de Pierre Assouline

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La République des livres
De l’importance des prix dans la vie littéraire

De l’importance des prix dans la vie littéraire

Il était temps ! On aurait même dû commencer par cela : s’interroger sur l’origine et l’acte de baptême de cette chose étrange que le monde entier nous envie (oui, même la Chine) et qui est l’un des piliers de l’exception culturelle française : « la vie littéraire ». On ne saurait trop la définir. Mais de tout ce qui la constitue, les prix en sont certainement l’un des piliers inébranlables. Si aujourd’hui il n’est pas une institution, pas un club, pas un village qui ne s’enorgueillisse à raison de décerner son propre prix littéraire chaque année, c’est à l’Académie française qu’elle le doit.

Le regretté Marc Fumaroli faisait remonter très précisément la naissance du phénomène à 1671. Cette année-là, pour la première fois, l’Académie française décernait le prix d’éloquence lancé par Jean-Louis Guez de Balzac (1597-1654) et présenté comme un prix de dévotion. Il était remis le jour de la Saint-Louis, le discours devait s’achever par une prière à Jésus-Christ et le vainqueur gagnait un crucifix ou un bénitier. Désormais, un chèque assorti d’une médaille, tout de même. Nous avons connu des éditeurs qui, pour compenser les maigres à-valoir qu’ils concédaient à leurs auteurs, leur promettaient en compensation de secouer leurs réseaux du côté du quai Conti pour en faire tomber un prix dûment doté. Et ça marchait ! (inutile d’insister, pas de noms).

Depuis, c’est une avalanche. Près de soixante-dix prix chaque année attribués à des romanciers, des poètes, des biographes, des historiens, des universitaires, des philosophes. Nul ne s’en plaindra. L’écrivain relevant la race des bipèdes confinés chez eux toute l’année, il apprécie qu’on l’invite sous la coupole pour recevoir sa récompense. Ca fait toujours plaisir. D’autant qu’il n’a pas de discours à prononcer, d’autres s’en chargent pour lui. Et puis au moins il voit du monde, ça le change.

Tout cela est parfaitement raconté dans une élégante plaquette de 80 pages réalisée et diffusée (mais pas dans le commerce) par l’Académie française à l’occasion des 350 ans de ce rituel. Plusieurs de ses membres ont été mis à contribution. L’ensemble est instructif, parfois croustillant et écrit dans une langue étincelante, vierge de mots qui échapperaient à l’entendement du commun. Encore que l’on peut y relever à propos d’un certain type de poésie un « encomiastique » qui m’a aussitôt propulsé vers le Dictionnaire de l’Académie française, c’est bien le moins : « qui relève du panégyrique ».

Tout n’alla pas de soi dans l’histoire de cette tradition car il y eut bien des résistances au sein de l’Académie. Au XIXème siècle, on fit longtemps barrage au roman. Le verrou ne sauta qu’en 1911, sans attendre la mort d’un mécène, par la création du Grand prix de littérature de l’Académie elle-même. Le critère pour l’emporter ? « Une inspiration élevée ». Au moins c’est large. Cela autorise les plus folles espérances à d’innombrables mains à plume. De quoi consoler de tous ces prix de Fondation qui nous sont fermés à jamais car, selon les volontés des légataires, ils exigent que nos livres soit d’« une veine mallarméenne » (prix Henri Mondor) quand ils ne doivent pas traiter d’un sujet relatif aux missions catholiques entre le XIIIème et le XVIIème siècle (prix Georges Goyau), ou être « les plus utiles aux mœurs » (prix Montyon). Florence Delay relève non sans ironie que le prix Jacques de Fouchier, dont l’auteur ne devra pas appartenir « aux professions littéraires », attire chaque année de plus en plus de candidats…

Notre petite république des lettres devrait payer sa dette aux comités de lecture de l’Académie. Ses membres, volontaires et bénévoles, doivent parfois s’accommoder d’exigences redoutables. Car si pour remporter le prix Pierre Benoit, il suffit de consacrer un livre à Pierre Benoit, pour gagner le prix Maurice Genevoix il convient que le roman proposé possède « ses valeurs morales et humaines »- encore faut-il s’accorder sur ce qu’elles recouvrent au juste. Car quoi qu’on en dise la vieille dame du quai Conti a toujours su composer avec son époque. Comme l’observe finement Dominique Fernandez, si le prix des familles nombreuses (Cognacq-Jay) stipulait à sa création au lendemain de la première guerre mondiale que l’écrivain devait avoir neuf enfants, la jauge a depuis été abaissée à quatre, ce qui ouvre bien des perspectives.

(photo D.R. et si cela vous fait penser à un drapeau, tant mieux)

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

1 236 Réponses pour De l’importance des prix dans la vie littéraire

Jean Langoncet dit: à

Illustration lumineuse

vedo dit: à

Bravo!

renato dit: à

Bombes sur le mémorial de l’Holocauste et sur un hôpital.
Il faudra déstaliniser la Russie.

et alii dit: à

QUATRE? encore? CE nombre n’atteste pas d’une grande imagination, ça je vais vous en décartéliser un,d’ici la fin de la soirée, après la moisson des commentaires.

pourmapar dit: à

Un article signé par André Markowicz dans Le Monde ici dans son intégralité, merci à lui.

« Je suis né à Prague, vous savez. Mon père, journaliste communiste, à la fin des années 50, y était en poste, et c’est là que ma mère l’avait rejoint — venant d’URSS. Là, en 1959-1960, elle a appris le tchèque dans la joie, et le fait est que voir une jeune soviétique essayer de parler tchèque, les gens, ça leur faisait plaisir. Ma mère me raconte souvent comment les gens l’aidaient, la soutenaient, étaient heureux qu’elle vienne d’URSS — et pourtant, ils venaient de vivre le stalinisme, et la guerre froide battait son plein, et le pays vivait dans la misère dite-socialiste, mais non, il y avait quelque chose, avec elle — avec une personne toute simple, qui travaillait (comme médecin), qui s’intéressait aux gens, qui était heureuse d’apprendre, quelque chose de doux, de sympathique. Et la raison était claire : l’URSS avait chassé les nazis. — Mes parents ont gardé plein d’amis en Tchécoslovaquie. Ils s’écrivaient, ils se téléphonaient. Et puis, il y a eu 68. Je me souviens — je n’avais pas huit ans — de mes parents, à la plage (c’était le mois d’août), l’oreille collée au transistor. Je me souviens de leur expression. Je me souviens, oui, des amis qu’ils avaient — et qu’ils ont tous gardés, mais qu’ils ne voyaient plus. Il y avait parmi eux des couples « mixtes » (tchèque-russe), bien sûr. Je ne suis retourné en Tchécoslovaquie qu’une seule fois de ma vie, en 1977. Oui. Et pas depuis. À part pour un jour, en transit.
Pour plein de raisons, sans doute, et sans doute aussi parce que je n’ai pas du tout le temps de faire du tourisme. Mais en 1977, mes parents ont décidé de retrouver leurs amis, et de passer un mois entier en Tchécoslovaquie, à Prague, et puis à la campagne, chez des amis russo-tchèques, Frantichek et Natacha, en Moravie. Et je me souviens parfaitement de la façon dont les gens nous regardaient dans la rue, se retournaient vers nous, avec froideur, avec colère, quand ils nous entendaient parler russe. — Je parlais français avec mon père, — tout était sourire, gentillesse, un sourire illuminait le visage. J’avais le malheur de dire un mot en russe à ma mère, et plus rien n’existait. C’était une haine froide, résignée. Et moi, j’avais honte. J’avais honte d’être coupable — coupable sans l’être le moins du monde, mais coupable parce que je partageais la langue de ces gens qui avaient délibérément tué l’espoir. Et, je ne sais pas, j’étais absolument épouvanté. Je n’ai jamais voulu y retourner, à cause de ça. — J’y repense aujourd’hui, quarante-cinq ans plus tard, et c’est le même sentiment qui me revient, de honte et d’amertume impuissantes.
*
Poutine a donné une ampleur nationale à un mot inventé par un nationaliste fasciste (partisan du dernier Soljenitsyne), Chafarévitch, la « russophobie ». Dès que nous protestons contre la politique russe, ce que nous mettons en cause, ce n’est pas la politique, c’est la « russité » même. Nous sommes russophobes (mais il y a chez nous, en France, en Bretagne, des élus, sur des listes de gauche, qui parlent de Françoise Morvan et de moi-même comme de « brittophobes »…). — J’en ai souvent parlé, de ces « phobies » inventées par les nationalistes, les fanatiques de tout poil. Poutine, délibérément, perversement, parle au nom des intérêts de la « Russie » et s’indigne de la « russophobie » de l’Occident. Mais, je le redis. Poutine, ce n’est pas la Russie qu’il défend. Il défend les intérêts d’un clan de mafieux — au sens le strict de ce terme, sans aucune exagération, sans aucune métaphore, un clan qui s’est installé dans les rouages de l’État russe au début des années 90. Il est la honte de la Russie. Il salit la Russie dans ce qu’il est, dans ce qu’il fait. Il présente le point le plus abject de déchéance de l’histoire russe. — Pas le plus épouvantable, parce que Staline a été cent fois pire, mais le plus vil : voir les plans de son palais de Gelendjik, révélés par Navalny, c’était tellement épouvantable non seulement par le luxe, mais par le mauvais goût, la laideur, cette espèce de crasse j’allais dire « escobardienne » de ses fumoirs et de ses salles de strip-tease, c’était une tache, indélébile, sur un pays, dont il se trouve qu’il est le sien.
*
Ce qui se passe en ce moment, c’est aussi un crime contre la culture russe, en même temps qu’un crime contre les gens. — Rien, rien, ne devait séparer les Ukrainiens et les Russes. Et ce n’est pas une guerre que les « Russes » mènent contre les Ukrainiens. Les Russes, — dans leur majorité silencieuse (silencieuse, parce que la terreur règne et que le black-out des informations est de plus en plus grand), je crois, sont atterrés, stupéfaits, épouvantés. Certains — beaucoup ! — des hommes et des femmes de théâtre, des intellectuels, des enseignants, toutes sortes de gens, protestent, écrivent, démissionnent de leurs postes (et ce sont des héros, parce que, ce qu’ils risquent, ce n’est pas seulement leur salaire), parce qu’ils disent qu’il est impossible d’imaginer servir un pays qui provoque cela — ces morts (déjà, au moins, par centaines) pour dénier à un peuple de 44 millions de personnes le droit, littéralement, d’exister en dehors de la soumission au régime de Poutine. Il y a des manifestations, réprimées durement, il y a, déjà, des milliers d’arrestations. — Ces femmes et ces hommes qui démissionnent, qui, malgré la répression qui les attend, protestent, sont héroïques.
*
Quelle sera la suite ? — Le régime russe, isolé par tout le monde dit « libre »… — Oh, permettez-moi juste ici de faire une parenthèse, essentielle : pourquoi est-ce que je parle du « monde libre », quand il y a Assange, et la politique des USA, et le capitalisme, et tout le reste ? C’est pour une raison simple. C’est que, si, ici, en France, je dis que je vis en dictature, je ne verrai pas demain la police arrêter mes enfants au lycée et m’arrêter moi, et me rouer de coups — ce qui est le cas, systématiquement, en Russie et dans quelques autres pays qui soutiennent son régime. Et les révolutionnaires en robe de chambre qui, chez nous, soutiennent ce régime assassin peuvent se féliciter de continuer de pouvoir le soutenir. C’est leur droit le plus strict, même si je pense qu’ils sont des salopards.
Oui, donc, quelle sera la suite ? Concrètement, le parallèle avec Prague est faux, parce qu’il n’y a eu quasiment aucun combat en Tchécoslovaquie. Le parallèle est à chercher avec Budapest en 1956. Parc que l’armée ukrainienne résiste, avec un grand courage. Évidemment que l’Occident ne va pas intervenir militairement (comme personne ne l’a jamais fait, ni en 56, ni, avant, au XIXe siècle, pendant les révoltes polonaises de 1830 et 1863). Cela, Poutine le sait. Mais il y aura des suites.
Hier, à Grozny, nous avons assisté à une revue militaire d’hommes en noirs, et Kadyrov les a solennellement envoyés se battre en Ukraine. — L’opposant Ilia Iachine (qui continue, jour après jour, au risque de sa vie, de dénoncer ce qui se passe autour de lui, et surtout de dénoncer Kadyrov) explique une chose importante : pour l’instant, aucune grande ville n’a été prise. La raison n’est visiblement pas seulement la résistance ukrainienne. L’armée russe n’a pas, en tant que force militaire, la capacité, non pas de prendre, mais de contrôler, des villes comme Kharkov (1, 5 million habitants) ou Kiev (presque 3 millions). Ce rôle va revenir aux troupes de Kadyrov : non pas contrôler la circulation ou la distribution de nourriture, mais arrêter assez de gens, semer la terreur dans la population d’une façon telle que plus personne n’ose (comme c’est le cas de la population tchétchène elle-même) dire quoi que ce soit. Comme en 41… la deuxième vague, c’était les hommes en noir de la SS… Le but ultime de l’invasion est celui-là : il s’agit, je le rappelle, de « punir » les soi-disant « néo-nazis » et les « narcomanes » (?)… bref, nous avons déjà vu cette rhétorique au Caucase : remplacez nazis par islamistes, gardez les narcomanes, et vous avez la justification de Kadyrov par Poutine. C’est cela qui va se passer. Une chape de terreur sanglante va s’abattre sur les gens.
Le régime va continuer de s’isoler — pas seulement d’être isolé. Cet isolement, il l’a préparé, il le cherche, il en a besoin. On parle déjà de restreindre l’accès à FB : c’était un objectif du FSB depuis longtemps. Maintenant ce sera une « contre-sanction ». Bientôt, ce sera le tour de youtube, qui, là aussi, est dans le viseur du pouvoir depuis des années. Ensuite, ou en même temps, et très vite, on va rouvrir les camps, et Navalny sera envoyé non plus prison mais en camp de travail, comme, pour l’instant, une centaine de milliers d’autres détenus (de droit commun ou pas). Ensuite, la terreur ne fera que monter, à mesure que la tension avec le monde montera. Quand Poutine se disait prêt à « toutes les options », il voulait absolument dire ce qu’il voulait dire. Oui, il est absolument prêt à tout.
Et ce n’est pas qu’il est fou. C’est qu’il est vieux. Et qu’il comprend qu’il ne mourra pas dans son lit. Cela, il le sait. Ses assassins, ce sont ses propres sbires, et ils le tueront à force d’avoir peur, comme ça s’est passé pour Staline.
*
Un dernier mot à cette, comme d’habitude, trop longue chronique.
Un lecteur m’a fait remarquer une erreur dans ma chronique précédente. Non, ce n’est pas l’ancienne URSS que Poutine veut reconstituer, mais bien l’Empire russe, et oui, — ça, je le dis depuis que je suis ici, depuis 2013, son modèle n’est pas Staline, mais Nicolas Ier. —
N’oubliez pas, quand Lermontov s’est laissé mourir, en duel (disons ça comme ça), avant d’avoir atteint 27 ans, Nicolas Ier, empereur de Russie, a dit, en russe : собаке собачья смерть. À chien, mort de chien. Voilà l’épitaphe qu’il a faite pour le plus grand poète russe après Pouchkine. Et Pouchkine lui-même, n’oublions pas, il s’est laissé mourir lui aussi, en duel, après qu’il a compris que Nicolas Ier lisait les lettres qu’il écrivait à sa femme, et que donc, la police était partout et, qu’il n’y avait plus moyen, en Russie, de séparer l’Histoire et la Maison. Il n’y avait plus de lieu ou être en soi.
*
Ce qui se passe en ce moment en Ukraine, ce n’est pas la Russie qui le fait, ce n’est pas la culture russe. Ce n’est même pas ce vieux fanatique nationaliste de Dostoïevski. Non. La culture russe est massacrée, en ce moment, par les chars de Poutine, une nouvelle fois.
Et je pense aujourd’hui, avec une douleur et une honte infinies, aux Ukrainiens qui haïront les Russes, pour je ne sais combien de décennies, comme les Tchèques de mon adolescence nous haïssaient, nous, dans les rues de Prague, quand je disais à ma mère, en russe, que j’aimerais bien m’asseoir un peu parce que j’avais très mal aux jambes — parce que, ma mère, je ne peux toujours pas lui parler une autre langue que celle qu’elle me fait si profondément aimer. »

