de Pierre Assouline

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Claude Lévi-Strauss révélé dans une « biographie japonaise »

Claude Lévi-Strauss révélé dans une « biographie japonaise »

Il y a un petit quart de siècle, le magazine Lire commanda un sondage d’opinion réduit à une seule question : quel est pour vous le plus grand intellectuel français vivant ? Un nom se détacha largement en tête qui n’était pas celui d’un bateleur d’estrades médiatiques mais du moins connu, du moins public, du moins spectaculaire et du plus discret de nos penseurs, un humaniste au savoir intimidant, mais qui suscitait tant la déférence que l’admiration : Claude Lévi-Strauss. Si un semblable sondage était commandé en 2015, on imagine les réponses : quelques essayistes « vus à la télé » s’y disputeraient la première place.

De ses premières enquêtes au Brésil, dans les années 1930, au Musée du quai Branly, dont il est la figure tutélaire, l’auteur de Tristes Tropiques, a marqué d’une empreinte profonde l’histoire intellectuelle du XXe siècle. Peu de savants se sont aventurés aussi loin que lui dans l’exploration des mécanismes cachés de la culture. C’est tout le mérite de la biographie que lui consacre Emmanuelle Loyer sous le titre Lévi-Strauss (877 pages, 32 euros, Flammarion) de le montrer, de l’analyser et parfois de le révéler sous toutes ses facettes.

Son oeuvre est l’un des grands monuments de la pensée du XXe siècle, et la durée de sa vie (il est mort centenaire en 2009) lui a permis d’en modifier les hypothèses et les formulations après la fin proclamée du structuralisme. Aujourd’hui encore, elle est une des plus discutées en anthropologie sociale, la discipline qu’il a refondée en France au lendemain de la seconde guerre mondiale. Par des voies diverses et convergentes, il s’est efforcé de comprendre la grande machine symbolique qui rassemble tous les plans de la vie humaine, de la famille aux croyances religieuses, des œuvres d’art aux manières de table. Il déchiffra le solfège de l’esprit, ou réussit à s’en approcher, et de fort près, à force de rigueur et d’invention conceptuelle.

Après une jeunesse un peu dilettante tant sa curiosité le poussait dans toutes les directions à commencer par la philosophie, le freudisme et le socialisme militant, il part enseigner à l’université de Sao Paulo… :

« …une ville absolument fantastique. Une sorte d’Espagne ou de Portugal du XVIIème ou XVIIIème siècle qui cohabitait avec un Chicago des années 1890, une ville qui poussait dans tous les sens et où on ne savait plus très bien si c’était un grand spectacle urbain ou un phénomène naturel »CLS1

Le jeune ethnologue commença ses enquêtes, sur le «terrain», dans le Brésil central, notamment chez les Bororos (« un morceau de roi  pour l’ethnologue en ce sens qu’ils ont une organisation sociale très compliquée qui se trouve entièrement inscrite dans le plan du village » ) et les Caduvéos (« des Indiens étaient ivres morts la moitié du temps mais qui conservaient un art d’un raffinement et d’une subtilité extraordinaires ») plus tard, chez les Nambikwaras (« société tellement appauvrie au point de de la culture matérielle et de l’organisation sociale réduite à si peu de choses qu’on y trouve l’essence même de la vie sociale réduite à sa plus simple expression . Ces personnages emplumés, ce sont en quelque sorte les dieux redescendus sur terre»). Il en rapporta une ample moisson de mythes, qui occuperont une place éminente dans ses Mythologiques, mais aussi une belle collection d’objets qu’il déposa au Musée de l’homme.

Ethnologue de raccroc, ou improvisé si l’on préfère, il était pris dans l’étau d’injonctions contradictoires : la perspective d’une carrière de professeur de philosophie et une profonde dilection qui le poussait vers le spectacle du monde éprouvé par les moyens les plus simples : le voyage, le camping, la marche à pied, la randonnée, la géologie sauvage. Pacifiste à la veille de la guerre, vite revenu de ses illusions et ramené aux réalités par le statut des Juifs de Vichy, il choisit l’exil d’autant qu’on lui propose un poste d’enseignant à New York.

En 1941, à bord du bateau qui le mène aux Etats-Unis, il commence un long dialogue avec André Breton sur l’art qui, malgré quelques malentendus, continuera jusqu’à la mort de l’écrivain. Le surréalisme passionnait l’ethnologue depuis sa jeunesse étudiante. La période américaine est richement exposée, Emmanuelle Loyer étant venue à Lévi-Strauss il y a dix ans après avoir consacré une recherche importante aux intellectuels et artistes français exilés pendant la guerre (Paris à New York, Grasset, 2005).

Dans les années 50, les cours de Lévi-Strauss au Musée de l’Homme étaient d’une grande fraîcheur : ils ouvraient des perspectives totalement nouvelles, dont les étudiants ne soupçonnaient même pas l’existence. Il leur fit découvrir qu’il y avait d’autres mondes et que ceux-ci n’agissaient pas comme nous. Mais derrière cette révélation entraînant une rupture radicale avec leur propre réalité, il les invitait à mettre en évidence des appareils cognitifs communs. Ainsi, ses auditeurs comme ses lecteurs prenaient-ils à la fois conscience de la différence et de l’universalité. C’est son grand legs, un héritage qui n’a pas de prix même s’il n’était précédé d’aucun testament : nous sommes tous très différents, mais nous pouvons nous comprendre car nos structures mentales fonctionnent de la même manière.

cls2Sa biographe Emmanuelle Loyer, qui s’appuie sur un intime et ancien commerce avec l’œuvre, et la fréquentation de ses archives personnelles, parvient à restituer jusqu’à sa voix. Tant la sonorité de l’écrivain, (car l’auteur de Tristes tropiques, livre si peu scientifique écrit « dans l’exaspération et dans l’horreur » et qui montre ce qu’il y a devant et ce qu’il y a derrière l’appareil photo, peut être tenu avant tout comme un écrivain) que sa propre voix. L’anthropologue Françoise Héritier, qui fut l’une de ses élèves, dit avoir été frappée par sa voix, laquelle le contenait tout entier. Une voix grave, légèrement tremblée, relativement neutre, presque silencieuse, et qui supportait peu les éclats, les écarts à la norme. C’était un homme d’écriture, un homme de parole publique aussi, mais pas vraiment un intellectuel en privé, très sensible à l’esthétique pour avoir été nourri au lait de la peinture des ateliers, ceux de son père et de son oncle, tous deux peintres. Il n’appréciait guère les conversations savantes en tête à tête. Ce qu’il aimait, c’était les séminaires où il demandait aux intervenants d’expliquer publiquement leurs travaux. C’est là que se manifestait sa grandeur de pédagogue : c’était un formidable maître du jeu, qui savait faire surgir et accoucher des questions que l’étudiant, le doctorat, le chercheur ne parvenaient pas à formuler seuls.

Sur le fond, c’était un esprit subtil, très logique, dont les cours étaient bâtis sur un continuum de pensée où il n’y avait jamais de trous. Il retombait toujours sur ses pieds. Un passeur exceptionnel animé du désir de mettre à nu les ossatures. Et contrairement à une idée reçue, Emmanuelle Loyer y insiste à raison, il s’intéressait moins aux invariants des sociétés qu’il étudiait qu’à leurs différences. L’homme privé derrière le savant partout célébré était un homme d’amitié, de confiance, qui a toujours protégé celles et ceux qui ont travaillé avec lui. Mais il n’a jamais accepté la moindre familiarité. Lévi-Strauss avait ceci de stimulant pour la pensée qu’il engageait ses lecteurs et ses auditeurs à faire un pas de côté en toutes choses, et à adopter le regard éloigné en toutes circonstances. Même dans sa carrière d’enseignant, il est parvenu au fond à n’appartenir jamais à l’Université mais uniquement aux «  grands établissements » (EHESS/laboratoire d’anthropologie sociale/ CNRS, Collège de France), où il n’y pas un programme :

« Au contraire la règle, il n’y en a qu’une mais elle est impérieuse, c’est que chaque année vous devez faire quelque chose de nouveau. C’était pour moi le moyen de concilier l’enseignement et le côté instable de ma nature : chaque année il fallait changer ».cls3

La passion de la musique est probablement l’une des clés les plus significatives pour qui veut déchiffrer Claude Lévi-Strauss. La musique, il a baigné dedans depuis toujours, tout comme la peinture. Son arrière-grand-père maternel, chef d’orchestre des bals de la cour, de Louis-Philippe d’abord, de Napoléon III ensuite, collabora avec Offenbach pour les quadrilles de la Vie parisienne et celui d’Orphée aux enfers. Lévi-Strauss fut élevé dans le culte wagnérien jusqu’à sa découverte de Stravinski à 14 ans. Puis il y eut Debussy et Ravel. Le Concerto en sol majeur demeurera sa madeleine. Rares sont ses livres qui ne doivent rien à la musique. Tristes Tropiques, « défoulement scripturaire » selon la biographe, imaginé au départ comme un roman, a été conçu comme un opéra. Le final des Mythologiques propose une analyse du Boléro qui tend à démontrer un parallélisme de construction entre la mythologie et les compositions musicales. Il est persuadé que la forme même de la construction mythique est reprise en compte par la musique.

La rencontre avec Roman Jakobson lui a révélé ce qu’était la linguistique structurale, une discipline qui, seule parmi les sciences humaines, était parvenue à un degré de rigueur comparable à celui des sciences plus avancées. Il a été frappé par fécondité et l’efficacité de modèles explicatifs qui consistent à voir dans l’ensemble, dans le tout, un principe d’explication qu’aucune des parties de ce tout ne parviendrait à fournir par elle-même. La leçon que l’ethnologue tire de son métier, il l’avait lui-même exposée avec cette manière si particulière de s’exprimer, dans une construction parfaite, une sorte de dentelle qui se défait dès lors qu’on en retire un mot ou un point, l’oral étant à l’unisson de l’écrit.

