de Pierre Assouline

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La République des livres
De l’effet pervers en littérature

De l’effet pervers en littérature

Pour qui fait profession d’observer la vie littéraire au quotidien, rien n’est réjouissant comme la rencontre inopinée en librairie de deux livres qui paraissent en même temps, sont peut-être disposés innocemment bras dessus bras dessous dans certaines librairies et se parlent à l’insu de leur plein gré, nouant ainsi une discrète conversation dont tout lecteur peut tirer profit. Le cas depuis peu de La nuit sur commande (180 pages, 19 euros, Stock) de Christine Angot et de Déshonorer le contrat (153 pages, 19 euros, Gallimard) d’Antoine Compagnon. Deux essais dont on pourrait penser a priori qu’ils n’ont rien à voir l’un avec l’autre alors qu’à l’examen ils ont tant à se dire.

Christine Angot avait accepté la commande d’Alina Gurdiel et de Manuel Carcassonne, la directrice de la collection « Ma nuit au musée » et le patron des éditions Stock, de jeter son dévolu sur un musée ou une collection (l’ancienne Bourse de commerce investie, c’est bien le mot, par l’homme d’affaires François Pinault il y a quatre ans pour y exposer des oeuvres de ses artistes), d’y passer la nuit à déambuler puis de dormir sur un lit de camp et d’en ramener un livre, le 22 ème de la série. Seulement voilà : qui s’adresse à Angot ne doit pas s’attendre à ce qu’elle fasse autre chose que du Angot sauf à être bien naïf. Trop libre, trop indépendante, trop Angot pour obéir à un autre désir de livre que le sien propre. Ce n’est pas quelqu’un à qui l’on donne une consigne. Encore moins un dispositif d’écriture. Quant à Pinault, s’il en a accepté le principe (après tout, c’est chez lui), et qu’il s’est imaginé que l’écrivaine, comme d’autres de la collection, ferait l’apologie du lieu, sa surprise a dû être aussi grande qu’est haute la verrière de la Rotonde de sa Bourse.

Non seulement Angot est venue avec sa fille Eléonore mais elle n’a pas passé la nuit sur place comme prévu. A une heure du matin, elle en a eu assez et s’est tirée ailleurs. Le musée en question est donc expédié en quelques pages à la fin de son texte, mixtures d’appréciations extraites du Livre d’or et de GPT. Tant mieux parce que ce qu’elle a à dire de l’art et de la littérature mais aussi des mondanités artistiques et littéraires auxquelles il lui est arrivé d’assister sinon de participer, est autrement plus excitant. A Paris, cela va de soi, mais aussi à Châteauroux, Nice, Reims… Car il fut un temps, il y a longtemps, où elle fréquenta ce Milieu, disons plutôt le microcosme de l’art contemporain, jusqu’à devenir l’intime de Sophie Calle, Jean-Michel Othoniel, Christian Boltanski, Claude Lévêque & co, un tout petit monde où l’on brasse souvent des sommes considérables, où des créateurs sont parfois les marionnettes de marchands, galeristes et collectionneurs, où toute conversation de vernissage sur le marché de l’art dévie exclusivement sur le marché au mépris de toute réflexion sur l’art (et dans une ignorance crasse de l’histoire de l’art).

Rejetant le respect des conventions, Angot en fait un récit implacable, une satire tordante mais sans violence ni agressivité car tempéré par l’humour qui explore les rapports de pouvoir et de domination dans un univers où l’argent suinte par tous les pores. Même si le pied-de-nez n’était pas dans son projet, c’est peu dire qu’elle se paie la tête de ses commanditaires même si elle va bien au-delà dans une pure démarche d’écrivaine, rivée à tous moments à son autobiographie pour le moins chahutée (son père, qui l’emmenait adolescente au musée, une fois la nuit venue lui faisait des demandes qui étaient autant de commandes)- et comment en serait-il autrement dès que la célébrité acquise lors du coup de tonnerre de la publication de L’Inceste (1999) a fait d’elle une personnalité invitable et admissible dans ce milieu-là.

La présence de l’étranger y est sollicitée par intermittence avant d’être renvoyée à son statut d’intrus. Piteuse élite qui se donne pour une aristocratie du nouveau goût ! A la place de ses commanditaires, faisant contre mauvaise fortune bon cœur, on dirait qu’un si spectaculaire retournement, la plus inattendue des (dés)installations de la rentrée littéraire de printemps, était espérée. Il en nait une tension suivie d’un apaisement comme on en rencontre rarement dans les récits de soi. Par facilité de langage, on dirait que cette réussite littéraire est l’effet pervers de ce détournement de commande. Encore faudrait-il s’entendre sur le sens de l’expression, si glissant qu’il parait signifier aujourd’hui bien autre chose qu’il y a, disons, une soixantaine d’années. Toute une tendance parmi les psychanalystes et psychiatres n’a jamais supporté que les Foucault, Deleuze, Guattari, Genet, Lacan entre autres détournent la perversion de son sens classique figé par la nosographie médico-légale et l’esthétisent jusqu’à ce qu’un Barthes définisse systématiquement l’écriture par la perversion, un défi à la Loi- et le contrat comme un modèle vénal inspiré par la prostitution.

Au fond, en pervertissant la commande, Christine Angot a contrefait le protocole qui lui était proposé/imposé. Ce qui nous renvoie à Déshonorer le contrat d’Antoine Compagnon. L’historien de la littérature, qui fut autrefois le jeune assistant de Roland Barthes au Collège de France, y examine de plus près les rapports qu’entretenait l’essayiste et théoricien avec la commande. Chemin faisant, ceux qui connaissent mieux son œuvre que sa biographie, y découvriront nombre de détails édifiants. C’est peu dire qu’il ne dédaignait pas les besognes parasites. Antoine Compagnon parle même de mercenariat, de l’apprentissage nécessaire de l’écriture au kilomètre et va jusqu’à affirmer:

« Qui n’a pas été payé à la ligne ne sait pas ce que c’est qu’écrire »

Procrastinateur, Barthes écrit toujours à la demande de quelqu’un, à son incitation, répondant ainsi au désir d’un autre que lui-même. A la fois peine et bienfait, l’écriture lui est une tâche ; c’est pourquoi il la fonctionnarise. Il a besoin d’un contrat pour s’y mettre étant entendu que cela suppose un don et un contre-don. Sarrasine (1830), la nouvelle de Balzac, fut largement étudiée par Barthes comme l’histoire d’un contrat déshonoré dans une société où il convient de tenir ses engagements là où d’autres tentent de faire un enfant dans le dos. Quand on dit « commande », on entend souvent « commandement ». On dira qu’il avait besoin d’argent et de pouvoir. Et puis quoi, il y a quelque chose de stimulant dans ce type de défi. Or bien après, lorsque Fragments d’un discours amoureux, Roland Barthes par Roland Barthes, Le degré zéro de l’écriture, le structuralisme, la revue Tel quel, l’élection au Collège de France en firent un maitre à penser dans certains milieux, il continua mais avec davantage de discernement ; encore que celui-ci lui fit défaut lorsqu’il accepta par exemple de préfacer en 1976 Clefs pour la science-fiction des jumeaux Bogdanoff ( !) ; pour sa chance, bien que son texte fut livré à temps, l’éditeur lui en préféra un autre de Ray Bradbury…

En réenvisageant Roland Barthes sous ce prisme bien particulier, on découvre un tout autre rapport à l’écriture. C’est à se demander si cet écrivain à la plume étincelante, essayiste d’une intelligence si aiguë qu’elle en était parfois inintelligible hors de son cercle, ne fut pas un romancier raté, avorté, mort-né en raison même de son rapport à la demande extérieure. S’agissant d’une fiction, elle doit venir d’un désir intérieur. Dans l’admiration éperdue et jamais démentie de Proust, Barthes aurait rêvé d’écrire une autre Recherche du temps perdu. Or le problème, c’est que ce désir-là ne se commande pas. Comment peut-on désirer un livre qui vous a été commandé ? On aura beau citer l’exemple de Tristes tropiques, l’analogie ne tient pas : Jean Malaurie ne l’avait pas commandé à Claude Lévi-Strauss pour sa fameuse collection « Terre humaine » chez Plon : il le lui avait juste demandé, et c’est toute la différence. La proposition tombait bien, comme tombaient bien les propositions du même genre qu’Albert Skira fit à nombres de plumes prestigieuses pour sa collection « Les sentiers de la création ». En fait, Roland Barthes essaya d’adopter l’attitude d’Igor Stravinsky tel que celui-ci l’exposa dans ses Mémoires :

« Le truc, bien sûr, c’est de choisir sa commande, de composer ce que l’on a envie de composer et de se le faire commander ensuite »

Toute l’habileté consiste non seulement à persuader le commanditaire qu’il est bien, lui et lui seul, à l’origine du projet puis, une fois signé, de se le réapproprier en le poussant à bout jusqu’à une certaine limite. Sous la plume de Compagnon, on découvre que Barthes a été durant toute sa carrière un grand producteur de préfaces notamment à l’intention des patrons de ce qu’on appelait « les clubs », secteur profitable et prolifique dans l’édition des années 1950 à 1990 : la Guilde du livre (Lausanne), le Club français du Livre, le Club du meilleur livre, le Club des libraires de France, le Grand livre du mois, France-Loisirs…

Après une étude un peu trop technique et inutilement fouillée de ce domaine, l’auteur nous révèle que Barthes était du genre à détourner un peu la commande s’agissant notamment des présentations de classiques : La Bruyère, Chateaubriand etc. Et même de classiques modernes où on le voit traiter avec condescendance L’Etranger avant de prendre de haut La Peste alors qu’il est censé « vendre » Camus au lecteur qui doit être mis en appétit. Ses préfaces aux œuvres de Racine connaitront une certaine gloire car recueillies par la suite avec d’autres textes de lui dans son volume Sur Racine, elles seront à l’origine de la fameuse et virulente polémique Barthes-Picard qui enflammera conservateurs et avant-gardistes durant un an au sein de l’université. Tous les livres de Barthes parus de son vivant ont été écrits à la commande, sauf un : Fragments d’un discours amoureux. Son meilleur livre.

(« Roland Barthes dans le rôle de W.M. Thackeray aux côtés de Marie-France Pisier dans Les soeurs Brontë d’André Téchiné, phonogramme D.R. ; « L’Extase de sainte Thérèse, sculpture en marbre du Bernin », 1645-1652, Chapelle Cornaro, Rome, photo Filippo Monteforte)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature de langue française.

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commentaires

1 584 Réponses pour De l’effet pervers en littérature

Bill Evola dit: 3 mai 2025 à 14h58

Erreur!
C’est Pablo qui n’a pas lu mon lien sur le pape Trump Premier.

Pablo75 dit: 3 mai 2025 à 15h15

Si j’avais un blog littéraire et que je lisais, après ma prose, ces cinquante commentaires-là, je fermerais mon blog, en me disant : « Je n’ai pas mérité ça. »
Patrice Charoulet dit: 3 mai 2025 à 12h30

T’inquiètes pas: si tu avais un blog, tu n’aurais comme commentaires que des ronflements.

