de Pierre Assouline

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La République des livres
De l’effet pervers en littérature

De l’effet pervers en littérature

Pour qui fait profession d’observer la vie littéraire au quotidien, rien n’est réjouissant comme la rencontre inopinée en librairie de deux livres qui paraissent en même temps, sont peut-être disposés innocemment bras dessus bras dessous dans certaines librairies et se parlent à l’insu de leur plein gré, nouant ainsi une discrète conversation dont tout lecteur peut tirer profit. Le cas depuis peu de La nuit sur commande (180 pages, 19 euros, Stock) de Christine Angot et de Déshonorer le contrat (153 pages, 19 euros, Gallimard) d’Antoine Compagnon. Deux essais dont on pourrait penser a priori qu’ils n’ont rien à voir l’un avec l’autre alors qu’à l’examen ils ont tant à se dire.

Christine Angot avait accepté la commande d’Alina Gurdiel et de Manuel Carcassonne, la directrice de la collection « Ma nuit au musée » et le patron des éditions Stock, de jeter son dévolu sur un musée ou une collection (l’ancienne Bourse de commerce investie, c’est bien le mot, par l’homme d’affaires François Pinault il y a quatre ans pour y exposer des oeuvres de ses artistes), d’y passer la nuit à déambuler puis de dormir sur un lit de camp et d’en ramener un livre, le 22 ème de la série. Seulement voilà : qui s’adresse à Angot ne doit pas s’attendre à ce qu’elle fasse autre chose que du Angot sauf à être bien naïf. Trop libre, trop indépendante, trop Angot pour obéir à un autre désir de livre que le sien propre. Ce n’est pas quelqu’un à qui l’on donne une consigne. Encore moins un dispositif d’écriture. Quant à Pinault, s’il en a accepté le principe (après tout, c’est chez lui), et qu’il s’est imaginé que l’écrivaine, comme d’autres de la collection, ferait l’apologie du lieu, sa surprise a dû être aussi grande qu’est haute la verrière de la Rotonde de sa Bourse.

Non seulement Angot est venue avec sa fille Eléonore mais elle n’a pas passé la nuit sur place comme prévu. A une heure du matin, elle en a eu assez et s’est tirée ailleurs. Le musée en question est donc expédié en quelques pages à la fin de son texte, mixtures d’appréciations extraites du Livre d’or et de GPT. Tant mieux parce que ce qu’elle a à dire de l’art et de la littérature mais aussi des mondanités artistiques et littéraires auxquelles il lui est arrivé d’assister sinon de participer, est autrement plus excitant. A Paris, cela va de soi, mais aussi à Châteauroux, Nice, Reims… Car il fut un temps, il y a longtemps, où elle fréquenta ce Milieu, disons plutôt le microcosme de l’art contemporain, jusqu’à devenir l’intime de Sophie Calle, Jean-Michel Othoniel, Christian Boltanski, Claude Lévêque & co, un tout petit monde où l’on brasse souvent des sommes considérables, où des créateurs sont parfois les marionnettes de marchands, galeristes et collectionneurs, où toute conversation de vernissage sur le marché de l’art dévie exclusivement sur le marché au mépris de toute réflexion sur l’art (et dans une ignorance crasse de l’histoire de l’art).

Rejetant le respect des conventions, Angot en fait un récit implacable, une satire tordante mais sans violence ni agressivité car tempéré par l’humour qui explore les rapports de pouvoir et de domination dans un univers où l’argent suinte par tous les pores. Même si le pied-de-nez n’était pas dans son projet, c’est peu dire qu’elle se paie la tête de ses commanditaires même si elle va bien au-delà dans une pure démarche d’écrivaine, rivée à tous moments à son autobiographie pour le moins chahutée (son père, qui l’emmenait adolescente au musée, une fois la nuit venue lui faisait des demandes qui étaient autant de commandes)- et comment en serait-il autrement dès que la célébrité acquise lors du coup de tonnerre de la publication de L’Inceste (1999) a fait d’elle une personnalité invitable et admissible dans ce milieu-là.

La présence de l’étranger y est sollicitée par intermittence avant d’être renvoyée à son statut d’intrus. Piteuse élite qui se donne pour une aristocratie du nouveau goût ! A la place de ses commanditaires, faisant contre mauvaise fortune bon cœur, on dirait qu’un si spectaculaire retournement, la plus inattendue des (dés)installations de la rentrée littéraire de printemps, était espérée. Il en nait une tension suivie d’un apaisement comme on en rencontre rarement dans les récits de soi. Par facilité de langage, on dirait que cette réussite littéraire est l’effet pervers de ce détournement de commande. Encore faudrait-il s’entendre sur le sens de l’expression, si glissant qu’il parait signifier aujourd’hui bien autre chose qu’il y a, disons, une soixantaine d’années. Toute une tendance parmi les psychanalystes et psychiatres n’a jamais supporté que les Foucault, Deleuze, Guattari, Genet, Lacan entre autres détournent la perversion de son sens classique figé par la nosographie médico-légale et l’esthétisent jusqu’à ce qu’un Barthes définisse systématiquement l’écriture par la perversion, un défi à la Loi- et le contrat comme un modèle vénal inspiré par la prostitution.

Au fond, en pervertissant la commande, Christine Angot a contrefait le protocole qui lui était proposé/imposé. Ce qui nous renvoie à Déshonorer le contrat d’Antoine Compagnon. L’historien de la littérature, qui fut autrefois le jeune assistant de Roland Barthes au Collège de France, y examine de plus près les rapports qu’entretenait l’essayiste et théoricien avec la commande. Chemin faisant, ceux qui connaissent mieux son œuvre que sa biographie, y découvriront nombre de détails édifiants. C’est peu dire qu’il ne dédaignait pas les besognes parasites. Antoine Compagnon parle même de mercenariat, de l’apprentissage nécessaire de l’écriture au kilomètre et va jusqu’à affirmer:

« Qui n’a pas été payé à la ligne ne sait pas ce que c’est qu’écrire »

Procrastinateur, Barthes écrit toujours à la demande de quelqu’un, à son incitation, répondant ainsi au désir d’un autre que lui-même. A la fois peine et bienfait, l’écriture lui est une tâche ; c’est pourquoi il la fonctionnarise. Il a besoin d’un contrat pour s’y mettre étant entendu que cela suppose un don et un contre-don. Sarrasine (1830), la nouvelle de Balzac, fut largement étudiée par Barthes comme l’histoire d’un contrat déshonoré dans une société où il convient de tenir ses engagements là où d’autres tentent de faire un enfant dans le dos. Quand on dit « commande », on entend souvent « commandement ». On dira qu’il avait besoin d’argent et de pouvoir. Et puis quoi, il y a quelque chose de stimulant dans ce type de défi. Or bien après, lorsque Fragments d’un discours amoureux, Roland Barthes par Roland Barthes, Le degré zéro de l’écriture, le structuralisme, la revue Tel quel, l’élection au Collège de France en firent un maitre à penser dans certains milieux, il continua mais avec davantage de discernement ; encore que celui-ci lui fit défaut lorsqu’il accepta par exemple de préfacer en 1976 Clefs pour la science-fiction des jumeaux Bogdanoff ( !) ; pour sa chance, bien que son texte fut livré à temps, l’éditeur lui en préféra un autre de Ray Bradbury…

En réenvisageant Roland Barthes sous ce prisme bien particulier, on découvre un tout autre rapport à l’écriture. C’est à se demander si cet écrivain à la plume étincelante, essayiste d’une intelligence si aiguë qu’elle en était parfois inintelligible hors de son cercle, ne fut pas un romancier raté, avorté, mort-né en raison même de son rapport à la demande extérieure. S’agissant d’une fiction, elle doit venir d’un désir intérieur. Dans l’admiration éperdue et jamais démentie de Proust, Barthes aurait rêvé d’écrire une autre Recherche du temps perdu. Or le problème, c’est que ce désir-là ne se commande pas. Comment peut-on désirer un livre qui vous a été commandé ? On aura beau citer l’exemple de Tristes tropiques, l’analogie ne tient pas : Jean Malaurie ne l’avait pas commandé à Claude Lévi-Strauss pour sa fameuse collection « Terre humaine » chez Plon : il le lui avait juste demandé, et c’est toute la différence. La proposition tombait bien, comme tombaient bien les propositions du même genre qu’Albert Skira fit à nombres de plumes prestigieuses pour sa collection « Les sentiers de la création ». En fait, Roland Barthes essaya d’adopter l’attitude d’Igor Stravinsky tel que celui-ci l’exposa dans ses Mémoires :

« Le truc, bien sûr, c’est de choisir sa commande, de composer ce que l’on a envie de composer et de se le faire commander ensuite »

Toute l’habileté consiste non seulement à persuader le commanditaire qu’il est bien, lui et lui seul, à l’origine du projet puis, une fois signé, de se le réapproprier en le poussant à bout jusqu’à une certaine limite. Sous la plume de Compagnon, on découvre que Barthes a été durant toute sa carrière un grand producteur de préfaces notamment à l’intention des patrons de ce qu’on appelait « les clubs », secteur profitable et prolifique dans l’édition des années 1950 à 1990 : la Guilde du livre (Lausanne), le Club français du Livre, le Club du meilleur livre, le Club des libraires de France, le Grand livre du mois, France-Loisirs…

Après une étude un peu trop technique et inutilement fouillée de ce domaine, l’auteur nous révèle que Barthes était du genre à détourner un peu la commande s’agissant notamment des présentations de classiques : La Bruyère, Chateaubriand etc. Et même de classiques modernes où on le voit traiter avec condescendance L’Etranger avant de prendre de haut La Peste alors qu’il est censé « vendre » Camus au lecteur qui doit être mis en appétit. Ses préfaces aux œuvres de Racine connaitront une certaine gloire car recueillies par la suite avec d’autres textes de lui dans son volume Sur Racine, elles seront à l’origine de la fameuse et virulente polémique Barthes-Picard qui enflammera conservateurs et avant-gardistes durant un an au sein de l’université. Tous les livres de Barthes parus de son vivant ont été écrits à la commande, sauf un : Fragments d’un discours amoureux. Son meilleur livre.

(« Roland Barthes dans le rôle de W.M. Thackeray aux côtés de Marie-France Pisier dans Les soeurs Brontë d’André Téchiné, phonogramme D.R. ; « L’Extase de sainte Thérèse, sculpture en marbre du Bernin », 1645-1652, Chapelle Cornaro, Rome, photo Filippo Monteforte)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature de langue française.

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commentaires

1 584 Réponses pour De l’effet pervers en littérature

Pablo75 dit: 2 mai 2025 à 14h02

Pablo, pour les accords de Minsk, Hollande l’a dit lui-même, il s’est piéger, la vidéo a circulé partout. Tu ne l’as pas vue?
Chaloux dit: 2 mai 2025 à 13h59

Non, et j’ai du mal à croire que ne soit pas une énième manipulation du FSB (ex KGB).

