De quelques romans de la rentrée (1)
Dommage que la personnalité d’Eric Rheinhardt et, partant, son œuvre soient aussi clivantes (citez son nom et vous ne récolterez que des réactions radicales pour le meilleur et pour le pire). C’est regrettable et l’on ne peut qu’engager les lecteurs à passer outre car son nouveau roman Sarah, Suzanne et l’écrivain (432 pages, 22 euros, Gallimard) en vaut vraiment la peine. Comment un détail (la découverte d’un acte de propriété de la maison achetée par le couple puis celle des pratiques solitaires du mari, la nuit, isolé dans sa cave) bouleverse l’équilibre d’une famille apparemment tranquille et l’effondre. Le détail qui tue et qui change tout car il révèle la déloyauté du mari vis à vis de sa femme ; cela m’a fait penser à l’avalanche anodine qui a révélé la lâcheté du père de famille dans le film Snow Therapy.
Le personnage de la femme est pathétique par ses fragilités face à une situation inédite, inoubliable par sa complexité, son obsession monomaniaque pour un tableau (des religieuses dans la galerie d’un couvent), l’inquiétante étrangeté qui l’envahit progressivement et nous avec, le sentiment d’être gagnée par la folie, son isolement au sein des siens, la solidarité vacillante de son fils, l’attitude atroce de rejet de sa fille, la veulerie, l’égoïsme et la perversité de son mari etc. Elle est poignante. Cela faisait longtemps que je n’avais pas été proprement aussi captivé par l’univers d’un roman aussi bien construit, si subtilement agencé. En le refermant, une réflexion de Proust dans sa correspondance m’est revenue en mémoire :
« Nous vivons auprès de gens que nous croyons connaitre. Il nous manque l’évènement qui nous les fera apparaitre autres que nous les savons ».
Elle aurait pu figurer en épigraphe de cette histoire puissante, troublante, dérangeante. Que demander de plus ? Des semaines après l’avoir lu, ses personnages à commencer par celui de l’(anti)héroïne reviennent nous hanter ; ils nous interrogent encore ; c’est aussi que ses pages si denses exhalent un parfum d’une grande tristesse. Eric Reinhardt, qui gagnerait désormais à renoncer à son cher dispositif (confessions d’une de ses lectrices à l’auteur) s’affirme vraiment comme le romancier du couple en crise et des rapports de domination en son sein. La lecture de L’Amour et les forêts le confirmait déjà ; et, après avoir vu le beau film que Valérie Donzelli en a tiré, on n’en doute plus.
J’ai été tout aussi captivé mais surtout bluffé par le premier roman de Cécile Desprairies, La Propagandiste, (224 pages, 19 euros, Seuil). Non tant par l’écriture, sans génie mais sans lourdeur, émaillée de quelques belles formules, mais par le fond et la mise en place des différents éléments. Deux fils rouges : un gynécée de femmes qui font salon ; l’histoire d’amour entre Lucie, mère de la narratrice, qui fut une nazie fort convaincue et fort active sous l’Occupation dans les cercles collabos et un Allemand mort dans des conditions mystérieuses à la Libération. C’est une histoire très française pleine de rumeurs, de non-dits, de secrets de famille, de dénonciations, de lâchetés, de retournements de veste, de chantage ô combien. Et comment tout cela macère au sein d’une respectable famille bien enracinée, dans ses mœurs, son homophobie (inoubliable personnage du grand’oncle rejeté), son antisémitisme rabique, son pillage des biens spoliés aux déportés. Une médiocrité bien crasse malgré l’argent et les manières, toujours avec le petit doigt levé au-dessus de la tasse de thé. Mais une famille caméléon, habile à passer d’un côté à l’autre en fonction de la direction du vent. Non seulement tout est parfaitement amené, sans trompettes ni clichés, mais l’auteure, historienne de l’Occupation née en 1957, philosophe et germaniste de formation, a réussi à se débarrasser de sa documentation au moment de l’écriture.
