De la folie en Syrie
C’est un livre sur la mémoire, le souvenir et le traumatisme qu’ils ressuscitent. Pour son premier roman Fils de Sham (125 pages, 10 euros, Diabase), Justine Bo a choisi le fragment, avançant par éclats longs de une à quelques pages, forme la plus adéquate pour exprimer la fulgurance du rappel. Sham veut dire « la Syrie » (As-Sham) ou « Damas » en arabe ; il fait également écho à la « malédiction de Cham », épisode de la Genèse (9, 20-27) dans lequel Canaan est voué au pire par son grand-père, Noé, pour une faute commise par son père, Cham.
La narratrice, que l’on devine jeune, française, hypocondriaque, s’adresse au père de son enfant. Jamais nommé, tout ce qu’on sait de lui, c’est qu’il est jeune, syrien et « opposant provocateur ». Résistant qui ne sait pas comment résister, il s’est fait ambulancier pour la Croix-Rouge. Volontairement retirée du monde après avoir vécu quelques temps en Syrie, jusqu’à être se vouloir recluse dans une maison en France, elle vient de commettre un crime. Le meurtre de son enfant qui vient de naître. En contemplant le cadavre, elle se souvient des premiers temps du soulèvement. Il n’était alors pas question de politique ou de main mise islamiste mais d’adolescents torturés puis assassinés par la police du régime. Elle garde auprès d’elle l’enfant qu’elle a tué. Une horreur intime dans un pays qui vit dans l’horreur à ciel ouvert. A force d’isolement, elle finit par se rendre sourde. Masochiste, elle s’impose des souffrances pour rester dans l’isolement. Ses tympans sont pleins de la « rumeur rampante de non-dits à venir ». La ville elle-même est traitée en cadavre : elle n’a plus de sous-sol depuis que les agents du mukhabarat, qui y torturent jour et nuit, les ont transformés en entrailles. Ce sont les viscères de la cité.
La révolution, si toutefois le terme est toujours approprié, est un grand chaos où les repères s’épuisent. Les hommes aussi ; celui auquel s’adresse la narratrice est déjà à bout de forces et d’espoir, exténué quand les événements s’emballent et que la révolte gagne la capitale. La guerre est vue comme une bataille d’histoires :
« une rixe perpétuelle que chacun oriente selon ses fantômes. Le langage se substitue aux corps pour détruire ce qu’il leur reste d’intégrité, et ruiner leurs âmes en vue de nouveaux affrontements. »`
Rien d’autobiographique dans ce roman bref (la bonne distance pour tenir jusqu’au bout sur ce ton-là) et sec, bien que cette jeune femme, qui termine ses études de relations internationales à Sciences Po, ait passé un an en stage au service politique de l’ambassade de France à Damas dans les premiers temps de la révolution. Rien d’autre que le ressenti de l’atmosphère, du fond de l’air, de l’ambiance ; et aussi certaines répliques captées au hasard des rues ou des cafés dans la bouche des opposants, telle celle d’un vieux militant communiste : « L’Etat n’a pas de sagesse et j’ai peur qu’il ait aussi perdu la raison ».
Justine Bo a choisi de paraître sous pseudonyme. Un raccourcissement de son nom. Comme tout livre est une construction, alors autant se construire aussi son identité d’écrivain. Ses « Injustes » lui ont été vraisemblablement inspirés en réaction aux Justes de Camus. Il y est question de l’odeur de la Syrie, du souk Hammidiyyeh, des rues de Salamiyyeh. Sauf que ces pages puent la mort. Quant aux titres de ses courts chapitres, on les croirait chus d’un recueil de poèmes de Paul Celan : « Dépouille de taule », « Reliques de sable »…
L’écriture est remarquablement tenue de bout en bout, ce qui donne d’autant plus de force aux violentes échappées telles que « la gueule d’Assad ». C’est un récit dénué de la moindre complaisance, nerveux, cru, ancré dans le réel absolu, sans guère de référence historique à l’exception de l’assabiya (cohésion sociale) chère au grand Ibn Khaldoun. En le refermant, on s’aperçoit qu’un sous-titre apparaît sur sur la page de titre : « éloge de la déchéance »… Il est tendu par l’acte millimétré de l’infanticide, qui ne dit rien de la géopolitique de cette guerre civile mais une bonne part de sa folie. Ce qui est précisément la vocation de la littérature.
(Photo Cerwann Aziz)
602 Réponses pour De la folie en Syrie
Etrange sujet, le récit inspiré de réalité parvient-il à dire pour quelles raisons cette mère choisit d’éliminer cet enfant tout juste né? Est-ce pour le soustraire à un monde auquel elle ne croit plus? Est-elle atteinte et déséquilibrée par la folie environnante qui détruit repères et pères? L’enfant devient-il l’emblème du société où pour un temps il ne sera donné aucune importance à la vie fragile et désarmée des civils, l’espace en guerre comme un ventre qui ne donnerait plus naissance qu’à la mort?
Tout le monde s’en fout? Le monde est fou et plus il saura l’être plus on écrevissera?
Tout le monde s’ en fout?
Non pas Pétasse Clarke ce matin sur la radio nationale d ‘Etat!
Elle déroula le tapis complaisant à un député du pouvoir en place qui nous parle désormais du patriotisme!
Radio nationale socialiste et PATRIOTE, il s’ agit bien plus d’ un glissement sémantique, c’ est un programme politique!
So british !
La chèvre HR-14341 dit : « pour absconS, il n’est pas interdit d’ouvrir un
dico »
abscons, adjectif
Sens Difficilement compréhensible [Littéraire].
Synonymes : abstrait, abstrus, ésotérique, hermétique, obscur, sibyllin.
mais pas pour ‘ « Damas » en arabe’ …autant que je sache, Damas en arabe c’est Damash’k
Abdelkader, ce n’est qu’un point de détail, mais je crois que le billet et vous même avez tous les deux raison.
C’est bien sûr vrai que Damas c’est Damashq ou Dimashq, mais l’appellation locale, c’est bien ash-Shâm.
Je n’ai jamais entendu Damashq, mais « ash-Shâm! ash-Shâm! » pour se rendre à la capitale.
Il n’est pas si facile de choisir le bon vautour parmi ceux qui s’empressent au chevet de ce pauvre peuple.
Heureusement que pour ce qui est de l’Occident, Mauvaise langue semble avoir pris les clés du camion.
Puisqu’il s’apprête à y partir, souhaitons lui de quand même prendre soin de lui!
Son intrépidité finit par me faire peur.
ML c’est Jeanne d’Arc qui aurait entendu des voix en provenance du mont Sinaï ?
A l’examen des commentaires de ce blog, il apparaît -outre les classiques délires- qu’il est majoritairement la tribune de la droite dure et même extrême. Le travail d’infiltration de ces idéologues méphitiques est en train de l’empoisonner. Dommage.
