Chaneliser en équipage pour la plus grande gloire de Coco
Etrange ce sentiment qui nous prend à la lecture d’un livre lorsqu’on « sent » qu’il a été écrit à la lumière d’un autre. Rien à voir avec le plagiat, la copie, le décalque, ni même l’imitation. On a juste l’impression qu’il en a été secrètement nourri sinon irradié. Le cas en lisant Notre Chanel (276 pages, 20 euros, Bleu autour) de Jean Lebrun. Il en fait d’ailleurs l’aveu à la page 87, sous forme de reconnaissance de dette, en citant l’influence de Misia (1981, repris en poche chez Folio), récit à deux mains qu’Arthur Gold et Robert Fizdale avaient consacré à la muse et égérie Misia Sert. Un modèle revendiqué tant dans l’écriture que dans la méthode. Outre le genre littéraire, l’époque et le milieu traité, les deux livres ont en commun d’avoir été écrits par un couple d’hommes. La précision vaut plus encore pour Notre Chanel car cette particularité s’inscrit dans le titre même : « leur » Chanel, c’est celle de Jean Lebrun et de Bernard Costa. Lancés en 1988 sur les traces de la géniale créatrice pour écrire une biographie classique, ils ont vu leur projet se métamorphoser sous leurs yeux avec la disparition progressive de l’une des deux plumes. Séropositif, Bernard Costa été emporté par le mal en un temps pas si éloigné où le mal tuait encore.
C’était en 1990 et il avait 35 ans. Il eut le temps de lui murmurer une seule fois : « Le son de mon amour, tu ne l’entendras jamais d’un autre ». Et de lui répéter en une douce injonction : « Dis, notre livre, tu l’écriras ? ». Plutôt que de se murer dans un chagrin mutique, son compagnon s’est d’abord jeté dans le travail (il fut longtemps l’une des grandes voix de France-Culture et l’est désormais à France-Inter) ; mise de côté, la grande mademoiselle attendait ; jusqu’à ce que le survivant du tandem se résolve à la sortir du tiroir, le jour où il comprit qu’en substituant Notre Chanel à Chanel, il raconterait leur aventure commune sur ses pas et ferait revivre l’aimé disparu même si, on le sait bien, rien ne console car rien ne remplace. Il écrirait mais, dès lors qu’elle ne pouvait plus être menée à deux, l’enquête était close. Et puisque son esprit même faisait un pas de côté, la forme du livre l’épouserait. Plutôt qu’un récit chronologique, et quoique agrégé d’histoire et producteur de l’émission « La marche de l’histoire », Jean Lebrun se livre à une manière de « Chanel, lieux de mémoire ». Des maisons, des boutiques, des châteaux, des hôtels. Autant de balises dans la nuit.
Ce récit à l’écriture très tenue a quelque chose du road movie –mais comment les Américains disent-ils lorsqu’il s’agit d’un livre et non d’un film ? Cela ne relève pas du travel writing car ils ne voyagent pas : ils se déplacent, « chanélisent en équipage », dans un but bien précis et rentrent aussitôt constitué leur butin d’impressions, de choses vues, de propos rapportés, d’informations de leur voyage en France, pays que Jean Lebrun connaît bien pour l’avoir longtemps arpenté en tous sens micro à la main. Qu’importe puisque l’idée s’impose dès les premières pages comme s’impose d’emblée l’évidence qu’on ne lira pas une biographie prétendument définitive, il en existe déjà tant consacrée à Gabrielle Chanel dite Coco (1883-1971). Pas question de rivaliser avec les journalistes Isabelle Fiemeyer, Marie-Dominique Lelièvre ou Hal Vaughan quitte à leur emprunter telle ou telle révélation ; pas question non plus de défier sur leur terrain les écrivains Louise de Vilmorin, Paul Morand et Edmonde Charles-Roux, quitte à s’inspirer de tel ou tel de leur trait.
Il faut croire que la collection « L’un et l’autre » de J.B. Pontalis a fait école car on sent bien que son esprit a imprégné Jean Lebrun au moment de l’écriture. Sauf que là, c’est plutôt « L’une et les autres ». Les cyniques, qui voudront y voir un procédé applicable à n’importe quel artiste, seront refoulés dès les premières pages, lorsqu’ils ont compris que ce ne pouvait être qu’elle car elle était la fée de Bernard Costa, personnalité hypersensible, enfant malheureux à jamais, qui ne vivait que pour la mode. Nous ne sommes pas dans un « Parce que c’était lui, parce que c’était moi » version Marais, mais dans le registre de Boris Kochno lorsqu’on le pressait d’expliquer le lien puissant qui l’unissait à Christian Bérard : « On s’entendait, voilà tout ». Et tout est dit.
De toutes façons, dans le labyrinthe des archives et des témoignages, il n’est pas de meilleur guide que l’instinct pour comprendre celle qui fit du noir une couleur en décrétant au tout début des années trente avec le succès que l’on sait : « Mettez une petite robe noire dans une salle brillant d’un faux éclat, on ne verra qu’elle ». Il fallait oser, à condition de ne pas oublier que celle qui eut le génie de ne pas faire des robes mais de faire la mode savait être aussi « une atroce emmerdeuse. » Elle s’en justifia en rappelant que la solitude avait trempé son caractère. Cela affleure dans les souvenirs. De plus en plus tyrannique à mesure qu’elle s’isolait. On lui doit aussi la mode des peaux bronzées, la libération du corps de la femme par l’abandon de la taille, la résistance absolue à la minijupe (un principe non négociable : jamais au-dessus du genou), un tailleur de tweed devenu un uniforme avant d’accéder au rang de classique ( veste à quatre poches, boutons-bijoux, blouse de soie dans le tissu de la doublure, chaussures bicolores, sac matelassé à chaîne), un style sobre mais pas dépouillé grâce aux indispensables accessoires (à condition de toujours enlever le dernier qu’on a ajouté, soulignait-elle), l’invention d’une silhouette et un art de vivre largement inspiré de José-Maria et Misia Sert, quoi qu’elle en ait dit. Nul mieux qu’elle n’a illustré la réflexion de Cocteau selon laquelle un vêtement est une idée qui flotte autour d’un corps. Elle disait : « Si une femme est mal habillée, on remarque sa robe mais si elle est impeccablement vêtue, c’est elle que l’on remarque ». Elle disait aussi que la mode se démode, mais le style, jamais. Et elle l’a prouvé.
