Chronique troublante d’une évaporation
Ce qu’il y a de bien avec la rentrée littéraire, ou plutôt d’original car nul ne jurerait que c’est un bien, contrairement aux rentrées scolaire, professionnelle et parlementaire, c’est qu’elle vient vous chercher jusque dans vos vacances pour vous attraper par le cou et vous obliger à sortir même si vous n’êtes pas encore rentré. Tous ceux qui ont passé une partie de leur été à lire sur épreuves, terme qui s’avère hélas le plus souvent parfaitement adapté à la situation, qu’ils soient critiques, journalistes, jurés, libraires ou bibliothécaires, se parlent, s’écrivent, se lisent. Il y a du buzz, de la rumeur, du bruit de fond, du bouche-à-oreille. Parfois très tôt émerge le roman qui vitrifiera la rentrée aux dépens de tous les autres (Les Bienveillantes, Les Particules élémentaires etc) ; parfois, non. Rien à l’horizon. Le calme plat et c’est tant mieux. Chacun a ses chances, tout peut arriver à commencer par l’imprévu magnifique, l’inattendu espéré. Il y en a forcément puisque la plupart des auteurs de premier roman sont des inconnus.
A l’heure où nous mettons sous presse, pas de grands livres en perspective, mais des bons livres, certainement. Au hasard, parmi quelques uns isolés de la pile, Summer (320 pages, JC Lattès), cinquième roman de Monica Sabolo. Une femme disparaît. Air connu grâce au cinéma. Sauf que là il s’agit d’une jeune fille et que son frère Benjamin Wassner, 15 ans à l’époque, vingt-cinq de plus lorsqu’il se souvient, est le narrateur. La remémoration des secrets d’enfance d’un garçon qui se croit jugé comme idiot par son entourage, une extrême attention portée au gestes et aux détails du quotidien soudain rehaussés par l’intensité du drame, le doute et l’angoisse de ne pas savoir, l’absence au monde de celui dont l’esprit est hanté par la disparue, le ressouvenir envahissant de celle qui n’est ni morte ni vivante, Summer, 19 ans.
Rien ne torture des parents ou des proches comme de ne pas savoir. Il mène son enquête sur les siens et ce retour l’édifie d’étape en étape, de désillusion en désillusion tant les apparences sont insincères. Il ne s’épargne pas, se culpabilise de n’avoir pas réagi lorsque sa sœur passait pour une « Miss Suicide », se croit né trop tard, se persuade que les choses étaient différentes avant qu’il ne soit là, lui, le dyslexique, mal aimé quand sa sœur était adorée de tous, lui qui passait son temps en classe à décomposer une gomme en milliers de miettes, dont nul ne soupçonnait la vraie nature, sa fascination pour le mal et la douleur, son goût de la dissimulation. Et si ?… Peut-être après tout que, comme dit l’inspecteur :
« Quoi qu’il en soit, les gens ne disparaissent pas comme ça. Il y a toujours une explication. Et elle est souvent extrêmement simple. A portée de mains ».
Cette chronique d’une dilution par un homme qu’elle a brisé a beau se dérouler sur les rives du lac Léman, lac très présent dès l’incipit où il se trouve mêlé au rêve, dans une maison agréable avec des personnages bien blonds, bien typés du milieu de la bonne bourgeoisie genevoise, elle n’en est pas moins angoissante en raison de ce cliché apaisant et du contraste qu’il offre avec le drame. Lorsqu’il survient, les façades se lézardent, d’autres visages apparaissent derrière les masques tranquilles de tous les jours, les faux-semblants se redessinent et une fois de plus se vérifie le jugement de Proust dans l’une de ses lettres :
« Nous vivons auprès de gens que nous croyons connaître. Il nous manque l’événement qui nous les fera apparaître autres que nous les savons »
Ici l’évènement, « l’incident déclencheur » recherché par le thérapeute qui soigne le narrateur, c’est bien entendu cette disparition, fugue, fuite, enlèvement, noyade, décomposition, métamorphose qui sait, on n’en sait rien, du moins pendant un certain temps, une jeune fille ne disparaît pas parce que sa mère l’avait giflée le jour de ses premières règles même si c’est paraît-il une tradition, et il faut espérer que nos chers critiques vous en diront le moins possible afin de ne pas gâter la lecture. Dans la maison, tout se lézarde et s’écroule des relations que l’on croyait bâties sur le solide traditionnel des familles aimantes. Un détail suffit dans la quête des traces de la disparue pourtant pour menacer le bel édifice et stimuler le grand déballage de vérités enfouies et de mensonges honteux. Ne reste plus qu’à chercher, chercher encore :
« Peut-être est-ce la seule chose à faire quand on n’a plus ni souvenirs, ni émotions : retrouver des vestiges, creuser avec ses doigts dans la terre, reconstituer des squelettes, épousseter les fossiles, mais même là, il est probable qu’on ne parvienne jamais à saisir la vie qui les animait, pas même à l’effleurer ».
Assez simenonien dans sa facture, son économie d’effets, sa sensibilité et surtout l’extrême empathie qu’il dégage pour le personnage principal, non la disparue mais le narrateur, Summer tire sa force d’une écriture au cordeau dénuée de trucs mélodramatiques, de sa pudeur dans le déploiement des sentiments et de la maitrise de l’intrigue de bout en bout. On en ressort avec un trouble durable, l’esprit entre deux eaux. Prenant et poignant comme une série anglaise en deux saisons et seize épisodes, sauf que c’est moins long et plus onirique car la dimension policière de cette recherche est restreinte. Le plus réussi dans le roman de Monica Sabolo, quelqu’un qui manifestement ne déteste pas les secrets de famille, c’est ce que ce genre de drame révèle et cristallise des êtres qu’il concerne, les fils qu’on tire, la nuit surtout, lorsqu’on retrouve ses fantômes en rêve.
Nul doute que ce roman, qui m’a fait penser à Harry, un ami qui vous veut du bien, le film de Dominik Moll, par son ambiance, son atmosphère, et par le malaise qu’il distille par petites touches, sera porté à l’écran et qu’il sera abondamment traduit.
( photos Passou)
1 090 Réponses pour Chronique troublante d’une évaporation
Pauvre Michaux ! En voilà encore de bien lu, tiens !
Le fascisme risque surtout d’advenir parce que des profs incompétents comme Wgg ont dispensé année après année un enseignement débile et rébarbatif à de pauvres élèves. Ils auront été inaptes à la tâche qui leur incombait. Que Wgg en rejette la faute sur autrui est une déficience supplémentaire, aussi vaine qu’abjecte. Qui a ouvert l’égout périra par l’égout !
Très drôle !
@ Pat V
Je constate que vous ne répondez à aucune de mes objections. Par contre vous sortez très vite la tarte à la crème qui sortent tous les défenseurs du « milieu » quand on leur montre leurs contradictions et la faiblesse de leurs arguments: vous êtes un réactionnaire ! Vous arrivez même à écrire: « ceux, réactionnaires qui veulent disséquer ce qui est de l’ art et ce qui en est pas ». Voilà une phrase qui prouve
bien qu’il s’agit de foi, d’une idéologie, et d’une idéologie stalinienne de type pensée unique. Celui qui ne croit pas aux idées de la secte, celui qui n’avale pas les escroqueries du système, celui qui se permet l’insolence de discuter les dogmes, celui qui dénonce que le roi est nu, est un réactionnaire. Et même ceux qui veulent savoir ce qu’est l’art sont des réactionnaires. Voilà. Tout est dit. Quarante ans travaillant dans
l’art pour arriver à ça, à une vision nord-coréenne de l’Esthétique.
@ Pat V
« L’art c’est avant tout une pratique, demandez-le aux peintres. Il n’ y a rien de métaphysique là dedans ».
Je vous croyais un expert en Esthétique et je vois que vous ne savez même pas que l’Esthétique existe. Vous n’avez jamais entendu parler de la philosophie de l’art? Mais vous êtes qui? Un simple journaliste de revue d’art spécialiste des modes parisiennes du non-art? Vous n’avez jamais réfléchi à la nature de l’art? Pour vous c’est de l’art tout ce que le système vous dit que c’est de l’art? Vous n’êtes qu’un petit pion obéissant du système qui avale tout ce qu’on lui dit d’avaler? Vous n’avez aucune idée personnelle? Vous n’êtes qu’un mouton qui répète les idées qu’on lui demande de répéter?
Votre dernière phrase est d’une frivolité intellectuelle ahurissante: « et on ne va pas demeurer avec la crampe de savoir ce qui est plus ou
moins de l’art ».
Eh oui, ça c’est le dernier de vos soucis. L’art, vous vous en fou.tez complètement. Pour vous l’essentiel ce que le système marche pour que vous vous puissiez en vivre. Pour vous c’est de l’art tout ce qui se vend. Et plus la presse spécialisée en parle et plus les prix montent et plus c’est de l’art. Vouloir savoir ce qu’est de l’art c’est mettre des battons dans les roues de la planche à fric, avoir une crampe à l’heure de compter les billets et d’encaisser les chèques.
Toute une vie pour arriver à la conclusion que la réflexion sur la nature de l’art est une crampe (du cerveau, j’imagine). Je vous imagine en écrivant sur « l’art » pendant 40 ans sans jamais vous avoir posé la question de la nature de l’art. Puisque l’art est ce qu’on vous dit que c’est de l’art, pourquoi se le demander?
C’est vrai, vous avez raison.
PabloV Pat 75
*
« Quoi! le haissez-vous parce qu’il vous ressemble? »
@ Delaporte
« Le fascisme aura au moins ceci de bon, c’est qu’un énergumène comme Wgg sera immédiatement pendu par les couilles en place publique. »
Tu rêves !!
Blabla-Widergänger, comme tous les porcs, est castré.
pauvre la vie dans les bois.
qui n’a elle aucum problème avec les allocations familiales. ni aucun problème avec un petit corps dans une sépulture qy’il faudra porter en terre.
Où, dans les situations dramatiques, les natures se révèlent.
Au premier tour, je fais ceci, au second, je rectifie le tir.
Je vote l’opposé.
J’écris à ma grand-mère. je lui demande pourquoi elle a trompé pépé pendant qu’il était dans un camp en Allemagne.
widergänger à 23h56
entièrément d’accord avec vous. ce qui se profile, sous la complicité silencieuse de nos politiques padamalgam, a.déjà été vécu.
c annoncé par le laisser-aller au sein de l’éduc. nat. et l’abandon des profs à ler sort face aux barbares.
hier, ai appris, ai bcp appris hier, que certains jeunes quittent le métier dès le début. Foutent le camp.
j’ai connu cela. cela donne des papas qui transmettent cet esprit de manière tellement virulente à leurs enfants qu’ils développent, leurs enfants, une haine carabinée de la réussite, des apprentissages, du savoir. Ils ne se consteuisent que dans l’oposition jamais dans l’assentiment.
Certains ne sont pas même bacheliers.
