de Pierre Assouline

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La République des livres
Chaneliser en équipage pour la plus grande gloire de Coco

Chaneliser en équipage pour la plus grande gloire de Coco

Etrange ce sentiment qui nous prend à la lecture d’un livre lorsqu’on « sent » qu’il a été écrit à la lumière d’un autre. Rien à voir avec le plagiat, la copie, le décalque, ni même l’imitation. On a juste l’impression qu’il en a été secrètement nourri sinon irradié. Le cas en lisant Notre Chanel (276 pages, 20 euros, Bleu autour) de Jean Lebrun. Il en fait d’ailleurs l’aveu à la page 87, sous forme de reconnaissance de dette, en citant l’influence de Misia (1981, repris en poche chez Folio), récit à deux mains qu’Arthur Gold et Robert Fizdale avaient consacré à la muse et égérie Misia Sert. Un modèle revendiqué tant dans l’écriture que dans la méthode. Outre le genre littéraire, l’époque et le milieu traité, les deux livres ont en commun d’avoir été écrits par un couple d’hommes. La précision vaut plus encore pour Notre Chanel car cette particularité s’inscrit dans le titre même : « leur » Chanel, c’est celle de Jean Lebrun et de Bernard Costa. Lancés en 1988 sur les traces de la géniale créatrice pour écrire une biographie classique, ils ont vu leur projet se métamorphoser sous leurs yeux avec la disparition progressive de l’une des deux plumes. Séropositif, Bernard Costa été emporté par le mal en un temps pas si éloigné où le mal tuait encore.10

C’était en 1990 et il avait 35 ans. Il eut le temps de lui murmurer une seule fois : « Le son de mon amour, tu ne l’entendras jamais d’un autre ». Et de lui répéter en une douce injonction : « Dis, notre livre, tu l’écriras ? ». Plutôt que de se murer dans un chagrin mutique, son compagnon s’est d’abord jeté dans le travail (il fut longtemps l’une des grandes voix de France-Culture et l’est désormais à France-Inter) ; mise de côté, la grande mademoiselle attendait ; jusqu’à ce que le survivant du tandem se résolve à la sortir du tiroir, le jour où il comprit qu’en substituant Notre Chanel à Chanel, il raconterait leur aventure commune sur ses pas et ferait revivre l’aimé disparu même si, on le sait bien, rien ne console car rien ne remplace. Il écrirait mais, dès lors qu’elle ne pouvait plus être menée à deux, l’enquête était close. Et puisque son esprit même faisait un pas de côté, la forme du livre l’épouserait. Plutôt qu’un récit chronologique, et quoique agrégé d’histoire et producteur de l’émission « La marche de l’histoire », Jean Lebrun se livre à une manière de « Chanel, lieux de mémoire ». Des maisons, des boutiques, des châteaux, des hôtels. Autant de balises dans la nuit.

Ce récit à l’écriture très tenue a quelque chose du road movie –mais comment les Américains disent-ils lorsqu’il s’agit d’un livre et non d’un film ? Cela ne relève pas du travel writing car ils ne voyagent pas : ils se déplacent, « chanélisent en équipage », dans un but bien précis et rentrent aussitôt constitué leur butin d’impressions, de choses vues, de propos rapportés, d’informations de leur voyage en France, pays que Jean Lebrun connaît bien pour l’avoir longtemps arpenté en tous sens micro à la main. Qu’importe puisque l’idée s’impose dès les premières pages comme s’impose d’emblée l’évidence qu’on ne lira pas une biographie prétendument définitive, il en existe déjà tant consacrée à Gabrielle Chanel dite Coco (1883-1971). Pas question de rivaliser avec les journalistes Isabelle Fiemeyer, Marie-Dominique Lelièvre ou Hal Vaughan quitte à leur emprunter telle ou telle révélation ; pas question non plus de défier sur leur terrain les écrivains Louise de Vilmorin, Paul Morand et Edmonde Charles-Roux, quitte à s’inspirer de tel ou tel de leur trait.

259px-Aubazine_-_Abbatiale_-_Vitrail_cistercien_-1Il faut croire que la collection « L’un et l’autre » de J.B. Pontalis a fait école car on sent bien que son esprit a imprégné Jean Lebrun au moment de l’écriture. Sauf que là, c’est plutôt « L’une et les autres ». Les cyniques, qui voudront y voir un procédé applicable à n’importe quel artiste, seront refoulés dès les premières pages, lorsqu’ils ont compris que ce ne pouvait être qu’elle car elle était la fée de Bernard Costa, personnalité hypersensible, enfant malheureux à jamais, qui ne vivait que pour la mode. Nous ne sommes pas dans un « Parce que c’était lui, parce que c’était moi » version Marais, mais dans le registre de Boris Kochno lorsqu’on le pressait d’expliquer le lien puissant qui l’unissait à Christian Bérard : « On s’entendait, voilà tout ». Et tout est dit.

De toutes façons, dans le labyrinthe des archives et des témoignages, il n’est pas de meilleur guide que l’instinct pour comprendre celle qui fit du noir une couleur en décrétant au tout début des années trente avec le succès que l’on sait : « Mettez une petite robe noire dans une salle brillant d’un faux éclat, on ne verra qu’elle ». Il fallait oser,  à condition de ne pas oublier que celle qui eut le génie de ne pas faire des robes mais de faire la mode savait être aussi « une atroce emmerdeuse. » Elle s’en justifia en rappelant que la solitude avait trempé son caractèreCela affleure dans les souvenirs. De plus en plus tyrannique à mesure qu’elle s’isolait. On lui doit aussi la mode des peaux bronzées, la libération du corps de la femme par l’abandon de la taille, la résistance absolue à la minijupe (un principe non négociable : jamais au-dessus du genou), un tailleur de tweed devenu un uniforme avant d’accéder au rang de classique ( veste à quatre poches, boutons-bijoux, blouse de soie dans le tissu de la doublure, chaussures bicolores, sac matelassé à chaîne), un style sobre mais pas dépouillé grâce aux indispensables accessoires (à condition de toujours enlever le dernier qu’on a ajouté, soulignait-elle), l’invention d’une silhouette et un art de vivre largement inspiré de José-Maria et Misia Sert, quoi qu’elle en ait dit. Nul mieux qu’elle n’a illustré la réflexion de Cocteau selon laquelle un vêtement est une idée qui flotte autour d’un corps. Elle disait : « Si une femme est mal habillée, on remarque sa robe mais si elle est impeccablement vêtue, c’est elle que l’on remarque ». Elle disait aussi que la mode se démode, mais le style, jamais. Et elle l’a prouvé.