D’ailleurs Merkel dans ses Mémoires raconte la même chose qu’Hollande.

puck dit: 2 mai 2025 à 14h02

« « Ce chapon mou de Hollande a convenu lui-même que les accords de Minsk étaient une imposture. »

Celui-là est l’un de nombreux mensonges élaborés au Kremlin (comme celui de la paix qui devait être signée en Turquie au printemps 2022 et à laquelle Boris Johnson se serait opposé – et tant d’autres délires que Puck répète ici à longueur de journées). Dans ses Mémoires Hollande dit exactement le contraire. »

c’est là où l’on entre dans le domaine de la folie.

dans le déni.

pedro si je te montre une pomme tu auras beau répéter mille fois que c’est une banane n’empêche que ça restera une pomme.

pour Merkel c’est là :

https://www.marianne.net/agora/les-signatures-de-marianne/les-accords-de-minsk-devaient-donner-du-temps-a-lukraine-angela-merkel-jette-un-pave-dans-la-mare

Christiane dit: 2 mai 2025 à 14h03

MC, merci pour cet éclaircissement. Je n’ai pas lu d’autre
livre de lui… A
l’époque où je l’ai
lu, j’étais très
jeune et j’étais
encore étudiante dans une voie
scientifique, à
d’Arsonval, dans le cinquième. Mais je ne
supportais pas les
Cours de dissection.
J’ai fui ! Pourtant
le jardin des Plantes, proche, et
ses arbres centenaires, j’aimais
les dessiner, comme
lire, assise sur une
pierre dans les
Arènes de Lutèce. Je
voulais bifurquer de
la chimie/ Physique
vers la
paléontologie. La
formation
d’enseignante m’a
saisie au vol
laissant ce désir
inabouti comme celui
d’intégrer des études
à Duperré ou répondre à une vocation religieuse… Il y a eu ce livre un peu fou que j’ai beaucoup aimé.
Et me voici aujourd’hui loin de ces possibles du passé les retrouvant dans une brume de souvenirs sans mélancolie. J’ai aimé suivre des imprévus et sans la rencontre à Manosque…j’allais aussi démissionner de l’E.N. pour partir en Inde. C’est drôle tout cela. Il faut regarder le passé comme une fiction puisque tout cela n’a été qu’ébauche et rencontres. Je ne regrette rien mais j’ai un peu perdu Dieu sur la route. S’il existe, il m’attendra dans le cas contraire je serai comme Teilhard l’a écrit : poussière d’étoile dans cet infini et tout sera bien.

rose dit: 2 mai 2025 à 14h05

J’avais le pressentiment de cette vérité, mille fois constatée depuis :  » toute cliente vue est une cliente perdue. » Si j’étais rencontrée par surprise dans le magasin, alors je parlais, je parlais sans arrêt, par timidité ; la fuite dans le discours : combien de bavards, dont on plaisante l’assurance, ne sont au fond que des silencieux qui ont peur du silence.

Parfois, Coco Chanel se cachait aussi dans le placard.

Chaloux dit: 2 mai 2025 à 14h08

Toto n’apprécie pas qu’on lui rappelle sa carrière ancillaire!

renato dit: 2 mai 2025 à 14h16

Ah ! Le parvenu et son os, il ressemble à un transfuge qui déteste ses origines.

J J-J dit: 2 mai 2025 à 14h21

@ aujourd’hui je préfère avoir tort avec Rousseau que raison avec Angot. (voir supra, bien avant les débats géopolitiques) @ Moij, le juif apatride comme Daniel, je préfère avoir raison et tort avec toutes les deux. A vrai dire, nous sommes dans un moment de bascule civilisationnelle où ne pas choisir entre le viol musulman et l’inceste catholique reste la meilleure solution. Attendre la paix froide, l’extinction de la question du genre, l’asymptote de la dialectique vie/mort et de la pluralité sexuelle, le suicide de l’entente fraternitaire, et le roman néo-malrucien de la contradiction humaine. @ Histoire de condamner les sottises de l’humour transitoire perceptibles sous leurs humeurs pécantes. => J’y vaisj, à la manif, seul. Hier aij pas pu, hélas, j’avais pas mon bermuda des jours fériés. Bàv @ +++ les marsupiaux farcis 🙂

D. dit: 2 mai 2025 à 14h24

il appartient à un cercle culturel qui n’est pas le nôtre

–

C’est à nuancer, Chaloux. Il est très admirateur de la culture française. Mais la vraie. Celle d’avant. Pas la dépravation tous azimuts de ces dernières décennies, et surtout pas celle qui se couche et gémit devant l’UE tenant un bâton.

Pablo75 dit: 2 mai 2025 à 14h28

La preuve que Puck sait très bien qu’il n’est qu’une Pute Pathétique Payée Par Poutine est que quand on lui met le nez dans le caca de ses mensonges systématiques, au lieu d’essayer de se défendre, il se met à délirer, à parler de Jaroussky, du franquisme ou des catalans – la vieille tactique kagebiste de changer de thème quand on est en difficulté.

Il est vraiment pathétique, il me fait de plus en plus de peine, j’ai l’impression de taper contre un vieillard qui ne peut plus se défendre, j’ai peur de lui donner la raclée de trop.

renato dit: 2 mai 2025 à 14h30

«… numéro anti-trumpiste… » ?!

Enfin Bernard, j’ai seulement dit que « Trump ne veut pas que les commerçants déclarent l’impact des tarifs douaniers sur les prix. », ce n’est qu’une observation.
Quant à vos traces de bave, la bonne nouvelle est qu’elles sont ce qu’elles semblent être.

Chaloux dit: 2 mai 2025 à 14h34

D, j’admire la littérature et la musique russes, je n’ai pas changé de cercle pour autant.

Toto, il y a quand même un mystère. Comment un type comme toi, rejeton de l’élite italienne, auteur d’une œuvre musicale sans doute incontournable, est-il devenu larbin d’hôtel dans un trou de province français?

Il ne m’est rien arrivé de tel…

Pablo75 dit: 2 mai 2025 à 14h34

« Poutine est un homme qui au XXIᵉ siècle mène une guerre du XXᵉ pour atteindre des objectifs du XIXᵉ. »

Jonathan Littell. « De l’agression russe. Écrits polémiques. »

Jazzi dit: 2 mai 2025 à 14h35

« un pauvre parvenu »

Pourquoi tant de mépris pour les parvenus, renato, qui par définition ne sont plus pauvres.
Il s’agit généralement d’individus qui se sont enrichis et élevés socialement.
Des transclasses en quelques sorte, comme disent les sociologues.
D’anciens représentants des classes populaires qui se sont embourgeoisés, plus rarement aristocratisés.
Avec un semblable lots de crétins et de gens estimables.

Chaloux dit: 2 mai 2025 à 14h43

Heureusement pour lui, il n’est pas à mon service. Il aurait fait connaissance avec mon knout!

renato dit: 2 mai 2025 à 14h43

Il faudra me donner l’adresse de l’hôtel où j’aurais travaillé, je pourrais leur réclamer une part de ma retraite… ah, c’est vrai que le parvenu est porteur d’un imaginaire fait de petites calomnies, par ailleurs il a déjà été chassé d’ici une fois.

Jazzi dit: 2 mai 2025 à 14h48

Nom commun
Singulier Pluriel
parvenu parvenus
\paʁ.və.ny\
parvenu \paʁ.və.ny\ masculin (pour une femme, on dit : parvenue)

(Péjoratif) Personne qui s’est élevée rapidement au-dessus de sa condition première sans avoir acquis les manières, le ton et le savoir-vivre qui conviennent à son nouveau milieu.

« Je suis une enfant de parvenu, ou de conquérant, c’est la même chose. » (Anatole France, Le Lys rouge, 1894)

« Les parvenus doivent, dans le monde, avoir mille ménagements pour que leur fortune ne soit pas trop humiliante pour autrui. »
(Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922)

Chaloux dit: 2 mai 2025 à 14h48

Je ne suis pas familier des hôtels de passe de la province profonde!

Terminus?

Hurkhurkhurk !

D. dit: 2 mai 2025 à 15h03

Tu te classerais parmi les parvenus, Jazzi ? Pourquoi pas, d’une certaine façon. Je ne dis pas non.
Il faut aussi considérer que les moyens, le patrimoine, n’en sont qu’un aspect. Il faut aussi construire -ou restaurer- une tradition, une culture, une morale. Il faut honorer son nom et il faut ensuite réussir à transmettre.
Vaste programme.

Renelle dit: 2 mai 2025 à 15h03

Ce qui est bien sur ce site littéraire ayant parcouru billets et commentaires des années précédentes à celle ci (ai le temps ) c est dépassées les querelles très bysantines de certains contributeurs ou trices,certes anciens (nes)je puisse au gré de ma lecture acquérir des notions des mots que j’ignorais.mercijjj pour péccantes je ne sais si je l’emploierai mais l’ai ajouté à mon carnet .
Jazzi allez vous voir le film de Tim mielants « tu ne mentiras pas  » sur la rencontré d’un livreur en 1985 en Irlande avec les sœurs d’un couvent .j’irai demain.

Claudio Bahia dit: 2 mai 2025 à 15h13

Chaloux
Il en est aussi question dans les souvenirs d’un fonctionnaire français voyageant en Russie à la fin du XIXe siècle (collection Le temps retrouvé). Son nom m’échappe.

A. de Custine ?

J J-J dit: 2 mai 2025 à 15h28

Avoui, @ renelle, …peccantes avec deux C, merci, un peu comme les noix de… Je l’avais gardée ne moin cette humeur, en souvenir de Molière, et du Médecin malgré lui, Bàv
https://moliere21.cnrs.fr/humeurs-peccantes/
Si ça continue, je vais finir par me charouler (voir Patrice)…
15.13 / ah bon ? … Astolphe était un petit fonctionnaire (diplomatique) français ? Vous avez raison, c’est bin lui, Le marquis de Custine, encore un pare venu ! Mais l’aimait pas vraiment la grande Russie, à ce que j’avions cru comprendre
https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Russie_en_1839

Claudio Bahia dit: 2 mai 2025 à 15h28

Et puisque je suis de passage ici, je vous informe qu’à partir de lundi je commence le Chemin de Compostelle; je partirai de Porto, praça da Sé devant la cathédrale. Je pense le faire en cerca de 14 jours, environ 300 km en tout, mais je ne devrais mieux ne pas le dire car je ne suis pas sûr de pouvoir le terminer, mais j’essayerai
Entre-temps, Puck et Pablo por l’amor de Deus, calmez-vous !!!

