Comme un Quichotte à la recherche de son île
A-t-on vraiment envie d’entrer dans un livre intitulé L’Homme qui aimait les îles, dont l’incipit est aussi inattendu que « C’était un homme qui aimait les îles » et qui raconte, devinez quoi, l’histoire d’un homme qui aimait les îles ? Pas sûr. A dire vrai, lorsque le message est aussi direct et appuyé, et qu’il s’annonce par exemple sur l’affiche d’un film, il fait fuir. Avec un livre aussi : on douterait qu’il recèle le moindre mystère. En quoi on aurait parfois tort. Ce serait passer à côté d’une pépite telle que, justement, L’Homme qui aimait les îles (The Man Who Loved Islands, traduit de l’anglais par Catherine Delavallade, 80 pages, 9 euros, L’Arbre vengeur) de D.H. Lawrence (1885-1930). D.H. pour David Herbert (on n’ose l’appeler DHL…), à ne pas confondre avec l’autre Lawrence dit d’Arabie, T.E. pour Thomas Edward. Pas le prétendu pornographe, non plus que l’amoral jadis dénoncé par les ligues de vertu et jusqu’à T.S. Eliot, mais le D.H. Lawrence des dix dernières années, bien que Lady Chatterley’s Lover date de 1927. Bref, l’exilé permanent, le voyageur, le pèlerin, travel-writer avant l’heure, pérégrin de mare nostrum.
Poème lyrique, nouvelle philosophique, utopie animée par une vision de sa vie intérieure (ici le texte complet en anglais), qu’importe la manière dont on présente cette courte et intense fiction menée d’une écriture à vif, rugueuse et violente. Le héros en est un certain Cathart, un désenchanté de la société qui n’a de cesse de la fuir. Misanthrope ? Androphobe plutôt, suggère Thierry Gillyboeuf dans sa préface ; il a puisé le terme dans une lettre de Lawrence même, où celui-ci avoue qu’à la vue d’humains dans son paysage, il n’a pas seulement envie de brusquement changer de route : il aimerait plonger dans les buissons pour « leur décocher silencieusement d’invisibles flèches mortelles ». Ce Cathart part donc à la recherche de l’île idéale, un lieu où recréer les meilleures conditions de vie, hermétique à la vulgarité du monde, même s’il lui arrive parfois de retourner sur le continent pour y jouer au dandy dans son club. Après y avoir suscité des petites communautés humaines, il ne tarde pas à constater que ces gens sur lesquels il règne en viennent à se détester sourdement ce qui empoisonne l’atmosphère (on songe un instant au Festin de Babette de Karen Blixen et au film qui en a été tiré).
Déçu par l’expérience, il se cherche une autre île, mais plus petite, convaincu que l’on se retrouve mieux lorsque l’on se rassemble plus. Il la déniche non loin, y fait couple avec une femme dont il n’est pas vraiment épris, lui fait un enfant. Les jours passent, à son grand étonnement, sans désirs et sans ennui, s’émerveillant d’une saxifrage dorée, observant la dilution des années en une douce brume. A nouveau déçu par la vie comme elle va, il repart, seul, pour une troisième île particulièrement exigüe où il n’aura d’autre pouvoir et d’autre influence à exercer que sur lui-même. Une seule île et une île seule, plutôt qu’un archipel où elles se tiennent compagnie. Loin de tout et de tous, avec pour seuls amis un chat et quelques moutons, jouissant de sa splendide indifférence, ivre de sa haute solitude tandis que le bateau du courrier croise au loin, il peut enfin se consacrer à la seule chose qui l’intéresse vraiment : l’écriture d’un livre sur les oiseaux. Là il peut enfin se faire son monde, totalement retiré de la course au progrès. Il n’a d’autre souci que de disposer à attendre le jour d’après. Advient le jour où même les animaux et les deux hommes chargés d’apporter le courrier l’insupportent ; leur seule présence souille son île. Dégoûté par cette importation soudaine de laideur et de vulgarité, il n’arrive même plus à écrire. Seule compte la contemplation de la mer. Il se rend compte alors que son île est métaphorique, mentale, intérieure. Jusqu’à ce qu’un jour la neige engloutisse son rocher…
Faut-il avoir une île à soi pour comprendre qu’il suffit d’avoir une île en soi ? C’est une manière de résister aux assauts de l’époque quand elle n’est pas aimable et que l’on aimerait tant changer de contemporains. Moins Robinson que Quichotte, l’auteur/narrateur réussit, par son grand art de la nouvelle (Angleterre, ô chère Angleterre, L’Officier prussien…), à renouveler l’immémoriale et inépuisable quête du paradis perdu. Ce texte ramassé, d’une densité et d’une richesse insoupçonnables, est une saisissante méditation sur le temps et le désir. De savantes analyses ont été écrites sur l’utopie insulaire de D.H. Lawrence par ses nombreux admirateurs et exégètes voir cette étude. Si cette nouvelle vous a plu, engloutissez-vous dans l’océan de short stories du même dont les éditions Le bruit du temps ont entrepris la publication d’après l’édition de référence (Cambridge University).
Et si cette lecture a réveillé la fibre insulaire en vous, il vous faut lire toute affaires incessante Le goût des îles (130 pages, 8 euros, Le Mercure de France). Selon le principe anthologique cher à la fameuse collection du Petit Mercure, Christine Routier le Diraison y a rassemblé en un archipel de fragments des îles qui furent autant de supports aux utopies de Redmond O’Hanlon et Le Clézio, Le Bris ou Hemingway, Olivier Barrot et Henning Mankell, Stevenson ou Tournier, sans oublier Huxley (« Voyager, c’est découvrir que tout le monde a tort » disait-il), grand ami de Lawrence et bien sûr, Lawrence lui-même. On va de Rodrigues à la Bretagne, de l’île aux esclaves à Gorée à l’île de la Désolation, de l’île du Diable du capitaine Dreyfus à Robben Island du prisonnier Mandela. Le lecteur fait ainsi le tour du monde pour mieux se convaincre qu’il n’est de meilleur refuge qu’en soi-même.
Joseph Conrad en est absent malgré le souvenir qu’il laissa notamment à L’Île-Grande, village de la commune de Pleumeur-Bodou (Côtes-d’Armor). On se consolera en écoutant le concert-fiction que Stéphane Michaka a conçu à partir de l’adaptation d’Au Coeur des ténèbres. Il y fait intervenir tout le long le personnage énigmatique de La Promise, dont on se souvient qu’il n’était présent que dans les dernières pages du roman. On s’en doute, il n’a pas dû être aisé d’adapter un texte qui commence ainsi :
« Pour lui (Marlow), le sens d’un épisode n’était pas à l’intérieur comme les cerneaux d’une noix, mais à l’extérieur, enveloppant seulement le récit qui l’amenait au jour comme un éclat voilé fait ressortir une brume, à la semblance de l’un de ces halos vaporeux que rend parfois visibles l’illumination spectrale du clair de lune. » (traduction de Jean Deurbergue, la Pléiade)
Francis Ford Coppola s’en est tiré avec ses moyens propres dans Apocalypse now, le fumigène faisant office de halo vaporeux. Mais en radio et en musique, comment le rendre et comment rendre « le sens d’un épisode » ? C’est le pari réussi de Stéphane Michaka. Cette fiction, épopée traitée avec le rythme d’un film noir, a été enregistrée avec des comédiens sur une partition du compositeur Didier Benetti, menée tambour battant, c’est le cas de le dire, par les 70 musiciens de l’Orchestre national de France. C’est lui, l’orchestre, qui prend le relais de Marlow, narrateur et alter ego de Conrad, pour donner à entendre les « rites inavouables » de Kurtz, ou encore « l’horreur, l’horreur » qui traverse ce témoignage à peine fictionnel sur la réalité coloniale. Les ténèbres ou comment en sortir. A juger sur pièce le 21 juin, c’est à dire samedi prochain, à 21h sur France-Culture.
(« D.H Lawrence » photo D.R.)
710 Réponses pour Comme un Quichotte à la recherche de son île
“There will be a new embodiment, in a new way”: Alternative Posthumanisms in Women in Love
Deanna Wendel
Paris, Boulogne-Billancourt et Lyon en tête du Top 20 des villes de France les plus lectrices. Entendez : les plus « amatrices » de lecture. C’est Amazon qui le révèle en fonction de ses ventes.
Comme le fait remarquer l’auteur de cette info, ce classement est complètement biaisé par le fait que, comme par hasard, les agglomérations qui arrivent en tête sont celles qui arrivent aussi en tête pour les ventes sur Amazon. Que Marseille ou Strasbourg ne figurent pas dans le top 20 de ce classement suggère que la librairie traditionnelle se porte plutôt bien dans ces villes. D’autre part, si les habitants de Montreuil-sous-RER achètent massivement « 50 nuances de grey » sur amazon, ça ne fait pas du patelin une Mecque d’authentiques lecteurs (ou, mieux, liseurs), au contraire.
