de Pierre Assouline

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La République des livres
De l’effet pervers en littérature

De l’effet pervers en littérature

Pour qui fait profession d’observer la vie littéraire au quotidien, rien n’est réjouissant comme la rencontre inopinée en librairie de deux livres qui paraissent en même temps, sont peut-être disposés innocemment bras dessus bras dessous dans certaines librairies et se parlent à l’insu de leur plein gré, nouant ainsi une discrète conversation dont tout lecteur peut tirer profit. Le cas depuis peu de La nuit sur commande (180 pages, 19 euros, Stock) de Christine Angot et de Déshonorer le contrat (153 pages, 19 euros, Gallimard) d’Antoine Compagnon. Deux essais dont on pourrait penser a priori qu’ils n’ont rien à voir l’un avec l’autre alors qu’à l’examen ils ont tant à se dire.

Christine Angot avait accepté la commande d’Alina Gurdiel et de Manuel Carcassonne, la directrice de la collection « Ma nuit au musée » et le patron des éditions Stock, de jeter son dévolu sur un musée ou une collection (l’ancienne Bourse de commerce investie, c’est bien le mot, par l’homme d’affaires François Pinault il y a quatre ans pour y exposer des oeuvres de ses artistes), d’y passer la nuit à déambuler puis de dormir sur un lit de camp et d’en ramener un livre, le 22 ème de la série. Seulement voilà : qui s’adresse à Angot ne doit pas s’attendre à ce qu’elle fasse autre chose que du Angot sauf à être bien naïf. Trop libre, trop indépendante, trop Angot pour obéir à un autre désir de livre que le sien propre. Ce n’est pas quelqu’un à qui l’on donne une consigne. Encore moins un dispositif d’écriture. Quant à Pinault, s’il en a accepté le principe (après tout, c’est chez lui), et qu’il s’est imaginé que l’écrivaine, comme d’autres de la collection, ferait l’apologie du lieu, sa surprise a dû être aussi grande qu’est haute la verrière de la Rotonde de sa Bourse.

Non seulement Angot est venue avec sa fille Eléonore mais elle n’a pas passé la nuit sur place comme prévu. A une heure du matin, elle en a eu assez et s’est tirée ailleurs. Le musée en question est donc expédié en quelques pages à la fin de son texte, mixtures d’appréciations extraites du Livre d’or et de GPT. Tant mieux parce que ce qu’elle a à dire de l’art et de la littérature mais aussi des mondanités artistiques et littéraires auxquelles il lui est arrivé d’assister sinon de participer, est autrement plus excitant. A Paris, cela va de soi, mais aussi à Châteauroux, Nice, Reims… Car il fut un temps, il y a longtemps, où elle fréquenta ce Milieu, disons plutôt le microcosme de l’art contemporain, jusqu’à devenir l’intime de Sophie Calle, Jean-Michel Othoniel, Christian Boltanski, Claude Lévêque & co, un tout petit monde où l’on brasse souvent des sommes considérables, où des créateurs sont parfois les marionnettes de marchands, galeristes et collectionneurs, où toute conversation de vernissage sur le marché de l’art dévie exclusivement sur le marché au mépris de toute réflexion sur l’art (et dans une ignorance crasse de l’histoire de l’art).

Rejetant le respect des conventions, Angot en fait un récit implacable, une satire tordante mais sans violence ni agressivité car tempéré par l’humour qui explore les rapports de pouvoir et de domination dans un univers où l’argent suinte par tous les pores. Même si le pied-de-nez n’était pas dans son projet, c’est peu dire qu’elle se paie la tête de ses commanditaires même si elle va bien au-delà dans une pure démarche d’écrivaine, rivée à tous moments à son autobiographie pour le moins chahutée (son père, qui l’emmenait adolescente au musée, une fois la nuit venue lui faisait des demandes qui étaient autant de commandes)- et comment en serait-il autrement dès que la célébrité acquise lors du coup de tonnerre de la publication de L’Inceste (1999) a fait d’elle une personnalité invitable et admissible dans ce milieu-là.

La présence de l’étranger y est sollicitée par intermittence avant d’être renvoyée à son statut d’intrus. Piteuse élite qui se donne pour une aristocratie du nouveau goût ! A la place de ses commanditaires, faisant contre mauvaise fortune bon cœur, on dirait qu’un si spectaculaire retournement, la plus inattendue des (dés)installations de la rentrée littéraire de printemps, était espérée. Il en nait une tension suivie d’un apaisement comme on en rencontre rarement dans les récits de soi. Par facilité de langage, on dirait que cette réussite littéraire est l’effet pervers de ce détournement de commande. Encore faudrait-il s’entendre sur le sens de l’expression, si glissant qu’il parait signifier aujourd’hui bien autre chose qu’il y a, disons, une soixantaine d’années. Toute une tendance parmi les psychanalystes et psychiatres n’a jamais supporté que les Foucault, Deleuze, Guattari, Genet, Lacan entre autres détournent la perversion de son sens classique figé par la nosographie médico-légale et l’esthétisent jusqu’à ce qu’un Barthes définisse systématiquement l’écriture par la perversion, un défi à la Loi- et le contrat comme un modèle vénal inspiré par la prostitution.

Au fond, en pervertissant la commande, Christine Angot a contrefait le protocole qui lui était proposé/imposé. Ce qui nous renvoie à Déshonorer le contrat d’Antoine Compagnon. L’historien de la littérature, qui fut autrefois le jeune assistant de Roland Barthes au Collège de France, y examine de plus près les rapports qu’entretenait l’essayiste et théoricien avec la commande. Chemin faisant, ceux qui connaissent mieux son œuvre que sa biographie, y découvriront nombre de détails édifiants. C’est peu dire qu’il ne dédaignait pas les besognes parasites. Antoine Compagnon parle même de mercenariat, de l’apprentissage nécessaire de l’écriture au kilomètre et va jusqu’à affirmer:

« Qui n’a pas été payé à la ligne ne sait pas ce que c’est qu’écrire »

Procrastinateur, Barthes écrit toujours à la demande de quelqu’un, à son incitation, répondant ainsi au désir d’un autre que lui-même. A la fois peine et bienfait, l’écriture lui est une tâche ; c’est pourquoi il la fonctionnarise. Il a besoin d’un contrat pour s’y mettre étant entendu que cela suppose un don et un contre-don. Sarrasine (1830), la nouvelle de Balzac, fut largement étudiée par Barthes comme l’histoire d’un contrat déshonoré dans une société où il convient de tenir ses engagements là où d’autres tentent de faire un enfant dans le dos. Quand on dit « commande », on entend souvent « commandement ». On dira qu’il avait besoin d’argent et de pouvoir. Et puis quoi, il y a quelque chose de stimulant dans ce type de défi. Or bien après, lorsque Fragments d’un discours amoureux, Roland Barthes par Roland Barthes, Le degré zéro de l’écriture, le structuralisme, la revue Tel quel, l’élection au Collège de France en firent un maitre à penser dans certains milieux, il continua mais avec davantage de discernement ; encore que celui-ci lui fit défaut lorsqu’il accepta par exemple de préfacer en 1976 Clefs pour la science-fiction des jumeaux Bogdanoff ( !) ; pour sa chance, bien que son texte fut livré à temps, l’éditeur lui en préféra un autre de Ray Bradbury…

En réenvisageant Roland Barthes sous ce prisme bien particulier, on découvre un tout autre rapport à l’écriture. C’est à se demander si cet écrivain à la plume étincelante, essayiste d’une intelligence si aiguë qu’elle en était parfois inintelligible hors de son cercle, ne fut pas un romancier raté, avorté, mort-né en raison même de son rapport à la demande extérieure. S’agissant d’une fiction, elle doit venir d’un désir intérieur. Dans l’admiration éperdue et jamais démentie de Proust, Barthes aurait rêvé d’écrire une autre Recherche du temps perdu. Or le problème, c’est que ce désir-là ne se commande pas. Comment peut-on désirer un livre qui vous a été commandé ? On aura beau citer l’exemple de Tristes tropiques, l’analogie ne tient pas : Jean Malaurie ne l’avait pas commandé à Claude Lévi-Strauss pour sa fameuse collection « Terre humaine » chez Plon : il le lui avait juste demandé, et c’est toute la différence. La proposition tombait bien, comme tombaient bien les propositions du même genre qu’Albert Skira fit à nombres de plumes prestigieuses pour sa collection « Les sentiers de la création ». En fait, Roland Barthes essaya d’adopter l’attitude d’Igor Stravinsky tel que celui-ci l’exposa dans ses Mémoires :

