Dans le potage de maître Gibault
Etrange de constater combien le genre littéraire du dictionnaire correspond aux exigences de l’époque par sa forme et son esprit. Le principe alphabétique est censé mettre un peu d’ordre dans un chaos intime. Comme une règle qui corrigerait l’émotion. Ce foutoir autorise toutes le entrées possibles. On y vient à toute heure sans crier gare, dispensé de commencer par le début et de terminer par la fin. Idéal en ces temps de papillonnage triomphant. N’empêche que j’ai lu de A à Z le Libera me (418 pages, 23,90 euros, Gallimard) de François Gibault. Ce qui n’est pas un exploit tant sa lecture est plaisante et édifiante. Des gens, des idées, des choses, des dates, des lieux rangés en courtes fiches très senties, sans guère de retenue ou d’inhibitions, une trentaine de lignes en moyenne. Un méli-mélo qu’il qualifie de potage.
En surgit d’abord un autoportrait en kaleïdoscope. Celui d’un homme d’un autre temps. Pas une question d’âge, eut-il fait sa première communion solennelle en mai 1944. Tropisme certain pour le savoir-vivre, les usages, les traditions. Nostalgie avouée pour le raffinement, le bon goût et un certain art de vivre à la française. De quoi hérisser les nouveaux bien-pensants. Il a les accents barrésiens de celui qui avoue d’emblée « un attachement inouï pour le passé ». A ceci près que sa vénération pour ses morts va de pair avec son amour des vivants, même si on le sent prêt à changer de contemporains.
Rien d’un nihiliste, plutôt un conservateur fasciné par la table rase. Comme ses amis Jean Dubuffet et Françoise Sagan, ce grand bourgeois dessalé aime bien la révolution, mais pas devant sa porte, rue Monsieur, en l’hôtel Saint-Simon à Paris. Il fallut la crise de 1929 pour que son grand-père Plassard (un patronyme qui fleure bon L’Argent de Zola) consente à louer à un cinéma la Pagode, folie sino-japonaise du XIXème finissant sise derrière le Bon Marché., devenue château de famille des Plassard et jardin d’enfants des Gibault. Aujourd’hui, il s’indigne de ce que « Ne nous laissez pas succomber à la tentation » ait été remplacé par « Ne nous soumets pas à la tentation » dans le Pater noster, le tutoiement aggravant le fait qu’il n’y ait plus de perspective de tentation. Les listes versent parfois un peu dans le catalogue, avec une légère dilection pour le name dropping mais on lui pardonne car il nous dédommage aussitôt avec des expressions d’autrefois : « sensationnel » ou « à tout casser ». Mondain autoproclamé alors que tout dans sa mise – uniforme de croque-mort chic, crâne de bonze, rigueur de l’expression, maintien roide de l’officier de cavalerie qu’il fut en Algérie- trahit un régulier plutôt qu’un séculier. Il est aussi là, le double. Mais un bonze du genre agité, secoué de tics nerveux, bourré de tocs invisibles – et tolérant comme ce n’est pas permis, jusqu’à consentir à laisser s’exprimer Christine Boutin qu’il abhorre pourtant.
Il a de la mémoire, François Gibault. Du genre à tout pardonner sans rien oublier. Si après cela, il n’est pas catalogué, donc liquidé, en homme de droite tout d’un bloc, irrécupérable… Ce qui serait dommage. Sans la complexité, ce serait à désespérer du genre humain, non ? Il faut toujours chercher les failles, une fois exposés les élans du cœur et les échappatoires de la conscience. Lui, on le sent fasciné par l’inédit de l’interdit : « Les règles étant générales et publiques n’ont ni la force ni la séduction des exceptions ». Cette attirance pour l’inconnu est d’ailleurs annoncé dès l’épigraphe, un aveu du jeune Mauriac épistolier :
« Il y a en moi un double, un second François sensuel et violent qui tend les mains vers la vie ignorée et que toutes les voluptés attirent »
Il a défendu des officiers de la guerre d’Algérie qui avaient obéi à leur sens de l’honneur, ce qui lui a plu, et des plastiqueurs ou des cambrioleurs de l’OAS, ce qui lui a moins plu. Mais c’est là qu’il a appris son métier : en défendant toutes les causes, il a appris à « expliquer », vocation de l’avocat puisque celle du juge est de comprendre – même si on aurait plutôt imaginé « convaincre » à la place. Il défendu Hocine Aït Ahmed, l’un des fondateurs du FLN algérien, contre le président Ben Bella. Il a défendu les Bahai’s devant les tribunaux égyptiens et marocains qui les condamnaient lourdement. Il a défendu l’empereur de Centrafrique Bokassa 1er dans une comédie judiciaire qui dépassait la fiction. Il a défendu Pierre Botton contre le juge Courroye. Il a défendu le général Oufkir dans l’affaire Ben Barka. Il a défendu des Katangais de mai 68. Il a défendu les étoiles du Ballet de l’Opéra de Paris lorsqu’il s’est agi de renégocier leur contrat. Et s’il a défendu les intérêts de son client le colonel Kadhafi, on se dit qu’il en défend encore la cause, sa Libye ayant été laïque etc – et dans son élan de sacrer BHL « bienfaiteur de l’humanité ». C’est dire sa générosité.
C’est un avocat. Tout candidat au barreau devrait lire ce livre. Les grands anciens y sont puissamment campés, les Georges Izard et Maurice Garçon, les Marcel Grente et les Jacques Charpentier, les Naud et Tixier-Vignancour sans oublier les Floriot, Kiejman, Bredin. Une vraie galerie de jeunes ancêtres. L’échec qu’il a ressenti comme le plus cuisant de sa carrière concerne l’affaire d’un petit, d’un sans-grade, issu d’un milieu ouvrier du Nord, un certain Pitkiewicz qui tua celui qui venait de tuer son père, un quelconque Lafcadio qui avait fait un carton sur le premier venu. Deux ans avec sursis au lieu de l’acquittement pour le meurtrier de l’assassin. Il ne se l’est pas pardonné car en l’espèce, il aurait réagi comme son client. Mais qu’on ne s’y trompe pas : ce ne sont pas là les mémoires d’un pilier du barreau de Paris. Pas que cela même si ce qui en est rapporté passionne. Car on observe chez Me Gibault un curieux phénomène qui ne semble pas si fréquent chez les plaideurs : longtemps après que l’affaire ait été jugée, et le dossier refermé, il continue à défendre ses clients devant le tribunal de l’Histoire. Clients à vie, c’est à croire !
Il n’est pas un paradoxe près : ici il glorifie Kadhafi pour avoir maintenu un Etat laïc en Libye, là il dénonce « la législation imbécile » par laquelle le port du voile est interdit en France dans l’Administration et à l’Université. Il brûlait de connaître Mishima, au lieu de quoi il a été le Pygmalion du jeune Filip Nikolic, espoir de la gymnastique dont il fit l’âme du boy’s band les 2Be3. Les deux pages sur ce qui a mené le général de Larminat à un suicide romain, le général de Gaulle lui ayant enjoint d’exécuter un ordre qui l’aurait déshonoré, sont poignantes. Nelson Mandela, le charismatique absolu, y est croqué en personnage animé par le Saint-Esprit. Voici le mime Marceau, aussi bavard à la ville que muet à la scène. On voit sourdre sous sa plume un certain respect pour le panache, celui par exemple de ces accusés qui ne parlent que pour dire des choses qui ne peuvent que les conduire à la mort, tels ceux de l’attentat du Petit-Clamart, Alphonse Constantin et le lieutenant-colonel Bastien-Thiry, dernier Français fusillé à la suite d’un procès politique. Ses héros, ceux qui forcent son admiration, n’en sont pas moins issus de la Résistance et de la France libre, Daniel Cordier et Pierre Clostermann.