J J-J dit: 2 mai 2025 à 15h30

J J-J dit:Votre commentaire est en attente de modération.
2 mai 2025 à 15h28
Avoui, @ renelle, …peccantes avec deux C, merci, un peu comme les noix de… Je l’avais gardée ne moin cette humeur, en souvenir de Molière, et du Médecin malgré lui, Bàv

(***il ne faut jamais mettre deux liens dans le même message, le robot n’aime pas trop ça…)
https://moliere21.cnrs.fr/humeurs-peccantes/
Si ça continue, je vais finir par me charouler (voir Patrice)…
15.13 / ah bon ? … Astolphe était un petit fonctionnaire (diplomatique) français ? Vous avez raison, c’est bin lui, Le marquis de Custine, encore un pare venu ! Mais l’aimait pas vraiment la grande Russie, à ce que j’avions cru comprendre

Claudio Bahia dit: 2 mai 2025 à 15h34

et juste autre chose:
avec mon épouse nous aimerions visiter Paris, seulement pour visiter la cathédrale, et la Sainte Chapelle (je viens d’apprendre que c’est un endroit éblouissant, avec plein de vitraux).
Alors si Jazzi ou Closer ou D (?) ont des conseils pour cette visite, merci d’avance. Je pense que ce sera dans la mi-juin.
et j’ai oublié ce que m’avait indiqué Pablo pour une librairie de livres d’occasion, alors si par hazard il me lit…

J J-J dit: 2 mai 2025 à 15h34

@ CB (15.28), Surtout, ne lisez pas le roman d’aventure de JC Ruffin sur le circuit parallèle de « StJDC », avant de partir en sens inverse ! Lisez-le juste à votre retour ! Si vous arrêtez en cours de route, on compatira avec vousj, mais on vous comprendra. Bien du plaisir, Claudio B !…

D. dit: 2 mai 2025 à 15h46

Claudio, mon premier conseil serait de ne jamais visiter Paris en cette saison, sauf à apprécier les véritables hordes de touristes qui déferlent en ce moment sur la capitale et dont vous vous réjouissez déjà de faire très prochainement partie.

D. dit: 2 mai 2025 à 15h50

Le second conseil sera donc ne pas visiter Paris, de séjourner au vert en banlieue, de privilégier les très beaux châteaux d’île de France, Fontainebleau, Chantilly, Champs-sur-Marne. De ne pas aller à Versailles : ce sera peut-être pire qu’au Louvre. Chaville est sympathique.

D. dit: 2 mai 2025 à 15h57

Il est très clair que les Jeux olympiques de 2024 ont donné envie au monde entier d’aller s’entasser dans les monuments et sites parisiens. C’est invivable. Dans beaucoup d’endroits on ne peut même pas avancer à petite vitesse sur un trottoir à tel point c’est dense, avec des groupes derrière des groupes.
Chose que je n’avais pas vu depuis très longtemps : des cars stationnent sans autorisation directement aux abords des monuments et sites parce que les aires qui leur sont normalement allouées sont pleines.

Claudio Bahia dit: 2 mai 2025 à 16h00

D,
vous voulez dire que au début de juin, il y aura déjà des hordes de touristes, comme vous dites ??
Si oui, alors à quelle période y aller, car je ne veux pas aller à Paris, pour Paris, mais pour voir la réalisation extraordinaire de la résurrection de votre Cathédrale.

D. dit: 2 mai 2025 à 16h02

Si vous voulez visiter les monuments parisiens dans des conditions décentes, faites-le plutôt en janvier ou bien en novembre. Éventuellement vers le 15 août où on peut enregistrer un petit creux, mais c’est devenu une telle folie que même cette période du 15 août pourrait cette année prendre une tournure désagréable.

D. dit: 2 mai 2025 à 16h06

Vous ne rentrerez pas dans la cathédrale sans avoir fait 2 heures de quête que ce soit en ce moment pu en juin. Moi-même ait renoncé à aller la visiter. J’irai peut-être dans quelques années, en janvier, quand tout aura été vraiment terminé et qu’elle aura pris un tout petit peu de patine. Si peu hélas.

D. dit: 2 mai 2025 à 16h17

2 heures de queue.

Le mieux serait quand-même de rester au Brésil. Ce qui est bénéfique pour la planète, qui n’en peut plus de ses 10 milliards d’habitants qui ne tiennent pas en place. Après vous faites comme vous l’entendez.

Chaloux dit: 2 mai 2025 à 16h32

Claudio, je suis de l’avis de D. Paris est très surfait et épuisant. Mais vous pouvez en effet aller à Fontainebleau, Compiègne, Senlis, Chartres où vous verrez une cathédrale magnifique, Champs-sur- Marne, Moret-sur-Loing, Reims, Vaux-le-vicomte, Chaalis, etc. Votre séjour n’y perdra rien. Certains paysages de la vallée de Chevreuse, tout près de chez moi, sont si beaux qu’on croit rêver. Et toute la Seine et Marne réserve tant de surprises magnifiques. Versailles peut aller à condition de s’en tenir au parc et aux Trianons. J’aime bien aller déjeuner de temps en temps au restaurant qui longe le grand canal et qui est très correct.

puck dit: 2 mai 2025 à 16h33

@ »Entre-temps, Puck et Pablo por l’amor de Deus, calmez-vous !!! »

ah mais moi je suis calme, je suis hyper calme, j’ai même rarement été aussi calme.

vous plutôt calmez-vous avec vos points d’exclamation !!!
ça va pas de nous crier comme ça à la figue ?

vous allez faire le chemin de St Jacques de Compostelle ?
hé ben ça c’est bien, c’est un moment d’introspection où l’on fait le point sur son existence, ça va peut-être vous rendre plus calme dans la vie.

et vous y allez avec votre femme ?
c’est vraiment votre épouse ou c’est une femme que vous avez rencontrez sur les réseaux sociaux ?

enfin ça change rien, profitez bien de l’introspection et de ces moments de pénétrations en soi, et aussi en l’autre à l’occasion.

je sais pas si vous êtes au courant mais notre président est en train de participer à la sélection du prochain pape.

on a un président il a peur de rien, il ose tout, avec tout est possible.

si ça se trouve il va même participer à la sélection de la prochaine équipe de foot, il va virer le sélectionneur hop ! et il va prnedre sa place.

allez Claudio haut les coeurs ! et forcez pas trop à votre âge, je veux dire avec la marche parce que ça grimpe.

renato dit: 2 mai 2025 à 16h37

On raconte que M. Macron chercherait à influencer l’élection du Pape en convoquant les cardinaux français à cette fin. Il semble s’inspirer de l’exemple de Franco, qui a tenté de bloquer l’élection de Montini, mais sans succès.

Jean Langoncet dit: 2 mai 2025 à 16h51

Calimero, un peu de mesure dans vos propos à l’encontre de renato serait bienvenue

Jean Langoncet dit: 2 mai 2025 à 16h55

La portrait (célèbre) d’Angus a produit l’effet attendu de vous renvoyer une image valorisante de soi : celle d’un marsupiaux domestique ; un bec fin et cultivé de salon de thé

Jean Langoncet dit: 2 mai 2025 à 17h01

… et, c’est typique, tenté par une pseudo tradition supposée faire autorité sur les plans politique, culturel et spirituel … bof

racontpatavi dit: 2 mai 2025 à 17h04

C’est drôle,Jazzi.
J’ai beaucoup rit tout seul lorsque j’ai vu un bermuda en vente à la boutique de la croix rouge là ou j’ habite de couleur gris souris. Je l’ai acheté pour la modique somme de trois euros sans l’essayer.Mais de retour à mon foyer, j’ai pu constater qu’il était exactement à ma taille. Je vous enverrai une photo ( désormais prise) sur votre messagerie privée. Il y a des poches partout!
De qualité roturière je m’en vêtirai qu’à domicile ou en terrasse sous le parasol.

racontpatavi dit: 2 mai 2025 à 17h06

Avec un polo bleu-marine et une casquette du même acabit, cela pourra se faire, non?

D. dit: 2 mai 2025 à 17h11

Le problème de ces touristes c’est que non contents de prendre beaucoup de place, ils sont extraordinairement bruyants. Ils parlent tout le temps et très fort. On ne sait pas pourquoi.
Et impossible de les faire taire. Si vous savez comment, dites-moi.

Rosanette dit: 2 mai 2025 à 17h13

@Caudio Bahia ia et les autres
On m’a donné un truc -que je n’ai pas expérimenté-pour ne pas faire la queue à Notre Dame :Se pointer juste à l’heure des vêpres, après avoir bien repéré les horaires et dire qu’on vient pour participer aux vêpres ;il parait que ça marche .
On peut aussi y aller de bonne heure le matin avant les groupes ramassés dans leurs hôtels

puck dit: 2 mai 2025 à 17h32

D. tu lis toi ? je veux dire des livres ? tu en lis ? parce qu’avec tout le temps que tu passes sur ce blog littéraire il doit plus t’en rester beaucoup pour lire, n’y prends pas mal c’est pas une critique moi non plus je ne lis pas, disons je lis un peu, mais avant de découvrir ce blog je lisais pas, jamais ouvert un livre, il m’a même fallu 2 ans avant de m’apercevoir qu’on y parlait de livres, du coup ça m’a donné envie d’essayer, mais j’ai vite arrêter je préfère regarder les séries TV, par contre je vienjs toujours ici, plus pour lire les commentaires, on y parle des changements de société, c’est un sujet qui m’intéresse bien, et toi ? j’ai remarqué que tu envoyais beaucoup de commentaires, moi j’ose pas trop me lancer à en écrire, tous ces gens ici ça m’intimide, pas toi ? pourtant j’aurais plein de trucs à dire sur les bermudas, mes amis me considèrent comme un grand spécialiste du bermuda, avant d’en acheter ils m’appellent pour avoir des conseils, c’est que le bermuda a beaucoup évolué depuis son invention, suivant les époques, dans les années 60 on portait des bermudas plutôt courts, on appelait ça des shorts, ensuite ils les ont rallongés juste en dessous du genou, ensuite ils les ont remontés un peu, longtemps ils ont du mal à trouver la bonne hauteur mais maintenant ça semble s’être stabilisé, je connais encore plein de trucs sur les bermudas, mais comme je suis timide je n’ose pas trop intervenir dans la conversation, toi par contre t’es assez audacieux comme mec, j’aime ça l’audace, même si j’en manque, et avec les filles ? je veux dire de l’audace ? maintenant il faut faire gaffe parce que la frontière entre l’audace et le harcèlement est assez fine, on a du mal à trouver la bonne distance, comme les bermudas avec la bonne hauteur, voilà D., je t’aime bien tu sais.

Jean Langoncet dit: 2 mai 2025 à 17h42

@A ce propos, keupu, on peut aussi s’interroger sur les motivations de l’agresseur russe, au-delà des prétextes nationalistes, culturels et historiques allégués par icelui

-> L’Ukraine possède des réserves importantes de terres rares, ainsi que d’autres minerais stratégiques comme le graphite, le lithium et le titane. Ces ressources sont réparties sur l’ensemble du territoire, mais une concentration notable se trouve dans l’est du pays, notamment dans des zones partiellement contrôlées par la Russie depuis le début du conflit en 2014.

