de Pierre Assouline

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La République des livres
Dans le potage de maître Gibault

Dans le potage de maître Gibault

Etrange de constater combien le genre littéraire du dictionnaire correspond aux exigences de l’époque par sa forme et son esprit. Le principe alphabétique est censé mettre un peu d’ordre dans un chaos intime. Comme une règle qui corrigerait l’émotion. Ce foutoir autorise toutes le entrées possibles. On y vient à toute heure sans crier gare, dispensé de commencer par le début et de terminer par la fin. Idéal en ces temps de papillonnage triomphant. N’empêche que j’ai lu de A à Z le Libera me (418 pages, 23,90 euros, Gallimard) de François Gibault. Ce qui n’est pas un exploit tant sa lecture est plaisante et édifiante. Des gens, des idées, des choses, des dates, des lieux rangés en courtes fiches très senties, sans guère de retenue ou d’inhibitions, une trentaine de lignes en moyenne. Un méli-mélo qu’il qualifie de potage.

En surgit d’abord un autoportrait en kaleïdoscope. Celui d’un homme d’un autre temps. Pas une question d’âge, eut-il fait sa première communion solennelle en mai 1944. Tropisme certain pour le savoir-vivre, les usages, les traditions. Nostalgie avouée pour le raffinement, le bon goût et un certain art de vivre à la française. De quoi hérisser les nouveaux bien-pensants. Il a les accents barrésiens de celui qui avoue d’emblée « un attachement inouï pour le passé ». A ceci près que sa vénération pour ses morts va de pair avec son amour des vivants, même si on le sent prêt à changer de contemporains.

Rien d’un nihiliste, plutôt un conservateur fasciné par la table rase. Comme ses amis Jean Dubuffet et Françoise Sagan, ce grand bourgeois dessalé aime bien la révolution, mais pas devant sa porte, rue Monsieur, en l’hôtel Saint-Simon à Paris.  Il fallut la crise de 1929 pour que son grand-père Plassard (un patronyme qui fleure bon L’Argent de Zola) consente à louer à un cinéma la Pagode, folie sino-japonaise du XIXème finissant sise derrière le Bon Marché., devenue château de famille des Plassard et jardin d’enfants des Gibault. Aujourd’hui, il s’indigne de ce que « Ne nous laissez pas succomber à la tentation » ait été remplacé par « Ne nous soumets pas à la tentation » dans le Pater noster, le tutoiement aggravant le fait qu’il n’y ait plus de perspective de tentation. Les listes versent parfois un peu dans le catalogue, avec une légère dilection pour le name dropping mais on lui pardonne car il nous dédommage aussitôt avec des expressions  d’autrefois : « sensationnel » ou « à tout casser ». Mondain autoproclamé alors que tout dans sa mise – uniforme de croque-mort chic, crâne de bonze, rigueur de l’expression, maintien roide de l’officier de cavalerie qu’il fut en Algérie- trahit un régulier plutôt qu’un séculier. Il est aussi là, le double. Mais un bonze du genre agité, secoué de tics nerveux, bourré de tocs invisibles – et tolérant comme ce n’est pas permis, jusqu’à consentir à laisser s’exprimer Christine Boutin qu’il abhorre pourtant.yann foreix

Il a de la mémoire, François Gibault. Du genre à tout pardonner sans rien oublier. Si après cela, il n’est pas catalogué, donc liquidé, en homme de droite tout d’un bloc, irrécupérable… Ce qui serait dommage. Sans la complexité, ce serait à désespérer du genre humain, non ? Il faut toujours chercher les failles, une fois exposés les élans du cœur et les échappatoires de la conscience. Lui, on le sent fasciné par l’inédit de l’interdit : « Les règles étant générales et publiques n’ont ni la force ni la séduction des exceptions ». Cette attirance pour l’inconnu est d’ailleurs annoncé dès l’épigraphe, un aveu du jeune Mauriac épistolier :

« Il y a en moi un double, un second François sensuel et violent qui tend les mains vers la vie ignorée et que toutes les voluptés attirent »

 Il a défendu des officiers de la guerre d’Algérie qui avaient obéi à leur sens de l’honneur, ce qui lui a plu, et des plastiqueurs ou des cambrioleurs de l’OAS, ce qui lui a moins plu. Mais c’est là qu’il a appris son métier : en défendant toutes les causes, il a appris à « expliquer », vocation de l’avocat puisque celle du juge est de comprendre – même si on aurait plutôt imaginé « convaincre » à la place. Il défendu Hocine Aït Ahmed, l’un des fondateurs du FLN algérien, contre le président Ben Bella. Il a défendu les Bahai’s devant les tribunaux égyptiens et marocains qui les condamnaient lourdement. Il a défendu l’empereur de Centrafrique Bokassa 1er dans une comédie judiciaire qui dépassait la fiction. Il a défendu Pierre Botton contre le juge Courroye. Il a défendu le général Oufkir dans l’affaire Ben Barka. Il a défendu des Katangais de mai 68. Il a défendu les étoiles du Ballet de l’Opéra de Paris lorsqu’il s’est agi de renégocier leur contrat. Et s’il a défendu les intérêts de son client le colonel Kadhafi, on se dit qu’il en défend encore la cause, sa Libye ayant été laïque etc – et dans son élan de sacrer BHL « bienfaiteur de l’humanité ». C’est dire sa générosité.

C’est un avocat. Tout candidat au barreau devrait lire ce livre. Les grands anciens y sont puissamment campés, les Georges Izard et Maurice Garçon, les Marcel Grente et les Jacques Charpentier, les Naud et Tixier-Vignancour sans oublier les Floriot, Kiejman, Bredin. Une vraie galerie de jeunes ancêtres. L’échec qu’il a ressenti comme le plus cuisant de sa carrière concerne l’affaire d’un petit, d’un sans-grade, issu d’un milieu ouvrier du Nord, un certain Pitkiewicz qui tua celui qui venait de tuer son père, un quelconque Lafcadio qui avait fait un carton sur le premier venu. Deux ans avec sursis au lieu de l’acquittement pour le meurtrier de l’assassin. Il ne se l’est pas pardonné car en l’espèce, il aurait réagi comme son client. Mais qu’on ne s’y trompe pas : ce ne sont pas là les mémoires d’un pilier du barreau de Paris. Pas que cela même si ce qui en est rapporté passionne. Car on observe chez Me Gibault un curieux phénomène qui ne semble pas si fréquent chez les plaideurs : longtemps après que l’affaire ait été jugée, et le dossier refermé, il continue à défendre ses clients devant le tribunal de l’Histoire. Clients à vie, c’est à croire !

Il n’est pas un paradoxe près : ici il glorifie Kadhafi pour avoir maintenu un Etat laïc en Libye, là il dénonce « la législation imbécile » par laquelle le port du voile est interdit en France dans l’Administration et à l’Université. Il brûlait de connaître Mishima, au lieu de quoi il a été le Pygmalion du jeune Filip Nikolic, espoir de la gymnastique dont il fit l’âme du boy’s band les 2Be3. Les deux pages sur ce qui a mené le général de Larminat à un suicide romain, le général de Gaulle lui ayant enjoint d’exécuter un ordre qui l’aurait déshonoré, sont poignantes. Nelson Mandela, le charismatique absolu, y est croqué en personnage animé par le Saint-Esprit. Voici le mime Marceau, aussi bavard à la ville que muet à la scène. On voit sourdre sous sa plume un certain respect pour le panache, celui par exemple de ces accusés qui ne parlent que pour dire des choses qui ne peuvent que les conduire à la mort, tels ceux de l’attentat du Petit-Clamart, Alphonse Constantin et le lieutenant-colonel Bastien-Thiry, dernier Français fusillé à la suite d’un procès politique. Ses héros, ceux qui forcent son admiration, n’en sont pas moins issus de la Résistance et de la France libre, Daniel Cordier et Pierre Clostermann.

