De la pénibilité au travail dans le milieu littéraire
Au fond, ce n’est pas un hasard si l’expression « chaine du livre » s’est si largement répandue ces derniers temps. Elle correspond à une réalité : tous ceux qui y participent sont des enchainés. Aussi ces galériens de la vie littéraire méritent-ils largement que leur statut soit révisé à la lumière des débats actuels sur la pénibilité au travail.
Les éditeurs ? Ils se sont toujours plaints. Les collections des gazettes littéraires en témoignent : pas une interview dans laquelle ils ne déplorent leurs difficultés. En ce moment, la hausse du coût du papier. De manière récurrente, la baisse de la vente des livres. De temps à autre, les mauvaises pratiques des auteurs, des traducteurs, des agents etc. Bref, même quand ça va, cela ne va pas si bien que ça. De quoi leur rendre la vie pénible.
Le directeur littéraire ? Il doit supporter la réception de manuscrits de plus en plus mal écrits, l’orgueil d’écrivains qui font une jaunisse quand on leur retranche une virgule de travers etc Pénible aussi, non ?
Le directeur commercial de la maison d’édition ? Il lui faut accueillir tous les jours avec le sourire les coups de fil indignés d’auteurs qui ne comprennent pas que leur nouveau livre ne soit pas en pile dans la librairie du village berrichon où vit pourtant leur belle-mère pour ne rien dire des dizaines de milliers de points de vente dans toute la France. Et lorsqu’il croit l’avoir convaincu de l’impossibilité technique de sa requête, le directeur commercial doit une fois de plus lui expliquer qu’il est vain de demander chaque jour le chiffre des ventes de son livre car ce sont des sorties et que le bilan ne sera réaliste que des mois plus tard lorsque les retours des libraires seront déduits. Vraiment pénible, n’est-ce pas ?
Et l’attaché de presse ? Il doit supporter en permanence un procès en incompétence pour n’avoir pas réussi à faire inviter l’auteur à la « Grande librairie » ni obtenu un grand entretien sur son œuvre dans le prochain Télérama. Il a beau expliquer que cela ne se commande pas et que de toute façon, c’est le bouche à oreille qui garantit le succès d’un livre, rien n’y fait. Plus que pénible.
Et le libraire indépendant alors ? Outre que son activité croissante de manutentionnaire lui casse les reins (pour rester poli), que la surproduction et les offices ne lui permettent pas toujours de mettre en valeur des livres qu’il a aimés (à supposer qu’il ait eu le temps de les lire), que les sites de ventes en ligne leur portent préjudice (il n’y a pas qu’Amazon), qu’il y a toujours des lecteurs qui cherchent un livre aperçu à la télévision mais dont ils ignorent le titre, le sujet et le nom de l’auteur, l’augmentation des baux commerciaux en ville a donné le coup de grâce à un métier qui relevait déjà du sacerdoce.
Et le critique littéraire ? Sa direction ne cesse de mesurer ses colonnes et de ronger son espace à mesure qu’il reçoit de plus en plus de livres. Il a beau être dur au mal, sa souffrance au travail est insoupçonnable.
Et les membres des jurys ? Ils doivent se donner la peine de lire un nombre incalculable de romans que leurs auteurs se sont à peine donné la peine d’écrire.
On dira que tout cela est contestable en regard de la pénibilité au travail des chaudronniers, éboueurs, perceurs de tunnels et plongeurs scaphandre en grande profondeur. Mais l’écrivain lui-même, y ont-ils jamais pensé au ministère de la pénibilité ? La littérature et la poésie coalisées, combien de divisions ? Zéro. Qu’ils se mettent en grève ne changera rien à la situation de la France- sauf sur le plan moral, métaphysique, spirituel, mais qui s’en soucie vraiment.
Les lecteurs ont du mal à l’imaginer mais l’écrivain est aussi sujet à des accidents du travail. L’angoisse de la page blanche peut le faire passer de la névrose commune à la psychose à condition, il est vrai, d’être un romancier du genre de Jack Torrance, le héros du Shining de Kubrick qui remplissait des centaines de feuillets de son futur livre de l’unique phrase :
« Trop de travail et pas de plaisir font de Jack un enfant terne ».
Chaque fois qu’un écrivain est sommé de passer le ouikende dans une foire du livre et d’en repartir la valise pleine de manuscrits « juste pour avoir votre avis » alors qu’il n’avait rien demandé, il devrait pouvoir activer son C2P ou Compte professionnel de prévention, lequel permet de déterminer et de référencer les facteurs de risques professionnels d’exposition d’un travailleur au-delà de certains seuils. Ils ouvrent droit, sous certaines conditions, à des mesures de compensation qui varient selon les facteurs concernés. De l’avis général, le seuil de tolérance a été franchi pour tous de longue date dans un milieu où, on au nom de la passion que l’on voue aux livres, la notion même d’heures supplémentaires est une vue de l’esprit. Et l’âge de la retraite itou.
Entendent-ils parler d’environnement physique agressif, de travail de nuit, de postures pénibles, de rythmes de travail, de pression supérieure à la pression atmosphérique, ou tout simplement de bruit qu’un sourire apparait sur leurs lèvres généralement prolongé par une tape amicale dans le dos. Il n’y a guère que les agents chimiques dangereux auxquels ils échappent. Pour le reste, ne jamais oublier qu’avant d’être une activité intellectuelle harassante, l’écriture est un acte physique. Assis toute la journée sur sa chaise, les jambes croisées, les bras tendus vers le clavier, le dos en compote hésitant entre l’arthrose rachidienne et la discopathie dégénérative
Au fil des rencontres, l’écrivain doit souvent payer de sa personne lorsqu’il enquête avant d’écrire. Aussi il n’est pas exagéré de dire qu’il partage certains conditions du travail en hyperbarie : entrée et sortie du poste de travail, habillage/déshabillage, douches répétitives, compression/décompression, Conscience d’évoluer dans un périmètre dangereux mêlant obscurité et isolement au sein d’un milieu biologique hostile… Et puis, nul ne l’ignore, le milieu aqueux est consubstantiel à l’édition, nombre de requins patrouillant dans ses eaux troubles. Et puis quoi, qui osera dire aux écrivains qu’ils ignorent la souffrance au travail alors que ces dernières semaines, Hanif Kureishi, de passage à Rome pour y réfléchir à son prochain roman, a fait une chute qui le laisse paralyser ; et Salman Rushdie, poignardé par un islamiste alors qu’il rencontrait ses lecteurs dans l’Etat de New York, a perdu vingt kgs, l’œil droit, un bout de lèvre et la sensibilité de la main gauche, celle qui écrivait ! Vous avez dit pénibilité ?
(« Marcel Proust sur la plage de Trouville. Collection Mike Lebas ; « Ecrivain en croisière mais lequel ? » photo D.R.)
1 506 Réponses pour De la pénibilité au travail dans le milieu littéraire
…bravement, se taire.
mesure ibérique : arobe.
Je cherche depuis une heure et puis j’ai triché. Emma
Un passage tout bête : du coq à l’âne (j’ai un peu triché).
Bibi : moi : si tu triches tout le temps, c’est plus la peine de jouer.
Quand on n’est pas du même bord politique, c’est pas la peine de discuter. Tu perds ton temps rajoute Emma, surtout si tu as affaire a des gens un peu obtus (elle prononce obtu »s »).
Je ne crois pas avoir d’assignats, qui est le type même du non sens économique,une monnaie a valeur décrétée . En revanche, je ne serais pas surpris que vous en aviez dans vos placards, indexés sur la vente des Biens du Clergé, Alexia.
Que vous en ayez.
Des gens un peu obtus comme vous, rose ?
On commence par les chiens écrasés, on se spécialise, et on finit en éditorialiste.
Je comprends.
Les pâquerettes, couché dans l’herbe en rêvassant.
La mode, Come Edmonde chez Vogue.
Le P.S en épousant le ministre de l’Intérieur.
C’est du joli.
Jazzi
Je ne savais pas que vous aviez fait une école de journalisme à Paris.
@je ne serais pas surpris que vous en aviez dans vos placards,
Tiens, un sarkosiste
Ah le beau syndicat qui n’a jamais rien compris au monde de l’entreprise, ce n’est pas maintenant et grâce à vous qu’il va muer ! Relire et mediter l’ Economique d’ Aristote. Il y a des choses pittoresques sur la manière de trouver de l’argent, que ce soit le propriétaire, le satrape , ou le Roi….
Obtu »s » Renato.
Qu’est-ce que je lui réponds demandé-je ?
Tu lui réponds :
« Comme on est soi-même on voit les autres « .
Emma « C’est tout simple » rajoute t’elle.
La vie, devant soi.
Quant aux concours, parlons-en, Clopine !
J’avais une adorable assistante, Florence D., qui m’a beaucoup aidé quand j’ai dû prendre au pied levé la fonction de chef de service des éditions de la Mairie de Paris.
Mère d’un petit garçon, elle avait passé le concours le plus bas pour avoir un salaire régulier afin de pouvoir l’élever.
Après plusieurs années elle a tenté de passer des concours de niveau supérieur.
Elle m’a raconté qu’il y avait pas mal de magouilles, là aussi…
Le prix du silence
L’or.
Là, Emma ne triche pas. Ça, elle le sait.
Dans les concours des magouilles ?
Le Réseau lexical du français (RLF) [projet de dictionnaire en préparation au CNRS] et la diatopicité du lexique : réflexions, bibliographie de travail
C’est ce qu’elle disait à propos des concours internes à la Mairie de Paris, rose.
@Jazzi,
Je trouve le cas Jean François Revel exemplaire en ce domaine :
Après des études à l’école de Provence à Marseille, il fait ses classes préparatoires au lycée du Parc à Lyon, et intègre l’École normale supérieure, section lettres, en 1943.