On ne voit pas le goût et le souci de l’archive (que je partage avec elle, notamment celles de la délation dans lesquelles j’ai pataugé en même temps qu’elle), et donc on ne voit pas l’effort, ce qui est rare chez les historiens lorsqu’ils se mettent au roman. C’est bourré d’informations édifiantes, mais sans appuyer ni dénoncer. Il y a vingt ans elle avait publié Ville lumière, années noires, une incroyable étude topographique rue par rue, quasiment immeuble par immeuble, du Paris des collabos, récidivant dans cet inventaire monomaniaque avec Voyage dans la France occupée 1940-1945 (PUF). Là ça affleure sans peser. Ce premier roman est pour moi l’une des bonnes surprises de la rentrée. L’apprécier comme un roman-à-clés serait l’aimer pour de mauvaises raisons. On se fiche pas mal de savoir qui est qui (à supposer que…) et on n’ira pas consulter la liste des créateurs du festival d’Aix-en-Provence au motif de le grand ’oncle, n’est-ce pas (le cas échéant…). Cécile Desprairies a mis des années avant d’oser enquêter sur le passé de sa mère (« par loyauté », elle reculait le moment de toucher à son image) et les trafics de sa famille.
A ceux qui s’en voudraient de se salir les mains en touchant un premier roman sur des « salauds » (on entend cela souvent à propos de Céline), on ne saurait trop rappeler que c’est aussi la vocation de la littérature que d’aller fouiller dans les zones les plus basses, les plus sombres, les plus viles de l’homme pour les dévoiler. Ne fut-ce que dans l’espoir d’y trouver, tel le Lazare de Malraux, « cette région obscure de l’âme où le mal absolu s’oppose à la fraternité ». Il faut un certain courage pour plonger les mains dans cette fange, et plus encore lorsqu’il s’agit des siens. Après la guerre, la famille de Cécile Desprairies a jeté un voile là-dessus. Nazis, juifs, collabos etc. Autant de mots tabous à la maison. Si pratique quand on se reconvertit ! Cela évite excuses, regrets et remords dont, de toute façon, ces gens durs ne voulaient pas entendre parler. Plus encore que les mensonges qu’il a fallu démonter un par un, c’est la muraille de silence qu’elle a le mérite d’avoir fissurée. Seul un roman pouvait lui permettre d’atteindre ces vérités inaccessibles aux historiens.
Franchement, je n’aurais jamais imaginé qu’un écrivain m’embarquerait pour près de 400 pages réunies sous le titre Humus (22 euros, éditions de l’Observatoire) dans une histoire de vers de terre, de vermicompostage, d’ophiophobie. Et que je me laisserais prendre par la conscience de chef de l’anécique et séduire par l’érotisme lombricien dont je n’avais jusqu’à ce jour, je l’avoue, qu’une connaissance assez confuse. Il faut dire que Gaspard Koenig a du métier sinon du talent, que les dialogues entre Kevin et Arthur, les deux camarades d’Agro, sonnent juste, que les situations ne manquent pas d’humour, que les personnages secondaires (Anne, Philippine, le Barbier marocain, M. Jobard etc) sont bien brossés, et que le propos, très actuel, nous emmène bien plus loin. Il est plus engagé, plus politique qu’il n’y parait (le greenwashing des entreprises, la transformation des cadavres en humus, l’épuisement des sols et la longue diète d’humanité qui leur serait nécessaire, etc). Les démêlés d’Arthur, petit paysan misanthrope pas trop pressé d’échapper à son destin, avec les envoyés des différentes administrations sont du pur Jarry mais qui vire à du Kafka agricole ; une épreuve supplémentaire pour ce fan de Thoreau à la recherche d’un improbable Walden ; on le sent en permanence déborder de violence éco-anarchiste faute de parvenir à convaincre ses contemporains de la catastrophe en cours.