Tant de défauts en un seul homme : mais où sont les qualités qu’apprécia Josette, dans la jeunesse de son aveuglement ?! (GC)
Tout de même ! Y a des limites à l’indiscrétion.
D’après ma charmante libraire, « l’Homme qui aimait les îles » est sorti en 2012. Assouline est à la pointe de l’actualité littéraire.
petite remarque pour certains adeptes sur ce blog d’un tour « incorrect en français standard »
comme un Quichotte « n’est pas comme un qui *** »
Comme dit Luigi Pulci :
Morgante non lo stima una farfalla,
Ed appiccògli una nespola acerba…
Des îles familières, aussi.
SEA AND SARDINIA
BY D. H. LAWRENCE
WITH EIGHT PICTURES
IN COLOR BY
Jan Juta
NEW YORK
THOMAS SELTZER
1921
COPYRIGHT, 1921, BY
THOMAS SELTZER, INC.
All rights reserved
Printed in the United States of America
A dire vrai, lorsque le message est aussi direct et appuyé, et qu’il s’annonce par exemple sur l’affiche d’un film, il fait fuir.
pas sûr!
il y a des t-shirts avec « ne me faites pas chier »qui semblent une provocation,un appel à la possibilité d’un échange, de « communiquer »,alors qu’ils sont peut-être des menaces, comme « pervers », »hystérochuchotique »,mysticomportementalisteur-« erdélistakhanovien »phallusthérapeutique »
J’aime beaucoup ce passage de Mer et Sardaigne, où D.H. Lawrence explique les lires, par paquets de millions.
« I am thoroughly sick to death[Pg 58] of the sound of liras. No man can overhear ten words of Italian today without two thousand or two million or ten or twenty or two liras flying like venomous mosquitoes round his ears. Liras—liras—liras—nothing else. Romantic, poetic, cypress-and-orange-tree Italy is gone. Remains an Italy smothered in the filthy smother of innumerable Lira notes: ragged, unsavoury paper money so thick upon the air that one breathes it like some greasy fog. Behind this greasy fog some people may still see the Italian sun. »
Il est très bien ce lien, Dr Lecter, mieux que les votres, les derniers sur des études psy.
Et puis c’est illlustré.
illustré
et c’est signé la rédaction!
« Au contraire, on ne comprend véritablement tout ce discours anti-technologique – et notamment son inspiration religieuse ou eschatologique permanente, même chez des penseurs officiellement non religieux – que dans la mesure où l’on saisit le système de valeurs propres à la technologie, le sens général de la destination du monde auquel elle nous invite à adhérer et qui constitue à bien des égards un système concurrent de celui des croyants, une foi différente et tout aussi puissante. »
Ce que Lawrence a fait de mieux (c’est dire), ses poèmes. Extrait –
Gipsy
I, the man with the red scarf,
Will give thee what I have, this last week’s earnings.
Take them, and buy thee a silver ring
And wed me, to ease my yearnings.
For the rest, when thou art wedded
I’ll wet my brow for thee
With sweat, I’ll enter a house for thy sake,
Thou shalt shut doors on me.
« ça me fait chier », c’est dans le billet, en fait:
Faut-il avoir une île à soi pour comprendre qu’il suffit d’avoir une île en soi ?
(Victor hugo tout craché, ça.)
Le lecteur fait ainsi le tour du monde pour mieux se convaincre qu’il n’est de meilleur refuge qu’en soi-même.
Si cette nouvelle vous a plu, engloutissez-vous !
http://www.slate.fr/story/88115/noter-comportements-usager-client-consommateur
faut-il ? faut-il? la fin et les moyens
Bon mais prenons un exemple : celle qui est ici, là, si on arrive à fond de ballon dans l’un de ces hors-bords offshore où on se tue, on passe à gauche, ou à droite ?
Un coup d’oeil critique à la traduction historique du « Du côté de chez Swann » en anglais.
Soit, mais quel intérêt pour le lecteur français ? Avoir une idée de la réception de Proust dans le monde anglo-saxon ? Je suis en train de lire « La Mort de la tragédie », essai assez étincelant de George Steiner. Il s’y interroge sur l’indifférence assez massive à laquelle le théâtre classique français (Corneille et Racine) se heurte Outre-Manche. Une des explications qu’il suggère est que, chez Racine surtout, tout passe par un langage si raffiné, soumis à des règles si particulières que toute traduction, si intelligente et fidèle soit-elle, laisse passer à peu près tout ce qui est essentiel. Et comme, chez Racine, selon Steiner, ce théâtre est aussi antithéâtral que possible, on comprend qu’il soit à peu près inexportable, et pas seulement en Grande-Bretagne. Cel n’a rien à voir avec le génie de Corneille et de Racine, génie que Steiner cerne en des pages magnifiques.
« ça me fait chier » c’est dans le billet et » allez tous vous faire enculer » c’est dans le bouguereau de ma mère
pom pom pmo pom, message: « bouguereau est allé faire son malin chez Miss Glouglou »; je répète: « bouguereau est allé faire son malin chez Miss Glouglou »
bouguereau a élucidé son problème : il s’encule lui-même avec son gode ceinture, ça le fait jouir
ici Londres dit: 19 juin 2014 à 14 h 55 min
chez Miss Glouglou »
C’est un bistrot ? Intéressant… Mais où c’est ? Il faut un Tom-tom ? Une carte d’état-major ? C’est sur le relevé de mille neuf cent vingt-six ?
Il y a longtemps que je n’étais passé par ici. Quelqu’un m’a signalé le billet, et j’ai lu, grâce au lien, la nouvelle en anglais. Elle est « philosophique » si l’on veut, c’est en tout cas un récit aussi économique que glaçant et distant. Au lecteur d’en juger les implications personnelles. Pierre Assouline rend bien compte de l’évolution du récit, on peut ajouter que le verbe « aimer », dès le titre, est ambigu. Pour le narrateur, la figure principale est d’abord « Our islander », puis « The islander » tout court. Pour le personnel qu’il emploie dans la première île, il est « The Master », comme le note xavier-lew, et ne devient « Mr Cathcart » (ou n’est plus que) qu’avec les serviteurs, en nombre très réduit, de la deuxième île. « The Master » lui-même était d’ailleurs respecté sans doute, mais « aimé », on peut en douter, et à mesure que l’île s’appauvrissait, le personnel se déchirait effroyablement. La liaison avec Flora dans la deuxième île qui est déjà un refuge à la flore appauvrie, où les sentiers ne permettent pas que l’on y marche à deux de front, est surtout fondée sur le « will » craintif de la jeune femme (trente-trois ans, tout de même) et sur, du côté de Cathcart, « the automatism of sex ». Elle tombe enceinte, il l’épouse par devoir mais l’abandonne avec leur petite fille, -en leur laissant de l’argent-, avant de s’installer dans la troisième île et dans une maison sans rapport aucun avec les fastes de la première.
Quant à l’amour pour les îles de Cathcart, sa fascination résiduelle pour la mer dans la troisième île est mêlée autant d’hébétude que de peur des bateaux qui passent au loin, comme de progressive épouvante à l’idée qu’un être humain aborderait. Il n’ouvre pas le dernier courrier qui lui parvient, n’écrit plus, ni sur une flore très pauvre, ni sur les oiseaux, se débarrasse des moutons, voit disparaître un goéland à la fois familier et inquiétant, puis le chat avec lequel il partageait son porridge. Enfin seul, sans voix humaine, sans cris d’animaux ? Mais il est vaincu par une neige hors de saison qui rend méconnaissable sa dernière île, et comme l’orage s’en mêle, on peut imaginer avec les dernières lignes qu’il est foudroyé…
J’ai trouvé remarquable cette nouvelle -ou cette fable amère- où les détails « réalistes » s’amenuisent peu à peu. Au bénéfice de symboles certainement.
Or, elle m’a fait remonter à la Correspondance de D.H.Lawrence, choisie et présentée par Aldous Huxley (éd. Payot-Rivages, 2006, trad. Thérèse Aubray et Henri Fluchère). Il y a ceci de curieux que Lawrence a bel et bien vécu dans la petite île française de Port-Cros. Il annonce à Huxley, de Kesselmatte, en août 1928, qu’il va sans doute y rejoindre le couple Aldington à qui Jean Paulhan prête sa maison-forte, « La Vigie ». Il a prévu d’y passer l’hiver, il y passe en réalité un mois en octobre et novembre 1928, … et s’en dégoûte vite. De Port-Cros, à Maria Huxley le 8 novembre 1928 : « CHERE MARIA, Non, l’île n’est pas assez bien -orages, torrents, pas de bateau, pas de pain, vigie inconfortable. Pas la peine.. » Frieda et lui regagnent Bandol.