Il est reçu en Normale Sup en 1943 et en sort agrégé de philosophie.
Il se consacre ensuite entièrement au journalisme, collaborant de manière très régulière à la revue d’art L’Œil de 1961 à 1967 et à l’hebdomadaire France-Observateur.
WIKI.
Il crée surtout la collection « libertés nouvelles » chez J.J. Pauvert, publiant l’emblématique » Asphyxiante culture » de Jean Dubuffet, Sade, Français encore un effort, Le cas Wagner de Nietzsche, etc.
https://www.cairn.info/revue-de-la-bibliotheque-nationale-de-france-2011-3-page-70.htm
C’est vous qui avez lancé « obtus », rose, pas moi, l’excuse « l’a dit Emma » ne tient pas, ce n’est que votre cirque. Vous n’êtes qu’une petite réac qui ne se nourrit que des préjugés que vous attribuez aux autres.
BàV :
L’Italie, invitée d’honneur du Festival du livre de Paris, cette année !
https://mail.aol.com/webmail-std/fr-fr/basic
@ Vous vous êtes regardé quand vous parlez ?
mais ouij bien sûr, je n’écris jamais rien sans en assumer parfaitement forme et fond. Parfois, j’aurais aimé être victor Hugo, dans son meilleur jus. Et c’est une admiration légitime et non prétentieuse… Comme le disait Comte-Sponville à propos du génial Montaigne… )à l’entrée déception » de son dictionnaire dédié : « il est parfois trop littéraire, je me sens plus profond philosophe que lui », etc.
@ nb/ je n’ai jamais été enculé, ni par la droite ni par la gauche… ni par le centre arrière, d’ailleurs, à votre différence… C’est pas maintenant que vous parviendrez à me binariser ainsi, jzmn. Je tgrouve que vous jetez vite l’éponge dans le dialogue quand vous êtes bien vite à court d’arguments. Inutile de vouloir m’assimiler à CT ou à quiconque, pour enrôler à votre cause les pires erdéliens de cette chaine. Voilà tout ! Apparemment, vous n’êtes pas capable de démontrer savoir faire autre chose d’autre que de claniser les gens…
Bises, – Allez voir un nouveau film ce’aprèm mon jzman. Dalva, par exemple !… Cuid ?
stimulante photographie, dear Renato
ai lu Prostato au lieu de Postato
MC dit: à
Je ne crois pas avoir d’assignats, qui est le type même du non sens économique,une monnaie a valeur décrétée . En revanche, je ne serais pas surpris que vous en aviez dans vos placards, indexés sur la vente des Biens du Clergé, Alexia.
Non point dans mes placards, cher Marc : ils débordent de fringues… euh d’étoles et de chasubles. Je les ai remisés en Suisse, au Crédit éponyme… Câlisse !, comme s’écrient nos cousins québecois.
Je vais appeler le Roi Charles III pour lui dire de se décommander. Je vous tiebs informé.
que vous en aviez ?
Pas compris qui porte une montre à 80 000 €.
De plus, le prix de la chemise ne dit rien de l’homme qui la porte.
Bref, ça part dans tous les sens.
On dit « la valeur n’attend pas le nombre des années ».
Emma « oui mais il y en a ils sont âgés et ils sont bêtes ».
Il me semble pourtant que le nombre des années ajoute beaucoup à la valeur de l’individu.
Il s’est déjà décommandé, D.
Le crédit Suisse qui vient de s’écrouler ?
C’est le moment de s’écrier Calisse de calisse.
Vous n’avez pas besoin de moi pour vous claniser, JJJ.
Vous le faites très bien tout seul.
Oui, je vais au cinéma, mais pas ce film-là…
Jazzi
Un concours interne, cela doit pouvoir se comprendre.
À plussse
L’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA) mène une enquête sur l’antisémitisme auprès de la communauté juive européenne. Participez à l’enquête !
Vous êtes sûr, renato ?!
La montre à 80 000 € c’est une fausse nouvelle relative à votre président ventant de gens de votre acabit. Vous ne vivez que de préjugés et de mythologies d’emprunt… voir vos interprétations à deux balles des films : instruite peut-être, cultivée pas du tout.
@ AN -> le bon MC n’a jamais compris la loi de Gresham, je crois bienj kl’en en est resté au système de Law sans jamais avoir dépassé le truama du martyre des prêtres réfractaires justement déportés à l’île Madame par notre bienheureuse révolutionfr@macron.gouv.fr
Bàv,
ENTRETIEN. Pour le psychanalyste Jean-Pierre Winter, l’impuissance devant le monde qui s’effondre sert de terreau à la défiance politique. le point
Sûr, D., « Les manifestations en France ont forcé Macron à reporter la visite du roi Charles III … La décision après une conversation téléphonique entre les deux chefs d’État. »
le bon Roi Charles III rappelle qu’il n’est pas maître gueux.
@ Il s’est déjà décommandé,
Non, c’est macron qui l’a, sur les conseils avisés de sandrine.
@ Montres Kelton…
Ne sont-ce pas nos amis Julien et Nico qui aimaient à collectionner les montres Breitling ?
@ Vers (durin) du côté de chez moi, @ Mauzé sur le Mignon et Amuré, ça risque de péter grave demain, auprès des grandes bassines, malgré la préfète. Gerald a dit que c’était les fils de bourges qui foutaient la merdre. Ouf, le prolétariat ne va plus incarner la chienlit ! Restons binaires : les gros paysans chasseurs ET prédateurs d’eaux dans le coin vont morfler, pour une foik … A dégorger, voie 12 !
@ RM, ah bon ? Charles III serait « un chef d’état » ???? –
(nb/ Il est vrai qu’on sait même puki dirige l’Angleterre comme 1st minister).
Renato,
Vous ne dites rien de/sur vous, contrairement à Jazzi, Clopine et moi-même qui nous investissons personnellement sur ce blog.
Pour ma part, je ne porterai pas un jugement drastique sur vous : je vous prie d’en faire de même avec moi.
De plus, sommes suffisamment échaudés/échauffés.
Et tertio.vous ne connaissez rien de moi.
Ce ne sont pas quatre définitions jetées en pâture qui donnent un portrait fiable d’un individu.
Vous comptez également photocopier mes dires pour les donner à votre avocat ?
Merci,
entendu un dian-dian issu d’une grande école prépa s’indigner dans une manif : « s’ils croient que devant la cata du climat, on va servir le capitalisme jusqu’à 100 pour crever bien avant, hein ! »…
Lafame est l’avenir de Lome, et la petite Greta T. aurait trouvé une remplaçante. Yad l’espoir et dla ferveur, nathanaëlle !
renato dit: à
La montre à 80 000 € c’est une fausse nouvelle relative à votre président vantant de gens de votre acabit. Vous ne vivez que de préjugés et de mythologies d’emprunt… voir vos interprétations à deux balles des films : instruite peut-être, cultivée pas du tout.
Renato
Ce qui vous nourrit, et vos miasmes, ne me concernent en rien.
De plus, de manière générale, je ne comprends rien à ce que vous énoncez. Pas cultivée, sûrement.
Regardez-vous dans un miroir avant que de juger autrui.
100 ans, s’entend… (opus/opus)
Tenez, 3J : « Le monarque, actuellement le roi Charles III, est le chef d’État du Royaume-Uni. Selon l’expression populaire, le monarque anglais « règne mais ne gouverne pas », car il prend très peu part au gouvernement du pays, l’ensemble des pouvoirs provient théoriquement de son autorité. »
C’est vous, rose, qui devriez regarder votre image dans un miroir : donneuse de leçons nourrie de préjugés sur tout et sur tous pire qu’une commère.
Renato
De votre opinion sur moi, je n’en ai rien à carrer.
« Et tertio.vous ne connaissez rien de moi. »
Avec tout ce que vous avez déchargé ici, j’ai une bonne idée de qui vous êtes… et ce n’est pas joli, vous passez votre temps à vous louer et comme vous savez : qui se loue s’emboue.
Bien, comme ça nous sommes réglés, moi je n’ai rien à carrer de toutes vos opinions.
Euh, Rose… L’investissement ici ? Plutôt une addiction, une de plus, dirais-je. L’amour de la littérature m’y a conduite, cet amour venant de la nécessité de comprendre le puzzle éclaté de ma vie, et je ne suis pas bien sûre d’y apporter quoi que ce soit de positif. Mais continuons tout de même, n’est ce pas ?
Le téléphone sonne occupé. Il doit être aux toilettes. Je vais lui dire très clairement ce que je pense : Macron démission, Macron destitution. Ne vous compromettez pas en venant, Votre Majesté.
@ RM -> dans une « démocratie », s’il existe un roi qui « règne », il ne « gouverne » pas. Donc, il n’est pas un chef d’Etat, à proprement parler. Assez finassé ! Inutile de vouloir toujours avoir le dernier mot italien, ça ne sert à rien… Bàv,
Ben oui, continuons Clopine, même si parfois, nous nous heurtons à la Stasi.
Voulez-vous le dernier mot 3J ? bien ! reste que : « La décision après une conversation téléphonique entre les deux chefs d’État. »
Cela dit, en Allemagne et en Italie, pour ne dire que ces deux, le chef de l’État ne gouverne pas. Doit-on en déduire qu’ils ne sont pas des chefs d’État ? avez-vous des autres définitions plus pertinentes de la fonction ? êtes-vous le seul ici qui a le droit de finasser ? peu importe, puisque vos opinions valent 1 rien + 1 rient et 1/2. Portez-vous bien.
euh d’étoles et de chasubles
A porter nue dessous pour l’été. La haute couture minimaliste.
Mort de l’écrivain et journaliste Jean-François Fogel
toujours avoir le dernier mot italien 3j
Mais que vient faire l’adjectif italien dans ce cas?
Est-ce la forme dépréciative masquée de « rital »?