Cet homme a l’empathie naturelle. Faut il qu’elle le mérite pour qu’une cible reçoive sa flèche. Si certains portraits sont implacables, c’est qu’ils l’ont bien cherché. Certains auteurs à la bibliographie courte et légère : « « A beaucoup d’écrivains qui meurent prématurément, on prête des chefs d’œuvre qu’ils n’ont pas eu le temps d’écrire ». Arletty aussi, traitée sans indulgence. Ou le philosophe Michel Serres qui s’est fait une spécialité des « fumeux propos ». Ou Marcel Jouhandeau dont il abhorre le style, « son beau style, si affecté, si recherché, ampoulé, sur-écrit, précieux, empapaouté, pas souvent direct, pas assez naturel, écrits d’alcôve pour vieilles filles sentimentales, messieurs incertains de leur sexe, voyeurs, faux prêtres et vraies bigotes ».
On y découvre un Michel Audiard dans ses vaines tentatives d’adapter à l’écran le Voyage au bout de la nuit. Un Edouard Balladur qui n’en a que pour Céline. Un Ernst Jünger qui lui écrit franchement ce qui lui inspire le même Céline : « Un des meilleurs connaisseurs de l’infamie moderne, mais il n’a pas conservé la distance qui s’impose avec cette infamie ». Une Lucette Almansor veuve Destouches refusant à l’éditeur Jean-Marie Le Pen d’enregistrer et de commercialiser Voyage au bout de la nuit afin d’éviter tout amalgame entre Céline et l’extrême-droite.
Il ne déteste pas jouer les intermédiaires. Juste pour faire avancer les choses et que pour ceux qui ne pouvaient pas se voir puissent se rencontrer. Il se souvient de ses échecs avec la même allégresse que de ses réussites. Le voici échouant à organiser une rencontre entre Bokassa 1er et Werner Herzog, qui n’en réalisera pas moins Echo d’un sombre empire. Le voici intercédant auprès de la Ville de Paris au nom d’Arno Breker soucieux de lui faire un don longtemps après l’Occupation à condition que la chose soit exposée dans un jardin de la capitale, se voyant refuser un triple buste de Wagner, Liszt et Cosima (quelle idée !), se rabattant sur une petite statue en pied de Jean Cocteau, projet qui finira par tomber à l’eau, l’installation ayant fâcheusement coïncidé avec l’attentat de la rue des Rosiers…
Et Céline là-dedans ? La plus brève et la plus lapidaire des notices. Normal : il est partout dans ces pages. Il est vrai que, biographe pionnier du maître de Bébert, Gibault est aussi avocat de la veuve, défenseur de ses droits moraux et patrimoniaux. On lui abandonne volontiers Michel Déon en « plus grand écrivain français vivant », et « La grande Zoa » en « l’un des chefs d’œuvre de la chanson française » ; de même, si on approuve son indignation à la suite du massacre des harkis et de leurs familles par la jeune république algérienne, ne le suivra-t-on pas dans la qualification de ce crime de masse en « génocide ». Et l’on n’est pas forcé de croire, comme lui, que si le roman est en pleine décadence, c’est parce que l’image a tué l’imagination.
Il sait bien des secrets et en tait beaucoup. Libera me n’en est que l’écume, mais si goûteuse quand l’anecdote, la chose vue et le trait son mitonnés par un tel chef. « Libera me », « Délivre-moi, Seigneur, de la mort éternelle… », absoute prononcée dans l’église lors d’une messe de requiem. Manière de rappeler le caractère foncièrement testamentaire d’un livre qui est tout sauf triste ou mélancolique, malgré le culte du passé. Ordonnateur des festivités céliniennes et président de la Fondation Dubuffet, il a l’habitude de recevoir les demandes les plus cocasses. Mais depuis quelques temps, comme Claude Lévi-Strauss qui recevait à son domicile des commandes pour des jeans, il reçoit des coups de fil interrogateurs qui le comblent : « Le Slip français, c’est vous ? » adressés en réalité à son neveu, créateur d’une marque qui en a. On croirait qu’il a juré de mourir jeune mais le plus tard possible. On aura compris que François Gibault est un ami, un vrai. Autrement dit, selon Roger Nimier, quelqu’un que vous pouvez appeler à minuit pour lui demander de vous aider à transporter un cadavre et qui le fait, sans vous poser de question.
(« Photos Passou, Yann Foreix et D.R.)
1 125 Réponses pour Dans le potage de maître Gibault
Je sens que JC va s’éclater.
« Cet homme a l’empathie naturelle »
Je prie les dieux pour qu’il m’évite.
« Un Edouard Balladur qui n’en a que pour Céline. »
Deux pour le prix d’un.
Courage fuyons.
Je sens que bientôt le Oui/Non de Nabe va nous être présenté comme la quintessence du XXème siècle.
Mec si… Mec sicko…
« N’empêche que j’ai lu de A à Z le Libera me (418 pages, 23,90 euros, Gallimard) de François Gibault. »
Et dire que je peine toujours sur.. bref, pas le même éditeur.
Gibault; « avocat de causes troubles ».
Je reviendrai lire. Demain.
Justement ce soir j’ai mangé du potage cresson-pomme de terre (bio).
Isorni, Pedroncini ? Nomého !
La première photo est un peu surréaliste, fascinante, altérée. Poésie d’un environnement ordinaire. Elle me suffit pour ce soir. Je lirai ce nouveau billet demain.
Il ne faut jamais reporter à demain ce que l’on peut faire le jour même, Christiane.
Moi je l’ai lu et maintenant je suis tranquille pour un bon moment.
Et je peux vous dire que c’était pas de la tarte.
« … l’image a tué l’imagination… »
C’est osé car depuis le temps que l’on « fréquente » les images, l’imagination a vraiment pris son temps pour mourir… il me semble que la « vérité est ailleurs », que les gens ne dédient plus leur temps à l’imagination et que ce sont les images qui en conservent le souvenir…
Moi, j’aime le CINEMA poilant…
Cette semaine : NOE :
http://www.nioutaik.fr/index.php/2011/03/18/613-larche-de-noe-cest-vraiment-nimporte-quoi
Epatante empathie
On peut vraiment fort en pâtir,
De cette empathie haut cotée.
Calquer l’autre est-il se grandir ?
On peut vraiment fort en pâtir.
Rester soi vaut mieux que blettir,
Dans cette empathie empâtée.
On peut vraiment fort en pâtir,
De cette empathie haut cotée.
Jean Calbrix, le 07/04/14
Si un dictionnaire est un foutoir, et la Justice de même, il est clair que ce Gibault est un foutraque plaisant/déplaisant.
Comme le dit Passou, le bouquin doit valoir la fréquentation du lecteur.
Pour le bonhomme, c’est une autre affaire, et dans ce dernier cas, je passe mon chemin ….
éviter tout amalgame entre Céline et l’extrême-droite.
—
vaste projet…good luck…ah, les beaux draps… bagatelles…d’une éructation l’autre…Lucette pas morte…et pourtant…le complot yoghurt…
Le petit Mickey Rooney (1m57) vient de mourir à 93 ans : je retiendrai de lui qu’il épousa une actrice de grande hauteur, la belle Ava Gardner. Citius, Altius, Fortius !
