de Pierre Assouline

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De l’emballement des intellectuels

De l’emballement des intellectuels

L’affaire qui défraya la chronique au CNRS en 2009 vient-elle de trouver son épilogue ? Rappelez-vous : un sérieux contentieux avait alors opposé un chercheur en sciences sociales à un fonctionnaire de la Défense. Le premier s’appelait Vincent Geisser : sociologue et politologue, il était chargé de recherche (CR2), affecté à l’Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman ; il effectuait des travaux sur les migrations intellectuelles entre l’Europe et le Maghreb, menant une enquête sociologique sur les chercheurs maghrébins ou d’origine maghrébine travaillant pour les institutions publiques françaises (université, CNRS et INSERM…). Le second était Joseph Illand, fonctionnaire de Sécurité de Défense (FSD), en poste au Centre national de la recherche scientifique. Il y assurait une mission de protection du patrimoine scientifique et technique, et des intérêts de défense et de sécurité civile (pillage technologique, fuite d’informations sensibles etc).

Dans un courriel, l’un mettait gravement en cause l’autre. Il est vrai que de plusieurs côtés, il lui revenait que la Défense le soupçonnait d’être « islamophile » en cherchant à constituer un lobby arabo-musulman au CNRS. D’ordre strictement privé, ce courriel devenait public dès lors qu’il se retrouvait sur la Toile, sans l’accord de son auteur et malgré ses demandes de retrait. Vincent Geisser fut convoqué en commission disciplinaire pour propos diffamatoires et manquement grave au devoir de réserve : la séance dura dix heures…

L’affaire éclatait au grand jour aux accents de scandale. Une pétition sous forme de lettre ouverte à la ministre de la Recherche, lancée à l’initiative de l’historienne Esther Benbassa et du politologue Olivier Roy, dénonçant la « censure de la pensée », recueillit les signatures de quelque cinq mille intellectuels, universitaires et associations. Quelques temps après, l’un d’eux, Tzvetan Todorov, publiait dans Le Monde une tribune à l’appui de cette thèse. On assista selon M. Illand à « un suivisme de la bonne conscience » auquel quelques uns (l’historienne de la psychanalyse Elisabeth Roudinesco notamment – lire son article) se refusèrent.

Rapidement dénoncé par plusieurs médias comme un « commissaire politique » au sein du CNRS, l’ingénieur général porta plainte contre le chercheur en sciences sociales pour diffamation. Quatre années ont passé depuis. On sait nos tribunaux encombrés. Le procès, qui aurait aussi permis de statuer sur le caractère public ou privé des propos incriminés, devait se tenir en avril dernier ; or le plaignant s’est désisté après avoir reçu in extremis un courrier de Vincent Geisser. Celui-ci y reconnaît que ses accusations à son endroit étaient « fausses et outrancières » et que la référence historique déplacée (il le comparait à un «idéologue qui traque les musulmans et leurs amis, comme à une certaine époque, on traquait les Juifs et les Justes»…) était de nature à le heurter ; quant aux accusations de harcèlement moral et de traque des musulmans, elles étaient « non fondées » et ne recouvraient pas le fond de sa pensée ; prenant acte que sa mise en cause, amplifiée par une campagne d’opinion, a pu porter atteinte à son honneur, le chercheur exprime donc ses regrets et présente ses excuses au fonctionnaire. Mais si cette lettre, datée de Beyrouth le 26 mars 2013 éteint l’action en justice, clôt-elle pour autant le débat ? Pas si sûr. Car il est encore temps de tirer les enseignements de l’affaire.

Vincent Geisser dit aujourd’hui avoir écrit cette lettre afin d’épargner un procès à ceux qui devaient comparaître à ses côtés et risquaient la condamnation (gestionnaires de sites internet de blogueurs, etc.). Mais sur le fond, il assure ne rien retirer : les pressions sécuritaires et la surveillance dont faisaient l’objet un certain nombre d’enseignants-chercheurs et de laboratoires du CNRS, notamment ceux travaillant sur le monde arabe et les questions d’islam, étaient selon lui bien réelles. Finalement, à l’en croire, il aura été malgré lui un “acteur révélateur » d’un processus de sécurisation de la Recherche qui dépasse sa personne. Un procès aurait peut-être permis de lever les doutes…

A défaut, reste à méditer toute cette histoire à la lumière d’un phénomène désormais éprouvé auquel les nouvelles technologies ont donné une vigueur inédite : l’emballement des intellectuels. Une certaine précipitation de « pointures » du monde des idées à apposer leur signature sous un texte. Et, partant, l’engouffrement dans une cause qui méritait, pour le moins, un examen préalable un peu plus attentif. Encore faut-il s’accorder au moins le temps de la réflexion.

(Photo Alzar Raides)

Cette entrée a été publiée dans Actualité judiciaire.

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commentaires

905 Réponses pour De l’emballement des intellectuels

Gala...... dit: à

John Brown est au courage, ce que l’eunuque est à Rocco Siffredi.

Peillon ? Payons ! dit: à

L’education nationale a le chic pour enrober de mille couches de savoir l’identité profonde des jeunes. Voulez vous un exemple ? John Brown, fasciste islamique bourré d’humour : un noyau de merde sèche, dans une soquette d’acrylique.

alias dit: à

ont des homonymes

Jacques Barozzi dit: à

« L’oeuvre de J. Hassoun ( psychanalyste, écrivain, intellectuel engagé et militant politique) est marquée d’un entrecroisement entre son expérience personnelle et les différents champs culturels. Juif égyptien, il n’a jamais cessé de se déplacer à l’intérieur de sa propre culture. L’expérience de l’exil lui était aussi bien une épreuve, qu’une dynamique. J. Hassoun pensait les identités ancrées dans un lieu d’origine et dans une pluralité, comme autant d’expériences en constante évolution. »

Où l’on reparle de l’identité et de l’origine !

TKT dit: à

@ Gala…… dit: 30 mai 2013 à 14 h 21:
 » John Brown est au courage, ce que l’eunuque est à Rocco Siffredi. »: D’abord un eunuque est un ancien mâle lambda non encore amoindri de ses parties génitales, puis, les eunuques dans les harems avaient parfois le don pour utiliser leurs langues.
Quant à votre pseudo, Gala, est-ce un hommage à Madame Dali ?

