de Pierre Assouline

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La République des livres
Dans le labyrinthe avec Mohamed Mbougar Sarr

Dans le labyrinthe avec Mohamed Mbougar Sarr

« Je vais te donner un conseil : n’essaie jamais de dire de quoi parle un grand livre. Ou, si tu le fais, voici la seule réponse possible: rien. Un grand livre ne parle jamais que de rien, et pourtant, tout y est. Ne retombe plus jamais dans le piège de vouloir dire de quoi parle un livre dont tu sens qu’il est grand. Ce piège est celui que l’opinion te tend. Les gens veulent qu’un livre parle nécessairement de quelque chose. La vérité, Diégane, c’est que seul un livre médiocre ou mauvais ou banal parle de quelque chose. Un grand livre n’a pas de sujet et ne parle de rien, il cherche seulement à dire ou découvrir quelque chose, mais ce seulement est déjà tout, et ce quelque chose aussi est déjà tout ».

Justement, La Plus Secrète Mémoire des hommes (461 pages., 22  euros, Philippe Rey /Jimsaan) est un grand livre. Alors qu’est-ce qu’on fait ? Rien ou presque. Plus que jamais, un roman est irréductible à ce qu’il raconte. Ce qui compte vraiment, c’est que ce qu’il dit d’autre que ce qu’il raconte. Rien de mieux que d’en citer des extraits pour en donner la couleur, le ton, l’esprit.

Quatrième roman (les précédents portaient sur le djihadisme, les migrants, l’homosexualité) de Mohamed Mbougar Sarr (Dakar, 1990), il inspiré d’une histoire vraie.  Inspiré, sans plus. Celle du malien Yambo Ouologuen. En 1968, son roman Devoir de violence étant couronné du prix Renaudot, il est fêté comme « le Rimbaud nègre ».  Puis accusé de plagiat. Mais qu’importe la citation, l’emprunt, l’intertextualité avec lesquels on confond si souvent la contrefaçon dès lors que le tout tisse une grande œuvre. Les critiques tant français qu’africains lui tombent dessus et c’est la baston. Un scandale s’ensuit comme le milieu littéraire aime en mitonner un, histoire de chauffer la rentrée. De quoi le scier à jamais. Ce qui fut le cas. Il est le dédicataire de ce livre, et pour cause, sa légende fascine l’auteur, mais il n’en est pas le sujet. Ce n’est en rien sa biographie. Juste le premier souffle.

Au départ, la découverte de cette affaire aiguillonne Mbougar Sarr non vers un roman mais vers une thèse universitaire sur la naissance du roman postcolonial dans la littérature africaine francophone à travers livres parus en 1968 : ceux d’Ahmadou Kourouma (les Soleils des indépendances), de Malick Fall (la Plaie) et bien entendu de Yambo Ouologuen le proscrit. De la thèse il glisse vers le roman. On y découvre Diégane Faye, qui lui ressemble comme un double et ne vit que pour écrire « le » livre, son grand roman total. Comme si, sans préjuger de son avenir dans les Lettres, il n’avait qu’un livre à écrire (on pense au Dernier des Justes d’André Schwarz-Bart). Le voilà lancé en 2018 à la poursuite du spectre d’un certain T.C. Elimane, auteur du Labyrinthe de l’inhumain (1938), œuvre mythique qui hante toutes les pages de ce livre. En un brillant paradoxe, il avoue que, loin de l’enrichir, sa lecture l’appauvrit car elle l’a dénué en lui ôtant son superflu. Ce qu’il appelle un enrichissement par soustraction

« Je m’assis sur un banc, sans autre ambition que de m’en relever le moins abattu possible, voire de m’en relever tout court. Ensuite, j’inspirai profondément et m’enfonçai sans difficulté, comme un suppositoire, dans le trou du cul déjà lubrifié du monde – on a les expériences pascaliennes qu’on peut.

Tous ceux qui ont approché cet écrivain ont été troublés au-delà de ce qu’on imagine puisqu’ils en sont morts. Ceux qui avaient critiqué le livre ? Une crise cardiaque et six suicides. Voilà qui interroge. Le narrateur se livre à une enquête policière à la recherche du secret d’un disparu. « Il se peut qu’il ait disparu par amertume ».Une enquête oscillant entre l’exactitude du contexte et la vérité de la narration. Ses résultats nous parviennent au fur et à mesure par morceaux, dans le désordre car ce roman bannit la chronologie. On la dirait menée et écrite par un « black Borges », érudition, chausse-trappe, litotes et humour compris. C’est diablement intelligent et si séduisant qu’on se laisse emporter dès l’entame par la fluidité du récit.

Outre le récit, justement, la forme emprunte au roman épistolaire et au Journal et ne se refuse aucun retour sur ses pas. Le mystérieux T.C. Elimane, personnage à l’érotique affirmé, qui joue d’une aptitude naturelle à la séduction, est raconté par des femmes. D’où ce roman choral, polyphonie de voix : à chacun(e) sa vérité. Toute reconstitution aboutit à une mosaïque dès lors qu’il s’agit d’une vie. Doué de voyance, l’incroyable Elimane avait une aptitude au surréel. Si doué pour explorer l’invisible qu’il n’avait pas vu ce qui allait lui arriver. Sa vie irrigue cette histoire qui se déploie dans trois villes sur trois continents : Dakar, Paris, Buenos Aires. C’est une histoire pleine d’écrivains (notamment Gombrowicz et Sabato, mais aussi Borges et Ocampo sans oublier Roberto Bolano, son écrivain de chevet, celui qui a modifié sa vision du monde et s’est révélé assez récemment comme son maitre à écrire), de désir, de mythes, de sensualité, de souvenirs et surtout de femmes, aimées, aimantes, amantes.

La Plus Secrète Mémoire des hommes (titre piqué chez Bolano, justement) refuse de se laisser enfermer dans une catégorie, d’obéir à une assignation ethnique ou raciale. Elle est d’un jeune écrivain qui a la liberté de dire non. Il sait déjà qu’on risque le rhume à trop fréquenter l’air du temps. Alors non aux thématiques imposées (le retour de l’exilé au pays etc) . Non à toute aliénation qu’elle soit coloniale, néocoloniale, postcoloniale ou décoloniale. Il suit sa trace, creuse son propre sillon en ignorant les injonctions des héritages accumulés sur les épaules de tout romancier-africain-d’-expression-française. Il y a du règlement de compte dans l’air. Ambiance :

«… ah, nos aînés tant salués tant célébrés tant récompensés, tant décrits comme le sang neuf de la littérature francophone, ah, ces aînés, génération dorée mon cul : on mettait leur œuvre sous la lumière crue, on la rapprochait du feu et sitôt alors le précieux métal fondait et coulait faux, contreplaqué, boue poisseuse entre les doigts, et on voyait que nombre de leurs livres valaient moins que ce qu’on en avait dit ou espéré, on voyait que ceux qui résisteraient au temps se compteraient sur les doigts de la main de Maître Yoda, on voyait qu’ils n’avaient publié que les bons petits livres qu’on attendait d’eux, on découvrait qu’ils avaient fait de nous des héritiers sans testament, qu’ils avaient tous écrit en se croyant libres quand de robustes fers enserraient leurs poignets leurs chevilles leurs cous et leurs esprits, ah, ces glorieux aînés, ah, ah, mais étaient-ils les seuls coupables ?..

Ce roman est un mille-feuilles de romans. La mise en abime est parfois vertigineuse mais on s’y retrouve dans ce labyrinthe. La réflexion récurrente sur l’écriture est puissante, enchâssée dans de multiples narrations au sein d’une intrigue certes complexe mais vivante, charnue, sensuelle, incarnée. Son kaleidoscope de significations est d’une telle richesse qu’il ne se laisse pas épuiser à la première lecture. L’auteur a ceci de diabolique qu’il désamorce toutes les critiques qu’on pourrait lui adresser puisque le narrateur se les adresse déjà à lui-même et qu’il y répond. Car l’enquête brasse large. La moindre des choses avec un projet aussi ample et ambitieux que celui de Mbougar Sarr. Paradoxes, ambiguités, contradictions, il n’élude rien non seulement de la situation de tout écrivain-africain-d’expression-française mais de la sienne propre. La leçon de toute cette histoire prend la forme d’un avertissement :

« Cet avertissement nous disait, à nous écrivains africains : inventez votre propre tradition, fondez votre histoire littéraire, découvrez vos propres formes, éprouvez-les dans vos espaces, fécondez votre imaginaire profond, ayez une terre à vous, car il n’y a que là que vous existerez pour vous, mais aussi pour les autres.