Cet homme a l’empathie naturelle. Faut il qu’elle le mérite pour qu’une cible reçoive sa flèche. Si certains portraits sont implacables, c’est qu’ils l’ont bien cherché. Certains auteurs à la bibliographie courte et légère : « « A beaucoup d’écrivains qui meurent prématurément, on prête des chefs d’œuvre qu’ils n’ont pas eu le temps d’écrire ». Arletty aussi, traitée sans indulgence. Ou le philosophe Michel Serres qui s’est fait une spécialité des « fumeux propos ». Ou Marcel Jouhandeau dont il abhorre le style, « son beau style, si affecté, si recherché, ampoulé, sur-écrit, précieux, empapaouté, pas souvent direct, pas assez naturel, écrits d’alcôve pour vieilles filles sentimentales, messieurs incertains de leur sexe, voyeurs, faux prêtres et vraies bigotes ».

On y découvre un Michel Audiard dans ses vaines tentatives d’adapter à l’écran le Voyage au bout de la nuit. Un Edouard Balladur qui n’en a que pour Céline. Un Ernst Jünger qui lui écrit franchement ce qui lui inspire le même Céline : «  Un des meilleurs connaisseurs de l’infamie moderne, mais il n’a pas conservé la distance qui s’impose avec cette infamie ». Une Lucette Almansor veuve Destouches refusant à l’éditeur Jean-Marie Le Pen d’enregistrer et de commercialiser Voyage au bout de la nuit afin d’éviter tout amalgame entre Céline et l’extrême-droite.

Céline archives françois lagardeIl ne déteste pas jouer les intermédiaires. Juste pour faire avancer les choses et que pour ceux qui ne pouvaient pas se voir puissent se rencontrer. Il se souvient de ses échecs avec la même allégresse que de ses réussites. Le voici échouant à organiser une rencontre entre Bokassa 1er et Werner Herzog, qui n’en réalisera pas moins Echo d’un sombre empire. Le voici intercédant auprès de la Ville de Paris au nom d’Arno Breker soucieux de lui faire un don longtemps après l’Occupation à condition que la chose soit exposée dans un jardin de la capitale, se voyant refuser un triple buste de Wagner, Liszt et Cosima (quelle idée !), se rabattant sur une petite statue en pied de Jean Cocteau, projet qui finira par tomber à l’eau, l’installation ayant fâcheusement coïncidé avec l’attentat de la rue des Rosiers…

Et Céline là-dedans ? La plus brève et la plus lapidaire des notices. Normal : il est partout dans ces pages. Il est vrai que, biographe pionnier du maître de Bébert, Gibault est aussi avocat de la veuve, défenseur de ses droits moraux et patrimoniaux. On lui abandonne volontiers Michel Déon en « plus grand écrivain français vivant », et « La grande Zoa » en « l’un des chefs d’œuvre de la chanson française » ; de même, si on approuve son indignation à la suite du massacre des harkis et de leurs familles par la jeune république algérienne, ne le suivra-t-on pas dans la qualification de ce crime de masse en « génocide ». Et l’on n’est pas forcé de croire, comme lui, que si le roman est en pleine décadence, c’est parce que l’image a tué l’imagination.

Il sait bien des secrets et en tait beaucoup. Libera me n’en est que l’écume, mais si goûteuse quand l’anecdote, la chose vue et le trait son mitonnés par un tel chef. « Libera me », « Délivre-moi, Seigneur, de la mort éternelle… », absoute prononcée dans l’église lors d’une messe de requiem. Manière de rappeler le caractère foncièrement testamentaire d’un livre qui est tout sauf triste ou mélancolique, malgré le culte du passé. Ordonnateur des festivités céliniennes et président de la Fondation Dubuffet, il a l’habitude de recevoir les demandes les plus cocasses. Mais depuis quelques temps, comme Claude Lévi-Strauss qui recevait à son domicile des commandes pour des jeans,  il reçoit des coups de fil interrogateurs qui le comblent : « Le Slip français, c’est vous ? » adressés en réalité à son neveu, créateur d’une marque qui en a. On croirait qu’il a juré de mourir jeune mais le plus tard possible. On aura compris que François Gibault est un ami, un vrai. Autrement dit, selon Roger Nimier, quelqu’un que vous pouvez appeler à minuit pour lui demander de vous aider à transporter un cadavre et qui le fait, sans vous poser de question.

(« Photos Passou, Yann Foreix et D.R.)

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1 125 Réponses pour Dans le potage de maître Gibault

Daaphnée dit: à

Alors ça – Mausolée du premier empereur Qin – fascinant, le Boug’ !

(Ah, si Segalen avait vu l’armée de soldats de terre !)

Jacques Barozzi dit: à

« Qu’est-ce que l’esprit « classique moderne » ? », se demande Passou.

Réponse illustrée dans l’incipit de son billet :

« Etrange de constater combien le genre littéraire du dictionnaire correspond aux exigences de l’époque par sa forme et son esprit. Le principe alphabétique est censé mettre un peu d’ordre dans un chaos intime. »

Daaphnée dit: à

( vous voulez que je vous dise, JC ? Quand Traube se met en tête d’essayer de me gronder, j’ai toujours l’impression qu’il me propose .. je ne sais pas, d’aller manger un gâteau .. )

Jacques Barozzi dit: à

Cuisine politique :

Vous croyez que la mayonnaise Valls va prendre ou que le soufflé va retomber ?

Clopine Trouillefou dit: à

Oui, j’ai vu aussi le documentaire sur Segalen, et c’est vrai que les statues Han sont « en l’état », dans un jardin un peu à l’abandon, sous l’oeil d’un gardien que le visiteur, visiblement, dérange. L’herbe pousse là autour (le gardien « fait mine », devant la caméra, d’en arracher quelques touffes), et les grandes statues gauches et splendides semblent s’enfoncer, un peu pathétiques, dans la terre du Set-Chouan.

Je dois dire, Daaphnée va me hurler dessus mais tant pis, que cela ne m’a pas tant déplu. Une sorte d’écho romantique entourant les tombeaux…Certes, on pourrait les mettre en valeur, les protéger… Mais les « restaurer », euh… En France, les restaurations de Viollet-le-Duc, ma parole, n’ont pas été innocentes. Elles étaient basées sur une sorte de « reconstitution » de l’art médiéval plutôt sujet à caution, à en croire les historiens.

Ne pourrait-on craindre qu’une intervention de ce type sur les statues Han n’ait les mêmes fâcheuses conséquences ?

jicé proqrol dit: à

« copins américains ont ventillé tous les sites d’irak »

c’est moderne et réaliste

JC..... dit: à

Lors de mon premier voyage en Chine, à Xian sur le site des guerriers en terre cuite, on m’avait dit que lors de la mort des empereurs précédents de nombreux guerriers dignitaires, mais aussi des concubines, étaient enterrés avec l’empereur défunt, l’Empereur Qin mettant fin à cette pratique en créant de toutes pièces une armée de statues de substitution. Splendide lieu de mémoire …

TKT dit: à

Daphnée, vous me comblez, vous avez compris, que je vous traite toujours avec galanterie. Non, pas de pâtisserie, mais volontiers, quelques huîtres.

Salon de thé dit: à

TKT 9h38

Bologna….Milan
La vraie bêtise se niche toujours dans les détails.

Daaphnée dit: à

Je dois dire, Daaphnée va me hurler dessus

Pas du tout, Clopine, je préfère voir des vestiges in situ … et j’aime bien voir le passage du temps ..

Jacques Barozzi dit: à

« mais volontiers, quelques huîtres »

Des moules seraient plus adaptées, TKT !

Deneb dit: à

Ah je veux bien venir parce que j’adore les huitres, mais crues seulement. Je précise que je paierai ma note, mais seulement la mienne et j’accepterais volontiers le verre de vin blanc que vous m’offririez, je ne suis pas du genre à chichiter.

renato dit: à

Il y a pour ces Chinois qui rechignent à reprendre à la terre ce passé qu’elle a avalé, un changement de paradigme qui est dur à avaler.