Ce livre rend justice à toutes les Gabrielle en Chanel. S’y impose avec éclat la conviction que l’historien est un témoin de témoins, ce qui est aussi une réponse au vers de Paul Celan déplorant que nul ne témoigne pour le témoin. On suit Boris Kochno, l’homme qui avait le don de tout poétisier, survivant des Ballets russes de Diaghilev ; Etienne Balsan, homme du monde, officier & gentleman, qui le premier la repéra et l’inventa ; André Palasse, son neveu, plus important que le fils qu’elle n’a pas eu ; la fille d’Henry Bernstein, souverain du théâtre parisien ; Madame Madoux dont le mari fit toute sa carrière au sommet de la maison Chanel ; Paul Iribe « hélas » car le vieux renard argenté, comme l’appelait Colette, exercera une néfaste influence sur la maison deCoco-Chanel 2 la rue Cambon, où il s’était introduit à la faveur de la crise des années 30, précipitant le différends de Coco avec les Wertheimer, copropriétaires de ses parfums ; et d’autres encore, plus surprenants, tel son poulain Robert Bresson, dont il est dit ici qu’elle l’a couvé et inspiré, mais c’est peut-être un peu trop solliciter les faits, et enchaneliser le cinéaste, que de chercher absolument à voir la patte de Coco dans Les Anges du pêché (un monastère de femmes, comme elle en connut…) et dans les Dames du bois de Boulogne (dont le personnage-clé joué par Maria Casarès serait inspiré d’une certaine reine de la couture…). En tout cas, ce n’est jamais en vain. Embarqués dans son aventure sentimentale avec l’un des grands ducs Romanov, un amant plus jeune qu’elle pour une fois, on découvre au bout de la piste que l’illustrissime parfum No5, par ses surgeons et ses fragrances, relève d’une veine russe

Parfois de drôles d’endroits pour des rencontres. On y croise un certain Marcel au cou tatoué par un « Pas de chance » et dont, nous assure-t-on, « l’apparition terrifiante dans une pièce suffisait à éteindre les bougies ». On y retrouve même l’un des commentateurs fous de la République des livres : « D., un repris de justice à moitié interdit de séjour : il était de notoriété publique qu’il avait contraint Boris à achever son grand livre sur le ballet en lui brisant la cheville, l’immobilisant ainsi derrière son bureau ». Moulins, Vichy, Pau et la rue Tire-Boudin à Paris en s’attardant là où il le faut à cause d’un détail, d’une couleur, d’une odeur. Pareil pour les personnages. Tous ceux qui ont compté. Pas d’ellipse sur l’Occupation, et sur l’homme d’influence de l’Abwehr qui la mit dans son lit, le baron Gunther von Dincklage qui alla jusqu’à l’enrôler dans son service, pendant que la société de ses parfums était aryanisée, et les Wertheimer éjectés.

chanel-cc-logo-lOn ne comprend rien à Chanel si on ne passe pas par la case Pierre Reverdy, le proche le plus proche, poète dont jamais les livres ne quittèrent son chevet, notamment Cravates de chanvre illustré par Picasso et Epaves du ciel, ornés de tendres dédicaces à sa chère Coco. Et peu importe si elle a traversé l’exode au volant d’une Cadillac ou d’une Talbot car c’est dans le doute entre les deux que se réfugie la poésie du récit, et non dans la vérification d’un fait. Elle avait réalisé les projets et satisfait les goûts de l’enfant qu’elle fut et qu’elle conservait enfouie dans sa part d’ombre, avec le lieu de mémoire où tout a commencé et qu’elle répugnait à nommer : l’orphelinat catholique de l’abbaye d’Aubazine près de Brive, tenu par les religieuses du Saint-Cœur de Marie, auxquelles son père la confia à la mort de sa mère.

On aura compris que Notre Chanel est un poignant et lumineux récit plein d’allers et retours entre elle et eux, sa vie, leurs vies et d’autres vies que les leurs. Il est ponctué de concordances plutôt que d’analogies. Ainsi sur les années de guerre que Jean Lebrun rapproche des années où le milieu de la mode, dans lequel évoluait son compagnon, était décimé par le Sida, et où les malades et leurs amis avançaient en commando dans les champs minés de la pharmacologie. La guerre avec ses moments de désespoir et de solidarité, de fraternité et de découragement. A l’instar de René Crevel, le compagnon disparu avait souhaité : « Prière de m’incinérer. Dégoût » Mais il avait été jusqu’à préciser que ses cendres devaient être non déposées au colombarium mais jetées à la voirie. Ce récit, pétri d’émotions mais dénué du moindre pathos, est son tombeau. Pour que son nom reste quelque part et que sa vie n’ait pas été vaine. Après une telle résurrection par les mots, on peut mourir tranquille.

(Portrait de Gabrielle Chanel dans sa suite de l’hôtel Ritz, par Henri Cartier-Bresson; autres photos D.R.; quant au vitrail de l’abbaye cistercienne d’Aubazine, si cela ne vous rappelle rien…)

Cette entrée a été publiée dans arts, documents, Histoire.

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commentaires

583 Réponses pour Chaneliser en équipage pour la plus grande gloire de Coco

bouguereau dit: à

Du temps où j’étais étudiant à Nice, le boug, il y avait une vieille folle édentée, que l’on appelait Sucette

j’ai habité 15 ans à pigalle baroz..tu temps ou c’était pas cher grace à eux..façade bien noir avec plein de locataire derrière..plutôt de bons souvenir du quartier

Jacques Barozzi dit: à

Mais le boug, m’a Sucette niçoise était une vraie femme, pas un travelo ! Une Coco qui aurait mal tournée…

bouguereau dit: à

il y en avait un..assez terrifiant de jour qui une fois m’a dit « aujourdhui je ne te propose rien, tu es attendu »..et en effet on m’attendait sur le palier..le gars devait connaitre tous les codes des portes la gonzesse m’a dit qu’elle était en bas et que le gars lui avait demandé de me décrire avant

JC..... dit: à

Clopine, je suis né en 1912, un peu avant la guerre du Viêt-Nam donc, ou une autre guerre….. et en un siècle de vie, je n’ai jamais rencontré une pauvre âme aussi perdue que la votre*. Condoléances !

* j’ai eu le tort de jeter un œil sur votre blog, dont l’épandage fumant est sublime…. uhuhu ! Quelle rigolade !

Jacques Barozzi dit: à

C’était le Pigalle de Divine et de Jean Genet, le boug !

bouguereau dit: à

c’était surtout terriblement cracra..j’avais honte quand un copain étranger me demandait de lui faire la visite..pour les français ça leur faisait la couenne..et pour les françaises c’étaient forcément dans la poche tellement elle me lachait pus d’affliction

Sergio dit: à

Clopine Trouillefou dit: 27 mars 2014 à 8 h 48 min
J’ai mis au milieu la n°5. Incontestablement féminine, et pourtant… Carrée

C’est le problème… Les Dupont pour femmes aussi sont carrés… Plus petits mais parallélépipédiques comme des brutes… Avec la laque de Chine !

Jacques Barozzi dit: à

Cette manie des biographes de Chanel de raconter leur propre vie, ce n’est pas nouveau Passou. Déjà, dans « l’Irrégulière », Edmonde Charles-Roux explique comment elle fut surprise par « mademoiselle Chanel » pour laquelle elle travaillait, tandis qu’elle prenait furtivement des notes dans un petit carnet. Celle-ci, subodorant qu’elle préparait une biographie non autorisée, lui a alors passé un sacré savon !
Pas commode, la vieille…

bouguereau dit: à

le mieux..mais je te l’ai déja dit c’était d’aller dans les boites hors clientèle néons plein feu..des bauges ! et pourtant je ne suis pas regardant à la poussière dans les coins

Sergio dit: à

Jacques Barozzi dit: 27 mars 2014 à 13 h 51 min
dans un boxon de Saumur

Ca peut faire du monde… Avec les chevaux !

A la pêche aux moules, moules, moules ! dit: à

« Je mets ça sur le compte de la frustration des citadins, qui sont tellement loin du moindre brin d’herbe qu’ils éprouvent le besoin de cracher sur ce qu’ils ne comprennent pas. Et pourtant, la vie de l’homme est intimement liée à la terre. Je trouve, moi, qu’il faudrait remercier à genoux des types comme Clopin, (ou Pierre Rahbi), pour avoir compris avant les autres la nécessité de respecter la terre… »

Frustration des citadins ? Effectivement, de quoi se marrer …!

bouguereau dit: à

Les Dupont pour femmes aussi sont carrés…

j’ai connu et bien..jeune j’ai fait garçon de café..combien de pignouf en oubliait sur leur table..je le perdais moi même quinze jour aprés..maintenant dans les brocantes sinon les ors t’en a une poignée pour rien..dire que ça valait 3 milles balles à l’époque..la breitling du bourrin de l’époque

Jacques Barozzi dit: à

Sans les chevaux, seulement les officiers, Sergio !
L’uniforme des militaires et les vestes en tweed de ses distingués amants anglais sont à l’origine de ses tailleurs pour dames…

Jacques Barozzi dit: à

Le briquet Dupond et la Rolex, des accessoires pour garçons de café, le boug !