Autre chose, sur la fin du billet : il m’a été donné d’assister à deux des séances d’enregistrement de l’adaptation en français de « Heart of darkness », puis d’entendre le tout. Le travail de Stéphane Michaka et Didier Benetti, celui des comédiens aussi, est à mon goût lui aussi remarquable. Il est vrai que « La Promise » (on pourrait dire aussi bien la veuve de Kurtz) est projetée au seuil de l’adaptation. On repart donc du dialogue entre elle et Marlow qui occupe les six ou sept dernières pages du roman. Et donc aussi de l’apparition : « She came forward, all in black, with a pale head, floating towards me in the dusk. She was in mourning. It was more than a year since his death, more than a year since the news came ; she seemed as though she would remember and mourn for ever… »
’avoir une île en soi
ah l’en soi, le soi!! comment vous dites ça en anglove
encore un billet dans lequel P.Assouline n’a pas manqué de placer une formule censée fait tilt dans l’histoire des débats psychophilosophiques :
bien sûr, ce n’est pas tshirtable comme ça: quoique ?
ce blog est trop grandiloquent, après les dénigrements de ceux qui osaient écrire « instrumentaliser »par ceux qui envoyaient du
« chéri, régresse » , marsupilamythique !
ça a tout ça comme un goût roux pour ceux qui ont qui ont su goûter la Bible à pleines papilles!
les tartes à la crème fouettée dit: 19 juin 2014 à 15 h 21 min
J’approuve entièrement votre propos.
J’ai eu la curiosité de cliquer sur le lien moi aussi pour lire la nouvelle en entier et j’ai constaté qu’elle ne faisait qu’une seule page.
Dans les Révoltés du Bounty c’était bien… c’était de bon aloi comme on dit…
une grande joie m’adnient en apprenant « Un réservoir d’eau plus grand que tous les océans réunis se cache-t-il sous la surface de la Terre? »
: parce que la représentation de la terre flottant sur une surface d’eau est très ancienne !antérieur à « aher, mon amour »
et que c’est plus captivant que la comédie du plus pervers qui les trouvera.
http://www.bfmtv.com/planete/un-ocean-cache-entrailles-terre-796025.html
Tarte à la crème …
Se condronter au natural world, c’est- ça peut être- philosophique
C’est pourquoi j’ai du mal à comprendre le billet.
Vous trouverez dans ce lien, ce qui est vu de l’Est.
https://www.overdrive.com/media/987334/dhlawrences-philosophy-of-nature
à Sergio: Miss Glouglou est un blog hébergé par Le Monde
se confronter
le temps, vous parlez du temps ?
» L’histoire qui pourrait être drôle de ce chercheur britannique reconnu qui dépose un article sur le site d’une revue, part prendre un café, et apprend en revenant dans son bureau que son travail est déjà refusé… »
ici Londres dit: 19 juin 2014 à 16 h 46 min
Miss Glouglou est un blog hébergé par Le Monde
Bon. Mais y zont pas… Je sais pas, moi… Des pipe-lines ! On livre tout à domicile, maintenant… Par la fibre optique ça devrait passer il doit rester un peu de place…
à Sergio: il y a même une page fesse-bouc, bouguereau est abonné en tant que con-som-mateur attitré, slurp !
JC-l’insullteur, celui qui traite tout à chacun de « burne », me demande pourquoi je suis agressif avec Alba ? Il me demande aussi pourquoi j’insulte Clopine et Bouguereau. La question sur D. et lui-même est purement rhétorique. Je n’insulte (pratiquement) jamais Clopine*, en fait je crois utiliser le même style que les commentateurs à mon égard. Si Clopine me tape dessus, pour des raisons socio-culturelles, je réponds. Elle fait partie des franchouillards toujours dans la lutte des classes, des éternels révolutionnaires-sur-clavier. C’est très français.
Suis-je agressif avec Alba ? Je réponds à ses attaques, même celles qui peuvent sembler anciennes. Alba et sa copine « Madame maille qui ne vaille pas » alias Maniatis, aiment décider qui est juif, avec des critères qui sont les leurs. Alba ne reconnait juifs que les pratiquants, comme si l’identité juive n’était que religieuse, ce qui est absurde, voir assez simpliste.
* J’écris « pratiquement » jamais, mais bien entendu uniquement pour être sûr de ne pas être loin de la vérité. Le coté « tricoteuse » de Clopine me tape sur les nerfs. Je n’aime pas la lutte des classes permanente, ni cette mode de tout égaliser.
http://www.martine-estrade-literarygarden.com/psychanalyse-art/psychanalyse-art-metaphore-ile.php
J’aurais du mal à élir « Juif » uniquement les Juifs pratiquants étant donné que je ne le suis pas moi-même…!
Il ne comprend jamais rien, ce pauvre TKT… Je dis ça mais c’est pas nouveau…
Michel Alba, vous êtes amnésique ? Ou, vous avez l’habitude de dire n’importe quoi, ponctuellement, quand cela nourrit votre discours.
Si, vous avez parlé de lectures de la Torah, comme critère d’acceptation.
Si vous n’êtes pas pratiquant, vous êtes quoi ?
Votre argument récurent sur la compréhension de votre haute pensée, me fait rire, en fait vous êtes une sorte de clown triste.
comme un Quichotte a la recherche de son île…
comme un boudegras à la recherche de son gode…
Widergänger dit: 19 juin 2014 à 17 h 34 min
Il ne comprend jamais rien, ce pauvre TKT…
Jamais. Les précepteurs qui se sont penchés sur son cas ont fini par renoncer.
ML si je vous présente une nouvelle dans laquelle un homme seul, -qui n’a pas de pulsion suicidaire ni aucun trouble d’ordre psy qui se devrait d’être « analysé », mais qui laisse tout, for a while ( de toute façon il supporte plus sa greluche, et puis le petit qu’ils ont fait, ma foi c’était pas qu’ils aient bien voulu ce qu’il leur arrive) – se retrouve dans une situation- il a trouvé une île à acheter parce qu’il aime les îles, et pourquoi il n’aimerait pas les îles !- où il se bat contre les éléments naturels déchainés (météo défavorable, phénomène non surnaturel et de saison!) et pour finir accepte que cette lutte inégale s’achève, définitivement pour lui, cela va sans dire.
A quel mythe « occidental » rapporteriez-vous cela, si on peut rapprocher cela d’un » fait religieux » ?
http://eduscol.education.fr/cid46348/la-genese-et-les-mythes-d-origine.html
en attendant de plus amples analyses de cette étude
http://www.nature.com/news/searching-chromosomes-for-the-legacy-of-trauma-1.15369
des journées entières dans les arbres dit: 19 juin 2014 à 18 h 07 min
A quel mythe « occidental » rapporteriez-vous cela, si on peut rapprocher cela d’un » fait religieux » ?
Au mythe de Gaillac ?
ma question vient en relecture de ce message:
Widergänger dit: 18 juin 2014 à 22 h 48 min
TKT dit: 19 juin 2014 à 17 h 41 min
en fait vous êtes une sorte de clown triste.
ni aucun trouble d’ordre psy qui se devrait d’être « analysé »,,
pourquoi ? par qui ? comment ?
quel toupet , ces commentateurs ? et avec la bénédiction de P.Assouline: voilà le comble !
TKT dit: 19 juin 2014 à 17 h 25 min
JC-l’insullteur, celui qui traite tout à chacun de « burne »
Mais non mon Kronenbourg chéri ce n’est pas JC qui te traite de burne, c’est moi.
Je pars plus d’une semaine et que vois-je à mon retour : toujours aussi con le Thierry, aucune amélioration, même lègère.
Pauvre bichon, la vie ne doit pas être bien drôle tous les jours pour lui.
Allez mon Thierry, à te lire.
C’était pour que vous n’extorquiez pas trop cher de la consultation, Dr Lecter !
a propos d’histoires, et « ce que vous voulez »,lu dans le monde
« Morale de l’étude : si vous voulez que vos enfants soient honnêtes, montrez-leur plutôt les bienfaits de la vérité plutôt que de les menacer d’une punition. »
et si vous voulez que les commentateurs se renouvellent, cessez de les bassiner avec des diagnostics !
La philosophie du geek repose sur une sensibilité ontologique et métaphysique plus fine que le commun des mortels.
C’est quoi, un geek ? Assouline devrait s’interdire d’user de ce genre de néologisme qui, en plus, n’a certainement pas la caution de Shakespeare.
La photo du haut est très belle, mais on a tout de même un peu l’impression qu’Assouline, à quelques jours des vacances d’été, travaille au noir pour une agence de voyages.
JC, vous vous répétez constamment, cela ne vous fatigue pas ?
celui qui traite tout à chacun de « burne »
essayez de regarder sur la toile « tout un chacun » et questionnez-vous sur ce « un » !
puis ce « à » , d’où il vient , et pourquoi ?
il est quand même très étrange que si peu de femmes semblent accepter de se manifester dans ce milieu qui clame surtout sa passion de judaïsme, et d’un judaïsme sepharad.
c’est à se demander ….. »dées | La rue est censée appartenir à tout le monde. Pourtant, hommes et femmes la vivent différemment, terrain de jeu et de sociabilité pour les uns, milieu hostile pour les autres. Urbanistes et sociologues se penchent sur la question.