Voilà aussi pourquoi La Plus Secrète Mémoire des hommes, surprise en forme de pépite, fait de son auteur la révélation de cette rentrée littéraire. Le secret de l’énigmatique T.C. Elimane, c’est que cet homme fut tout à la fois mystificateur, assassin et tout le reste, un palimpseste d’identités, recouvert par la seule qui dise sa vérité pleine et entière : la littérature. Le pays natal peut s’avérer un pays fatal. Il faut le trahir pour honorer sa patrie intérieure. La seule qui vaille ?

(Photo Oumar Ly ; « Mohamed Mbougar Sarr » photo Passou)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 172 Réponses pour Dans le labyrinthe avec Mohamed Mbougar Sarr

Jazzi dit: 1 octobre 2021 à 11h58

« Jazzi bravo pour votre site, il commence à prendre forme : c’est superbe ! »

Merci, puck, mais tu peux continuer à me tutoyer !
Tu me trouves indécent, comme le dit rose dans son commentaire testamentaire ?

renato dit: 1 octobre 2021 à 13h16

et al., jetez, éventuellement, un coup d’œil à Masscult and Midcult de Dwight Macdonald (1960) : essai consacré à l’analyse critique des catégories esthétique et sociologiques de la culture de masse et la réalité standardisée.

D. dit: 1 octobre 2021 à 13h20

« finkie est vraiment mais vraiment un sale con »

Je le trouve pourtant brillant, lucide et sympathique. Très sincèrement.

puck dit: 1 octobre 2021 à 13h46

Jazzi dit: à

« Jazzi bravo pour votre site, il commence à prendre forme : c’est superbe ! »

Merci, puck, mais tu peux continuer à me tutoyer !
Tu me trouves indécent, comme le dit rose dans son commentaire testamentaire ?
 »

ton site en jette tellement que j’ai pas trop osé dire « tu », j’ai même failli écrire « Monsieur Jazzi ».

indécent ? non parce que tu es tellement vrai et cohérent au regard de qui tu es, tu fais de ta vie une oeuvre d’art comme dirait l’autre, avec un désir si fort et si authentique de rendre hommage à ta mère, de continuer de la faire vivre au travers tes souvenirs, on a l’impression que même les recettes parlent d’elle et de ton amour pour elle, comment te le reprocher ? de quel droit ? parler de cet amour peut servir à tous ceux qui ont (trop) aimé leur mère et n’osent pas en parler ou n’ont pas le talent de le faire. je ne sais pas si tu te souviens tu m’avais envoyé des photos et des textes autobiographiques pour le blog de Dexter : « les portraits des intervenautes » à l’époque je n’avais pas trouvé ça indécent je ne vois pas pourquoi je le ferai maintenant, reste comme tu es Jacky, continue de faire selon tes désirs et t’occupe pas de ceux qui te critiquent !

j’espère ne rien dire qui t’aura choqué : pour une fois que je suis sincère et j’écris pas des conneries sur le blogapassou ça m’ennuierait.

bouguereau dit: 1 octobre 2021 à 14h16

les fleurs à keupu rsemblent a celles des cimetières..qui flottent dans un genre de résine jaunasse comme une vieille pisse..

bouguereau dit: 1 octobre 2021 à 14h18

Quelqu’un a compris quelques choses au speech de rose ?

elle s’excuse de revnir qu’aprés dmain et se dmande si tu vas tnir jusque là

bouguereau dit: 1 octobre 2021 à 14h20

Je le trouve pourtant brillant, lucide et sympathique. Très sincèrement

c’est dart vador sans son masque..quelquefois il souffle dans le micro tout pareil..ha t’es vraiment attiré par le coté homo de la force dédé..tu m’inquiétes

bouguereau dit: 1 octobre 2021 à 14h22

Après vérification, nous sommes bien vendredi et… pas de Drillon !

alesquia elle est accroc

bouguereau dit: 1 octobre 2021 à 14h25

le truc cruel dans l’histoire c’est qu’il a appris ça quand il était vieux et malade sachant qu’il lui restait quelques mois à vivre, sans enfant, maintenant je pense qu’il est mort, une histoire à la con

dis donc stefane pldza..t’as pus qu’un mois pour les expulsions..sagirait que tu te regonfles ton ordure au lieu de réver

bouguereau dit: 1 octobre 2021 à 14h30

Mr Charoulet est un homme âgé, à ce titre il devrait inspirer notre respect

« je sais bien meussieu charoulais que vous êtes vieux pauvre et malade mais havec tout mon respect faut vous casser et vite fait » enfin quelquechose comme ça que keupu il leur dit a ses vieux impayabe et sans même de 12 a pompe

Alexia Neuhoff dit: 1 octobre 2021 à 15h04

bouguereau dit: à

Après vérification, nous sommes bien vendredi et… pas de Drillon !

alesquia elle est accroc

Normal, il déchire grave !

renato dit: 1 octobre 2021 à 15h32

Je suis ici (RdL) depuis novembre 2007, bouguereau, ai donc vu quelques abandons et chaque fois je me dis : « S’il-elle revient bien, autrement tant pis ».

renato dit: 1 octobre 2021 à 15h43

Certains se posent la question de savoir pourquoi le communisme a été un trou dans l’eau. Il suffit de lire puck, d’analyser sa vision de la littérature fondé surtout sur des jugements de la personne des auteurs, pour le comprendre : une approche moraliste à deux balle – le pauvre Marx doit souffrir l’Enfer dans sa Tombe !

puck dit: 1 octobre 2021 à 15h57

bouguereau dit: à

les fleurs à keupu rsemblent a celles des cimetières..qui flottent dans un genre de résine jaunasse comme une vieille pisse..
 »

crapule de greubou !!! un petit instant de faiblesse et il se jette sur sa proie tel un vampire.

greubou tu sais quoi ? quand je te lis je comprends comment les journalistes sont capables de nous créer des monstres comme Zemmour.

avec les journaleux on bouffe du Frankenstein à tous les repas un peu comme avec toi sur le blogapassou.

puck dit: 1 octobre 2021 à 16h01

renato dit: à

Certains se posent la question de savoir pourquoi le communisme a été un trou dans l’eau. Il suffit de lire puck, d’analyser sa vision de la littérature fondé surtout sur des jugements de la personne des auteurs, pour le comprendre
 »

houla c’est quoi ? vous vous êtes donné le mot ?

qu’est-ce que j’ai dit encore ?

c’est parce que j’ai dit que quand on lit Tchekhov on comprend que le style chez Flaubert c’est juste un artifice pour dissimuler son esprit lent ?

puck dit: 1 octobre 2021 à 16h02

je vois pas trop où est le communisme dans le fait de dire que le style chez Flaubert c’est juste un artifice pour dissimuler son esprit lent.

c’est juste un fait.

puck dit: 1 octobre 2021 à 16h04

en fait c’est une question de dosage entre le style et le fond : chez Tchekhov c’est un bon équilibre et chez Flaubert, je suis désolé de le dire, mais c’est totalement pas bon du tout.

un déséquilibre pareil entre le style et le fond chez Flaubert c’est forcément que ça cache quelque chose de pas bon.

c’est juste un fait.

puck dit: 1 octobre 2021 à 16h05

renato dit: à

Voulez-vous vraiment une réponse, Dexter ?
 »

hein ? non, vous sentez pas obligé vu que je pense déjà la connaitre.