Tatane pour une enfant défunte dit: à

« aant de revenir à la mort de sa tane  »

Qu’est-ce qu’elle raconte, Vidocque ? Le Malin n’a jamais pris femme ! Pionnier du mirage pour tous, il rencontra en plein désert californien Russ Meyer…big love…faster, pussycat !…de cette union bestiale naquit, si l’on peut dire, une fille adoptive, Tura Satana, qui « partit vive en Angleterre, etc. »
Las ! la diablesse ne s’habillant pas chez Prada, son cotillon fut bientôt troué, et son soulier de satan ne tarda pas à suivre le même chemin.C’est ainsi qu’elle revint du côté de Marseille à la mort de sa tatane (enterrée en grande pompe et circonstance, of course).

TKT est un eunuque.... dit: à

« D’abord un eunuque est un ancien mâle lambda non encore amoindri de ses parties génitales »

Il a cru que la castration c’était une opération esthétique, le débile !

alias dit: à

à la mort de sa tante
ue sur ce blog ceux qui laissent une coquille redoutent que D.H.H. , Judith et les autres leur disent le fait et leur fassent leur fête

Jacques Barozzi dit: à

Je ne voudrais pas faire de la peine à mon sympathique instructeur, mais le problème de l’identité et de l’origine ne me parait pas le plus essentiel. On pourrait tout aussi bien parler de l’inné et de l’acquis, du d’où l’on vient et où l’on va, du ce que nous sommes et ce que nous en faisons… de quoi alimenter bien des querelles byzantines !
Pendant ce temps là les Barbaresques sont dans nos murs, ueda a déjà sorti son sabre en plastique et n’arrête plus de mouliner, malgré la fessée que lui a donné Daaphnée, hier soir !

AAA (Assoc' des Alias Alcooliques) dit: à

 » leur disent le fait »

le(ur) fait,c’est bien…et le faire à dix ou…, c’est mieux !
Dis donc Vidocque, si t’essayais l’eau ferrugineuse, pour voir ?

alias dit: à

Où l’on reparle de l’identité et de l’origine !
parce que peut-être ce ne sont pas les thèmes qui portent ces billets ?
il y a eu un avant vingt cent mille ânes dans la Spree

alias dit: à

Ô excuses, le sujet,c’était la carte d’attendre Vincent….. dans l’Astrée !

origine, identité, vos papiers ! .... dit: à

Parents pas cons : t’es pas con, ta vie s’annonce bien, tu étudies Voltaire.
Parents cons : tu seras con, ta vie sera merdique, tu étudies Mahomet.

TKT dit: à

@ John Brown dit:30 mai 2013 à 12 h 28 : « Les crispations identitaires sécrètent la haine, donc l’inhumain. Les seules identités supportables sont toujours partielles, toujours plurielles. »: Prenez le 1/4 pastrami 3/4 cochonnailles, le moisi cioranien, plus pessimiste t’es mort, et bien ses deux identités familiales sont bien partielles et plurielles, ce qui ne l’empêche pas d’être un fou de lui-même… et de considérer qu’il est le seul Français sain d’esprit.

Le Maure aux trousses dit: à

« Pendant ce temps là les Barbaresques sont dans nos murs »

t’as la fiève obsidional baroz..prend un suppo ça va p’têt passé (le suppôt, satan l’habite)

TKT dit: à

@ « Il a cru que la castration était une opération esthétique, le débile ! »: Bof, pour certains la castration serait « aussi » une opération de chirurgie esthétique. Pour ce qui est des castrats de l’Opéra de l’époque baroque, je crois que l’on ne supprimais que les encensoirs.

OneNote dit: à

John Brown est assez symptomatique de l’esprit de collaboration qui habite les plus faibles d’entre nous.

Le vaste mouvement d’islamisation de l’Europe n’est pas plus inéluctable que ne l’étaient en leur temps le triomphe du fascisme, puis celui du communisme, sauf à sombrer dans l’historicisme. L’Histoire n’est jamais écrite à l’avance, c’est la leçon de Daniel Cordier et des quelques Français Libres qui ont sauvé l’honneur de la France, pendant que les John Brown de l’époque sympathisaient ouvertement avec l’occupant étranger. Certains feraient bien de s’en souvenir. Il n’est pas trop tard.

Ce sera dur, ce sera long, mais à la fin nous vaincrons (copyright qui vous savez).

alias dit: à

AAA (Assoc’ des Alias Alcooliques) dit: 30 mai 2013 à 14 h 43 min
ce n’est pas à l’eau écarlate que l’on nettoie le pont d’un blog

Au patron de ce blog intellectuel remarquable........ dit: à

Coller en illustration cette vieille image de Che Guevarra pour illustrer les « emballements » historico-romano-hystérique aberrants de nos intellectuels français (aussi protégés en cage diplomée, que des pandas stupides),c’est vieux et has-been complet.

Pourquoi ne mettre pas en reflet de lunettes, l’autre héros de nos intellos actuels, bêtes au jugement sans tâche ?

Remplacez Guevarra par Nasrallah, le poussah repoussant du Hezbollah, il ferait formidablement l’affaire …!

Indignez-vous !....... dit: à

OneNote,
Ce collabo de John Brown, lâche parmi les lâche, seide des sarrazins, léche-cul des minorités religieuses, mérite le sort réservé au traîtres à la Libération !

OneNote dit: à

J’ai eu le même sentiment que vous, Barozzi, la dernière fois que je suis allé en Arles où sont les Alyscamps… Une belle ville gâchée par sa population.

bertrand dit: à

Les neonazes nostalgiques de l’oas radotent pourris par leurs fantasmes sur les étrangers leurs boucs émissaires et rêvent de meurtres : des cas pathologiques graves et toujours aussi ridicules

adieu dit: à

les adeptes d’adolf ont investi le blog

Sergio dit: à

Au patron de ce blog intellectuel remarquable…….. dit: 30 mai 2013 à 15 h 08 min
le poussah repoussant

Oui mais il tiendrait pas dans les lunettes…

Phil dit: à

Les intellectuels sont rarement emballants, sauf lorsqu’ils écrivent des romans.
Pas beaucoup remonté l’échelle des commentaires mais il semble bien que l’homossessualité tienne le haut du pavé. caracalla, what else ? le che l’était pas? pas eu le temps.

