des américains
3/ Tu aurais remarqué qu’il ne souligne que les tares de l’homme (son film sur les fous c’est une épreuve -30 ans de censure c’est pas de la gnognotte- ; comment les gens bien portants jouissent de massacrer les fous qui déjà sont fous et n’ont pas besoin de ça. Ils les poussent à bout.
Y’a 40 ans on n’était pas aidés !
JC….. dit: 30 novembre 2013 à 11 h 58 min
Les navires meurent aussi. Ce qui est dégueulasse c’est que ce vieux bateau – qui avait « travaillé » à la mer – a fini par devenir un « restaurant »… Misère !
Marseillais. Retirez-le du port et brûlez-le. Decent.
Tu vas me faire pleurer.
Trop vieux il est pas réparable.
Le pire c’est l’irrespect t’es gens : toi t’es triste, pour lui. Comme pour ton cheval. Ton coeur se noue. Tu te dis qu’est ce que je vais faire sans lui.
Tout ça.
Les gens sont c…. : ils rient devant lui, sans honte aucune. Ils disent « viens on va manger au restau, mets ta combi. ».
Ils mériteraient de se faire gnacker par une murène. Le bout des orteils.
Court, salut. Vous savez, j’en ai lu et relu de l’Hugo. Y compris un peu de sa correspondance. Je l’aime et l’exècre en même temps !
Impossible de ne pas voir le génie du verbe, de l’homme, chez lui. Impossible de ne pas subir, aussi, l’impression que souvent il « en fait trop »… L’époque, peut-être, voulait cela ?
>Couillonne de la lune (pense qu’avec deux n c’est mieux) :
analyse filmique.
Dans The Store il y a une scène de dissection. Ce n’est pas une femelle rhinocéros mort-née qui ene st l’enjeu mais une femme (une multitude d’ailleurs, mais une est clouée au pilori, la scène est atroce).
Avant d’interpeller en fin de débat la mémé qui en tête avait tourné la page réfléchis avant de parler. Revois le film. Pense. Analyse. Décrypte.
Il a dit aussi : les gens aiment bien qu’on les filme. J’ai jamais compris pourquoi. Peut-être le narcissisme.
Après la remarque de la grand-mère dans la salle sur la violence qui émerge de ses films, il a dit 99,9 des gens ne se posent pas de questions ne voient rien, ne disent rien, ne comprennent rien.
Avant cela, il a dit à la grand-mère « vous avez le droit de ne pas aimer mes films ». Elle a répondu gentiment ferme et déterminée » ce n’est pas que je n’aime pas vos films mais je ressens la violence immense que vous filmer, de nous êtres humains, je suis dedans pas en dehors ».
Son amour pour la France il l’a filmé dans on film sur le ballet de l’Opéra de Paris. Il nous aime nous les français.
la violence que vous filmez
J’ignorais qu’elle nous avait quittés, Des Journées. L’affaire du Champ d’Asile est proprement colossale.Des centaines d’hectares achetés par le Roi Joseph pour une sorte de colonie bonapartiste…et vendus quand le reve s’éloigne.
Il y a aussi l’affaire Bonaparte-Wyse ou Napoléon brisa pour cause de couronne à donner le mariage de son frère avec Madame Patterson, laquelle fit tout pour obtenir des indemnités, du premier au second Empire. Ell ne devait mourir que vers 1900.
Le nom fut reconnu par Napoléon III sous condition d’etre désormais non-dynastes.On doit me semble-t-il à l’un de ses petits fils , Charles Bonaparte-Wyse,sous le premier Roosevelt, la création du FBI!
Désolée : le compte-rendu n’est pas exhaustif. Néanmoins je tente d’être sincère (la mémé c’est moi).
La directrice de la cinémathèque lui parle vous le grand Wiseman.
Il a beaucoup bossé. Il continue. Il aime ça. C’est sa vie. Il le dit. C’est son métier. Sa passion. C’est un observateur. Il est talentueux. Et sérieux. IL fait bien son taf.
Maintenant le grand Wiseman physiquement est petit, a les oreilles très décollées quatre rares cheveux blancs sur le caillou et semble très proche des acteurs de Primate.
Je ne sais pas s’il le sait.
C’est très difficile à écrire.
L’aspect physique des gens ne doit pas être allié à leurs capacités quelles qu’elle soient. Je suis très choquée de cela . L’on vieillit en marquant nos douleurs sur notre corps. Qui est une carte du Tendre, avec nos blessures.
Je confirme : ce petit monsieur est grand. Ses documentaires nous disent comment nous avons vécu, comment nous vivons. Ils nous inscrivent dans notre réalité. Il s’intéresse bcp aux institutions.
Nous sommes plutôt tartes. Moins qu’il y a 40 ans. A priori. C’est pas sûr.
Moi pas encore. Mais les deux jours derniers, c’était pfff. Surbookée.
>Court
il y a tant de choses dans tout ce que vous racontez ! Grand merci…
Tu sais ; comme dit passou
« que le temps passe vite »
Court, vous qui avez tout lu …. vous devez connaitre, à propos des « colonies » au sens création d’un « monde nouveau », vous avez du lire cette merveille utopico/commerciale :
L’ODYSSEE DE PORT-BRETON – LE RÊVE OCÉANIEN DU MARQUIS DE RAYS / DANIEL RAPHALEN
Résumé : « Par une annonce alléchante dans les gazettes en 1877, un breton, Charles du Breil de Rays, lança une entreprise de colonisation dans le Pacifique.
En trois ans, depuis son agence installée en Espagne, il expédia quatre navires et plus de six cents colons, hommes, femmes et enfants en Nouvelle-Irlande, une île proche de la Nouvelle-Guinée, en un lieu inhospitalier et sauvage qu’il avait baptisé Port-Breton.
Il ne connaissait cet endroit que par les cartes et les récits de quelques navigateurs.
Plus de cent cinquante personnes y laissèrent la vie, les rescapés s’installèrent dans les îles, en Nouvelle-Calédonie ou en Australie. Peu revinrent en Europe…
S’appuyant sur des documents inédits provenant de France, d’Australie et de Nouvelle-Calédonie, l’auteur relate dans ce livre l’extraordinaire affaire de Port-Breton et nous fait découvrir aussi la personnalité de Charles du Breil de Rays, aventurier hors du commun. »
Extraordinaire aventure criminelle … bonnet rouge bas !
Court, il existe une bio d’Elizabeth Patterson-Bonaparte que j’ai trouvée dans un des bacs du Lucernaire. J’ai découvert l’existence de cette dame dans Hearts Divided de Borzage, que j’avais vu peu de temps auparavant. A peine feuilleté, mais je vais m’y mettre.
titre exact : Betsy Bonaparte ou la Belle de Baltimore. Auteur : Claude Bourguignon-Frasseto. Chez L’Harmattan.
John Brown dit: 30 novembre 2013 à 11 h 31 min
Tout à fait d’accord avec Rose sur le fait que l’homme Rousseau fut une ordure d’abandonner ses gosses à l’Assistance. (JC)
Il a eu entièrement raison. J’en aurais fait autant. Je hais les enfants.
Les goûts et les couleurs, John. Je comprends maintenant ta jouissance à torcher la gueule des gauchos à coups de barres de fer.
RDL CONTEST
Napoleone Buonaparte 647 – Winston Churchill 634
Jeune Clébart, c’est l’heure de ta paté. Conchita t’a déjà mis ton Canigou dans ta gamelle. Cesse donc de propager la bonne parole sur la RDL, sinon Jauni va tout bouffer.
Monsieur Court, Hugo aurait mieux fait, vu son grand talent de poète, d’encenser un grand homme comme l’astronome Guillaume le Gentil plutôt que l’esclavagiste Bonaparte (en concubinage avec Joséphine, la négresse !)
Passion d’astronome
Guillaume, Balthazar, Alcide le Gentil
De Coutances naquit sur un lit de coutil,
Au fin fond de la Manche, au siècle des lumières.
Quand tout petit marmot, il ouvrit ses paupières
Sur le ciel étoilé du Contentin natal,
Il s’étonna de voir l’espace sidéral
Fourmiller de lueurs aux éclats métalliques.
Tendant ses petits bras vers ces objets ludiques,
Il voulut les cueillir, battant l’air bien en vain.
Ses parents amusés le trouvèrent divin ;
Ils ne se doutaient pas que leur petit bonhomme
Serait, vingt ans plus tard, un fameux astronome.
A Caen, il fut élève au Collège Royal ;
On le trouva doué, constructif et génial,
Si bien qu’on l’envoya poursuivre ses études
A Paris dans l’actuel bureau des longitudes.
Ainsi, la tête au ciel, il passa tout son temps,
Observant, calculant, réfléchissant longtemps.
D’un esprit foisonnant à l’égal d’Archimède,
Sa recherche sur la ceinture d’Andromède
Lui permit d’exhiber quelques astres nouveaux.
L’Académie entière applaudit ses travaux.
On lui confia mission de rejoindre les Indes,
Non pour y étudier les cochons et les dindes,
Mais pour y observer Vénus, l’astre vermeil,
Passer incognito devant le grand soleil…
Avec l’ami Gratot, fidèle domestique,
Croulant sous le fardeau des instruments d’optique,
Il embarque à Lorient sur un fameux trois mats
Qui cingle vers le sud au milieu des frimas.
Après avoir longé les côtes de l’Afrique Sans rencontrer l’anglais agressif et cynique,
Il arrive à bon port dans l’Océan Indien
Fait escale à Port-Louis, descend avec son bien.
Il a six mois encor pour rejoindre l’Asie,
A Pondichéry même, où le périhélie
De Vénus est en phase, au début de l’été,
Avec notre planète, il a bien tout compté.
En attendant, il erre impatient, frénétique,
Dessus l’île Maurice au couvert granitique.
Son ventre lui fait mal, des moustiques piqueurs
Lui distillent des maux, guéris par des liqueurs.