renato dit: 1 octobre 2021 à 16h19

Non, vous ne la connaissait pas, car vous semblez ne réagir que par des poncifs ! donc : vous ne voyer « pas trop où est le communisme dans le fait de dire que le style chez Flaubert c’est juste un artifice pour dissimuler son esprit lent » ? Votre expression du communisme est dans le fait de ne pas accepter la diversité — expérience personnelle — : Flaubert et Tchekhov ont chacun leur personnalité, leur caractère et puisque le génie se manifeste aussi par le biais d’une certaine stupidité, ils ont aussi leur stupidité. Bon, compte tenu que nous vivons au XXIe siècle, on en reparlera lorsque vous serez entré dans le XXe.
BàV

et alii dit: 1 octobre 2021 à 16h22

on vous prévient: vous ne serez pas payé pour vos diagnostics sur la RDL/

Les Assises de la psychiatrie et de la santé mentale se sont donc tenues les 27 et 28 septembre. Sous la formule absconse de « tarification de compartiments », c’est la Tarification à l’Activité (T2A) qui en réalité se profile en psychiatrie, celle-là même qui en quinze ans a entièrement abîmé le service public hospitalier tout en distillant un mal redoutable : la souffrance éthique, de la femme de ménage chronométrée dans son travail au chirurgien accablé par l’esprit froid de comptables non médecins placés à la tête des institutions. Contre le management à l’hôpital en général et dans les HP en particulier, un mouvement est né, le Printemps de la psychiatrie qui regroupe les défenseurs d’une médecine de l’écoute et de la disponibilité – en deux mots : du lien. Parmi eux, deux praticiens, Loriane et Mathieu Bellahsen, auteurs de « La révolte de la psychiatrie. Les ripostes à la catastrophe gestionnaire » (La Découverte, 2020) alertent ici sur les dangers de « réformes » conçues et imposées sans conscience.

Anne Crignon

La suite après la publicité

« Une augmentation des moyens inhumains », par Mathieu et Loriane Bellahsen
« Les Assises de la Santé mentale viennent de se terminer. Lieu d’expression pour les membres du gouvernement et pour les représentants de la psychiatrie entrepreneuriale et de laboratoire, elles ont – sans surprise – répondu à une dénonciation généralisée du manque de moyens humains par une augmentation des moyens inhumains. Expliquons-nous.

Dès son discours introductif, Olivier Véran a annoncé la parution du décret concernant la réforme du financement de la psychiatrie pour la fin de la semaine. Or, cette réforme, la « tarification de compartiments », ou T2C, n’est autre que l’application de la Tarification à l’Activité (T2A) en psychiatrie annoncée pour le 1er janvier 2022. Cette annonce est un tsunami pour la pédopsychiatrie et la psychiatrie, en particulier pour les lieux de soin psychiques de troisième ligne, à savoir ceux qui accueillent les personnes qui ont été exclues de partout. Pour rappel, la tarification à l’activité a été mise en place entre 2003 et 2007. Elle a transformé l’hôpital public et ses services de médecine, chirurgie, obstétrique, censés soigner les patients, en un centre de production, où les soignants deviennent des producteurs de soins et les patients, des marchandises. Il s’est agi, au sein de l’entièreté de l’activité de l’Hôpital, de découper des actes de soin et d’attribuer un tarif à chacun. obs

renato dit: 1 octobre 2021 à 16h35

Fut un temps où les intellectuels étaient le visage public de l’opposition politique (Eric Hobsbawm). Désormais, dans notre société dominée par le divertissement de masse, les militants à la recherche de défenseurs utiles des causes préfèrent se tourner vers des acteurs célèbres ou des musiciens de rock plutôt que vers des intellectuels… avec des meilleurs résultats.

puck dit: 1 octobre 2021 à 16h44

« Votre expression du communisme est dans le fait de ne pas accepter la diversité »

renato je suis désolé de vous contredire, mais sur ce coup c’est vous qui ne l’acceptez pas dans la mesure où vous réfutez mon opinion en balançant un jugement autoritaire et définitif du genre : vous êtes un stalinien !

cette façon de convoquer des idéologies totalitaires pour faire son interlocuteur relève elle-même d’une pratique totalitaire.

s’il faut accepter la diversité commencez donc par accepter la diversité d’opinion.

et à partir de là je vous considèrerai comme un démocrate, mais là, désolé, votre rhétorique ne fonctionne pas.

vous me suivez ? respectez la diversité ? sinon je peux vous le redire autrement.

puck dit: 1 octobre 2021 à 16h47

de plus le fait de dire que chez Flaubert cette surabondance dans le style permet de dissimuler sa lenteur d’esprit c’est une opinion tout à fait défendable, en tout cas une opinion qui peut s’exprimer librement.

puck dit: 1 octobre 2021 à 16h48

cette façon de vouloir faire taire l’autre en le traitant de stalinien ça rappelle pablo.

Jibé dit: 1 octobre 2021 à 17h11

« j’ai dit que quand on lit Tchekhov on comprend que le style chez Flaubert c’est juste un artifice pour dissimuler son esprit lent ? »
puck, dexter, comme vous voulez, c’est quand même une phrase qui vaut son pesant d’or, ça!
Non, je veux dire, pourquoi tout confondre à ce point? je ne vous cherche pas, hein, j’essaie juste de vous dire combien vous êtes déconcertant.
Déconstruit peut-être même.
Sans rancune.

Jibé dit: 1 octobre 2021 à 17h14

…et n’allez pas me brancher sur Paul Edel pour fuir cette explication, cette phrase est bien de vous ce me semble?

Jibé dit: 1 octobre 2021 à 17h20

« Quelqu’un a compris quelques choses au speech de rose ? »

…qu’elle s’en va, renato, mais je ne sais pas trop pourquoi, c’est un peu confus et pas mal complotiste. j’ai toujours eu du mal à suivre, et pourtant j’ai essayé, et avec compassion honnête. Mais là…

Jibé dit: 1 octobre 2021 à 17h23

« les militants à la recherche de défenseurs utiles des causes préfèrent se tourner vers des acteurs célèbres ou des musiciens de rock plutôt que vers des intellectuels… »
c’est pour ça que zemmour, tellement pas intellectuel, fait le buzz -son genre rock, sûrement. Rock ascendant franchouillard.

et alii dit: 1 octobre 2021 à 17h40

lettre de philomag:
40% des Américains seraient prêts à avoir des rapports sexuels avec un robot.
est-ce indécent?
BONSOIR

renato dit: 1 octobre 2021 à 17h41

Dexter, qui vous a dit que je n’accepte pas votre opinion ? qui vous dit que je veux vous faire taire ? je me limite à vous rappeler l’origine de cette votre manière de penser, car pour ce qui me concerne, que votre point de vue relatif à Flaubert ou à Proust m’indiffère, car vous ne représentez qu’une vielle manière de penser le monde, mais disons que à la longue ça devient d’un ennui sans pareil.

et alii dit: 1 octobre 2021 à 17h43

mais disons que à la longue ça devient d’un ennui sans pareil.
opinion que je partage

renato dit: 1 octobre 2021 à 17h56

Faut vraiment y mettre beaucoup d’imagination pour voir en Zemmour l’équivalent d’un musicien de rock, Jibé ; il fait le buzz parce que nous avons affaire avec des journaliste sans épaisseur. Il y a quelques mois de là je n’ai entendu un dire que Nietzsche était un philosophe polonais ! je me souviens d’un autre qui demandé de la signification du mot « réifié », avait répondu « fait roi », et ces deux exemple ne sont que des moment hilarants, je m’obstine à ne pas mémoriser le chapelet de conneries qu’on n’a pas envie d’épingler dans un calepin.

bouguereau dit: 1 octobre 2021 à 18h00

c’est pour ça que zemmour, tellement pas intellectuel, fait le buzz -son genre rock, sûrement. Rock ascendant franchouillard

à contrario..et c’est à son crédit..prends n’importe lequel de ses correspondants en aukus..ou en italie et ça donne -au mieux- car on a encore de la marge..un robert ménard..y’a un coté fielleux dans ton diagnostique.. »inclusif » qui n’est pas ragoutant jubé..un dénigrement qui fleure le ressentiment

et alii dit: 1 octobre 2021 à 18h00

J’ai grandi en entendant des histoires de gens qui avaient disparu, comme, mes proches, mes parents pendant la guerre, et cela m’a donné une appétence pour la récupération. J’étais hanté, enfant, par le fait de savoir, que nous avions ces proches qui avaient disparu de la surface de la terre, et déjà je savais qu’un jour, j’essaierai de les faire revivre. L’intérêt que je porte à ces liens, est peut-être une manière de guérir cette cassure que le monde nous impose en permanence. Daniel Mendelsohn
https://www.franceculture.fr/emissions/par-les-temps-qui-courent/par-les-temps-qui-courent-emission-du-mardi-24-novembre-2020

bouguereau dit: 1 octobre 2021 à 18h12

Normal, il déchire grave !

c’est un peu comme ton shamalow roti..je t’avoue avoir fait des feus de canettes avec des beaux bois flottés sur les plages..