Concernant le Donbass, cette région abrite une grande partie des réserves minières ukrainiennes, y compris des terres rares. Plus de 70 % des réserves de minerais stratégiques du pays sont situées dans le Donbass et les territoires occupés, notamment dans les régions de Donetsk, Lougansk et Dnepropetrovsk. Cela en fait un enjeu majeur dans le conflit actuel.

L’exploitation de ces ressources est au cœur des négociations internationales, notamment avec les États-Unis, qui ont récemment signé un accord avec l’Ukraine pour un accès préférentiel à ces minerais. Cet accord vise à financer des projets d’extraction et à réduire la dépendance occidentale vis-à-vis de la Chine.

Pour le compte de qui négocies-tu, camarade keupu ?

?

puck dit: 2 mai 2025 à 17h42

D. tu savais que le Vatican avait pris notre président comme consultant pour les aider à choisir leur pape ?
un peu comme McKinsey mais pour les papes. on a de la chance d’avoir un président qui possède autant de talents et d’expertises, c’est pour ça que le monde nous l’envie, il a dit que la principale qualité pour un pape c’était de promouvoir la paix et l’amour dans le monde, et que pour y parvenir il fallait avoir le sens du dialogue entre les peuples, sérieux, mais il a pas dit s’il disait ça juste que pour la France ou aussi pour le reste de planète.

Jean Langoncet dit: 2 mai 2025 à 17h47

(keupu & cie méditent sans doute un remake de Les chinois à Paris pour le festival de Cannes 2027 ; mais dans quelle catégorie ?)

Jazzi dit: 2 mai 2025 à 17h50

« Tu te classerais parmi les parvenus, Jazzi ? »

Plutôt du côté des clochards célestes, D. !

Bernard dit: 2 mai 2025 à 17h53

Lire, sur ce blog, les divagations de ce vantard de Puck sur Dostoïevski est une véritable torture pour l’esprit.
Frime et châtiment.

Jazzi dit: 2 mai 2025 à 17h55

Au pied de mon immeuble, il y a une boutique de La Croix Rouge, racontpatavi.
Avec des objets et des vêtements étonnants, souvent de marque, et d’un coût défiant toute concurrence.
Je vais passer voir s’ils ont des bermudas…

et alii dit: 2 mai 2025 à 18h15

A velo;n’importe comment, de maintenant à l’automne,préférez le bermuda

J J-J dit: 2 mai 2025 à 18h21

@ Le mieux serait quand-même de rester au Brésil.
Je voudrais pas mimisser, mais l’a émigré au Portugal entre temps, avait dit. L’est moins loin de la Ste Chapelle.
@ mais y a-t-il des bermudas en solde dans le triangle des Bermudes, pour noyer ma vicissitude ? (allo, PPTC !)…
@ des marsupial domestiks dans un recoin abyssaux. Tsunamix.
@ « à l’heure des Vêpres ». Super : je teste le plan Cécile…
Bon, c l’heure, je doij’aller faire tamponner mon
carnet de St jack…, avant d’aller ronfler mon sou chez les soeurs Capucines de la Ste congrégation.

Jean Langoncet dit: 2 mai 2025 à 18h30

@@ des marsupial domestiks dans un recoin abyssaux. Tsunamix.

Reformulation : des marsupilamis en culottes courtes

Jean Langoncet dit: 2 mai 2025 à 18h38

@L’exploitation de ces ressources est au cœur des négociations internationales, notamment avec les États-Unis, qui ont récemment signé un accord avec l’Ukraine pour un accès préférentiel à ces minerais. Cet accord vise à financer des projets d’extraction et à réduire la dépendance occidentale vis-à-vis de la Chine.

Voir : « La Chine en situation de monopole sur les terres rares

En bref
Les terres rares sont des éléments métalliques qui servent notamment à la fabrication de catalyseurs de pots catalytiques, d’aimants ou encore d’appareils robotiques.
Aujourd’hui, leur présence dans le système d’armement pose des questions de souveraineté, en raison du monopole de la Chine en la matière.
La Chine représente en effet 69 % de la production mondiale de minerais de terres en 2023, loin devant les États-Unis (12 %), la Birmanie (11 %) et l’Australie (5 %).
Si des entreprises annoncent vouloir reprendre la main sur ce marché, le monopole de la Chine lui permet cependant de faire obstacle en augmentant artificiellement la volatilité des prix. (…) »

Source : https://www.polytechnique-insights.com/tribunes/geopolitique/la-chine-en-situation-de-monopole-sur-les-terres-rares/

closer dit: 2 mai 2025 à 18h39

Claudio, je suis entré à ND vers 9 heures sans faire aucune queue.

et alii dit: 2 mai 2025 à 18h43

Entre extase et aliénation. Les degrés de l’attention chez Simone Weil
Esprit

Maurice revient... dit: 2 mai 2025 à 19h10

Quand je parle de mon passé avec d’autres, ce n’est pas parceque mon passé était bon.
Mon passé est plein de déceptions, de désillusions.
Pas question de le célébrer. Mais encore moins de l’oublier.
Je crois vraiment que mon passé fait de l’ombre à mon présent et il fera encore plus d’ombre à mon avenir.
Cette grande ombre, après ma mort, se fera ténèbres.

Kilékon dit: 2 mai 2025 à 19h19

Maurice revient c’est une ombre portée de Jésus, jésus revient! 🙂
Jésus revient parmi les siens.

D. dit: 2 mai 2025 à 19h34

et dire qu’on vient pour participer aux vêpres ;il parait que ça marche .

–

Bravo. Ça s’appelle mentir et c’est un péché.

D. dit: 2 mai 2025 à 19h37

Je t’avouerais que depuis que ce blog existe, je n’ai lu aucun livre, Puck.

rose dit: 2 mai 2025 à 19h38

Mimi sait.
Cela lui a pris du temps.
C’est coton. (Pour les bermudas)

Mauvaise Pensée dit: 2 mai 2025 à 19h41

Ces trois syllabes patronymiques conviennent admirablement pour qui voit dans Maurice revient le « retour de l’ombre portée de Jésus »…

renato dit: 2 mai 2025 à 19h47

Pour l’été, vous pouvez trouver dans le commerce des pantalons en lin bien taillés, agréables à porter.

J J-J dit: 2 mai 2025 à 19h54

« Cette grande ombre, après ma mort, se fera ténèbres ». Merci Momo… Restons-y… à l’ombre des jeunes filles en pleurs (les vierges sages et les houris folles).
@ La gueule du marsupiaux en bermudas, t’as qu’à croire. C’est l’Jésus qui va s’radiner fissa pour le pestack. IL REVIENT. – Mimi Sée… Fulmicoton.
@ Dans la Disparition, « sérieux », y a une parodie d’un texte sans A. Saurez-vous le retrouver ? La 1ère qui y arrivera aura un petit… , RPTV – Bàv,

rose dit: 2 mai 2025 à 20h22

Bof.
« une autoflagellation réjouissante ».
C’est comme l’auto+admonestation. Pas tentée.

renato dit: 2 mai 2025 à 20h24

Moi, j’ai beaucoup apprécié La forza del passato, JJ-J : découvrant que son père était un espion, son monde s’effondre ; mais je ne pense pas que ce soit traduit. Chaos Calme est un bon livre mais je n’ai pas aimé la coïncidence : sauver une fille – l’anévrisme de sa femme. Pas lu Terre rare. Beau Il colibrì. Il est l’un des rares à avoir remporté deux fois le prix Strega.

renato dit: 2 mai 2025 à 20h26

Veronesi « est l’un des rares à avoir remporté deux fois le prix Strega »

Jean Langoncet dit: 2 mai 2025 à 20h26

Pas de candidats pour la biographie d’Angus Young ? Pas dans votre cercle d’influence, le gonze ?

B dit: 2 mai 2025 à 20h27

D’anciens représentants des classes populaires qui se sont embourgeoisés

Jazzi, Chaloux est de souche bourgeoise, un drole de bourge mais bourge, des plus désagréables. Je crois que sans etre méchant il mourrait d’asphyxie ou de désoeuvrement. Je ne comprendrai jamais comment il n’est pas possible à certaines personnes d’exprimer leur désaccord sans passer dans l’injure, la volonté de rabaissement. Surement cela tient-il de l’acquis culturel et ça interroge sur les bienfaits d’une instruction qui pourtant parait plus que fournie.

J J-J dit: 2 mai 2025 à 20h29

20.24 – Non, il n’a pas été traduit, hélas. Vous êtes frustrant avec les lecteurs français qui causent pas l’italien. M’enfin vous énoncez votre opinion. Et c’est toujours estimable. Je tape souvenj dans le mille… mercis. Bàv,

J J-J dit: 2 mai 2025 à 20h32

20.26 et donc, ce prix Strega ?…, Passoul fait-il partie de son jury ?… Merci de nous en dire plus. On pressent qu’il doit avoir de l’allhure, chez vous.

Jazzi dit: 2 mai 2025 à 20h32

« Pour l’été, vous pouvez trouver dans le commerce des pantalons en lin bien taillés, agréables à porter. »

C’est encore mieux s’ils sont taillés en… bermudas !
J’en cherche un, en vue d’un mariage cet été…

Jazzi dit: 2 mai 2025 à 20h36

« Jazzi, Chaloux est de souche bourgeoise »

Ce n’est pas moi qui traite Chaloux de parvenu, B.
Cela dit, aux yeux de la grande bourgeoisie, les petits bourgeois enrichis peuvent être tenus pour tels !

J J-J dit: 2 mai 2025 à 20h38

@ Je ne comprendrai jamais comment…
C’est pourtant facile à comprendre, B. On ne naît pas kon…, on le devient progressivement dans la Haute. Y naître est une honte et un handicap de tous les instants. Or pour y remédier, aucun vermifuge n’est vraiment efficace. On le reste, jusqu’à mort informée, comme disait GB.
Bàv,
Un petit remontant, peut-être : une ‘tite poire ?

J J-J dit: 2 mai 2025 à 20h42

Bourdieu (insecte, dans ‘Ce que parler veuj dire’) : « le petit-bourgeois sait comment se faire tout petit pour devenir bourgeois ».

J J-J dit: 2 mai 2025 à 20h46

Merci pour le Strega. Non, apparemment Passoul n’y est pas… Non pas vuj non plus le Commandante… C’est quoi au juste, un film ?
Fausta Caliente ? Ce nom me dit quelque chose. J’ai pourtant toujours cru l’avoir inventé. c’est drôle.

J J-J dit: 2 mai 2025 à 20h55

Je sais plus quoi dire sur toutes ces histoires de chiffons pour l’été. On essaie de dévier, mais quand on y arrive, ça passe directement sur trump et poutine… Comme si ces deux types étaient le cadeau de nos soupirs, quand on est au chomdu. Du saxo norvégien, plutôt, quant à faire… JL
https://www.youtube.com/watch?v=_7l5XL5ddHk&t=11s

renato dit: 2 mai 2025 à 21h21

De Fausta Cialente en fr. Les quatre filles Wieselberger.

