de Pierre Assouline

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Chronique troublante d’une évaporation

Chronique troublante d’une évaporation

Ce qu’il y a de bien avec la rentrée littéraire, ou plutôt d’original car nul ne jurerait que c’est un bien, contrairement aux rentrées scolaire, professionnelle et parlementaire, c’est qu’elle vient vous chercher jusque dans vos vacances pour vous attraper par le cou et vous obliger à sortir même si vous n’êtes pas encore rentré. Tous ceux qui ont passé une partie de leur été à lire sur épreuves, terme qui s’avère hélas le plus souvent parfaitement adapté à la situation, qu’ils soient critiques, journalistes, jurés, libraires ou bibliothécaires, se parlent, s’écrivent, se lisent. Il y a du buzz, de la rumeur, du bruit de fond, du bouche-à-oreille. Parfois très tôt émerge le roman qui vitrifiera la rentrée aux dépens de tous les autres (Les Bienveillantes, Les Particules élémentaires etc) ; parfois, non. Rien à l’horizon. Le calme plat et c’est tant mieux. Chacun a ses chances, tout peut arriver à commencer par l’imprévu magnifique, l’inattendu espéré. Il y en a forcément puisque la plupart des auteurs de premier roman sont des inconnus.

A l’heure où nous mettons sous presse, pas de grands livres en perspective, mais des bons livres, certainement. Au hasard, parmi quelques uns isolés de la pile, Summer (320 pages, JC Lattès), cinquième roman de Monica Sabolo. Une femme disparaît. Air connu grâce au cinéma. Sauf que là il s’agit d’une jeune fille et que son frère Benjamin Wassner, 15 ans à l’époque, vingt-cinq de plus lorsqu’il se souvient, est le narrateur. La remémoration des secrets d’enfance d’un garçon qui se croit jugé comme idiot par son entourage, une extrême attention portée au gestes et aux détails du quotidien soudain rehaussés par l’intensité du drame, le doute et l’angoisse de ne pas savoir, l’absence au monde de celui dont l’esprit est hanté par la disparue, le ressouvenir envahissant de celle qui n’est ni morte ni vivante, Summer, 19 ans.

Rien ne torture des parents ou des proches comme de ne pas savoir. Il mène son enquête sur les siens et ce retour l’édifie d’étape en étape, de désillusion en désillusion tant les apparences sont insincères. Il ne s’épargne pas, se culpabilise de n’avoir pas réagi lorsque sa sœur passait pour une « Miss Suicide », se croit né trop tard, se persuade que les choses étaient différentes avant qu’il ne soit là, lui, le dyslexique, mal aimé quand sa sœur était adorée de tous, lui qui passait son temps en classe à décomposer une gomme en milliers de miettes, dont nul ne soupçonnait la vraie nature, sa fascination pour le mal et la douleur, son goût de la dissimulation. Et si ?… Peut-être après tout que, comme dit l’inspecteur :

 « Quoi qu’il en soit, les gens ne disparaissent pas comme ça. Il y a toujours une explication. Et elle est souvent extrêmement simple. A portée de mains ».IMG_5551

Cette chronique d’une dilution par un homme qu’elle a brisé a beau se dérouler sur les rives du lac Léman, lac très présent dès l’incipit où il se trouve mêlé au rêve, dans une maison agréable avec des personnages bien blonds, bien typés du milieu de la bonne bourgeoisie genevoise, elle n’en est pas moins angoissante en raison de ce cliché apaisant et du contraste qu’il offre avec le drame. Lorsqu’il survient, les façades se lézardent, d’autres visages apparaissent derrière les masques tranquilles de tous les jours, les faux-semblants se redessinent et une fois de plus se vérifie le jugement de Proust dans l’une de ses lettres :

« Nous vivons auprès de gens que nous croyons connaître. Il nous manque l’événement qui nous les fera apparaître autres que nous les savons »

Ici l’évènement, « l’incident déclencheur » recherché par le thérapeute qui soigne le narrateur, c’est bien entendu cette disparition, fugue, fuite, enlèvement, noyade, décomposition, métamorphose qui sait, on n’en sait rien, du moins pendant un certain temps, une jeune fille ne disparaît pas parce que sa mère l’avait giflée le jour de ses premières règles même si c’est paraît-il une tradition, et il faut espérer que nos chers critiques vous en diront le moins possible afin de ne pas gâter la lecture. Dans la maison, tout se lézarde et s’écroule des relations que l’on croyait bâties sur le solide traditionnel des familles aimantes. Un détail suffit dans la quête des traces de la disparue pourtant pour menacer le bel édifice et stimuler le grand déballage de vérités enfouies et de mensonges honteux. Ne reste plus qu’à chercher, chercher encore :

« Peut-être est-ce la seule chose à faire quand on n’a plus ni souvenirs, ni émotions : retrouver des vestiges, creuser avec ses doigts dans la terre, reconstituer des squelettes, épousseter les fossiles, mais même là, il est probable qu’on ne parvienne jamais à saisir la vie qui les animait, pas même à l’effleurer ».

Assez simenonien dans sa facture, son économie d’effets, sa sensibilité et surtout l’extrême empathie qu’il dégage pour le personnage principal, non la disparue mais le narrateur, Summer tire sa force d’une écriture au cordeau dénuée de trucs mélodramatiques, de sa pudeur dans le déploiement des sentiments et de la maitrise de l’intrigue de bout en bout. On en ressort avec un trouble durable, l’esprit entre deux eaux. Prenant et poignant comme une série anglaise en deux saisons et seize épisodes, sauf que c’est moins long et plus onirique car la dimension policière de cette recherche est restreinte. Le plus réussi dans le roman de Monica Sabolo, quelqu’un qui manifestement ne déteste pas les secrets de famille, c’est ce que ce genre de drame révèle et cristallise des êtres qu’il concerne, les fils qu’on tire, la nuit surtout, lorsqu’on retrouve ses fantômes en rêve.

Nul doute que ce roman, qui m’a fait penser à Harry, un ami qui vous veut du bien, le film de Dominik Moll, par son ambiance, son atmosphère, et par le malaise qu’il distille par petites touches, sera porté à l’écran et qu’il sera abondamment traduit.

( photos Passou)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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1 090 Réponses pour Chronique troublante d’une évaporation

l'ombelle des talus dit: à

Ils ont du passer la nuit ensemble

Delaporte dit: à

Des précisions « non spéculatives » sur votre syndrome de Gilles de La Tourette, Wgg :

Ainsi, les personnes qui ont déjà entendu parler du syndrome de Gilles de la Tourette l’associent inévitablement à la copropraxie (faire des gestes grossiers) et la coprolalie (dire des obscénités, des insultes). Cependant, ces symptômes ne sont pas systématiques : « Ils concernent moins de 20 % des malades, précise le Dr Hartmann. Au contraire, certains de mes patients appellent leur boulanger « Mon chéri » ou disent « Je t’aime » dès leurs premiers rendez-vous amoureux. Ces comportements socialement inappropriés sont liés à un défaut d’inhibition au niveau du cerveau ». (Doctissimo)

Bonne cure !

Widergänger dit: à

« Le maître dont l’oracle est à Delphes ne légifère ni ne crypte : il est sémaphore. »

Héraclite, fragment 93

Delaporte dit: à

Avec Wgg qui appellent ici les autres internautes « mes petits chéris » nous sommes en plein syndrome.

Widergänger dit: à

Delaporte est un voyou de la gestapo.

Widergänger dit: à

Je t’appelle « mon chéri », parce que t’as besoin d’être aimé, mon pauvre chéri. Comme tous les voyous de la gestapo. Ils sont en quête de leur maman, les pauvres !

Delaporte dit: à

« Delaporte est un voyou de la gestapo. »

Vous aggravez votre cas. Mais tout ceci sera diagnostiqué lorsque vous passerez la visite médicale. Et là, direction Sainte-Anne avec la camisole de force et le traitement qui va avec. Voilà comment ça se passe en République !

Delaporte dit: à

La médecine le dit de votre cas clinique très bien répertorié de syndrome de Gilles de La Tourette :

« Ces comportements socialement inappropriés sont liés à un défaut d’inhibition au niveau du cerveau. »

Widergänger dit: à

Lacan c’est la version héraclitéenne de l’être, la version du désêtre, qui s’oppose finalement à la version parménidienne, qui identifie l’être et la pensée.

Finalement Lacan va beaucoup plus loin dans l’histoire de l’être que Heidegger. Au fond, Héraclite est celui qui a pensé l’inconscient le premier. C’est lui qui invente la métaphysique du désêtre, que met en œuvre Lacan dans ses Écrits. Lacan est véritablement le grand génie de la deuxième moitié du Siècle. Et un saint homme, véritablement saint comme provbablement personne avant lui ne l’a été.

Widergänger dit: à

Delaporte est un voyou de la gestapo !

Delaporte dit: à

Wgg, gardez-en pour le médecin psychiatre qui va vous ausculter et à qui vous allez raconter tout cela, afin qu’il puisse vous transférer dans un établissement approprié. Vous verrez après cela ira mieux.

Widergänger dit: à

« la doctrine héraclitéenne de la signification ouvre une autre voie que la doctrine parménidienne de l’identité de l’être et de la pensée » (Badiou)
_________
C’est ça le point fondamental.

Widergänger dit: à

Delaporte est un voyou de la gestapo !!

Delaporte dit: à

« Delaporte est un voyou de la gestapo ! »

Vous répétez et éructez cette phrase sans cesse. C’est un symptôme grave. Le cas devient urgent. Il faudra sans doute prévoir l’ambulance !

Widergänger dit: à

C’est extrêmement frappant, car vous le savez, Heidegger multiplie les analyses, d’ailleurs raffinées, et c’est pour lui un enjeu considérable, pour montrer que fondamentalement le mouvement de pensée d’Héraclite et de Parménide sont le même. (Badiou)

Alors qu’en réalité, Lacan montre que Parménide aboutit à une métaphysique de l’être qui l’identifie à la pensée, tandis que Héraclite aboutit à une doctrine de la signification, qui est une métaphysique du désêtre, qui fonde un empan entre le sens et la vérité, ce qui est le propre de la psychanalyse. Lacan est un génie authentique.

Widergänger dit: à

Delaporte est un voyou de la gestapo !!!

