Dans les coulisses de l’enquête biographique
« Combien de fois avez-vous couché avec Samuel Beckett pour obtenir ce scoop ? ». Ce genre de perfidie, Deirdre Bair l’a subie plus d’une fois. Elle ne l’a pas seulement entendue dans des réunions mais lue dans des articles. Il est vrai que la première fois qu’elle a rencontré Samuel Beckett, la scène eut un hôtel pour théâtre : en 1971, l’hôtel du Danube, rue Jacob à Paris. Mais c’était dans le lobby.
Quelques mois après, à sa lettre lui annonçant sa détermination d’écrire sa biographie, le grand écrivain répondit qu’il était à sa disposition et qu’il lui ouvrirait ses archives. Ce qui ne manqua pas d’ébahir le milieu littéraire et universitaire pour qui il demeurait le personnage le plus fermé le plus inaccessible de leur petit monde. Il avait ajouté qu’il ne la soutiendrait ni ne l’entraverait dans ses démarches, mais que ses amis et sa famille l’assisteraient et que ses ennemis la retrouveraient bien assez tôt. Lui qui ne donnait jamais d’interviews la revit à des nombreuses reprises pour répondre à sa curiosité à condition qu’elle n’enregistrât pas, et qu’elle ne prit pas de notes. Comme deux amis en conversation. Surtout elle ne devait révéler leurs rencontres à personne. Lorsqu’ils ne se voyaient pas, ils s’écrivaient. Quand ils se retrouvèrent l’année suivante, ce ne fut plus à l’hôtel du Danube mais au bar-tabac tout près, ou dans des bistros près des stations de métro Raspail et Denfert-Rochereau, quand ce n’était au Falstaff, un restaurant de Montparnasse où il avait ses habitudes et où le personnel faisait respecter son intimité. En ce temps-là déjà, ce qu’on savait de lui, ce qu’on disait de lui, tout concourait à lui donner l’image d’un saint laïque.
Comment une mère de deux jeunes enfants, épanouie dans son mariage, entre ses deux bulldogs anglais et ses deux chats persans, professeure dans le civil mais assez audacieuse pour s’attaquer à un monstre littéraire pour son premier livre, pouvait-elle passer auprès des professionnels de la profession autrement que pour « une jeune américaine naïve » ? Ce projet de biographie, auquel il se prêta alors qu’il venait d’une fille si novice qu’elle n’avait jamais lu une biographie avant d’envisager d’en écrire une, il ne l’appelait jamais autrement que « this business of my life ».
Il avait soigneusement compartimenté sa vie ; ses amis ne se rencontraient pas en sa présence ; il les voyait séparément. Il refusait résolument de parler des femmes quel qu’elles fussent mais se montrait bavard jusque dans les moindres détails dès qu’il s’agissait d’un homme. Mrs Bair, qui conduisit des centaines d’interviews à l’américaine à Paris, Londres, Dublin, New York pendant sept ans pour faire le tour de la question, nous en livre les coulisses dans Parisian Lives qui vient de paraître à New York (346 pages, Talese/Doubleday). Une « bio-memoir » dont elle est le sujet et l’objet, qu’elle s’est résolue à écrire dès lorsque les intéressés et les témoins sont morts.
C’est devenu un genre en soi, Claire Tomalin, biographe de Dickens, Thomas Hardy et autres, et James Atlas, biographe de Saul Bellow, ayant récemment révélé dans des livres les coulisses de leurs enquêtes. La lecture de celui de Mrs Bair est assez réjouissante : l’exil du jeune Beckett à Paris de crainte que sa vie de jeune débauché alcoolique à Dublin ne finisse par le détruire ainsi que sa mère… Sa discrète générosité –nombre d’amis ont pu témoigner de ce que ce saint Martin leur offrait souvent son manteau avec ce que ses poches contenaient… Ses séances de psychanalyse avec W.R. Bion, lequel l’emmenait parfois à la Tavistock Clinic y écouter parler le maitre Carl Gustav Jung… Sa fragilité psychique allant jusqu’à être qualifié de « psychotique » par des psys sidérés à la lecture de son œuvre… Barbara Bray, traductrice et maitresse de Beckett, l’adjura avec force de ne rien révéler de sa liaison dans son livre sans quoi, lui assura-t-elle, l’un de ses enfants se suiciderait et elle rendrait l’indélicate biographe responsable de sa mort. La perspective d’un casier judiciaire n’étant guère réjouissante pour un biographe débutante, elle se résolut donc à l’autocensure.
Rigoureuse, refusant toute amitié trop personnelle avec son sujet, il lui fallait trois sources indépendantes pour corroborer un fait ou une parole (ici un extrait). Sinon elle ne les retenait pas bien que ses témoins fussent souvent bourrés (y penser toujours avant de se lancer dans la biographie d’un Irlandais). Ainsi pour la piste selon laquelle quand Beckett mûrissait l’écriture d’En attendant Godot, sa pièce la plus célèbre, il l’intitulait « En attendant Lévy ». .. Elle n’a pas été plus loin sur la sexualité « problématique » de Beckett car elle était trop embarrassée par ce qu’elle avait découvert dans certaines lettres relatives à sa jeunesse dublinoise puis parisienne, sa « profonde amitié » pour quelques poètes de ses amis, ainsi que « des rencontres sexuelles dont il disait que d’autres hommes en avaient pris l’initiative ». De même ne chercha-t-elle pas à creuser lorsque la peintre Joan Mitchell, qui avait été temps sa maitresse, lui confia que « ça » (entendez : fucking) ne l’avait jamais trop intéressé.
En fait, sa biographie était à l’époque volontairement muette sur le sujet par un sentiment de pudeur mêlé de puritanisme et par crainte que le bruit revint aux oreilles de « Sam » qu’un livre à sensations se préparait sur lui. Son entourage témoignait qu’il s’inquiétait nerveusement à l’idée que Mrs Bair ait pu évoquer sa vie sexuelle dans la biographie. Les beckettiens canal historique, une internationale composée d’universitaires américains, de poètes irlandais,, de critiques new yorkais et d’intellectuels parisiens, ,des hommes en majorité ou, pour le dire en conformité avec notre propre air du temps, des mâles blancs hétérochrétiens, ont encouragé les rumeurs nuisibles à l’enquête de Bair, la disqualifiant au motif qu’elle avait du coucher pour obtenir ses informations, impossible autrement. Elle en eut le cœur net lors d’un colloque à New York où ils lui manifestèrent une hostilité faite d’insinuations sinon d’insultes. Quant aux à ses collègues féminines à l’université, elles ne la considéraient pas comme des leurs, n’étant jamais qu’une biographe.
La misogynie qu’elle dut affronter ne la rendit pas moins féministe. Et à la vie-et-l’œuvre de qui croyez-vous qu’elle consacra juste après son nouveau livre ? Simone de Beauvoir ! Mais c’est beaucoup moins piquant, son héroïne se révélant désagréable, abrupte, sèche, autoritaire., la considérant parfois comme une sténodactylo à qui elle dictait son message au monde et lui interdisant de la qualifier de lesbienne. Un point commun avec Beckett toutefois : ce que leur commune biographe, passée maître dans l’art de l’euphémisme, appelle « une identité sexuelle complexe ».
Quarante ans après son coup d’essai avec l’Irlandais, la dernière victime de la biographe-en-série fut un autre grand dramaturge, un italo-américain du nom d’Al Capone. Manifestement, elle aura toujours médité sa devise : « Quand on a quelque chose à demander à quelqu’un, il vaut mieux être poli et armé que simplement poli ».
(« Samuel Beckett » et « Simone de Beauvoir avec Deirdre Bair » photos D.R.)
1 455 Réponses pour Dans les coulisses de l’enquête biographique
edification du public
un précédent sur le David de Michel ange
Le David de Michel-Ange et l’ignorance mise à nu
https://www.latribunedelart.com/le-david-de-michel-ange-et-l-ignorance-mise-a-nu
La question de l’autographie est pour le Davide e Golia (1597-1598) du Prado
https://www.studiarapido.it/davide-e-golia-di-caravaggio-descrizione/#.XocafFMzYWo
Pas pour le David con la testa di Golia du 1609, Galleria Borghese
De la nécessité de respecter les titres…
Incidemment, le David de Michel-Ange souffrirait de phlébite — le poids porté par les tibias.
M’étonne que bouguereau n’ait pas rebondi sur l’inénarrable Tailhade évoqué par J. Drillon. Il pourrait bien être la réincarnation de ce sublime farceur. Tailhade aimait à villégiaturer en Bretagne, à Camaret surtout, ce qui ne l’empêchait pas de dépeindre les Bretons comme des bigots et des ivrognes. Il souleva une émeute en versant, depuis la fenêtre de son hôtel, son pot de chambre au passage d’une pieuse procession occupée, curé en tête, à bénir la mer et les bateaux.
Etonnant, ce silence de la campagne à Paris !
Doublé du plaisir d’une « première fois », comme au temps de l’enfance…
Alexia Neuhoff, vous mésestimez Bouguereau, incapable d’un geste aussi idiot.
merci renato,c’est succinct mais éclairant!
Mais tout à une fin !
Fédal le rêveur 13
« « …hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi !hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi ! hi !… »
Ce matin-là, Fédal fut réveillé par ses propres larmes.
En ouvrant les yeux, il constata cependant que ceux-ci demeuraient parfaitement secs.
N’était-il pas en train de pleurer d’abondance ?
Il fut surpris également de se retrouver couché dans sa chambre, redevenue pour l’heure, anodine et familière.
Maintenant, il percevait la rumeur de la rue à laquelle se mêlaient des bruits de vaisselle, en provenance de la cuisine. Sa mère ! ?
Aussitôt, il compris qu’il venait de rêver. Il s’était encore fait avoir. Une fois de plus, il avait cru que l’aventure rocambolesque qu’il vivait en songe était la réalité !
Mais ce coup-ci, plus que jamais ! Aussi, ce n’est pas sans un énorme soulagement qu’il renoua avec la vie terrestre. Lui qui, quelques secondes auparavant, avait pensé voir son cœur se briser de chagrin. Comme toujours, le cauchemar avait pris fin juste à temps. Il frissonna à l’idée qu’un jour il ne se réveillerait pas au pire moment de son rêve. Qu’adviendrait-il alors ?
Cette effrayante pensée fut instantanément balayée par une bonne odeur de chocolat fumant venue lui chatouiller les narines : 7h59.
Il n’y avait plus de temps à perdre.
Dans la cuisine, sa mère finissait de préparer son petit déjeuner. La première chose qu’il lui demanda fut : « Pourquoi ne m’as-tu pas appelé ? » Ce à quoi, avec un sourire énigmatique, elle répondit : « Parce qu’à dix ans, les petits garçons doivent apprendre à se lever tout seul. »
Puis lui tendant le paquet qu’elle tenait caché dans son dos, elle souhaita : « Bon anniversaire ! »
Sur la table, d’appétissantes brioches dorées remplaçaient les habituelles tartines beurrées.