« Le truc, bien sûr, c’est de choisir sa commande, de composer ce que l’on a envie de composer et de se le faire commander ensuite »

Toute l’habileté consiste non seulement à persuader le commanditaire qu’il est bien, lui et lui seul, à l’origine du projet puis, une fois signé, de se le réapproprier en le poussant à bout jusqu’à une certaine limite. Sous la plume de Compagnon, on découvre que Barthes a été durant toute sa carrière un grand producteur de préfaces notamment à l’intention des patrons de ce qu’on appelait « les clubs », secteur profitable et prolifique dans l’édition des années 1950 à 1990 : la Guilde du livre (Lausanne), le Club français du Livre, le Club du meilleur livre, le Club des libraires de France, le Grand livre du mois, France-Loisirs…

Après une étude un peu trop technique et inutilement fouillée de ce domaine, l’auteur nous révèle que Barthes était du genre à détourner un peu la commande s’agissant notamment des présentations de classiques : La Bruyère, Chateaubriand etc. Et même de classiques modernes où on le voit traiter avec condescendance L’Etranger avant de prendre de haut La Peste alors qu’il est censé « vendre » Camus au lecteur qui doit être mis en appétit. Ses préfaces aux œuvres de Racine connaitront une certaine gloire car recueillies par la suite avec d’autres textes de lui dans son volume Sur Racine, elles seront à l’origine de la fameuse et virulente polémique Barthes-Picard qui enflammera conservateurs et avant-gardistes durant un an au sein de l’université. Tous les livres de Barthes parus de son vivant ont été écrits à la commande, sauf un : Fragments d’un discours amoureux. Son meilleur livre.

(« Roland Barthes dans le rôle de W.M. Thackeray aux côtés de Marie-France Pisier dans Les soeurs Brontë d’André Téchiné, phonogramme D.R. ; « L’Extase de sainte Thérèse, sculpture en marbre du Bernin », 1645-1652, Chapelle Cornaro, Rome, photo Filippo Monteforte)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature de langue française.

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commentaires

1 584 Réponses pour De l’effet pervers en littérature

D. dit: 29 avril 2025 à 10h39

avec ces initiales infamants.

Si ma mémoire est bonne, c’est AAAAAA.
Adhérent Assidu de l’Assocaition des Apôtres de l’Anticonformisme Acharné.

Christiane dit: 29 avril 2025 à 10h41

Ah, ça non, Puck, il n’y en a pas deux qui se ressemblent même ceux qui ont plusieurs pseudos et pas beaucoup de conformisme ici.

puck dit: 29 avril 2025 à 10h43

et je crois que là réside un des problèmes actuels de l’Europe : nous avons appris à n’être que spectateur de la misère du monde.

je veux dire durant des décennies nous avons été spectateurs, nous avons récompensé des photos ou des tableaux montrant les réalités plus sordides sans que cela nous pose aucun problème parce que nous étions comme des seigneurs au dessus de cette réalité et nous regardions avec nos regards d’esthètes cette réalité du haut de notre belle sensibilité.

et aujourd’hui l’Europe est arrivée à un moment de son histoire où elle a à payer l’addition.

mais c’est logique : il fallait forcément qu’un jour ou l’autre l’additino arrive et ce jour est arrivé.

et c’est une des raison,s qui fait que les médias nous dissimulent maintenant une grande partie de la réalité du monde : parce que cette addition est salée !

en fait tout erst lié : esthétioque, éthique, politique : on ne peut pas détacher l’art de la réalité du monde sinon on tombe dans le kitsch.

FL dit: 29 avril 2025 à 10h46

Très difficile de faire comprendre à des étrangers qu’en français lorsque la question est à la forme négative il faut dire « non » pour dire « oui », et « si » pour dire « non ».

Non seulement ils répondent à côté mais en plus ils te reprennent…

D. dit: 29 avril 2025 à 11h17

En fait, c’est un peu l’inverse de ce que vous avez écrit.

En français, lorsqu’on répond à une question négative, on utilise :

« Si » pour affirmer quelque chose, c’est-à-dire pour dire oui à une question formulée négativement.

« Non » pour nier, comme d’habitude.

Exemples :

1. — Tu n’as pas faim ?
— Si, j’ai faim. (Cela veut dire : oui, j’ai faim.)

2. — Tu n’as pas fini ton travail ?
— Non, pas encore. (Cela confirme qu’on ne l’a pas fini.)

Donc :

« Si » est utilisé pour contredire une négation.

« Non » est utilisé pour l’accepter.

Souhaitez-vous que je vous propose un petit exercice pour pratiquer cela ?

et alii dit: 29 avril 2025 à 11h20

d’autres auteurs que Barthes ont joué comme acteurs!
agamben avait incarné, à l’âge de 22 ans, l’apôtre Philippe dans L’Évangile selon saint Matthieu. il écrivit aussi sur les gestes au cinéma

D. dit: 29 avril 2025 à 11h33

Parfait ! Voici un petit exercice. Répondez avec « si » ou « non » selon le sens voulu.

Exercice :

Répondez aux questions suivantes en contredisant ce qui est dit (c’est-à-dire, dites que c’est faux).

1. Tu n’es pas un agent russe ?

2. Tu n’as pas trop commis d’atrocité en envahissant la région russe d’Ukraine ?

3. Zelenski ne t’a pas répondu qu’il acceptait un cessez-le feu ?

4. La paix n’est pas venue hier ?

5. Le missile qui est tombé sur Kiev n’était pas Russe ?

Marie Sasseur dit: 29 avril 2025 à 11h45

@(l’ancienne Bourse de commerce investie, c’est bien le mot, par l’homme d’affaires François Pinault il y a quatre ans pour y exposer des oeuvres de ses artistes), Passou

Elles ne sont pas si nombreuses ces collections privées exposées en musée en France. Si des grands noms de capitaines d’industrie, dans le luxe en particulier, en ont fondé, et ne soyons pas naïfs ai point d’oublier l’optimisation fiscale accordée pour toute exposition d’artiste vivant, il faut être un mange-pavé, boboïsé jusqu’à la moelle pour cracher dans la soupe.
Ceux là même qui préfèrent sans doute être sponsorisés par l’argent public

Bernard dit: 29 avril 2025 à 11h49

La répulsion qu’on ressent en essayant, avec dégoût, de lire les obscénités de Janssen JJ, les servilités de Christiane et les banalités de Jazzi est littéralement écoeurante.
Trois vieux parasites, enfants pauvres issus de l’école publique, qui ont « réussi » à travailler dans des administrations tout aussi publiques avec des salaires médiocres de fonctionnaires serviles sans talent ni compétence et qui, arrivant péniblement à décrocher une retraite ni dorée ni argentée mais juste imméritée, viennent jouer, toute honte bue, les intellos sur ce blog !
Ils me font penser à ce personnage terne, sombre et sans désir de M. Leras dans la nouvelle de Maupassant intitulée « Promenade » qui, à la fin de celle-ci, se pend, dans un parc, avec ses propres bretelles !
C’est l’une des histoires les plus sinistres qui soit pour illustrer la réalité macabre de la condition humaine quand elle touche le fond de sa détresse. De sa vieillesse.
Si M. Leras est un personnage littéraire puissant, notre trio de RATS du blog, Gigi, Cricri et Jazzi, est bien faiblement et médiocrement réel.
Hélas, hélas, hélas !!!

Marie Sasseur dit: 29 avril 2025 à 11h52

Ceux là même qui préfèrent sans doute être sponsorisés par l’argent public.

Vous ne citez pas la papesse C. Millet, why ?