Delaporte dit: à

Et je ne plaisante pas. J’ai déjà côtoyé dans ma vie des patients atteints du syndrome de Gilles de La Tourette. Vous en plus, Wgg, vous êtes atteint du délire de persécution, entre autres. Un tableau clinique lourd, qui va donner du mal au personnel soignant. Vous allez devoir prendre beaucoup de médicaments chimiques, avec le risque de devenir un véritable légume. Mais vous serez guéri !

Widergänger dit: à

Delaporte est un voyou de la gestapo !!!!

sites éclair&s,!... dit: à


…avec tout çà,!…

…la chimie de la distanciation, et, autres  » Ô Puces Dei « ,…

…déjà, très loin, des autochromes, et fabrication du diamant,…
…à nos diversions littéraires, pour faire  » bloc « ,à l’Ô de Vichy,…

…il est mieux d’organiser, des riches compétents, qu’autres choses, comme parasites, éclairés,…

…se prendre les vessies pour des lumières, quel tour de contorsionniste,!…
…etc,…
…suivez le guide à Mi-chemin,!…

Widergänger dit: à

« L’amour, il y a longtemps qu’on ne parle que de ça. Ai-je besoin d’accentuer qu’il est au coeur du discours philosophique ? ». (Lacan)

Widergänger dit: à

on sait que le philosophe :
– premièrement il est bouché aux mathématiques
–  deuxièmement il bouche le trou de la politique
– troisièmement il y a l’amour au coeur de tout ce qu’il raconte.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@, sites éclair&s,!…

…un chevauchement sur clavier,!…etc,…

renato dit: à

Au contraire de Raymond Queneau, Jacques Lacan et Georges Bataille ont peu profité des cours d’Alexandre Kojève.

la vie dans les bois dit: à

La photo en tête de billet.

La commenter. C’est un peu la déconfiture de Poussin et Porbus devant  » Le Chef d’Oeuvre inconnu » du Maître.
Cela ne ressemble plus à rien, mon pauvre « Passou ». Trop de « bruit » dans l’image.

Alors qu’il y avait matière.
Mais « Passou » fait son Lamartine, sur les rives du lac de Derborence, avec Julie qui a disparu.

Voilà le commentaire de H.D. Thoreau sur la photo, en août 1940:

 » Le jour est arrivé si hardiment qu’il n’y a pas eu d’aube. Le soleil a bondi d’un pas élastique dans les cieux. L’atmosphère était si claire et si fluide qu’on avait l’impression de sentir battre le pouls du ciel. Les cieux tout entiers palpitaient comme une immense artère dans laquelle auraient coulé des flots de sang bleu. Un profond silence s’étendaient sur la terre comme à l’approche du soir et le matin semblait au seuil d’une nuit noire. Comme la lune, le soleil brillait grâce à un reflet. Le jour sommeillait, mais avit laissé sa chandelle allumée. Nous coulions comme une goutte dans les veines de la terre assoupie-et nos pensées étaient nos rêves ».

bérénice dit: à

comprendre ce qui nous arrive.

comprendre c’est bien, si cete compréhension pouvait nous conduire à guérir mais contrairement à la science où les progrès de compréhension des mécanismes à l’oeuvre dans l’évolution de maladies parviennent à fabriquer des remèdes, la philosophie n’est pas plus qu’un commentaire explicatif et éclairant qui ne sert à rien, ne résout rien . Elle se pose en oeuvre à côté de l’Homme pour le disséquer, l’homme est mort comme Dieu , on pourra explorer les ressorts de cette mort dans l’esprit par l’esprit en utilisant jusqu’à sa fin matérielle l’abstraction , qu’est-ce que ça change?

la vie dans les bois dit: à

question « voyou », le poltergeist a des insultes de référence qui ne l’eloignent guère de la rue Lauriston, au 93, où il aurait fait un « excellent français ».

Widergänger dit: à

Bérénice, y voir clair, c’est quand même la condition sine qua non pour agir. Pas d’action sans spéculation. Vous n’êtes pas d’accord ?

bérénice dit: à

Voilà le commentaire de H.D. Thoreau sur la photo, en août 1940

est-ce le commentaire que vous auriez aimé produire pour la photo de Pierre? Si non, quelles sont les circonstances de cette poésie? Je ne me souviens plus si Pierre a situé le moment du jour, matin, soir, je vais rechercher , il est assez difficile d’en avoir l’idée, ce pourrait être un matin brumeux en éveil ou un soir, le nuit déjà tombée éclairée par une lune pleine et voilée.

Widergänger dit: à

la vie dans les bois dit: 20 août 2017 à 8 h 43 min
__________
Un balai à chiottes comme disait Màc, avec raison ! La vie est pareillement un voyou de la gestapo.

bob dit: à

« les échanges sont ici beaucoup plus objectifs et intéressants. »
grâce à la beauffe mégère lourdingue et laborieuse qui se veut grand esprit

la vie dans les bois dit: à

le poltergeist est une enflure. Depuis tout petit. Pas besoin de son maquereau pour le deviner.

bob dit: à

Widergänger dit: 20 août 2017 à 8 h 47 min
il y en a qui piquent leur crise régulièrement ici –

la vie dans les bois dit: à

et bob l’éponge, vieille hippie bâveuse, qui vient le secourir.

Widergänger dit: à

À la Bibliothèque nationale de France, section manuscrits, j’ai trouvé cinq lettres inédites de Jacques Lacan à Alexandre Kojève datant de l’année 1935. Elles seront prochainement publiées par Jacques-Alain Miller (La Cause du désir, revue de l’École de la Cause Freudienne). Je fais état de cette trouvaille dans le texte qui suit ainsi que des informations et réflexions que nous pouvons en tirer et qui concernent non seulement la psychanalyse et l’existence de ce que l’on peut nommer un « premier Lacan », mais qui sont en rapport aussi et surtout avec toute une époque de formation de la pensée et des sciences humaines en France.

(Le premier Lacan : cinq lettres inédites de Lacan à Kojève
par Juan Pablo Lucchelli)

https://www.cairn.info/revue-cliniques-mediterraneennes-2016-2-page-297.htm

Plan de l’article

Alexandre Kojève
Les « réunions habituelles » ou le germe du futur séminaire ?
Un texte en commun sur Freud et Hegel ?
Les comptes rendus des annuaires de l’École Pratique des Hautes Études
Le « stade du miroir » : une lecture kojévienne de Wallon
La place de la folie dans la raison
Conclusion

bérénice dit: à

Depuis la nuit des temps le Mal est trop souvent en conflit avec l’idée du bien, brûlant sa moisson. Les hommes philosophent depuis très longtemps aussi si la pensée avait pu se révéler d’une aide efficace nous le saurions, elle a , je crois, comme nous trop souvent, un wagon de retard et même à anticiper le mal est plus fort qu’elle, nous n’aurions pas à visiter toutes ces galeries d’horreurs si la capacité des hommes à penser était plus forte que la haine, la convoitise, le calcul, la cruauté, la barbarie, l’inhumanité.

Widergänger dit: à

Le poltergeist hante la vie des bois, qui fait sa crise d’hystérie, ça c’est vrai. Pour le reste, pure phobie !

Widergänger dit: à

Mais la pensée est d’une grande aide ! Lisez Badiou, vous vous en rendrez compte si vous êtes capable de comprendre son cours. Sans la haute abstraction, les affaires du monde n’existeraient tout simplement pas.

bob dit: à

Phil dit: 19 août 2017 à 21 h 07 min
« A ne pas confondre avec « Kes », sans doute le meilleur film de Loach, affreux accents ouvriers anglais, sans parler des subtitles indispensables. »
Pas plus affreux que ceux de ‘la haute’

lvbd
je parlais pas de vous

la vie dans les bois dit: à

@ à 8 h 52 min
C’est un Edelweiss du Léman, ou bien ?

renato dit: à

PS

Flou, etc. Flou où ?

bob dit: à

« vieille hippie baveuse »
lvbd et ses fantasmes

bérénice dit: à

8h51 LVDLB, dans ce cas précis pour éviter la surenchère la consigne est de ne rien dire, laisser dire (ici écrire). Silence, écoute active ou se montrant comme telle. Rien d’autre à mette en place en attendant l’arrivée du thérapeute.

Widergänger dit: à

renato dit: 20 août 2017 à 8 h 24 min
On voit au contraire que Lacan a énormément profité des cours de Kojève. Seul le crétin de Lombardie pense le contraire ! Une fois de plus pris la main dans le sac de sa sottise !

bérénice dit: à

WGG, je ne voudrais pas avoir l’air d’étaler mon eu de confiture, par exemple les liens sur l’art donnés par Pat V ( qui est à la réflexion un homme) me sont illisibles, je décroche à l’abstraction pure, une limite; j’ai un peu lu A Badiou mais dans des ouvrages plus accessibles.

renato dit: à

Ah ! ce garçonnet ! toujours à fouiller sur le net et jamais dans les textes !

bérénice dit: à

mettre, peu, clavier rétif.

Widergänger dit: à

Oui, je comprends, bérénice. Si c’est trop dur laissez tomber. Il s’agit de grimper l’Himalaya, tout le monde n’en est pas capable. Il faut savoir respirer tout en marchant, établir son camp de base, et ne pas forcer sur la marche quand l’oxygène se raréfie. Lire un penseur, c’est assimilable à ça. Mais quel bonheur quand on parvient au sommet sans trop de dégâts…! En lisant Badiou, j’ai compris vraimentd es tas de trucs hyper-difficiles à comprendre. Ce type est un génie de la pédagogie.

bob dit: à

« dans ce cas précis pour éviter la surenchère la consigne est de ne rien dire, laisser dire (ici écrire). Silence, écoute active ou se montrant comme telle. Rien d’autre à mette en place en attendant l’arrivée du thérapeute. »

dixit la mégère à sa sortie de hp

Widergänger dit: à

renato dit: 20 août 2017 à 9 h 03 min
Les deux mon général !
Et ça vaut mieux que de fouiller les poubelles, petit voyou !

renato dit: à

Pauvre garçon ! Il a loupé sa vie, il ne peut donc que cracher son venin.

la vie dans les bois dit: à

En partance pour un bout de lac, une extrémité de Turquoise, là où l’eau fuit vers le Sud.
Je vais méditer avec des Suisses, décolorées à la javel par cette extravagante pensée: « des personnages bien blonds, bien typés du milieu de la bonne bourgeoisie genevoise »

__________________________
Le roman d’une disparition inquiétante, c’est un bon sujet.

Phil dit: à

N’ai jamais remarqué que les bourgeois de Genève fussent particulièrement « blonds ». En une seule phrase, l’auteur nous livre son triste tropisme.