Cette Petula Clark, JC, est agréablement enjouée mais dotée d’une bonne conscience à crever.
Je me réjouissais sous Sarkozy de l’indépendance de France Inter, mais un échange qu’il a eu avec Fredéric Taddei m’a ouvert les yeux sur son compère Patrick Cohen (Taddei, c’est ce type à la cravate dénouée qui anime le soir des émissions qu’on n’a pas le temps de voir).
PC reprochait à FT de ne pas respecter une liste noire, concernant ses invités!
Ce garçon m’inquiète.
Euh… les Voix au mont Sinaï, ce serait plutôt Moshe que Jeannette la Pucellette, n’est-il pas vrai !
ueda
peut-être que l’arabe syrien n’est pas totalement identique à l’arabe algérien
ueda, je n’écoute jamais France Inter. Suis donc au courant de rien concernant cette petula, ce taddei et ce cohen là !
« L’ effort patriotique » de Gaétan Gorse complaisamment développé sur les ondes de la radio officielle d’ Etat avec la voix off de Paul Ramadier proclamant à partir Villefranche de Rouergue le patriotisme de l’ effort, est-ce cela le méphistophélique méphitique?
Bah, Benoit, la résultant de tout ceci est plutôt la fameuse « sensibilité centre-gauche ».
Pour des raisons de profession et d’héritage, un bonne partie des visiteurs se sentent assez proches (tout en s’en moquant à l’occasion) de l’institution bourgeoisie de gauche culturo-sociétale.
Ce qu’on pourrait appeler la gauche cul-soc, quoi.
Il en faut, il en faut.
Pas contre, pas contre, pas toujours en tout cas.
Parfois de bonnes idées, ou de bonnes intentions.
C’est vu de loin que c’est ridicule.
Vu de près, plutôt brave homme et femme de conviction, hein.
Oui, Pour un « Goût de la Vérité », mais avec ML on n’est pas à une contradiction près. Il déclare l’Europe fondamentalement antisémite, pourrie, et s’en réfère finalement aux valeurs profondes de l’Occident ?
Il y a deux solutions, JC, soit vous êtes l’élite coupée du peuple, soit le peuple en révolte contre les élites.
Mais non, on ne vous donnera jamais de troisième choix!
la fameuse « sensibilité centre-gauche ».
Bien vu ueda..
Mais pas rad-soc!
J’enrage toujours que notre ami ML n’ait pas été aux commandes en 38, Jacques Barozzi.
Il nous aurait épargné l’humiliation.
Vraiment pas de bol, mais ça tient parfois à un fil.
Il n’y a pas contradiction. L’europe est pourrie, en panne, veule, mais bâtie très imparfaitement sur des valeurs universelles, bafouées ou intentionnelles.
Prenons la France : elle est monarchiste, égoiste, fermée sur elle même mais se rêve de gauche, solidaire, accueillante.
On dort mieux quand on sait se mentir à ce point. Par contre, le réveil est difficile…
En fait JC est un crypto-gaulliste d ‘opérette, c’ est une constatation, pas une critique, hein!
ueda, non ! non et non ! Contre-exemple : je suis à la fois éliteau se moquant du peuple et prolo luttant contre l’élite conne !
« On dort mieux quand on sait se mentir à ce point. Par contre, le réveil est difficile… »
Oui, on sait que ML dort beaucoup. Et quand il se réveille, quelle volée de bois vert contre toi, pauvre JC !
Eh oui…
M. Gorce a probablement raison.
Tout cela nous ramène aux omelettes qui nous ont fait tant de mal, aux oeufs les plus sombres de notre histoire, tandis qu’on mangeait le bébé encore fécond en se baignant dans l’eau du bain.
Si on ne peut plus se vomir dessus entre amis, il n’y a plus d’orgie possible…
Le racisme et l’antisémitisme sont des délits. La déontologie oblige-t-elle les journalistes à inviter des gens qui s’amusent à tenir des propos délictueux
benoït delalande dit: 28 mars 2013 à 8 h 59 min
Votre nom et votre raisonnement sonnent comme celui d’ un laboratoire pharmaceutique aux pastilles fadasses bien mal dosée…
Droite dure contre gauche molle, si c’était si simple!
« Si on ne peut plus se vomir dessus entre amis, il n’y a plus d’orgie possible… »
C’est ce que vous appellez valeurs universelles de l’Occident ?
3615codecivil dit: 27 mars 2013 à 22 h 29 min
Non, « auteur » (est-ce la forme atténuée du mot écrivain, réservé à la sous-littérature?) et « écrivain » sont des neutres.
« Il déclare l’Europe fondamentalement antisémite, pourrie, et s’en réfère finalement aux valeurs profondes de l’Occident ? »
faut être tolérant pour un génie qui chaque jour nous révèle la Vérité
« se vomir dessus entre amis »
jc et ses potes le valent bien
Comme je bosse en librairie,je me suis dit: « allons jeter un oeil sur la prose de Bo Justine »,las!nous n’avions pas son livre.Mais j’ai quand même dégoté un extrait sur le net;en bon camarade,je le colle ici afin que vous puissiez,comme moi-même,vous faire une petite idée…
« Ça grouillait des cafards sur la paume de ma main. Les caillots de sang qui coagulaient les vers de crasse. Je tenais le placenta d’un poing, le marteau de l’autre. Un crâne écrasé, même un petit crâne, ça prend de la place. Ça aveugle. Il fallait bien une heure pour que l’odeur s’épuise. Le temps que les effluves de sa carcasse se décantent, je me suis assise sur le canapé.
J’ai allumé la télé. J’ai allumé une clope. Ça a éteint mes entrailles. Je me suis étendue sur le canapé, j’ai attendu. J’étais bien.
Je me suis levée. D’un coup. Je suis allée vers la cuisine ; il m’a semblé que je n’y étais pas allée depuis des jours. Il y avait des relents de chair pas fraîche, ça suintait le bide qui vient d’éclore. J’ai reluqué le réduit de peau qui gisait là ; c’était frêle et gras en même temps, c’était l’anémie et la présence en un même amas de couenne morte. Ça empestait la dépouille encore chaude qui implore le coup de grâce, la flamme faiblarde pas tout à fait éteinte qui traque l’oxygène, ça puait la pitié. Et moi, j’en avais tellement, de la pitié, que je lui ai épargné la vie.