De mon côté, j’ai achevé la lecture du De voir de violence. Hourrah, bravo, génial! Toutefois j’aurais aimé savoir quels passages auraient été copiés.
la Stasi.
Et dire que la rose se torturepatouille toute seule dans son grangeon!
HDB, fermez-là, au lieu de Vous immiscer. Laissez moi finasser avec ritalo et en finir avec luij 🙂 Qui est JF Fogiel, au juste ?
A ce propos, vu le film, à bout portant ( la dernière exécution) diffusée actuellement sur Arte qui relate le fonctionnement de cette police, ses méthodes, ses crimes. L’histoire d’un chercheur pris au piège.
Des impératifs, toujours des impératifs.
Alors D., vos contacts en haut lieu sont-ils fiables ? vous promettez la pluie en forme déluge, ce dont les campagnes auraient grand besoin, et ici nous avons un beau soleil.
Tu quoque, fili !
L’urgence peut attendre
Vous confusez tout en voulant faire le malin en droit constitutionnel comparé, RM : chef d’Etat, chef d’état, président de la république, roi, chef de gouvernement, etc. Sam suffit, vous dis-je ! Restez dans le jugement esthétique et dans le domaine du marché de l’art et du commerce de la peinture et gravure, celui des tableaux-ïdes, lcé. A chacun de savoir rester en son domaine de compétences grangées, sinon d’appétences, comme dis toujours : y’a pas mordome à ne pas essayer de surenchérir… Tchinz ! Bàv,
Ce matin, j’ai trouvé dominique très faiblard par rapport à thomas, hein !
(mais chacun voit son macron à ma porte)
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-debat-economique
Vous aves sans doute raison, 3J, et moi, avec le reste du monde, nous sommes des cons.
@ nous sommes des cons.
C’est vous qui l’induisez des propos tenus en réalité par Me Jzmn, hier sur cette chaine, pour qualifier 80% de la population française censément prête à se jeter dans les bras de Mme Lepène !… Or, icite, n’est pas Giorgia Meloni qui veut…, et il lui faudra se lever plus tôt qu’en Italie pour devenir notre cheffe d’état…, – désolé de vous le dire !
Moij n’ai jamais prononcé les termes que vous employez. Et vous le savez bien, vous pourrez aisément le vérifier avec un minimum d’honêteté intellectuelle tranquille dont je vous crédite (très souvent) par avance.
Bàv,
L’Italie a Meloni et renato le melon.
Tiens, voilà la marionnette !
« marionnette » : il aime ce mot qui contient le prénom de sa politicienne préférée.
Les fantasmes de la marionnette relatifs à mes préférences politiques, j’observe que depuis son entrée en fonction on a l’impression que Meloni veut s’emparer du pays plutôt que le gouverner, car, selon la formule de Gramsci, elle croit avoir l’Histoire dans sa poche et interprète le vote du 25 septembre comme un tournant historique plutôt que comme une simple victoire électorale.
Les fantasmes de la marionnette relatifs à mes préférences politiques, bien à part
Samedi dernier Un homme s’est effondré dans un supermarché de Levallois Perret, victime d’un AVC massif. Il n’a pu être réanimé.Il ne portait sur lui ni téléphone ni papiers d’identité-ce qui lui ressemble bien..c’était un des plus brillants journalistes de sa génération. Jean Francois Fogel..Et pour une fois, la formule est complètement vraie. Dans ses articles, littéraires ou sportifs, il avait le don de trouver une harmonie et une élégance sèche, pour raconter le chaos du monde, avec des paragraphes clairs, des zig zags lumineux, une folle gaieté d’ écrire en respirant large. Aucune pénibilité apparente chez lui..Bref éblouissant,fiable, super informé !..Je me souviens, il nous parlait bien de la littérature hispanique.Ses articles de critique littéraire étaient informés ,élégants, raffinés,construits, clairvoyants.Comme tout ce qu’il écrivait.. Nous étions tous envieux au journal de cet incroyable talent. Il vivait à l’époque à Barcelone et nous racontait, assis sur un coin de bureau, cette ville bouillonnante.. Son petit livre sur Paul Morand reste un modèle . C’était aussi l’ami de Bruce Chatwin .Comme Chatwin, il était un globe-trotter. Ce qui me frappait chez lui c’était sa connaissance si précise de certains sports, aussi bien du rugby que des grandes disciplines de l’athlétisme,que de la Voile .Il était incollable sur l’America’s cup qu’il suivait pendant des mois .Tous ses papiers écrits sur le sport à Libé ou ailleurs sont vraiment un modèle du genre. Bref un journaliste rare.
Je l’ai donc vu travailler, au journal Le Point, pendant plusieurs années, passant d’un bureau à l’autre, entre deux trains, deux avions, deux continents, deux histoires drôles, deux chemisettes à carreaux .
Dans « le Monde, » on trouve une superbe nécro de Daniel Rondeau , son ami; elle en dit beaucoup sur lui
.Voici ces éléments que donne Wikipedia.
« Biographie
Jean-François Fogel naît le 3 mars 1947 à Gargenville. Il est titulaire d’une licence en sciences économiques, et diplômé de Sciences Po en 1971, et du Centre de formation des journalistes2.
Il a travaillé pour l’Agence France-Presse, le journal Libération, Le Point et le Magazine littéraire.
En 1995, Jean-François Fogel, épaulé par Bruno Patino, participe à la création du site internet du journal Le Monde3 pour lequel il a été conseiller dans les années 1990 participant à sa nouvelle formule en 1994, jusqu’en 20021.
Publications
Morand-Express, Grasset, 1980
Pourquoi écrivez-vous ? – 400 écrivains répondent, (avec Daniel Rondeau), Le Livre de Poche, 1988 4
Fin de siècle à la Havane, avec Bertrand Rosenthal, Le Seuil, 1993 5,6
Le Testament de Pablo Escobar, Grasset, 1994
La Havane, avec Jean-Louis Vaudoyer et Olivier Rolin, Le Promeneur-Gallimard, 1994
Le Rugby, (avec Christian Jaurena), J.-C. Lattès, 1994
Une presse sans Gutenberg, avec Bruno Patino, Grasset, 20057,8,9
La condition numérique, avec Bruno Patino, Grasset, 2013
Samedi ou dimanche ?
Syndicats. Entendu des représentants de poids dire ne pas vouloir contester la légitimité de la réforme des retraites adoptée par le Parlement mais demander des délais pour assurer sa mise en oeuvre ; je suis sans doute très naïf, mais cela me semble raisonnable et de nature à trouver un écho favorable chez Borne et son gouvernement. Qu’en pense le peuple ?
Faire de la pédagogie et laisser la démagogie à Mélenchon, Le Pen et Macron ; le Parlement, le gouvernement et les syndicats
Rememb(e)rances
Article 20 Version en vigueur depuis le 05 octobre 1958
Le Gouvernement détermine et conduit la politique de la Nation.
Il dispose de l’administration et de la force armée.
Il est responsable devant le Parlement dans les conditions et suivant les procédures prévues aux articles 49 et 50.
Article 21Version en vigueur depuis le 05 octobre 1958
Le Premier ministre dirige l’action du Gouvernement. Il est responsable de la Défense nationale. Il assure l’exécution des lois. Sous réserve des dispositions de l’article 13, il exerce le pouvoir réglementaire et nomme aux emplois civils et militaires.
Il peut déléguer certains de ses pouvoirs aux ministres.
Il supplée, le cas échéant, le Président de la République dans la présidence des conseils et comités prévus à l’article 15.
Il peut, à titre exceptionnel, le suppléer pour la présidence d’un Conseil des ministres en vertu d’une délégation expresse et pour un ordre du jour déterminé.
Le peuple est d’accord pour un délai.
La proposition vient de Laurent Berger
Et Martinez (cf. ses propos rapportés supra) a reconnu la légitimité du vote de l’AN
( a reconnu la légitimité du vote de l’AN – en venir à devoir formuler de telles évidences …)
« Le peuple est d’accord pour un délai. »
C’est qui le peuple, rose ?
Le peuple est d’accord
Celui du grangeon!
L’anecdote comique de l’histoire récente de la France reste la montre à 80mille€, elle est l’exemple parfait de comment un fantasme crée une fausse nouvelle.
Incidemment, 3J, à propos de chef d’État :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Président_de_la_République_italienne
Le peuple est d’accord
Je grangeonne
tu grangeonnes
il ou elle grangeonne
nous grangeonnons
vous grangeonnez
ils ou elles grangeonnent!
Le peuple est d’accord
Non, je ne suis pas d’accord et ne veux pas grangeonner idiot!
Et encore à propos de chef d’État :
@ « La décision après une conversation téléphonique entre les deux chefs d’État. »
_____________
Incidemment RM pour votre info sur la prétendue discussion entre les 2 chefs d’Etat ! le président de la Répu qui gouverne la France pour qq temps encore, et le roitelet britannique qui croit encore « règner » sur la commonwealth en cherchant à sauver la planéte, … cf… d’une source sûre et impartiale ! (kéké)
https://www.lefigaro.fr/international/l-elysee-reporte-la-visite-de-charles-iii-en-france-20230324
Bàv… et je ne vous accuse pont de pro-mélonisme. Notez le bien soyez m’en gré, comme on dit à la campagne…
__________
@ HDB, j’ai déjà esssssssspliqué que sous mes doigts d’Herdélie, le terme de « rital » n’était pas inamical et encore moins raciste… , aucunement connoté, donc…, depuis le bouquin de mon pote le Cavanna ! Pourriez vous m’en être gré au lieu de vous blanchir de votre honneur ? Merci. Marre à la faim (un brin). Tchin…
@ JL, qui cherche comme nous tous une sortie honorable à la « Laurent Berger », plutôt que d’espérer le chaos voulu par qq prétendus « ultra-gauchistes » infiltrés par les nazis du gud ou autres,… que personne d’icite n’ira jamais défendre… Sans pour autant devenir le Dupont-Moretti encore plus répressif que le Darmanian… On aura tout vu dans cette « macronie », vous dis-je !…
Pensais-j pas qu’on en serait jamais arrivé là, un jour et en si peu de temps.. ! .et dieuséj que j’en essayé de pas en avaler des coups de vestes et des pas mûres, hein Gaston Veston ?!…
et à continuer à croire baloudrement, en quelque chose de pas pourrite pour pas devenir l’aigri ravi de la crèche comme la tache de pkl… hein !