Christiane dit: 3 mai 2025 à 15h22

L’échange Chaloux/Edel n’est pas mal non plus :

Paul Edel dit: 18 février 2018 à 16h29
Dans « gens de Dublin » je vois une admirable observation psychologique et aussi un voile de tristesse, des notes d’amertume » sur la fatalité dans laquelle vit la société bourgeoise de Dublin dans ses cloisonnements et ses rigidités et la distribution des rôles, inamovible , avec des intuitions sur le trouble des femmes… il y a du bovarysme là -dedans . . Ajoutez une Ironie à la Tchekhov si précise dans sa délicatesse.. Que du grand art classique.. Et enfin, dans la nouvelle,« les morts » le trouble poignant dans sa sobriété d’une épouse qui pense à un jeune mort qu’elle aima au moment où son mari la convoite, là je vois du grand art du contrepoint classique dans la situation. Le Joyce « d’Ulysse » n’est pas encore né. Chaloux, c’est un trait douloureux chez vous de vite sortir l’insulte de votre besace quand on a une opinion littéraire divergente, est-ce héréditaire?

Chaloux dit: 18 février 2018 à 16h35
Mais Edel, on ne vous demande pas de compte-rendu impressionniste, regardez comment sont faits les textes, ce n’est pas une question d’avis!!!! Votre résumé est aussi nul et faux que le précédent sur Tchekhov.

Chaloux dit: 18 février 2018 à 16h40
Quand on lit vos résumés, Edel, on a l’impression que vous avez regardé, à moitié endormi, un téléfilm affalé dans votre canapé. Soyez du métier! »

puck dit: 3 mai 2025 à 15h51

« quand on a une opinion littéraire divergente, est-ce héréditaire? »

sur ce coup je suis un peu d’accord avec Chaloux : on n’a pas vraiment qu’il y ait une « opinion » littéraire.

en fait c’est ce qu’on peut appeler de la critique littéraire « journalistique », un truc où on ne se mouille pas trop pour éviter de baisser les ventes du journal pour qui on travaille.

la critique où arrivé à la 3è ligne tu t’endors…

sérieux une critique faut que ça saigne !
les gens de Dublin c’est un truc où l’auteur règle ses comptes avec cette bourgeoisie fadasse qui trouve une jouissance perverse dans sa façon d’humilier son prochain tout en faisant croire qu’elle aime son prochain, l’auteur décrit une sale bande d’hypocrites et de menteurs que la religion a rendu faibles et qui se venge de cette faiblesse sur des plus faibles qu’eux !!!

voilà ! je sais pas si c’est vrai mais au moins ça c’est une opinion ! c’est pas bien écrit mais dans une critique littéraire ce qui compte le plus ce n’est pas la forme à rouler les phrases comme un danseur de tango c’est le fond !

J J-J dit: 3 mai 2025 à 15h53

Lorsque je me relis, l’essentiel est que je se fasse rire moi-même, que je puisse une fois de plus admirer mon courage et cette fierté de pouvoir me dire une fois de plus : « moi, j’ai dit cela !?… Comme je suis beau et intelligent dans mon intarissable venimosité, ma seule vraie vérité en ce bas-monde… avec mes filles, celles que j’aurais aimé violer sans avoir jamais osé le dire. J’ai même eu du remords de « m’être moqué mal à propos » de cette pauvre HC ou CP.

@ jzmn (10.54) – Vois*j toujours pas le « rapport » entre homos et juifs d’Afrique du Nord. Comme si les uns n’étaient pas toujours parmi les autres. Drôles de mariages en bermudas burkinabés en kipas et culottes glaciaires 🙂
/ Comprenne le chat de Chat Roulé qui pourra’j. Heuh.

J J-J dit: 3 mai 2025 à 15h56

@ on n’a pas vraiment qu’il y ait une « opinion » littéraire.
—-
parfois ça manque de clarté, voilà pourquoi je lis Clarté, le fameux journal de la Liligue Cocommuniste Rérévolutionnaire. Bàv,

puck dit: 3 mai 2025 à 15h57

Edel gomme tellement les aspérités qu’il réussit même à faire croire que Thomas Bernhard et un 2 de tension comme JM le Clezio c’est la même chose, du genre le gendre parfait qu’on aimerait avoir à table tous les dimanches.
ce qui en soi est un exploit qui nécessite des années de soumission journalistique.

puck dit: 3 mai 2025 à 15h59

« parfois ça manque de clarté, voilà pourquoi je lis Clarté, le fameux journal de la Liligue Cocommuniste Rérévolutionnaire. Bàv, »

c’est bon bâv tu vas pas nous faire un fromage parce que j’ai juste oublié un mot.
je me souviens même plus quel mot c’était.

on n’a pas vraiment qu’il y ait une « opinion » littéraire…

c’est sûr qu’il manque un mot.

puck dit: 3 mai 2025 à 16h02

« Lorsque je me relis, l’essentiel est que je se fasse rire moi-même »

c’est de toi bâv ?

parce que là aussi c’est pas très clair sauf que j’ai l’impression que c’est parce que tu es déjà bourré à 6h du soir !

t’as remarqué que tu es bourré de plus en plus tôt ?

c’est quoi la raison ? t’es triste ? elle t’a largué parce que tu buvais et après tu pouvais plus… ?

raconte on peut essayer de t’aider.

Chaloux dit: 3 mai 2025 à 16h04

Oui, la critique impressionniste des années 70 -80 encore pratiquée ça et là par je ne dirai pas qui, est totalement has-been. La génétique des textes est passée par là. Paul Edel est certes sympathique mais ce n’est ni Julien Gracq, ni le Proust des textes sur Baudelaire ou Flaubert.

puck dit: 3 mai 2025 à 16h07

@ »Vois*j toujours pas le « rapport » entre homos et juifs d’Afrique du Nord. »

pourtant c’est simple : les juifs pied noir ils subissent l’amour envahissant de leur mère genre aie aie aie comme il est beau mon fils, mon fils c’est le plus intelligent de la terre, rassure moi mon fils, quand tu vas trouver une fille tu ne vas pas abandonner ta mère pour cette salope.

du coup quand on a une mère comme ça en principe on devient pédé d’où j’imagine le rapprochement entre les deux, je sais c’est lourdingue mais c’est du Jazzman.

MC dit: 3 mai 2025 à 16h10

Vous auriez ici comme critiques Gracq et Proust, les reconnaitriez vous, Chaloux?

puck dit: 3 mai 2025 à 16h11

@ »la critique impressionniste des années 70 -80 encore pratiquée ça et là »

impressionniste c’est quoi ? une impression de flou qui ne mène à rien ? juste donner ses impressions ?

du genre qu’on imagine mal la version « impressionniste » du radeau de la méduse ?

si c’est ça c’est ce que moi j’appelle la critique journalistique : le truc qui a totalement endormi la littérature au fil des années.

puck dit: 3 mai 2025 à 16h14

on imagine mal Proust écrire la littérature à l’estomac.

on se demande ce que Gracq aurait bien pu écrire aujourd’hui sur la critique littéraire « la littérature à l’oreiller ».

Chaloux dit: 3 mai 2025 à 16h17

MC, je serais en tout cas frappé par l’extraordinaire justesse et singularité de leurs propos, comme je l’ai été en les lisant. Je ne me passionne pas « au nom ». Jamais pu gober Steiner.

puck dit: 3 mai 2025 à 16h20

Gracq est à ma connaissance le seul écrivain français qui a osé dégommer Pivot et son émission apostrophes.

rose dit: 3 mai 2025 à 16h22

Ce n’est pas lourdingue.
C du vécu.
C.Bigot dit de l’amant (?) de M.Yourcenar que, la femme de sa vie, c’est sa mère.
Aux chiottes, ce matin, à Auchan, une femme m’a dit que son fils était l’amour de sa vie.
Puis de sa fille lui disait « tu n’as qu’à crever sale pute ». Je lui ai demandé de répéter je croyais avoir mal entendu.
Le fils vit a des milliers de km. Il a une fille. Donc il n’est pas homo.

puck dit: 3 mai 2025 à 16h26

« Jamais pu gober Steiner. »

moi pareil !!!
G. Steiner & U. Eco même combat !

rose dit: 3 mai 2025 à 16h26

Être assassin, ce n’est pas être du métier.
Être un violeur pas plus.

D. dit: 3 mai 2025 à 16h28

Gros orage de grêle sur Paris avec fortes rafales de vent. Des dégâts.
Rien à Chaville. Ouf !

puck dit: 3 mai 2025 à 16h28

« Ce n’est pas lourdingue.
C du vécu. »

désolé c’est aussi lourdingue que pedro.

puck dit: 3 mai 2025 à 16h32

« Gros orage de grêle sur Paris avec fortes rafales de vent. Des dégâts.
Rien à Chaville. Ouf ! »

pourquoi ouf ? parce que t’es content que la grêle a dégommé toutes les fleurs et les tomates que les bobos parisiens font pousser sur leur balcon ?

t’as pas de coeur, sérieux tu me déçois.

puck dit: 3 mai 2025 à 16h35

Gracq a dégommé Pivot parce qu’il ne supportait qu’on puisse concevoir la littérature comme un loisir genre le plaisir de la lecture.

rien que pour ça respect ! sérieux mon frère dommage que tu sois mort, tu nous manques.

Bernard dit: 3 mai 2025 à 17h04

Gracq avait une verrue bien apparente sur son visage, se montrer donc, pour lui, dans une émission de télévision, chez Pivot ou chez un autre, c’était hors de question.
Mais il me semble qu’il existe une ou deux vidéos sur Youtube où on le voit s’entretenir avec Pierre Dumayet ou Pierre Desgraupes, je ne sais plus…

puck dit: 3 mai 2025 à 17h21

Gracq se souciait sans doute des apparences, mais sans doute pas de la sienne.

dans littérature à l’estomac il anticipe ce qui allait arriver : le triomphe de l’apparence.

c’est vrai que c’est gonflant les apparences, un peu comme les américains qui donnent l’apparence d’être des des faiseurs de paix pour une guerre qu’ils ont eux-mêmes provoquée, en fait tout ce qu’on demande aux américains c’est pas de jouer les médiaiteurs de paix c’est d’arrêter de provoquer des guerres partout sur la planète !

J J-J dit: 3 mai 2025 à 17h49

ah oui, tu veux m’aider à rebander pour elle ?, mon doudoux… T’es sympa comme garçon, finalement. Dommage que tu te soyes mis avec Dédé…
« Lorsque je me relis, l’essentiel est que je se fasse rire moi-même. C’est de toi, bav ? »
Meuh nan, voyons !… C’est HC qui relit ses bons mots, laborieusement et passionnément recopiés par CP. Flatteuse, va. (J’étais vexé, elmadi que j’étais « quelconque », la mule de François.
Elle avait raison, de défendre Paul Edel, le meilleur d’entre nous toussent… Il vient encore de sortir un bon papier suur je ne sai spolus torp qui. C’est un homme de convictions quand même. Il se souvient de la honte que constitua la construction du mur de Berlin, après la mort de Ferdine Destouches. L’a bonne mémoire, le malouin qui malipense… Perso, sérieux, lui trouvéj bcp de différences avec JM Gustave Le Clézio @ Ph. Jarousky. Bàveux –

(nbis) Ah au fait, le poirier au milieu du nez, ce n’était pas vraiment le problème de Julien. Il était un professeur de géographie dans le secondaire. Fort estimé, d’ailleurs, DHH ! C’est ce qui compte, en fin de conte ! Il n’aimait pas la ville de Rome, n’en avait que pour celle de Nantes… Bien sûr, c’est discutable. Mais àquoibon ?