Lévi-Strauss engageait les hommes à vivre et à se conduire non comme c’est le cas depuis l’Ancien testament et la Renaissance, à savoir comme les seigneurs et les maîtres de la création, mais « comme une partie de cette création que nous devons respecter puisque ce que nous détruisons ne sera jamais remplacé » et que nous devons le transmettre tel que nous l’avons reçu à nos descendants.  Pour autant, s’il avait assisté au déclinisme qui gagne tant d’esprits aujourd’hui en France, rien ne dit qu’il se serait joint au chœur. Son regard décalé lui autorisait une remarquable et précieuse puissance de recul :

 « Je ne pense pas qu’il faille dater de 68 ou d’une autre année la décadence de l’enseignement secondaire. Je l’ai moi-même vécue comme élève et ensuite comme professeur. Quand je lis des textes du XIXème siècle, je suis absolument stupéfait de voir quel degré de maturité en classe de première ou en classe de philosophie avaient atteint des hommes comme Proust, comme Jaurès, comme Bergson, comme Durkheim, tous à peu près contemporains. Ils étaient beaucoup plus mûrs, beaucoup plus adultes dans leurs dernières années de lycée que moi-même et mes camarades à la même période. Si je les compare aux meilleurs de ces classes, ils étaient très au-dessus. J’ai l’impression que nous avons affaire à un processus, mais qui s’est étendu à travers les siècles, d’infantilisation progressive de la jeunesse.  Nous devenons adultes de plus en plus tard. »

CLAUDE-LEVI-STRAUSS-1963-1-HM0044Le grand coupable à ses yeux, c’est la philosophie humaniste sur laquelle nous nous sommes presque entièrement exclusivement fondés. Car elle divise l’humanité entre le monde des hommes, seigneurs et maîtres de la création, et l’autre monde où elle rejette les espèces animales et végétales :

 « Il n’y a qu’un moyen d’échapper à ce cercle infernal, de se prémunir contre ces dangers, c’est de considérer que  l’homme est d’abord un être vivant et souffrant avant d’être un être pensant ».  

Pessimiste, Claude Lévi-Strauss ? On l’a beaucoup dit. Il s’en défendait, mollement, en avançant que c’était là le seul moyen de parvenir à un optimisme raisonnable et… à un humanisme enfin tolérant. Disons qu’il s’inquiétait pour notre avenir et que son intranquillité fut si perspicace qu’elle demeure des plus fécondes. Son quichottisme revendiqué, c’était le désir obsédant de « retrouver le passé derrière le présent ». Après les livres de Denis Bertholet, Didier Eribon, Vincent Dehaene, et les témoignages de Françoise Héritier et de Catherine Clément, c’est l’une des nombreuses vertus de la biographie d’Emmanuelle Loyer de nous faire pénétrer dans la complexité de cette pensée sans jamais la simplifier ; sans trop insister sur la théorie et le commentaire de l’œuvre, tant d’autres s’en étant déjà chargés à travers le monde, elle propose en sus de l’exploration parfois inédite de l’individu (son arrière-monde, ses influences, son influence) une étude de sa discipline. Tout cela dans une biographie qu’elle dit avoir conçue selon un mode japonais en référence à la philosophie centripète du sujet que Lévi-Strauss avait voulu déceler au Japon :

« Tout se passe comme si le Japonais construisait son moi en partant du dehors. Le « moi » japonais apparaît ainsi non comme une donnée primitive, mais comme un résultat vers lequel on tend sans certitude l’atteindre. »

(Photos Anita Albus, D.R. et Henri Cartier-Bresson, 1963)

Cette entrée a été publiée dans sciences humaines.

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commentaires

1 030 Réponses pour Claude Lévi-Strauss révélé dans une « biographie japonaise »

Ueda dit: à

Bloom dit: 21 octobre 2015 à 19 h 05 min
Closer, Je ne parle pas des fondus, mais des élites.

N’était-il pas nécessaire de le signaler?

Chaloux dit: 21 octobre 2015 à 18 h 52 min
« Une indienne divorcée d’un pakistanais. Spécialité dudit, la tête de sa femme dans la machine à laver et coups de couvercles jusqu’à ce qu’elle perde connaissance. »

Là les mecs, structuralistes ou pas, un peu de modestie.
La palme de l’expérience vécue vous appartient, Chaloux!

Les filles des gentlemen pakistanais que j’ai rencontrées (at home) étaient à tomber à la renverse.
De loin bien sûr, affaire de vie ou de mort.
Il arrivaient que ces jeunes filles parfaitement oxfordisées fassent innocemment du flirt une manifestation de leur maîtrise du code moderne/occidental.

Il fallait se gendarmer et, sous l’oeil du père, garder un visage de brute devant ces trésors.

Attila dit: à

Je crois que c’était à l’occasion d’un de ses livres à caractère autobiographique ? Il m’est apparut comme un vieux pépé d’une grande singularité, mâtiné d’un voluptueux hindouisme, toute une atmosphère féminine mais néanmoins érudite, que j’ai dû observer amusé, de loin, en ethnologue. Je ne me souviens plus si j’avais osé l’interviewer sur la mort de son illustre frère, dans les bras d’une putain de bas étage, je crois bien que oui !

Chaloux dit: à

Intéressant échange sur le cannibalisme. Est-ce qu’il n’y a pas, derrière l’éventail des pratiques, diverses hiérarchies des créatures vivantes?

Attila dit: à

Je répondais à Phil.

Ueda dit: à

Attila dit: 21 octobre 2015 à 19 h 21 min
toute une atmosphère féminine mais néanmoins érudite, que j’ai dû observer amusé, de loin, en ethnologue.

Ouais…
Etnolog, si je comprend bien ça veut dire amateur de peep-show, mais un peu distancié, comme qui dirait à travers un verre dépoli…

Le photographe sans pellicule, bouguereau il connaît.

Attila dit: à

« Est-ce qu’il n’y a pas, derrière l’éventail des pratiques, diverses hiérarchies des créatures vivantes? »

Un mâle vaut-il autant qu’une femelle ?
Un vieux qu’un jeune ?
Un maigre un gros ?
Un Blanc qu’un Noir ?
Pour certains, une Blanche grassouillette vierge, c’est le summum !

Ueda dit: à

Attila dit: 21 octobre 2015 à 19 h 02 min
une chaine en or ou pendait, en guise de médaille du même métal, une jolie reproduction de bite sacrée de je ne sais plus qu’elle statue sacrée !

Vous sachant styliste, Attila, et donc ennemi des répétitions, la question qui se pose est la suivante: où mettre dans votre phrase le mot « sucrée » que vous souhaitiez utiliser?

Attila dit: à

Non, non, Ueda, sur le moment j’avais dû tout bien enregistrer, son et images, mais faut croire que la pellicule n’a pas été très impressionnée, il ne m’en reste aucun souvenir. Pourquoi, c’est un penseur important ?
Moi, je garde surtout le sentiment d’une rencontre éxotique…

Chaloux dit: à

Ueda, chevelure merveilleuse, comme dans Pelléas.

Chaloux dit: à

Attila dit: 21 octobre 2015 à 19 h 26 min

Dans les règnes, pas entre les hommes…

Attila dit: à

cette répétition du mot « sacré », cher Ueda, voulait souligner, lourdement je le conçois, l’hypocrisie religieuse qui consiste à sacraliser ce qui relève du plus trivial…

Ueda dit: à

Ueda dit: 21 octobre 2015 à 19 h 19 min
Les filles des gentlemen pakistanais que j’ai rencontrées (at home) étaient à tomber à la renverse.

Iraniens pareils, mais beaucoup plus ouverts.
Donne veramente stupende…

L’islam?
Une perversion privée métamorphosée en impératif collectif.

Attila dit: à

« chevelure merveilleuse, comme dans Pelléas. »

Un fétichiste des cheveux qui s’adresse à un fétichiste du pied, qu’est-ce que ça va donner ?

Chaloux dit: à

Ueda, les iraniens sont des aristocrates très à part.

Daaphnée dit: à

Et alors, U., toutes, ces merveilleuses et innombrables jeunes filles que sont-elles devenues ?

Ueda dit: à

Attila dit: 21 octobre 2015 à 19 h 39 mi
Un fétichiste des cheveux qui s’adresse à un fétichiste du pied, qu’est-ce que ça va donner ?

Un mannequin de cire façonné à la Jean-foutre avec une perruque sublime et des pompes façon roi-de-la-sape.

Ueda dit: à

(Quel snobisme supérieur, cet Attila.

« Comme un con, tu as voté Hollande, Ueda, par détestation irrationnelle de Sarkozy.
Eh bien moi… j’me tâte… à rebours de la foule…
Pourquoi pas Hollande la prochaine fois? »

Il faut le faire).

Ueda dit: à

Daaphnée dit: 21 octobre 2015 à 19 h 46 min
Et alors, U., toutes, ces merveilleuses et innombrables jeunes filles que sont-elles devenues ?