Enfin bien rétabli, un bateau le transporte
Droit sur Pondichéry où la science le porte.
Hélas ! près d’aboutir, il arrive un courrier :
L’anglais a pris d’assaut le comptoir fortifié.
Guillaume essaie en vain sur le pont du navire
D’observer sa Vénus, mais tout bouge et chavire.
C’est penaud qu’il repart vers l’île de Port-Louis
Rageant d’avoir raté ce spectacle inouï.
Il sait que dans huit ans, le même phénomène
Se renouvellera. Qu’importe alors la peine
Qu’il fait à son valet, irrévocablement,
Décide de rester pour ce nouveau moment.
Ainsi, tuant le temps, il étudie la faune,
La flore et le climat parcourant une zone
De l’île de Port-Louis jusqu’à Madagascar,
Rien n’arrête les pas de notre fier lascar.
Et puis, trois ans avant la rencontre céleste,
Il part sur l’océan, comme fuyant la peste,
Sur un brick espagnol allant à Bornéo,
C’est un petit crochet digne d’un rodéo .
Mais il est échaudé notre gentil Guillaume,
Car le trajet tout droit fut fatal à notre homme.
Echappant de justesse à de grands coups de vents,
Il arrive à Manille et s’installe deux ans.
Mais las, les espagnols lui cherchent la querelle
Il doit fuir sans délai sur une caravelle
Qui l’amène bientôt près de Pondichéry.
Le voilà maintenant dans ce lieu si chéri.
Il a encore un an pour préparer l’affaire,
Dans la ville détruite où règne la misère.
Il y trouve une tour tenant encor debout ;
Pour son observation, elle est bien à son goût.
Attendant le grand jour, il s’affaire, il astique
Les lentilles de sa lunette astronomique.
Il cale et met au point son fameux instrument,
Pour enfin être prêt au fabuleux moment.
Et ce grand jour est là, le beau soleil se lève
Dans un ciel pur, serein : Guillaume vit un rêve.
Vénus est invisible en l’azur éclatant,
Mais il sait qu’elle est là ; bien heureux, il l’attend.
A sept heures c’est sûr, ce sera la rencontre,
Un point noir sur de l’or, un calcul le démontre.
Son oeil reste rivé dans l’instrument noirci,
Le temps est merveilleux, il n’a aucun souci.
Mais voilà que le vent à l’horizon se lève,
Il forcit et grandit et du sable soulève.
Bientôt il est cerné par un nuage épais
Occultant le soleil le couvrant d’un grand dais.
Guillaume devient fou : l’objectif, il nettoie
Pour mieux voir, percevoir, dans tout ce qui poudroie.
Voilà qu’une accalmie arrive sur-le-champ,
Sa rétine reçoit un éclair aveuglant.
Il n’a pas vu Vénus masquée en les grands voiles
Mais son oeil se souvient d’une poudre d’étoiles !
JC….. dit: 30 novembre 2013 à 12 h 49 min
RDL CONTEST
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La majorité de ces commentaires étant fournis par une dénommée rose, le nombre final dépend uniquement du rapprochement de ses délires alcoolisés et de son aptitude plus ou moins ponctuelle à diviser une phrase en plusieurs posts.
Rien de scientifique donc.
Merci pour la référence, Court. Je me procurerai cet ouvrage lors de mon prochain passage en France.
C’est en étudiant l’histoire américaine que j’aipris conscience de ce que représentait le Louisiana Purchase de 1803 (qui fait doubler de taille le territoire états-unien) et des implications historiques et idéologiques qu’il revêtait en justifiant l’accomplissement de la « Destinée Manifeste » des EU (i.e.l’impérialisme ‘wasp’ aux dimensions du continent puis à son dehors). Je n’ai jamais pu m’empêcher de songer aux abominations qui auraient pu être épargnées, notamment celles dont furent victimes les esclaves noirs (émancipés, libérés pour être in fine ségrégués) et les populations indiennes, dont la quasi extermination et la relégation dans des réserves-mourroirs furent les conséquences directes de ce « Move Westward » qui prend fin avec la clôture de la frontière en 1897.
Pour les Indiens et les Noirs des US, le 19e fut un siècle d’abjection intégrale, un siècle de fer et de sang, où l’acquisition de la Louisiane joue un rôle fondamental.
Perso, je trouve que si l’histoire contre factuelle a une vertu, c’est qu’elle permet de s’émanciper du fatum et de rêver fugitivement à la possibilité d’un monde meilleur.
Oui, JC, j’ai ce bouquin dans ma bibliothèque.Daudet s’en est inspiré pour écrire le dernier et le plus remarquable des Tartarins, « Port-Tarascon ».
Cela dit, entre le Marquis de Morès, Jacques Lebaudy et son reve d’Empire du Sahara dont un écho transparait dans Maurice Leblanc lorsque Lupin veut faire à Valenglay-Clémenceau don d’un Empire, le marquis de Rays n’était pas seul.Il y a un tropisme de fondateur d’Empire lié à de grandes familles acceptant ou non la République -qu’on songe à Brazza- qui mérite d’etre étudié dans son ensemble au delà du seul cas du Marquis de Rays.
Pour approfondir: Raphalen, Daniel « L’Odyssée de Port -Breton », le Reve Océanien du Marquis de Rays, Les Portes du Large coll Bretons à Travers le Monde. diffuseur Coop -Breiz.2006.
Sur Morès Brochures d’époque.
Mémoires certes idéalisés, de sa fille, future Duchesse de Sabran.
Textes du jeune Bernanos sur Morès « dernier chevalier français » attestant l’Aura du personnage, indéniable à l’AF.
Sur Lebaudy, fils d’une dynastie sucrière:
Troyat, « Les Turbulences d’une Grande Famille »
Grasset, 1999
Bonne synthèse de documents antérieurs
Rose: merci.
MCourt
Calbrix est normand.
Clopine est normande.
Est-ce du racisme de faire se rapprochement ?
Paul ?
mrouland
Oui, une biographie parue peu après sa mort, à couverture jaune? Je l’ai je ne sais plus ou, ce qui m’a empéché de donner la Référence.
Léopoldbloom.
Oui la Louisiane est une immensité, que la Monarchie aurait peut etre gardée, mais que Jefferson a su acquérir pour une somme symbolique. Et Napoléon ne pouvait pas la conserver.
On peut aussi déplorer l’absence de politique étrangère autre qu’européenne qui s’installe à partir de la neutralisation du Roi par l’Assemblée. C’était faire litière de la politique des Bourbons et de l’influence politique française à l’étranger. Le prix à payer est lourd.
Visité après un Colloque une Réserve Navajo. Sinistre spectacle.
Entre dérision -Existence d’un Navajo Times-et abrutissement (télé, 4/4). Mais que leur reste-t-il d’autre?
Bien à vous.
MC
Mais enfin, Bloom, que vouliez vous que les adeptes du Nouveau-Monde fissent des Indiens ? des Négros ? des Inutiles en tout genre, sinon les exterminer sobrement ou les abrutir d’alcool frelaté vendu au dessous du prix de revient ?
J’aime le pragmatisme et la dynamique du Nouveau-Monde.
PS1 : Bloom ! Je me demande si vous ne seriez pas un de ces humanistes suicidaires dont nous sommes friands !
PS2 : « Jeune Clébart, c’est l’heure de ta paté. » …Mon pauvre Marcel ! ta pâtée, voyons ! Ta pâtée … PÂTEE !
« Oui, JC, j’ai ce bouquin dans ma bibliothèque.Daudet s’en est inspiré pour écrire le dernier et le plus remarquable des Tartarins, « Port-Tarascon ». »
Court. J’ai lu le « Port-Tarascon » de Daudet, ainsi que son « Jack », « Poésies et fantaisies », « Sapho », édités dans la petite collection Charpentier 1910, le tout acheté sur les quais parisiens … Petite édition qui vieillit mal.
Court,
J’ai pour ma part eu droit à des danses pour touristes dans une réserve d’Indiens Tigua, à côté d’El Paso, au Texas…Ceux des jeunes danseurs avec qui nous avons échangé après ce triste « spectacle » n’avaient qu’une seule envie: quitter les EU pour l’Europe…le monde à l’envers…
Idem pour bon nombre des africaines-américaines qui faisaient le ménage ou servaient à la cantine dans le lycée où j’étais au Texas, dans la Panhandle…Nobody knows the trouble they’ve seen…
Salutations
L’autre penseur nous a dit que les civilisations étaient mortelles. Les wasp étatsuniens vont y passer eux aussi, leur temps est venu après les Indiens, s’ils n’ont pas le culot de déclencher la troisième guerre mondiale.
La Ronde, comme disait ce cinéaste connu…
>Tidou
x, y et z
vais faire la sieste frauduleuse
suis out
°(devrais remplacer l’ifop par le paul emploie.)°
bises bretonnes
Cela il leur reste
http://1.bp.blogspot.com/_n_OyXb33WZA/TL-tUS0-3vI/AAAAAAAADks/gk9U5gne3Gk/s1600/IMG_9537.JPG
Perso, je trouve que si l’histoire contre factuelle a une vertu, c’est qu’elle permet de s’émanciper du fatum et de rêver fugitivement à la possibilité d’un monde meilleur.
ls français.. dans l’histoire américaine on dit d’eux que sans plus de greed ils n’avaient aucun sens historique..d’ailleurs ya même un kabloom qui les remercient au nom de l’uncle sam..meilleur? t’es un janus schizo, ça fait 4, et c’est beaucoup..
et puis cela (j’adore ce passage)
http://www.dailymotion.com/video/x25xsa_wayne-la-prisonniere-du-desert-1_shortfilms
sur fugitivement je suis bien d’accord
attends je regarde l’attaque de l’autre côté de la rivière
leur temps est venu après les Indiens, s’ils n’ont pas le culot de déclencher la troisième guerre mondiale
..une guerre sans front cette fois ? c’est pas popo jicé..non céline avait bon, quand les chefs peuvent pus se garer des balles perdues on marchande..y’a tellement tellement de truc a vendre
Voilà, les indiens se replient. Ils sont les plus forts.