JC..... dit: à

Daaphnée, soyez prudente ! Sous sa galanterie simulée, Traube, l’infâme helvète, cache soigneusement une âme noire comme le charbon et des projets directement inspirés de ce galant homme de Barbe Bleue* !

*des fouilles récentes ont mis à jour un casque et un scooter qui lui auraient appartenu …

Jacques Barozzi dit: à

« et j’aime bien voir le passage du temps .. »

En effet, rien de plus beaux que les vieilles ruines, DaphClo, cf le visage parcheminé de Duras des dernières années !

renato dit: à

Post en attente de modération… voyons si en changeant un mot ça passe…

Bon, faut déjà voir le poids du cadavre… on ne va quand même pas fournir un gros effort pour aider un gars qui ne sait pas administrer son impulsivité… mais si c’est faisable (poids raisonnable du cadavre), s’assurer une contrepartie conséquente… que sais-je… une omelette… un bon cigare…

Jacques Barozzi dit: à

« des fouilles récentes ont mis à jour »

Au jour, JC !

Bled dit: à

Au jour, JC !

« de Duras des dernières années ! »
Joli baroz.

Clopine Trouillefou dit: à

Jacques, je vous ai répondu chez Paul.

(j’aime bien cette phrase, ça fait un peu code secret, les françaises parlent aux français, ce soir la lune va briller à Chinon, etc.)

Onésiphore de Prébois dit: à

Un peu mélancoliques et brumeuses, ces bouteilles , pour ouvrir ce portrait de François Gibault, qui l’est si peu. Un grand avocat de son style, c’est un peu la vérification de la formule de Sartre : « tout un homme, fait de tous les hommes… »

JC..... dit: à

Qu’est ce qu’elles vieillissent mal ces vaines écrivaines ! Beurk…

Jacques Barozzi dit: à

« Beurk… »

Le plus émouvant c’était le petit clapet qui s’ouvrait et se refermait à l’orifice du gros trou percé dans sa gorge, quand Duras parlait, de sa voix inchangée : on arrête pas le progrès !

JC..... dit: à

Bien que féministes convaincus, Barozzi, reconnaissons que les hommes vieillissent bien mieux que nos chères sœurs aux visages ridées, aux seins qui tombent sur des bourrelets ingrats, aux jambonneaux disproportionnés, non ?…

De l'âge du petit maître d'école dit: à

« chez Paul… »

Paul ?
C’est pas le mec qui se pique d’avoir un blog exclusivement littéraire et qui réussit le coup fabuleux de décider C.P. à ne plus intervenir.
Vous me direz il lui reste Barozzi et Clopine.

Chacun ses goûts et sa signification du mot « littéraire ».

Clopine Trouillefou dit: à

Ils vieillissent surtout moins longtemps, JC, ce qui, vous concernant, est le seul espoir qui nous reste !!!

Jacques Barozzi dit: à

Ces chroniques cérémonies des adieux, à quoi ça rime, De l’âge du petit maître d’école ?

JC..... dit: à

Hélas, la génétique nous a comblé, le stress nous a épargné… et les centenaires sont nombreux dans la famille.

Il vous faudra de la patience, de la tolérance, de l’humilité dans vos jugements, et nous savons combien vous en manquez.

les amis à jc dit: à

@JC ‘visages ridées, aux seins qui tombent sur des bourrelets ingrats, aux jambonneaux disproportionnés’

description de ta péripatéticienne de mère et de ta patronne

JC..... dit: à

Avec des amis pareils…. il vaut mieux aimer ses ennemis !

Jacques Barozzi dit: à

Clopine, vous n’allez pas vous y mettre aussi et, à l’instar de TKT, souhaiter la mort rapide de JC !

les amis à jc dit: à

des amis sincères, qui reconnaissent des talents

nadineu dit: à

« Avec un peu de chance et un bon accident de mobylette, l’espoir est permis ! »

Prions donc

Henry dit: à

Baroz ou C.P. il faut choisir, la littérature est à ce prix.
Paul Edel choisit de s’exprimer uniquement devant ceux qui le gratouillent dans le sens du poil.
Un choix très digne.

Clopine Trouillefou dit: à

Non, Jacques, même en me forçant je n’y arriverai pas. C’était bien évidemment une plaisanterie, calquée sur le type d' »humour » que ce pauvre type tente d’user, sans en avoir vraiment les moyens : ses tentatives à lui restent généralement d’une crasse vulgarité.

JC..... dit: à

Reconnaissons ensemble que Popaul a tort de ne voir le monde qu’à travers la littérature écrite par des « écrivains » et son blog itou !

Le monde des lecteurs, l’influence des media sur les lecteurs, l’impact de la littérature horrifique sur les lecteurs fragiles, tout cela rend ce monde des lecteurs excessivement intéressant.

Vous aimeriez participer, vous, à un dîner où votre hôte vous impose un seul sujet : parler de littérature jusqu’au dessert ?!

hadrien dit: à

s’exprimer uniquement devant ceux qui le gratouillent dans le sens du poil.

oui jicé povtipe ne supporte pas les critiques et contraductions –

JC..... dit: à

« C’était bien évidemment une plaisanterie »

J’ai adoré ce côté « plaisanterie rwandaise » …

Clopine Trouillefou dit: à

11 h 16 : cqfd. Disons que si l’on n’aime pas la littérature, comme celui qui, systématiquement, proclame qu’il n’a pas lu et ne lira pas le livre dont on parle, on pourrait éviter de polluer des blogs littéraires, dont le but est de « ne parler que de littérature », avec les propos de café du commerce, qui relèvent de la démagogie, de la suffisance et des idées reçues…

JC..... dit: à

Il est certain que la branlette familiale campagnarde, déclinée à haut débit de Bray, n’est pas « vulgaire crasse »… Que nenni !… elle enrichit, grave, la littérature contemporaine franchouillesque !

Onésiphore de Prébois dit: à

calquée sur le type d’ »humour » que ce pauvre type tente d’user, (Clopine Trouillefou)

dont ce pauvre type tente d’user. A moins que Clopine ait voulu dire que le pauvre type en question cherche à porter son humour à son ultime degré d’usure.

JC..... dit: à

A plus tard, ma bonne … !

Clopine Trouillefou dit: à

Vous avez adoré ? Mais n’est-ce pas vous qui reconnaissez le troll comme un être indispensable, la liberté de raconter n’importe quoi, à n’importe qui, comme constitutive des fondements de votre vie, et qui, depuis des années, m’insulte à chaque post et m’invective ailleurs ? Allons, un peu de modestie,Jc, ne vous messiérait pas. Allez vous comparer au peuple rwandais, comme vous y aller ! Ce n’est pas parce qu’un cafard s’écrase parfois qu’on peut parler de génocide, vous savez ?

christiane dit: à

@Jacques Barozzi dit: 8 avril 2014 à 10 h 43 min

Du Morandi ? J’y ai pensé, Jacques, furtivement et puis non, car ici il y a tout un jeu de transparences et même un reflet dans la vitre. Mais une énigme, aussi. Et dans cette série d’objets, en apparence insignifiants, une immobilité, une vie silencieuse. Un calme (celui du songe ?). Une concentration. (Un combat, peut-être… bien avant).
Et cette vapeur colorée qui dissout les formes ? ces reflets ? ce clair-obscur qui absorbe les couleurs ? Pouvoir de la lumière et de l’ombre qui se mêlent sur ces objets en verre et leur donnent un éclat singulier. La lumière et l’ombre, justement… Et là, on entre , par cette luminosité dans le temps. C’est un nocturne. « Une nature morte » qui devient paysage de l’âme. C’est une offrande délicate, spirituelle qui traverse les frontières du visible. Un son de violoncelle ou de contre-basse.
Si c’était un portrait… je dirais qu’il est inachevé, celui d’un être apaisé, qu’il parle de solitude, de miroir, d’absence de vanité. Celui qui suivrait serait un cercle parfait. Une blancheur envahissante aurait effacé tout autre signe. (Comme due à une surexposition…)

Miroir, mon beau miroir dit: à

Clopine Trouillefou dit: 8 avril 2014 à 11 h 21 min

troll passant dit: à

« vous qui reconnaissez le troll comme un être indispensable »
Clo-Clo

Que ferait-elle sans cet élément constitutif de son ego.