Ce livre rend justice à toutes les Gabrielle en Chanel. S’y impose avec éclat la conviction que l’historien est un témoin de témoins, ce qui est aussi une réponse au vers de Paul Celan déplorant que nul ne témoigne pour le témoin. On suit Boris Kochno, l’homme qui avait le don de tout poétisier, survivant des Ballets russes de Diaghilev ; Etienne Balsan, homme du monde, officier & gentleman, qui le premier la repéra et l’inventa ; André Palasse, son neveu, plus important que le fils qu’elle n’a pas eu ; la fille d’Henry Bernstein, souverain du théâtre parisien ; Madame Madoux dont le mari fit toute sa carrière au sommet de la maison Chanel ; Paul Iribe « hélas » car le vieux renard argenté, comme l’appelait Colette, exercera une néfaste influence sur la maison de la rue Cambon, où il s’était introduit à la faveur de la crise des années 30, précipitant le différends de Coco avec les Wertheimer, copropriétaires de ses parfums ; et d’autres encore, plus surprenants, tel son poulain Robert Bresson, dont il est dit ici qu’elle l’a couvé et inspiré, mais c’est peut-être un peu trop solliciter les faits, et enchaneliser le cinéaste, que de chercher absolument à voir la patte de Coco dans Les Anges du pêché (un monastère de femmes, comme elle en connut…) et dans les Dames du bois de Boulogne (dont le personnage-clé joué par Maria Casarès serait inspiré d’une certaine reine de la couture…). En tout cas, ce n’est jamais en vain. Embarqués dans son aventure sentimentale avec l’un des grands ducs Romanov, un amant plus jeune qu’elle pour une fois, on découvre au bout de la piste que l’illustrissime parfum No5, par ses surgeons et ses fragrances, relève d’une veine russe
Parfois de drôles d’endroits pour des rencontres. On y croise un certain Marcel au cou tatoué par un « Pas de chance » et dont, nous assure-t-on, « l’apparition terrifiante dans une pièce suffisait à éteindre les bougies ». On y retrouve même l’un des commentateurs fous de la République des livres : « D., un repris de justice à moitié interdit de séjour : il était de notoriété publique qu’il avait contraint Boris à achever son grand livre sur le ballet en lui brisant la cheville, l’immobilisant ainsi derrière son bureau ». Moulins, Vichy, Pau et la rue Tire-Boudin à Paris en s’attardant là où il le faut à cause d’un détail, d’une couleur, d’une odeur. Pareil pour les personnages. Tous ceux qui ont compté. Pas d’ellipse sur l’Occupation, et sur l’homme d’influence de l’Abwehr qui la mit dans son lit, le baron Gunther von Dincklage qui alla jusqu’à l’enrôler dans son service, pendant que la société de ses parfums était aryanisée, et les Wertheimer éjectés.
On ne comprend rien à Chanel si on ne passe pas par la case Pierre Reverdy, le proche le plus proche, poète dont jamais les livres ne quittèrent son chevet, notamment Cravates de chanvre illustré par Picasso et Epaves du ciel, ornés de tendres dédicaces à sa chère Coco. Et peu importe si elle a traversé l’exode au volant d’une Cadillac ou d’une Talbot car c’est dans le doute entre les deux que se réfugie la poésie du récit, et non dans la vérification d’un fait. Elle avait réalisé les projets et satisfait les goûts de l’enfant qu’elle fut et qu’elle conservait enfouie dans sa part d’ombre, avec le lieu de mémoire où tout a commencé et qu’elle répugnait à nommer : l’orphelinat catholique de l’abbaye d’Aubazine près de Brive, tenu par les religieuses du Saint-Cœur de Marie, auxquelles son père la confia à la mort de sa mère.
On aura compris que Notre Chanel est un poignant et lumineux récit plein d’allers et retours entre elle et eux, sa vie, leurs vies et d’autres vies que les leurs. Il est ponctué de concordances plutôt que d’analogies. Ainsi sur les années de guerre que Jean Lebrun rapproche des années où le milieu de la mode, dans lequel évoluait son compagnon, était décimé par le Sida, et où les malades et leurs amis avançaient en commando dans les champs minés de la pharmacologie. La guerre avec ses moments de désespoir et de solidarité, de fraternité et de découragement. A l’instar de René Crevel, le compagnon disparu avait souhaité : « Prière de m’incinérer. Dégoût » Mais il avait été jusqu’à préciser que ses cendres devaient être non déposées au colombarium mais jetées à la voirie. Ce récit, pétri d’émotions mais dénué du moindre pathos, est son tombeau. Pour que son nom reste quelque part et que sa vie n’ait pas été vaine. Après une telle résurrection par les mots, on peut mourir tranquille.
(Portrait de Gabrielle Chanel dans sa suite de l’hôtel Ritz, par Henri Cartier-Bresson; autres photos D.R.; quant au vitrail de l’abbaye cistercienne d’Aubazine, si cela ne vous rappelle rien…)
583 Réponses pour Chaneliser en équipage pour la plus grande gloire de Coco
« Equipage » c’est Hermès,
Ya une différence merdre.
C’est à qui d’ouvrir le bal?
On ne comprend rien à Coco, si on n’est pas au parfum.
http://www.youtube.com/watch?v=mGs4CjeJiJQ
Je crois que cette fois je suis réellement fou de vous, Bérénice. Je pense à vous jour et nuit, j’en oublie TKT. Que faire ?
Je n’ai jamais beaucoup aimé cette Coco Channel, pour plusieurs raisons. Ses parfums sont de qualité, mais je n’aime pas trop ce qu’ils évoquent. Cela-dit je me suis déjà forcé à en offrir à des femmes, qui ne me l’ont jamais rendu d’aucune façon que ce soit, j’ai donc décidé qu’on ne m’y reprendrait plus de sitôt. Et j’ai tenu bon jusque là.
Bérénice, Pierre Assouline le dit lui-même en personne : je suis fou de vous. C’est qu’il a bien dû se rendre compte de quelque chose.
Jean Lebrun: un immense talent, et une voix…
Les anges du …pêché. Diable, ôtez ce fruit, dear passouline.
Comme le temps passe. voilà enfin un récit qui replace les amours guerrières de Madame Chanel dans son juste goût pour le gradé d’outre..rein.
Il vient donc le chiendent (pose guerrière)
Mode ?
ça fait gros livre TASCHEN très cher
Faut prendre le numéro seize en eau de parfum, c’est assez économique… Au pire on le boit !
Je viens de rajouter un Post-Scriptum à mon billet sur Mark Rothko
« se murer dans un chagrin mutique » : corboeuf on n’arrive jamais à savoir si c’est explicitement volontaire ou non… Vaste sujet que celui des assonances & allitérations…
Passou 23h02
Est-ce bien raisonnable d’écrire une somme sur un personnage qui s’est suicidé alors qu’à titre personnel on a des difficultés « face à ce genre de situation ».
Tout est inévitablement faussé.
Le mieux est donc de s’abstenir, sauf si bien sûr, comme dirait JC, les impératifs économiques sont incontournables.
Défaut de P.S. ?
Oh que non !