Ceux des jeunes danseurs avec qui nous avons échangé après ce triste « spectacle » n’avaient qu’une seule envie: quitter les EU pour l’Europe…le monde à l’envers…
tu manques pas de culot..putain tu l’as le sanglot de crocodile kabloom..
ma marie josèphe rose pardonne leur,
http://www.sweetmartinique.fr/anse-mitan/trois-ilets/trois%20ilets.jpg
30% JC/30% Cinglé, la psychothérapie peut vous aider, 50% d’échec soit autant que pour le traitement des cancers toutes taxes comprises, les anglais n’accordent pas de deuxième chance alors que la France continue de soigner les cas désespérés.
décidément les comiques du blog, JC, MCourt et boudegras ne désarment pas, hélàa !
..ta gueule keupu..si tes pas ddroite ta rien a foute ici alors casse toi..vdqs
@ “miroir, mon beau miroir dit: 30 novembre 2013 à 11 h 07 min
JC….. dit: 30 novembre 2013 à 10 h 55 min
Une ordure, donneuse de leçons aux autres“:
D. et JC, deux ordures donneurs de leçons et se prenant pour des aigles.
Encore une usurpation de pseudo !
Ce post « JC….. dit: 30 novembre 2013 à 13 h 53 min » n’est pas de moi.
JC….. dit: 30 novembre 2013 à 13 h 53 min
« Jeune Clébart, c’est l’heure de ta paté. » …Mon pauvre Marcel ! ta pâtée, voyons ! Ta pâtée … PÂTEE !
Je n’ai aucune leçon à recevoir d’un mec qui ne sait pas mettre les accents aigus sur les E. De toute façon, tu ne perds rien pour attendre de recevoir ta paté sur ta sale tronche de fâche haut.
Jeune Clébart et Courtoujours ont lu Taracedecon. Ce n’est pas un scoop, on l’avait remarqué.
La collection Charpentier de 1910 vieillit…bien mieux qu’un folio imprimé demain, dear JC.
Remonté dix posts du fil à l’empereur et pas vu trace de tkt.
Et tout ça sous la pub pour Hollinghurst, élu meilleur roman gay du siècle.
hurkhurk
U., Il y a des usurpateurs de pseudo comme il y a des personnes qui n’ont rien à faire sur un blog littéraire … et qui zonent sur le web.
Je vous fais un baiser sur le front ..
Comment ça, cela va exciter des jalousies ?
Le dernier de mes soucis.
Que les aigris frustrés et incultes aillent se faire voir ailleurs!
Ce ne sont quand même pas des ignares avec 2 de tension qui vont venir nous emmerder .
( NB: U. choisissez-vous une adresse mail même fantaisiste que vous communiquerai à PA, il black-listera ce qui n’y correspond pas .. )
toujours aussi fin et distingué quand il est à jeun le boudegras !
Phil dit: 30 novembre 2013 à 15 h 31 min
Remonté dix posts du fil à l’empereur et pas vu trace de tkt.
Regarde à 14h57, Phil, sous le pseudo Observatoire de D.bile. TKT est toujours à l’affût.
( mmm .. « vous communiquerEZ à PA » .. que vous communiquerEZ … il n’est pas exclu, très cher U., que tout en étant beaucoup moins diplomate que vous, je n’en sois pas moins efficace ..
Mais ce serait un autre sujet .. )
Merci Daaphnée.
Mais notre camarade JC est plus à plaindre que moi, hein.
Les idées de la droite radicale ont du mal à passer. Bah, vous avez raison, trop d’aigris et de frustrés.
Une adresse mail fantaisiste ? Pourquoi pas ?
Amitiés.
(Une précision tout de même : je crois que plusieurs posts signés u. ne sont pas de moi. Lu trop vite. Pas le temps de les relever.)
(Mais je sais que vous avez l’œil, Daaphnée.)
Les 100 premières années qui suivent le Louisiana Purchase, c’est de la géo-histoire dynamique, où l’homme est dans un rapport perpétuellement changeant au milieu qui l’entoure. Privilège du Nouveau Monde…?
u. dit: 30 novembre 2013 à 16 h 24 min
je sais que vous avez l’œil, Daaphnée.)
Ouf ! on n’en doutait pas mais on est rassurés.
Cher M.Court, je n’ai pas trop eu le temps de me pencher sur Napoléon révélateur du talent Hugo et des interrogations propres à Hugo, mais c’est en effet une piste à suivre pour interroger l’écriture et les processus de création .. la maturation d’une écriture ..
Une autre piste à suivre étant que quand l’époque, notre précédente – celle de Dada pour faire simple – etant propre à tout déconstruire; la suivante, propre à s’aplatir contre le mur – celle du « nouveau roman », misère ! – …..
La puissance inébranlable – la question du deuil, de l’espérance politique .. qu’importe les affinités, et de Dieu n’y changeant pas grand’chose, au final ..
Cette puissance du flot hugolien ,
quand même !
J’avoue ne pas m’en lasser,
Hugo me rassure et me repose.
Sur le Marquis de Morès :
Pierre Frondaie, L’assassinat du Marquis de Morès, 2010 Les Editions de La Reconquête.
Pierre Frondaie serait le pseudonyme de René Fraudet. L’ouvrage original a été publie en 1934.
rose dit: 30 novembre 2013 à 14 h 24 min
Voilà, les indiens se replient. Ils sont les plus forts.
Hindou ? Non, un dur !
La droite radicale ?
Non, je ne mange pas de ce pain là .
je choisirais d’avoir faim .
la droite « radicale » ?
la gauche « radicale » ?
Radicule !
Toutes ces notions qui ne veulent plus rien dire… !
Thierry la Taupe est bien là, caché… Manque de pot, un peu de son toupet dépasse. Marrant, l’artiste !
A ce moment là tous les chefs d’états européens sont esclavagistes, Marcel, sauf Bonaparte qui , je le répète,et n’en déplaise à Claude Ribes, l’abroge pendant les Cent Jours.
Au nom de ce genre de marotte mémorielle érigée en absolu a posteriori,on forge un outil d’épuration historique des plus discutables on peut évidemment condamner tout le monde, de Frnçois Ier via Colbert et Louis XIV jusqu’à 1848.C’est facile et bete. Mais très répandu par les temps qui courent.
Il me semble que les pages de Promontorium Somnii du Père Hugo sont une des plus belles reveries dont il ait honoré l’Astronomie et la coupole d’Arago.Et cela va autrement plus loin que les vers mirlitonesques cités plus bas.
Par ailleurs, Hugo n’est pas scientiste, vu ces rapports avec le Divin. Ne pas confondre avec Sully_Prudhomme, svp. Pour Hugo,matheux de formation, les grands hommes de Science sont pourtant englobés avec les Mages.ils sont dilatation de l’Homme et de son Hubris, émanation de « l’Esprit, Ouragan de lumière » contre l’Ouragan « souffle de la matière ». sachant que « Les songeurs sont des inventeurs ». A la condition de Promontorium Somnii; « Il faut que le songeur soit plus fort que le songe ». Comprendre, qu’il ne se noie pas dans la folie. Avec une habileté diabolique, Hugo entremele le thème scientifique à tous les autres.
« Puis après qu’ont fui dans un reve,
Bien des cours morts, bien des yeux clos,
Après qu’on ait vu sur la grève
Passer des flots, de flots, des flots,
Dans quelque grotte fatidique,
Sous un doigt de feu qui l’indique,
On trouve un homme surhumain
Traçant des lettres enflammées
Sur un livre plein de fumées,
La plume de l’Ange à la main
Il songe, il calcule, il soupire,
Son poing puissant sous son menton.
Et l’homme dit, je suis Shakespeare.
Et l’homme dit: je suis Newton.
L’homme dit: je suis Ptolomée;
Et dans sa grande main fermée
Il tient le globe de la nuit.
L’homme dit: je suis Zoroastre;
Et son sourcil abrite un astre,
Et sous son crane un ciel bleuit! »
La strophe vouée à Herschell qui termine la section VII peut paraitre faire exception, sauf que derrière Herschell chercheur d’Astres se dissimule Hugo chercheur de Dieu:
« Seul la nuit sur sa plate-forme
Herschell poursuit l’etre central
A travers la lentille énorme,
Cristallin de l’œil sidéral.
Il voit en haut Dieu dans les Mondes,… »
Et l’ultime section reprend ce mélange des Mages
« Surgis, Volta! dompte en ton aire
Les Fluides , noir phlégéton!
Viens, Franklin, voici le Tonnerre!
Le flot gronde, parais Fulton!
Rousseau! prends corps à corps la haine.
L’esclavage agite sa chaine;
O voltaire, aide au paria!
La Grève rit, Tyburn flamboie,
L’Affreux chien Montfaucon aboie,
On meurt…debout, Beccaria!
Et pour le cas ou l’on penserait que la rime seule guide la pensée, ceci, plus loin, très explicite.
« Près de la science l’art flotte,
Les yeux sur le double horizon.
La poésie est un pilote,
Orphée accompagne Jason ».
Ergo, demander au Totor national de célébrer un scientifique isolé ne tient pas debout, vu l’envergure du personnage, que vous semblez singulièrement méconnaitre ou en tous cas rapetisser.
MC
JC
Oui, c’est connu. Les éditions Charpentier vieillissent mal par leur papier très acide. C’est une calamité pour les Zola d’époque dont il a été peu tiré de Grands Papiers jusqu’à l’Assommoir., Le salon Charpentier, en revanche, mérite un souvenir reconnaissant pour le mécénat accordé à Renoir et à d’autres Impressionnistes. Il a trouvé son chroniqueur sous la plume un peu romancée de Michel Robida. Christie Paris est aujourd’hui dans les murs de l’Hotel Charpentier, au Rond-Point des Champs-Elysées…Et les tableaux, au Met, si j’en crois les cartes qu’il avait envoyé « à ses petits enfants, « pour qu’ils aient une idée du Salon Charpentier ».Je cite.