Heureuse époque où l’ascenseur social et affectif fonctionnait …
Une des imbécillités induites par la Révolution Française : le concept de droite et gauche…
« sensuel et violent qui tend les mains vers la vie ignorée et que toutes les voluptés attirent »
quel exemple pour la jeunesse
Aujourd’hui, il s’indigne de ce que « Ne nous laissez pas succomber à la tentation » ait été remplacé par « Ne nous soumets pas à la tentation » dans le Pater noster, le tutoiement aggravant le fait qu’il n’y ait plus de perspective de tentation
tzzz..hier.. »les français sont tous théologiens »..forcément
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/10/14/01016-20131014ARTFIG00547-l-eglise-revoit-le-texte-du-notre-pere.php
vani dit: 6 avril 2014 à 22 h 07 min
Je sens que JC va s’éclater.
c’est limite véniel
Rhin au chaud
rognons..
Heureuse époque où l’ascenseur social et affectif fonctionnait …
t’as du mal à monter à la corde à noeud au 7éme jicé..
il me semble que la « vérité est ailleurs », que les gens ne dédient plus leur temps à l’imagination et que ce sont les images qui en conservent le souvenir
c’est bien dit..seul un écriteur de l’interieur du périf a pu écrire ça..vive la france
« Le Slip français, c’est vous ? »
..c’est ça la consécration
messieurs incertains de leur sexe
..toujours a faire mine de se gratter les burnes
Plutôt que d’un potage,
l’air d’un bouillon !
Marmitroublement.
un triple buste de Wagner, Liszt et Cosima (quelle idée !)
et pourquoi pas goering avec 2 loulou de poméranie aussi..ce bréquère..mais quel gaffeur
Potimagination : art d’inventer des recettes de potages.
Pataugazeusement.
ça doit être mes yeux mais ce matin, je ne compte que les n. Pourquoi tant, vois-tu?
Potinambour : potage de topinambours.
Tauponteusement.
« ce sont les images qui en conservent le souvenir »
Optimiste!
« On aura compris que François Gibault est un ami, un vrai. Autrement dit, selon Roger Nimier, quelqu’un que vous pouvez appeler à minuit pour lui demander de vous aider à transporter un cadavre et qui le fait, sans vous poser de question. »
Peut-on connaître le nom de votre victime, Passou ?
Et avez-vous l’intention de céder à nouveau à la tentation ?
Et Breton errant dans les rues de Paris à la rencontre de Nadja… ; )
« l’alcool a tué autour de moi trop de gens que j’aimais pour que je taise ici toute la haine que j’éprouve à son égard », page 19 L’alcool
L’amitié a ses limites : le transport de cadavre, en particulier !
L’homme et ses paradoxes en inox, on n’en sort pas du style comment adhérer aux thèses révisionnistes sans se revendiquer d’un parti d’extrême droite, comment défendre un tyran en prévoyant la suite mais là ce serait entre deux maux etc, la position de l’avocat n’est pas simple. Faut-il lire cet abécédaire pour une vue sur son argumentaire, « Il n’est pas un paradoxe près : ici il glorifie Kadhafi pour avoir maintenu un Etat laïc en Libye, là il dénonce « la législation imbécile » par laquelle le port du voile est interdit en France dans l’Administration et à l’Université. »
Tomber sur un entretien de François Gibault à la télévision (9 fois et demi sur 10 le sujet portera sur Céline), est toujours un grand moment. Sa voix, son débit, ses saillies, s’inscrivent dans la plus grande tradition de « l’animal juridique » à la française (une chose qui perdure, il y a des collectionneurs d’art africain avocats qui perpétuent ces traits de personnalité aujourd’hui, par exemple.) J’ai fait un stage de quelques jours (pas élève-avocat, juste pour boucler un cycle d’études) chez l’un des ténors cités dans le billet, quelqu’un d’infiniment chevaleresque et empressé auprès des stagiaires féminines et de sa secrétaire, beaucoup plus distant, quoique toujours charmant, mais ironiquement très mordant, avec nous les bonhommes. Quand on allait, à la pause de midi; « manger un morceau » (son expression favorite), vers la rue des Saints-pères ou sur le boulevard Saint-Germain, il nous racontait comment tout bon « baveux » devait plaider une affaire dans un sens particulier et être capable de prouver que le contraire s’avérait tout aussi exact, enchaînait sur des trucs à propos de ses confrères, les « stipendiés », les « aspirateurs » à pépettes spécialistes des contrats émis par des pays étrangers, sans trop faire dans la nuance ni la dentelle. En revanche, intarissable et très fin sur la littérature, l’Histoire, la différence entre les perfs d’un Hurricane versus un Spitfire pour Clostermann, le Gaullisme de gauche de René Capitant, fils d’Henri, un dieu chez les juristes, il avait une énorme culture, pas en toc comme chez les politiciens actuels. Bref je ne sais pas pourquoi je raconte tout ça. Je lirai avec une curiosité certaine ce que Gibault, dans son Requiem, dit de lui. Amen.
modération pour une question 10h06, un nouvel intitulé pour une idée d’émission?
L’homme et ses paradoxes en inox, on n’en sort pas du style comment adhérer aux thèses révisionnistes sans se revendiquer d’un parti d’extrême droite, comment défendre un tyran en prévoyant la suite mais là ce serait entre deux maux etc, la position de l’avocat n’est pas simple. Faut-il lire cet abécédaire pour une vue sur son argumentaire, « Il n’est pas un paradoxe près : ici il glorifie Kadhafi pour avoir maintenu un Etat laïc en Libye, là il dénonce « la législation imbécile » par laquelle le port du voile est interdit en France dans l’Administration et à l’Université. »
Bon, tout le monde est passé outre cette remarque?
L’amitié a ses limites : le transport de cadavre, en particulier !
t’as raison..chacun s’occupe de ses canettes de kro vide merde..surtout que l’alcool tue et tu te retrouves avec un crime de masse sur les bras..et pourquoi pas une corvée de bois ou un génocide à finir avant le matin pour être poteau tant que tu y es lassouline
lassouline avec gibo c’est kronenbourg s’appuyant sur moette henessy ou le contraire ?
Bref je ne sais pas pourquoi je raconte tout ça
jle sais bien allez..c’est ça exactement la conscience et la solidarité de classe..fermer les 2 noeils et donner l’coup dmain..je l’ai vu de mes propres noeils grantouverts..la lame on la voit jamais briller à son poing
L’évolution des sociétés et des mœurs n’est-elle pas organisée au gré des ses libérations et de ses interdictions en terme de droit, on abolit la peine de mort, on sanctionne le port du voile, on abaisse l’âge de la pénalisation, on autorise l’avortement, les femmes accèdent au droit de vote, quand le droit doit-il interférer sur la religiosité, autoriserait-on les femmes à se promener nues sur un campus? Pas assez vêtues mais si c’était leur choix soumis à quelque injonction émanant d’un gourou?
Bouguereau, c’est comme on retient une table
L’amitié a ses limites : le transport de cadavre, en particulier.
A cause de la complicité? Enfin Bouguereau! les ennemis de vos amis sont aussi vos ennemis.
Enfin Bouguereau! les ennemis de vos amis sont aussi vos ennemis
tellement vrai..rien qui lie comme le crime..c’est d’un tel photogénique estraordinaire que la litterature a du se mettre pas qu’un genoux en terre devant cette image d’épinal du xx eme siècle..plus fort que toi
Cette définition de l’amitié – le transport de cadavre entre amis – définit très exactement ce qu’est le partage d’idées, philosophiques, politiques, religieuses …
Un cadavre, par terre ? … Comme des cons, on s’active autour… Pourquoi ? mais… parce qu’il y a les copains, les amis, autour qui s’agitent !