Jacques Barozzi dit: à

« En Arles où sont les Alyscamps… Une belle ville » léguée par l’occupant romain : d’un étranger l’autre, métissons, métissons, il en restera toujours quelque chose d’autre !

Jacques Barozzi dit: à

« c’est la leçon de Daniel Cordier »

Vous n’allez pas nous dire, OneNote, que vous n’avez qu’un seul regret : ne pas avoir tué un arabe ?

OneNote dit: à

Très drôle, Barbarozzi.

charles dit: à

« l’occupant étranger »

qu’il est con ce pauvre malade onenote la tête pleine de m.. et son vocabulaire hitlero pétainiste

charles dit: à

« Vous n’allez pas nous dire, OneNote, que vous n’avez qu’un seul regret : ne pas avoir tué un arabe ? »

il regrette de pas en avoir tué plusieurs et l’espoir de le faire le fait vivre

bouguereau dit: à

pas eu le temps

tu t’en donnes du mal pour faire le mec débordé phil

OneNote dit: à

C’étaient les termes qu’employait la Résistance, troll abruti… Ah là là.

OneNote dit: à

Retourne sous ton paillasson avec tes amis cloportes, charles, bertrand et popol. Tu pues la honte.

bouguereau dit: à

Oui mais il tiendrait pas dans les lunettes…

..et femmes a lunettes

bouguereau dit: à

c’est keupu dracul..autant reprocher à un furet de dauber du cul..

Phil dit: à

dear bougreau, c’est le ché qui fut débordé !
cela dit, sans la barbe (ni la porsche), c’est james dean.

roko si frais dit: à

la guerre civile a commencé

OneNote dit: à

L’Occupant étranger : vocabulaire pétainiste. On appréciera le degré de confusion mentale des Français contemporains.

bouguereau dit: à

Une belle ville gâchée par sa population

les américains disent que la france est un beau pays..dommage qu’il y ait les français moisis..moisis c’est du win in translation

bouguereau dit: à

c’est james dean

si lassouline avait pris la photo il aurait pas truqué et on l’aurait vu dedans..

bouguereau dit: à

dans les lunettes..pas le ché mais lassouline..en double

ta gueule keupu dit: à

Ne cesse pas, voix dansante, parole
De toujours murmurée, âme des mots
Qui colore et dissipe les choses
Les soirs d’été où il n’est plus de nuit.

Parfois prend le miroir
Entre ciel et chambre
Dans ses mains le minime
Soleil terrestre.

On se prend à rêver
Que les mots ne sont pas
A l’aval de ce fleuve, fleuve de paix,
Trop pour le monde.

L’orage
A envahi le ciel, l’éclair
S’est fait d’un grand cri bref,
Et les richesses de la foudre se répandent.

Mais le sommeil se fait indifférence.
Ses lumières, ses ombres : plus rien qu’une
Vague qui se rabat sur le désir.

Partout en nous rien que l’humble mensonge
Des mots qui offrent plus que ce qui est
Ou disent autre chose que ce qui est.

Odeurs, couleurs, saveurs,
Le même songe,
Colombes dans l’ailleurs
Du roucoulement.

Que ce monde demeure
Comme cesse le temps
Quand on lave la plaie
De l’enfant qui pleure.

L’un à l’autre ce qu’est
La couleur à l’ombre,
L’or du fruit mûr à l’or
De la feuille sèche.

charles dit: à

OneNote dit: 30 mai 2013 à 16 h 30 min
« Retourne sous ton paillasson avec tes amis cloportes, charles, bertrand et popol. Tu pues la honte. »

pauvre malade ton obsession de te faire des arabes te fait baver

bella ciao dit: à

adieu dit: 30 mai 2013 à 15 h 41 min

les adeptes d’adolf ont investi le blog

Et le résistant fictionne dans son bureau de fonctionnaire!

alias dit: à

à la lumière d’un phénomène désormais éprouvé auquel les nouvelles technologies ont donné une vigueur inédite :
sauf erreur, PAssouline s’en est personnellement entendu dire suelsues mots par Roudinesco , laqelle n’est pas particulièrement cérie de ses confrères et consoeurs ,ni de eaucoup d’autres personnes qui connaissent bien des psys (où il est remarquale quand même que les femmes créatives n’aiment guère les psys femmes ni les femmes des psys qu’elles aiment bien e qui les aiment bien )
outrancier qu’est ce qui n’est pas outrancier sur la Rdl où même le silence est encore plus ooutrancier qu’assourdissant

Alphonse Bougredard dit: à

« sous ton paillasson avec tes amis cloportes »

le cloporte c’est die Verwandlung in translation

Alice Saprice dit: à

 » pas particulièrement cérie  »

Que veux-tu dire par là, céri céri ?

alias dit: à

la majorité des erdéliens et moi, on ne fonctionne pas pareil
eux, ils commentent l’image quand ils ont un moment de vague à l’âme , comme un vide, etne semblent la voir qu’à ce moment là.
lorsuqe e découvre la page, je la prends d’aord toute entière en vue avec le titre, en le laissant résonner, puis je me laisse déporter ver les imges -ou l’image quand il n’y en a qu’une !!!the big icone- en me laissant rêver me souvenir de « où, quand comment » et enfin, je lis le billet et dans la foulée les premiers commentaires qui n’ont pas tardé …. »
maintenant je ne m’emballe pas, je laisse reposer !

charles dit: à

pétain (et les étrangers) verwandelt en onenote (et les Arabes)

alias dit: à

lorsque je découvre
vers les images
il semle qu’il y ait un mur avec une inscription, mais j’ai eu trop à faire à corriger mes coquilles , je n’ai pas sorti la loupe

'ippepétain dit: à

j’aime pas les résistants, et encore moins quand ils sont homosessuels, hurk hurk hurk!