Widergänger dit: à

renato dit: 20 août 2017 à 9 h 13 min
Faut pas prendre tes fantasmes tordus pour la réalité mon pauvre chéri ! Au lieu de spéculer sur autrui, tu devrais d’abord spéculer sur toi-même et être capable de regarder tes inepties en face. Ce dont tu n’es pas même capable !

bérénice dit: à

Phil , vous avouez fréquenter des suisses bourgeois qui en plus ne sont pas blonds? Mais d’où viennent-ils donc? La suisse il est vrai peut être allemande, italienne ou française , de quoi métisser une population.

Widergänger dit: à

Les frontières entre les régions linguistiques sont assez étanches en Suisses : ils s’ignorent réciproquement. Ils ne parlent même pas la langue de l’autre. Et ça marche quand même ! La Suisse est un pays très à part…

bérénice dit: à

WGG, les Suisses comme les allemands , les italiens sont assez doués dans l’acquisition de langues étrangères contrairement à la moyenne des français, j’en ai rencontrés jadis en voyage, ils possédaient le français, l’allemand, l’anglais.

Phil dit: à

Bérénice, le Suisse n’est pas blond, bourgeois ou pas, plutôt brun et visage charpenté que redoutait Le Téméraire et plaisait aux papes. Un métissage reconnaissable.

bob dit: à

On épargnera à la mégère pathétique qui prétend voler haut, l’humiliation de lui rappeler noir sur blanc ses délires de gendarmette ivrogne

Widergänger dit: à

Ce ne sont que des exceptions qui confirment la règle. Les Suisses allemands ne parlent ni français ni italien. Et ainsi de suite. La télé, ils ne la regardent que dans leur langue native. À bergün, ils ne parlent qu’un allemand de paysan mal dégrossi. Et un peu d’anglais comme tout le monde.

Widergänger dit: à

Avant d’en arriver à l’écriture lacanienne des discours, nous ne
devrions pas oublier un maillon intermédiaire, l’analyse des
bureaucraties telle que Lacan l’a menée. Il ne l’a pas menée seul. Il a
poursuivi l’opération freudienne sur une conception de la bureaucratie
dérivée de celle d’Alexandre Kojève. Celui-ci professait une doctrine
que nous pourrions appeler « de la bureaucratie généralisée ». Lacan y a
ajouté le grain de sable de la jouissance, avec des conséquences
surprenantes.
Eric Laurent.

Nicolas dit: à

Mouais http://liseuse-hachette.fr/file/40757?fullscreen=1#epubcfi(/6/2%5Bhtml-cover-page%5D!/4/1:0) « il y a » dès l’incipit, phrase courte, phrase longue, ponctué n’importe comment, des « comme » n’importe où qui renvoient à on ne sait quoi et puis moi les secrets de famille et les accros au psy (aux lèvres « serrées virgule qui semblent renfermées les secrets de nos existences » lol) sous xanax… videz moi de ces fantômes, hein…
Un autre au hasard?

bérénice dit: à

9h38 je vous assure avoir séjourné sou un immense figuier en compagnie de Suisses qui s’exprimaient avec beaucoup d’aisance en plusieurs langues, il y avait là aussi une allemand, un bel italien, tous étaient plus doués que nous , vous penserez que ce n’est pas trop difficile cependant nous sommes assez représentatifs cet ami d’alors et moi d’une certaine France qui possède à grand peine deux langues alors que ces jeunes gens ( années 80) montraient une maîtrise de plusieurs.

et alii dit: à

dans l’article d’ornicar sur la bureaucratie, retour sur la parenté et les familles , et leur secret serait là:
Ce qui est
« ici nommé parenté, nous ne pouvons mieux la préciser que comme un mode
du jouir. »

D. dit: à

Attention,que ce soit bien clair pour certains : je ne suis ni Dexter, ni hamlet, ni JC, ni Delaporte.

bérénice dit: à

D est-ce que c’est un os à ronger?

D. dit: à

Ce n’est pas parce que l’on maitrise plusieurs langues qu’on est intelligent -ou même intéressant, Bérénice. C’est simplement que le cerveau a été modelé comme ça pendant l’enfance. Ça marche avec n’importe quel enfant de QI supérieur à 70. Le cerveau est comme une éponge pendant l’enfance parce que c’est sa période de croissance et de fabrication de connexions. Vous lui faites entendre 10 langues, il apprendra 10 langues.

Widergänger dit: à

J’ai trouvé moi aussi cet article sur la bureaucratie très intéressant. Évidemment on pense aussi au Château de Kafka, et au type de jouir qui s’y déploie.

En tout cas, ce que dit Lacan sur le vide du fonctionnaire se trouve chez Kafka à l’évidence. Lacan éclaire Kafka.

Pablo75 dit: à

Widergänger dit: 19 août 2017 à 21 h 30 min
Une vraie petite ordure de la gestapo !

Widergänger dit: 19 août 2017 à 22 h 43 min
Il va être à la noce, le voyou de la gestapo

Widergänger dit: 20 août 2017 à 7 h 10 min
…Delaporte des chiottes qui relève, lui, de la voyoucratie de la gestapo.

Widergänger dit: 19 août 2017 à 22 h 16 min
Et je répète que Delaporte est un voyou de la gestapo !

Widergänger dit: 20 août 2017 à 7 h 38 min
Delaporte est un voyou de la gestapo.

Widergänger dit: 20 août 2017 à 7 h 46 min
Delaporte est un voyou de la gestapo !

Widergänger dit: 20 août 2017 à 7 h 49 min
Delaporte est un voyou de la gestapo !!

Widergänger dit: 20 août 2017 à 7 h 54 min
Delaporte est un voyou de la gestapo !!!

Widergänger dit: 20 août 2017 à 8 h 00 min
Delaporte est un voyou de la gestapo !!!!

Widergänger dit: 20 août 2017 à 8 h 47 min
La vie est pareillement un voyou de la gestapo.

L’air de Kiev rend fou Blabla-Widergänger…

(Étrange: pas un mot de ses visites à Kiev en général et de celle du Musée d’art russe en particulier, qu’il est allé voir mercredi. Et encore moins de sa Dulcinée).

bérénice dit: à

Pablo, nous avons d’un commun accord accepté de croire en la géolocalisation de WGG, pour ce qui est de l’insulte , la provocation, les pompiers s’activent à refroidir le volcan erratique par définition.

Pablo75 dit: à

Blabla-Widergänger est un pervers narcissique (mais peut-être qu’il est aussi atteint du syndrome de Gilles de La Tourette, vu son état de décomposition mentale):

« La personnalité narcissique est caractérisée par des fantaisies ou des comportements grandioses, un besoin d’être admiré et un manque d’empathie. » « Ses sentiments et sa conduite s’adaptent aux circonstances rencontrées, à l’environnement présent et aux personnes côtoyées. Le pervers peut apparaître ainsi aimable, sympathique et très adapté socialement. » « Il est égocentrique et possède une haute estime de lui-même. Il peut paraître ainsi menteur en choisissant d’ignorer toutes les situations qui viendraient noircir « la belle image de lui » qu’il laisse transparaître aux autres. Pour expliquer les conséquences médico-légales de ses conduites antisociales, le pervers se place en victime […] . Le pervers, au narcissisme blessé, utilise le mensonge pour embellir une réalité peu gratifiante. Cette assurance « de façade » cache néanmoins des blessures narcissiques. »

« La « personnalité narcissique » est définie comme « des fantaisies ou comportements grandioses, un besoin d’être admiré et un manque d’empathie ». Le DSM décrit dans les premiers critères un sujet au Soi grandiose, absorbé par son succès et sa beauté, se sentant unique, avec ce besoin excessif d’être admiré. » « Alberto Eiguer […] ajoute que le Moi grandiose [du pervers narcissique] cache un « sentiment d’infériorité et de dépendance excessive vis-à-vis de l’admiration et des approbations extérieures ». Les narcissiques « souffrent de sentiment chronique d’ennui et de vide ; ils cherchent constamment à gratifier leurs aspirations à l’éclat, à la richesse, au pouvoir, à la beauté ». »

« L’arme redoutable de pervers est la parole, il utilise ainsi le mensonge, l’insinuation, la « paradoxalité », les contrevérités, les allusions, le double-sens des mots. Le pervers se coupe de lui-même, dénie la réalité pour se protéger de toutes souffrances. Il nie ses comportements antisociaux. » « Le pervers utilise le clivage. Le paraître est important pour ce sujet qui décrit une « belle image » de lui. Il ne se reconnaît aucun défaut et projette sur autrui ses propres travers par l’identification projective. Il peut même en venir à se placer en victime. » « Les traits paranoïaques sont retrouvés chez le pervers : la vérité importe peu pour ces sujets méfiants qui ne doivent rien à personne. Les traits paranoïaques du narcissique résultent d’une crainte que leurs imperfections soient révélées. »

bérénice dit: à

Pablo, c’est de bonne guerre, ne vous transformez pas vous aussi en candidat à la fixation.

Widergänger dit: à

Pablo75 est un voyou de la gestapo !

bérénice dit: à

 » Quand les pensées obsédantes acquièrent une permanence, une intensité profondément invalidante et douloureuse, on parlera de psychonévrose obsessionnelle. »

Pablo75 dit: à

@ Bérénice

Je ne fais que répondre à ses attaques. Il a commencé la journée en m’insultant.

« Widergänger dit: 20 août 2017 à 7 h 08 min

hamlet c’est effectivement la grande misère comme un certain nombre d’autres, qui n’ont de cesse d’agresser les autres, menant un éternel procès en légitimité à dire ce qu’il disent. Ce sont d’éternels procureurs du vide de leur narcissisme qui a pris pour certains des dimensions folles comme ici hamlet, chaloux, Pablo75. »

Donc, je le pilonne à l’artillerie lourde…

Widergänger dit: à

Les agressions violentes se multiplient sur marché aux Puces de Saint-Ouen…

Widergänger dit: à

On comprend pourquoi :
Pablo75 est un voyou de la gestapo !