L’air de rien, ce diable de Koenig aura aussi réussi un roman politiquement incorrect (enfin quelqu’un qui raille « les métaphores foireuses de Pierre Rhabi » !), même lorsqu’il se résout par désespoir à rejoindre les terroristes prédateurs d’Extinction/Rébellion qu’il avait tant critiqués, ce qui change de la musique de fond du paysage littéraire. Depuis que j’ai appris deux ou trucs sur leur respiration, je ne dévisage plus les mottes de terre comme avant. Surtout après les pages d’anthologie où Arthur s’offre « une extase chtonienne »en enfonçant son sexe dans l’humus. Les cent dernières pages, inattendues, réservent des coups de théâtre parfaitement mitonnés. A saluer pour sa maitrise et son originalité qui tranche avec tout ce qui se publie à la rentrée. Ce n’est pas seulement un roman captivant irrigué par des qualités purement littéraires : c’est un livre important. Ne passez pas à côté, nom d’un lombric !
(« Une party à Manhattan, 1965 » et « Paris, 1956 » Photos Frederick Eberstadt. et Franck Horvat)
1 276 Réponses pour De quelques romans de la rentrée (1)
Le Dallas de la Sarthe, faudrait que j’essaie de la vendre, capitalisme quand tu nous tiens ! Après la guerre ma grand mère était atsem à l’école maternel Romain Rolland, elle s’occupait de moi d’ailleurs et de ses petits crouillats comme elle disait tendrement. Peut être que Rithy Panh y verait la banalité du bien comme il dit, mais ça ferait un très très mauvais roman invendable, on n’écrit pas avec des bons sentiments.
Au risque de passer pour un rabat-joie je souhaiterais faire remarquer à des personnes jeunes ou fraîchement francophones que les consonnes ne sont pas facultatives et qu’elles aident à la compréhension du message global sans à chaque fois se transformer en Champollion.
Je parle des consonnes parce que je repense à nos mères de famille. Je suis un peu chagrin de ne pas avoir tout compris concernant le rôle de la soeur dans la chute du prétendant.
Comme dirait Leibniz va savoir si ça n’est pas un bien. Les voix du Seigneur sont impénétrables.
* les voies du Seigneur
« Photo » est tellement fréquent que je me demande si l’apocope n’est pas devenue la forme centrale du mot.
Prigo sous les cocotier à dû recevoir son sms que sa maman ou sa soeur était au plus mal. Un grand classique des services. Rhoohh… i se refont pas.
Pardon, il y a bien un X !
Début de l’un de mes romans inédits
Naissance d’un personnage
D’origine, Aragon est une fiction !
Son nom n’était ni celui de son père ni celui de sa mère et l’on ne connait avec certitude ni sa date ni son lieu de naissance.
L’adresse mentionnée sur son acte d’état-civil correspond en fait à celle de son géniteur, le préfet de police de Paris, Louis Andrieux, qui demeure alors avec sa femme légitime et ses trois enfants au 42 rue Scheffer, dans le 16e arrondissement de la capitale.
Tandis que sa mère, Marguerite Toucas, habite avec sa propre mère, ses deux soeurs puinées et son frère cadet rue Vaneau, dans le 7e arrondissement, à deux pas des magasins du Bon Marché, pour lequel elle peint, la nuit, des motifs décoratifs sur des éventails et des pièces de vaisselle.
A la naissance de l’enfant, la mère ayant dissimulée sa grossesse à Toulon, berceau de la famille maternelle, où il serait peut-être né, celui-ci est placé en nourrice en Bretagne, durant treize mois.
Afin de mieux « brouiller les pistes » avec le voisinage, au retour à Paris du bambin, sa famille maternelle s’installe au 11 bis rue de Villars, à l’autre extrémité de l’arrondissement, côté Seine, où, dès qu’il est en mesure de comprendre, on lui sert la fable consistant à le faire passer pour l’enfant d’amis de sa grand-mère, qui l’aurait adopté, peu de temps après la mort accidentelle de ses parents, à Madrid, où ils étaient censés résider. Sa supposée vraie mère se serait alors appelée Blanche. Blanche ou l’oubli…
Beaucoup plus tard, dans son livre Je n’ai jamais appris à écrire ou les Incipit (1969), Aragon affirme être venu au monde quelque part « sur l’esplanade des Invalides ».