Jacques Barozzi dit: à

Mais c’était du temps où les pourboires ça eut payé, le boug. Moi, étudiant, j’officiais au Martinez, à Cannes, Croisette.
En trois mois dété, j’arrivais au million d’anciens francs, de quoi être peinard pour toute l’année…

Jacques Barozzi dit: à

Aujourd’hui, les pauvres jeunes, c’est moins que le smig chez MacDo !
Finies, les Trente Glorieuses…

Jacques Barozzi dit: à

Garçons de café, et garçons coiffeurs…

Jacques Barozzi dit: à

Il n’y a pas que Bellegueule qui fait de la sociologie !

bouguereau dit: à

des accessoires pour garçons de café, le boug !

le plus marrant c’était quand le mec revenait pour nous demander si on avait pas vu « un briquet » sur la table..une fois sur deux on lui rendait vu qu’on est accessibe à la pitié..mais une fois sur deux selon la mine on répondait « non » et quelquefois jallais jusqu’a leur tendre mon bic en disant..un briquet ? prenez celui ci, un client vient juste de l’oublier..vous y gagnez, il est presque plein..

Jacques Barozzi dit: à

Tu crois, le boug, que si j’écrivais un « En finir avec Jacky Barozzi », je ferais un carton ?
Un livre où je dénoncerais les travers de la communauté gay de Paris, depuis les premiers temps de la liberté sexuelle, juste avant de changer de nom et de m’enfuir pour une île déserte !

Pub dit: à

Jacques Barozzi dit: 27 mars 2014 à 14 h 18 min
Le briquet Dupond

Celui qui va avec les Lauboutin de TKT

Enters Terence dit: à

– vous avez fait de moi votre chose
– c’est à dire?
– bein d’accord

bouguereau dit: à

Un livre où je dénoncerais les travers de la communauté gay de Paris

..évidemment, mais il faudrait que tu cites des noms..ou enfin que tu laisses de grosses suspicions et tu calomnies un peu..tu as lu le prince de machiavel non..et tu entrelarde avec des nuits de caveaux..soigne bien nous ça ..c’est le coeur du sujet..pense !..lachaise!..et cherche un bon titre! ne copie pas !

bouguereau dit: à

uste avant de changer de nom et de m’enfuir pour une île déserte !

..pas du tout..si ça marche tu seras le king « celui qui a dénoncé les hypocrisies »..tu auras peut être ta plaque posthume..c’est pas rien !

Jacques Barozzi dit: à

Les garçons de café professionnels, pas les glandeurs comme toi le boug, et les garçons coiffeurs ont aussi vulgarisé (au sens publicitaire du terme) les triples anneaux d’or de Cartier et les sacs Vuitton : l’horreur dont raffolent les japonais, les Russes et les Chinois !
C’est ainsi que l’on injecte le virus de la mode française au monde entier !

bouguereau dit: à

« le gout de lachaise électrique » par baroz..
là tu prends un pseudo..si on t’emmerde tu balances l’adresse de rénato et tu dis que t’as un glock

Jacques Barozzi dit: à

« ne copie pas ! »

Je pourrais raconter comment j’ai vu un jeune cadre du FN se faire retourner comme une crêpe par un vigoureux trotkiste, le boug ?

Sergio dit: à

Jacques Barozzi dit: 27 mars 2014 à 14 h 16 min
amants anglais

La menthe anglaise ? L’armée des Indes milsabor mais là c’est pire c’est des éléphants ! Ca retourne facile les mitrailleuses comme dans les Trois lanciers…

Jacques Barozzi dit: à

C’est tout un poème cette liste, bérénice !

bouguereau dit: à

Je pourrais raconter comment j’ai vu un jeune cadre du FN se faire retourner comme une crêpe par un vigoureux trotkiste, le boug ?

dans ce sens là ça va..toute la france tient la chandelle

Sergio dit: à

bouguereau dit: 27 mars 2014 à 14 h 24 min
une fois sur deux on lui rendait vu qu’on est accessibe à la pitié.

Bon ben fallait pas se risquer au sud du quarante-cinquième parallèle

berenice dit: à

JB à l’examiner vous constaterez comme une ironie du hasard qui commence à Absolu et finit par Zut pour ce qui est des mots ensuite viennent les créations chiffrées.

Jacques Barozzi dit: à

Faut mouiller aussi les homos politiques et ceux de l’édition et de la presse, sans parler des gays artistes, ça plaira pas à Ceccaty !

Samu Social Club dit: à

coup de coude, de poing, quenelle, petit bras

Jacques Barozzi dit: à

D’Absolu à Zut… ça bande plus, bérénice ?

Madame de Valognes dit: à

ta gueule raclure de bougros

berenice dit: à

Je ne cherche pas nécessairement d’excitant Jacques Barozzi, pour ce qui reste de votre question il vous faudrait l’adresser aux concernés, qu’en sais-je? Simplement je n’ai pas le sentiment de sortir d’un constat désespérant et entraperçu il y a longtemps mais l’on gomme, on efface, on met en œuvre tout nos moyens et nos rêves pour le modifier(le falsifier, le faire fléchir tant il ressemble à une flèche mortelle) alors que jusqu’aux listes de parfums le réaffirment de façon narquoise et inattendue.

Phil dit: à

Baroz, à Nice, les cochers proposaient au débotté un « complet Lorrain » aux voyageurs qui voulaient bien.
ça laisse des traces, les petits-fils ont le tropisme travelo.
Sinon, ok pour vos souvenirs.
Morand, le seul à ne pas se raconter dans le miroir de Gabrielle C. en moyenne vingt iouro le volume d’époque chez les bouquiniss fasciss.

Enters Terence dit: à

Avec un petit nuage de lait

Clov dit: à

Des biscuits pour alimenter la conversation? non?

Marcel dit: à

Des gens qui se targuent d’esprit,
A France Inter, m’ont dit d’y voir.
La marche de l’histoir’ me prit,
J’en suis tombé dans un trou noir !

Enters Terence dit: à

Hé, les copains, les copains, les copains, vous savez pourquoi on croit qu’on est samedi?
Parce Jingle bells, jingle bells rock

TKT dit: à

Christiane, j’observe, je photo/fautographie, je mets en ligne sur FB ou sur mon Blog. Tokyo a la population urbaine la plus photogénique que je connaisse, un peu ce que devais être Londres, au temps des années 60/64. Si je montre un Jpeg, je ne vois pas pourquoi, je devrais faire aussi un mode d’emploi. Vous avez raison, je montre presque tout, sans faire disparaitre les vraiment mauvaises, celles qui ne sont pas des fautographies et restent des images ratées. Je ne cherche pas non plus, à faire des images parfaites; elles ne m’intéressent même pas chez les professionnels. J’aime voir dans une image, autre chose que le sujet épinglé.