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/idees/comment-rendre-la-ville-aux-femmes,113059.php#BSzrs70zOeddLQW1.99
Par la fibre optique ça devrait passer il doit rester un peu de place
Sergio, je n’ai pas lu le reste mais votre intervention m’interpelle, pensez-vous que nous puissions optiquement conclure un marché qui nous mène, vous et moi, à un seuil de satisfaction satisfaisant et que nous nous quittions sans rancune après ça? ( Ils rejouent la guerre des 6 jours, quelque soit le sujet, on y a droit…)
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/medit_0025-8296_1966_num_7_1_1186
la population des iles en méditerranée
n de soin ?
petits co-gniards..
Je suis très déçu.
Faut dire, j’avais mal lu le titre.
Don Quichiottes, je lis.
Je me dis « tiens un article su Bouguereau ».
Être pratiquant c’est se rendre régulièrement à la synagogue, ce qui n’est pas mon cas. Je ne pratique pas non plus le shabat. Ma grand-mère juive non plus mais il faut dire que les Juifs d’Odessa passaient pour de mauvais juifs.
Mais en revanche, se rattacher à la Torah, ça me paraît en effet nécessaire pour se dire juif. La Torah, je la lis, en effet. Je vous ai déjà cité cette phrase du Talmud selon laquelle ouvrir la Torah et la lire d’un cœur sincère c’est être plus juif que le meilleur des Juifs. C’est une pratique de lecture mais ce n’est pas une pratique religieuse au sens des rituels religieux. Et en plus, on n’est pas juif comme on est catholique, protestant, boudhiste, animiste, etc. La judéité ne peut pas se concevoir sans le Judaïsme. C’était toujours le sens de mes interventions. Je n’ai pas changé à cet égard, c’est simplement vous qui ne comprenez que ce que vous voulez ou êtes capable de comprendre dans mes propos que vous lisez toujours à moitié soit parce qu’ils vous fatiguent, soit parce qu’ils vous dépassent. Mais depuis le temps que nous nous connaissons du moins ici par blog interposé, la cause ne saurait être la fatigue.
On ne peut pas se dire comme vous le faites pourtant très souvent à la fois juif et catholique. C’est idiot, ça n’a pas de sens, c’est totalement aberrant. Ce qui montre que vous avez perdu tout attachement sincère et réel au Judaïsme et à quelque forme que ce soit de judéité. Vous êtes complètement assimilé, complètement déjudaïsé. Si vous l’assumiez comme tel, je ne trouverai vraiment rien à y redire. Ce serait un choix qui vous appartient et auquel nul autre ne peut en être juge. Mais le problème c’est que vous ne l’assumez absolument pas. Rattacher son identité au peuple juif sans rien connaître du peuple juif, sans rien savoir de ce qui est fait la spécificité du monde juif, de la pensée juive, de la culture juive, des valeurs juives depuis Moïse, ça n’a strictement aucun sens, si les mots ont encore un sens. Tout le reste n’est que blabla.
Artist Garry Shead’s depiction, from his Kangaroo series, of the secret army that Lawrence calls « The Maggies » in Kangaroo
« The newsletter of the D.H. L.
Society of North America contains
an intervievv with Doris Lessing,
vho confesses that Lawrence had
an enormous effect on her. She
picked out for special Ideation
Kangaroo. She said : « I’ll never
forget the excitelllent of reading
him… .this Australian book … that continent,
l vvill never be able to
see it in any other way… » The
interviewer expressed surprise that
she liked Kangaroo so much ,
pointing out that modern American
opinion thought Lawrence had
been politically incorrect in such
books. Lessing ( who ‘was brought
up in Rhodesia) dismissed « such silliness »
« Probably 1 shouldn’t
say this, » she said. « But your
country is an extremely hysterical
country-« »
Aucun sens de l’ironie chez le garde chambrette, qui lamente la disparition de Horace Silver….t’aurais fait quoi, a son concert hein, ducon? balance une banane? gueuler comme la guenon en chaleur que tu es? Je t’interdis d’apprecier Horace ou quelque jazzman que ce soit…fuckwit…
Celui qui a rédigé l’article sur les mythes des origines, confond deux conceptions de l’histoire.
Il ne faut pas confondre l’histoire au sens moderne du terme qui est une science sensée être explicative du passé et du présent, avec l’histoire du salut, la conception chrétienne de l’histoire, celle par exemple que développe Bossuet.
Une chose qui me paraît juste et fondamentale dans ce qu’il écrit de l’ouvrage qu’il commente, c’est le fait que l’histoire biblique se structure dans la Genèse à travers des histoires de famille alors que notre conception de l’histoire vient de l’invention des citées, de Thucydide et de la Grèce. Pierre Manent le dit explicitement dans Les Métamorphoses de la cité : « Ma thèse est la suivante : la cité est la source première du développement occidental. Avant cette invention, les hommes vivaient selon l’ordre relativement immobile des familles, encore prégnant dans bien des régions du monde. » C’était le cas dans le monde juif de l’Antiquité. Les Livres historiques qu’on trouve dans la Torah se réclament de cette conception archaïque de l’histoire familiale. L’histoire, au sens grecque du terme, n’est pas une valeur juive. Dans le monde juif, le sens moderne de l’histoire n’a pas de sens. Il peut y avoir de très grands historiens juifs, mais ce n’est pas par là qu’ils se rattachent au monde juif et à ses valeurs. Anne Wieviorka l’a très bien étudié à propos des livres de souvenir des différentes communautés juives de Pologne qui sont plus d’ordre mythique et légendaires alors qu’ils parlent tout de même de la Shoah, un événement historique, que proprement historique au sens de Thucydide et de l’invention d’une histoire explicative en Grèce ancienne comme fondement de la conception d’une histoire explicative.
répété deux fois : avoir tort!
» Voyager, c’est découvrir que tout le monde a tort » disait-il),
c’est le secret de la vie de P.Assouline ? pourquoi pas?
Je vous ai lu et relu attentivement, Michel et, une fois n’est pas coutume, vous avez raison sur toute la ligne.
…ce qui ne veut pas dire que ce que vous exposez a beaucoup d’importance. Pour moi c’est un sujet largement secondaire.
Attention toutefois à ne pas mettre de e à cité devant vos petits élèves. Je dis ça pour vous rendre service, ne le prenez pas mai, Michel.
« Among all Lawrence’s friends, the only person who seems to have spotted the contradiction was E. M. Forster. Writing at the beginning of 1915, after Lawrence had scolded him so much on his visits to Greatham that, as Keith Sagar says, ‘at last the worm turned; he began his letter, ‘Dear Lawrences,’ and continued, significantly, ‘Until you think it worthwhile to function separately; I’d better address you as one . . : (p. 82). Because Lawrence did not think it ‘worthwhile’ to function separately it was not really possible for him to relate to others as an individual, – certainly not to the extent that is required in the spiritual community, – and because he could not relate to others as an individual he was unable to bring Rananim into existence. He could not have his wedding cake and eat it too, although, like most of us, he wanted to. »
http://www.ex-cult.org/fwbo/couple.htm
help, est-ce que qq’un connait ce terme : rananim ?
JC est beaucoup plus intelligent que vous, TKT. Vous ne devriez même pas oser lui adresser la parole, petit impertinent.
Vos proses médiocres n’arrivent pas au plus bas des fondations de ses envolées, mon pauvre Thierry.
Widergänger dit: 19 juin 2014 à 20 h 10 min
ML, juste pour ce morceau de bravoure, le gâteau sera vraiment moelleux, et pas trop hard à la réception, car vraiment, ma copine Liliane, en Audi C, trouve que vous êtes Dingo, mais elle le crie pas trop fort, car en Australie, Dingo, c’est vachement dangereux.
« Je t’interdis d’apprécier Horace »
Charia ?
On voit que vous ne m’avez pas lu, parce que je ne mets jamais de « e » à « cité »…
Que vous trouviez mes propos secondaires, c’est un peu normal. Je ne pense pas en effet que vous fassiez partie des gens qui aient un cerveau suffisamment développé pour se sentir concerné par les problèmes que j’expose…
Vous en profiterez pour saluer votre copine de ma part. Vous lui direz que c’est une grande flatteuse.
@des journees desole pour votre tata Jacqueline et son pari sur les fennecs…j’ai moi-meme perdu quelques livres…all part of the fun…
@WGG Être pratiquant c’est se rendre régulièrement à la synagogue,
Pas seulement, voyons!
mais il n’y a surtout aucune raison que les erdéliens et d’autres vous tracassent si vous -même ne cherchez pas à vous mettre en avant à travers cette identité si « problématique » pour les juifs comme pour les non-juifs.