A signaler l’excellente bio de Michelangelo Merisi, autrement connu, par Milo Manara, en 2 volumes. Le génie qui ( presque) toute sa vie n’aurait peint que pour se voir accorder une grâce, et pour finir, a accédé à celle plus divine.
une valise en croupe
tu parles quelle embaume et que tu la flattes et que tu l’empaumes..dire que bonne clopine pourrait dire ça par la puissance de l’esprit..en attendant hon peut fumer..comme amanda au régiment..c’est régine qui a porté l’pet dénota..elle disait même qu’amanda adorait les haricots ‘en ce temps là’
sur le blog du médecin Jean Baptiste Beaulieu
« il y a des cas où il faut mettre, pour un moment, un voile sur la liberté, comme l’on cache les statues des dieux. »
Montesquieu.
»
Il n’y avait plus de temps à perdre.
Dans la cuisine, sa mère finissait de préparer son petit déjeuner. La première chose qu’il lui demanda fut : « Pourquoi ne m’as-tu pas appelé ? » Ce à quoi, avec un sourire énigmatique, elle répondit : « Parce qu’à dix ans, les petits garçons doivent apprendre à se lever tout seul. »
»
c’est très beau, chapeau ! mais c’est dur ! parce que la réalité est souvent difficile, et ma foi c’est vrai qu’à partir de dix ans un enfant ça doit apprendre à se lever tout seul, et cela pendant au moins 80 ans, jusqu’à l’âge de 90 ans où l’on arrive plus à se lever tout seul, et ces 8 décennies où les êtres apprennent à se lever tout seul sont à la fois très longues, et aussi très coutes.
non, là vraiment chapeau !
sur le blog du médecin JBB
Alors voilà, il y a ce patient de 84 ans que j’ai connu il y a longtemps, je veux vous en parler comme s’il était avec nous là maintenant.
Il est veuf, mange seul, fait ses courses seul, réveillonne seul à Noël, bref bref bref c’est pas trop trop trop la joie, son dos lui fait mal, il marche un peu courbé. Ses interactions sociales sont assez limitées.
Parfois il envie son voisin de palier car « lui n’a pas bien pris soin de son cerveau alors il ne se souvient de rien. Moi j’ai pris soin de mes neurones alors je me souviens de tout ! ».
Il s’applique chaque jour à bien manger, bien entraîner ses souvenirs, mots fléchés, mots-mêlés, mots-croisés, et sudoku, huile de foie de morue.
Il a tout fait bien comme il faut pour préserver sa mémoire et ne rien oublier.
D’ailleurs, chaque fois que je le vois il me parle de ses parents, me décrit des scènes de son enfance comme si elles étaient survenues avant-hier, et il lui arrive de pleurer quand il parle de son père ou de sa mère « vous devez trouver cela bête que je les appelle encore papa et maman, à mon âge ! ».
« Parce qu’à dix ans, les petits garçons doivent apprendre à se lever tout seul. »
les mères sont souvent très dures de rappeler toujours ce genre de vérité ! parce que les femmes sont dures ! souvent ce sont les femmes qui assument le rappel de cette réalité à l’enfant, pendant que le père, de son côté, garde l’esprit enfant, et va, plutôt que de dire à son enfant « à dix ans il faut apprendre à te lever tout seul ! » venir se coucher auprès de lui pour regarder un épisode des Simpson ou faire une partie de Warcraft ou de Medal of Honor avec son gamin de 10 ans alors que ces jeux sont interdits aux jeunes de moins de 26 ans, et encore quand, avec son gamin de 10 ans, ils ne fument pas un joint ensemble en lisant un Palyboy ! pednant que la mère crie de la cuisine « allez !!! le déjeuner est prêt !!! » et que le père et son fiston sont obligés de se boire la moitié d’une bouteille de rhum pour faire passer l’odeur du shit !
Sam et David:une attente
Puis il ajoute : « Est-ce que tes fils sont tous là ? » Jessé répond : « Non, il y a encore David, le plus jeune. Il garde les moutons. » Samuel lui dit : « Envoie quelqu’un le chercher ! Nous ne commencerons pas le repas du sacrifice avant son arrivée. »
Aussitôt Jessé fait venir David. David a le teint clair, avec de beaux yeux et un beau visage. Alors le SEIGNEUR dit à Samuel : « C’est lui ! Verse de l’huile sur sa tête pour le faire roi ! »
Samuel prend l’huile et il la verse sur la tête de David devant ses frères. L’esprit du SEIGNEUR descend sur David et, à partir de ce jour-là, il ne le quitte plus. Ensuite Samuel part et il retourne à la ville de Rama.
Phil dit: à
Alexia Neuhoff, vous mésestimez Bouguereau, incapable d’un geste aussi idiot.
Vous êtes de parti pris. Il* a bien failli occire votre cher Barrès !
* Tailhade pas bouguereau
les mères sont souvent très dures de rappeler toujours ce genre de vérité ! parce que les femmes sont dures ! souvent ce sont les femmes qui assument le rappel de cette réalité à l’enfant, pendant que le père, de son côté, garde l’esprit enfant, et va, plutôt que de dire à son enfant « à dix ans il faut apprendre à te lever tout seul ! » venir se coucher auprès de lui pour regarder un épisode des Simpson ou faire une partie de Warcraft ou de Medal of Honor avec son gamin de 10 ans alors que ces jeux sont interdits aux jeunes de moins de 26 ans, et encore quand, avec son gamin de 10 ans, ils ne fument pas un joint ensemble en lisant un Palyboy ! pednant que la mère crie de la cuisine « allez !!! le déjeuner est prêt !!! » et que le père et son fiston sont obligés de se boire la moitié d’une bouteille de rhum pour faire passer l’odeur du shit !
et bien hamlet ne comptez pas sur moi pour vous féliciter.
Jacques Drillon
Je vous en prie.
Rose, pour faire écho à vos commentaires sur les mythes grecs, j’ai ouvert ce matin un essai que j’aime lire et relire : Les noces de Cadmos et Harmonie (traduit de l’italien par J-P. Manganaro et C.Dumoulin – Gallimard )- du Milanais Roberto Calasso, l’érudit écrivain passionné des mythes grecs, voix éminente de l’édition et de la vie intellectuelle italienne. Ses essais, d’une érudition éblouissante, se situent entre philosophie, science des religions, Histoire et roman.
Cet extrait sur le « mystère » éclaire certaines biographies livrées à l’innommable actuel…
« Du haut d’un rocher, Ariane regarde Phèdre sur sa balançoire. Elle attend, pensive. Ce sont de jeunes princesses à Cnossos, les filles de Minos et de Pasiphaé. Elles ont de nombreux frères et sœurs, et même un demi-frère, Astérios, à tête de taureau. Son père est le grand taureau blanc, aimé de Pasiphaé.
Astérios est enfermé dans un édifice bâti par un artiste athénien en fuite – dit-on – parce qu’il aurait tué quelqu’un. C’est une chose vraiment étrange, que cette construction couverte. Les princesses connaissaient déjà le labyrinthe, mais il était à découvert, livré au regard de tous : il s’agissait d’une esplanade pour la danse. Elles ne savaient pas, et personne ne le leur dirait, que lorsque les Crétois eurent commencé à avoir trop affaire avec les Grecs et que leur père Minos fut parti à l’assaut du continent, le moment était aussi venu de recouvrir tous les secrets, puis enfin, d’en avoir honte. L’Athénien Dédale bâtit en Crète un édifice qui cache, derrière la pierre, aussi bien le mystère (le tracé de la danse) que la honte (Astérios, le Minotaure). Depuis lors, et aujourd’hui encore, le mystère est aussi ce dont on a honte. »
Page 21 – chapitre 1.
Les Buttes-Chaumont https://www.instagram.com/p/B-eP-4iq5JW/?igshid=k8uajp6v748p
dites voir, J.Drillon, est-ce que cous comptez aussi les moutons?et aussi sous le lit?
JE vous préviens, je vais aussi durement retrouver l’histoire juive du rabbin qui se cachait sous le lit
de « son » rabbi qu’il observait ainsi:parce que moi, je suis aussi du genre lévite, et moi, c’est vrai, il n’y a qu’à demander à mon cousin boulanger qui doit être débordé avec ses matzot , en Alsace, à la préparation de Pessah si le corona ne l’en empêche pas;alors vous avez entendu rose? ET BIEN DITES VOUS que sur les moutons, j’en connais un rayon, parce que dans la famille toujours, demandez à mon cousin boulanger célèbre dit la toile, il y avait un shohet, un vrai
https://fr.wikipedia.org/wiki/Shehita
alors vos épluches légumes pour le huîtres, ça me fait sourire!
pour les huitres (billet précédent!)
précision:
L’acte est accompli par un shohet, spécialiste dûment autorisé et formé aux lois de la shehita. Il coupe, au moyen d’un couteau particulier,
et le deuxième h est guttural!
je l’ai retrouvée, l’histoire de l’homme sous le lit de son rabbin (KAHANA)dit l’histoire et lorsqu’il est découvert et qu’on lui dit « que fais-tu là? »il répond:que ça aussi, c’es torah!voilà le lien qui rapporte d’où est sortie la blague (pour P.Assouline bien sur)
https://books.google.fr/books?id=8ZaYCgAAQBAJ&pg=PT65&lpg=PT65&dq=cach%C3%A9+sous+le+lit+de+son+rabbin&source=bl&ots=3n1rUiTtZ8&sig=ACfU3U3QiL2MpH4B2spavbfTGtKQ94DgyQ&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwig5fa6oczoAhWU3oUKHR_BDckQ6AEwBHoECAsQLA#v=onepage&q=cach%C3%A9%20sous%20le%20lit%20de%20son%20rabbin&f=false
alors, P.Assouline, c’est de votre faute si je le dis:le dernier échaudoir où on abattait riruellement les bêtes, à la Villette, appartenait à ALEXANDRE LEVY? (mon parent,dont le fils,ROBERT? hérita de l’échaudoir où j’ai été souvent)
PAS de point d’interrogation après Robert;c’était ROBERT Nathan LEVY né à Paris rue Meynadier xix, chevillard(comme l’écrivain!) et président de sa corporation
Plein de déchets plastiques, insubmersibles, ce blog.
03 04 2020 à 15 h 03
Il est à noter que ce qui valu au Caravage sa tenue de chevalier de Saint Jean, est un hasard. En effet, passant dans une rue de La Valette il eut une intuition, en voyant le boucher d’un étal tenant un agneau. Il en a fait un tableau de la decollation.
je crois que la « danse » grecque est la fameuse danse de la grue
La grue et le labyrinthe [article]
sem-linkDetienne Marcel
Il* a bien failli occire votre cher Barrès !
certes, Alexia Neuhoff. Mais le coup du pot de chambre fait penser à une Clopine (dans ses mauvais jours).