Oui, Comandante est un film.

renato dit: 2 mai 2025 à 21h30

Depuis 2014, il existe également un prix Strega européen. Il récompense les livres d’auteurs européens traduits en italien. Les auteurs et les traducteurs sont récompensés.

Jean Langoncet dit: 2 mai 2025 à 21h52

Concourir … Tout s’écoule (JiCé le perroquet sentencieux a emporté dans sa désertion le Conche d’Héraclite aux PUF ; nous ne sauront donc pas où le flux évoqué dans ce dernier fragment emporte Bibi et ses nouveaux prophètes, nourris aux dollars trumpistes et à quelques illusions suprémacistes)

rose dit: 3 mai 2025 à 3h58

Deux maquereaux, quatre biscottes.
Mieux, trois sardines à la tomate. Cannery row, Monterey.

rose dit: 3 mai 2025 à 4h00

Comme les cochons,
Plus ça devient vieux, etc.

Ne pas admettre les poncifs comme des évidences. Eh non.

Jazzi dit: 3 mai 2025 à 4h43

« Un mariage dégingandin ? »

Un mariage chic, dans la haute, JJJ !
Nous sommes invités deux jours dans un château…

C’est fou comme un sujet apparemment anecdotique peut se relever capital !
Le bermuda devenu un enjeu de société, divisant la France erdélienne en deux ?
Il est à noter que c’est désormais un accessoire fashion, de plus en plus présent dans les défilés de mode des grands créateurs…

renato dit: 3 mai 2025 à 5h11

Enjeux de société ? Je ne pense pas. J’observe les gens dans la rue, et je constate que beaucoup d’entre eux portent des bermudas.
Ici, seul D. s’y oppose, mais il a l’air de croire que ses idées sont les meilleures, alors qu’elles sont plutôt vieillottes et ne valent rien.

Christiane dit: 3 mai 2025 à 5h25

On m’a accusée de vulgarité .
christiane dit: 20 novembre 2020 à 16h08
Quelques croassements de Chaloux-le-corbeau :
« la pauvre bouguereau est achevé, terrassé d’humiliation. »
« La déchéance est quelque chose qui fait peur. Bientôt elle criera dans la rue en allant chercher son pain. Misère! »
« Béré, pauvre épave, il ne vous reste plus assez de cervelle disponible pour comprendre de quoi il s’agit. »
« La Chantal sera plus vite devenue une antiquité qu’elle ne deviendra antiquaire. Pour le reste, il suffit de la lire pour voir de quelle prosatrice il s’agit… Faire le compte de ce qui la dépasse serait trop long. Tout l’Univers… »
« On n’en est plus là. Avez-vous retrouvé votre vieux mari pédophile, lequel s’est barré avec la petite copine de votre fils (qui ne doit pas être bien malin, le pauvre gars) et avec lequel vos cellules grises défraichies me confondent? »
« La vieille correctrice multi-fessée ne doit pas en revenir de découvrir ce qui se cache dans le fond de la carcasse puante qu’elle croyait connaître. »
« Assouline ne pouvait pas durablement interdire Montaigne-à-cheval, il en avait trop besoin.
L’assasseure, cette gourde, romance le passé. »
« Et l’Assasseure si contente d’elle-même… Vice de fabrication… La renvoyons au fabricant. »
« Assouline, darmanincoïdal! »
« Ah, Pierre Assouline, je vous reconnais bien dans cet article sursaturé de flagornerie. »
« Arrête d’en sortir de si énormes, on ne te reprendra pas. Cesse de te répandre inconsidérément. »
« Tu es vraiment à toi seul un réservoir d’imbécillité. »
» Tu dois être sévèrement châtié et tu vas l’être. »
« Je n’ai lu ici que Blabla et Sasseur pour avoir des propos réellement homophobes »
« Jazzi, les homos sont les premiers à se traiter entre eux et parfois eux-mêmes de tafioles, tapettes, pédales etc. »
« Je comprends, Barozzi, que pour un invertébré comme toi, pour qui il ne saurait rien exister au-dessus de la pensée tabloïde, ce soit impossible à concevoir. »
« Mais toi, Barozzi, on t’entendra toujours parler, pour ne rien dire. Tu es la phiotte au bois dormant »
« Jazzi, tu tournes de plus en plus à la vieille tapette fouteuse de merde, je trouve. Ne serait-ce pas l’effet d’un frustration grandissante due à ton âge? »
« ta présence à plein-temps dans les toilettes de la gare du Nord, ont depuis longtemps altéré ton jugement. Lève le pied sur le vit des copains. »
« Répugnant. Je vais le signaler auprès de son ministère. »
« Gigi la visqueuse n’a pas deux sous d’intelligence. Défaut de père, sans doute. »
« Le courrier part demain. »
« Je viens d’en préparer un florilège que j’envoie à ton ministère par l’intermédiaire d’un ami qui est d’accord pour les faire passer, avec ton nom. »
« Pauvre caboche, défoncée. »
« Quand je lis Bloom ou l’Assasseure, murés dans leur violence frustrée et impuissante, je me dis que la France va bien mal. La pauvre visqueuse, empêtrée dans son galimatias comme dans les sables mouvants de la sénilité »
« Quel venin je distille? Pauvre abruti dément crétin… »
« tu n’es qu’un pauvre malade en perdition, tu devrais te faire soigner avant qu’il ne soit trop tard. Ta destitution a altéré ta raison. Contacte d’urgence un psychiatre! »
« toi qui es cérébralement mort depuis longtemps. »
« Un yaourt? Doit bouffer son cerveau avec une paille… »
« L’Assasseure, la demeurée profonde en action »
« Mais connard de Jazzi, je suis sous le coup de menaces de dénonciations incessantes »
« Nadine bousemolle est vraiment une face de phion ignare, et un dechet de pilier de bar, à mettre d’urgence aux ordures. »
« Charoulet, avec sa petite moustache, fait très gay new-yorkais des années 80. Certainement une des raisons pour lesquelles le dossier Verlaine-Rimbaud l’intéresse tant… »

Il continue de prendre sa prose pour délectable… »

Christiane dit: 3 mai 2025 à 5h31

Et voilà sa réaction :
Chaloux dit: 20 novembre 2020 à 16h55
Cricri, merci pour cet aperçu! Je me trouve très drôle!!!

Hurkhurkhurk! »

Qui a dit qu’il écrivait des méchancetés parce qu’il s’ennuyait ?

Christiane dit: 3 mai 2025 à 5h36

 » Qu’on laisse un roi tout seul sans aucune satisfaction des sens, sans aucun soin dans l’esprit, sans compagnies, penser à lui tout à loisir, et l’on verra qu’un roi sans divertissement est un homme plein de misères. »
Pascal

renato dit: 3 mai 2025 à 5h52

De nos jours, passer de 0 à 1939 en 3 secondes est à la portée de tous et ça sans compétences politiques significatives.

Marie Sasseur dit: 3 mai 2025 à 5h54

@Beau Il colibrì
Bof, encore un emballement peu argumenté.
J’ai du renoncer à la moitié du bouquin, quel ennui.

Jazzi dit: 3 mai 2025 à 6h03

Trump et Poutine en bermudas, ça les rendraient nettement plus sympathique, JJJ !

Phil dit: 3 mai 2025 à 6h19

Mort d’un pornocrate
Merci Baroz de veiller au grain, Davy avait lancé Claudine Beccarie, excellente pour la balance des exportations françaises. Riche époque où la France rayonnait avec des pulpeuses sur le marché des pervers.

J J-J dit: 3 mai 2025 à 7h23

@ Un mariage chic, dans la haute (4.43)
Homo… J’espère. Aurait encore plus de gueule que cleui-là,
https://www.nouvelobs.com/photo/20150810.OBS3932/photo-brejnev-et-honecker-le-baiser-torride-de-la-guerre-froide.html
Durant la guerre chaude, vladimir & donald finiront par s’épouser, en bermudas, dans un grangeon de Bethléem. Ce sera encore plus chic. Et vous, tels des ringards du château de Chaville, resterez.

***Splendeur et misères de l’assortiment de 5.25. Qu’il vous en a fallu, du courage !…

Bàv,

D. dit: 3 mai 2025 à 7h39

Excusez-moi si je vous ai dit ta gueule hier, renato.
Je be le pensais absolument pas.

Chantal dit: 3 mai 2025 à 7h42

j’aime assez la chevelure augmentée du spectateur satisfait au balcon d’un théâtre doublé par la silhouette de la dame aux jumelles à l’arrière-plan sur la photo du billet.

il a une allure de satisfait dans sa condition assez représentative, Marie France Pisier à ses côtés en bonne élève qui regarde le programme bien sagement.

D. dit: 3 mai 2025 à 7h44

Je trouve ces fesses de Trump impressionnantes mais surtout rassurantes.

J J-J dit: 3 mai 2025 à 7h46

@ Chantal, figurez-vous que le type à droite sur la photo, à côté de Marie-France Pisier-Kouchner, c’est Roland Barthes lui-même. Et oui, c’est là le génie de passoul : on ne le reconnait presque pas sur la photo, Passoul veuxj dire, dont la main tient le flacon, en arrière-fond.
Bàv,

Chantal dit: 3 mai 2025 à 7h52

j’ai commenté sans regarder la légende 3 J , merci donc pour vous les lunettes c’est une fiole de whisky indeed ?

D. dit: 3 mai 2025 à 7h55

Des journalistes inventent le terme de « désert d’information » pour tenter de dénoncer leur collègues d’avis différents et pour eux dérangeants.
A l’heure d’Internet offrant des médias du monde entier par millions, c’est d’une malhonnêteté grossière.
Au fait, quid de l’accès à RT en France ? Censuré ? Oh mince. Du sable à la place et l’a caravane passe, alors.

J J-J dit: 3 mai 2025 à 8h01

@ Chantal, au sujet de la statue du Bernin, on reconnait Ste Thérèse en pamoison extatique, recevant en sa face les gouttes de sperme dorée du Très-Haut… (une proposition de film pour feu Davy, le pornocrate procrastinateur du cinéma.fr)

@ Les quatre filles Wieselberger (?). Ne serait-ce pas plutôt celles du bon Dr March ?

Bon, je file, dear !