Cupidon dit: à

Clopine, ne voyez-vous pas que ce pauvre insulaire richissime est fou de désir à votre égard ?

Toute sa haine n’est que déclaration d’amour.

Leo (Bloom) Pold dit: à

Et l’on n’est pas forcé de croire, comme lui, que si le roman est en pleine décadence, c’est parce que l’image a tué l’imagination.

Eternel débat dont les termes sont faussés, car le roman n’est pas partout en pleine décadence: il se porte plutôt bien dans la sphère anglo-saxonne, par exemple, pour parler de ce que connais un peu: par exemple, le Pakistan et l’Inde nous offre une foultitude de Kho-i-Noor narratifs & l’Irlande, des livres de Kells à profusion.
Tiens, Sebastian Barry, pour changer, et son « Un long long chemin », un autre regard sur la Grande Boucherie:

« Their sector quietened down. They blew the blue smoke of their fags up to the blue sky. They ate like dogs and shat like kings. They stripped to the waist and got black as desert Arabs. The white skins were disappearing. Mayo, Wicklow, it didn’t matter. They might be Algerians now, some other bit of the blessed Empire.

They knew violent battles were afoot in other parts of the line and they all heard the hard stories of the Irish soldiers in the Dardanelles. Again and again was rehearsed the horrors of the landing in April, when lads had tried to get out of the ship The River Clyde onto the beach, and been gunned down in their hundreds as they emerged from rough holes cut in the bow. Dublin lads that had never seen a moment of battle till that moment of their death. The story always ended with the detail that the water had turned pink with the slaughter. ‘So you can get yourself rightly bollocksed in any corner of the earth now,’ said Christy Moran ».(…)

Sebastian Barry, A Long Long Way (pp. 54-55). Faber & Faber.

Un bougé en photographie dit: à

« C’est un nocturne. « Une nature morte » qui devient paysage de l’âme. C’est une offrande délicate, spirituelle qui traverse les frontières du visible »
christiane dit: 8 avril 2014 à 11 h 27 min
Cette belle phrase demande des explications esthétiques Christiane ou alors on reste dans l’ incantation.
Merci à l’ avance de vos futures précisions.

Bloody Mary dit: à

Il serait assez sympa que l’Institut Français évoque de temps en temps la littérature française et poste parfois des extraits écrits dans cette langue.
Après certains s’étonnent du rayonnement d’Alain Delon.

bouguereau dit: à

dans la sphère anglo-saxonne, par exemple

..au hasard

bouguereau dit: à

Après certains s’étonnent du rayonnement d’Alain Delon

ha pardon si t’étais gérontophile tu lui mettrais bien un petit coup

bouguereau dit: à

Toute sa haine n’est que déclaration d’amour

jicé il aime lamour qui fait baoume

TKT dit: à

Deneb, je vous glisserais alors, volontiers, un peu de cyanure dans votre verre.
Pour les huîtres, il y a une méthode, dîtes Rockefeller, de les cuire, c’est très bon. Avec un peu de chance, elles seraient brûlantes et cela vous carboniserait votre langue de pute.

bouguereau dit: à

..dispersée baroz..ventillée..et les collectionneurs de trucs cochons sont d’un jaloux! mais d’un jaloux !..dailleurs je crois que c’est les derniers vrai de vrai..alors dans 200 ans peut être..

OneNote dit: à

l’un des chefs d’œuvre de la chanson française

On peut aussi préférer Syracuse chantée par Jean Sablon.

Un bougé en photographie dit: à

@Barozzi
Votre photo mise en lien est un « paysage de l’âme. C’est une offrande délicate, spirituelle qui traverse les frontières du visible « 

Jacques Barozzi dit: à

Après l’oral tu crois qu’il a passé le grand anal, Michel Simon, le boug ?
C’était un esprit ouvert, éclectique et ouvert…

Phil dit: à

Baroz, ce genre de collections passent de main en main. Voyez celle de Mandiargue. Les meubles disparaissent plus facilement. La table aux phallus de Catherine II a disparu.

bouguereau dit: à

Pour les huîtres, il y a une méthode, dîtes Rockefeller

stop..les huitres chaudes au champ c’est aussi trés charentais vontraube..dze hunt of the unicorn c’est déja pas mal

Jacques Barozzi dit: à

et curieux, pardon pour le doublon !

Daaphnée dit: à

alors dans 200 ans peut être..

Nom d’une .. !
Je me disais bien que le Boug’ enterrait des trucs dans on jardin !

bouguereau dit: à

C’était un esprit ouvert, éclectique et ouvert…

tu veux rire..il ne pensait et ne vivait que pour ça !..dailleurs les témoignages sont à peine crédibles

Jacques Barozzi dit: à

Oui, Phil, mais M. Court a sûrement conservé le catalogue de chez Drouot !

bouguereau dit: à

j’ai eu la chance d’en connaitre un ou deux..et je peux te dire que de te montrer leur collec c’est autre chose comme preuve que d’aider dutrou ton poteau de toujours

bouguereau dit: à

Je me disais bien que le Boug’ enterrait des trucs dans on jardin !

je ne suis pas un collectionneur..enfin un trés bidon..le faux m’est suffisant..mais sans eux faut avouer que la terre srait dépeuplé..des vicieux !

TKT dit: à

@ JC….. dit:8 avril 2014 à 11 h 16 min
“Vous aimeriez participer, vous, à un dîner où votre hôte vous impose un seul sujet : parler de littérature jusqu’au dessert ?!“…
Je pense qu’aucun sujet puisse vous mettre mal à l’aise, vous savez de tout en extraire votre merde. Vous devriez puiser dans votre mémoire, vous avez bien dû dans votre vie, avoir de bon moments, non ? Pourquoi cet acharnement à tout dénigrer ? Pour D., on peut comprendre, enfance saccagée, physique neutre, méchanceté d’impuissant. Mais vous, JC, vous avez bien dut avoir une vraie vie, un Solex, une femme, une profession, peut-être même une fenêtre donnant sur la rue. Vous habitez Toulon ? Vous êtes un ancien de la marine ?

bouguereau dit: à

Vous devriez puiser dans votre mémoire, vous avez bien dû dans votre vie, avoir de bon moments, non ? Pourquoi cet acharnement à tout dénigrer ?

ha mais le bonheur aussi est jaloux vontraube..la rochefoucault et rocfélère sont là fin daccord..évidemment on fait mine de partager

TKT dit: à

Sur cette photo, de Michel Simon, le fellaté s’est maquillé en Fanny Ardant.

Jacques Barozzi dit: à

Connais-tu cette galerie, tenue par une femme charmante, le boug ?
Vaut le détour, près de l’ancienne Bibliothèque netionale !
http://www.aubonheurdujour.net

TKT dit: à

Clopine, l’enculé de service se prend pour « un collectif ». Attenter à ses vieux jours tiendrait donc bien du génocide.

Phil dit: à

Ils sont rares les dîners où l’on parle de littérature jusqu’au dessert.
Il faut des bons vins, quelques invertis, un ou deux ethniques en rupture de leur communauté, et des fascisants adoucis mariés à des particulées déchues. Surtout pas de végétariens.

La monoculture de TKT dit: à

TKT dit: 8 avril 2014 à 12 h 01 min

Thierry dans son sport favori : l’insulte.
Certains préfèrent le rugby.
Paul préfère les ciseaux.