Vous connaissez certainement tous les sites à travers lesquels vous pouvez prendre des contacts et « choisir » ceux qui peuvent vous apporter ce que vous ne savez peut-être pas …chercher ?
‘…c’est le fait que l’histoire biblique se structure dans la Genèse à travers des histoires de famille alors que notre conception de l’histoire vient de l’invention des citées, de Thucydide et de la Grèce…’
L’histoire biblique, chais pas trop hein…chuis pas aggrege de l’institut non plus, mais la premiere cite est apparue en Mesopotamie, a Ur plus exactement ou l’homme avait decide que la vie de nomade n’etait aussi glamour que ca…tout ca est bien anterieur a la Grece, la Torah et le catalogue Black & Decker…mais que sais-je hein…si un postulant a la fac le dit, c »est que ca doit etre vrai
En effet, c’est vrai, vous avez raison. Je vous invite donc à :
1°) Apprendre à mieux lire des commentaires sur un blog. Je peux vous offrir un stage, rémunéré bien sûr;
2°) Retourner sur les bancs de la fac pour suivre les cours par exemple de Pierre Manent et ainsi mieux comprendre les commentaires d’un blog. Mais ce serait bien cher payer ! Comme dit Pierre Dac parlant de cons de votre sorte : Il est parti de loin pour arriver à pas grand chose…
Faut suivre des cours a la fac pour vous comprendre ? Tain…moi qui ai toujours pense qu’il fallait seulement savoir copier-collier et parler de bouquins qu’on n’a pas lus…j’ai une citation bien plus marrant que la votre ou Celle de vot’metre a penser: I started out with nothing and got most of it left…c »est de Seasick Steve, un grand blues man et nomads…comment? Pas aggrege Non, j’pense pas…il a fait l’universite de la vie…
l’histoire au sens moderne du terme qui est une science sensée être explicative du passé et du présent,
il n’est pas certain qu’il soit fécond de relever toutes les fautes d’orthographe, même celles d’un professeur ou d’un auteur .
cela dit, certains adoptent ici des systèmes de discussion/échanges qu’ils imaginent spirituels , et que je trouve ennuyeux et dont je doute qu’ils soient féconds.
Avant que la police de l’ortho ne soit alertee, mon iPad et moi sommes en instance…
de généreuses citations avec une question que je crois aussi important que de s’occuper des identités de M.L.
http://revel.unice.fr/cycnos/index.html?id=298
Mon pauvre abdel, vous êtes et demeurerez toujours un plouc démago. Vous pensez comme Le Pen.
perso je ne parle que de ce que je sais…et de bouquins que j’ai lus…et vous?
« cela dit, certains adoptent ici des systèmes de discussion/échanges qu’ils imaginent spirituels , et que je trouve ennuyeux et dont je doute qu’ils soient féconds. »
ahem, c’est votre opinion.
IT HAS, for many years now, been a criticism, even a complaint, about Rananim (and perhaps about the D.H.Lawence Society of Australia itself) that it has been much too involved with what is known in some circles as « The Darroch Thesis ».
http://www.dhlawrencesocietyaustralia.com.au/thesis.htm
Abdelkader dit: 19 juin 2014 à 21 h 21 min
Abdel t’avoueras, le coup sur Horace, c’était nul.
J’espère que t’es d’accord, un commentaire con tout le monde en fait.
Abdel,
Un soir au club
je me souviens.
Quand meme fortiche hein…de vider ses glandes racistes ici a longueur de journee pour ensuite lamenter la mort d’un grand jazzman noir, non? Vous trouvez pas ca ironique? Non? Meme pas? Ok…Ben moi ca me chauffe les klaouis…
Silver card dit: 19 juin 2014 à 21 h 28 min
tocard de la glU?
Quand le jazz est là
http://www.leseditionsdeminuit.eu/f/index.php?sp=liv&livre_id=1660
@ D. dit:19 juin 2014 à 20 h 33: Bof, Ducornaud, cela ne vous empêche pas de la poursuivre depuis des années. Vous vous rappelez, quand vous racontiez qu’elle prostituait son fils, alors encore mineur ? J’ai écrit Ducornaud, avec une pensée pour l’enfant violé que vous avez été.
Bonne soirée, et bordez bien JCouille, votre miroir…
Et si l’on a toujours tort, puisque P.Assouline aime avoir toujours raison, psychanalyse aidant, a quoi bon écrire un mot en « écho » sur son blog si c’est pour se faire traiter de pervers-e ou de parano ?
Abdel, si Alba est enfin agrégé, ce fut une affaire tardive. Une manière peut-être de lui enlever de jeunes élèves, les petits 5ème sont peut-être fragiles ?
Pas sûr que son agrégation vaille plus que les études supérieures de D.bile ou JCulé, les deux autoproclamés mathématiciens.
vous vous répétez constamment
Ah bon ? On peut lire quelqu’un qui ne le fait pas ici ?
Alba, nous parle de ses études, comme les putes de luxe montre leur montre Rolex avec diamants. L’ego de Wiederkehrender (Kehricht) me semble botoxé, syliconé, en avion, cela risque d’éclater comme des faux seins…
Alba, nous parle de ses études, comme les putes de luxe montre leur montre Rolex avec diamants. L’ego de Wiederkehrender (Kehricht) me semble botoxé, syliconé, en avion, cela risque d’éclater comme des faux seins… (TKT)
Faux Juif, faux agrégé, dites donc, dans le registre faussaire et escroc, ça commence à faire. Vrai con certes, mais est-e que ça suffit à rattraper le coup ?
1 ayant déjà lu des propos peu intéressants sur cette agrégation, il me semble que ça a tourné à la persécution sur ce blog.
2 pour l’enfant violé que vous avez été.
je n’ai rien lu à ce propos sur ce blog.Mais si la personne en question a été victime d’abus sexuels , enfant, je ne comprends pas qu’elle l’ait encore raconté sur ce blog .
Autant de raisons pour lesquelles je ne veux plus en suivre les commentaires
C’est intrigant quand même.
1885-1930), the English novelist, came to Australia from Ceylon in 1922, arriving with his wife Frieda at Fremantle on 4 May. In Perth, where he stayed for two weeks, he met some of the local literati and the Quaker nurse Mollie Skinner, with whom he collaborated in a novel, The Boy in the Bush (q.v., 1924). Katharine Susannah Prichard, who missed meeting him, later corresponded with him and attempted to interest him in Australian literature. After leaving Perth, the Lawrences arrived in Sydney on 27 May. They spent a brief time in the city and then rented a house, Wyewurk, at Thirroul, a mining village on the NSW coast, where they remained until their departure for San Francisco on 11 August. In eastern Australia Lawrence appears to have led a deliberately isolated life, mainly devoted to the writing of his novel, Kangaroo (q.v., 1923). The extent of his involvement in and knowledge of Australian political life is uncertain; although Lawrence’s letters, Frieda Lawrence’s autobiography Not I, But the Wind (1935), and his numerous biographers suggest that his involvement was minimal, recent researches have tentatively suggested that he may have had personal knowledge of a secret political organisation. Of these, the most substantial is Robert Darroch’s D.H. Lawrence in Australia (1981).
Read more: http://www.answers.com/topic/d-h-lawrence#ixzz357NPQQZZ
Je dis ça, le bush australien est une vaste zone incertaine où il se passe des choses. Pas claires de nos jours.
HR, D. est un borderline, seule une enfance saccagée peut l’expliquer.
Pauvre type certes, mais il ne me fait aucune pitié, je ne veux pas payer pour son prédateur. D’autre part, il ne sait pas choisir ses cibles.
Un cafard à écraser, JCouille aussi, mais dans un autre registre. Quoique…
Vous nous quittez ?
À demain !
Tiens…ne dit-on pas « glaouis » plutôt que « klaouis » ? sûrement une variante provinciale.
Des journees…merci pour ce super morceau…on dirait que le noir et blanc etait fait pour le jazz…HS etait le plus jeune sur cette fameuse photo, jazz in Harlem, de 1958 et donc le dernier survivant…quelle classe et quel style…
Abdelkader dit: 19 juin 2014 à 21 h 08 min
Avant que la police de l’ortho
Oui mais alors ça c’est une police qui sait lire je sens que ça va se mordre la queue comme Gros-Câlin…
Philip, devriez demander au boudha du site…pour ce que ca vaut, klaouis vent dire ‘reins’…honni soit qui mal y panse…
Abdelkader, je fais cette hypothèse qu’en raison de vos racines berbères vous ne fréquentez ces lieux que lorsqu’ils sont à la limite du désert, moi même issue d’une autre ethnie, je n’y viendrai plus que quand nous boirons pour fêter un évènement heureux avec ou sans testicule.
C »est une promesse ou une menace?
Il me semble de plus en plus excessi que P.Assouline considère que les commentaires nuisent au billet : il n’est pas absolument sans moyens au regard des commentateurs .