La mauvaise langue dit: à

Peillon ? Payons ! dit: 30 mai 2013 à 14 h 28 min

En tout cas, c’est très drôle.

La mauvaise langue dit: à

OneNote dit: 30 mai 2013 à 14 h 19 min
On raconte que les chimpanzés ont une force musculaire plusieurs fois supérieure à celle d’un homme normal. À force de se suspendre aux arbres.

Très juste ! C’est bien pourquoi je crains tant JB !

La mauvaise langue dit: à

Mais l’héritage judéo-chrétien, mes petits chéris, inclut nécessairement l’héritage romain et grec. Car le christianisme sans Rome, ça n’existe pas. Et Rome sans Athènes ça n’existe pas non plus. Eh oui, je sais, y’en a là-dedans !

La mauvaise langue dit: à

Moi, c’est pareil, j’aime pas les homosessuels, et encore moins quand ils sont résistants !

La mauvaise langue dit: à

La plupart d’entre vous ne comprenez strictement rien aux problèmes de l’identité. Vous fonctionnez à coups de clichés de supermarché de la pensée.

Commencez par lire le bouquin de Clément Rosset, Loin de moi, pour commencer à saisir un peu de quoi il s’agit quand on parle d’identité.

L’identité telle que la plupart d’entre vous la pense, ça n’existe pas. C’est un pur fantasme identitaire. La véritable identité est un abîme, elle est une quête infinie. C’est précisément ça être juif, se poser la question de savoir ce que c’est qu’un juif.

Tas de couillons…!

Plantons nos tentes, montpelliérains !..... dit: à

Je souffre. Je suis hétéro, j’aime les femmes plutôt que les hommes, c’est mon défaut. L’enculage pour tous a tendu la situation pour nous, les hétéros pratiquants, et je peux vous garantir qu’on en a marre des homophiles qui se croient tout permis et qui nous font violence. Le nombre de types qui m’ont foutu la main au cul au bureau, et sur la place de la comédie, en me promettant le mariage, depuis le convolage de ces deux enculés au sourire niais ! dégueulasse, ce harcelement fessier, merde, alors ! D’ailleurs, je m’en vais déposer plainte à SOS HETEROPHOBIE, ils sont juste en face de SOS HOMOPHOBIE, boulevard du jeu de paume !

Rossattali dit: à

La Mauvaise Langue a-t-elle une seule fois dans sa vie eu une seule idée personnelle ?
Il est permis d’en douter.

La mauvaise langue dit: à

Les idées n’appartiennent à personne, eh, casse-toi pauv’ con, comme dirait l’autre…

alias dit: à

La véritable identité est un abîme, elle est une quête infinie. C’est précisément ça être juif, se poser la question de savoir ce que c’est qu’un juif.
Freud disait que l’analyse était infinie
mais ne cesser de se poser la question me semble pour le coup très intello, trop intello pour être …soutenable !
l est vrai qu’aujourd’ui avant de manger une pomme on se demande d’où elle vient, même si on sait qu’elle ne vient pas du paradis ce qui est un assez bon commencement .
au fait, est-ce qu’un hétéro ne cesse de se demander qu’est ce que c’est qu’être hétéro , homo .

La mauvaise langue dit: à

De toute façon Robert Ménard c’est connu, c’est un très gros con ! Il le porte d’ailleurs sur sa figure. Il lui manque la moitié des neurones pour faire partie de l’humanité.

La mauvaise langue dit: à

Non, ça n’a rien d’intello, c’est tout le contraire. C’est tout simplement la vie même ! L’identité est une représentation de soi, à la fois fantasmée et sociale, le produit de son histoire personnelle et une création qui se construit en interaction avec autrui. Le juif, c’est l’Homme, Ecce Homo : et personne ne sait ce que c’est l’Homme. être juif, c’est se poser cette question qui est la seule question qui vaille. C’est ce que veut dire le Talmud quand il dit que celui-là est plus juif que le meilleur des Juif, qui ouvre la Torah et la lit d’un cœur sincère. Car c’est plonger dans l’abîme de l’être.

Sy Napse dit: à

« Il lui manque la moitié des neurones pour faire partie de l’humanité. » Remarque stupide… et humaine, trop humaine !

La mauvaise langue dit: à

Si seulement les Femen avaient de beaux nichons, on pourrait les croire. mais ce ne sont que des guenons aux mamelles flasques… Comment croire des mamelles flasques ? Vaste question métaphysique qu’elles sont bien incapables de se poser !

alias dit: à

Levinas disait qu’être juif, c’est « croire que les anciens étaient intelligents ».
mais ici le mot qui titile, c’est intellectuels entendu comme une spécialisation , alors que les enfants dès sept huit ans se traitent ou sont traités par leurs mâitres alternativement d’intellos ou de bouffons d’une manière inurieuse qui les désigne à la moquerie et aux formes violentes de bashing

alias dit: à

d’une manière injurieuse
le titre de Freud
Die Endliche und die unendliche Analyse

La mauvaise langue dit: à

alias dit: 30 mai 2013 à 19 h 06 min

Vous êtes complètement cinglé ! Tout ce que vous racontez est totalement incohérent et délirant. Faut consulter d’urgence, mon petit chéri.

La mauvaise langue dit: à

L’Autorité Palestinienne reconnaît la qualité des soins médicaux apportés par Israël aux palestiniens.
Le quotidien officiel de l’Autorité palestinienne reconnaît les soins médicaux de l’hôpital israélien pour les enfants et la formation des médecins palestiniens.

PMW – Par Itamar Marcus et par Nan Jacques Zilberdik – Traduction Nancy Verdier

Le quotidien officiel de l’’AP a rapporté la visite du ministre palestinien de la Santé, Hani Abdeen, à l’hôpital Hadassah d’Israël à Jérusalem. Le quotidien a noté que 30% des enfants patients de l’hôpital Hadassah sont des Palestiniens et que l’hôpital israélien assure actuellement la formation de « 60 stagiaires internes et médecins spécialistes palestiniens qui retourneront dans les zones de l’Autorité pour poursuivre leur travail. » L’hôpital dispense un programme spécial pour former les médecins palestiniens à traiter le cancer chez les enfants, a rapporté le quotidien palestinien.