Marie Sasseur dit: 1 octobre 2021 à 18h22

@ »Alors qu’est-ce qu’on fait ?  »

Il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis.

Alors qu’est-ce qu’on fait ?
Pas grand-chose, un remords de conscience.
Récupérer ce  » grand livre », en même temps que le  » livre maudit « , juste pour voir quelle en est la sorcellerie à l’oeuvre.

 » Rien de mieux que d’en citer des extraits pour en donner la couleur, le ton, l’esprit. »

Je sais déjà que ceux proposés dans le billet, ne seront pas ceux que je retiendrai.

Passou oublie de préciser , ou si discrètement, que l’auteur envoie des punchlines avec la candeur infernale de ses trente ans.

De quoi scier les vieux visages pâles usés de ce commentarium.

S’il gagne un prix litteraire, je reviendrai aussi causer du livre mythique de Ouologuem…

Ça me laisse un petit mois.

Bon samedimanche.

Patrice Chasseur dit: 1 octobre 2021 à 18h29

Marie Sasseur : Merci
X : Je ne suis ni pauvre ni malade
D : Menteur !
Bouguereau : Charabia ( où mon figure, en quel honneur?)
JJJ : Sur la Toile , la personne qui porte ce prénom et ce nom est indiquée décédée

Marie Sasseur dit: 1 octobre 2021 à 18h49

@DRILLON semble très triste ; comment le consoler?

Lui envoyer une lettre d’Albertine?

.« Mon Ami,

» Pardonnez-moi de ne pas avoir osé vous dire de vive voix les quelques mots qui vont suivre, mais je suis si lâche, j’ai toujours eu si peur devant vous, que, même en me forçant, je n’ai pas eu le courage de le faire. Voici ce que j’aurais dû vous dire. Entre nous, la vie est devenue impossible, vous avez d’ailleurs vu par votre algarade de l’autre soir qu’il y avait quelque chose de changé dans nos rapports. Ce qui a pu s’arranger cette nuit-là deviendrait irréparable dans quelques jours. Il vaut donc mieux, puisque nous avons eu la chance de nous réconcilier, nous quitter bons amis. C’est pourquoi, mon chéri, je vous envoie ce mot, et je vous prie d’être assez bon pour me pardonner si je vous fais un peu de chagrin, en pensant à l’immense que j’aurai. Mon cher grand, je ne veux pas devenir votre ennemie, il me sera déjà assez dur de vous devenir peu à peu, et bien vite, indifférente ; aussi ma décision étant irrévocable, avant de vous faire remettre cette lettre par Françoise, je lui aurai demandé mes malles. Adieu, je vous laisse le meilleur de moi-même.

» Albertine. »

B dit: 1 octobre 2021 à 19h30

…Comment le consoler…

Retirez votre soutien-gorge, qui sait si cela ne le consolera pas un peu. Je me demandais ce matin s’il était malade ou à un enterrement.

B dit: 1 octobre 2021 à 19h50

Renato, je ne sais s’il déplore mais il évoque les femmes qui dans les films « baisent » sans retirer leur soutien-gorge.

Jazzi, c’est ambigu, demandez le dernier journal!

puck dit: 1 octobre 2021 à 19h56

« disons que à la longue ça devient d’un ennui sans pareil. »
 »

c’est vrai ou vous dites ça juste pour me faire plaisir ?

puck dit: 1 octobre 2021 à 20h00

l’autre gorsse différence entre Tchekhov et Flaubert est que ce dernier, et personne ne me contredira sur ce point, utilise ses personnages comme des marionnettes. Il veut aller d’un point A à un point B : ces personnages ne servent qu’à atteindre ce point B.

Alors que chez Tchekhov c’est tout le contraire : il y a entre lui et ses personnages un lien qui permet d’aller puiser au tréfonds de leur âme.

Dans un cas l’auteur se sert de ses personnages, dans l’autre les êtres humains sont la source même de son inspiration.

renato dit: 1 octobre 2021 à 20h02

Il est vrai que le détail est curieux : elles sortent du lit en culottes et soutif, la question se pose comment elles ont fait. Chez les hommes aussi, naturellement.

puck dit: 1 octobre 2021 à 20h02

et c’est justement pour cette raison que Tchekhov est encore aujourd’hui une source inépuisable pour les cinéastes, aujourd’hui et demain, c’est un auteur actuel, intemporel.

Ce qui est loin d’être le cas de Flaubert dans la mesure où l’on ne voit absolument pas chez lui ce qui pourrait inspirer.

puck dit: 1 octobre 2021 à 20h05

suite de l’analyse comparative Tchekhov / Flaubert demain !

parce que je n’en suis qu’au tout début.

puck dit: 1 octobre 2021 à 20h09

ensuite on passera à l’analyse comparative entre Flaubert et Dostoïevski centrée autour de l’opposition entre transcendance et immanence.

désolé j’imagine bien que vous êtes pressés d’en savoir plus, mais je suis obligé de prendre les choses dans l’ordre sinon c’est le bordel.

B dit: 1 octobre 2021 à 20h19

Puck, je n’ajouterai rien à votre cheval de bataille, j’ai aimé La Steppe, beaucoup plus que La mouette et ne suis pas allée beaucoup plus loin chez les russes.

Marie Sasseur dit: 1 octobre 2021 à 20h25

« renato dit: à

« Retirez votre soutien-gorge… »

Ça marche encore ce coup-là ? »

Du feu de dieu.
l’effet bluffant du potentiel érotique de la chose sur Diegane Latyr Faye.
Op.cit. p. 28 et 29.

B dit: 1 octobre 2021 à 20h34

La candeur infernale, n’est pas un oxymoron, j’avais pourtant suggéré son charme qui à mon avis doit être exigeant et qui on l’espère le restera.

Jean Langoncet dit: 1 octobre 2021 à 22h36

@De quelle mouette parlez-vous

Celle de Kenneth White et des boulettes de pétrole qui collent à la plante des pieds

et alii dit: 1 octobre 2021 à 23h20

je précise que la rumeur de retraite de Drillon est une histoire belge: abbaye devint
une propriété privée, celle de l’écrivain belge, prix Nobel de littérature, Maurice Maeterlinck.

Jazzi dit: 2 octobre 2021 à 7h05

« Mou je n’aime pas trop les nichons »

Dis alors que tu les préfères fermes, D. !

Une histoire belge la rumeur selon laquelle rose se serait fait la malle avec Drillon, et alii ?

Rien ne va plus dans les sondages : Hidalgo : 5% et Zemmour : 15% !

Jibé dit: 2 octobre 2021 à 7h08

« Faut vraiment y mettre beaucoup d’imagination pour voir en Zemmour l’équivalent d’un musicien de rock, Jibé » c’était pour rire, renato, j’aime trop le rock pour y associer ce sinistre sire autrement que par ironie. Réifier, « faiseur de roi », elle est pas mal, celle-là! Si on devait comptabiliser leurs cuirs et leur cuistrerie… Le vilain z n’est que l’un d’eux, un charisme de Jiminy Cricket croisé goebbels. Mais j’ai tendance à penser qu’il faut se méfier, toujours. Le pire n’est pas incertain.

Janssen J-J dit: 2 octobre 2021 à 7h33

non non… je sais que rôz aperçoit le bonheur de son juste chagrin, et je le respecte… Elle a eu comme une illumination, hier… J’ai protesté et l’ai suppliée sur le billet précédent. J’espère qu’elle nous entendra. Nous serions des orphelins sans elle. Elle va revenir, je suis sûr, quitte à nous envoyer des messages subliminaux, peut-être… J’espère ne pas l’avoir choquée avec le poème de Maurice Rollinat…, je sais bien qu’on a dérapé un brin sur les gros nibards par la suite, hélas… que ce n’était pas très féminisss… Parfois, on fait des erreurs en blessant inutilement la sensibilité des jeunes femmes… Après, on le regrett’ amèrement.
Néanmoins, BJ à tous.tes, nous ne sommes que le 2 octobre 21, et il n’est que 9.31. A pkrl, le vent est glacé, 12° seulement.