Pierre, il est très beau
Sergio en Lorraine vous avez une eau de vie de mirabelle qui devrait vous éviter d’en arriver là. Des Chanel je ne connais que le numéro 5 en eau de parfum qui va jusqu’à débusquer comme une madeleine les souvenirs d’une petite et fort lointaine enfance, la fille du percepteur, la fumée des cigarettes blondes au Cheval Blanc, le pot au lait qu’il nous fallait monter au château, la dentelle blanche des quêtes à la messe du dimanche.
Bérénice, Pierre Assouline le dit lui-même en personne : je suis fou de vous. Ecoutez D cela vaut mieux que d’être fou tout court, c’est ce que je me dis pour me consoler de votre absence aussi récurrente qu’un grattoir standard scotch brit.
Chanel aurait sûrement choisi TKT plutôt que dédé la sardine.
« On ne comprend rien à Chanel si on ne passe pas par la case Pierre Reverdy »
Euh, la case Wertheimer peut-être ?
Ah la réécriture de l’histoire !
Qu’elle est belle.
Chanel aurait sûrement choisi TKT plutôt que dédé la sardine
Tu sous-entends que TKT n’est rien sans dédé la sardine ? Tu ne serais pas un peu mufle ?
bérénice dit: 26 mars 2014 à 23 h 22 min
le numéro 5
C’est beau. Mais c’est lourd que faudrait huit mains à le porter… Et alors nous, la mirabelle, on l’offre parce qu’alors elle aussi est sucrée comme un Steinway… On torche la vodka en cuisine sous les bombes…
Bérénice, je n’aime pas qu’on me prenne pour ce que je ne suis pas. La sanction tombera : je ne commenterai plus jamais ici à partir de maintenant. Pour tout vous dire, ce blog ne m’a jamais beaucoup intéressé mais j’avais des messages à faire passer et je constate, avec presque dix ans de recul que ma mission est accomplie. C’est donc la fin, ce mercredi 26 mars 2014, lendemain de la fête de l’Annonciation.
Tu sous-entends que TKT n’est rien sans dédé la sardine ?
Ben non.
TKT est TOUT avec, son bichon, ses Bata, ses pulls jaune d’or et son jean avec le pli devant.
TKT est TKT, épicétou.
C’est beau et c’est cher, Sergio. Elles ne le méritent pas. Aucune d’entr’elles. Je préfèrerais encore offrir du Jean-Paul Gautier à un homme, tiens. Mais je ne le ferai pas, ce ne serait pas convenable.
http://mariedelatrinite.org/25-mars-fete-de-l-Annonciation.html
Avant de vous quitter, je vous donne quand même un indice.
Voilà, j’aime la course et les gros moteurs, c’est pourquoi j’ai choisi cette photo trouvée sur le net.
ΣURÊKA
Joe dassin – Les Champs Élysées
http://www.youtube.com/watch?v=M4C6cqo4EjY
Je trouve que ça va bien
Marché des sentiments
Dans le marché des sentiments,
On trouve tout, émois et haines.
C’est grand profit pour les marchands
Dans le marché des sentiments.
Ils fomentent des différends,
Et les étalent sur les chaînes.
Dans le marché des sentiments,
On trouve tout, émois et haines.
Jean Calbrix, le 27/03/14
AVIGNON – Pour en finir avec Olivier Py
-Comme individu, trois grossières erreurs de jugement *:
1/homosexuel
2/catholique
3/gauchiste
-Comme Directeur de Festival, trois défauts majeurs rédhibitoires** :
1/impulsivité imprudente
2/engagement politique inapproprié
3/indépendance culturelle bafouée
*positions parfaitement admissibles
**comportements totalement inadmissibles
…son aventure sentimentale avec l’un des grands ducs Romanov, un amant « Plus » jeune qu’elle pour une fois, on découvre au bout de la piste que l’illustrissime parfum No5, par ses surgeons et ses fragrances, relève d’une veine russe…
Beau billet, Passou, travail bien fait.
Superbe vitrail cistercien de l’Abbatiale où Gabrielle traina une partie de son enfance : symbolique d’un vivre ensemble harmonieux dans la foi du Christ … logo inspiré, Logos perdu.
Je confirme, je vais bouder la RdL.
Je ne me suis jamais fait traiter de fou, même pas par mon psychiatre.
Il m’a expliqué, que j’ai des problèmes de personnalité.
Je suis trop riche en personnalités.
D. dans cette grimerie, quel personnage aireriez-vous jouer ?
– Dimitri Pavlovitch Romanov
– Serge Diaghilev
aimeriez
D. le grand duc a eu une vie pleine de rebondissements.
Aperçu ce matin une mouette solitaire particulièrement belle, ce qui me fit immédiatement penser à Najat Vallaud Belkacem, tant son vol était superbe, élevé, élégant …
Las ! une fois au sol, il a suffit qu’elle ouvre le bec pour que le bruit lamentable qui sortait de sa gueule me ramène à la réalité : bel oiseau, pitoyable chant !
Il y a un hold-up sur le flacon Coco, et ça, ça me botte moyen.
« leur » Chanel.
Ainsi soient-ils.
« le bruit lamentable qui sortait de sa gueule me ramène à la réalité : bel oiseau, pitoyable chant »
Tu te projettes, ça t’fait du mal
un vivre ensemble harmonieux dans la foi du Christ …
gros cochon de jicé, va
Ah, Aubazine, quel merveilleux endroit dont une grande tante de ma compagne fut Sœur Supérieure, Passou!
Je m’en vais me renseigner sur son nom et à quelle époque elle exerça son magistère, peut-être à l’ époque de Coco Chanel?
… J’avais dans les yeux le film sur la liaison entre Chanel et Stravinsky, le billet de notre hôte ouvre des horizons encore plus larges… J’ai longtemps écouté jean Lebrun, une des plus belles voix d’homme que je connaisse, mais une propension à chausser des lunettes religieuses pour regarder le monde, enfin je trouve.
Et puis, une anecdote perso. Sur l’étagère de ma salle de bains, des flacons de parfum (je les garde, même vides) sont rangés. A gauche, les parfums d’homme. Toutes les bouteilles sont parallélépipédiques, carrées d’épaules, massives. A droite, les parfums de femme. Toutes les bouteilles sont rondes, renflées, sinueuses et enroulées.
J’ai mis au milieu la n°5. Incontestablement féminine, et pourtant… Carrée. Géniale, indémodable, incongrue et pourtant indispensable…
Être traité de commentateur fou, ce serait plutôt une manière de compliment ddans la bouche de Passou, D., le plus problématique, voire diffamatoire, se situe dans la suite :
« On y retrouve même l’un des commentateurs fous de la République des livres : « D., un repris de justice à moitié interdit de séjour… » !
Le savoir-faire d’une sorcière.
Un logo tombé dans le caniveau.