Deneb et Nollet dit: à

@ « Je pourrais raconter comment j’ai vu un jeune cadre du FN se faire retourner comme une crêpe par un vigoureux trotskiste: »
C’est faux, Myrtille Le pen et son Front National, n’attirent que les hétérosexuels, mariés, bons catholiques. Vous calomniez une fois de plus, les gens qui sont dans la vérité.
Personnellement, nous, Deneb, dame-oiseau, si nous sommes vierges, c’est qu’il n’y a de salut pour les Français de souche, que dans le célibat.

û très sérieux dit: à

« une vieille folle édentée »

arrêtez de critiquer daaphnée

Clopine dit: à

nuances de gris (version clopinienne d’une vieille chanson) :

à un ami anglais

« Si un jour le hasard te ramène
Au printemps, à Rouen
Nous retournerons en bord de Seine
Tout comme auparavant

Le temps n’y fait rien et quand bien même
Si tu as refait ta vie
Je serais pour toi toujours la même
Mon amour : ton amie

C’est l’hiver encore
Et dans les cours grises
Pleurent les orgues de Barbarie

La Seine est grise
Comme la Tamise
A Londres il doit faire aussi froid qu’ici. »

TKT dit: à

Je n’ai pas bien compris, Jacques, votre « Sucette », elle payait ou se faisait payer ?

Phil dit: à

dear tkt, quand ça part en sucette, gros risque de se faire débiter.
un friquent flyer comme vous doit être rompu à l’exercice.

Un nain connu nous parle dit: à

Deneb et Nollet dit: 27 mars 2014 à 16 h 45 min

Salut Thierry.

TKT dit: à

@ nain connu: Non, ce commentaire n’est pas de moi, comme les vôtres ne sont pas de vous. Les vrais vôtres sont signés JC.
Je sais bien que Madame Le pen, se prénomme Martine. vous voyez bien, le commentaire de D. et Nollet, ne peut être que du comptable de la tour mollet.

Un nain connu nous parle dit: à

TKT dit: 27 mars 2014 à 17 h 23 min

Pas de fausse modestie mon cher Thierry.
Vos fantasmes sont toujours plus forts que votre volonté.

A la pêche aux moules, moules, moules.... dit: à

Pas de fausse sapiété mon cher Parhenry

Sergio dit: à

A mon avis elle a les yeux marron, la fille… Elle est bien, hein !

bouguereau dit: à

Jacques, votre « Sucette », elle payait ou se faisait payer ?

comme dsk le petit personnel se paie que de bouts de savon pour vontraube..

bouguereau dit: à

J’aime voir dans une image, autre chose que le sujet épinglé

un selfie avec sucette ça ça srait bat vontraube

bouguereau dit: à

les cochers proposaient au débotté un « complet Lorrain »

à part que ça sniffe d’ici la saucisse fumée phil c’est quoi exactement le menu ?

bouguereau dit: à

Faut mouiller aussi les homos politiques et ceux de l’édition et de la presse, sans parler des gays artistes

..c’est pas mal..mais moi je supputrais qu’un fierabras hétéro n’ayant pas fait son aouting se fait appeler suzette de nice par son petit personnel..trié sur le volet et que tu connais bien et qui est fort nombreux..et qu’il pait au noir évidemment..là il est mal devant les journaliss..et toi tu dis que tu tais tes sources..vdqs et disse de der

bouguereau dit: à

vdqs et disse de der

..sincérement copé à la tête de la victime..devant les caméra tu montres une poignée de petit savon d’hotels minabe et un sac plein de mignonette de mauvais wisky comme pièce a conviction.. et tu dis qu’évidemment elle ont été netoyé à la javel pour les traces adn..ça n’a aucun rapport mais ça convaincra jicé

Samu Social Club dit: à

Elle se gargarisa puis lui dit tu.

Phil dit: à

bougreau, le « complet Lorrain » (de Jean qu’était normand et pas lorrain) permettait au passager de monter le cocher comme le cheval, fouet compris. Mais avec mesure, pour que le postillon puisse raccompagner au formule 1.
Gide a testé pour vous.

berenice dit: à

« une vieille folle édentée » u très sérieux.
Aucune probabilité de vous la voir sectionnée, dans le milieu ou j’évoluais il y a fort longtemps, nous étions jeunes et sentions bons le sable chaud,, une de mes collègues et amies avaient de grandes dents devant un peu en avant et je me souviens qu’un autre mettait en garde un troisième sur les dangers d’une fellation qu’il imaginait possible et souhaitée.

berenice dit: à

où, bon, avait, amie.

Samu Social Club dit: à

Non, je me confis, oui

berenice dit: à

Bon ok ce n’est pas sérieux alors que nous parlions de Copé du FN, bref de tous ces acteurs qui font trembler la scène politique mais je note au passage qu’ET avec son générique de Dallas se montre assez décevant dans le sens(i mean…) que pas un ne génère du désir.

berenice dit: à

Je me confis du 2ème groupe? is is it, l’infinitif serait confire? mais il semble impossible de se confire, il faut du sucre et un agent de fabrication.

Enters Terence dit: à

Et qu’est-ce zé que tout ze brouhaha?

Samu Social Club dit: à

C’est la nouvelle pute qui les excite

A la pêche aux moules, moules, moules.... dit: à

tic tac tic tac

Enters Terence dit: à

Bon, balayez devant votre porte

Enters Terence dit: à

qu’est-ce que voulez que ça me foute vos trucs d’acupuncture?

bérénice dit: à

Elle a étudié à sciences po, elle sait de quoi elle chante!

A la pêche aux moules, moules, moules.... dit: à

Chaneliser en équipage pour la plus grande gloire de Coco
« pour nous c’est troller ceux qui nous prennent pour des cocaïnomanes »
Les grands cons du siècle,
et du monde
C’est sûr que t’as une ouverture là… d’esprit

Samu Social Club dit: à

vas-y, essaye de placer un com sur l’équipe (c’est une actrice belge)

Chaloux dit: à

Jacques, vous devriez vraiment écrire un ou deux bouquins.

Papilles dit: à

Chaloux dit: 27 mars 2014 à 20 h 09 min
Jacques, vous devriez vraiment écrire un ou deux bouquins

Impossible, il en a pas le goût.

A la pêche aux moules, moules, moules.... dit: à

On avait pas un cordobain dernièrement?

Samu Social Club dit: à

Alors : Jean Lebrun, « monsieur-madame » ?

Marcel dit: à

il fut longtemps l’une des grandes voix de France-Culture et l’est désormais à France-Inter

Une grande voix de garage ?

Marcel dit: à

Je n’aurais un instant jamais imaginé,
Que Passou à ce point était embourgeoisé.

D. dit: à

et toi, Jean ?
Quel est le montant de la retraite que te payent les travailleurs ?

DHH dit: à

Tout à fait hors sujet ,mais pour parler tout de même de littérature
J’aimerais savoir ce que les grandes figures de la RDL, éventuellement peut-etre Pierre Assouline s’il tombe sur ces lignes, pensent du rapprochement des deux extraits ci- dessous :celui-ci :
« il connut la mélancolie des paquebots, les froids réveils sous la tente, l’étourdissement des paysages et des ruines, l’amertume des sympathies interrompues »
,(Passage souvent cité de L’Education sentimentale)
Et celui-là ;
« il connut la mélancolie des restauroutes, les réveils acides des chambres d’hôtel pas encore chauffées, l’étourdissement des zones rurales et des chantiers, l’amertume des sympathies impossibles «
dans Jean Echenoz « je m’en vais » Prix Goncourt 1999 sur lequel je sui tombée ces jours-ci
Alors ?plagiat ou pastiche ?
D’après vous Echenoz a-t-il paresseusement copié Flaubert, ou bien a-t-il adressé un clin d’œil aux lecteurs, les supposant dans leur majorité assez familiers de l’ES pour apprécier un effet volontaire de décalage humoristique, dans le parallélisme des deux formulations

le rapprochement a evidemment dû etre fait en son temps(1999) :certains connaissent –ils le sens qui lui a été donné alors ?

des journées entières dans les arbres dit: à

Autrement dit, pour les vieilles désagégées, d »après vous est-ce que vous verriez Ferrer dans un formule 1.

des journées entières dans les arbres dit: à

désagrégées, les vieilles.