Soleil vert dit: 29 avril 2025 à 12h03

Merci JJJ
Mes lectures actuelles sont très « science-fictives »très loin de ce dont il est question ici, mais je peux vous livrer une anecdote racontée par un jeune physicien également traducteur de la dernière réédition de Dune. En 1998 il avait rencontré Georges Charpak, prix Nobel de physique 1992. Celui-ci lui avait fait part d’une idée saugrenue, surgie inopinément. Puisque nous sommes parvenus à enregistrer des sons sur des disques de cire puis de vinyle (sans compter les rouleaux qui les ont précédé), peut-on imaginer que les artisans des temps passés en utilisant leurs outils sur des poteries, aient pu involontairement graver des bruits, par exemple les airs qu’ils chantonnaient. Charpak s’est livré à quelques expériences mais sans résultat. Le concept a été repris dans un livre récent que j’achèterai peut-être : Sous la brume-Yann Bécu – HSN

D. dit: 29 avril 2025 à 12h05

Ce n’est même pas vrai tout ça et même s’il y avait un tout petit fond de vérité, on ne dit pas les chioses comme ça, on les amène doucement, on les suggère en délicatesse avec de l’amour et sans rabaissement.

Christiane dit: 29 avril 2025 à 12h31

Bernard,
je ne sais de qui vous êtes le pseudo mais ce que vous écrivez donne de vous une image écœurante. Vous êtes infect. C’est facile ! Ici, vous ne prenez aucun risque. Face à face je vous enverrai mon poing dans la gueule.

Christiane dit: 29 avril 2025 à 12h33

Allez, Soleil vert. Je quitte ce blog définitivement. trop de cancrelats ici.
Rendez-vous, plus tard, sur votre blog.

B dit: 29 avril 2025 à 12h54

Hélas, hélas, hélas !!!

Plagiat ou inspiration?
Je ne saurais dire si vos affirmations quant aux talents ou la mediocrité sont justes, justifiables, néanmoins je me sens atteinte car en ce qui me concerne et bien qu’il soit déja tres tard aussi pour moi j’attends toujours la révelation de ce qui pourrait m’etre attribué comme un talent. Bien que le terme « mediocre » désigne en fait tout ceux qui surnagent à un niveau moyen en tentant de garder la tete et l’esprit hors de l’eau pour respirer il a pris un sens très péjoratif et je me situe dans cette catégorie des gens moyens ce qui je crois ne concerne pas les personnes que vous prenez plaisir à déprécier. Changez de boutique si ce lieu ne correspond pas à votre ambition, votre exigence, votre excellence.

B dit: 29 avril 2025 à 13h02

Bonjour D, je vais suivre votre indication vers Chesterton pour le Nommé Jeudi. S’il m’embarque ce sera un filon. Qu’avez vous lu d’autre de cet auteur prolifique et qui vaille de s’y attacher?

B dit: 29 avril 2025 à 13h03

Pour le moment je feuillette les Chroniques de Paul Morand dont j’apprécie l’élégance.

D. dit: 29 avril 2025 à 13h06

Charpak est surtout connu pour sa chambre à fils proportionnelle. Soit dit en passant.

J J-J dit: 29 avril 2025 à 13h26

-Franchement Christiane,… pourquoi offrir ce petit plaisir à ce pauvre type intitulé Barnard ? N’avez vous point reconnu le Jissé (ex JC), depuis le temps qu’il s’emm… à Porquerolles avec ses petites amies, P74 et HC ?, depuis qu’il a été foutu à la porte du bartabâcle…, et qu’ils s’excitent comme ils peuvent pour tromper leur saudade ?
– Merci SV,
– Non non, Morand & Chardonne, c’est la correspondance sommitale de dirphil…
Moij, jamais lu ça. Et vaisj jamais commencer…

B dit: 29 avril 2025 à 13h35

Chroniques 1931-1854.

Page 308, Vetheuil et Giverny. Vous devriez goûter à ses considérations artistiques, entre autres.

B dit: 29 avril 2025 à 13h49

Chesterton a écrit des trucs là dessus, dans le nommé jeudi je crois, les 2 poètes Gregory et Syme, pas facile de savoir lequel défendre, en tout cas l’un des deux est un faux poètes et un vrai agent du FBI ou son équivalent anglais, ça finit par une plongée dans le…  » Puck. D, j’ai fini par vous associer l’un l’autre.

D. dit: 29 avril 2025 à 13h55

Vous pouvez m’associer à Puck avec son accord seulement. L’association pourrait d’ailleurs être reconnue d’utilité publique. Mais ne nous confondez pas.

Phil dit: 29 avril 2025 à 13h58

correspondance sommitale

comme le courant ibérique, il faut savoir alterner sans disjoncter, dear jjj. Présentement redescendu des sommets chardonnesques, lis Géza Radvany, frère de Marai, sorte de Simenon austro-hongrois.

rose dit: 29 avril 2025 à 14h28

Christiane,

Prenez cette phrase de Emma
« Comme on est soi-même, on voit les autres. »
Cela remet radicalement chacun à sa place.

rose dit: 29 avril 2025 à 14h32

Les gens sinistres m’emmerdent royalement. Je n’aime que les gens heureux, joyeux, drôles, résilients.

et alii dit: 29 avril 2025 à 14h34

« Un demi-millier d’artistes, de toutes les disciplines, sculpteurs, peintres, plasticiens, vidéastes, designers, architectes, compositeurs, écrivains, illustrateurs et issus de tous les continents, ont accepté la commande d’un ou plusieurs projets artistiques de la part de Nouveaux commanditaires[19].
https://fr.wikipedia.org/wiki/Nouveaux_commanditaires

Christiane dit: 29 avril 2025 à 15h07

JJJ, D,Rose, vous avez raison. Je voulais vérifier qui apparaîtrait au moment où j’annonçais ma sortie, qui s’en réjouirait.
Je ne m’étais pas trompée. Elle a mordu à l’appât…
Bon, quelle engeance ! Rose, votre maman décrit très bien la personne qui a écrit ce commentaire qui l’a décrit bien…
A un de ces jours.

et alii dit: 29 avril 2025 à 15h16

la page wikihttps://fr.wikipedia.org/wiki/Nouveaux_commanditaires
propose de tres nombreuses références qui suggèrent sans doute des démarches et recherches judicieuses aux personnes intéressées; et aussi en belgique, en suisse ,c’est le premier pas le plus dur, allez, il est presque fait!courage!

D. dit: 29 avril 2025 à 15h23

Selon des milieux journalistiques anglo-saxons très autorisés, lors des obsèques du Pape Francois, notre Emmanuel national a tenté de taper l’incruste dans l’entrevue Trump-Zelensky. Le voyant arriver, Trump s’est arrêté de parler et lui aurait dit quelque chose comme ça : « What’you doing here? You’re not supposed to be here. Go away. »
On en est là.

D. dit: 29 avril 2025 à 15h26

Merci de rester, Christiane. Que l’ignoble Bernard, que je qualifierai sans hésiter de démon de blog littéraire, ne sorte pas victorieux.

D. dit: 29 avril 2025 à 15h29

Vous avez eu une très bonne idée de faire ce petit test. On y voit beaucoup plus clair, maintenant.
Enfin pour moi la situation est limpude.

Phil dit: 29 avril 2025 à 15h46

On en est là

Selon une source uk qui lit sur les lèvres, dédé. Vous lisez on the lips, dear déďé ?

renato dit: 29 avril 2025 à 15h54

J’ai une autre version. Zelens’kyj aurait demandé à Trump : « Pourquoi n’êtes-vous pas habillé en noir, n’avez-vous pas un costume noir ? »

D. dit: 29 avril 2025 à 16h02

Ha ha ha ! Quelle bonne blague, renato.
Seulement moi j’ai l’habitude de parler de choses sérieuses.

et alii dit: 29 avril 2025 à 16h08

Plongez dans « Fêtes et Célébrations flamandes » dès le 26 avril au Palais des Beaux-Arts de Lille !
Du 26 avril au 1 septembre 2025
Le parcours, d’une richesse exceptionnelle, rassemblera plus d’une centaine de pièces : peintures, gravures, dessins et realia (instruments de musique, céramiques…) provenant majoritairement d’institutions belges et françaises, parmi lesquelles les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique et le musée du Louvre, et d’autres musées internationaux. L’exposition emmènera le visiteur dans un univers dont les traditions et les valeurs propres à cette région résonnent encore aujourd’hui.

renato dit: 29 avril 2025 à 16h25

Dédé, je sais que vous avez une petite passion pour les criminels, c’est votre faux côté chrétien. Alors, votre sérieux vaut bien une flatulence.