(nb/ je s-cuidj encore à jeun à 8 p.m. – Un outrage de grêle à Paris ? Bouh, mais c le bon moment pour visiter N-D. des Orages, en bermudas, si possib’, hein ?).

J J-J dit: 3 mai 2025 à 18h06

EN vérifiant ma bibli, je me souviens d’avoir lu deux fois Georges Steiner que j’avais bien aimé. Ses « passions impunies » dans lesqules je retrouvais pas mal des miennes, et surtout son autobiographie, Errata (il faut dire que j’apprécie pas mal de lire les autobiog d’écrivains qui ont agréablement troublé mon chemin, avant même d’en avoir pensé du bien ou du mal). Non sans un certain quant-à-soi bien compréhensible, Steiner s’est objectivé ceci : « L’exposition depuis la petite enfance à ces ordonnances d’excellence, le désir de partager avec d’autres la responsabilité et la transmission dans le temps, sans lesquels le classique fait silence, fit de moi exactement ce que voulait mon père : un professeur »…
Moi, je trouve cette attitude honorable et surtout honnête. Evidemment, on comprend pourquoi les « ratés », quoique soumis aux mêmes déterminismes que les siens, le haïssent autant. Bref, @ chacun sa merdre, comme dirait jzman*ubu !

Chaloux dit: 3 mai 2025 à 18h19

L’infirmière passe de plus en plus tard. On a beau être professionnel, quand ça rebute…

Christiane dit: 3 mai 2025 à 18h24

Croire at l’élégance de Chaloux seule seconde ?

Chaloux dit: 30 mai 2020 à 12h30
Non, ma pauvre tata Bousemolle, tu te surestimes. Tu t’es surestimée toute ta vie. Résultat une pauvre épave incapable de s’occuper d’autre chose que du trou du cul des autres, une vielle pédale d’1 mètre 52 qui veut jouer les vrais hommes. Franchement, je te réponds parce que j’ai pitié de toi, mais depuis des années c’est toujours la même chose, le même étron glaireux posé tous les matins. Ta mère fit un pet foireux et tu naquis de sa colique. Tu ferais mieux de disparaître. »

Christiane dit: 3 mai 2025 à 18h28

JJJ, vous n’êtes pas quelconque, voyons ! Qui a pu vous dire cela ?

Christiane dit: 3 mai 2025 à 18h44

La gentillesse de Chaloux :
Chaloux dit: 30 mai 2020 à 9h36
Lire les classiques pour lire les classiques? Il faut lire ce qu’on éprouve la nécessité de lire. Ou sinon se barbecuire, comme la côtedeporoclopine et la Chipolatogigi.
Exactement comme la volonté d’être de son temps : Laissons cela aux imbéciles. Quoiqu’on fasse, on aura été de son temps.

(Je n’avais jamais vu la peinture italienne sous le misérable angle Abracadabratoclopinesque, pauvre fille qui écrit sans doute « boursouflé » en regardant ses doigts « courir sur le clavier », désolés d’avoir à écrire tant de sottises. Quant à la « sociologie » de la peinture hollandaise, c’est un thème archi-rebattu. Voir Todorov. La solitude fermière n’est pas bonne pour l’être humain qui se targue de penser. L’absence de curiosité intellectuelle non plus. Je ne sais plus qui a dit que l’esprit se forme par le dialogue. Certaine en a manqué comme d’autres d’oxygène). »

Chaloux dit: 3 mai 2025 à 18h52

Merci à la vieille maîtresse d’école. Je dois dire que je reste prodigieusement de mon avis. Il est évident qu’une idiote de cet acabit ne peut rien y comprendre. Elle est comme une poule qui a trouvé un râteau, à laquelle on ne pourrait même pas demander un œuf!

MC dit: 3 mai 2025 à 19h18

Notons tout de même la citation d’Apollinaire…Non donnée comme citation! Pour le reste, de Steiner, je ne retiendrai pas les Antigones, mais « La Mort de la Tragédie », si.

FL dit: 3 mai 2025 à 19h26

« FL, je pense ici a tout ce qui concerne Fay avant la Faute, et même un peu après. La protection de Gertrude Stein, par exemple. »

C’est vrai Gertrude Stein et Alice Toklas étaient très voyantes, d’une imprudence qui frisait la folie, et avaient les mauvaises caractéristiques : Américaines, juives, lesbiennes. Sans la protection discrète mais efficace de Faÿ elles n’auraient pas traversé l’Occupation.

Antoine Compagnon n’en fait pas mystère.

Il faut mettre ça au crédit de Faÿ et lui dire merci pour ces deux dames malgré qu’on en ait.

« La période était compliquée », François Mitterrand.

et alii dit: 3 mai 2025 à 19h28

Une découverte troublante lie la maladie d’Alzheimer à une bactérie présente dans nos bouches. Des chercheurs ont identifié Porphyromonas gingivalis, responsable des maladies gingivales, dans le cerveau de patients atteints d’Alzheimer. Cette piste infectieuse pourrait réformer notre compréhension de cette maladie neurodégénérative dévastatrice.
https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/maladie-alzheimer-si-maladie-alzheimer-commencait-votre-bouche-121517/?utm_source=nl_alerte&nl_optin=optin_alerte&utm_campaign=general&utm_medium=email&md5=3f61450b4cf08e9d44ccf6c2f649e776&utm_content=www.futura-sciences.com%3anewsletter%3a%3ahomepage&sha256=c9d208096a0cf9890af148e732b7f0569a768fe1b915dacd51f2d2d7cda0cdd7

rose dit: 3 mai 2025 à 19h31

Chaloux dit: 3 mai 2025 à 16h31

Chaloux est marie sa sœur.
Mais pas seulement. Il est aussi Coco Chanel. Elle se décrit « je suis odieuse ». « Je suis un dictateur ». Etc. Une espèce d’horreur qui s’assume telle quelle.

J J-J dit: 3 mai 2025 à 19h35

Quand on est hypocondr… sous analyse depuis 40 ans, on croit à tout ce qu’on lit sur les bactéries… Alzheimer, et tu prends ça dans les dents…
Ca suffit, la désinfo médicale ! Halt ! On sait qu’on n’en guérira pas.

Chaloux dit: 3 mai 2025 à 19h36

À la vieille rosse. Du moins je n’invente pas la vie de gens que je ne connais pas, dans des vapeurs d’après boire.

J J-J dit: 3 mai 2025 à 19h51

« La période était compliquée » (sur FM…, france musique, bande passante à Jarnac) – Je crois qu’il évoquait le « processus de décolonisation » (d’après P. Blanchard)
Gertrude Stein @ Alice Toklas n’affichaient pas les mêmes caractéristiques que Marguerite Yourcenar @ Grace Frick qui n’étaient ni américaines, ni lesbiennes, ni enjuivées /// … de la petite histoire littéraire mondaine pas très intéressante. Etes-vous spécialisé(e) sur ce sujet, au portail LGBT et + si affinités, Fl. ?

19.31, Anéfé, sont exactement de la même engeance. Iels s’entre-admirent derrière le tain du miroir de l’élégance de leurs blancs crachats (Catherine).

J J-J dit: 3 mai 2025 à 19h55

MC, vous avez l’air très cultivé. Je suis d’accord, ses Antigones étaient un peu faiblardes. Alain Viala les appréciait, pourtant, de son côté. Bàv,

J J-J dit: 3 mai 2025 à 20h04

Qu’est devenu le fameux débat Poutine/Trump, depuis tantôt ?… En panne d’inspiration, peut-être ? On s’impatiente au sujet des nouveaux rebonds inattendus de nos deux spécialistes, pendant ce temps. Et puis, les bermudas, ça va bien 5 minutes, hein.
Vos poules sont-elles couchées ? Il est 22 heures environ.
Dehors, icite…, les fragrances des seringas, des jasmins; mais aussi des roses et pivoines encore en boutons prêts à exploser dans les jours à venir, avant même les saints de glace. Une sérénade nocturne pour l’odorat gavé de sucre.
Bàv, si vous les humez aussi, de Paris à Marseille, de Forcalquier à Chaville.

J J-J dit: 3 mai 2025 à 20h07

Gaël Faye et Jean-Pierre ou Emmanuel Faye. Ne confondons pas les registres, à force.

J J-J dit: 3 mai 2025 à 20h21

@ vous n’êtes pas quelconque, voyons ! Qui a pu vous dire cela ? -> Quelqu’une ! 🙂

x dit: 3 mai 2025 à 21h09

Les oligarques, leur vie, leurs manies, leurs fondations, comme « sujet hyper romanesque » ?
Mathieu Larnaudie s’en est emparé dans Trash Vortex, son dernier (gros) roman dont j’avais déjà cité quelques extraits.
Les recensions ont été élogieuses, et au-delà de l’intérêt pour ses thèmes, les critiques ont bien repéré l’effet miroir entre ces gyres de particules de plastique et la façon dont le livre est composé (personnages multiples en déplacement constant) ainsi que sa « langue » (qui charrie des bribes et des débris, des « morceaux de codes, tous les signes d’une langue usée, abîmée par l’autorité et la marchandise », T. Samoyault dixit).
Je ne suis pas vraiment convaincue ; si quelqu’un a lu le livre et souhaite en débattre…

Christiane dit: 3 mai 2025 à 21h17

Rainer Maria Rilke laissé un dernier texte, « Le testament ». Soudain il écrit sur Rimbaud :
‘De tout son cœur impétueux secouer la langue pour qu’elle devienne, un instant, divinement « inutilisable » – et puis partir, dans jeter un regard en arrière, de faire marchand. »
Ainsi ferons-nous, JJJ, de quelconque et de quelqu’une.
C’était un jour électrique qui crissait comme citron sur les dents.

Bernard dit: 3 mai 2025 à 21h19

Rose et Gigi sont toutes les deux alcooliques certainement.
Faut pas leur en vouloir, sans la bouteille, comment voulez-vous qu’elles restent en vie ?
Pour elles, c’est plutôt In vino vivas !

Christiane dit: 3 mai 2025 à 21h28

Rose, 19h31
C’était un glissement semblable qui un jour, trouvant la même expression dans un commentaire de Ed et un de Chaloux ma ait conduite à penser qu’ils étaient « un ». Ce serait la plume blanche comme dans le grand poèmes de Victor Hugo, celle qui n’est pas tombée dans l’abîme avec Satan et qui est devenue l’Ange
Liberté.
Il y a comme cela chez certains etresy abjects une source de lumière. Je le lui avais dit. Elle m’avait répondu que je me trompais.
Votre supposition est crédible. Elle serait Isis, sa fille maudite.
Si c’est le cas reconnaissons-lui un don d’ubiquité !