Tous ensemble ! Tous ensemble ! Ouais !…
..en fait de litterature..on etoye bien plus circonspect qu’a chercher des fonds basptimaux sataniques..tout ça c’est dla faute a ce ratafumier dans les coins de montaigne..l’amitié n’était pas exempt du doute..du doute de soi même
C’est de la mort par platane ou c’est un renvoi au texte?
tellement vrai..rien qui lie comme le crime
Une mort suspecte n’est pas nécessairement criminelle, intentionnelle elle peut être accidentelle ou passionnelle, la passion exempte en partie du poids de la faute. Bon après que chacun se débrouille avec ses corps compromettants.
PUISQU’ON PARLE DE CADAVRES…
« Petit rappel des règles de ce blog. Il s’agit d’un blog littéraire, donc les post et commentaires qui n’ont rien à voir avec la littérature seront regulièrement supprimés. »
(Paul Edel, sur son blog)
Eh bien, Paul Edel, je vous quitte définitivement… !
Considérant que l’étroitesse d’esprit est un crime, même chez les littérateurs convenables, je vous souhaite « Bon vent et belle mer » vous laissant dans votre bassine d’eau plate, protégé par vos grilles rouillées !!!
Bouguereau si je vous connaissais dans la vraie vie je ne vous demanderais qu’un seul service, changer le sac de l’aspirateur.
Popaul est catégorique : sur son blog, les posts et commentaires hors sujet littérature seront supprimés… bravo, il a raison… et à quand ici pour bouter dehors les jicé et autres boudequelchoses nocifs et encombrants?
pour faire ta parfaite clopine jicé, te manque un blog sans commentaire..de loin vous serez fin copin..de prés je veux pas savoir, c’est vraiment trop dégoutant
Bouguereau, votre opinion sur Montaigne, je vous conseille de vous l’administrer en suppositoire… Vous savez, mon l.è.c.h.e.c.u.l.t.a.g.e., comme vous l’appelez, je le revendique si fort que j’en ai fait l’objet de mon billet du jour, sur mon blogounet. Vous feriez bien d’aller y mesurer la langue que, d’après vous, je laisserais pendre…
Afin d’enrichir ce billet sans liens, un extrait de mon livre sur « Les lieux de spectacle et la vie artistique de Paris », éd. Massin, 2013 :
« 7e arrondissement
Cinéma la Pagode
57bis, rue de Babylone
Tél. : 01 45 55 48 48
Métro : Saint-François-Xavier
Beau spécimen du japonisme en vogue à la Belle Epoque, la Pagode fut élevée à la fin du XIXe siècle par l’architecte Alexandre Marcel pour le compte de François-Émile Morin, directeur du Bon Marché tout proche, qui l’offrit à son épouse afin que celle-ci puisse y organiser de splendides fêtes. Mais dès l’année de l’inauguration, Madame Morin quitta son mari pour son associé, Monsieur Plassard.
Après ce coup de théâtre, digne d’un vaudeville à la Feydeau, la légation de Chine, installée au 57 rue de Babylone, l’utilisa à son tour comme salle de bal et de réceptions à partir de 1905 jusqu’à sa fermeture en 1927.
Quatre ans plus tard, La Pagode, transformée en cinéma, ouvrit à nouveau ses portes au public : c’était alors la première salle de l’arrondissement dévolue au 7e art.
Devenue un véritable temple de la cinéphilie, Jean Cocteau y présenta
Le Testament d’Orphée en 1959. Dans les années 1960, elle participa à l’essor de la Nouvelle Vague en programmant des films de François Truffaut, Éric Rohmer ou Jacques Rozier. Enfin en 1982, Claude Pinoteau y tourna une séquence de La Boum 2.
Son jardin a été inscrit au titre des Monuments historiques par un arrêté du 21 février 1983, tandis que sa façade, ses toitures et sa grande salle sont classées par un décret du 21 août 1990.
Enrichie d’une deuxième salle de projection et dotée d’un agréable salon de thé, La Pagode est désormais gérée par le groupe Étoile-Cinémas. »
tu peux toujours fumer pour tes petits crime entre petit amis keupu..lassouline ne kiffe que du déblère
heureusment qu’jai pas connu goering..j’ose pas imaginer le coup dfil a minuit..ça tombe j’aurais dit « j’arrive avec un volvo »
« l’un des chefs d’œuvre de la chanson française », dans le texte :
Quand vient l´mardi, la grande Zoa
Met ses bijoux, ses chinchillas
Et puis à minuit, la grande Zoa
Autour du coup s´met un boa
Y en a qui marmonnent
Que la grande Zoa
Ce serait un homme
On dit ça!
Dans sa Rolls blanche
Elle s´en va Place Blanche
Dans des Night Club
Ou dans des Pub
Aussitôt qu´elle entre
Elle devient le centre
Des conversations
Entre garçons
Comme elle est bizarre!
Quelle allure elle a!
Et ce grand coup là, OH!
Mais c´est un boa!
Si de toute la semaine on n´la voit plus
Elle n´a tout de même pas disparue
On peut la retrouver rue des saint pères
Décorateur et antiquaire
En complet veston
Plein d´décorations
Elle vend du Louis XVI
Avec des yeux d´braise
Mais quand vient l´mardi,la grande Zoa
Met ses bijoux, ses chinchillas
Et puis à minuit, la grande Zoa
Autour du coup remet son boa
Y en a qui racontent
Que dans sa famille
On a parfois honte
Quand elle se maquille
Elle va chez Henry
Pour boire un coca
Et demande un whisky
Pour son boa
Quand il est très tard
On la voit rentrer
Fumant un cigare
A grosse bouffées
On a jamais su
Qui était Zoa
Elle fût mangée crue
Par son boa
Elle fût mangée crue
Par son boa
Elle fût mangée crue
Par son boa
Alors là, c’est mon grand désarroi
reste avec goering, ton pote goebbels t’attend
oué va jouer du thérémine avec tes enc… (non je rigole on se connait pas)
Le point commun entre François Gerbault et Françoise Sagan, qui aimait aussi les femmes ?
Son mari !
«Bob Westhoff était homosexuel. Il a vécu avec François Gibault, le biographe de Céline. Françoise s’est retrouvée enceinte de lui, il lui fallait se marier vite. C’était un bon père. Mais il est mort à cause de l’alcool.
Ancien soldat, acteur puis mannequin, ce personnage de roman fut, aussi, l’un des traducteurs de Sagan en langue anglaise. De leur union naquit un fils, Denis. »
Ben zut « mon commentaire attend la modération ». J’y préconisais seulement l’usage du suppositoire au Boug’ – ce qui, vous en conviendrez, est assez pertinent quand on connaît l’engin, et répondait à son accusation de « lèche-cutage » lancée ce matin même à mon endroit, en l’invitant à aller regarder mon blogounet : pas de quoi titiller la pupille d’Anastasie, à mon sens ???
Enfin, le dernier lien pour la bonne compréhension du billet du jour de Passou !
« il été le Pygmalion du jeune Filip Nikolic, espoir de la gymnastique dont il fit l’âme du boy’s band les 2Be3. »
En revanche, Passou ne nous donne aucune explication sur le titre du livre : Libera me ?
« Délivrez-nous », mais de quoi ?
C’est de la soupe ou du potage ?
Mon dégoût de soi et des autres, ça vous manque tant que ça cette période?
Gibault et non Gerbault, s’cuses !
Apportez-nous notre petit BHL quotidien
Il faut put-être chrchre dans L’absoute prononcée lors d’une Messe de Requiem :
Líbera me, Dómine, de morte ætérna, in die illa treménda:in via
Quando cœli movéndi sunt quando et terra.