Bàv.
Merci RM pour votre lien…
——–
GP n° 181 ? – Je me souviens surtout du président Sandro Pertini, du temps de l’assassinat d’Aldo Moro par les BR. Et ça ne nous rajeunit point !… A l’époque, j’étais super aux aguets du monde entier, et je retenais tout … Bàv,
N’empche que toute l’herdélie a adopté le terme de grangeon qui se décline désormais à toutes les sauces. Merci qui, rose thé ?
Bàv,
@qui cherche comme nous tous une sortie honorable à la « Laurent Berger »
Simplement le fonctionnement de nos institutions menacé par des chimères ; on en a vu d’autre des « Républiques Démocratiques » autoproclamées se revendiquant de la rencontre d’un homme providentiel et du peuple ; bonne soirée aux sudistes ferrés de toutes les couleurs et paix aux retraités canadiens qui ont bien le droit d’investir dans les entreprises du CAC 40 et de profiter de leurs performances
https://www.youtube.com/watch?v=jREUrbGGrgM
d’autres (à)
Weber est nietzschéen finalement.
https://twitter.com/Maitre_Eolas/status/1639182100778606592?cxt=HHwWgICz8fLbxb8tAAAA
LES SCÈNES PHILOSOPHIQUES DE LA MARIONNETTE
LES SCÈNES PHILOSOPHIQUES DE LA MARIONNETTE
Auteurs
Hélène BEAUCHAMP, Flore GARCIN-MARROU, Joëlle NOGUES, Elise VAN HAESEBROECK
Co-édition
Éditions L’Entretemps et Institut International de la Marionnette avec le soutien de l’Université de Toulouse
https://marionnette.com/recherche-innovation/editions/les-scenes-philosophiques-de-la-marionnette
bonsoir
il n’y a pas si longtemps:
Macron en marionnette d’Attali: une fresque murale qui fait polémique
https://www.francesoir.fr/culture-art-expo/macron-attali-fresque-murale-polemique
Le « Sagesse » de Verlaine c’est très réussi.
Lemaître trouve qu’il est parfois obscur.
« L’espoir luit comme un brin de paille dans l’étable. »
On ne peut pas lui donner tort.
Déjà en 1889 Jules Lemaître rapproche Verlaine des symbolistes et des décadents. Je n’ai pas encor lu le texte mais je pense qu’il trouve qu’une certaine obscurité leur est commune.
Verlaine, poète obscur ?
Ce qui est fou c’est le nombre de livres qu’on ne lit plus. Ici la production de Lemaître.
Ce mathématicien devenu un homme à abattre pour les sbires du Kremlin
Par Antoine Perraud
Azat Miftakhov, mathématicien russe emprisonné pour vandalisme, devrait être libéré cet été. Mais le FSB monte un dossier pour faire de lui un terroriste, en obtenant de faux aveux de pseudo-témoins sous la torture. Deux anarchistes nous racontent à cette occasion comment la machine étatique russe écrase tout.
mediapart
Nietzsche aussi sur le fait que l’Etat a le monopole du vol légitime. Ce que ne fait pas Weber.
Nietzsche insiste aussi sur le fait que l’Etat a le monopole du vol légitime. Ce que ne fait pas Weber.
En fait je crois qu’on peut dire que l’Etat a le monopole de la délinquance légitime. On reste nietzschéen.
Et peut être même celui de la criminalité légitime. On reste toujours nietzschéen.
Weber est petit joueur tout de même.
Il est pas devenu fou à Turin ça se sent.
Les manifestations, ces moments délicats où gauche et droite font l’exégèse de Weber.
On va ressortir « L’Herméneutique ».
Opposant russe à Poutine empoisonné.
Une enseignante de Floride a dû démissionner pour avoir montré des photos du David de Michel-Ange, il s’agirait d’un « Message pornographique ».
Harry risque l’expulsion d’Amérique : « Il a consommé de la drogue et ne l’a pas déclaré avant le visa. »
OpposantE, pardon.
Les manifestations, ces moments où je passe mon temps à expliquer à des messieurs au français approximatif qu’on ne dit pas « démonstration ».
Parler à/avec Paul qui a perdu un homme qu’il estime. Homme de grand talent.
Lundi matin, me suis réveillée avec cette réflexion suite à Péché et Miséricorde : « nous, les êtres humains sommes de pauvres hères. »
Le peuple, ce n’est pas Jean-Claude Gueudet. Ni Niels, ni Lagardère, ni Arnault, ni etc.
C’est nous.
Rememb(e)rances
Le David de Donatello
Azat Miftakhov
Qu’il s’échappe et sauve sa peau avant toute chose.
@dir PE, merci pour la réponse cironstanciée à propos de votre ami J-F Fogel.
Recevez mes excuses pour mon ignorance et mon écorchage… Vraiment!
Bàv et à vos sympathiques chroniques estivales et romaines. Font du bien.
Jean Langoncet dit: à
@Réforme des retraites. Le mot de la fin au secrétaire général de la CGT s’adressant aux élus : « Demain, c’est l’occasion de pratiquer le vote [sur le projet de loi] que vous n’avez pas pu pratiquer jeudi parce que le gouvernement ne l’a pas voulu, par faiblesse. »
Source : BFM-TV, propos retranscrits [transcrits – mise à jour du 24 mars] par Le Monde « live en cours – Retraites, en direct », ce jour [dimanche 19 mars 2023 – mise à jour du 24 mars] à 13H11
@Recevez mes excuses pour mon ignorance et mon écorchage… Vraiment!
« Le pardon ne remplace pas la justice » qu’il a dit Big Ben
Résumons d’un seul tenant des propos un brin obscurs dus à l’absorption inconséquente d’un peu de colle dans la moquette. Et tâchons d’en faire quelque chose de charitable !…
Weber est nietzschéen finalement.
Nietzsche aussi sur le fait que l’Etat a le monopole du vol légitime. Ce que ne fait pas Weber.
Nietzsche insiste aussi sur le fait que l’Etat a le monopole du vol légitime. Ce que ne fait pas Weber.
En fait je crois qu’on peut dire que l’Etat a le monopole de la délinquance légitime. On reste nietzschéen.
Et peut être même celui de la criminalité légitime. On reste toujours nietzschéen.
Weber est petit joueur tout de même.
Il est pas devenu fou à Turin ça se sent.
Les manifestations, ces moments délicats où gauche et droite font l’exégèse de Weber.
On va ressortir « L’Herméneutique ».
Les manifestations, ces moments où je passe mon temps à expliquer à des messieurs au français approximatif qu’on ne dit pas « démonstration ».
Le gestion du monopole des biens de salut,
Le vendredi soir, les brouets sont souvent indigestes. C’et bien normal, il faut se décontracter d’une semaine harassante dans les rues.
Bàv, et à ma soeur FL.orence
Merci d’avoir répondu à la place de Paul Edel, JL ! Je vous en sais gray avec les 50 nuances afférentes,
https://www.youtube.com/watch?v=TRt4hQs3nH0
Bàv,
« Rememb(e)rances »
Alessandro Parronchi, dans Donatello et le pouvoir, ed. Il portolano, Florence 1980, avance l’hypothèse qu’il s’agit de Mercure (Hermès) plutôt que de David. L’article est assez long et articulé pour l’heure qu’il est, mais voilà les questions que l’historien s’est posés :
Pourquoi David a-t-il un pétase feuillu ?
Pourquoi le personnage est-il nu et ne porte-t-il que ses sandales ?
Pourquoi n’a-t-il pas une attitude de guerrier ?
En supposant que ce qu’il tient dans sa main droite soit une pierre, pourquoi n’a-t-il pas de fronde ?
Et la tête de Goliath parce qu’elle est défendue par un casque et ne porte aucune trace du coup mortel, comme le montre le David en marbre.
Pourquoi le casque de Goliath est-il ailé et pourquoi les ailes sont-elles de longueurs différentes ?
Que représente la « scène du triomphe » sur le casque ?
In fine, pourquoi David repose-t-il sur une grande couronne de laurier ?
Sans prétendre répondre à la place de quiconque, souffrez ma simple remarque sur vos aveux ; il est en effet question d’une odeur de « dorade grise » dans le dernier billet de Polo et dans l’entrecuisse du narrateur
Eh, merdre !
Et la tête de Goliath parce qu’elle > Et la tête de Goliath pourquoi elle
c clair comme de l’eau partie en boudin…
Une éjaculation inter-crurale, peut-être ?
aux > au (journal et non mémoires)
Quand je l’appelais blatte, je ne me trompais, hélas, pas du tout.
et je serai raisonnab’, n’en doutez point…
Charles Boukovski ? indémodab’, tout comme la célèbre cuisse de Catherine Paysan – Bàv,
D -… petit bras (yard !)
écorchage ? d’un corsage échancré… (en 8 lettres)
Pâtre Yché,
En attendant la colle… ombelle,
http://mobile.ventscontraires.net/article.cfm/7993_charles_bukowski_henry_chinaski_clochard_celeste.html
Plutôt l’aile que la cuisse.