Ce n’est absolument pas parce que j’encouragerais M.L. dans ses orientations d’étude, de recherche, de rencontres , de racontage de cézigue sur ce blog, puisqu’il faut bien admettre qu’il a foncé sur la référence psy et quelques autres comme l’agreg,sans réserve, ni discernement, mais cela ne change rien au fait que cela a tourné sur ce blog à la maltraitance intéressée ;
trop ennuyeux et surtout trop banal.voir les nouvelles
Un constat décisif, l’actuel est si affreux, misons sur un futur pour changer de l’obscur.
Tiens…ne dit-on pas « glaouis »
Je ne doute pas que de nombreuses candidatures se passent du gla pour un oui restrictif mais un oui tout de même, à l’horodateur, combien?
misons sur un futur pour changer de l’obscur
z’avez qu’à vous attaquer au dictateur qui vous écrase, je ne sais pas moi, Victor Hugo ?
misère..
Pour eviter la confusion, klaouis veut dire reins, qulaouis veut dire testiclules et glaouis ne me dit rien du tout…
TKT dit: 19 juin 2014 à 21 h 47 min
Alba, nous parle de ses études, comme les putes de luxe montre leur montre Rolex avec diamants. L’ego de Wiederkehrender (Kehricht) me semble botoxé, syliconé, en avion, cela risque d’éclater comme des faux seins…
…en éclabouçant, JCculé et D.bile.
…qui se trouve dans le même avion et s’ancule, dans les toilettes.
excessif
dans le monde sémitique, les reins sont le lieu de la force : d’où(?)l’importance de la ceinture.
KING JAMES /3For thou hast possessed my reins: thou hast covered me in my mother’s womb.
TRICOTAGE?For you formed my inward parts; you knitted me together in my mother’s womb.
ON TROUVE DONC
» Tenez donc ferme: ayez à vos reins la vérité pour ceinture; revêtez la cuirasse de la justice «
la ceinture a une importance, mais bien moindre que la gode-ceinture.
La ceinture de lin (Jérémie 13.1-27)
13 Voici ce que m’a dit l’Eternel: «Va t’acheter une ceinture de lin et mets-la autour de ta taille, mais ne la trempe pas dans l’eau.»
et avant qu’une contractuelle cherche à me verbaliser pour cela je précise ne voir aucune urgence à le défendre non plus, manquerait plus que je devienne un abruti cherchant dans du papier bible de quoi planquer des expérimentations mégalomanes au rayon dictons..
…
…en tout cas!,…l’humour entre médecins çà doit-être le pied!,…
…
…& entre avocats alors,…merci!,…à tout ces trafics criminels organisés!,…à l’économie de petite vertus,…
…
…merci aux corps enseignants du nivellement par les bas-fonds marinés au bain-marie!,…
…
…l’humour qui s’encanaille!,…à ses dépends!,…
…
…mais! chéris les médecins on déjà tout fait!,…Ah!,…et je vis sur ton mois!,…je le vaux bien!,…n’est ce pas!,…
…
…tenir le pantalon à ceinture avec l’union sacré à l’oignon d’autrui!,…
…charette par ci!,…& perfide par là!,…tu monte!,…la croix !,…à deux doigts!,…l’ogresse!,…Ah!,…Bip!,…etc!,…
…qu’est-ce qu’elle à ma gueule!,…Ah!,…etc!,…trop bon!,…
…
ATTENTION ! au delà de cette limite, ce pseudo n’est plus valide ….
C’est un cas, ce D.H.L., avec son rananim.
S’il fallait oser faire un rapprochement- criminel !- avec la possibilité d’une île, il ne pourrait qu’en être le gourou, comme le p’tit gars de Vichy, Claude Vorilhon , je crois était son nom.
Son « île en soi », tu parles !
La possibilité d’une île flottante.
Des oeufs en neige.
Et de la crème anglaise.
« Voila un tout petit livre qui se déguste en se léchant les babines et qui nous replonge dans le monde intense et éphémère de l’enfance. »
http://segolene.ampelogos.com/news/l-ile-flottante
Le goût des îles ?
« Quand on nous demande quel est notre plat favori, le plus souvent il s’agit d’un plat de notre enfance. Tout, dans ce livre, ramène à cette certitude, on ne quitte jamais vraiment le monde de l’enfance. »
Chantal Thomas
L’Ile Flottante
Editions Mercure de France, 2004
57 pages
même lien
Of these, the most substantial is Robert Darroch’s D.H. Lawrence in Australia (1981).
—
Je signale le chapitre de L’ange et le Cachalot, de Simon Leys/Pierre Ryckmans,
consacré à l’Australie de DH Lawrence. Fin connaisseur de l’île-continent où il vit et participe activement aux débats intellectuels et citoyens, le sinologue merveilleux est aussi un fin critique littéraire et un linguiste hors pair (voir sa théorie de la traduction).
Ni l’université française, ni l’université belge n’ont su retenir cet intellectuel atypique et polyvalent. Heureux étudiants d’en-bas-en-dessous!
Quand je relis le billet, que j’ai mis du temps à ne pas comprendre, maintenant, il provoque des éclats, de rire.
C’est bien tout !
bonne journée.
je relis ces tweets sur le site du journal le Parisien; je ne peux m’empécher d’y voir un rapport, littéraire,
« Les ténèbres ou comment en sortir »…
« Crépuscule de merde, Victor Hugo, tu fais chié à écrire des poèmes comme sa ! avec ta nature, ta vie et ta mort à deux balles ! »
« J’avoue Victor Hugo il est pas tout seul dans sa tête. Genre le mec il compare l’amour a un tombeau »
Widergänger est une île de connerie émergeant d’un lac de merde au beau milieu du continent Ineptie. A travers les steppes de la Platitude coule mollement le fleuve Tautologie, dont la source est au mont Suffisance. Les lieux ne sont hantés que par un faux Juif errant incessamment en quête d’un fantôme d’agrégation.
Widergänger est une île de connerie émergeant d’un lac de merde au beau milieu du continent Ineptie. A travers les steppes de la Platitude coule mollement le fleuve Tautologie, dont la source est au mont Suffisance. Les lieux ne sont hantés que par un faux Juif errant incessamment en quête d’un fantôme d’agrégation. (mézigue)
Il est clair que la photo du haut ne correspond pas à l’île Widergänger.
TKT dit: 19 juin 2014 à 21 h 47 min
Alba, nous parle de ses études
Sûr que pour vontraube les aventures estudiantines sont limitées.
Après, comme d’habitude, l’exposition de l’argent de papa en évoquant ses années de boîte à bac parisienne il passe vite sûr ses échecs au bac (le premier ?) pour vanter les mérites de l’apprentissage au Café du Commerce lors des dégustations de son gros rouge qui tache.
Etre un grand beauf n’est pas inné, une longue éducation est nécessaire.
TKT soutient sa thèse chaque jour.
TKT dit: 19 juin 2014 à 22 h 20 min
HR, D. est un borderline, seule une enfance saccagée peut l’expliquer.
Bloom,
vous trouverez dans cet entretien(http://www.chinaheritagequarterly.org/tien-hsia.php?searchterm=026_ryckmans.inc&issue=026)comment Leys est devenu professeur en Australie…accessoirement,vous y verrez aussi une magnifique photo de Leys…
,vous y verrez aussi une magnifique photo de Leys… (De nota)
Le portrait est effectivement admirable, digne, dans le genre, des plus grands Manet.
Qui bavera le plus sur qui?
Le concours est ouvert!
A propos du grand ami de Lawrence, Huxley par exemple, étonnant que Ml ne nous parlât point du passionnant travail de Norbert Hélias, L’ Utopie édité par La découverte 2014.
Oui, un isolat pour l’imaginaire, l’ Utopie!
» Le sociologue s’appuie sur les œuvres de H. G, Wells, qui se situent précisément à la jointure du basculement. Surtout, ses Anticipations, parues en 1901, posent un vrai problème d’analyse. Ces articles, que Wells qualifiait de « romances scientifiques », constituent un cas troublant d’utopie littéraire d’une guerre possible qui s’est révélée à bien des égards exacte lors de la Première Guerre mondiale. Toutes les affirmations de Wells n’ont pas été validées, mais plusieurs descriptions, comme celle des chars ou de la guerre défensive, sont bien devenues réelles une dizaine d’années plus tard. Pour Elias, « la prédiction que fait Wells […], qui par la suite s’est révélée plutôt précise et fiable, est une prédiction en termes de synthèse configu-rationnelle23 ». Elle illustre ainsi sa propre démarche : pour produire des hypothèses prédictives pertinentes, explique-t-il, il faut embrasser un ensemble de dynamiques disjointes afin de saisir la configuration et le mouvement qu’elles forment ensemble, puis, par un effort d’imagination, percevoir ses tendances possibles. Le choix littéraire, d’ailleurs assez courant en sociologie, n’est pas neutre24 : il correspond à la volonté d’Elias de toujours partir de cas concrets, et permet en même temps de ne pas postuler de distinction de nature entre la littérature, la sociologie, les sciences et l’innovation technologique, pour faire jouer ces registres entre eux. Ajoutant sa capacité de projection à une juste analyse du monde social, l’utopie littéraire dévoile alors une part de sa portée cognitive : placée entre réel et illusion, elle autorise aussi la création d’espaces de pensée analytique. Cependant, ces « utopies réalistes » demeurent trop éloignées des cadres qui définissent ce qui est considéré comme « vrai » ou « sérieux »
elles sont alors condamnées à être remisées dans des genres mineurs et à avoir (on sent le lien qu’il établit avec sa propre approche) peu d’impact réel, contrairement à leur impact potentiel. C’est tout le sens de cette histoire des utopies de Wells, qui revêt, conclut Elias, « la valeur cognitive d’un paradigme empirique », brouillant au passage l’opposition supposée évidente entre utopie et réalité. »
24)Par exemple, sur Flaubert : Pierre bourdieu, Les Règles de l’art. Genèse et
structure du champ littéraire, Seuil, Paris, 1992 ; et sur Kafka : Bernard
lahire, Franz Kafka. Éléments pour une théorie de la création littéraire, La
Découverte, Paris, 2010.
