de Pierre Assouline

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Comme un Quichotte à la recherche de son île

Comme un Quichotte à la recherche de son île

A-t-on vraiment envie d’entrer dans un livre intitulé L’Homme qui aimait les îles, dont l’incipit est aussi inattendu que « C’était un homme qui aimait les îles » et qui raconte, devinez quoi, l’histoire d’un homme qui aimait les îles ? Pas sûr. A dire vrai, lorsque le message est aussi direct et appuyé, et qu’il s’annonce par exemple sur l’affiche d’un film, il fait fuir. Avec un livre aussi : on douterait qu’il recèle le moindre mystère. En quoi on aurait parfois tort. Ce serait passer à côté d’une pépite telle que, justement, L’Homme qui aimait les îles (The Man Who Loved Islands, traduit de l’anglais par  Catherine Delavallade, 80 pages, 9 euros, L’Arbre vengeur) de D.H. Lawrence (1885-1930). D.H. pour David Herbert (on n’ose l’appeler DHL…), à ne pas confondre avec l’autre Lawrence dit d’Arabie, T.E. pour Thomas Edward. Pas le prétendu pornographe, non plus que l’amoral jadis dénoncé par les ligues de vertu et jusqu’à T.S. Eliot, mais le D.H. Lawrence des dix dernières années, bien que Lady Chatterley’s Lover date de 1927. Bref, l’exilé permanent, le voyageur, le pèlerin, travel-writer avant l’heure, pérégrin de mare nostrum.

Poème lyrique, nouvelle philosophique, utopie animée par une vision de sa vie intérieure (ici le texte complet en anglais), qu’importe la manière dont on présente cette courte et intense fiction menée d’une écriture à vif, rugueuse et violente. Le héros en est un certain Cathart, un désenchanté de la société qui n’a de cesse de la fuir. Misanthrope ? Androphobe plutôt, suggère Thierry Gillyboeuf dans sa préface ; il a puisé le terme dans une lettre de Lawrence même, où celui-ci avoue qu’à la vue d’humains dans son paysage, il n’a pas seulement envie de brusquement changer de route : il aimerait plonger dans les buissons pour « leur décocher silencieusement d’invisibles flèches mortelles ». Ce Cathart part donc à la recherche de l’île idéale, un lieu où recréer les meilleures conditions de vie, hermétique à la vulgarité du monde, même s’il lui arrive parfois de retourner sur le continent pour y jouer au dandy dans son club. Après y avoir suscité des petites communautés humaines, il ne tarde pas à constater que ces gens sur lesquels il règne en viennent à se détester sourdement ce qui empoisonne l’atmosphère (on songe un instant au Festin de Babette de Karen Blixen et au film qui en a été tiré).6a00d8345167db69e2017d3c93d273970c-800wi

Déçu par l’expérience, il se cherche une autre île, mais plus petite, convaincu que l’on se retrouve mieux lorsque l’on se rassemble plus. Il la déniche non loin, y fait couple avec une femme dont il n’est pas vraiment épris, lui fait un enfant. Les jours passent, à son grand étonnement, sans désirs et sans ennui, s’émerveillant d’une saxifrage dorée, observant la dilution des années en une douce brume. A nouveau déçu par la vie comme elle va, il repart, seul, pour une troisième île particulièrement exigüe où il n’aura d’autre pouvoir et d’autre influence à exercer que sur lui-même. Une seule île et une île seule, plutôt qu’un archipel où elles se tiennent compagnie. Loin de tout et de tous, avec pour seuls amis un chat et quelques moutons, jouissant de sa splendide indifférence, ivre de sa haute solitude tandis que le bateau du courrier croise au loin, il peut enfin se consacrer à la seule chose qui l’intéresse vraiment : l’écriture d’un livre sur les oiseaux. Là il peut enfin se faire son monde, totalement retiré de la course au progrès. Il n’a d’autre souci que de disposer à attendre le jour d’après. Advient le jour où même les animaux et les deux hommes chargés d’apporter le courrier l’insupportent ; leur seule présence souille son île. Dégoûté par cette importation soudaine de laideur et de vulgarité, il n’arrive même plus à écrire. Seule compte la contemplation de la mer. Il se rend compte alors que son île est métaphorique, mentale, intérieure. Jusqu’à ce qu’un jour la neige engloutisse son rocher…

Faut-il avoir une île à soi pour comprendre qu’il suffit d’avoir une île en soi ? C’est une manière de résister aux assauts de l’époque quand elle n’est pas aimable et que l’on aimerait tant changer de contemporains. Moins Robinson que Quichotte, l’auteur/narrateur réussit, par son grand art de la nouvelle (Angleterre, ô chère Angleterre, L’Officier prussien…), à renouveler l’immémoriale et inépuisable quête du paradis perdu. Ce texte ramassé, d’une densité et d’une richesse insoupçonnables, est une saisissante méditation sur le temps et le désir. De savantes analyses ont été écrites sur l’utopie insulaire de D.H. Lawrence par ses nombreux admirateurs et exégètes voir cette étude. Si cette nouvelle vous a plu, engloutissez-vous dans l’océan de short stories du même dont les éditions Le bruit du temps ont entrepris la publication d’après l’édition de référence (Cambridge University).

Et si cette lecture a réveillé la fibre insulaire en vous, il vous faut lire toute affaires incessante Le goût des îles (130 pages, 8 euros, Le Mercure de France). Selon le principe anthologique cher à la fameuse collection du Petit Mercure, Christine Routier le Diraison y a rassemblé en un archipel de fragments des îles qui furent autant de supports aux utopies de Redmond O’Hanlon et Le Clézio, Le Bris ou Hemingway, Olivier Barrot et Henning Mankell, Stevenson ou Tournier, sans oublier Huxley (« Voyager, c’est découvrir que tout le monde a tort » disait-il), grand ami de Lawrence et bien sûr, Lawrence lui-même. On va de Rodrigues à la Bretagne,  de l’île aux esclaves à Gorée à l’île de la Désolation, de l’île du Diable du capitaine Dreyfus à Robben Island du prisonnier Mandela. Le lecteur fait ainsi le tour du monde pour mieux se convaincre qu’il n’est de meilleur refuge qu’en soi-même.

Joseph Conrad en est absent malgré le souvenir qu’il laissa notamment à L’Île-Grande, village de la commune de Pleumeur-Bodou (Côtes-d’Armor). On se consolera en écoutant le concert-fiction que Stéphane Michaka a conçu à partir de l’adaptation d’Au Coeur des ténèbres. Il y fait intervenir tout le long le personnage énigmatique de La Promise, dont on se souvient qu’il n’était présent que dans les dernières pages du roman. On s’en doute, il n’a pas dû être aisé d’adapter un texte qui commence ainsi :

« Pour lui (Marlow), le sens d’un épisode n’était pas à l’intérieur comme les cerneaux d’une noix, mais à l’extérieur, enveloppant seulement le récit qui l’amenait au jour comme un éclat voilé fait ressortir une brume, à la semblance de l’un de ces halos vaporeux que rend parfois visibles l’illumination spectrale du clair de lune. » (traduction de Jean Deurbergue, la Pléiade)

Francis Ford Coppola s’en est tiré avec ses moyens propres dans Apocalypse now, le fumigène faisant office de halo vaporeux. Mais en radio et en musique, comment le rendre et comment rendre « le sens d’un épisode » ? C’est le pari réussi de Stéphane Michaka. Cette fiction, épopée traitée avec le rythme d’un film noir, a été enregistrée avec des comédiens sur une partition du compositeur Didier Benetti, menée tambour battant, c’est le cas de le dire, par les 70 musiciens de l’Orchestre national de France. C’est lui, l’orchestre, qui prend le relais de Marlow, narrateur et alter ego de Conrad, pour donner à entendre les « rites inavouables » de Kurtz, ou encore « l’horreur, l’horreur » qui traverse ce témoignage à peine fictionnel sur la réalité coloniale. Les ténèbres ou comment en sortir. A juger sur pièce le 21 juin, c’est à dire samedi prochain, à 21h sur France-Culture.

(« D.H Lawrence » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

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commentaires

710 Réponses pour Comme un Quichotte à la recherche de son île

Widergänger dit: à

« Hermétique à la vulgarité du monde… »

On le comprend.

Malheureusement, le monde est poreux…

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

Non seulement, je n’ai ps trouvé « originale », l ‘analyse du de Staël, mais je n’ai trouvée more philosophi(lizt)onico banale.
à propos du pas de côté du « banalement décalé », c’est qu’on risque se trouver avec l’oeil du cyclope

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

mais je l’ai trouvée (l’analyse)

Paul Edel dit: à

Je comprends parfaitement certains commentateurs. Ils ont raison :il ne faut pas céder à l’émotion, au panurgisme de ces prisonniers de l’émotion, à la dictature de l’émotion qui traverse bêtement les foules. Tous ces gens d’une sensibilité exacerbée qui pullulent et baignent dans l’émotion sont de benêts. Affreuse multitude de manipulés, soyons bien au dessus de ça. Laissons le glou- gouter dans son sang ce Rom fiché par la police, recroquevillé dans son caddie. Le sang sèche vite sous un caddie ou dans les cheveux .Récompensant même les audacieux cachés chez eux qui ont mis un peu d’ordre et nous débarrassent d’une vermine.

sirius dit: à

« Retrouver cette confiance passe par la reconnaissance du droit à l’existence de l’Autre, quel qu’il soit. »

Une des phrases les plus stupides jamais écrites par Bloom, qui n’en est pas avare.