Bien des années auparavant, dans son premier ouvrage, Anicet ou le Panorama, roman, commencé au Chemin des Dames, en 1918, il écrit : « Je suis né l’année où il a fait si grand vent, d’un père inconnu et d’une revendeuse à la toilette. »
Son père, Louis Andrieux, a cinquante-sept ans, quand sa mère, de trente-deux ans sa cadette, se retrouve enceinte. Ce n’était pas vraiment un inconnu pour lui, comme il l’avoue dans le Mentir-vrai (1964) : « Pendant mon enfance, le dimanche et le jeudi matins, nous allions, ma mère et moi, le rencontrer au bois de Boulogne, lui venant de Passy, nous de Neuilly (où sa mère tient alors une pension de famille). Je l’appelais parrain, c’était la version pieuse des choses. »
Quant à sa mère, ce n’était pas à proprement parler une midinette de mélodrame. Elle était d’ascendance aristocratique, apparentée du côté maternel aux Massillon.
Ce n’est que le jour du départ d’Aragon pour le front, à vingt ans, qu’en l’accompagnant à la gare de l’est, le 26 juin 1918, sa mère, à la demande de son père, lui révèle le secret de sa naissance : « parce qu’il ne voulait pas que je pusse être tué sans savoir que j’avais été une marque de sa virilité » !
Son nom a été choisi arbitrairement par son père, en souvenir de la province d’Aragon, qu’il connut lorsqu’il était ambassadeur en Espagne.
Aragon n’a jamais appelé sa mère « maman », ainsi qu’il le dit dans son poème Le domaine privé – le mot, écrit après la mort de cette dernière durant la Seconde Guerre mondiale : « Le mot n’a pas franchi mes lèvres/Le mot n’a pas touché son coeur/(…)Jamais je ne l’ai dit qu’en songe/Ce lourd secret pèse entre nous/Et tu me vouais au mensonge/A tes genoux/Nous le portions comme une honte/(…)Te nommer ma soeur me désarme/(…)Que si j’ai feint c’est pour toi seule/Jusqu’à la fin fait l’innocent/Pour toi seule jusqu’au linceul/Caché mon sang »
Beau poème. Beaux vers.
Merci Pierre Assouline, votre première recension hyper tentante.
Vais me jeter.
JEUDI 24 AOUT 2023, 5h28
PRIGOJINE
La chaleur tue.
Avant tout, je citerais deux écrivains yougoslaves assez inconnus: Andric et Krleza.
Inconnus pour qui ? Krleza, Musil des Balkans, plus Austro-hongrois que Yougoslave. Andric, idem.
L’Inde est sur la lune. Sur terre ses paysannes continuent à s’y faire violer quand elles vont faire leurs besoins nuitamment dans les champs faute de chiottes. Chacun ses priorités.
Le même jour, les autorités indiennes ont ouvert grand les vannes d’un barrage afin d’inonder le *pendjab pakistanais voisin. Le modes d’expression du nationalisme agressif sont nombreux et variés, disait le sadhu sadique.
*pendjab = 5 fleuves.
Sarko fait la une de « Match » avec une photo de couverture où il est en compagnie de Carla, c’est glamour ! Le problème, c’est que pour être un « recours », Sarko doit affiner sa pensée politique. Notamment sur la politique étrangère et plus précisément sur l’Ukraine. Ce qu’il raconte en ce moment, pour s’opposer à Macron, est carrément débile. L’Ukraine, à terme, doit intégrer l’Europe, c’est évident, de même que la Turquie. Sarko ne veut pas. Quel ringard ! Donc, mon hypothèse que Sarko puisse revenir et faire deux mandats s’éloigne… Au temps pour moi ! Et puis, vous ne croyez qu’au lieu de faire la couverture de « Match », il aurait pu choisir un autre endroit ? Et au lieu de mettre Carla en avant, poser avec Merkel ou avec Kissinger ? Vous savez que Kissinger est toujours en activité ? Il a publié un livre, récemment. Je l’ai feuilleté et j’ai envie d’en lire certains chapitres. Comme le livre de Godelier sur l’histoire, autre lecture qui me tente. Bref, nous sommes loin de Sarko et de son univers trop glamour, trop bling-bling. A suivre.