Dum véneris iudicáre sǽculum per ignem.
Tremens tremens factus sum ego, et tímeo, et timeo dum discússio vénerit, atque ventúra ira.
Quando cœli movendi sunt et terra.
Dies illa, dies iræ, calamitátis et misériæ, dies irae » dies magna et amára valde.
Dum véneris iudicáre sǽculum per ignem.
Réquiem ætérnam dona eis, Dómine: et lux perpétua lúceat eis.
On peut entendre François Gibault(à partir de la quarante duexième minutes) dans l’émission « Bibliothèque Médicis »(voir lien ci-dessous)Passou y est évoqué…
oui mais qui sait?
Merci, de nota, Gibault répond d’emblée à la question du titre.
Libera me : donne-moi la force de dire ce que j’ai à dire !
Rien de tel que l’actualisation
On parlerait d’intellactualisation.
Bon, il se raconte, enfin.
ach, cho, Ménéceps
Un dernier lien, pour la faim des petits céliniens !
http://www.ina.fr/video/I04216724
Sans oublier l’un « des plus grands écrivains français vivants », de près de 95 ans !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Déon
Sur le site Google.book on peut lire les premières pages de ce livre de François Gibault. La voix d’encre est douce, posée, discrète. Les noms, abordés par leur première lettre, réservent bien des surprises… Il y a de la fidélité, de l’honnêteté, une certaine dérision, du cœur, chez cet homme-là.
Son métier ? Être du barreau… c’est marcher dans cette zone grise où les frontières s’estompent, où un avocat doit pouvoir défendre son client et être capable du contraire. Tout, après est question de choix, d’angle d’attaque. Approcher les hommes dans leur complexité, leurs contradictions, perdus parfois dans la gueule de dragon de l’Histoire. Un « anarchiste de droite » qui semble être et n’est pas celui que l’on croit, sauf pour ses amis…
Sa compréhension de l’art, sa propre pratique semblent le placer dans un autre monde, parallèle, solitaire et méditatif, et proche de certains créateurs (Dubuffet).
Mme Destouches, Céline, son travail sur ses livres.
Il y a eu en 2011, un livre de lui,Singe une sorte d’auto-biographie, pour lequel Jérôme Garcin a eu un coup de cœur :
http://bibliobs.nouvelobs.com/documents/20111104.OBS3835/francois-gibault-un-singe-en-hiver.html
ainsi que Eric Nauleau :
http://www.parismatch.com/Culture/Livres/Une-vie-derriere-le-barreau-156348
Je comprends mieux la première photo qui m’a subjuguée, hier au soir. Un portrait ?
Bérénice, je n’aime pas trop ces petites allusions où il est question de D. de façon détournée. Il est de mon devoir de le protéger.
« Un des meilleurs connaisseurs de l’infamie moderne, mais il n’a pas conservé la distance qui s’impose avec cette infamie »
.. »toujours korrekt! »
sans déconner..comme la france au rouanda surement..jveux pas l’savoir
Passou y est évoqué…
mais pas ta soeur..elle vaut l’coup?
« lèche-cutage » lancée ce matin même à mon endroit
pil poil dirait vontraube..
JC….. dit: 7 avril 2014 à 11 h 03 min
je vous quitte définitivement… «
Enfin !
» je vous souhaite « Bon vent et belle mer «
Menteur
« votre bassine d’eau plate, protégé par vos grilles rouillées »
ta cuvette tape à l’œil de beauf et snobinard
« lancée ce matin même à mon endroit »
lancée à ton encontre ça serait encore pis
ça faut dire que ça l’a calmé ce célinien petit
cunnilingus ou anulingus, faut enlever les lunettes épicétou
Et maître Gibbs?
ste blog ne doit pas devenir un déversoir de souffrances
c’est permis de troller, non?
(d’être acerbe)
berenice dit: 7 avril 2014 à 11 h 03 min
changer le sac de l’aspirateur.
Oui mais ça c’est comme la bretelle et les ceintures, du docteur Gibault bon je sors, cinquante prozent des aspirateurs sont sans sac…
passou boit du ptit lait. pas d’entrée Sigmaringen dans ce dictionnaire ? on les connait tous ! ja wohl. mais les meilleurs d’entre eux ne font pas de « dictionnaire ». Il faut mourir comme Nimier ou Morand dans les caves de l’automobile club et achetez des eo en beaux papiers.
espérons que l’ouvrage deviendra téléchargeable pour la génération qui ne connait rien à rien, except youtubeporn.
C’est comme le papier d’hier, tout est si soudain
Mais attention, Bébert, lui, il a un sac…
Autour du coup s´met un boa
Pour le cou, c’est un suicide par strangulation.
On ajoute un r et voilà maître Gibault qui cultive son jardin…
« Le pape François décide de conserver la banque du Vatican » (Reteurs)
Il ne va pas brader sa juteuse fabrique de capotes anglaises.
Yade (UDI): il faut continuer l’oeuvre de Borloo (Snakvid)
Ya du pognon à s’faire !
Devenue ministre, Ségolène Royal renonce à faire paraître son prochain livre (Francetv info)
Ouf !
Tu pourras toujours te rabattre sur celui de Valérie Trierweiler, Marcel, son cadavre écrit encore !
Il est de ces soupes
qui bouillonnent longtemps
dans la marmite où l’on ne plonge
qu’avec la cuillère au manche télescopique.
Pour ne pas y voir les morceaux du cadavre
remonter tôt ou tard à la surface.
Peu importe la provenance
du contenu si l’ami
tend l’assiette.
Intestinaboliquement.
gemme-rait tant voir Syracuse
C’est obligé?
ça balance pas mal du nein à la vérité
Ha mais faut pas être roide, à cheval… Faut être souple comme un Marsupilami… Là le bison il est encadré…
Et la soudainement, tout le monde se rappelle de Monsieur Hire
ah non pardon (oups)
Mieux que le potage Gibault !
http://www.royco.be/fr/
Céline semble être sur un paquebot, même époque que Zweig alors qu’il traversait l’Atlantique pour discuter avec les producteurs de l’adaptation de ses livres, les deux en déroute vers leurs enfers.
Quand maman retrouvé un peu d’autonomie, j’ai un peu pensé à phil à recoudre les chaussettes
SSC, vous avez un pseudo de croisiériste sur la Meuse.
me demande s’il ne s’agit pas de « Normandie », qui donnera quelques pages dans « les beaux draps »
Merci, et puis cette jolie tuile dans Mack&Blue. Maman vous admire, c’est pour ça.
Phil, SSC, pourrait être aussi
Société Suisse de Crédit
je ne suis qu’allé à la banque en face du cnc
richtig tkt. ne sais plus quel scandale a secoué la SSC. en tout cas du moins raffiné que le banquier latexé.
Dear tkt, vous allez amazoner en Suisse ce dictionnaire d’estrème droite ?
tout de même un côté anecdotes pour vieux surgelés. Il faut préférer celles puisées dans les correspondances des écrivains cités. pour vous, celle-ci: Nimier recevait étroitement Jeanne Moreau dans son bureau. Gallimard entre (sans frapper).
Moreau: c’est le gardien ?
Bouguereau,tu veux te taper ma soeur?Mais d’abord t’as quel age?parce que ma frangine elle a 58 ans.Je peux bien le dire et même ajouter que c’est une sacrée emmerdeuse,vu qu’elle se fiche éperdument du passoublog, de la littérature et,accessoirement,de ce que fait son frangin.