Marie Sasseur dit: 29 avril 2025 à 17h00

#Car il fut un temps, il y a longtemps, où elle fréquenta ce Milieu, disons plutôt le microcosme de l’art contemporain, jusqu’à devenir l’intime de Sophie Calle, Jean-Michel Othoniel, Christian Boltanski, Claude Lévêque ( un pedocriminel notoire, note de moi) & co,(& les histoires de cul de C. Millet et monsieur, note de moi).

Paraît que ce bouquin est un règlement de comptes, in texte a clé dont il faut découvrir les protagonistes, il y en a désignés par des initiatiales, c’est peut-être pour cela que, finalement, l’art contemporain vous vous en foutez Passou, ce que raconte Angot, des potins, est plus d’un intérêt parisien réduit a quelques nuisibles. Paraît d’ailleurs que Angot n’était plus  » la favorite  » ( le langage très ancien régime) de S. Calle.

A force de ne rechercher que la compagnie de gens toxiques, on va finir par penser que cette pauvre Angot y trouve du plaisir.

Marie Sasseur dit: 29 avril 2025 à 17h13

Il n’y a pas que Pinault et Arnault, dans la life.
A Aix, par exemple, il y a une annexe du musée Granet qui abrite une collection particulière d’un collectionneur suisse , peintre sur le tard, et qui après plusieurs boulots avait fait fortune en mettant au point un aliment pour les cochons. On peut donc dire, que c’est de l’art et du cochon, la vie de M. Planque.

https://www.museegranet-aixenprovence.fr/collections/les-collections/granet-xxe-collection-jean-planque

B dit: 29 avril 2025 à 17h16

Arles 2024, une visite pour oublier la fournaise du dehors et pénétrer dans la fraicheur de la vie de l’au-delà:

https://www.enrevenantdelexpo.com/2024/07/20/sophie-calle-finir-en-beaute-rencontres-arles-2024/

Un homme dont j’appris qu’il était ceinture noire de je ne sais plus trop quoi avait tenu à m’accompagner dans cette pérégrination et je me souviens qu’il était assez fier de son physique, qui d’ailleurs me laissa aussi indifférente que tous les objets exposés post-mortem.

Marie Sasseur dit: 29 avril 2025 à 17h21

Il y a aussi une mécène suisse que j’aime bien, tellement sa démesure est magnifique, avec la tour Luma de Arles.

J J-J dit: 29 avril 2025 à 17h34

d’après le jeu des 1OOO euros, Arles serait la « commune » la plus grande France. Qu’en dites-vous Ma Jeure ?

B dit: 29 avril 2025 à 17h39

Pour le reste, quand on est provinciale, on rame un peu pour ce qui concerne les expo, l’amoindrissement des budgets alloués est patent. Alors qu’auparavant il etait possible d’admirer l’oeuvre de peintres de renom, celles-ci sont de plus en plus rares, espacées dans le temps.

B dit: 29 avril 2025 à 17h50

Bernard, pourriez vous changer de peudo? Benoit, Bertrand, Babar, c’est pas mal aussi.

Bernard dit: 29 avril 2025 à 18h43

Un démon ?! Moi, un démon ?!
N’importe quoi.
Je suis un petit diable, moi, un bon petit diable cher à George Sand.

Bernard dit: 29 avril 2025 à 18h49

Un bon petit diable cher à la Comtesse de Ségur, plutôt.
Merde à George S. !

rose dit: 29 avril 2025 à 19h16

Non.
Moi, j’ai aimé, immodéremment, enfant, Un bon petit diable de la Comtesse de Ségur.
Et j’ai kiffé, plus que grave les cataplasmes que lui mettait -qui ?- pour le protéger des raclées qu’il se prendrait suite au nombre incommensurable de conneries qu’il pouvait faire au kilomètre.
Rien à voir avec ce pseudo horrible et ses commentaires pire que désobligeants : blessants.
Comparons ce qui est comparable.

rose dit: 29 avril 2025 à 19h19

C’est un pharmacien de chez Clopine, Benoît.

Vu votre lien Clopine.
Me trompé-je pour le nom du pharmacien ?
J’avais oublié son patronyme tellement je la pense en tant que Clopine Trouillefou.

MC dit: 29 avril 2025 à 19h27

On sait, par JJJ, que Clopine égale Marie Benoit. Pas de doc sur le pharmacien, si ce n’est qu’elle en a parlé dans ses Rouennaiseries. Mais sans lui donner de nom…
MC

rose dit: 29 avril 2025 à 19h30

Mais si il a un nom le pharmacien des faubourgs de Rouen.
Pas le temps de chercher. Je lis.
Et je pense à ma mère avec les escargots. Crénom. Où elle les mange ou elle les sauve. En disant « les pauvres, il faut bien qu’ils mangent ».

MC dit: 29 avril 2025 à 19h38

Pour le reste, se demander si Le » Nommé Jeudi » a quelque chose à voir avec le FBI, et jeter un coup d’œil aussi à « La Carte et le Territoire », de Houellebecq. Accessoirement, se demander quelle Galerie peut fonctionner de la sorte…

Jazzi dit: 29 avril 2025 à 19h56

« Arles serait la « commune » la plus grande (de) France. Qu’en dites-vous ? »

Quelle est bien grande, la Camargue, JJJ !
Olé !!!

Jazzi dit: 29 avril 2025 à 20h15

« Chaloux dit: 29 avril 2025 à 13h46
Très bien vu, Bernard. »

L’art de l’auto congratulation…

J J-J dit: 29 avril 2025 à 20h21

-> oui c’est la raison, jzmn. La Camargue…
-> je ne crois pas avoir été le découvreur de « Marie Benoit », Pierre ou Marc. Repensej souvent à CT-Maya l’Abeille, suis sûr qu’elle va bcp mieux depuis qu’elle a « délaissé » ce maudit blog et son sale mec. Et Proust itou, dont elle a fini par remarquer qu’il était un brin surfait, comme écrivain. Quant à Bourdieu, là aussi, elle a pris ses distances… Maintenant, elle danse. Elle est libre comme Max, avec un air sur le gazon jauni. La brise est fraiche, les vents du nord ne l’atteignent plus.
https://www.google.com/search?q=il+est+libre+herv%C3%A9+christiani&rlz=1C1GCEA_enFR1067FR1067&oq=il+est+libre+herv%C3%A9+christiani&gs_lcrp=EgZjaHJvbWUyBggAEEUYOTIICAEQABgWGB4yCggCEAAYCBgNGB4yCggDEAAYCBgNGB4yCggEEAAYCBgNGB4yCggFEAAYCBgNGB4yCggGEAAYCBgNGB4yCggHEAAYCBgNGB4yBwgIEAAY7wUyBwgJEAAY7wXSAQk3MjI1ajFqMTWoAgiwAgE&sourceid=chrome&ie=UTF-8#fpstate=ive&vld=cid:050072a1,vid:ufQdOUKHjPQ,st:0
-> le frère de Sandor MaraÏ ? (fil) ah bon, c le désamour avec morand-chardonne ? décidément, les gens sont plutôt instables, vont et vienne des Charentes et partent en Hongrie, on ne sait trop comment… Pourquoi pas Deszo Kostolanyi ?
-> Babacar ou Balthazar, c’est pas mal non plus… Mais quand t’es un kon définitionnel, quel que soit ton nouveau pseudo, tu le resteras toujours… T’auras beau invoquer la Rostopchine, ou faire des blagues d’école primaire, tu resteras un gros conn…d de nigaud, comme Innocent et Simplicie.
Dédé ne sera jamais du côté de la mare aux petits diables. Ouf (kir) !

D. dit: 29 avril 2025 à 20h21

Aucune passion pour les criminels, moi. Il est pas sérieux ce toto. Encore une mauvaise blague de toto le piaf milanais.

Bernard dit: 29 avril 2025 à 20h58

Comme si le calamiteux trio des jazzi, cricri et gigi, ne suffisait pas pour salir ce blog, voici maintenant cette 🐄 vache stérile qui ne mérite pas du tout son pseudo de 🌹 rose qui ramène sa 🍓 fraise !
Trop nulle pour jouer les méchantes, elle fait ce qu’elle peut, cette vieille petite rose…
Mais bon, on ne demande pas à une mouche à merde de jouer les mantes religieuses n’est-ce pas ?

x dit: 29 avril 2025 à 21h06

Ah, MC, puisque vous passez : à propos de la Bourse de Commerce, il me semble que si quelqu’un n’a pas déshonoré son contrat, c’est l’acmh Pierre-Antoine Gatier ; je crois même me souvenir que son travail avait trouvé grâce aux yeux de Didier Rykner. Ai-je rêvé ?