Il a eu deux spasmes frénétiques. Son diaphragme s’est soulevé par deux fois, du plus profond de ses côtes vers le plafond décrépi de la vieille cuisine. C’était un champ de bataille qui crache ses entrailles lorsque les bombes lui tiraillent le ventre. Le même râle de soufre qui perce entre les dents pas encore poussées. La même agressivité en creux, la même envie de s’agripper à ce je-ne-sais-quoi de ciel qui pourrit les germes de ce qui aurait pu naître de la terre. Et puis il y a eu un dernier souffle. Plus long, plus lointain aussi. Et moins vif. Le petit s’est résigné à me foutre la paix. Le champ de bataille, c’était fini. Je n’avais plus qu’à nettoyer les restes de notre folie, que je croyais enterrée avec toi.
J’ai scruté le marteau qui me matait en coin, du côté de sa lame torve, encore embuée des haillons translucides. Je puais ton sang de nouveau-né. Ce sang pur qui pue comme une eau qui n’a jamais coulé. Moi aussi je puais. Je suis allée prendre une douche. J’avais pas tremblé. Pas tant que ça. Je l’avais répétée, la scène. Je la connaissais par coeur avant de la vivre. J’aurais des contractions, j’aurais l’impression que mon ventre exploserait, ce serait comme un taureau déchaîné, prêt à déchirer l’arène de mon utérus en furie ; il foncerait toujours plus vite, plus fort.
Moi j’expirerais avec calme, froide comme quand je t’avais rencontré, l’air de rien. Je prendrais un ciseau, un marteau. Il sortirait, comme un extraterrestre enrobé de cellophane, geignant comme un singe qui s’excite, ses yeux de libellule exorbités comme s’il avait été toxicomane avant d’être un embryon. Il sortirait d’un coup, et moi je frapperais un coup, un seul. Avant qu’il ne crie. Je ne voulais pas entendre le cri, je ne voudrais pas qu’il me revienne plus tard. Je pensais que ce serait mieux. J’avais anticipé, tu vois. A force de ne jamais penser à l’après, j’étais devenue parano, j’avais décidé de tout entrevoir à l’avance. Donc j’avais frappé avant le cri, et ses yeux s’étaient froissés de l’intérieur ; il avait plissé le bord de la paupière, puis s’était crispé à la commissure des lèvres. Il s’était figé, prostré contre l’acier de la cuisine comme pour signifier sa soumission à la vie qui le jetait déjà.
T’iras goûter l’éther du jardin de ton père, tu embaumeras ses roses pour moi. Ce sera bien, tu verras. »
Eviter l’humiliation avant, pendant et après WWII ? Ce fut pourtant un excellent entraînement pour la suite : indochine, décolonisation, algérie, et toute la période qui a suivi jusqu’à aujourd’hui, ghetto non-républicain, couronnement du déclin continu depuis les années 20. On est vacciné contre l’humiliation !
benoït delalande oublie de mentionner que le fait majoritaire qui caractérise les commentataires de ce blog c’est la judéité et un âge plus que mûr. Ceci expliquant peut-être cela ?
charles dit: 28 mars 2013 à 9 h 29 min
Le racisme et l’antisémitisme sont des délits.
Tu parles, Charles !!!
Tu oublies le c.l et la b.te, , ta spécialité, Baroz!
de nota, j’ai adoré !
« J’ai scruté le marteau qui me matait en coin » (Bo)
Quelle métaphore pour parler de sa propre folie!
En France le racisme est un délit. Si l’on n’est pas d’accord on se ‘‘jette’’ en politique, on propose l’abrogation de la loi, et on travaille pour l’obtenir.
Voila ce qui arrive, de nota, quand on baptise ses enfants Donatien ou Justine !
Le cul et la bite sont universels, et non propres à ce blog ou à l’Occident, sexe patriotique !
« J’ai scruté le marteau qui me matait en coin » (Bo)
Est-ce un marteau sans maître?
Justine, ça a dû la soulager d’écrire ces mots en vrac … mais de quoi ?…
9h32 Avez-vous remarqué comme il est rare de relever parmi des accusés les mots « auteure de l’attentat » auteur=celui qui est la cause et d’après vous auteurs et écrivains ne seraient à l’origine que de breuvages insipides incolores inodores? A quoi bons donc? Peigner le Mérinos?
Jacques Barozzi dit: 28 mars 2013 à 9 h 47 min
Ils font tellement partie de nous-mêmes qu’on semble les oublier, parfois…
On comprend que Passou ait cru bon de nous prévenir : « Rien d’autobiographique dans ce roman bref ». Mais comment peut-il en être si sûr ? L’inconscient nous parle et nous dit…
Barozzi, tu as raison : il faut fouiller son congélateur…
Article 21 de la CHARTE DES DROITS FONDAMENTAUX DE L’UNION EUROPÉENNE
Non-discrimination
Est interdite, toute discrimination fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, les origines ethniques ou sociales, les caractéristiques génétiques, la langue, la religion ou les convictions, les opinions politiques ou toute autre opinion, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance, un handicap, l’âge ou l’orientation sexuelle.
Le sept nains on ne les trouve que dans les contes… ils ont évidemment des gros marteaux, des pioches et des pelles aussi… et ils vont au travail en chantant… Enfin, ce chasseur ! aucune conscience professionnelle… et l’autre qui arrive avec sa pomme… un marteau, ça oui, un marteau aurait définitivement résolu le problème… Finalement il vaut mieux que les futurs écrivains sifflent des vodka-orange ou des Leffe au Basile, rue Saint-Guillaume…
Barozzi, tu as raison : il faut couiller son fond gélateur…
J’ adore!
De nota, vous faites oeuvre de salubrité publique!
Le style de ce roman semble démarqué des Séries noires traduites de l’américain dans les années 50-60.
Un marteau ça va deux marteaux bonjour les coco.
Il faut fouiller le con délateur .
il faut pousser aux dons rédempteurs.
rappel,
j’ai adoré votre extrait !
il faut brouiller le fond des peurs.
« l’orientation sexuelle », c’est un concept merveilleux. C’est bien de ne pas discriminer à l’embauche un type, de type européen respectueux de l’article 21, qui enfile des chèvres …
il faut couler tous les pans du temps.
JC vous êtes dégueulasse, si vous m’autorisez mais cette auteure avec son bébé et son marteau nous décrit une drôle d’enclume aussi.
W,
vous exagérez…
ça suintait le bide qui vient d’éclore
..on se croirait dans une galerie d’art contemporain denota..ils ont de la chance en syrie
C’est le genre d’extrait que l’on ne peut pas juger hors contexte : ou c’est nul et grandiloquent ou bien ça s’inscrit parfaitement dans la narration ? Passou semble nettement pencher pour la seconde solution…
ha c’est hardcore..on dirait eraserhead un peu..
Passou semble nettement pencher pour la seconde solution…
il a peu être été matté en coin par un marteau..faut se mettre a sa place aussi
David Lynch va-t-il racheter les droits d’adaptation cinématographique, avec Marion Cotillard dans le rôle principal ?