À l’ère du 80% , il faut le faire exprès de ne pas être bachelier.
Et puis, ils ont besoin d’être secoués, bousculés, harrassés tout le temps. Les livres lus doivent les remettre fondamentalent en question tout le temps.
Ils revendiquent la came, l’alcool, les drogues dures, la polygamie. Les squats.
Cw sont des paumés. Structurellement des paumés. Particulièrement déstructurés. Ils ne sortent pas de l’hôpital, parce qu’ils sont eux-mêmes un hòpital.
désormais, lorsque quelqu’un te crache à la gueule ( cf lvdlb des années durant) crache lui à la gueule.
l’apparemce ostentatoire c celle des minettes qui courent le matin à jeun deux heures d’affilée.
ce n’a jamais été mon cas et je n’ai jamais été une minette vintage.
cela doit faire 200 ans que l’on carène à sec. Au port.
Et que l’échouage est totalement fortuit particulièrement lors de grandes marées, de mauvais calculs de marée et de déplacement de bancs de sable.
> christiane
je ne suis absolument pas terrassée par autant de haine.
je pense qu’il faut, qu’il est temps, c’est ce que fait françois bon avec ce listing que ke n’ai pas lu, le World trade.cenrer 2001 non ? seize ans déjà, ces 3000 morts, je pense qu’il est temps d’ouvrir les yeux. Nous sommes en guerre et envahis.
Et, pour l’autre tordue, je n’ai aucune haine de la maghrébine. je regarde les gens vivre, dans un profond souci de démocratie et un immense respect de la vie d’autrui.
christiane, le paseo, en Espafne, fait partie des rituels les plus pacifiques qui soient. Être fauché par la mort là, c’est profondément injuste.
Ma rage naìt de cette barbarie là qui est incessamment minimisée.
Stop : ouvrons les yeux.
0h27
c’est dans doute ce qui m’a le plus sidérée ds le roman de virginoe despentes. La mort de Loîc, sauvé, intégré par ses ennemis, aimé et qui crève par ce qu’il a.commis, lui.
Là, virginie despentes, elle m’a questionnée. Nulle rédemption pour elle ?
Il n’y a pas la moindre haine chez Rose.
Elle ouvre les yeux, voit et dit. Les crétins de gauche, fascistes ou humanistes, ferment les yeux pour mieux rêver. Les salauds de droite ferment les yeux pour continuer à régner en privilégiés…
Ils seront jugés par l’Histoire pour complicité de meurtre.
…
…Oh,!…putain,!…déjà, le 21 Août,…on entre tous, dans le cygne de la Vierge,…quel bordel,…
…suivant, à qui le tour,…c’est pour un renseignement,…
…Oui,…est ce que votre statue est en équilibre confédérée aussi,!…ou attendez-vous d’être déboulonnés,…
…Non, j’insiste pas,…j’ai bien compris, vous n’êtes pas , Jeanne d’Arc du milieu,…Ah,! faut voir les cendres,…ensemble au labo,…avec les bûches,…
…suivant,…un coup, tirer, par deux entrer, le saint guidon,…
…des prétextas pour s’évaporer avec le temps , et ses ignominies,…etc,…
…
Toutes ces blablatitudes sur l’art, pardon l’Art, me font marrer !
Autant parler de matches de foot, ou de courses de vélocipèdes. Les œuvres d’art on se régale à en faire quand on peut, on se délecte à en jouir quand on veut.
Tout le reste, du domaine blablateux, est sans intérêt ! A laisser aux verbeux, ravis d’autopsier les mouches sodomisées par les spécialistes !
Je pensais que tu allais dire les mouches sodomisées par les moustiques ». Ç’aurait été plus érotique…
…
…l’art viking, dans le temps,!…libérer, les nonnes … et suffragettes,…de leurs abbayes,…
…etc,…
Le paysage est clair et net mais Tristunet n’y voit que dalle car il se complait dans un environnement culturel qui sent le renfermé, et de ce fait Il ne se contente pas de ses bévues et de ses méprises, il ferme aussi les yeux sur ce qui ne lui plait pas (vice triste et ridicule) : la perte de la volonté de faire l’histoire, par ne faire qu’un exemple. On ne va toutefois pas se tenir pour comptable de ses aberrations —volontaires ? involontaires ? peu importe, voyons plutôt. Kojève n’était pas une lumière car seulement quelqu’un de limité intellectuellement ou, ce qui revient au même, conditionné idéologiquement pouvait théoriser la fin de l’Histoire en se fondant sur l’idée farfelue pondue par un criminel, selon laquelle l’Histoire n’étant que l’histoire du concept de Liberté, et ceci s’étant réalisé avec la révolution française, l’Histoire serait finie. Il me semble qu’il ne soit pas nécessaire d’expliquer pourquoi théoriser la fin de l’histoire est un acte criminel d’une stupidités sans pareil, comme tout acte criminel, d’ailleurs, (le côté criminel n’est que le résidu d’un approche politique déviante générée par l’incapacité de produire une réponse sociale adéquate aux frustrations de la classe moyenne, c’est-à-dire la majorité), rappelons néanmoins que ceux qui s’autoriseraient à soustraire l’action à la possibilité que l’on se souvienne de l’avoir commise, pourraient aussi s’autoriser à abolir les limitations morales qui maintiennent le bon ordre civile, avec les fâcheuses conséquences que n’importe qui peut imaginer. La langue française a produit beaucoup de bons écrivains et quelques bons intellectuels, cela ne signifie pas que tous les écrivains et tous les intellectuels de langue française sont admirables, donc : Queneau, oui ; Lacan — auteur —, non car on peut tirer un bénéfice d’un enseignement en s’abstenant de le suivre ; en le rejetant, le dénonçant ou en évitant de s’engluer dans les perversions de la pensée qu’il porte en soi. Or, puisque l’on n’est pas censés croire aux coïncidences, on peut se poser des questions relativement à l’état de la conscience de Tristunet.
suite aux remarques de Rose , une émission de A.Finkielkraut avec hervé le bras
Bertrand Russell :
https://www.brainpickings.org/2012/05/02/a-liberal-decalogue-bertrand-russell/
Je ne ferai pas l’économie de lecture du message de 5h du mat’, suivi d’une dizaine d’autres en une demi-heure, sans intérêt, sauf pour un psychiatre.
L’inanité des messages de la rosse, ici sa haine de la maghrébine par exemple, qui prend, mais pas comme d’autres, un blog pour un défouloir, n’est pas qu’une manifestation d’un totalitarisme bloguesque: monopolisation des commentaires, détournement des commentaires.
Les délires d’une « enseignante » haineuse à la retraite, et malade, ne passeront pas par moi.
Des années à donner des leçons, pour masquer une incompétence crasse, de la part d’une déséquilibrée hystérique, pauvres élèves.
Il vous arrive d’être parfois intelligente, la vie dans les boites … Pas ce matin !
le playmobil qui parle d’intelligence.
Il faut rendre hommage à Finkielkraut d’inviter Renaud Camus face à Hervé Le Bras. Là, on a un vrai débat. Honneur à Finkielkraut !
Capa :
http://blogfigures.blogspot.fr/2013/06/robert-capa-air-raid-barcelona-1939.html
L’idée de remplacement me semble relever du délire. Mais là où Renaud Camus a raison, c’est qu’il y a un fantasme dans l’extrême gauche européenne de remplacer la vieille Europe par les populations musulmanes. On trouve de tels discours aussi chez l’ancien ministre des Affaires étrangères allemand, Joschka Fischer. C’est un fantasme de l’extrême gauche, et une phobie de l’extrême droite.
Pablo 1h21 dans ce cas à défaut d’écrire s’il se décidait il pourrait faire haute contre et bien que pour le devenir nul besoin d’être castra
https://www.youtube.com/watch?v=y_Hw7AHbk9M
un peu de musique pour adoucir les mœurs.
L’incident déclencheur.
« une jeune fille ne disparaît pas parce que sa mère l’avait giflée le jour de ses premières règles même si c’est paraît-il une tradition, et il faut espérer que nos chers critiques vous en diront le moins possible afin de ne pas gâter la lecture. »
Je ne sais pas si c’est une plaisanterie ?
Kojève est une figure très intéressante de la pensée philosophique. Il a joué un grand rôle en France dans les années 30. C’est lui qui a introduit en France la philosophie de Hegel, notamment sa Phénoménologie de l’Esprit et la philosophie de l’histoire qui end écoule. Kojève a enseigné à l’EHHSS cette philosophie selon une certaine interprétation qui lui appartient, comme fin de l’Histoire. Il avait comme public de nombreux écrivains et intellectuels qui ont joué un rôle important dans la culture française : G. Bataille, J. Lacan, Queneau, Raymond Aron, Roger Caillois, Michel Leiris, Henry Corbin, Maurice Merleau-Ponty, Jean Hyppolite, Éric Weil.
Kojève a eu une certaine influence sur le Lacan de la première manière.
Après la guerre Kojève était un stalinien convaincu et a participé à la création de la CECA et des négociations du GATT. Ce qui ne manque d’intérêt pour quelqu’un qui avant guerre enseignait la fin de l’Histoire… Il croyait à la nécessité des grands empires : »L’état moderne, la
réalité politique actuelle, exigent des bases plus larges que celles que
représentent les Nations proprement dites. Pour être politiquement
viable, l’État moderne doit reposer sur une vaste union impériale de
« Nations apparentées ». L’État moderne n’est vraiment un État que s’il
est un empire. »Kojève (A.), (Esquisse d’une doctrine de la politique française (Août1945).
rose à propos du commentaire d’Hamlet qui répondait à D, je crois quand même qu’Hamlet a fait semblant de ne pas comprendre D qui n’envisage pas la réussite de façon économique e sociale, la littérature nous touche, nous transforme pour le meilleur et pour le pire aussi quand il demandait est-ce que la littérature vous réussit il n’envisageait que les effets positifs ou négatifs de notre évolution interne et pas autre chose. Hamlet répondait qu’il ne lisait que ce qui lui échouait, l’image est belle, le fleuve déposant sur les rives des vies, comme un berceau des livres, au hasard ; puis il confiait éprouver du bonheur à ressentir l’échec, sentiment issu de ses lectures, oui aussi si on considère l’écart entre ce que des écrivains produisent à partir d’un réel et ce réel finalement où nous sommes bien obligés de déambuler sans distanciation possible qui suffirait à neutraliser ses effets quand il nous atteint de façon négative; la littérature réussirait-elle à mettre le réel en échec?
Rose, Hamlet:
je les lis non pas parce qu’elles me réussissent mais au contraire parce qu’elles m’échouent, elles me transporte le coeur léger dans les cieux les plus élevés de l’échec !