Bien à vous.
MC
Marcel, mon ami, mon cher ami, ne t’énerve pas pour rien, n’insulte pas pour rien … détends toi ! Pour toi, une petite blague, connue, logique quantique :
« Heisenberg se fait arrêter pour excés de vitesse. Sarcastique, le gendarme l’interpelle :
« Vous savez à quelle vitesse vous rouliez »
« Pas du tout » répond Heisenberg trés serein, « mais je sais exactement où je suis »
Court, qui est bien réveillé, dit: 30 novembre 2013 à 12 h 12 min
Merci M. Court.
Cet épisode de Champ d’Asile éveille ma curiosité.
J’ai lu cela, du Texas:
« The myth of Champ d’Asile took over after the collapse of the colony and the withdrawal of all the colonists. In Paris, artists and the liberal press opposed to Louis XVIII seized the image of Charles Lallemand and the unfortunate half-pay veterans depicted as soldiers of the plow. »
http://www.tshaonline.org/handbook/online/articles/uec02
Oui mais si on veut être fusillé et qu’on prend comme cigarette du condamné un Montecristo numéro un de vingt-trois centimètres, le peloton a le temps de s’endormir comme dans le général Alcazar…
Fin du jeu.
Quelques faux u. se sont glissés dans les commentaires.
Sauras-tu les reconnaître ?
Il n’y en aura plus. Ou alors ils ne seront pas de moi.
(Salut aux amis.)
Court, qui est bien réveillé, dit: 30 novembre 2013 à 17 h 02 min
Vous pouvez toujours traiter les vers de Jean Calbrix de mirliton, monsieur Court, rien à voir avec la purée calotine de Hugo que vous nous exhibez. Il avait encore trop baisé la bonne quand il a écrit ce délire.
Allez, rendormez-vous, c’est ce que vous avez de mieux à faire.
Passou,
Dans ma proposition matinale 8:24 d’organiser les JO de la RdL, j’ai oublié une épreuve sportive qui aurait du succès auprès de certains commentateurs : le tir.
Vous pouvez y penser ? Merci et bonne soirée !
Un humoriste professionnel a « retrouvé » (dans un livre…) un portrait photographique par Nadar de Jeanne Duval, maîtresse de Baudelaire. Et même deux.
http://www.oeuvresouvertes.net/spip.php?article2142
Pour trouver « la ressemblance frappante » avec les dessins de Baudelaire, il faut vraiment n’avoir jamais appris à regarder. Ou avoir la foi chevillée au corps. Mais laquelle?
Rien ne peut se fonder sur une absence aussi totale d’esprit critique.
Après avoir achevé « les Misérables », Hugo écrit William Shakespeare, ce shkespeare que son fils francois -Victor traduit si bien pendant des années sur ce bout de rocher anglais battu par des vents au milieu des vagues énormes l’hiver … ce WS est un texte autoportrait.. Texte d’ailleurs magnifique et pour rappeler ses habitations et notamment sa description de marine terrace à Jersey. V.H. y avoue qu’il se console de cet exil en regardant l’océan, et en relisant les grands génies : il ne cite absolument pas napoléon…par ailleurs relire ce « william Shakespeare » est ,comme toujours chez Hugo, source de plaisir du texte, voix proche et fraternelle , voix intérieure d’un grand voyant et d’un grand crépusculaire.. voix cependant si méconnue, aux accents émouvants avec un déferlement d’images somptueuses, mais aussi une pensée généreuse,, intime,apte à un rapprochement confidentiel avec le lecteur, prose elle-même consolatrice.
A propos de ces génies qui l’aident à rester sur le rocher de guernesey, voilà ce qu’il écrit dans « William Shakespeare » et qui s’applique bien à lui :
» Ce qui vous trouble, c’est qu’ils sont des hommes plus que vous ; ils sont trop des hommes, pour ainsi dire. Là où vous n’avez que la parcelle, ils ont le tout ; ils portent dans leur vaste cœur l’humanité entière, et ils sont vous plus que vous-même ; vous vous reconnaissez trop dans leur œuvre ; de là votre cri. A cette nature totale, à cette humanité complète, à cette argile, qui est toute votre chair et qui en même temps est toute la terre, ils ajoutent, et ceci achève votre terreur, la réverbération prodigieuse de l’inconnu. Ils ont des échappées de révélation, et subitement, et sans crier gare, à l’instant où l’on s’y attend le moins, ils crèvent la nuée. »
Il avait encore trop baisé la bonne quand il a écrit ce délire
décidément aprés conchita ,t’en pinces pour les amours ancillaire comme un ump honteux..fais donc ton coming aoute
ils sont vous plus que vous-même
ha c’est bien..c’est c’qu’il dit a la bonne et elle le croit..nous aussi..on est 3!
Rien ne peut se fonder sur une absence aussi totale d’esprit critique.
l’amour meusieu.l’amour..rien ne peut se fonder sans lui..pense à toi
la purée calotine de Hugo
..non mais quel con..hugo il a fait l’contraire de u..né réac, mort gaucho..les putes bossant gratos a son enterrement..ta conchita elle te frais jamais rien sans tes chèques emploi
bouguereau dit: 30 novembre 2013 à 17 h 57 min
Il avait encore trop baisé la bonne quand il a écrit ce délire
décidément aprés conchita ,t’en pinces pour les amours ancillaire comme un ump honteux..fais donc ton coming aoute
Holà le boug, c’est de la basse calomnie que de me traiter de hume pet.
un Montecristo numéro un de vingt-trois centimètres
faites l’amour pas la guerre..napo il l’a fait faire par les autes..il pleurait la veille des batailles il parait le fumier.. »pour ceux qui mourront demain »..sans déconner
Notre associée n’a pas à revenir sur une affaire de cigare géant, oubliée des Puritains.
Les grands hommes, souffrant de se sentir petits, ne pouvant exhiber dignement leur fier éperon d’étalon de salon, fument des cigares énormes…
La fourbe Albion n’hésita pas à faire courir le bruit que notre cher Napoléon, à sa mort, était minimaliste en son milieu, mal pourvu quoi, afin d’en rabattre de l’arrogance française.
En retour, une ancienne maitresse du Miteux n’hésita pas à traiter la gent masculine anglaise d’une expression diplomatiquement contestable (dans son ensemble) : « Les Anglais ? Tous des pédés ! »
Vengeance terrible.
Entente Cordiale oblige.
JC….. dit: 30 novembre 2013 à 16 h 56 min
Thierry la Taupe est bien là, caché… Manque de pot, un peu de son toupet dépasse. Marrant, l’artiste !
–
S’il revient, je m’engage à tenir des conversations constructives avec lui, et sur un mode agréable.
Il s’agit tout de même d’un véritable pilier de la RdL et son absence est cruelle pour beaucoup.
D.
Votre relation sadomasochiste avec TKT doit rester secrète !
Elle ne peut se dérouler librement sous les yeux de certains visiteurs de la RDL dont vous savez qu’ils retournent en enfance lentement mais surement.
Pitié pour les enfants innocents…!
Par ailleurs, j’ai des amis à Bora-Bora qui m’ont glissé qu’il portait avec distinction le bermuda à coquillages nonobstant le problème ponctuel rencontré avec un Bernard l’Hermite.
C’est entendu, U.
Nous promettons d’être discrets à l’avenir.
Bernard l’Hermite, le type des croisades ? Je croyais que c’était Jérusalem, pas Bora-Bora
bouguereau dit: 30 novembre 2013 à 18 h 13 min
le fumier..
Puis quand ça passait moyen il rentrait dare-dare… Pour lever des troupes ! Pour vérifier ce qui se passait à Paris… Après l’Egypte, après la Russie…
bouguereau dit: 30 novembre 2013 à 18 h 02 min
Range ton sermon. L’amour même requiert une part d’esprit critique. Cela dit je veux bien croire que tu aies été conçu sans la moindre trace d’esprit d’aucune sorte. Tu en donnes la preuve tous les jours.
Savez-vous, D., que j’ai dissuadé Marie Buonaparte de ne pas tenter la reconstruction chirurgicale de son clitoris ?
J’en parle puisque nous parlons de votre chère Thierry.
« L’amour même requiert une part d’esprit critique. »
Il requiert l’abandon absolu de tout esprit critique !
Marcel
« une purée calotine », les MaGES?
Dois-je vous rappeler la teneur du testament de Victor Hugo?
» je refuse l’oraison de toutes les églises.
Je crois en Dieu. »
Le Dieu hugolien, bien sur…
C’est ça que vous n’avalez pas?
« On ne force pas à boire un ane qui n’a pas soif », remarquez.
U doit savoir d’où vient ce proverbe.
Ah, c’est du Calbrix, ce dithyrambe astronomique? Je pensais à un élève de l’abbé Delille.Ou de la médiocre poésie Restauration.
Comment un contemporain peut-il écrire ça???
Parce qu’entre ça et Hugo…..La comparaison est dure!
Décidément, nous n’avons pas les memes valeurs.
Peut etre qu’en BD ça passerait.
ça s’appellerait les Aventures de Calbrix le gau… Ah, c’est déjà pris..
Alors en roman: Romain Kalbrix.
Non, c’est le fantome d’Hector Malot qui ne serait pas content.
Cherchons….Euréka! Mais pourquoi ne pas laisser cette œuvre à sa diffusion de chapelle? Elle s’entendrait dire moins de choses désagréables, vous seriez heureux dans votre Calbrixitude,sans Hugo, sans les autres, tout en en étant le spécialiste et Pontife incontesté.A vous ls Odes aux Télescopes, aux Prix Nobel de la¨Paix, à l’Annuaire du téléphone, et que sais-je encore?