D. serait parfait dans le rôle du foetus !
dis donc baroz t’inclus pas dans le contesque la bouteille de cognac..le fauteuil club..le setter irlandais, le feu de bois et la bimbo des fois..
..on se croirait dans une galerie d’art contemporain boug
D. serait parfait dans le rôle du foetus !baroz
Comme il se dédouble, c’ est du Chapman!
http://www.weblettres.net/blogs/uploads/e/etudiantcgo1/11320.jpg
Non, le boug, mais pour l’adaptation hollywoodienne, je changerais d’époque : une jeune allemande violée par un soldat russe dans Berlin en flammes. C’est plus occidental et ça plaira à ML…
Baroz, avec les frères Chapman tu es dans l’ ultra contemporain!
http://cdn-premiere.ladmedia.fr/var/premiere/storage/images/fluctuat/diaporamas/art-et-mauvais-gout-3360488/le-diable-au-corps-des-freres-chapman-1997/60394018-1-fre-FR/Le-diable-au-corps-des-freres-Chapman-1997_portrait_w858.jpg
« Ça [. . .] . ».
‘ Un extrait prometteur qui ne manque certainement pas d’intérêt ni de saveur. ‘
Roule molette et page cherra.
Euh, c’est-à-dire que je manque un peu de souplesse, lutte intestine, marteau de soi !
Jacques, la judaïté d’un bon nombre des commentateurs de la RdL, se présente sous des formes multiples et relatives. Il y a même une langue moisie, dont la grand-mère juive ne fait pas loi pour les rabbins en Israël pour valider langue moisie comme juif. Soit, ils trouvent ses racines goys trop fortes (quand même trois grands.parents sur quatre), soit ils ne veulent pas d’un fêlé hystérique qui refuse toute psychoanalyse. Peut-être aussi langue moisie a insulté les rabbins, leur disant que « seul lui » a compris « le livre », la Shoah et ce qu’est la Nation israélienne. Imaginez le ressenti de ces rabbins, quand un goy vient leur raconter que lui seul a les vraies connaissances et la seule bonne lecture du « livre » et de l’Histoire universelle.
Et puis, la grande moyenne des commentateurs ne vit pas au travers de croyances religieuses. Qui avons nous comme grenouilles de bénitier ? Un nazillon éditeur de textes interdits et de T-shirts un peu insensés et, le participant le plus d.bile de la RdL, un vieux garçon qui n’a de chrétien que la lecture de textes et pour le reste, est mauvais comme une teigne et bête comme un lévrier afghan.
La poésie des les frères Chapman n’est pas absconse : une head fucking !
» allongement de l’homme occidental en crétin antisémite au bout du rouleau qui encule les chèvres »..on fait une vidéo de promo sur youtube..on prend dédé avec le gars dans le club qui en dit du bien dans l’contexte..pour la bimbo ça va être teutchy..on peut prendre jicé maquillé..mais ça fra trop décadent pour la vente..une idée ?
« on peut prendre jicé maquillé..mais ça fra trop décadent »
Et daté, après Fassbinder c’est plus possible…
Jacques, la soldatesque russe violait aussi les vieilles dames. Ma marâtre ou sa mère, racontait l’histoire d’une habitante de Chemnitz de 75 ans, violée par un moujik bolchévique, et qui par la suite quitta sa chaise roulante et se remit à marcher. Comme quoi une activité sexuelle donne des forces et le désir de vivre et de marcher.
se présente sous des formes multiples et relatives
il a même celui a écharpe..messerschmitt qui ratatate les colonnes de réfugié en dessous..un petit univers quoi
Oui, TKT, mais à cet âge là on ne tombe plus enceinte, et on a besoin d’un foetus pour la scène gore !
excellent vontraube..excellent
Bouguereau, je n’ai pas souvenir d’Eraser Head, comme d’un film érotique.
« lève toi et marche »..
quel guerilléro marketeur ce vontraube
Constat en revenant sur l’illustration d’en-tête du billet de l’honorable Passou, quelle différence entre le petit personnage qui tente modestement d’éteindre l’incendie et l’action grandiloquente du personnage principal, manifestement en pleine acte de propagande…. Ah ! la guerre civile et ses charmes …
J’ai écrit psychoanalyse et non psychanalyse, amusante erreur, mais quand un psycho se fait analyser, le mot psychoanalyse tient la route.
l’invasion russe..j’en ai pas le souvenir non pus vontraube
Contre les essais thérapeutiques en double aveugle.
Selon une récente étude sur les meilleurs lycées de France, il apparait que :
« Pour avoir 100% de chances d’obtenir son bac dans les filières générales, mieux vaut habiter en Ile-de-France et s’inscrire dans le privé. Comme tous les ans, les lycées franciliens dominent notre palmarès. Parmi les 468 établissements affichant 100% de réussite au bac L, 84 établissements sont ainsi situés en Ile-de-France, dont 48 à Paris.
Dernier constat : le privé forge les meilleurs bacheliers, que ce soit dans les séries générales, technologiques ou professionnelles. Seule une poignée d’établissements publics tirent leur épingle du jeu : les parisiens Henri IV, Louis-Le-Grand et Condorcet à Paris, Hoche à Versailles, les lycées internationaux de Strasbourg et de Saint-Germain-en-Laye, le lycée du Parc à Lyon, Stendhal à Grenoble. Mais, le plus souvent, au prix d’une sévère sélection à l’entrée… »
enfin j’en avais pas..j’avoue qu’embaucher sa mère grand..gaffe vontraube.larry flint a été matté en coin par une chaise roulante
Eraserhead ? Pas de souvenir non plus. Une fois je suis parti, l’autre j’ai dormi.
Mais, le plus souvent, au prix d’une sévère sélection à l’entrée…
les privés..si t’es prolo chéfau et un peu dealer a la sortie t’es pris..
…
…rappel,…à,…9 h 57 mn,…
…
…il n’est pas interdit de faire de la » merde littéraire hermétique « ,…pour cause de bien ignorer l’exploitation de l’homme par l’homme,…en conséquence,…
…etc,…Da,…Da,…Da,…tout les citoyens sont égaux devant la loi,…et nul n’est censée l’ignoré,…
…( tout les problèmes sociaux-économiques ),…de qui va baiser son voisin en toute légalité,…Ah,…tout ces artistes à exploitez,…Quel boulot,…la révolution coercitive par les jeux de mots,…
…
…in fine,…on devient Tartufe dans sa propriété,…en héritage légitime d’héritier,…c’est bien sûr,…avec le travail en noir pour ces profitables du travail clandestins que nous force à accueillir nos alliés coloniaux de connivence giratoire d’intérêts en somme,…
…que nous somme à plaindre de toute cette main d’oeuvre à bon marché,…pourvu que la distanciation de notre hospitalité à boucler leurs abus de notre faiblesse coloniale est solidaire et sociale en maison de sommeil,…
…
…l’hospitalité chez » Stalag 13 » sans discriminations,…juste une bonne dose de » mobbing et fracture social « ,…l’héritage pour la bonne filiation A.D.N.,…capitaliste,…etc,…
…
Jacques Barozzi dit: 28 mars 2013 à 10 h 37 min :
« une jeune allemande violée par un soldat russe dans Berlin en flammes. »
Mais le livre existe déjà (je pense que de nota l’aura dans sa librairie celui-là), c’est « Une Femme à Berlin », témoignage anonyme (en fait celui de Marta Hillers (il faut lire Enzensberger à son sujet, il raconte tout, le contexte, la rédaction…), je l’ai lu cet automne, très beau livre, absolument à découvrir après avoir aimé le grand oeuvre de Hans Fallada, « Seul dans Berlin. » Il est paru chez Gallimard en folio.