Voici le rapport intégral:

« Le ministre de la Santé de l’Autorité Palestinienne, Hani Abdeen a visité l’hôpital Hadassah hier [5 mai 2013]. C’est la première visite d’un ministre palestinien dans l’un des plus importants hôpitaux israéliens, selon l’annonce de l’hôpital.

Le ministre Abdeen, qui était accompagné par une délégation composée de hauts fonctionnaires du ministère et de l’Autorité Palestinienne, a rencontré le directeur de l’hôpital Ein Karem Hadassah, Yuval Weiss. Le ministre a visité des patients palestiniens qui sont traités à l’hôpital, et a distribué des cadeaux. Weiss a déclaré: «Nous traitons nos patients, sans considération de leur nationalité et de leur religion. Nous traitons les musulmans, les chrétiens, les juifs et les autres nationalités sans parti pris, et 30% des enfants patients sont des Palestiniens ».

Il a poursuivi en disant: «Nous avons commencé à coopérer avec les Palestiniens. Nous formons aujourd’hui une équipe de médecins de l’hôpital de Beit Jala dans le sud de la Cisjordanie, au traitement du cancer chez les enfants. Nous avons environ 60 stagiaires internes et des médecins spécialistes palestiniens qui seront de retour dans les zones de l’Autorité pour mener à bien leur travail. »

[Al-Hayat Al-Jadida, le 6 mai 2013]

Cet article qui relate les soins médicaux apportés par Israël aux enfants palestiniens est un changement par rapport aux accusations habituelles de AP selon lesquelles Israël essaie délibérément de nuire aux enfants Palestiniens, en propageant par exemple, l’usage de médicaments de manière intentionnelle chez les jeunes palestiniens.

La mauvaise langue dit: à

L’imam de Drancy aux fanatiques musulmans : « Quittez la France ! »
Enfin un homme courageux ! L’imam Hassen Chalghoumi réagit suite à la tentative de meurtre d’un militaire au nom de l’Islam ! Il est malheureusement bien seul au sein de la communauté musulmane à dénoncer l’islam radical. On aimerait que l’ensemble des institutions musulmanes condamne fermement l’islam radical.

INTERVIEW – L’imam de Drancy Hassen Chalghoumi a condamné fermement l’argument religieux donné ce mercredi 29 mai par l’agresseur présumé d’un militaire à La Défense. « Si vous trouvez qu’il n’y a pas l’Islam et la charia que souhaitez en France, partez ! « , lance sur RTL l’imam de Drancy Hassen Chalghoumi à ceux qu’il appelle des « fanatiques ». Il réagissait à l’arrestation de l’agresseur présumé du militaire à la Défense, qui a reconnu les faits ce mercredi matin, expliquant avoir agi en raison de ses convictions religieuses.
On ne veut plus entendre ça. Cette minorité n’a rien à voir avec l’Islam et l’esprit des musulmans de France. Ce sont des manipulateurs, des ignorants », assure-t-il. Une ignorance qui a de graves répercussions sur l’image de sa communauté, selon lui : « C’est une minorité qui fait de gros dégâts. Ça nous fait mal, c’est triste. Ce n’est pas notre islam« , déplore-t-il, ajoutant que cet extrémisme « menace la sérénité de la France ».

« Ce sont des manipulateurs, des ignorants » Hassen Chalghoumi

»Alors quittez la France, continue-t-il. Laissez-nous dans notre sérénité au lieu de faire monter les préjugés et le racisme », demande-t-il, invitant les musulmans du pays à « combattre fermement ces dérives ».

Donner une autre image des musulmans

Pour que sa communauté ne soit pas stigmatisée, l’imam demande à l’ensemble des musulmans de « sortir de ce silence. Il faut parler aux médias pour dire qu’on n’a rien à voir avec eux. Cette minorité n’a pas le droit de parler de cette manière de notre religion ».

L’imam estime aussi que le Conseil français du culte musulman »a sa part de responsabilité » : « Est-ce qu’il y a un Islam de France ? Est-ce qu’il y a une formation des imams en France ? Est-ce qu’on a stoppé l’ingérence en France? », demande-t-il.

C’est pas notre image de l’Islam Hassen Chalghoumi

Afin de lutter contre ces dérives, l’ensemble des musulmans de France doit s’unir et se mobiliser, explique-t-il. « Tout le monde est concerné. Il faut que tout le monde se parle ».

Pour éviter que des garçons comme l’agresseur présumé, qui s’était récemment converti, ne tombent dans le fanatisme, Hassen Chalghoumi demande ainsi aux imams de faire « plus attention au recrutement des jeunes » : « Il faut organiser le suivi de ces convertis. » « On n’a pas besoin de dérives », souligne-t-il, demandant « aux parents de faire, eux aussi, plus attention aux jeunes ».

———————

Il est ultra minoritaire, mais ça vaut le coup de signaler que de tels musulmans existent. Et il s’est rendu dernièrement à Yad Vashem pour s’incliner devant les 6 millions de mortsd e la Shoah, ce qui mérite aussi d’être salué. En général les musulmans crachent sur les morts de la Shoah. Ça nous change !

La mauvaise langue dit: à

France Télévisions ment, France Télévisions ment, France Télévisions ment

30 mai 2013 | Classé dans: Les dossiers,Société | Posté par: Philippe Karsenty
Cela fait maintenant plus de 12 ans que France 2 a diffusé la mise en scène de la « mort » de Mohamed al Dura. Ce reportage a provoqué d’innombrables catastrophes, au Proche-Orient mais aussi en France avec les crimes de Mohamed Merah à Toulouse en mars 2012.

Pendant toutes ces années, le caméraman de France 2 a menti pour couvrir sa mise en scène.

Pendant toutes ces années, Charles Enderlin a menti pour couvrir, au mieux, son incompétence lorsqu’il a monté et commenté ce reportage avec « imprudence ».

Pendant toutes ces années, différents niveaux hiérarchiques du groupe de télévision publique français ont menti pour couvrir les fautes de leurs collaborateurs.