Leo (Bloom) Pold dit: à

rayonnement d’Alain Delon.

A l’Un Deux Long, c’t’une marque de clopes au Cambodge.
Toujours senti qu’il avait queque chose de toxique, le Rocco Parondi. Comme Murad B. je l’aime plus, le ridé frontiste.

christiane dit: à

@Un bougé en photographie dit: 8 avril 2014 à 11 h 43 min
Quel beau pseudo !
Je vais tenter de répondre à votre interrogation…

« C’est un nocturne ».
La scène qui se devine derrière la vitre, ses éclairages en font une scène de nuit mais au-delà est « nocturne » ce qui se rapporte à la nuit, à l’insondable, au furtif, au secret, à la mélancolie. Une certaine fragilité qui marque toute vérité comme l’indéchiffrable dans la nuit… Une aphonie des couleurs. Un rayonnement lunaire.

« Une nature morte  » qui devient paysage de l’âme ».
Chaque nature morte qu’elle soit de Chardin, de Cézanne, de Morandi ou de… laisse percevoir le tempérament de l’artiste. Une pudeur, une harmonie, aussi. Cette invisibilité réclame d’être vue, scrutée.

« C’est une offrande délicate, spirituelle qui traverse les frontières du visible »
Un don sans se préoccuper de sa réception (voir certains commentaires sur cette photographie), qui double celui du billet à un ami, « traversant les frontières du visible » puisque cette photo n’est pas immédiatement compréhensible, qu’elle demande une traduction, une interprétation comme toute œuvre d’art. Qu’elle signifie quelque chose de tu, au-delà du visible.
Une présence d’amitié dans l’absence. Il peut y avoir des paroles, des pensées non écrites. Regard du cœur de ce qui est… La parole vient après la vue. C’est le temps… retrouvé…

TKT dit: à

JCouille, aucune insulte ne peut être au niveau de vos commentaires.
Impossible donc de vous insulter, on reste toujours au niveau inférieur, par rapport à vous, en termes d’immondices.
Au finish, vous répondre, c’est un peu faire une BA, cela vous donne l’impression d’être un homme socialisé.

Jacques Barozzi dit: à

« Toujours senti qu’il avait queque chose de toxique, le Rocco Parondi. »

Oui, mais lui il a risqué sa peau en Indochine, Bloom !

Phil dit: à

un Duras cuir.

roland dit: à

TKT 12h01
‘Pourquoi cet acharnement à tout dénigrer ? ‘

le bouc de PQ trouve ça intelligent, il se croit original, hors du troupeau alors qu’il n’est qu’un beauf en quête d’attention

Un bougé en photographie dit: à

Je vous entends bien Christaine, mais un nocturne à une connotation forte, musicale et jouée ( pour ne pas dire enjouée!)et toute vérité n’ est pas forcément marquée de fragilité dans sa véracité même.
Fut-elle apparition, révélation!
Pour ce qui concerne l’ « invisibilité » et ses lisibilités, elles sont actives mais aussi passives. Cette possibilité d’ avoir la  » peinture à l’œil  » pour emprunter cette expression à un philosophe.
Enfin, ce que vous dites de la  » compréhension  » de la photographie, cela ne s’ applique-t-il pas à toute œuvre d’art.

renato dit: à

Pour un poignée de mouches…

La preuve par TKT dit: à

TKT dit: 8 avril 2014 à 12 h 35 min
JCouille, aucune insulte

Pauvre JC encore insulté alors qu’il n’est pour rien.

Pouvez-vous mon cher Thierry nous donner un exemple de ces supposées insultes que (au hasard) moi je formulerais ?
Petit-bourgeois franchouillard ?
Une catégorie sociale, certes peu distinguée, mais non négligeable.
Propriétaire d’un bichon ? Votre droit le plus absolu.
Portant des mocassins à glands, un pull jaune d’or sur les épaules et un jean avec le pli devant ?
Certes ce sont des critères d’une élégance peu raffinée, mais je trouve très bien d’associer vos vêtements à votre personnalité.

Donc, le seul insulteur ici c’est vous.

Un bougé en photographie dit: à

 » Christiane », pardon d’ avoir écorché quelque peu votre nom!

renato dit: à

« … musicale et jouée… », etc.

Pas nécessairement, voyez « Il sogno di Costantino » de Piero della Francesca…

Contes suisses dit: à

roland dit: 8 avril 2014 à 12 h 38 min

Le soutien d’antoine à TKT ou le ralliement du NPA à la Phynance internationale.

DHH dit: à

@jacques barozzi
merci de cette adresse
j’irai voir cette boutique dans cette rue chargée d’histoire qui abrite un des hauts lieux mondains frequentés par la nomenklatura de la troisieme republique, où se sont dit-on prises de grandes décisions politiques – .
Alphonse Boudard en a joliment parlé dans « La fermeture »

roselyne dit: à

12 h 50 min

ah bon

roland dit: à

Le soutien d’antoine à TKT ou le ralliement du NPA à la Phynance internationale.

ta gueule keupu

roland dit: à

« le ralliement du NPA à la Phynance internationale »

ujicé le beauf nous sort ses clichés

faut le comprendre dit: à

« lui il a risqué sa peau en Indochine »

il savait pas quoi faire

Contes suisses dit: à

roland dit: 8 avril 2014 à 13 h 05 min
ta gueule keupu

Les mêmes obsessions, les mêmes fantasmes,
antoine serait-il une créature de TKT ?
Pas impossible.

Onésiphore de Prébois dit: à

La photo du haut représente des flacons à pisse et un pot à merde sur l’étagère d’un laboratoire d’analyses non encore aligné sur les plus récentes normes d’hygiène, tout cela saisi à travers le fine brume dégagée par la cuisson de saucisses aux nouilles préparées pour son déjeuner sur son camping-gaz par la laborantine intérimaire.

cedric dit: à

Contes suisses dit: 8 avril 2014 à 13 h 10 min

Tu devrais écrire un livre avec ton imagination d’huître et tes préjugés vieuc express-figaro

bouguereau dit: à

l’image t’augmente jean marron..tu profites tu thésaurises tu prospères

christiane dit: à

@Un bougé en photographie dit: 8 avril 2014 à 12 h 44 min
Ça devient très compliqué la transparence avec vous. Vous pesez chaque mot et vous les écossez comme on le fait pour des petits pois.
Bien sûr que « Nocturne » ça rime avec Chopin, mais Chopin rime avec la nuit et la mélancolie.
Quant à la vérité… Pour un avocat, pour un jury, elle est si fragile… (pour nous aussi, demandez à Prévert !) comme le verre, comme ces lumières vacillantes de la nuit.
Avec vous, on écosserait les mots tout un jour et on ne se rendrait même pas compte que la nuit aurait remplacé le jour !
Que toute œuvre d’art demande cette approche, j’en suis bien consciente et me manquent toutes celles que je n’ai pas su regarder.
Cette belle photo m’a happée. La nuit qui a suivi, je me suis demandée quel genre de billet elle introduisait (billet que je n’ai lu que le lendemain). J’ai d’abord été surprise puis moins, puis pas du tout. Dans ma mémoire il y a eu des changements dans la coloration atmosphérique de la photo. Je m’en suis souvenue dans un camaïeu de bleus. Surprise au matin. « Nocturne » est peut-être né de cet endormissement ? les images laissent d’étranges empreintes dans nos mémoires. Souvent je me souviens de l’atmosphère mais je me trompe dans les couleurs ! Mais je me souvenais de cette celle-ci, irréelle, cette absence de délimitations visibles (ça on ne peut pas le dire de toutes les œuvres d’art !). La lumière vient du blanc et retourne au blanc, d’où ma dernière remarque.
Pour le cercle, inoubliable, celui de Dante Paradis XXXIII) :
« Ce cercle ainsi conçu
qui semblait en toi lumière réfléchie
longuement contemplé par mes yeux
à l’intérieur de soi, de sa même couleur,
me sembla peint de notre image; (…)
Je voulais voir comment se joint
l’image au cercle, comment elle s’y noue;
mais pour ce vol mon aile était trop faible :
sinon qu’alors mon esprit fut frappé
par un éclair qui vint à son désir.
Ici la haute fantaisie perdit sa puissance ;
mais déjà il tournait mon désir et vouloir
tout comme roue également poussée,
l’amour qui meut le soleil et les autres étoiles. »

Merci pour ces questions, presque des énigmes. Êtes-vous un piéton qui photographie ? Un amoureux des palettes et des brosses ou des pinceaux fins ?