Ces dames âgées et impeccablement mises vous saluent courtoisement, Daaphnée!

christiane dit: à

@Attila,
j’ai recherché dans De près et de loin – Claude Lévi-Strauss /Didier Eribon (éd.Odile Jacob), une réponse à votre interrogation d’hier sur le Ju.daïsme.
C’est dans la troisième partie « Les cultures, la culture », p.215. je ne cite que des extraits et la discussion continue au-delà de ma citation.
« D.E : Nous avons parlé du ra.cisme, à l’instant. En avez-vous vous-même souffert, e, tant que ju.if, au cours de votre jeunesse, ou plus tard de votre carrière ?
C.L-S. : Il serait de ma part indécent de mettre en ligne de compte l’abominable et foudroyante catastrophe qui s’est abattue sur une fraction de l’humanité dont je fais partie, puisque j’ai eu la chance d’y échapper. Par comparaison, je n’en ai subi que des effets modestes : spoliation, vie de mon père écourtée par les épreuves de l’occupation… il est clair cependant qu’elle a substantiellement infléchi ma destinée.
Du temps de mon enfance, il arrivait encore qu’on soit insulté à l’école communale (comme on disait alors) et au lycée.(…)
D.E. : Et par la suite ?
C.L-S. : L’anti.sémitisme a pu jouer un rôle dans telle ou telle difficulté de carrière ; mais à titre de composante mineure, eu égard aux réserves inspirées par mes idées ou ma personne.
D.E. : Vous avez toujours été un partisan de « l’assimilation », et vous n’avez jamais revendiqué une « identité » jui.ve. Mais vous connaissez la phrase de Métraux vous concernant, notée dans son journal : « C’est le type même de l’intellectuel ju.if. »
C.L-S. : Cela ne me gêne pas. Nous ne sommes pas de purs esprits, et il me semble naturel, surtout de la part d’un ethnologue, que pour jauger un individu on le replace dans son contexte.
D.E. : Cette phrase ne vous gêne pas, mais quel sens lui donnez-vous ?
C.L-S. : Il faudrait d’abord savoir quel sens Métraux lui donnait. Nos conversations n’ont jamais porté là-dessus. J’admets que quelques attitudes d’esprit sont peut-être plus courantes chez les Ju.ifs qu’ailleurs.
D.E. : Par exemple ?
C.L-S. : Celles qui résultent d’un sentiment profond d’appartenir à une communauté nationale, tout en sachant qu’au sein de cette communauté, il y a des gens – de moins en moins, j’en conviens – qui vous rejettent. On en garde une sensibilité en alerte, accompagnée du sentiment irraisonné qu’en toutes circonstances, on est tenu d’en faire un peu plus que les autres pour désarmer les critiques latentes. Je ne m’indigne pas que de ce travers, si explicable qu’il soit, puisse déplaire. Gobineau, qui n’était pas anti.sémite, décrivait l’esprit ju.if comme chercheur de nature, aimant à acquérir dans les richesses de ce monde « aussi bien ce qui est science que ce qui est or », Métraux me prêtait, j’imagine, la première sorte d’appétit.
D.E. : En tous cas, vous n’avez jamais revendiqué ni affirmé votre judaï.sme.
C.L-S. : (…) J’ai hésité longtemps avant d’aller en Is.raël, parce que reprendre un contact physique avec ses racines constitue une expérience redoutable.
D.E. : Quand y êtes-vous allé ?
C.L-S. : En 1984-1985. Le Musée d’Is.raël m’avait invité à présider un symposium international sur l’art, moyen de communication dans les sociétés sans écriture.
D.E. : Et qu’avez-vous ressenti ?
C.L-S. : Je me sais ju.if et l’ancienneté de sang, comme on disait autrefois, m’agrée. Sur place, je me suis senti plus que jamais déconcerté par la solution de continuité -plus ou moins deux mille ans – entre le départ de Palestine et le début du XVIII e siècle où je trouve mes ancêtres établis en Alsace. Que s’est-il passé dans l’intervalle ? La séquence historique, les étapes figurées de cette pérégrination me manquent, et j’en aurais besoin pour percevoir la réalité du lien avec un très lointain passé. Il se réduit à une connaissance abstraite. C’est vous dire qu’à aucun moment, en Is.raël, je n’ai eu l’impression de toucher concrètement mes racines… »
C’est vraiment un livre passionnant, Attila.

Attila dit: à

« snobisme supérieur »

Faut-il traduire par « orgueil » ou « tête à claque », Ueda ?

closer dit: à

Je sais que je ne vous apprends rien Bloom, mais votre présentation systématiquement biaisée de la situation du sous contient indien frise la malhonnêteté.

A vous lire, un esprit peu informé croirait que le Pakistan est un pays éclairé et tolérant et l’Inde un ramassis d’abrutis obscurantistes!

Ce n’est pas tout à fait cela, c’est le moins que l’on puisse dire.

Attila dit: à

Oui, c’est très intéressant, Christiane, merci.

Fée Carabosse dit: à

Ueda dit: 21 octobre 2015 à 19 h 19 min
N’était-il pas nécessaire de le signaler?

C’était signalé.
Zouzou qui comme d’habitude veut faire son malin sans lire les commentaires (autre option potentiellement possible, il ne les comprend pas)nous ramène à sa phobie mariniste du moment, la France sera musulmane dans dix ans.
C’est marrant de voir évoluer un « intello » (mais oui) dépassé par sa marionnette.

Ueda dit: à

Fée Carabosse dit: 21 octobre 2015 à 20 h 01 min
la France sera musulmane dans dix ans.

Ce pessimisme serre le coeur.

Trente ans peut-être?
Et encore, avec de magnifiques poches de résistance!

Ueda dit: à

christiane dit: 21 octobre 2015 à 19 h 52 min
j’ai recherché dans De près et de loin

Une admirable froideur.

Si j’ai bien compris le maître, elle ne devrait être à son tour qu’un élément dans un système possible de transformations…

La négation têtue, parfois héroïque, de l’affect ou du corps, immédiatement accompagnée d’une dénégation parfaitement sincère, voilà notre homme.

Widergänger dit: à

Allemagne. Un Migrant musulman décapite sa femme, brandit sa tête puis la jette dans la cour au cri d’Allahu Akbar

Pour les germanophones… pour les autres faudra attendre la traduction. En bref un musulman s’est disputé avec sa femme, et n’a rien trouvé de mieux que de lui couper la tête puis de la jeter dans la cour de la résidence.
http://www.dreuz.info/2015/10/21/allemagne-un-migrant-musulman-decapite-sa-femme-brandit-sa-tete-puis-la-jette-dans-la-cour-au-cri-dallahu-akbar/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29

Ueda dit: à

Widergänger dit: 21 octobre 2015 à 20 h 16 min
Allemagne. Un Migrant musulman décapite sa femme, brandit sa tête puis la jette dans la cour au cri d’Allah Akbar

Remarquez qu’il l’a brandie avant de la jeter.
Ça témoigne d’un certain souci de l’Autre.

Puisque nous parlons de cannibalisme, vous souvenez-vous de cet Allemand qui avait coupé sa queue sous la douche et l’avait brandie, avant de la boulotter avec un pote?
Attends-voir… Dortmund?

christiane dit: à

@Ueda dit: 21 octobre 2015 à 20 h 11 min

« Une admirable froideur.(…)
La négation têtue, parfois héroïque, de l’affect ou du corps, immédiatement accompagnée d’une dénégation parfaitement sincère, voilà notre homme. »

Ah, vous avez ressenti cela ? Je l’ai senti ailleurs dans ce moment de l’échange, comme obligé, par courtoisie, de répondre mais là n’est pas semble-t-il, le questionnement essentiel de sa vie. Il s’ennuie si souvent, en Europe, semble-t-il.
Il dit à D.E. :
« … je me remémore ces usages et quelques autres : les visites du ban et de l’arrière-ban de la famille (…) chaque 1er janvier( on retirait à cette occasion les housses qui recouvraient les meubles du salon le reste de l’année. Devant le Pont-Neuf emmailloté par Christo, j’ai soudainement revu le salon de ma grand-mère (…) mais on ne croyait pas cela beau); la tournée des cimetières (…); les cartes de visite cornées qu’il fallait déposer chez les personnes envers qui ils se sentaient des obligations, etc.; il me semble que, dans mon enfance, j’ai vécu un temps qui appartient encore au XIXe siècle, et je me reproche d’avoir regardé ces mœurs d’un œil indifférent ou agacé. »

Widergänger dit: à

Ce sont les deux ou trois Portugais que les Indiens du Brésil ont bouffés qui ont sû apprécier les théories de CLS sur le cannibalisme, qui ne serait qu’une question de point de vue… CLS avait des zones obscures dans son cerveau génial quand même ! Comme Montaigne. On ne peut se fier à personne en ce bas monde…

Ueda dit: à

christiane dit: 21 octobre 2015 à 20 h 31 min

On dirait qu’il y a de grands esprits qui se construisent contre l’ennui mais aussi à travers lui.
Comme Barthes, bien sûr.

Sur l’affect ou le corps (« la pratique, le rite… ce que font ces gens… avec ces objets et ces gestes… c’est proprement dénué de sens… ce n’est qu’une dégradation négligeable de la pensée… ») comme sur, par exemple, le marxisme ambiant qui venait draguer son structuralisme.
Le même geste de maîtrise supérieure, s’accompagnant s’une courtoise dénégation.
Un grand ancien, le citant: « mais pas du tout… cette maison a toujours été ouverte à la dialectique… mes constructions symboliques ne sont-elles pas de modestes contributions à l’étude future des superstructures?… »

Sensibilité profonde maîtrisée par une réflexivité d’une admirable fermeté, mais aussi par une stratégie froide et dénuée de sentimentalisme.

C’était un grand.

(Mais Bloom ne lit pas sur l’Inde les gens qui comptent aujourd’hui, et qui ne sont pas complètement indignes de leurs maîtres).

D. dit: à

Quatorze, pardon, puisque il y a aussi ce spécialiste du Sanskrit, que j’avais ouvlié.

Fée Carabosse dit: à

Ueda dit: 21 octobre 2015 à 20 h 22 min
Remarquez qu’il l’a brandie avant de la jeter

Acte de cannibalisme d’un japonais sur une étudiante néerlandaise qu’il a assassiné.

Vous ne croyez pas Ueda que ces amalgames sont d’une profonde c.nnerie ?

D. dit: à

Ueda, vous devenez aigri. Je vous ai connu plus ouvert, jovial, sympathique quoi. Ressaisissez-vous, mon vieux.

Ueda dit: à

Fée Carabosse dit: 21 octobre 2015 à 20 h 54 min
Vous ne croyez pas Ueda que ces amalgames sont d’une profonde connerie ?

Vous me donnez, Carabosse, le sentiment d’avoir eu, quant à l’humain, une expérience d’une grande pauvreté.
Mais je ne connais rien au fées.
Vos copines aussi?

Je suis prêt à admettre le contraire.

Ueda dit: à

1) Le soir tombe, tout doucement.

2) Tagul’-kepu.

3) Bonne nuit à tous.

la vie dans les bois dit: à

Ho bisogno di dire qualcose.
Qu’il vaut mieux lire T. Hardy in the green of the Wessex. Et sans filtre.