8h50 Nicolas huer a mis en lien le début de ce roman, je m’y laisserais bien prendre , mais il me semble ( je n’en suis pas sûre du tout)avoir lu que la jeune fille disparaissait à 18 ou 19 ans, c’est un peu tard pour devenir nubile… Pour la gifle, il s’agit d’une coutume dont on ne nous dit pas si elle est familiale, locale, provenant d’une nécessité de faire naître dans l’œuf un sentiment de culpabilité , trace d’un hypothétique schéma ancestral pure/impure …
L’idée de la fin de l’histoire chez Kojève était fondée sur une réalité sociologique : l’extension considérable des classes moyennes en Europe. C’est-à-dire de la création d’une société qui satisfait les besoins de tous ou peu s’en faut, la société de consommation. Aujourd’hui, on est revenu de cette idée, mais à l’époque elle était crédible.
Hervé Le bars souligne ce fait majeur aussi, à savoir que les migrants qui viennent en Europe sont en majorité des membres de ces classes moyennes africaines. Les pauvres n’ont pas les moyens d’émigrer et restent à croupir dans leurs pays respectifs. Les migrants vident leurs pays des cadres nécessaires à la construction des Etats africains. Il y a là comme une double peine. Faut d’une politique de coopération conséquente entre le Nord et le Sud pour compenser les conséquences néfastes de la mondialisation. Mais comme il n’y a pas de politique mondiale, faute d’un Etat mondial, c’est forcément le chaos. Ce n’est pas le G20 qui peut impulser une politique mondiale conséquente et efficace. Le terrorisme vient s’infiltrer dans les failles de ces problèmes mondiaux, c’est très différent du terrorisme des anarchistes du XIXè siècle, que certains historiens évoquent pourtant de manière irrationnelle, en tout cas infondée en raison.
hier
Le terrorisme vient s’infiltrer dans les failles de ces problèmes mondiaux,
WGG, le terrorisme en Europe est aussi pour une part que je ne quantifie pas précisément l’oeuvre de gens qui ne sont pas nouvellement arrivés sur le territoire.
La littérature est le nom de ce qui ne peut pas être mis en échec par le Réel. C’est bien là la grandeur de la littérature. Celan écrit en dépit de l’impossibilité d’écrire un poème après Auschwitz ; Claude Simon renouvelle de fond en comble la littérature romanesque en dépit de l’impossibilité d’écrire des romans après l’effondrement du monde et de tous les repères épistémiques pour l’appréhender ; il a dû en créer d’autres pour rendre compte du nouveau rapport de l’homme au monde, de la mémoire et du passé dans une poétique de la mémoire conséquence et révolutionnaire. C’est le grand défi de l’art à chaque génération : tenir le pas face au Réel, c’est-à-dire, comme le montre Lacan, face à l’horreur.
Aujourd’hui, tout cela a été perdu de vue par cux qui écrivent des romans. On est dans une période néoclassique qui est une impasse de la création romanesque et artistique. Comme elle est d’ailleurs une impasse politique avec Chirac, Sarkosy, Hollande, Macron etc.
Nicolas dit: 20 août 2017 à 10 h 00 min
Mouais
…mouais, vais peut-être aussi zapper la course à la librairie. Tant d’attention clientéliste devient suspecte.
Et si on nous prenait pour des cons?
« d’autres auteurs choisissent de lui soumettre leur texte au fur et à mesure de son écriture, ce qui les motive à avancer comme si sa lecture « remettait de l’huile dans leur moteur« . C’est ainsi qu’elle a conseillé à l’auteur Monica Sabolo (« Summer ») de « prolonger le dénouement de son roman pour l’équilibre du récit ».
Elle décrit l’importance de son regard externe : « Le romancier est dans une fréquentation tellement intime de ses perosnnages et de son histoire que, parfois, des choses demandent à être explicitées, des repères à être donnés au lecteur? L’éditeur est là pour le voir. » »
http://www.buzz-litteraire.com/interview-leditrice-de-delphine-explique-metier-dediteur-karina-hocine-editions-jc-lattes/
« Le romancier est dans une fréquentation tellement intime de ses perosnnages et de son histoire que, parfois, des choses demandent à être explicitées, des repères à être donnés au lecteur? L’éditeur est là pour le voir. »
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C’est proprement ahurissant ! On confond ici la littérature et la communication…! On est dans le n’importe quoi. Mais voilà à quoi se résume aujourd’hui l’art d’écrire des romans : il faut être clair, expliciter le personnage au lecteur… On est vraiment chez les crétins !
On est chez les cons, pas de doute ! Et puis les cons qui affichent un large sourire de satisfaction. Ah, on est gâté ! Quelle époque formidable…!
Pour la gifle, il s’agit d’une coutume dont on ne nous dit pas si elle est familiale, locale,
cette histoire de gifle m’a été racontée par une femme que son père avait giflée parce que c’était la coutume lui a-t-i dit , la dernière gifle paraitil selon la coutume;peut-être les livres sur les menstrues font-is état de cette tradition alors parlons en sans déballer :à la fin la référence au psy sur ce blog que j’ai vraiment envie de quitter devient aussi lassante ; trop, c’est trop et je ne reviendrai pas sous le pseudo too much
Pablo75 dit: 21 août 2017 à 1 h 07 min
Décidément, vous êtes d’ une lourdeur ( wgg là, a raison! )à déplacer tout un régime de bananes mon vieux.
Tout mon combat, ma conviction a été et est de dénoncer l’ art officiel d’ état ( en fait vous dressez votre propre portrait, tétu comme un catalan )de valoriser les marges. Mais lucide de ne pas laisser la place à la réaction qui profite toujours des élans protestataires pour s’ engouffrer dans la brèche.
Pauvre garçon, mes livres, mes publications parlent pour moi, j’ ai été le témoin ( modeste c’ est sûr ) de ce grand mouvement de revendication et continue à ma façon de dénoncer les excès et défauts de ces revendications. C’ est un combat intellectuel avant tout.
Par exemple avec/face à l’ ami Danchin, je ne crois pas que la science et le travail universitaire soit un obstacle à la découverte de l’ art.
Pour votre gouverne, une petite liste à lire, prenez un gros sac ou un break pour les transporter!
http://sabf.fr/selection/select1.php
Les états responsables du blocus envers le Qatar se décident à rouvrir leurs frontières au motif du pélerinage à la Mecque, si le Qatar incriminé et qui s’en défend du soutien aux organisations terroristes souffre du blocus il est facile d’imaginer que ces états fournisseurs enregistrent le fruit du blocus sur leur balance commerciale, pélerinage a bon dos . Ensuite si la tête du Qatar est comme l’exprime indemne de toutes coopérations avec les extrémistes, pourquoi ses services de renseignements ne s’activent-ils pas efficacement pour repérer les soutiens de façon à permettre à exécutif de renvoyer les pourvoyeurs de fonds comme il lui est demandé plutôt qu’à continuer de les héberger qu’ils oient des individus ou des organismes bancaires? Pour Al Jazeera, idem, pourquoi cette chaîne n’est pas ramenée à une neutralité politique plutôt qu’à être un organe de propagande aux
mains des frères islamistes , le pouvoir est grand, fort, aussi pourrait-il affirmer ses convictions si elles sont sincères et puisqu’il nie le soutien qui lui est reproché.
http://lesangdesfemmes.over-blog.com/article-une-gifle-pour-marquer-le-jour-des-regles-25614950.html
et alli, merci pour ces précisions, pour la culpabilité aucune référence psy mais plus un héritage chrétien.
9h24; l’éditeur est là pour voir:
http://www.editions-humanis.com/relations-auteur-editeur.php
Widergänger, au cours de l’emission de Finkielkraut, Camus dira que l’on peut jouer et faire mentir les chiffres (ceux de M. Le Bras sur le nombre effectif de migrants ou immigrés) tandis que la vérité de la société (la juste perception de la réalité) se trouve toujours dans la littérature. was denken Sie daran ?
L’auteur, jeunesse dorée à Crans Montana, journaliste, Voici, Grazia, Elle.
Dans cet ennui profond, que reste-t-il de cette » montagne magique » ?
http://www.peristyle.ch/files/u000125/86a0c75a-ed90-18f1-60e8-a5f064f70ff3/article.pdf
@mais plus un héritage chrétien.
Totalement faux.
Mais les cris d’Orfrai de ce crétin de Pablo75 sont intéressants quand même parce qu’ils disent beaucoup de choses à la fois sur l’art et sur la société actuelle.
1°) Sur l’Art, ils disent qu’au fond il n’y a jamais eu d’événement fondateur de l’Art moderne, comme Freud a pu être un événement fondateur de la psychanalyse, comme la Rélativité d’Einstein a pu être un événement fondateur de la physique moderne. On ne peut pas contester un événement quand il a eu lieu effectivement et a été reconnu. C’est ce que dit Mallarmé dans son fameux Poème, qu’est-ce qui a eu lieu sinon le lieu ! Nul ne sait si l’événement de poème a eu lieu, s’il est effectivement un acquis de la Poésie, il est peut-être déjà mort pour l’Art.
2°) Il en est exactement de même de l’Art moderne né vers 1910. Pour les nouvelles générations, issues des classes moyennes et qui accèdent nouvellement à l’Art, cet événement n’est pas reconnu comme tel. En tant que nouveaux arrivants dans le cercle de la culture, les classes moyennes se comportent en nouveaux riches et adulent ce que précisément la révolution esthétique des années 1910, qui n’était pas du tout le fait des classes moyennes mais des classes élitistes de privilégiés, avait envie de renverser en tuant le Père. Ce n’est pas du tout compris comme ça par les classes moyennes issues des Trente Glorieuses. C’est compris au contraire de manière complètement réactionnaire, comme une injure à l’Art, parce que leur point de vue est celui de l’adulation des valeurs de la bourgeoisie que voulaient précisément renverser tous les grands créateurs de l’Art moderne.
Il y a comme une espèce de court-circuit de l’Histoire, qui produit de cruels malentendus qui sont sans solution.
totalement faux, le judéo christianisme est un transport en culpabilités, de la flagellation, auto-flagellation en passant par la confession, visitant l’exience de virginité au mariage, la pénitence, enfin un tas de trucs conduisent le croyant à se sentir coupable, de là l’usage du pouvoir religieux pour garder ses brebis sur le chemin de la repentance et assurer avant la séparation des pouvoirs un maintien moral du peuple et en bon ordre en lui faisant accepter pour fautes ce que les seigneurs s’autorisaient avec le pardon du clergé. Notre religion a fait son lit sur une culpabilité entretenue.
La perception de la littérature du monde n’est pas plus juste qu’une autre. Simplement elle correspond à un consensus global à un instant T de la société où émerge cette littérature pour dire à cet instant T la Subjectivité du Siècle. En cela elle est juste, elle appartient à un savoir. Mais elle ne dit rien de la vérité du monde, ou simplement une partie de la vérité.
Ce sont des problèmes en haute pensée philosophique en réalité qu’aborde Alain Badiou à propos de Lacan, de Wittgenstein, et de l’anti-philosophie, à savoir le rapport entre le savoir et la vérité. De même que dans l’analyse, on accède à un certain savoir sans pour autant accéder à la vérité, qui transcende tous les savoirs. La vérité d’un patient est dans son inconscient mais le savoir qu’on en tire par la cure analytique ne dira jamais qu’une partie de la vérité de l’inconscient du patient.