En échange, comprenez que notre intérêt, à nous pauvres naifs qui avons lu les autres, les grands, n’égale pas nécessairement votre enthousiasme cultuel.
Réfléchissez .Vous verrez que j’ai raison.
Bonne soirée.
MC
PS
« Court est bien fatigué »
En quoi cette entrée bien connue de William Shakespeare, composé après les Contemplations, est-elle supposée ébranler les arguments précédents? « Il ne cite pas Napoléon », mais nous sommes sous le Second Empire et comment le ferait-il favorablement après Châtiments? Au demeurant, il est encore dans Nemrod écrit vers 1857 mais non publié avant la mort de Hugo sous la forme du Quatrième Aigle qui traine avec ses confrères, futures incarnations d’Alexandre, d’Annibal , et de César
« Comme ils allaient franchir la dernière nuée,*
Les montsnoirs qui gisaientsur terre,soucieux,
Virent le premier aigle escaladant les cieux
Comme s’il ne devait jamais en redescendre
Se tourner vers l’Aurore et crier-Alexandre!
Le deuxième cria du coté du midi:
-Annibal!Le troisième, à l’œil fixe et hardi,
Sur le rouge occident jeta ce cri sonore:
-César!Le dernier, vaste et plus terrible encore
Fit dans le sombre azur signe au Septentrion,
Ouvrit son bec de flamme, et dit: Napoléon! »
Présentation valorisante, si je ne m’abuse.
Par aillurs, on a dit et répété que les Funérailles de l’Empereur ne paraissent qu’après la chute du Second Empire dans la Légende des Siècles.Je suis désolé de dire que c’est faux. L’édition courante Louis Hachette des années 1860, dont j’ai un exemplaire les voit paraitre en annexe du Tome I.Admiration non reniée donc.
Ce qui est vrai, c’est qu’il n’est plus nécessaire comme relai à l’imaginaire Hugolien, à qui l’exil a procuré de tout autres dimensions. Après Expiation,il devient un thème mineur,ou l’Empereur est remplacé par son Armée -Les Misérables, Le Cimetière d’Eylau- mais en aucun cas Hugo ne reniera cette figure ou il s’est projeté. Son absence de William Shakespeare, livre consacré aux génies littéraires, ne prouve pas qu’il n’ait pas servi de thème d’inspiration amenant le poète à en dire beaucoup sur lui, au travers de la personne célébrée.
Bien à vous.
MCourt
Je ne crois pas qu’il paraisse dans l’ouverture des Misérables
MC
« L’amour même requiert une part d’esprit critique. »
la poésie aussi !
Benito Freud dit: 30 novembre 2013 à 19 h 12 min
Savez-vous, D., que j’ai dissuadé Marie Buonaparte de ne pas tenter la reconstruction chirurgicale de son clitoris ?
J’en parle puisque nous parlons de votre chère Thierry.
–
On me l’avait dit. Mais pourquoi cette négation ?
Monsieur Court, vous portez bien mal votre nom.
Je suis offusqué de ce que je lis cet après-midi.
Je n’ai jamais eu la moindre relation sado-masochiste avec « Thierry ». Je déteste ses agressions tout comme il déteste les miennes et je déteste également être obligé de me défendre lorsqu’il m’attaque, comme il l’a d’ailleurs fait sournoisement et de façon grossière aujourd’hui.
Thierry, si tu me lis toujours, en secret, envoie-moi un petit post à 20h 02 pile, avec le pseudonyme que tu voudras. Je saurai que c’est toi et j’en serai heureux.
Cher D.,
Croyez moi ! Le déplacement géographique de clitoris ou de populations, ne résout aucun des problèmes culturels sous_tendus par la demande !
D., dodo.
Madame Dédé,
A 56 ans votre enfant n’est plus un bébé, c’est un dédé : lâchez lui la barboteuse, svp !
Court, qui est bien réveillé, et récidive. dit: 30 novembre 2013 à 19 h 25 min
M. Court, je voulais vous remercier de vos interventions sur ce fil de comentaires.
Elles sont à la mesure de l’éloquence qui manquent à certains.
Et partant, remettent en lumière ce qui manquent à des historiens aux biographies « indétronâbles »:
L’esprit scientifique et la méthode de l’histoire littéraire de Gustave Lanson.
Merci aussi pour votre défense et illustration de l’Homme Océan.
Et à propos du grand Bill, histoire de rappeler les troupes, je voulais,- totalement hors sujet-, dire combien la prestation de Manuel Le Lièvre, dans » Un conte d’hiver » de Pineau s’est révélée être une pignoufferie sans nom.
ce qui manque,
à ma grammaire, of course !
D, pourquoi faut-il qu’en vous lisant ce vers d’Hugo me revienne en tete?
« Spectre par le regard, par la maigreur squelette »….
Brièvement.
MC
Des Journées
Oui, on peut tenter d’autres approches, et je l’ai fait, mais l’approche Lansonienne est effectivement à mes yeux indispensable pour ne pas dérailler.On peut la regarder comme un passage obligé. Et la laisser de coté expose à mon avis à de singuliers déraillements. Après, il ne s’agit pas de faire table rase d’autres acquis, mais de les fonder.
Bien à vous.
MC
Pour couper Court…
Hugo est un grand poète, ça c’est sûr, mais comme tout un chacun, il a eu ses hauts et ses bas. Tout n’est pas chef-d’oeuvre, et le pompeux produit sur naboléon le grand est détestable.
Par contre il eut, entre autre l’art, d’être grand-père avec un raffinement extrême :
Elle avait pris ce pli …
Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin
De venir dans ma chambre un peu chaque matin;
Je l’attendais ainsi qu’un rayon qu’on espère;
Elle entrait, et disait: Bonjour, mon petit père ;
Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s’asseyait
Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait,
Puis soudain s’en allait comme un oiseau qui passe.
Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse,
Mon oeuvre interrompue, et, tout en écrivant,
Parmi mes manuscrits je rencontrais souvent
Quelque arabesque folle et qu’elle avait tracée,
Et mainte page blanche entre ses mains froissée
Où, je ne sais comment, venaient mes plus doux vers…
Je cpoupe la suite parce que ça vire bondieusard.
Elle avait pris ce pli …
Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin
De venir dans ma chambre un peu chaque matin;
Je l’attendais ainsi qu’un rayon qu’on espère;
Elle entrait, et disait: Bonjour, mon petit père ;
Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s’asseyait
Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait,
Puis soudain s’en allait comme un oiseau qui passe.
Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse,
Mon oeuvre interrompue, et, tout en écrivant,
Parmi mes manuscrits je rencontrais souvent
Quelque arabesque folle et qu’elle avait tracée,
Et mainte page blanche entre ses mains froissée
Où, je ne sais comment, venaient mes plus doux vers…
Je ne parlerai pas de « L’homme qui rit » que j’ai lu à 15 ans, un régal.
La reproduction du poème d’Hugo dans le post précédent est indépendante de ma volonté.
Monsieur Court, vous êtes un jésuite doublé d’un sophiste. En affirmant que Napoléon a aboli l’esclavage pendant les cent jour (heureusement que le ridicule ne tue plus) vous mentez par omission puisque ce Napoléon l’avait rétablie au début de son règne car elle avait été abolie par les conventionnels en particulier Robespierre.
Par Florence Gauthier, Université Paris VII Denis Diderot.
S’il y eut rétablissement de l’esclavage dans les colonies françaises d’Amérique, c’est bien parce qu’il y avait été précédemment aboli. Cela s’était réalisé en deux temps en 1793 puis en 1794. Tout d’abord, la colonie de Saint-Domingue, où une insurrection des esclaves avait commencé depuis la nuit des 22-23 août 1791, parvint à déclarer l’abolition de l’esclavage le 29 août 1793. Six mois plus tard, la Convention montagnarde s’engageait à aider la Révolution de Saint-Domingue et élargit l’abolition à toutes les colonies françaises par son vote du 16 pluviôse an II-4 février 1794. Il faut savoir que cette histoire de l’abolition de l’esclavage, puis de son honteux rétablissement, a été l’objet d’une double occultation qui n’a commencé de se dissiper que très récemment, depuis environ une quinzaine d’années. Je propose donc de raconter cette histoire où se mêlent le pire et le meilleur de l’humanité en trois temps
Dites-moi, Court. C’est une déclaration de guerre que vous osez me faire ?
Vous savez à qui vous vous adressez, je suppose ?
En plus il commet des péché véniels devant des milliers de lecteurs à travers le monde.
Heureusement que Marcel a l’œil.
Qu’il reconnaisse sa faute et se repente, dans l’affliction et les larmes.
l’approche lansonienne…et que je me la pête…
approche lansonienne de mes deux, tiens. Tu sais où je me la carre, ton approche lansonienne ?
bonsoir ; j’ai quand même presque fini books vie privée
au reste
Si un type disait : « Je n’écris pas pour maintenant, mais pour dans 1000 ans », on le trouverait prétentieux. Alors qu’on pourrait tout aussi bien considérer que c’est ça, l’honneur d’un écrivain.
Marcel, nous sommes désormais unis pour une même cause.
Mon pauvre ami, dans mille ans, l’humanité sera totalement tombée sous l’esclavagisme de la civilisations extraterrestre qui nous infiltre de toutes parts. Y compris ici d’ailleurs, et je peux vous citer au moins trois noms. Vous tomberiez des nues.
Oui, vous avez bien lu. J’affirme que parmi tous les commentateurs réguliers, au moins trois sont des extraterrestres. Preuves à l’appui pour qui me les demandera en off.
Je vais bouffer ma pizza et je reviens.
C’est après avoir tué le dernier Indien qu’on se dit : «Tiens, ça pourrait valoir le coup d’étudier leur culture.» Le geste même d’écrire est devenu numérique. C’est là que je me suis dit qu’il y avait une alerte à lancer aux journalistes, aux écrivains, aux graphistes, cinéastes, musiciens – tous ceux qui utilisent le numérique pour créer.