Que diriez-vous de cette photo et de son lien avec le billet ?

TKT dit: à

JCouille, mais j’assume, pleinement, mon usage d’insultes à votre égard.
Quant aux attributs dont vous faites une liste, vous ne reprenez que des propos vieux de 8/9 ans de D.bile alias Pathos, Tetram etc…
Vous copiez D.bile, ou vous êtes son reflet ?
Franchement, vous traiter d’enculé, idem pour D.zobé, c’est une manière élégante de vous dépeindre.
Attaquez vous à quelqu’un d’autre, cela vous obligera à changer de clichés.
Ce qui est magnifique avec vous deux, vous vous prenez pour des victimes, dès que l’on vous répond.
Vous devriez vous rencontrer, faire un suicide collectif

christiane dit: à

Oh, « Bougé… » ne vous sauvez pas, j’ai oublié. La traduction de La Divine Comédie d’où j’ai extrait ces vers est de Jacqueline Risset (GF Flammarion)

bouguereau dit: à

Clopine, l’enculé de service se prend pour « un collectif ». Attenter à ses vieux jours tiendrait donc bien du génocide.

si tu téléphone à lassouline a minuit tu lui dis « allo ? singmaringueune ? »

Contes suisses dit: à

cedric dit: 8 avril 2014 à 13 h 17 min

Mais que sais-tu de moi antoine badiouesque ?

bouguereau dit: à

il savait pas quoi faire

plus classe que de faire la raclure

christiane dit: à

Onésiphore de Prébois dit: 8 avril 2014 à 13 h 13 min
Hum !
Parlez de cette interprétation à Rodrigo Garcia; il vous embauche direct au Rond-Point !

bouguereau dit: à

Toujours senti qu’il avait queque chose de toxique, le Rocco Parondi. Comme Murad B. je l’aime plus, le ridé frontiste

..jamais qu’on lui téléphone à minuit kabloom

Je crois qu'il faut réellement soigner Thierry dit: à

TKT dit: 8 avril 2014 à 13 h 24 min
D.bile alias Pathos, Tetram

Trois commentateurs différents mon Kron.enbourg chéri.
Seule ton obsession maladive t’empêche de lire la réalité.
Mais sais-tu lire ?
J’en doute.

Observatoire de l'helvète dit: à

« des propos vieux de 8/9 ans »

Tes fiches ne sont pas à jour Thierry.
Tu vieillis.

Miroir, mon beau miroir dit: à

« vous vous prenez pour des victimes, dès que l’on vous répond. »
TKT

Vous et antoine ?

Chaloux dit: à

Il y a certainement une lignée d’écrivains-avocats, comme il y en a une d’écrivains-médecins. Les lire est rarement une perte de temps. Je me souviens de discussions passionnées (j’avais douze ans) d’adultes de mon entourage autour de ses trois volumes sur Céline que j’ai lus plus tard.

Chaloux dit: à

C’est curieux, mon commentaire sur Bach, pourtant bien gentil, est en attente de modération, et celui ci-dessous passe comme une lettre à la poste. Un problème de mots-clefs? Assouline? Pénicilline? (Non, ce n’est pas un poème…).
Bon vent,

berenice dit: à

Je ne sais plus trop comment s’est articulé le billet à cet autre sujet, Chine et patrimoine, à propos à l’occasion de l’édification du barrage des trois gorges, un film nous parvint et fut primé au festival de Venise, empreint de mélancolie et comme souvent quand il s’agit de la Chine, l’individu y est perdu sur fond de réalité géante et politiquement ordonnée, j’ai trouvé ceci qui traite du fleuve symbolisant le temps, de l’ouvrage, le plus grand du monde, de sa nécessité de l’engloutissement des traces du passé avec les conséquences, ce qui a pu être sauvé des vestiges chers aux cœur des habitants des provinces concernées

http://perspectiveschinoises.revues.org/951

impressionné dit: à

« Miroir, mon beau miroir  »

argument impressionnant

cédric dit: à

le taon de pécul s’étouffe dans ses clichés fhaine il a rien d’autre à foutre

Jacques Barozzi dit: à

« merci de cette adresse
j’irai voir cette boutique dans cette rue chargée d’histoire… »

Un doute, m’assaille, DHH, comment avez-vous financé vos études ?

Contes suisses dit: à

impressionné dit: 8 avril 2014 à 13 h 39 min
impressionné dit: 8 avril 2014 à 13 h 38 min

antoine t’es perdu, tu ne sais plus à qui tu t’adresses.
On jugerait que t’es vraiment TKT.

Contes suisses dit: à

cédric dit: 8 avril 2014 à 13 h 42 min
ses clichés fhaine

Un exemple mon bel antoine ?

Gehrard Schröder dit: à

« Vous devriez vous rencontrer, faire un suicide collectif »

Je connais JC.
Pas du genre à se suicider.
Surtout collectivement.
Surtout avec D
Surtout pour faire plaisir aux glandus

Gazprom, prom, prom, pidou ! Ouaah !

les médecins réunis dit: à

u et jicé veulent avoir le dernier mot, ça leur donne l’impression d’être intelligents: ne pas les contrarier

les amis sincères de jc dit: à

JC.
Pas du genre à se suicider

il a vocation à faire ch , c’est sa raison d’être

Jacques Barozzi dit: à

L’obscénité n’est pas dans les innocentes sucettes de Michel Simon, non, mais plutôt dans les images du génocide rwandais, entre autres, et sur lesquelles semblent plâner l’ombre portée de l’Elysée du temps de François Mitterrand, qui fait que Christiane Taubira et l’ambassadeur de France, Bloom, sont personae non gratae aux cérémonies actuelles…

Jacques Barozzi dit: à

« Socialisme et (néo)colonialisme », est-ce que ce livre a déjà été écrit ?

Jacques Barozzi dit: à

Un titre pour maître Gibault !

Contes suisses dit: à

les médecins réunis dit: 8 avril 2014 à 13 h 58 min
u

Et voilà u. maintenant,
pauvre antoine perdu dans ses recherches.

Lucifer dit: à

Innocentes sucettes de débauché ? Exactement ce qu’il faut pour me tomber dans les bras et retrouver cet érotomane de Simon, doré tout à fait légèrement par les flammes de son supplice.

Jacques Barozzi dit: à

C’est plus de la soupe mais du rata…

Un bougé en photographie dit: à

christiane dit: 8 avril 2014 à 13 h 25 min ( et passim )
Je suis encore là Christiane!
( Compliqué de passer au travers des règlements de compte chez OK Passou !)

Bien reçu votre explication, Christiane et bien que je trouve la photographie originale dans sa facture, il m’ est difficile de la rattacher au sujet traité dans le billet.
Mais il reste beaucoup à dire sur cet avocat un peu noyer parmi les boules puantes et les lancer de mie de pain tout au fond de la classe.
Dubuffet par exemple ( sa fondation ) et ses relations d’ avec Céline…

DHH dit: à

@jacques Barozzi(13 h44)
Je veux lever vos doutes
Ce que vous imaginez n’est pas materiellement possible.
En effet ;je ne suis plus jeune, il est vrai, mais l’etablissement auquel vous pensez et qui aurait pû me recruter avait eté fermé juste après la guerre.
Quand j’ai eté d’âge éligible aux activités que vous imaginez ,cette profession supposait une emigration en Amerique latine ,ce qui était peu compatible avec des etudes en Sorbonne.
il valait mieux etre ipesienne

Jacques Barozzi dit: à

Lucifer, n’oubliez pas de rôtir aussi le dénommé Francis Blanche, pas moins érotomane que Michel Simon, et dont on peut voir une belle non-composition dans le « Belle de jour » de Luis Bunuel !