Ce rapport de la vérité et du savoir est exactement le même pour la littérature. La perception du monde de la guerre dans les romans de Claude Simon n’est que la Subjectivité du Siècle dans la perception du monde qui dit comment toute une génération, celle de Claude Simon, a perçu le monde en guerre. Mais la vérité du monde la transcende.
9h47 phil, j’ai capté par hasard cette émission, en entendant Camus, j’ai zappé après quelques minutes d’écoute; ses arguments , même si la situation appelle à débat, absolument inacceptables.
« Passou » va devenir spécialiste de la » coutume parait-il »
l’usage de ce ressort par le pouvoir religieux.
Il y a comme une espèce de court-circuit de l’Histoire, qui produit de cruels malentendus qui sont sans solution.wgg
Justement!
Avec le temps, une œuvre d’ art s’ éloignera fatalement du sens que, par provision, son auteur lui donne. Celui-ci, néanmoins, escompte secrètement cette méprise future ciomme une solution possible à son énigme. S’ il est vrai que » le fondement même du discours interhumain est le malentendu » ( Lacan ), on devrait considérer l’ art, ou la relation artistique, comme un malentendu spécialement productif, paradoxal et initiatique. Ce ne sont ni les peintres ni les regardeurs qui font les tableaux, mais la conjugaison de l’ inconscience des uns et des bévues des autres : ils se déchargent l’ un sur l’ autre de la responsabilité d’ un sens qui n’ en finit pas de leur échapper.
Voir l’ ouvrage de Michel Thévoz, L’ art comme malentendu, Les éditions de Minuit 2017.
Le présent ouvrage évoque quelques-unes de ces méprises en symétrie inverse, indéfiniment reconduites, et qu’ on peut considérer finalement comme des » ratages réussis « . Ce n’ est pas le moindre intérêt de l’ histoire de l’ art que ces coups de théâtre qui rendent le passé lui-même imprévisible…
@bérénice dit: 21 août 2017 à 9 h 03 min
Contrepoint intéressant et subtil.
Étrangeté des commentaires de hamlet. Cette notion d’échec ?
Retour à Musil… Vienne au début du siècle, L’Europe, au début du nôtre…
Musil c’est la précarité des convictions, le défi de l’échec. Il manie la langue avec ironie et rigueur dans une écriture qui est pour lui une expérience de pensée. Son « homme sans qualités », Ulrich, ne possède rien et sa pensée tourne autour du vide dans le dérèglement de sa conscience. Il éprouve un profond malaise et vit à l’essai son étrangeté par rapport à lui et au monde. La littérature devient le lieu de sa quête, de son expérience.
« … N’a-t-on pas remarqué que les expériences vécues se sont détachées de l’homme ? Il s’est constitué un monde de qualités sans homme, d’expériences vécues sans personne pour les vivre. Il est probable que la conception qui, pendant si longtemps, fit de l’homme le centre de l’univers, est en passe de disparaître depuis plusieurs siècles déjà, atteint enfin le Moi lui-même.» (HSQ I)
Construire de l’inachevé ? Hamlet, ce touche-à-tout, dit cela de commentaire en commentaire. Il ne sait plus penser àl’endroit, ne prétend rien et accepte cette notion d’échec, le déficit de sa parole qui ne traduit plus la vie dans cette société de gens inertes. Farfelu, un peu dépressif, il échoue, rate avec une sorte de grandeur puis se dissout dans la marée des commentaires.
Oui, MOI, je suis tout à fait d’accord avec ça ! Mais les gens comme Pablo75 ne l’entendent pas du tout de cette oreille. Ils n’ont pas du intégré cette notion de malentendu productrice de sens. Ils sont dans le rigide, ils veulent des choses carrées, des certitudes sur l’Art. Ils veulent un évément fondateur qui structure le sens une bonne fois pour toute et qu’ils puissent adorer sans se prendre la tête avec tous les problèmes complexes que pose l’Art moderne. C’est une façon de voir le monde typique de la petite bourgeoisie des classes moyennes. Typique !
« L’art comme malentendu ! »
Génial ! Qu’en pensent les mouches de Trévoz… ?
Bien entendu, le malentendu est porteur de sens en art, comme en politique, comme en amour : artdemerde, politiquedemerde, amourdemerde !
Allons, JC, l’ art c’ est tout le contraire du » comme de bien entendu « !
Christiane, crois moi !
Hamlet nous domine de la tête aux pieds, c’est un géant de l’Annuaire des Marées mentales, l’équivalent en non-sens (ayant du sens) de Wiwi, la bête à YHWH de la pensée dynamique !
Je regrette, Pat V ! L’art c’est tout sauf un malentendu.
Personnellement, je me contente d’aimer ou de ne pas aimer ce qui est proposé par les artistes, personnes forcément à la dérive, car je suis celui auquel l’art s’adresse : le bolocon qui achète, price, définit, spécule, ennobli …. !
L’art est seulement un business particulier…
Faire de l’art, c’est faire de l’argent, ne pas en faire, ou en mourir.
Fondements culturels du terrorisme
http://russeurope.hypotheses.org/6221
dont on peut constater (même si les conséquences ne sont pas ici meurtrières) que le mécanisme est le même pour toutes les revendications communautaristes, y compris chez des gens qui ne sont pas démunis intellectuellement.
Pour quelles raisons attribuer un label CULTUREL au terrorisme ?
Mon dieu mais c’est simple : par arrogance. On ne peut admettre que le crime de masse entre humains ne soit pas « culturel » !
Alibi ! Paravent ! Maquillage ! Décoration hypocrite…
Lorsque le chat attrape la souris, joue avec et la tue, parle t on de « culture » ?… Les humains sont des animaux hypocrites et cuculturels.
Quittons nous sur cette évaporation dont on ne peut parler, tant l’orage est menaçant : celle de la démocratie.
@ Pat V
Je vois qu’autant vous que Blabla-Widergänger (le gros porc castré qui – sous l’influence de son nouveau gourou maoïste Badiou – éructe en 2017 des arguments utilisés par les communistes dans les années 50: « C’est une façon de voir le monde typique de la petite bourgeoisie des classes moyennes ») vous êtes des « non-comprénants », comme disait Coluche.
Encore une fois vous ne répondez à aucune de mes objections. Vous ne rentrez pas dans la vraie discussion. Et vous utilisez à nouveau des « arguments » débiles, indignes d’un intéllo (mais pour moi vous ne devez être qu’un simple critique de journal ou d’un hebdo bien-pensant genre Télérama): « ne pas laisser la place à la réaction ». C’est la vieille rengaine léniniste d’il y a un siècle déjà: qui critique le système est un réactionnaire. On en sort pas de là. Je vous comprends: c’est plus facile de faire cela que d’affronter les problèmes théoriques que je soulève (et que vous avez l’air de ne pas comprendre vraiment – vous me décevez, je vous croyais plus intelligent…).
Une question concrète: les boîtes à mer.de de Manzoni (vendues à 30.000 euros pièce, quand même) sont de l’art ou pas? Et si elles ne sont pas de l’art, pourquoi, selon vous? (Que pour Blabla elles soient du Grand Art est normal: la merde c’est son milieu naturel et il a le cerveau rempli de mer.de). Mais j’aimerais beaucoup savoir si pour vous elles le sont.
@ Pat V
Pat V dit: 21 août 2017 à 10 h 15 min
Le texte: « Avec le temps, une œuvre d’ art s’ éloignera… » jusqu’à la fin, est une citation de Michel Thévoz?
Et Darrieussec vous avez lu? Apparemment c’est une histoire dans le future d’une psy dans les bois. Je pourrais peut être faire un exception, elle écrit bien http://abonnes.lemonde.fr/festival/article/2017/08/08/elle-et-lee-par-marie-darrieussecq_5170130_4415198.html
Bérénice, le péché originel est une réalité qu’il est vain de nier. Aussi vain que de nier l’existence du soleil et de la lune.
Le christianisme originel se fonde bel et bien sur la notion de rédemption du Christ. Ce n’est pas une invention, on le trouve à plein d’endroit des Évangiles et encore, bien entendu, dans les Epitres.
Bref, il est vain d’essayer d’y échapper parce que c’est de l’ordre cosmique métaphysique. Très difficile à résumer mais: la vie incarnée ne peut exister sans une contre-force désordonnante. Aucun traité d’occultisme ne vous dira qu’elle est mauvaise (elle peut pourtant l’être puissamment dans ses manifestations et la sensation que l’on en a qui s’appelle la souffrance), mais d’abord nécessaire.
Le Christ dans sa volonté d’Incarnation n’y a pas échappé, c’est le moins que l’on puisse dire. Il ne nous dis à aucun moment que la souffrance est délicieuse. A aucun moment et certainement pas au Jardin des oliviers puis au Golgotha sur la croix.
Il nous dit simplement qu’elle prend un sens lorsque qu’elle passe par Lui, et c’est en cela aussi que s’abolit le péché, qui n’est autre que la faiblesse manifestée dans les actes sous l’emprise de la souffrance laquelle génère le manque d’espérance, de confiance et d’amour.
Le Christ ne nous propose jamais de supprimer la souffrance en tant que force cosmique. Il nous montre comment l’Amour peut la soumettre et même la dissoudre dans certains cas. Par des actes de foi, des actes d’amour. Il est le chemin et la vérité.
Pablo75 est apparemment obsédé par les boîtes à merde. C’est bien son droit. De là à en faire tout un fromage…! Est-ce que Bram van Velde est une boîte à merde ? Est-ce que Picasso est une boîte à merde ?
Est-ce que un certain Art contemporain satirique ne serait pas justement une boîte à merde ?
Mais avec les Pablo75, il ne s’agit pas d’introduire la satire en Art ! Ouh la la, grand crime de lèse-majesté ! Je me souviens que ma mère n’arrivait pas à comprendre les films italiens où on passait son temps à rire. Typique de la petite bourgeoisie triomphante. Typique. Et qui adore tout ramener à des clichés (Badiou maoïste, tartampion ceci, etc.) Le prêt à penser, voilà ce qu’aime les petits bourgeois comme Pablo75. Ça les rassure, ils sont très angoissés de nature et voient un porc castré dans toute personne intelligence qui pense…
Les réactions de Rose hier soir sous le choc sont parfaitement compréhensibles. Elle s’exprime avec son mélange inimitable de désinvolture, de spontanéité et de négligence quant au style…D’où quelques excès.
Mais c’est comme ça qu’on l’aime notre Rose.
Le hamlet d’hier 23h30 est du grand Dexter!
On se régale.
Chacun sa merde :
https://www.youtube.com/watch?v=JwcTeCy-TkE
C’est même un art explosif, qui peut vous péter (c’est le cas de le dire…) à la figure !