La nouveauté est que maintenant, c’est officiellement France Télévisions qui ment pour couvrir tout cela, mais surtout, qui nous prend pour des imbéciles.

Pour lire le communiqué de France Télévisions, cliquer ici.

En effet, ils se moquent de nous en se proposant de participer « à une enquête indépendante, réalisée selon les critères internationaux, à Gaza et en Israël, là où les faits en cause se sont déroulés ». Ignorent-il que Gaza n’est pas un pays comme la Suisse, un endroit dans lequel une « enquête indépendante, réalisée selon les critères internationaux » serait pour le moins difficile? Ne savent-ils pas que le Hamas y règne en maître ?

Et contrairement à ce qu’affirme France Télévisions, la forfaiture n’a pas été réalisée à Gaza mais dans ses locaux, à Jérusalem et à Paris, là où le reportage a été monté, diffusé puis protégé depuis tant d’années. C’est l’argent public français qui a financé cette propagande et c’est avec de l’argent public français que la justice française a été instrumentalisée pour faire taire les critiques.

France Télévisions ment en affirmant que ce rapport ne contient aucun élément nouveau. En effet, lorsque j’avais rencontré le président de France Télévisions en janvier 2011, il m’avait répondu que le fait que les Israéliens ne demandent pas de compte à sa chaîne prouvait que tout était en ordre.

Maintenant qu’ils lui en demandent, la chaîne fait semblant de ne pas entendre.

France Télévisions affirme que ce rapport contient des « affirmations erronées ».

Pourrions-nous savoir quelles sont ces « informations erronées » ?

France Télévisions ment aussi quand elle affirme qu’elle n’a « jamais été saisie ni interrogée par cette commission et n’a appris son existence qu’au moment de la publication du rapport ». Cela est faux.

En effet, l’ambassadeur de France en Israël, Christophe Bigot, a transmis à France Télévisions l’invitation à participer aux travaux de la commission chargée de rédiger ce rapport, mission dont lui-même avait été saisi par le gouvernement israélien.

Pourquoi l’ambassadeur de France ne se manifeste-t-il pas ?

Je tiens à préciser que sur un seul sujet, France Télévisions dit la vérité : « cette décision [l’arrêt de la Cour d’appel de Paris qui sera rendu le 26 juin] ne portera pas sur la véracité des accusations ». C’est exactement ce que j’ai toujours affirmé en rappelant que ce qui était discuté en justice, c’est l’article que j’ai diffusé en novembre 2004 où j’accusais France 2 d’avoir diffusé une mise en scène. Mais si France Télévisions a conscience de cela, pourquoi David Pujadas a-t-il prétendu au 20h du 28 février 2012 que la cassation de l’arrêt qui m’avait relaxé était la preuve que le reportage de France 2 était authentique ?

France Télévisions ment en affirmant que j’ai renoncé à établir la véracité de mes accusations. Je les maintiens et je les appuie avec encore plus de force que je ne l’avais fait en 2004. La réalité concernant ce passage de leur communiqué est que tous les médias qui sont poursuivis en diffamation se défendent sur le terrain de la bonne foi qui est un concept juridique spécifique distinct de la notion de « bonne foi » dans la vie courante. En effet, les quatre critères juridiques de la bonne foi qui doivent tous être réunis sont la poursuite d’un but légitime, l’absence d’animosité personnelle, le sérieux de l’enquête et la prudence dans l’expression.

D’ailleurs, je peux dès à présent affirmer que si la Cour d’appel de Paris venait à me condamner pour diffamation le 26 juin 2013, ce ne serait que pour des raisons de formalisme juridique concernant la date de présentation des preuves, ce qui n’a rien à voir avec l’authenticité de leur reportage. Cette éventuelle condamnation n’empêchera pas l’enfant « mort » de lever le coude après sa mort, pas plus qu’elle ne mettra de sang sur les corps et sur les vêtements des « victimes » qui auraient reçu 15 balles d’armes de guerre et qui, malgré cela, sont restés immaculés.

Par conséquent, si je venais à être condamné, je vous informe dès à présent que je diffuserai à nouveau l’article incriminé daté du jour de sa republication, le 26 juin 2013.

J’userai de ma popularité à l’étranger, notamment aux Etats-Unis, pour poursuivre la publication d’articles au plan international, afin de faire reconnaitre l’étendue de l’imposture médiatique que continue à protéger France Télévisions.

Mais surtout, je constaterai que la France, n’est pas un pays mûr pour affronter la vérité et que sa propension à s’acclimater au mensonge la conduit à s’acclimater à l’antisémitisme.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Philippe Karsenty pour http://www.Dreuz.info

alias dit: à

vous êtes surtout idiot , Mauvaise langue de refiler ce qu’on vous a envoyé dans les gencives !
mais vous n’avez sans dout jamis entedu ce grand professeu , juif, dire qu’il n’a rien appris de levinas c’était le spécialiste en critique de porteurs delunettes de soleil !son cours était suivi madame Mireille Hadas-Lebel
u peu plus instruite que vous !
il y avait aussi beaucoup de non juifs !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mireille_Hadas-Lebel

bouguereau dit: à

ferme ta gueule dracul..ok t’es le barbouze de la république de lassouline..mais ferme ta gueule

bouguereau dit: à

vous êtes surtout idiot

et toi un cratin suiveur quand on parle d' »être juif »..ma mère de ma mère..pauvres gens

bouguereau dit: à

..vous causez comme des s.a. le propre du s.a., il a besoin des « autres », vu qu’ils gueulent tellemnt qu’ils ne s’entendent même plus, le nirvana

La mauvaise langue dit: à

« Frères de Coeur », le film d’Esther London tourné en Israël, passe sur la chaîne Public Sénat

Le film d’Esther LONDON « Frères de Cœur » (durée 54 mn) sera diffusé sur la chaîne LCP- Public-Sénat les : Vendredi 31 Mai à 23H50, Mardi 4 Juin à 19H30, Dimanche 9 Juin à 21H30

« Frères de Cœur » d’Esther LONDON relate une belle histoire qui s’est déroulée en Israël, entre un arabe et un soldat juif. Mais ce n’est pas une histoire banale, car ces deux jeunes gens ne se connaîtront jamais : l’un des deux vient de mourir et va sauver l’autre.