« Thomas’s Hardy’s beautiful and spirited heroine is driven to her tragic end by three men who betray her trust ».
And nothing else.

la vie dans les bois dit: à

« En bref », le poltergeist devrait se repalucher les petites horreurs de la rubrique faits divers. En japonais, aussi.
S’il se cherche une raison, pour dire que sa vie ne vaut absolument rien. Ou presque.

la vie dans les bois dit: à

« La critique littéraire française n’a rien compris à « Soumission ». C’est la critique littéraire américaine qui le dit »

So kind, of You….

la vie dans les bois dit: à

« C’est Tess d’Urberville, ML (Tess of the d’Urbervilles en anglais), immense roman haut-victorien dont l’envers masculin est Jude l’Obscur, le dernier Hardy, où Jude est un Tess fait homme, soumis à maintes humiliations sociales & autres… »

beuurk !
mais comment peut-on être aussi mauvais lecteur , me direz-vous.

 » I will just add that the story is sent out in all sincerity of purpose, as representing on the whole a true sequence of things; and i would ask any too genteel reader who cannot endure to have it said what everybody thinks and feels, to remember a well-worn sentence of St Jerome’s: If an offence come out of the truth, better is taht the offence come that the truth be con concealed »
T.H. November, 1891…

la vie dans les bois dit: à

Sorry:
« If an offence come out of the truth, better is that the offence come than that the truth be concealed »

la vie dans les bois dit: à

Tess of the D’Urbervilles, bloom. et ce livre « immense » n’est pas pour vous, non plus.

Zoon dit: à

« L’histoire est clairement une farce, les personnages principaux sont bêtes et sans scrupules

Ce jugement de Lorin Stein sur le roman de Houellebecq me paraît aussi peu perspicace que bon nombre de critiques françaises. Je ne vois pas en quoi « Soumission » est « clairement une farce », ni en quoi le personnage clé de Robert Rediger est bête et sans scrupule.

Widergänger dit: à

la vie dans les bois dit: 21 octobre 2015 à 21 h 57 min
C’est pas fini toutes ces chamailleries puériles. Si vous avez quelque chose d’intéressant à nous dire sur ce roman de Th. Hardy, dites, nom de Dieu et cessez de nous emm… avec de tels jugements débiles sur autrui. D’autant que ce que dit Bloom est parfaitement sensé, enfin ! Y a en marre de cet esprit de cour de récrée de 12 ans !

Widergänger dit: à

Il n’y a pas qu’une lecture, ZOn Zon, de « Soumission ». On peut fort bien le lire comme une farce. Je trouve au contraire ces éclairages divergents sur ce roman des plus passionnants. Ça montre qu’il est complexe. Vous ne croyez pas ?

arcadius dit: à

Zoon :
« …ñ on y écrit à peu près ce qu’on veut; ça donne ce patchwork, cette soupe où chacun verse ses ingrédients… » Vous décrivez une fosse septique !

la vie dans les bois dit: à

JB, il y a beaucoup de farces dans ce livre. Celle du sociologue Da Silva, par exemple en est une.
Celle de frère Longeat, qui prône le verbe aimer par toutes les paroles et les actes , en est une autre.

Lazarillo dit: à

azarillo dit: 21 octobre 2015 à 20 h 26 min
Widergänger dit:
21 octobre 2015 à 11 h 50 min
Faut précisément être un sinistre beauf pour laisser croire que je puisse dire des énormités. Heureusement, les autres, qui ne sont pas beaufs, savent lire et jugent Lazarillo à sa juste valeur.

Alors pour mémoire voici ce que déclarait Alba le 3 octobre à 0:49 sous le billet Javier Cercas à propos de MàC et de son père et de son ex-épouse: » Un grand-père déporté à Teresienstadt. Un père sado-maso qui prend plaisir à recevoir des fessées et qui, à moitié clochard (Passou dixit) traite les autres de « ratés ». Un fils qui lui ramène une belle-famille nazie pour célébrer la réconciliation franco-allemande. » Pour de tes propos, Alab, vous decriez vous mettre dans la cuvette des chiottes de la RdL et tirer la chasse pour finir dans les égouts tel les excréments.

Widergänger dit: à

Quand les critiques américains analysent Soumission comme francophobe, ils ont tout à fait raison. Une satire des élites françaises.

Chaloux dit: à

On sait bien qui est Alba, un vieux menteur qui n’a rien vécu et ignore tout de la vie. Sa « liberté » d’expression est proportionnelle à cette ignorance.

la vie dans les bois dit: à

Quand le poltergeist aura lu T. Hardy dans le texte, et en V.O, et in situ, si, si !, il aura passé le stade de vieux crétin.

Zoon dit: à

Je trouve au contraire ces éclairages divergents sur ce roman des plus passionnants. Ça montre qu’il est complexe. Vous ne croyez pas ? (Widegänger)

Je le crois en effet; mais le réduire à une simple farce me paraît difficile et j’aimerais connaître les raisons de l’auteur de ce jugement. D’ailleurs, jusqu’à présent, je n’ai pas lu d’analyse vraiment attentive et perspicace de ce roman, dont la réception a certainement été brouillée pour longtemps par les événements dramatiques contemporains de sa publication.

Widergänger dit: à

L’idée intéressante aussi chez ces critiques américains que la France serait à la dérive, par un culte délirant de la liberté. Excès de la liberté qui veut s’abstraire de la tradition. Ça me paraît très juste aussi. Une sorte de cancer de la liberté au détriment des deux autres valeurs de la devise, l’égalité et la fraternité. Ça me paraît très juste aussi comme analyse.

Ça va de paire à mon sens avec le déclin de l’enseignement de l’histoire. On ne veut plus voir le passé tragique de la France, les crimes de la France. Alors on cherche à déraciner la France de ses traditions. Je souscris en partie à cette analyse.

Widergänger dit: à

Il ne dit pas que c’est une « simple farce ». Il parle de satire. Il le rapproche de Tom Wolf. C’est visiblement un roman satirique. Sans doute plus subtil qu’une simple farce, mais une satire des élites.

Widergänger dit: à

Le cinglé du blog est ressorti de son hôpital psychiatrique comme les vieilles chouettes avec la nuit.

Zoon dit: à

Une satire des élites françaises. (Widergänger)

Sans doute. Plus généralement, peut-être, une satire des élites. Un des aspects les plus significatifs et des plus sinistres de ce roman, c’est que tout paraît se jouer au sein des « élites » (politiques, universitaires…). Le peuple est radicalement absent, sauf sous la forme abstraite de la répartition des voix aux élections.

la vie dans les bois dit: à

« On ne veut plus voir le passé tragique de la France, les crimes de la France. »

c’est çlaa, oui. J’espère que le poltergeist a touché des indemnités.

Widergänger dit: à

Mais ce n’est pas l’impression que vous avez, Zon Zon, que le peuple est justement tragiquement absent dans notre pays ? Et les élites sont tragiquement séparées du peuple aussi. La majorité silencieuse est devenue la majorité qui n’existe même plus, qui ne vote même plus d’ailleurs.

Chaloux dit: à

Widergänger dit: 21 octobre 2015 à 22 h 30 min
Une sorte de cancer de la liberté

Quel serpent à sornettes…

Zoon dit: à

Une sorte de cancer de la liberté au détriment des deux autres valeurs de la devise, l’égalité et la fraternité. (Widergänger)

Parmi les symptômes de ce cancer, ce qui vient de se passer à Moirans, ce qui s’est passé à Air-France, et auparavant lors des actions des bonnets rouges en Bretagne. Ces formes cancérigènes de la libertés semblent le résultat d’une démission de l’Etat.

la vie dans les bois dit: à

Le poltergeist voudrait en plus faire croire qu’il a lu ce livre de Houellebecq.

On va lui poser une question simple, histoire de voir jusqu’où va cette baderne.

Quel sort réserve Ben Abbes, une fois élu, aux Juifs, selon le flic des RG ?

Widergänger dit: à

Démission de l’Etat d’un côté, autoritarisme de l’Etat de l’autre (la réforme de l’enseignement en cours), je dirai déréliction de l’Etat.

la vie dans les bois dit: à

Dire l’Etat en lieu et place de République, cela revoie les fonctionnaires entre eux. Pauvres aliénés.

Chaloux dit: à

« La satire découle d’une comparaison entre la folie vers laquelle on se dirige, et le passé supposé raisonnable qu’on a laissé derrière. »

N’importe quoi. Et Voltaire? – qui n’est certes pas un révolutionnaire.

Widergänger dit: à

Pauvre Chaloux sorti de sa cellule d’hôpital psychitrique et ne comprend rien à ce qu’écrit ce journaliste américain. Mais rien du tout.

Chaloux dit: à

Quant à l’hypothèse du choix de trop de liberté, elle est d’une idiotie toute américaine. Dès qu’un américain l’ouvre sur l’Europe, ça n’a ni queue ni tête, c’est une constante. C’est la fin de l’état, au profit d’une nébuleuse européenne qui fait n’importe quoi et les entraîne où ils ne veulent pas aller (pas l’idée d’Europe en elle-même, à propos de laquelle tout le monde est à peu près d’accord) dont ne veulent pas beaucoup d’européens. Les élites s’obstinent d’une manière tout à fait anti-démocratique (il faudrait savoir si on est en démocratie ou pas), les citoyens récusent.

Quant à Houellebecq, il fait mine de faire de la littérature prophétique mais qui se vende aujourd’hui. Piteux.

(L’idée que se fait l’américain « cultivé » -comme on peut l’être aujourd’hui- de la France, est au niveau de ses références (« Amélie Poulain », « Les Particules Elémentaires »). Dans ces conditions, comment la prendre en compte?

Un peu lassé dit: à

Lazarillo dit: 21 octobre 2015 à 22 h 21 min

Laz, on a lu, on a compris.
Passe à autre chose.

Chaloux dit: à

Widergänger dit: 21 octobre 2015 à 22 h 54 min

Mon pauvre Alba, tu aurais plus de titres que moi à y entrer et à ne plus jamais en sortir.