Je comprends que ce pauvre Pablo75 en devienne maboule…
C’est en cela qu’il faut distinguer le sang des martyrs chrétiens qui ont accepté de donner leur vie par amour, du sang des païens.
Dans le premier cas, la puissance « ordonnante constructrice de bien » est extraordinaire. Inimaginable. C’est par le sang des martyrs romains et lyonnais que la civilisation chrétienne d’Occident a pu s’ériger, dominer et répandre des bienfaits incalculables.
Peu de gens ont compris cet aspect magique, car considéré en un sens, il s’agit de magie.
Le meurtre odieux des moines de Tibihirine au milieu des années 90 à permis à l’Algérie d’être sauvée du chaos total. Peu de gens comprennent cela. Pour combien de temps ?
@ Blabla-Widergänger
« Est-ce que Picasso est une boîte à merde ? »
Picasso pensait la même chose que moi de l’art abstrait, immense co.nnard. Informe-toi un peu avant de vomir ici tes âneries invraisemblables de pervers narcissique inguérissable.
(Tu fais quoi à 13 h – heure de Kiev – dans ton hôtel encore alors qu’il y a tant de choses à voir dans cette belle ville?).
Dans la famille Manzoni demandez plutôt Alessandro et ses « Promessi Sposi ».
Dédé, arrête de jouer au congre ! Le péché originel ? Au IIIeme millénaire ?
Fada de chez fadoli !
Mais, le péché originel ! c’est à se poignarder l’arrière cour avec un hologramme de Mélenchon, un biberon de Macron, un film de Varda …
Hamlet est grand !
Dexter est réincarné !
A GENOUX ! TOUS …..
Non, justement, Kiev n’est pas ce qu’on pourrait appeler une belle ville. C’est lépreux avec des exceptions. Et puis, je fais ce que je veux, Nah !
« Picasso pensait la même chose que moi… » (Pablo75) Pablo75 n’est pas Manzonni, mais il ne se prend pas pour une merde…!
JC, vous n’êtes pas capable de comprendre ces dimensions. Je prierai pour vous, sincèrement.
Et puis à Kiev, il fait vraiment une chaleur étouffante. Pour se promener et faire de longues marches, c’est pas toujours évident.
Hier, pour rentrer, je me suis laissé aller par mes pas après avoir vu les ruines de l’église Desyatynna que les soviétique ont fait sauter à l’explosif, en réalité, on a simplement mis des pierres pour indiquer les murs de l’église comme sur un plan d’architecte. Je me suis égaré dans un parc qui est là, le parc Peïzajna alleya avec des sculpture drôlatiques pour les enfants et une ravine herbacée d’où on voyait le derrière des maisons, toutes lépreuses. On se rend de la misère que cachent les belles façades sur l’avenue devant. Mais il y a des quartiers parfaitement bien rénovés par lesquels je suis rentré, l’avenue Yaroslaviv qui a l’air d’un quartier bourgeois, qui débouche sur la Porte d’Or et l’Opéra. La foule attendait l’ouverture en tenue de soirée.
Je ne comprends pas la réaction de François Bon.
Nous sommes depuis une vingtaine d’année dans une période de l’histoire où le terrorisme islamique nous menace sans trêve et tient une place considérable dans l’actualité. Qu’y-a-t-il de critiquable à le répertorier et à en faire la liste?
C’est de l’information et de l’information utile.
Notre brave crétin de Pablo75 oublie quand même que Picasso est à ses début aussi un peintre abstrait puisqu’il est cubiste. Que serait le cubisme et l’art moderne sans le cubisme de Picasso ?
C’est vraiment un crétin inénarrable, ce Pablo75 !
Il est tellement sûr de lui qu’il envoie chhier d’un revers de main Kandinsky, Mondrian, Freundlich, Malevitch, qui ont inventé l’art abstrait et qui sont reconnus sur toute la planète comme de grands peintres. Mais ça ne compte pas pour ce crétin.
Il y a quelques années, il y avait eu une grande exposition de Kandinsky. C’était absolument magnifique.
« Hier, pour rentrer, je me suis laissé aller par mes pas après avoir vu les ruines de l’église Desyatynna […] Je me suis égaré dans un parc qui est là, le parc Peïzajna alleya avec des sculpture drôlatiques [… ] l’avenue Yaroslaviv… » (Blabla-Widergänger)
Mais hier tu as passé la journée sur le blog (sauf pour la sieste)! Tu es capable de bilocation comme le Padre Pio?
Je surveille les crapauds du jardin d’Olga. Lisant la RdL, arrêt ce matin à 8h42, lien donné par Bérénice.Merci à elle; c’est le lamento de Rinaldo de Haendel, extrait de « Farinelli » de Gérard Corbiau–1994 . Une splendeur; pour ceux qui aiment la voix,il y a un enregistrement,excellent.Ici c’est Stefano Dionisi qui chante 4’25 »
Voici la 1° strophe (le lamento en entier se trouve sur le net)
Lascia ch’io pianga
mia crude sorte
e che sospiri
la libertà
Hervé Le Bras a permis de clouer le bec à bien des préjugés de Renaud Camus en en montrant la parfaite vacuité intellectuelle.
Renaud Camus sursaute quand le démographe lui indique de l’éducation dans le monde a considérablement augmenté. Alors que c’est la plus parfaite vérité ! Mais il ne se rend absolument pas compte d’où ces peuples partent.
En France la génération de Renaud Camus, c’était 30% d’une classe d’âge qui avait le bac ! Bien sûr que la massification de produit pas des génies dans chaque cité HLM, c’est clair. J’en sais quelque chose pour avoir enseigné 12 ans dans le 93 ! Mais globalement sur la planète le niveau d’éducation monte incontestablement.
Et les immigrés en France vont faire concurrence aux Français de « de souche » dans tout un tas de profession. C’est évident. Mais les fils de ces immigrés seront tout aussi Français que les braves Français de souche. La machine à intégrer fonctionne toujours. Globalement.
Pu.tain le niveau de Blabla-Widergänger en culture artistique !! « Picasso est à ses début aussi un peintre abstrait puisqu’il est cubiste ».
Le cubisme est de la peinture abstraite pour ce coui.llon absolu !!
(Tout ce qu’écrit ici ce pervers narcissique inguérissable ou c’est plagié ou c’est un salmigondis d’énormités hilarant).
Tu me vois sur le blog, mais je suis aussi sorti hier. Tu ne sais pas voir les horaires, mon pauvre chéri, en plus, sur le blog. T’es pas seulement crétin, t’es vraiment con! Un vrai, un beau con !…
Pourquoi voudrais-tu que je raconte que je suis à Kiev si je n’y étais pas ! Faut être débile comme toi et ton compère chaloux pour tenir pareils propos aussi délirants. La haine du petit bourgeois ! Je ne vois pas d’autres explication. La haine. Pablo75 se résume à ça, la haine de tout ce qui ne pense pas aussi étriqué que lui ! La haine.
Parfaitement, le cubisme est assimilé à la peinturte abstraite. Seul ce crétin de Pablo75 peut prétendre le contraire.
Hier, je suis même allé au monastère Saint-Michel, et je suis tombé sur une cérémonie religieuse avec un pope qui officiait en fin d’après-midi. Peu de monde en vérité dans l’église. L’église Saint-André, qui se trouve dans la rue de la maison de Boulgakov, était fermée pour travaux de restauration. Mais il y a un petit jardin dans le monastère avec des arbres fruitiers qui ne manque pas d’un certain charme désuet. Mais pas un banc pour s’y asseoir. Mais l’église est récente, la vraie a sauté à l’explosif là aussi ; la nouvelle a été entièrement recopiée sur l’ancienne. Tout est neuf en réalité à l’intérieur. Il n’y a que la Cathédrale Sainte Sophie qui soit authentique, ça en dit long sur le massacre de l’art religieux par le communisme dans ce genre de pays.
Une autre caractéristique du pervers narcissique: quand on l’attrape en écrivant une énormité d’analphabète, il la répète, pour bien renforcer son image de nul: « Parfaitement, le cubisme est assimilé à la peinturte abstraite. »
Mais quelle and.ouille !! Il n’a jamais ouvert une Histoire de la peinture, cet abr.uti intégral.
(J’ai beau avoir connu des crétins dans ma vie, jamais j’aurai cru que des types comme Blabla-Widergänger existaient).
Mais tu as fait tout ça hier à Kiev, à quelle heure, Blabla-Widergänger?
« La machine à intégrer fonctionne toujours. Globalement. » (Wiwi)
Non ! Evidemment, non !
On ne peut intégrer dans une civilisation que ceux qui en sont proches : échec de la masse, réaction folle pour échapper à l’échec social…
Terrorisme salvateur.
Mais tu ne connais rien. T’es vraiment un pauvre con. C’est tout. Rien à ajouter.
Mais j’ai pas de compte à te rendre, mon mignon ! Je fais ce que je veux quand je veux et je t’emmerde ! Tu piges ça ou pas ? Non, mais pour qui il se prend ce trouducu ! Y a que sur un blog qu’on peut rencontrer ce genre d’animal.
Mais ils s’intègrent. J’en ai eu comme étudiants, cette année, ils sont intégrés. Ah bien sûr, ce ne sont pas des flèches ! Mais ils s’intègrent, c’est forcé. Et dans ma classe de 1ère, le meilleur était un fils d’immigré. Il posait sans cesse des questions, et c’était un garçon cultivé et manifestement intelligent, et qui s’en tirait très bien à l’école. Ce n’était pas le cas de tous, notamment les braves petits Français qui jouaient aux cartes pendant les cours. Mais dans l’ensemble c’était une bonne classe avec de nombreux fils et filles d’immigrés qui s’en sont très bien tirés au bac Français.
Pablo !
Tu nous ennerdes avec tes obsessions wiwiphobes.
Change de disque, ami !
Tu n’as rien de l’Archange de la mort, grandes ailes, quequette incertaine, ordre de mission encre indélébile….
« Mais ils s’intègrent » ou …. » Mais il s’intègre »….
Pablo75 dit: 21 août 2017 à 11 h 08 min
Oui.
Sinon, il est difficile de répondre à un problème mal posé…
Sinon, après la merde mis en boîte par Manzoni, vous avez la merde fabriquée artificiellement par les machines de Wim Delevoye, – Cloaca – on arrête pas le progrès…
Lisez De immundo de Jean Clair.
Pour ma part je ne peux rester ici plus longtemps.
Merci.
Et les textes que j’ai étudiés avec eux étaient des textes tout à fait traditionnels de grands auteurs français du XVIè siècle au XXè. ET même un texte de Balthasar Gracian mais en français. Et le bac français, c’est vraiment difficile. Les exigences sont hautes, même pour les classes de STi.
S’il était si facile de s’intégrer, Israël intègrerait à sa théocratie juive, ouverte, les musulmans palestiniens, prisonniers de leurs maîtres à ne-pas-penser !