TKT dit: à

@ D. dit: 27 mars 2014 à 20 h 51: Votre question est fort d.bile, et vous, D., qui paye quand vous vous retrouvez au chômage, renvoyé car vous passez votre temps sur internet ? Tout le monde paye des impôts, pas vraiment « les travailleurs » plus que les autres. « Travailleur », exactement ce que vous n’êtes pas. Vous êtes un fumiste. Un fumiste mauvais et jaloux. Jaloux de la retraite d’un ancien prof. d’université, vous êtes vraiment minable.
« Les travailleurs », Ducornaud, travaillent, seul dans le système français, un homme comme vous peut sucer le citron social au maximum.
Si vous habitez vraiment la « Tour Totem », je trouve cela amusant, vous dans un symbole phallique, il y a vraiment là, une ironie certaine.

des journées entières dans les arbres dit: à

Franchement, la vieillesse de DHH est un naufrage.

Giovanni Sant'Angelo dit: à

… …
…leurs amis avançaient en commando sur le champs minés de la pharmacologie,…

…( une autre ),…

…en attendant,…
…le parti des d’héritiers de la force nationale pour leurs poches aussi,…
…et de la main droite dans un gant de velours de commisérations d’oppositions d’alliance nationale,…

…à quand les parti-pris des Coco-Chanel-Républicain K.K.K.,… pour collaborations au Capitalisme  » privé  » subventionné par l »état des taxes et emplois-fictifs,…

…et qu’est qu’il fait grand-père,…comme travail,…il râle,…il râle,…
…çà nous rend millionnaires au dépend de nos français,…le système collabo à Coco Coco Chanel,…la République des partis de diversion pour casser la pipe à nos français en légions,…etc,…

…de quoi çà cause,…le nationalisme du  » pognon  » facile,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip,…etc,…

des journées entières dans les arbres dit: à

Ah, Giovanni, vous avez manqué !
Il me reste des oeufs, en pagaille.

Enters Terence dit: à

moi, ce que j’ai mis à charger, c’est mon iphone

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…sur les arbres,…
…il faut les couver pour en attendre de belles poules,…
…des croisées mi-figues mi-raisins,…
…à la croix d’Ulysse et son Cyclope du Capital toujours renouvelé,…
…la droite du partage entre bon à rien chrétiens de première,…en pantoufles,…
…Ah!,…etc,…

D. dit: à

Vous avez raison, Thierry. Je m’emporte, pardonnez-moi. J’ai toujours été d’un tempérament impulsif. Et je demande pardon à Jean également.

D. dit: à

J’abite vraiment la Tour Totem, et dans un étage très élevé où j’ai trois grands balcons. Je ne vais pas le répéter sans cesse. C’est la dernière fois. J’ai des oliviers dans des gros pots et je les arrose tout nu la nuit car cela me rappelle le jardin d’Eden. Il est tout à fait permis d’être tout nu sur son balcon, c’est un domaine privé. J’ai payé cher pour cela et je ne m’en prive pas. J’en ai parlé à l’hôtesse qui fait l’accueil en bas à l’entrée sur dalle et elle est entièrement d’accord. Je l’inviterais bien à prendre un verre mais elle ne peut pas quitter son poste.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…elle est vierge au moins,…pour l’invitée,…

…toutes ces filles préparées par leurs  » mac « ,…
….plus aucun plaisirs de jeter son argent au trou du W.C.,…etc,…
…avec son mari d’abord,…çà passera comme du beurre,…aux anchois!,…le poste à pizza aux olives,…d’Eden!,…Ah!,…etc,…

Sergio dit: à

DHH dit: 27 mars 2014 à 21 h 12 min
ou bien a-t-il adressé un clin d’œil aux lecteurs, les supposant dans leur majorité assez familiers de l’ES pour apprécier un effet volontaire de décalage humoristique, dans le parallélisme des deux formulations

Plutôt cela : il faut l’imaginer en train d’écrire. La phrase, qu’il connaît ou à tout le moins dont il connaît la musique générale, lui revient. « Joli coup » se dit-il, en songeant que premièrement son texte se débloque, et que secondement ce bond au second degré, qui ne prête guère à conséquence, lui confère une petite valeur. La paresse pure semble exclue, en particulier à cause du choc du machin autoroutier sur le paquebot. Et puis, honnêtement, il aurait sûrement, tant qu’à faire, tout remplacé.

TKT dit: à

Le Jardin d’Eden, vadiou, l’D., attention, comptez vos cotes.
Imaginez, vous le vierge de partout, obligé de faire du sexe avec une cote quittant votre corps, afin que vous la baisiez.

D. dit: à

Votre humour est ravageur, Thierry. Je n’y résiste plus. Me permettez-vous de vous appeler Thierry ?

D. dit: à

Je pense qu’une véritable complicité entre nous-deux, c’est manifestée ses derniers temps. J’attendais ce moment avec tant d’impatience.

D. dit: à

Bon il est temps que j’aille arroser mes oliviers.

Enters Terence dit: à

A la guerre, comme à la guerre, vous verrez.

Béhémoth dit: à

Sucer une morte,
ou se faire sucer par elle ,
et quoi d’autre !.

Editions Moulinsart dit: à

Pierre Assouline, rassurez-vous, nous ne récupérons que Tintin.
On vous laisse Toto.

Béhémoth dit: à

Hermes et son foulard,
en cuir sellé,
la NAP,
cuisses écartées,
entre-jambe échauffé,
lèvres teintées,
du vit de son queutard,
ne saura, saura,
que le sécher !.
A burnes pourléchées,
jet sans fard,
maquillage sera.

Et de se sourcil souillé,
la langue se nourrira.

Béhémoth dit: à

Équipage donc.

Nonne notte.

Béhémoth dit: à

Malencontreusement,
ce se n’est pas ce !.
Qu’importe,
le flacon n’est jamais l’ivresse,
mais un foulard Hermes,
à l’étrier bien serré,
retarde l’éjaculation.

Allez,
bonne monte.

Ou alors perdu,
comme le pauvre D,
de la gauche ou la droite,
puceau qui s’en dénie.

Marcel dit: à

Bergère

Dans les contes de nos grands-mères,
Les moutons étaient bien gardés,
Par d’affriolantes bergères,
Dans les contes de nos grands-mères.

Aujourd’hui, c’est grandes misères,
Tous ces moutons barricadés.
Dans les contes de nos grands-mères,
Les moutons étaient bien gardés.

Jean Calbrix, le 28/03/14

BS dit: à

Ici, c’est plutôt « QQ-Channel ».

JC..... dit: à

DHH dit: 27 mars 2014 à 21 h 12 min
« Tout à fait hors sujet ,mais pour parler tout de même de littérature »

Vous posez une bonne question, Judith : réminiscence, pastiche, ou plagiat ? Comme le Motard Sergio se permet de vous répondre, le Voileux n’hésite pas une seconde.

Qu’importe hasard ou nécessité ?!