Janssen J-J dit: 2 octobre 2021 à 7h41

@ …> Après, on le regrètt’ ta mère ment… ?
(pas pu résister…, je m’aggrave trop).

bouguereau dit: 2 octobre 2021 à 7h44

c’était pour rire, renato, j’aime trop le rock pour y associer ce sinistre sire autrement que par ironie

c’est dur de rester le nice guy dans ton numéro dsinge qui s’accroche aux chandelier pour égayer les pinces fesses à viktor..alesquia en physionomiss a su en reconnaitre que quelques uns..t’es un foireux jubé

bouguereau dit: 2 octobre 2021 à 7h45

je sais bien qu’on a dérapé un brin sur les gros nibards par la suite, hélas… que ce n’était pas très féminisss…

cette foire dans les cristaux des chandeliers mes amis..

bouguereau dit: 2 octobre 2021 à 7h49

Rien ne va plus dans les sondages : Hidalgo : 5% et Zemmour : 15% !

et baroz qui rprends le témoin à charoulais..mais « en subtil » attation..

B dit: 2 octobre 2021 à 7h50

3J, Rose avait annoncé un voyage en Italie du Nord pour ensuite se mettre au travail.

bouguereau dit: 2 octobre 2021 à 7h55

Traci Lords dans un rôle on ne peut plus conventionnel : la pratique du « french kiss »

putain c’est trop dégueu..quil dirait ron jeremy

B dit: 2 octobre 2021 à 7h56

J’espère ne pas l’avoir choquée avec le poème de Maurice Rollinat…, je sais bien

Les femmes supportent bien le parallèle avec les vaches, vous irez ensuite militer au MLF. La poésie peut tout mais je dois vous confirmer que ce poème ne m’a pas transportée bien qu’il soit bucolique, champêtre. La saillie chez les animaux surtout de grande taille est une invitation au voyage. Enthousiasmée par l’image je propose ma démission .

Janssen J-J dit: 2 octobre 2021 à 7h57

Alors, pour ma part, ce que je mets en jeu ici, sur ce blog, a grande importance : alors, mon énergie, et mon intelligence, au lieu de les mettre à votre service et à celui de votre portefeuille, je vais les mettre au mien.

Elle a dit : « Je verrai le résultat. Macérez bien entre vous ! Bien loin est le « Écrivez, ah je vous en supplie écrivez » de 2007, du en panne d’inspiration, d’air frais et de sang neuf, remplacé par vos casseroles éculées et vos vieilles lunes. Bonne journée, et bonne suite à tous »,

Et vous, le jmb, vous vous en foutez, comme d’bab…!, à travers les christo de vos chandelles empacagées !… c’est pas du parchemin testamentaire, non… avec quoi on ferait des boules quiès.

Est tombée âme heureuse. Voilà pourquoi elle s’en va, Claudine.

Jibé dit: 2 octobre 2021 à 7h57

S’accrocher aux chandeliers, comme dit bouguereau, faut être quand même d’attaque, JJJ
En plus, finkie nous fait Grossman Vassili qui redécouvre la nation et les peuples; ce qu’on fait dire aux auteurs quand on extrait un extrait d’un extrait. S’accrocher devient un sport guerrier. On étouffe dans son émission comme dans un ghetto, je sors. Froid aussi ici, vignes rouges et ciel clair.

B dit: 2 octobre 2021 à 7h59

Bouguereau, si vous vous exprimiez en votre nom, ça donnerait quoi? Ça va un peu de se mettre dans la peau d’un autre, analyse transactionnelle connaît des limites. Ici nous sommes loin de cette nécessité car personne ne peut rien ni ne veut à personne.( si ce n’était du mal, comme d’habitude.)

Janssen J-J dit: 2 octobre 2021 à 8h06

@ La saillie chez les animaux surtout de grande taille est une invitation au voyage en Italie

Ben voui…, mais alors, pourquoi démissionner, Béré ?… Autant pousser le jalon jusqu’en Israël… Non ?

B dit: 2 octobre 2021 à 8h07

Je crois que Closer, à propos des seins, avait confié y accorder une attention première qu’il s’est plu à raccorder à quelque chose de freudien, ce avec quoi je suis d’accord. J’avais d’ailleurs fait part d’une reflexion semblable au père de mon enfant – les hommes en général ont besoin de seins, c’est surement dû au lien entretenu dans la prime enfance à la mère.- Par la suite cela se transforme en désir, en volupté sans en plus tenir compte du plaisir partagé à s’attarder à cette zone érogène chez les femmes en plus du plaisir éprouvé à la contemplation d’une plastique .

B dit: 2 octobre 2021 à 8h10

3J, ce poème date de quand? J’ai lu et honnêtement je me suis dit que la comparaison était quand même un peu grotesque.

B dit: 2 octobre 2021 à 8h13

Mon enfant, ma sœur,

Songe à la douceur

D’aller là-bas vivre ensemble !

Aimer à loisir,

Aimer et mourir

Au pays qui te ressemble !

Les soleils mouillés

De ces

C’est une autre dimension, non?

Janssen J-J dit: 2 octobre 2021 à 8h13

Se crocheter à Finkie du samedi pour se consoler du Drillon du vendredi… Moi je sais que je peux pu, et depuis longtemps. Petit à petit je cède du terreau… peut-être c’est mauvais signe… Je sais que je ne retournerai jamais plus chez les brexiteurs, qu je renouvellerai pas mon passe montagne… que la mort approche, si elle est partie et nous dit pas qu’elle nous reviendra. A quoi la vie peut rimer déshormais… Souvenez-vous de votre tristesse quand Ch. vous a quitté, alors que vous étiez ach’ment sympa avec elle… Le désert croît, et il fait un peu froid dans les poudrins de nos mémoires…
Bàv, jibé et B….

et alii dit: 2 octobre 2021 à 8h36

Les figures de ce singulier musée freudien s’offrent comme
la manifestation tangible, la partie émergée et concrète de
puissants mouvements de fond qui travaillent la pensée de
Freud ; elles sont les retombées, et les signes, de ces « étranges
élans secrets pour l’Orient et la Méditerranée » qui emportaient Freud au plus profond de lui-même, exprimant, comme
il l’écrivait à Ferenczi en 1922, sa nostalgie « pour une vie
d’une tout autre espèce ». A travers Rome et la Grèce et de plus
lointaines cultures, elles plongent leurs racines dans une
Egypte « universelle et immortelle » perçue comme civilisation-mère, terreau toujours fécond pour de neuves efflorescences, un nouveau printemps du savoir.
La référence « égyptienne » intervient de manière privilégiée
dans les deux grandes œuvres qui encadrent l’ensemble de la
production psychanalytique de Freud : Die Traumdeutung,
l’Interprétation des rêves, en 1900, et en 1939, année de la mort
de Freud, Moïse et le monothéisme. « La plus belle découverte
Retrouver ce titre sur Numilog.com
que j’aie faite, la seule, peut-être, qui me survivra », écrivait
Freud à son ami Fliess à propos de la Traumdeutung; mais il
précisait, relativement à l’accueil qui pourrait être réservé à son
grand ouvrage : «… si je ne suis pas emprisonné, lynché ou
boycotté à cause du livre égyptien des rêves. » Die Traumdeutung : livre égyptien ! Cette dernière formule, Freud devait
http://excerpts.numilog.com/books/9782902702183.pdf

D. dit: 2 octobre 2021 à 8h37

LE MAUVAIS MORT

Au chevalier de Crollalanza.

Viande, sourcils, cheveux, ma bière et mon linceul,
La tombe a tout mangé : sa besogne est finie ;
Et dans mon souterrain je vieillis seul à seul
Avec l’affreux silence et la froide insomnie.