Widergänger dit: à

Donc, je le pilonne à l’artillerie lourde…
_________
Encore un qui prend ses pets foireux pour de l’artillerie…! Révoqué !

Un voyou de la gestapo !

Widergänger dit: à

Les agressions violentes se multiplient sur le marché aux Puces de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). Des groupes de voleurs investissent désormais certaines rues les jours de fortes affluences. Les langues se délient chez les habitants et commerçants des deux côtés du périphérique parisien.
Juste les jours où Pablo75 s’y rend !

Pablo75 dit: à

@ Blabla-Widergänger

Moi je vais à celui de Montreuil, co.nnard !!

JC..... dit: à

Nous, Chevaliers de l’Ordre des Sodomites, avons la joie de vous annoncer l’élévation de Rajmund Roman Thierry Polanski, né à Paris en 1923, au grade de Grand Maître Gland.

Il rejoint nombre d’élus, maires, députés, sénateurs de notre chère République qui a su le protéger du courroux d’un procureur américain dément, n’ayant jamais mis le pied hors de ses gros sabots christiques !

Hommage à Roman Polanski !

Widergänger dit: à

Marsaud déclare : « On n’a pas osé nommer l’ennemi. On n’a pas dit à un seul moment qu’il s’agissait de l’islamo-fascisme, que c’était l’islam intégriste qui motivait ce genre d’actions, comme si on avait peur de nommer l’ennemi. Je peux vous assurer que, si on a peur de nommer l’ennemi, on ne risque pas de gagner cette guerre. Que ce soient les journalistes, dans ce pays ou les responsables politiques, pas un seul en deux jours n’a dit qu’on était en présence d’attentats islamistes. Mais on a peur de quoi, bon sang ? »

Widergänger dit: à

Pablo75 dit: 20 août 2017 à 10 h 46 min
C’est juste ce que je voulais savoir.

Pablo75 dit: à

« Widergänger dit: 20 août 2017 à 10 h 53 min

Pablo75 dit: 20 août 2017 à 10 h 46 min
C’est juste ce que je voulais savoir. »

Tu aurais pu le demander, co.nnard !!

Et je l’ai dit 20 fois ici, que les Puces de St.Ouen sont pour les touristes et que ceux de Montreuil sont bien mieux.

(Il veut aller acheter des livres aux Puces aujourd’hui alors qu’il est à Kiev !!!)

Widergänger dit: à

Puis Bellanger Anthony dit une chose aussi éloignée de la vérité que de soutenir que l’Etat islamique serait une organisation humanitaire. Il lance à Marsaud que « le travail des journalistes consiste d’abord en une vérification des faits, et non à « dire ce que vous voudriez » :

« Vous dites absolument n’importe quoi ! D’une part, tout le monde sait que ce sont des attentats islamistes. Et deuxièmement, les journalistes ne sont pas là pour dire ce qu’ils pensent ou ce qu’il veulent ou ce que vous voudriez. Ils sont là pour dire les choses telles qu’elles sont, au fur et à mesure où elles sont [confirmées]. Il y a suffisamment de victimes pour ne pas dire n’importe quoi. […] Pour l’instant, vous pouvez dire si vous voulez qu’il s’agit d’un attentat islamiste, et c’est de toute façon le cas. Leur travail est de prendre des précautions avec la vérité et donc de dire qui a revendiqué, combien il y a de victimes et pas de dire ce que vous voudriez qu’ils disent. »
_________
Ouais ! Vive Alain Marsaud !!!!

Widergänger dit: à

Je ne lis pas les voyous de la gestapo ! ou une fois sur cent.

Widergänger dit: à

Alain Marsaud s’est tiré du plateau de BFMTV, c’est la meilleure du jour ! Enfin, un type qui a des couilles.

Widergänger dit: à

Mahmoud Abbas envoie un télégramme pour féliciter le dictateur Kim Jong-un

Pablo75 dit: à

« Widergänger dit: 20 août 2017 à 10 h 58 min

Je ne lis pas les voyous de la gestapo ! ou une fois sur cent. »

Mais il y répond toujours.

En plus d’un génie, il est voyant ce co.nnard !!!

JC..... dit: à

« Mahmoud Abbas envoie un télégramme pour féliciter le dictateur Kim Jong-un » (Wiwi)

Non seulement ce type sait compter en euros, mais il sait écrire ?….

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…tout est possible, pour tous,!…
…avec tout les syndromes,!…
…la liste est longues,…pour un rééquilibrage morphologique adaptable, par chacun de nous,!…

…çà, n’empêche,!…que pour nous gouverner facile, et se foutre des peuples,…les cadres adaptées se réconfortent,!…dans des formules faciles et faire beaux jeux,…avec rien, comme mesures de satisfactions homogènes,!…
…conclusions, des paroles aux murs,!…de tout côtés,…
…de puis des lustres,…connivences adaptées,…of course,!…

…les états mènent les jeux, ils sont responsables, de la  » psyché « , nationale,!…avec ou sans ses collabos, à s’enfoncer le clou, de son manque de compétences, pour ne faire, du  » chiffre « , tous en compétition, pour s’élire, calife des califes,…
…on vois , ou en est, l’équilibre des régimes dans tout les états, la sécurité, le prétexte du terrorisme, développer, par le régime syriens, l’évidence même,…après, tout les Attali; à se faire du beurre, d’oracle,…
…et vous autres en zizanies, perpétuelles,!…C.Q.F.D.,..envoyez,!…
…Go,!…

Phil dit: à

1 euro le Morand, même à Montreuil c’est un scandale qui montre bien les basses eaux où l’époque patauge. Espérons que le sémillant Pablo a flagellé le vil vendeur et raflé le lot complet qui ventilera sa bibliothèque ibérique.

bob dit: à

D  » je ne suis ni Dexter, ni hamlet, ni JC, ni Delaporte. »

ni jésus ni elvis ni dieu

bob dit: à

Pablo75 dit: 20 août 2017 à 11 h 11 min
les génies sont nombreux/ses ici

Pablo75 dit: à

@ Phil

De Morand j’ai rien pris, pour avoir déjà ce qu’il y avait. Par contre j’ai acheté « Paul Morand : Un évadé permanent » de Gabriel Jardin, qui a l’air bien.

Petit Rappel dit: à

Vous aurez beau dire, Delaporte, outre que l’actrice vaut ce qu’elle vaut, il est quand meme difficile de s’imaginer dans le Dorset quand apparait Locronan…D’autant que Stonehenge apparait plus tard. Cette utilisation de deux rives bien distinctes ne plaide pas pour la crédibilité de cette grande machine.
A titre indicatif,Dans l’Homme qui voulait etre Roi, Huston réussit mieux son affaire avec la grande place de Marrakech dans un récit censé se passer aux Indes…
MC

Petit Rappel dit: à

Il y a un beau Morand intitulé Papiers d’Identité, ce qui, rétrospectivement , ne manque pas de sel…
MC

christiane dit: à

bob dit: 20 août 2017 à 11 h 37 min
A ce jeu là, on peut se demander qui est Bérénice ?
Le thème du roman choisi par Passou ? disparaître et réapparaitre sous un autre nom, voire avec un autre langage… ou mourir… ou ne pas réapparaitre…
Oui, passionnant !

Pablo75 dit: à

J’ai pris aussi (en ayant honte de payer 1 € pour ses presque 600 pages) « La chose écrite » de Dutourd:

« Dans ce livre, Jean Dutourd oublie ses contemporains en relisant les auteurs du passé : Celui qui a pour principale lecture celle des auteurs morts n’a pour amis, voire pour interlocuteurs, que des hommes supérieurs. Il jubile avec La Vie de Rancé, de Chateaubriand : C’est mystérieux et savant comme les derniers quatuors de Beethoven. » Il salue Paul-Jean Toulet, à propos des Oeuvres complètes :  » Il « enfonce » Gide, Valéry, et quelques autres mastodontes.  » Il se réjouit en plongeant dans le journal de Boswell. Et réagit pareillement en ouvrant l’édition en trois volumes du Journal littéraire de Léautaud, Volupté de Sainte-Beuve, les romans de Kipling, la Vie de Rossini de Stendhal, Gobineau, Maurice Sachs, Conan Doyle, Vialatte ou Bernanos. On oublie trop souvent que Dutourd, célèbre pour sa causticité et ses tableaux de moeurs, a écrit l’un des plus beaux livres de critique littéraire du siècle, L’Ame sensible. Avec Domaine public, qui prend la suite d’un autre recueil de chroniques littéraires, Contre les dégoûts de la vie, il instruit, amuse et régale son lecteur. C’est un merveilleux professeur qui donne envie de partager ses plaisirs. »

Et c’est vrai que c’est un livre très intéressant et très drôle à la fois (cela me rappelle ce qu’un grand écrivain, bien plus réputé que Dutourd, et que j’ai traduit, me disait en me donnant une autre anthologie de ses articles: « Lisez ça, c’est très bon, Dutourd est un type très cultivé et très lucide, malgré l’image qu’il a maintenant. Dans les années 50 on a cru qu’il deviendrait un grand écrivain, mais il a préféré gagner de l’argent que de le devenir ».

« Vers l’âge de huit ans, je fis deux découvertes capitales : que les grandes personnes mentaient sans arrêt, mais que les livres rétablissaient la vérité. Les grandes personnes, par leurs leçons et leurs punitions, s’acharnaient à me faire voir le monde tel qu’il n’était pas. Les livres me le montraient tel qu’il était, c’est-à-dire comme je le voyais moi-même.
En outre, ils étaient délicieux car ils mettaient la vérité en musique. La vérité était du Mozart avec Voltaire, du Wagner avec Proust, du Beethoven avec Balzac, du Schubert avec Stendhal.
La passion du papier imprimé ne m’a jamais quitté, et je dirais presque comme Montesquieu : L’étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts de la vie, n’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé. » (J.D)

Phil dit: à

Oui M. Court, le volume « Papiers d’identité » en édition d’époque est d’une belle couleur rose. Ce qui ne manque pas de sel non plus..

bob dit: à

christiane dit: 20 août 2017 à 11 h 45 min
on joue!

bérénice dit: à

A ce jeu là, on peut se demander qui est Bérénice ?