Janssen J-J dit: à

De quel drapeau parlez-vous ? On n’y vit rien !
Virginie Despentes a bien du courage d’ouvrir sa boutique, et elle a raison maintenant qu’elle a fort bien pigé de l’intérieur le système d’attribution des prix littéraux… Bonne chance, Virginie !… Mais aussi, à ce jeune monsieur dégringolant en parapente sur un créneau bien glissant. Peut-être publiera-t-il les mémoires intimes d’un lézZard toujours vert, s’il pense qu’existe un nouveau marché captif LGTBQI+, la concurrence avec Virginie D. risque d’être un brin rude… https://www.en-attendant-nadeau.fr/2022/02/19/entretien-perspective-cavaliere/
Bàv,

rose dit: à

et si cela vous fait penser à un drapeau, tant mieux)

Magnifique !

Amanda Lire dit: à

Magnifique !

Oui, rose!

et alii dit: à

EFFECTIVEMENT, CE SONT DES CHAMPS DE COULEUR
Mark Rothko (ainsi que Barnett Newman et Clyfford Still) invente une nouvelle façon, méditative, de peindre, que le critique Clement Greenberg définira comme le Colorfield Painting, littéralement « peinture en champs de couleur ».

Janssen J-J dit: à

oui… on N’Y VOIT RIEN (Arasse)… plutôt du colza, pas des tournesols ni des genêts ni des mimosas, ni des cytises, des boutons d’or, peut-être ? M’enfin, rénatau !… Et ce ciel bleu ? du Klein provençal ou breton, une orange d’espoir, sans doute ? – Un « prix littéraire » pour le meilleur compte-rendu des agressions guerrières du 21e s. ? (je ne comprends pas ce qu’on voit ni de ce dont on doit parler, en ce 6e jour). Bàv,

laulau dit: à

Merci pour la chronique d’ André Markovicz. On peut évoquer la préface de Louis Aragon à la  » Plaisanterie » de Milan Kundera » A propos de l’intervention soviétique de 1968 ,il parlait de  » Biafra de l’esprit. »

Marie Sasseur dit: à

Il est très fort ce temoignage d’A. Markowicz, il est personnellement très affecté.

Dostoïevski un nationaliste forcené ? Un fanatique ?
A. Markowicz est sans doute emporté par son émotion. Et comment ne pas le comprendre.
Mais pour Dosto, c’est beaucoup moins simple.

https://www.cairn.info/revue-reliance-2006-3-page-101.htm

et alii dit: à

vos remarques me décident à mettre ce que j’ai lu aujourd’hui sur le blog de P.JORION:juste quelques paragraphes (vous pouvez aller sur son blog
3 mes livres ont suscité un « intérêt poli ». Il y en a un qui a suscité un véritable intérêt, un de mes livres justement, c’est « Le dernier qui s’en va éteint la lumière » et où est-ce qu’il a suscité un véritable intérêt ? Je le sais par le montant des droits d’auteur, c’est en Chine, voilà. Donc, les Chinois savaient que ce que je disais ce n’était pas n’importe quoi mais dans le pays où j’habite, voilà, au mieux, un « intérêt poli ». Je ne vais pas me lancer des fleurs à la veille d’une guerre mondiale.

Qu’est-ce qui va se passer ? Bon, voilà, les Russes vont envahir l’Ukraine. On va prendre des mesures. Ils vont cesser d’envoyer du gaz de notre côté. Les chaînes d’approvisionnement qu’on appelle supply chain maintenant vont être complètement fichues. Tout ce dont on a besoin est fait en Chine de toute manière et la Chine est en train aussi de réentrer dans du confinement.

De toute manière, même s’il n’y a pas la guerre, les prix vont exploser. On me montre un article : « Ah, il y a peut-être un problème d’inflation ». Non, il y a pas de problème d’inflation, c’est que le prix de tout va être multiplié par 10 du jour au lendemain. Il y aura du cornering comme on dit en anglais, je sais plus comment on dit en français. En fait, les gens vont essayer de garder les choses et de faire monter les prix, ça a un nom en français [P.J. de l’accaparement]. C’était d’ailleurs puni de mort, il y avait une proposition de punir de mort pendant la Révolution française.  »
bonsoir

Janssen J-J dit: à

c’est que le prix de tout va être multiplié par 10 du jour au lendemain. non, paul jorion, qui parle comme un goret, se trompe sur l’inflation à venir, à cause d’un accaparement, bon voilà. Bonne nuit.

et alii dit: à

je n’ai pas remarqué, monsieur JCube que vous parliez de manière si recommandable par une académie de gens de lettres que la manière dont vous-même jugez P.Jorion soit digne de considération, , alors qu’il invite,lui, à prêter attention à ce qui doit advenir dont vous n’êtes pas le maître, en dépit de la peine que vous prenez à anéantir ceux et celles qui résistent à vos ruses de conquête;

JC..... dit: à

MERCREDI 2 MARS 2022, 5h52, 10°, vent d’est léger

Vu de loin par le bolo standard, c’est à dire au delà du périphérique parisien, la « vie littéraire » n’est que communautarisme de réseaux, spécialisés dans l’embrouille à caractère financier, combines pudiquement voilées par un intellectualisme de pacotille qui ennoblit toute la merde de papier qui dort, ensuite, en magasin manquant de lecteurs…

Marie Sasseur dit: à

Billet : « Le regretté Marc Fumaroli faisait remonter très précisément la naissance du phénomène à 1671. Cette année-là, pour la première fois, l’Académie française décernait le prix d’éloquence lancé par Jean-Louis Guez de Balzac (1597-1654) et présenté comme un prix de dévotion.  »

Passons sur le « regretté  » qui a encouragé une thèse très très regrettable, celle de l’inexistence de Louise Labé, et que l’on a eu le privilège de découvrir et démolir lors d’un récent bal Huchon donné sur la rdl.

D’autant que les concours d’éloquence restent un sport très pratiqué; pas le moindre lycée dans la francophonie qui n’ait ces jours et à venir, ses joutes d’excellence oratoire, sous des patronages les plus divers. Et pas celui de l’AF ?

https://www.republicain-lorrain.fr/culture-loisirs/2022/02/27/mareva-18-ans-remporte-le-concours-d-eloquence-du-lions

rose dit: à

Les concours d’éloquence redeviennent.
Et cette pratique a été réhabilitée récemment.

rose dit: à

Depuis dix ans, remis au goût du jour.
Cf Démosthène, par ex..

et alii dit: à

En Russie il y a depuis quelques années un doctrine militaire qui prévoit la possibilité de frappe nucléaire tactique préventive. Il faut aussi craindre l’entente Poutine-Loukachenko. Dimanche 27 février, un référendum est prévu en Biélorussie visant à faire adopter une nouvelle constitution. Cette révision aura de lourdes conséquences car elle vise à faire disparaître la clause décrétant que la Biélorussie est un pays non-nucléarisé. Le statut neutre de la Biélorussie sera aussi modifié. En clair, je pense qu’il y aura très prochainement des installations avec des armes nucléaires pointées vers l’Ouest sur le territoire Biélorusse, donc plus proche de l’Europe que si elles étaient en Russie.

Il me semble que Poutine est totalement paranoïaque. Le problème c’est qu’il est éminemment dangereux et qu’il a un pouvoir dictatorial, mêlé à un véritable culte de la personnalité, ce qui lui confère un pouvoir inouï. S’il décide d’entrer en guerre, personne ne pourra le retenir.

J’ai un scénario très pessimiste en tête. Depuis mi-décembre, Vladimir Poutine lance des ultimatums à l’OTAN et aux Etats-Unis. Il demande une démilitarisation de l’Ukraine et la promesse que l’Ukraine ne fera jamais partie de l’OTAN.

Il exigeait aussi de revenir au statu quo de 1997: le retrait des bases militaires et des troupes de l’OTAN en Europe de l’Est. Évidemment, c’est impossible. Il pourra donc attaquer les pays limitrophes avec la Russie et l’Ukraine, en prétextant défendre son territoire mis en danger par ces bases militaires. Le problème c’est que ses voisins sont membres de l’OTAN. Aujourd’hui ces nations, qui comprennent la Roumanie, la Slovaquie, la Pologne etc, ne peuvent plus se sentir en sécurité.
https://actu.geo.fr/geopolitique/pour-galia-ackerman-historienne-specialiste-de-la-russie-il-y-aura-tres-prochainement-des-installations-avec-des-armes-nucleaires-pointees-vers-louest-sur-le-territoire-bielorusse-208556?utm_source=outbrain&utm_medium=cpc&utm_term=FR_Le+Monde+%28Soci%C3%A9t%C3%A9+%C3%A9ditrice+du+Monde%29_Le+Monde&utm_content=%22Il+y+aura+tr%C3%A8s+prochainement+des+installations+avec+des+armes+nucl%C3%A9ai&utm_campaign=pmo_geo_article_desktop_desktop_rtgaudi_1&dicbo=v1-d40960d02b8e91da847fe22cd2f8c7dd-00fc3140d2c1b2eb3648d0aee1012af1b3-mq3tmnlbgzrdqljwgzrgmljuhezgmllchbsgiljrgbrwmyldgi3wgobqg4

Marie Sasseur dit: à

On est informés, Renato.
En ce moment on voit beaucoup de lanceurs d’alerte pour informés.
Vous avez donné un peu de  » blé  » à une association pour venir en aide d’urgence ?

renato dit: à

Et vous, vous l’avez donné, MS ?