Enfin,dire que c’est une emmerdeuse c’est pas répondre à ce qui te turlupine vraiment quand tu songes à ma soeur car,avec cette rude franchise que nul ne te conteste ici,tu me demandes si elle vaut le coup?D’après les confidences de ses amants-ma frangine n’a jamais souhaité convoler,comme elle le disait avec sa gouaille,oui,j’ai la frangine gouailleuse, »convoler,c’est toujours un peu voler avec un con »-ma frangine c’est de la bombe! »A retardement » avait cependant corrigé Robert qui avait quand même perdu treize kilos au cours de sa liaison avec icelle.
Voilà,si ça te tentes,je te refiles on mail et tout le tremblement et si tu peux la faire voyager un peu loin de la France pendant les fêtes de fin d’année,je veux bien mettre la main à la poche,parce que noel avec ma frangine,c’est à te dégoûter du christianisme.
Les dernières lignes du billet sont éclairantes : l’amitié donc. Souffrez que l’on ne partage pas ce brouet quoique la soupière soit classieuse.
la frangine à de nota, c’est christiane ?… car ça lui ressemble diablement
Pas d’accord, Alexia Neuhoff, il y a toujours à prendre dans les mémoires des avocats. Ce qui est caché ou déformé ne l’est guère plus que dans d’autres témoignges prestigieux. On peut ne pas partager les convictions de Bellart, le procureur de la Restauration, de Dupin, d’Aristide Marie, de Chaix d’Est d’Ange,de Paillet, de Berryer ou de Pinard, d’Isorni ou de Garçon ,mais c’est souvent par leurs plaidoiries ou leurs Mémoires qu’ils nous en disent beaucoup sur leur temps. Je lirai ce livre.
bien à vous.
MC
PS
Pierre Assouline, l’ordre qui tue Larminat, c’est celui d’avoir à présider la Haute Cour, je suppose?
MCourt évoque Pinard : normal ! (gloup)
17h12 oui il existe encore des valeurs comme l’amitié indéfectible ou les liens familiaux difficiles à dissoudre dans l’acide chlorhydrique, autant de choses d’ailleurs qui peuvent servir à inquiéter, accuser ou sur un mode plus mineur alimenter le reproche, la rumeur, l’opprobre jusqu’au scandale, ce peut être à double tranchant même à ne pas cacher de cadavre dans votre jardin pour l’ami. Peut-être avez-vous raison de ne pas vous servir à la soupière sans disposer d’un gouteur comme aux temps des pharaons.
Souffrez que l’on ne partage pas ce brouet quoique la soupière soit classieuse.
..avec alexia c’est toujours trabadja la mouquère
radio keupu pue
Bouguereau vous exagérez, je trouve qu’elle flirte avec l’abstraction ce qui est un pari osé quand on connait le niveau des commentaires.
parce que noel avec ma frangine,c’est à te dégoûter du christianisme
elle fait des trucs cochons pil poil à l’endroit comme clopine..dièsse iré que celui là
croisiériste sur la Meuse
avec la soeur à dénota..on a pus bsoin de désaler on l’est déjà..je vais me tatouer comme dans l’atalante
bérénice » le niveau des commentaires »
rehaussé par bouguereau et son bouffon
Cette histoire de Noel avec sa sœur à dégouter du christianisme parce qu’être chrétien c’est bien et sa sœur comme compagnie c’est mieux? Non? plus de valeur refuge elle dynamite la position?
Pour ne pas y voir les morceaux du cadavre
en bouillon cube..ça se verrait moins..magi « sans prière ni couronne » le vrai gout de baroz
non, la sœur de de nota c’est bouguereau avec le gode ceinture de goering en porte-jarretelles
SSC, vous avez un pseudo de croisiériste sur la Meuse.
Ou tout simplement SSC a infiltré le roman de Zola, « le » comme on dirait le gravier crissait sous la chaussure.
juteuse fabrique de capotes anglaises
..c’est vraiment dégoutant
Cet homme a l’empathie naturelle.
..hof..moins que les blondes a fortes poitrines
Bougue elles sortent flambant-neuves de la fabrique, pas de rinçage pas de recyclage, la loi ne le permet pas.
bouguereau est incapable d’écrire un commentaire sans dauber sur quelqu’un : lassouline, rénato, baroz, clopine, von traube, jicé, dafnoz, zouzou, boudegras, etc… c’est un cas schizo grave inguérissable, pauvre petit bonhomme, ta gueule keupu
Bouguereau un être aux pseudo pluriels comme tant d’autres ici ce qui en rien n’est un symptôme de cette atteinte, la conversation est parfois hallucinante, que se passe-t-il en réalité?
« Bouguereau un être aux pseudo pluriels comme tant d’autres ici ce qui en rien n’est un symptôme de cette atteinte »
Des fois bérénice elle s’essaye à dire quekchose mais ça courtcircuite épicétou
Attendez les intello de profession, vous ne serez pas déçu, longueur, ferveur, courant continu et lumière rouge pour développer les négatifs.
bouguereau est incapable d’écrire un commentaire sans dauber sur quelqu’un
toi idem
Heureusement que là date n’est pas gnié, sinon ça ferait Gérard dit gnié
A M. Court de 17.32, Plus précisément, c’est l’ordre de De Gaulle de procéder à des condamnations à mort.
Bon, l’idée de la grande idéologie triomphante c’est quoi en fait ? Qu’une pose suivant l’angle d’observation n’en serait plus une ???
« .je vais me tatouer comme dans l’atalante »
Déjà que t’as la gueule de Michel Simon !
Mme Michu tant que vous y êtes, si vous pouviez préciser ce qui, selon vous, constitue l’idéologie triomphante, je ne vois que du culte.
Najat au Grand Journal.
La langue de bois la plus sympa et la plus professionnelle du Paysage Politique Français.
Un sourire éclatant.
Nous savons tous que JC préfère les blondes, mais parfois (assez rarement ok) il doit obligatoirement se poser quelques questions :
une femme;
brune;
intelligente;
beur (allons au plus simple dans les définitions);
politique;
belle;
capable de dire comme lui les pires énormités sans sourciller est-elle l’exemple qu’il doit impérativement suivre.
Tout les oppose, mais nous sentons bien qu’il craque à chacune de ses interventions.
JC est sur le chemin de la rédemption.
Il sera long, tortueux, difficile mais c’est sûr JC finira socialiste.
Doit-il s’en inspirer ?
Il hésite.
je ne vois que du culte
Et vous y risquez votre tête ?
Bon, certains s’égarent. Il est temps de re—centrer le débat.
Par exemple, imaginons aux garcons … même D. et Jacounet :
« Le Slip français, c’est vous ? »
La première fois, ça doit faire un choc, non ?
Bon, j’éxagère sans doute, difficile d’imaginer qu’un chef du protocole, un sergent major ou un maréchal des logis était présent pour calculer par équations différentielles une distance réglementaire entre les pelochons, c’est déjà ça. Veuillez pardonner ma tendance aux excès.
« quelqu’un que vous pouvez appeler à minuit pour lui demander de vous aider à transporter un cadavre et qui le fait, sans vous poser de question. »
C’est vrai que là !
Bon, mais si on n’a pas de cadavre, Pierre Assouline, comment fait-on le test ?
Est-ce qu’on peut déjà commencer avec … heu .. une mouche morte ?
Cet après midi je m’ennuyais un peu dans mon bureau, alors j’ai passé quelques heures à essayer de faire avancer un trombone par l’esprit.