D, Clopine, Jazzi, Renato, Paul, Janssen J-J
Si on arrive encore un peu a rigoler (sans méchanceté)
https://www.instagram.com/reel/Cp26SPfLll7/?igshid=YmMyMTA2M2Y=
pour changer de sujet, à propos de crédit suisse et des banques européennes… ou la pénibilité induite par les fonds spéculatifs
Résolution d’une énigme : renato et les marionnettes. Il passe sa vie sur ChatGePPeTTo.
Beau texte signé Max Koten sur le blog FANS DE MARCEL PROUST
Secondes peaux
Sitôt obtenu mon diplôme de photographe, la première blouse professionnelle que j’enfilai était de couleur blanche, immaculée, prête à se salir de tâches jaunâtres déposées par les coulures de produits chimiques dégoulinant des bromures et des typons argentiques que je développais.
La deuxième blouse que je passai était anthracite, de la teinte du plomb des caractères d’antan quand on faisait grise mine à les aligner manuellement un par un dans le composteur. Elle correspondait à mes emplois de typographe, de monteur et de correcteur.
La troisième blouse s’était transformée en un élégant costume deux pièces qui affichait avantageusement mon nouveau statut. Responsable de la fabrication d’éditions papier, j’accréditais ainsi ma fonction de donneur d’ordres auprès des chefs d’ateliers qui œuvraient selon mes directives.
La quatrième blouse fut bleue comme un ciel d’été, uniforme attribué au sachant qui professe. L’enseignement technique impose au formateur de s’affubler de l’ethos du maître qu’attendent les élèves de la part de celui qui délivre doctement toutes ses connaissances tout au long de leur apprentissage.
Dorénavant retraité en état de sagesse, mon cinquième blues se montre vaporeux, d’une nuance indéfinissable. Il oscille entre mon cœur et ma conscience et se pose parfois un moment au coin d’un œil où il s’abreuve de larmes transparentes, chargées de nostalgie ou de douloureux regrets.
Si ces mues successives m’ont enchanté, il est une dernière blouse qui manque à mon palmarès. A mes yeux, elle a la couleur de l’accomplissement de soi, d’une vocation réalisée, d’un projet achevé, d’un espoir abouti. Je la briguais au temps de ma jeunesse en imaginant qu’elle ressemblait à un patchwork aux motifs géométriques multicolores. Je porte parfois un vêtement similaire, une simple robe de chambre qui réchauffe mes vieux os lorsque je me trouve assis immobile face au clavier de mon ordinateur, calé entre les deux accoudoirs de mon fauteuil.
Ainsi paré, je rêve de l’instant où cette veste d’intérieur au toucher de velours me métamorphosera en un écrivain trop absorbé à l’exercice de son art pour prendre le temps de s’habiller en tenue de ville. Car si l’image fait cliché, le port d’une veste à la Marcel Proust ne fait pas le moine ; ce déguisement que j’emprunte lorsque je m’adonne à la rédaction de mes publications ne favorise aucunement la survenue de miracles. Alors j’attends le jour où je serai intronisé auprès d’une confrérie dédiée aux écrivains refusés, accoutré d’une pelisse en peau de littérateur le temps de la cérémonie.
https://www.facebook.com/photo?fbid=3387350578260027&set=gm.6159863130773528&idorvanity=123118837781351
« renato et les marionnettes. Il passe sa vie sur ChatGePPeTTo. »
ça c’est drôle, Alexia !
Oui c’est très marrant. Les guignols sont naturellement attirés par les marionnettes mais renato n’étant pas un guignol, ce bon mot m’est interdit.
En quête. Au vu de la tête de Madame Tapie, je demande à nouveau ceci : quelqu’une pourrait-elle expliquer à la RDL le mystère de ces femmes qui se foutent la gueule en l’air à coup d’injections de botox ou autre ? (Etes-vous personnellement concernée par cette pratique ? Si oui ou non, pourquoi ?)
Bàv, en espérant un retour, lcé. Aucune urgence.
QUAND MARCEL BOURSICOTAIT
Lettre non datée mais probablement de mai 1913 de Marcel Proust à Albert Le Cuziat*
« Mon cher Albert,
J’apprends avec beaucoup de tristesse la mort de votre frère car votre chagrin ne peut me laisser indifférent. Et puis je comprends trop le déchirement du cœur de vos pauvres parents pour ne pas les plaindre du fond du cœur. Si j’avais osé je leur aurais adressé un mot de sympathie. En tous cas pour rester inexprimée elle n’est pas moins sincère et profonde.
Je suis navré qu’une fatalité aussi cruelle se soit acharnée sur vous et vos parents que je ne connais pas mais qui ne peuvent m’être que bien sympathiques.
Le contre coup [sic] éventuel dont vous me parlez sur vos affaires d’intérêts est fâcheux puisqu’il vous gêne en ce que vous désirez ; j’ai pour principe de souhaiter la réussite de ce que mes amis désirent, sans trop me demander si c’est sage. Pourtant dans le cas particulier je ne sais si ce serait un bien pour vous. D’ailleurs vous rencontrerez d’autant plus de difficulté que vous arrivez à une période d’argent cher. Je viens pour ma part d’emprunter plus de cent mille francs au Crédit Industriel et le taux de l’intérêt (que j’avoue ne pas me rappeler par cœur mais je pourrais vous soumettre les papiers, si cela vous était [?] utile pour vous-même) est fort élevé. La situation il est vrai s’améliore. Mais comme les états vont tous avoir besoin d’argent et feront des emprunts à des taux très élevés, comme les autres titres ont beaucoup baissé et à cause de cela rapportent beaucoup plus, il sera particulièrement difficile de trouver de l’argent à de bonnes conditions. Avez-vous acheté de l’azote comme je vous l’avais conseillé ? Les actions valaient alors 230 ou 240 francs, elles en valent aujourd’hui 320 à peu près. Peut-être y aura-t-il des reculs. Mais je crois si vous en avez acheté que vous ferez bien de ne pas vous occuper de ces reculs, et de garder la valeur jusqu’à 400 francs au moins. Je crois que c’est une affaire sérieuse quoique encore peu en vogue. Peut-être y a‑t-il un peu de spéculation dans sa hausse actuelle mais cela ne fait rien avec les affaires de la Cie, la justifiant largement et par conséquent même si la spéculation lâche et si un certain fléchissement se produit, les bénéfices ne tarderont pas à relever les cours d’une façon plus stable. J’en ai acheté à 224 et en somme je gagne actuellement 100 fr. par titre.
Hélas je n’ai pas eu le même succès avec [ou sur ?] le reste. Je ne sais si vous avez été au courant de mon récent fiasco avec [ou dans] les Parts de Kinta. Mais aussi si je cours les risques jamais je ne les conseillerais. Tandis que l’azote est une affaire sérieuse. Actuellement c’est trop cher quoique je crois que ce soit au-dessous de son prix.
Encore toutes mes condoléances très sincères et bien cordialement à vous
Marcel Proust »
*Albert Le Cuziat (1881−1938). Breton de dix ans son cadet, il avait connu Proust en 1911 chez le prince Radziwill, où il était premier valet. Après avoir travaillé dans plusieurs maisons aristocratiques, il avait entrepris de faire fructifier son pécule en acquérant un établissement de bains-douches, lieu classique de la prostitution masculine à l’époque. Futur tenancier de maisons closes pour homosexuels, celui-ci se présentait dans les années 30 en déclarant : « Jupien, c’est moi ! ».
Proust lui prêta son concours à l’automne 1913 pour l’acquisition de ce qui deviendra les « Bains Le Cuziat », au 11, rue Godot-de-Moroy, et, toujours avec l’aide financière de l’écrivain, il acquit ensuite l’hôtel Marigny, situé au 11, rue de l’Arcade, dans le VIIIe arrondissement. Céleste Albaret, qui ne l’aimait guère disait, à juste titre, voir la photo, qu’il « avait des yeux de poisson » et qu’il « avait fait de la petite prison ».
http://www.marcelproust.it/imagg/le_cuziat.jpg
La mère de Chéri dans « La Fin de Chéri » boursicote aussi. Manie d’époque. Colette écrit « La Fin de Chéri » dans les années 20 pour une action censée se passer en 1919.
C’est vrai qu’il a des yeux de poissons.
Comment ensuite pouvait-elle prétendre qu’elle ne savait pas que Marcel Proust était homosexuel alors qu’elle savait pertinemment qu’il était proche de Le Cuziat.
Dans « La Recherche » Jupien est un personnage aimable. Le contraire de Morel à tous les points de vue. C’est même voulu par Proust j’imagine. Il construit ses personnages « structuralement ».
Antoine Compagnon qu’il faudrait faire une exposition sur « Proust catholique » et « Proust homosexuel » pour compléter l’exposition sur « Proust juif ». Il a tout à fait raison.
D’autant que pour Proust « être juif » et « être homosexuel » c’est du pareil au même. Voir là encore la construction de « La Recherche ».
Dans « La Recherche » les histoires de bains-douches » c’est Albertine. Il y en a plein dans la première partie de « Albertine disparue ».
la célèbre cuisse de Catherine Paysan
est elle encore lisible ? (pas la cuisse..)
Proust, les gens de maison de cette époque ne cancanent pas.
Albert Mérat resté célèbre pour avoir été remplacé par un pot de fleur dans un tableau de Fantin-Latour et Catherine Paysan passé à la postérité pour avoir essuyé les assauts salaces de Bukowski.
La vie publique est une longue épreuve.
*passée
La renommée des Bains Guerbois est immense. Marcel Proust est un habitué. L’endroit est prisé de la communauté gay de l’époque. Les « forts des halles », ou manutentionnaires, viennent également se doucher ici, puis avaler un café calva après leur labeur. La destruction des halles Baltard et la généralisation des salles de bains dans les appartements parisiens « tuent » le business des bains-douches au début des années 1970.
https://www.lemaraismood.fr/le-fabuleux-destin-des-bains-douches/
FL .De Lemaitre On peut quand même lire à l’ombre des Vieux livres, le Racine, et peut-être les Contemporains.En revanche le Poete et le romancier sont bien morts. JJJ . Il est de fait que la déportation des prêtres , ou leur fusillade, ou leur noyade a Nantes ,est une des pages les plus glorieuses de la Révolution Française . Celle-là qui, après avoir bien commencé , proclame bien vite « « pas de liberte aux ennemis de la Liberté », et parle un sabir Tite-Livien difficilement supportable aujourd’hui.