Exrait de l’introduction de Quentin Deluermoz, opus cité.
Le sujet mérite mieux que ces katéjades, ces dballages, ces onésiphages crudités déquillantes ou ces journées desquamantes d’écorces!
ces journées desquamantes d’écorces de liens!
Ras le bol!
Et l’achérisation des commentaires, la cerise sur le gâteau!
…
…il y a,…ce en quoi on laisse à discourire!,…en y ajoutant sa part de discernement pour diversions à moisissures!,…
…
…la science des poubelles à travers l’antiquité!,…
…mon heaume!,…ma chérie!,…encore une casserole multi-fonctions!,…sur les braises, ou pour les tout-vents !,…
…
…pourvu,!…qu’il nous en reste pour notre cavalier seul, à chevaucher en son fortin!,…
…etc!,…
Oui, ces commentaires tous azimuts (desjournées etc ..), c’est franchement l’overdose !
Quelques glaçons dans les commentaires,svp!
Il est clair que la photo du haut ne correspond pas à l’île Widergänger
..sauf qu’elle fait un peu chromo de desodorisant..y’avais bien « sous bois »..pourquoi pas « iles fidji cannibale ».. »fragrance terre promise pour faux juif »..c’est vendeur
..en attendant..avec les tsumamis ça fait pub pmu des années 70..
lawrence fait un peu vieu hippy dailleurs..désolé son gout des isles pour pédé et autre connerie c’est ce qui a le plus vieillit chez lui..alors que c’est un auteur assez génial de la transfiguration de l’ordinaire justement..lassouline toujours a faire son vieux baba au pied du mur de la honte
Abdel, je ne pense pas que WG/ML ignore que Ur est l’une des plus anciennes cités connues, mais il s’agissait de la capitale d’un empire…
Quand il parle de cités et non simplement de villes, il parle d’entités politiques autonomes au sens où la Grèce les a inventées et où elles ont perduré dans notre mémoire comme modèles. Il y en a peut-être eu ailleurs, mais il n’y a pas eu de Thucidyde pour en parler et à vrai dire personne n’en sait rien…
le seul commentaire adéquat : celui de bouguereau et de Miss Glouglou, les deux font la paire !
il parle d’entités politiques autonomes au sens où la Grèce les a inventées
jamais de la vie..plusieurs maous en asie sur la cote pacifique de l’amerique latine..jusqu’en crete..leur ile mère
Merci de Nota.
PR/SL est toujours aussi pudique dans ses interviews. Il aborde le « comment » mais pas le
« pourquoi ». ANU est un très bonne université, mais il est légitime de se demander pourquoi il ne fut pas même ‘professeur associé’ chez nous. Vous vous souvenez de l’émission où il Apostropha M.A. Macciocchi..? Si la France est un pays de chapelles, son Université est le lieu de toutes les excommunications…
Perso, j’éprouve une admiration sans bornes pour l’oeuvre de PR/SL (y compris La mort de Napoléon, son roman-utopie avec île) et conserve précieusement la carte postale de la biliothèque de Montaigne qu’il m’avait envoyé du temps où je travaillais en Australie.
La citation-clé de cet interview, un pied de nez aux pratiquants du repli (de la retraite, de la reddition, etc):
« My overwhelming impression (a conclusion to which I remained faithful for the rest of my life) was that it would be inconceivable to live in this world, in our age, without a good knowledge of Chinese language and a direct access to Chinese culture. »
..sauf qu’elle fait un peu chromo de désodorisant.. (b.)
Comme c’est une photo, elle est bien agréable à regarder, surtout la limite ciel/ terre.
Si c’était une peinture bien léchée, sa place serait en effet dans la plus petite pièce des appartements.
Un côté étron rêveur.
Elle est très bien cette nouvelle, elle constitue un excellent café.
À portée d’un clic, c’est magnifique.
envoyéE
There was a man who loved islands. He was born on one, but it didn’t suit him, as there were too many other people on it, besides himself. He wanted an island all of his own: not necessarily to be alone on it, but to make it a world of his own.
An island, if it is big enough, is no better than a continent. It has to be really quite small, before it FEELS LIKE an island; and this story will show how tiny it has to be, before you can presume to fill it with your own personality.
Now circumstances so worked out, that this lover of islands, by the time he was thirty-five, actually acquired an island of his own. He didn’t own it as freehold property, but he had a ninety-nine years’ lease of it, which, as far as a man and an island are concerned, is as good as everlasting. Since, if you are like Abraham, and want your offspring to be numberless as the sands of the sea-shore, you don’t choose an island to start breeding on. Too soon there would be overpopulation, overcrowding, and slum conditions. Which is a horrid thought, for one who loves an island for its insulation. No, an island is a nest which holds one egg, and one only. This egg is the islander himself.
Commencer, c’est aller au bout!
not necessarily to be alone on it, but to make it a world of his own.
comme avec atol y’a toujours un con qu’est là vachement avant toi..c’est plein de sac leclerc et de champignon nucléaire
…
…archéologie,…
…
…casques grecs-corhintiens musée d’Agrigente exhumés à la montagne de Mars!,…Sicile,…
…
…encore trois déserteurs à Philippe II,…à cela coulé douce,…en offshore,…déguisé en touristes Midas à la manque!,…
…
…qui se ressemble s’assemble!,…
…!, les casques presque intacts,…avec des bobos de coutume pour faire vrais!,…aux parfums!,…
…reconvertis en agriculteurs paisibles Aux Champs des Cul-tures!,…etc!,…
…Archimède & Pythagore,…
…Alors ces Burnes d’Atlas çà conscrit son Cyclope!,…
…
…la force du peuple en ombres des Dieux en nombres!,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…
…Ur
« ..l’océan était comme des bouquets en tulle
on fumait des cigares noirs et leurs points rouges s’allumaient.. »..les vrais iles c’est gauguin et les consanguins pédophiles et claquer de la chtouille
Cher Etron, je travaille à la Mairie, Service des Marchés, ça rapporte, sans trop d’effort. On se voit ?
Le début de cette nouvelle est d’un tranchant anti-abrahamique qui devrait faire tousser notre ami Mauvaise langue.
Qu’importe la surpopulation, si cette île devient une pieuse yeshivah où on lit et commente avec ferveur les écritures?
– Tu veux filer en loucedé sur ta barque?
Pèpèpe, haine de l’Autre.
« Treasure Island », Stevenson (Fifteen men on a dead man’s chest. Yo ho ho and a bottle of rum. Drink and the devil be done for the rest. Yo ho ho and a bottle of rum…)
« No man is an island », John Donne
Classique, rien à dire.
« I will rise now and go to Innishfree… », Yeats
Enregistré par l’auteur, la voix tremblée, grandiloquence d’un autre âge.
The Island of Doctor Moreau, Wells
Shutter Island avant l’heure.
L’Ile mystérieuse, RG
Mais qui sont ces concurrents déloyaux mené par un certain Bolwinkel au nez crochu…?
The Encantadas, Melville
Le voyageur-écrivain se fait la plume avant de partir à l’assaut de la baleine blanche.
« This royal throne of kings, this scepter’d isle… » Comme beaucoup, le père Will se gourre en parlant de l’Angleterre comme d’une île. Nobody’s perfect, même le Barde…
Conseil d’Etat Island
Le Chef décide de laisser un malheureux vivant nommé Vincent Lambert mourir de faim et de soif ! Ces indigènes sont des sauvages.
Conseil d’Etat Island
La famille, qui ne s’y est pas opposée, est autorisée à débrancher Papy Le Pen. Sauvages ! Assassins !
un pied de nez aux pratiquants du repli (de la retraite, de la reddition, etc)
Ni ton pied ni ton nez, CQFD
JC est toujours là… sa nuisance et sa lâcheté sont évidentes, il se croit malin, ce n’est qu’un piètre, un médiocre et un miteux
« Une adolescente de 14 ans partie en Syrie »
A la recherche de son île, pauvre petite.