Ce qui s’est passé est extrêmement intéressant : à force d’essayer et de réessayer j’ai fini par m’assoupir. En me réveillant, tous mes sens possédaient une acuité incroyable. Alors j’ai regardé le trombone, et d’un seul coup celui-ci a parcouru 10 centimètres sur le bureau. J’ai ensuite réussi à le tordre et à le casser toujours par l’esprit.
Je conseillerais à Bérénice de s’adonner au même exercice.
La première fois, ça doit faire un choc, non ?
tomber pour une fois sur un adorateur du docteur Destouches ne puant pas le faux prêtre et la vraie bigote en même temps, ça c’est un choc !
J’ai ensuite réussi à le tordre et à le casser toujours par l’esprit.
Bon, D., vous pouvez peut-être essayer le test avec votre trombone.
D’ailleurs, je me suis laissé dire qu’il existe de fausses mouches qui en tiennent ..
((( au fait, U., j’ai regardé le docu sur Segalen sur Arte … Incroyable ! Ces magnifiques tigres de pierre laissés à l’abandon ! Franchement !
Pas à la hauteur de leur patrimoine, ces chinois ! )))
tomber pour une fois sur un adorateur du docteur Destouches ne puant pas le faux prêtre et la vraie bigote en même temps, ça c’est un choc !
oui, mais si j’ai bien compris il ne dit rien de Ferdinand ..
Mais c’est l »Gibault est aussi avocat de la veuve
M. Court, c’est quoi « un suicide romain » ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Edgard_de_Larminat
« Ce qui serait dommage. Sans la complexité, ce serait à désespérer du genre humain, non ? »
Tout à fait, tout à fait.
http://www.youtube.com/watch?v=9v9cZrGDtio
Il y a du Martin du Gard (Maurice) dans ce Gibault. L’époque a simplement besoin de zapper la page plus vite, aussi les portraits des mémorables sont plus courts.
Pourquoi rectifie-t-il Arletty ?
Céline est un commandeur qui projette son ombre sur tout ce bon monde palissant. Godart (pas jean-luc) vient d’écrire deux cent cinquante pages pour expliquer pourquoi il en consacre cent à l’introduire dans la pléiade.
« Le Slip français, c’est vous ? »
Je ne connaisais pas du tout ce kangourou, le « Slip qui sent bon ».
http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Slip_fran%C3%A7ais
Bref, si vous aviez d’autres chaos intimes…
(il y a un avocat qui fait la une de l’actu. Vous avez lu ? cela se passe à Monte Cassino)
C’est hilarant, une pub pour les slips et Phil répond: Présent !
« L’échec qu’il a ressenti comme le plus cuisant de sa carrière concerne l’affaire d’un petit, d’un sans-grade, issu d’un milieu ouvrier du Nord, un certain Pitkiewicz qui tua celui qui venait de tuer son père, un quelconque Lafcadio qui avait fait un carton sur le premier venu. »
Possible scenario d’un roman ?
« séculier ou régulier »
« c’est toi qui choisis » chantent les prêtres.
Bonne nuit.
http://www.youtube.com/watch?v=tGT6a92Wmy4
Daaphnée dit: 7 avril 2014 à 20 h 22 min
Bon, mais si on n’a pas de cadavre
C’est jamais vraiment un problème…
C’est à dire Sergio-grichka, si on y réfléchit bien, il y en a à la pelle. Des bouteilles vides.
http://decitre.di-static.com/media/catalog/product/cache/1/image/9df78eab33525d08d6e5fb8d27136e95/9/7/8/2/2/4/6/8/9782246800705FS.gif
Ah mais ce choc-là je ne l’ai pas encore vécu…
des journées entières dans les arbres dit: il y en a à la pelle
Ha mais si c’est des Chinois qui traitent la mission y a no problemo un capital de confiance dans les huit cents pour cent…
c’est quoi celui-là : –‘ ?
Merdre,
Barquerolle*** a échappé au séisme…
Quelle nonchalance***.
*** = correction automatique OFF corse !.
c’est quoi celui-là
encore un soldat comme il faut de la tyrannie de la rancune ? t’en as jamais assez..
Moi je dis que tout ça, ça vole pas bien haut.
Et je vas me coucha sous mon édredon en plume avec une bonne bouillotte, c’est déjà mieux que rein.
cas d’espèce
je ne vois que du culte
Et vous y risquez votre tête ?
Le culte n’offre pas les avantages du poncho.
A Daphnée de 21.07, Mais non, au contraire, Louis-Ferdinand est partout, il est question de lui à presque toutes les entrées, directement ou indirectement.
FdJ
Il en est facile à leurrer,
Ceux confondant vinaigre et miel,
Se dépouillant sans mesurer,
Il en est facile à leurrer.
Leur restent les yeux pour pleurer.
Il est navrant papa Noël.
Il en est facile à leurrer,
Ceux confondant vinaigre et miel.
Jean Calbrix, le 08/04/13
Le meilleur exemple serait le suicide de Sénèque ou de quelque autre stoicien. une prise de congé du monde sans peur qui peut etre interprétée comme une protestation face à Néron par exemple. La logique étant de ne pas ajouter par sa complicité à la douleur du monde. On ne peut toutefois ici cautionner ce dernier point dans la mesure ou E de Larminat a laissé une lettre de soumission à de Gaulle à l’époque partiellement citée, le dédouanant en quelque sorte de l’acte commis.
MC
PS
On peut mépriser Pinard à cause des procès littéraires ou il a représenté l’accusation face à Chaix d’Est D’Ange, on ne doit pas oublier qu’il a laissé un précieux volume sur Le Barreau de Paris, bien utile pour les biographies des confrères…
Pas à la hauteur de leur patrimoine, ces chinois !
—
Préférer l’étude aux jugements à l’emporte-pièce:
« L’auteur a choisi de commencer son étude* par la réaction chinoise à l’introduction de l’architecture occidentale. L’accent est mis sur la réforme urbaine au début du XXe siècle, ainsi que sur l’importation des modèles occidentaux. On suit ensuite l’évolution à partir des réformes de 1901 et du système de gestion urbaine de Zhu Qiqian qui élabore un règlement adoptant les valeurs occidentales. Zhang Liang décrit les années 1920 comme celles de l’ère du patrimoine national. Il souligne le rôle de la « Société d’études sur les constructions chinoises », fondée en 1930 par Zhu Qiqian et sa contribution majeure à la naissance du monument historique chinois (…) »
*Zhang Liang, La Naissance du concept de patrimoine en Chine XIXe-XXe siècles
Paris, Editions Recherches/Ipraus, 2003, 287 p.
Le reste sur http://perspectiveschinoises.revues.org/935
Est-ce qu’on peut déjà commencer avec … heu .. une mouche morte ? Daaphnée, quelque part hier soir.
Daaphnée je crains fort que le chef d’inculpation ne puisse être rédigé, autolyse, à quoi bon? les secours arrivent souvent trop tard. Après si l’on évite de justesse cette embardée, la SPA se pose en entité menaçante mais il me semble qu’hormis les écologistes qui s’opposent de temps en temps en farouche opposant aux tracés de certains réseaux autoroutiers en raison de la présence d’espèces rares de salamandres ou de grenouilles, personne n’a encore pensé à défendre les mouches et leur perte à l’unité ou en hécatombe n’inquiète pas autant que celle des abeilles, Einstein je crois avait prévu que leur fin signerait le début de la fin pour les autres espèces.
http://www.youtube.com/watch?v=UkzsejDZi1s&feature=player_embedded
autre version du même qui perd un peu l’esprit:
https://myspace.com/salvatore_di_vita/video/pavane-pour-une-infante-defunte-full/49307470
the third one:
http://www.dailymotion.com/video/x2plyk_pavane-pour-une-infante-defunte_music
Sophie Avon donne vraiment envie de découvrir des films. Ainsi : « Kiyoshi Kurosawa, dont le récent et splendide diptyque » Shokuzai »… »
Grâce à elle j’avais savouré les 2 volets de Shokuzai », « Real » va suivre !