Chaloux dit: à

Un peu lassé dit: 21 octobre 2015 à 23 h 07 min

Moi je ne me lasse pas.
Continuez Lazarillo, vous faites oeuvre pie.

ça vient oui ! dit: à

Zoon dit: 21 octobre 2015 à 22 h 28 min
D’ailleurs, jusqu’à présent, je n’ai pas lu d’analyse vraiment attentive et perspicace de ce roman,

Nous attendons avec fébrilité la vôtre Ô vénéré Maître.

Chaloux dit: à

Widergänger dit: 21 octobre 2015 à 22 h 30 min
« Ça va de paire à mon sens avec le déclin de l’enseignement de l’histoire. On ne veut plus voir le passé tragique de la France, les crimes de la France. Alors on cherche à déraciner la France de ses traditions. Je souscris en partie à cette analyse. »

N’importe quoi, Alba. L’histoire est un grand facteur d’émancipation de l’esprit. On ne veut plus que les esprits s’émancipent, on veut qu’ils obéissent. Les « élites » ne veulent plus de la démocratie qui les dérange. Donc plongeons le citoyen dans les problèmes inextricables du présent le plus étroit. Aucune chance qu’il s’en libère s’il n’a le point de vue de l’histoire. C’est le nouveau totalitarisme, parfaitement acté par le parti socialiste. Impardonnable.

L'enfer c'est les autres dit: à

Au moins nous sommes sûr d’une chose,
les élites de ce blog ne font pas partie des élites de la France.
Les nôtres sont persuadées de n’avoir rien à se reprocher, d’agir en toute chose avec la compétence et la sérénité qu’elles ont acquis grâce à leur savoir et ici nous sommes fiers d’eux.
Merci à WGG, Chaloux, Ueda, Zoon, Closer, Gontrand et quelques autres pour ce soutien qui, nous n’en doutons pas, nous sera très bénéfiques.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…je fini ma soirée, avec mon admiration à contemplé une estampe japonaise,!…

…très haute lithographie,!…23 X 35, avec 5 cm de bord, encadré d’un noir poli,!…
…( travail d’une école de maitres praticiens dans ce type de gravures en couleurs,…)
…au fond un timbre géant, en morales,!…
…une enveloppe pour la nuit, le jour venant,!…

…non,…des traditions, un riz au lait, plusieurs boisons, et finir avec une bière blonde £effe,!…
…bonne journée pour les affaires,…même petites en sois,…suffisantes pour la journée,!…
…la lithographie des affaires en somme, çà aide son plouc en regards,!…Ah,!Ah,!…
…bonne nuit,…etc,!…

Chaloux dit: à

L’enfer c’est les autres dit: 21 octobre 2015 à 23 h 23 min

Un brin d’orthographe ne nuirait pas à la crédibilité de ce propos. Quant à en clarifier le fond, évidemment l’orthographe n’y suffirait pas. L’orthographe ne peut pas suppléer pas à tout, ni même à rien.

Zoon dit: à

Mais comment faire autrement que de récuser ces élites? (Chaloux)

Mais quelles élites? Qu’appelons-nous, en France, « les élites » ? Qu’est-ce qui distingue l’élite? L’art de parader dans les médias ? Sûrement pas. Les politiques, les intellectuels à la mode, c’est le rideau de scène, c’est l’écume. Nous savons bien que les vraies élites, celles du savoir, de la compétence, au service de la collectivité humaine de ce pays, ce ne sont pas ces personnages gesticulants et discoureurs. L’élite est partout dans le peuple. Regardez autour de vous. Vous la côtoyez à chaque instant. Soyez attentifs. L’élite, c’est le peuple, et dans cette élite qu’est le peuple, il y a l’élite de l’élite. Hier, pour moi, l’élite, c’était Karim, qui conduit si bien son taxi, dont la conversation est si instructive et si plaisante, et qui m’a conduit, au coeur de cette grande ville, dans ce grand bâtiment blanc lumineux où, depuis cinq ans, j’ai mes habitudes, où chacun vaque à ses tâches avec efficacité et gentillesse, pour rencontrer Jacques, qui a commencé par m’inviter à plonger dans une boîte de chocolats succulents, avant d’aborder les choses sérieuses. Jacques à qui je dois la vie (pas seulement à lui, bien sûr, mais à son équipe), Jacques qui m’a offert deux ans de vie simple et tranquille, comme dit Verlaine, plus trois ans de vie un peu plus compliquée, mais intense et belle. Jacques, Jean-François et les autres. Et tant d’autres. L’élite, c’était, l’autre soir, Ibrahim Maalouf et ses quatre complices. L’élite, c’est mon libraire qui parle si bien des livres qu’il aime. Des gens de l’élite, je n’arrête pas d’en rencontrer. il suffit de sortir.

L'enfer c'est les autres dit: à

Chaloux dit: 21 octobre 2015 à 23 h 29 min

Chaloux, vous pouvez demander à renato la citation de Guareschi sur les d.cons qui ressortent l’orthographe quand ils n’ont pas d’arguments à opposer ?
Elle sera parfaite.

Chaloux dit: à

L’enfer c’est les autres dit: 21 octobre 2015 à 23 h 51 min

Il n’y a aucun argument à opposer à ta prosette dépourvue de sens.

L'enfer c'est les autres dit: à

Chaloux dit: 21 octobre 2015 à 23 h 55 min
à ta prosette

N’oubliez jamais Chaloux, lorsque vous gardiez les cochons nous n’étions pas ensemble.

Chaloux dit: à

John Brown, impossible de te donner tort.
Il faudrait donc donner un autre nom à ceux qui disent qu’il n’y a pas de salut hors leur groupe, ou qu’il ne faut pas siffler si l’on n’est pas d’accord : l’oppression.
Comment nommer autrement le déni de démocratie des « démocrates »?
Le « FN »qu’on met en ce moment à toutes les sauces (et je ne roule toujours pas pour lui) n’est que le symptôme de ce déni qui monte.

Chaloux dit: à

L’enfer c’est les autres dit: 22 octobre 2015 à 0 h 00 min
N’oubliez jamais Chaloux, lorsque vous gardiez les cochons nous n’étions pas ensemble.

Pas étonnant, je n’ai jamais gardé de cochons. Et être « ensemble » avec un crétin de ton acabit serait au-dessus de ma patience.

Bloom dit: à

Tess of the D’Urbervilles, bloom. et ce livre « immense » n’est pas pour vous, non plus.

C’est bien pour cela que le Jury de la dissertation du Capes d’anglais m’a gratifié d’un 15 lorsque Tess est tombé à l’écrit. Alors, en sourdine, le maitre du Ridicule achevé.
PS: Le nom d’Urberville s’écrit avec une minuscule, inculte Gauleiter. Quand on attaque, on se prépare.

Bloom dit: à

better is taht the offence come that the truth be con concealed »

Il comprend pas ce qu’il écrit, cette triple buse d’anal-phabète monolingue, voyez comment il souille la langue de Hardy:

that
concealed

« what is better is that you clam up once and for all that the air be cleaner. » (Bloom)

Bloom dit: à

(Mais Bloom ne lit pas sur l’Inde les gens qui comptent aujourd’hui, et qui ne sont pas complètement indignes de leurs maîtres).

Pourquoi s’arrêter en si bon chemin: des noms.

D. dit: à

Widergänger dit: 21 octobre 2015 à 22 h 54 min

Pauvre Chaloux sorti de sa cellule d’hôpital psychitrique et ne comprend rien à ce qu’écrit ce journaliste américain. Mais rien du tout.

Ho ! Ho ! Vous y allez fort, quand même, Michel.

Bloom dit: à

« Soumission, simplement titré Submission » (Télérama).
L’auteur de cet aimable truisme bilingue nous en dit long sur une certaine conception française de la littérature, qui se doit d’être compliquée pour être. « Simplement »…comme on lui rappellera, l’anglais est bilingue, et plus d’un tiers de son vocabulaire est d’origine latine/française.
« Submissiveness » est un état de fait, submission est un processus actif, qui traduirait le mot ‘islam ».
Ci-dessous, l’article que mon ami Andrew a consacré à Submission dans le Sydney Morning Herald (intéressante remarque sur les limites de la traduction anglaise).
http://www.smh.com.au/entertainment/books/submission-review-michel-houellebecqs-new-novel-skewers-french-society-again-20150912-gjjhc2.html

la vie dans les bois dit: à

« If an offence come out of the truth, better is that the offence come than that the truth be concealed »
Cette phrase, avec corrections de mes fautes de clavier à 22h,n’est pas de T. Hardy.

Et si l’empiffré de petits fours avait lu T. Hardy, au lieu d’un condensé pour bachotage, il l’aurait compris.

Des pantins, vous dis-je..... dit: à

Le monde terrestre étant un assortiment de joyeux cinglés, vivant depuis toujours et pour longtemps chacun dans son village selon ses lois, les conflits sont/seront inévitables !

Ce pourquoi se fortifient les villages jusqu’à constituer des Empires, qui finissent par disparaître au profit de Barbares ne croyant pas à « l’universalité de l’humanisme », ce concept idiot qui n’est qu’une façon pour l’Empire de gouverner suivant ses propres lois, déplaisantes à l’Autre l’esclave soumis.

Fortifier notre village, défendre notre limes, ne jamais croire à l’universel. Liberté, mon culte ! Egalité, mon culte ! Fraternité, mon culte ! ….

la vie dans les bois dit: à

Bloom dit peu sur l’Inde, tout simplement parce qu’il ne sort pas sans garde-du-corps des enclaves de l’Etat français où il se fait rincer à tous les coquetèles. Comme il aime à le raconter à des petits fonctionnaires. Comme lui.

Bloom dit: à

Bloom dit peu sur l’Inde, tout simplement parce qu’il ne sort pas sans garde-du-corps des enclaves de l’Etat français où il se fait rincer à tous les coquetèles.

Dutrou, je suis le seul Français dans une institution indienne comptant plus de 70 employés indiens. Quand on sait pas, on la ferme.