Marie Sasseur dit: à

La peur n’évite pas le danger Renato, restez confiné.

Marie Sasseur dit: à

Oui, moi je donne.

closer dit: à

Nationaliste fanatique Dosto ? Admettons que « fanatique » soit (ou « est », DHH au secours!) de trop, mais pas plus.

Quant à Gogol, je conseille la lecture de « Il faut aimer la Russie » (collection Cahiers Rouges chez Grasset). Il y exprime son « amour éternel pour la Russie ».

renato dit: à

Pas besoin de vos conseils. Cela fait déjà un bon moment que je suis en mouvement : les trains circulent régulièrement.

Jazzi dit: à

« Des milliers d’artistes russes dénoncent l’invasion dans une lettre ouverte »

17 000 artistes mais aussi 5 000 scientifiques et 200 journalistes !
Poutine va devoir rouvrir les goulags en Sibérie ?

et alii dit: à

le ruban vert:c’est pour la « comédie », l’homme aux rubans verts! :

et alii dit: à

« Pour l’homme aux rubans verts, il me divertit quelquefois, avec ses brusqueries, et son chagrin bourru; mais il est cent moments, où je le trouve le plus fâcheux du monde. »molière Le Misanthrope, V, 4

DHH dit: à

Magnifique choix de la photoen têtedu billet en ces jours de guerre si injuste

Soleil vert dit: à

Rose : Les concours d’éloquence redeviennent.
Et , cette pratique a été réhabilitée récemment.

Oui, à mon pot de départ en retraite j’avais brodé sur le thème « Que fait-on quand on arrive au bout ». J’avais repris cette interrogation formulée par François Mitterrand lors d’une remise de la plus haute décoration de l’ordre du mérite à Alfred Sauvy (sauf erreur) – qui s’adressait d’ailleurs autant à lui-même qu’à l’impétrant – et incidemment par un collègue parti 40 ans plus tôt. Je terminais brillamment par Borges qui imaginait Alexandre le Grand non décédé comme le veut l’Histoire mais engagé comme simple soldat dans ses troupes.

Le tout sans notes, et conclut par une enguelade paternelle : « Tu aurais pu m’envoyer ton discours ! »

MC dit: à

Réduire Fumaroli à un article mal inspiré sur Louise Labe, c’est facile et mesquin. Peut-être doit-on rappeler que sa these sur L’Age de l’Eloquence a marqué une date et provoqué la naissance d’un fumarolidle scolaire qui a rendu possible lesdits concours.

Bloom dit: à

Les concours d’éloquence redeviennent.
Et cette pratique a été réhabilitée récemment.

Lors du meeting sur l’Ukraine dans l’ancien Théâtre des menus plaisirs, ce n’est certainement pas la candidate de la droite qui a remporté le concours d’éloquence, guindée et rigide, à lire ses feuilles là où d’autres parlaient sans prompter et avec leur coeur.
Un honorable représentant de l’Académie française a lu un texte de très haute tenue tandis que des Ukrainien/nes agitaient des drapeaux couleur champ de colza sur fond de ciel bleu.
More anon

JC..... dit: à

SORTIE D’UNE IMPASSE POLITIQUE

Un leader est souvent le verrou qui bloque une crise, ou risque d’en faciliter une autre. Il existe des exemples historiques nombreux indiquant la marche à suivre, en général couronnée de succès…

Bon courage les stratèges, adeptes de la tactique binaire !

MC dit: à

Le bannissement de Gergiev de la Philharmonie et de Munich est la mesure la plus idiote qui soit. Un chef mondialement connu et génial écarte d’un revers de main. Enfin, il s’en trouvera pour applaudir…Comme aux autodafés à prévoir de Dostoievski et pourquoi pas, Tolstoi.

Jazzi dit: à

Aux concours d’éloquence je préfère les concours de… silence !

Jazzi dit: à

« Il existe des exemples historiques nombreux indiquant la marche à suivre »

Poutine est tout entier contenu dans Raspoutine, JC !
La marche à suivre historique est toute indiquée…

JC..... dit: à

Peut être Gergiev, excellent chef, est écarté pour des raisons non identitaires, type gros câlin dans les toilettes avec la nymphe du troisième étage ou le mignon du vestiaire…

JC..... dit: à

Nous sommes d’accord, Jazzi !

J’espère qu’ils n’oublierons pas de garder un souvenir, comme pour Raspoutine : son beaupré de 31cm prélevé et stocké dans un bocal de formol, actuellement visible dans un musée à Saint Pétersbourg….

Soleil vert dit: à

Soleil vert dit: à
Rose : Les concours d’éloquence redeviennent.
Et , cette pratique a été réhabilitée récemment.

Oui, à mon pot de départ en retraite j’avais brodé sur le thème « Que fait-on quand on arrive au bout ».

J’y repense en écoutant une leçon de Marcel Conche. « Le devenir est éternel »

et alii dit: à

type gros câlin dans les toilettes avec la nymphe du troisième étage ou le mignon du vestiaire…
je crois qu’il est stupide de faire telles insinuations, comme on en fit avec hilary!sur la RDL . il y a déjà plus de mobiles controuvés que pour avoir écarté ce chef talentueux

et alii dit: à

que nécessaire: excuses

Jazzi dit: à

« Que fait-on quand on arrive au bout »

On repart pour de nouvelles aventures, étant entendu que la mort est l’aventure extrême !

Jazzi dit: à

Voire, suprême !

renato dit: à

Peut-être pas clair, donc : « Ma (vision de la) grandeur poutinienne. »

Patrice Charoulet dit: à

ZEMMOUR /POUTINE

« L’Ukraine n’existe pas. » (Zemmour, 2014)
« Poutine est le dernier rempart à l’ouragan du politiquement correct. » (Zemmour, 2016)
« Je rêverais d’un Poutine français. » (Zemmour, 2018)
« Je suis pour l’Allaince russe avec la France. Je pense que c’est l’allié qui serait le plus fiable. »
(Zemmour, 2020)
« Je parie que la Russie ne va pas envahir la Russie » (Zemmour, 09/12/2021)

Patrice Charoulet dit: à

ERRATUM

« Je parie que la Russie ne va pas envahir l’Ukraine. »
(Zemmour, 09/12/2021)

Janssen J-J dit: à

@ merci pour vos récents efforts de politesse. Mes respects pour les pensées de votre ami, Paul Jorion, il a souvent de bonnes intuitions, nous lui en sommes tous gré.

@ rdl/ Pierre Servent ce matin (2.3.22), a émis une hypothèse nouvelle intéressante (à ma connaissance) voire plutôt audacieuse, je ne sais pas si vous l’avez capturée (?)… A tout hasard,…
https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-du-mercredi-02-mars-2022
Bàv,

Jazzi dit: à

« Je parie que la Russie ne va pas envahir la Russie »

Là, on aurait pu croire que Zemmour avait de l’esprit !

Merci de ce petit rappel, Charoulet.
Si les journalistes font leur boulot, Zemmour devrait s’écrouler dans les sondages…
La même recension s’impose pour Marine Le Pen et pour Jean-Luc Mélenchon.

renato dit: à

La pantin Ianoukovitch est à Minsk : Moscou veut qu’il soit président.

Jazzi dit: à

D. ne va plus être votre copain, Charoulet !

DHH dit: à

@soleil vert
le pot de départ :un genre difficile ;
Pour moi,en cette circontance deja tres ancienne, malgre des effort laborieux je n’ai pu eviter ni les cliches ni les idées reçues ,pour cette sorte d’oraison funebre prononcée par le mort lui -même et qui de ce fait doit rester modeste et n’a même pas la ressource des formules dithyrambiqyues d’admiration e

Jazzi dit: à

Un deuxième tour Macron/Pécresse serait quand même préférable !

Petit Rappel dit: à

´Pierre Servent, l’auteur du Rudolf Hess??? La sagesse commande de ne pas se fier à ses lumières. Sait-il au moins l’importance historique de Kiev? Gergiev est plus connu pour ses penchants pour la Vodka que pour d’autres, bien hypothétiques. On annonce, manière élégante mais sûre de suggérer la mise à la retraite, la parution de deux tomes de mélanges offerts à Mireille Huchon. Gageons que Marie Sasseur donnera…

renato dit: à

Ianoukovitch président ? Pas étonnant, Poutine aime les fascistes corrompus. Lui aussi cherche à faire ses emplettes sans payer ?

lmd dit: à

Artiste du peuple de la Fédération de Russie est le plus haut titre honorifique de la Fédération de Russie pour les réalisations exceptionnelles dans le domaine du théâtre, de la musique, du cirque, du vaudeville et du cinéma.
En voici la liste complète  (certains ne sont plus vivants):
https://fr.wikipedia.org/wiki/Catégorie:Artiste_du_peuple_de_la_Fédération_de_Russie
Il ne faudrait pas condamner ou black bouler ces artistes, on ne sait pas quelle est leur indépendance vis à vis du pouvoir ; mais si l’un ou l’autre, vous en connaissez l’adresse, demandez lui de condamner.

D. dit: à

Jazzi, je n’ai pas pu ici depuis 2 jours étayer plusieurs de mes propos avec des liens. Les commentaures n’ont pas été publiés.
Je ne revenduque rien à ce sujet, il s’agit ici d’un blog litteraire.
Désormais mes interventions se limuteront au domaine lutteraire.

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…mercredi 2 mars 2022 à 12 h 00 minutes.

…déjà le 02 mars 2022, après J.C de Nazareth,!

…la viande reste bonne, issue du frigo,!…

…les prix Nobel, de la dynamite,! un grand choix,!…un cercle privé,!…d’invention – volé,!…toute une culture fermée, de cow-boys, pour se faire la malle,!…

…les larcins,!…à bon comptes pour s’appropriés les territoires voisins, l’Alaska, et les territoires français d’Amérique, vendus par Napoléon, pour ses batailles en Europe, l’Or pour aider la jeune Amérique, contre les anglais,!…
…lafayette marquis à deux sous, nationalisme & cupidité, l’or du roi, & sang des français,!…esclaves sans même des brioches à se partagés,!…
…le blé management et ses papiers à faire valoir,!…

…faire les  » malins « , nazis avant la lettre, corruptions et entendes cordiales, frappés dur le peuple,!…
…pour la naissance des révolutions,!…
…déjà avant; avec le seul Cromwell anglais,!…
…& le règne des hollandais en Angleterre,!…
…jouer aux nazis-juifs-banquiers,!…
…et se découvrir ainsi, sur les paradis-fiscaux, des ? élites de tous poils-aristocrates,!…aux gibets d’économies sociale et politique, les  » toqués « , entre lèche-culs du genre humains, depuis les papes aux cochons,!…
…l’école est fini,!…
…l’ère nucléaire, nous voici,!…
…tu plait à ma mère,!…tu plait à mon père,!…
…mais ou son mes châteaux à gérer,!…en paix,!…Cinéma,!…et mise aux cul.tes,!…
…concours de fellations, depuis Auguste,!…
…vivre seul, aux Amériques, mais ou çà,!…
…en Australie sur son cheval, du matin au soir,!…quels profits,!…
…la guerre des étoiles nazi,!…encore un effort, çà vient, l’Apocalypse des rentiers,!…aux bourses des manipulateurs aux pandémies,!…etc,!…Go,!…

Jazzi dit: à

Tu prétends être censuré par Passou, D. ?
Ici, il s’agit d’un blog littéraire sur lequel flotte le drapeau ukrainien !

Janssen J-J dit: à

LEURRE (Servent)
La conquête de Kiev ne serait qu’un leurre pour nous faire oublier l’annexion de la zone entière du Donbass à l’Est, censée permettre à la nouvelle Russie de Poutine d’accéder directement à la Crimée, par effet de continuité géographique.
Après quoi, avec l’espoir que l’Ukraine et l’occident finiraient par accepter cette amputation territoriale par désir de paix et certitude d’appartenir à l’avenir de l’Union européenne, le massacre ayant été évité, le dictateur pourrait se la jouer en perdant « fair play » , et d’accord pour entreprendre la désescalade…, en retirant tutes ses troupes sur les autres théâtres…
(Une lecture de la rationalité stratégique occidentale imputée aux intentions d’un dictateur ayant à qui on veut reconnaître la même rationalité calculatrice,… à moyen terme).
IMAGINONS ensemble, nous autres, les etalii et autres géopolitistes de la rdl, les nouveaux rapports de force à venir, une fois stabilisée la plausibilité de cette hypothèse entrée dans les faits. Bàv,

JC..... dit: à

et alii dit: à
type gros câlin dans les toilettes avec la nymphe du troisième étage ou le mignon du vestiaire…
« je crois qu’il est stupide de faire telles insinuations »

Je vous INTERDIS de m’empêcher d’insinuer !
COMPRIS ?