Puisse-t-elle ne pas se faire niquer.
Mr Michu dit: 20 juin 2014 à 12 h 24 min
Mme Michu dit: 20 juin 2014 à 12 h 14 min
Mariage gay?
« avec Xherdan Shaquiri, milieu au Bayern Munich, la « Nati » possède » (Monde)
Les Européens (y compris Abdelkader) ne peuvent voir un cul sans lui adjoindre un u.
C’est vraiment trop d’honneur.
Shaqiri, bordel.
Comme beaucoup, le père Will se gourre en parlant de l’Angleterre comme d’une île. Nobody’s perfect, même le Barde…
que faire pour être plus royaliss que le reine hein kabloom..of course que c’en est une..dailleurs c’est le point de vue de l’isle sur le reste du monde..ça t’échappe un peu, mais pas au « barde » et ça laisse un peu pantois
Shutter Island avant l’heure
pouah..aprés l’heure cest pus l’heure
il y a aussi la très drole Ile à Eclipses de Bruno Fuligni, à propos de cette Ile yo-yo qui s’appelle l’Ile julia, et dont les velléités cycliques de remontée ont mis en transe les chancelleries, l’ile se situant dans un secteur tactique de la Méditerranée…
Bien à vous
MC
ueda dit: 20 juin 2014 à 12 h 28 min
« Une adolescente de 14 ans partie en Syrie »
Puisse-t-elle ne pas se faire niquer.
Les voies de Dieu sont impénétrables, celles d’Allah sont pénétrantes : elle reviendra pute, heureuse, et en cloque.
Le thème de l’île a ceci de profondément littéraire qu’il inspire la description fragmentaire. Dans le fragment, le style laisse enfin éclater sa puissance. Imaginez la puissance d’un graffiti qui multiplie par mille. A mettre dans l’album zutique.
Il se peut que le « grand roman américain » soit une île…
« Butta la pasta », par contre, c’est une presqu’île…
Basta la puta !
Pourquoi les crétins se jettent avec tant da aise en littérature ?
@Bloom
« My overwhelming impression (a conclusion to which I remained faithful for the rest of my life) was that it would be inconceivable to live in this world, in our age, without a good knowledge of Chinese language and a direct access to Chinese culture. »
Bloom, il est gentil Simon, mais je ne vois pas bien comment acquérir une bonne connaissance de la langue chinoise, parlée et écrite, à l’âge adulte avec un job à temps complet et éventuellement une vie de famille…J’ai vécu plusieurs années en Asie et je ne connais personne qui y soit parvenu, sauf un type qui pouvait se permettre d’avoir une prof (charmante) pendant des années plusieurs heures par jour et faisait faire son boulot par d’autres…et encore, je l’ai entendu parler chinois mais sans être certain qu’il possédait la langue au sens où l’entend Simon Leys.
Est-ce-que pour autant, nous les nuls en chinois, nous ne pouvons vivre dans le monde d’aujourd’hui?
Les Barbares en avaient marre d’être obligé d’apprendre le latin : ils ont envahi Rome et mis à bas l’Empire chinois de l’époque.
Le sujet vous dis-je, le sujet! dit: 20 juin 2014 à 9 h 26 min
pour produire des hypothèses prédictives pertinentes, explique-t-il, il faut embrasser un ensemble de dynamiques disjointes afin de saisir la configuration et le mouvement qu’elles forment ensemble, puis, par un effort d’imagination, percevoir ses tendances possibles.
Ce qui peut assurément se faire logiciellement, mais surtout doit pouvoir se modéliser mathématiquement. Il faudrait donner un poids aux objets manipulés, ce qui devrait pouvoir permettre d’échapper au calcul des probabilités et à son caractère approximatif. Dans ce cas-là on va même vers la certitude.
renato dit: 20 juin 2014 à 13 h 40 min
« Pourquoi les crétins se jettent avec tant d’aise en littérature ? »
Elle est accueillante, la littérature ! et puis, que feraient-ils d’autres, les crétins ?
« …échapper au calcul des probabilités et à son caractère approximatif. Dans ce cas-là on va même vers la certitude. »
Rêve fou ! le monde est totalement probabiliste.
“Elle est accueillante, la littérature ! et puis, que feraient-ils d’autres, les crétins ?”
Oui, mais… est-ce quel es écrivains méritent ça ? Pas sûr.
Je rebondis (Hop ! Hop ! Hop !) sur le dernier tweet de notre hôte ; hélas, je ne comprends pas assez bien l’anglais pour déchiffrer l’article sur Adam Phillips correctement. Tout juste ai-je compris que ce dernier qui « love Freud » ne s’appuie aucunement, dans sa biographie, sur les faits et gestes réels de la vie d’icelui, et qu’en plus, le Freud qu’il aime est assez loin de celui qui s’est tissé à lui-même sa propre mythologie. Néannmoins, il m’aurait paru judicieux de mettre cet article en parallèle avec l’ouvrage du besogneux Onfray, sur le même sujet ?
Est-ce-que pour autant, nous les nuls en chinois, nous ne pouvons vivre dans le monde d’aujourd’hui?
—
Bien sûr que non. Disons qu’on risque de moins bien le comprendre, ce qui vaut peut-être mieux, d’ailleurs…
Cela dit, on a tous une vie de famille et un boulot prenant et patati et patata, mais on fait tout aussi des choix. Le transport quotidien + 3 h de cours par semaine peuvent suffire à aborder le chinois avec profit. Quand on n’est ni ministre, ni urgentiste, je suis sûr qu’on peut consentir ce sacrifice minimal.
« Répertoriée par Google Earth et de grands atlas mondiaux, Sandy Island est introuvable. »
Plus de trois mois après sa disparition, le vol MH370 de la Malaysia Airlines n’a toujours pas été retrouvé. Les recherches se poursuivent toujours, mais elles pourraient encore durer des années.
3000 le chinois Nei Tsing Sou Wen écrit le premier ouvrage sur la météorologie . Des prévisions faisaient partie de cet ouvrage qui est le premier au monde .
-334 le philosophe grec Aristote ( 384-322 ) écrit un ouvrage « Les Météorologiques » ; la meteorologie ne doit pas être considérée comme une science et la Terre est le centre de l’Univers .
-330 le philosophe grec Aristote ( 384-322 ) écrit un ouvrage « La Physique » dans lequel il étudie les différentes formes de la nature . Aristote en déduit les notions de puissance et de forme .
-280 Straton de Lampsake ( -335 à -269 ) découvre les incendies naturelles via le feu qui consume l’air
800 dès son sacre, Charlemagne ( 742-814 ) évalue la direction du vent via les quatre points cardinaux .
très pollué, chez les Chinois. y feraient mieux d’apprendre l’allemand.
Un chercheur néo-zélandais affirme, ce lundi, avoir résolu l’énigme de “l’île fantôme” Sandy Island, une île du Pacifique Sud répertoriée par les grands atlas du monde, mais introuvable à l’endroit indiqué.
Selon lui, l’explication serait toute bête : une simple erreur, qui a été perpétuée à partir des relevés d’un baleinier, effectués en 1876. Ces relevés erronés ont été recopiée de carte en carte, au fil des années, jusqu’à aujourd’hui !
source:
http://voyages.blogs.ouest-france.fr/archive/2012/12/03/sandy-island-mystere-ile-fantome-resolu.html
2014 « Des journées entières dans l’inutile » nous épuise….
Bientôt: le ranimim de Vendredi qu’a trouvé son île, en 10 versions, aux éditions Passoukistan, format » ça m’fait chier » traduit en parisien pour erdelien épuisé.
Patientez.
Une boule à neige surdimensionnée contient de la neige, pour laisser libre cours à ses propres souvenirs. Dimensions : H 17 cm x Diam. 22,5 cm.
Dans le 15H04, lire « rananim », s’cusez-moi, sinon, ça n’a plus aucun sens.
grosse fixette sur la cliquette, desjournées ! gaffe aux hyperliens..abuse et.. hop ! disapire dans le oueb à passou. in ze sixième dimension. ressortez avec la tête des frérots bogdanov, nains de jardin dilatés.
Phil, vous n’avez pas lu la nouvelle, isn’t it ?
Vous devriez.
Sinon,, l’Australie, vous y êtes allé ?
Il y a des disparitions inquiétantes, parait.
des journées entières dans les arbres dit: 20 juin 2014 à 14 h 52 min
3000 le chinois…
Ce lien, visiblement créé par un amateur, est plein d’erreurs historiques.
C’est un cas où mieux vaudrait rien du tout plutôt que quelque chose.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pique-nique_%C3%A0_Hanging_Rock
Phil, vous n’avez pas le temps de lire, ni le billet, ni les commentaires. C’est Ok, mais dans ce cas comme disent les djeunes hypertechnologisés: utilisez la molette de la souris
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