Un éminent contributeur de ce prestigieux blog, pseudomisé Lazarillo, tranchait du chorizo la semaine Sainte en Espagne. un certain panache.
Beckett et sa tasse de corovina barrière :
avec son gamin de 10 ans, ils fumaient pas un joint ensemble en lisant un Playboy ! pendant que la mère crie de la cuisine « allez !!! le déjeuner est prêt !!! »
hé oui c’est la vérité, ça s’est bien passé au milieu des années 70 à Nashville dans l’état du Tennessee, le père s’appelait Williams et le gamin Matthew, vingt plus tard ce gamin est devenu un des plus grands tueur en série que les états unis ont connu, plus de 30 meurtres à son actif, que des femmes entre 18 et 25 ans, même type blonde genre ancienne pom pom girls de l’équipe universitaire, il leur coupait la paupière supérieure pour qu’elles ne puissent pas fermer les yeux et ne pas voir sa tête pendant qu’il les torturait !
on soulignera jamais assez l’importance de l’éducation.
excuses j’ai oublié le lien de la danse et la grue
https://www.persee.fr/doc/mefr_0223-5102_1983_num_95_2_1381
ne vous excusez pas et alii c’est pas très grave, je veux dans la situation actuelle il y a des choses plus graves qu’oublier un lien, d’autant que des liens vous en mettez beaucoup, du coup un de plus ou de moins, cela relativise pas mal les choses, surtout dans les circonstances actuelles…
excuses acceptées !!!
Beckett et sa tasse de corovina barrière
baroz il en a une comme ça mais sans fond
Il y en a peut-être qui se rappelle l’obsession de Delaporte sur la suppression du travail. On peut voir ce que cela donne.
et alii cela dit je ne veux pas minimiser l’importance que cet oubli pouvait avoir à vos yeux, c’est juste pour vous éviter le poids de cette culpabilité de cet oubli que je me suis permis de dire ça, sinon je comprends, je veux dire je mets à votre place et je comprends, ce n’est pas vraiment de l’empathie, ce mot serait trop fort pour désigner ce processus par lequel j’ai essayé de me mettre à votre place et comprendre ce que cet oubli pouvair représenter pour vous, non empathie c’est un mot bien trop fort, il faudrait en trouver un autre moeyn fort mais comme ça il ne revient pas, je l’avais à l’esprit quand j’ai commencé ce commentaire et là hop je l’oublie et je m’excuse de cet oubli !
j’espère que vous accepterez ces excuses sans toutefois vous mettre à ma place et faire preuve d’empathie vis à vis de moi et de la situation dans laquelle je me trouve plongé du fait de cet oubli, non je ne vous demande pas de l’empathie, je pense qu’il faudrait quelque chose désigné par un mot moins fort qu’empathie, si des fois vous avez une idée vous pouvez me la dire !!!
Delaporte manque beaucoup énormément. Surtout en ce moment.
figurez-vous hamlet que j’au ce matin unarticle sur SHAKESPEARE encore où était analysée la réécriture-ce que je ne me résouds pas à faire quand il y a un riche lien d’un-e spécialiste comme Détienne en mythes grecs; (je vous communiquerai ultérieurement ce pdf shakespeare dont le plus intéressant est l’élaboration de « l’amour haine »;
bonne journée
tranchait du chorizo la semaine Sainte en Espagne
..l’afenchézado dpédro y tartine du paté dfoi..saucissonner l’jésus au couteau à huitre c’est dvenu trop dur qu’il dit
voilà,hamlet, l’article que je n’oublie pas:
La Haine
de Shakespeare
Élisabeth Angel-Perez & François Lecercle (dir.)
et alii dit: à
excuses j’ai oublié le lien de la danse et la grue
Une corde à se rompre!
tèrezoune sans dlalourde elle se sent comme une tête de pioche sans manche..
Sasseur !!!!!!!!!!!!!!!!
oui moi aussi il me manque Delaporte et sa copine allemande dont j’oublie le nom et aussi son catholicisme.
non ce qu’il nous faudrait c’est pas Delaporte c’est carrément un prêtre, pour confesser nos péchés avant qu’il ne soit trop tard, ainsi nous entrerons dans le Royaume de Dieu l’esprit libéré du fardeau de cette culpabilité, et ainsi nous revivrons auprès du Seigneur pour l’éternité… Jesus i don’t wanna die alone, my love wasn’t true, now all I have is you, if you hear my last breath, don’t leave me here left to die a lonely death, i know I have sinned but Lord I’m suffering…
hamlet, je crois qu’il n’est pas insignifiant de citer avec précision les sources de ses « réflexions » ,ou « savoirs » et « critiques » ,quand elles sont vérifiables, sur un blog où l’on traite les gens de « menteurs-euses » et autres délicatesses pour susciter ou non un sorte de débat, même si je ne nie pas que les goûts et les couleurs :tenez, moi, je n’aime pas la confiture d’oranges , et je n’en mange jamais mais j’aime les oranges ,et en salade avec de l’eau de fleur d’oranger:question de goût!
et alii, connaissez-vous Agostino Pirella :
Mahalia Jackson – Amazing Grace
https://www.youtube.com/watch?v=ZJg5Op5W7yw
renato, je ne connais pas du tout ;mais j’ai trouvé le bouton traduire! alors je peux découvrir, merci!
d’ailleurs on ne dit pas confiture d’orange mais marmelade!
Et toi ducon, sans l’original ad patres, tu ressembles toujours au plus marteau de la secte.
Gallimard littérature c’est vraiment devenu de la merde en bâton.
L’ouverture de leur site avec la Slimani en gros plan me donne envie de gerber.
je ne me résous pas sans d
g. « Effacer le texte source, c’est tuer symboliquement le père – biologique
ou littéraire – »
shakespeare , la haine ouvrage mentionné
test
next ?
et alii, oui je comprends bien le problème, en fait les autres filles de la classe elles sont bien copines entre elles et vous, vous vous retrouvée toute seule à l’écart, dans la cour elles jouent ensemble à la marelle et à la balle au prisonnier, et quand vous approchez elles font comme si elles vous connaissez pas, elles échangent leur recette de cuisine et quand vous voulez leur donner la vôtre elles font elles qui vous ignorent etc etc etc…
et alii je crois qu’il ne faut pas prendre le problème sous le plus mauvais angle, après tout ce sont pas les choses en elles-mêmes qui sont bonnes ou mauvaises, mais ce n’est que le regard que vous portez sur elles qui les font devenir pour vous bonnes ou mauvaises, si vous avez des idées noires qui vous viennent il faut les chasser de votre esprit ! vous croyez en Dieu ? si vous croyez je ne pourrais vous aider parce que je n’y crois pas mais je pense que c’est quand même bien d’y croire, l’astrologie vous y croyez ? ça aussi j’y crois pas mais ça peut aider, parmi les autres croyances et autres superstitions qui peuvent vous venir en aide il y a aussi la réflexologie plantaire, la phytothérapie et la psychanalyse, sinon lisez Michel Onfray et Comte Sponville, et si vous ne parlez pas allemand regardez la série tv l’inspecteur Derrick en vo, l’allemand est une langue très reposante.
et puis qu’importe ! la méchanceté c’est dans la nature humaine, faut vous y faire !!!
et quand vous approchez elles font comme si elles vous connaissez pas, elles échangent leur recette de cuisine et quand vous voulez leur donner la vôtre elles font elles qui vous ignorent etc etc etc…
inexact, mais je n’ai pas eu besoin d’elles pour déposer un brevet d’invention à l’inpi,(et pièces exposées dans un musée très officiel)ceci dit entre vous et moi;je sais me divertir sans grues !
donnez leur tout ce que vous voulez, votre coeur si c’est votre question, je vous remercie de votre attention à essayer de « me » « comprendre », et de me dispenser vos conseils, mais je ne suis pas prisonnière de gens qui ne distinguent pas la « merde en bâton » et la « merde en branche »
renato a plus d’une fois dit qu’il se foutait deces simagrées « nerdéliennes »
Michel Onfray et Comte Sponville,
ça c’est leur fonds de commerce? même Dagognet pour ces marmitons est loin d’être aussi faiseur et plat -il est vrai qu’on connaît ses maîtres et qu’il est médecin professionnel-je l’ai entendu au moins une fois à Angers-que leur pseudo cacopoétique
Mais non, et alii, on veut bien connaître votre secret pour confectionner la meilleure mousse au chocolat !
coulisse sans rapport avec coulis:
Gnougnougnougnou, c’edt pas ma copine
Que ratez-vous et alii ?
un brevet à l’inpi pour la mousse au chocolat ? ai dû manquer un wagon
de l’empathie, je pense qu’il faudrait quelque chose désigné par un mot moins fort qu’empathie, si des fois vous avez une idée vous pouvez me la dire !!!
Solidarité ?
Soutien ?
Compréhension ?
alors Gaga bouguereau, t’essaies toujours de survivre sans te répéter de trop, t’es au bout de ton rouleau, ouf oufouf bientôt la quille avec goering ?
Sur le prestigieux blog littéraire.
Au pied d’un article sur Becket, on échange des recettes de mousse au chocolat.
@ Rose : bienveillance. ça va ?
@ Rose
je crois savoir qu’il y a un mot pour ça :CARE
ce n’est pas français mais il paraît que c’est entré dans la langue
Soit si c’est bien le sens ;sinon je suis à côté de la plaque
phil, je ne m’intéresse pas aux prouesses culinaires des nerdélien-nes sauf par « politesse » ,je suggère à rose de trouver des concepts dans des lectures et chez des auteurs confirmés :en voici un MALDINEY QUE NUL n’a jamais évoqué ici
« . Ce qu’est l’œuvre, même l’artiste « n’en sait rien avant d’être surpris par elle » assurait-t-il aussi, récusant la notion d’intentionnalité dans un autre ouvrage important sur sa réflexion esthétique : Ouvrir le rien, l’art nu, (Encre marine, 2000).
Toute l’œuvre d’Henri Maldiney est le fruit de dialogues intenses, notamment avec ses amis proches les peintres Pierre Tal Coat et Jean Bazaine, les poètes Francis Ponge et André du Bouchet, les psychiatres Jean Oury et Jacques Schotte… « Au centre de la pensée de Maldiney, explique Jean-Louis Chrétien, est le sentir ». Non pour opposer le sensible à l’intelligible, mais pour placer au premier plan la notion d’ouverture de l’individu au monde, à travers une « crise » originelle tenant à la fois du saisissement et de l’épreuve. »sur le monde
sur MALDINEY,encore pour rose (et les autres ?)