Janssen J-J dit: à

– Je croyais avoir appris icite à ne point confondre un auteur faisant oeuvre d’historien avec le personnage dépeint. Mais avec lérudi MC/PR, on n’est jamais à ça près.
– Il ne va plus rester grand chose à D. à se mettre sous la dent, vu son immense culture littéraire, déjà que sa nourriture journalière était bien indigente.
– @ PQ – Petit rappel sur l’amour la mer… On arrive à une surprenante digression entre les verbe enjôler et engeôler (ie, mettre en prison)… Il charrie pas mal avec la langue, cet écrivain musicien, et l’enchanté Passoul lui pardonne tout. Mais bon, quand on aime, on aime aussi pigeonner les bons clients.
Bàv

D. dit: à

Je ne prétends rien, j’expose des faits, comme d’habutude.

renato dit: à

Gergiev banni. Pas de nymphes ni de mignons. S’il veut rester fidèle à son maitre qu’il rentre en Russie, les occasions de travail ne lui manqueront pas. Idem pour la Netrebko. Il est trop facile de se cacher derrière son travail.

Bloom dit: à

Satire « à la Gogol » revendiquée comme telle, par F. Beigbeder:

« Je voudrais m’adresser à mes amis oligarques russes.
Chers Vitali, Mikhail, Roman, Oleg, Serguei, Dmitri,
(…) Dépêchez-vous de virer Poutine ou bien on va vous pourrir la vie (…) Vos châlets, à Courchevel et à Megève, serons transformés en EPHAD, vos villas à Biarritz ont été taguées avant-hier, bientôt elles seront squattées par des indépendantistes basques qui feront du fromage de brebis dans vos salons. Vos Rolls, vos Bentley auront les pneux crevés, vos jets privés ne peuvent déjà plus circuler (…)
Franchement, vous venez de perdre 150 milliards en 4 jours…Tout ça pour quoi? Pour récupérer Sébastopol? Mais qui a envie de passer l’été sur la Mer noire? Vous aviez des Palais au Cap d’Antibes, dans les parcs de St Tropez, et vous allez perdre tout ça pour vous baigner à Kazantip alors qu’il y a même plus le festival électro là-bas depuis 2014?
Non, débarassez-vous de type, de ce fantôche que vous avez installé. Créez une démocratie dans votre pays, libérez Navalny, ayez le courage d’avoir des vrais élections.
Au peuple russe, on vous demande pas de manifester parce qu’on sait que vous allez être arrêtés, torturés, mais vous pouvez résister passivement, en allant plus au boulot. Dites que vous avez le Covid! La résistance passive, c’est efficace (…) Et si les Russes ont exemple, c’est qu’ils s’y connaissent en révolution. »

Bloom dit: à

Et si les Russes ont UN exemple, c’est qu’ils s’y connaissent en révolution. »

Jazzi dit: à

Le Russe et l’Ukrainien

La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Nous l’allons montrer tout à l’heure.
Un Ukrainien se désaltérait
Dans le courant d’une onde pure.
Un Russe survient de l’autre côté de la clôture,
Et que la conquête de nouveaux lieux attirait.
Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ?
Dit cet envahisseur plein de rage :
Tu seras châtié de ta témérité.
Camarade, répond l’Ukrénien, que ta fraternité
Ne se change pas en colère ;
Mais plutôt qu’elle considère
Que je me vas désaltérant
Dans le courant,
Plus de vingt pas au-dessous de toi ;
Et que par conséquent en aucune façon
Je ne puis troubler ta boisson.
Tu la troubles, reprit ce cerveau étroit,
Et je sais que de moi tu médis l’an passé.
Comment l’aurais-je fait j’étais à l’étranger ?
Reprit l’Ukrénien, je viens juste d’arriver chez ma mère,
Si ce n’est toi, c’est donc ton frère :
Je n’en ai point. C’est donc quelqu’un des tiens :
Car vous ne m’épargnez guère,
Vous, vos semblables, et vos élus.
On me l’a dit : il faut que je me venge.
Là-dessus au fond des forêts
Le Russe l’emporte, et puis le tue,
Sans autre forme de procès.

Jazzi dit: à

Bloom citant en exemple Beigbeder, on aura tout vu !
Les valeurs de gauche foutent le camp, JJJ !

lmd dit: à

Mais si, bravo Bloom, vous faites carton plein avec Beigbeder : Ukraine et prix littéraires.
«Frédéric Beigbeder, qui a fondé le prix de Flore en 1994, préside son jury depuis lors. Il a également créé le prix Sade en 2001 avec Lionel Aracil, a siégé dans le jury du prix Décembre (-2011), et, depuis mars 2011, est membre du jury du prix Renaudot.
En 2011, il est membre du jury du prix Françoise-Sagan. À partir de 2011, il est également membre du jury du prix Saint-Germain dont il a démissionné en 2013 et du prix Fitzgerald».
Mais, doit-on dire qu’il y a des mais ?

renato dit: à

Le top dans le registre comique : « Dictateur entre guillemets ».

et alii dit: à

on dit je crois que « tout père frappe à côté »

et alii dit: à

DÉCRYPTAGE. Les cyberattaques qui visent l’Ukraine s’appuient sur des outils modélisés par les chercheurs de l’Inria, de l’université de Lorraine et du CNRS.
le point

Amanda Lire dit: à

Leçon sur Dostoevskij censurée par l’Université Bicocca de Milan. On est arrivé à la folie… totale.

et alii dit: à

Dans la projection de la relation
homme/animal, les genres littéraires
s’ouvrent également vers un nouvel
horizon, au point que l’année 2019
voit se créer un « Prix Maya », destiné
à récompenser les œuvres animalistes16
.
Depuis quelques années, paraissent
en effet des romans qui ne se limitent
pas à représenter les animaux comme
les supports de la satire, ou comme des

renato dit: à

Précisons :

« L’Université Milano-Bicocca est ouverte au dialogue et à l’écoute même dans cette période très difficile qui nous voit consternés par l’escalade du conflit. Le cours de l’écrivain Paolo Nori fait partie des cours « Entre l’écriture », des cours destinés aux étudiants et aux citoyens qui visent à développer des compétences transversales à travers des formes d’écriture. L’université confirme que ce cours se tiendra aux jours établis et traitera le contenu déjà convenu avec l’écrivain. »

Moralès sed laisse dit: à

Leçon sur Dostoevskij censurée par l’Université Bicocca de Milan.

Le petit télégraphiste toto tape des mains?

Marie Sasseur dit: à

Le sbire d’Edel, mc/ petit rappel/ mauvaise pensée, idolâtre du transgenre et militant pour « Jeanne au secours », ce vieux hideux de partout avait trop fait du foin sur la rdl pour défendre cette thèse absurde et débile de la mere Huchon et du  » regretté  » Fumaroli, comme quoi Louise Labé était des hommes et n’aurait pas existé. On lui a vite mis le ho la, a ce dément.

Et maintenant il trouve mesquin de limoger un chef d’orchestre russe ouvertement pro Poutine qui a déclaré la guerre au monde libre.

Ce genre se gazier on imagine tout à fait où les trouver quand « oncle wolf » faisait donner une ouverture pour Faust, de Wagner à la gloire du national-socialisme : à se pâmer d’aise dans la salle.

Que vieux pou retourne dans sa paroisssssse d’ultra catho identitaires et xénophobes et me foute la paix.

Amanda Lire dit: à

Un texte de jean-Yves Masson sur FB :
(à discuter, par ailleurs…)

« C’est ce qu’on appelle un dommage collatéral, je suppose, mais on devrait respecter les artistes dans des circonstances comme celle-ci. Il n’est évident pour personne de prendre publiquement position contre son propre pays, et surtout pas dans l’instant même et sans réflexion. Garder le silence, de la part de Valery Gergiev ou d’Anna Netrebko, était déjà amplement suffisant. Exiger d’eux qu’ils condamnent leur pays immédiatement, c’est trop leur demander car ce sont des artistes, pas des intellectuels ni des militants, et ils ont le droit d’aimer leur pays sans forcément être soupçonnés de soutien à sa dictature. Et ce qu’on leur demande n’est pas de tenir de grands discours, mais de faire vivre la musique qui en dit beaucoup sur la paix et l’humanité.
Même Thomas Mann a mis du temps pour en arriver à prendre position contre l’Allemagne, et je ne pense pas que les comparaisons entre Poutine et Hitler qu’on voit fleurir partout depuis quelques jours soient justifiées (ce qui ne veut pas dire que Poutine me soit sympathique, bien entendu).
Bien sûr, Evgeny Kissin, par exemple, a pris position tout de suite et lancé un appel à Poutine, mais il est devenu sujet britannique depuis vingt ans, et il a même, je crois, la double nationalité anglaise et israélienne : il n’est plus un Russe de Russie. Il n’y a pas, pour lui, le même dilemme.
Limoger Gergiev, c’est plus que regrettable de la part d’institutions qui se donnent ainsi à bon compte une aura vertueuse, alors qu’on ne se souvient pas avoir vu jadis la Scala de Milan se dresser fièrement contre Mussolini ou la Philharmonie de Munich tourner le dos à Hitler.
Va-t-on maintenant cesser de jouer les oeuvres des compositeurs russes d’aujourd’hui hors de Russie, s’ils ne prennent pas position? L’Allemagne vertueuse va-t-elle expulser Sofia Gubaidoulina, qui réside sur son sol, si elle ne condamne pas dès demain son propre pays?
La Russie n’est pas Poutine, Poutine n’est pas la Russie. Je peux désapprouver bien des décisions du gouvernement français que je ne désavouerais certainement pas devant des étrangers. Laissons Gergiev tranquille, c’est un grand artiste et pour l’instant cela suffit. »

renato dit: à

Étant donné l’imbécillité patente de certains intervenants je souligne :

« L’université confirme que ce cours (de l’écrivain Paolo Nori) se tiendra aux jours établis et traitera le contenu déjà convenu avec l’écrivain. »

Marie Sasseur dit: à

« Au peuple russe, on vous demande pas de manifester parce qu’on sait que vous allez être arrêtés, torturés, mais vous pouvez résister passivement, en allant plus au boulot. »

Pauvre Beigbeder, la teuf cocaïnée est bien finie.

Russia Beyond : L’intrigue de votre roman Au secours pardon se déroule en Russie. Vous avez également réalisé un film basé sur ce livre, intitulé L’Idéal, montrant des oligarques russes qui construisent des parcs aquatiques dans leurs appartements. Voyez-vous vraiment la Russie comme un endroit de festivités éternelles impliquant mannequins et oligarques ?

Frédéric Beigbeder : Quand je suis arrivé ici, au début des années 2000, ce n’était pas un cliché, c’était vraiment, réellement comme ça ! C’était comme un parc d’attractions pour adultes à Moscou et à Saint-Pétersbourg. C’était dingue. Ce n’est plus comme ça. À cette époque, le sentiment de libération du communisme était encore présent, et c’était incroyable : il y avait des casinos partout, des boîtes de nuit géantes, c’était un peu comme à Shanghai de nos jours. Oui, Shanghai ressemble un peu au Moscou d’il y a 20 ans.

Bien sûr, j’étais ébahi par ce que je voyais; à Paris c’était ennuyeux, à Londres c’était ennuyeux, à New York c’était fini. Cependant, Moscou était le centre du monde pour tous ceux qui aimaient faire la fête ou même ceux qui voulaient être libres

Moralès sed laisse dit: à

Être traité d’imbécile par un con, est le plus raffiné des délices!

L’interdiction révisée de la Bicocca :

Il n’empêche … qu’une université est pour première préoccupation
de censurer un cours sur un écrivain russe en dit long …

Moralès sed laisse dit: à

est = ait

Marie Sasseur dit: à

« Jazzi dit: à

« Jeanne au secours »

On me demande ? »

Pas moi, mais d’autres certainement, qui comme bedeau lancent leur  » appel » :

Les Comités Jeanne (abrégé en CJ et logotypé « Jeanne, au secours ! ») sont un parti politique français créé en 2016 par Jean-Marie Le Pen, après son exclusion du Front national.