PS : pour expliciter un peu : nous utilisons les mêmes mots, parfois les mêmes idées… parle t on de plagiat ? Non ! Il faut accepter l’idée de plagiat : redire, réécrire ce qui a été déjà dit ne pose aucun problème. Réutilisons les pierres des anciens édifices. Sans vergogne ! Ces histoires de « propriété de phrase, de tournure de phrase, de musique de phrase » sont ridicules ….?

Faux débat, donc ! Bien à vous, ma belle, avec tout le respect que je vous dois !

JC..... dit: à

Elle avait mauvais caractère : Coco Chamelle ?

JC..... dit: à

Notre bon Roy Hollande l’Horloger, tel LOUIS XVI, reçoit à Versailles les aristocrates chinois « communistes », tyrans immuables, dignes héritiers du Gros Mao, géronte pédophile bien connu.

Géant impuissant, notre bon Roy LOUIS finit raccourci par la Révolution imbécile et bourgeoise armant les bolos de l’époque.

Que le FMI épargne à notre nomenklaturiste socialiste, occupant ce poste par hasard, un tel destin !!!

Le peuple enjoué, le cinéma français et ses girls, la culture dans son ensemble, ne supporterait pas une fin aussi py-py-toyable pour notre haut fonctionnaire charmeur.

des journées entières dans les arbres dit: à

Et l’élu de Porquerolles, il en a de l’imagination pour tordre les noms. C’est bien là son seul talent littéraire.

DHH, merci de ce petit tour dans « Des Groseilliers », même si Gustave n’était pas du voyage !

JC..... dit: à

GRAND FESTIVAL DES IDEES POLITIQUES

Dans certaines villes de la 5ème puissance mondiale, des cons UMP ou PS appellent à voter pour des cons PS ou UMP, afin d’empêcher d’autres cons FN de parvenir aux pouvoir …

Et les cons du peuple suivent les consignes !

Le troisième millénaire est enchanteur…

JC..... dit: à

Djedla,
L’élu des Nombreux est forcément un menteur : ne m’insultez pas, je vous prie…

des journées entières dans les arbres dit: à

« quant au vitrail de l’abbaye cistercienne d’Aubazine, si cela ne vous rappelle rien… »

mais si, mais si ! ça me rappelle que cette Abbaye a été occupée par une communauté de verbeux. Un « renouveau » récent du côté de Tulle.

bérénice dit: à

 » avant de connaitre Bérangère Eisenmann, ferrer ignorait l’existence d’Extatics Elixir. Maintenant, il le respire encore pendant qu’il se dirige vers l’ascenseur sur la pointe des pieds : le parfum passe par le trou de la serrure, les interstices de la porte palière, il le poursuit jusqu’à chez lui. Bien sur il pourrait suggérer à Bérangère de changer de marque mais il n’ose pas, bien sur aussi qu’il pourrait lui en offrir un autre mais différents arguments l’en dissuadent, ce serait peut-être un peu trop s’engager, ah nom de Dieu, vivement le pole Nord. » Jean Echenoz je m’en vais.

http://www.youtube.com/watch?v=3R_6sP_6VWE&feature=player_detailpage

des journées entières dans les arbres dit: à

Var matin est plus explicite sur la situation locale,  » nuit blanche à Seattle.

Passou dit: à

A DHH de 21h12, Seul Jean Echenoz connaît la réponse. Le reste ne serait que spéculation.

renato dit: à

J’ai mis un lient sous Rothko (l’atelier)…

des journées entières dans les arbres dit: à

DHH, pour  » je m’en vais » d’ Echenoz, j’ai retrouvé le passage que vous donnez pour de l’éducation sentimentale. Fin du chapitre 28. P.196 Edition d’origine.
Et ce n’est pas de Ferrer dont il s’agit, mais de son assistant, à la galerie d’art.
Franchement … je persiste !

Mais je vous dois un merci, DHH,de m’avoir fait réouvrir ce livre.
Un bijou.

christiane dit: à

@DHH dit: 27 mars 2014 à 21 h 12 min
Ce qui me surprend c’est qu’à la lecture de ce passage du livre de J.Echenoz, la phrase de G.Flaubert vous soit remontée en mémoire. Quelle lectrice vous faites ! La superposition est troublante. Jouerait-il comme M.Butor à superposer des strates de ses lectures aimées avec ses propres pensées, dans son écriture ? Jeux de couplages et de contre-point. Citations ? Plagiat ? Ainsi les pensées de Flaubert s’entretisseraient avec les siennes dans un effet miroir inversant les propositions, effaçant la signature précédente ou la soufflant pour les experts… Une sorte de fouille dans l’archéologie de sa mémoire. Un espace-livre d’avant l’écriture remonte en sa mémoire…
Énigme…
Seul lui pourrait répondre… comme l’écrit P.Assouline.

des journées entières dans les arbres dit: à

Et la lumière s’est éteinte…

Au secours, Hélène changez de service. Gérontologie, direct !

des journées entières dans les arbres dit: à

Ce qui est fabuleux, DHH, et je ne doute pas que vous ayez ce livre d’ Echenoz par devers vous- autant pousser encore un peu le hors-sujet-, c’est la porte ouverte en fin de ce livre.
J’adore, cette question incongrue  » vous êtes un ami de Georges ? »

ça me fait penser, je vais aller au ciné voir le der des der de Resnais.

Onésiphore de Prébois dit: à

J’aimerais savoir ce que les grandes figures de la RDL, (DHH)

Tout est relatif, comme disait le grand Albert

u. dit: à

« D’après vous Echenoz a-t-il paresseusement copié Flaubert, ou bien a-t-il adressé un clin d’œil aux lecteurs, les supposant dans leur majorité assez familiers de l’ES pour apprécier un effet volontaire de décalage humoristique, dans le parallélisme des deux formulations » (DHH)

La deuxième solution est naturellement la bonne!

Onésiphore de Prébois dit: à

Quelle lectrice vous faites ! (Christiane)

Est-ce qu’il reste du cirage ?

Onésiphore de Prébois dit: à

« D’après vous Echenoz a-t-il paresseusement copié Flaubert, ou bien a-t-il adressé un clin d’œil aux lecteurs, les supposant dans leur majorité assez familiers de l’ES pour apprécier un effet volontaire de décalage humoristique, dans le parallélisme des deux formulations » (DHH)

La deuxième solution est naturellement la bonne! (u.)

La première est évidemment la manifestation du crétinisme de qui la formule.

Onésiphore de Prébois dit: à

Seul Jean Echenoz connaît la réponse. (Passou)

D’ici qu’il la donne…

JC..... dit: à

« La première est évidemment la manifestation du crétinisme de qui la formule. »

C’est pas gentil pour DHH qui la formule….

Clopine Trouillefou dit: à

Bravo à DHH d’avoir repéré le malicieux détournement d’Echenoz. Mais qui ne s’est pas amusé à ça, au moins une fois ?

… Je me souviens avoir glissé, dans une ode dédiée à mes bêtes et à mon jardin, ceci :

« Ô gazon ! Ô râteaux !
Quel âne est sans défaut ? »

(mais bon, c’était juste une blague, hein.)

(d’accord, je sors.)

JC..... dit: à

C’est drôle : le plus stupide des lecteurs du blog à Passou, le plus arriéré des passants, le plus simple d’esprit des surdiplômés ronflants, se sent infiniment plus intelligent lorsqu’il a lu un commentaire, n’importe lequel, de la normande aux ânes pédagogues qui professent en ses jardins !…

Miracle du gnagnagna….

u. dit: à

Sous l’égide de Coco, je ne comprends pas cette phrase:

« « Non au chèque en blanc pour 19 ans de socialisme », a lancé Nathalie Kosciusko-Morizet, tailleur pantalon noir et chemise immaculée » (Le M.)