Chantal dit: 3 mai 2025 à 8h05

le sperme du très haut un excellent anti-âge , tout comme la cure de vinaigre de pomme anti cellulite, bonne journée je vous laisse à vos fulgurances …

J J-J dit: 3 mai 2025 à 8h10

@ RM (F. Cialente, pas F. Caliente…, ni Fausto Copi)
—————
Les quatre filles Wieselberger, Fausta Cialente
Soula Aghion (Traducteur). La famille Wieselberger est une famille d’artistes, d’aristocrates animés par un idéal d’indépendance et d’individualisme. Elsa, la mère, était chanteuse d’opéra. Fabio, le cousin de la narratrice, Fausta Cialente elle-même, était un musicien célèbre. Renato, le frère de Fausta, était acteur : il mourra pendant la Seconde Guerre mondiale, probablement assassiné par les Allemands. Dans cette autobiographie, l’auteur fait remonter à la génération précédente le récit de ses souvenirs familiaux, et reparcourt, sur un ton léger et nostalgique, l’histoire d’une Italie inattendue : celle des exilés de Trieste, plus mittleuropéens que méditerranéens, mais aussi celle des exilés d’Égypte, puisque Fausta Cialente vécut longtemps dans ce pays. Ce livre cosmopolite, hanté par l’ombre d’Italo Svevo, a reçu le prix Strega en 1976.
_________
Bon, je vais d’abord voir ce qu’en pense Ed, dans son journal d’une grande lectrice… A bientôt +. Quel temps à Milan … Au fait, dans le Volatile de cette semaine, un portrait de votre Mme Mélossi, que tout le monde a l’air d’apprécier désormais, car elle va sans doute sortir l’Europe du bourbier macronien dans lequel icelle s’enfonce, l’Europe, veuj dire. Bàv.

puck dit: 3 mai 2025 à 8h13

@ »L’Ukraine possède des réserves importantes de terres rares, ainsi que d’autres minerais stratégiques comme le graphite (…) »

en fait on aurait de suite commencer par là.

sérieux c’est vraiment le gros reproche qu’on peut faire aux médias de ne pas avoir dès le premier jour commencer par cette vision de ce conflit.

et à la place de nous enfumer avec des histoires de défense de valeurs de démocratie et de liberté etc…

parce que là on voit que pour l’occident l’Ukraine ne représente rien de plus que l’équivalent d’un pays d’Afrique dirigé par un gang de types corrompus qu’il s’agit d’aller piller et pour se faire de déplacer les populations locales comme au Soudan.

ce conflit sera probablement la dernière guerre coloniale menée par l’occident.

renato dit: 3 mai 2025 à 8h19

Bon, le temps de rentrer du marché et de vous répondre, JJ-J, et vous avez rectifié.

puck dit: 3 mai 2025 à 8h20

@ »Trump et Poutine en bermudas, ça les rendraient nettement plus sympathique, JJJ ! »

Biden j’imagine que tu le rangeais dans la catégorie des types qui n’avait pas besoin de mettre un bermuda pour être sympathique ?

c’est fou la façon avec laquelle les médias arrivent à formater l’esprit des gens.

je veux dire c’est fou de voir à quel point les gens ont un esprit assez faible pour se laisser formater aussi facilement par les médias.

le mec il lit le Parisien : alors tu fais 2 rangées à gauche tu écris « types sympas » à droite « types pas sympas » et maintenant petit esprit faible je vais te faire bouffer la liste…

Chaloux dit: 3 mai 2025 à 8h43

@Pablo, as-tu lu Les français de la décadence d’André Lavacourt, paru chez Gallimard il y a une cinquantaine d’années et que Gallimard semble refuser de rééditer? On en fait grand cas sur un autre blog, ce qui fait que les rares exemplaires qui passent en vente sur Internet sont à un prix prohibitif.

Paul Edel connaît peut-être ? Ou @PA?

Christiane dit: 3 mai 2025 à 8h54

7.23
Dans un essai paru en 2013, Antoine Compagnon passe « un été avec Montaigne », le cite souvent, le commente. Page 18, je lis :
«  »Je ne peins pas l’être, poursuit-il, je peins le passage : non un passage d’âge en autre, ou comme dit le peuple, de sept en sept ans, mais de jour en jour, de minute en minute. Il faut accommoder mon histoire à l’heure. Je pourrai tantôt changer, non de fortune seulement, mais aussi d’intention : C’est un contrôle de divers et muables accidents, et d’imaginations irrésolues, et quand il y échoit, contraires : soit que je sois autre moi-même, sois que je saisisse les sujets par autres circonstances et considérations » (1256).
Il s’agit de se résoudre à la condition humaine, d’accepter sa misère : son horizon est le devenir et non l’être. Dans un instant, le monde aura changé, et moi aussi. Dans les « Essais », le registre de ce qui lui arrive et de ce qu’il pense, Montaigne se borne à noter combien tout change tout le temps. Il est un relativiste. On peut même parler de perspectivisme : à chaque moment, j’ai un point de vue différent sur le monde. Mon identité est instable. Montaigne n’a pas trouvé de « point fixe », mais il n’a jamais cessé de chercher.
Une image dit son rapport au monde : celle de l’équitation, du cheval sur lequel le cavalier garde son équilibre, son assiette précaire. L’assiette, voilà le mot prononcé. Le monde bouge, je bouge : à moi de trouver mon assiette dans le monde. »

ou bien, relire « La petite chèvre de monsieur Seguin »…

puck dit: 3 mai 2025 à 9h00

« sortir l’Europe du bourbier macronien dans lequel icelle s’enfonce, l’Europe, veuj dire. »

l’Europe est en train de se battre contre elle-même, la seule chose qu’elle veut ce n’est pas la défaite de la Russie, la victoire de l’Ukraine, c’est garder son unité.

l’unité européenne essaie de conserver son unité autour de son discours anti russe et anti Trump, d’où ce matraquage médiatique ceux qui en Europe s’opposeraient à ce discours sont excommuniés.

parce que la peur de voir l’UE exploser est trop forte, tellement forte que Bruxelles peut y sacrifier toute la population ukrainienne jusqu’au dernier.

exemple au hasard : le président serbe a dit je veux aller à Moscou le 9 mai.
Bruxelles lui a dit : si tu vas à Moscou le 9 mai vous n’entrerez jamais dans l’UE.
le président serbe à répondu à Bruxelles : fuck you !

et alii dit: 3 mai 2025 à 9h16

cure de vinaigre?
je fais vinaigre pour vous dire bonjour et rappeler la famille vinaigre: LACAN
Son grand-père Edme Emile Lacan, né en 1839 à Château-Thierry[2], mort en 1923 à Orléans[3], est représentant de commerce pour la vinaigrerie Dessaux. Il épouse en 1866 Marie Julie Dessaux, la fille du chef de son entreprise.

Jazzi dit: 3 mai 2025 à 9h29

« Il épouse en 1866 Marie Julie Dessaux, la fille du chef de son entreprise. »

Des parvenus, ces Lacan, et alii !

Maurice revient... dit: 3 mai 2025 à 10h23

Bâtir, avec des larmes souriantes, sur des ruines de femmes à Kaboul, une cité Allah va comme je te pousse…

J J-J dit: 3 mai 2025 à 10h36

(Ma Jeure) Pourquoi argumenter un « emballement » ? C’est idiot… On ne demande à personne de justifier vos goûts de coeur, putin-kong !

@ (jzmn & jedly) Quelle horreur, un mariage hétéro !… Ca existe encore ? Evidemment, si tous les invités à la noce sont homos, ça peut faire chic. Surtout, si y assistent les 2 Nadines. Bonne journée… Mettrez-vous des photos sur le Lézard des bermudes ou dans le journal de Manu-France ? Bàv 🙂

puck dit: 3 mai 2025 à 10h36

@ »Il épouse en 1866 Marie Julie Dessaux, la fille du chef de son entreprise. »

le père de Bernard Arnault aussi a épousé la fille de son patron.

les enfants d’Arnault avaient pour prof de français Brigitte Macron.

il faudrait écrire un bouquin sur ce petit groupe d’oligarques qui dirigent la France et la façon dont ils ont réussi à prendre ce pouvoir.

je suis sûr que ça pourrait intéresser les français de savoir qui les dirigent vraiment.

les politiciens font plus de la figuration, leur rôle est secondaire genre loi sur la fin de vie, les vacances scolaires, les droits des lgbt, censure sur les réseaux sociaux etc…

Pablo75 dit: 3 mai 2025 à 10h43

L’autre jour je parlais des livres sur Borges qu’on avait du mal à publier en Espagne et j’écrivais:

« Le manuscrit des « Cuadernos Borges » de Roberto Alifano (un livre aussi important, selon Plaza, que le « Borges » de Bioy) a été envoyé à la maison d’édition espagnole il y a 2 ou 3 ans mais il ne sort pas (en cherchant sur le Net des nouvelles sur ce livre je vois sur Amazon que son premier volume (de 480 pages) va sortir à la vente dans… 3 jours, avec le titre: « Primer cuaderno Borges: El jardín de conversaciones que se bifurcan. Diarios, 1974-1976 »). »

Aujourd’hui je trouve dans le blog de l’écrivain José Luis García Martín (poète, critique, diariste), dans lequel il publie chaque samedi son Journal, ce commentaire sur le livre d’Alifano, qui vient donc de sortir (même si on savait que Borges était raciste et n’aimait pas les Noirs ce qu’il raconte est ahurissant):

« Jueves, 1 de mayo

EL ALMA A LOS PIES

Pocos libros tan apasionantes como « Primer cuaderno Borges » de Roberto Alifano. Durante más de una década le visitaba casi todos los días, copiaba sus textos. En este tomo, habrá otros, cuenta su relación ente 1974 y 1976. Son años cruciales en la vida de Borges, por entonces moriría su madre, y en la historia de Argentina: muere Perón en la presidencia del país, le sucede Isabel Martínez de Perón, se gesta el golpe militar. Alifano es periodista y además de retratar a Borges traza un panorama de la situación que nos permite viajar en el tiempo. Cuando comienza el libro, Borges tiene exactamente la edad que yo tengo ahora. Eso le añade una resonancia particular a la lectura.

Alifano está fascinado por Borges. Pienso en el doctor Johnson y en Boswell, en Holmes y Watson. Pero de pronto, no encuentro mejor manera de decirlo, siento una bofetada. Borges habla de los seis esclavos que su familia tenía, de los muchos negros que había en Buenos Aires cuando él era chico y de cómo súbitamente desaparecieron.

–Menos mal. Le digo con sinceridad, Alifano, que yo no soporto a los negros. Mi abuela contaba que había una familia encargada de venderlos, Esos negros eran como chicos o como animalitos. Tenían fama de ser muy haraganes.

—Y de los negros de Estados Unidos, ¿usted qué opina, Borges?

—No me gustan para nada, son pendencieros. Es gente rudimentaria y, por lo general, analfabeta. Viven en guetos donde los blancos no pueden entrar. En cambio, los negros si pueden entrar a los barrios blancos y obligadamente, por una causa de educación, los blancos deben respetarlos.

—Ahí disiento con usted, Borges. Yo recuerdo, estando en Washington, a un pobre negro que intentó entrar en un club nocturno y un grupo de blancos le pegaron una soberana paliza.