« Bouguereau, je n’ai pas souvenir d’Eraser Head, comme d’un film érotique. »
Pas plus que le roman de Justine Bo, TKT !
Une fois je suis parti, l’autre j’ai dormi
ça fait 2 entrées keupu..t’as bien une tête d’occidental qui encule les chèvres tient
au fond, même si on voit mal ce qui empêcherait es commentateurs de perséérer dans le rôle qu’ils considèrent le leur , sur ce blog, c’est quand même P.Assouline qui trouve encore à faire « plus fort » « pssychologiquement » sur les questions de « constructions de soi », comme on dit,intuile de pinailler,de pagailler, il a rhabillé, avec son billet , le côté psy pour l’éternité .
Mais le livre existe déjà
ça vaut rien a coté des « ilsa au stalag avec god ceinture » ..dracul y les a tous
Entre nous HR, pour ne pas ennuyer les voisins, il vous paie combien, et comment, le Passou pour vos laudate récurrents ?….
il a rhabillé, avec son billet , le côté psy
t’as dla gratitude de pas avoir eu froid cet hivers renfield..et tu voudrais en plus que lassouline te fasse marcher..t’en as jamais assez
la RdL, c’est de la folie en série(s)
Certes, xlew.m, mais avec Justine Bo on a quelques variantes enrichissantes. D’abord sa narratrice est consentante, et non violée, puis elle en a un enfant qu’elle finit à la fossile et au marteau !
ilsa..ha c’était quelquechose
http://www.dailymotion.com/video/x65g2h_ilsa-gardienne-du-harem_shortfilms#.UVQYVRcyKqY
14341, vous en pensez quoi de la définition d’abscons, c’est y ou pas hermétique ?
Cette Ilsa, le boug, elle n’a pas été chef des amazones chez Kadhafi ?
Bougboug, j’ai tourné dans Ilsa, j’étais premier palmier
qu’est-ce que je diasais qu’il y en a dont l’imagination a galopé et nous racontent déjà que la narratrice ne prenait plus la pilule , et depuis quand ! et ils n’attendent qu’un petit verre pour balancer ici la bio de l’auteure ?chroniquée, de son éditeur(e ) et au-delà
« … violée par un moujik bolchévique, et qui par la suite quitta sa chaise roulante et se remit à marcher »
Et puis on nous dit que le communisme ne fait pas de miracles !
Bouguereau, l’invasion des Russes en Saxe m’a été racontée par ma marâtre et sa mère. Pour Berlin, assez rapidement les Britanniques et les Américains firent partie des forces de délivrance. En Saxe et dans la future DDR, les Bolchéviques agissaient en solo. En dehors des viols, les soldats aimaient réquisitionner les vélos et les montres de poignet.
Il faut quand même rappeler que toutes les armées violent, par contre pour l’envie de vélo et de montre de poignet (genre montre bon-marché dont la seule condition est de donner l’heure), les braves soldats de l’armée rouge, souvent des gens issus de la campagne, n’en avaient jamais possédé.
Pour ce qui est du viol, les soldats bolchéviques ne faisaient que renvoyer l’ascenseur (genre « Paternoster* », marque allemande d’ascenseurs bien connue) aux soldats de Herr Hitler, SS et Wehrmacht confondus. Si Hitler n’avait pas éradiqué la SA, il y aurait eu à prendre une autre revenge…
* Le système Paternoster est une sorte de « tournante », on saute dans une cabine en marche, en fait de nombreuses cabines sont entrainées par un système de cable qui roule en boucle.
Toutes les filles que nous avons violé, mes copains les Moujiks Balnéaires libres de droit et moi , toutes ont fini dans des fauteils roulants. Faut dire que j’avais des parts sociales chez le fabricant.
Jacques, vous n’oubliez pas le Lycée Carnot ?
TKT, c’est le palmarès annuel publié par le magazine Capital. En 1970, quand j’ai passé le bac au lycée Carnot de Cannes, le privé était juste bon à rattraper les cancres friqués. L’excellence était dans le public. Il semble que la tendance se soit inversée. Que s’est-il passé ? Un effet de la France pourrie nous dirait ML ?
Exact Barozzi… pourrie par les Français eux-mêmes donneurs de leçons, incapables de se les appliquer à eux-mêmes.
(j’ai bon Marine, là ? j’ai bon ?)
Tu sembles avoir installé une sacrée cinémathèque dans ta cave, bouguereau.
Il y a des anneaux au plafond, aussi?
France moisie contre France pourrie, il faudrait voir à définir un peu ses concepts.
L’expérience montre que l’introduction d’un troisième terme peut donner du nerf aux débats.
La France bourrée?
bouguereau, ton Ilsa c’est du gibier de vixens pour brat de bistro frustré.
Si tu veux rencontrer une vraie femme virile, je t’invite à voir le film d’Alexandre Askoldov (La Commissaire, 1967), scandaleusement censuré, comme furent censurées les livres de Vassili Grossman, par les humanistes du réalisme soviétique du PCUS de l’époque. C’est l’histoire de Vavilova, une commissaire politique du parti qui, tombée enceinte en pleine guerre, voit toute la puissance de sa féminité lui brûler l’âme et la rejeter en plein coeur de l’humanité qui souffre. C’est un film splendide, si tu n’as pas la gorge serrée à la fin, écris-moi, je te rembourserai le dvd et t’enverrai (besplatniyiî) une bouteille de vodka par la poste. (Cela me fait repenser à toutes les « petites fiancées » russes des officiers de l’Armée rouge en 41-45, qui n’étaient pas toutes consentantes, et à une jeune femme russe de l’escadrille Normandie-Niemen qu’on obligea à renier publiquement l’amour qu’elle portait pour un pilote français.)
et (France) surie , ça pourrait rapprocher du billet et de Passouline avec un surire en coin ?