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Comit%C3%A9s_Jeanne

et alii dit: à

prix envoyé par la poste:
Doté de 2 500 euros, ce prix récompense « un manuscrit adresse? par courrier, sans recommandation particulie?re, a? un e?diteur qui de?ce?le, avec son comite? de lecture, un talent d’e?criture et qui de?cide de la publier », indique la Fondation d’entreprise La Poste.

Le jury est composé de la présidente de Paris Sciences et Lettres Alumni, Dominique Blanchecotte, la journaliste Sophie Brocas, la déléguée générale de la Fondation d’entreprise La Poste Marie Llobères, l’écrivain et directeur adjoint du Point Christophe Ono-dit-Biot, Dima Abdallah, lauréate du prix en 2020 et Alice Tachet, factrice d’e?quipe a? Saint-Andre?-de-l’Eure.

Marie Sasseur dit: à

« Laissons Gergiev tranquille, c’est un grand artiste et pour l’instant cela suffit. »

Choisis ton camp, camarade.
La musique est à tout le monde, et comme dit… elle ne dit jamais non.

renato dit: à

Je ne sais pas qui est ce Jean-Yves Masson et ses opinions ne m’intéressent point, mais dire « … ce sont des artistes, pas des intellectuels ni des militants… », révèle que l’homme ne tient pas en compte le simple fait que « artiste » n’est pas un un cache-misère. On fait une différence seulement pour l’action artistique (liberté de création), mais apparemment l’image petite-bourgeoise de l’irresponsabilité de l’artiste est encore vivace.

renato dit: à

La différence entre le con que je suis et l’imbécile qui signe Moralès sed laisse c’est que moi je l’insulte à visage découvert, non caché derrière un pseudo comme un délateur collaborationniste de triste mémoire vichyste.

Marie Sasseur dit: à

Les mots ont perdu leur sens ?

Gergiev est chef d’orchestre, qui veut faire passer Gergiev pour un artiste ?

C’est quoi son œuvre ?

et alii dit: à

La balalaïka (Russe : балалайка) est un instrument de musique à cordes pincées populaire de Russie. C’est un luth à manche long à la caisse typiquement triangulaire. Le mot balalaïka vient du russe balakat, qui signifie bavarder, plaisanter, taquiner.

Elle se joue le plus souvent au doigt et parfois avec un plectre et se décline en plusieurs tailles. La plus courante, la balalaïka prima, comporte trois cordes, les deux cordes basses accordées à l’unisson en mi et la troisième, aiguë, en la. Elle est souvent associée aux orchestres de balalaïkas.

et alii dit: à

wiki raconte:
L’ancêtre de la balalaïka s’appelle la domra et date du xvie siècle. Elle aurait été introduite en Russie par les Tatares.

Quand, en 1648, le tsar de Russie Alexis Mikhaïlovitch décréta par un édit l’interdiction de jouer d’un instrument ou d’en posséder un, les musiciens furent alors persécutés et envoyés en exil, et leurs instruments brûlés. C’est alors qu’apparut la balalaïka, cet instrument de musique très facile à produire. Les premières traces écrites de son existence remontent à 1688, quand des gardes du Kremlin, alors forteresse de Moscou, ont arrêté deux serfs ivres jouant de la balalaïka. Vu son impopularité, le tsar n’eut d’autre choix que de révoquer l’édit et de faire revenir la musique dans les traditions russes.

Elle est généralement utilisée dans la musique traditionnelle russe1, et enseignée dans des conservatoires dédiés à la balalaïka en Russie, mais certains musiciens continuent encore à élaborer de nouvelles techniques et à repousser les limites de l’instrument, tel Alexeï Arkhipovski, inventant de nouvelles sonorités à l’instrument grâce aux effets qu’il lui applique, principalement le « delay ».

En 2010, la balalaïka a connu un coup de projecteur en France, grâce à Alexeï Arkhipovski, lors de son passage dans l’émission de Jean-François Zygel, La Boîte à musique, dans la rubrique de l’émission intitulée L’instrument rare2.

Moralès sed laisse dit: à

un pseudo comme un délateur collaborationniste de triste mémoire vichyste.

L’excès est vraiment insignifiant, surtout lorsque l’on dévoile le fascisme avoué d’interdire (et de se reprendre in fine à cause des protestations) la connaissance de la culture russe à travers les romans d’un grand écrivain de ce pays.
La littérature russe ce n’est pas Pioutine et ses sbires.

renato dit: à

Incidemment, il n’y a pas eu censure, voyons le mail reçu par Paolo Nori :  » Cher professeur, le vice-recteur à l’enseignement m’a informé de la décision, prise avec le recteur, de reporter le cours sur Dostoïevski. Le but est d’éviter toute forme de polémique, avant tout interne, en ce moment de forte tension ».

Il y a une différence entre censurer et reporter, il me semble.

et alii dit: à

Les kalachnikovs sont une série de fusils automatiques conçus par l’ingénieur et lieutenant-général russe Mikhaïl Kalachnikov.

Ils sont officiellement appelés en Russie « Avtomat Kalachnikova » (russe : Автома́т Кала́шникова ; traduction littérale : « Machine automatique de Kalachnikov »), et sont aussi connus sous le nom de kalachnikovs, AK, ou en argot russe, « Kalach ». Ils ont été initialement fabriqués dans l’Union soviétique, principalement par Izhmash, mais ces fusils et leurs variantes sont maintenant fabriqués dans de nombreux autres pays1.

renato dit: à

Or, étant donné ce « reporter », je comprends mal comme un écrivain et professeur peut dire : « C’est quelque chose que je ne peux pas comprendre : non seulement être un Russe vivant est un défaut en Italie aujourd’hui, mais être aussi un Russe mort, qui a été condamné à mort de son vivant en 1849 parce qu’il avait lu un interdit chose. Ces choses qui se passent en Italie sont des choses ridicules. Une université italienne qui interdit un cours Dostoïevski est quelque chose que vous ne croyez pas et je ne voulais pas croire ce mail. »
Depuis quand reporter vaut interdire ?

renato dit: à

Oups ! un interdit chose > une chose interdite…

renato dit: à

Reporter pour repousser (remettre à plus tard)…

Marie Sasseur dit: à

« La littérature russe ce n’est pas Pioutine et ses sbires. »

Certes mais l’administration de l’université de la Bicocca de Milan c’est pas non plus la Sorbonne.
Vous trouverez bien d’autres moyens de vous faire suer à trouver de quoi entretenir un conservatoire de haine recuite.

et alii dit: à

et encore; le titre n’est pas « ce qui est essentiel »,
mais ce qui est « IMPORTANT »(εισάγει)

et alii dit: à

Kaliningrad (en russe : Калининград, en allemand : Königsberg, en polonais : Królewiec, en lituanien : Karaliaučius), anciennement Königsberg en Prusse-Orientale, est une ville de Russie située dans une exclave territoriale, l’oblast de Kaliningrad, totalement isolée du reste du territoire russe, entre la Pologne et la Lituanie. Sa population s’élève à 475 100 habitants en 2018.

En 2018, la ville a accueilli quatre matchs de la Coupe du monde de football.

et alii dit: à

La délégation ukrainienne pour les Jeux paralympiques de Pékin (4-13 mars) est bien arrivée en Chine, malgré le conflit en cours en Ukraine, a annoncé mercredi le Comité international paralympique (CIP).

Marie Sasseur dit: à

Et pour un billet sous les auspices de « la coupole », il eût été un attentat à la bienséance de ne pas donner la parole à la plus éminente représentante de l’auguste Assemblée ( on s’abstiendra de demander l’avis d’autres immortels, inutile d’insister, pas de nom)

Madame le Secrétaire perpétuel, elle en pense quoi de ce tsar de l’an pire , Palpoutine ?

« Patrick Cahez

Ligue des droits humains et Amnesty international Bruxelles ; MRAP Dunkerque ; SUD intérieur et Observatoire du stress de France Télécom Paris

Abonné·e de Mediapart

Hélène Carrère d’Encausse :  » Que veut Poutine ?  »

Dans ce podcast, Hélène Carrère d’Encausse, secrétaire perpétuel de l’Académie française, apporte un éclairage historique et une analyse des derniers événements qui ont secoué la Russie :  » L’occident a raté la fin de l’Urss « . Entretien avec Pascal Boniface – émission  » Comprendre le monde «  »

https://youtu.be/SVWR1R6Et1I

et alii dit: à

Les sportifs russes et biélorusses ont été autorisés mercredi 2 mars à participer aux Jeux paralympiques de Pékin selon la décision du Comité international paralympique (CIP). Cela se fera sous bannière « neutre ». Ils ne figureront pas au tableau des médailles. Le Comité international olympique (CIO) avait exhorté lundi 28 février les fédérations sportives à bannir de toutes les compétitions les Russes mais aussi les Biélorusses, dont le pays collabore à l’invasion de l’Ukraine.

et alii dit: à

l’équipe ukrainienne, composée de 20 athlètes et de neuf guides, est arrivée sans encombre à Pékin », a déclaré lors d’une conférence de presse Andrew Parsons.
Lors de l’édition 2018 à Pyeongchang, les Ukrainiens s’étaient illustrés avec plusieurs podiums en ski et en biathlon. La délégation avait décroché 22 médailles (dont 7 en or) et terminé sixième du classement.

et alii dit: à

Toujours pour la France, c’est un miraculé qui défendra les chances françaises sur l’épreuve de para ski alpin. Alors qu’il surfait à Hawaï, Manoël Bourdenx croisait la route d’un requin-tigre qui lui a arraché une jambe en 2017. Désormais pourvu d’une prothèse, il participe à ses premiers paralympiques.

et alii dit: à

Le président ukrainien et plusieurs mémoriaux de la Shoah ont dénoncé des attaques russes ayant eu lieu à proximité du mémorial juif de Babi Yar.
SUR LIBE

et alii dit: à

A l’origine de l’information, une conférence de presse du ministre de la Défense britannique, Ben Wallace, qui s’est exprimé le 23 février. Devant les journalistes, il parle spontanément de ces crématoriums mobiles, mais sans affirmer qu’ils sont actuellement déployés : «On s’attend à voir des choses qu’ils ont faites par le passé. Ils ont déjà déployé des crématoriums mobiles pour suivre les troupes sur le terrain, ce qui est terrifiant. Si j’étais un soldat et que mes supérieurs me suivaient avec un crématorium mobile, ou si j’étais la mère ou le père d’un fils potentiellement déployé sur une zone de combat, et que mon gouvernement songeait à couvrir les pertes avec des crématoriums mobiles, je serais très, très inquiet.»

Le ministre n’affirme à aucun moment que ces dispositifs ont d’ores et déjà été vus, cette année, sur le terrain. Répondant à la question d’une journaliste, il précise ainsi : «Je vais essayer de vous fournir une image aujourd’hui. On l’a vu lors de déploiements précédents, je ne vais pas spéculer sur ce qu’on peut voir maintenant, mais on l’a vu lors de précédents déploiements.»
LIBE

Bloom dit: à

ttaques russes ayant eu lieu à proximité du mémorial juif de Babi Yar.

Et à Ouman, la ville du grand kabbaliste Rabbi Nachmann de Breslau.
Evidemment, ces brutes ne respectent ni les vivants ni les morts.
Pauvre est le pays qui engendre de tels rognures.

et alii dit: à

la lettre de philomag revient sur valéry gergiev;
je n’en colle ici que quelque lignes:
Chaque parole a des retentissements. Chaque silence aussi.” Surtout quand cette parole est invitée sur les scènes du monde entier. En attendant, j’imagine assez mal Gergiev diriger dans les prochains jours, au hasard, la Symphonie n°13 en si bémol mineur, dite “Babi Yar”, de Dmitri Chostakovitch. Le mémorial de la Shoah par balles a été bombardé hier par l’armée russe – sûrement une étape de la “dénazification” qui nous échappe. À Bertrand Dermoncourt, qui lui demande “quel est le rôle de l’artiste dans notre société ?”, Gergiev répond : “Il est de rappeler que nous vivons dans un monde souvent très beau et qui peut parfois devenir très laid, par notre faute.” CQFD.

Jacques dit: à

Jean-Pierre Pernaut n’est plus.
Tristesse.

Jean Langoncet dit: à

La liberté, ça se cultive, même avec des moyens rudimentaires ; Johnny B. Goode apporte la bonne nouvelle, « les sons de la Terre », aux extra-terrestres à bord des sondes Voyager, par-delà le système solaire

Son souvenir est toujours assez vivace ici bas
https://www.youtube.com/watch?v=3X6_CKwXtfA

Amanda Lire dit: à

Inséparable d’une culture

Absolument.

renato dit: à

« quel est le rôle de l’artiste dans notre société ? »

Dans le registre des questions connes celle-ci vaut celle posée par les politisés des années 60 et 70 : « pourquoi tu ‘fais’ artiste ». Compte tenu que politique et idéologie n’ont aucun sens dans l’action artistique d’aujourd’hui, car l’artiste confie la possibilité de l’œuvre aux intuitions qu’émergent au cours de la création, les motivations de l’artiste sont foncièrement insignifiantes. Or, puisque l’art est simplement là, savoir pourquoi un tel ‘fait’ artiste et quel est son rôle dans la société n’est absolument pas nécessaire,.