Mon crâne a constaté sa diminution,
Et, résidu de mort qui s’écaille et s’émiette,
J’en viens à regretter la putréfaction
Et le temps où le ver n’était pas à la diète.

Mais l’oubli passe en vain la lime et le rabot
Sur mon débris terreux de plus en plus nabot :
La chair de femme est là, frôleuse et tracassière !

Pour des accouplements fourbes et scélérats
Le désir ouvre encor ce qui fut mes deux bras,
Et ma lubricité survit à ma poussière.

Soleil vert dit: 2 octobre 2021 à 8h51

et alii dit: à
lettre de philomag:
40% des Américains seraient prêts à avoir des rapports sexuels avec un robot.
est-ce indécent?
BONSOIR

Non, c’est juste que le tétanos va prendre le relais du sida

B dit: 2 octobre 2021 à 8h53

Et ma lubricité survit à ma poussière.

Ce n’est pas possible, D, ce serait pire que la radioactivité, tout dévasté, cherchant encore un objet à souiller?.

B dit: 2 octobre 2021 à 8h58

SV, les robots sont en plastoc et de plus cela ne change pas grand chose au risque de contamination. Un sex-toy doit être désinfécté si prêté ou acquis en copropriété.

Patrice Cheroulet dit: 2 octobre 2021 à 9h06

Désuet

Le s de ce mot se prononce s et non z. Idem pour désuétude.

P.-S. La proximité de « Sasseur » m’a fait commettre un lapsus calami : j’ai écrit « Chasseur » à la place de mon nom. Veuillez m’excuser.

bouguereau dit: 2 octobre 2021 à 9h20

Non, c’est juste que le tétanos va prendre le relais du sida

..peut chaut au feldgendarm

bouguereau dit: 2 octobre 2021 à 9h22

Soyez indulgente avec ce pauvre poète, bien oublié aujourd’hui…

que nenni..je crois que meussieu courte en a pas dit du bien derniérment..

bouguereau dit: 2 octobre 2021 à 9h24

artémis d’EPHESE ,revêtue de testicules de taureau,(en guise de seins)c’est très féminin

crétinrie de scientologue

bouguereau dit: 2 octobre 2021 à 9h33

S’accrocher devient un sport guerrier. On étouffe dans son émission comme dans un ghetto, je sors. Froid aussi ici, vignes rouges et ciel clair

..reuzment qule beau le bien et tout le ciel étoilé est dmon coté qu’il dit jubé..

Jibé dit: 2 octobre 2021 à 10h03

et alii:  » grande est la dame des éphésiens,même Freud l’a dit! »
et belle est sa raie!

Jibé dit: 2 octobre 2021 à 10h05

« le tétanos va prendre le relais du sida »
l’électrocution aussi, possible. Faut bien débrancher de la base, avant de procéder, sinon, c’est derechef le coup de cloclo dans sa baignoire

Jibé dit: 2 octobre 2021 à 10h09

JJJ
don’t be sad. Je viens de faire une grande marche -pluie annoncée demain, je profite- et ça m’a remis les idées et les vertèbres (sans qui les idées ne seraient rien) en place. Je vous le conseille, pour la beauté du jour et le vif de l’air!

Jibé dit: 2 octobre 2021 à 10h11

le beau et le bien, connais pas, suis un relativiste, moi. Mais bon, ce que j’en dis, vous en foutez, bouguereau. Z’avez raison d’ailleurs, vu la réciproque.

Jean Langoncet dit: 2 octobre 2021 à 10h38

@putain c’est trop dégueu

Quoi donc ? La longue langue fourchue de l’Iguane ?

Alexia Neuhoff dit: 2 octobre 2021 à 11h07

Qui a dit que la littérature était morte ?

« Elle [Sarah Knafo] est celle sans qui l’éditorialiste atrabilaire n’aurait pas osé croire en son destin, sans qui le sexagénaire ombrageux n’aurait peut-être jamais su que la vie, cette farceuse, offre parfois, sur le seuil de l’automne, les frissons d’un printemps vivifiant. »
Sarah Knafo, celle qui murmure à l’oreille de Zemmour / Paris Match

et alii dit: 2 octobre 2021 à 11h08

(«En cas de pluie, la révolution aura lieu dans la salle»), éphèse
D’Erwin Chargaff.
LE FEU D’HÉRACLITE

renato dit: 2 octobre 2021 à 11h15

« LA VACHE AU TAUREAU »

Difficile de faire plus lourd (mètre) et plus bête (sens).

renato dit: 2 octobre 2021 à 11h29

Nous (les Européens) avions déjà eu Margherita Grassini Sarfatti, maitresse du Vaurien et théoricienne du fascisme ; maintenant nous avons cette Sarah Knafo : compte tenu que déjà la première fut la protagoniste d’une tragique farce, que dire du spectacle qui voudrait nous offrir de la deuxième ?

renato dit: 2 octobre 2021 à 11h47

En tout cas, débattre avec un fasciste est une erreur. Pasolini disait qu’il faut parler avec les fascistes et le voilà assassiné sur une plage…

Janssen J-J dit: 2 octobre 2021 à 11h51

@ Difficile de faire plus lourd (mètre) et plus bête (sens).

Je me disais aussite qu’allait adviendre fissa une meilleur référence alternative italienne, moins lourde et moins bête que la française… Nous y sommes. Merci mon latin lover de sauver l’rdl du naufrage habituel de ses ombralgies.
Bonne chance pour l’affreux pastis,… ne tirez plus sur l’oiseau moqueur en ambulance, hein… Bàv,
nb / … à Gênes, si vous y passez et ne connaissez pas encore (ce qui m’étonnerait), vous conseille cette trattoria des 3 merles, y ai souvent déjeuné avec mon pote Francesco dans les années nonante… On n’y a jamais été déçus… ils ont les meilleurs Asti de toute la péninsule… Dite-nous/moij à l’rdl…
https://www.tripadvisor.fr/Restaurant_Review-g187823-d1841182-Reviews-I_Tre_Merli_Ristorante_Porto_Antico-Genoa_Italian_Riviera_Liguria.html
Bàv,

DHH dit: 2 octobre 2021 à 12h05

@renato
bien des fachos ont eu des égeries qui les ont plus moins aidées et influencés(Eva peron,eva Braun par exemple ).
quel est le sens du rapprochement selectif que vous faites entre Sarah Knafo et Margarita Sarfatti?
N’y a ‘t’il pas en arrière plan de ce rapprochement teinté d’humour qui les met en parallèle l’une dans son rôle auprès du Duce , l’autre auprès de Zemmour , cette idée implicite: « De nouveau une figure de femme ju.ve derrière un facho ».

S’agissant de l’expansion exponentielle de la bulle Zemmour,je m’etonne de n’avoir pas encore lu ni dans la presse ni ici un rapprochement avec la bulle boulangiste
Peut-etre ce rapprochement n’a ‘t’il pas de sens.
les historiens du blog peuvent -ils m’eclairer et me me dire si je suis dans l’erreur?

et alii dit: 2 octobre 2021 à 12h07

et un autre merle et sa chanson
Ce losange est le bec doré d’un merle géant, sculpture superbe de Christian Renonciat qui a associé des tiges de métal à des boulets de canon. L’oiseau chante, toutes ailes et queue déployées, sur un rond-point de la Promenade du Verger, dans la partie sud du Fort d’Issy-les-Moulineaux
http://www.historim.fr/2016/05/reponse-un-drole-de-losange.html.

Jazzi dit: 2 octobre 2021 à 12h15

Lavande, Clopine, Christiane, rose…
Mais qu’est-ce qui fait donc fuir les femmes de ce blog !
Vous auriez une explication, DHH ?

DHH dit: 2 octobre 2021 à 12h48

@jazzi
l’explication c’est peut-etre qu’elles n’ont pas supporté d’être villipendées ,caricaturées ridiculisées, agressées , de manière occasionnelle ou prolongée
Et elles vont ailleurs , devenues allergiques a ce qui est un peu devenu sur ce blog une habitude entre gens qui ne se connaissant pas, et sont des lors à l’aise pour proferer des paroles dont ils auraient honte dans la vraie vie .
moi je suis encore là;je le dois sans doute à mon âge d’une part parce que les ans m’ont durci le cuir et d’autre part parce que j’en tire un certain droit au respect , qui m’expose moins que mes puinées

Marie Sasseur dit: 2 octobre 2021 à 12h49

« Cet avertissement nous disait, à nous écrivains africains : inventez votre propre tradition, fondez votre histoire littéraire, découvrez vos propres formes, éprouvez-les dans vos espaces, fécondez votre imaginaire profond, ayez une terre à vous, car il n’y a que là que vous existerez pour vous, mais aussi pour les autres. »

J’ai noté dans ce livre de MMS, la référence à quelques écrivains imaginaires , africains-d’expression-francaise.