Passons sur l’emphatique et grotesque majuscule qui donne à penser que l’Autre est par définition d’essence divine.

Célébrons le droit à l’existence des crétins obscurantistes, des tueurs psychopathes, des massacreurs suicides, des barbus bornés, des voilées soumises et de tout l’éventail d’imbéciles et/ou de criminels qui haïssent le type de civilisation auquel nous sommes péniblement arrivé après deux ou trois mille ans de luttes et de réflexions depuis Homère, Rome et la Bible!…

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

@P.Assouline, l’orthographe est nuageuse nébulonesque en diable! intervenautez, por favor

Phil dit: à

damned, un goût des îles…même pas compilé par Baroz. ça risque pas de faire bouger les lignes.

bouguereau dit: à

Le goût des îles

..et sans baroz..hof pour les iles il doit préférer « tempest » avé cazavétesse..du temps où les brits faisaient pas les pauvres locdu avec leurs antécédents viking

Phil dit: à

wellbek à lanzarote,
ça devrait être dans le goût des îles à baroz.

ueda dit: à

Allons, Paul Edel, ces effets de plume vous éloignent de votre propre réalité.

« nous débarrassent d’une vermine. »
Je cherche en vain quelqu’un qui se soit réjouit sur ce blog de cette lamentable histoire.

« Laissons le glouglouter dans son sang ce Rom fiché par la police, recroquevillé dans son caddie. »

C’est exactement ce que vous allez faire.
Comme moi, comme nous.

Sergio dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 17 juin 2014 à 23 h 42 min
La place Stan’ est d’une dimension tout à fait réduite.
Et étouffante, à vrai dire, à vous lire.

Non. Seulement il n’y a que cela de bien ici…

bouguereau dit: à

Laissons le glouglouter dans son sang ce Rom fiché par la police, recroquevillé dans son caddie

avé sa brume autour on est tous des kingkongs des moreaux..des dzaharof..des reines dangleterre suffit dsavoir nous prende

des journées entières dans les arbres dit: à

Sergio dit: 18 juin 2014 à 14 h 07 min
qu’est-ce que vous déplacez le problème ?!
J’étais en train de prendre le café chez Gagnaire.

des journées entières dans les arbres dit: à

Je n’ai pas le temps pour la possibilité d’une île flottante.
Plus tard, peut-être.

Sergio dit: à

« le fumigène faisant office de halo vaporeux. Mais en radio et en musique, comment le rendre » : il faut écrire une musique grise !

bouguereau dit: à

parait que guillaume s’est sévèrement paumé en allant foutre la patée chez les rostebifs..tout seul planté plusieurs jours dans la brume..tellement que les autres on cru que c’était cuit..

bouguereau dit: à

pourtant les machines à fumée marche a fond dans les vaisseaux fantôme à richard..

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

Cette expression signifie « prochainement », « bientôt ». Elle s’emploie parfois sous un ton ironique, puisque le fait d’ajouter sous peu après incessamment, renforce l’idée de temps, on n’a donc plus vraiment d’idée précise de durée. Cela reste assez flou.

Sergio dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 18 juin 2014 à 14 h 12 min
le café chez Gagnaire.

Ha place Stan on a le Jean Lamour, le Foy, le Cinq, le Grand hôtel de la reine et encore un énorme qui donne sur la Pépinière. Et maintenant les terrasses vont occuper pratiquement toute la Place. Là ça rigole pas hein !

Phil dit: à

indeed, la place Stan est à Héré. hurkhurh

Onésiphore de Prébois dit: à

C’est bien, non ? Un commentaire inspiré pour un texte inspiré (celui de Lawrence). Dommage qu’ensuite, sans doute pour étoffer le billet, Assouline meuble un peu, même s’il s’agit d’objets intéressants. Puisqu’il est question d’îles, n’oublions pas « La possibilité d’une île », de Michel Houellebecq, dont le titre très lawrencien donne au moins envie d’y aller ou d’y retourner voir. Dans le roman, l’île, c’est Lanzarote, si je me souviens bien.

des journées entières dans les arbres dit: à

« Dans le roman, l’île, c’est Lanzarote, si je me souviens bien. »

Pas du tout, JB.

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

Misanthrope ? Androphobe plutôt,
c’est vrai que l’on a connu misandre!

Onésiphore de Prébois dit: à

Passons sur l’emphatique et grotesque majuscule qui donne à penser que l’Autre est par définition d’essence divine. (Sirius)

Ben si. Je ne mettrais pas de majuscule, mais, pour moi qui suis athée, le divin par excellence, c’est l’autre. C’est plus précisément le corps de l’autre. Je le sais d’expérience. C’est la pratique du théâtre, bien plus encore que l’expérience de l’amour, qui me l’a appris, et même qui me l’a fait toucher du doigt. Une chanteuse de jazz, dont je n’aime pas trop le style, mais c’est une autre histoire, fut violée dans son adolescence. Plus tard, elle prit pour prénom de scène le mot « Abbey ». Abbey Lincoln. Talisman protecteur. Le corps de l’autre est le sanctuaire inviolable du sacré.

Sergio dit: à

C’est bien gentil, ces affaires d’îles, mais enfin c’est pas plein de Japonais qui survivent ? Ils peuvent faire cuire…

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

ce n’est ni de la géographie, ni un défi
Le Japon est un archipel composé de 6 852 îles de plus de 100 m2, dont 430 sont habitées1,2, les quatre principales étant Honshū, Hokkaidō, Kyūshū et Shikoku. Toutes ne sont pas représentées ici.

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

Les préfectures du Japon (都道府県, todōfuken?, préfecture est parfois remplacé par département1) sont les 47 circonscriptions administratives et territoriales du Japon créées en 1871.
47 UNE PAR RONIN

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

Un perfide seigneur de guerre ayant éliminé leur maître et ayant banni leur clan, 47 samouraïs errants jurent de se venger et de restaurer l’honneur des leurs.
on a le film aussi

http://www.premiere.fr/film/47-Ronin-2134571

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

un blog où l’on censure les questions de préfectures est l’horreur même

bérénice dit: à

Quelle surprise, les pas de Joseph Conrad ont arpenté l’île grande, les miens bien qu’anonymes s’y sont laissés charmer, je recommande avec pulls et chandails.

bérénice dit: à

Le flou pour révéler la netteté du contour, d’île en île pour arriver au blanc comme disparition, à soi-même également?.

Sergio dit: à

Longtemps, c’était un homme qui aimait les îles de bonne heure… Euh…

J.Ch. dit: à

à Onésiphore : la chanteuse violée au cours de son adolescence est BILLIE HOLIDAY

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

aurait parfois
ce parfois est mal compréhensible : mais comme j’aurai toujours tort , une fois de moins, un ois de plus ….!

bérénice dit: à

C’est bien gentil, ces affaires d’îles, mais enfin c’est pas plein de Japonais qui survivent ? Ils peuvent faire cuire…

Précisez votre pensée anthropophagique SVP Sergio, en attendant du sérieux bardé de culture chrétienne.

Thierry le Luron dit: à

La Maire de l’île, c’est pas Martine qu’elle s’appelle ?

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

ce n’est certainement pas pour minimiser les questions de viols de femmes, d’hommes d’enfants , mais

ce n’est pas pour minimiser les questions de viol, de femmes d’hommes, d’enfants, mais c’est l’argument des extrêmes , comme l’île une!
et qui semble dispenser des questions qui peut-être permettraient de les prévenir , ces viols .

J.Ch. dit: à

à Onésiphore : c’est ABBEY LINCOLN, qui accompagnée par son mari, Max Roach, a chanté « STRANGE FRUIT », contre le lynchage et la suite « FREEDOM NOW »

ueda dit: à

Moi aussi, je préfère rêver d’une île.

« Derrière ce déchaînement de haine, qui a fait réagir jusqu’au sommet de l’Etat, personne, aux Poètes, ne voit la marque d’une agression raciste, et rares sont ceux qui comprennent le soudain intérêt des médias pour ce fait divers comme « il y en a dix par jour dans le pays ». Samedi, au lendemain de l’agression de Darius, un gamin du quartier s’est fait tabasser à coups de batte de base-ball par des jeunes de 17 ans pour une histoire de portable volé. Personne n’a appelé la police : les agresseurs se sont fait châtier par d’autres adolescents. »

Naturellement, on n’est pas obligé de prendre à la lettre les témoignages de Kamel, Nadia, Toufik et Mamadou qui ont été recueillis par la journaliste du Monde.
C’est suffisant malgré tout pour se débarrasser d’une sociologie sommaire.

Moi aussi, je préfère rêver d’une île.