Pierre Mathey, aujourd’hui président de l’Association internationale Henri Maldiney (AIHM) et qui a été son étudiant se souvient qu’il conviait ses élèves, en accord avec le psychiatre Paul Balvet, à venir se confronter à la réalité de la maladie mentale dans l’établissement de soins que dirigeait ce dernier. « Il parlait avec les psychiatres, mais aussi avec les malades et les infirmiers, et développait une vision ouverte sur la personne du malade ». De ces échanges est issu un de ses ouvrages majeurs : Penser l’homme et la folie (Millon, 1993).
Les actes des colloques qui se sont tenus en 2012 à l’occasion du centenaire d’Henri Maldiney sont en voie de parution.
wiki précise son « parcours »
. Il est nommé professeur de philosophie au lycée de Briançon1, puis prisonnier en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale. À son retour de captivité, il est nommé d’abord à l’Institut des hautes études de Gand, puis à l’université de Lyon où il enseigne la psychologie, la philosophie générale et l’esthétique3. Il meurt en 20134.
Sans antipathie ou sympathie, l’empathie est une disposition d’esprit plutôt neutre, que chacun devrait avoir pour tous. Pourquoi serait-ce trop fort envers et alii, hamlet ?
Sinon, bienveillance ou commisération, pas compassion trop connoté…
je sais que la RDL SE considère comme la référence philosophique, psychologique, épistémologique, esthétique mais le précise pour Maldiney:
Indifférent à toute notion de carrière, Henri Maldiney n’obtient le titre de professeur que tardivement, dans les années 1970, après avoir soutenu, devant un jury qui comprenait notamment Emmanuel Levinas et Paul Ricœur, sa thèse dont il devait tirer le livre Aîtres de la langue et demeures de la pensée (L’Âge d’Homme, 1975 ; rééd. Cerf 2012).
@et alii
j’apprécie cette « politesse » avec laquelle vous vous êtes adressée àa nous autres bobonnes claquemurées au choses du ménage .
la politesse étant la gestion de l’indifférence j’imagine que la hargne qui vous animait naguère à mo encontre a disparu .merci je m’en réjouis
philomag
Paul Bloom : “Les racistes sont en général des gens très empathiques”
Mis en ligne le 27/11/2019
Le psychologue américain Paul Bloom livre ici cinq arguments choc à l’appui de sa thèse développée dans un essai polémique et inédit en France, Contre l’empathie.
au reste gardez vos affects
de commis errants
n’espérez rien de moi, les cuisinières;
on disait autrefois j’ai donné!
« au lycée de Briançon »
Même mes livres épuisés font gagner de l’argent à d’autres que moi !
https://assets.edenlivres.fr/medias/3d/605a6b75a99ae880054c67800618e654a9292d.pdf
« Empathie », voilà un mot dans l’air du temps. Au point que l’on en oublie sa véritable signification, qui recoupe pourtant une vieille question : « Qu’est-ce que l’autre éprouve, que croit-il, que désire-t-il, que pense-t-il ? » Avec son Histoire de l’empathie très documentée, le psychiatre et psychanalyste Jacques Hochmann a le mérite d’offrir « une clarification du concept, dont il faut suivre […] le sinueux parcours ». Des premières occurrences de la sympathy chez David Hume et Adam Smith, en passant par l’Einfühlung freudien, la phénoménologie, puis par les sciences humaines, le pari de Hochmann est tenu. Ce « geste vers l’autre pour connaître, comprendre ou expliquer son comportement » se révèle dans toute sa richesse et sa complexité : une passerelle entre des disciplines (philosophie, sociologie, neurobiologie et psychanalyse) qui, sans l’empathie, s’ignoreraient superbement.
philomag
sur slate
L’empathie ne suffit pas à faire de vous quelqu’un de bien
Vanessa Oltra et Grégory Michel — 2 février 2020 à 10h51
Devenue concept-valise, souvent synonyme de moralité, l’empathie est présentée comme la condition nécessaire et suffisante à l’altruisme et à l’harmonie sociale.
Merci, Et Alii,
passionnante cette méditation de Marcel Détienne sur le labyrinthe, le minotaure, Minos, Dédale et la danse de la grue.
Sa pensée très rationnelle nous conduit au plus près de ses déductions. Un helléniste prodigieux.
Il me fait découvrir une évidence qui ne l’était pas pour moi : le labyrinthe est le chemin le plus long dans l’espace le plus petit.
A le lire, je comprends que la vision de Sophocle est la seule qui convient à l’évasion de Dédale et de son neveu Icare : Le labyrinthe devait être à ciel ouvert, sans toit ni plafond, pour qu’ils puissent s’envoler.
Quant à la danse de la grue, qui joint la fin et le commencement en une longue file de filles et de garçons se tenant par la main depuis l’entrée jusqu’à la sortie du labyrinthe, il l’agrémente d’un exposé passionnant sur le vol migratoire si particulier des grues.
Il fait du labyrinthe un espace où on ne peut que se perdre sans la ruse et l’intelligence.
Je découvre comment le roi de Crète piège Dédale en fuite par la résolution d’une énigme à laquelle le prodigieux inventeur ne pourra résister : le fil qui doit traverser le bigorneau. (et l’utilisation de la fourmi…
Des escaliers, des pièces en colimaçon, aussi…
Friedrich Dürrenmatt avait imaginé un trouble supplémentaire pour se perdre en ce lieu : le tapisser de miroirs.
Tous ces penseurs nous occupent l’esprit par l’alternance d’énigmes et de résolutions d’énigmes qui deviennent nouvelles énigmes, faisant des mythes « un éventail aux plis nombreux ». « En chacune de ces histoires divergentes, les autres se reflètent, elles nous effleurent comme les lambeaux de la même étoffe provoquant un repli de l’humain sur lui-même », ajoute Roberto Calasso dans l’essai précédemment cité. Ainsi Le Sphinx et Œdipe. L’énigme du Sphinx fut résolue par Œdipe, qui devint lui-même une énigme encore plus difficile. Après la réponse d’Œdipe, le Sphinx se précipita dans un abîme.
Une de vos qualités, Et Alii, ressemble à cela : vos réponses deviennent des énigmes encore plus difficiles que l’énigme proposée.
Merci.
ar extension, être empathique, c’est comprendre et éprouver l’émotion que l’autre ressent dans une situation donnée. L’empathie semble donc être une aptitude indispensable aux interactions sociales, à la coopération et à l’altruisme.
Des recherches récentes montrent qu’elle est associée à certains corrélats biologiques, voire génétiques, mais également liée à nos expériences de vie et à nos apprentissages dans un contexte affectif et éducatif, essentiellement lors de la petite enfance.
L’empathie est à la fois une conscience des états internes d’autrui (pensées, sentiments, intentions) et une réponse affective à autrui (ressenti et expressivité émotionnelle). Aussi l’empathie se décline-t-elle souvent en deux types: l’empathie cognitive et l’empathie émotionnelle/affective.
L’empathie cognitive désigne la capacité à comprendre les pensées et les intentions d’autrui, alors que l’empathie émotionnelle correspond à la capacité à ressentir les états affectifs d’autrui.
Care n’est pas français, rose.
https://www.bing.com/search?q=care%20traduction&FORM=ATUR01&PC=ATUR&PTAG=ATUR03RAND
Justin Crétin est toujours en prise sur le blog de Lucienne, il n’arrive pas à en sortir hi hi hi, quant au Gaga il a les chocottes d’y aller hé hé hé
gardez vos remerciements,erdélien-ne-s;
je sais que vous savez tout, avez tout compris, que vous voulez des complimentsetc;je ne retrouve pas le nom d’un philosophe dont la conférence à la cité des sciences sur l’empathie m’impressionna -et d’autres que moi:il répondit à une question d’une jeune femme dans la salle qui avait laissé ses collègues bouche bée;lui avait vraiment compris;
c’était un lévinassien(je n’avais pas internet alors,j’ai cherché,merci, j’ai pas besoin de votre secours de calculateurs effrénés pour soigner leur image de soi et leur vrai moi
L’empathie, qui a également à voir avec l’imagination, est nécessaire aux romanciers. C’est ainsi que Flaubert put dire que madame Bovary c’était lui…
Que dire de cette chape de silence qui s’est abattue sur le monde ?
« je sais que vous savez tout, avez tout compris, que vous voulez des compliments »
Là on voit bien que et alii souffre d’infirmité en matière d’empathie : elle se met à la place des autres en leur prêtant les plus mauvais sentiments !
Et alii devrait écrire des romans noirs !
un article sur LIB2 SUR SANDRA LAUGIER,spécialiste du care sur quoi elle a fait travaillé ses étudiant-e-s (j’en ai connu-e-s) elle a publié, eu des articles;c’est la traductrice du philosophe du cinéma S Cavell (très connu)
En révélant notre vulnérabilité radicale, la crise sanitaire montre aussi la méconnaissance par la société de ce qui la fait vivre, au quotidien ou dans l’urgence du risque de la mort. Le soin porté aux autres est un travail qui fait tenir le monde, notamment celui des «privilégiés».
https://www.liberation.fr/debats/2020/04/02/guerre-au-care_1783982
et basta! (P.Assouline)
non, le cinocheman ,je rapporte ce qu’ils ont écritdans leur satisfacvtion d’eux-mêmes sans limite
a fait travailler (etc )
Donner des leçons d’empathie sans se rendre compte que « la morale de cette histoire n’est pas gastronomique, on s’en doute… » est des plus ironique https://www.actualitte.com/article/monde-edition/chocolat-for-ever-philosophie-culinaire-avec-roger-pol-droit/40508
Christiane et et alii
Je vais relire tout cela du début de.ce matin.
Hé et alii si vous nous donniez votre recette de mousse au choolat avec grand marnier ou sans ?
vous n’avez jamais cité Cavell qui s’est intéressé au langage(je l’ai entendu)vous dénigrez les lieux d’étude avec des spécialistes , il n’y a que vous , votre chinois-mon dieu, oh my god!-vos oies , votre milieu allez -y faites en un roman, un film en unissant vos forces,et renoncez à conseiller les gens qui ne vous demandent pas vos arts de déménager
DHH
Care c’est prendre soin de.
Empathie c’est de l’ordre de l’écoute bienveillante, non ?
Bonjour, M.Court,
dans l’essai de Roberto Calasso que je relis Les noces de Cadmos et Harmonie, il y a une page où Lucien de Samosate est évoqué. J’ai pensé à votre remarque rapprochant son humour de celui de Friedrich Dürrenmatt pour La mort de la Pythie.