Cela-dit, Marcel, si vous pouviez laisser les Jésuites tranquille, ce ne serait pas plus mal.
Ce sont des gens très bien qui ont fait de grandes choses à travers le monde. Ils ne méritent pas du tout d’être cités de cette façon.
Je vais bouffer ma pizza et je reviens..
C’est amusant, j’ai fait le 747ème commentaire.
Comme le boeing.
Bon je vais bouffer ma pizza et je reviens.
Les talonettes semblent avoir plus pour effet de faire oublier aux petits qu’ils le restent que de cacher aux autres qu’ils le sont …
Ma source, vérifiée, vaut bien la votre, Marcel, s’agissant de l’organisateur du Souvenir Napoléonien, et rédacteur d’une thèse sur Abatucci qui promet beaucoup.
Pour votre historique, j’ignore si c’est vous ou la Dame qui etes responsable de cette magnifique lapalissade « s’il y eut rétablissement de l’esclavage, c’est qu’il fut précédemment aboli aboli, ». ça c’est de la pensée, ou je ne m’y connais pas.
Seulement cela ne change rien au fait que rétabli en 1802 sous le Consulat, il est aboli par décret sous les Cent-Jours.Peut etre en prolongement d’un mesure semblable prise la meme année mais guère suivie d’effets, du Congrès de Vienne en 1815. Et les insultes gratuites de sophiste et de Jésuite n’y feront rien. Ce texte existe.
Maintenant, si vous voulez vous livrer à une relecture taubiranienne de l’Histoire de France, de celle qui nous impose une mystique expiatoire et commémorationniste aussi lourdingue que celle de la Restauration, sous forme d’une Journée de l’esclavage, si vous préférez La Case de L’Oncle Tom, c’est à dire la mauvaise littérature lacrymale pleine de Bonnes intentions d’Harriet Beecher-Stowe à l’homme du Code civil,du Consulat, de l’apaisement religieux, de la fin du délire révolutionnaire, et du Soleil d’Austerlitz,là, je dis que le plus étroit de nous deux n’est pas celui qu’on pense.
Bonne nuit.
MC
PS
Marcel toujours, parler de « l’Art d’etre Grand-Père » et citer un poème concernant non Jeanne mais Léopoldine, non la petite-fille mais la fille de VH témoigne pour le moins d’une lecture étrange et rabougrie du père Hugo…
MC
Ne prenez pas la peine de répondre à Court, Marcel, ça n’en vaut pas la peine.
C’est le genre de personnage qui sait tout sur tout, il faut qu’il ait raison; dites-lui qu’il a raison et il seer
sera content.
…
…tient,…une des rares » choses « ,…qui me plait en ce Napoléon Bonaparte,…c’est ses monnaies,…sa modestie » morale « ,…
…donc, sa numismatique,…dans la péninsule italienne,…et avant la famille de Sardaigne & de Savoie,… »…Napoléon Roi d’Italie,… »,
…etc,…
…on attend l’empereur d’€urope,…Zeus et sa vache,…avec un manteau d’azur semé de mouches à miel,…
…toussé pas les gars,…il y en a pour tout le monde de la bouse d’abrutis,…
…Sisi,…aussi entend des voix pour délivrer l’€urope et l’offrir aux Kaiser’s-Goll,…
…les intello’s,…bonsoir !,…etc,…
…
ΓΝΩΘΙ Σ’ ΑΥΤΟΝ – ŒDIPE ROI
Athena Artemis Phoibos (Apollon) / etc
Créon : ce qu’on cherche on peut le trouver. Cf MENON trigger.
Pénible de savoir quand savoir ne sert à rien.
Thème des sens. Tiresias aveugle dit : tu ne vois pas ton abjection. // cf MENON vertu
Thème du savoir. οι δι πους : le savoir des Hommes.
Sphynge qui interroge serre comme le Python et liée à révélation.
La contrainte de la persuasion ?
Œdipe gagne en répondant bien sans savoir que son personnage est tous les Hommes et sans savoir la signification de son nom, sans savoir que c’est déjà de lui qu’il parle : 4 ‘pieds’ parents par la naissance, 2 pieds (?) à l’age adulte, une canne d’aveugle LE SOIR.
Cf plus tard importance du pluriel soulignée.
Le bien ne se connaît que sur le long terme, un seul jour suffit à connaître le méchant.
Cf POPPER. — fondamental. Brisure de symétrie bien / mal ?
Rôle herméneutique des prétendus brigands. Cf hermès messager des dieux.
C’est l’esclave qui a connu et viendra révéler une partie de la vérité. Cf MENON.
ŒDIPE : c’est moi qui ai lancé contre moi les imprécations.
Cf MENON interroge et se retrouve piégé.
CHŒUR : la démesure . . . Tracé (Hubris)
Irrationnel des réactions et inceste œdipien = diagonale dans l’arbre généalogique.
Cf MENON nombre irrationnel (dilemme chez les grecs) et diagonale.
Le nom d’ANTIGONE et tous les jeux dessus :
γονευς parents
γονη,-ατμός : genoux, elle se met à genoux pour donner une tombe à polynice mais pas à genoux devant Créon.
γωνία angle et usage diagonale dans le doublement du carré chez Platon Menon.
Tension dramatique chez Œdipe se réjouissant de la mort du père qu’il n’a pas provoquée.
Si oedipe PSY signifie qqch c’est Polybe qu’il met en cause et non Laios.
Même si devenue poncif, cette antinomie nature / culture est permanente chez οι δι πους.
Problème moderne de la paternité avec disjonction BIOLOGIQUE vs CULTUREL.
Οι δι πους : les deux pieds / les deux pères ?
Arbre : 1 seul pied.
Arbre généalogique : 2 pieds père et mère.
« Doublement du carré » : dans la configuration Œdipe-roi 2 pères et 2 mères. Cf MENON.
Traversée des trois chemins, etc : interprétation classique vers la fin.
L0
L1 : scène chaude des agrafes.
L2 rev : apparition conscience et naissance de l’humanité (οι δι πους)
QUI A PU ÉCRIRE QQCH TELLEMENT COMPLEXE ?
Cette pièce est la plus belle du monde ?
Œdipe se veut aveugle et sourd. Cf Ulysse disjonction cyclope / sirènes ?
Scène primitive / acte et parole.
« Heureux on ne peut le dire d’aucun mortel avant le dernier instant ».
Cf Solon : « N’appelons personne heureux avant sa mort »
Et cf THT ou MENON ?
Encore une version de Popper (et notion de clôture) seult SI malheur est élément absorbant.
Il y a sous Popper un fondement logique / matériel . . . . . QUOI ?
Façon de relier la connaissance / logique et la morale.
Reprendre Menon même résumé : ça marche
EXEMPLE : la figure géométrique à considérer par la vue.
Ménon reproche à Socrate que cette définition de la figure (σχήμα ? ! ! !) est tributaire de la définition de la couleur (!). Il faut donc la définir.
Socrate propose une autre définition de la figure : La figure est la limite du solide : « là où le solide se termine » (! ! !).
Platon a été conçu vers/après la fin de la peste en 429/428.
Il fait référence à œdipe sur mystère de la naissance et parle de mémoire et de recherche.
Gainsbourg / Love on the beat
Une décharge de six mille volts
Vient de gicler de mon pylône
Et nos reins alors se révoltent
D’un coup d’épilepsie synchrone
MENON.-J’avais déjà ouï dire, Socrate, avant que de converser [80a] avec toi, que tu ne savais autre chose que douter toi-même, et jeter les autres dans le doute : et je vois à présent que tu me fascines l’esprit par tes charmes et tes maléfices, enfin que tu m’as comme enchanté, de manière que je suis tout rempli de doutes. Et, s’il est permis de railler, il me semble que tu ressembles parfaitement, pour la figure et pour tout le reste, à cette large torpille marine qui cause l’engourdissement à tous ceux qui l’approchent et la touchent. Je pense que tu as fait le même effet sur moi : car je suis véritablement engourdi [80b] d’esprit et de corps, et je ne sais que te répondre. Cependant j’ai discouru mille fois au long sur la vertu devant beaucoup de personnes, et fort bien, à ce qu’il me paraissait. Mais à ce moment je ne puis pas seulement dire ce que c’est. Tu prends, à mon avis, le bon parti, de ne point aller sur mer, de voyager en d’autres pays : car si tu faisais la même chose dans quelque autre ville, on te punirait bien vite du dernier supplice comme un enchanteur.
Puis Socrate parle de COMPARAISON alors que ce paramètre primordial dans l’identification d’une QUALITÉ ne fera l’objet d’aucun développement.
[80c] SOCRATE.-Je vois bien pourquoi tu m’as comparé.
MENON.-Pourquoi, je te prie ?
SOCRATE.-Afin que je te compare à mon tour. Je sais que tous ceux qui sont beaux aiment qu’on les compare : cela tourne à leur avantage ; car les images des belles choses sont belles, ce me semble. Mais je ne te rendrai pas comparaison pour comparaison. Quant à moi, si la torpille étant elle-même engourdie jette les autres dans l’engourdissement, je lui ressemble ; sinon, je ne lui ressemble pas ; car si je fais naître des doutes dans l’esprit des autres, ce n’est pas que j’en sache plus qu’eux : je doute au contraire plus que personne, et c’est ainsi que je fais douter [80d] les autres. Maintenant, quant à la vertu, je ne sais point du tout ce que c’est : pour toi, peut-être le savais-tu avant que de t’approcher de moi ; et à ce moment tu parais ne le point savoir. Cependant je veux examiner et chercher avec toi ce que ce peut être.
MENON
On objecterait trop facilement que la réminiscence du jeune esclave est manifestement PASSIVE dans le Μένων . . .
Platon est bien trop subtil pour n’avoir pas construit son dialogue DANS L’ATTENTE DE CETTE OBJECTION
comme le confirme le titre en forme de suffixe (???) des participes passifs en Grec.