Ciboulette dit: à

aller sur une île avec uedada, pour se faire niquer ? NON et NON, avec Court (sur papattes) NON PLUS

ça mange pas de pain dit: à

« deux ou trois mille ans de luttes et de réflexions depuis Homère, Rome et la Bible! »

les croisades, les colonisations, deux guerres mondiales, les guerres dites propres, les ventes d’armes à ceux qui les revendent aux fous de religion, faut bien alimenter le business

dunque dit: à

« il y en a dix par jour dans le pays » »

ça n’est plus un fait divers

es s ai dit: à

« Nous sommes peut-être le pays le plus mélangé d’Europe. « (Bloom)
C’est certain

Par ailleurs daaphnée on parle de lynchage, pas de tournantes ni de règlements de compte entre bandes rivales –
Du moins je ne crois pas, d’après les infos journaux etc , que les tournantes et règlements de compte des bandes rivales se fassent entre membres d’une même communauté –

béré
Les maghrébins de France ne font pas de vague et souhaitent qu’on les laisse vivre en paix, ils n’aiment pas être catalogués d’après leur religion comme si c’était une origine ethnique –les intégristes sont minoritaires. le PS ( jospin par ex) n’a rien fait pour les banlieues, la droite notamment le nabot et sa minable équipe d’escrocs et d’arrivistes ont envenimé la situation avec des mesures d’extrême-droite , la prison est un vivier de recrutement pour fanatiques, les journalistes adorent faire le buzz avec le fhaine…

dunque dit: à

ueda « se débarrasser d’une sociologie sommaire »
ça ne vous arrive jamais de réfléchir

Onésiphore de Prébois dit: à

à Onésiphore : la chanteuse violée au cours de son adolescence est BILLIE HOLIDAY (J.CH)

Il me semble bien que c’est arrivé aussi à Abbey Lincoln. En tout cas, Abbey ne fait pas partie de ses prénoms pour l’état-civil. C’est un nom de scène qu’elle s’est choisi. Il faudrait savoir pourquoi (dans ses entretiens avec la revue « Jazz hot » ?)

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

24 mai 1626. Le Néerlandais Peter Minuit achète Manhattan aux Indiens pour l’équivalent de 700 euros.

Le Point.fr – Publié le 24/05/2012 à 00:00 – Modifié le 24/05/2014 à 00:01
Cette vente est une incroyable arnaque, d’autant plus que les Indiens qui perçoivent l’argent ne sont pas les propriétaires de l’île !

maurice dit: à

Paul Edel

Les lyncheurs ont tél à la mère de la victime pour lui demander une fortune. Les journalistes et politiciens ne parlent quasiment jamais des agressions, fréquentes, contre les Roms (« Aujourd’hui, «les Roms sont déshumanisés», tonne Saimir Mile, le président de l’association La voix des Roms. Résultat, selon lui: dans l’opinion, «lyncher un Rom, c’est moins grave que lyncher un chat», référence à l’histoire de la bête projetée contre un mur qui avait ému le pays en février » http://www.20minutes.fr/societe/1403642-agression-d-un-jeune-rom-aujourd-hui-lyncher-un-rom-c-est-moins-grave-que-lyncher-un-chat)

renato dit: à

Ou vous les appelez par leur nom, « Lenapes », ou vous employez le mot « Natifs », mais « Indiens »… sur un blog littéraire ça fait froid dans le dos… n’est-ce pas…

des journées entières dans les arbres dit: à

C’est la récup’ politique dans les caddies ?
Honteux.

renato dit: à

« … d’autant plus que les Indiens qui perçoivent l’argent ne sont pas les propriétaires de l’île ! »

Observation risible, il aurait fallu que les Lenapes aient connu la propriété foncière et les principes sous-jacents…

j'ai trouvé un nouveau pseudo : conne desservie dit: à

les croisades, les colonisations, deux guerres mondiales, les guerres dites propres, les ventes d’armes à ceux qui les revendent aux fous de religion, faut bien alimenter le business

Et concrètement vous faites quelque chose là contre ?

des journées entières dans les arbres dit: à

Je relis ce passage du billet:
« Seule compte la contemplation de la mer. Il se rend compte alors que son île est métaphorique, mentale, intérieure. Jusqu’à ce qu’un jour la neige engloutisse son rocher… »

c’est cette foutue date du 18 juin, qui me fait repenser à un truc du « Petit reporter à France Soir », (qui est mille fois meilleur qu’un Stephane Bern, true !): Les chaussures de Sir Owen.

Je n’ai pas retrouvé le nom de cette petite île de l’empire britannique qui disparaît au gré du journal météo … Mais c’est peut-être une autre histoire; enfoiré de Samson.

des journées entières dans les arbres dit: à

Pour Josette qui fait de la récup’ dans les caddies: voir le film  » le père noel est une ordure »

renato dit: à

« les croisades, les colonisations, deux guerres mondiales, les guerres dites propres, les ventes d’armes »

Curieuse pratique du « sens unique »… les autres n’ont jamais rien fait… mais bon, je suppose que celui ou celle qui a écrit ces mots ne regarde que ce que lui convient…

renato dit: à

Article Figaro

Mais le temps de la Justice en France ne permet pas une condamnation rapide, alors les politiques surfent sur la vague de l’émotion, ce qui est, apparemment, tout ce qu’ils savent faire.

Cela dit, il serait intéressant si le gouvernement de la Roumanie arrivait à nous raconter où est fini l’argent que l’UE a mis sur la table pour les Rom, après, et seulement après, ils pourrons réagir du haut de leur racisme et de leur corruption.

des journées entières dans les arbres dit: à

Je précise pour les mal-comprenants que l’article du Figaro est d’un « diplômé d’Anthropologie et de l’école de journalisme de Lille. Son premier livre, La France orange mécanique , paru en janvier 2013, devient un phénomène de société. Son second livre Utoya est paru le 22 août 2013. »
Probablement sujet à caution, I don’t know.

des journées entières dans les arbres dit: à

Renato est sans doute excusable, pour ses propos condamnables. I don’t know.

des journées entières dans les arbres dit: à

« Même la Roumanie a réagi. Bucarest a demandé à Paris de «tout faire pour juger les responsables». À croire que jusqu’en France, les Roumains ont ce que les Français n’ont plus: un État pour les défendre. »
extrait du lien, dit du Figaro pour faire plaisir à renato.

renato dit: à

« propos condamnables » ?! informez-vous – dans l’incapacité, taisez-vous.

renato dit: à

J’ai lu l’article, vous devriez prendre du bromure de temps à autre…

bérénice dit: à

Essai je suis d’accord avec vous, je remarque cependant qu’il est difficile d’aborder le sujet, de donner son sentiment de façon sincère et mon point de vue est celui d’une femme, sans être perçue ou soupçonnée de racisme ou d’intolérance. On peut aussi voir qu’au fil du temps par exemple nous avons abandonné le port du foulard pour aller à l’église si on la fréquente, le port du noir pour marquer le deuil si on le souhaite, que les signes extérieurs de foi ou de religiosité disparaissent de notre quotidien sauf pour les religieux alors qu’il y a résurgence et multiplication des signes d’appartenance qui sont dictés par la religion musulmane, je ne saisis pas en quoi il est utile sous nos climats de s’habiller de la tête aux pieds jusqu’au visage caché, Est-ce que ces signes ajoutent de la foi, la ferveur, la croyance? J’y vois un désir de se dissocier et d’accroitre sa visibilité en plus d’affirmer une différence, pourquoi puisque son cherchées des solutions de cohabitation, vouloir se démarquer en ajoutant à la couleur de la peau des signes culturels qui sortent du musée? J’suis pas cool.

des journées entières dans les arbres dit: à

Renato, depuis quand tenez vous l’entrée du club, comme un videur raciste et xénophobe; et à quel titre ?

pour plus de précisions dit: à

Tenato 18h47
les autres n’ont jamais rien fait

il ne s’agit pas des autres mais de compléter une phrase inachevée

renato dit: à

« videur raciste et xénophobe » ?! vous êtes sûre que chez vous tout va bien ? pour ce qui est du comprendre, j’entends… mais ça se comprend : peu et mal informée vous vomissez vos jugement à deux balles… BàV et bonne soirée…

des journées entières dans les arbres dit: à

Ce lien de 17h48, j’aime bien y revenir, c’est à cause de, de Gatsby le magnifique.

« Acheter sa propre île, son petit coin de paradis, c’est possible.
Alors pourquoi pas vous ?
D’abord le défunt Brando en Polynésie, puis Johnny Depp, Mel Gibson, Sean Connery, Leonardo Di Caprio, Richard Branson, Bill Gates, Ted Turner…, lassés de leurs villas californiennes et de leurs suites cinq étoiles, ces stars ont décidé de s’acheter leur île privée. »

Cauchemardesque a été Shutter Island. Heureusement « habitée » par le monstre Di Caprio.
http://www.shutterisland.com/#/home

ueda dit: à

Marrant.

Même quand on a une noisette dans le citron (deux fruits qui poussent dans les arbres), il arrive qu’on clique par hasard une référence intéressante.