Pablo75 dit: 3 mai 2025 à 22h08

@ Chaloux

Tu n’as plus ton mail à laposte.net? Si tu as encore le mien, envoie-moi un mail où te contacter.

Christiane dit: 3 mai 2025 à 22h42

Comme c’est beau. Violon et viole de gambe piano et ?. Quel est le nom de cet instrument ?

Marie Sasseur dit: 4 mai 2025 à 4h23

Et moi je suis le pape.
Ce ne sont pas les deux vieilles hystériques ,
la rosse et la maîtresse d’école,
le sanglier de Forcalquier et la kapo de cour de marernelle,
la jackie & michèle et la crissiane alzheimer,
qui mettront fin aux agissements délinquants de l’huissier véreux. Passou non plus. On s’en occupe (bis)

rose dit: 4 mai 2025 à 4h38

Christiane,

Je pense que c’est
« sans jeter un regard en arrière. »
Un jour, vous avez lu […]
Un pote mien, dcd depuis, appelait cela le gimmick. C’est ce qui permet de reconnaître.
L’ange : Coco Chanel crache dessus et pas de petite manière.
« Un être abject/un être de lumière » : Le premier cache le second. Quel drôle de jeu, dangereux : je n’admire pas.
Contre la guerre en Ukraine : avec la guerre qu’il nous fait à nous, constante, sanguinolente ! ?
Il s’ennuie => joue. À nos dépends.
J’expliquais à ma mère que, sur ce blog, on supportait ce que, dans la vie, on ne supporterait pas. Étrange vie.
J’ai trouvé une chose très intéressante en 2020. Sinon, pas d’amélioration aujourd’hui.
Voilà, le bilan n’est pas joyeux, solitude, marasme.

rose dit: 4 mai 2025 à 4h44

Je vous précise, Christiane, que contrairement à bien d’autres, la -ci-dessus, n’accepterait jamais de boire un café avec vous, moi : elle tomberait de son piédestal branlant et son petit jeu malsain n’aurait plus aucun effet, ce qui est déjà le cas pour moi.
Je me pose encore la question sur trois bloggeurs de la rdl. Après, j’aurais fait le tour.

Marie Sasseur dit: 4 mai 2025 à 4h59

La famille de la rosse doit aussi être informée je pense, il s’agit d’assistance à personne en danger. Il y en a sur ce blog, qui connaissent cette personne malade irl, qui peuvent peut-être intervenir.

Christiane dit: 4 mai 2025 à 5h47

La violoniste est extraordinaire et le groupe en parfaite harmonie. Merci, Renato, pour cette grande beauté. La musique baroque nous emporte loin des miasmes…

renato dit: 4 mai 2025 à 5h52

Giovanni Battista Fontana, deuxième sonate, organique :
violon baroque, viole de gambe, clavecin, archiluth.

Marie Sasseur dit: 4 mai 2025 à 5h55

Il n’y a pas que ces deux vieilles hystériques, – la kapo de cour de maternelle et le sanglier de Forcalquier-, et l’huissier délinquant, à se livrer à de la diffamation publique.

Je découvre cette histoire, qui ne surprendra pas  » qui fait profession d’observer la vie littéraire au quotidien »

https://www.liberation.fr/debats/2016/04/01/entre-amis_1443422/

La pauvre Christine, des années d’analyse, n’a même vu que son ami Claude L, en était…

renato dit: 4 mai 2025 à 6h01

La violiniste, Alana Youssefian, est l’une des meilleures violonistes baroques en activité.

Christiane dit: 4 mai 2025 à 6h22

Archiluth ? Je ne connaissais pas. Cordes pincées, apparemment. Merci Renato. Alana Youssefian… Je retiendrai le nom de cette violoniste.

Christiane dit: 4 mai 2025 à 6h25

Rose, pensé à vous et à MC. Une nuit Victor Hugo de toute beauté sur France culture. Me suis endormie vers 2heures du matin après le deuxième épisode des Misérables. Avant beau programme englobant son oeuvre poétique magnifiquement lue. Je pense que dans les Nuits de France Culture on doit pouvoir accéder au Replay.

J J-J dit: 4 mai 2025 à 6h46

@ 21.15 j’ouvre votre lien ce matin, JL… Explosion de rire au bout d’un quart de seconde. Merci, merci, ma journée sera superbement dimanchée. Bàv,

Christiane dit: 4 mai 2025 à 6h56

Dans le premier épisode, Denis Podalydès, évoquant Victor Hugo et lisant un long extrait des Travailleurs de la mer, c’est grandiose !

J J-J dit: 4 mai 2025 à 7h09

JE PENSE QUE
« je pense » qu’elle eut une « journée électrique », ayant confondu le vinaigre pour une tranche de citron mal trempée dans son thé. Je crois en la sincérité de son plaidoyer, dont elle se sent piteuse aujourd’hui. Elle fait semblant de prendre tout cela à la légère pour amoindri son remords.
Ma vieille institutrice, feue Julie Berducou, faisait de même autrefois. Sévère et injuste devant le monde, puis un jour, en privé, il en advenait subrepticement une petite gentillesse à vous seul. Je comprends bien cela.
Qui sont jackie & michèle, Jzmn ? Qui joueraient à nos dépends (sic) ? Je n’arrive pas à faire le tour de tou.tes les erdélien.nes, pmp, JE PENSE. Excepté pour 4 d’entre eux, c’est fait…, quasi depuis toujours. Iels resteront indécrottables, comme le sont tous les déchets sociaux attendent de renaître en donnant des fleurs, sous un autre terreau. Je m’en accommode.
Hélas, je ne DISPOSE pas d’un vers de Rilke à citer, pour symboliser cette petite mise au point, bien inutile au demeurant.
—- Archiluth@laposte.net

MC dit: 4 mai 2025 à 7h09

Christiane Dans un Livre sur la Comédie Francaise, par quelqu’un qui la connait bien, il est dit « Mr Podalydés, Locomotive. » Sans commentaire excessif.
JJJ. Je crois avoir souvent entendu Viala,le pire, à Paris, et n’avoir jamais perçu d’admiration Steinerienne de sa part. Ca ne daterait pas de sa nomination à cette pauvre université d’Oxford?!

J J-J dit: 4 mai 2025 à 7h13

@ Et moi je suis le pape.
Non, ma Jeure, vous n’êtes que sa pierre tombale. Et c’est tout à fait honorable. On ira vous visiter un jour.
***(nb/ Claudio Monteverdi, lui, il gît à Venise, pas à Bahia). Bàv

renato dit: 4 mai 2025 à 7h21

À Venise, et précisément dans la chapelle des Milanais en la basilique Santa Maria Gloriosa dei Frari.

J J-J dit: 4 mai 2025 à 7h22

@ MC/PR, vous ne savez pas tout… Et quand vous détestez, vous oreilles ont tendance à se refermer. Par ailleurs, l’Université d’Oxbrige n’est pas « pauvre » du tout… Je crois (ou pense) juste qu’elle a préféré le concours de Viala au vôtre. A quoi ont tenu ses critères ? Nous ne les formulerons pas, bien qu’on puisse aisément les deviner. Quant aux « faiblesses » des anti-gones du chaâba, c’est une histoire édifiante que G. Steiner (Gestetner ?) n’a pas perçues.
😉 ?

J J-J dit: 4 mai 2025 à 7h29

Merci pour cette précision, RM, j’eus la flemme de rechercher, mais je m’y suis longuement recueilli. Dieu merci, vous veillez toujours au « grain » italien sur ce blog, nous avons pouvoir compter sur vos lumières souvent lumineuses… Je préfère entre tous, le Lavazza. Et vous, quelle est votre marque prédilectable ?
https://www.mercuredefrance.fr/le-gout-du-cafe/9782715228337
@ jzmn, il faudrait y rajouter le petit livre parfumé d’Alain Mabanckou.

MC dit: 4 mai 2025 à 7h34

JJJ .J’ai dit pauvre, parce que Mr Viala, dont la toquade était la littérature pour les pauvres d’esprit, et l’impossibilité d’en enseigner une autre, s’est empressé d honorer son engagement en se faisant placer à Oxford, qui n’est pas en effet particulièrement déshéritée comme vous le dites judicieusement a cet égard! Voir sur le net, et parue de son vivant, l' »Apologie pour Alain Viala ». Elle n’est pas de moi, mais confirme ce que je pensais, et d’autres aussi, de ce triste personnage. MC

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 7h43

@pablo, j’y vais tellement peu qu’ils ont vidé ma boîte. Je n’ai plus ton adresse. Je te dis dès que j’ai du nouveau.

J J-J dit: 4 mai 2025 à 7h44

7.34, J’admire votre flegmatisme à toute épreuve. il nous change des réactions sordides de maint.es halluciné.es de cette chaîne. Même si nous ne sommes pas toujours convaincu par des propos souvent à l’emporte-pièce, quoique gardant l’apparence d’une certaine profondeur. Ils ne sont souvent basés que sur des ouï-dire de seconde main, somme toute assez peu documentés.
Un exemple (7.36) : « Luc 6 est un verset censuré, si Jung ne se trompe pas en 1961… ». Certes, mais encore, Terpsichore ?

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 7h53

« On s’en occupe ».

Le vieux sac de dons d’organes refusés s’obstine dans ses chimères.

« Notre sœur est folle, oui.- Cela croit tous les jours. »

Il faut vraiment être totalement siphonné pour croire que je suis Ed. Ces dames doivent avoir du papier-journal à la place du cerveau comme le sergent de ville de Jarry.

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 8h00

Jung n’a que le temps de ne pas se tromper en 1961. Il est mort le 6 juin.

Marie Sasseur dit: 4 mai 2025 à 8h02

Bis:

« Le commissaire de justice respecte en toutes circonstances, y compris dans sa vie extraprofessionnelle, notamment à travers son comportement, ses propos et l’image qu’il renvoie, la dignité et la discrétion professionnelle qu’imposent ses fonctions. »

« Toute contravention aux lois et règlements, tout fait contraire au code de déontologie commis par un professionnel, même se rapportant à des faits commis en dehors de l’exercice de sa profession, et toute infraction aux règles professionnelles constituent un manquement disciplinaire.
Le professionnel ayant cessé d’exercer, quelle qu’en soit la cause, y compris s’il est regardé démissionnaire d’office dans les conditions prévues par décret en Conseil d’Etat, peut être poursuivi et sanctionné si les faits qui lui sont reprochés ont été commis alors qu’il était encore en exercice.  »

On s’en occupe.

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 8h13

Le pauvre vieux sac se nourrit d’illusions. Grand bien te fasse, tas d’organes entassés au hasard.

Hurkhurkhurk!

Et qu’est-ce que cette histoire de censure de l’Evangile de Luc? On censure les Evangiles au XXe siècle ?

D. dit: 4 mai 2025 à 8h14

Beau rafraîchissement peu favorable au bermuda. Je suis bien content.