D. dit: à

Je désapprouve l’implication immédiate de l’UE pour fournir des armes et des avions aux Ukrainiens parce que la bataille offensive (je ne parle pas de la Résistance qui va suivre) est perdue d’avance pour eux. Tout le monde le devine. C’est à la fois hypocrite et dangeureux. Et cela va considérablement augmenter le nombre de victimes mais aussi de destructions matérielles. Très mauvais choix.
Dans l’immédiat je souhaite que la France accueille un maximum de réfugiés ukrainiens et organise depuis les frontières moldaves et roumaines des exfiltrations sanitaires des blessés graves devant recevoir des soins urgents et adaptés. Avec un pont aérien depuis la Roumanie vers la France.

renato dit: à

Le patriarche de Moscou et de toute la Russie de plus en plus isolé. Contesté par plus de 230 prêtres pour la paix. Les signatures s’ajoutent d’heure en heure ¬— via mail —.

Soleil vert dit: à

azzi dit: à
« Je parie que la Russie ne va pas envahir la Russie »
Là, on aurait pu croire que Zemmour avait de l’esprit !
Merci de ce petit rappel, Charoulet.

Le couple Luc Ferry/Daniel Cohn-Bendit aussi

et alii dit: à

j’ai oublié un boris et personne n’a corrigé cet impair:
Son père, Aaron Cyrulnik, ébéniste ukrainien né à Luck7

MC dit: à

A Florent Schmitt qui s’obstinait (avec Honegger )à travailler après guerre avec Germaine Lubin, de bons esprits essayaient de suggérer le côté mal venu de ce choix. Ils avaient invariablement la même réponse, faussement innocente : « Pourquoi? Elle n’a plus de voix? » Une pensée pour Netrebko, qui connaît aujourd’hui ce genre de zélée placardisation…. . Bien à vous. MC

et alii dit: à

et de plus ce père de ce boris .C s’était engagé dans la légion étrangère

et alii dit: à

Je n’ai jamais caché que je visitais régulièrement LSP(langue sauce piquante) et le blog suggère de découvrir un site paléolithique ukrainien:MEZIN -avec un blog dédié-qui propose des merveilles dont les créateurs n’ont pas laissé de discours:
voyez vous-memes:
https://www.donsmaps.com/wolfcamp.html?ref=HadiZayifla.Com

et alii dit: à

Le musée historique régional de Tchernigov de V. Tarnovsky est le plus ancien et le plus connu d’Ukraine. Elle a été fondée en 1896.

La colonie de Mezin est l’une des plus anciennes d’Ukraine et appartient au paléolithique. Les fouilles ont montré qu’il se composait de cinq complexes familiaux.

renato dit: à

MC, c’est elle qui est sortie en claquant la porte et elle peut encore chanter en Russie, — si on veut rester fidèles à ses opinions, on doit savoir en assumer les conséquences.

renato dit: à

Le propriétaire de Chelsea, Roman Abramovich, a confirmé que le club de Premier League était à vendre. Abramovich, qui n’a pas encore été touché par les sanctions que le gouvernement britannique a imposées à d’autres oligarques proches de Vladimir Poutine, a déclaré que « tous les bénéfices » de la vente, nets des frais, « seront entièrement reversés à une fondation qui profitera aux victimes de la guerre en Ukraine ».

puck dit: à

bel articlapassou ! z’avez bien raison la dette il arrive toujours un moment où faut la payer.

c’est comme les mensonges et les promesses non tenues : quand l’occident et les américains ont fait des promesses aux russes qu’ils n’ont pas tenu, et qu’aujourd’hui la Russie se retrouve encerclé par des pays de l’otan alors qu’on leur avait promis que cela n’arriverait pas, forcément on le paye un jour, 10 ans, 15 ans, 20ans… qu’importe il arrive un jour où l’on paye le prix de ses mensonges.

parce que les jeunes russes c’est ce qu’on leur apprend à l’école : que les occidentaux ne tiennent pas leurs promesses, et forcément cela attise la haine.

on avait eu le traité de Versailles et vlan on nous refait le même coup avec les promesses à Gorbatchev.

pas la peine d’être agrégé d’histoire, un gamin de 12 ans on lui montre une carte de géographie il a tout compris.

et on comprend que si l’Ukraine passe dans l »otan (ce que les occidentaux dans leur mégalomanie n’ont jamais osé faire) là c’est la 3ème guerre mondiale assurée…

du coup passou a raison il faut savoir qu’un jour où l’autre on paye sa dette.

puck dit: à

pas tenuES, encercléE etc etc etc etc

puck dit: à

« Le propriétaire de Chelsea, Roman Abramovich, a confirmé que le club de Premier League était à vendre. »
 »

yes ! même que c’est un milliardaire suisse qui va l’acheter avec le pognon placé en Suisse par les oligarques russes.

puck dit: à

on appelle ça un homme de paille…

puck dit: à

comme les américains l’avaient promis aux russes l’occident n’aurait jamais dû faire entrer les pays frontaliers de la Russie dans l’otan ! ce genre de connerie forcément on le paye un jour !

puck dit: à

de tous les secteurs des sciences humaines ceux qui servent le plus à rien et qu’on devrait virer pour financer les hôpitaux ce sont les historiens et les philosophes.

renato dit: à

Enfin puck ! les Soviétiques de l’époque n’étaient peut-être pas les subtils esprits diplomatiques décrits par Ian Fleming, mais ils n’étaient pas non plus des cons, et savaient, comme toute personne ayant une connaissance même superficielle du système américain le sait, que la seule chose qui s’approche d’une « promesse » est un traité ratifié par le Congrès. Tout ce qui est dit par un fonctionnaire ne correspondra, au mieux, qu’au mandat de celui qui l’émet.

B dit: à

ce genre de connerie forcément on le paye un jour !

2000 morts en Ukraine pour 6 jours de guerre, les experts les plus pessimistes prévoient 50 000 morts côté ukrainien, combien de jour va durer cette guerre hybride. Poutine est spécialiste de la gaufrette reduite en miettes.

Janssen J-J dit: à

Beigbeder avait des valeures de gôche ?

B dit: à

et qu’aujourd’hui la Russie se retrouve encerclé par des pays de l’otan alors

Vos cercles sont un peu bizarres, le monde étant sphérique il s’y trouvera toujours une base de lancement pour vous cueillir, les hommes sont prévoyants.

puck dit: à

renato je ne sais pas si les diplomates russes de l’époque étaient cons ce qui certain c’est que les occidentaux sont sacrément cons d’avoir mis des pays alignés devant leur porte.

je crois que si les US se retrouvait dans la position de la Russie aujourd’hui ils réagiraient exactement de la même manière, cf déjà tout le foin qu’ils nous ont fait avec Cuba.

d’autant que l’otan ne sert plus à rien, on en a plus rien à cirer de l’otan ! d’ailleurs même les suisses n’y sont pas.

renato dit: à

puck, parlez-nous de littérature, de Flaubert, p. ex., mais arrêtez, svp, de causer politique en réservant des poncif comme un nostalgique du mouvement estudiantin !

Janssen J-J dit: à

si encore c’étaient des poncifs estudiantins !… mais non, c’est juste du poutinisme mal ingéré…, du même tonneau que flaubère,
bàv

Janssen J-J dit: à

avant de dire des choses un brin sensées et constructives, a besoin de proférer pas mal de billevesées…, une manière de s’échauffer comme une autre.

renato dit: à

Janssen J-J, dans mon propos le mot « nostalgique » est fondamentale.

Marie Sasseur dit: à

Pour saluer

« Dominique Paturel est mort en début de semaine à Saint-Brieuc, à l’âge de 90 ans, a annoncé son neveu, avant d’ajouter : « Il était l’un des derniers à avoir joué sous la direction de Jean Vilar (le fondateur du festival d’Avignon, ndlr). Il avait près de 80 pièces à son actif et une trentaine de films. Il faisait partie de cette génération qui savait tout faire. »

Comédien effectivement doué pour le théâtre, la télévision (il fut notamment acclamé par le public grâce aux séries Le Chevalier de Maison-Rouge, en 1963, ou D’Artagnan, en 1969) et le cinéma (on l’a vu dans La Môme, d’Olivier Dahan, par exemple), il était aussi célèbre pour ses doublages. Notamment pour être la voix française de J.R. Ewing (joué par Larry Hagman) dans Dallas, la série américaine culte des années 1980 ou de David Vincent (Roy Thinnes) dans Les Envahisseurs. Il a aussi doublé à plusieurs reprises Michael Caine (d’Ipcress, en 1965, à Youth, en 2015), Terence Hill (surtout dans les années 1970 et 1980 dans ses comédies face à Bud Spencer), Robert Wagner ou Robert Duvall, ainsi que Robin des Bois dans le dessin animé éponyme des studios Disney sorti en 1973 au cinéma. Il était aussi la voix de Papi Pépite dans Toy Story 2. Sa dernière apparition au cinéma remonte à 2011 dans Carré blanc, de Jean-Baptiste Leonetti. »

https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Dominique-Paturel-la-legende-du-doublage-meurt-a-90-ans

Marie Sasseur dit: à

Par Richard Hiault

Publié le 2 mars 2022 à 19:08Mis à jour le 2 mars 2022 à 19:33

Ils se sont levés pour applaudir. La majorité des délégués des 193 pays membres des Nations unies (ONU) a salué par une salve d’applaudissements l’adoption, mercredi midi à New York, de la résolution condamnant l’agression de l’Ukraine par la Russie. Réunis en assemblée générale extraordinaire depuis lundi – une première depuis 40 ans – les représentants ont voté en faveur du texte à une large majorité. Au total 141 d’entre eux ont soutenu le texte, 35, dont le représentant chinois, se sont abstenus et 5 (Corée du Nord, Erythrée, Syrie, Russie et Biélorussie) ont voté contre.

https://www.lesechos.fr/monde/europe/ukraine-les-nations-unies-condamnent-la-russie-1390870

rose dit: à

Puck dit: à
bel articlapassou ! z’avez bien raison la dette il arrive toujours un moment où faut la payer.

c’est comme les mensonges et les promesses non tenues : quand l’occident et les américains […].

Faux.
Suffit d’avoir un excellent avocat.
Qui se fait payer très cher.
Demandez à Dupont-Moretti.

——-
Crématoriums mobiles : atroce.
Encore les mères qui vont trinquer.

——
Yvan Colonna entre la vie et la mort.

——–
P.S : pense (imagine que ) (je), que l’on ne paye que très tard. Au passage vers la mort.
Encore faut-il avoir un niveau de conscience élevé et ne pas supprimer tel/tel/tel sujet de conversation.

Sinon, on va droit vers le carnage.
C’est de l’ordre de la responsabilité individuelle.
Mais, qu’en est-il lors du grand vieillissement lorsque l’on devient très vulnérable ?
🛡️

IRL : chaque individu porte le poids de ses maux.
Il s’agit de ne pas charger sa barque. Constamment.

MC dit: à

Concernant la Netrebko, Je n’ai pas lu cette version , Renato. Merci de me la faire suivre. Bien à vous. MC

rose dit: à

renato dit: à
Or, étant donné ce « reporter », je comprends mal comme un écrivain et professeur peut dire : « C’est quelque chose que je ne peux pas comprendre : non seulement être un Russe vivant est un défaut en Italie aujourd’hui, mais être aussi un Russe mort, qui a été condamné à mort de son vivant en 1849 parce qu’il avait lu un interdit chose. Ces choses qui se passent en Italie sont des choses ridicules. Une université italienne qui interdit un cours Dostoïevski est quelque chose que vous ne croyez pas et je ne voulais pas croire ce mail. »
Depuis quand reporter vaut interdire ?

Me souviens. In situ.
C’était après l’attentat de Merah. À Toulouse. Cours en 6ème sur -je simplifie-La Genèse ds des textes fondateurs, étude comparatif. Bible/Coran/Torah.
Une mère d’élève -inculte, oui- était venue me jeter une sourate en pleine figure ; indifférente à la beauté calligraphique.
Mon supérieur hiérarchique, qui m’appréciait tant et plus -Ô tempora, ô morès, sed laisse, était venu me dire gentiment, mais désespéré  » eh mdme trucmuche, en une seconde vous foutez en l’air un mois de mon travail avec les familles.