C’est dommage car cette veine est bien irriguée pourtant.

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Ousmane_Semb%C3%A8ne

renato dit: 2 octobre 2021 à 13h11

DHH, voulant souligner l’appartenance à une superstition, je l’aurais écrit. Par ailleurs, la Sarfatti s’est convertie au christianisme, nonobstant elle dut s’enfuir lors de la promulgation des lois raciales (1938), mais même après sa conversion elle est restée fidèle à son judaïsme, comme un héritage culturel : « comme un bagage doctrinal et intellectuel à exploiter ». En tout cas MS était contre la guerre coloniale et contre l’alliance avec l’Allemagne d’Hitler. J’ai quelques livre d’elle : bien écrits et un regard attentif sur les arts.

Patrice Charoulet dit: 2 octobre 2021 à 15h18

Prononciations de « désuet »

– Littré ne contient que « désuétude ». Prononciation : (s).
– Adolphe V. Thomas, chef correcteur des éditions Larousse, Dictionnaire des difficultés de la langue française, 1956 . Se prononce dé-sué ( et non dé-zué). L’s est également dur dans
« désuétude ».
-P.Dupré, Encyclopédie du bon français, 3 vol. 1972 . L’adjectif « désuet » est postérieur au susbstantif « désuétude ». (…) On s’efforcera de maintenir la prononciation (s), bien qu’elle soit presque…désuète, car la tendance actuelle est de prononcer (z).
H. Bénac, Guide alphabétique des difficultés du français, 1978 . (s) et non (z)
Dictionnaire de l’Académie française, éd. 1995 . Se prononce (s).
Jean -Paul Colin, Dictionnaire des difficultés du français, 1995 ,éd. Le Robert. Prononc.
(s) et non (z).
Petit Larousse. (z), ou, vieilli (s).
Petit Robert, éd. 2019. (z) ou (s).
TLF en ligne. (s) ou (z).

A vous de voir ! Moi, j’ai ma petite idée.

Marie Sasseur dit: 2 octobre 2021 à 15h30

J’ai noté dans ce livre de MMS, la référence à quelques écrivains imaginaires , africains-d’expression-francaise.

J’y ai aussi noté une référence patronymique, du monde littéraire parisien, dont les fonctions annoncées sont suffisamment précises pour qu’à l’heure d’internet un check rapide permette de savoir ce qu’il en est.
Et là encore, à moins de jouer sur ces chausses-trappes, à quoi servent ces futilités ?

Vous savez qui était presidente du jury Femina entre 1973 et 1985, Passou ?

Jazzi dit: 2 octobre 2021 à 15h32

Le léZard de Paris vous propose de découvrir le premier épisode d’un feuilleton romanesque en sept parties.

et alii dit: 2 octobre 2021 à 15h33

La graphie gageüre, avec un tréma sur le u pour indiquer que la voyelle doit être prononcée avec son timbre propre, est l’une des recommandations des Rectifications de l’orthographe de 1990. Cette graphie avait été proposée par l’Académie française en 1975, mais celle-ci y avait renoncé en 1987. L’adoption de la graphie gageüre permettra sans doute de mettre fin à l’éternelle confusion entourant la prononciation du mot.

et alii dit: 2 octobre 2021 à 15h37

P.Charoulet ne doit pas s’offenser de « monsieur »
je signale à renato
 » on the cover for the US edition of Paul Griffiths’s Mr. Beethoven:

et alii dit: 2 octobre 2021 à 15h47

et pourquoi DHH NE CORRIGE6T6ELLE PAS?
Recherchez-t-elle inconsciemment la fausse couche ?
QUE RECHERCHAIT-elle ?
la sage-femme qu’avait ramenéE sans tarder

Marie Sasseur dit: 2 octobre 2021 à 17h08

Eh bien elle n’existe pas, tout simplement.
Bien joué Diegane.
Au moins on aura compris la différence entre les Dix ( non, je n’ajoute pas petits niggers, misogynes et machistes, y compris leur composante xx), et les Dames du Femina.

Marie Sasseur dit: 2 octobre 2021 à 17h12

Tout bien réfléchi, je vais souhaiter le Femina à MMS, même si je n’en suis qu’ au dixième du quart de son bouquin.
Les Dix auront tout loisir de le lire au lieu de le commenter !!!

D. dit: 2 octobre 2021 à 17h19

Le ministre de l’intérieur va intervenir dans quelques instants sur l’alerte météorologique en cours, très préoccupante.
Le niveau de vigilance vient de passer à rouge pour la Loire-Atlantique.

Jibé dit: 2 octobre 2021 à 17h19

DHH
Intéressante question sur le boulangisme et son parallèle avec zemmour. Le populisme et le nationalise les rapprochent mais n’oublions pas que Boulanger avait été ministre, donc était du sérail militaire et politique là où zemmour vient des médias et en est devenu un bon client d’abord puis une tête de gondole. Boulanger agrégeait autour de lui des antirépublicains mais aussi des socialistes dans une même détestation de la mentalité bourgeoise, là où zemmour attire, il semblerait, classes moyennes et bourgeoisie au contraire. L’antisémitisme? Je ne sais pas trop où en est zemmour, qui déteste l’internationalisme mais est d’origine juive lui-même (je n’ai pas lu ses oeuvres complètes, n’en ai pas l’intention). On notera enfin qu’il n’a pas de programme économique mais il semble coller aux règles du capitalisme type, (liberté d’entreprise et chacun pour soi, valeur travail en bandoulière) tandis que Boulanger est réticent, façon monarchiste ruraliste et paternaliste.
Aurait en commun avec Boulanger l’appétence autoritaire, le goût de la « terre qui ne ment pas » et du « vrai Français » (il a séduit Barrès), mais pas davantage. Factuellement, il brouille les cartes du jeu politique, point commun avec le général B. aussi.
Bref, on peut faire des rapprochements mais en histoire, c’est toujours « savonneux », comme terrain.

Marie Sasseur dit: 2 octobre 2021 à 17h25

Le borgne de Montretout adoubant le neo-pétainiste et par là sa bâtarde de petite fille, reniant sa fifille.
C’est ok corail, pour les vieux abrutis qui prennent ce train de bestiaux.

Marie Sasseur dit: 2 octobre 2021 à 17h28

On notera surtout que la jibe, est toujours ok pour se prostituer dans le sentier.

B dit: 2 octobre 2021 à 17h29

De nouveau une figure de femme ju.ve derrière un facho ».

Juif, le facho. Vous pourrez penser qu’en Israël bien que la situation géopolitique soit plus épineuse que la nôtre ils ont des fachos qui ne disent pas leur nom.