Maurice revient... dit: 29 avril 2025 à 21h13

Les gens de basse extraction, issus des obscures fanges, sans dignité ni noblesse, n’ayant jamais connu le luxe et sans richesse, souffrent toute leur vie de ce complexe inguérissable qu’on nomme La Honte des origines.
Une honte qui érode le corps et tenaille l’âme.
Cette honte aussi originelle que le péché du même nom, les empêche d’avoir ce sens de l’auto-dérision qui est la marque des grands esprits.
Grands, parceque sans complexe ni honte.
À bon entendeur…

Bernard dit: 29 avril 2025 à 21h21

Vous avez raison Maurice.
Les trois âmes vides de Gigi, Cricri et Jazzi sont comme des maisons hantées. Hantées par la Hooooooooonte, houhouhouhouhou !!! 👻 👻 👻

Jean Langoncet dit: 29 avril 2025 à 22h35

@puck dit: 28 avril 2025 à 21h38
jeannot lapin tu sais que t’es pénible à ramener toujours ton obsession du génocide en cours à Gaza.

sérieux on s’en tape complet des génocides : ici on parle de l’art !

je veux dire c’est comme quand tu es en train de te goinfrer avec un succulent homard à la sauce américaine et qu’un imbécile à table commence à parler de gamins qui meurent de faim !

sérieux jeannot tu veux pas arrêter de payer ton wifi ? en plus sur 100 commentaires il y en a 98 de toi !

Du coup mon Koons à Versailles intitulé Let them eat lobster a été sucré par les modos ; keupu, je ne te remercie pas
Quant au wifi, en dehors des zones où je peux capter gratos celui du MacDo du coin, c’est partage de co avec mon vieil Iphone 5s (plus de dix ans de bons et loyaux services sans incident – ce serait presque un sans faute si la maison mère n’avait pas suspendu des mises à jours, ce qui, par conséquent, le rend obsolète pour la plupart des applications actuelles) via mon forfait téléphonique à 15,99€/mois ; une fortune pour un allocataire du RSA socle, mais la chance de pouvoir échanger ici avec toi n’a pas de prix
« Humble dans l’humble fortune, je serai grand dans la grande » disait un vieux grec qui fumait des Fortuna détaxées du côté d’Andorre

Jean Langoncet dit: 29 avril 2025 à 23h13

@(plus de dix ans de bons et loyaux services sans incident – ce serait presque un sans faute si la maison mère n’avait pas suspendu des mises à jours, ce qui, par conséquent, le rend obsolète pour la plupart des applications actuelles)

L’obsolescence programmée, c’est un vrai sujet

Jean Langoncet dit: 29 avril 2025 à 23h21

@renato dit: 29 avril 2025 à 22h34
les héros se déplacent de manière aléatoire, d’autres brodent très soigneusement l’espace

renato en danseuse avale le Ventoux d’une lampée …

rose dit: 29 avril 2025 à 23h26

Y a pas plus dangereux que le Ventoux.
Bonne nuit.
Pas fini mon bouquin.
Point de vue très mitigé. En parlerai demain.

Rosanette dit: 30 avril 2025 à 5h55

Le pharmacien s’appelle Blaise et le texte de clopine sur cet homme est tres joli

Christiane dit: 30 avril 2025 à 7h09

B,
Parmi tous les livres et lectures que j’ai évoqués, il est surprenant -ou son contraire – que vous choisissiez un livre dont j’ai dit qu’il est difficile… Et juste après l’annonce de mon départ définitif. Étrange… Comme la suite de vos commentaires.
Vous arrive-t-il de penser par vous-même autrement que dans le… revenez-y ?

Christiane dit: 30 avril 2025 à 7h10

JJJ, je découvre que vous jouez un double jeu. Ce qui est fréquent sur ce blog.

Christiane dit: 30 avril 2025 à 7h12

Jazzi,
Je pense que vous vous trompez. Bernard n’est pas Chaloux, c’est pire. Souvenez-vous de vos doutes un jour où nous échangions sur l’identité sous pseudo de certains parvers…

Jazzi dit: 30 avril 2025 à 7h20

La vie est un éternel recommencement.
Alain-Fabien Delon annonce la naissance de sa fille et lui donne un prénom emblématique, lié à son père : Romy Delon.

Chaloux dit: 30 avril 2025 à 8h41

« Certains pervers », dit la vieille bique qui t’a traité d’ivrogne pendant des mois, « renseignée » par une laide rose qui sentirait plutôt autre chose.

La vieillesse est une perversion! De plus.

et alii dit: 30 avril 2025 à 8h47

. Henri Thomas, poète et romancier, précise : « On appelait à Marseille un “mômo”, une espèce d’idiot, d’idiot sacré. » Il est bien connu que les poètes racontent des histoires « idiotes », qui n’ont aucun sens…

Christiane dit: 30 avril 2025 à 8h56

Oh, vous le Chaloux, fermez la. Vous êtes le roi des tordus. Vous traiter d’ivrogne était un juste salaire pour toutes vos injures de brute ainée.
Oui, Rose débloque et croit toujours tout savoir sur les uns et les autres, jouant de temps à autre la grande prêtresse. Bah, à chacun sa folie. Mais elle n’est pas méchante comme vous la baudruche qui vous croyez plus intelligent que tout le monde. Vous êtes un sac d’ordures bien puantes.

et alii dit: 30 avril 2025 à 8h58

et pédaler sur commande?
Durant huit semaines, le philosophe Pierre Cassou-Noguès, auteur de La Métaphysique d’un bord de mer (Cerf, 2016) et de La Bienveillance des machines (Seuil, 2022), parcourt le littoral atlantique à vélo pour Philosophie magazine. Objectif de ce périple un peu fou : enquêter sur les effets de la crise environnementale. Étape 2 : les Landes.

et alii dit: 30 avril 2025 à 9h07

chaloux, toutes vos histoires sont un effet de chalousie de touches blanches contre des noires;vous pourriez y mettre un point d’orgue?

Bolibongo dit: 30 avril 2025 à 9h18

et alii connait décidément bien la musique de kiosque!
On en est tout chocolat! 🙂

Bolibongo dit: 30 avril 2025 à 9h21

Revenons donc à la peinture du quotidien.
Celle que l’on ne trouve pas forcément dans les musées officiels de la république!

Christiane dit: 30 avril 2025 à 9h21

Chaloux, et vous comme un fond de culotte. Vous souvenez-vous de vos dialogues avec Ed, immondes…

et alii dit: 30 avril 2025 à 9h28

Rose ne connaissaitpas le tour de SICILE en pédalant philosophiquement:moi non plus; mais maintenant on le sait
. « C’est vrai que l’Etna est l’une de ces ascensions qui font partie de l’Histoire du cyclisme, a-t-il ajouté. Je suis aussi très heureux de gagner sur cette édition qui marque le retour du Tour de Sicile. J’ai également un lien particulier avec cette montée car j’étais ici même l’an passé pour un camp d’entraînement en altitude. Et j’ai également écrit un livre sur la philosophie et le cyclisme, dans lequel des philosophes comme Platon et Socrate montent l’Etna. C’est spécial pour moi de gagner ici. »
https://cyclingpro.net/velopro/course/tour-de-sicile/guillaume-martin-cest-special-pour-moi-de-gagner-a-letna/

Christiane dit: 30 avril 2025 à 9h35

Une garce reste une garce et Chaloux, un pauvre type qui n’a rien de beau à apporter à ce blog. Il est laid et pleutre.
Bon, le menage étant fait, je change d’air.

Chaloux dit: 30 avril 2025 à 9h38

C, vous êtes ignoble. Il y a eu un petit dérapage un jour où, dépassant je suppose sa pensée, Ed me souhaita d’être châtré. Sinon, je ne vois pas. La calomnie est décidément votre élément.

rose dit: 30 avril 2025 à 9h46

Le rose débloque, venant de vous, Christiane, ai du mal à le comprendre.
Mais, réellement, je m’en tape royalement.