Bloom dit: à

I will just add that the story is sent out in all sincerity of purpose, as representing on the whole a true sequence of things; and i would ask any too genteel reader who cannot endure to have it said what everybody thinks and feels, to remember a well-worn sentence of St Jerome’s: If an offence come out of the truth, better is taht the offence come that the truth be con concealed »
T.H. November, 1891…
==Cette phrase, avec corrections de mes fautes de clavier à 22h,n’est pas de T. Hardy.
===
L’encéphalogramme plat va nous faire accroire que St Jérôme parlait anglais. Le bouffon ne manque pas d’air.
Les fautes de clavier, my foot, Alzheimer précoce, oui. *uckwit!

la vie dans les bois dit: à

f.ucking sahib, à 7 h 52 min, toi y’en avoir beaucoup de shit onomastique dans la tête.

la vie dans les bois dit: à

« nous faire accroire que St Jérôme parlait anglais », croit savoir f.ucking sahib, qui a appris le slang avec la méthode assimile.

« Le nom d’Urberville s’écrit avec une minuscule »

C’est faux.

Chaloux dit: à

Prosternons-nous : Bloomy, notre canichou a eu « 15 au CAPES ».
De quoi alimenter toute une vie d’orgueil.

Miroir, mon beau miroir dit: à

Chaloux dit: 22 octobre 2015 à 8 h 53 min
De quoi alimenter toute une vie d’orgueil.

Tiroir son beau tiroir dit: à

Tiroir, mon beau Tiroir dit: 22 octobre 2015 à 8 h 57 min

Ferme-toi.

Bloom dit: à

« Le nom d’Urberville s’écrit avec une minuscule »

C’est faux.


Plus sot que ça, tu meurs: le « d »est en minuscule, comme dans « débile ».

Des pantins, vous dis-je..... dit: à

Saint Jérôme parlait plusieurs langues ! Dont l’anglais, naturellement. Ne blasphémez-pas, maudits mécréants, toujours à critiquer les religions les plus nobles !

bouguereau dit: à

pas trop..la glossolalie ‘parler en langues’ peut être une signature des deux mains de satan la bite..faut avoir l’oeil et le bon!

Bloom dit: à

« De trois sergens pendez-en deux,

Le monde n’en vaudra que mieux.

Quand le tiers sera pendu,

Le monde n’aura rien perdu ».

Mais de qui parlait donc notre cher Ronsard?

bouguereau dit: à

Fortifier notre village, défendre notre limes, ne jamais croire à l’universel

l’universel.. »bled sans les fortifs » comme dirait lassouline..ya risque..

Des pantins, vous dis-je..... dit: à

Le diocèse a annoncé la suspension de Krzysztof Charamsa après son coming out qui affole le Vatican. Cette décision doit « inciter le père Charamsa à corriger sa manière de vivre ».

NEW DECALOGUE (à respecter au 1 janvier 2016)

Premier commandement : Un seul Dieu tu aimeras et adoreras parfaitement.
Deuxième commandement : Son saint nom tu respecteras, fuyant blasphème et faux serment.
Troisième commandement : Le jour du Seigneur garderas, en servant Dieu dévotement.
Quatrième commandement : Tes père et mère honoreras, tes supérieurs pareillement.
Cinquième commandement : Meurtre et scandale éviteras, haine et colère également.
Sixième commandement : La pureté observeras, en tes actes soigneusement.
Septième commandement : Le bien d’autrui tu ne prendras, ni retiendras injustement.
Huitième commandement : La médisance banniras et le mensonge également.
Neuvième commandement : En pensées, désirs veilleras à rester pur entièrement.
Dixième commandement : Bien d’autrui ne convoiteras pour l’avoir malhonnêtement.

Onzième commandement : Sodomites tu éviteras, enfiler tu éviteras.

Des pantins, vous dis-je..... dit: à

La réponse du père polonais n’a pas tardé : « Vas te faire mettre, eh Pape de mes deux ! » (Agence Chibre Nouvelle)

bouguereau dit: à

501ème necessité fait lois

bouguereau dit: à

Mais de qui parlait donc notre cher Ronsard?

pas des dégourdis..pas des lascars..pas des types pas ordinaires qu’on souvent leur cafard mais qui savent mourir selon la tradition

bouguereau dit: à

Un des aspects les plus significatifs et des plus sinistres de ce roman, c’est que tout paraît se jouer au sein des « élites » (politiques, universitaires…). Le peuple est radicalement absent, sauf sous la forme abstraite de la répartition des voix aux élections.

c’est fort vrai jean marron..mais hon peut dire aussi que ouelbèque ha la rage des déclassés..vaut mieux prende un crayon qu’un glock comme richard durn..on l’a oublié beaucoup trop vite ce politique estraordinaire..millet et son brévick c’est quand même une brêle à coté

bouguereau dit: à

Un père sado-maso qui prend plaisir à recevoir des fessées et qui, à moitié clochard (Passou dixit) traite les autres de « ratés ». Un fils qui lui ramène une belle-famille nazie pour célébrer la réconciliation franco-allemande

dracül me rhabillait pour l’ivers lazar..tu comprends rien

bouguereau dit: à

L’orthographe ne peut pas suppléer pas à tout, ni même à rien

quand que mon larbin essaie des trucs scientifiques sur sa petite personne c’est pour s’en dévorer la patte..un vrai rat affamé dans une nasse.. »poigner vilain » qu’il marmone..c’est déchirant épicétou

Des pantins, vous dis-je..... dit: à

On est passé de la bureautique à la bouguereautique !

Passera t on de la chaloupe à la chaloupine ? des couches de Zonzon à la couche de zozonne ?…..

M H sous Confiture à la fraise dit: à

@Quel sort réserve Ben Abbes, une fois élu, aux Juifs, selon le flic des RG ?

Le pb d’Ouelbec et de fraise des bois, c’est qu’ils sont tous emmêlés dans leurs uchronismes. En 2016 ou 2018, il y a déjà huit ou dix ans que les flics des RG n’existent plus.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Direction_g%C3%A9n%C3%A9rale_de_la_S%C3%A9curit%C3%A9_int%C3%A9rieure
Comment votre Soumission serait-il un tant soit peu crédib, après ça ?

La question de jour est plutôt de savoir s’il est historiquement avéré que le grand Mufti avait conseillé à Hitler de brûler tous les juifs alors qu’il hésitait encore, d’après ce que raconte le drolatique Bibi Nétaniaou… Quelqu’un aurait-il des infos fiables là-dessus ? Il semble que CLS soit resté bien silencieux sur cette question et que le post n’y réponde pas non plus.

footnote dit: à

« … Les fautes de clavier, my foot, Alzheimer précoce, oui. *uckwit! »
« *uckwit » good mais Alzheimer not good, not good d’utiliser ça comme insulte. You should know better.

Ueda dit: à

bouguereau dit: 22 octobre 2015 à 9 h 47 min
dracül me rhabillait pour l’ivers lazar..tu comprends rien

On va évoquer la tique aussi?
Ô stratifications numériques, qui déterminent sur ce blog les contours d’une petite élite.

Par exemple, les « ramiels », « maniatis », etc. je ne sais pas ce que ça veut dire.

Mais la tique, ah la tique, c’était autre chose.

Des pantins, vous dis-je..... dit: à

Ahahahaha ! En voila une question qu’elle est bonne : « C’est y Hitler ou le Mufti ou les Juifs qui sont les plus méchants ? »

Qu’est ce qu’on gagne ? …. Ben …rien !.

Moi je réponds : « C’est le plus faible qui morfle ! », ce pourquoi Bibi est excellent : il cogne dur sur les loques voisines, bonnes à rien !

A l'écoute dit: à

Lacenaire dit: 22 octobre 2015 à 10 h 08 min

On t’a reconnu vieux JC normand

Faut suivre zouzou dit: à

Ueda dit: 22 octobre 2015 à 10 h 09 min

ramiel ne prend pas de s.

non mais des fois dit: à

22 octobre 2015 à 6 h 46 min
‘des petits fonctionnaires. Comme lui.’

Pov demeurée trop nulle pour reussir les concours, fais gaffe à l’homme des bois

Des pantins, vous dis-je..... dit: à

CHANSON MARSEILLAISE
(Musique : Gaston Defferre, Paroles : Jean Noel Guérini, Impresario : Claude Levi-Strauss)

Zhu! Un peu d’aïoli
De tous temps, la Canebière
A lancé ses expressions :
C’est nature, en première,
Digué li qué vingue mon bon,
Adieu collègue,
Zhu, ça boulègue !

Mais maintenant,
Elle lance gaiement :
Zhu ! Zhu ! Zhu ! Un peu d’aïoli
Zhu ! Zhu ! Zhu ! Bouguereau, vas-y !
Et, grâce à cette expression magique,
Tout s’arrange et tout devient comique.
Quand Chaloux s’aperçoit soudain
Qu’il est trompé par Albatin,
Il ne s’en fait pas, il chante lui aussi :
Zhu ! Zhu ! Zhu ! Un peu d’aïoli.

Si un jour près de Daaphnette,
Vous vous trouvez raplapla
Et qu’auprès de la pauvrette
Vous passez pour un grand fada,
Sans plus attendre,
Au lieu de prendre
Des fortifiants,
Prenez tout simplement :
Zhu ! Zhu ! Zhu ! Un peu d’aïoli.
Zhu ! Zhu ! Zhu ! Barozzi, vas-y !
C’est bien mieux que les dragées d’Hercule
Ca vous remplace toutes les pilules
Vous pourrez alors sans effort
Certainement battre des records.
Et ce n’est pas une blague du Midi
Zhu ! Zhu ! Zhu ! Un peu d’aïoli.

La RdL éblouie dit: à

Bloom dit: 22 octobre 2015 à 0 h 07 min
le Jury de la dissertation du Capes d’anglais m’a gratifié d’un 15

BRAVO !!!

D. dit: à

Qu’est-ce que j’apprends, Bloom ? Vous avez eu un 15 en anglais ? Mais c’est une très bonne note, je vous félicite.