Un bougé en photographie dit: à

« noyé », bien sûr..et le reste que je vous lance poliment !

Vérifions nos sources dit: à

Jacques Barozzi dit: 8 avril 2014 à 14 h 01 min
l’Elysée du temps de François Mitterrand

Et le ministre balladurien de la défense ne savait pas, ni était pour rien ?
Barozzi pour dénigrer vous êtes le plus fort, pour l’information vous êtes le plus nul.
Journaliste il disait.
Rigolons.

Goebbels dit: à

Pas oublier visionner TV votre Katalanführer à 15 heures pour grande déklaration politik général !

Avec Benyamin Stein, on a compétition à la même heure baby-foot contre Mourad ben Kaldhoun et Larbi ben Arabi. Sunnite + chiite. On va les niquer grandiose, les muslims !

Jacques Barozzi dit: à

Mais vous aviez l’âge de Catherine Deneuve, DHH, et madame Claude est restée en activité jusque sous Giscard, votre promotion en aurait été surper canapé !

Sergio dit: à

Un quarteron de gardiens de square, ou de gardes champêtres ? Y a une nuance bon Dieu !

Jacques Barozzi dit: à

Sous la Ve République, Vérifions nos sources, le principal responsable moral et politique reste le Président de la République, cohabitation ou pas !
N’est-ce pas François Mitterrand qui a remit à l’honneur un Service Afrique à l’Elysée ?

A qui la faute? dit: à

Vérifions nos sources dit: 8 avril 2014 à 14 h 11 min
Hé oui, ça a cafouillé entre Mitterrand et Balladur!
( Il y a quelques jours excellentes explications sur les divergences à agir entre ces deux là sur France Inter.)

Sergio dit: à

Goebbels dit: 8 avril 2014 à 14 h 12 min
Katalanführer

C’est le Fernand du Comte de Monte-Cristo ? Faut qu’on voye Mercédès alors…

Onésiphore de Prébois dit: à

autour de ses trois volumes sur Céline que j’ai lus plus tard.( Chaloux)

Une compétition est ouverte entre Gibault, le plus proche et le plus intime, Vitoux, le plus indulgent (sur certains points douteux), et Godard ,le plus distancié et, sur certains points, notamment ceux qui touchent le processus de création littéraire, le plus perspicace et le plus convaincant. De fameuses discussions en perspective, entre adultes consentants.

berenice dit: à

Jacques Barozzi j’ai malheureusement brouillé les ondes et la fréquence m’échappe mais entendu très tôt ce matin un homme qui expliquait en quoi avaient consisté les erreurs de la France à cette époque(armement des réfugiés …) et clairement il apparait que l’armée française n’ait pas œuvré directement aux massacres, mauvaise gestion de la crise certes et mauvais choix, les militaires cependant n’ont pas participé, désolée encore de n’avoir pas jeté un œil sur l’autoradio pour vous fournir le nom de cet homme informé et plutôt clairement objectif sur ce brouillage diplomatique.

Jacques Barozzi dit: à

« A qui la faute ? »

Réponse, dans le précédent commentaire…

(faut tout leur expliquer, ils ont pas fait Droit constitutionnel, comme moi et Clopinou !)

Madame de Valognes dit: à

12:27, christiane : « une présence d’amitié dans l’absence » ou quand cri-cri se prend pour duduras qui a écrit pas mal de conneries comme celle-là

u et consorts dit: à

baroz le pauvre innocent balamou a été fourvoyé à l’insu de son plein grè par l »ultra socialo crytpococo mitterrand

Jacques Barozzi dit: à

C’est toute la distance entre le faire et le laisser-faire, bérénice.
Encore heureux que nous n’ayons pas participé directement aux massacres. Vous êtes de gauche ?

christiane dit: à

@Un bougé en photographie dit: 8 avril 2014 à 14 h 11 min
Un ami de Pierre Assouline ne peut être méprisable…

Deneb dit: à

Vous n’avez pas autre chose à faire, Bérénice ?
Je dis pas ça pour vous braquer, mais franchement je m’interroge.

roland dit: à

de quoi faire grimper adolf aux rideaux : Hénin-Beaumont le FN supprime subventions et local de la Ligue des droits de l’homme

Jacques Barozzi dit: à

Balladur est un pleutre, u., et Mitterrand l’avait dur, malgré des problèmes de prostate !

berenice dit: à

« avocat un peu noyer »
Un arbre à noix? pour huiles?
un peu noyé donc?

Jacques Barozzi dit: à

Quel macho, ce D., il veut empêcher sa vieille bérénice de parler politique !

Jacques Barozzi dit: à

Sous Mitterrand, c’était la république viagranière !

Jacques Barozzi dit: à

Vous n’auriez pas plus petit comme vignette, lettres mes amours par delà le miel et le bal !

christiane dit: à

@Madame de Valognes dit: 8 avril 2014 à 14 h 28 min
Si aucune présence aimée ou amie ne traverse vos pensées, Madame Cassin, quand vous êtes seule, alors vous êtes bien à plaindre…

Chaloux dit: à

Johnny, l’historien des idées et biographe de Céline dont je ne ferais pas l’économie, c’est Philippe Alméras, qui ne lui passe rigoureusement rien, et combat la théorie des deux Céline. Les Idées de Céline et Céline entre Haines et Passion.

sans blague dit: à

« sa vieille bérénice  »

alors, baroz toujours aussi jeune?

berenice dit: à

Deneb, si, on pourrait retomber dans Lafontaine ou dans le dicton populaire, qui veut abattre son chien l’accuse de la rage .

berenice dit: à

Jacques Barozzi je dois comptabiliser quelques années de moins que vous, je cherche sur vos fiches en vain, mais n’a-t-on pas pour finir l’âge de nos organes, le plus fragile d’entre eux finissant par signer notre mort.

berenice dit: à

Sous Mitterrand, c’était la république viagranière !
La banane, cher, depuis fort longtemps.

Madame de Valognes dit: à

Madame Cassin vous informe que Monsieur Cassin est toujours à ses côtés et qu’il dé/montre au lit une joyesue vigueur à faire pâlir d’envie votre ami Barozizi

DHH dit: à

@Jacques Barozzi
votre objection de 14 h 12 repose sur un presupposé bien veillant auquel je suis sensible:imaginer qu’à un moment de ma vie mon physique ait pu etre de nature à interesser une recruteuse aussi huppée et exigeante que madame Claude

roland dit: à

DHH
baroz a une opinion spécifique des femmes

TKT dit: à

DHH, si les bordels devinrent illégaux, la profession de femmes-entretenues, n’en marchait que mieux. Quant aux femmes qui faisaient le tapin ou les bars, cela n’avait pas été interdit par cette loi idiote sur les maisons-closes. Avec la nouvelle jurisprudence française, cela va rendre encore moins contrôlable la prostitution. Les gens utilisent internet. Qui va vraiment payer les dégâts ? Les prostitués/ées d’origine des pays pauvres.
Pour supprimer la prostitution, il faudrait supprimer la corruption, et les envies normales de la population. Maintenant je souhaite à tous, un équilibre sexuel avec des partenaires qui partagent les mêmes envies, de préférence aux mêmes moments. J’écris partenaires au pluriel, ne pas y voir autre chose que le sens des réalités.

DHH, vous avouez avoir un âge certain, tout en ne donnant pas de détail, c’est très féminin. Souvent quand j’observe des gens âgés, surtout des femmes, je les imagine jeunes, pleins de sèves et en pleine activité. J’ai connu des gens des vieilles génération, qui avaient pas mal vécu. Je les ai connus jeunes et très en forme. Je dois dire que je n’ai pas été élevé dans un milieu trop hypocrite.