Oui, mais les bains douches ont été avantageusement remplacés par les saunas, et alii.
Inventaire n° 5 : L’amour à toute vapeur
Autant l’avouer tout de suite, la vraie raison de mon exil à l’autre bout du pays, loin de ma famille, c’est probablement la découverte, vers la fin de l’adolescence, de mon homosexualité. Arrivant à Paris au début des années 70, je pouvais alors m’y adonner tout entier à mon « vice », dans l’anonymat le plus complet. Difficile pour un jeune aujourd’hui, d’imaginer ce que la ville offrait d’opportunités ! Pour tous, à l’époque, le maître mot était : « baiser ». Et les homos ne s’étaient pas encore constitués en une pseudo communauté dont le Marais deviendrait la capitale. Chaque garçon dont on croisait le regard dans la rue semblait une promesse d’aventure. De nombreux lieux publics, de jour et de nuit, favorisaient la rencontre. Des bars, des boîtes, des saunas, tous marqués du sceau de la nouveauté, émergeaient aux quatre coins de la ville. Paris la grise s’était métamorphosée en Paris la rose, un immense lupanar évoquant, même pour ceux qui n’avaient jamais fait d’études classiques, des réminiscences échappées des vieux livres scolaires de latin et de grec. Même au cinéma, on commençait à voir des hommes s’embrassant à pleine bouche, sans que le public n’y trouvât rien à redire. D’un seul coup, par la grâce de l’après mai 68, Paris était devenue subitement homo ! Tout du moins, passablement bi. Les passerelles paraissaient moins étanches. Il n’était pas rare qu’un hétéro veuille tenter une première expérience, pour voir et ne pas « mourir idiot », disait-il, au titre de la libération sexuelle. Bref, personne n’était cloîtré dans son milieu identitaire, dans sa différence, sa spécificité. Tout était plus mélangé. Plus ouvert. Et l’on préférait tous mieux faire l’amour que la guerre. Dans les buissons des Tuileries, les caves de la rue Sainte-Anne, au bois de Boulogne ou de Vincennes, à Saint-Germain-des-Prés, sur les Grands Boulevards, à Montmartre, sur les quais de la Seine, dans la moindre pissotière de quartier, le dernier terrain vague, derrière l’enclos d’un récent chantier… Une multitude de corps confondus, la chair à même la chair, sans soucis de protection, chaque jour recommencé. Une décennie entière, durant laquelle on put chanter le plus bel hymne de la jeunesse.
J’ai toujours aimé les saunas, que je n’ai jamais cessé de fréquenter jusqu’à aujourd’hui.
En voyage, en France ou à l’étranger, je m’empresse toujours de me rendre dans l’un de ces établissements qui, outre la promesse du plaisir physique qu’ils favorisent, constituent la meilleure façon possible d’accéder à la sociologie secrète des villes que l’on visite et à la possibilité d’y nouer des relations privilégiées avec ses habitants.
A Paris, je les ai pratiquement tous testés, depuis les plus anciens jusqu’aux plus récents. On en trouve dans tous les quartiers et ils ont chacun leur particularisme.
Certains ont disparu depuis, d’autres prospèrent encore, rejoints par de nouveaux qui ont pris le relai.
Là, j’y ai fait l’amour et je l’ai parfois rencontré.
Citons le Tilt au 41 rue Sainte Anne (1er arr.), l’un des plus anciens (récemment disparu), des moins chers, à l’ambiance désuète et singulièrement provinciale ; le Gym Louvre, 7 rue du Louvre (1er arr.), fréquenté par de jeunes sportifs passablement guindés ; l’Euro Men’s Club, situé sur les Grands Boulevard, dans le passage des Panoramas et accessible par le 10, rue Saint-Marc ( 2e arr.), vieil établissement au décor néo romain, où de jeunes éphèbes viennent y rencontrer de généreux messieurs nettement plus âgés ; le Sun City, 62 boulevard de Sébastopol (3e arr.), plus récent, occupant tout un immeuble et où prédomine une clientèle juvénile et massivement asiatique ; l’IDM, 4 rue du Faubourg Montmartre (9e arr.), également sur les Grands Boulevards, mon préféré, pour la grande mixité d’âge et de style qu’il brasse, sans exclusive ; le Key West, 141 rue Lafayette (10e arr.), près de la gare du Nord, privilégié par les Blacks, qui aiment principalement les Blacks et accessoirement les Blancs ; Les Bains d’Odessa, 5 rue d’Odessa (14e arr.), au voisinage de la gare Montparnasse et au joli décor en céramique, où de bons pères de famille viennent furtivement satisfaire leurs pulsions secrètes à la sortie de leur travail et avant de prendre leur train de banlieue ; Le King Sauna, 21 rue Bridaine (17e arr.), petit sauna perdu du côté des Batignolles à la clientèle clairsemée ; le Mykonos, 71 rue des Martyrs (18e arr.), pittoresque établissement du bas Montmartre, au décor néo grec de pacotille, où j’ai rencontré Patrice, un étudiant métisse qui y travaillait en tant que masseur et avec lequel j’ai eu une liaison suivie de plusieurs mois, ou encore le Riad, 184 rue des Pyrénées (20e arr.), à l’ambiance orientale et fréquenté par les beurs des banlieues nord-est.
Mentionnons encore quelques saunas, aujourd’hui disparus, et dont deux d’entre eux ont joué un rôle déterminant pour moi. Tels les Bains Sauna de Milan, 22 rue de Milan (9e arr.) ; le Hammam Voltaire, 93 rue de la Roquette (11e arr.) ; le Sauna Horizon, 150 rue Saint Maur (11e arr.), transformé par la suite en bar à backrooms et rebaptisé le Bunker ; le Victor Hugo, 109 avenue Victor Hugo (16e arr.) ; le Sauna Bains Poncelet, 7 rue Poncelet (17e arr.) et surtout le Continental Opéra, 32 rue Louis Legrand, à l’angle du bd des Italiens, (2e arr.), le plus beau, le plus grand et le plus luxueux des saunas parisiens, aménagé dans les sous-sols de l’immeuble Berlitz dès les années 1970, où j’ai rencontré Antonio puis Louis-Fernando et enfin le King Night, 70 avenue de Saint-Ouen (17e arr.), un des rares établissement de bains ouverts toute la nuit, où j’ai rencontré Chedly, qui deviendra le compagnon de ma vie !
https://www.lelezarddeparis.fr/inventaire-1
jazzi et chedly, les deux sales sidaïques, compagnons du vice et propagateurs du sida.
Bientôt la mort vous emportera, salauds.
Comme Proust et Aragon, de profundis…
@ PA : pour saluer J-M Apostolidès, un touche à tout et en même temps, un tintinologue averti
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Marie_Apostolid%C3%A8s Bàv,
Bonne nouvelle : nous sommes en passe de vaincre le sida par la mise au point du vaccin tant attendu. Je l’avais promis à D et B., et suis heureux de pouvoir le leur annoncer, après 35 ans d’attente. Et surtout à ces 180000 patients de nos contrées sous traitements et aux 24000 séropos qui s’ignorent. Espérons que ce vaccin sera intégralement remboursé par notre sécurité sociale, dont le brevet n’ira pas gésir dans des poches avariées des labos américains. Bàv,
——–
https://www.google.com/search?q=sida+vaincu+%3F&rlz=1C1CHBD_frFR843FR843&oq=sida+vaincu+%3F&aqs=chrome..69i57j0i22i30.4574j0j15&sourceid=chrome&ie=UTF-8
le lien
https://www.leem.org/100-questions/vih-sida-bientot-vaincu
La première page du Daily Mail d’aujourd’hui a du plaire à Macron:
« On day of humiliation, French president cancels King’s first state visit- and is mocked over Marie Antoinette moment as he hides a £2,100 watch in TV interview »
« MACRON SURRENDERS TO THE MOB »
Dans les pages intérieures, photos du poignet avec montre, puis du poignet sans montre. D’autant plus grotesque qu’une Bell and Ross autour de 2000 euros n’a rien de scandaleux pour un chef d’Etat…Il paraît que l’Elysée s’est enfoncé en prétendant qu’il l’avait retirée pour ne pas cogner la table (avec le cadran au-dessus c’était quasi impossible…).
Le Mail n’est pas ma tasse de thé, mais ça m’intéressait d’observer la réaction populiste des rosbifs.
M’enfin il veut quoi Macron ? On dirait un morpion qui, à la table familiale, un dimanche, tire la langue et prétend que, oui, on va servir le dessert tout de suite, même si personne n’est d’accord, juste parce que lui en a envie. Alors la table familiale se met à tanguer, évidemment. Et le dessert arrive, sous forme de baffes. Et c’est ça, mon pays ?
Quelques gouttes ce matin, puis beau soleil : le déluge se fait attendre, D.
Elucubrations du milieu d’après-midi
@Rememb(e)rances
Article 20 Version en vigueur depuis le 05 octobre 1958
Le Gouvernement détermine et conduit la politique de la Nation.
Il dispose de l’administration et de la force armée.
Il est responsable devant le Parlement dans les conditions et suivant les procédures prévues aux articles 49 et 50.
Article 21Version en vigueur depuis le 05 octobre 1958
Le Premier ministre dirige l’action du Gouvernement. Il est responsable de la Défense nationale. Il assure l’exécution des lois. Sous réserve des dispositions de l’article 13, il exerce le pouvoir réglementaire et nomme aux emplois civils et militaires.