R.Calasso évoque son œuvre pour avancer l’idée suivante : « Plus que par les chrétiens, le paganisme se laissa détruire par lui-même. aucune des imprécations empoisonnées des Pères de l’Église n’a la force destructrice de cette œuvre, Alexandre le faux prophète, écrite par un païen parfait. […] Devons-nous croire Lucien, homme moqueur à l’égard de tout, qui vit en Alexandre d’Aboni-Tichos une répétition maligne, une ombre ignominieuse de l’autre Alexandre, le premier des empereurs d’Occident ?
D’Alexandre d’Aboni-Tichos nous ne saurons jamais s’il était le sordide escroc dont parle Lucien ou un initié qui, dans une époque de décadence, mettait en scène l’origine.
Dans la solitude des origines, les évènements divins se déroulaient sur une scène solitaire. »
Qu’en pensez-vous ?
Puis il évoque les métamorphoses de ces personnages de la mythologie et suppose que les dieux ont accepté de se glisser en eux. « Un cortège, qui se présente tantôt comme une meute meurtrière, tantôt comme un corps de ballet, tantôt comme un troupeau de bêtes. »
Dieux ? daimones ? êtres humains ?
Je n’en finis pas d’explorer ces mythes. Et Alii a mis un lien très intéressant de l’helléniste Marcel Detienne : « La grue et le labyrinthe ».
non, je ne donne aucune leçon d’empathie et les philosophes qui en parlent, l’étudient n’en font pas des prêches; ils analysent des « contextes », des » » oeuvres » et ne traitent pas de menteurs leurs « étudiant-e-s » ,ni leurs « collègues »(question épineuse)qu’ils évoquent;et ne le rebaptisent pas de sobriquets;
quand on sait déjà cuisiner, on ne demande pas à quelqu’un une variante de recette classique dans une ère culturelle;
et cette demande incessante de « cadeau » aussitôt dénigré! j’en ai marre de vos parlures « familiales »avec moi;
Le concept de comunity care serait une orientation typique idéale des politiques sociales modernes, désormais considéré comme un concept directeur pris pour acquis dans tous les États occidentaux, quelle que soit la couleur politique du gouvernement en charge, social-démocrate (étatiste), libéral ou « troisième voie ». Ce principe suggère de procéder à l’organisation de mesures de soins en faveur des catégories sociales plus faibles (en particulier les personnes âgées qui ne sont pas autosuffisantes, les handicapés physiques, les personnes ayant des difficultés d’apprentissage et une gêne mentale), en donnant la priorité au besoin fondamental de ces personnes à pouvoir vivre dans les limites et la culture de la communauté locale. L’hypothèse de valeur de cette politique est qu’il est préférable que les personnes aidées reçoivent de l’aide en continuant à mener leur vie dans le lieu où elles ont toujours vécu plutôt que d’être internées dans des macro-institutions résidentielles, spécifiquement conçues pour produire de manière rationnelle et normalisé l’assistance ou les soins thérapeutiques nécessaires.
Comment la notion d’empathie est devenue de la branlette pour bien pensant http://www.slate.fr/story/186905/philosophie-empathie-altruisme-egocentrisme-sentiments-moralite-sympathie-adam-smith-spectateur-impartial
nicolas,n’oubliez pas la métaphore du menu, en langue d’internet, même s’il y en a qui l’oublient
d’autres aussi, comme « le mur », mais je suis très ignorante en ce langage de « barres », »boutons » dont les humoristes font leur miel
comment va saga?ça doit lui friser les moustaches?
Rose…
L’empathie ne se résume pas à de l’écoute bienveillante.
La compassion, différente de l’empathie… aussi.
Définition:
C’est ressentir le monde intérieur de la personne soignée avec la signification qu’il a pour lui.
Le ressentir comme si c’était son monde à soi sans jamais perdre la qualité du « comme si « , ce qui demande de comprendre son cadre de référencer et d’en déduire les composants émotionnels et les significations qui s’y rattachent
Attitudes de Porter* à propos de l’empathie
4 niveaux d’empathie
1. Réponse ne montrant aucune compréhension des émotions exprimées; commentaires hors de propos, jugements, conseils, commentaires blessants ou exprimant le rejet.
2. Réponse faisant preuve d’une compréhension partielle des émotions de surface.
3. Émottions de surface reflétées avec justesse. Réponse exprimant la compréhension et l’acceptation des émotions exprimées.
4. Réponse faisant preuve d’une compréhension plus profonde que le niveau de conscience immédiate; émotions sous-jacentes reflétées avec justesse.
Pour des précisions, mais bon…
C’est le moment d’approfondir, on en a le temps…
CE PHILOSOPHE QUI M impressionna est J.M.Salanskis;il est également agrégé de maths; n’hésitez pas à aller l’écouter ou le lire
wiki dit
Son Vivre avec les mathématiques de 2009 présente la question des mathématiques sous un angle autobiographique et de manière plus largement accessible. Signalons enfin, dans le registre épistémologique, son ouvrage Herméneutique et cognition, paru en 2003, qui traite des sciences cognitives contemporaines, et l’ouvrage L’humain impensé de 2016, co-écrit avec Albert Piette, qui réfléchit sur les sciences humaines.
et alii, qu’estce qui doit lui friser les moustaches? j’ai pas compris
hamlet, jevous recommande Salanskis directeur de programme
Entretien avec Jean-Michel Salanskis
Propos recueillis par Olivier Picavet
Dans Le Philosophoire 2003/2 (n° 20), pages 21 à 39
https://www.cairn.info/revue-le-philosophoire-2003-2-page-21.htm
nicolas, je pensais à ces comédies de chocolat empathique qui me hérissent le poil;oh que je rechercheris bien à son côté quels ronrons!est ce qu’l se suce les pattes (bruyamment!)mon premier chat qui était très gourmand-il mangeait des guimauves avec moi-les suçait avec une énergie !etles passe-t-il derrière ses oreilles ? VOILA A QUOI JE CROIS , puisqu’on me le demande
ha que si t’as le neurone miroir tu pourra m’empater au gras djambon et que ouais tu sras djoni même jean marron
Chantal L dit: à
Rose…
L’empathie ne se résume pas à de l’écoute bienveillante.
La compassion, différente de l’empathie… aussi.
Bien plus complexe que ce que j’envisageais.
Comment la notion d’empathie est devenue de la branlette pour bien pensant
on hencule pour bien moins qu’ça..et c’est meilleur au finiche..le monde il est bien fait qu’elle dirait bonne clopine
Rose !!!!! vous voulez connaitre la suite de l’histoire entre William et son fils Matthew ?
savoir pourquoi ce gamin est devenu un tortionnaire et pourquoi il découpait au scalpel les paupières de ces jeunes filles ?
vous voulez savoir ce qui dans l’éducation paternel peut pousser un gamin à devenir un monstre de ce calibre ?
le père voulait que son fils devienne un vrai homme, du coup il faisait lire des journaux pour voir comment son fils réagissait, après il l’a emmené dans les endroits les plus sordides, payaient des femmes pour qu’elles couchent avec lui, assister pour s’assurer qu’il bandait, et comme il n’arrivait jamais à bander son père se foutait de lui, et les femmes aussi se moquaient de lui, ils se marraient, comme quoi c’était pas un vrai mec ! ces humiliations ont duré des années ! et vingt après ce type découpent les paupières des filles qu’il viole pour qu’elles puissent le voir ! les victimes deviennent souvent des criminels pour chasser le souvenir des crimes dont ils ont été victimes.
sinon pour l’empathie un mot moins pompeux et plus sympathique c’est la sympathie !
ce qu’on demande aux gens ce n’est ps de l’empathie mais au moins juste faire preuve de sympathie, c’est Hume qui le dit.
Toi pour enculer les mouches t espert le boug, c’est bien dommage que l’enculage soit à connotation si négative alors que ce devrait être rangé au rang d’art noble
Chocolat emphatique qui ne hérisse pas le poil…
C’est chouette…
Saga est des plus banal et alii, le seul truc qu’il suce c’est la sauce/gelé autour de la pattée pour chat
:en voici un MALDINEY QUE NUL n’a jamais évoqué ici
Mais quel menteuse cette liseuse de philogag!
Là on voit bien que et alii souffre d’infirmité en matière d’empathie : elle se met à la place des autres en leur prêtant les plus mauvais sentiments !
a que y faut sinon le bon roquénerol il est mauvais et on est pas un artiss havec des affres..cachés..ou halors faut haller sles faire henlver
Apparemment, c’est Lucien qui a créé la figure de Philippidès, le soldat grec qui a couru à Athènes après la bataille de Marathon sans s’arrêter pour annoncer « Nenikekamen! », et est mort immédiatement après. Il semble qu’en réalité Philippidès était un ancien messager grec non lié à la bataille de Marathon (Hérodote, Histoires, VI, 105-106) ; tandis que le soldat décédé après l’annonce semble serait, selon Plutarque, Euclès ou, selon Héraclide du Pont, Thersippe d’Erée. Les historiens contemporains de la bataille (Hérodote en premier lieu) ne font aucune référence à cet événement. Pierre de Coubertin s’est inspiré au mythe de Philippidès version Lucien pour la création du marathon moderne.
Soleil vert dit: à
La photo est celle de Robert Silverberg.
Permettez moi une pointe d’humour noir : on entrepose des cadavres à Rungis … voilà qui actualise mon pseudo.
Je laisse l’utopie aux jeunes.
Alors Soleil vert, vous y avez droit.
De la même manière que vous, avais noté les anciens abattoirs de Marseille dans le XVème arrondissement à Bernabo, nommés très judicieusement « L’Ecole de la seconde chance ». Les gamins à la boucherie, et personne ne tique.
devrait être rangé au rang d’art noble
quand tu veux le gros tarin à béquette dans lfion en guise de préliminaire t’abandonnes tout cgenre d’espoir..dante y’était pas que con qu’elle dirait bonne clopine
Suis étonné que ni passoul ni CT n’aient signalé la disparation de Jean-Claude Chamboredon, 83 ans, un sociologue remarquable qui ne produisit pas beaucoup, mais fut un formateur hors pair. (En revanche, pour les 4e couteaux, genre Chodkiewicz, bof, un touite RDL)…
Tous les étudiants de ma géné ont planché sur LE METIER DE SOCIOLOGUE de JCB, Bourdieu et Passeron, encore très en vogue dans les années septante.
Seul l’honnête Jean-Louis Fabiani a su lui rendre un bel hommage. Mais pas Bruno Latour, d’une tout autre tradition intellectuelle… Normal. Faut dire que le Chamboredon n’y était pas allé de main morte avec Latour l’anti-durkheimien, accusé de ‘lexicorrhée’ (Latour Maubourg. Latour nous bourre. De mots…) Sans parler des « jactants » pour évoquer les « actants ». L’était un poil caustique, ce gars-là !… Il nous reste J.-C. Passeron (le néo-wéberien).