? ? ? L’intention est donc de montrer la réminiscence comme passive. ? ? ?
Et Μένων évoque une forme neutre qui renforce l’impression de passif dans l’acquisition.
Opposée à la « recherche » qui permet de faire surgir cette réminiscence et elle est ACTIVE.
Cf opposé à la démarche active de recherche de connaissance dans le Banquet.
Concerne les maths et l’exercice de la pensée pure
(opposée à sciences expérimentales que Socrate a abandonnées)
même si elle est ILLUSTREE par un schéma
Hypothèse plutôt confirmée par les nombreux (plus que dans d’autres dialogues ?) vocatifs de Socrate ω Μενων : Menon qui ici interroge initialement attend passivement une réponse à la différence de Socrate quand il interroge. Menon veut jouer au plus fin avec Socrate d’ou image de la raie qui tétanise (. . . Menon dialogue très sexe. . .)
Et l’entree en matière de Menon au sujet de l’αρετή est brutale à la différence de Socrate qui amène en général doucement le sujet. Ironie (et explication etymo ?) sur le dieu de la guerre Arès (en grec ancien ὁ Ἄρης, τοῦ Ἄρεως (au génitif) / Árês, Áreôs) . . . dont le nom serait lui aussi de teneur ironique pour qualifier la guerre (cf dénomination des erinyes -> eumenides) ?
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Επεισθην = aoriste passif de πειθώ : persuader
http://www.lexigram.gr/lex/newg/επείσθην#Hist0
Ετυμολογία: [ eidon / eidolon vs eikoon
et le semi-paradoxe de είδος intelligible (forme aoriste) qui vient de οραω et mène a la CONTEMPLATION
Se « conjugue » avec μιμαω (?) / μιμνησκω (?) pour la mimesis (Rep) / remémoration (Menon) dans le sens top-down et pour l’idéation (Banquet) / idéation ( 2 pour 1 ? ) dans le sens bottom-up.
La voie montante et la voie descendante dans Mattei ? Tout ça est connu ?
Grec.be : 301. GÉNÉRALITÉS – L’aoriste (ἀόριστος = indéterminé), comme le présent, est un temps très fréquent, qui s’emploie à tous les modes : indicatif, subjonctif, optatif, impératif, infinitif et participe. L’aoriste est un temps secondaire, caractérisé par l’augment (A.) [230] à l’indicatif seulement, et par les désinences secondaires (dés. II) [222-225], à tous les modes sauf au subjonctif. L’indicatif aoriste a un sens passé et correspond plus ou moins au passé simple du français. On distingue différents thèmes d’aoristes
D’où ironie à la fois dans le son et dans le sens : eidos = aoriste d’orao
Etymologie TLFI pour aoriste est douteuse sauf lien sous jacent entre orao voir et χορ—- séparer ???
Encore proximité Menon-Phedon réminiscence et âme. Menon = préparation pratique de phedon.
La démonstration de l’ame diffère.
Et illustration dans Phedre ?
LE DAIMON DE SOCRATE
( http://remacle.org/bloodwolf/historiens/Plutarque/demonsocrate.htm )
C’est aussi et peut-être avant tout un jeu de mots :
δει : il faut – μων : ne/pas – le δαιμον dit : il faut ne pas : δει μων.
Perseus :
δεῖ from δέω1, to bind – I.c. acc. pers. et inf., δεῖ τινὰ ποιῆσαι it is binding on one to do a thing, one must, one ought, Lat. oportet, Hom., etc.:—rarely, δεῖ σε ὅπως δείξεις ῀ δεῖ σε δεῖξαι, Soph.: —rarely also c. dat. pers. et inf., there is need for one to do, δεῖ τινὶ ποιήσαι Eur., Xen.
2.c. acc. rei et inf., δεῖ τι γενέσθαι Thuc., etc.:—for the phrase οἴομαι δεῖν, v. οἴομαι:— when used absol., an inf. may be supplied, μὴ πεῖθ᾽ ἃ μὴ δεῖ (sc. πείθειν) Soph., etc.
II.(from δέω2, to want), c. gen. rei, there is need of, there is wanting, Lat. opus est re, οὐδὲν δεῖ τινός Hdt., attic:—phrases, πολλοῦ δεῖ there wants much, far from it; ὀλίγου δεῖ there wants little, all but:— in answers, πολλοῦ γε δεῖ, πολλοῦ γε καὶ δεῖ far from it, Ar., Dem.; πλεῦνος δεῖ it is still further from it, Hdt:— ὀλίγου δεῖν absol., in same sense, Plat.; μικροῦ δεῖν Dem.
2.with a dat. pers. added, δεῖ μοί τινος, Lat. opus est mihi re, Aesch., Thuc., etc.
3.with acc. pers. added, δεῖ σε προμηθέως Aesch.
III.neut. part. δέον, contr. δεῖν, absol., like ἐξόν, παρόν it being needful, quum oporteret, Plat.; οὐκ ἀπήντα, δέον, he did not appear in court, though he ought to have done so, Dem.; so, οὐδὲν δέον there being no need, Hdt.
II.for δέον, τό, as Subst., v. sub voce.
Et :
μῶν – contr. for μὴ οὖν, used like μή, in questions to which a negative answer is expected, but surely not? is it so? Lat. num? μῶν ἐστι . . ; Answ. οὐ δῆτα, Eur.: sometimes it asks doubtingly like Lat. num forte? and answered in the affirm., id=Eur.: — μῶν οὐ . . ; requires an affirm. answer, Lat. nonne ? Trag.
Mmmmmmm !
CHARASSSS!!!!!!!!!
Revenons à un sujet nauséabond, immonde,dramatique : le racisme !
Echec complet des manifestations contre un racisme qui n’existe pas, hier, en France. La théâtralité du petit nombre de manifestants souligne l’échec de cette vieille lune : é-ra-di-quer le ra-cis-me ! Flop ! Les Français n’ont pas suivi : ils ne sont pas racistes.
Eradiquez le chômage, bandes de ploucs incompétents ! Au lieu de ressortir les slogans d’un autre âge. Arrêtez de nous amuser avec le Mariage pour tous, la Prostitution, les interventions coloniales en Afrique, le Partage au lieu de la Création de richesses, la gabegie du secteur public et de Collectivités Territoriales !
Agissez la où il faut, c*nnards !
Faites votre boulot, au lieu de nous écraser d’impôts, bande d’incompétents économiques !Laissez tomber les amuse-gueules, on a faim, on veut du travail !
Passez un bon dimanche ensoleillé, mes petits choux farcis !
…
…coaching – manager à Napoléon-Dallas,…
…
…la pensée – unique des big-brother’s,…
…
…renvoyer l’ascenseur,…au paradis,…il fait trop beau pour travailler au Stalag 13,…allez chauffe Marcel c’est la crise,…
…sans sucres mes Expresso’s,…
…etc,…
Marisol Touraine et le prix des préservatifs :
« A cet égard, le gouvernement veut donner un signal fort : leur prix va diminuer. Au lieu d’augmenter au 1er janvier comme cela était prévu, le taux de TVA qui leur est appliqué va baisser de 7 à 5,5 %. »
Je suis souvent injuste : ça travaille dur sur les sujets sensibles… !
risretto, il caffè, Giovanni.
http://www.wga.hu/art/d/delaroch/8delaroc.jpg
« Arrêtez de nous amuser avec le Mariage pour tous, la Prostitution, les interventions coloniales en Afrique, le Partage au lieu de la Création de richesses, la gabegie du secteur public et de Collectivités Territoriales ! »
par le comique de service (JC)
où l’on voit dans quel programme électoral le pitre trouve ses « arguments » !
Court toujours dit: 30 novembre 2013 à 23 h 49 min
Seulement cela ne change rien au fait que rétabli (l’esclavage) en 1802 sous le Consulat…
Tiens, ce n’est toujours pas Napoléon, c’est le consulat (dans lequel il est consul à vie !) Monsieur Court va nous faire croire que le bonhomme a pris la Bastille, est à l’origine de la nuit du 4 août, de l’émancipation des femmes, de la Sécu, que sais-je ? En tout cas, si monsieur Court n’a pas cité un des points forts de la Convention pour replacer historiquement l’acte napoléonien des cent jours, c’est peut-être qu’il ignorait ce point fort, auquel cas il s’est livré à un mensonge par ignorance !
Merci pour Toussaint Louverture, assassiné en 1803 dans les geôles napoléoniennes, heu pardon, du consulat !
Allez, monsieur Court, allez relire Bug-Jargal
Exigeons, après le mariage des mêmes, le mariage zoophile !
Pénalisons les clients des putes !
Volons au secours des dictateurs africains !
Ne créons pas de la richesse économique !
Partageons, tous ensemble, la pauvreté !
Continuons à gaspiller l’argent dans des services public mal gérés !
Développons le népotisme et le clientélisme dans les collectivités territoriales !
Taxons ! Taxons !
Où l’on voit dans quel programme électoral notre honorable contradicteur trouve ses arguments : la Gauche Unie pour un vrai changement !
Spécial Marcel, sans aucun sous-entendu :
« Un mathématicien, un physicien et un ingénieur voyage à travers l’Ecosse et voient un mouton noir par la fenêtre du train.
« Aha, » dit l’ingénieur, « Je vois que les moutons écossais sont noirs. »
« Hmm, » dit le physicien, « Tu veux dire que certains moutons écossais sont noirs »
« Non, » dit le mathématicien, « Tout ce qu’on sait est qu’il y a au moins un mouton en Ecosse, et qu’au moins un côté de ce mouton est noir ! »
En France, l’esclavage n’a pas été aboli en 1848, mais en 1905. l’abolition de 1848 ne s’appliquait qu’aux territoire coloniaux contemporains. L’esclavage était encore pratiqué dans les colonies d’Afrique occidentale & équatoriale acquises sous Napo le petit puis sous la 3e République. Ce n’est qu’en 1905 qu’une nouvelle loi abolit toutes les transactions concernant la vent, le don, le legs ou l’échange de personnes humaines dans les territoires coloniaux.