En le refermant, on s’aperçoit qu’un sous-titre apparaît sur sur la page de titre : « éloge de la déchéance »…
quand on vous dit qu’il y en a qui ne comprennent qu’à la toute fin ! même passouline, sitôt un livre dans les mains il oublie les cours de la RdL : quelle folie !
Merci de nota.
Elle écrit pas trop mal, la petite. Mais prions pour qu’elle s’aperçoive un jour qu’elle a autre chose à dire.
Le lien doit être Science-Po.
ton Ilsa c’est du gibier de vixens pour brat de bistro frustré
t’as mangé trop de navets a la tarentino avec ta cote de boeuf néchin pour mélanger tout ça dans ta tetê d’occidental..et une « vraie femme virile » je crois que comme quentin tu comprends rien au code de la série b
..et merci à l’admin de regarder son journal de log, ça remerde sévère
Tu sembles avoir installé une sacrée cinémathèque dans ta cave, bouguereau.
mon dieu zouzou..je crois que tu n’es pas allé au cinéma depuis longtemps..ni regardé des jeux vidéo..j’ai pas dit jouer zouzou..s’informer..dailleurs en voyant la photo en haut c’est a ça en premier que j’ai pensé..on veut rendre compte de la dureté de la réalité en se servant de code qui sont merchandisés formatés..survendu, la litterature devrait faire gaffe aux ornières qui ne sont plus les siennes
La littérature, c’est comme les légumes : c’est toujours bon d’en bouffer.
« Le lien doit être Science-Po. »
Et les cours d’écriture de Passou…
« la litterature devrait faire gaffe aux ornières qui ne sont plus les siennes »
Tout semble désormais se focaliser sur l’image et la couleur. Le plus ou moins million de manifestants de dimanche a relooké la France tradi-catho en rose tapette et bleu layette. Ici, on donne dans le foulard vert.
C’est la faute à Stendhal et à Claude Simon !
La France usée….
« La littérature, c’est comme les légumes : c’est toujours bon d’en bouffer. »
JC, tu me boufferas dix pages de la Recherche trois fois par jour !
d’ailleurs P.Assouline en est épuisé de la folie de la RdL : pas un seul tweet aujourd’hui .
bon, le « ils » de la première phrase, ce sont quand même souvenir et traumatisme : pour une première approche , la page wiki sur le stress post traumatique qui est en bibliographie premanente
80% au niveau bac, Baroz, t’as oublié? Chevènement. La massification de l’enseignement secondaire. Résultats, presque tout le monde va au lycée, général ou professionnel. Le privé, grassement subventionné par l’Etat (sinon il descend dans la rue), devient le refuge des religieux de tous bords et des enfants des parents qui peuvent acheter le Bac.
Pendant ce temps là, l’Ecole de la République dépérit car elle n’a pas/ne se donne pas les moyens de ses ambitions; c’est elle qui accueille tout le monde, les Adrien, Océane, Rashid et Fatoumata.
Sans elle, sans le travail de ses enseignants, véritables garants de la paix sociale, c’est le chaos.
« JC, tu me boufferas dix pages de la Recherche trois fois par jour ! »
Qu’ai-je fait, Seigneur, pour à ce point déplaire ?
« Que s’est-il passé ? »
Faut tenir bon et pas généraliser , malgré des décennies d’escroquerie, d’al-caponerie décomplexées, de détournement de l’argent du public au profit du privé : des sommes colossales! Quel mépris
« + 22,5 % en 2012 pour Random House qui a vendu 70 millions d’exemplaires de « 50 nuances de gris » dans trois pays. »
Faites l’amour pas la guerre ou peace and love pour l’édition qui veut gagner du pognon !
Correction: sans l’école de la République, c’est le chaos.
Que fait le Pape?
« Sans elle, sans le travail de ses enseignants, véritables garants de la paix sociale, c’est le chaos. »
Arrêtes de déconner Bloom !
E.N. ne fait pas son travail, c’est le chaos dans l’usine pédagogique, sans les parents, et ce sont nos impôts, finançant l’assistanat, qui sont garants de la paix sociale ! Que Dieu éclaire ta cave obscure…
Il faudrait peut-être aussi que les enseignants du public commencent à balayer devant leurs portes, tristan.
Moi, j’étais bon en français, pas en philo. A la question du bac français : « quel est votre personnage préféré ? », j’avais répondu madame Bovary. Résulta 8/20. L’année suivante j’avais pigé le coup. En philo, j’ai pris « Idéalisme et matérialisme » et récité le précis de philisophie de Georges Politzer, que j’avais appris par coeur : 13/20. En ce temps-là, valait mieux être crypto communiste que d’admirer un écrivain bourgeois anti communard de surcroit !
Que Dieu éclaire ta cave obscure…
laissez venir à moi les petits chéris
j’avais répondu madame Bovary. Résulta 8/20
il s’attendait a ce que tu dises asterix ou donald..moi cht’aurais mis 7 spèce de faux cul
« JC, tu me boufferas dix pages de la Recherche trois fois par jour ! »
..tu fras des beaux colombins
Et vous, frères et soeurs humains de la RDL, vous avez choisi quoi en français et en philo ?
Car bien évidemment, tout le monde ici a son bac !
d’ailleurs P.Assouline en est épuisé de la folie de la RdL : pas un seul tweet aujourd’hui
ça..en plus pour faire des beaux colombins faut twiter..tu dvrais écrire dans elle renfield
Bloom au milieu des vaches et pâquerettes le chaos est le même qu’au centre des ZEP à supposer qu’il en existe encore, le problème ne se situe pas uniquement du coté de la pédagogie et des moyens qui lui sont consacrés.
@13h32 je l’ai acheté mais je l’ai!
JC, ou le petit blanc qu’on broie sous les tonnelles. On dirait le Sud des US…
Howdy, white sheet-redneck, poo’ white trash!
Français, philo, je m’en foutais au bac : coefficient faible vs Maths/Physique … il me semble que le sujet était « le bonheur est-il l’apanage des imbéciles ».
Bonne note en répondant : « oui ! »
General Bloom, il vous arrive, par accident, de penser ?
Cartable, j’suis d’accord. C’est un projet de société qui est à redéfinir. Mais ça tarde.
c’est pasque tu y a mis du tien..les profs y aiment ça
Cartable, j’suis d’accord
keupu il dit pas avec quoi il l’a acheté..mais on l’sait
Celle du projet est une vieille idée… bon, dans une société libre n’a jamais vraiment fonctionnée… et puis… qui fait le projet ? Non, parce que je ne vois aucun « architecte » à l’horizon…
Redéfinissons chaque individu en justifiant la célèbre phrase: retourne chez ta mère qu’elle te refasse.