J J-J dit: 4 mai 2025 à 8h15

@ Ed. => les chiottes sont OQP ?…
Elle veut dire qu’elle instruit le dossier à sa décharge (publique), en tant qu’avocate de l’huissier huileux.
<<<>>>

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 8h19

Et cette chimio, Gigi, ça se passe comment. Il y a longtemps que tu ne nous a livré le résultat de tes analyses d’urine, touchers divers etc…

Jazzi dit: 4 mai 2025 à 8h20

Un film de désenchantement qui nous rappelle qu’il y a rien de nouveau à l’Ouest !

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 8h21

Jung n’a EU que le temps.

Je ne comprends rien à cette histoire.

Christiane dit: 4 mai 2025 à 8h22

MC, là Podalydès introduit la nuit Victor Hugo. Raconte comment par les récitations il l’a découvert à l’école.
Les travailleurs de la mer. Ce bateau qui sombre, qu’il essaie de sauver. Cela est lu avec conviction.
Les autres volets de la seriey sont servis par d’autres voix, d’autres souvenirs et pas des moindres.
Ne faites pas la fine bouche devant ce mets de choix.

Marie Sasseur dit: 4 mai 2025 à 8h26

Sinon, Passou, dans la collection  » ma nuit au musée  » le dernier en date à paraître, est une initiative originale, puisque G. Gallienne a choisi un musée géorgien.
S’il reconnaît devoir cet exercice à une commande, il n’en a pas fait pour autant une prestation tarifee, comme Angot a cru qu’il lui était demandé une passe par in proxénète.

Bien loin de là, quelle élégance, chez Gallienne, dans la présentation de son rendu de copie, l’autrejour a la radio. Il ne se prend pas au sérieux comme tous ceux qui ont une classe naturelle.

Alors « pourquoi la Géorgie », pour ce  » buveur de brume « .
La réponse tient en un tableau, celui de son aïeule, égérie, je le découvre, de Coco Chanel, et un temps amoureuse de Zelinski…

« Georgian poet Titsian Tabidze called her “divine Madonna.” All the Georgian intelligentsia gathered in Melita’s house. She was educated in a gymnasium in Tbilisi, and at the age of 20 she fell in love with Konstantin Zelinski, a brilliant lawyer famous for his outstanding appearance, who was 20 years older than her. Zelinski pampered her a lot, but their idyll didn’t last long. »

https://georgianjournal.ge/culture/31723-georgian-mother-and-daughter-who-were-exclusive-models-for-coco-chanel.html

Bonne journée, Passou, dommage que vous ayez choisi la mauvaise commande.

Christiane dit: 4 mai 2025 à 8h27

JJJ – 7h09
Vous n’y êtes pas du tout. Aucun remords. Vous aviez été odieux.
(caractérielle… Aviez-vous dit. Je vous renvoie le compliment.
Donc, cessons là. Je n’aime vraiment pas votre suffisance.

Patrice Charoulet dit: 4 mai 2025 à 8h29

Langue française

Doit-on écrire « un Juif » ou « Un juif » ?

Voici l’avis (l’oracle ?) de l’Académie française, dans sa dernière édition.

JUIF, JUIVE n. 1. Personne descendant de l’ancien peuple d’Israël ; personne qui professe le
judaïsme (dans les emplois où ce deuxième sens est prédominant, on ne met pas de majuscule).
« Les Juifs de Pologne, d’Allemagne, de France. » « Un juif pratiquant ».

MC dit: 4 mai 2025 à 8h29

JJJ , pardonnez-moi, c’était une réponse à un commentaire déjà lointain de Puck. Relire « un Mythe Moderne » ne fait pas de mal. MC

MC dit: 4 mai 2025 à 8h33

Oui, il n’a que le temps de ne pas se tromper, l’Edition d’un Mythe Moderne étant de 1960 sous sa première forme.

Marie Sasseur dit: 4 mai 2025 à 8h36

dans la collection » ma nuit au musée » le dernier en date à paraître, est une initiative originale, puisque G. Gallienne a choisi un musée géorgien.

A noter :

Et il a dialogué avec un portrait
C’est magnifique comme idée, Passou, franchement, vous qui avez été une fois » le portrait » , vous êtes impardonnable d’avoir choisi la mauvaise nuit, vraiment !

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 8h38

Gallienne lit Proust comme un dieu.

Cette pauvre Gigi la déplumée sait se faire des amis!

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 8h43

La vieille maîtresse d’école préfère sa suffisance à celle de la Gigi. Deux gros morceaux il est vrai.

Hurkhurkhurk!

et alii dit: 4 mai 2025 à 8h46

Personne descendant de l’ancien peuple d’Israël
question : et la preuve?

rose dit: 4 mai 2025 à 8h56

Grosse erreur de pronostic : Chaloux et Marie Sasseur sont Coco Chanel in L’allure de Chanel de Paul Morand.
Belle découverte.
Paul Morand n’écrit pas au je.
Il a pris des notes à Saint Moritz et vingt après et après le décès de Mademoiselle, il retrouve, au hasard d’un déménagement en Suisse, les feuillets de ses notes prises alors de son séjour avec Mademoiselle. Dans sa préface, il explique comment et pourquoi il a décidé de publier ses propres notes. Et il a écrit au je. Celui de Coco.
Des gens géniaux qui s’ennuient et sont seuls face au monde qui leur est hostile.

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 8h56

La vieille maîtresse d’école n’a jamais vu un clavecin. C’est la première fois. Elle croit que c’est un piano.

rose dit: 4 mai 2025 à 8h59

Je précise, quant à moi, je ne suis ni un génie, ni face a un monde hostile. D’où mon incompréhension totale.

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 9h02

Oui, c’est bien ce que j’ai dit, Morand écrit à la première personne, comme s’il était Chanel. J’ai l’avantage d’avoir lu ce livre.

Marie Sasseur dit: 4 mai 2025 à 9h08

La rosse , en décompensation psychique, nécessitant des soins, et un internement, dans l’intérêt de la famille, la sienne, ne semble pas au parfum.

Car je suis plutôt « chance »…

Melita , elle, était égérie chez Chanel, oui.

« When she was 18, Melita married Konstantin Zelensky, a lawyer and writer from Petersburg, he was 20 years older, though. In 1922 Melita left Georgia with a daughter and a sister and arrived in Paris, where the source for her income was modeling. She met and became friends with Meri Shervashidze in the House of Chanel. Melita visited Georgia only once, in 1958. She died in 1985. Her daughter replaced Melita on a catwalk »

https://georgianjournal.ge/society/34620-georgian-models-who-worked-with-coco-chanel.html

MC dit: 4 mai 2025 à 9h09

Chaloux, Je reproduis ce que dit Jung touchant Luc 6, lequel dit bien que l’Eglise avait censuré ce verset, laissant son commentaire aux Gnostiques. Pour le reste, Ne trouvez-vous pas amusant de voir Sasseur citer une Loi faite sous… Vichy???

et alii dit: 4 mai 2025 à 9h11

rose,
si vous étiez un génie, au sens où l’on admet le génie à quelques hommes, ça se saurait;
votre monde est le monde commun pour tous les humains;il n’est pas toujours hospitalier, et il est même parfois hostile

MC dit: 4 mai 2025 à 9h14

Eh oui, la Non-Assistance à personne en danger est une loi faite sous Vichy…On devine dans quel sens! MC

Marie Sasseur dit: 4 mai 2025 à 9h19

Le Sucebite a trop des références pourries
, ça doit lui venir de sa famille  » spirituelle »

Si l’huissier véreux est passible de sanctions pouvant aller jusqu’à la radiation, on s’en occupe, le texte de loi n’a pas à ma connaissance, été élaboré par ses amis petainistes , le texte est tout neuf, on le dirait ecrit spécialement pour l’huissier délinquant.
Il doit bien y avoir un lien..

N’importe n’est censé ignorer la loi,
Bis:

« Le commissaire de justice respecte en toutes circonstances, y compris dans sa vie extraprofessionnelle, notamment à travers son comportement, ses propos et l’image qu’il renvoie, la dignité et la discrétion professionnelle qu’imposent ses fonctions. »

Texte complet ici:

Décret n° 2023-1296 du 28 décembre 2023 relatif au code de déontologie des commissaires de justice

Pablo75 dit: 4 mai 2025 à 9h31

Il n’y a pas que ces deux vieilles hystériques, – la kapo de cour de maternelle et le sanglier de Forcalquier-, et l’huissier délinquant, à se livrer à de la diffamation publique.
Marie Sasseur dit: 4 mai 2025 à 5h55

Diffamation publique contre de gens anonymes? On est devant une contradiction dans les termes. J’aimerais lire, d’ailleurs, l’article de loi sur la diffamation publique contre des pseudonymes. Si quelqu’un porte plainte sur ce motif il risque d’être lui-même condamné pour obstruction à la justice, laquelle a d’autres chats à fouetter bien plus graves.

Il faut arrêter de faire le ridicule avec des menaces imbéciles de cour d’école maternelle… surtout venant de quelqu’un qui serait la première condamnée ici pour diffamation publique si la chose était possible (on pourrait faire une liste très instructive de toutes les calomnies contre tout le monde qu’a répandu ici Soeur Sassoeur, sans conteste la plus grosse langue de pute du blog).

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 9h32

L’assasseure, je te répète que tu te fais des illusions. Personne ne s’occupera de ça. Le seul bien, c’est que ta démarche va me permettre d’obtenir tes coordonnées exactes ( puisque le dossier me sera transmis ) et de t’attaquer pour dénonciation calomnieuse. Je te conseille de faire la donation de tes biens immeubles à tes petits neveux. La sanction peut être assez salée surtout si la dénonciation a été faite dans un cadre institutionnel, ce qui est le cas. Je me ferai ensuite un plaisir de te saisir.

Hurkhurkhurk !

et alii dit: 4 mai 2025 à 9h33

danger
je voudrais dire:il est écrit « imminent »
« La personne en danger fait face à un péril grave et imminent, qui menace son intégrité corporelle ou son bien-être moral (détresse) »
j’ai entedu enseigner par P.LEGENDRE qi’il n’y avait jamais d’urgence:peut-être parce que j’ai aussi vécu dans un milieu médical où il y a la spécialité d’urgentiste, je ne suis pas d’accord:je crois qu’il peut y avoir urgence; autre chose l’apprécier et l’argumenter

Marie Sasseur dit: 4 mai 2025 à 9h38

L’huissier délinquant a été banni de ce blog suite à diffamation publique, pendant plusieurs mois.

Je pense qu’il est inutile que le Pélicot du 75 en fasse trop.
On s’occupe de la suite ( ter)

Comme le disait Gallienne, avec beaucoup d’humour, il y a des circonstances où l’insulte est de l’information. Je vous ai suffisamment informés, lol.

A bientôt, vous aurez de toutes façons des nouvelles.

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 9h42

MC, votre message pouvait signifier, à une virgule près, que le verset avait été censuré en 1961. Vous avez un style de gribouille et on se demande ce qu’il est possible de tirer de vos recherches avec un tel galimatias.

et alii dit: 4 mai 2025 à 9h43

Le médecin urgentiste est un médecin spécialisé dans la prise en charge des patients en situation d’urgence. Son leitmotiv : sauver des vies dans des situations critiques !