Un soldat israélien de 19 ans vient de tomber sous un tir de balles. Il n’est ni au combat, ni en opération militaire. Non. Il vient d’être abattu par son camarade de chambrée. Un cas rarissime qui frappe Tsahal au plus profond. Transporté d’urgence à l’hôpital, il décède peu après. Il est en état de mort cérébrale mais maintenu artificiellement, son cœur continue de battre. Arrivé sur place, le père confrontée à la mort de son fils n’hésite pas : il donne son accord pour des dons d’organes, sa manière de dépasser la douleur, de la transcender.

Dans un hôpital proche, un jeune arabe vit avec l’assistance d’un cœur artificiel, dans l’attente d’une greffe cardiaque. Les soins d’une équipe médicale hors pair ont déjà permis au futur receveur de se préparer psychologiquement et physiquement à cette épreuve. La décision est prise. L’homme aux trois cœurs, ce sera lui. Tout se passe très vite. L’opération est un succès.

Le film d’Esther London raconte avec une grande sensibilité cette histoire exceptionnelle et pleine d’humanité. Il évoque dans le contexte médical d’Israël les contours éthiques et religieux du don d’organes pour lequel la détermination clinique de la mort est une question majeure qui suscite d’ailleurs toujours des débats dans le monde. S’il existe à présent en Israël un large consensus médical supporté et encadré par la loi pour définir la mort clinique comme étant la mort cérébrale, il subsiste un débat éthique et religieux, fondamental dans ce pays et porté par deux courants de réflexion. Celui des rabbins ultra-orthodoxes qui non seulement ne reconnaît pas la mort cérébrale mais qui en donnant la primauté à l’intégrité du corps du défunt, s’oppose aux dons d’organes. Et un autre courant, tout aussi observant et religieux, qui privilégiant à la fois le sauvetage des vies et le respect de l’éthique, tout en reconnaissant la mort cérébrale, autorise le don d’organes.

La caméra suit le jeune homme greffé au cours de sa convalescence, son retour à la force, à la joie, vers une nouvelle vie, encore plus précieuse. Il va nouer des liens inédits avec la famille de son donneur – rapprochement inconcevable dans une majorité de pays – mais rendu possible en Israël où la levée de l’anonymat est sujette à l’appréciation et à la décision conjointe des deux parties.

Vivre avec le cœur d’un autre, devenu son « frère de cœur » amène le jeune arabe à une réflexion existentielle sur lui-même, sur le don unique qui lui a été fait et dont il se sent responsable, une réflexion sur la vie et le dépassement des différences culturelles et religieuses.

Esther London, caméra au poing, nous offre des êtres émouvants et spontanés, des images resplendissantes, des paysages de Galilée et des plans sur Jérusalem …à vous couper le souffle. Ce film lumineux est un moment de bonheur. Il s’en dégage aussi une image attachante d’Israël, celle que ses détracteurs feignent toujours d’ignorer, celle qui est la véritable image d’Israël, avec toute sa richesse humaine, sa compétence, sa créativité, son courage et sa générosité. Loin de nous les stéréotypes négatifs, anti-israéliens navrants et dégradants.

Le film d’Esther London est un film vrai et admirable. Plein de douleur et de pudeur, d’amour et même d’humour. Un film d’espoir aussi de voir un jour la paix dans cette région.

Nancy VERDIER

L’Avis de Télérama du 25 / 05 / 2013 sur « Frères de Coeur »

http://television.telerama.fr/tele/programmes-tv/freres-de-coeur,51798051.php

C’est une belle histoire. Une histoire de peine et de coeur. En 2008, alors étudiant en Russie, un jeune Palestinien, Salim, entend sans ménagement de la bouche d’un docteur : « Tu vas mourir dans quelques mois. Il te faut d’urgence un nouveau coeur. » Pris en charge par l’équipe de chirurgie cardiaque du professeur Lavee à l’hôpital de Ramat Gan [Israël], Salim a finalement été greffé. D’abord avec un coeur artificiel — impressionnantes images de cette machine pompant et expulsant des litres de sang. Puis avec celui de Yaniv, un jeune soldat israélien tué d’une balle perdue par un camarade de chambrée.

La réalisatrice Esther London a suivi Salim avant et après ses opérations salvatrices. Cette transplantation d’un organe d’un donneur juif à un patient arabe donne lieu à un formidable récit, porté par la personnalité lumineuse du jeune greffé. Avec sincérité et profondeur, Salim revient sur toutes les étapes qui ont jalonné sa renaissance : le greffé a non seulement rencontré les parents de son donneur, mais il est devenu très proche d’eux, les soutenant dans leur combat judiciaire envers le meurtrier de leur fils. La réalisatrice élargit le débat autour du don d’organes, sujet difficile en Israël, en interviewant tous les protagonistes : médecins mais aussi un rabbin, un imam et un prêtre. Un beau film tourné dans un pays où, grâce à la sensibilisation de la population, 12 % des adultes sont désormais porteurs d’une carte de donneur d’organes. — Emmanuelle Skyvington

La mauvaise langue dit: à

alias dit: 30 mai 2013 à 19 h 23 min

Quel rapport avec le shmilblic, mon petit chéri ? Aucun.

afp dit: à

Pendant que dracul, alias la femme à barbe du blog, passe sa soirée avec son litron, « des guenons aux mamelles flasques » se battent à Tunis.

La mauvaise langue dit: à

Alors, le boug, on s’énerve. Oh, qu’il l’aime, hein, son dracul chéri !