Et après Latour, il n’y aura plus grand chose d’intéressant en dehors de Randall Collins, mais ça se passera pas chez nous.
Un semble de trop !
L’enfant fait monstre par ses parents c’est un classique de Matheson http://pedagogie.ac-limoges.fr/lettres/IMG/pdf/4e_lecture_Journal_d_un_monstre.pdf
La dystopie c’est la vie, la SF ne fait que grossir le trait pour la catharsis sans doute.
Il est très étonnant, autre temps autres moeurs sur la rdl, que personne n’ait souligné que le préfet de police de paris portait aujourd’hui un couvre-chef , qui ressemblait à celui d’un herr commandant de la gestapo.
DONC QUI A CITE Maldiney précédemment?
hamlet dit: à
Rose !!!!! vous voulez connaitre la suite de l’histoire entre William et son fils Matthew ?
savoir pourquoi ce gamin est devenu un tortionnaire et pourquoi il découpait au scalpel les paupières de ces jeunes filles ?
vous voulez savoir ce qui dans l’éducation paternel peut pousser un gamin à devenir un monstre de ce calibre ?
non ; mais je crois bien que je le sais quand même. Ce que vous dites revient à accepter la loi du talion. Non.
Le préfet s’appelle Lallement ce qui a suffit à le disqualifier d’entrée de jeu.
PHILOMAG EST UN MAGAZINE honnête toutes choses étant considérées
Récite tes prières mon petit, n’oublie pas de citer tout le monde, bien bordé dans ton lit, bien au chaud tu es à l’abri du péché jusqu’à ce que le marchand de sable arrive :
Ironie violente de l’histoire du covid le ppp s’appelle l’allemand.
sinon pour l’empathie un mot moins pompeux et plus sympathique c’est la sympathie !
surtout pas souvenir encore vibrant de la conférence de Salanskis pour bien les différencier!
renato dit: à
Incidemment, le David de Michel-Ange souffrirait de phlébite — le poids porté par les tibias.
Je suis surprise : je croyais la phlébie liée à la circulation sanguine ert au caillot dangereux qui stoppe la circulation vers le coeur.
Rose, non pas la loi du talion, c’est juste que quand un type a été victime de sévices quand il était gamin il peut arriver un moment où il va prendre le rôle du bourreau et faire subir à d’autres innocents, comme il l’était lui-même, les tourments qu’il a connus.
ce n’est pas la loi du talion c’est juste une histoire de patate chaude.
et puis c’est toujours une manière d’exprimer ce besoin de reconnaissance, le type découpait les paupières des filles pour être vu par elles.
les artistes comme Jazzi sont les plus privilégiés parce que leur art leur permet d’exprimer autrement ce besoin de reconnaissance de l’autre.
d’autre veulent devenir président de la République, d’autres milliardaires, l’homme le plus puissant du monde avec plien de bombes atomiques, chacun écrase l’autre, lui monte sur la tête pour qu’on le voirt de loin, le système médiatique a amplifié ce phénomène par mille ! je relisais l’histoire de Monica Lewinsky c’est incroyable ce désir chez elle de passer à la télé pour raconter son histoire !
tout ça c’est un truc de maternelle !
et aussi un truc maternelle parce que le premier regard qui est porter sur une personne est celui de la mère, c’est un regard doux et bienveillant, le bébé babille et la mère est en admiration, il commence à marcher et vlan la mère admire et admire et admire.
et cette admiration devient comme une drogue !
vous comprenez comment ça fonctionne Rose ce désir de reconnaissance ? c’est un truc hyper tordu qui est à l’origine de tous les maux de la terre depuis l’origine des temps !
c’est tout la faute aux mères !
« ce qu’on demande aux gens ce n’est ps de l’empathie mais au moins juste faire preuve de sympathie »
Là, tu en demandes trop, hamlet !
Impensable ici…
Pour saluer.
désolé : et aussi un truc materneL parce que le premier regard porté sur une personne est celui de la mère, un regard doux et bienveillant,
ce que Gary appelle « la promesse de l’aube ».
Jazzi !!!!!
Gary a dit un truc marrant, en réponse à un journaliste, il lui a dit qu’il aimait tellement la vie que sa seule vie ne lui suffisait pas, du coup il se sentait obligé de créer de nouvelles vies chez ses personnages pour nourrir ce bsoin de vivre.
c’est beau non ? ça m’a rappelé ce que disait Pessoa : pour l’art la seule vie ne suffit pas.
Le mot « tibias » aurait dû vous mettre la pouce à l’oreille, rose. On parle de phlébite chez le David pour rire d’une réalité : ses jambes sont fragilisée par le poids de l’ensemble. Il y a des papiers à ce propos.
Un link, rose :
https://hyperallergic.com/124269/michelangelos-david-statue-growing-frail/
« aurait dû vous mettre la pouce à l’oreille, rose. »
N’oubliez pas de mettre un gant en plastique, renato !
Dans les coulisses de l’enquête biographique.
Pour Beckett, après avoir lu » lire un extrait ici » on dirait que ça se resume en une suite de rendez-vous clandestins entre une psychanalyste et son client.
Ach, la Bair était armée, « j’ai les moyens de vous faire parler ».
C’est de la bio, ça, Passou ?
Faudrait quand même voir à labelliser le truc.
Oups ! PUCE
elle se met à la place des autres en leur prêtant les plus mauvais sentiments !
je ne prête rienà des escrocs qui essaient de se faire passer pour fin psychologues;ce sont des erdéliens eux-mêmes qui ont partagé entre eux leurs affects très négatifs à mon égard et se sont interrogés « tout haut »sur leurs affects!l’ont écrit ;j’en ai à ce stade pris acte!
il y en a eu pour avoir oublié que dès le début, ils-elles avaient « exprimé ce qu’elles « attendaient » de moi(et même de mon fils!qui a une vie suffisamment pleine pour n’avoir rien à faire des nerdéliens bottomerdéliens
« j’ai les moyens de vous faire parler »
Elle parlait de ses appâts, MS !
Je n’ai pas le Calasso sous la main, Christiane, mais je pense que la chose est plus complexe. Pb de Lectorat, d’abord. Combien de gens ces textes transcrits sur volumen touchaient-ils?
Problème philosophique, ensuite. Jerphagnon, dans Au Bonheur des Sages, montre bien la contre-offensive de Plotin et Porphyre, etc contre le Christianisme naissant.
Tout ce qu’on peut dire, et comparaison n’est pas raison, c’est que l’audience de Lucien fut peut-être l’équivalent de celle du Libertinage érudit à ses débuts. Et qu’elle ne remettait en rien en question l’équilibre du reste du monde païen, qui lui, continuait à vivre dans ses croyances, exactement comme la France de Louis XIII et de Louis XIV.jusqu’au retournement que constitue l’édit de Théodose. Et encore…
Bien à vous.
MCourt
Nicolas
pas beaucoup apprécié l’extrait de Mathewson, franchement horrible. Celui de Guy de Maupassant a un air de ressemblance avec Aux Champs, la grande laideur rurale, l’arriéré des mentalités. Au-delà de cela quel est l’intérêt de faire travailler des élèves de CE2 sur des textes aussi peu porteurs d’espoir, Nicolas ?
Nicolas dit: à
L’enfant fait monstre par ses parents c’est un classique de Matheson
Un classique destiné aux petits de maternelle et néanmoins en dehors du registre de l’épouvante
https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=3&cad=rja&uact=8&ved=2ahUKEwi96o_r8MzoAhXzBGMBHXjUCQAQwqsBMAJ6BAgUEAw&url=https%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3D0IVSXCDRFvg&usg=AOvVaw3lslEg8yjMUQxMHJqXDpsZ
fins psys : et ils se disent lacaniens, en plus
Enfin, sickanalyste c’est moins pire qu’une admp, aide à domicile en milieu parisien…
ses appâts de velours.
dieu me garde de me mettre à la place d’un bottomerdélien! il y en a qui ont eu la sagesse de s’tirer sans attendre de voir jusqu’où ils pouvaient aller trop loin!
Ça commence par un pouce à l’oreille, puis on se retrouve embringué dans une histoire qu’on ne sait plus trop où est le début et dont on n’envisage pas la fin. Après, il t’appelle ma puce, ce qui ne correspond guère à une réalité.
https://www.google.com/search?q=pouce+levé+smiley&safe=active&sxsrf=ALeKk02Ped3TX6YqPR7jyV9xRXAvs1OSBw:1585938981030&tbm=isch&source=iu&ictx=1&fir=SgbvKhHVp6wSVM%253A%252C-7Zi62gDF57nwM%252C_&vet=1&usg=AI4_-kR8uAUujmKAqEM-jXj9JHLswM8tJg&sa=X&ved=2ahUKEwjM3eWM88zoAhVCzYUKHaxMDwsQ9QEwBXoECAoQGg#imgrc=SgbvKhHVp6wSVM:
, aide à domicile
tu parles d’aide!
enfin, je ne suis pas à Paris et Paris n’est pas mon horizon
Pour quelqu’un qui ne voulait pas être biographié, il a été servi Beckett.
« Lorsque Samuel Beckett débarqua à Roussillon en 1942, c’était un écrivain parfaitement méconnu. Il était pratiquement sans ressources et recherché pour faits de Résistance. L’influence de ce séjour, qui se prolongea jusqu’en 1945, a été soulignée par James Knowlson dans la biographie qu’il a fait paraître en 1996 »
http://www.editions-seguier.fr/boutique/tout/essai_litteraire/samuel-beckett-a-roussillon/
rose, je connais un homme qui appelle sa femme ma puce
hamlet
vous comprenez comment ça fonctionne Rose ce désir de reconnaissance ? c’est un truc hyper tordu qui est à l’origine de tous les maux de la terre depuis l’origine des temps !
c’est tout la faute aux mères !
Non. L’amour n’est jamais une faute.
un jour j’ai vu un type à la télé, il avait vécu une enfance noire. Il avait ouvert une entreprise de poubelles qui marchait très bien-. Et un autre jour, il a fait le lien entre son enfance d mal-aimé et son entreprise. C’est la résilience.
Quant à la reconnaissance elle me semble moins importante que l’amour.
renato dit: à
Un link, rose :
https://hyperallergic.com/124269/michelangelos-david-statue-growing-frail/
renato
je n’avais pas vu ces fêlures ; et je découvre six tonnes de marbre ! Vont-ils pouvoir réparer ?
T’imagines, si au lieu de Bair, Beckett et ses petits secrets de coucheries, était tombé sur Nina, personnage de Nothomb… un régal.