On l’appelle aussi
• Docteur • Urgentiste

Quel est le rôle du médecin urgentiste ?

En France, un médecin urgentiste est en première ligne pour traiter les patients présentant des situations médicales aiguës et urgentes, allant des traumatismes aux problèmes médicaux graves : crise cardiaque, AVC, accident de la route, détresse respiratoire, etc.

Habitué aux situations extrêmes, le médecin urgentiste est mobilisable à tout instant pour poser rapidement un diagnostic et stabiliser l’état de santé du patient. Il doit tout mettre en œuvre pour maintenir ses fonctions vitales jusqu’à ce qu’il puisse être transféré à des services spécialisés.

Le ou la médecin urgentiste travaille toujours en collaboration avec de

https://www.letudiant.fr/metiers/secteur/medical/medecin-urgentiste.html

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 9h47

Non, l’assasseure, je n’aurai aucune nouvelle, et si j’en ai c’est toi qui
en paieras les pots cassés, au prix fort, je te l’assure, car il te faudra assumer des frais de justice très élevés. Il faut que tu te sortes cette illusion de la tête. Tu crois au caractère magique de tes affirmations et c’est déjà un signe d’aliénation mentale.

Pablo75 dit: 4 mai 2025 à 9h51

Soeur Langue-de-Pute Sassoeur ne nous explique toujours pas comment on peut diffamer quelqu’un dont on ne connaît pas l’identité.

D’ailleurs, si c’était possible elle arrêterait net de diffamer tout le monde ici.

Avec ces menaces de gosse de 4 ans, elle se contredit doublement.

Entre des anonymes, la seule sanction possible c’est celle du propriétaire du blog, qui serait bien inspiré d’éliminer d’ici quelqu’un qui s’est montré, depuis au moins 20 ans, totalement incapable d’écrire quelque chose d’intéressant, comme Soeur Langue-de-Pute Sassoeur.

Marie Sasseur dit: 4 mai 2025 à 9h52

Il a le trouillometre à zéro, l’ huissier délinquant. Il peut.

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 10h02

Pauvre vieille, ses menaces en l’air sont le dernier état, cadavérique, de sa libido.

Renelle dit: 4 mai 2025 à 10h08

Marie sasseur j’avoue ne rien comprendre de ces menaces vous allez donc déposer plainte auprès de la cour disciplinaire des commissaires de justice pour des propos déposes par un soit-disant membre de cette profession .propos déposes sous un pseudonyme ou simplement déposer plainte pour ces dits propos.en le faisant vous allez mettre en port’a faux l’hôte de ce lieu même si un blog est différent d’un site internet.pour la première procédure le chemin est perclus d’embûches. Il suffit de lire un site d’avocats spécialisé dans ce domaine.
Tout ceci est vraiment éloigné du thème de ce blog
M’enfin la nature humaine est hélas telle qu’elle est.

Marie Sasseur dit: 4 mai 2025 à 10h09

Et pour clore mes contributions sur le sujet du billet, contributions qui m’honorent, je ne suis pas en peine vu le niveau, un petit rappel:

« La nuit européenne des musées
La nuit européenne des musées aura lieu le samedi 17 mai 2025. Ce soir-là, de nombreux musées ouvriront gratuitement leurs portes en France et en Europe, de la tombée de la nuit jusqu’à minuit. Visites éclairées, parcours ludiques, projections, animations exceptionnelles donneront à vivre au public une expérience du musée à la fois conviviale et ludique. »

La conclusion supplémentaire, c’est évidemment que je ne lirai plus Angot, mais qu’on attendra le procès de son ami poursuivi pour faits de viols sur mineurs, avec grande attention.

Jazzi dit: 4 mai 2025 à 10h14

Pendant que l’on constate les dégâts, et alii demande s’il y a un urgentiste dans la salle.
Mais il est à craindre que personne ne l’entende !

Pablo75 dit: 4 mai 2025 à 10h27

Et pour clore mes contributions sur le sujet du billet, contributions qui m’honorent […] La conclusion supplémentaire, c’est évidemment que je ne lirai plus Angot, mais qu’on attendra le procès de son ami poursuivi pour faits de viols sur mineurs, avec grande attention.
Marie Sasseur dit: 4 mai 2025 à 10h09

Si la contribution qui honore Soeur Langue de Pute Sasseur à cet endroit c’est de nous dire qu’elle ne lira plus Angot et qu’elle va se régaler en suivant le procès d’un pédophile, on se demande comment doivent être les contributions qui ne l’honorent pas !!

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 10h28

Il ne se passera strictement rien, notre hôte est le premier à le savoir.

Christiane dit: 4 mai 2025 à 10h30

Soleil vert, dans l’excellente fiction de Tchaïkovsky, « Les profondeurs du temps, j’ai continué à relire après le chapitre ( Passé 4 – Les statues de sel). Mort émouvante que j’évoque sur votre blog.ais là,, arrivée page 370, une description me fait sourire. Le personnage ressemble tant à Chaloux !
« Dans ses mauvais jours, de plus en plus fréquents, tous les octopofed en vue ou à portée de ses tentacules irritables et fureteurs sont considérés comme d’éventuels rivaux menaçants. Alors, il se bat. En cas de besoin, il est capable de puiser dans une profonde réserve d’agressivité. Il reste le maître de son petit pré carré. Son esprit pensé que c’est parce qu’il est grand et prompt à se battre, à malmener les autres, à tous les pousser sur un courant d’émotion violente. (…)
Il n’aura été qu’un mollusque chef de bande jouant les gros tentacules devant tous ceux qu’il voulait intimider. (…) tout en les étranglant et en les pinçant. Chez les individus de cette espèce, l’existence consiste à afficher son humeur. (…) Certains érigent ce comportement jusqu’à une forme d’art et même leurs ennemis font halte pour contempler leur danse dans la colonne d’eau et percevoir la poésie de la guerre et de la fureur. »

Quelle pieuvre !

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 10h41

« La diarrhée se caractérise par des selles fréquentes, molles et liquides. On parle généralement de diarrhée lorsque ces selles molles sont évacuées au moins deux fois en quatre heures. Dans les cas de diarrhée sévère, cela peut se produire sept à huit fois en 24 heures. »

Pourquoi cet extrait littéraire me fait-il irrésistiblement penser à une vieille maitresse d’école?

Hurkhurkhurk!

morales sed laisse dit: 4 mai 2025 à 10h47

Sur le web :

La rééducation par le musée

 » Au Musée de Brooklyn, le nouvel accrochage place les portraits XIXème anormalement bas, au point de forcer à baisser les yeux. Pourquoi ? « Cette mer de visages blancs »sic offensait la conservatrice et activiste Stephanie Sparling Williams, qui conteste « le privilège blanc » : « Nous leur disons : vous avez eu votre tour, maintenant, asseyez-vous »re-sic. L’humiliation en guise de rééducation muséale ?

En 1866, Louis Rémy Mignot peint les chutes du Niagara, montrant le site avant sa détérioration par le tourisme de masse. Grâces soient rendues au peintre ? Pas du tout, un panneau explique que les peuples indigènes ont « été déplacés en raison de l’arrivée des colons européens et des touristes comme Mignot ». Plus loin, le portrait d’une famille de colons avec un enfant noir : félicitations pour cet intérêt inclusif, rare à l’époque ? Vous n’y êtes pas. L’œuvre a été corrigée par un artiste afro-américain qui a flouté les blancs… pour faire de l’enfant le personnage principal.

Voilà qui ressemble fort à du révisionnisme où l’on réécrit l’histoire en repeignant les tableaux comme ils auraient dû être. Sparling Williams assume de revisiter « une collection d’art américain largement blanche » (1): « L’interprétation est un projet permanent, et nous pouvons, et devons, introduire des termes différents » dit-elle, « à travers le regard et les sensibilités critiques des communautés non-blanches. » Le rééquilibrage est en bonne voie : salle des Nus, Nani Chacon, artiste navajo, représente un couple transgenre : Quatre genres sont nés (2022). Femme/ indienne/ attention transgenre : forcément un chef d’œuvre !

Ailleurs, c’est la directrice de la National Gallery de Washington qui est une spécialiste de l’art sud-américain (nullement le sujet de la National Gallery) mais c’est une femme, donc promue. Le même musée a annulé une exposition sur l’art baroque à Gênes : inacceptable avec 90 % d’artistes hommes blancs ; le conservateur qui l’avait conçue a été viré, non mais !

Comment casser le narratif

Dans les musées anglo-saxons, on s’emploie à « casser le narratif classique chronologique et occidentalo-centré » : les paysages de Constable sont accusés de nationalisme, un Chardin avec une « Dame buvant du thé » montre un crime : consommer un produit colonial en profitant du travail des esclaves. Idem pour les toiles où figurent des épices, du tabac. Et les statues antiques ? C’est évident, elles servent la « suprématie blanche » – alors que l’on sait qu’elles étaient peintes ! « Quelle différence y a-t-il, entre quelqu’un qui pense que la Terre est plate et un autre, certain que les sculptures grecques sont racistes ? » se demande Didier Rykner dans son dernier livre qui expose les ravages de l’inculture et de l’idéologie wokistes « Mauvais genre au musée » (Les Belles Lettres, 280 pages)

Cette folie s’est mondialisée grâce à l’ICOM : en 2007, le Conseil international des musées définissait la tâche de ces derniers par : acquérir, conserver, étudier, exposer. Bien. Mais en 2022, pendant que la planète tentait de sortir du Covid, l’ICOM en a profité pour changer la définition du musée : « étude » est devenu « interprétation », avec mise en avant de l’inclusivité, la durabilité, et participation de « diverses communautés ». On voit les résultats du changement de définition du musée … après celle de l’art, ce qui fut et reste la grande affaire d’un certain Art contemporain, l’AC.

La tentation de plaquer des idées états-uniennes sur une réalité européenne démange nos « élites » qui ne voient nul amalgame, nulle iniquité à dire « tout l’Occident est coupable, son art aussi ». Or l’immense majorité des populations européennes étaient constituées de paysans (soumis au servage jusqu’à Louis XVI) puis, avec la révolution industrielle, d’ouvriers eux aussi asservis, par leurs conditions de travail exténuantes, y compris les enfants, avec coups de grisous et silicose dans les mines, mutilations par les machines-outils, quand la troupe ne tirait pas sur les récalcitrants etc. Tout cela est systématiquement omis, biffé. Mais surtout, s’obnubiler sur le passé colonial détourne l’attention des asservissements contemporains : l’ubérisation ou les petites mains de l’informatique par exemple (les modérateurs qui deviennent fous à modérer des contenus insoutenables vivent pourtant dans les pays pauvres… mais ça n’intéresse pas grand monde).