Alors là, Bloom, vous tombez mal avec votre « à l’emporte-pièce »!
Je parlais de choses très précises.
Des piliers funéraires de l’époque des Han, préservés, oui .. encore que.
Regardez le docu. sur le Sichuan et ce reportage sur les lieux qu’à parcouru Segalen à travers les vestiges de la civilisation Han et vous constaterez les insuffisances et les dégats de la politique de conservation du patrimoine !
Une statue de cheval de l’époque des Han, l’une des plus ancienne statue chinoise (-2000 ans) qui gardait le tumulus surmontant une chambre funéraire, cimentée au bord d’une route au milieu des gravas des chantiers qui jalonnent cette même route (9.19 mn).
Idem, des tigres recouverts de mousse et de végétation ..
Une politique de conservation du patrimoine très en-deça de ce qu’il faudrait !
Comment dit-on dans le reportage pour parler de tout ce qui reste (encore?) à l’abandon ?
Pour se dire que la « révolution culturelle » n’a pas pu tout massacrer du passé et heureusement ?
– « même si les Chinois respectent les oeuvres du passé, ces dernières restent ancrées dans la vie quotidienne » .
Bon, le regard de la Chine contemporaine sur ces oeuvres du passé est en train de changer, nous dit-on …
Bien, bien, bien .
En effet, le futur(?) directeur d’un musée qui doit s’installer dans un ancien temple de Confucius doit faire la chasse aux FONDS PRIVES pour mener à terme le projet ( 19.23 )!
Moi, ça me laisse songeuse.
http://www.arte.tv/guide/fr/037218-000/victor-segalen?autoplay=1
–
D comme Daaphnée plagiant Duras ?
« Ce jour. Celui daté, d’un rendez-vous avec mon amie Michelle Porte, vue par moi seule, ce jour-là sans heure aucune, une mouche était morte.
Au moment où moi je la regardais il a été tout à coup trois heures vingt de l’après-midi et des poussières: le bruit des élytres a cessé.
La mouche était morte.
Cette reine. Noire et bleue.
Celle-là, celle que j’avais vue, moi, elle était morte. Lentement. Elle s’était débattue jusqu’au dernier soubresaut. Et puis elle avait cédé. Ça a peut-être duré entre cinq et huit minutes. Ça avait été long. C’était un moment d’absolue frayeur. Et ça a été le départ de la mort vers d’autres cieux, d’autres planètes, d’autres lieux.
Je voulais me sauver et je me disais en même temps qu’il me fallait regarder vers ce bruit par terre, pour quand même avoir entendu, une fois, ce bruit de flambée de bois vert de la mort d’une mouche ordinaire.
Oui. C’est ça, cette mort de la mouche, c’est devenu ce déplacement de la littérature. On écrit sans le savoir. On écrit à regarder une mouche mourir. On a le droit de le faire. »
Marguerite Duras (Écrire 52-53)
a parcourus, tiens!
« On écrit à regarder une mouche mourir. On a le droit de le faire. »
C’est beau…On a le droit de dire que c’est vraiment de la très belle littérature, cette Duras ?…
Déjà que t’as la gueule de Michel Simon !
non..c’est trop dégoutant baroz
http://catalogue.gazette-drouot.com/images/perso/full/LOT/32/415/267.jpg
Je parlais de choses très précises
n’empêche dafnoz c’est des cocasses ces chinois..il parait qu’ils ont encore tout un tas de site a fouiller mirifique trés bien répertoriés dont un fameux avec un genre de ville enterré fabuleux et il laisse ça « pour le plaisir des générations futurs »..on imagine pas un instant un archéologue de chez nous disant cela..même pour la pose
Vous voulez qu’on y aille, le Boug’ ?
Bon, mais si on n’a pas de cadavre, Pierre Assouline, comment fait-on le test ?
Est-ce qu’on peut déjà commencer avec … heu .. une mouche morte ?
plutôt le phoner pour une petite mort dafnoz..et lui dire comment que c’était bien..si c’est un vrai copin il dira « t’as le droit de mla faire »
J’ai entendu cette phrase en Syrie à propos de sites enfouis, non découverts. « On laisse ça aux générations futures… »
Bon ! c’était avant les fouilles à la bombe et au lance missile par Bachar et ses gentils rebelles démocrates.
Vous voulez qu’on y aille, le Boug’ ?
on sort d’une vieille machine a laver sur la place tienamen et on dit « nous sommes les générations futurs » en faisant le signe de spoke
Remarquez, on est en plein Retour
ses gentils rebelles démocrates.
tes copins américains ont ventillé tous les sites d’irak..t’as une tablette cucunéiforme pour 2000€ à paris comme presse papier..trés officiellement
on sort d’une vieille machine a laver sur la place tienamen
Remarquez, je préfèrerais y aller par terre que de prendre l’avion – y’en a marre des avions !
en fait c’est rapport aux arbalètes comme dans les aventuriers de l’arche perdus jicé..des rivières en mercures et une sciences de la momification assez dingue..je supose que vous avez vu ces momies encore souples..pas tout a fait baisable quand même jicé
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mausol%C3%A9e_de_l'empereur_Qin
« d’une vieille machine a laver sur la place tienamen »
…ça rappelle le voyage de Ségolène en Chine …
Daphnée, votre critique envers les Chinois, est en effet, à l’emporte-pièce. Etes vous d’ailleurs certaine, que la France, soit sur tout le territoire, à la hauteur du patrimoine ?
Les Chinois n’ont pas en chantier, que les vestiges du passé.
Pour ce qui est des chantiers du présent, aéroports, gares, métro, villes, les changements sont spectaculaires. En 2012, je n’ai pas reconnu des quartiers visités en 2007.
Un milliardaire de Beijing, rachète des Huttongs, dans le centre, et va les reconstruire ailleurs, toutes restaurées.
J’ai vu un documentaire sur les châteaux en Chine, et la naissance de Relais Châteaux, les possibilités sont importantes.
Idem pour le Bund et le Quartier Français, à Shanghai.
D’autre part, Victor Segalen, c’est quand même au tout début du 20ème siècle. Je ne suis pas sûr qu’à la même époque, en France, tout était restauré. Je suis même sûr du contraire, il faudra attendre les années 60, pour que Malraux fassent ravaler les bâtiments parisiens.
Dans le métro parisiens, de grandes stations centrales, sont sans ascenseur et sans escalier mécanique. Même en plein centre, au Palais Royal.
PS: Je sens dans « ces Chinois », un certain mépris, c’est assez déplacé.
J’ai fait un séjour à Lyon, il y a une dizaine d’années, j’étais étonné de l’état lamentable de l’Hôtel-de-Ville. Idem à Bologna, pour tous les bâtiments/palais qui appartiennent à l’université. Sans parler de l’aéroport minable de Milan, vieux d’une vingtaine d’années.
« PS: Je sens dans « ces Chinois », un certain mépris, c’est assez déplacé. »
C’est bien vrai, ça, Daaphnée… si TKT dit que « c’est déplacé », c’est déplacé ! Il ne faut pas dire « ces Chinois »… c’est du racisme Mitteleuropa.
« Comment conserver sa singularité tout en s’inscrivant dans une communauté ? »
En jouant les mouches trolleuses sur la RDL ?
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