La mauvaise langue dit: à

A Tunis ou à Paris, une mamelle flasque reste une mamelle flasque !

cool dit: à

onenote a terminé son numéro de délire fasciste

0Mimi pour la vie dit: à

Bon mon Momi moisi, tu nous chiller (copyright TKT), tire toi, t’es nul, moisi, pourri (bien sûr ce n’est pas un argument mais je fonctionne comme toi mon chéri)
Donc, tu nous em&erdes mon Mini, enfin, peut-être que finalement tu nous conspites, ce qui est pire.

alias dit: à

o va vous dire le rapport puisque vous ne comprenez vriament pas les limes du style « céri » petit ou grnad de ce blog et qu’il est outrancier il convient peut-être à P.Assoulineel était autrement , mais madame hadas Leel était autrement réservée, au milieu de chercheurs dans des cours pour des chercheurs, dont les invités étaient des chercheurs .
autrement dit vous n’êtes pas mauvaise langue l’incanrnation de toute bonne question et le ce que peuvent penser des juifs , quand et comment on en a vu et entendu dans des sociétés de « recherche »et qui arrivaient avec des textes plus fournis que ceux de P.Assouline pour vous faire mariner .
si seulement vous aveiz pensé, mauvaise langue qu’est ce que internet, jamais vous n’auriez provoqué avec cette insistance Bloom sur son identité .
La RdL est tout au plus un groupe de lecture , et pas même d’étude ,puisqu’aucun diplôme n’est ni requis, ni délivré .

Ramey dit: à

Mimimoisi le vieux branleur provoque : c’est pas la joie de passer la soirée tout seul en compagnie de son litron !

alias dit: à

les limites du style chéri
le style chéri, je le laisse aux journalistes et tontons et tatas de journalistes qui n’ont pas compris que ça ne passe plus . même le coup des lunettes noires , il annonce peut-être un été pourri pour la culture des familles bof et pff mais c’est pas transcendant pourvu que ce ne soit pas viral

Bibendum dit: à

La mauvaise langue dit: 30 mai 2013 à 19 h 03 min
que des guenons aux mamelles flasques… Comment croire des mamelles flasques ?

t’as bien les couilles molles, toi!

u. dit: à

« Mauvaise Langue » est la caricature de lui-même.

Effet-litron ou usurpation de pseudo?
(Je lui souhaite la seconde possibilité)

Daaphnée dit: à

(Vous savez quoi, le Boug’ ?
J’ai cru comprendre que ML veut vous demander en mariage …
Pardon ?
Ah mais je ne sais pas, moi !
A vos âges, il faut savoir faire ses choix et prendre ses responsabilités . )

u. dit: à

Tout va si vite, Daaphnée, et les interdits d’hier sont les conformismes d’aujourd’hui.
Il faut observer, essayer, anticiper.

Me mettre en ménage avec ML?
C’est une idée.

Il sait faire la cuisine, il a des bouquins.
Ses longues vacances font qu’il est rarement là.

Mais est-il propre?

La mauvaise langue dit: à

u. dit: 30 mai 2013 à 20 h 43
Mais est-il propre?

Tout le problème est justement là, U ! Si vous veniez chez moi, vous seriez absolument effrayé. C’est aussi pourquoi je comptais sur vous pour faire un peu le ménage. Ce serait pour l’amour de la littérature. Et gratuit.

La mauvaise langue dit: à

Oui, mais des couilles même molles ça vaut son pesant d’or ! Et puis ça peut durcir (sans l’aide de viagra, hein ! je vois que vous connaissez). Tandis que le nichon flasque, c’est foutu.

La mauvaise langue dit: à

Vraiment, vous n’avez guère d’imagination (sinon la vôtre, d’une pauvreté accablante, je dois dire) pour m’imaginer, moi, avec un litron !

Ce que vous pouvez être vulgaires, mes pauvres enfants !

ludi dit: à

Je n’ai pas pris la peine de lire l’empire du Milieu mais qu’est-ce que cette fin en queue de poisson et testicules de taureau vieillissant?

D. dit: à

C’est quoi, un site annale estreme ?

Marrez-vous !......... dit: à

VENEZUANAL ESTREME …..

Le papier toilette figure parmi les cinq produits de base les plus recherchés par les Vénézuéliens, avec le dentifrice, le savon, les couches et les serviettes hygiéniques.

En raison de la pénurie de ces produits, le gouvernement a annoncé récemment l’importation de 50 millions de rouleaux de papier hygiénique et le Parlement a approuvé un crédit de 80 millions de dollars pour l’importation de ces produits.

Alors que le gouvernement du président socialiste Nicolas Maduro accuse l’opposition d’accaparer produits alimentaires et biens de consommation courante, celle-ci rétorque que le gouvernement est incapable d’affronter la crise économique que traverse le pays.

Disposant des premières réserves de pétrole au monde, le Venezuela est caractérisé par une économie presque exclusivement importatrice, marquée par une inflation de plus de 20% par an et d’énormes difficultés à se procurer des dollars, en raison d’un strict contrôle des changes instauré par les autorités il y a une décennie pour limiter la fuite de capitaux.

sandro dit: à

« le gouvernement du président socialiste Nicolas Maduro accuse l’opposition d’accaparer produits alimentaires et biens de consommation courante »

eh oui JC on peut rien cacher à ton qi de moule: c’est l’internationale des pq (le pq entre autres « produits de base », dont la droite et l’extrême droite s’étaient amusé à organiser la pénurie sous Allende, étaient comme par hasard réapparus dans les magasins au Chili dès le lendemain du coup d’Etat de Pinochet)

@sandro dit: à

QI de moule ?
Pour ce macho de JC, QI de concombre eut été moins cruel, voire flatteur. Ceci dit, le Vuvuzuella de Maduro…quel merdier, même avec le robinet à pétrole grand ouvert !

sandro dit: à

robinet grand ouvert que les crapules meurtrières, issues de la haute et qui ont un pied-à-terre aux us ( où ils sont briefés de « conseils ») veulent s’accaparer, privatiser ..(pour « améliorer » la situation sans doute)

Louis Gabriel de la Haute... dit: à

Seuls les prolétaires méritent le qualificatif de « crapules meurtrières » : ces parasites ne font rien qu’à nous gêner dans notre travail honnête d’entrepreneurs capitalistes.

hubert dit: à

la moule de PQ (11h26) s’y croit!

Louis Gabriel de la Haute..... dit: à

hubert !
Seriez vous l’une de ces crapules meurtrières, ostréicultrice, responsable du chômage actuel ? je ne puis le croire.

Qu’est ce que cette histoire fascinante de PQ ?

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