Christine Sourgins

(1) La collection compte moins de 15% d’œuvres de femmes et moins de 5% d’artistes afro-américains, asiatiques ou autres…

Christiane dit: 4 mai 2025 à 10h49

Alors, Chaloux, avec toutes ces diarrhées, avez-vous retrouvé l’abjection dialogue que vous tentiez d’amorcer avec une certaine Ed à propos de la trace de vos pets foireux dans vos slips. Choquée elle avait mis fin à vos tentatives fermement. Si c’est une création de votre part cette Ed, vous l’aurez utilisée pour étaler devant la RdL vos fonds de culotte. Vous avez vraiment un problème avec vos excréments. Il faut consulter un psy ou un spécialiste des dérangements intestinaux .

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 10h56

Elle nous écrit de ses cabinets!

Un peu de pudeur, tout de même.

Christiane dit: 4 mai 2025 à 11h02

La suite du chapitre, Soleil vert, est un plan rapproché sur le monde de la RdL.
« Les esprits s’échauffent – il y a déjà une douzaine de mêlées confuses, ce qui n’a rien d’inhabituel. Il se rapproche de Salomé ; ses couleurs s’assombrissent de rouge et de noir, la texture de sa peau se hérisse de piquants menaçants. Elle l’imite. C’est une grande femelle ; un peu plus petite que lui, mais quand même une lutteuse renommée. (…) Ils s’affrontent furieusement. Autour d’eux les autres regardent en adoptant les couleurs de leur champion. Il ne plaisante pas : il veut vaincre et humilier son adversaire
Il possède un territoire, même si celui-ci est intellectuel autant que physique. Il se trouve face à une intruse qu’il n’a pas pu intimider ni chasser. La violence est son dernier recours. »
Il est distrayant ce roman, Soleil vert. Je passe un dimanche charmant.

Pablo75 dit: 4 mai 2025 à 11h03

Sur le web :
La rééducation par le musée
morales sed laisse dit: 4 mai 2025 à 10h47

C’est étrange ces épidémies de connerie idéologique que subit l’Humanité depuis toujours. Elles apparaissent et disparaissent on ne sait pas comment. Le wokisme rappelle la « révolution culturelle » chinoise (1966-1976) en moins criminel. On dirait que l’être humain ne peut pas évoluer sans faire le ridicule de temps en temps.

Aucun historien a fait une « Histoire de la stupidité humaine à travers les siècles »?

rose dit: 4 mai 2025 à 11h04

Le premier dimanche du mois, 4 mai aujourd’hui, les musées municipaux sont gratuits.

Christiane dit: 4 mai 2025 à 11h05

Rose, oui, mais lui a laissé des tableaux intéressants. Là, l’héritage est bon pour une sanisette !

rose dit: 4 mai 2025 à 11h06

Je les aime les octopodes. D’amour tendre
Pas trop envie due l’on y mêle/emmêle Chaloux.
Merdre alors. Que l’on garde des territoires saufs.

Jazzi dit: 4 mai 2025 à 11h08

Hier, j’ai pu constater la présence d’une longue file d’attente à l’entrée de la Bourse de Commerce, malgré le temps orageux.
Le récent livre de Christine Angot sur ce musée en serait-il la cause ?
J’allais à l’UGC du Forum des Halles, revêtu de pantalons longs, assister à la projection du film roumain dont j’ai parlé plus haut.

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 11h10

Ce que dit Grok:
« a recherche du dialogue mentionnant une « culotte » entre Ed et Chaloux sur le blog La République des livres de Pierre Assouline ne permet pas d’identifier un échange précis et explicite correspondant à cette description dans les archives disponibles. Les résultats analysés, couvrant divers articles et commentaires du blog entre 2013 et 2025, incluent de nombreuses interventions de Chaloux, parfois en interaction avec d’autres commentateurs comme Paul Edel, mais aucun dialogue spécifique avec un utilisateur nommé « Ed » (ou pseudonyme similaire) mentionnant une « culotte » n’a été trouvé. Voici un résumé des observations :
Contexte des échanges : Chaloux est un commentateur régulier et souvent provocateur sur le blog, engageant des discussions littéraires avec des tons parfois vifs ou ironiques. Paul Edel, un autre contributeur fréquent, est impliqué dans plusieurs échanges avec Chaloux, mais ces discussions portent principalement sur la critique littéraire (par exemple, sur Joyce ou Tchekhov) sans référence à une « culotte ».

Mention de « culotte » : Une référence à des « culottes glaciaires » apparaît dans un commentaire non attribué à Chaloux ou Ed, dans un article de 2020, mais il s’agit d’une expression métaphorique sans lien direct avec un dialogue entre ces deux pseudos.

Interactions avec « Ed » : Aucun commentateur nommé « Ed » n’est clairement identifié dans les échanges avec Chaloux. Il est possible que « Ed » soit une abréviation ou une confusion avec Paul Edel, mais les échanges entre Chaloux et Edel ne contiennent pas de référence à une « culotte ». Une interaction entre Chaloux et un certain « Edel » en 2018 critique les analyses littéraires d’Edel, mais reste centrée sur des questions de style et d’interprétation, sans mention de termes comme « culotte ».

Limites de la recherche : Les archives du blog sont vastes, et certains commentaires peuvent ne pas être indexés ou accessibles via les résultats fournis. De plus, le terme « dialogue culotte » pourrait être une référence informelle ou un souvenir imprécis d’un échange humoristique ou métaphorique, mais aucun élément concret ne corrobore cette hypothèse dans les données disponibles.

Conclusion : Aucun dialogue explicite entre Ed et Chaloux mentionnant une « culotte » n’a été trouvé dans les archives du blog La République des livres. Si vous avez des détails supplémentaires (par exemple, une date approximative, un article précis ou un contexte spécifique), je peux affiner la recherche. Alternativement, il est possible que cet échange ait eu lieu dans un autre espace en ligne ou soit une référence mal interprétée. Voulez-vous que je poursuive la recherche avec des critères spécifiques ou que je vérifie d’autres plateformes comme les réseaux sociaux pour des interactions similaires ? »

rose dit: 4 mai 2025 à 11h14

Christine Angot, le complet contraire de ce qui a été annoncé ici : ni vieille, ni laide, ni aigrie, ni acariâtre.

et alii dit: 4 mai 2025 à 11h16

EST6CE QU4IL Y A DES COLLECTIONNEURS DE PETITES CULOTTES -dames- (volées de préférence)

et alii dit: 4 mai 2025 à 11h19

exemple:
Châtelleraudais. Un voleur obsédé de petites culottes a été arrêté par une de ses victimes qui montait la garde et qui l’a filmé avec une webcam.
Depuis un an, un fétichiste cleptomane se livrait à des vols de sous-vêtements féminins à Châtellerault, Cenon et Naintré. Lundi matin, un couple naintréen, victime de ces intrusions et vols nocturnes d’un genre un peu particulier, a appréhendé ce voleur plutôt culotté et jusque-là insaisissable. Pris la main dans le sac en train de chiper des petites culottes, sur l’étendoir de la terrasse.
https://www.lanouvellerepublique.fr/vienne/commune/cenon-sur-vienne/un-voleur-de-petites-culottes-pris-la-main-dans-le-sac

Bernard dit: 4 mai 2025 à 11h23

Christiane, Rose,
Mais qu’est-ce que diable vous arrive-t-il enfin ?!
On ne cause pas pipi-caca sur le prestigieux blog à Passou voyons !
Même moi, qui ne suis pas du tout un modèle d’élégance, je n’oserais jamais m’exprimer aussi scatologiquement que vous le faites…
Et dire que je vous prenais pour de « gentes dames », moi le naïf damoiseau !
En fait, vous êtes juste les deux boniches de la Rdl… Deux dames-pipi quoi.

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 11h24

Il est possible qu’avec Ed nous étions évoqué les mets de nos chats. La vieille buse n’y aura rien compris, comme d’habitude.

Rappelons qu’elle a bassiné le monde avec L’Homme sans qualités pendant des années, pour finir par avouer qu’elle avait systématiquement sauté les passages « philosophiques » ou trop difficile pour sa microscopique cervelle qui doit baigner dans un abondant mélange de Picon-bière et de Guignolet. Donc elle n’a pas lu ce livre. Elle l’a tout juste parcouru, comme tout le reste.

et alii dit: 4 mai 2025 à 11h28

les culottes de vichy!
C’est à partir de l’année 2012 que les petites culottes d’une habitante de Vichy ont commencé à disparaître régulièrement et de manière totalement inexplicable. Les sous-vêtements n’étaient pas en train de sécher accrochés à un fil dans le jardin, ni suspendus sur un étendeur à linge posé sur une fenêtre. Non. Les délicats dessous étaient bel et bien rangés dans la garde-robe de leur propriétaire.
https://www.20minutes.fr/insolite/2112191-20170801-vichy-nu-cambriolait-voisine-voler-culottes

et alii dit: 4 mai 2025 à 11h32

119 soutiens-gorge, 123 culottes…
Mais cet homme marié n’en est pas à son coup d’essai. Une perquisition à son domicile a permis de retrouver 119 soutiens-gorge, 123 culottes… Pour un total de plus de 250 sous-vêtements. Il reconnaît qu’une autre femme, en 2017, avait été victime de ce qu’il définit comme des « trahisons intimes ». À son casier judiciaire, huit mentions sont portées dont quatre pour vol de sous-vêtements.
https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/pres-de-rennes-le-cambrioleur-avait-vole-plus-de-250-petites-culottes-6404683

FL dit: 4 mai 2025 à 11h37

Je crois qu’on peut qualifier l’activité de Faÿ de complicité avec une activité génocidaire.

Bien sûr il ne s’agit pas d’une ethnie, ni d’une religion à proprement parler mais c’était un groupe bien identifié quand même.

FL dit: 4 mai 2025 à 11h46

« Je crois qu’on peut qualifier l’activité de Faÿ de complicité avec une activité génocidaire. »

Et le plus fou c’est que ça n’a pas été mener à terme à cause de qui ? A cause de Laval.

C’est à ne plus rien comprendre.

« L’époque était compliquée », François Mitterrand.

(J’ai bien compris que Mitterrand parlait peut-être d’autre chose mais je crois qu’on peut étendre la citation à des cas adjacents.)

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 11h48

Fin mai, les Belles Lettres vont publier le Journal du premier voyage en Grèce de Constantin Cavafy. Très bien. Là où on comprend moins, c’est que ce livre sera illustré par des photos du tristement célèbre, si l’on ose dire, Nikos Aliagas. Comme s’il n’eût pas été préférable d’illustrer ce livre de photos anciennes de la Grèce, qui sont souvent si intéressantes, au lieu des clichés de ce type qui est bien l’un des photographes amateurs les plus médiocres dont l’histoire de cet art puisse s’enorgueillir. Une époque pour un Flaubert.

Christiane dit: 4 mai 2025 à 11h52

Bernard 11h23
Dites ça à Chaloux ( voir citations). Nous ne faisons que lui renvoyer son problème et pour se faire d’utiliser son langage. Oui, dites lui que trop c’est trop !

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 11h57

Le vieux tromblon ne va pas me lâcher. Pas de petits-enfants à régaler un dimanche après- midi?

Non, évidemment, mari, enfants, petits-enfants, tout le monde s’est barré.

Il n’en va pas de même pour moi.