Renato en videur de boite…
Au moins, elle me fait poiler!

des journées entières dans les arbres dit: à

@18 juin 2014 à 19 h 25 min

Méfiez-vous de l’auteur.
Faites confiance à son oeuvre.
La vraie tâche d’un critique est de sauver
l’oeuvre des mains de son auteur.
– D.H. Lawrence

m.a.g.n.i.f.i.q.u.e

ess ai dit: à

Berenice

ils sont manipulés et se sentent laissés pour compte? j’en sais rien mais depuis la fin eds années 80 ça craint

renato dit: à

Le rôle de Côme Laverse du Rondeau exerce, évidemment un vif attrait… bien l’interpréter c’est autre chose…

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

SIMON LEYS sur Lawrence
« not to mention the fact that some of its political views reeked of fascism. »
le professeur qui m’en avait parlé avait été encore plus précis .
il est vraiment triste que les erdéliens se soient fait un nid douillet de leurs quolibets et ne sachent pas trouver un lien approprié : encore une raison de me désolidarisé de leur société qu’ils disent prestigieuse

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

de me désolidariser
De la direction de blog de P.Assouline qui semble plus soucieux de projeter les flashes des cours de psychanalyse pour journalistes que de susciter dans les commentaires, et peut-être ailleurs des jaillissements d’intuition ou dinsight sensible sur les auteurs et sur eux-mêmes

bérénice dit: à

20h03 De ce que j’ai lu de lui, rien ne transparaît de ces opinions, êtes-vous sûr? Quoi pour étayer SL

des journées entières dans les arbres dit: à

@18 juin 2014 à 19 h 48 min
petits arrangements pour D.H.L dans le ciel astral sino-belge.

LIN: L’APPROCHE DE CE QUI EST FORT

Sens général de LIN :

Les deux traits yang poussent vers le haut avec une grande vigueur et LIN représente le pouvoir d’une fonction. La force yang est en ascension, comme le printemps qui monte vers la terre. Toutefois, au huitième mois, cette force s’épuise (on songe à la parole chinoise qui veut qu’après huit mois d’exercice, on ait épuisé les joies du pouvoir).
La terre sur le marais montre un contact intime, il ne pourrait être plus complet. On surveille d’en haut le peuple. C’est là l’essentiel de la fonction du gouvernement. Il convient toutefois d’essayer de rendre permanente cette force yang, qui va monter durant huit mois vers le haut. Il existe aussi un sens de guider et de soutenir.

ueda dit: à

« La force yang est en ascension, comme le printemps qui monte vers la terre. Il convient toutefois d’essayer de rendre permanente cette force yang, qui va monter durant huit mois vers le haut.  »

Ces Chinois…
C’est toujours Viagra et compagnie.

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

Que ces « lectures lacaniennes » me barbent aujourd’hui!

Widergänger dit: à

Pépé Cohn Bendit qui nous parle des pauvres des favellas de Sao Paulo avec 10 000 €/mois, je ne sais pas pourquoi mais ça me fait pouffer de rire…

D. dit: à

Que personne n’essaye de nous faire croire que ce genre d’ile présente un quelconque intérêt.
C’est plein de saloperies : requins, moustiques, araignées, mouches vertes, serpents venimeux, fourmis rouges, varans baveux, fièvre jaune et cannibales irrités.

D. dit: à

Écoutez, Bérénice, vous faites une fixation sur la chose, ma poulette. Calmez-vous. Il y a du monde à vous lire.

bérénice dit: à

D quelle chose? Car selon saint Lacan, ça pourrait vous coûter cher selon le pays où vous vous baladez sans bikini.

des journées entières dans les arbres dit: à

Plus je lis, moins je comprends.

Conrad est absent, mais sera, en quelque sorte, présent le jour de la fête de la musique sur France Culture.
Après Dracula?

Au cœur des ténèbres, de Joseph Conrad
Librement adapté par Stéphane Michaka
Avec l’Orchestre National de France
Musique originale et direction d’orchestre Didier Benetti
Réalisation Cédric Aussir
Conseillère littéraire Caroline Ouazana

Claudio dit: à

L’Edition des nouvelles de D.H Lawrence en 5 tomes au Bruit du temps est une merveille. Merci M. Antoine Jaccottet.
En janvier 2014, Le Bruit du temps a déménagé à deux pas de porte, au 66 rue du Cardinal Lemoine, dans une boutique à devanture verte avec vitrine. Tous les livres du catalogue sont désormais disponibles à la vente à cette adresse.

kicking dit: à

et pour un kruder&dorfmeister mix acheté il y a des lustres faudrait avoir gardé la quittance ?

Widergänger dit: à

Les éditions Le Bruit du Temps j’adore. On peut y lire Mandelstam, entre autres.

Il y a un tragique quotidien qui est bien plus réel, bien plus profond et bien plus conforme à notre être véritable que le tragique des grandes aventures. Il est facile de le sentir, mais il n’est pas aisé de le montrer, parce que ce tragique essentiel n’est pas simplement matériel ou psychologique. Il ne s’agit plus ici de la lutte déterminée d’un être contre un être, de la lutte d’un désir contre un autre désir ou de l’éternel combat de la passion et du devoir. Il s’agirait plutôt de faire voir ce qu’il y a d’étonnant dans le fait seul de vivre. Il s’agirait plutôt de faire voir l’existence d’une âme en elle-même, au milieu d’une immensité qui n’est jamais inactive.

N’est-ce pas la tranquillité qui est terrible lorsqu’on y réfléchit ?

Widergänger dit: à

L’influence de Melville sur D.H. Lawrence est connue. DHL voit en lui « le plus grand des visionnaires et des poètes de la mer. » (1930, « Hermann Melville ou l’impossible retour », in Etudes sur la littérature classique américaine, , Seuil, 1979, p. 165.

Les romans Taïpi, Omoo et Mardi ont eu une grande importance, où il y voit, malgré son enthousiasme pour Melville, la grande contradiction qui mine l’idéalisme melvillien, à la fois attiré par le passé et la vie sauvage, et ne pouvant y être heureux.

Pavese n’y voyait que des œuvres « mineures ».

Les îles du Pacifique sud ont, depuis le voyage de Bougainville et Diderot dans Le Supplément, servi d’exutoire à tous les fantasmes occidentaux pour critiquer l’Occident, et en même temps d’îles utopiques (qu’on pense à Mardi, son roman, mais aussi à Murnau avec son film Tabou).

Widergänger dit: à

Plutôt que Don Quichotte, ce serait Thomas More qu’il faudrait évoquer, avec son île Utopia.

D. dit: à

Vous savez, Bérénice, j’ai vécu trente ans sur une petite île située sur la Jordanne, non loin d’Aurillac, dans une cabane de pêcheur, en me nourrissant exclusivement de truites et d’écrevisses. Et bien d’après mes observations, il n’y a pas beaucoup de différences entre une île et ce qu’on appelle un peu rapidement le continent.
Un continent, c’est une île un peu plus grosse que les autres, voilà tout. Il s’agit toujours de terre entourée d’eau.
Prenez l’Australie, est-ce une île, est-ce un continent ? Une île-continent ? Et l’Antarctique ? Et l’Amérique ?… Difficile à dire, et je préfère ne rien dire des archipels sidéraux, cela nous mènerait trop loin.

renato dit: à

… chapitre XLII

Sergio dit: à

bérénice dit: 18 juin 2014 à 16 h 39 min
Précisez votre pensée anthropophagique

C’est pas dur y en a qui ont rien becqueté depuis quarante-cinq… La montre et tout le bastringue de guerre en panne, ils savaient jamais qu’il était midi…

Widergänger dit: à

L’île, en réalité, ne peut se comprendre en tant que projection utopique que comme pendant de la Cité. L’un ne va pas sans l’autre.

Car, comme le montre Pierre Manent dans son grand livre Les Métamorphoses de la Cité (Flammarion, 2010) : « la cité est la source première du développement occidental ». Tel est sa thèse, dit-il.

Aussi, depuis Thomas More, projette-t-on dans une île — pendant de la Cité — les problèmes de la Cité et les rêves d’une Cité idéale. Rabelais s’y adonne aussi à sa manière avec son abbaye de Thélème. Au XVIIè siècle, on a La Cité du Soleil, de l’italien Tommaso Campanella (1623). Et au XVIIIè siècle, il n’y a pas que l’île de Robinson. Qu’on pense aussi à L’Île des esclaves, la pièce de Marivaux, ou encore L’Île de la raison ou les petits hommes. Aussi, la Cité-usine idéale à fabriquer de la chaux, imaginée par Nicolas Ledoux en 1773.

On a aussi une fusion en quelque sorte de la Cité et de l’utopie de la Cité dans la fameuse fresque « Effets du bon gouvernement » à Sienne (XIV è siècle).