Confondre gloire et notoriété
ne sort pas du bazar
la marque déposée.
Déclassement.
jc la voix c’est super important
Mademoiselle Chanel, notre plus belle exception industrielle française, styliste et couturière de talent, mécène de bon goût, qui participe à sa manière singulière au rayonnement mondial du génie héxagonal, n’a toujours pas une place, un jardin, une rue, ni même une impasse à son nom à Paris !
Qui de NKM ou Anne Hidalgo réparera cet oubli ?
J’ai vu hier soir à la télé un film qui s’appelle « Little Odessa ». C’est une histoire de Juifs. Question moralité, on fait mieux. Je n’ai jamais, jusqu’au jour d’aujourd’hui, rencontré de Juifs en chair et en os, mais ça ne me donne pas envie d’en connaître. Surtout le coup du four crématoire, alors là, ça m’a tuer. C’était Adolf à Brooklyn.
Ce qui est excessivement gênant dans le propos de Passou sur :
« D*., l’un des commentateurs fous de la RdL »
c’est le pluriel … Qui sont les autres ? Et la parité est-elle respectée, dans cette liste ? J’en doute.
*D n’est pas fou, d’ailleurs : c’est un génie qui nous dépasse. Il raisonne dans une logique non euclidienne, non cartésienne, mais tout à fait hyperbooléenne, ce qui devrait ne pas nous surprendre, car c’est la logique de nos Maîtres…
… A mon sens, TOUS les commentateurs de la Rdl (dont votre humble servante) sont givrés grave. Les sains d’esprit ont pris la poudre d’escampette depuis un bail… Les demi-fêlés (comme la Mauvaise Langue) ont fait un pas de côté. Ne restent que les authentiques désaxés. Pervers à ma droite, masochistes à ma gauche, abasourdis au milieu, mais tous partageant un point commun : moitié dans leurs godasses, et moitié à côté…
Ce qui semble fou, c’est votre blogue inaccessible, Clopine !
Jacques Barozzi dit: 27 mars 2014 à 8 h 59 min
Qui de NKM ou Anne Hidalgo réparera cet oubli ?
Comment ce fait-il que vos demi-dieux Chirac et Tibéri ne s’en soient pas chargés ?
Manifestement, se qualifier d »humble servante » est la double confirmation des symptômes du dérangement cérébral de la normande… Humble ? Servante ?…Pffff !
cqfd : jc.
Jacques,
La Clopine monumentale s’est enfermée dans sa Tour du Blog.
Dame ! elle est suffisamment dérangée pour ne pas être dérangée par des tiers. Elle scrute l’horizon, tout en haut de la tour, sous une pluie fine, désespérante, et les yeux fermés sûre de ses choix, elle ne voit toujours rien venir, ni partir …
Jacques Barozzi, mais pas de plaque de rue non plus, pour Worth et Paul Poiret. Pour Coco Chanel, la rue Cambon est devenue sa rue.
Dans mon lit, en arrosant mes oliviers sur mon balcon, je ne suis habillé que par le « 5 ». Pour aller au bureau, je m’asperge du parfum « Opium », j’adore les odeurs lourdes.
Je me lave avec du savon de Marseille à la vanille.
« dérangement cérébral de la normande »
jc est daaphnée
Probablement, Squares et jardins, parce que nous avons la droite et la gauche les plus connes du monde ?
En ce qui me concerne, et contrairement à JC, ni Dieu ni Maîtres…
« Comment ce fait-il que vos demi-dieux Chirac et Tibéri ne s’en soient pas chargés ? »
trop occupés ((((((à amasser (et compter) )))))
« scrute l’horizon, tout en haut de la tour, »
on sait que t’es esseulé à part tes chèvres- tu te fais ch dans ta morne solitude de tare de l’île
non déposées au colombarium mais jetées à la voirie
même en cas de verglas c’est interdit
En ce qui me concerne, et contrairement à JC, ni Dieu ni Maîtres…
tu devrais tle faire tatouer autour du cou pour éteinde les lumières baroz..c’est pratique
« trop occupés ((((((à amasser (et compter) ))))) »
Les maires précédents ont laissé les caisses de la ville pleines, Delanoë les a vidées et à sensiblement augmenté les impôts locaux, là où Tiberi avait commencé à les baisser. Et pour quel résultat, rien de notable ces 15 dernières années dans la capitale !
dédé est dans le wouzwou avec iribe..lui manque un hotel particulier et une buggati bref le superfulu
« Mademoiselle Chanel, notre plus belle exception industrielle française »
Si quelqu’un n’est pour rien dans cette exception c’est bien cette Mademoiselle qui n’y a jamais rien compris et n’a qu’essayé (vainement heureusement pour cette industrie) de récupérer les investissements d’autrui (de manière assez ignoble sous l’occupation)
La légende Coco tente de cacher une Mademoiselle très peu sympathique.
A mon sens, TOUS les commentateurs de la Rdl
..incapabe dassumer
Ouarf ! Ma cave est pleine de jeunes femmes tatouées « Ni Dieu, ni Maîtres ! », 10 heures derrière leurs machines à coudre ! Vive le Parti…
« non déposées au colombarium mais jetées à la voirie »
On ne respecte plus rien, pas même la volonté des défunts, le boug, René Crevel est enterré au cimetière de Montrouge, en compagnie désormais de Nicolas de Stael et de… Coluche, autres suicidés de la société !
Jacques Barozzi dit: 27 mars 2014 à 10 h 00 min
Tu peux donner des chiffres baroz ?
Affirmer n’est pas prouver.
Auvergnate, élevée chez les bons pères, séduite par le pli de l’occupant, Chanel est n’est pas prête pour l’épinglage dans les rues du Paris ipodé.
Mais une belle histoire comme celle du livre du jour peut contribuer à la faire rentrer dans les grâces troublées des censeurs du politiquement correct.
quant au vitrail de l’abbaye cistercienne d’Aubazine, si cela ne vous rappelle rien…
trés bizarre association lassouline..y’a un amenuisement de héraldique dans le « partern »..peut être que ça se défend dans le quantique en tout cas pas du tout dans le premier degré : l’entrelas est une signature barbare..un trope celte et viking entrautre..n’y a til pas un contresens avec « une classique » comme chanel.. »classique » pas que dans le sens chic et couture
C’est sûr qu’une Mademoiselle Chanel ou un Jean Genet n’ont pas le profil « sympatique » recquis par les biens pensants dans votre genre, Contes et légendes mythologiques !
Barozzi a raison, Delanoë a vidé les caisses de la Ville, pour rien, et ces couillons de parisiens vont remettre ça avec l’ex-favorite de la fraise des bois !
« Tu peux donner des chiffres baroz ? »
La première chose que Delanoë a demandé en arrivant à la tête de la mairie de Paris, Fond de caisses, c’est un audit général des comptes de la capitale. Les conclusions dudit audit ont fait que par la suite l’on en a plus entendu parler.