On avait repris le boulot.
La séquence en question, que j’aimais tout particulièrement, eh idiote, (moi) Marguerite Yourcenar (la grande), j’avais à la reporter d’au moins trois mois, si ce n’est six.
Je n’y avions point pensé.
Mea, maximus, culpa.

rose dit: à

Et l’homme devint une âme vivante
Et l’homme devint une âme vivante

Ma Marguerite

La Création

MC dit: à

Réduire Wagner à l’Ouverturev pour Faust et insinuer que c’est un tube du Troisième Reich! Elle nous les aura toutes faites, décidément. On attend l’exécution en place publique de Berekhovski, Postnikova, et d’une bonne centaine d’autres que vise, on n’en doute pas, la proverbiale bonté Sasseurienne….

rose dit: à

La Création

Et Dieu s’promena, et regarda bien attentivement
Son Soleil, et sa Lune, et les p’tits astres de son firmament.
Il regarda la terre qu’il avait modelée dans sa paume,
Et les plantes et les bêtes qui remplissaient son beau royaume.
Et Dieu s’assit, et se prit la tête dans les mains,
Et dit : « J’suis encore seul ; j’vais m’fabriquer un homme demain. »
Et Dieu ramassa un peu d’argile au bord d’la rivière,
Et travailla, agenouillé dans la poussière.
Et Dieu, Dieu qui lança les étoiles au fond des cieux,
Dieu façonna et refaçonna l’homme de son mieux.
Comme une mère penchée sur son p’tit enfant bien-aimé,
Dieu peina, et s’ donna du mal, jusqu’à c’ que l’homme fût formé.
Et quand il l’eut pétri, et pétri, et repétri,
Dans cette boue faite à son image Dieu souffla l’esprit.
Et l’homme devint une âme vivante,
Et l’homme devint une âme vivante…

Marguerite Yourcenar

rose dit: à

La proverbiale bonté.
Le Don, embouchure en mer d’Azov.
Oblatif.

Bonsoir Marc Court,

et alii dit: à

Rilke a passé environ deux semaines à Kiev. Il fut tellement impressionné par sa grandeur et sa beauté qu’il songea même à s’installer définitivement dans cette ville qu’il appelait « proche de Dieu ». La plupart des poètes étaient attirés par les monuments religieux de l’Antiquité: la laure de Kiev-Pechersk, la cathédrale Sainte-Sophie, les monastères et les églises. Rilke a lu les œuvres de T. Shevchenko en russe, s’est intéressé à ses peintures. Le poète a visité la tombe du Grand Kobzar à Kanev. De nombreuses œuvres de Rilke s’inspirent d’impressions ukrainiennes, en particulier le poème « La maison est seule au bord du village… », le poème « Karl XII, le roi de Suède, chevauchant les steppes d’Ukraine », ainsi que les histoires « Le chant de la vérité » et « Quel âge a chanté Timothy en mourant ». Parmi les traducteurs des œuvres de Rilke en ukrainien figurent des poètes célèbres tels que Mykola Bazhan,
https://en.home-task.com/rilke-rm-and-ukraine-russia/

et alii dit: à

Le thème de ce travail m’a fait penser non seulement à ma patrie, mais aussi au problème sur lequel l’Ukraine se débat encore : la place de la langue russe dans notre pays. À mon avis, Boris Chichibabin, notre compatriote-citoyen de Kharkiv, qui a glorifié l’Ukraine avec ses poèmes écrits en russe, cette ligne a depuis longtemps résolu ce différend.

Dans cette ligne, le poète a exprimé son amour pour la terre ukrainienne et son peuple. Et peu importe dans quelle langue il est écrit. Les habitants de l’est de l’Ukraine parlent et pensent principalement en russe. Mais en conclure qu’ils n’aiment pas l’Ukraine, qu’ils n’en sont pas fiers, qu’ils ne veulent pas de sa prospérité est une absurdité nationaliste. Boris Chichibabin, Nikolai Amosov, Eugène Paton… N’aimaient-ils pas et n’aimaient-ils pas leur patrie ? Mais pour chacun d’eux la langue maternelle est le russe ! Historiquement, il est impossible de reprocher aux personnes
L’histoire de l’Ukraine connaît de nombreuses personnalités exceptionnelles qui ont contribué au développement du pays avec leurs propres affaires. L’un d’eux est Vladimir Simirenko. Voici un vrai patriote de l’Ukraine! Son travail visait le développement de l’industrie dans le pays, sa richesse – un mécénat généreux. V. Simirenko a donné de l’argent pour la publication de journaux, de magazines, de jeunes étudiants soutenus, aucune des publications pré-révolutionnaires de T. Shevchenko n’a été réalisée sans son aide. Avant sa mort, Simirenko a légué sa capitale au mouvement national ukrainien. Grâce au fonds qu’il a créé, après sa mort, l’industrie et l’agriculture se sont développées, des emplois ont été créés. Par la suite, l’affaire Simirenko a été poursuivie par ses enfants et petits-enfants. Voici un exemple non pas d’un déclaratif, mais d’un véritable amour pour la patrie. Ce n’est pas P. Lazarenko, qui a volé son peuple et pris des capitaux à l’étranger.
https://en.home-task.com/i-live-with-ukraine-in-the-blood-on-the-land-of-ukraine/

et alii dit: à

« Khladoprom », on se réjouit des victoires des frères Klitschko, on regarde « Roksolana » et « Salle d’attente ». Je ne me suis jamais demandé si je pouvais être considéré comme un patriote. J’adore l’Ukraine. Peut-être qu’un jour j’aurai envie de partir d’ici ou même que je devrai le faire – tout peut arriver. Et peut-être que j’aimerai un autre pays. Mais il n’y aura pas mes amis, mes parents, mes dessins animés préférés sur les cosaques, l’histoire de Kaydasheva Sima de Nechuy-Levitsky et les vareniki de ma mère avec des fraises, et bien d’autres choses avec lesquelles le concept de «patrie» m’est lié. Bien que loin de l’Ukraine, vous pouvez trouver de nouveaux amis, créer votre propre famille, aimer d’autres dessins animés, acheter un volume Nechuya-Levitsky quelque part, et les vareniki aux fraises peuvent apprendre à cuisiner vous-même… Arrêtez, mais qu’en est-il de Khreshchatyk? Et qu’en est-il de la réserve architecturale de Lviv ? Mais qu’en est-il de Seversky Donets ? Et les Carpates ? Où que j’aille, quels que soient les endroits qui me passionnent, je préférerai toujours sortir entre amis pour pique-niquer dans notre bore habituel,
Je veux vraiment voir l’Italie et la France. Je veux aller en Australie et en Amérique. Je rêve de visiter le Brésil, le Canada et la Nouvelle-Zélande. J’aimerais voyager, je n’aime pas rester assis. Peut-être que quelque part je serais retardé, quelque part non. Mais je suis sûr que de n’importe quel pays du monde, aussi bon soit-il, je rentrerais chez moi, dans mon Ukraine. Ici, ils m’attendent. Voici toute ma vie. Je n’ai pas besoin d’une autre patrie.
https://en.home-task.com/my-motherland-ukraine/

et alii dit: à

L’Ukraine a occupé une place prépondérante dans les œuvres historiques et artistiques de Mérimée. Dans le livre « Episode from Russian History: False Dmitriy », l’écrivain a proposé une hypothèse originale, selon laquelle l’imposteur était un cosaque de Zaporozhian. « Seul le cosaque qui a grandi sur le Sich », soutient Mérimée, « où seuls le courage et l’éloquence donnaient les honneurs, où seuls les plus courageux et les plus rusés choisissaient le commandement, pouvait créer un plan d’usurpation qui terrifierait un noble polonais ou russe. » Cette hypothèse a également été placée à la base du drame historique « Les premiers pas de l’aventurier », dans lequel l’auteur cherchait, selon ses propres termes, « à écrire cette histoire telle qu’elle aurait pu se passer ». L’action du sixième acte dramatique se déroule sur le Sich et le héros principal est le jeune cosaque Zaporozhian Yuri.

En 1854, parut un essai historique « Les cosaques d’Ukraine et leurs derniers atamans », dans lequel Mérimée initia les compatriotes à l’histoire des cosaques ukrainiens. La place centrale dans cet ouvrage est attribuée à la guerre de libération du milieu du XVIIe siècle. et Bogdan Khmelnitsky. Il s’agit de la première esquisse du livre de Mérimée sur l’éminent commandant et homme d’État ukrainien, publié en 1863. Le principal mérite de Khmelnitsky était que l’auteur a vu que «ce grand mari cherchait à libérer les Ukrainiens ou les Cosaques, ses compatriotes, du joug du La noblesse polonaise.
https://en.home-task.com/merimee-prosper-and-ukraine/

et alii dit: à

En Ukraine, probablement, il n’y a personne qui n’ait pas entendu parler du monastère – la laure de Kiev-Pechersk. Il est situé à Kiev sur les pentes du Dniepr. Le monastère a été fondé vers 1051, vraisemblablement par Antony Pechersky. D’abord, il était situé dans des grottes – d’où son nom. Des changements dans la vie du monastère se sont produits lorsqu’il était dirigé par le disciple Antoine – Théodose. Sous la direction de Théodose a commencé la construction du temple principal du monastère – Uspensky. Selon des sources, des maîtres ont été invités de Byzance. Les travaux de construction ont été achevés en 1078. Cette construction a marqué le début de la transformation du monastère en centre principal de la vie spirituelle et culturelle de la Russie princière. Le monastère a réécrit des livres, créé des annales, des œuvres littéraires ecclésiastiques et profanes,

Décoration architecturale de la
La « Grande Église des Grottes » – comme ils l’appelaient les Péchériens – est plus simple et plus rigoureuse que la cathédrale Sainte-Sophie. Cependant, sa petite taille et ses formes architecturales claires ont déterminé qu’il est devenu un modèle pour les temples de nombreuses villes de Russie.
Au cours des siècles suivants, la cathédrale de l’Assomption du monastère de Kiev-Pechersky a subi des modifications. Au début du 18ème siècle. elle a été reconstruite et décorée d’une manière nouvelle : l’église, autrefois de petites dimensions, s’est transformée en un édifice majestueux et luxueusement décoré. En 1941, pendant la guerre, la cathédrale est détruite. Il a été restauré en 1998-2000.

2. Architecture cosaque

La construction d’églises chrétiennes n’a pas cessé sur nos terres à tout moment.
Un chef-d’œuvre de l’architecture cosaque est considéré comme une cathédrale dans la ville de Zaporozhye de Samara. Ce temple miracle en bois a été construit par le maître national Akim Pogrebnyak. Ordonnant au maître l’église, les cosaques ont demandé de la construire sans clous, car ils croyaient qu’il était impossible d’enfoncer des clous dans le temple du Sauveur – Jésus-Christ, qui leur fut cloué sur la croix.
Les grottes de pierre des cosaques ne sont pas moins frappantes. Majestueux et luxueusement décorés, ils incarnent le plus clairement les rêves de leurs créateurs sur l’avenir de la terre ukrainienne. Ce n’est pas un hasard si les clients de ces églises et cathédrales étaient des dirigeants ukrainiens – des hetmans, des colonels, un riche sergent-major cosaque. Grâce à des proportions harmonieuses, l’un des chefs-d’œuvre de l’architecture cosaque est à juste titre considéré comme l’église Saint-Georges du monastère Vydubitsky à Kiev. Le temple a été érigé aux frais de l’ancien colonel Noble Mikhail Miklashevsky.

rose dit: à

Une fois qu’on y est, on y est bien. Ils nous firent monter à cheval et puis au bout
de deux mois qu’on était là-dessus, remis à pied. Peut-être à cause que ça coûtait trop
cher. Enfin, un matin, le colonel cherchait sa monture, son ordonnance était parti avec,
on ne savait où, dans un petit endroit sans doute où les balles passaient moins facile-
ment qu’au milieu de la route. Car c’est là précisément qu’on avait fini par se mettre, le
colonel et moi, au beau milieu de la route, moi tenant son registre où il inscrivait des
ordres.
Tout au loin sur la chaussée, aussi loin qu’on pouvait voir, il y avait deux points
noirs, au milieu, comme nous, mais c’était deux Allemands bien occupés à tirer depuis
un bon quart d’heure.
Lui, notre colonel, savait peut-être pourquoi ces deux gens-là tiraient, les Alle-
mands aussi peut-être qu’ils savaient, mais moi, vraiment, je savais pas. Aussi loin que
je cherchais dans ma mémoire, je ne leur avais rien fait aux Allemands. J’avais toujours
été bien aimable et bien poli avec eux. Je les connaissais un peu les Allemands, j’avais
même été à l’école chez eux, étant petit, aux environs de Hanovre. J’avais parlé leur
langue. C’était alors une masse de petits crétins gueulards avec des yeux pâles et fur-
tifs comme ceux des loups ; on allait toucher ensemble les filles après l’école dans les
bois d’alentour, où on tirait aussi à l’arbalète et au pistolet qu’on achetait même quatre
marks. On buvait de la bière sucrée. Mais de là à nous tirer maintenant dans le cof-
fret, sans même venir nous parler d’abord et en plein milieu de la route, il y avait de la
marge et même un abîme. Trop de différence.
La guerre en somme c’était tout ce qu’on ne comprenait pas. Ça ne pouvait pas
continuer.
Il s’était donc passé dans ces gens-là quelque chose d’extraordinaire ? Que je ne
ressentais, moi, pas du tout. J’avais pas dû m’en apercevoir…
Mes sentiments toujours n’avaient pas changé à leur égard. J’avais comme envie
malgré tout d’essayer de comprendre leur brutalité, mais plus encore j’avais envie
de m’en aller, énormément, absolument, tellement tout cela m’apparaissait soudain
comme l’effet d’une formidable erreur.
« Dans une histoire pareille, il n’y a rien à faire, il n’y a qu’à foutre le camp », que je
me disais, après tout…
Au-dessus de nos têtes, à deux millimètres, à un millimètre peut-être des tempes,
venaient vibrer l’un derrière l’autre ces longs fils d’acier tentants que tracent les balles
qui veulent vous tuer, dans l’air chaud d’été.
Jamais je ne m’étais senti aussi inutile parmi toutes ces balles et les lumières de ce
soleil. Une immense, universelle moquerie.