Une analyse nous montrerait que ces utopies réunissent les prototypes de deux cités pensés par Pierre Manent dans son ouvrage : Abel et Caïn, le sédentaire et le nomade. J’ajouterais le Juif, tantôt sédentaire, tantôt nomade, sur lequel la Cité occidentale projette ses angoisses, ses haines, parce qu’ils viennent établir une frontière avec l’idéal en tant que « peuple élu », donc haï, rejeté, méprisés, et avec les Tsiganes, peuple nomades exclu de la Cité, persécutés comme les Juifs parce que nomades, déniant à la notion de frontière toute substance, donc toute possibilité d’une île.

Widergänger dit: à

Dans l’Antiquité, chez Platon, on a la Cité idéale dans La République, et son pendant — mais qui a déjà sombré — l’Atlantide, mythe auquel Pierre Vidal-Naquet a consacré un chouette livre.

renato dit: à

Il me semble que lorsque C. Colombo découvrit l’Orinoco il crut avoir découvert le paradis terrestre… un vieux mythe, donc…

Sergio dit: à

Widergänger dit: 18 juin 2014 à 22 h 55 min
l’Atlantide

Et Vineta, avec ses cloches… Mais ça a pas flotté, hein !

Onésiphore de Prébois dit: à

Sur le thème de l’île, une fiction peu connue d’andré Dhôtel, publiée en 1956, « L’île aux oiseaux de fer ».

On ne s’attendrait pas à rencontrer André Dhôtel, l’auteur du « Pays où l’on n’arrive jamais », dans la proximité de ces prophètes des temps futurs que furent un Huxley ou un Orwell. Pourtant « L’île aux oiseaux de fers », s’apparente à leurs fictions.

Sur l’île aux oiseaux de fer, perdue dans les immensités de l’Océan Pacifique, vit une étrange communauté entièrement soumise à la domination des machines. Elle pourvoit à leur maintenance, reçoit d’elles sa subsistance, les règles de son existence, obéissant à la moindre de leurs injonctions. C’est ce que découvre peu à peu Julien, le héros du récit, nouveau venu débarqué par hasard sur l’île, quand il en interroge les habitants :

— Alors vous exécutez tous les ordres que vous recevez, sans réfléchir le moins du monde ?
— C’est logique, répondit l’un.

Cette logique est en fait la logique des machines, étrangère, comme nous le montre le récit, à la logique du coeur humain, comme le temps des machines est étranger à la temporalité humaine. Les habitants de l’île vivent une existence immuable, jouissent d’un bonheur morne, parce que tous les hasards des rencontres, toutes les surprises du désir, toutes les incertitudes de la liberté, tout appel d’une transcendance, en sont exclus.

L’attirance amoureuse de deux jeunes gens finira par mettre en échec toute cette machinerie.

renato dit: à

« Les yeux d’email [du chat] regardent l’au-delà comme s’il était une sourie, et il se peut bien qui le soit. »

Juan Rodolfo Wilcock, Ik-men-ha-kaf-Mjw

renato dit: à

… mais… L’invention de Morel… une île… un jeu construit sur l’a capo…

renato dit: à

Oups ! fondé sur le DA capo…

bérénice dit: à

C’est plein de saloperies
D je crois que l’équilibre continental se doit à leur diversité et à une densité toujours mal entretenue avec un plus pour l’île quand elle est petite c’est que d’où que vous vous situiez, à disposition le choix de rendre à l’océan ce qui n’a

bérénice dit: à

n’aurait jamais du en sortir, un entrainement au lancé et pfuitt, du beau ménage, on jette, on solde, on relâche, on se débarrasse.

bérénice dit: à

J’ai du ainsi me séparer de trois chaises style louis XVI, qui ne s’intégraient pas à la déco tropicale.

D. dit: à

Je précise quand même, à l’intention des autorités qui me contrôlent, que je pêchais les truites et les écrevisses avec permis, ligne et panier, pas comme un vulgaire braconnier.

D. dit: à

Écoutez Bérénice, je vais être franc avec vous : souvent je relis deux ou trois fois ce que vous écrivez, sans comprendre.
Comme mon intelligence ne peut être remise en cause, je me permettrais d’affirmer que votre écriture dépasse les limites acceptables de la bizarrerie.

D. dit: à

Pire, je crois comprendre des choses que finalement vous n’avez peut être jamais exprimées. C’est très ennuyeux et cela a pu finir par nous opposer l’un à l’autre alors qu’à la base on était d’accord sur tout, en théorie.
Vous comprenez ce que je veux dire ?

bérénice dit: à

Oui mais ça ne m’aide pas pour autant, vous en savez trop et je m’y perds comme une pauvre vipère.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…pour écrire un mot!,…si!,…les gens sont très différents entre soi!,…si!,…
…le plus important , c’est de vivre avec une autorité de droit,…
…Oui!,…en dehors des particularités-propres des intérêts de chacun!,…
…Bon,…avoir raison!,…et faire autorité!,…contre soi-même!,…pour un droit archaïque ou des contre-sens!,…évitons tout cela!,…

…la raison et l’intérêt Oui!,…dans une marge de rêve qui nous berce dans la sérénité dans cette grande-île qu’est toute la terre!,…dans le ciel!,…
…restons-unis,…respectons nos différences,…mais ne tombons pas dans le ridicule de nos actes devant l’histoire !,…
…tout est îles et continents, par profits & illusions!,…

…aujourd’hui!,…hélas !,…la force que représente l’argent est gigantesque par rapports aux esprits qui la possède!,…
…donc!,…
…en, plus!,…il doit exister une loi  » métaphysique « ,…du genre  » tout se compense dans la nature & par interactions des faits mouvants et imposés entre-eux « ,…
…cool!,…très cool!,…hélas!,…non!,…

…il y a un chemin grand ou petit pour bien faire pour tous!,…dans leurs intérêts!,…encore faut-il savoir bien l’expliquer!,…
…et , hélas!,…je constate!,…le parasitisme même malgré-soi!,…de tout-un chacun!,…qui s’abandonne aux dits  » avoir le bras long « ,…confiants comme clientélisme à médecine!,…
…des structures corporatistes, des connivences!,…pour en réduire les honnêtes-gens!,…à ceci près!,…
…que finalement!,…tout le monde vit sur des faux!,…des mensonges!,…des copier/coller !,…

…plus!,…encore des mensonges sociaux!,…
…des escrocs partout!,…des escrocs encore!,…
…c’est tout juste!,…si le morphing ne devient pas réalité!,…en passant sur les lois des sciences de cette terre!,…

…un grand danger!,…c’est les maladies mentales des gens pour le pouvoir!,…d’avoir plus que l’autre!,…de se croire meilleur en cuisse de Jupiter!,…
…l’âge des monstruosités pour l’intérêt personnel,…aux dépens de la collectivité  » normale « ,…continue comme une chasse aux bisons!,…ou en cages aux folles dans les villes!,…
…détritus!,…parasites!,…en la part des choses,…à l’Optimum Paretto, la vie & son zoo!,…la régulation identitaire en grande manoeuvres privés sur l’état en déconfitures-express!,…
…parce qu’on le vaut bien!,…
…deux poids !, deux mesures!,…
…because!,…Oui!,…quel cul!,…réducteur of course!,…en développant ses enjambées!,…la chasse aux peuples-bisons-futés!,…Ah!,…Ah!,…
…çà va!,…il nous manque un choix de cachets!,…ou du genre sceaux et cartouches !,…à scellés!,…etc!,…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…@,…à 23 h 38 mn,…
…je pêchais les truites et les écrevisses comme un vulgaire braconnier!,…
…avec tout les poissons-chats visqueux, qu’il y a dans les ruisseaux en Alsace!,…faut pas pousser avec la dynamite Nobel des croisières bikini sur neige!,…
…c’est dit!,…etc!,…

Bloom dit: à

Laputa, île swiftienne, désigne n’importe quel lieu habité par des sales gens.
Avec Kangaroo, Lawrence of Australia se fait chroniqueur de l’île-continent dont il saisit l’essentiel en seulement trois mois passés à Woolloomooloo, à côté de Sydney.

JC..... dit: à

UN ROM, UN CADDIE, UN CONTRE-SENS …..

« Pourquoi ai-je parlé de ce Rom » est une question posée par Paul Edel sur son blog… et la réponse est évidente : parce qu’il avait envie de parler de ce fait divers banal.

Cela serait tout à fait respectable, il exerce son droit, si ses conclusions, populisme, racisme, barbarie, préfiguration d’une montée de fascisme type 1933 n’étaient fantasmes, et accompagnées d’une sensiblerie tout à fait touchante … et inutile… dans ce domaine courant de la vie des banlieues pourries.

On n’a pas besoin des sanglots longs de Christiane, des lamentations gauchisantes de PMB, des insultes intolérantes de Nathalie ou d’autres bobos, pour savoir ce qui se passe dans les ghettos. On a seulement besoin d’une justice qui fonctionne dans des territoires perdus où la République ne fonctionne plus.

Inutile donc de raisonner ces « humanistes égarés » qui sur-réagissent sur ce fait divers sans importance, tant il est précédé de cas semblables dont ne parlent pas nos belles âmes parce qu’ils ne sont pas Rom, minorité souffrante !