Christiane , je ne suis qu’une ombre en hiver, vous savez quand le soleil est bas et qu’il nous grandit démesurément à cette différence que le soleil se couche et après avoir allongé l’ombre l’efface jusqu’au lendemain alors que le réseau comme les villes scintille dans l’obscurité et éclaire la démarche de ceux qui comme moi ont une mémoire aussi vacillante que la flamme d’une bougie , vous et d’autres n’auraient besoin de cette béquille mais il est vrai que c’est un assistant bien pratique.

christiane dit: à

@bérénice dit: 20 août 2017 à 12 h 27 min
C’est très beau.
Je me suis souvent demandé pour quelles raisons vous déformiez parfois votre langage, l’encombrant de tournures maladroites qui font écran ? Pour quelles raisons vous construisiez un personnage faussement naïf ? Je vous pressens comme une personne très intelligente, passionnée de jeux de masques. C’est … déroutant.

Bob,
non. Laissons le glacis des mots offrir un sfumato étonnant. Un peu de médium, un peu de pigment et comme chez Léonard ou Raphaël, on n’est plus certain d’atteindre la vérité d’un visage. Il glisse dans ses ombres… Disons que c’est un blog baroque, mené de main de maître par un joueur d’échecs…

et alii dit: à

côté bureaucratie, on aurait pu évoquer Bartleby

au reste, I would prefer not

Widergänger dit: à

to…

Romel dit: à

J’ai bien connu Furtwängler.

JC..... dit: à

« Vers l’âge de huit ans, je fis deux découvertes capitales : que les grandes personnes mentaient sans arrêt, mais que les livres rétablissaient la vérité. »

Deux erreurs monstrueuses…. dignes d’un Dutourd ! Non, mais quel con !.

bérénice dit: à

Et vous auriez plus qu’un Dutourd dans votre sac, évidemment.

D. dit: à

JC sait pertinemment que je ne suis pas lui.
Il peut vous le confirmer dans de très brefs délais.

JC..... dit: à

Je confirme : je ne suis pas moi. Ni un autre.

Petit Rappel dit: à

D
Touchant Clopine, Vous pourriez vous abstenir d’enfoncer quelqu’un qui n’est plus là.
MC

Widergänger dit: à

Oui, D est un malappris, un malélevé.

Widergänger dit: à

Oui, Dutourd est un sacré imbécile, c’est certain. Il est complétement à côté de la plaque.

L’enjeu du roman n’est ni la vérité des êtres ni la vérité du monde mais, depuis l’Antiquité hellénistique la représentation fictive des rapports de l’individu et du monde.

C’est bien pourquoi aujourd’hui le roman néoclassique contemporain qui abreuve les maisons d’édition et la rentrée ne dit absolument plus rien de notre modernité. Ce n’est que du papier noirci. Bon pour le pilon quand il faudrait dire « bon qu’à ça » !

Delaporte dit: à

« L’enjeu du roman n’est ni la vérité des êtres ni la vérité du monde mais, depuis l’Antiquité hellénistique la représentation fictive des rapports de l’individu et du monde. » (Wgg)

Pouah !
Au contraire, le roman est de montrer ce qu’il y a dans le coeur humain, et rien d’autre. Et de décrire les relations authentiques entre les hommes dans le monde. Quel contresens d’une cervelle pédante qui se veut intellectuelle et qui n’est que néant ! Wgg ou l’insignifiance et l’impuissance !

Delaporte dit: à

Dutourd était quelqu’un de cultivé, qui avait compris sur quoi jouait l’écriture du roman, même si ses oeuvres restent mineures. Le mépriser, comme Wgg, alors que ce dernier est impuissant à écrire un roman, est une farce ! Quelle outrecuidance de bon à rien !!!

Delaporte dit: à

Les gens comme Wgg, qui débectent tout ce qu’ils touchent, alors qu’eux-mêmes n’ont rien fait, sont ce qu’on appelle des « PUANTS ».

hamlet dit: à

« D. dit: 20 août 2017 à 10 h 10 min

Attention,que ce soit bien clair pour certains : je ne suis ni Dexter, ni hamlet, ni JC, ni Delaporte. »

quel faux derche ce D.!

et quelle prétention de refuser d’être moi !
la plus belle chose qui puisse arriver dans votre misérable vie c’est justement qu’on vous confonde avec moi !

alors profitez-en bordel !

hamlet dit: à

D. par exemple un exmple au hasard moi Paul Edel ne m’aime pas !

et vous savez pourquoi il ne m’aime pas ? parce que je lui ai prouvé par a + b qu’il n’avait jamais rien compris à la lecture de Mann et de Bernhard !

alors que vous vous n’avez jamais lu ni l’un ni l’autre.

vous savez pourquoi c’est parti en vrille avec Edel ? à cause du Dr Faustus de Mann.

qu’est-ce que j’y peux moi s’il n’a rien compris à ce livre ?

après ça il y a eu l’incident d’Olivier Rolin…

est-ce que je pouvais me douter que Rolin était le pote à Edel ? si je l’avais su je n’aurais rien dit.

pareil pour le Clezio : nous étios nd’accord pour dire que les derniers le Clezio était aussi nuls que les chansons de Pierre Perret, saud qu’Edel comptait les 3 ou 4 derniers, alors que je les plaçais ses derniers juste parès son second.

vous savez c’est quoi le problème dans ces histoires ? c’est que dans la littérature aujourd’hui tout est devenu affaire de copinages et de comprissions.

du coup vous ne verrez jamais plus une critique dire du mal d’un auteur quel qu’il soit.

et ce copinage et cette compromission c’est justement ce qui plait le plus à WGG, c’est pour ça que ces deux-là s’aiment d’un aussi tendre amour.

Pat V dit: à

Pablo75 hier à 0h15.
je voudrais l’avis de « l’expert » Pat V, spécialiste de l’art pompier actuel, c’est-à-dire l’art abstrait et ses dérivés.

– « L’imposture de l’art contemporain. Une utopie financière » de Aude de Kerros.
– « Où est passé l’art? » de Christian Delacampagne.
– « Balthus à contre-courant. Entretiens avec Constanzo Costantini. »

Vous connaissez?

Pourquoi poser une question en qualifiant de manière erronée ses compétences à un  » expert »?
Je donne des expertises dans la vie courante, mais c’ est payant.
( J’ ai connu Delacampagne alors qu’ il était attaché d’ Ambassade à Madrid…) et je conseillerai plutôt la lecture de son Ousiders paru chez Mengès en 1989 ( une réédition existe, je crois ) qui est son credo positif en l’ art.
Son Philosopher paru chez Fayard en corédaction avec Robert Maggiori (celui du Libé d’ entant..)reste toujours passionnant à consulter.
Aude de Kerros…beaucoup d’ informations justes pour une formulation restrictive et partisane dans sa conclusion.
Pour un débat sur son  » combat « , contre ce qu’ elle nomme l’ AC, il existe une conférence de Laurent Danchin ( que j’ ai bien connu ) qui situe tout cela historiquement en France.

https://www.youtube.com/watch?v=x9OlCmXYeDE

J’ aime la peinture de Balthus mais ne connait pas ce livre.
Je précise que nous étions dans le même bimensuel d’ art contemporain avec L. Danchin. J’ étais dès le début au comité de rédaction ( mais nous n’ étions pas d’ accord sur tout!
)
Laurent Danchin est malheureusement décédé depuis peu.

Delaporte dit: à

« L’enjeu du roman n’est ni la vérité des êtres ni la vérité du monde mais, depuis l’Antiquité hellénistique la représentation fictive des rapports de l’individu et du monde. » Wgg

Et alors, personne ne réagit à cette nouvelle bourde de Wgg ? C’est pourtant gratiné. En tout cas, ça vous juge un homme, et pour le pire ! Comment une cervelle aussi infecte et manifestement FOLLE peut-elle nuire de manière aussi constante ???

Pat V dit: à

Pablo75 hier à 0h15.
je voudrais l’avis de « l’expert » Pat V, spécialiste de l’art pompier actuel, c’est-à-dire l’art abstrait et ses dérivés

Bref, si vous avez bien compris, on ne peut critiquer ou mettre en question que ce que l’ on a parfaitement analysé.
La critique ne peut se contenter d’ approximations et doit déterminer le positif et le négatif d’ une expression esthétique dans son domaine créatif.
Il ne s’ agit donc pas de rejeter un art abstrait ( notion vague ) mais d’ analyser l’ académisation de pratiques ( art conceptuel ) institutionnellement reconnues et imposées par l’ état.

D. dit: à

Mossieur Court, c’est un devoir chez moi de taper sur les absents : ils le méritent bien et ils ont tort d’être partis même si je m’en félicite.

closer dit: à

« Contre les dégoûts de la vie »…

Très bon souvenir de ce livre de Jean Dutourd. Un hymne aux plaisirs de la lecture.

Que Dutourd nous dise quelque chose ou rien de notre réalité contemporaine, je n’en ai bien entendu rien à cirer.

Je ne connais pas ses romans, mais le dégoût de WG me donnerait plutôt envie d’essayer…en espérant qu’ils ne nous disent rien de « notre modernité ».

Pat V dit: à

d’ antan…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…nous, n’allons pas, inventez, le saint – Graal,!…à l’heure d’artistes drogués,…pour niquer, tableaux et commerces d’arts,!…

…Oui,!…tout est bon, continuons le combat,!…pour des œuvres faciles en familles sur le bidet, à ses maqueraux, qui nous empoignent d’audaces,!…surtout, en rentrant, chez-soi,..des murs vides de cadres,…

…à la réflexion,!…Non, je ne vous le dirait-pas,…Ah,!…Ah,!…
…à chacun son job,…édulcorée ou pas,!…
…à son yacht,…la croisière s’amuse,!…
…au nudisme mondial,…le saint-Graal des vanités, tout n’est que vanités,…au pastis,…et, melon,…

…à chaque jour, suffit son Christ ressuscité à poils,!…etc,…
…envoyez,!…

Widergänger dit: à

Delaporte des chiottes est un voyou de la gestapo !