Anette, de la ligne 7 dit: à

Jacques Barozzi, D. ne peut être un vrai macho, il lui manque pour cela, la circulation du sang faisant une pause, entre ses genoux et son nombril.

berenice dit: à

TKT avec l’interdiction des maisons closes ne pourrait-on pas dire qu’on a assisté à une diaspora des prostitutions qui revêtent dés lors des formes et apparences variées avec une dispersion dans l’immeuble sociétal, que l’on s’oriente du bas vers le haut, du haut vers le bas de gauche à droite et inversement à moins que cette architecture ait bénéficié de la grâce d’un rayonnement en étoile comme un neurone avec ses dendrites qui nous conduirait à passer un peu plus de temps à cette visite anthropologique, le débat sur l’utilité ou pas de ces pratiques a été remis à jour dernièrement, pour ma part et bien que de trop nombreuses travailleuses du sexe aient à subir violences et conditions inhumaines, je penche pour penser que compte tenu des pulsions sexuelles et besoins sains ou malsains, elles détournent certainement nombre de leurs clients du viol ou autres pratiques non admises par le droit visant à protéger l’individu.

Sergio dit: à

berenice dit: 8 avril 2014 à 15 h 34 min
à moins que cette architecture ait bénéficié de la grâce d’un rayonnement en étoile

Le mieux c’est les trucs ronds : la maison de la radio, la mairie d’Issoire…

Leo (Bloom) Pold dit: à

Oui, mais lui il a risqué sa peau en Indochine, Bloom !

Baroz, dans la penninsule indochinoise, il y a davantage à risquer que sa peau, on y perd son latin, et on souhaite ne jamais voir autre chose que ce qu’on voit, ni goûter autre chose que ce qu’on goûte, assis sur un tabouret en plastique au bord d’un trottoir, du Mekong, de la Chao Praya, du Fleuve rouge, de la Rivière des Parfums…Bayon et corneilles…

Phil dit: à

sapré bloom. mangue saint émilion dans les rizières. pousse un peu mémé dans le mékong

bouguereau dit: à

il faudrait supprimer la corruption, et les envies normales de la population

association cocasse.. »r!l men donte baï geurl » vontraube !

bouguereau dit: à

il y a davantage à risquer que sa peau, on y perd son latin

on y retrouve toujours son anglais..sapré kabloom

bouguereau dit: à

Le mieux c’est les trucs ronds

vive les bretons

lettres mes amours par delà le miel et le bal dit: à

Mec si… Mec sicko…
j’ai oui dire que l’on devait chanter mes chicots
en style d’années basses (basane)
adieu je vous lâche et vous laisse à Fauré et forer d

lettres mes amours par delà le miel et le bal dit: à

et forez les dernières pelletées avec votre maître passou en jardin anglais

Sergio dit: à

L’a pas l’air méchant, le Ferdine… On va quand même pas nous faire accroire que cravateux comme ça il peut faire professeur de violence…

Daaphnée dit: à

on y retrouve toujours son anglais..sapré kabloom

Vous êtes bien dur avec Bloom, le Boug’ !
En connaissez-vous beaucoup, adoptés par le Quai, qui s’aventurent ici à visage presque découvert ?

bouguereau dit: à

se rabattant sur une petite statue en pied de Jean Cocteau

ce « rabattant » et ce « en pied » de la « petite » statue ont l’acoustique du hall de singmaringun

lettres mes amours par delà le miel et le bal dit: à

des blogs littéraires, dont le but est de « ne parler que de littérature »,
a-t-il été stipulé que la R.D.L avait pour but de ne parler que de littérature ? un but à atteindre sous quels délais ? Avec quelle date de commencement ?

bouguereau dit: à

j’l’aime bien kabloom, la preuve il vient ici pour se rappeler ses devoirs..daileurs il est toujours minuit là où il est..le coté obscur..vu que le roi soleil est ici

Daaphnée dit: à

on y perd son latin, et on souhaite ne jamais voir autre chose que ce qu’on voit, ni goûter autre chose que ce qu’on goûte

Vous me faites penser à l’instant au fils d’un ami, qui y vit maintenant depuis 6 ans et qui, j’en suis inquiète, semble avoir du mal à en repartir alors que la vie là-bas ne me paraît pas le satisfaire beaucoup … qqc comme une société – aux antipodes de celle qu’on peut avoir de (re)découvrir, si on décide de repartir sur les traces de Segalen – où l’individu à l’occidental peut s’engluer et se perdre ..
Désolée, c’est mon 1/4 d’heure de pessimisme annuel .

bouguereau dit: à

un but à atteindre sous quels délais ?

..rapport à l’horloge biologique renfield

Daaphnée dit: à

j’l’aime bien kabloom

Moi aussi, à cause de l’Irlande.

bouguereau dit: à

cravateux comme ça il peut faire professeur de violence…

c’était qu’un gros mécontent encore..le plus pire c’est aprés

bouguereau dit: à

il y a un lien entre ses analyses d’urines et sa prose..c’est certain..mais voilà y’a forclusion.
lassouline frait bien de communiquer la dessus régulièrement..s’il était scientifique évidemment

berenice dit: à

Daphnée tout le monde n’a pas cette chance d’apparaitre en des lieux séculiers, sinon il reste toujours le carnaval de Venise avec ses divertissements, ses fêtes qu’on imagine galantes, un masque et c’est l’éclate, l’écarlate, le 17ème siècle qui renait pour oublier ce qui du notre lasse ou pour adapter nos esprits à l’embout d’avant ou bien plus romantique, encore s’évader, le vaporetto qui vous enlèvera pour une chambre remplie d’amour où attendrait ce regard qui vous aimante et dispose cruellement de vos pensées.

Phil dit: à

où l’individu à l’occidental peut s’engluer..

« la chaleur descelle les dalles comme les moeurs ». et la moiteur vous achève ce beau monde dans la nuit de l’iguane. les rizières sans ava gardner, l’enfer.
Bloom résiste grâce à la mangue saint emilion au foie gras dans sa frigobox electrolux portée le premier secrétaire, celui qui s’éponge le front enarque en attendant sa mutation tokyote mais qui va prendre le zimebaboué dans les dents.

berenice dit: à

Le mieux c’est les trucs ronds

vive les bretons
Je salue votre effort, presque du Beckett.

Un bougé en photographie dit: à

christiane dit: 8 avril 2014 à 14 h 31 min
Je parlais de l’ environnement de ce blog Christiane, pas de notre avocat…
( Je rentre de ma séance de gymnastique!)

bouguereau dit: à

dispose cruellement de vos pensées

..et t’as un gros cerveau béré ?

Daaphnée dit: à

Je vais vous dire une chose, le Boug’.
Si, soyez gentil et arrêtez de gigoter.
Bon.
Et si c’était entre le rêve et le réel qu’on n’arrivait pas à faire le lien – Segalen parlait d’un « voyage au pays du réel » … ?
Autrement dit, nous serions et aurions besoin d’être dans un pays de l’imaginaire qu’on ne saurait plus dire … d’où notre écrasement sur/dans, notre enlisement, dans le réel ?

bouguereau dit: à

presque du Beckett

alors lui..ses analyses d’urines..comme miterrand il a pas communiqué..private!

berenice dit: à

17h12 phil/ Boarding Gate d’Olivier Assayas, éveille un désir d’exotisme sans pareil.

berenice dit: à

d’où notre écrasement sur/dans, notre enlisement, dans le réel ?
Quelle novation dans l’idéation!

bouguereau dit: à

d’où notre écrasement sur/dans, notre enlisement, dans le réel ?

il faut bien dire une chose dafnoz le réel augmente et l’on autorise l’opinion..le réel c’est un peu comme staline et ses statistiques..vas contre!

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