Après tout, ils ont le droit de réagir comme ils l’entendent, nos « humanistes égarés », même si une foultitude de cas identiques auraient mérité une analyse sociologique de sang-froid, et pas un concert de pleurnicheries, témoignage de la légèreté boboïde germano-pratine qui s’emballe au hasard de bouffées de tendresse !

Concluons avec Laurent Obertone :
 » En dépit du concert d’indignation, comme toujours, les actes ne seront pas condamnés, la fermeté n’aura pas lieu. Les assaillants, qui «encourent la réclusion criminelle à perpétuité», s’ils sont arrêtés, seront sans doute relaxés, comme cette «bande de jeunes» ayant tabassé un homme «pour un regard» à Argentan (Ouest France, le 17 mai 2014), ou peut-être, dans le meilleur des cas, usera-t-on de la «contrainte pénale» pour aménager leur peine, si on leur trouve une place en prison.

Bracelet pour tous. Pensons à la réinsertion, l’idéal c’est la prévention…..

Nos responsables pourraient avoir au moins la décence d’être cohérents avec leur cynisme idéologique. Qu’ils se taisent. Qu’ils ne viennent plus s’indigner de l’état des victimes, quand ils ne font rien contre les coupables. »

En résumé, les pleurs de nos « humanistes égarés » sont vains, le sort d’un cambrioleur importe peu, sa nationalité non plus, ce qui est à redouter, c’est l’absence de justice, pas le racisme anti-rom, pas la montée d’un nazisme des années 30, pas la barbarie ! Ce qui importe, c’est le fond.

Et le fond, c’est que cette affaire, toutes les affaires, sont la conséquence du laxisme judiciaire en développement dans ce pays, géré par des incapables depuis des décennies….

JC..... dit: à

Toute ma compassion à nos amis Espagnols, frappés par le malheur à répétition !

Non seulement ils viennent de perdre un grand roi (tueur d’éléphant et aussi de golpe, régatier de haut niveau ) mais ils sont éliminés du Mondial qu’ils avaient gagné la précédente fois !

Seigneur, écoutez ma prière ! Faites que nous ne perdions pas notre Petit Gros (enculeur de mouches, louvoyeur de première) et que nous réussissions au Brésil, pour une fois !

renato dit: à

« Usager » ?! faudrait, à un moment, oublier ce mot absurde car je paye un service, de ce fait je suis un « client ». Cela vaut aussi pour « patient »… Enfin, reformer la langue, de temps à autre, ne peut que faire du bien…

JC..... dit: à

Jour anniversaire du Barbecue ROSENBERG

Il y a un peu plus de 60 ans grillaient sur la chaise électrique deux cambrioleurs physiciens, Julius et Ethel, qui avaient fourni aux soviétiques des informations capitales leur permettant de pondre plus facilement leur œuf nucléaire de type A …

Bel et bien coupables, les Rosenberg n’avaient pas volé leur auto-grillade, car le décryptage par la CIA de messages échangés de 1943 à 1945 entre l’antenne du service secret soviétique à New York et son centre à Moscou dans le cadre de l’opération Venona, présenté en 1995, prouve bien l’implication de Julius Rosenberg dans un réseau d’espionnage au profit de l’URSS.

Le procès était visiblement arrangé, la double condamnation à mort excessive, mais Julius était bel et bien espion pour les Soviétiques, même si cela n’a pas été prouvé à l’époque de son procès.

La cambriole était une activité risquée en 1953…

des journées entières dans les arbres dit: à

« Cette nouvelle traduction en français du chef d’œuvre de Carlo Collodi « Le avventure di Pinocchio, storia di un burattino » a été réalisée en 2002 à partir du texte original de 1883 que l’on peut consulter sur l’excellent site « Italian litterature in HTML » réunissant quelques classiques de la littérature italienne. Cette traduction s’ajoute aux nombreuses autres publiées sous forme de livres par divers éditeurs mais celle-ci est exclusivement et gracieusement mise à la disposition des internautes francophones pour lesquels reste énigmatique la langue de Dante et de… Collodi. »

extrait :

Tu vas où exactement ?

– Je vais vivre dans le plus beau pays du monde, un vrai pays de cocagne !

– Comment s’appelle ce pays ?

– C’est le Pays des Jouets. Tu ne veux pas venir avec moi ?

– Moi ? Certainement pas !

– Tu as tort, Pinocchio ! Si tu ne viens pas, tu t’en repentiras, crois-moi. Car où trouver ailleurs un pays aussi idyllique pour nous autres les enfants ? Il n’y a ni école, ni maîtres, ni livres. Dans ce pays béni, il n’y a rien à apprendre. Ici, le jeudi est un jour de congé. Eh bien, dans ce pays, la semaine se compose de six jeudis, plus le dimanche. Les grandes vacances commencent le Premier de l’An et finissent à la Saint-Sylvestre. Voilà un pays qui me convient parfaitement ! Tous les pays civilisés devraient lui res­sembler.

– Que fait-on de ses journées au Pays des Jouets ? – interrogea la marionnette.

– On joue, on s’amuse du matin au soir. Le soir, on va au lit, et le lendemain matin, on recommence. Qu’en dis-tu ?

http://claude.sartirano.pagesperso-orange.fr/TRADPIN30.htm

jisséhû dit: à

jissé être éminent sociologue

JC..... dit: à

Tous les pianistes, tous les compositeurs, tous les amateurs de jazz sont tristes ce matin : Horace Silver est mort. RIP.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@,…J.C.,…vous ridiculisez la liberté!,…par vos  » gros cacas  » du matin au soir!,…

…tu nous emmerde!,…tout les matins,…

…quelque soit le sujet!,…tu mous met nos esprits à sentir tes cultures de merdes!,…

…la culture politisée à tes  » parfums  » et polarisée à ton niveau  » d’abrutis  » faisant souche uniquement avec toi-même,…

…le cherche  » Caca « ,…du jour!,…à nous la servir sur un plat,…

…le plafond des enfers!,…à empêcher la libre expression de pensée!,…là!,…

…il devrait y avoir,…un effaceur personnel-privé,…qui permet,…d’effacer à sa relecture tout ce que l’on trouve  » express diabolique gratuit « !,…pour s’habituer au grotesque satanique de tout tes jours!,…

…c’est toujours le genre  » couleurs scatologiques « ,…de diversions par manque d’hygiène systématique!,…

…dans un lots de pions imposés sur l’échiquier de ce blog’,…
…comprendre pour en sortir de ces orties!,…

…c’est répétitivement mécanique, comme choisis par un filtre des sens de programme d’ordinateur corrompus express,…

…conclusion !,…je ne réagirais plus!,…dans une discussion trop  » parasites  » de hordes-sauvages « ,…

…trop systémique ce Cinéma!,…complicité aux connivences d’échiquier plus que probable par l’impunité dont vous jouissez!,…

…Atilla à tes côtés!,…c’est un saint là!,…idem pour d’autres à venir faire leurs besoins sur toiles!,…

…de l’air!,…et bon vent!,…de parfums de crottes internationales!,…
…Bla!,…Bla!,…à rien foutre la tête vide aux immondices!,…
…etc!,…

JC..... dit: à

Gianni, pour être pardonné, je t’offre volontiers ton poids en désodorisant pour WC, « Eau de Tinette » me semble parfait. Tu pèses combien…?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…trop!,…c’est trop!,…les marges et mesures se font avant!,…et pas après l’édifications de scatologies sur blog’s,…du vent!,…etc!,…

OneNote dit: à

N’oublions pas non plus L’île aux enfants, de Casimir. Une utopie en acte.

JC..... dit: à

D’accord, Gianni !
Pour te faire plaisir, je vais tuer JC. Et je vais changer de pseudo. Je vais désormais me pseudo-nommer Gros Caca : GC. Tu peux arrêter de nous faire un gros caca nerveux …

PS : Tu as lu « Kangourou » de DH Lawrence ? Un livre excellent, c’est l’histoire d’un mec solitaire …

Bloom dit: à

L’Utopie manquée de Lawrence, c’est Taos, au Nouveau Mexique, où il séjourna deux années dans les années 20.
en.wikipedia.org/wiki/D._H._Lawrence_Ranch

jacques de bernie, 172% et des milliards dit: à

la justice est très dure avec les meilleurs

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

et qu’il s’annonce par exemple sur l’affiche d’un film, il fait fuir. Avec un livre aussi : on douterait qu’il recèle le moindre mystère.
court-on après le mystère ?
comme si , en post lacanie, -même pas une île!-il n’y aait pas plus de mystère dans Tout que l’intelligence de EH HEU disons ham**t peut en concevoir : tenez, l’orthographe, le lexique, la syntaxe et la parataxe, et les apparats chic, cheeks &ton gueux & gueuses

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

Il y a plus de choses dans le ciel et la terre, Horatio, – Qu’il est rêvé dans votre philosophie. Shakespeare William

Bloom dit: à

Cathart…catharsis impossible…chez Lawrence, c’est toujours la lutte entre l’apollonien et le dionysiaque…Diable d’homme.