Widergänger dit: à

Aujourd’hui, je suis allé voir la maison de Bougakov, qui est dans une rue en pente dans un quartier populaire un peu à l’abandon avec des puces mais aussi un théâtre branché dans la rue où on vend des breloques. Il y a une belle scupture de lui à l’entrée sous un arbre où les Marguerite se font photographier à côté du Maître, huummmm… C’est devenu un petit musée émouvant.

Phil dit: à

Boulgakov était autrefois un intervenant du prestigieux blog à passou, sa prose dérangeante ne manquait pas de verité.

D. dit: à

rien compris à la lecture de Mann et de Bernhard !

alors que vous vous n’avez jamais lu ni l’un ni l’autre.

c’est exact et par ailleurs je n’ai jamais entendu parler de ces gens-là.

D. dit: à

En fait je ne sais pas si la littérature vous réussit, hamlet. J’ai dit je ne sais pas, c’est à dire que je me pose la question. Elle semble vous occuper, mais vous réussit-elle ?

JC..... dit: à

Je pénètre, surpris par le peu de monde, dans la galerie du Centre commercial de la ville du continent où j’erre sans but. Désœuvré…

Le bijoutier m’aborde d’un splendide : « Monsieur Hamlet, j’ai votre gourmette à disposition… une splendeur. Dieu ! Quelle bonne mine vous avez !  »

Je pique la gourmette minable et gratuite, et je me tire…

Au bout de la galerie, un salaud me file un coup de pied dans les burnes : « Sale Delaporte ! tire toi d’ici… Allah ou Akbar ! »….

Je me prend un pastis salvateur et téléphone à Var-Matin pour monnayer le récit… Hamlet, à l’entrée, Delaporte, à la sortie, la confusion est à son comble !

La routine…

Phil dit: à

Y aurait-il encore des intervenants à plusieurs pseudonymes ? Aux débuts de ce prestigieux blog, des fortiches de la prose débarquaient masqués, multipliaient les identités et sortaient avec les applaudissements quand le jeu amusait encore la galerie. Ainsi une productrice de franceculture s’est simultanément donnée de la poupée qui rit, qui pleure, Ada. Elle n’est pas restée très longtemps, soit qu’il y eût un peu de travail à Franceculture, soit que les applaudissements ne furent pas assez nourris.

Pablo75 dit: à

@ Pat V

« Pourquoi poser une question en qualifiant de manière erronée ses compétences à un » expert »? »

Pour penser le contraire après. C’est comme demander à Blabla-Widergänger s’il aime un philosophe. Si c’est le cas, on peut être sûr de ne rien perdre en ne le lisant pas. Il y a des gens qui ont un mauvais goût infaillible, vous savez…

En tout cas, votre réponse ne m’a rien appris, c’est du prévisible chez quelqu’un du sérail, impliqué jusqu’au cou dans l’escroquerie que dénonce à juste titre Aude de Kerros. Christian Delacampagne a l’air intellectuellement plus honnête que vous et donc plus lucide.

Je vois aussi que vous n’avez toujours rien compris à ma critique « métaphysique » de l’art abstrait. Pour ce faire vous devriez lire ce qu’écrit dans son Journal Gombrowicz sur le concept de Forme, et aussi Lévi-Strauss sur l’impossibilité d’un art sans métier et sans travail. J’ai beaucoup d’autres textes de critique de fond de ce genre de non-art, mais c’est trop compliqué à exposer ici, il faudrait discuter de vive voix. Et encore je ne suis pas sûr que ça voudrait le coup, tellement vous paraissez juge et partie à la fois. Ce genre d’art est votre gagne-pain et cela fait trop longtemps que vous êtes dans le système. Tant que vous n’en sortirez pas vous ne verrez pas qu’il est entièrement faux. C’est comme discuter avec un politique que la politique est pourrie jusqu’à l’os. Jamais il l’admettra.

Je vous ai déjà dit qu’à une époque j’ai fréquenté le milieu des galeries en traduisant des catalogues. J’ai eu beaucoup de discussions sur ce thème avec des gens du « milieu » et j’ai vu qu’ils avaient tous un mur de mots vides contre lequel on se cognait. Si on leur demandait de définir chaque concept qu’ils utilisaient pour montrer que même la mer.de peut être de l’art (voir les boîtes de Manzoni) ils fuyaient.

La réalité est que si l’art abstrait et ses dérivés perdure depuis un siècle est uniquement parce il y a de l’argent à gagner derrière. Tant qu’il y aura de riches naïfs à plumer, cela continuera.

« Je donne des expertises dans la vie courante, mais c’ est payant. »

OK, c’est combien cette consultation?

Pablo75 dit: à

@ Pat V

Vous écrivez: « on ne peut critiquer ou mettre en question que ce que l’on a parfaitement analysé. La critique ne peut se contenter d’ approximations et doit déterminer le positif et le négatif d’ une expression esthétique dans son domaine créatif. Il ne s’ agit donc pas de rejeter un art abstrait ( notion vague ) mais d’ analyser l’ académisation de pratiques ( art conceptuel ) institutionnellement reconnues et imposées par l’ état. »

Voilà une nouvelle preuve que vous n’avez rien compris. Il y a rien à analyser (ni parfaitement ni imparfaitement) dans les boîtes de merde de Manzoni. Il n’y a rien à déterminer de positif ou de négatif dans « l’expression esthétique » du « domaine créatif » de la mer.de en boîte. Il s’agit donc bien de rejeter les boîtes à me.rde de Manzoni (notion très claire) et d’analyser non « l’académisation de pratiques » genre celles, scatologiques, de Manzoni, mais d’expliquer où est la limite entre l’art et le non-art. Et si on croit (parce qu’il s’agit de foi) que tout peut être de l’art, il s’agit d’expliquer quelle sorte de magie utilisent les faux artistes pour transformer une pissotière ou de la mer,de en boîte en art. Ou quelle alchimie opère dans ces espaces magiques qui sont les galeries et les musées et qui ne marche pas dans un trottoir par exemple. Un pissotière par terre dans la rue, c’est une pissotière. La même dans une galerie ou un musée et signé par un escroc, devient une oeuvre d’art qui coûte la peau des fes.ses. Les gens qui croient dans l’art abstrait ou conceptuel croient, donc, aux miracles. C’est aussi bête que ça.

Pablo75 dit: à

@ Blabla-Widergänger

« Aujourd’hui, je suis allé voir la maison de Bougakov »

Mais tu as passé la journée ici à écrire qu’on était tous « voyous de la gestapo ». Tu l’as vue à quelle heure?

rose dit: à

Pablo75 dit: 20 août 2017 à 10 h 46 min

et

Widergänger dit: 20 août 2017 à 10 h 46 min

aujourd’hui, je vendais à un vide grenier du bric à brac et qq affaires sénégalaises d’une amie à moi.

Avant onze heures – j’avais exposé d’elle seize pièces d’un jeu d’échecs inouï, sculpté à la main par un sculpteur d’Afrique centrale- une personne m’a volé un cavalier, en bois d’ébène, pièce d’une beauté stupéfiante.

Cela a été ignoble.

J’ai mis un mot, ayant remballé le jeu d’échecs, pour que la personne le ramène : je souhaite vivement, puisqu’elle n’a pas eu l’intelligence de le faire, que ce cavalier d’apocalypse, lui joue un tour sa dernière heure venue.

Je cherche désormais un bout de bois d’ébène et un artiste sculpteur. Nous avons le second cheval.

bérénice dit: à

D et duquel dans cette galerie êtes vous le plus proche, JC faut oser, Delaporte un peu réac et coriace mais sensible et cultivée donc pardonnable, Hamlet en grand rhétoricien, D drôle et inventif .

rose dit: à

il y a eu eva almassy aussi
Phil dit: 20 août 2017 à 20 h 27 min

Phil dit: à

Oui Rose et je ne vous dirai pas le drôle de hasard objectif que constitue votre rappel. Jerry Lewis, autre mr Jekyll and Hide, vient de traverser l’écran.

rose dit: à

ah, je vais donc arroser mon jardin, salut phil

Pat V dit: à

Ce genre d’art est votre gagne-pain et cela fait trop longtemps que vous êtes dans le système.

Mon pauvre Pablo, je ne gagne pas ma vie avec de l’ art et je suis hors système..même hors du système de ceux, réactionnaires qui veulent disséquer ce qui est de l’ art et ce qui en est pas. Croyez-vous que nos ancêtres dans la grotte ce posaient cette question entre traçant sur le traces de ses prédécesseurs?
L’ art c’ est avant tout une pratique, demandez-le aux peintres.
Il n’ y a rien de métaphysique là dedans, et arrêtez de couper les cheveux en quatre.
Pour l’ expertise payante, si vous n’ êtes pas capable de voir l’ ironie et le second degré, tant pis pour vous.
D’ ailleurs, j’ expertise gratuitement, c’ est un fait.

rose dit: à

merci bérénice ; elle participe activement à l’émission Les papous dans la tête. Elle a une voix dont j’ai déjà parlé ici, adorable.

suis pas partie, vais y aller.

rose dit: à

nos ancêtres, dans les grottes, ils avaient les gros bisons dehors.

Vous me direz ce n’est pas mieux, c’est vrai.

Pat V dit: à

entre traçant sur le traces de ses prédécesseurs?

En traçant leur propres signes sur les traces laissées par leurs prédécesseurs.

Phil dit: à

Rose, éveilleuse de hasards objectifs, ce n’est déjà pas mal! Arrosez en paix votre jardin.

Delaporte dit: à

« Delaporte un peu réac et coriace mais sensible et cultivée donc pardonnable »

Merci pour le portrait, bérénice. Mais « réac », pas du tout ! Je suis au contraire d’extrême gauche, j’ai voté pour Hamon, qui avait ce programme magnifique sur l’extinction légale du travail ! Pour moi, les chrétiens sont d’authentiques révolutionnaires : cf. Jésus, et plus récemment le pape François dans son encyclique « Laudato si' ». Donc pas réac du tout !

et alii dit: à

j’avais cru comprendre que le bleu est associé au patronyme de P.Assouline ;est-ce une confusion? une erreur ? quelqu’un ici sait ça

rose dit: à

deux choses à vous dire :

je crois que nous avons raison d’avoir peur : même si encore sous contrôle :
1/ lorsqu’il est écrit quelques dizaines de bouteilles de gaz stockées, rintintin : le chiffre est 120. C’est à dire une centaine et deux dizaines.