Louis Ferdinand

JC..... dit: à

JEUDI 3 MARS 2022, 5h18, 10°, temps nuageux

Ne regardant plus la télévision politique depuis Jean-Claude Drouot dans Thierry la Fronde, j’ai échappé à Manu la Fronde, en guerre contre la Russie, virus venu de l’Est qui infecte nos banlieues et menace notre suave torpeur.

Comme chef de guerre, notre Président chéri-de-tous sera réélu haut la main, c’est évident ! Il ment si bien, il bouge si vite, il pense si peu, il plait tellement…

Merci qui ? Merci p’tain de Putin qui le dispense, par ses amusements guerriers, de traiter les dossiers en attente dans notre cher vieux pays, dossiers en attente depuis 40 années d’incompétence politique !

Bonne guerre à tous ! Vive la France macronisée !

renato dit: à

MC,
À propos de la Netrebko. Infos sur le Corriere et autres journeaux et aussi un (trop) long post sur Facebook dans le style : « Je suis russe et j’aime ma patrie, mais j’ai des amis ukrainiens … Je suis contre cette guerre. Je veux que ça se termine et que les gens puissent vivre en paix ». Mais elle a écrit une phrase sur les réseaux sociaux que beaucoup ont voulu lire comme une aide indirecte pour Gergiev : « Forcer à dénoncer sa patrie n’est pas juste ». Puis, comme pour confirmer sa position, elle dit : « Je suis en bonne santé, mais je ne viendrai pas à Milan », et ainsi de suite… ce qui, avec une photo sur Instagram en compagnie de Gergiev, a convaincu Peter Gelb, directeur général du Metropolitan New York, de suspendre sa collaboration avec la soprano.

Or, le maire de Milan et président de la Scala a confirmé ce qui était clair depuis des jours. Valery Gergiev ne reviendra pas diriger au Piermarini (la Scala). Et dit : « Je n’ai pas demandé d’abjuration. J’ai demandé un non à la guerre. Gergiev est parti et n’a pas répondu ».

Autre sens morale, Andrej Boreyko à l’Auditoriom de Milan, siège permanent de l’orchestre Verdi (au programme Dimítri Šostakóvič, Symphonie de chambre op.110a, arrangée pour orchestre de chambre par Rudolf Barshai et Edvard Grieg, Symphonie en ut mineur), le chef a dédié au peuple ukrainien leur hymne national.

3.3 — 5.50

et alii dit: à

On March 2, 1859, 163 years ago, Shloyme Nokhem Rabinovich, who wrote under the name Sholem Aleichem and is considered one of the founding fathers of modern Yiddish literature, was born in the Ukrainian town of Pereiaslav. In this video, we learn about his life after immigrating to America in 1906. Although the Yiddish and the American-English press initially greeted him as a celebrity, dubbing him the “Jewish Mark Twain , » his experience in the goldene medine — the golden land — was far from rosy. This video provides a fascinating glimpse into a complicated, little-known period of Sholem Aleichem’s life.
https://mail.google.com/mail/u/0/#inbox/FMfcgzGmvLPWjhxpmGvHbdJSBSGhDlrV

et alii dit: à

le père de CHOMSKY était ukrénien

Marie Sasseur dit: à

Cet dément mc/petit rappel/mauvaise pensée, le sbire d’Edel, ne sait plus quoi inventer pour m’interpeller.
Je suis la seule à ne pas m’habituer à ses mensonges grossiers, à ses inventions débiles, et a son militantisme pour bas du front raciste, xénophobe, antisémite et maintenant pour Poutine par tel ou tel gergiev interposé.
Il se peut qu’en plus ce menteur révisionniste se bourre la gueule, pour s’oublier à ce point.

Marie Sasseur dit: à

Et Alien a oublié de citer le Bogosse.

« En 2001, Daniel Mendelsohn se rend avec deux de ses frères et sa soeur à Bolechow, le berceau de la famille, petite ville polonaise, aujourd’hui en Ukraine, et qui s’appelle maintenant Bolekhiv. »

 https://www.liberation.fr/livres/2007/09/06/les-quatre-soeurs_101134/

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…jeudi 03 mars 2022 à 07 h 52 minutes.

…tient, je signal, que mes  » frittes littéraires « , d’hier 02 mars à 12 h 00 minutes, ne sont pas encore  » arborés « ,!…
…même si j’ai mon texte en photo,!…
…tirez votre plan, selon votre humeur à jour, je ne répète rien, voyez vos techniciens,!…collabos – assoiffés du sang du peuple,!…
…encore une couche, d’idiotisme galant,!…
…etc,!…

JC..... dit: à

LE FUTUR EST DEJA PASSE

Bas du frontisme, c’est l’avenir !
Racisme, c’est l’avenir !
Xénophobisme, c’est l’avenir !
Antisémitisme, c’est l’avenir !
Putinisme, c’est l’avenir !
Impérialisme, c’est l’avenir !
Nucléo-colonialisme, c’est l’avenir !

La vie est belle.
La Terre est belle, vue de l’espace.
Le Bar des Sportifs reste ouvert.

Rien n’est perdu : ces phénomènes sont maitrisés depuis toujours….

renato dit: à

Puck, incidentement, je n’ai pas dit que les diplomates russes de l’époque étaient cons. J’ai dit que « les Soviétiques de l’époque n’étaient peut-être pas les subtils esprits diplomatiques décrits par Ian Fleming, mais ils n’étaient pas non plus des cons ». Modifier le propos d’un autre comme vous la faites est une indiscutable preuve de mauvaise foi. Nonobstant, je prends/perds encore le temps pour vous informer du banal fait que, l’inexistence d’un accord écrit bien à part, tout pays est libre de se retirer de tout traité à tout moment.

Jazzi dit: à

C’est bon et beau, rose, ces petites lampées de Louis Ferdinand C. !
Un alcool fort dont on peut abuser…

Bloom dit: à

Sur Putin MerdaZov, fondé de pouvoir des cleptocrates russes, Jonathan Littell, dans Le Monde

« (…) Poutine est un homme petit, physiquement, et grandir dans le Léningrad d’après-guerre ne dut pas être facile pour lui. Il y a clairement appris une leçon : si tu es le plus petit, frappe en premier, frappe fort et continue à frapper. Et les plus grands apprendront à te craindre, et reculeront. C’est une leçon qu’il a prise à cœur. Le budget militaire des Etats-Unis était de 778 milliards de dollars en 2020 [environ 700 milliards d’euros], le budget combiné de l’Europe 378 milliards, et celui de la Russie, environ 62 milliards. Mais il nous fait quand même beaucoup plus peur que le contraire. C’est l’avantage de se battre comme un rat coincé plutôt que comme un garçon grassouillet ramolli par le Coca-Cola, Instagram et quatre-vingts ans de paix en Europe.

(…)

Nos dirigeants semblent focalisés sur les « oligarques » russes, mais ils doivent comprendre que Poutine n’a que du mépris pour eux et se moque éperdument de leur opinion ou de leurs avoirs ; il ne les considère que comme des vaches à lait, bonnes à traire quand il en a besoin.

Les sanctions occidentales doivent cibler les gens qui rendent les actions de Poutine possible : son appareil sécuritaire et administratif, en entier. Pas seulement les quelques douzaines de personnes déjà ciblées, mais les milliers d’officiels de second rang de l’administration présidentielle, des forces armées et des services de sécurité. Ce ne sont pas des milliardaires, mais tous des multimillionnaires, avec beaucoup à perdre.
Gâchons la vie de ces quelques milliers de personnes, et qu’elles jugent à qui la faute. Confisquons les manoirs en Angleterre ou en Espagne, interdisons les vacances à Courchevel et en Sardaigne, virons sans cérémonie leurs enfants de Harvard, Yale ou Oxford, et qu’ils restent en Russie, sans moyen de sortir et sans biens d’importation pour dépenser leur argent volé. Faisons en sorte que le prix à payer soit un vrai prix, un prix personnel, et qu’ils voient si cela en vaut la peine pour maintenir sur son trône un tsar fou de pouvoir. Qu’ils décident s’ils veulent le suivre dans l’abîme. »

et alii dit: à

etencore, au féminin,
Devenue présidente du CRCUF, Conseil Représentatif des Communautés Ukrainiennes de France, pendant la révolution Orange de 2004, Natalka a pu changer l’existence un peu somnolente de ces communautés : ces Français d’origine ukrainienne, comme elle, et de très nombreux immigrés qui ont choisi de vivre en France. Dès la révolution Orange, Natalka a milité pour une meilleure compréhension de l’Ukraine en France, notamment celle des enjeux de son combat pour la liberté et la dignité. On lui doit de nombreuses initiatives, comme l’organisation de l’envoi d’observateurs internationaux en Ukraine durant diverses élections. On lui doit un combat incessant dans les médias français, en particulier depuis l’Euromaïdan fin 2013, pour s’opposer aux mensonges de la propagande russe et de ceux qui la soutiennent en France, et raconter la vérité. Nous sommes nombreux à nous souvenir de ses interventions flamboyantes et passionnées sur diverses chaînes de télévision. On lui doit l’organisation de nombreuses manifestations, marches, meetings en soutien à la « Révolution de la dignité » en Ukraine, pour protester contre l’occupation russe de la Crimée et la guerre dans le Donbass, fomentée et soutenue par le régime Poutine. On lui doit la création de l’excellent site d’information du CRCUF, et tant d’autres choses. L’Etat ukrainien a reconnu les mérites de Natalka. En 2013, elle a été décorée de l’ordre de la reine Anne et on lui a décerné le prix Grigori Orlik.
https://ugcc.fr/publications/nathalie-pasternak-une-lumiere-s-est-eteinte/

et alii dit: à

la mère de BORIS Pasternak
Rosalia Isidorovna Kaufman, une jeune pianiste concertiste renommée d’Odessa3. Sa famille se croit d’origine espagnole et prétend descendre du commentateur biblique Isaac Abravanel4.

Installés à Moscou, les Pasternak passent généralement l’été à Odessa. Leonid

Jazzi dit: à

En revanche, La Création de Marguerite Yourcenar, c’est d’un nunuche !

et alii dit: à

le père de Boris Pasternak Leonid obtient le poste d’enseignant à l’École de peinture et de sculpture de Moscou, sur proposition du prince Lvov et sous la condition expresse posée par Leonid que, bien que juif non pratiquant, il n’aurait pas à se convertir au christianisme orthodoxe pour être admis5.

et alii dit: à

ayant évoqué RILKE,je dois préciser que Lou, ce « génie féminin »était de St Pétersbourg
« Ce 1er épisode raconte l’enfance russe de Lou von Salomé à Saint Pétersbourg, la ville où elle est née. Se sentant trop étriquée dans la Russie d’alors elle exige de sa mère d’entrer à l’université de Zürich. Pour raison de santé, on l’envoie vers le sud, à Rome, une ville qui va changer sa vie. »
https://www.franceculture.fr/emissions/fictions-le-feuilleton/lou-andreas-salome-par-yves-simon-15-lenfance-russe-de-lou-von-salome-saint-petersbourg

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