Polémikoeur. dit: à

 » – Claude ?
– (absent)…
– Lévi ?
– (absent)…
– Strauss ?
– (absent)…
– Fin de l’appel, rompez les rangs ! »
Dommagistralement.

lecteur inquiet dit: à

ça s’arrange pas à pq, on devrait pas autoriser les dingues à sortir non accompagnés

On peut tourner la page dit: à

Polémikoeur. dit: 22 octobre 2015 à 10 h 40 min

Ouf, niqueur a fait son rot.
Le poème « Hors sujet » du billet est enfin sorti.

Bloom dit: à

L’isotopie Angel / Alec, ça déménage. Merci CLS.

St Jérôme parlait une langue celtique dont il reste quelques traces en anglais. En marge de ses commentaires sur le livre de Daniel, on trouve cette étonnante déclaration d’intention: « Begob me the vallet be o’ de colleen i lay will on de cromlech a’er de ceilidh »

Des pantins, vous dis-je..... dit: à

15 au CAPES ?
Soit, mais sur combien ? 30 ? 40 ? 50 ? 100 !….. je n’ose penser à 15/20, ce serait merveilleux !

Bloom dit: à

je n’ose penser à 15/20, ce serait merveilleux !

Et moi donc bougnat! Sans avoir lu le livre, sans connaitre l’auteur, sans avoir le bac, sans savoir parler anglais, 15 en dissertation littéraire anglaise…La blague! Faut dire que Niko leur avait bien graissé la patte.vie la République des petits copains

Bloom dit: à

Longue vie à la République des petits copains!

Diagonal (501) dit: à

J’ai remarqué que maintes allusions et observations sexuelles prenaient une place déterminante dans les divers commentaires de la RDL, sans grand rapport avec le sujet. Un peu comme si la nécessité de s’identifier par la mise en cause des fantasmes érotiques des autres ou la revendication des siens primait sur une indication d’identité de l’internaute en pseudo par le genre ou la simple orientation sexuelle. Il en va tout différemment dans le Journal de la drôle de guerre et de l’occupation de Maurice Garçon, qui traite surtout de pétainisme, d’antisémitisme, de juges et d’avocats, de candidature à l’AF, d’espoir et de désespoirs, de propagande, de théâtre et autres mondanités parisiennes…, mais jamais de sa propre vie familiale et privée. Il n’y a donc aucune révélation fracassante à attendre de son hétérosexualité assumée ou refoulée. Je signale que la seule chose qui pourrait intéresser l’internaute de la RDL d’aujourd’hui, en tant qu’amateur de saletés salaces, se situe à la p. 518. M. Garçon rapporte la rumeur d’une langue de p… de l’époque, Claude Farrère, au prénom épicène s’il en fut( https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Farr%C3%A8re ): la femme d’Edmond Rostand couchait avec son fils Maurice Rostand. « Heureusement que ce pédéraste a rencontré sa mère, dit-il, il n’aurait jamais sans cela su ce qu’est une femme ». On ne sait même pas si cette saillie dérida le diariste ni pourquoi il a cru bon de la consigner dans son journal qui n’avait jamais eu vocation à voir le jour… Mais comme il faut faire avec désormais, puisqu’il existe, je me suis demandé si l’inceste assumé mère/fils homo ou inceste père/fille lesbienne destiné (chez des parents horrifiés par le qu’en-dirait-on) à faire dévier l’orientation textuelle de leurs rejetons, avait fait l’objet d’explorations sexuelles plus approfondies (ou l’inverse)ailleurs que chez Yves Navarre par exemple. Comme ce sujet m’intéresse pour avoir à en faire un essai de commande (dans une contribution collective sur les diverses modalités d’approche de l’initiation au genre dans la littérature occidentale), j’aurais besoin de plus de matériaux. Je lance donc cet appel pour voir, sachant qu’il peut satisfaire également des pulsions voyeuristes de chacun. Je sais que c’est sans grand espoir de bonne récolte, mais sait-on jamais ? J’ai remarqué qu’il y avait toujours des âmes dévouées prêtes à délivrer leurs connaissances sur ce blog, une dimension qui compte au sujet de son utilité.
Pour en rester aux anthropologues de ma connaissance, chez Levi-Strauss, peu de documentation utile sur le sujet dans les innombrables mythes décryptés… Chez Maurice Godelier, en revanche, un peu plus de substance.

les gens veulent savoir dit: à

Les Celtes n’étaient-ils pas cannibales?

Des pantins, vous dis-je..... dit: à

Renseignons Diagonal, qui ne pense pas toujours de biais, sur la vie sexuelle des familles.

Je voulais coucher avec ma mère une fort belle femme qui, vivante, n’a jamais voulu ; alors j’ai fornico-baisé ma sœur que mon père avait défloré, un soir de biture à l’éther où il se sentait des pulsions pédagogiques.

Ayant eu l’impression d’avoir vécu une enfance satisfaisante, j’ai eu mon bac philo mention Lamentable, peu de temps après.

Ma mère j’ai fini par la sauter, une fois morte. Depuis je suis nécrophile. C’est sans risque, la nécrophilie et super-sympa ! Il suffit de rémunérer grassement le gardien de la morgue, c’est tout ….

Phil dit: à

Diagonal, il y a plus intéressant dans le journal de M. Garçon que cette saillie faussement sexuelle.
Ses notes sur Jean Zay, par exemple, aujourd’hui panthéonisé et qui voulait brûler le drapeau Français, au milieu des années 30.

Vi Débois dit: à

« La start-up lilloise MC2-Technologies a développé une caméra de sécurité capable de repérer une présence humaine derrière les murs », indique Le Point (p. 20). A quand une caméra capable de filmer les ébats amoureux de chacun derrière ses rideaux bétonnés ?

Des pantins, vous dis-je..... dit: à

Les gens qui s’aiment n’ont que faire des murs. Ni des cameras. Ni des jugements. Ni des moralistes.

Diagonal dit: à

@11.43 Phil. Mais parlons de Jean Zay si vous le voulez bien, il n’y a aucun souci… Je me demande simplement pourquoi vous n’en avez pas dit un mot lors du récent billet sous traité par Passoul à je ne sais plus quel tartuffe, et pourquoi vous ne répondez pas directement à ma question dont l’insignifiante anecdote extraite de son Journal n’était qu’un prétexte.

Lacenaire dit: à

à A l’écoute 10 h 16 : je suis lyonnais et fier de l’être, renseignez-vous

Des pantins, vous dis-je..... dit: à

On peut être lyonnais et congre comme une sardine au soleil qui la dessèche : Lacenaire en est l’exemple le plus « frappant » !

Rien n’est plus barbant que ce malfaisant, impuissant comme un socialiste au pouvoir …..

Diagonal dit: à

@11.32 Merci, mais vous êtes hors sujet de ce qui m’intéresse quand vous nous raconter votre vie « Je voulais coucher avec ma mère ». C’est certes très intéressant comme témoignage fabulant, mais je rappelle que ma question était plutôt celle-ci : « comment ma mère m’a forcé à coucher avec elle »… Voyez. Inutile de répondre à autre chose qu’à cette question. Inutile de le faire en dehors d’une littérature imprimée, c’est-à-dire dûment contrôlable et vérifiable.
Dernière mise au point, 11.32… Je ne comprends pas pourquoi on m’accuse généralement de penser de biais. A cause de mon nom tordu ? Si c’est le cas, reconnaissez que c’est un peu court, relativement injuste voire carrément indigne.

Phil dit: à

Diagonal, j’ai appris, comme vous peut-être, dans le journal de M. Garçon les propos de Jean Zay à l’époque de son activité d’avocat. Le sujet excite aujourd’hui l’attention à cause de la pompe retrospective organisée par le gouvernement.
votre question sur le commerce incestueux ? peu de lumières sur le sujet, excepté le souvenir d’un livre d’Etiemble assez réussi et que vous connaissez sûrement. sans oublier les Cocteau Mann limités aux frères et soeurs, ce qui n’est déjà pas mal.

intéressant..... dit: à

11 h 32, voilà ce qui va plaire à votre amie Christiane, cornecul

Et pourtant dit: à

Des pantins, vous dis-je….. dit: 22 octobre 2015 à 11 h 59 min

Là est la limite des invectives de JC.
A force de comparaisons hasardeuses il nous rendrait ce crétin de Lacenaire presque sympathique.

Diagonal dit: à

@12.05, Erika et Klaus, oui. Cocteau oui. Mais Etiemble ? il m’a échappé. L’eau étant mise à la bouche, pourriez-vous me dire quoi, je vous en saurais infiniment gré.

bouguereau dit: à

Il suffit de rémunérer grassement le gardien de la morgue, c’est tout ….

tu passes haprés le makro de ta mère..moi chpourrais pas

Des pantins, vous dis-je..... dit: à

« Inutile de le faire en dehors d’une littérature imprimée, c’est-à-dire dûment contrôlable et vérifiable. »

STOP ! nous ne sommes pas du même monde ….

Phil dit: à

Diagonal, « L’enfant de Choeur » 1937. bon souvenir de lecture, le passage du fils dans les jupons de sa mère, très bien amené.
Exotisme dont Cocteau ne peut se prévaloir, Mann a mis une dose de judéité dans ses récits d’inceste. Son audacieux « Sang réservé » a connu des retouches et auto-censures (en allemand) seulement).

Il faut que ce soit dit: à

Bloom, j’ai eu 18 en philo au bac.

Des pantins, vous dis-je..... dit: à

Les matrices sociologiques de CLS ?! ahahahaha…. nous préférons celles de nos mortelles voisines !

Ueda dit: à

Diagonal dit: 22 octobre 2015 à 12 h 03 min
je rappelle que ma question était plutôt celle-ci : « comment ma mère m’a forcé à coucher avec elle »…

Pour ce qui est du Japon, je n’ai pas d’exemple d’une mère qui ait forcé son fils à coucher avec elle par peur d’une possible homosexualité.
En revanche, ce qu’on appelle « boshi sôkan » (inceste mère-fils) revêt dans la société une importance tout à fait étonnante, dans la réalité des comportements et surtout dans la culture de masse (mangas, pornos, bordels spécialisés, etc.).