..c’était un fameux petit chéri..dracul il lui aurait mis..il lui aurait mis 19 1/2
Bloom, le privé propose une meilleure prise en main des élèves. Pas toujours des cancres, souvent des gens qui ont des problèmes et des parents qui veulent bien payer mais pas, s’occuper de leurs enfants. J’ai eu de meilleurs professeurs au Cours Bergson-Pollès qu’au lycée de Saint-Cloud. Pour ce qui est de bac qui serait payé, vous semblez oublier que l’examen se passe dans un lycée non privé.
D’autre part Jacques Barozzi, oublie ou ne sait pas peut-être, que l’on peut mettre ses enfants dans une boite privée bien avant le secondaire, pour des raisons qui sont autres que la fréquentation des « boites à bac ». Même dans les pays peu habitués à l’enseignement privé, je pense à l’Allemagne et la Suisse, on peut aussi avoir le désir de ne pas mêler ses enfants à ceux moins favorisés issus de familles d’ouvriers étrangers. Pour une seule et valable raison, le manque facile de mise au même niveau pour des raisons linguistiques et socio-culturel. Je ne veux pas dire par là, que les enfants issus de l’émigration sont per se moins intelligents. Le QI n’étant pas une résultante de la couleur de peau, il y a des crétins dans toutes les classes sociales. Les pauvres sont quand même plus nombreux que les nantis. Et quand ils réussissent dans la vie, ils changent de classe sociale.
et puis… qui fait le projet ?
le maitre d’ouvrage
Pour ce qui est de bac qui serait payé, vous semblez oublier que l’examen se passe dans un lycée non privé
sacré vontraube..la droite c’est toujours bête
Redéfinissons chaque individu en justifiant la célèbre phrase: retourne chez ta mère qu’elle te refasse.
Faudrait déjà redéfinir les cartables, ils sont toujours trop lourds.
Le QI n’étant pas une résultante de la couleur de peau, il y a des crétins dans toutes les classes sociales. Les pauvres sont quand même plus nombreux que les nantis. Et quand ils réussissent dans la vie, ils changent de classe sociale
..bref donc y’a mathématiquement plus de futé en haut vontraube..vdqs//sacré vontraube
Faudrait être con pour ne pas mettre ses gosses dans le privé quand on en a, des gosses et du pognon.
Pour changer de classe un QI extra n’est pas nécessaire, parfois il est même un obstacle…
Evidemment, Bougboug, plus on descend, plus y a de cons : c’est même comme ça qu’on les définit… Suis un peu !
quand on en a, des gosses et du pognon.
et faut êtes con pour faire des mômes quand on a pas de pognon..ça agrave le cas des pauvres
je suis devant jicé
merci de Nota !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!:-)
Pour changer de classe un QI extra n’est pas nécessaire
..plus ou moins si, pisque c’est la référence..tu vas pas nous mettre l’intelligence dans les étoiles..et toi t’es dans la lune renato
Je l’ai toujours dit : les pauvres il faut les stériliser. Bourdieu te dirait que ça fait moins de pauvres au finish ! Gagnant/gagnant….
merci de Nota !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!:-)
chaloupe il l’a remercié pour dire que c’était bien écrit..et jicé pour dire qu’il allait l’acheter incontinent..et toi polo, tu remercies pourquoi si c’est pas indiscret
Jacques Barozzi dit: 28 mars 2013 à 13 h 32 min
« Car bien évidemment, tout le monde ici a son bac ! » : Non, mais je dois être le seul qui ose le dire. Cela ne me pose aucun problème, la vraie Culture s’apprend plus tard. Quant aux études supérieures, cela apprend à se structurer, ne pas en avoir fait est donc un manque, mais pas un handicap.
Il y a des gens qui ont fait des études supérieures, et sont assez nuls.
Rater un examen ou un concours, ne veut quand même pas rien dire.
Le contraire non plus.
Je préfère un bon ouvrier à un mauvais « Akademiker » et j’attends que les gens qui font les jobs les plus simples, les fassent quand même avec l’intelligence de leur profession.
Gagnant/gagnant
c’est pour chacune des couilles qu’on te coupera..sinon ça finit en communisme des riches et en témoin de jéhova..quelle horreur ! ça c’est de la conviction politique jicé, bravo
« Il y a des gens qui ont fait des études supérieures, et sont assez nuls. »
T’as qu’à voir ici, Thierry, sont tous à chillier ! Et moi, avec ma thèse en maths, je chope la note maximale en connerie… tu vois, tu as raison d’avoir rien branlé au Lycée ! bravo, TKT !
Oui, Bouguereau, en quelque sorte, sauf que l’adjectif futé, ne dit rien sur les capacités intellectuelles.
M’en fous de tes taxes anti-couilles, boug, je fonctionne sur 4 cylindres…
Rater un examen ou un concours, ne veut quand même pas rien dire.
Le contraire non plus.
Je préfère un bon ouvrier à un mauvais
on sent que vontraube n’est pour que l’on leur coupe qu’une couille jicé..
D’abord, TKT, « c’est un « homme graaassier » comme dirait Jules Raimu
Le bac n’a été surtout pour moi qu’une clé ouvrant la porte de la sortie : mais on peut toujours la fracturer pour passer de l’autre côté…
Le photographe s’appelle Cerwann Aziz, un breton arabe ?
Où l’on constate -Acte III, scène 4- que les remerciements de certains sont attribués à une prose insane.
Comme le titre est » de la folie » cela colle.
Ceci la veille d’un vendredi saint. Ô misère !
Certains d’entre eux -ces commentateurs ci dessus et de nota, qui, comme de bien entendu, se croit anticonformiste- ont fait des enfants : les pôvres enfants (j’y pensais ce matin aux enfants de certains comme leur vie est marquée à l’encre rouge). Mais bon cela va leur donner du peps et du fil à retordre, bons éléments pour aller de l’avant. Plus qu’une ferrari et trois lignes de coke.
Et ne croyons pas -très bêtement- qu’ils ne pourront pas faire pire !
Sans doute est-elle blonde. Et suce-t-elle. Après elle parle : elle dit « on le bouffe ce soir ou dans trois jours ? » Et l’autre allumé, de son service, bougonne « faisandé, il sera meilleur ».
Je le savais que cela se terminerait comme ça, nous y sommes…
Vous ; pas moi. J’ai raison de camper dans le jardin. Après le petit déj. je me carapate.
j’ai même oublié où j’ai passé l’épreuve philod ‘un bac après une sciences-ex ! il me semble que j’avais choisi un énoncé sur le cogito !
Bloom, peut-être apprécierez-vous « blancs soucis de G.Didi Huberman »
de toutes façons, je préfèrerais écrire sur c blog que j’ai oublié : mais je n’ai pas oublié le nom du lycée où j’ai fait cette dernière année de scolarité : dont j’ai appris qu’elle n’était pas obligatoire ,une page je crois sur médiapart !
rose dit: 28 mars 2013 à 14 h 32 min
Où l’on constate -Acte III, scène 4- que les remerciements de certains sont attribués à une prose insane.