La légende Coco tente de cacher une Mademoiselle très peu sympathique
cqui orne un gros mâle frait devrait cacher la demoiselle..y’a comme une charge myso la dedans..t’es pas keupu?
Les conclusions dudit audit ont fait que par la suite l’on en a plus entendu parler.
mais il en reste toujours qualquechose..c’est dla popo..dla prophilaxie baroz..la suivante fra idem pour faire mine de désinfecter et faire table rase..
Jacques, « on ne respecte rien, même pas la volonté des défunts » : sur le lien mis en ligne par notre hôte, on apprend que les éditions Moulinsard, contre la volonté d’Hergé, pensent écrire un « nouveau Tintin », uniquement pour que l’oeuvre entière ne tombe pas dans le domaine public.
Je suis bien d’accord avec le journaliste auteur de l’article : une telle attitude, uniquement dictée par l’appât du gain, va finir par se retourner contre ceux-là mêmes qui pressent le citron : Tintin va finir oublié, alors qu’il pourrait être un « bien commun ».
« ces couillons de parisiens vont remettre ça avec l’ex-favorite de la fraise des bois ! »
Et en remerciements de lui avoir laissé la place, qui pari avec moi que Delanoë sera nommé à un poste ministériel dans le prochain gouvernement ?
qui pari avec moi que Delanoë sera nommé à un poste ministériel dans le prochain gouvernement ?
pas moi..un homo ça mange pas dce pain là baroz..y sont mieux qu’nous..des saints épicétou
Difficile d’imaginer le personnage de fiction, Clopine Trouillefou, sans sac à main pendant des décennies, mais parfumée au « 5 ».
Jacques Barozzi dit: 27 mars 2014 à 10 h 09 min
C’est sûr qu’une Mademoiselle Chanel ou un Jean Genet
Que vient faire Genet dans cette histoire ?
Vous vous égarez mon bon Jacques.
Vous souhaitez défendre la légende, grand bien vous fasse, mais la réalité résiste et l’hagiographie n’y pourra rien.
Tintin va finir oublié, alors qu’il pourrait être un « bien commun »
toujours a te venger maltapropos clopine..tintin est audessus de ça..voilà tout
mais la réalité résiste et l’hagiographie n’y pourra rien
qu’ça soit une méchante ça rajoute..c’est ça l’hagiographie..tu dates
qui pari avec moi que Delanoë sera nommé à un poste ministériel dans le prochain gouvernement ?
Pari tenu Barozzi, il a déjà dit non.
Tu veux que je te donne la liste des anciens ministres homos, le boug ?
Disons depuis Joël le Theule, le mentor de François Fillon, sous Giscard, que j’ai personnellement rencontré, jusqu’à nos jours !
sans sac à main pendant des décennies, mais parfumée au « 5″.
marylin dormait sans sac a main..sans clef de douze..ni clef de huite..pas comme sergio
« Que vient faire Genet dans cette histoire ? »
Chanel et Genet sont les deux personnalités que j’ai proposé quand je faisais partie de la commission d’attribution de noms à la Mairie de Paris…
Tu veux que je te donne la liste des anciens ministres homos, le boug ?
que je ne le sache pas prouve leur abnégation
» Tintin va finir oublié »
Clopine, impossible, Clopine, impossible, même les enfants, worldwide, connaissent le personnage en culottes-de-golf et son chien.
Que diriez vous, d’un nouveau projet pour vous, « La Castafiore racontée à mes potes » ?
Ou, une autre idée: « D.cassine raconté à mes potes » ?
« JC ou les idées fixes de D.bile racontées à mes potes » ?
Primerose, en effet, « Equipage », c’est Hermès. Un vieux de la vieille qui plus est, tout comme « Calèche », « Eau d’Orange verte », ou plus récemment les petites (eaux des) merveilles de JC Ellena, « Terre » et ces fameux « Jardins » (« en Méditerranée », inspiré du jardin bordé de figuiers de Leïla Menchari au Maroc, « sur le Nil », « après la Mousson » ou « sur le Toit », où se retrouvent les fragrances que cultivait sur le sien Jean-Louis Dumas, à Paris, dont un poirier aux fleurs blanches) tandis que « La Petite Robe noire » maintenant, là où vu le contexte on attendait légitimement Chanel, c’est Guerlain – mais pas du temps de Jean-Paul (je parle de JP Guerlain, cette fois.., pas de Gautier, vous me suivez toujours, mon Coco?)
Comment se retrouver dans ce champ d’arômes?
Beau billet de PA qui fleure bon la délicatesse, la fidélité, l’amitié. Je marche. La première fois où je suis entrée au Select, je devais avoir 17 ans et il y avait là Jean Lebrun, PA et Jean-Louis Ezine, tous trois dont j’ignorais tout, et je me souviens que cela m’avait ébahie, dans ma timidité, qu’une émission puisse avoir lieu de la sorte en direct, parmi des gens prenant leur petit déjeuner.
Il y avait entre eux trois une circulation de la pensée, une façon de délivrer l’info circonstanciée, nette, élégante sans être hautaine, une vivacité, un professionnalisme solide, sans langue de bois ni démagogie qui m’avaient paru très stimulants.
J’étais restée un moment à les écouter près du comptoir, les trouvant brillants, buvant un thé en compagnie d’un gros chat (celui de la maison?)dédaigneux qui s’étirait paresseusement, feignant de se fiche des débats comme de l’an 40, alors que je suis sûre que l’hypocrite n’en perdait pas une miette. Certainement le chat le plus hype et cultivé de Paris, sous ses dehors endormis. Pour preuve, j’avais joué ensuite avec lui au « Kung-Fu » de David Carradine (Petit Scarabée, auras-tu assez d’habileté pour te saisir de la pierre noire enfermée dans mon poing?), agitant un sachet de lapsang devant ses yeux, pour voir lequel de nous deux serait le plus prompt, et il avait gagné. J’en ai d’ailleurs gardé une estafilade assez profonde sur le dessus de ma main droite des années. Je mesure au fait que la cicatrice soit presque partie que c’était il y a longtemps.
J’ignorais pour J.Lebrun et son compagnon. Cette passion commune pour Chanel, cette promesse sur un lit de mort… J’espère que Lebrun sera allé voir « Dallas buyers club ». Un film vibrant d’humanité, sensible, nerveux, intelligent. A priori il devrait s’y retrouver. L’ex moustachu mais toujours buveur de café aux yeux d’un bleu comme le ciel marocain peut l’être, aussi.
baroz, z’avez pas voté pour les nibards en fonte de Dalida ?