Renelle dit: 30 avril 2025 à 9h54

Toc toc désolée de vous déranger une erdelienne à parlé de l’exposition au musée des beaux arts de lille.habitant cette ville je vais donc m’y rendre tres prochainement d’aucun dise que ce musée est le second de France après le Louvre.mais l’ignore si cela est vrai.

rose dit: 30 avril 2025 à 10h02

Je raconte à ma mère.
Voici sa réponse :
De quel droit porte-t-elle un tel jugement (in Le rose débloque).
Je persiste de mon côté, je m’en fous royalement.
Ma mère a de nouvelles lunettes. Je vais pouvoir rapidement récupérer les miennes. Je lui ai offert une magnifique chaîne en perles assortie aux lunettes. Ainsi la vie va.

Alors les injures sur ce blog, macache.

Marie Sasseur dit: 30 avril 2025 à 10h09

Dans la collection  » ma nuit au musée « , éditions Stock on ne trouve pas que des écrivains, il y a aussi Enki Bilal. Et j’aime bien le choix de Chevillard , de passer sa nuit au museum d’histoire naturelle.

Mais c’est chez Picasso, muséede Paris, qu’on trouve beaucoup de picassiettes habitués des raouts people, les Lafon, Slimani et puis et puis, le prédateur, le pervers de la déballe, admirablement épinglé par Judith Bouilloc, comme déjà signalé.

« Le peintre dévorant la femme de Kamel Daoud, introduction à Houris ».

https://blogs.mediapart.fr/judith-bouilloc/blog/090125/le-peintre-devorant-la-femme-de-kamel-daoud-introduction-houris

Christiane dit: 30 avril 2025 à 10h16

Chaloux, hypocrite. Ce n’était pas Ed mais VOUS qui lui demandez si elle aussi avait un peu de caca au fond de sa culotte quand elle pétait. Elle se contentait de répéter inlassablement que sa chatounette pétait. Vous voyez rien ne s’oublie. Vous êtes sale, immonde et ce n’est pas un dérapage c’est votre quotidien ici.

Christiane dit: 30 avril 2025 à 10h20

Et j’ai oublié, Chaloux, la calomnie étant votre spécialité gardez-la. Au moins elle vous donne un contenu. Pour le reste c’est creux vide, malsain. Beurk !

Chaloux dit: 30 avril 2025 à 10h23

C, votre vieux cerveau dérangé vous trompe, à moins qu’il ne s’agisse d’une autre partie de votre anatomie. Cherchez plutôt dans vos correspondances privées avec vos amis!

J J-J dit: 30 avril 2025 à 10h25

8.56 /// Oui parfois je ne comprends pas les réactions zarbies de Christiane P., surtout quand elle est colère envers Henriette Chafoin (ex chaloux) et s’en prend à Rose… Non, icelle ne « débloque » pas… Et perso, je « n’éloigne » pas Clopine, bien au contraire, voyons, j’essaie de voir si elle peut encore réagir à mes propos taquins, ou bien si elle est partie définitivement. Est-ce là « jouer double jeu » ?
« Une garce reste une garce »… M’enfin Ch., que vous arrive-t-il ? Etait-ce bien la peine de vous retenir, hier ?
Cela dit, si vous préférez changer d’air, je pourrais fort bienj le comprendre… Il conviendra néanmoins de rester courtoise avec SV et PE, sans quoi vous risqueriez d’être bannie d’un peu partout, au motif d’être devenue par trop caractérielle. Et non, ça, ce n’est pas possible. Personne ne le souhaiterait vraiment.
Merci @ renato pour le lien sur la très Jolie et Jalentueuse Jeune femme femme au piano synthé sur du Bach.

Bàv, tous pourrains, un pourtoussent. hé hé.

Christiane dit: 30 avril 2025 à 10h25

« et alii dit: 30 avril 2025 à 9h07
chaloux, toutes vos histoires sont un effet de chalousie de touches blanches contre des noires;vous pourriez y mettre un point d’orgue? »
Bien résumé, et Alii. C’est un jaloux qui aurait rêvé d’être Paul Edel, d’avoir sa plume. Hélas quand il évoque un livre, hors, IA. C’est mince et insipide.
Il est comme la grenouille de La Fontaine qui voulait être aussi grosse que le bœuf et qui enfla tant qu’elle creva !

Jazzi dit: 30 avril 2025 à 10h32

On trouvera un grand choix pour la collection « ma nuit au musée », des éditions Stock en parcourant le sommaire de mon guide des musées parisiens.

Outre le Louvre, Orsay et le centre Beaubourg, qui va fermer pour cinq années de travaux, autant de lieux pour passer la nuit !

1er arrondissement :
– Bourse de Commerce
– Musée du Barreau de Paris
– Musée en Herbe
– Centre national du Jeu de Paume
– Musée de l’Orangerie
– Musée de la publicité

2e arrondissement :
– Cabinet des Médailles et Antiques

3e arrondissement :
– Musée d’art et d’histoire du judaïsme
– Musée des Arts et Métiers
– Musée Carnavalet
– Musée de la Chasse et de la Nature
– Musée Cognacq-Jay
– Musée Picasso
– Fondation Henri Cartier-Bresson

4e arrondissement :
– Pavillon de l’Arsenal
– Maison européenne de la photographie
– Musée de la Magie
– Mémorial de la Shoah
– Maison de Victor Hugo

5e arrondissement :
– Musée de Cluny
– Musée Curie
– Muséum national d’histoire naturelle
– Institut du monde arabe
– Musée de la Préfecture de Police
– Musée de la sculpture en plein air
– Musée du service de santé des armées

6e arrondissement :
– Musée de la Bible et Terre Sainte
– Musée-Librairie du Compagnonnage
– Musée Dupuytren
– Musée d’histoire de la médecine
– Musée Eugène-Delacroix
– Musée du Luxembourg
– Musée de la Monnaie de Paris
– Musée Zadkine

7e arrondissement :
– Fondation Custodia
– Musée des Égouts de Paris
– Musée de la Légion d’honneur
– Musée Maillol
– Musée des Plans-reliefs
– Musée du quai Branly
– Musée Rodin
– Musée Valentin-Haüy
– Maison Gainsbourg

8e arrondissement :
– Musée Nissim-de-Camondo
– Musée Cernuschi
– Palais de la découverte
– Musée du Petit Palais
– Musée Jacquemart-André
– Musée de la Marine

9e arrondissement :
– Musée de la franc-maçonnerie
– Musée Grévin
– Musée Gustave-Moreau
– Musée de la vie romantique

10e arrondissement :
– Musée du Chocolat
– Musée de l’Éventail

11e arrondissement :
– Musée Édith-Piaf
– Musée du Fumeur

12e arrondissement :
– Musée des Arts forains
– Musée du Cinéma
– Musée de l’histoire de l’immigration

13e arrondissement :
– Manufacture des Gobelins

14e arrondissement :
– Catacombes de Paris
– Musée du Général-Leclerc-de-Hauteclocque-et-de-la-Libération-de-Paris – musée Jean-Moulin
– Fondation Cartier pour l’art contemporain

15e arrondissement :
– Musée Bourdelle
– Musée Pasteur

16e arrondissement :
– Cité de l’Architecture et du Patrimoine
– Musée de l’Homme
– Musée national de la Marine
– Maison de Balzac
– Musée de la Contrefaçon
– Musée Dapper
– Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris
– Musée Guimet
– Fondation Louis Vuitton
– Musée Marmottan Monet
– Palais de Tokyo et Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris
– Musée du Vin

17e arrondissement :
– Musée Jean-Jacques Henner

18e arrondissement :
– Halle Saint-Pierre, musée d’Art Brut et d’Art Singulier
– Espace Dalí
– Musée de Montmartre

19e arrondissement :
– Musée de la musique

20e arrondissement :
– Pavillon de l’Ermitage
– Pavillon Carré de Baudouin

Christiane dit: 30 avril 2025 à 10h34

JJJ,
« Il conviendra néanmoins de rester courtoise avec SV et PE, sans quoi vous risqueriez d’être bannie d’un peu partout, au motif d’être devenue par trop caractérielle. »

Vous prenez vous pour Pierre Assouline, Paul Edel ou Soleil vert ?vous pour le maître de la censure ? Vos chevilles n’enflent-elles pas quand vous prenez ce ton hautain ?
Basta, en fin de compte vous êtes quelconque…

Chaloux dit: 30 avril 2025 à 10h35

Paul Edel, est un charmant personnage, et pas rancunier pour deux sous. Mais personne ne pourrait être jaloux de lui.