Il peut déléguer certains de ses pouvoirs aux ministres.
Il supplée, le cas échéant, le Président de la République dans la présidence des conseils et comités prévus à l’article 15.
Il peut, à titre exceptionnel, le suppléer pour la présidence d’un Conseil des ministres en vertu d’une délégation expresse et pour un ordre du jour déterminé.
Nota : le gouvernement Borne est parfaitement capable de gouverner le pays, notamment au regard des accords qu’il a obtenus avec les partenaires sociaux sur le « partage de la valeur » dans les entreprises et l’engagement pris de les inscrire dans une « loi travail » à venir. C’est son rôle de gouverner et non celui de Macron. Le problème n’est pas le recours au 49.3 dès lors qu’il n’y a pas de majorité absolue à l’AN mais qu’un vote de tous les députés est permis, comme ce fut le cas pour la réforme des retraites avec la motion de censure proposée par le groupe LIOT. La démocratie fonctionne. La constitution donne beaucoup de pouvoirs au Président de la République, pourquoi vouloir lui donner, de fait, tous les pouvoirs et lui permettre de se défier du Parlement, du gouvernement, des syndicats … ? Allons-nous vers une nouvelle forme de cohabitation avec un gouvernement qui, au fond, ne ferait qu’exercer les pouvoirs que lui confère la constitution ?
« La Constitution du 4 octobre 1958 a su surmonter l’« épreuve de vérité » (Édouard BALLADUR) de la cohabitation parce qu’elle est porteuse d’une « étonnante souplesse » (Guy CARCASSONNE). En effet, le texte constitutionnel – en particulier, les articles 5, 20 et 21 – est susceptible d’une double lecture :
– une lecture présidentialiste en période de concordance des majorités, c’est-à-dire lorsque le Président de la République et la majorité des députés sont de la même couleur politique. C’est le Président de la République qui est alors le véritable centre d’impulsion du pouvoir : il détermine la politique de la nation.
– une lecture primo-ministérielle en période de cohabitation, au cours de laquelle c’est le chef du Gouvernement, soutenu par la majorité parlementaire dont il est issu, qui gouverne. Cette lecture primo-ministérielle correspond à une lecture littérale de la Constitution puisque le premier alinéa de son article 20 prévoit que c’est le Gouvernement, et non le Président de la République, qui « détermine et conduit la politique de la nation ». En période de cohabitation, le centre de gravité du pouvoir se déplace donc de l’Élysée à Matignon. Cet affaiblissement de la primauté présidentielle ne signifie pas que le chef de l’État est dépossédé de tout pouvoir. Il dispose en toutes circonstances de ses pouvoirs propres, c’est-à-dire des pouvoirs dispensés de contreseing énumérés à l’article 19 de la Constitution (cf. Quelle place la Constitution fait-elle au Président de la République ?). En outre, le rôle du Président reste central dans certains domaines (Défense, Affaires étrangères ou Justice). »
https://www.conseil-constitutionnel.fr/la-constitution/comment-la-constitution-organise-t-elle-la-cohabitation
@ JL et CT… voici la trombine de celzéceux qui vont mettre une baffle au morpion du desert.
On peut toujours rêver … Bàv,
https://www.conseil-constitutionnel.fr/les-membres
GP n° 190. Je me souviens qu’en 1965, anticonstitutionnellement était le mot le plus long de la langue française.
@celzéceux
Le gouvernement, les partenaires sociaux et, en dernier ressort, la représentation nationale
@ RM, l’entretien d’un spécialiste susceptible de vous intéresser. A oublier et pardon pour le doublon si vous l’avez déjà oreillé. Bàv,
https://laviedesidees.fr/Le-genie-de-l-oreille.html
@ Le CLuziat (sauna vs bacroume et 49.3)… Pas étonnant que cette réforme ait été si mal portée à l’AN !… si c’était pour déboucher sur ce genre de scoop, les employés des saunas macroniens de 64 ans seraient plus rapidement entrés dans la protestation à leur tour, pas vrai jzmn ?… Bàv,
https://www.lefigaro.fr/politique/le-ministre-du-travail-olivier-dussopt-revele-son-homosexualite-20230325
« Et c’est ça, mon pays ? »
La clopinocloporte réfléchit.
En parlant de « petite prison ».
L’intérieur de la prison de Mons. Dans un poème, Paul Verlaine en loue la beauté. Les couleurs ont changé : il parle de blanc, de noir. Mais je soupçonne que c’est ce qu’il a connu. Il mentionne le fer forgé. Lorsqu’il y est incarcéré, la prison venait à peine d’ouvrir ses portes.
https://www.7sur7.be/belgique/la-prison-de-mons-n-est-pas-une-zone-de-non-droit~ac56cd91/146735150/
Un autre point de vue. Du blanc et du noir cette fois-ci.
Encore un autre.
https://www.7sur7.be/belgique/un-cas-de-coronavirus-avere-a-la-prison-de-mons~af2e9259/
Les gros beaufs syndicalistes homophobes se la faisant mettre profond par un ministre du travail homo, il en dirait quoi le boug, JJJ ?
Une cellule. Beaucoup moins fouilli à l’époque de Verlaine.
https://www.vanessamatz.be/visite-de-la-prison-de-mons/#jp-carousel-1985
Vrlaine poète réaliste. Il faut que je trouve une édition de ses textes en prose. A part « Les Poètes maudits », je pense qu’on peut jeter un oeil à « Mes Prisons » et « Mes hôpitaux ».
Sinon j’ai terminé la première partie d' »Albertine disparue » et j’en suis assez heureux parce que ça clôt les pages où Marcel Proust ne parle que d’Albertine. Cinq cents pages c’est éprouvant.
Dernière ligne : le narrateur, après Albertine, ne cherche plus qu’Albertine dans les autres femmes. Et il est toujours déçu. Elles ne s’approchent jamais complètement d’Albertine.
J’arrive pas bien à comprendre pourquoi Wikipedia a mis « Les Amies », « Femmes » et « Hombres » à part des autres recueils de poème.
Leur pénible pudibonderie habituelle sans doute.
Ou parce que les recueils ont été publiés « sous le manteau ». Dans ce cas ça se justifie.
« Maurice Barrès lut un discours aux obsèques de Verlaine, et dans un article du Figaro présenta l’œuvre de celui-ci comme « une terre de liberté » pour les gens de sa génération qui dédaignaient la réussite et la reconnaissance de l’Académie. »
Barrès dédaignant l’Académie…
Le champ littéraire. Encore, toujours. Bourdieu for ever.
Les trajectoires dans le champ.
Requiem pour JeanMarie Apostolides, rencontre à Londres, et auquel il ne fallait pas parler d’ Alain Viala. Sa thèse fut massacree en deux volumes par Minuit, ce qui fit que longtemps je la trouvai illisible, ignorant les dessous de l’affaire. C’est dans Victime et Sacrificateur qu’il faut chercher un penseur non trahi et non châtré. Ni son Roi machine, ni son Prince sacrifié ne trouvaient grâce à ses yeux. Attitude courageuse et pas si fréquente en un milieu où la publication prime tout. J’ai aie ce chercheur atypique dans ses communications, érudit dans le choix de ses textes, clair et sans jargon dans celles-ci. Il nous manquera. MC
Merci, JJJ.
Dommage que Lavande ne commente plus ici, il parait que Eric Piolle, le maire écolo de Grenoble, massacre sa ville aussi bien qu’Anne Hidalgo à Paris !
https://www.facebook.com/groups/2575824609219389/
A quatorze heure je me ferai des lerguez comme ça il sera midi.
De l’épouvante et de l’été
https://www.youtube.com/watch?v=bn5TNqjuHiU
@ jzmn, il en dirait quoi le boug, JJJ ?
=> il dirait : faut qu’la justisss passe et qu’les keupus soyent punis par le gode où i-zont péchu 62, hein !…
@ RM, pas de quoi… Est-ce que vous avancez d’une heure aussite en ritalite ?
@ FL, vous êtes aussi balaise sur Verlaine que Guy Goffette ou Chantal… Ce soir, j’ai assisté àun concert autour du Stabat mater dolorosa (Pergogol) dirigé par votre compatriote René Jocobs à la Roroche. 1st time que je le voyais diriger en vrai, le mythique René bin bedonnant. Dommage que le contre tenor américain ne fut pas trop à la hauteur du contre-ut. En revanche, la mezzo-soprane norvégienne était au top de ses capacités voales.
@ M’enfin, hein, c pas tous les jours qu’on nous met du baroque et deux cantates de Bach en 1ère partie dans la contrée, hein. Boudons pas nos plaisirs bourgeois (chaque prolo a les siens).
BN écourtée à tous.tes, l’est déjà dimanche 26 !
Nous devrions conserver l’heure d’été tout au long de l’année ; une journée commémorative pourrait être créée en souvenir de l’heure d’hiver (heure conventionnelle).
26.3 — 9.11
ça fait des années, renato, que l’on nous promet la suppression de l’heure d’hiver !
Aussi improbable que le retour de l’horloge sur la RDL ?
26.3 — 9.19
renato, pensez-vous que le Yéti existe ?
07:42 Heure solaire
Une étrange maison…
Un partisan hollandais sous uniforme russe qui combat les allemands au milieu de troupes cosmopolites anti nazies. Il ne comprend rien de ce qu’ils disent, sauf un espagnol qui baragouine le français. Il disparaîtra, comme tous. Le « héros » se fraye un chemin parmi les cadavres et n’a qu’une idée, survivre. Dans une ville d’eau pas trop abîmée par la guerre, il trouve une maison intacte, avec de la soupe qui finit de chauffer dans la cuisine. Apparemment personne. Il s’installe, sans avoir réussi à ouvrir une mystérieuse pièce verrouillée à l’étage. Il n’est pas très convaincu de sa cause à vrai dire et quand il se retrouve face à un officier allemand auprès de qui il se fait passer pour le propriétaire et qui lui demande de loger ses troupes, il est très korrect.