Qu’as-tu voulu dire, maladroit journaliste?
On refuse un chèque en blanc en chemisier blanc?
Il est étonnant que NKM soit propre?

Sauras-tu retrouver dans ta mémoire les illustres cradingues gouvernementaux?
— Michel Charasse, en gros-déguelasse, je n’aurais pas aimé m’assoir à ses côtés.

JC..... dit: à

« Séropositif, Bernard Costa été emporté par le mal en un temps pas si éloigné où le mal tuait encore. C’était en 1990 et il avait 35 ans.
Il eut le temps de lui murmurer une seule fois : « Le son de mon amour, tu ne l’entendras jamais d’un autre ».
Et de lui répéter en une douce injonction : « Dis, notre livre, tu l’écriras ? ». »

Relisant ce passage du merveilleux billet de notre cher Passou, extrait empreint de la plus exquise des sensibilités gay, j’hallucine un court instant de déchirement de l’espace-temps terrestre : je vois notre Pierre le Grand en perruque Barbara Cartland, écrivant des harlequineries dans une grande maison rose … une grande baie vitrée où jardine Bellegueule, Fouilletrou dans ses casseroles à la cuisine… Misère ! Angoisse de l’homme sans pieu !

JC..... dit: à

Charasse est longtemps resté double recordman du monde du Postillon Politique, catégories Distance et Volume…

Record actuellement détenu par Arnaud Montlad’ssus-tu-verras mon redressement productif générateur de chômage.

u. dit: à

Temps de parole oblige, il faut dire un mot de l’autre dame.
Elle déclare ceci:

 » Il faut rassembler sur ce que nous sommes, nos familles politiques, rassembler au-delà les humanistes, les progressistes.  »

Ça reste étriqué.
Un projet aussi manifestement généreux devrait « rassemble au delà tous les homo sapiens », en acceptant la minorité désormais recensée de Néanderthaliens (4% ?), au nom de la diversité.

Le débat opposant ces deux tigresses a été le plus foireux qu’il m’ait été donné de voir.
Même les chonos décomptant les temps de parole s’affolaient puisqu’elles avaient choisi de s’égosiller en même temps.
Du coup il ne fallait plus soigner l’argument, mais trouver le bon timbre pour rendre sa voix plus perceptible que celle de la rivale.

Anne, que l’hostilité vieillissait, observait Nathalie avec une suspicion de fouine (elle est d’habitude agréable, pourtant?): elle choisissait le timbre bas, martelé, la basse continue.
C’est Nathalie qui dans le duo passait au soprano léger, avec quelques éclats de rire forcés mais rafraîchissants.

La faute principale au zozo qui « modérait » le débat, un nommé Fogiel, davantage habitué au bordel des émissions people qu’aux discussions politiques.

J’ai décroché.

JC..... dit: à

Extrait du dernier roman, le 724ème, de Barbara Cartland qui cumule un tirage total à 1 milliard d’exemplaires :

« Entre deux connes, choisi toujours la plus riche, c’est celle qui te volera le moins…! »

Madame de Valognes dit: à

j’ai repéré dans plusieurs livres cette phrase : « je t’aime »… à qui vont les droits d’auteur ?

Madame de Valognes dit: à

j’adoooore les vieilles poules moliéresques, bien vu Onépasifort

Madame de Valognes dit: à

par contre, pour la connerie JC… devrait toucher un sapré paquet…

DHH dit: à

@des journées….(9 h 37)
merci du tuyau
je vais me precipiter sur ce manuel pour savoir si j’ai su lire le livre d’Echenoz que vous presentez comme un petit bijou ,et qui m’est pourtant apparu certes comme l’expression d’un savoir faire stylistique original,mais comme mediocre dans ses qualités romanesques

JC..... dit: à

Madame de Valognes, je suis Prince des Cons autoproclamé et je vous sens proche de mes jugements.

Voulez-vous devenir ma favorite ?
(j’ai déjà le casque et le scooter…)

des journées entières dans les arbres dit: à

DHH, ne vous acharnez pas sur ce livre « je m’en vais » d’Echenoz.
Car pour ce qui est du médiocre, effectivement précipitez vous sur les extraits de cet opus d’exégètes de l’oeuvre d’ Echenoz, -dispo en lecture gratuite et partielle- surtout concernant les feintes.

Tout ce qui pourrait y avoir chez Echenoz et qu’il n’y a pas. C’est hilarant.

Enters Terence dit: à

Il a pas un grain de jugeote ou quoi?

Jacques Barozzi dit: à

« L’hypermarché devient un objet littéraire. Annie Ernaux raconte son Auchan, celui du centre commercial de Cergy. »

Clopine est demandée à la caisse !

Pôv' petite fille riche dit: à

« Entre deux connes, choisi toujours la plus riche, c’est celle qui te volera le moins…! »

Faux, pour devenir riche elle t’a volé (ou son papa, ou sa maman) après le pli est pris.
Toujours plus.

Samu Social Club dit: à

Y’a pas trop à se demander qui leur bourre les urnes

Jacques Barozzi dit: à

« Tonnerre de Brest ! Moulinsart Inc. a encore frappé ! »

Genet a enculé Tintin ?

A la pêche aux moules, moules, moules.... dit: à

bon, hé, écoute ginette, tu rêves

Onésiphore de Prébois dit: à

« Entre deux connes, choisi toujours la plus riche, c’est celle qui te volera le moins…! »

Le problème avec DHH et Christiane,c’est qu’elles sont aussi pauvres d’esprit l’une que l’autre. L’indigente Clopine en plus, ça devient la forêt de Bondy !

Querelle de Cannes ? dit: à

Genet a enculé Tintin ?

baroz semble avoir un vrai problème avec Genet,
déception amoureuse ?

Clopine Trouillefou dit: à

Jacques, j’espère seulement qu’Annie Ernaux (que je tiens pour la plus grande romancière française) n’aura pas oublié, dans son évocation, les parkings de son hypermarché. Lieu panurgique de la plus violente laideur qui soit. L’épicentre de la destruction de la nature par l’homme. La tristesse infinie des capots brillants d’automobiles immobilisées.

Onésiphore de Prébois dit: à

« L’hypermarché devient un objet littéraire. Annie Ernaux raconte son Auchan, celui du centre commercial de Cergy. »

Je m’en vais suivre incognito la mère Ernaux en train de faire ses courses, histoire de savoir ce qu’elle bouffe.. Pour écrire des livres aussi nuls, faut sûrement suivre un régime spécial. Et si je lui piquais discrètement les fesses avec une seringue au cyanure? Il y a des calamités auxquelles il faut avoir le courage de mettre fin.

Onésiphore de Prébois dit: à

L’épicentre de la destruction de la nature par l’homme (Clopine)

Clopine, ce serait plutôt le trou noir de la connerie féminine.

En avoir ou pas dit: à

(que je tiens pour la plus grande romancière française)

Après combien d’hommes ?
Quelle machoe cette Clo-Clo.

A la pêche aux moules, moules, moules.... dit: à

Je propose Tarty et Butsch pour bien enfoncer le clou

Image dit: à

« La tristesse infinie des capots brillants d’automobiles immobilisées. »

P’tin c’est beau.
Quelle inventivité.
Quelle imagination.
Comment fait-elle pour se représenter des capots brillants sous le crachin du Carrefour de Forges ?
Le talent vous croyez ?

Samu Social Club dit: à

sous le honduras le guatemala, va

Enters Terence dit: à

Reste deux coups à jouer. Tu prends le gland?