Sur l’empathie (et après je remonte) ; s’il y a une espèce de neutralité c’est envisageable. S’il y a rappel cauchemardesque c’est inenvisageable. On reviendra dessus, avec Chantal L. peut-être.
rose, c’est tout et rien dire que de parler de « reconnaissance » (ce qui a été très étudié: »Pour mieux comprendre la reconnaissance comme un concept générique[1], autrement dit comme un concept qui fait figure de paradigme explicatif et normatif de notre rapport au monde, Honneth s’appuie sur la distinction entre l’objectivation et la réification. Il est très important de les «
rose on n’est pas des américains, on fait lire à nos enfants les comptes de Grimm ou du Maupassant et plein d’autres trucs, c’est contre intuitif mais c’est pour leur bien.
renato
L’hypothèse de valeur de cette politique est qu’il est préférable que les personnes aidées reçoivent de l’aide en continuant à mener leur vie dans le lieu où elles ont toujours vécu plutôt que d’être internées dans des macro-institutions résidentielles, spécifiquement conçues pour produire de manière rationnelle et normalisé l’assistance ou les soins thérapeutiques nécessaires.
Oui, pourquoi ?
Pour le maintien, as long as possible d’une autonomie certaine et d’un désir de vivre prégnant. L’attitude active conduisant à la plus grande autonomie accordée longtemps participe à l’énergie vitale.
On peut être super nourri, avoir des soins corrects, mais manquer de discussions, de bisous, de prise de décision et d’organisation : d’autonomie. Ce qui explique que A. rentrée de son plein gré il y a trois ans, dise « oui, de mon plein gré, mais après on subit ». Pourquoi ? Parce que l’on n’a rien à faire, rien à décider, rien à prévoir, rien à quoi participer : tout est à revoir renato. De A jusque’à Z.
armez-vous, rose ,pour argumenter sur la reconnaissance:
http://www.implications-philosophiques.org/ethique-et-politique/philosophie-politique/la-reconnaissance-le-fondement-de-notre-rapport-au-monde/
« J’ai demandé une première fois à Beckett, sur la sollicitation d’un éditeur, l’autorisation d’écrire sa vie Il m’a répondu qu’il préférait qu’on s’occupe de son oeuvre. Des années plus tard, j’ai reposé la question, en lui précisant qu’à défaut d’un « oui » sans équivoque, je renoncerais. En 1989, l’année même de sa mort, il m’a répondu Yes. Avec une majuscule. Et a souligné qu’il m’aiderait, afin que j’aie accès au plus grand nombre de sources possibles. Il souhaitait simplement que l’ouvrage ne soit publié qu’après sa mort. Pour que j’aie le maximum de liberté. »
https://www.nouveau-magazine-litteraire.com/idees/james-knowlson-beckett-saint-whisky-femmes
Il y a peut-être déjà eu un billet rdl sur cette bio…
Nicolas
oui, Matheson cela précède les horreurs style « Il faut qu’on parle de Kévin » un roman de Lionel Shriver, à vous glacer le sang. Plutôt Grimm d’accord, les frissons mais pas l’épouvante.
les comptes de Grimm : qui fAIT LES OPERATIONS? DIVISION multiplications soustractions,?
« A James Knowlson, son meilleur biographe »
Ouf, Passou ! Vous nous avez fait peur avec bair.
http://larepubliquedeslivres.com/le-jour-ou-samuel-beckett-mange-une-orange/
Ah, Ce Marc Court si long, tout de même… IL sort un truc du genre « Combien de gens ces textes transcrits sur volumen touchaient-ils? » (à propos d’obscures publications théologiques…) sans se demander si son commentaire ne pourrait pas lui valoir exactement la même interrogation…
Ce n’est même plus de l’érudition stérile, c’est de l’érudition sous toiles d’araignées, bandelettes à momie, mornes plaines…
Si au moins il savait nous intéresser ne serait-ce qu’un tant soit peu à ce qu’il a dû mettre quand même pas mal de temps à ingurgiter…
je ne sais pas moi, en expliquant les enjeux, en mettant en perspective, en soulignant tel aspect, bref, en faisant autre chose que cet « entre-soi » de vieux bibliothécaire ranci dans l’ombre de la religion la plus réactionnaire…
Soupir.
et alii dit: à
sur le blog du médecin JBB
, et il lui arrive de pleurer quand il parle de son père ou de sa mère « vous devez trouver cela bête que je les appelle encore papa et maman, à mon âge ! ».
Une de mes bonnes copines m’engueule grave. « ça ne va pas du tout que tu dises maman ; à l’âge que tu as tu dois dire ta mère (écrire) ».
Ben non : ma mère c’est ma maman. Notre petit mot doux c’est doudou, parce qu’on l’appelait comme cela lorsque nous vivions aux Antilles.
Alors je continue à l’appeler maman.
Sans heure, on a beau savoir que c’est ce matin…
christiane dit: à
pour faire écho à vos commentaires sur les mythes grecs, j’ai ouvert ce matin un essai que j’aime lire et relire : Les noces de Cadmos et Harmonie (traduit de l’italien par J-P. Manganaro et C.Dumoulin – Gallimard )- du Milanais Roberto Calasso, l’érudit écrivain passionné des mythes grecs, voix éminente de l’édition et de la vie intellectuelle italienne. Ses essais, d’une érudition éblouissante, se situent entre philosophie, science des religions, Histoire et roman.
Cet extrait sur le « mystère » éclaire certaines biographies livrées à l’innommable actuel…
« Du haut d’un rocher, Ariane regarde Phèdre sur sa balançoire. Elle attend, pensive. Ce sont de jeunes princesses à Cnossos, les filles de Minos et de Pasiphaé. Elles ont de nombreux frères et sœurs, et même un demi-frère, Astérios, à tête de taureau. Son père est le grand taureau blanc, aimé de Pasiphaé.
Astérios est enfermé dans un édifice bâti par un artiste athénien en fuite – dit-on – parce qu’il aurait tué quelqu’un. C’est une chose vraiment étrange, que cette construction couverte. Les princesses connaissaient déjà le labyrinthe, mais il était à découvert, livré au regard de tous : il s’agissait d’une esplanade pour la danse. Elles ne savaient pas, et personne ne le leur dirait, que lorsque les Crétois eurent commencé à avoir trop affaire avec les Grecs et que leur père Minos fut parti à l’assaut du continent, le moment était aussi venu de recouvrir tous les secrets, puis enfin, d’en avoir honte. L’Athénien Dédale bâtit en Crète un édifice qui cache, derrière la pierre, aussi bien le mystère (le tracé de la danse) que la honte (Astérios, le Minotaure). Depuis lors, et aujourd’hui encore, le mystère est aussi ce dont on a honte. »
Page 21 – chapitre 1.
Pour le David, rose, il y a des études et des experiences en cours. Ici un exemple :
https://amslaurea.unibo.it/1485/1/Tesi_Antonio_Lolli.pdf
Pour la question du concept de comunity care, c’est une culture dont j’ai expérimenté les bénéfices, il faut naturellement comprendre que les bons sentiments ne suffisent pas, car il s’agit avant tout d’une relation entre adultes dont un est en train de s’étendre, ce qui est toujours en philigrane dans la conversation et n’est pas facile à gérer émotionnellement.
Ce soir j’ai bouffé de la tête de veau.
Personne ne s’est jamais dit lacanien ici, et alii.
Là encore, c’est une distorsion perverse de votre empathie…
renato
il y a des études et des experiences en cours. Ici un exemple :
https://amslaurea.unibo.it/1485/1/Tesi_Antonio_Lolli.pdf
un travail impressionnant de grande ampleur !
sur le community care, pas trop de notions. Revenir dessus
’une relation entre adultes dont un est en train de s’étendre, ce qui est toujours en philigrane dans la conversation et n’est pas facile à gérer émotionnellement
s’étendre ou s’épandre ?
reviendrai plus tard sur vos interventions ; suis à côté d ela cheminée mais totalement congelée, scusi
c’est vous même qui avez présenté ce blog comme un « blog lacanien »:ce qui,pour moi, ne veut pas dire grand chose,que le snobisme et le foutage de gueule des lecteurs et étrangers au « clan »;mais comme ce sont les billets qui m’intéressent
rose, je crois qu’on se répand (en jnvectives) et qu’on s’épanche en confidences
et alii dit: à
DONC QUI A CITE Maldiney précédemment?
Mais c’est un ordre à Lallement! 😉
Mais c’est un ordre à Lallement!
La liseuse de philogag à bu son viandox.
le problème, c’est que personne n’a contesté cette présentation de « blog lacanien » et qu’à la fin, WGG qui n’était pas un abruti intégral , a montré qu’il avait eu des lectures psy et lu même Lacan ,lui, et a foutu le camp!
Lu le texte du mag lit;étrange qu’il ne cite pasce que disait Beckett:
« Quand on est dans la merde jusqu’au cou, il ne reste plus qu’a chanter. »
Et Alii ment, à Lallement mais trouve un elle et ment, attendons l’autre…
j’aurais dû écrire « abruti-e-s »
À et alii
Reviendrai plus tard.
on présente une citation dans un lien ,les obsédé-e-s
de la meute
… éteindre, rose,
mag lit mag lu et dégluti sa… crûment.
C’est du yaourt!
rose, prenez des dictionnaires pour vous aider,vous aurez des citations d’auteurs pour choisir
Luc Ferry (Le Figaro): « Je suis fou de joie, je suis assez tranquille. Je peux enfin travailler à mes quatre livres en cours ».
le lien du mag lit envoyé
https://www.nouveau-magazine-litteraire.com/idees/james-knowlson-beckett-saint-whisky-femmes
Lucien n’est pas ce que j’appellerais un Théologie, Clopine, ni d’ailleurs Porphyre ni Plotin. A vrai dire, je n’en aicité aucun. Puissance de vos réflexes conditionnés?
Le Volumen, on apprenait ça jadis bien avant le lycée dans un cours d’initiation au latin, et c’est pourquoi je n’ai pas précisé pour Christiane, à qui je m’adressais, et non à vous, est un parchemin enroulé autour d’un axe et protégé par un étui , dont il nous reste au moins le mot volume pour un livre.
Nous vivons sur l’idée que tout le monde pouvait avoir accès à ces textes, un peu comme s’il y avait un Athènes-Loisirs ou un Grand Livre Romain du Mois. Il me parait nécessaire de revenir aux questions de bon sens, savoir ou pouvait-on lire, et qui? Vous souvient-il de Fontenelle et de son récit sur l’enfant à la dent d’or? Méditez la phrase finale: « D’abord on écrivit des livres, ensuite on consulta l’orfèvre ».
J’essaie de ne pas tomber dans ce travers là. Libre à vous de vous lancer à corps perdu sans voir ni ou vous allez ni si vous vous perdez, ce qui, je crois, et nous sommes plusieurs à le penser, n’est pas sans arriver souvent. Réfléchissez un peu avant d’écrire, tout le monde s’en portera mieux. Sinon, on pourrait penser que la fréquentation intensive des ânes déteint quelque peu sur votre si estimable personne…
Bien à vous.