Widergänger dit: 21 août 2017 à 13 h 07 min
les filles, wider. oui : ai rarement vu des garçons, ils se tournaient vers maçonnerie comme leur père, n’ont strictement aucune ambition sociale.
Cela dit, rendre les profs responsables de cet échec profond que nous vivons c’est absurde.
Ce serait comme rendre responsable un journaliste, ad hominem, responsable des choix éditoriaux de 400 journalistes et de leurs chefs, hommes d’affaires.
La responsabilité de la déliquescence de l’éducation nationale c’est le ministère et par extension les politiques, politiques que l’on entend vraiment très peu.
Pablo, vous êtes emmerdé avec l’ art…et ça se sent!
Prenez de la distance et de la hauteur de vue.
Prenez de la distance et de la hauteur de vue.
Et vous verrez, tout ira bien!
Superbe échange entre Fitzgerald et son éditeur Maxwell Perkins à la fin de Gatsby, par exemple :
Dear Max,
Après six semaines de travail ininterrompu, la correction des épreuves est terminée et les dernières vous seront expédiées cette après midi. Dans l’ensemble, le labeur a été fructueux :
1. J’ai rendu Gatsby vivant.
2. J’ai justifié l’origine de son argent.
3. J’ai arrangé les deux chapitres faibles (6 et 7).
4. J’ai amélioré sa première réception.
5. J’ai fractionné son long récit dans le chap. 8. (…)
JC….. dit: 21 août 2017 à 7 h 04 min
merci. C’est pile poil cela.
J’observe. J’en parle.
Je constate, ds mon entourage un réel repli communautaire, lié, j’imagine; à un très fort sentiment d’exclusion.
Alors on fait un barbeuc où on mange de la viande hallal et on se demande comment on va continuer à vivre dans ce pays qui nous hait. Qui nous hait de plus en plus, qui nous rejette.
Je ne suis même pas sûre que ces barbares soient animés par de la haine : je vois cela comme de la froide indifférence, et pour moi, cette indifférence par rapport à des êtres vivants et bien, je ne l’accepte pas. Femmes, enfants, personnes âgées, plus rien n’est respecté.
Eh, merci JC. (bis).
un petit restau au Jules Verne, pablo ?
UN CONTE DE FEE….
Canada : elle retrouve sa bague de fiançailles autour d’une carotte, 13 ans après l’avoir perdue dans son jardin !
« Mary Grams est heureuse. A 84 ans, cette Canadienne qui avait perdu sa bague de fiançailles en diamant dans son jardin en 2004 l’a retrouvée, 13 ans plus tard, enfilée dans une carotte de son jardin.
« Je l’ai reconnue tout de suite », dit-elle. Mary Grams avait perdu sa bague alors qu’elle travaillait son jardin, dans la ferme familiale près d’Armena, en Alberta (Canada), en septembre 2004, selon le site CBCNews (en anglais). « Nous avions regardé partout, sur mes mains et mes genoux, nous n’avions rien trouvé », se souvient-elle. (Franceinfo)
N’oublions jamais de regarder d’un œil intéressé les carottes de nos jardins !
JC comme quoi les carottes sont des légumes prometteurs en plus d’être chargés de vitamine A, de bêtacarotène qui si on les mange crues et non râpées ne subissent aucun des dommages qu’occasionnent la cuisson ou la congélation ou encore la pasteurisation.
Mais tu ne peux pas comparer le cas d’Israël et l’Europe, voyons ! Là-bas et ici, ça ne fonctionne pas du tout pareil, et le contexte géographique n’est pas l même non plus.
Moi, je ne te parle que de la France et de l’Europe. Il ne faut pas tout confondre.
Ces barbares ne sont pas animés par la haine : elle est constitutive de leur vie. Structurelle ! Innocents car simplets. Exit.
@ JC….. dit: 21 août 2017 à 13 h 07 min
Comment tu peux croire que ça m’intéresse si je t’emm.mer.de ou pas? Tu es vraiment optimiste. Si mon disque ne t’intéresse pas, saute-le (ça te rappellera de bons souvenirs, l’époque déjà lointaine où tu sautais quelque chose).
D je vous ai lu avec intérêt , avant d’avoir pacifié notre religion et avoir pris nos distances avec les religieux nous avions développé les mêmes défauts que ceux qui sont actuellement à l’oeuvre et observables dans les déviances de l’Islam. Religion comme pouvoir d’asservissement et au service de pouvoir politique quand ces deux ne rivalisaient pas. C’est loin, Dieu merci.
quant au lien mis par Hatem Dhaouadi, merci monsieur, lien magnifique du castrat Farinelli, notons, drôle d’ironie du sort, que le paon animé derrière déploie un queue fictive, puisque celle du paon dépasse un peu les 180 degrés d’amplitude mais jamais ne forme un cercle complet.
cf le musée de Dolores Olmedo.
Widergänger dit: 21 août 2017 à 13 h 28 min
j’admets que l’on ne veuille pas confondre et qu’il soit important de sérier les problèmes ; néanmoins dans le modus operandi, violence aveugle et jusqu’au boutiste, vous ne pouvez pas dissocier, widergänger, le terrorisme ici et celui là-bas. C’est le même.
@ Pat V
On vous demande si les boîtes à mer.de de Manzoni sont de l’art. Réponse : « il est difficile de répondre à un problème mal posé… »
Je ne vous ai pas posé « un problème », mais une question claire: est-ce ou pas de l’art? C’est très simple de répondre.
où tu sautais quelque chose
Pablo, j’ai lu rapidement la réponse de ¨PatV, j’ai compris qu’il s’efforçait de faire la part entre Art et n’importe quoi sans rejeter toutefois la totalité des œuvres contemporaines.
ORIGINAL TITLE
Merda d’artista
bérénice dit: 21 août 2017 à 9 h 08 min
je comprends très bien cela, ce que vous dites là, terriblement poétique ; une femme disait à son amie, nous sommes assises sur un banc et si nous tombons, nous tomberons du banc. On ne se fera pas mal.
Je n’ai pas compris le message sur l’échec comme cela. Je l’ai compris comme l’impossibilité de se hisser au dehors d’un puits.
Or, l’instinct vital conduit à vivre et pas à rechercher la mort. S’opposer à la mort, quelle qu’elle soit et se battre pour la vie.
C’est en cela que chaque mort d’enfant me plonge dans des affres terribles.
Ce n’est pas parce qu’il y a 500 ans ou plus, nous avons vécu un tel obscurantisme -et le catholicisme est loin d’être vierge de toute accusation, que l’on doit admettre un tel retour en arrière.
Quand vous faites un gâteau raté », vous n’avez de cesse que de recommencer pour faire un gâteau avec lequel tout le monde se régale.
C’est la vie.
j’ai tenu plusieurs mois sans me prendre le bec avec lvdlv.
http://fr.cdn.v5.futura-sciences.com/buildsv6/images/mediumoriginal/9/2/e/92e84fa86a_25100_9899-larus-argentatus-two-adults-fighting-3.jpg
Je suis assez fière de moi. J’en ai, seule, la responsabilité, car elle n’a fait aucun effort.
Ce matin, j’ai sauté ses imprécations et je reprendrai mon chemin pour communiquer avec lvdlb paisiblement, plus tard, quand elle se sera calmée.
Pablo aime les réponses claires et binaires.est ce que l amour c est un plaisir ou une souffrance? Dieu est il un escroc ou un brave type?est ce que l auto fiction est de l’auto ou de la fiction?vous avez 10 secondes pour appuyer sur le bon bouton.
Le terrorisme ici et là-bas c’est exactement le même.
Mais je ne parlais pas de ça. Je parlais des problèmes de l’intégration.
Oui, on en est là avec ce pauvre Pablo75. C’est aseez affligeant. Il n’y a vraiment que sur un blog qu’on peut rencontrer pareil énergumène aussi borné. Dans la vraie vie, je n’en ai encore jamais rencontré de semblable. Je ne sais pas d’où il sort, mais il est pas piqué des hannetons, celui-là ! Dieu qu’il est bête ! Comment peut-être être aussi bête ? Quel mystère tout de même la bêtise ! Quel mystère !
sa volonté d’Incarnation
« le péché originel est une réalité »
« (la souffrance) prend d un sens lorsque qu’elle passe par Lui, et c’est en cela aussi que s’abolit le péché, »
Il hallucinait grave, sous influence, cannabis (oint) et schizo psycho-machin comme les autres illuminés avant et après lui
Bérénice 13h23 . Superbe madrigal de Monteverdi, c’est de l’Art, sans aucun doute. « Farinelli » offrait le spectacle, parcourir « le printemps » de Botticelli en gros plan, ce n’est pas mal non plus. Le sonnet de Petrarque n’est pas parfaitement joyeux
str 1 zefiro torna,e’l bel tempo rimena
…… str 3 ma per me,lasso,tornano i più gravi
sospiri …
le texte du sonnet se trouve sur le net, comme pour « lascia.. »
Pas eu le temps de vérifier si c’était bien le texte de Monteverdi.Ce soir
De la musique avant toute chose..
Allez, on va être gentil, on va soulager (c’est le cas de le dire…) Pablo75 d’un grand poids.
Les boîtes à merde de Manzonni sont-elles de l’art ?
La réponse est :
Ooooouuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Il a gagné le gros lot : une belle boîte de Manzionni à 20 000 € ! Moi, je cracherais pas dessus…!
« sa volonté d’Incarnation »
« le péché originel est une réalité »
« (la souffrance) prend d un sens lorsque qu’elle passe par Lui, et c’est en cela aussi que s’abolit le péché, »
Il hallucinait grave, sous influence, cannabis (oint) et schizo psycho-machin comme les autres illuminés avant et après lui
Rose mon propos ne visait pas à dédouaner l’islamisme, ils ont du retard et refusent de faire avancer leur pratique religieuse en imposant de plus leur volonté de nous soumettre à ces archaïsmes d’une part et en donnant une interprétation erronée de leur texte sacré qui n’est pas celui du restant du monde qui depuis des lustres est passé à autre chose qu’une évangélisation forcée pour ce qui est de la Chrétienté .
Bérénice 13h23 . Superbe madrigal de Monteverdi,
oui c’est absolument joyeux et à l’opposé du spectre pour l’émotion suscitée. On trouve tout sur le net comme aux gaeries lafayette ou à la Samaritaine, je connaissais le Lamento bien qu’il ne soit besoin d’aucun texte pour ressentir la musique qui le porte.
Euh, les périodes rose et bleue dudit Picasso à ses débuts, c’est du cubisme?!
Rose, cela finira par une guerre civile.
Phil , je ne connais pas votre exemplaire sur papier rose, bien qu’ayant un tirage limité de l’originale.
Bien à vous.
MC
Et Paul Edel aime les réponses ternaires (oui, non, peut-être) ou quaternaires (oui, non, peut-être, pourquoi pas?).
-Est-ce que Paul Edel est un bon romancier?