TKT, n’auriez-vous pas l’ombre d’un préjugé sur les brayonnes sans sac à main (ou désormais avec, snif,je m’aimais bien moi sans) ? J’ai également goûté le « Poison » de Christian Dior, et actuellement j’aime la fraîcheur citronnée de l’Eau de Roche de Rochas.
Que croyez-vous donc que l’on m’offre en cadeau ? Des robots moulinex ? Des torchons et des serviettes ? Des ustensiles « ménagers » ?
J’aime les fleurs, même luxueuses, tant pis si elles ont moins de parfum et résistent moins que les roses de mon jardin. J’aime aussi les parfums.
Et je n’utilise pas de savon de marseille à la lavande. En fait, j’achète les savonnettes « Dove », et je les recommande…
Savez-vous pourquoi ? Parce qu’elles font les plus fabuleuses bulles de savon de tout le marché. Sans rire. Prenez la savonnette Dove, faites-la mousser entre vos mains. Puis, joignant vos deux mains, écartez vos doigts pour former, avec le pouce en opposition, un cercle le plus parfait possible.
Vous y êtes ?
Approchez ce cercle de votre bouche et soufflez doucement, doucement. Une énorme bulle irisée va se former. Soufflez un peu plus fort (mais pas trop) : la bulle va se détacher de vos mains et monter lentement, dans la vapeur d’eau. Pour peu que, comme chez moi, vous disposiez d’une fenêtre dans votre salle de bains, pour peu que le soleil y pénètre, vous pourrez admirer les irisations de votre bulle de Dove…
Je laisse donc les savonnettes « bio » tranquilles, sur leur étagère. Vive Dove, et la légèreté de sa beauté crémeuse et irisée !
Prébois, j’ai le souvenir que souvent, vous vous disiez partiellement descendant de Juifs. Fiction, pour maquiller votre racisme de souche ?
Oui, je sais, tous vos pseudos concernent un « collectif », ce qui vous rapproche de D.bile ?
De l’importance d’un amant influent !
http://jardinmajorelle.com/wp-content/uploads/2011/11/1.1.1.15-Pierre-Bergé-sous-la-plaque-de-la-rue-Yves-Saint-Laurent-Décembre-2010.1.jpg
moitié dans leurs godasses, et moitié à côté…
C’est parce qu’à défaut de questions, nos hésitations ne viennent à résoudre le problème du choix entre les paires de chaussettes. Tout le monde ne vit pas aux iles Fidji,à Cheriyam, Bazaruto,Ogurchinskiy, Tillangchong par exemple.
baroz, z’avez pas voté pour les nibards en fonte de Dalida ?
vadé rétro..parait qu’elle adorait péter dans son bain..coco aurait désaprouvé, le sentiment de solitude non seulement n’authorise pas tout mais justement -oblige-
attendez la sortie de « Saint Laurent ». la version à qui B. voulait squitch les crédits.
« Pari tenu Barozzi, il a déjà dit non. »
Comme toutes les femmes honnêtes, qui aiment à se faire prier avant de céder ?
De l’importance d’un amant influent !
c’est le moment de la sortir ! :
« ça lui fait une belle jambe »
qui aiment à se faire prier avant de céder ?
saint pour toi ça veut juste dire à genoux baroz..t’es un dégénéré!
Jacques, la photo de Bergé, là : mon dieu, les homos vieillissent aussi !
Jacques Barozzi dit: 27 mars 2014 à 10 h 41 min
De l’importance d’un amant influent !
Celui de Coco fréquentait Hitler, elle a du se tromper d’influent.
Plus c’est non, meilleur c’est, le boug, demande à Dédé !
Delanoë a vidé les caisses de la Ville, pour rien,
Médisances
c’est nous qu’on l’a vidée (jacques (baroz) a adoré)
Jasques Barozzi, en cas d’affinités il est communément admis que les hommes prient le premier soir, si toutefois cette demande sous-jacente persiste au-delà du délai admis, concluez, vous avez affaire à une allumeuse sadique et perverse qui peut-être attend de vous que vous brisiez la glace du seau à champagne et vous empariez du pouvoir, en aucun cas il ne faut vous laisser mener par le bout du nez excepté si vous êtes du genre soumis auquel cas vous avez trouvé la partenaire idéale qui de vous fera son Christ au pire son martyre.
Jeune, il était déjà moche, Clopine !
barozzi
votre bernadette préfère Anne H
à celle qui a tant de grâce
cc a tout copié sur daaphnée
Celui de Coco fréquentait Hitler
..j’avais bien reconnu l’intello de la bande
« Quelquefois, à l’aide de l’amincissement du parchemin, on peut lire le passage (…). Voilà ce que c’est que la grande découverte des manuscrits palimpsestes. » (Stendhal,Rome, Naples et Flor.,t.1, 1817, p.279)
Jeune, il était déjà moche, Clopine !
..surement qu’il avait des qualités cachés bien bien profond baroz..t’es superficiel !
baroz, moche mais avec de la poigne..hurkhurk.
Clopine, je vous imagine facilement avec les savonnettes « Dove ».
Spensor de « Eastenders » ou de « Coronation Street ».
En dehors du lavage des mains, je n’utilise pas de pain de savon, seulement des produits sans savon. Le savon abime la peau, spécialement au niveau du visage. J’utilise pour les mains, les petits savons que l’on donne dans les hôtels. En principe, ces objets sont pour la consommation sur place et reste propriété de l’hôtel.
Je trouve bizarre de vous offrir des parfums, quant aux fleurs, en principe, invité à la campagne, on ne doit pas apporter des fleurs, cela ne se fait pas. Des chocolats ?
Si vous invitiez D.bile, il vous apporterait des produits de confiserie ou une Sainte Bible.
Il l’a aimé et tout le reste lui sera pardonné.
http://cache.20minutes.fr/photos/2008/06/06/les-obseques-dyves-saint-laurent-diaporama.jpg
Plus c’est non, meilleur c’est, le boug
et quand ça devient un boulevard..y’a même un couloir de bus..chus grossier
Il l’a aimé et tout le reste lui sera pardonné
t’aurais quand même pas voulu qu’il plastonnât avec des rubans noires sur la teube..t’es un méchant baroz
Le savon abime la peau, spécialement au niveau du visage
si c’est pour dire que tu tlaves la bite qu’au vitel vontraube..je sais pas si c’est un bon signal que t’envoie
Jacques, lui-même aurait dit le finish est impécable
Clopine, les femmes vieillissent plus vite que les hommes, mais on leur permet de se couvrir de crèmes pour soutenir et hydrater la peau.
il y a des exceptions, je trouve Catherine Nay, parfaitement conservée, un visages sans ride. Bon, on la voit peu rire…
il y a bien sûr Cher, ou Sylvie Vartan, des visages de pistes de ski bien damés. Dans le genre visage superlifté, les Américains restent les champions, Zanuck avait un visage de tweeny, mais n’arrivait plus à marcher.