Madame de Valognes dit: à

ce sont ceux qui n’ont pas lu Echenoz qui en parle le plus, comme pour Eddy… quant à cri-cri et DHH, bien envoyé le gars

u. dit: à

La minute d’exotisme facile

C’est Madame Ôdori Ran, ancienne star du théâtre de femmes Takarazuka (« Sayonara » avec Marlon Brando, remember?) qui a joué Coco dans un « musical » à Ginza.

http://www.youtube.com/watch?v=RtZxfg6hvAI

D’origine chinoise malgré sa naissance au Japon après la guerre.

DHH dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 27 mars 2014 à 21 h 27 min
Franchement, la vieillesse de DHH est un naufrage.
merci de supposer que la stupidité dont vous me taxez est l’effet de l’âge ,ce qui sous -entend que vous me creditez de grandes qualités intellectuelles du temps où je jouissais de toute ma tête

Madame de Valognes dit: à

Onépasifort 11 h 20 : pouvez-vous rajouter jicé et bougros parmi les gonzesses, plise

des journées entières dans les arbres dit: à

Oh DHH, je n’avais pas lu votre 12h04.
Perso, je me fiche de vous comme d’une guigne !
( votre lecture sénile d’Echenoz m’aura toutefois permis de passer un bon moment )

Samu Social Club dit: à

merci Franck…

JC..... dit: à

Captain D., bonjour !

Tout d’abord merci de nous avoir promu, Marcel Calbrix et moi-même, aux postes enviés de navigateurs poétiques dans votre engin cosmique de contact terrestre « l’Evariste Gallois », et ce, compte tenu de nos aptitudes scientifiques élevées. Nous ferons de notre mieux, soyez en sûr !

Ce matin, des villageois bourrés m’ont posé une question à laquelle je n’ai pu répondre : « Dites nous : le Commandement Galactique du Cosmos voit il d’un bon œil ce deuxième tour des élections municipales ? »

Pouvez vous me faire parvenir des « éléments de langage », si possible meilleurs que ceux actuellement utilisés par Najat Bellegueule afin que je puisse répondre ?

Enfin, sachez que les affaires continuent et que la plupart des observateurs terriens instruits ont ici le sentiment d’assister à la dernière représentation d’une pièce théâtrale mal jouée.

PS : un adolescent m’a posé la question suivante : « Ne pensez-vous pas que le pire ennemi de la démocratie est la démocratie ? »
J’attends vos suggestions de réponse … Bien à Vous !

JC..... dit: à

Onésiphore, je pars en scooter renforcé, il parait qu’elle est difforme l’aristocrate, avec l’objectif de l’enlever dans la journée.

Cette Madame de Valognes m’a tapé dans l’œil, je vous tiens au courant de nos Amours, je ne la vois pas refuser dans son état, la proposition lubrique que je vais lui faire.

J’amène un petit Rothko pour « fluidifier la relation sociale « …

Samu Social Club dit: à

Vous pouvez me passer ça au décap’four les minables?
Rotten device, I’ll say it twice
I’m too much I’m too much comforted here
Costs too much too much, we’ll leave you
Everywhere eyes, nowhere to die
No place to shove your sharpened heel
I’m looking looking for a tired face
In case you wanted to go
I know, I’m breathing in to the end

Calling the bluffs, talking so tough
Goodbye to the ugly steeple fear
Good times for ever after
I’m just a man
You see who I am
I’m binding my hooks
And open the books
Dirty black hearts
Angel of corpus christi
You’re so misty, tell me what I want to hear
I know I’m reeling in
I know I’m reeling in
To the end
To the end
To the end
To the end
I know I’ll never know
I know I’ll never know

Enters Terence dit: à

oh non ! on en peut plus de ce groupe de chiotte, lisez les commentaires plus bas s’il vous plaît

max dit: à

@u.
« Le débat opposant ces deux tigresses a été le plus foireux qu’il m’ait été donné de voir. »

les débats politiques sont à éviter ! mortels!

Enters Terence dit: à

Coco, la mini, les Tron, tu viendrais pas nous chier une pendule?

Bihoreau de Bellerente dit: à

«A l’instar de René Crevel, le compagnon disparu avait souhaité : « Prière de m’incinérer. Dégoût » Mais il avait été jusqu’à préciser que ses cendres devaient être non déposées au colombarium mais jetées à la voirie. »

Par solidarité avec toutes les victimes des camps de la Mort, quels qu’ils soient, je veux qu’on jette mes cendres aux égouts.

Enters Terence dit: à

(tu sais Bihoreau un peu de scotch avec toi et c’est vite vu)

Onésiphore de Prébois dit: à

Par solidarité avec toutes les victimes des camps de la Mort, quels qu’ils soient, je veux qu’on jette mes cendres aux égouts. (Bihoreau de Bellerente)

 » Un secret », le beau film de claude Miller rediffusé hier soir, en suggérait beaucoup sur les limites de notre solidarité avec les morts, même les plus aimés, même les plus purs martyrs. Que notre mort soit la mer allée avec le soleil.

Sergio dit: à

Onésiphore de Prébois dit: 28 mars 2014 à 14 h 52 min
les limites de notre solidarité avec les morts

La solidarité est inversement proportionnelle à l’identité, en voilà un beau théorème… Comme dirait Nathalie Sarraute, il y a ceux qui s’aiment et ceux qui s’aiment pas…

Marcel dit: à

Dans un énorme instant d’énervement extrême,
J’ai bousillé mon poste à grands coups de talon.
Maintenant, orphelin, je vous conte ma peine :
Je n’entends plus la voix de Lebrun, c’est trop con.

bouguereau dit: à

byoro..non content de nous pèter tout son co2 au gazprom il veut nous colmater les fosses septiques..dégout

Sergio dit: à

La photo du milieu elle avait vraiment l’habitude de la prendre, la pose… Quel travail !

bouguereau dit: à

..elle est mieux que karlos merde

bouguereau dit: à

..pas l’genre a mette des lunettes nouartes sauf à nice pour faire mine de pas voir sucette

Sergio dit: à

bouguereau dit: 28 mars 2014 à 15 h 45 min
..elle est mieux que karlos merde

C’est certain… Absolument mais vraiment… C’est le seul gars qui peut pas avoir d’avion le bastringue décollerait pas…

Phil dit: à

oui Sergio. comme Obama qui fait semblant de parler sans prompteur. history on ze move.
Chanel Numéro 5 a passé deux guerres. La senteur de jasmin séduit les gauchiss, les fasciss et les guerrefroideurs. Certains disent que c’est une odeur spermateuse.

Duc de Praslin..... dit: à

Parmi les Coco connus, n’oubliez pas le mien : le coco-fesse ou cucul la Prasline.

Objet admirable ! bien plus beau que les cocos de Pierre Laurent, les cocos du Kremlin, ou la Coco Chanel

des journées entières dans les arbres dit: à

Phil, vous utilisez quel dictionnaire de botanique ?

Phil dit: à

desjournées, la botanique de Gide.

Enters Terence dit: à

Quand on pense qu’on leur fera pas payer un jour tout ce qu’on s’était promis de leur faire payer…

Sergio dit: à

Phil dit: 28 mars 2014 à 16 h 08 min
c’est une odeur spermateuse.

Bon, bon… On dit aussi de fort méchantes choses sur les andouillettes, même quand elles ont six galons comme à la Libé. I faut pas mollir ! Au pire on installe un cratère à la place de l’établissement… Seulement après, plus d’andouillettes ! Misère…

des journées entières dans les arbres dit: à

Phil, j’ai craint que ne fassiez de confusion avec certains aldéhydes. Mais vous avez du nez.

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