La vieille maîtresse d’école, irascible et brutale, ne connaît que deux attitudes, le léchage de Q et la calomnie. Elle alterne.

Jazzi dit: 30 avril 2025 à 10h41

Vus pensez toujours que je suis responsable de la précédente longue absence de Christiane sur la RDL, JJJ ?

Chaloux dit: 30 avril 2025 à 10h43

Relis toi, vieille rose qui vécut bien plus que ne vivent les roses… Mignonne, n’allons pas voir la rose … etc.

Hurkhurkhurk !

J J-J dit: 30 avril 2025 à 10h46

Merci MMS, pour l’intéressant papier de Mme Bouloc de Médiapart sur Daoud… On comprend bien qu’il serve votre cause haineuse envers cet écrivain talentueux, mais la description de ses fantasmes « empathiques » envers ce qu’il percevait de la créativité de Picasso, ne sont aucunement la preuve de ce que SERAIT Daoud, au plus profond de lui-même. Genre (Nous avons déjà vu SON FANTASME pour les houris, vierges idéales. Le peintre dévorant la femme développe aussi le FANTASME du viol, le FANTASME de la fem
Les écrivains ont le droit de raconter tous leurs FANTASMES, non ?… Ne vous arrive-t-il pas ici de décrire en permanence vos propres FANTASMES misandres ? Or, que peut-on en déduire de votre personnalité anonyme ? Rin du tout, en dehors que vous êtes un brin pénib’, ce à quoi il faut bien s’accoutumer.
Alors, s’il vous plait, merci de cesser de vous porter partie civile dans l’affaire de la coiffeuse Camille Albane. Cela « frise » le ridicule capillotracté. Bàv,

J J-J dit: 30 avril 2025 à 10h55

@ Vos chevilles n’enflent-elles pas quand vous prenez ce ton hautain ? Basta, en fin de compte vous êtes quelconque…

eh bé, dites donc, vous n’y allez pas de main morte ce matin, Christiane. Nous avons certes tous.tes de mauvais moments à passer… Mais pourquoi persévérer ? Vous ne voudriez plus passer pour une gentille fille à l’égard de celzéceux qui jusque là vous estimaient ?

Bàv, demain 1er mai, c’est relâche pour toutes les travailleuses de la lecture et des écriptures 🙂 On hume du muguet, et je vous en offre un brin, bin volontiers. Sans rancoeur ni rankugne 🙂

Chaloux dit: 30 avril 2025 à 10h56

Clopine est partie parce que nous n’étions pas assez LFI à son goût. La pauvre fille est complètement aliénée.

À ce propos, ce pauvre Melenchon n’est jamais monté bien haut mais ses larmes de crocodiles le classent définitivement.

rose dit: 30 avril 2025 à 10h59

C’est moi qui quitte ce blog et sans regrets.
Le nombre de connards qui y sévissent, dont le même 50 pseudos est incommensurable.

FL dit: 30 avril 2025 à 11h03

Le livre d’Antoine Compagnon sur Barthes et les contrats est passionnant.

Le chapitre sur la polémique entre Barthes et Camus dans « Club » est remarquable d’intuition. Ne nous trompons pas Antoine Compagnon est en train de reconstruire. Nulle part une lettre du critique par exemple ne nous dit ce qu’il en a été de la rédaction de ses articles sur le romancier.

Je m’étais fait une certaine opinion des articles sur « L’Etranger » et « La Peste ». Il me semblait que Barthes avait voulu se ranger au côté de Sartre contre Camus. Pourquoi ? Parce qu’il a toujours apprécié Sartre. Son premier livre, « Le Degré zéro de l’écriture » est écrit en référence à Sartre : il y remplace l’engagement moral par l’engagement stylistique. Son dernier livre « La Chambre claire » est un commentaire de « L’Imaginaire ».

Et puis Barthes n’aime pas les allégories. C’est trop appuyé. Il veut de la nuance. Du léger. Dans le chant comme en littérature. Ce qui est voyant est vulgaire, petit bourgeois.

Mais ce que nous révèle Antoine Compagnon sur le directeur du « Club », communiste, auteur d’un article incendiaire sur Camus est stupéfiant : les arguments de Barthes sont exactement ceux du commanditaire.

Par quelle intuition Antoine Compagnon a eu l’idée d’aller se renseigner sur le directeur de Club et ses écrits communistes ? Quoi qu’il en soit c’est très réussi. Pour moi ça change l’interprétation des articles de Barthes du tout au tout. Ou en tout cas ça les amende beaucoup.

Il est en train de vouloir plaire à un directeur de revue. Il écrit même peut-être contre son goût. Il avait rédigé un article très positif sur « L’Etranger » dans « Existence » pendant l’Occupation.

C’est très semblable à la manière dont il a voulu plaire à Sollers dans son article dans « Le Monde » sur leur voyage en Chine, qui loue la Chine, mais qui ne tient pas compte de ses propres sentiments, attestés dans le Journal du voyage en Chine.

L’histoire littéraire évite les erreurs d’interprétation.

(J’écris tout ça de mémoire. Pour les corrections, les dates, les détails, vous voudrez bien vous référer au chapitre consacré à Camus dans « Déshonorer le contrat ».)

P.S. : j’ajoute que les révélations d’Antoine Compagnon rend les articles plus compréhensibles d’ailleurs. La reaction de Camus aux articles était juste était juste : on ne peut pas tout à la fois dire du bien de « L’Etranger » et du mal de « La Peste » puisqu’il y a de l’allégorie dans les deux.

Mais s’il s’agit de plaire à un directeur de revue, on comprend que Barthes n’en soit plus à une contradiction près.

Marie Sasseur dit: 30 avril 2025 à 11h03

J J-J dit: 30 avril 2025 à 10h46

Je n’ai pas souvenir que tu aies mu ce Goncourt de la honte. Moi, si
Je déplorais naïvement que Angot n’ait pas mis la férocité que certains prétendent y trouver sous sa plume, pour dezinguer un falsificateur. Las, Passou, avec ce billet et à l’insu de son plein gré, nous rencarde sur les fréquentations de la dame et ses compromissions. Il a bien fallu admettre, que si Angot n’a pas honoré le contrat, c’est d’abord celui, tacite, avec ses lecteurs. Pour ma part je ne signe pas la reconduction. On va arrêter les frais.

Ps: dis toquard, outre jjj, d puck, et j’en passe, avoue leur aussi pour ed. Qu’ils ne crèvent pas idiots, complètement.

Marie Sasseur dit: 30 avril 2025 à 11h04

Je n’ai pas souvenir que tu aies lu ce Goncourt de la honte. Moi, si.
Connard

Christiane dit: 30 avril 2025 à 11h10

Bien sûr que Ed a été inventée par Chaloux pour inaugurer un dialogue avec une belle jeune femme (photo) et pour nous étaler ses résumés de lecture souvent très scolaires. Chacun a les rêves qu’il peut… Et cet homme complexé essaie ici de se donner l’apparence d’un homme fort, terrible… miteux !

J J-J dit: 30 avril 2025 à 11h13

10.58 un (gros) pb… pour ses chaussettes, surtout.
Mais bàh, sa vieille mère lui avait appris à les repriser. Et l’a toujours aimé le travail des aiguilles. Alors, pas grave, vous en faites pas pour ses chevilles un brin arthritiques, hélas, célavi qui veut ça.

Marie Sasseur dit: 30 avril 2025 à 11h19

D, puck, jjj, ed, alexia, aso, c’est le même petit fonctionnaire du ministère de l’intérieur à la retraite que ses pseudos féminins aient pu faire phantasmer le délinquant du boys club Pélicot, c’est hilarant. Enfin, pas tant que cela, puisque son manège reste inutile.
D’autres s’activent…

Marie Sasseur dit: 30 avril 2025 à 11h27

Angot qui part du musée à une heure du matin, en pétant un scandale devant le petit personnel qui n’en pouvait mais, lol, je trouve que ça a moins de gueule que le tonitruant  » on se leve et on se casse « de sa prédécesseuse chez Drouant.
Angot, définitivement, celle qu’on appelle.