Escucho esta conversación y se me cae el alma a los pies. Habla Borges de que había un diario, La voz del Norte, en el que los redactores tenían ilustres apellidos argentinos, Anchorena, Unzué, Mitre, pero eran todos negros, ya que tenían la costumbre de adoptar el apellido de la familia de la que habían sido esclavos. “Todos negros”, repite Borges y añade con una sonrisa: “Negros de mierda, por supuesto”.

Borges aceptó una condecoración de Pinochet. Hay pocas dudas de que si el Ku Klux Klan hubiera organizado una comida en su honor también la habría aceptado, contento de estar entre caballeros.

https://cafearcadia.blogspot.com/2025/05/al-servicio-de-quien-me-quiera-trebol.html

J J-J dit: 3 mai 2025 à 10h46

Voici une liste de plantes envahissantes avérées, ma Jeure. Inutile de choisir vos emballements charoulés, même si on vous les met par ordre alpha-béthique.
———-
Ailante – Ailanthus altissima
Ambroisie à feuilles d’armoise – Ambrosia artemisiifolia
Amorphe buissonnante – Amorpha fruticosa
Aster à feuilles lancéolées – Symphyotrichum lanceolatum
Aster de Virginie – Symphyotrichum novi-belgii
Baccharis à feuille d’arroche – Baccharis halimifolia
Berce du Caucase – Heracleum mantegazzianum
Bident à fruit noirs – Bidens frondosa
Buddleia de David – Buddleja davidii
Caulerpe racémeuse – Caulerpa racemosa
Caulerpe à feuille d’if – Caulerpa taxifolia
Cerisier tardif – Prunus serotina
Égopode – Aegopodium podagraria, herbe aux goutteux
Élodée du Canada – Elodea canadensis
Élodée de Nuttall – Elodea nuttallii
Érable negundo – Acer negundo
Faux-Indigo – Amorpha fruticosa
Figue des hottentots ou Figue marine – Carpobrotus edulis et aussi Carpobrotus acinaciformis
Fougère aquatique Azolla – Azolla filiculoides
Herbe de la pampa – Cortaderia selloana
Impatiente glanduleuse – Impatiens glandulifera
Jussie rampante – Ludwigia peploides
Jussie à grandes fleurs – Ludwigia grandiflora
Lentille d’eau minuscule – Lemna minuta
Mimosa des fleuristes – Acacia dealbata
Myriophylle du Brésil – Myriophyllum aquaticum
Paspale dilaté – Paspalum dilatatum
Paspale distique – Paspalum distichum
Renouée de Sakhaline – Fallopia sachalinensis
Renouée du Japon – Reynoutria japonica
Rhododendron – Rhododendron ponticum
Robinier faux-acacia – Robinia pseudoacacia
Séneçon du Cap – Senecio inaequidens
Solidage géant – Solidago gigantea
Soliva commune – Soliva sessilis
Topinambour – Helianthus tuberosus
Vergerette du Canada – Erigeron canadensis
___________ BAV,

J J-J dit: 3 mai 2025 à 10h49

L’autre jour je parlais des livres sur Borges qu’on avait du mal à publier en Espagne –
Ah bon ?… J’avons dû manquer quelque chose à ce moment là, Ch.

Jazzi dit: 3 mai 2025 à 10h54

« si tous les invités à la noce sont homos »

Plutôt juifs, d’Afrique du Nord…
(bermuda et kipa)

puck dit: 3 mai 2025 à 10h54

des auteurs français du 19è comme Balzac ou d’autres auraient écrit un bouquin sur le pouvoir l’oligarchie française parce que c’est un sujet hyper romanesque.

même Pinault, ce fils de paysan breton avec sa collection d’art moderne, ce type est un personnage de roman.

en fait nos écrivains préfèrent d’autres sujets genre parler de leur vie à eux.

Mauvaise Pensée dit: 3 mai 2025 à 11h04

La Vie et la mort des oligarques, est-ce si fascinant? Il devrait il y avoir des tas de fausses nouvelles dans Paris-Match période Jean Prévost.Oui mais voila, on ne les trouve pas…

Chaloux dit: 3 mai 2025 à 11h07

Que Borges ait tenu des propos de comptoir digne d’un camionneur de bas-étage, c’est toujours bon à savoir, mais cela ne change rien à son. (au moins) talent.

Merci à la vieille maîtresse d’école pour cette petite anthologie. Je n’y changerais pas une ligne. Mes seuls remords ici concernent J.D dont je me suis moqué très mal à propos et qui était certainement un être exquis. Je ne me le pardonne pas. Ainsi que ce monsieur qui avait
publié ses souvenirs à compte d’auteur chez un éditeur dont le nom m’échappe.

puck dit: 3 mai 2025 à 11h07

un autre personnage hyper romanesque c’est la biologiste moléculaire Elena Zhukova, d’origine russo israélienne.

Zhukova a d’abord épousé un premier milliardaire : Alexander Zhukov.

ensuite elle a épousé une 2è milliardaire : Roman Abramovich.

et maintenant elle est avec un 3è milliardaire : Rupert Murdoch.

je veux c’est incroyable ! un type qui écrit un livre sur la vie d’une biologiste moléculaire qui épouse 3 milliardaires dans sa vie de biologiste moléculaire personne n’y croit.

quand on pense à tous ces biologistes moléculaires en France qui ont à peine de subventions pour acheter 2 stylos à bille.

après les mecs l’ont peut-être pas épousée parce qu’elle était biologiste moléculaire. mais parce qu’elle doit avoir d’autres qualités biologiques genre une technique spéciale pour tailler une pipe adaptée aux milliardaires.

déjà ce genre de questionnement biologique c’est en soi un sujet romanesque.

et alii dit: 3 mai 2025 à 11h14

l’ukraine:je vous prie, c’est:
Isaac Babel (en russe : Исаа́к Эммануи́лович Ба́бель[1]) est un écrivain soviétique, né à Odessa, dans l’Empire russe, le 30 juin 1894 (12 juillet dans le calendrier grégorien), fusillé le 27 janvier 1940 à Moscou[2],[3].
Il apprend ainsi à lire le yiddish et acquiert aussi une bonne maîtrise des langues étrangères, en particulier de la langue et de la littérature françaises[6]. Flaubert et Maupassant sont les auteurs qui le marqueront le plus et ils auront une influence très forte et durable sur son style littéraire[7]. Pendant deux ans, il se lance dans l’écriture, en français, avant de renoncer.

Ses études achevées, il se rend à Kiev puis à Pétrograd en 1915. Il y connaît une vie difficile et ses tentatives de se lancer dans la littérature sont autant d’échecs. À la fin 1916, il est remarqué par Maxime Gorki, qui publie ses premiers récits, mais qui lui conseille aussi d’abandonner quelque temps la littérature et « de courir le monde » pour engranger des impressions de la vie.

puck dit: 3 mai 2025 à 11h17

@ »Paris-Match période Jean Prouvost (et pas Prévost). »

rien à voir avec la période actuelle !
Prouvost c’est u ntype qui a connu la guerre, c’est l’époque où la France était une des grandes puissances industrielles mondiales et surtout une époque où la France était un pays souverain.

dans un pays souverain les journalistes font leur métier d’une façon pas pareille que dans un pays non souverain dépendant de puissances étrangères.

le journaliste du temps de Prouvost faisait un métier de journaliste.

aujourd’hui le journaliste fait un autre métier, d’ailleurs il faudrait changer le nom de leur profession parce que ça prête à confusion.

et puis Prouvost avait été éduqué chez les jésuites, il avait un certain sens de l’éthique et de la morale qui le poussait à laisser ses journalistes faire leur métier.

alors qu’aujourd’hui un journaliste qui fait son métier de façon objective et professionnelle d’emblée il est mort.

faut pas comparer des trucs qui sont pas comparables.

et alii dit: 3 mai 2025 à 11h17

ODESSA
Elle est souvent dénommée la « Marseille d’Ukraine ».

et alii dit: 3 mai 2025 à 11h19

ODESSA
mercredi 25 janvier 2023, onze mois après le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le centre historique de la ville a été inscrit sur la liste du patrimoine mondial en péril de l’UNESCO en raison des « menaces de destruction »[4].

puck dit: 3 mai 2025 à 11h20

sérieux comparer Bernard Arnault avec Jean Prouvost on se dit que vous avez dû louper une saison complète de la série TV.

les bras m’en tombent….

qu’est-ce qui fait que vous êtes tous aussi nuls ?

des types comme MàC ou Alba n’auraient jamais laissé passer un truc pareil.

sérieux le niveau de ce blog est en chute libre.

puck dit: 3 mai 2025 à 11h25

« le centre historique de la ville a été inscrit sur la liste du patrimoine mondial en péril de l’UNESCO en raison des « menaces de destruction » »

la fermeture des lieux de culte par le régime nazi comme les églises orthodoxes c’est un truc protégé par l’unesco ?

et le fait de virer des bibliothèques des livres de langue russe c’est protégé par l’unesco ?

ou alors ils s’ne foutent que des nazis bruloent des livres et ferment des lieux de cultes.

sérieux j’y crois pas cette hypocrisie !

puck dit: 3 mai 2025 à 11h28

et surtout que personne ne vienne me dire que voter des lois scélérates pour interdire une langue ou brûler des livres ce n’est pas un truc nazi !

ou alors ça veut dire qu’on a tellement perdu la mémoire qu’on ne souvient même de ce qu’est le nazisme !

Bill Evola dit: 3 mai 2025 à 11h42

La Gigichiassa merdia, plante envahissante et chiante.

Et que dire du puckassia diarrha alors?!

J J-J dit: 3 mai 2025 à 12h01

@ Sérieux (tout le temps)… sérieux le niveau de ce blog est en chute libre (sic).
dieu mercij… vous êtes là(s), sérieux, pour en décélérer la chute, depuis le temps que.

11.37 – laissez-vous envahir par les épiphytes arabes et nègres. Et laissez le charme agir, sérieux…! « Nigra sum », jissée.

https://www.google.com/search?q=nigra+sunt&rlz=1C1GCEA_enFR1067FR1067&oq=nigra+sunt&gs_lcrp=EgZjaHJvbWUyBggAEEUYOdIBCTQzODBqMWoxNagCCLACAQ&sourceid=chrome&ie=UTF-8#fpstate=ive&vld=cid:da6d0b3d,vid:Q78eW4cgJAI,st:0

MC dit: 3 mai 2025 à 12h11

Le Journaliste du temps de Prouvost faisait donc, admettons-le, son métier de journaliste. Ce qui n’empêchait pas un de ses plus illustres clients, à propos d’un article sur sa femme peu aimablement comparée à Victoria, de dire « c’est Prouvost qui se venge de De Gaulle! » En revanche le journaliste de Bolloré, d’Arnault, est par définition pourri, vendu, etc. Ce qui implique qu’il y ait de « bons » et de « mauvais » oligarques. On ne sait si c’est leur niveau de fortune qui déclenche leur Damnation. Il faut bien qu’il y ait quelque chose comme cela…Il e suffit pas de clamer comme un perroquet « Prouvost n’est pas Arnault, Pinault n’est pas Prouvost, » il faut encore des preuves plus solides…Attendons. MC

D. dit: 3 mai 2025 à 12h29

La berce du Caucase est non seulement envahissante, mais très dangereuse au toucher de la sève. Elle cause des brûlures graves.