-Oui, non, peut-être, pourquoi pas?
-Est-ce que Bach est un grand compositeur?
-Oui, non, peut-être, pourquoi pas?
-Est-ce que Blabla-Widergänger est un génie?
-Oui, non, peut-être, pourquoi pas?
-Est-ce que la cathédrale d’Amiens est une cathédrale gothique?
-Oui, non, peut-être, pourquoi pas?
-Est-ce que Las Meninas c’est de l’art?
-Oui, non, peut-être, pourquoi pas?
-Est-ce que les boîtes à mer.de de Manzoni c’est de l’art?
-Oui, non, peut-être, pourquoi pas?
C’est intelligent comme méthode de connaissance, n’est-ce pas?
-Oui, non, peut-être, pourquoi pas?
JC 21 août 10h 56 et 11 h 05 min
une légère contradiction peut-être entre les deux messages, comme si la démocratie n’était pas un objet culturel …
Manifestement personne n’a lu l’article mis en lien, dommage.
Il est vrai qu’il y en a beaucoup, presque à chaque message, alors s’il fallait cliquer sur tous, n’est-ce pas
Par ailleurs, pour rejoindre le sujet dominant :
Pablo 75, si vous êtes à Paris aujourd’hui, tout dernier jour pour l’exposition Tokyo-Paris.
Puisqu’il s’agit d’une collection, ce serait l’occasion de faire cette expérience, aussi bien dans les salles consacrées à des mouvements totalement consensuels de nos jours, comme l’impressionnisme, ou des écoles plus récentes : en présence des œuvres elles-mêmes, il se passe quelque chose qui oblige à quitter les généralisations théoriques et souvent « réactives », les débats idéologiques.
Au lieu de faux débats entre avatars sur un forum où l’invective prévaut sur le débat et la possibilité d’échange, il serait intéressant de transporter les individus retranchés derrière leur clavier dans les salles d’un musée comme celui de l’Orangerie.
On entre dans un espace où des tableaux (et quelques statues) sont exposés, en concurrence donc pour notre attention (cf. Valéry sur le musée). Et certaines œuvres se détachent du lot, aimantent le regard d’emblée ou le retiennent durablement. Avant de lire les cartels, à moins d’avoir déjà effectué une visite virtuelle ou appris le catalogue par cœur, à moins d’être confrontés à des œuvres ou des « manières » hyper connues, on est dans les mêmes conditions que pour une écoute à l’aveugle, ou comme sous un voile d’ignorance.
Et je me demande si les ennemis en parole ne seraient pas aimantés par les mêmes œuvres, y compris dans la dernière salle (l’accrochage suit globalement un ordre chronologique).
Rose, à 9h08 je vous donnais à lire la réflexion d’Hamlet postée hier soir.
@ Blabla-Widergänger
« Les boîtes à merde de Manzonni sont-elles de l’art ?
La réponse est : Ooooouuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! »
Tu devrais alrors mettre en vente ta tête, qui est une vraie boîte de Manzoni, avec un kg et demi d’art manzonien pur.
La notion d’abstrait en peinture est un truc pour le grand public.
Toute oeuvre est une abstraction.
C’est ça ki fallait dire et une fois encore c’est bibi qui remet les pendules (chiées) à l’heure.
« faux débats entre avatars sur un forum où l’invective prévaut sur le débat et la possibilité d’échange, »
Bien vu et encore c’est en-dessous de la réalité : plutôt ‘la nef des fous’, comme disait Christiane
-Est-ce que Blabla-Widergänger est un génie?
-Oui, non, peut-être, pourquoi pas?
–
Tout être humain a du génie quelque part. C’est ça ki fallait dire.
On est au trente-sixième dessous pour tout débat avecce malheureux Pablo75. J’ai jamais vu une buse pareille. Faut cel’ farcir, l’animal…! Et pis, il pique en pus… une teigne, le gars !
bérénice dit: 21 août 2017 à 14 h 15 min
en rien, je ne vous taxais de dédouaner l’islamisme.
Mon propos était le refus d’une marche arrière.
Avançons.
En tout cas, le Manzonni il l’a bien mise en boîte sa merde, et pis le Pablo 75 avec ! C’est le dîner de con ici mais multiplié par mille…!
Le texte chanté par P Jaroussky et Nuria Rial : zephiro torna . Olga vous avez l’oreille, la note joyeuse traduit bien le vent, le printemps, une allégresse. Transport virevoltant.
à Marseille, la situation depuis Barcelone :
samedi valise suspecte à l’Alcazar
vide
dimanche
colis suspect à la gare saint charles
pas de suite
lundi
ce matin deux femmes une de 29 ans blessée et la seconde de 42 ans tuées les deux attendant sous un abri-bus. Un forcené leur a foncé dessus avec une camionnette blanche.
samia ghali sénatrice emploie dix fois le terme folle, fou etc.
c’est un fou. nous sommes protégés.
français, dormez tranquilles.
la rosse se lance des challenges insensés sur le net. Va-t-elle tenir sans médocs. Enfin plus longtemps que sur feu son blog, où z’ont tous tourné maboul.
Quelques autres:
http://www.arts-florissants.com/textes/traduction-des-textes-chantes-madrigaux-de-monteverdi.html
La BnF met à disposition les partitions pour ceux qui voudraient s’exercer.
Rose, l’info tous azimuts est discutable, un intervenant sur un plateau TV parlait du traitement de ce genre d’attaque en Israël, relais minimum pour ne pas leur faire de pub ou les activer comme une série instable qui risque au moindre mouvement d’exploser en suite .
…
…mais, alors-là,…un lien, de commentaire,…pour diluer et enrober, les débats,…avant, mes courses,…
…
…hélas, il, n’y a pas que E. Munch,…qui a travaillé par la technique, de peintures sur photos, et copier en agrandissant par projections, ou quadrillage,…et repeintes à plusieurs reprises de couches, sur le tableaux final,…
…
…pratiquement tous, s’y sont mis, ils n’avait, pas le chois,…
…quand les postures sont difficiles à tenir, pendant des heures,…le raccourcis-document-photo-repeint,…
…et les à pastels de Degas, les expressionnistes, Matisse, les coupures de cartons le contorsionniste de Picasso, les en sandwich, de Braque,..;
…simplement, des virtuoses de grands contrastes émotifs, pour masquer, la facile-technique,…
…et, autres zones de taches, presque de la décoration, qu’autre choses,!…et, les glacis, des couches teintées, presque transparentes superposées,…
…
…je ne peux pas en dire plus,je dois aussi peindre et créer,…je ne vais pas fabriquer des diamants multicolore,…
…ainsi, je n’ai pas, la côte,…prenez en, de la graine,!…Ah,!Ah,!…
…
D. dit: 21 août 2017 à 14 h 28 min
La notion d’abstrait en peinture est un truc pour le grand public.
Toute œuvre est une abstraction.
Assez décodé D, je l’ ai dit tout au début ( déjà au post précédent ) mais personne ne lis attentivement ici…
Vouloir titrer d’ art ou pas une fabrication quelconque, cela n’ a aucun intérêt et chacun la reçoit comme il veut et comme – hélas – il peut.
C’ est un malentendu…à bon entendeur, salut!
Alain Badiou, auteur d’un livre remarquable sur saint Paul, est aussi un militant incomparable pro-migrants. La preuve, une tribune dans Libération, en 2016, que voici résumée :
« Thomas Piketty, Alain Badiou ou Frédéric Lordon, des intellectuels de renom signent un mot d’ordre lancé par des étudiants et des professeurs : accueillir dans les écoles et universités tous ceux qui fuient les guerres, persécutions ou désastres économiques et environnementaux. » Libération
Je m’étonne que l’immonde Wgg défende lui aussi ce philosophe, tant cela est opposé à ses idées plates et courtes.
L’humanisme maoïste et communiste de Badiou débouche inévitablement sur des idées universelles d’entraide. Dans cette logique, il faut bien sûr accueillir la misère du monde. C’est notre devoir recteur.
L’ art, c’ est la Chronique troublante d’une évaporation?
C’ est de l’ état gazeux analysait encore hier, Yves Michaud…
Dans une interview en juin dernier, Badiou précisait sa pensée de manière très subtile, et profondément révolutionnaire :
« Il est évident qu’à long terme, stratégiquement, la grande question est celle de la possibilité d’une transformation libératrice des pays d’origine. A l’arrière-plan des migrations de ce que j’appelle le prolétariat nomade, ces millions de gens qui errent dans le monde à la recherche d’endroits où survivre, nous trouvons évidemment le fait qu’un continent entier, l’Afrique, est soumis à la prédation capitaliste la plus violente. Ultimement, il est sûr que la vraie question posée par ces migrations est celle du processus d’émancipation, et donc de la renaissance de l’hypothèse communiste, dans les pays concernés. »
@Giovanni Sant’Angelo dit: 21 août 2017 à 15 h 14
C’est un commentaire plein de couleurs : » il, n’y a pas que E. Munch…
…et les à pastels de Degas, les expressionnistes…
Matisse…
les coupures de cartons le contorsionniste de Picasso…
les en sandwich, de Braque..
…et, autres zones de taches… et les glacis, couches teintées, presque transparentes superposées…
je ne peux pas en dire plus,je dois aussi peindre et créer… »
Comment dire le regard de chacun, la mémoire de chacun ?
Qu’avez-vous en tête quand vous commencez à peindre ?
« Mais tu ne peux pas comparer le cas d’Israël et l’Europe, voyons ! » Wgg
Et pourquoi pas, par exemple ? Israël est une expérience pilote de politique colonialiste. Ses impasses nous pendent au nez, à nous aussi en Europe, si nous ne savons pas prendre avec souplesse les prochains virages. Israël, c’est l’Occident en plein milieu arabe, c’est la force exploiteuse aux premières loges du combat douteux que le capitalisme blanc est en train de mener sur le monde depuis des siècles !
Autant dire que vous n’y connaissez rien, Christiane. J’ai bien l’impression que vous répétez des choses lues ou entendues sans avoir compris.
La différence entre Europe et Israël c’est que pour l’instant l’Europe n’a pas encore expulsé ses autochtones de certains territoire pour faire de la place aux migrants, comme l’a fait Israël il y a quelques décennies.
Mais ce n’est que pour l’instant.
Ce que fait plutôt Israël, c’est de rejeter vers la mer les Palestiniens pour envahir le maximum de terre. On appelle ça le colonialisme.
Ho hé ho, Patricia. Doudoucement, hein. Je vous aime bien mais à condition que vous temoigniez d’un minimum d’égards exigibles au vu de ma grande ancienneté ici. Vous ne pouvez pas me contredire sans me demander auparavant l’autorisation après en avoir clairement exposé le motif.
Bref, il faudrait que le gros Wgg nous explique cette passion subite pour Badiou, philosophe et homme qui est à mille lieues de son immonde personne.