Chaloux dit: 30 avril 2025 à 11h28

Et maintenant, je suis Ed. C, je crois qu’il serait temps pour vous d’entrer en Ehpad.

et alii dit: 30 avril 2025 à 11h31

ON A PARLE de cacao,et
1le cacao ,c’est van houten
2le jeu c’est de proposer un livre par exemple; alors
vous retrouvez Van Houten dans les vanilliers de Limbour(et je donne tout ANGOT dont le dernier livre m’a ennuyée, oui le donne pour les Vanilliers
 » tous les adultes sont des ogres comme Monsieur Van Houten, et dans la maison alourdie par la mousse, bientôt de chocolat, l’espoir a la couleur du papier argenté. » Michel Chaillou.

et alii dit: 30 avril 2025 à 11h39

limbour précision
Georges Limbour, né à Courbevoie le 11 août 1900, et mort à Chiclana de la Frontera, près de Cadix, le 17 mai 1970 (à 69 ans), est un écrivain et poète français, régent d’Ocupodonomie poétique et polaire du Collège de ’Pataphysique

Jazzi dit: 30 avril 2025 à 11h49

Aucun doute sur le fait que Ed est une entité bien réelle.
Son blog en témoigne : articles fouillés (on aime ou pas mais c’est du boulot), photos d’elle, de ses chats et de ses voyages.

Jazzi dit: 30 avril 2025 à 11h53

« * La réaction de Camus aux articles était juste »

Merci de toujours préciser lequel, FL.
Barthes a fait la préface des « Tricks » de Renaud Camus, ce qui a contribué à sa renommée.

rose dit: 30 avril 2025 à 11h55

Bien évidemment que Ed est Chaloux etc.
N’empêche que, en ai la conviction désormais, hors travail conséquent sur soi-même, conséquent et constant, quand on est con on le reste. Tristes cires.

Marie Sasseur dit: 30 avril 2025 à 11h59

J’ai entendu un truc amusant à la radio ; en voici la transcription :
« Depuis Prague, le Français Vassili Le Moigne a imaginé une solution pas bête pour prendre soin de ses proches à distance. Son application InTouch passe des appels quotidiens aux personnes âgées, avec une touche d’intelligence artificielle, pour casser un peu la routine et garder le lien. Une idée qui a vu le jour pour aider sa propre mère… et qui parle à pas mal de monde. »
In journal du geek

Let’s stay in touch. A bon entendeur, heu, à vos sonotones 😁

Ciao

Bernard dit: 30 avril 2025 à 12h01

Christiane, Janssen JJ, Rose et Jazzi,
Calmez-vous, c’est quoi cette haine stupide qui vous rend tous nerveux ce matin, franchement ! Moi je vous aime tous vous savez et vous me faites de la peine vraiment…
Des larmes de grande tristesse coulent sur mes joues et je suis tout émotionné…
De grâce, réconciliez-vous et aimez-vous les uns les autres et…
Mais non j’déconne !!! J’me marre comme un fou en assistant, hilare, à votre spectacle de vieilles marionnettes désarticulées se balançant des vacheries et des énormités entre elles aussi cyniquement que comiquement !
Continuez, bande de vieux faux-culs, continuez votre pitoyable cirque.

Maurice revient... dit: 30 avril 2025 à 12h07

La Rdl est devenue une décharge publique, malheureusement, à cause de ces quatre chiffonniers de l’apocalypse ordurière :
Janssen JJ, Jazzi, Rose et Christiane.
C’est sale, c’est triste.

Jazzi dit: 30 avril 2025 à 12h09

« Les deux grands gagnants de la Nuit des Molières 2025 sont “Le Soulier de satin” et “Du charbon dans les veines”. »

Qui disait ici que le théâtre de Claudel était oublié ?

Christiane dit: 30 avril 2025 à 12h14

FL dit: 30 avril 2025 à 11h03
Le livre d’Antoine Compagnon sur Barthes et les contrats est passionnant (…) »

« Déshonorer le contrat »… Quel titre quand même.
Élève admiratif autrefois, voilà Antoine Compagnon qui prend ses distances et critique les articles de Roland Barthes, écrits tous ou presque sur commande, désirant etret écrits sur commande et grignoter une part de liberté en s’écartant subtilement de la commande. Une contrainte et un plaisir, une perversion ? Se vendre et se rebeller intérieurement puis retourner à la commande. Plaire aux commanditaires sous peine de ne plus avoir de commandes quitte à ne pas écrire ce que l’on pense vraiment du livre ou de l’auteur commenté. Voilà qui m’avait retenue à la lecture du billet de Pierre Assouline, voilà qui m’incite at lire le livre d’Antoine Compagnon à vous lire, FL. D’autant plus que vous évoquez Camus. J’ai toujours aimé Camus, ses essais, ses romans. Dans le tome V de l’œuvre de Barthes, rien sur Camus, idem pour le tome IV. Si j’avais lu cette mise à distance, cette critique j’en aurais été contrariée car j’aime aussi lire Barthes et ses articles précis et parfois sans concession sur des écrivains, des artistes ( je n’ai pas aimé sa page sur Matisse).
Donc pourquoi pas ?
Mais puisque je l’ignore, FL, pourriez-vous me donner les grandes lignes de ses critiques sur Camus ?(surtout sur « L’étranger »). Merci.

Jazzi dit: 30 avril 2025 à 12h15

Bernard, Maurice, c’est des prénoms qui datent de la moitié du siècle précédent, au moins !
ça ne nous rajeunit pas…

Christiane dit: 30 avril 2025 à 12h17

Jazzi -12h09
Oui, mais mis en scène par Eric Ruff comme un au-revoir à la Comédie française… Brillant. (Sept heures quand même mais il semble que les pauses aient été bien ressenties par le public.

Christiane dit: 30 avril 2025 à 12h20

Éric Ruf semble avoir compris le préambule au Soulier : « Il faut que tout ait l’air provisoire, en marche, bâclé, incohérent, improvisé dans l’enthousiasme ! Avec des réussites, si possible, de temps en temps, car même dans le désordre il faut éviter la monotonie. L’ordre est le plaisir de la raison : mais le désordre est le délice de l’imagination. ».

MC dit: 30 avril 2025 à 12h28

Il faudrait savoir: si un tableau « se doit d’être beau », on ne voit pas dans ce cas là ce qui interdit à Wagner d’être Wagner!!! Spécialement dans Tannhäuser, Tristan, ou Parsifal. Je laisse de coté « la ferblanterie Tétralogique » chère à Debussy.

Christiane dit: 30 avril 2025 à 12h39

Suite du 12h20
Et Marina Hands, encore. Déjà extraordinaire dans le rôle d’Yse du « Partage de midi » dans la mise en scène de Paul Beaunesne au théâtre Marigny.

Christiane dit: 30 avril 2025 à 12h41

MC dit: 30 avril 2025 à 12h28
Il faudrait savoir: si un tableau «se doit d’être beau».

Question qui ouvre une béance. Ça change tout !

Bernard dit: 30 avril 2025 à 12h52

T’as raison Jazzi.
Moi j’aime beaucoup ces prénoms ringards.
Y a Régis aussi, très drôle ce Régis.

et alii dit: 30 avril 2025 à 12h59

prénoms
j’ai lu qu’un fils de BAYROU s’appelait Calixte;il aurait quitté la france

Bernard dit: 30 avril 2025 à 13h10

Rose dit: »…moi, je vous emmerde ».
Arrête de m’insulter Rose, sinon Christiane va encore dire que vous « débloquez » !

renato dit: 30 avril 2025 à 13h42

« Il faut que tout ait l’air provisoire, en marche, bâclé, incohérent, improvisé dans l’enthousiasme ! Avec des réussites, si possible, de temps en temps, car même dans le désordre il faut éviter la monotonie. L’ordre est le plaisir de la raison : mais le désordre est le délice de l’imagination. »

Cela ressemble à un extrait d’une conversation avec de Kooning avant que la confusion ne l’emporte. Pas avec les mêmes mots, mais l’idée est là.

Renelle dit: 30 avril 2025 à 14h00

Jazz merci de cette liste des musées parisiens .je piocherai dans celle ci lorsvd’une visite à Paris.!!

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