MC
Entre Clopine et M. Court c’est l’amour vache !
Réfléchissez un peu avant d’écrire, tout le monde s’en portera mieux. Sinon, on pourrait penser que la fréquentation intensive des ânes déteint quelque peu… ROh !
cf. Monique et Michel ?
https://www.humanite.fr/deces-notre-hommage-jean-claude-chamboredon-687257
DANS L’OPINION de ce jour
CORONAVIRUS LA fOIRE POLITIQUE AUX vANITES
Tous avaient prédit la crise du Coronavirus, Tous l’auraient mieux gérée, et tous estiment qu’elle valide leurs idées. L’Opinion analyse les déclarations tonitruantes des nouveaux oracles
Textes à l’appui, c’est parfaitement jubilatoire!
MC
bah, je me demande ce qui vous a le plus piqué dans mes propos, juste…
Serait-ce « vieux bibliothécaire ranci » ?
« obscurs références théologiques » ?
« mornes plaines » ?
Pourtant, il me semble que le portrait que je dresse n’est pas si inexact.
Enfin, vu de mon pré, au milieu de mes ânes, Court… D’autant que je gage bien que vous seriez particulièrement incapable de vous occuper d’eux…
Et vous savez quoi ? Si souvent, quand je me vois, je me désole, et bien, quand je me compare, je me console…
Et c’est d’autant plus vite fait, quand c’est vous que je considère.
Bon, à part ça, je suis disqualifiée pour le concours proustien : il y avait une consigne (glisser le mot « Guermantes » dans le texte) que j’avais vu trop tard. J’ai modifié mon texte en ce sens, mais j’ai visiblement oublié, du coup, de l’envoyer !!!
Vous savez quoi ? Je m’en vais écrire « le confinement du professeur Brichot ». Il me semble que je n’ai qu’à puiser dans les commentaires de Marc Court, les recopier tiens, tels quels, et hop, tout le monde y croira… La pompeuse pédanterie étant toujours affublée des mêmes caractères…
Se prend pour Talleyrand maintenant, faut savoir rester humble https://www.facebook.com/photo.php?fbid=3347233265304153&set=a.867991273228377&type=3
Bonne nuit
C’est vrai Jazzi, que nous pourrions elle et moi remonter à nous deux au Festival de Beaubec L’ Amour tyrannique, de Georges de Scudéry.
Avec quelle feu ne dirait-elle pas les vers de la princesse:
» Tu m’aimes, je te hais, tu me fuis, je t’adore,
Je mangerais ton coeur. En veux-tu plus encore? »
Ce n’est pas que ce soit très cohérent, mais c’est pour cette raison que ça lui irait bien…Maintenant, il y aurait peut-être un mort sur scène, et ce ne serait pas du théâtre…
Cordialement.
MC
@Mr Court / Petit Rappel / Lucien Bergeret :
vous n’êtes pas obligé d’insulter les ânes ! je veux dire un érudit tel que vous peut suffisamment bien tourner ses idées pour que les ânes, qui entre parenthèses n’ont rien demandé à personne (désolé au passage pour la double négation !) échappent à ce genre de remarque pour le moins insultante !
(à propos d’obscures publications théologiques…)
Non mais, Ô mon Dieu, quelle inepte vieille femme :
Plotin, Porphyre, Lucien d’obscurs théologiens… On aura vraiment tout lu sous la plume de cette invertébrée décérébrée…
Il existe une bonne édition de Lucien en Bouquins.
(Accessoirement, la théologie ça peut être extrêmement intéressant.)
Et il faut des Marc Court pour qu’ensuite des écrivains qui deviendront pour la plupart très vite très obscurs s’amusent avec le savoir…
Tout aussi amusant de voir que Cricri Gobe Tout devient si savante sur Lucien, relit un ouvrage qui le concerne alors qu’avant-hier elle n’avait jamais entendu parler de lui.
C’est la magie de le RDL et l’héritage du divin Blabla qui ressuscitera au troisième jour, soyons en certains.
Là encore, c’est une distorsion perverse de votre empathie…
de mon empathie ?
je n’ai jamais prétendu entretenir des sentiments très positifs à l’égard des personnes du clan qui imposaient leur désir d’être servis dans les termes qu’ils dictaient, eux; non merci pour la cobaysation par des gens qui projettent sur les autres toutes leurs « affaires »et s’entraident comme les pires mafieux; voilà ce qu’est le noyau de la RDL actuellement ; non je n’ai aucun désir d’intégrer le « clan »; Bloom aussi est parti , et personne n’aurait remarqué ? ce n’était pas un illettré sans expérience de vie culturelle;
ce blog évoque une « féo-d-alité »
« caricaturale abjecte » qui n’attire personne ;
Non mais ça va pas bien ?
Tartuffe laid comme un pou, va !
« Et je vous verrai nu du haut jusques en bas
Que toute votre peau ne me tenterait pas ».
Chez Molière, j’aurais été, sans aucun doute, Toinette, ou Dorine. Parfaitement capable de m’occuper des ânes…
Mais laissant leurs peaux aux vieux barbons…
Jazzi, ton romantisme t’égare complètement. Court fait une fixette sur moi, ok, d’accord, il agite désespérément ses petits bras en se disant qu’en me poursuivant de ses remarques toujours méchantes, acides, élitistes et supérieures il attirera au moins mon regard. Il agite les dénégations (« je ne suis pas Bergeret ! Je ne suis pas Bergeret ! Mais croyez-moi donc, enfin, puisque je vous le dis « ) et m’em… copieusement depuis des années…
Alors, je ne sais de quel « amour vache » tu parles, mais je vais parler franchement : Court n’est pour moi que la pire des bouses.
Et j’ai cet avantage sur lui que je sais, moi, de quoi je parle.
Vraiment, l’ignaroclopine devrait prendre des vacances et lire un peu.
Petit Rappel dit: « […] Problème philosophique, ensuite. Jerphagnon, dans Au Bonheur des Sages, montre bien la contre-offensive de Plotin et Porphyre, etc contre le Christianisme naissant.
Tout ce qu’on peut dire, et comparaison n’est pas raison, c’est que l’audience de Lucien fut peut-être l’équivalent de celle du Libertinage érudit à ses débuts. Et qu’elle ne remettait en rien en question l’équilibre du reste du monde païen, qui lui, continuait à vivre dans ses croyances,[…] »
Oui, M.Court, j’ai bien compris que ceux qu’on nommait « païens » dans ce monde de l’Empire romain entre les Ier et IIe siècles étaient les adeptes des religions polythéistes. Lucien avait du succès plus par son style, sa personnalité, (« Libertinage érudit à ses débuts »), son comique que par un combat sérieux contre les cultes païens (récupéré par l’Église car ses raisonnements devaient paraître utiles à la propagation de l’Évangile alors qu’il était lui-même en totale impiété) ou les nouvelles formes de religion encore à l’état de sectes. Lucien attaquait tout : mœurs, religion, (croyances anciennes), idées. Ce qui lui importait ? Divertir son public (nombreux).
Le conflit entre les croyants (Christ) et les croyants des religions traditionnelles dont les Juifs devait être à l’origine d’un sacré bazar, de rivalités ! Récits mythiques et philosophies diverses dont celle des épicuriens contre les adeptes de cette forme religieuse nouvelle. Lucien ironisait sur ces charlatans, enchanteurs, qui trompaient ceux qui étaient dans ces recherches. Vrai – Faux – rites – images…
Les « sectateurs » chrétiens accusaient les païens de vivre dans un monde de démons et de mensonges. La guerre des vérités !
Quand vous aurez votre Roberto Calasso, c’est à la page 305 et suivantes. Il analyse ce personnage « Alexandre, le faux prophète ».
J’avoue que ça m’ennuie. Je préfère les pages qui suivent où R.Calasso revient à la mythologie dont j’aime l’univers onirique et chatoyant. Ainsi la grotte des abeilles sacrées, en Crète, où Rhéa aurait engendré Zeus, interdite aux « mortels » et aux autres dieux et où s’aventurent quatre jeunes Crétois qui avancent dans l’obscurité de la grotte…
Il écrit : « toute époque vit, sans le savoir, le rêve de celle qui l’a précédée. »
Et à propos de la Pythie et son nœud de contradictions, l’oracle des dieux, il pose cette question : « Pourquoi tout cela ? » et répond par cette supposition : « Les dieux ne se contentent pas d’imposer aux hommes la faute ; ce serait trop peu, car la faute appartient déjà à la vie. Ce que les dieux exigent est la conscience de la faute. Et celle-ci ne s’atteint qu’à travers le sacrifice. La loi, à elle seule, peut servir à punir la faute »…
Bonnet blanc et blanc bonnet ! Les choses n’ont guère changé mais à tout prendre je choisis les mythes, littérairement s’entend !
Bonne soirée.
Jazzi dit: à
Entre Clopine et M. Court c’est l’amour vache !
–
J’ai toujours reconnu un trait de génisse chez Clopine.
« Tout aussi amusant de voir que Cricri Gobe Tout devient si savante sur Lucien, relit un ouvrage qui le concerne alors qu’avant-hier elle n’avait jamais entendu parler de lui. »
Ah ce vantard prétentieux !
Eh non, l’ouvrage ne le concerne pas ! (2 pages sur 410…) que j’ai aimé rappeler ce passage car M.Court avait plaisamment comparé cet auteur à Dürrenmatt (encore un livre que vous n’avez pas lu…).
Il faut lire, Chaloux, l’essai de Roberto Calasso Les noces de Cadmos et Harmonie avant de se risquer à l’erreur grossière. Citer un livre n’est pas suffisant…
Je vais finir par croire que votre érudition est bien fragile. Un vernis… qui s’écaille.
Prenez donc exemple sur M.Court, quand il parle d’un livre, il l’a lu ! Quand il évoque un personnage, un écrivain, il les connaît.
Oui, je ne connaissais pas « Lucien » et j’ai eu la joie, depuis, d’apprendre et de le retrouver fugitivement dans ce brillant essai qui croise parfois les Mythologies de Georges Dumézil. (L’avez-vous lu ?)
Vous restez pitoyable et vulgaire, accroché comme une tique sur quelques familiers de ce blog.
D’où son savoir en bouse : elle se renifle!
(Que devient Ed?)
Sur cet ouvrage, Cricri Gobe Tout, je vérifierai… Vous pouvez traiter mon « érudition » comme vous le voulez, elle vous emmerde. J’ai autre chose à faire que de me faire valoir comme vous le faites ici de manière si indiscrète, lisant prétendument (?) tout avant tout le monde mais finalement comprenant peu. Le contraire ferait de vous un personnage un peu moins grotesque. Tout ce qui vous reste pour vous faire valoir? Triste vieillesse.
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