Les relations affectives et physiques entre la mère et le fils dans le Japon moderne sont assez différentes de celles de l’Europe.
Les cas d’initiation à la sexualité par la mère sont dûs à l’inquiétude quant à l’avenir social du fils, en particulier lors du drame de la préparation forcenée des examens d’entrée aux écoles et universités.
(L’idée est en gros: ne te disperse pas mon fils, tu as tout à la maison).

On peut voir le travail d’Anne Allison (anthropologue à Duke U), notamment dans « Permitted and Prohibited Desires:
Mothers, Comics, and Censorship in Japan », (U. of California Press, 2000).

Des pantins, vous dis-je..... dit: à

Obtenir une note ?
Attribuée par qui ? au nom de quoi ? ….

Brejnev et son goût des médailles.

La distance entre « pantin » et « kron comme un balai » s’amenuise de commentaires en commentaires.

relevé de notes dit: à

JC a eu des points en option gym et un 14 en math. Moins fort que Bloom, qui était un excellent élève, mais c’est pas rien, hein.

Ueda dit: à

(Aucun équivalent du côté père-fille, cela va sans dire!)

RD dit: à

Ueda dit: 22 octobre 2015 à 12 h 37 min
(anthropologue à Duke U)

Encore duke u, toujours duke u, décidément ce ueda ne pense qu’à ça.

bouguereau dit: à

L’idée est en gros: ne te disperse pas mon fils, tu as tout à la maison

c’est la position de l’endogame..on cuit l’fiston dans lait da mère et on l’donne a manger à la cochonne qu’il disait cls 501

Des pan..... dit: à

Camarade Ueda, je ne vous félicite pas !

Des pantins, vous dis-je..... dit: à

URGENT

Notre fraternité de diplômés-repus et multicultis nous pousse à l’althruisme (non ce n’est pas le commerce seixuel avec des thruies, pas si insensibles que ça quoiqu’on en dise…) : aidons le Chevalier de DIAGONAL a résoudre ses problèmes seixuels …..

Libérez votre parole, mes amis !

c'est pour aider dit: à

Un film ça compte ?
Le Souffle au coeur.

bouguereau dit: à

si j’avais un esposé a faire au café littéraire chcommencrai par zex hund karakter toudtravers..jcommendrai une kriek..je frais un tour du coté de mastroiani dans le bel antonio..il frait soif pour une deuxième..haprés je lançrais ma starteup de fils de pu-te..si c’est les filles qui t’paient des coups c’est bon

Bloom dit: à

Bloom, j’ai eu 18 en philo au bac.

Moi 19 au CAP tourneur fraiseur, épreuve pratique. La perceuse n’a plus de secret pour moi (petit rôle dans Marathon Man)

bouguereau dit: à

je n’ai pas d’exemple d’une mère qui ait forcé son fils à coucher avec elle par peur d’une possible homosexualité

éventer les secrets dfamille qui rgarde pas l’populo c’est sfaire traite zouz..c’est lplus pire..force doit rester au bien

le garçon qu'on appelait monsieur dit: à

Comment nommer autrement le déni de démocratie des « démocrates »?

Le choix ne manque guère.

Ueda dit: à

L’info-minute

« Suède: un mort dans une attaque au sabre dans une école » (Le Parisien)

« Suède : un « Allahu akbar » attaque une école avec un sabre, cinq enfants blessés » (Le Monde juif.info).

Pourquoi cette précipitation?

Au doigt mouillé, c’est un Nippon.

Attila dit: à

Diagonal, la Vierge Marie ayant été fécondée par Dieu et Jésus-Christ étant lui-même Dieu fait homme, ne sommes-nous pas là en face du plus beau cas d’inceste mère/fils ?
Plus passionnant, selon mon point de vue, est la problématique de l’inceste père/fils et, son pendant, mère/fille…

Attila dit: à

« dracul m’a habillé pour l’hiver »

Donc le boug est bien MàC !

Lucifer, chauffagiste..... dit: à

Attila,
Nous vous attendons …..!

Zoon dit: à

Diagonal, la Vierge Marie ayant été fécondée par Dieu (Attila)

Version moderne de la vie sexuelle de Marie :

 » Je suis sortie avec Dieu et je suis tombée enceinte « 

Je vais et je viens dit: à

Attila dit: 22 octobre 2015 à 13 h 34 min

Baroz fait girouette,
un rôle de composition ?

A la recherche du profil perdu dit: à

Annibal,
puisqu’on vous dit que bouguereau c’est TKT.
C’est évident non.

guillaume dit: à

Zoon dit: 22 octobre 2015 à 13 h 50 min
Diagonal, la Vierge Marie ayant été fécondée par Dieu (Attila)
Version moderne de la vie sexuelle de Marie :
» Je suis sortie avec Dieu et je suis tombée enceinte «

Avec une FIV c’est plus distingué dirait ueda

Phil dit: à

baroz, envoyez-vous votre article sur Danièlou (le frérot à gourmette hindouiste). faut se distraire des récits incestueux et notre Lévi-strauss est lessivé.

Mme Bloom dit: à

Je confirme les dires de mon mari. Il a effectivement obtenu la note de 15 au CAPES. C’était un élève très studieux.

Bloom fils dit: à

mon papa avais toujour des très bonne note il me l’a dit et il été toujour très sage

Mme Ueda dit: à

Vous ne m’impressionnez guère. Mon canard en sucre lit couramment le serbo-croate, alors camembert, hein.

c/o dit: à

On me charge de vous transmettre ce message :

U chéri ?? C’est qui cette Mme Ueda .. Hum ?

[(Pff ..)]

le garçon qu'on appelait monsieur dit: à

on cuit l’fiston dans lait da mère et on l’donne a manger

Le morning voude à daddy dans la culotte de madame et le voilà cul nu avec une bonne coupe pour l’hiver.

Attila dit: à

Phil, je n’ai gardé aucunes archives de mes articles, il faut aller au centre gay et lesbien, qui a une collection complète du Gai Pied…

le garçon qu'on appelait monsieur dit: à

Les gens qui s’aiment n’ont que faire

Tu sais pas ce que tu dis

Mareic dit: à

Je savais qu’Alain Danielou avait écrit un ouvrage intitulé Le Phallus (Pardès, 1993), mais je viens d’apprendre qu’il avait aussi écrit un livre sur l’Inde (Fayard, 2003) en collaboration avec un nommé Burnier. Ça ne s’invente pas.
Jaloux, Baroz ?

Phil dit: à

dear baroz, ne m’envoyez pas dans des lieux de perdition.
vous n’avez pas le goût de l’archive ? prenez donc un page comme celui au férot du cardinal pour vous digitaliser la prose.

Baroz dit: à

Jaloux, non. J’ai connu un Boursier.

deux fois moins cher dit: à

« J’ai connu un Boursier. »

Bouguereau connaît un Micouille.

recificatif dit: à

pas deux fois moins cher, micouille c’est QUATRE fois moins que Boursier.

Micouille dit: à

Faisons un petit test.

Micouille dit: à

Faisons un tout petit test.

Micouille dit: à

Faisons un testicule.

Diagonal dit: à

Toutes vos suggestions me sont utiles et bonnes à prendre pour le moment, pas nécessairement pour « résoudre mes problèmes seixuels » (12.45). Donc, je récapitule : Thomas Mann, Klaus et Erica Mann, Etiemble, Vitorio Brancati, Jean Cocteau, le Nouveau Testament, Anne Allison. Pas mal… cette moisson au bout d’une heure, juste le temps du déjeuner. N’hésitez pas à continuer, tout le monde n’a pas encore levé le doigt, je pense. Merci bien.

Diagonal dit: à

13.33 « la problématique de l’inceste père/fils et, son pendant, mère/fille ». Je suis preneur aussi, faut voir. Mais en quoi est-ce une problématique ? On parle de littérature là, pas de criminologie, attention !

D. dit: à

Moi je vous parle de la morale la plus élémentaire qui soit, Diagonal. Ensuite vient la littérature. Et ce que je vous dis là, je l’ai dit à beaucoup déjà.

le garçon qu'on appelait monsieur dit: à

Tout le monde fait sortir des sillons de presse pour bouffer mainan madame.

C'est pour aider dit: à

14h50
Donc les films ça compte pas.
Ben ya aussi, je ne sais plus dans lequel, Berthe qui fait une petite main à Apollon-Jules pour l’endormir, mais est-ce bien suffisant?

le garçon qu'on appelait monsieur dit: à

est-ce bien suffisant?

Ça dépend de la longueur du bras.

le garçon qu'on appelait monsieur dit: à

D., je ne viens pas ici pour me faire traiter de con, alors hein t’gule keupu comme dit cette burne de ueda.

Phil dit: à

Faut jouer la transparence, diagonal. où c’est que vous publiez vos incestueuses recherches ? passoupline a déjà fait le coup de son brèvesblog, la dame clopine ne s’est jamais remise des royalties canins loupées.

D. dit: à

Mais je ne vous ai jamais traité de con, monsieur garçon. J’ai une certaine opinion sur vos facultés intellectuelles mais je ne l’ai jamais encore exprimée ouvertement.

le garçon qu'on appelait monsieur dit: à

Encore un qui fond con empathie et trahison multi pliée…

intéressant..... dit: à

lu dans Le Monde : « la fille qui croyait être Göring »… j’ai toujours cru que c’était bouguereau jusque-là

Sergio dit: à

Le serbo-croate je sais pas si cela existe vraiment, ou alors c’est difficile à définir.

Le croate en revanche est beaucoup plus intéressant, dans la mesure où l’on pourrait essayer de le représenter comme une sorte de russe en caractères latins ; c’est sans doute bien trop schématique et partiel, ce que je raconte, mais cette affaire de caractères latins, à elle seule, pourrait montrer le chemin d’une amorce d’intégration. Reste que pour les langues à alphabet symbolique, halor là on n’est pas rendu…

Sergio dit: à

Tiens Göring voilà un gus qui était le genre à terminer cardinal…

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