Nuance d’importance.

Puisque l’on nous prend pour des c… réagissons.

120 cela ne signifie pas quelques dizaines.

Imaginez les dégâts.

Il se peut de publier sur internet de fausses recettes de mélanges explosifs de manière à ce que tous les apprentis en herbe sautent avant que de faire sauter autrui : des enfants, des enfants, des mamans, des papas des familles des bouts de famille.

rose dit: à

au rocher assouline ; pas au bleu crois-je bien.

le bleu ce sont les touaregs du désert vers saint louis du sénégal

rose dit: à

je vais y aller de nuit Phil. pas drôle mais impératif.

rose dit: à

j’ai la rage.
2/
interdit dès sortie vers la Syrie de revenir dans toute l’Europe. Si Poutine pouvait se joindre à nous, parfait.
Vérifier les frontières avec la Turquie.
Elimination des mosquées des immams. Si nécessité de lieux de culte, en profiter lors des séjours dans la famille, au pays.

Le coeur est un merveilleux lieu de culte.

Réduire drastiquement la population musulmane à un minimum très petit de l’ordre de 2% de la population et pas plus.

Interdire définitivement toute marque extérieure d’habillage de confession quelle qu’elle soit etc.

(‘tain, je déteste les tongs, pas facile).

Interdire voiles niqabs etc. Croix de Fatima.
C’est le prolégomène.

rose dit: à

Elimination des mosquées et des immams

rose dit: à

Vérifier l’interdiction absolue de tout prosélytisme.

Pat V dit: à

@Pablo.
D’ ailleurs Duchamp n’ est nullement un escroc comme vous l’ écrivez.
Relisez ses écrits.
c’ est un type génial. que des besogneux suiveurs aient copiés certains de ses questionnement jusqu’à la nausée, c’ est une autre histoire.
Vous semblez ignorer que des personnes passionnées puissent s’ intéresser à la création et à l’ art en particulier sans souci lucratif immédiat.Regardez André Breton, il était aussi dans le milieu comme vous l’ écrivez?
Eh bien non, il était hors système et pourtant sur la fin de sa vie, sa passion ( dont nous avons de beaux témoignages, n’ est-ce pas?)l’ a aidée à bien vivre.
Tant mieux pour lui et tant mieux pour nous!
Et on ne va pas demeurer avec la crampe de savoir ce qui est plus ou moins de l’ art.

rose dit: à

Eduquer : si refus d’obtempérer, si refus absolu de découvrir ce que comporte le terme démocratie, renvoyer les impétrants dans leurs pays d’origine.

Cesser, rapidement et de manière drastique toute continuation d l’immigration clandestine.

Aider de manière concrète, par des plans quinquennaux les pays concernés dont le Soudan et l’Erythrée à développer leurs ressources propres.

Cesser de piller les matières premières de l’Afrique et d cela Nouvelle Calédonie tant qu’à faire : l’aider à devenir un continent autonome.

Cesser la langue de bois des politiques : leur dire que nous, le peuple, nous n’acceptons plus le misérabilisme de ceux qui nous gouvernent.

rose dit: à

aujourd’hui belle conversation avec un pied noir d’Algérie, expulsé avec pertes et fracas dès l’autonomie de ce pays ; en 1962.

Sa maman est devenue/ une fois revenue le ciboulot en compote ; l’arrachement. Lui avait 14 ans.
Je ne peux vous raconter tout l’échange. Il m’a dit sa douleur et celle portée par toute sa famille. Deux générations avant lui étaient nées là-bas, avaient leur maison, leur travail famille amis là-bas.

Posons- nous cette question :
on donne l’indépendance à un pays : après 32 ans de colonisation m’a dit mon amie arabe, en appuyant sur les 32 ans- .

(A ce sujet, pourquoi refuse’t’elle mordicus de retourner en Algérie, y compris pour une petite visite touristique de deux semaines ? La France c’est chez elle, elle vit ici, disons, depuis trente ans. En en ayant près de 70. Cela fait quand même 40 ans dans ton pays de naissance et trente ans dans ton pays d’accueil -généreux et compréhensif, tolérant.) (et pourquoi me dit ‘elle nous sommes 1,6 milliard dans le monde ?).

55 ans après, les ressortissants de ce pays qui, deux générations plus tard,(leurs grands-pères ont immigré), sont devenus français, espagnols, allemands, italiens, nous foutent des bombes sur la gueule et tuent des enfants leurs papas mamans famille de manière hypra-violente, et nous on brame ?
Que disent les pères et les grands-pères de leurs fils ?

On met des fleurs, des bougies, des nounous pour dire que l’on souffre, nous, les assassinés, les gens qui ont cours sur las Remblais pour échapper à la fourgonnette blanche ?

Il faut manger hallal ?
Non.

Il faut porter des burkas ?
Non.

Il faut suivre ramadan ? Et fêter l’Aid ?
Non.

Y en a marre.

Marre.
Marre.

rose dit: à

des nounours : on met des nounours sur le trottoir alors que leur place est dans le lit des petits.

rose dit: à

qui sont couru.

Phil dit: à

Imam ne prend qu’un « m » dear Rose, hammam deux, c’est normal la chaleur descelle les dalles comme les moeurs. Les jardins de l’Alhambra c’est tout de même quelque chose. Beau passage de Gide qui admire en pervers les jardiniers de Louxor arroser les jardins de son hôtel (le même que celui d’Agatha Christie), le soir comme vous.

rose dit: à

qui ont couru.

Lisons les infos : cessons le padamalgam et faisons l’amalgame cela nous changera.

Le père Saïd, effondré est au village. La mère elle vit à Ripoll.

Alors, je vais vous dire comment cela s’est passé.

Ne peux pas vous parler du grand-père, si vous avez des nouvelles, je veux bien être au courant.

Le père est venu travailler en France comme travailleur immigré. En Espagne etc. remplissez les pointillés.
Pays de cocagne, la France, par rapport au Haut Atlas, pays d’une magnificence extraordinaire, le film recommandé par bérénice nous l’a clairement démontré, mais d’une pauvreté inouïe.

Vers l’âge de 40 ans, je vous l’ai déjà raconté, mais vous, suivez le tractus, aveuglément semble-t’il, il fait un mariage arrangé au pays, obligatoirement, avec une jeune fille, jeune et vierge.

Il l’achète. Avec tous leurs salamalecs et leurs youyous le jour du mariage (il arrive encore que l’on change subrepticement la mariée le jour des noces, comme Rachel ma bénite et Léa, cette grosse vache). Cela arrive en 2017, sachez-le.
Non, je n’écris pas que ces gens sont arriérés.

Je vous dis juste que l’ambiance au sein du couple, après la mariage traficoté est dure. On le serait pour moins.

rose dit: à

je n’ai pas Gide chez moi, ce grand sal… rd et encore moins paul claudel, ce grand traître )à sa soeur, sal…d aussi.
suis pas encore partie, je vais y aller.

rose dit: à

18 ans et neuf mois premier petit
19 second 20 troisième

etc;

42 ans dernier petit : je vous l’ai déjà écrit.
un pourrait me dire, rose, vous l’avez déjà écrit.

Souvent, le petit dernier naît en même temps que le premier de l’aînée. Il est le tonton du petit, ils ont le même âge. Vous le voyez l’imbroglio générationnel ou pas du tout ?

Comme ces vieux…. qui deviennent pères à 72 ans, Montand n’en est que l’exemple imbécile. Et Simone, durant ce temps ? Boit.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…c’est, le simple jeux, des états, avec leurs camoristes,…de brûler l’économie des pays, par les deux bouts,…les funérailles de nos démocraties, pour deux sous, en plus, pour nos Judas du peuple, en représentants,!…
…de la lessive pour le peuple, et des paradis fiscaux, pour la crise de l’immobilier, depuis, 2007,!…
…les ruses des violences des riches,!…
…un pastis,!…etc,!…

rose dit: à

Quand le père a entre 60 et soixante dix ans, et ça, il faut le savoir, il faut le dire, il faut l’écrire, il faut le clamer : il retourne au pays. Maroc Algérie Tubisie, salement colonisés par ces français qui nous ont exploités. Ce sont des pachas : leur retraite leur est versé de France, d’Espagne etc.

Il se remarie, avec une jeunette de 35 ans et il recommence, enfants, youyous et tout le tintouin.

Fin totale des allocations familiales : fin définitive. On fait les enfants que l’on élève.

Stop à la gabegie.

rose dit: à

aux Puces, on doit pouvoir acheter un caddie et acheter 29 livres et demi. Les mettre dans le caddie.
16 c’est beaucoup.

Parce que sans doute, pas de sac à dos aux Puces.

Il est vrai que pour avoir la réponse à une question, il sembla aisé de la poser plutôt que de ruser pour obtenir une réponse.

ai vendu mes deux Vernon Subutex trois euros chacun. Z’étaient tout neufs.

rose dit: à

Je pense que la communauté maghrébine doit clairement se positionner : s’habiller à l’européenne, pratiquer son culte de manière individuelle, pudique, sans rien d’ostentatoire, s’opposer vivement et publiquement à tous ces actes odieux que nous subissons depuis – mais depuis combien de temps désormais ?
Se démarquer.

la vie dans les bois dit: à

Je ne comprends pas cette offuscation de F. Bon à propos d’une page wki, « liste des attentats terroristes islamistes ».
Pourquoi y mêler sa rancœur personnelle, vraiment qu’est-ce d’autre que ce mouvement d’humeur d’un rôdé du réseau, sur ce qui le dépasse.
Après tout 18 morts au Burkina la semaine dernière, n’ont pas fait réagir…. Et quand on fait le compte,-non comme un score sportif, la honte intellectuelle est plutôt dans cette comparaison-, on se rend compte qu’il est nécessaire, tout simplement. Car insidieusement, il fait son chemin.
Non, monsieur Bon, mettez-vous au sport, pour de vrai, ça vous aèrera le tête.

la vie dans les bois dit: à

la tête. La colère est toujours mauvaise conseillère.

et alii dit: à

pour ajouter en sinistres comptables aux chiffres des victimes comme si c’est tout ce qui comptait, le chiffre, dans l’analyse – est-ce qu’on analyse le Bataclan, Nice ou Barcelone ou lorsqu’il n’y a qu’une seule victime selon le chiffre des morts ? Même le mode opératoire est mis en avant comme fait objectal avant toute autre réflexion ou contexte, dans une litanie perverse et honteuse – en quoi ce serait un élément déterminant par rapport à veulerie et lâcheté du crime bas et aveugle ?

la vie dans les bois dit: à

De l’indignation à bon « compte » en somme, de monsieur Bon.

la vie dans les bois dit: à

la rosse est décidément odieuse, as usual. Enfin sa haine de la maghrébine s’expose. Elle va peut-être en causer à son psy.