Onésiphore de Prébois dit: à

Aussi, depuis Thomas More, projette-t-on dans une île — pendant de la Cité — les problèmes de la Cité et les rêves d’une Cité idéale. Rabelais s’y adonne aussi à sa manière avec son abbaye de Thélème. Au XVIIè siècle, on a La Cité du Soleil, de l’italien Tommaso Campanella (1623). Et au XVIIIè siècle, il n’y a pas que l’île de Robinson. Qu’on pense aussi à L’Île des esclaves, la pièce de Marivaux, ou encore L’Île de la raison ou les petits hommes. Aussi, la Cité-usine idéale à fabriquer de la chaux, imaginée par Nicolas Ledoux en 1773.

On a aussi une fusion en quelque sorte de la Cité et de l’utopie de la Cité dans la fameuse fresque « Effets du bon gouvernement » à Sienne (XIV è siècle). (Widergänger)

Quand Widergänger n’insulte pas grossièrement l’un ou l’autre des commentateurs de ce blog, il nous pond de laborieux résumés cuculturels dignes d’un cours de rattrapage dans le cadre de la préparation au BEPC. Je soupçonne de plus en plus Widergänger d’être un faux Juif, infiltré sur ce blog dans le seul but de déconsidérer le Peuple élu. Une sorte de terroriste pseudo-intellectuel, en somme, et qui devrait finir par se faire exploser dans une gigantesque gerbe de conneries.

tseu tseu dit: à

« laborieux résumés cuculturels dignes d’un cours de rattrapage dans le cadre de la préparation au BEPC »

propos d’un cerveau hyperculculturé bac + 30 au moins

GC..... dit: à

« Je soupçonne de plus en plus Widergänger d’être un faux Juif, infiltré sur ce blog dans le seul but de déconsidérer le Peuple élu. » (Onésiphore)

Si Alba est un faux juif, tu es, toi Prébois, un vrai pervers !

bouguereau dit: à

qui devrait finir par se faire exploser dans une gigantesque gerbe de conneries

si dracul c’est le piromane c’est keupu la kasam avec papillotte..on les appelle les frangins esbola..dieudonné il est fait aux pattes épicétou

bérénice dit: à

ODP libre à chacun d’apprécier ou pas WDGG, il y a dans cet amas culturel à prendre et à laisser, vraisemblablement, pour le concours de la connerie, nous sommes tous potentiellement inscriptibles, vous l’oubliez parfois. Côté insultes, vous n’êtes pas avare quant aux cours de rattrapage ils sont destinés à des gens qui n’ont pas comme vous le niveau requis, savoir se mettre à portée, c’est important si on ne veut pas rester à croupir dans un bouillon.

bouguereau dit: à

Lawrence, c’est toujours la lutte entre l’apollonien et le dionysiaque…

franchement dionysiaque..encore que ce soit un vieux cliché en noir et blanc qui est assez faiblard maintenant..quelques cruautés de lawrence sur la litterature française assez bien senties

bérénice dit: à

Sortez du kolkhoze cul-cul la praline, ça ira mieux, optez pour la privatisation des outils du plaisir, nothing personal.

bouguereau dit: à

L’Utopie manquée

tu fais peur quelquefois kabloom

bouguereau dit: à

« Usager » ?! faudrait, à un moment, oublier ce mot absurde car je paye un service, de ce fait je suis un « client ». Cela vaut aussi pour « patient »… Enfin, reformer la langue, de temps à autre, ne peut que faire du bien…

même en comique troupier..et plus de troupe et plus que des triste à l’armée.. t’aurais faim rénateau..20piges déja
http://www.youtube.com/watch?v=RFLxu5_m3r8

Onésiphore de Prébois dit: à

Quand Widergänger n’insulte pas grossièrement l’un ou l’autre des commentateurs de ce blog, il nous pond de laborieux résumés cuculturels dignes d’un cours de rattrapage dans le cadre de la préparation au BEPC. Je soupçonne de plus en plus Widergänger d’être un faux Juif, infiltré sur ce blog dans le seul but de déconsidérer le Peuple élu. Une sorte de terroriste pseudo-intellectuel, en somme, et qui devrait finir par se faire exploser dans une gigantesque gerbe de conneries. (mézigue)

Celle-là, il va me falloir au moins une demi-heure pour m’en remettre. Ce qu’on peut redevenir gamin, en vieillissant! Un bon missile sur le coin de la gueule du Widergänger juste après le p’tit dej, c’est ça qui vous r’faitun’jeune-e-sse !

GC..... dit: à

Prébois est non seulement pervers mais pervers narcissique, mais aussi antisémite sur canapé, antisémite explosif propalestinien !

Tant de défauts en un seul homme : mais où sont les qualités qu’apprécia Josette, dans la jeunesse de son aveuglement ?!

bouguereau dit: à

vraisemblablement, pour le concours de la connerie, nous sommes tous potentiellement inscriptibles

t’es minionne a faire rempart de ton petit corps pour la concription de toute la chair a canon dispo..mon cul béré..mon cul!

bouguereau dit: à

ma mère vla l’aut trou du cul..y’a de quoi faire diversion béré..et renfield..de l’art..du jeux de mot..bande de locdu

bérénice dit: à

Bouguereau je trouve qu’à ce niveau de la conversation, il y a comme une égalité à faire des phrases toutes plus savantes les unes que les autres sans prendre de risque, quelle belle expo, de l’art pour l’art au mieux, du temps perdu et c’est gratuit, une preuve de nos courages rassemblés, de quoi aurions nous l’air, sans ça, confortablement installés dans nos canapés à faire preuve de notre passage.

bouguereau dit: à

gaudillots!

bouguereau dit: à

t’es une enfumeuse béré..l’intelligence les mots te servent juste a bourrer l’étoupe pour le canon ou pour les fuites d’eaux..on peut toujours dire apolinien et dyonisiaque..bourrins!

GC..... dit: à

Malgré des dispositions certaines, bougboug, tu ne gagneras jamais le grand concours de la connerie !

Trop de concurrence, libre, non faussée, chez les esclaves à Passou, capables du mauvais comme du pire…

PS : « mon cul » dit à Bérénice… c’est chaud !

bérénice dit: à

Pour terminer, je n’en suis pas à militer, pour qui pour quoi? Disposeriez vous à présent d’arguments convaincants? Vous êtes un comique, c’est bien, besoin!

Onésiphore de Prébois dit: à

Prébois est non seulement pervers mais pervers narcissique, mais aussi antisémite sur canapé, antisémite explosif propalestinien ! (GC)

Ce n’est pas moi qui suis antisémite, c’est Widergänger, faux Juif , insulte vivante au peuple élu, réincarnation de Judas !

bouguereau dit: à

PS : « mon cul » dit à Bérénice… c’est chaud !

ha c’est toi jicé..je t’avais pris pour kasam..oui..et elle n’en tire aucun parti..c’est froid..

Onésiphore de Prébois dit: à

faux Juif , insulte vivante au peuple élu, réincarnation de Judas ! (mézigue)

Comme dit mon notaire, quand on commence à mélanger les testaments, ça craint !

GC..... dit: à

Soyons sérieux : les ancêtres de WDGG remontent jusqu’à Josias !!!

Onésiphore de Prébois dit: à

Soyons sérieux : les ancêtres de WDGG remontent jusqu’à Josias !!!( GC)

Bof ! Pour épuiser la liste de mes maîtresses , faut que je remonte au moins jusqu’à Josiane. Pôv’Josette.

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

insulte vivante au peuple élu,
quand un billet commence par Aton, on se dirait qu’il pourrait aussi bien commencer par akhenaton, si c’est la seule question de ceux « du peuplélu »

Polémikoeur. dit: à

Bref,
comme un Crusoe
à la recherche de son moulin.
Comme un « fool on the hill ».
Les îles, avec l’eau qui monte…
Délugieusement.

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

que les « lectures »inspirées du lacanisme en phallusistan peuvent être des carastrophes:
Aton est un dieu solaire de l’Égypte antique. Il est surtout connu comme un dieu éphémère de la mythologie égyptienne du Nouvel Empire durant le règne d’Amenhotep IV qui prit le nom d’Akhénaton (ȝḫ n Jtn, « Éclat d’Aton » ou, en l’absence du déterminatif : « Utile à Aton ») (v. -1353 à -1337).

xlew.m dit: à

Bloom dit: 19 juin 2014 à 9 h 18 min
Cathart…catharsis impossible…chez Lawrence, c’est toujours la lutte entre l’apollonien et le dionysiaque…Diable d’homme.