Mais voilà, les vrais propriétaires reviennent, les russes et les partisans reprennent la ville, la pièce mystérieuse s’ouvre, des chats s’installent, très intéressés par le contenu de la chambre secrète, le vieil obsédé qui y régnait ne comprend rien à ce qui se passe…Le carnage commence.
Fascinant, ambigü…
« La Maison Préservée » de Willem Frederik Hermans, 80 pages.
07:49 heure solaire – Ce décalage de 02 heures par rapport à l’heure solaire est la cause de notables perturbations dans la population déjà passablement perturbée, en particulier chez les enfants qui pendant plusieurs mois trouvent plus difficilement le sommeil le soir et ont du mal à se lever le matin. Chez les adultes, il augmente le risque de survenue de problèmes de santé. Tout ceci et cela au final aggravant le déficit de la sécurité sociale.
Le dernier Cixous sur TTLT
07:57 heure solaire – Le Yéti existe bel et bien, il est de la même gamille que les « bigfoot » du continent américain.
Il s’agit d’une race créée il y a 240 000 ans par les hommes de la civilisation de l’époque, pour servir d’esclaves et de guerriers. Certains se sont échappés et réfugiés dans les endroits reculés de la planète.
Ce sont des êtres très bourrus et très dangereux quand ils se défendent, mais qui n’attaquent jamais les premiers. Ils sont détenteurs de connaissances très rares, qu’ils tiennent des hommes de l’époque, mais qu’ils ne comprennent pas toujours et ont en grande partue deformé.
Ed, la 🍅 tomate contient des lycopènes très bénéfiques pour la santé. Je pense que vous le savez.
J’ai vu un Yeti qui promenait son Dahu dans le versant sud de la Grigna, vers les 2000 m, dans Alpes bergamasques, D. Il était probablement en vacances à la montagne.
Peu à peu, la pleine saison de la tomate va se rapprocher. Suivant les climats, elle se situe entre juin et septembre. En Grèce, on trouve dès fin mai d’excellentes tomates de plein air. Dans le centre de la France, rien de probabt en plein air a avant août-septembre. Dans le midi, dès juillet.
La tomate réclame beaucoup d’eau et est sensible à plusieurs maladies.
Je lis que Hermans est l’un des plus grands écrivains hollandais du 20ième siècle et qu’il a vécu 20 ans à Paris…Son nom ne me disait absolument rien. Ce n’est pas un critère évidemment, mais il me semble que la littérature de langue néerlandaise est très mal connue en France, à part Hugo Claus, mais il est belge…
Qu’en pensent les érudits du blog?
bergamasque a dit renato
Votre âme est un paysage choisi
Que vont charmant masques et bergamasques
Jouant du luth et dansant et quasi
Tristes sous leurs déguisements fantasques.
Tout en chantant sur le mode mineur
L’amour vainqueur et la vie opportune,
Ils n’ont pas l’air de croire à leur bonheur
Et leur chanson se mêle au clair de lune,
@ Cher PA, merci de bien vouloir changer de billet et de remettre l’horodateur à zéro. Nous avons atteint la nouvelle heure d’étai.
@ Marine Masseur a bel et bien disparu avec Yeti @ Dahu dans les masques et bergamasques. Sous la glace, on a pu l’identifier grâce à une Anomalie de son corps, sur le côté droit de son nombril périphérique.
@ Le dernier bouquin de Cormac Mc Carthy est total foutraque… Ai-j eu du mal à la suivre sur la route et en apnée. Le passager parano et absenté a des conversations avec des gens de rencontre de toutes sortes… ils ont des conversations sans lendemain, mais super savantes sur la physique quantique, ou drolatiques et plutôt courtoises sur les femmes, le pouvoir et la richesse, des conversations souvent burlesques (accumulant les mauvais jeux de mots) dans la mise en intrigue des démêlés avec les banquiers ou les flics des renseignements.
Le personnage de Bobby Watson est une sorte de double de Cormac, un suspect en fuite qui ne sait jamais à quel Kafka il a affaire… Il bavarde souvent en soliloquant devant un verre dans les motels les plus minables de l’Amérique, y compris et surtout dans les Etats ruraux les plus arriérés. La narration principale est sans cesse intercalée de morceaux en italiques totalement déglingues, mettant en scène la mémoire de la sœur de Western racontée par un Kid palmé tout aussi déjanté qu’elle, du temps de leur cohabitation dans un asile d’alinés.
Western est le survivant fou d’amour et de chagrin pour sa trop brillante jeune soeur , qu’il croit avoir tuée naguère.
@ cl -> Désorientant, répulsif, aéré, fascinant, ambigu, for #metoo. Un roman testament qui conviendra bien aux troublés du mnésique ayant congédié toute nostalgies romanesques pour mieux se préparer à recevoir autre chose.
(*** Cormac Mc Carthy, Le passager, Paris, éd de l’Olivier, 2023, 537 p., traduit par S. Chauvin- 24,50)
Bàv,
@ Cl… Sans m’estimer érudit le moins du monde, je ne le connais pas non plus, ce Hermans… Il faudfra demander son avis à M. Court, un très grans sépcialiste de Dirk van des Cruysse.
Merci pour votre allusion à Hugo Claus (indépassable auteur du Chagrin des Belges)… Pmp, j’ai approché à plusieurs reprises Cees Nooteboom parce qu’il avait été naguère traduit par une amie, mais je n’ai jamais vraiment accroché avec cet Hollandais volant. Qu’en diraient les érudites du blog ?
Bàv,
@ TTLT, imaginez que n’importe quel clampin aille proposer ce genre de poncifs chez Gallimard… ! et la réaction d’icelui…
(Mais le travail sur la mémoire se heurte inexorablement aux limites de l’écriture. Tout ce qui traverse notre esprit est instable, mouvant, et glisse entre les mains de l’écriture, cette vaine tentative de fixer les choses. La narratrice, trop consciente d’une telle impasse, semble désemparée).
Et maintenant, dites-nous comment il est encore possible de découvrir aujourd’hui sans préjugés, les hauts rêvoirs de madame 6 francs 6 sioux, -comme l’appelait un gros myso de mes connaissances). Cette écrivaine plutôt cotée dans l’histoire de la littérature dite « vaginale », qui n’aurait jamais eu, -selon vous- la vulgarité de publier son journal de confinement, comme son éditeur en reçoit cent par jour.
Vous êtes superbe et généreuse, TTLT/Ed., notre très grande lectrice, mais tellement naïve parfois… Est-ce pour cela, sans doute, que l’on vous aime. Vous semblez si jeune et si fragile, y compris dans votre manière de vous emparer d’un bouquin et de le décortiquer… Avec une obstination qui force mon admiration. Oui, croyez le ou ne le croyez pas… voilà.
Bàv,
encore un syndicat à ne pas oublier:
Le Syndicat du travail sexuel (acronyme STRASS) est un syndicat qui existe en France depuis le 20 mars 20092. Il défend les droits des travailleurs du sexe, c’est-à-dire principalement des prostitués mais aussi des acteurs pornographiques ou encore les opérateurs de téléphone rose3
wiki
ne pas confondre avec:
Il crée le site Strass de la philosophie, participe à de nombreuses revues (Multitudes, Chimères, Trafic…) et dirige la collection « Bifurcations » aux Éditions Kimé. Il enseigne au lycée Jean Jacques Henner à Altkirch.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Clet_Martin
Edwige est fâchée avec moi. Elle ne me parle plus. Je suis pourtant quelqu’un de très intéressant.
coda /// « Je confirme, à mon petit niveau de bloggeuse et d’écrivaine du dimanche non publiée : les mots viennent en écrivant aussi naturellement que l’appétit en mangeant »…
-> (c’est ce que D. expérimente ici tous les jours avec ses endives cuites étalées sur la page blanche) 🙂
@ depuis le 20 mars 20092
Y’a encore de l’espoir pour les travailleurs du sexe, voilà au moins une corporation qu’a jamais eu peur de la retraite à 20064 ans !
en trois lettres, emma : refuge de chartreux ?
Bàv,
Signalons le retour en fanfare de notre ami JMB sur une chaine amicale… Hourrav, l’es pas mort !
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MARS 25, 2023 À 9:17
faut slaver lcul polo..c’est ça qui faut apprende a ses droles et drolesses..sinon ça engendre des monstres quil dit franchesco à anguéla
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Le léZard a vu un film troublant sur un sujet tabou, avec une comédienne prodigieuse, quoique bien jeune…
Peut-on envisager que nos décideurs comme pour le nucléaire se fichent des conséquences à moyen et long terme des ponctions occasionnées par l’édification de méga-bassines. Les hydrologues ne sont pourtant pas avares d’explications tout comme d’autres scientifiques alertent sur les dangers de l’accumulation de tonnes de déchets radioactifs que l’on s’apprête à stocker dans un trou qui sera à terme définitivement débouché et ceci en dépit des réserves de ces mêmes scientifiques. Qu’est devenue la consultation citoyenne en ce qui concerne ces questions graves? Aux oubliettes? A moins que l’investissement ne concerne qu’une solution non pérenne n’y a t il pas danger compte tenu du faiblissement du regime de pluies d’assecher les nappes, d’arridifier les régions concernées jusqu’à création d’un semi-désert. Bien que la problématique soit différente, se souvenir des experiences sovietiques en matière d’irrigation. Ceci dit, j’ai tout de même le sentiment que le ministre de l’intérieur n’est pas champion de l’objectivité. Il me semble qu’un sociologue pourrait expliquer pourquoi tant de manifestations tournent à la violence. La peur, le rejet de décisions centralisées?
Rebouché , non pas débouché.
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