Patrice Charoulet dit: 3 mai 2025 à 12h30

Pour une fois (ça ne m’arrive guère) je me suis imposé de lire les 50 derniers commentaires.
Si j’avais un blog littéraire et que je lisais, après ma prose, ces cinquante commentaires-là, je fermerais mon blog, en me disant : « Je n’ai pas mérité ça. » Ou en me répétant ces mots de La Bruyère, qui n’ont pas vieilli : « Il y a des gens avec qui ne faut pas se commettre.

Christiane dit: 3 mai 2025 à 12h56

Donc, aller jusqu’à la fascination du Mal par désœuvrement….

Bill Evola dit: 3 mai 2025 à 13h06

je me suis imposé de lire les 50 derniers commentaires.

Vous méritez une médaille!

Christiane dit: 3 mai 2025 à 13h17

P.Charoulet – 12h30
Qu’importe… Tous ces mots seront perdus et le blog continuera de tourner car ce sont d’abord les billets de Pierre Assouline. Ce qui suit dans l’espace commentaires est rarement en lien avec ces billets. C’est un salon où on cause… Pas comme dans un salon. C’est à visage souvent masqué une suite de divertissements où même la querelle est sans consistance si vous la replacez dans le bruit du monde. Parfois, un livre arraché au tumulte offre sa semaison ou une musique venue d’un monde où l’on écoute en silence. Hier, j’ai remonté quelques années de ce blog. Ces dérives ont toujours existé, hélas. Comme si la haine et l’insulte, le sale plutôt que le beau, l’art mangé à toutes les sauces étaient comme une ivresse, du bruit. Il faut imaginer ces mille petites mains tapotant sur un clavier pendant que le ciel roule ses orages, que la terre devient soyeuse sous la poussée du printemps, pendant que des bombes et des fusils tuent. Ces temps est tellement une tragi-comédie dont aucun de nous ne sortira vivant. Passou s’en fout. Il écrit quelque part, loin des foules, son prochain livre.

Claudio Bahia dit: 3 mai 2025 à 13h18

Closer dit: 2 mai 2025 à 18h39
Claudio, je suis entré à ND vers 9 heures sans faire aucune queue.
Merci, je pense que en effet si on se présente de bonnheur cela devrait aller.
Rosannette a fait la même recommandation, merci à elle.
Mais j’ai été impressionné par les conseils de D, disant que Paris était saturée de touristes.
Finalement, je pense venir à Paris dans la dernière semaine de mai.

Bernard dit: 3 mai 2025 à 13h34

Christiane, la Torquemada du blog, qui fait son inquisitrice en postant son rapport contre l’hérétique Chaloux !!!
T’inquiète, Cricri d’Enfer, on te donnera des lanières de cuir pour que tu puisses t’autoflageller en guise d’expiation pour tes péchés de délation.

Jazzi dit: 3 mai 2025 à 13h39

« Mais j’ai été impressionné par les conseils de D, disant que Paris était saturée de touristes. »

Rien de nouveau, Paris est la première destination touristique mondiale.
Pas pire néanmoins que Barcelone, Venise ou Lisbonne.

Jazzi dit: 3 mai 2025 à 13h56

« Mes seuls remords ici concernent J.D »

C’était qui, Chaloux ?

Jazzi dit: 3 mai 2025 à 14h00

Je ne sais pas si les « prélèvements » de Christiane sont proportionnels, mais il semble que je sois en tête du hit parade des ires de Chaloux ?

puck dit: 3 mai 2025 à 14h07

@ »@ Sérieux (tout le temps)… sérieux le niveau de ce blog est en chute libre (sic).
dieu mercij… vous êtes là(s), sérieux, pour en décélérer la chute, depuis le temps que. »

merci 3j, sérieux je te remercie parce que tu es le seul à l’avoir remarqué, mais ça ne m’étonne pas parce que sérieux tu as une sensibilité et une grandeur d’âme qui te permettent de remarquer ce genre de truc.

d’ailleurs entre ta sensibilité et ta grandeur d’âme je me demande c’est quoi que je préfère, sérieux j’aurais dû mal à trancher.

en tout cas sache que je t’aime mon frère.

puck dit: 3 mai 2025 à 14h12

@ »que je sois en tête du hit parade des ires de Chaloux ? »

tu fais comme moi : t’oublies des morceaux de phrases.

tu voulais écrire des désirs ?

c’est sûr que Chaloux il te désire, tout le monde ici rêve de passer une nuit avec toi Jazzman, il y a ceux qui le disent comme moi et ceux qui n’osent pas le dire parce qu’ils timides comme Chaloux.

vous êtes un couple libre avec ton mari ? je veux dire vous vous ouvrez à l’autre et à l’ailleurs comme le Clezio ? ou bien vous êtes comme les hétéros genre sucer n’est pas tromper.

Christiane dit: 3 mai 2025 à 14h13

Jazzi, je remontais le billet ! S’il fallait reporter tous ces jugements sur les uns et les autres on en finirait pas ! Il s’amuse dit-il. Un bel orage sur parisy. A plus !

puck dit: 3 mai 2025 à 14h19

@ »A bientôt 79 ans, Trump est en train de perdre la tête? »

pedro fait gaffe à ce rythme je sens que tu vas bientôt finir avec une carabine sur un toit comme Lee Harvey Oswald.

cela dit l’obsession je sais ce que c’est, moi c’est Jazzman et plutôt d’ordre sexuel, en fait c’est pareil mais avec autre chose entre les mains qu’une carabine, le seul point comment c’est le fait de pouvoir tirer un coup.

et alii dit: 3 mai 2025 à 14h22

@ P.Charoulet,
comme je ne suis pas d’accord avec vous, je saisis un moment de calme extérieur, et de retour à l’à peu prés paix intéeieure après une matinée encore troublée par les promenades de mon chat en mal de soins, pour vous le dire:
1)je ne crois pas que P.ASSOULINEsoit indifférent à nnotre temps:ce n’est pas l’annonce de son annonce; il a ouvert cet espace aussi pour les autres, et c’est vrai que chacun en profite à sa guise:tres peu d’interdits, et même pas d’interdit du tout, tous les genres sont autorisés a priori, et le soutien sérieux qu’offrent les billets! ;il me semble que la& mention d’une oeuvre ou d’un auteur a été recommandée, dans un large éventail précisé en tête de la page; petit à petit, les contributeurs ont fait valoir des champs qui ont leur préférence ,aux limites de la rivalité, comme avec ce qui est appelé un peu vite « la bible »pour leur « propriété, ou « la psychanalyse », comme si en dehors des blogs, il n’y avait pas déjà, des « groupes d’étude, et de lecture;
il m’est revenu pa hasard il y a peu que lorsque j’habitais dans le midi, j’étais membre d’un groupe de lecture de psychanalystes de Marseille!
personnellement, je vais depuis trop peu de temps sur internet pour ne pas ditre que j’en suis encore à la découverte d’internetet de ses langues, et j’aime continuer de creuser mots et expressions comme ils apparaissent:ainsi petites mains devraient évoquer l’espace couture mode
(Par extension) Personne qui effectue les basses besognes.https://www.lalanguefrancaise.com/dictionnaire/definition/petite-main
ce n’est pas St LAURENT

Bill Evola dit: 3 mai 2025 à 14h28

Bill Evola dit: 3 mai 2025 à 12h08,
portrait du pape Trump Premier, déjà publié, Pablo 75 qui ne lit ici que Puck! 🙂

et alii dit: 3 mai 2025 à 14h29

Aujourd’hui, en Haute Couture, on ne parle plus de petite main mais de couturière tailleur dans les ateliers flou ou tailleur –selon le type de vêtements confectionnés, souples ou structurés– depuis l’entrée en vigueur d’un nouvel accord signé dans le cadre de la convention collective qui régit les entreprises du secteur de la mode et de la haute couture.

Les secondes mains débutantes, puis qualifiées, les premières mains débutantes puis qualifiées ont laissé la place à l’appellation couturières tailleur.
Source : Haute couture

Mais les critères de la haute couture n’ont, eux, pas changé.
Le savoir-faire exceptionnel des petites mains !
25 février 2015
https://www.plumetismagazine.net/petites-mains-couture/

Bill Evola dit: 3 mai 2025 à 14h34

Et l’aiguille dans la botte de foin, vous l’avez trouvée, et alii?

Christiane dit: 3 mai 2025 à 14h34

Bernard, au moins là il assume. Je suis lasse de lui rappeler ses délires et qu’il me réponde que j’ai tout inventé. Il y en aura d’autres citations. Le petit saint du blog a plus à voir avec l’inquisition espagnole que moi. Quant à vous, langelot, je ne saurais vous accuser de méchanceté. Vous êtes naturel. C’est tout ! Et c’est toujours aussi navrant.

Jean Langoncet dit: 3 mai 2025 à 14h36

En passant

« C’est un drôle de pays, la France, mon vieux Jean. Quand tout semble foutu, on s’aperçoit soudain que l’essentiel demeure »

Romain Gary, Les Cerfs-volants

une main dit: 3 mai 2025 à 14h37

Cela s’est déjà fait en art, ma choute :

xpos/sven-sachsalber-cherche-une-aiguille-dans-une-botte-de-foin_3378229.html

et alii dit: 3 mai 2025 à 14h48

cela s’est déjà fait
RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL
Ecclesiaste
« L’Ecclésiaste ou le Qohélet (traduction grecque de l’hébreu קהלת Qohelet, « celui qui s’adresse à la foule ») est un livre de la Bible hébraïque et donc de l’Ancien Testament, faisant partie des Ketouvim, présent dans tous les canons bibliques.

Considéré comme une sorte de portrait autobiographique[1], ce livre est rédigé par un auteur qui se présente en tant que « Qohelet », fils de David, et ancien roi d’Israël à Jérusalem[2]. La fin du livre lui attribue également la rédaction de Proverbes. Il a été quelque temps identifié à Salomon, ce qui fut contesté par Voltaire et les exégètes modernes après lui, qui datent l’œuvre du IIIe siècle av. J.-C., pendant la période hellénistique où les Juifs furent influencés par les divers systèmes philosophiques grecs comme l’épicurisme et le stoïcisme.

Le livre se compose de réflexions générales, certaines passées dans notre langage courant (« rien de nouveau sous le soleil »), en paragraphes résignés évoquant le sens de la vie – ou l’apparente absence de sens – et débouchant sur quelques conseils pour la

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