DHH dit: 2 octobre 2021 à 17h36

@jibe
je pensais moins aux personnages et à leur posture politique qu’au parallelisme du phenomene d’emballement collectif autour d’une figure n’appartenant pas vraiment au serail.
Des bulles qui sont les indices du malaise d’une societé ;le schema Catilina

et alii dit: 2 octobre 2021 à 17h48

pour Clopine :
1 million de signatures : le seuil est atteint pour une initiative citoyenne européenne sur les abeilles
Par Sciences et Avenir avec AFP le 01.10.2021 à 13h14
Lecture 2 min.
Une initiative citoyenne européenne pour « sauver les abeilles et les agriculteurs » a récolté plus d’un million de signatures à travers l’Union Européenne, obligeant la Commission européenne à décider d’une action pour y répondre.
https://www.sciencesetavenir.fr/animaux/le-million-de-signatures-atteint-pour-une-initiative-citoyenne-europeenne-pour-les-abeilles_15

Marie Sasseur dit: 2 octobre 2021 à 17h49

« d’une figure n’appartenant pas vraiment au serail. »

zemmour? une figure qui correspond à plusieurs figures pied-noir, de l’oas.

etalii dit: 2 octobre 2021 à 18h10

A partir des années 1950, le couple se fournit chez des antiquaires, des connaissances, des veuves de peintres. Autre filon: les tableaux, sculptures et meubles rapportés d’Allemagne par l’Armée rouge.
drôle de collectionneurs, drôles de « musées » :Bielutine, une story pour les amateurs d’art!
https://www.mediapart.fr/studio/documentaires/culture-idees/bielutine-dans-le-jardin-du-temps-parmis-les-plus-grands-maitres-de-la-renaissance-docu-du-2?utm_source=20211002&utm_medium=email&utm_campaign=QUOTIDIENNE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-%5BQUOTIDIENNE%5D-20211002&M_BT=1249929909253

puck dit: 2 octobre 2021 à 18h24

Jazzi dit: à

Lavande, Clopine, Christiane, rose…
Mais qu’est-ce qui fait donc fuir les femmes de ce blog !
 »

Jazzi et moi tu m’oublies ?

Jazzi dit: 2 octobre 2021 à 18h48

Ce soir c’est Nuit Blanche, mais la plupart des évènements sont annulés en raison des conditions climatiques, c’est ballot, restons au chaud !

Jean Langoncet dit: 2 octobre 2021 à 18h51

Enfin, tout n’est pas perdu pour la littérature : dans Mussolini, il y a Musso. Et rappelez-vous ceci : le bon livre, c’est d’abord celui qui se vend.

et alii dit: 2 octobre 2021 à 18h55

genes :
À l’occasion d’une réception à Madrid, Pallavicini lui commanda un gâteau différent des habituels. Par la manipulation simple des ingrédients, à partir du classique gâteau de Savoie, Cabona inventa une pâte battue, extrêmement légère; une fois goûté le gâteau, tant l’émerveillement et l’enthousiasme de la cour d’Espagne étaient grands qu’il fut convenu de baptiser une telle merveille de légèreté du nom de génoise. À Gênes, et depuis en Italie, ce gâteau a pris le nom de « pan di Spagna » (pain d’Espagne), en l’honneur du roi Charles II et de sa cour.

Selon Joseph Favre, on doit dire un biscuit génois ou un biscuit en pâte génoise.2.

puck dit: 2 octobre 2021 à 18h55

zemmour? une figure qui correspond à plusieurs figures pied-noir, de l’oas.
 »

moi j’aurais plutôt vu un truc genre « Netanyahu ».

par contre rien à voir avec mon boulanger qui un type hyper sympa.

bouguereau dit: 2 octobre 2021 à 18h55

Mais qu’est-ce qui fait donc fuir les femmes de ce blog !
»

ton hindécence baroz..

puck dit: 2 octobre 2021 à 18h56

« Tu n’es pas une femme, puck, et tu n’as pas fui la RDL… »
 »

comment tu sais ça t’as même pas été voir sous ma jupe ?

et alii dit: 2 octobre 2021 à 18h57

Le génois est une voile à grand recouvrement c’est-à-dire que, contrairement au foc, son arrière se superpose en partie avec la grand-voile : alors que la longueur de la bordure (base) du foc est égale à la distance entre l’étai et le mât, la bordure du génois peut aller jusqu’à 1,5 fois cette longueur (génois avec un recouvrement de 150%). Sur les voiliers des années 1970, les génois étaient à très fort recouvrement (parfois supérieur à 150%) ; c’était une voile puissante dont la surface était très nettement supérieure à la grand-voile

B dit: 2 octobre 2021 à 18h57

Puck, qui vous l’a cisaillée si ce n’est pas indiscret? Est ce q itou e je vous ai raconté cette anecdote; un étudiant malien dont nous étions tous fous et folles éliminait de l’exercice une de mes amies parce qu’elle avait de bonnes incisives et cela lui paraissait dangereux.

Jean Langoncet dit: 2 octobre 2021 à 18h58

@(liberté d’entreprise et chacun pour soi, valeur travail en bandoulière)

La liberté d’entreprendre ne se confond pas avec un « chacun pour soi » et elle a pleine valeur constitutionnelle. Lui préférez-vous le collectivisme à la mode socialiste, celle du temps des grandes heures ?

B dit: 2 octobre 2021 à 19h00

Pleine valeur constitutionnelle, et les 6 millions de chômeurs sont ils aussi inscrits?

puck dit: 2 octobre 2021 à 19h02

Puck, qui vous l’a cisaillée si ce n’est pas indiscret?
 »

un très bon chirurgien, au final j’ai opté pour l’homosexualité féminine.

bouguereau dit: 2 octobre 2021 à 19h02

Bref, on peut faire des rapprochements mais en histoire, c’est toujours « savonneux », comme terrain

jubé remplit pour faire historien

puck dit: 2 octobre 2021 à 19h05

« un étudiant malien dont nous étions tous fous et folles éliminait de l’exercice une de mes amies parce qu’elle avait de bonnes incisives et cela lui paraissait dangereux. »

désolé B je préfère éviter ce type de discussion en public.

puck dit: 2 octobre 2021 à 19h07

Jeannot Lapin toi le spécialiste d’Israël et la solution finale tu penses quoi de la ressemblance entre Zemmour et Netanyahu ?

puck dit: 2 octobre 2021 à 19h09

quelqu’un peut-il me rappeler où nous en étions restés sur la comparaison entre Tchekhov et Flaubert ?

bouguereau dit: 2 octobre 2021 à 19h09

N’y a ‘t’il pas en arrière plan de ce rapprochement teinté d’humour qui les met en parallèle l’une dans son rôle auprès du Duce , l’autre auprès de Zemmour , cette idée implicite: « De nouveau une figure de femme ju.ve derrière un facho »

drh et son godemichet..

B dit: 2 octobre 2021 à 19h11

Jean, ce que je déplorait est qu’il n’y ait que peu de volonté pour développer des secteurs d’industries novateurs et nécessaires. Aucun projet pour faire en sorte que les inemployés trouvent une place dans un fonctionnement, ce qu’on nous dit pour le futur c’est une demande d’emplois à forte valeur ajoutée . Et les autres, voués à la survie ou à l’exploitation d’un marché du travail libéralisé, comprendre sans protection sociale, payés à minima, corvéables à merci?

puck dit: 2 octobre 2021 à 19h11

et alii dit: à

Le génois est une voile à grand recouvrement c’est-à-dire que, contrairement au foc, son arrière se superpose en partie avec la grand-voile : alors que la longueur de la bordure (base) du foc est égale à la distance entre l’étai et le mât, la bordure du génois peut aller jusqu’à 1,5 fois cette longueur (génois avec un recouvrement de 150%). Sur les voiliers des années 1970, les génois étaient à très fort recouvrement (parfois supérieur à 150%) ; c’était une voile puissante dont la surface était très nettement supérieure à la grand-voile
 »
wow ! le blogapssou a déménagé aux Glénans ?

bouguereau dit: 2 octobre 2021 à 19h12

DHH, voulant souligner l’appartenance à une superstition, je l’aurais écrit

rénateau est trop passé sous les echelle..statistiquement il s’est pris au moins une quinzaine de marteau et de pot de peinture sur la tête..même havec le casque lourd a dédé ç laisse des traces

puck dit: 2 octobre 2021 à 19h13

« Le génois est une voile à grand recouvrement c’est-à-dire que, contrairement au foc, son arrière se superpose en partie avec la grand-voile »

correction : le foc se superpose à la voile et à la vapeur d’où l’expression « pd comme un foc ».

puck dit: 2 octobre 2021 à 19h14

« Le génois est un voile à grand recouvrement »
 »

encore une erreur : on appelle ça une burqa.

bouguereau dit: 2 octobre 2021 à 19h14

Ce n’est pas ce que dit DHH, le boug, mais je veux bien te servir de bouclier

je suis pas son olibos c’est certain..et toi baroz?

puck dit: 2 octobre 2021 à 19h18

« ma trouvaille est géniale »
 »

j’ai jamais dit le contraire : toutes tes trouvailles sont géniales ma grande !

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