Bonne journée.

FL dit: 4 mai 2025 à 12h02

Peut-on parler de génocide pour la terreur imposée par les nazis aux homosexuels en Allemagne. Ils sont assez difficilement « éradicables » par nature si j’ose dire. Mais l’idée était bien de faire disparaître les manifestations de leur existence. Et de leur rendre la vie impossible.

Il y a des trous dans la raquette. Il faudrait peut-être étendre la définition.

FL dit: 4 mai 2025 à 12h04

* Peut-on parler de génocide pour la terreur imposée par les nazis aux homosexuels en Allemagne ?

puck dit: 4 mai 2025 à 12h21

« Peut-on parler de génocide pour la terreur imposée par les nazis aux homosexuels en Allemagne ? »

oui dans le mesure où il faisait remonter comme pour les juifs cette appartenance sur plusieurs générations avec des parents homos, des grand parents homos etc… vu que c’est un truc qui se transmet de père en fils ou mère en fille…

puck dit: 4 mai 2025 à 12h25

« ’Homme sans qualités pendant des années, pour finir par avouer qu’elle avait systématiquement sauté les passages « philosophiques » ou trop difficile »

moi pareil !!!
du coup j’ai vachement bien aimé les 3 pages qu’il me restait à lire.

Christiane dit: 4 mai 2025 à 12h42

Moi, au moins je mets des citations. L’autre, la pieuvre, se contente de dire que certains ont dit ou écrit… Mais jamais aucune preuve. C’est tellement facile, ça lui ressemble.
S’attaquer à Musil ! C’est bien la première fois qu’il le fait mais attendons il va nous expliquer la philosophie de Musil présente dans L’homme sans qualités. Ainsi nous parlera-t-il de la particularité essentielle d’Ulrich. Ou de l’atmosphère littéraire qui l’a encouragé à écrire cette œuvre. Il pourra même s’aider des Désarrois de l’élève Torless en quoi Musil était en rupture avec la philosophie académique pratiquée à son époque ? Pour quelles raisons il préférait le milieu littéraire avec son intuition des forces de l’irrationnel, la question épineuse du hasard ? Pourquoi encore a-t-il laissé le second volet de son roman inachevé ?
Voilà un écrivain qui ne craignait pas le pouvoir démystificateur de l’ironie. Lui était honnête, parfaitement honnête et exceptionnellement subtil et intelligent, courageux aussi.
Peut-être nous répondra-t-il encore : ça viendra, j’y travaillé, patience !
Pour les pets des chats à ne pas confondre avec les fonds de culotte de Chaloux, je finirai bien par retrouver ce dialogue et lui mettre sous le nez son odeur préférée.

Christiane dit: 4 mai 2025 à 12h45

Puck, charmant Puck. Quel bonheur j’ai éprouvé en lisant vos fines analyses de L’homme sans qualités. Le gros Chaloux est insupportable, vaniteux, vulgaire et bête.

puck dit: 4 mai 2025 à 12h49

« C’est à partir de l’année 2012 que les petites culottes d’une habitante de Vichy ont commencé à disparaître régulièrement et de manière totalement inexplicable. »

incroyable.

le seul truc rassurant : ce journal n’appartient pas à un oligarque français, mais à un oligarque belge.

puck dit: 4 mai 2025 à 12h52

@ »Puck, charmant Puck. »

pas d’inquiétude : mettre ma ceinture « 7 d’un coup » et voler au secours des femmes c’est ma spécialité !

Christiane dit: 4 mai 2025 à 13h04

Vous êtes en famille, Chaloux, en tapotant dans arrêt sur votre téléphone. Ce n’est pas très poli pour vos proches.

MC dit: 4 mai 2025 à 13h06

Chaloux,Je veux bien avoir le style que l’on me prête, sauf que ce « Mythe Moderne » est entrepris à partir de 1957, et non 1960, comme il est dit plus loin, mais non indiqué sur les pages de copyright.
Pour ce qui est de Luc 6, il serait en effet intéressant de vérifier dans une bible post conciliaire si le texte a été rétabli. Le Luc 6 de Maredsous, que j’ai ici, met en scène une controverse sur le Sabbat, mais dénuée de cet aspect conflictuel.Je vérifierai dans Jérusalem la semaine prochaine…

Chaloux dit: 4 mai 2025 à 13h13

Ce vieux crampon a joué les saintes dans un procès. Mais à constater son ignoble nature ici, on se demande quel rôle a pu jouer dans cette sordide affaire.

rose dit: 4 mai 2025 à 13h33

Avec l’accord de CT

BLAISE

Blaise est assis derrière son ordinateur, calé. Massif, paisible, avec un bourrelet à la base du crâne. Les deux employés, un homme et une femme, sont debout, à servir. Comme ça, les choses sont claires. C’est Blaise le patron.

Il a placé, au fond de sa pharmacie, faisant face aux deux guichets où les employés s’affairent, trois chaises, comme pour des spectateurs. Juste à côté d’une grande publicité qui promet l’arrêt des douleurs menstruelles. Quand Madame N’Diallo, ou Madame Mbaye, ou n’importe laquelle de ses clientes noires ou arabes, lourdes et fatiguées, entrent ici, elles savent qu’elles vont pouvoir prendre leur temps. Elles sont assises, ramènent leurs jambes sous leur siège, soufflent, quoi.

C’est Blaise lui-même qui les sert. Il prendra son temps.

Ici, tout le monde l’appelle Blaise. Enfin, tous ceux que Blaise choisit de servir. Les autres ont droit aux guichets. Enfin, surtout les Blancs. Et les Blanches. Blaise ne parle pas aux Blancs. Enfin, pas à ma connaissance.

Je sais qu’il est de Centrafrique, donc : Bokassa, les diamants, Giscard. C’est comme la Lituanie : Trintignant, Vilnius, la mort. Minces savoirs. Ceux de Blaise sont plus grands que les miens. Pensez, toutes les ordonnances du quartier lui sont accessibles.

J’attends mon tour devant un des guichets. Il y a Madame Diallo, ou Madame Mbaye, assise sur une chaise, derrière, qui se repose. Devant moi, il y a les deux femmes blanches. Une grande, grosse, massive. Une matrone. Et une petite maigre trop maigre, même pour notre époque. Toutes les deux ont en évidence et en commun les signes extérieurs de la pauvreté, jusqu’aux cheveux, filasses pour l’une, épars pour l’autre, tricolores si l’on suit les chevelures de la racine à la pointe. Nous sommes toutes du quartier.

C’est la grande qui parle, longtemps et fort, trop fort. Mais elle veut que tout le monde entende, alors. Elle explique à la petite qu’elle l’a prise sous son aile, et que donc l’autre ne doit plus avoir peur. D’abord, il y a l’ordonnance du juge, qui interdit à l’homme de s’approcher du quartier. Et puis, est-ce bien sûr qu’il sort samedi ? Et puis, elle est donc à l’abri maintenant, puisque la grande la protège. Evidemment, en contrepartie, tout le monde doit savoir que la grande est comme ça, qu’elle ne se laisse pas faire, elle.

Mais la petite non plus ne se laisse pas faire : elle interrompt la grande, régulièrement, pour réfuter ses dires. Oui, elle en est sûre, l’homme sortira samedi. Et il viendra directement dans le quartier.

Oh, cette voix de la petite ! Grinçante et geignarde. Inlassable, dirait-on. La grande a beau répéter ses arguments – la petite, avec trois mots, exprime sa certitude que son sort ne change pas. Ne changera jamais. C’est simple, et si désagréable qu’on a envie de la gifler, puisqu’elle ne se gifle pas elle-même. C’est terrible d’avoir envie de gifler une voix…

La grande est impatientée, recommence son argumentation, l’augmente même. Si l’homme ose quelque chose, eh bien, on fera appel aux jeunes du quartier. Ce ne sera pas la première fois, et qui s’y frotte s’y pique ! Les jeunes n’aiment pas ce genre d’hommes, et encore moins quand il s’agit des enfants, n’est-ce pas… Ils seront d’accord !!! Et on verra ça !

Les jeunes du quartier, je les connais, je passe devant eux à chaque fois que je sors de chez moi. Ils sont une quinzaine de traîne-patins, toujours au même endroit, toujours en apparence inoccupés. Ils sont donc les Atlantes du quartier – et pourtant on ne le dirait certes pas. Ils sont sur les bancs, le cul sur le dossier et les pieds sur l’assise. De loin, on dirait des « S » à l’envers : parce qu’ils courbent le dos vers l’avant, et que le banc s’ouvre lui vers l’arrière. Eux non plus ne parlent pas aux Blancs, enfin, sauf ceux qui viennent leur acheter quelque chose…

Ca y est, les deux femmes sont servies. La petite a attrapé le petit sac blanc qui contient les antidépresseurs, et redit à la grande que même les jeunes n’y pourront rien. Alors la grande s’énerve, une dernière fois, et sa voix monte d’un cran : « Puisque je te dis que non ! « Il » n’a pas le droit de faire ça, enfin ! Faudrait savoir ! Y’en a marre, de souffrir comme ça ! C’est qu’ « ils » ne savent rien, qu’ils ne le savent pas, ce que ça nous fait dans notre propre chair ! »

Le dernier mot, incongru, a pété dans l’officine : c’est une grenade qui apporte le silence, car du coup, la petite se tait. Et bien sûr, la discussion va recommencer entre elles, exactement la même, avec les mêmes mots, dès la porte franchie.

Mais après leur départ attendu prudemment, Blaise, le grand Blaise, pose chacune de ses mains de part et d’autre de son clavier d’ordinateur, se met debout. Ses bras sont comme les colonnes des châteaux d’eau qui écrasent le quartier, droits, ronds, fermes. Sa peau luit, sous l’éclairage jaune de la pharmacie.

La pharmacie entière est silencieuse… Madame N’Diallo bouge un peu les jambes. Sans la regarder, sans s’adresser à quiconque, et surtout pas à moi, puisque Blaise ne parle pas aux Blancs, Blaise conclut alors, à voix haute : « mais bien sûr qu’on sait ce que c’est, la chair des femmes. On le sait tous, mais il y en a que ça arrange, de ne pas le savoir. Parce que ça les arrange, en fait. C’est pour ça qu’ils le font. Parce que ça les arrange ! »

Le 30 novembre 2022,

Clopine Trouillefou, Hurle Rouen.

et alii dit: 4 mai 2025 à 13h40

quel dommage que n’étant plus à Paris, je ne puisse plus aller à la bib photo!evidemment,je vous aurais parlé des longues heures que j’aurais passéesdans les livres d’image, et je remercie 2025 12h03 de donner une idée de ce que j’ai eu plaisir de découvrir grace à lui;evidemment, j’en demande encore!et ce que vous voulez!

Christiane dit: 4 mai 2025 à 13h50

13h13
Voulez-vous les coordonnées du juge et du procureur ? Je les ai gardées. Depuis 2004…
Vous aurez tout essayé. Arrêtez de vous transformer en bête répugnante. Vous y perdre de la considération, ici. Occupez-vous donc de votre famille, Chaloux, puisqu’elle c’est là.

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