Nous trainons un boulet.
Non, pas vous, Samuelsohn
sapré TKT, glisse sur la savonnette dave et prend le lift. il est temps de sortir Arletty et de retrouver son garde à vous.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=s897JbFc64s
bouguereau dit: 27 mars 2014 à 10 h 53 min
Mais c’est qu’il l’aime sa Chanel le boug’.
Il doit se mettre une goutte de n°5 avant toute utilisation du gode-ceinture.
La reine du Com, votre témoignage est délicieux : on s’y croirait, à jouer avec le chat pendant que trois journalistes enregistrent une émission ; par contre,je ne sais pas ce que c’est que « le sélect ». Un bar, ou une brasserie ? Comment faisaient les techniciens pour filtrer les sons, comme celui, omniprésent dans les cafés, de la machine à café qui se prend généralement pour la « bête humaine », avec ses gros « schlouffs » ?
TKT, lui aussi, a une peau de bébé
(et le cerveau qui va avec la peau, hélas)
Hier, j’ai vu un beau film, sensible à souhait, qui ne m’a pas ennuyé, contrairement au dernier Resnais, vu juste après. Une histoire de sainteté réalisé par un maître du porno gay !
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19542686&cfilm=223803.html
« Il l’a aimé et tout le reste lui sera pardonné. »
Et mon cul, c’est du poulet ?!
En êtes-vous sur Jacques Barozzi? Est-ce que n’est pas encore un film à la gloire de cette société de sodomites?
Bon à première vue le cinéaste s’est risqué sur un autre versant de la montagne encore inexploré, courageux.
Mais j’avais bien aimé short bus pour cette folie douce qui ne s’arrête pas en cours de chemin, dans le genre anthropologie de nos sexualités.
Cette année, la chambre n’est pas rangée
moi j’ai lu jusqu’au bout.
« Et mon cul, c’est du poulet ?! », nous demande JC:
Né en 1922, le troll est devenu un châpon
Blanche-Neige voyait des nains partout.
Et ce couillon de TKT voit des D. et des JC partout. Son cerveau de bébé….. Misère !
Clopine, « le Sélect », juste en face de « la Coupole » est un célèbre vestige, resté à peu près intact, du Montparnasse de la grande époque, celle des peintres, avant que les existentialistes ne mettent en vogue les cafés de Saint-Germain-des-Près.
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/c/c9/Le_Select_—_Montparnasse_—_Paris_—_France.jpg
bougros, c’est Coco en pire, jicé c’est bougros en pire, cherchez l’horreur
11h32: Que devient votre cerveau reptilien à moins que ce ne soit d’amphibien, comment dit-on?
on n’arrive pas très bien à vous cerner, Baroz : un peu opportuniste ?
« un peu opportuniste ? »
Beaucoup irrécupérable !
généralement on « cerne » plus vite à gauche qu’à droite. tkt doit avoir une crème pour ça.
Jacques, merci : il fait froid sur votre photo, tristoune aussi et il n’y a personne. Difficile de faire coïncider cette image et la saynète chaleureuse racontée par la reine du com’. On se croirait plutôt à Prague, dans les années 70 !
Baroz : un peu opportuniste ?
Tout juste une concierge.
Et madame TKT, comment va t elle ?
Phil, habituellement, je saute tout ce qui vient de lui, il voyage trop et cela fait de lui un guide touristique passablement ennuyeux.
Prague en 70, la démerde à chaque instant
Bérénice, vous avez tort TKT nous rappelle comment il faut faire pour voyager con.
Baroze, il est incompréhensible que vous vous soyez ennuyé au dernier Resnay: délicieux, sensible, beau, oui beau plastiquement d’un bout à l’autre. Sauf peut-être le premier 1/4 d’heure, avec Vuillermoz qui en fait un peu trop dans le chagrin, j’ai été sous le charme d’un bout à l’autre. On peut évoquer Guitry sans doute, mais c’est du Resnay pur jus, ce mélange de théâtre, de cinéma et dessins…Retournez le voir!
Rien à voir: hier soir, la mère Hidalgo a révélé son visage d’intolérance et de sectarisme en étant la première et la plus hargneuse à ne pas laisser parler son adversaire. Une suggestion: couper le micro à tour de rôle pour que chacun puisse s’exprimer et ait vraiment le même temps de parole.
ach Clopine…voit bien le Select, bar à la maigret où les anciens trotskiss ezine font de la propagande sur toile cirée pendant que passou rédige camondo avec sa crème monblanc
berenice, je lis baroz extenso, de la barbe au cul !
Il est heureux, pour le cinéma, que Resnais en ait fini de nous faire de la merde … et malheureux, que le grand Hitch en soit réduit à faire de la pub pour Citroen !
tkt est un voyageur paramount. mais bon, les savonettes, propriétés de l’hôtel, faut pas pousser. Certes on n’imagine pas tkt pisssotant les dosettes à whisky avant de les refourguer dans le fridgebar.
Phil, nous devons protéger le TKT comme un petit panda solitaire de zooz, sachant lire, écrire (!), compter (!!) enfermé dans sa cage helveto-aéronautique, bouffant du bambou tendre toute la journée avec un regard idiot
Encore un mouvement imparable de la gente assoulienne
Bérénice, Christiane n’aime pas non plus les souvenirs de voyage.
Que voulez vous que cela me fasse ?
C’est ce que vous aimez chez D. ? il n’est pratiquement jamais sorti de l’Hexagone, sauf bien sûr ses voyages en soucoupes-volantes.
Je ne sais pas quel autre commentateur se cache derrière votre pseudo, et franchement, les malades multisignatures, je les trouve un peu pathétiques.
JC, D., HR, changent de pseudos, sans changer leurs poncifs.
à aquarius : la mère NKM était pire avec ses effets de chevelure et ses battements de cils façon glamour, dimanche en chignon gnon gnon…
Baroz : irrécupérable ? plutôt bouffer à tous les râteliers
ta gueule raclure antisémite
les savonettes, propriétés de l’hôtel, faut pas pousser
tout appartient au petit personnel..le baron n’en est que le locataire au finiche..vontraube a le sens du service
@aquariius
« la première et la plus hargneuse à ne pas laisser parler son adversaire. »
le pire c’est qu’elle n’a même pas donné raison à votre (si compétente) madone pleine de grâce! quel manque d’éducâtion
Montparnasse de la grande époque, celle des peintres
toutafé l’genre d’immeuble et d’où qu’on imagine jeanne hébuterne à la fnêtre
son visage d’intolérance et de sectarisme
c’est l’goulag, la dictature socialo-coco, la stasi on vous dit
TKT (les femmes vieillissent plus vite que les hommes)
daaphnée est l’exception qui confirme la règle (et elle ne met pas de crème, rien)
à sec ?
pardonne moi dafnoz..tout ça c’est pour rire
De nos antécédents en psychiatrie, vous l’avez lu?