Ce « humm charass » non sonorisé et à propos, par la magie des associations loi 1901 renvoie à Jack Nicholson dans Shining vraisemblablement en raison de la survivance des anciens en plancher comme un socle, une fondation qui n’échappe à personne, n’est-il pas vrai? quand l’accès reste ouvert.
« Les français n’ont pas suivi, ils ne sont pas racistes. »
Autre hypothèse: ils n’ont pas suivi, ils sont racistes.
Plus probablement, l’objet de la manifestation ne leur semble pas prioritaire.
On joue sur les mots, là !
Lorsque se vend une entreprise, marque, terrains, matériels et bodies, à un repreneur, les actionnaires capitalistes propriétaires vendeurs vendent bien les esclaves travaillant dans la société cédée, non !
Hurkhurk…
La rdl en état de siège, les campagnes et élections ne fournissant pas encore les surfaces appropriées aux prosélytes, nous voudrions voir prier l’équipage de regagner les locaux syndicaux afin de régler la plan de vol. Aucun détour, aucune dérogation ne seront accordés, la raréfaction et le cout du carburant n’autoriseront pas le voyageur à l’agrément.
« Lorsque se vend une entreprise, marque, terrains, matériels et bodies, à un repreneur, les actionnaires capitalistes propriétaires vendeurs vendent bien les esclaves travaillant dans la société cédée, non ! »
Voilà qu’il vire Front de Gauche… d’un Front à l’autre, vertige !
« … nous voudrions voir prier l’équipage… »
Revendication syndicale des pilotes de ligne ? Une salle de prière dans le cockpit ?
MCourt ou l’illusionniste de ce blog (quand même moins drôle que Garcimore !)
@9.46 … Et encore !…
En mars 1953, un ultime recensement des condamnés restants au bagne de Saint Laurent en Guyane fit état de 84 transportés, 52 relégués collectifs et 70 relégués individuels. Le dernier convoi de bagnards rapatriés eut donc lieu le 8 août 1953 sur le San Mateo. Vous nous direz, monsieur Léopold : « Mais, voyons donc, il ne s’agissait pas d’esclaves ! »… A quoi je vous répondrai : « Allons donc, ne jouons pas sur les mots d’une République jamais vraiment purgée de ses tendances impériales ou monarchistes »…
« une nouvelle loi abolit toutes les transactions concernant la vent »
ce qui rejoint les revendications syndicales des pilotes de ligne ?
Vous parlez de vol, Bérénice…
Et si Napoleone Buonaparte méritait le titre de « voleur européen » de grande envergure ? Et de « grand népotien » puisqu’il installait au Board des pays « libérés », ses frères et ses sœurs ? Et de « foutu tyran » puisqu’il ne voyait pas une Europe en dehors d’un Grand Empire centralisé à Paris, non ?
Quel voleur de nations génial, ce toscan de Buonaparte, …à admirer sans modération !
« Les mots ont toujours plus de pouvoir que le sens » Joseph Conrad
Provoc à quatre sous: un souhait, pas une prière.
LéoBloomPold dit: 1 décembre 2013 à 9 h 46 min
En France, l’esclavage n’a pas été aboli en 1848, mais en 1905.
Bon, assez pinaillé : disons qu’en France,jusqu’à présent, l’esclavage a été DEFINITIVEMENT aboli en 1905. Point barre.
Diagonal dit: 1 décembre 2013 à 10 h 20 min
Penser à rappeler à Diagonal qu’entre bagnard et esclave il y a une petite nuance.
Juridiquement et constitutionnellement aboli, après naquit Coluche qui inscrivit définitivement qu’il y a des égaux plus que d’autres.
« Les mots ont toujours plus de pouvoir que le sens » Joseph Conrad
Berenice tangue entre aéronautique et marine.
Bien dit !
Assez pinaillé !
Bon, disons qu’en France, jusqu’à présent, l’esclavage a été DEFINITIVEMENT aboli en 1905 et qu’il continue IMPERTURBABLEMENT sous d’autres formes, conjugales, capitalistiques, religieuses, politiques, culturelles, ethniques … (liste non exhaustive)
Pas seulement, j’ai mes moulins et je ne voudrais pas hatiser les dissenssions en évoquant Coluche qui j’en suis certaine est un pote à JC qui s’en servira pour critiquer Hollande qui lui non plus sans les budgéter n’abolit pas les resto du coeur, pas meme un signe du coté du premier ministère, on ne parle pas de pauvreté au conseil des ministres à croire que’elle est un des paramètres de cette géométrie qui commence à s’enfoncer dans l’invariabilité alors qu’elle semble installée sur la position essor.
Bérénice, le parcours de Coluche et le mien n’ont rien de commun : comme pitre, il avait du succès ! Par contre, comme assemblage réussi de cellules organiques, on finira de façon identique.
Moi, c’est comme Bérénice : j’ai voulu hatiser mon feu ce matin mais il n’a pas pris ; c’est un problème de dissension entre bûches.
… alors qu’elle semble installée sur la position essor.
Disons « décollage » pour rester dans le domaine aérien.
Vous attisez ma curiosité, hatiseurs !
N’avez qu’à mettre des buches de Noel ou des zélectriques, tout de suite flambera mieux. Imaginez la retraite de Russie, ce froid cette glace humide, j’ai lu d’un lien sur ce blog que si Napoléon n’avait pas hésité et retardé le départ pour convenances personnelles, les troupes n’auraient pas rencontré le problème de la Bérezina, ce me semble invraisemblable…
Je reviens sur ce post délaissé :
« Marcel dit: 30 novembre 2013 à 13 h 22 min
Monsieur Court, Hugo aurait mieux fait, vu son grand talent de poète, d’encenser un grand homme comme l’astronome Guillaume le Gentil plutôt que l’esclavagiste Bonaparte (en concubinage avec Joséphine, la négresse !) »
Mais Joséphine née en Martinique était plutôt du côté des colons dans l’ancien régime.
Ce à quoi, son « esclavagiste » d’époux ne fut pas insensible.
Il faut en effet faire abstractionn de toute notion de géopolitique et des forces en présence à l’époque, notamment anglaises et espagnoles , ignorer la position géographique de Saint-Domingue, ignorer le « pragmatisme » qui consiste à éloigner tous les généraux noirs pour préserver les colons, et le commerce… Et enfin ignorer la lettre de Bonaparte aux habitants de Saint-Domingue.
Bref, il faut ignorer tout cela, pour commémorer universellement aujourd’hui la journée contre l’esclavage, avec le Parti des idées franco-françaises.
Et même pas un petit poème d’Aimé Césaire pour célébrer toussa, euh, le général Toussaint Louverture ?
Allez Marcel, please !
Marcel, à voir la vie en noir et blanc, comme vous le faites, gaffe, le racissme, ici, n’est pas seulement là où on le pense !
Commémorations ?
Indispensable !
…Une Journée contre l’Esclavage, une Journée contre les Accidents de Voiture, une Journée contre la Misère, une Journée contre l’Enculage de mouches, une Journée contre la Burqa, une Journée pour les Blancs, une journée contre la Faim dans le Monde, une Journée pour les Noirs, une Journée contre …
>des journées entières dans les arbres dit: 1 décembre 2013 à 11 h 18 min
Je reviens sur ce post délaissé :
Oh oh…Vite dit : j’ai envoyé les trois îlets et son prénom Marie Josèphe Rose. Si ce n’est du soutien, qu’est-ce ?
Et juste avant, je l’ai regardée avec ses robes empire, ceinture sous les seins, ses petites bouclettes sur le front et les tempes ; j’ai compris pourquoi il a levé le verrou, mais je n’allais vous parler chiffons !
bérénice dit: 1 décembre 2013 à 11 h 09 min
Napoleone n’était qu’un homme, donc commettant des erreurs. En Egypte, d’abord … mais faire la guerre « hors saison » en Russie, trainer à Moscou fin septembre !… un truc que Sun Tzu qui attaquait au printemps n’aurait jamais cru possible. Et ces putains de cosaques qui vous font passer une Grande Armée de 600.000 hommes à quelques dizaines de milliers…
Un voyou, un tueur, un criminel, le Corse ! Qu’attend on pour le juger rétroactivement ?
>JC je rajouterai bien à ta liste de ceux à qui il est temps de foutre la paix, les singes. Ce matin, l’empathie chez les bonobos qui partagent leur gamelle et qui tendent un râteau au copain à qui la bouffe est inaccessible. Sur F Cul. Copain qui après partage. Je me demande qui cela fait rire.
Je sais pas si les singes eux s’amusent.
Surtout n’y voyez pas de malveillance de ma part, mais WWI s’éloignant, le 11 novembre 2014 ne pourrait-on commémorer le succès présidentiel de 2013 sur les Champs Elysées ?
11 novembre 2014 : « Journée de la Berezina » ?…
@jean calbrix dit: 30 novembre 2013 à 19 h 34 min
« L’amour même requiert une part d’esprit critique. »
la poésie aussi !
Je soutiens : et dans le roman itou, & les nouvelles & les fresques historiques ; mais entre adultes consentants pas mal de liberté attribuée. Toute, même. Chacun n’a qu’à savoir ce qu’il veut. Et ce qu’il ne veut pas.
Bonjour,
Pfff
@jean calbrix dit: 30 novembre 2013 à 19 h 34 min
« L’amour même requiert une part d’esprit critique. »
la poésie aussi !
Je soutiens : et dans le roman itou, & les nouvelles & les fresques historiques ; mais entre adultes consentants pas mal de liberté attribuée. Toute, même. Chacun n’a qu’à savoir ce qu’il veut. Et ce qu’il ne veut pas.
Bonjour,
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