Compte tenu de ses déclarations récentes particulièrement insensées, nous rebaptisons à la demande générale le sieur Delaporte :
« DELAPORTE DE L’ASILE »
La famille, atterrée par l’opprobre, vient de quitter l’hexagone pour la Somalie…
Pour Rose
« Puisque tout ce qui est de vie
Se relie
A la marée qui emporte la lune,
A la lune qui ramène la marée,
Aux disparus sans qui nous ne serions pas,
Aux survivants sans qui nous ne serions pas,
Aux sourds appels qui diminuent,
Aux cris muets qui continuent,
Aux regards pétrifiés par les frayeurs
Au bout desquelles un chant d’enfant revient,
A ce qui revient et ne s’en va plus,
A ce qui revient et se fond dans le noir,
A chaque étoile perdue dans la nuit,
A chaque larme séchée dans la nuit,
A chaque nuit d’une vie,
A chaque minute
D’une unique nuit. »
François Cheng Cinq méditations sur la mort (Albin Michel)
la gifle d’entrée dans l’âge nubile est un rite de passage illustré au cinéma dans une sequence de diabolo menthe de Dyane Kurys
DEMENCE GALOPANTE
« L’humanisme maoïste et communiste de Badiou débouche inévitablement sur des idées universelles d’entraide. » (Delaporte de l’Asile)
… vous voyez ce que veut dire par Asile ?….. Humanisme maoïste ! Humanisme communiste ! …débouchant sur des idées universelles d’entraide !!!…. à pisser de rire en souvenir des millions de morts… uhuhu !
Mais mon pauvre Delaporte des chiottes, je ne t’ai pas attendu pour m’occuper des immigrés. T’étais pas à l’église Saint-Bernard ! Alors ferme ta gueule de gros con ! C’est pas toi qui t’es occupé durant tout l’été de récolter les papiers pour constituer les dossiers des sans papiers, rédiger les tracts en français, /allemand/anglais. À traduire en allemand avec l’aide de mon ancien prof des tas d’articles de la presse savante sur les questions de l’immigration pour les distrobuer dans les rues durant tout l’été. C’est pas toi, espèce de grosse merde arrogante et fumeuse qui a accompagné les sans papiers à la Préfecture de Seine Saint-Denis pour pas qu’ils se fassent choper par la police au guichet. C’est pas toi, grosse merde écrasée qui les a accompagnés jusque dans les bureaux de la préfecture de Paris pour empêcher que les flics ne les embarquent on ne sait où. Alors ferme ta grosse gueule de gros cornard de mes deux. T’es rien qu’une infâme grosse merde de con de ta mère !
Pour les fillettes … rien ne vaut, bien mieux que la gifle, une petite excision et le port d’un joli petit voile en tissu synthétique.
En attendant le vieillard de 72 ans qui la comblera de semence.
Et le maoïsme du jeune Badiou n’a rien à voir avec les cours de son séminaire sur Lacan, Wittgenstein, Pascal, Beckett, Mallarmé, la vérité, le savoir, l’événement, le mal ou l’amour, et tant d’autres questions passionnantes. Et le Badiou d’aujourd’hui a des choses autrement plus passionnantes à dire sur la politique d’aujourd’hui et sur la politique en soi aujourd’hui que le Badiou maoïste d’antan, qui en est revenu depuis belle lurette, tout en restant communiste. Moi aussi, d’ailleurs, je suis communiste, un Juif communiste et fervent sioniste et totalement opposé aux Palestiniens qui n’ont rien à faire là !
Mais Delaporte des chiottes a la tête farcie de clichés de son petit milieu de merde d’extrême gauche de merde antisémite de merde à chiller !
Badiou ça craint à fond.
Impossible de vous suivre sur un tel terrain mon vieux Delaporte. Désolé.
Et le maoïsme du jeune Badiou n’a rien à voir avec les cours de son séminaire sur Lacan, Wittgenstein, Pascal, Beckett, Mallarmé, la vérité, le savoir, l’événement, le mal ou l’amour, et tant d’autres questions passionnantes. Et le Badiou d’aujourd’hui a des choses autrement plus passionnantes à dire sur la politique d’aujourd’hui et sur la politique en soi aujourd’hui que le Badiou maoïste d’antan, qui en est revenu depuis belle lurette, tout en restant communiste. Moi aussi, d’ailleurs, je suis communiste, un Juif communiste et fervent sio.niste et totalement opposé aux Palestiniens qui n’ont rien à faire là !
Mais Delaporte des chiottes a la tête farcie de clichés de son petit milieu de merde d’extrême gauche de merde antisémite de merde à chiller !
« Moi aussi, d’ailleurs, je suis communiste, un Juif communiste et fervent sio.niste et totalement opposé aux Palestiniens qui n’ont rien à faire là ! » Wgg
Quelle confusion dans les idées ! Rapprocher les contraires inconciliables au mépris des plus évidents principes ! On appelle cela le confusionnisme. Et il faut sacrément être con et illettré pour en arriver là…
Les spécialistes , ceux qui lisent Voici-Grazia-Elle, et psycho magazine et boivent un diabolo, vous diront avec raison qu’il y a une différence lexicale entre puberté et l’archaïsme nubilité.
C’est la deuxième fois que le film « Diabolo menthe » est mentionné sur ce blog en moins d’un jour. remarquable.
Qu’est ce qu’on est déjà aujourd’hui ? Ah oui, lundi !
Le lundi, je suis communiste
Le mardi, je suis fasciste
Le mercredi, je suis gaulliste
Le jeudi, je suis écologiste
Le vendredi, je suis capitaliste
Le samedi, je suis moitié pédogérontophiliste, moitié philatéliste
Le dimanche, je suis catholiquiste …
C’est à dire congre, gros congre, tous les jours.
Ce soir je mange des oeufs au plat.
cela me semble contradictoire d’être et communiste et sioniste.
Delaporte vous êtes d’extrême gauche ?
prendre avec souplesse les prochains virages. Je l’ai vécu.
C’était un side.
Je fus éjectée à la sortie du tournant.
Je me suis pris un platane.
Vous avez ce qui reste d émoi. Toute couturée.
ce qui reste de moi
christiane et françois cheng, merci 🙂
g jamais eu de blog.
allumée cette fille lvdlb.
Le diabolo-menthe, soit dit en passant c’est dégueu. Où alors faut avoir une soif du tonnerre pour boire ce trucvert à bulles qui pue la menthe douçâtre. Rien ne remplace un bon rosé de Provence.
Je préfère encore le pastis de JC. C’est dire…
« Mais ils s’intègrent. J’en ai eu comme étudiants, cette année, ils sont intégrés. Ah bien sûr, ce ne sont pas des flèches ! Mais ils s’intègrent, c’est forcé. »
WG
Ton expérience ACTUELLE est parisienne, c’est-à-dire qu’elle concerne des classes où les immigrés de culture extra-européenne sont encore minoritaires. C’est la condition de l’intégration.
Dans les zones de plus en plus nombreuses où les élèves de culture familiale française non musulmane ont pratiquement disparu, pas d’intégration possible.
Voir le dernier livre de Bensoussan.
Combien de fois faudra-t-il répéter que la question fondamentale, c’est le nombre. 10%, 20% « de souche », ne peuvent pas intégrer 90%, ni 80%, ni même beaucoup moins, surtout s’ils appartiennent à une culture aussi totalitaire et dominatrice que l’islam.
Et cette pauvre Bérénice qui continue de parler contre toute évidence d’une mauvaise interprétation de l’islam. Je pourrais lui donner une bibliographie complète qui montre que l’islamisme est une interprétation parfaitement légitime de l’islam, même si elle n’est pas la seule évidemment et si elle ne va pas nécessairement jusqu’à l’attentat aveugle.
Bérénice 15h remarquable ce lien: les Madrigaux en VO et en traduction française.L
le combat de Tancrède et Clorinde,aussi.Textes simples et d’une grande violence pour exprimer le désespoir amoureux. Différence entre le madrigal et le sonnet, j’attendrai le retour d’Olga..
https://www.youtube.com/watch?v=y3REIVlo2Ss
ce lien renvoie à des « chansons » de John Dowland, il y a dans les deux cas la partition musicale et les paroles en anglais
1)4′ flow my tears chanté par Andreas Scholl ( que j’avais entendu in vivo
2) 4′ weep you no more sad fountains chanté par Paul Agnew
la voix et l’accompagnement discret d’un luth.Simple & beau
** les crapauds du jardin, 2 familles nombreuses, ont des cris d’amour effarants et effrayants; comme il fait très chaud, ils se réfugient sous les fleurs que j’arrose et se glissent dans l’ombre de la maison..Google en donne-t-il une idée , je vais voir..
« Delaporte vous êtes d’extrême gauche ? »
C’est le moins qu’on puisse dire, non ?
D 17 h 16 min
Et le diable est dans diabolo, alors que le pastis …
« Et cette pauvre Bérénice qui continue de parler contre toute évidence d’une mauvaise interprétation de l’islam. »
La question se pose évidemment, mais beaucoup de docteurs musulmans ont été des textes très pacifiques. L’islamisme est une perversion de l’islam, comme l’Inquisition une perversion du christianisme. La vraie Vérité de la religion, c’est la paix. C’est ce que démontre le Christ par sa Passion, et le Coran par le désir de vivre dans la sérénité.
Par contre, un mouvement politique comme le sio.nisme, cher à Wgg, est un mouvement violent et belliqueux. Les victimes actuelles du sio.nisme sont les Palestiniens, qui notamment depuis 1948 subissent la violence coloniale de l’Etat d’Israël. Depuis cette date, la violence est terrible et insupportable.
Après Fauré, ou il vaut Florence Foster-Jenkins pour le manièrisme , le coté vieille cocotte caquetante de Monteverdi Jarousskysé! Et il s’en trouve pour admirer ça? Courage, fuyons!
Oui c’est un peu comme si des migrants chassaient Clopine de ses terres pour s’installer. La situation est très similaire.
Court je n’entends pas la cocotte caquetante, je trouve ce chant très beau mais peut-être faudrait-il comme pour les tableaux qui ne devraient avoir besoin d’un intituler pour parler ou signifier, émouvoir, écouter à l’aveugle sans savoir qui chante quoi pour se défaire des admirations hâtives et pré-fabriquées par une réputation que vous lui faites mauvaise, vous ne l’aimez pas du tout ?
Donnez nous à entendre ce chant par d’autres que ce soit au moins pédagogique puisque vous disposez d’innombrables références musicales .
Jerry Lewis était plus apprécié en France qu’aux USA (un peu comme Woody Allen). Depuis sa mort, les Américains se demandent ce que nous lui trouvions. Cela reste un mystère pour eux. Louis Malle le trouvait parfait, et Godard aussi :
Jean-Luc Godard n’y va par quatre chemins. «Jerry Lewis est le seul réalisateur américain a avoir fait des films progressistes. Il est bien supérieur à Chaplin et Keaton», assène le réalisateur d’«A bout de souffle».
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