Le vrai nom du personnage, le « Master » de la nouvelle de DH Lawrence, est « Cathcart » et pas Cathart.
Sinon votre rapprochement avec la « pureté » grecque me paraît juste, on peut penser aussi aux oiseaux de la famille des cathartidés, ces vautours du nouveau monde, purificateurs par excellence.
Cathcart au début cherche à écrire un grand livre sur la flore des îles (la femme qu’il épousera s’appelle d’ailleurs « Flora »), ce n’est que sur sa troisième et dernière île qu’il prévoit de s’atteler à une description raisonnée des oiseaux qui l’entourent.
Ce Cathcart est pour moi une sorte de « The man who died craving to be a writer », pour mélanger plusieurs titres d’ouvres de Lawrence et je pense que ces îles représentent de simples bouquins à écrire, à conquérir, à défricher, à habiter (le sempiternel vertige de la page blanche ne l’épargne pas, voir la neige du dénouement qui recouvre tous ses espoirs.)
Il y a peut-être une chose qu’on oublie souvent au sujet de Lawrence, c’est sa rencontre avec un certain Maurice Magnus (un type bizarre qui le marqua beaucoup, un déserteur de la Légion étrangère qui s’était réfugié au monastère du Montecassino au sud de Rome en 1920.) Cet homme tenait à publier ses mémoires, Lawrence accepta de l’aider. Ce fut une succession d’échecs, beaucoup d’éditeurs refusèrent le manuscrit retravaillé plus d’une fois. Magnus poursuivit Lawrence de ses assiduités d’auteur contrarié d’île en île, une première fois en Sicile, la deuxième fois sur l’îlot de l’abbaye du Mont Cassin, et la troisième et dernière fois sur l’île de Malte (bien qu’il fût déjà mort, mais les fantôme voyagent très bien.) Il faut absolument lire son « Introduction to Memoirs of the Foreign Legion. »
Bien à vous, regards.

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

Les îles Cook
En 1843, alors que les Français venaient de prendre le contrôle des îles Marquises (1838) et du royaume de Tahiti (1842), les chefs et les pasteurs demandèrent la protection du gouvernement britannique pour les défendre en cas d’attaque française, mais celui-ci n’accéda à leur requête qu’en 1888 en instaurant un protectorat. Le résident britannique Frederick Joseph Moss imposa l’anglais dans l’Administration de l’archipel. Il tenta de faire de même dans le domaine de l’éducation en créant des écoles publiques venant concurrencer les écoles missionnaires. Laïc convaincu, Moss instaura la liberté religieuse ce qui permit l’installation au grand dam des pasteurs de la LMS, des églises catholiques (1896) et mormonnes.
1888 => 46 ans après TAHITI

renato dit: à

Il me semble qu’il y a en Écosse un château Cathcart…

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

Il se demande si un manque d’empathie ne pousserait pas le monde de l’édition à réduire le prolétariat « à des caricatures qui ont des rapports sexuels avec leurs grands-mères ». Duffy pose alors la question de savoir s’il s’agit de simple satire où si quelque chose de plus pernicieux se joue par le biais du secteur de l’édition.

alberto dit: à

Et je suis sûr qu’il y a en Pyrénées Orientales un château Cathare.

carmelo dit: à

Il me semble que château des Gars d’z arts a fait école.

marcello dit: à

Il me semble qu’il y a près de San Francisco un château Alcatraz qu’on peut encore visiter.

tout bien pesé dit: à

et n’oubliez pas le Quatre-quarts.

TKT dit: à

Michel Alba, juif par sa grand-mère paternelle, donc selon une loi qui voudrait que seule compte la mère qui serait née elle aussi de mère juive, donc exigeant une ascendance juive sans faute par les mères, Michel Alba n’est donc pas juif. Ceci dit, je trouve cette loi un peu dure et injuste. Si Michel Alba se veut juif, il est déjà descendant de Nobles protestants devenus habitants de Shetl etc… Pourquoi ne pas accepter son désir ? Il aurait été refusé par des Rabbins, vraisemblablement pas pour des raisons d’ascendance, plus pour des raisons de peur, Langue Moisie peut avoir des envolées de démence.
On ne peut pas dire que cet individu ne soit pas aryen non plus, bien entendu toute son ascendance maternelle ne peut être mis aux orties, non ?
Il a le sens du marketing ?
Michel Alba est donc un juif de fiction partielle, ce qui compte sont ses sentiments. Voudrait-il de la paix dans la région ? D’une entente entre les deux communautés ? D’un était d’Israël, qui mettrait ses religieux là où ils ne devraient jamais sortir, dans les lieux de prières ?
Langue Moisie est excessif, ce qui en soit est bien une qualité du peuple sémite (idem pour les Italiens du sud). Le rationalisme protestant a disparu des origines culturelles de Langue Moisie. Arrivés protestants dans une ville Hollandaise, ils débarquèrent dans un shtetl polonais tout frais fils du peuple élu. Puis, les pays baltes ayant été un mauvais choix, ils partirent en exil pour la France.
J’accepte volontiers Langue Moisie comme juif, par contre, quand il refuse à des gens comme moi, agnostiques et émancipés depuis plusieurs générations, d’être reconnus pour ce que nous sommes, des juifs émancipés (lire des juifs de mémoire), je prends Langue Moisie pour un ayatollah.
Ce qui me déplait chez un Michel Alba ? Il n’est jamais parti vivre en Israël, il n’a jamais mis sa vie en danger, par contre, il fait partie des gens qui sont généreux avec la mort des Autres.
Ce qui m’amuse chez Alba, homophobe, il passe ses vacances à Sitgés…

renato dit: à

Pyrénées Orientales ? Gars ? Alcatraz ? que vous êtes rigolos…

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

eh ben, les geeks, pas l’amorce d’une liste de mots (plusieurs langues acceptées)qui contiennent « ile-s » comme « pile » : vous allez perdre la face

T. A. dit: à

Il me semble qu’il y a un chaton dans le cat-kart.

méchancetés inutiles dit: à

Pourquoi cette agressivité, TKT ?

rené dit: à

Il me semble qu’il n’y a plus de château Cathcart en Ecosse.

Enquête dans l'intérêt des famille de pensée dit: à

euh, dites, Thierry, à part insulter D., Clopine, JC, bouguereau et Widergänger, vous vous intéressez à quoi dans la vie ?

des journées entières dans les arbres dit: à

« Quels néologismes anglais doit-on à Shakespeare, Wordsworth, Dickens, Isaac Assimov, John Le Carré ? Pleins ! »

Y’a pas une faute de français dans ce tweet (de geek-toi même !) ?
C’est malheureux quand même, Y’en a qui passent le bac, ils vont sûrement couler pendant la traversée !

Dans le journal:
En 1864, Victor Hugo n’aimait pas le bac et le critiquait même dans un essai. Cent cinquante ans plus tard, les bacheliers le lui ont bien rendu. Après avoir eu à commenter ce mercredi matin le «Crépuscule», un poème tiré des «Contemplations», aux épreuves anticipées du bac de français, des dizaines d’élèves de première ont déversé un torrent d’insultes sur Twitter à l’égard du célèbre poète.
Ici, celui qui est habituellement considéré comme un des plus grands écrivains de la langue française est taxé de «bel enfoiré avec (son) Crépuscule à la con». Là, un élève de première critique ce «bâtard» qui «ne peut pas parler normalement comme les autre». La beauté du poème, qui met en scène un dialogue entre la vie symbolisée par un brin d’herbe, et la mort représentée par une tombe, n’a semble-t-il pas plu aux candidats. «Victor Hugo et toute sa compagnie créole de poètes la, ils m’ont prit la tête truc de fou», s’est ainsi exclamé un internaute quand un autre ironisait sur cet auteur qui «a quand même réussi à faire parler un brin d’herbe avec une tombe».
http://www.leparisien.fr/societe/bac-sur-twitter-victor-hugo-est-un-bel-enfoire-mais-il-avait-du-flow-18-06-2014-3933277.php

renato dit: à

« … n’y a plus de château Cathcart en Ecosse. »

C’est vrai, mais le nom reste… et quelques cartes postales… c’est déjà ça…

th. dit: à

« il vous faut lire toute affaires incessante Le goût des îles (130 pages, 8 euros, Le Mercure de France) » (billet)

Jamais ! Un « Goût de » rédigé par un autre que Jacques Barozzi est un crève-cœur.

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

Les discussions sur ce blog sur l’identité d’Alba sont un exemple de discussions d’enfoirés:

D. H. Lawrence’s Women in Love: A Tale of the Modernist Psyche, the Continental « Concept, » and the Aesthetic Experience

http://muse.jhu.edu/journals/jsp/summary/v020/20.4lackey.html

renato dit: à

« … un exemple de discussions d’enfoirés »

C’est lui-même qui a ouvert les vannes…

Onésiphore de Prébois dit: à

Si les tares de Widergänger/Michel Alba étaient congénitale, on aurait scrupule à lui casser du sucre sur l’échine. Mais question connerie, cette infâme bourrique est un self-made man intégral.

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

si ce blog joue à Toméo et Nulliette

« Et voilà pourquoi votre fille est muette »[1].
Réponse à Juliette Grange[2]

« http://francoisloth.wordpress.com/

les tartes à la crème c'est out au temps des godillots et brodequins dit: à

à se détester sourdement ce qui empoisonne l’atmosphère (on songe un instant au Festin de Babette
‘et la minute suivante, on peut se questionner sur le passoulinistan

renato dit: à

Là, je commence à croire que quelqu’un lui a dit « non »…

des journées entières dans les arbres dit: à

c’est ça, plus rien.
« eule compte la contemplation de la mer »

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