Mais vous voyez, Rose, ce n’est pas vous qu' »on « remercie pour la votre.
« On » n’a pas encore touché le fond.
bouguereau
parce que ce texte me fait rire par son côté gore écrit n’importe comment.
<Paul
eh bé !
Comme quoi…
Moi cela ne me fait pas rire du tout.
Après Chronos, Justine BO (avec qques-uns ds l'intervalle). Ni le gore ni le trash ne me font rire un iota ; je me sens plutôt normale.
bête comme un lévrier afghan.
TKT
Alors que Thierry lui est bête comme un bichon et court moins vite.
« ça fait moins de pauvres au finish ! Gagnant/gagnant »
parle pas de malheur! c’est pas gagnant vu qu’ils servent à enrichir les riches
Obituaire du vase dit: 28 mars 2013 à 15 h 04 min
« On » n’a pas encore touché le fond.
Mais vous êtes en route : de loin, très loin, c’est passionnant à suivre. Mieux que le cinéma.
Les enfants ont bien raison de mettre les bouts ; d’ailleurs, ce matin, pensant à eux, la fille et le garçon, j’ai songé que, par respect pour eux deux, je ne dirai rien, ultérieurement de votre identité : pas pour vous, mais pour eux. Pour les protéger : chose que vous êtes incapable de faire.
Comment vous pouvez si mal me connaître que vous me pensiez ds l’attente de quoi que ce soit, surtout venant de votre part ? Communiquer sur internet ne sert donc à rien -strictement-.
Vous macérez dans votre idée de dépit amoureux, qui vous auréole en vain & à tort (tue) : tournez la page, tournez ! Que votre trajet vous prenne toute votre énergie…
« Ecrit n’importe comment », peut-être, je trouve non sans une petite pointe de talent. Mais Melle Bo gagnerait certainement à lire Le Grand Meaulnes.
> Ceci la veille d’un vendredi saint.
Oui, on a l’impression que tout ça était comme déjà écrit quelque part. Mystère de la religion.
Rose, qu’est c’est que ce délire ? Vous vous mettez le doigt dans le pistil. Je ne suis pas qui vous croyez. Mais continuez, c’est très amusant ces bouts de feuilleton qui vous servent de vie. D’ailleurs, vous êtes un homme, c’est évident.
Bien sûr, je me mêle de ce qui ne me regarde pas et en cela je peux la boucler. Je n’en pense pas moins.
Melle Bo ?
Amadou Hampâté Bâ est un écrivain et ethnologue malien né à Bandiagara en 1900 et mort le 15 mai 1991 à Abidjan.
Bah, boh…
>C’est parti !
Je retourne bosser.
Il a un os à ronger : cela lui convient.
Brave toutou.
A propos de la razzia sur les montres des « liberateurs » russes j’avais lu que la fameuse photo du soldat plantant un drapeau rouge au sommet du Reichstag avait du etre retouchée pour qu’on ne voie pas que ce héros portait une montre à chaque poignet.
Et pour ce qui est des viols, on connaît le temoignage de gunther Grass dans son ouvrage autobiographique où il raconte comment sa mere d’est offerte pour epargner sa jeune soeur
Il n’y a qu’un mot : effarant.
Rose = HR
Rencontrez Passou ; pour moi c’est fait. Deux fois au même congrès, à Marseille, des écritures Méditerranéennes, où j’ai suivi avec passion les débats de la table d’écrivains du pourtour méditerranéen que P. Assouline animait, en tant que président.
Au même titre que je connais, de rencontres multiples, Fanny Dechanet Platz qui est une personne de haute tenue, jeune universitaire de grand talent ; rattachée à Stendhal (Grenoble) : ils vous confirmeront, les deux, mon identité.
Mais continuez à vous amuser de manière sordide à emmeerder à cent sous l’heure TKT qui est aussi adorable que ML et creusez votre tombe avec votre verre.
De quoi d’autre êtes-vous capable ?
C.P dira « bah », sur l’alcool (je ne le trouve guère courageux, vertu première chez un homme à mes yeux, mais j’attends sa position sur le texte de BO. loin de Botticelli celle-là -faut s’attendre à tout désormais-).
Alors continuez à cracher votre encre.
Grand bien vous fasse si ainsi cela vous rend heureux ! ?
L’effarant c’est vous, mais effaré aussi croyé-je.
Quand on est effaré -cf. Quignard l’effroi sexuel- on n’est capable de rien.
Pardon donc, si vous l’acceptez.
Bis : je me mêle de ce qui ne me regarde pas.
Je peux y songer et me taire. Bis.
Vous voulez pas ter quand même ?
Mais c’est vrai rire de ce texte ne me fait pas rire – au même titre que la fin des 11000 verges que je ne peux pas lire. Et que je me refuse à lire. Et fière de cela.
comment ça ? personne n’a encore traité rose de paranoïaque ? l’auteur de « comment faire rire un paranoïaque » est paraît-il le livre de chevet des commentateurs de ce blog , certains ajoutent même de son propriétaire . Ce n’est qu' »une rumeur rampante de non-dits à venir ».
attendons la suite !
rose dit: 28 mars 2013 à 16 h 27 min
Rencontrez Passou ; pour moi c’est fait. Deux fois au même congrès, à Marseille,
Heureux homme…
Quignard, vous n’avez pas très suivi…
Faire rire un paranoïaque, ça peut se faire, mais c’est beaucoup plus difficile avec un paranoïaque schizoïde.
mais c’est beaucoup plus difficile avec un paranoïaque schizoïde… qui se prend pour une femme.
évidemment , heureux qui …
« »La littérature, c’est aussi, c’est peut-être même d’abord, une très grande méfiance à l’égard de la littérature »,… » M.Cohen
si vous permettez , « page du monde »
C’est vrai, j’ai adoré l’extrait de prose lamento-parano-minable de la jeune Justine : il y a tout ce qui faut pour vendre, se vendre, être vendue. La folie en librairie, c’est porteur. Elle va tirer à combien ? Effarant !
« Rencontrez Passou ; pour moi c’est fait. Deux fois au même congrès, à Marseille »
Eh béééé, que même la Rose, depuis, elle se lave plus les mains… pas même au savon de Marseille, peuchère !
la vraie Culture s’apprend plus tard
vontraube
Ou jamais, n’est ce pas mon p’tit chéri
Dans L’Embarcadère des Lettres, Rémi Duchêne, JC Lattès : Colette descend la Canebière au bras de Willy, une passante l’apostrophe : « C’est ton père, ma belle, le gros qui porte la cheminée sur la tête ? [il est coiffé d’un huit-reflets NdR]Aïe ! Qu’il a de la fatigue ! »
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