D. dit: à

« Lutte antiterroriste: pourquoi le « FBI européen » n’existe toujours pas »

titre l’Express où travaille soit-dit en passant le très brillant (hurk hurk hurk) Christophe Barbier.

Réponse : parce qu’il n’y a pas de fédération, eh, banane. Par contre il y a des états souverains, des polices nationales, des frontières nationales.
On vous a pas mis au courant ?

bérénice dit: à

Delaporte, il n’y a pas que le vote qui définisse toutes nos tendances et attitudes, positions. Je ne suis pas moi non plus toujours très d’accord avec moi-même au premier jet, je rectifie le tir ensuite , je ponce les angles autant que faire se peut. Je ne suis pas toujours très fière de ce qui me vient à l’esprit.

hamlet dit: à

« D. dit: 20 août 2017 à 19 h 01 min
En fait je ne sais pas si la littérature vous réussit, hamlet. J’ai dit je ne sais pas, c’est à dire que je me pose la question. Elle semble vous occuper, mais vous réussit-elle ? »

salut D., tout compte fait, quand je lis ce genre de question débile je me dis qu’il vaut peut-être mieux qu’on nous confonde pas, je veux c’est pas le genre de truc qui peut me réussir.

vous avez plutôt une vision utilitariste et ultra libérale de la lecture, j’imagine que tout ce que vous faites dans la vie vous le faites dans le but que cela vous réussisse ? ou parce que vous pensez que cela vous réussit ? dans un sens que vous donnez vous-même à cette notion de réussite, à savoir dans le sens d’en tirer profit, donc un sens qui est vous donné par environnement capitaliste et ultra libéral ou chaque action ou chaque volonté ne peuvent valoir, et même avoir un sens existentiel, que dans la mesure ou elles puissent réussir pour celui ou celle qui en est l’auteur, et à la fin de chaque journée j’imagine qu’avec l’image d’un expert comptable, vous faites le bilan de ces actions afin d’évaluer le niveau auquel elles vous auront réussies, je vous vois noter dans un registre prévu à cet usage, noter avec une extrême précision l’ensemble de ces évaluations selon une grille de quantification qui vous aura été remise lorsque vous avez obtenu votre diplôme de comptabilité…

désolé D. je procède de la façon inverse : je ne lis que les livres qui ne me réussissent pas, et si par malheur je me rends compte après quelques pages qu’une lecture risque de me réussir je balance le bouquin à la poubelle ! pour le dire autrement mon cher D. je fuis comme la peste tout ce qui de près ou de loin risquerait de me réussir, parce que je hais ce mot « réussite » et tout ce qu’il représente dans notre monde peuplés d’expert comptables de votre genre ! je vois plutôt dans le livre ce qui peut nous faire échapper à la réussite, chaque page que je lis de Thomas Pynchon je les lis non pas parce qu’lles me réussissent mais au contraire parce qu’elles m’échouent, elles me transporte le coeur léger dans les cieux les plus élevés de l’échec !

vous me suivez grand idiot que vous êtes !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Oui,!…c’est la fameuse doctrine  » gothique « , cheveux, hé,! hé,!…dans le vent à voile,…
…en raide saison,…etc,!…
…les Judas, le fric, c’est chic,!…
…autres choses,?…

hamlet dit: à

un pays, le Qatar, qui d’un côté se paie un club de foot, le FC Barcelone, et de l’autre finance des actes terroristes visant à tuer les supporters du club qu’il finance, ce pays est forcément un pays totalement incohérent, les types ils paient à la fois des club de football et des terroristes la logique veut qu’ils envoient leurs terroristes dégommer les supporters des autres clubs ! un gamin de 6 ans le comprendrait, mais eux non.

bérénice dit: à

Enfin sa haine de la maghrébine s’expose.

leur apparence est de plus en plus ostentatoire pour un nombre croissant s’étalant de 14 à 77ans.

Widergänger dit: à

Litanie, oui, perverse et honteuse, non !

Je n’ai pas très bien compris où voulait en venir ce bon François.

La présentation de la page de la liste des attentats sur Wiki est très critiquable, c’est sûr. Mais de là à critiquer le fait de lister l’horreur, non. Lanzmann fait la même chose à la fin de l’un de ses films avec la liste des juifs assassinés dans les camps. Il faut qu’on sache, qu’on voit l’accumulation de l’horreur.

En revanche dans la présentation l’horreur islamiste n’est jamais nommé ; on ne dit jamais que ce sont des islamo-fascistes. Autrement dit, on ne nomme jamais l’ennemi. C’est l’ancien procureur anti-terrosite Alain Marsaud qui a eu raison de fiche le camp du plateau de BFMtv qui passe son temps à nous emberlificoter les méninges avec ces mensonges. Tout le système médiatique est corrompu, on le voit bien dans ce refus général de nommer l’ennemi. Ces islamistes sont des fascistes ! Ils sont prêts à se faire sauter dans nos rues, dans le métro, nos bus à Paris ou ailleurs en Europe. Cette guerre, il faut la mener en nommant l’ennemi et en prenant les msures qui s’imposent pour les empêcher de nuire sur nos territoires en Europe.

Il est clair qu’il faut plus d’Europe pour lutter efficacement contre cette peste verte.

Delaporte dit: à

Quand j’étais tout petit, c’était mon comique préféré. Je croyais qu’il était mort depuis longtemps… mais non. Il a beaucoup inspiré notre Pierre Etaix :

https://youtu.be/z5f_ioL_mpk

Widergänger dit: à

Les islamo-gauchistes sont complices de l’horreur islamiste. Un jour, ils devront passer devant le tribunal de l’histoire et répondre de leurs crimes de complicité de l’horreur islamo-fasciste. L’extrême gauche est complice du fascisme vert !

bérénice dit: à

Hamlet, échouage et échec sont deux notions distinctes:

(Marine) Action de faire échouer une embarcation ou résultat de cette action, dans les deux cas de manière volontaire. On pratique par exemple l’échouage sur une plage de sable pour caréner.
Mais en aucun cas on ne confondra échouage et échouement, le premier étant volontaire : on échoue son bateau de son plein gré, le second fortuit : on s’échoue sur un haut-fond accidentellement. — (Alain Grée, Mouillage, équipement et technique, Gallimard, 1981, p. 159)

Delaporte dit: à

« L’extrême gauche est complice du fascisme vert ! »

Et ta soeur, sombre crétin ???

Widergänger dit: à

Pat V essayant d’éduquer le demeuré de Montreuil…! Elle-même, avec ses airs de mondaine un peu demeurée qui se la joue popu forme un joli couple avec lui. On ne cesse de rire sur ce blog. Enfin, rire jaune ou noir, on ne sait plus très bien.

Il y aura toujours des demeurés qui ne comprendront rien ni à Kandinsky, ni à Mondrian, ni à Picasso, ni à Bram van Velde, etc. Il faut accepter que la sottise puisse faire partie de la réalité du monde. On n’éduquera jamais à l’art ceux qui de part leurs origines sociales sont malheureusement pour eux condamnés à le mépriser et, qui plus est, à s’en vanter. L’art est essantiellement réservé à une élite de l’esprit. Les autres n’y comprennent rien et n’y comprendront jamais rien. La démocratie est un leurre qui apparaît de plus en plus clairement. Mais que faire ? comme dirait l’autre pour que ça change. René Char écrit dans Partage formel : « L’évasion dans son semblable, avec d’immenses perspectives de poésie, sera peut-être un jour possible. » Belle utopie ! Mais on voit bien qu’avec les Pablo75 et autres crétins de ce blog, c’est peine perdue d’avance. Ces gens-là sont inéducables. Ils sont morts avant de l’être. Et ils sont des millions comme ça de morts-vivants qui hantent nos sociétés modernes. Ils sont pathétiques même, quand on voit Pablo75 aller se charger comme un baudet aux puces de Montreuil de livres dont il n’a pas les codes pour les comprendre. Pathétique et effrayant en même temps. C’est un échec total du système scolaire à la française. Échec sur toute la ligne, le système ne réussit pas à éduquer la masse. Et c’est le fascisme qui nous guette ici aussi, à cause de ça !

Delaporte dit: à

« C’est un échec total du système scolaire à la française. Échec sur toute la ligne, le système ne réussit pas à éduquer la masse. »

Faut-il ajouter, Wgg, que vous portez une part de responsabilité là-dedans, en tant que prof raté chahuté par ses élèves, parce que vous êtes nul dans votre profession ? Le désastre vient de vous ! Et vous l’admettez vous-même par ce genre d’aveu. C’est ignoble au-delà de tout.

christiane dit: à

@bérénice dit: 20 août 2017 à 17 h 54 min
Merci, Bérénice, pour cette photo. Elle permet d’imaginer Clopine heureuse dans ses terres, au milieu des oiseaux, des fleurs, de la présence des siens.
Comme elle a raison de se tenir à l’écart de la houle de ce blog.
Ce soir, je lisais les commentaires. Ce n’est pas très gai… Rose doit être bouleversée pour se laisser terrasser par tant de haine. Cela ne lui ressemble pas. Pat.V et Pablo font assaut d’amabilités, W. et Delaporte en sont au Kick Boxing… et là-haut « la chronique troublante d’une évaporation », s’évapore…
Lu hamlet, me fait penser au monsieur Plume de Michaux.
Qui est D ? Qu’importe… un Marsupilami ?

Delaporte dit: à

Le fascisme aura au moins ceci de bon, c’est qu’un énergumène comme Wgg sera immédiatement pendu par les couilles en place publique. Et ce sera justice, prompte et efficace !

Widergänger dit: à

Pauvre débile ! Tu vas peut-être demain sauter dans une rame de métro.

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