@ “les savonettes, propriétés de l’hôtel, faut pas pousser“:
Disons, que les clients n’ont pas vraiment le droit de les mettre de coté, pour faire des économies quand rentrés à la maison.
C’est amazon qui se l’ai fait mettre avec le poids des livres
Je peux mettre de la musique? C’est Hole, Miss World http://www.youtube.com/watch?v=Wz8pM_ZbEh8
« je vais te mettre dans un trou, moi »
« de la barbe au cul ! »
Oui, mais je me rase, Phil !
Vous n’êtes pas sensible aux mille nuances de gris de Paris, Clopine ?
Disons, que les clients n’ont pas vraiment le droit de les mettre de coté
Surtout celles que TKT va piquer dans la réserve pour son usage ultérieur.
@ Clopine Trouillefou
Hors sujet. Ne pouvant commenter chez vous votre dernier article, je me permets de vous suggérer ici de rendre votre blog privé: seuls des amis sélectionnées auraient l’autorisation d’y aller voir, ce qui résoudrait bien des problèmes.
la première et la plus hargneuse à ne pas laisser parler son adversaire.
c’est elle qu’ya commenfé, elle est méfante
clopine
dove, une marque on ne peut plus banale de savonnettes au RU (comme fa en France), fait maintenant dans la lessive
« mille nuances de gris de Paris »
ça sort par les yeux (en plus de puer (le diesel est moins cher), sans parler de tous ces addicts de la clope tous les deux ou trois mètres
Et toujours rien sur la pyramide de pey?
« il est incompréhensible que vous vous soyez ennuyé au dernier Resnay »
D’autant plus que j’avais trouvé le film précédent (« Vous n’avez encore rien vu ») particulièrement jubilatoire, aquarius !
L’âge venu, Resnais semble s’être libéré de son côté intello avant-gardiste, renouant avec ses goûts premiers, le vaudeville et le caf’ conc’. On songe à Guitry, en effet, ou au théâtre d’Henry Berstein. Est-ce la mise en scène de son propre enterrement, via l’arlésienne Georges, ou un éventuel réglement de compte avec sa muse qui m’ont géné dans cet ultime opus ?
Comme j’ai mis « ou », ce sera plutôt « qui m’a géné »…
Tu oublies l’odeur singulière du métro parigot, ecco parigi !
ici, là, inscrivez votre signe
« à sec ? »
Du temps où j’étais étudiant à Nice, le boug, il y avait une vieille folle édentée, que l’on appelait Sucette, qui proposait des pipes à 50 centimes l’unité !
Sucette Hollande nous propose une pipe à 50 milliards d’euros l’unité… !
TKT dit: 27 mars 2014 à 12 h 13 min
Ah, je vous ai donné cette impression ? C’est difficile de partager des souvenirs de voyages. Comme le dit Bérénice on peut s’ennuyer. Vos photos sont intéressantes, souvent, hors du contexte du voyage. Je pense à celles des japonais que vous avez photographiés récemment. Mais vous êtes absent de ces reportages. C’est cela peut-être qui laisse celui qui vient chez vous, dubitatif. Que ressentez-vous au moment où vous avez pris ces photos ? Leur multiplication, aussi, banalise celle qui mériterait une attention prolongée.
Vous êtes très différent, ici. La parole facile, très réactif.
Mais si vous avez du plaisir à collectionner ces souvenirs, c’est l’essentiel.
Il y a un très beau commentaire de la « reine du Com ». L’avez-vous lu ? Comme ça au fil des bla-bla-bla, une divine surprise.
Et ce billet de P. Assouline, qu’elle salue avec justesse. Très émouvant.
Les nuances de gris, 40 ou pas, Barrozzi, mes vingt années rouennaises m’ont fait parcourir toute leur gamme chromatique. Spécialement les pavés de la place de la cathédrale, vers cinq heures du matin, luisants de rosée. On allait dans les laboratoires des boulangeries pour avoir gratos des pains au chocolat, idem pour le Paris Normandie qui commençait sa tournée de distribution, il était cinq heures, Paris pouvait bien s’éveiller nous on s’endormait, un livre à la main : on avait, sous les pavés, la page…
Bis
Barozzi à 8 h 59 min
« Qui de NKM ou Anne Hidalgo réparera cet oubli ? »
Coco, c’est d’abord et avant tout:
« On s’en fout, on n’est pas d’ici, on s’en va demain ! »
Mais des enfants ont demandé aux deux candidates ce qu’elles fearient pour rendre la ville de Paris moins grise. C’est Hidalgo qui a la meilleure idée pour les plus militants ici: faire appel à des créateurs de mode les plus réputés pour « rhabiller les sanisettes » ( sic)
Pour les autres, ça se passe en after, in the tube.
http://www.youtube.com/watch?v=nFNl6D75Jxo
Elle rendu son éclat aux cheveux de ma femme (qui ça, la vierge marie j’entends dire)
Clopine, le chat du Select, parigot de gouttière pur jus et en couleur !
http://www.justabovesunset.com/photography/assets/images/autogen/a_mickey.jpg
« de la barbe au cul ! »
Oui, mais je me rase, Phil !
Mince, du barbelé alors?
Pour que ça arrache, Eustache?
La pierre parisienne n’est pas grise mais blonde !
Et ce billet de P. Assouline, qu’elle salue avec justesse. Très émouvant
je salue en troise le billet de christiane qui parle de celle qui a vu l’ours qui s’est fait mettre par le facteur..
La pierre parisienne n’est pas grise mais blonde !
battue avec des lunettes de soleil..elle est belle
Jacques uniquement pour les propriétaires de plus en plus nombreux et majoritaires qui peuvent lutter contre les effets de la pollution, avec tout ce trafic sans nettoyage tout serait gris, affreusement gris.
Sucette Hollande nous propose une pipe à 50 milliards d’euros l’unité… !
..et tu vas raquer
les propriétaires de plus en plus nombreux et majoritaires
radio paris est allemande
Barozzi, la couleur des pierres de Paris… pas le temps , sorry.
Le saviez-vous ? Gabrielle Chasnel jouait dans le cimetière, son jardin secret.
Le ravalement est obligatoire, bérénice, pas le lifting !
Bouguereau la bonne question serait qui va payer? On ne se doute absolument pas de la réponse, les forces en jeu n’indiquent aucune révolution.
De quoi parlez-vous à la fin, d’immobilier? lifting ravalement, je ne vois pas de différence un immeuble s’il veut rester attrayant doit être entretenu.
A ses débuts, Gabrielle Chanel chantait dans un boxon de Saumur, un air célèbre qui lui a vallu son surnom : « Qui c’est qu’a vu Coco, dans l’Trocadéro ? »
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