L’Inde réussit un exploit spatial. La Grande Bretagne est gouverné par un PM d’origine indienne. L’étoile montante des primaires républicaines est d’origine indienne. La VP actuelle, Kamala H, a un quart de sang indien (d’Inde, je précise).
Où s’arrêteront ils?
« Pour ma grand-mère, le sexe faible était celui des hommes, qu’elle considérait avec une condescendance affectueuse. » Mona Ozouf
La grand mère de Mona Ozouf avait raison. Nous ne faisons pas le poids, la preuve, nous mourrons en moyenne cinq avant les femmes…
cinq ans avant les femmes…
Pour faire bonne mesure, il faudrait ajouter que les plus grands chirurgiens et médecins au RU sont d’origine indienne ou pakistanaise; il suffit de dépasser le stade de l’écume médiatique.
Tiens le maire de Londres, successeur de Boris Johnson, est d’origine pakistanaise, mais travailliste, lui.
Le multiculturalisme aurait-il du bon?
« La rencontre d’un homme et d’un peuple », vieil adage.
Rishi Sunak ne boit pas une goutte d’alcool (comme tous les Brits?) Il est strictement végétarien, (comme tous les Brits?)
Il n’a jamais été élu par le peuple, juste par une poignée de députés conservateurs…
Different strokes for different folks…
@ Jzmn et autres cinéphiles de la chaine :
—-
Vu hier soir « Anatomie d’une chute » (Justine T.). Tout m’a plu dans ce film, avec mes différents regards aiguisés et bien en éveil :
– Celui du sociologue de l’institution pénale***… Des comédiens protagonistes dans des rôles bien campés et fort bien distribués, non caricaturées, et tous très convaincants. Au prix d’une vraie pédagogie de la procédure par la cinéaste, un élément en général expédié illico presto dans les films du genre (1 bémol cpdt : une vision un brin idéalisée de la juge des mises en liberté et de la contrôleuse judiciaire). Mais aussi, cette émouvante envolée de la caméra sur la cathédrale St Pierre au sommet des marches du palais de justice dans le bleu du ciel de Saintes, ma ville natale, mon amour…
– Celui du psychologue moyen de l’RDL*** habitué à observer en amateur de littératures les arguments bio ou pas bio des pro & anticéliniens ou pro & anticlopinieux, sans devoir les trancher, bien qu’avec des préférences évolutives de mapart pour ceux-ci et des jugements définitifs sur ceux-là. Mais la RDL n’est pas un tribunal… , encore que.
– Celui de l’identifié*** au mâle du couple dysfonctionnel de ces deux intellectuels petits bourgeois aux prises avec la sublimation de leurs histoires dans les emprunts de leurs écrits respectifs, doublé d’un observateur attentif*** aux préjugés de chacun des « experts » amenés à exposer devant la justice son préjugé (dénié) sur la nature du défi posé : suicide ou homicide…
– Celui de la projection du juré spectateur dans la salle de cinéma***, face aux affres du dilemme moral et existentiel du gamin, finalement convaincu de devoir trancher par lui-même du POURQUOI de l’affaire, au-delà du COMMENT (dit-il), au prix du calcul de… sa survie avec la survivante…
Etc…
Voici maintenant la seule petite ombre au tableau, au sortir du film, RPTV… Une vive querelle accessoire s’ensuivit avec elle dans la voiture, pour ne pas avoir à justifier de la honte de nos larmes projetées lors de la fin heureuse du film, et n’y pas perdre la face en nous regardant… Elle me soutenait que la cinéaste n’avait pas à montrer comment on pouvait mettre la vie du chien Messi en danger, en l’empoisonnant. Que c’était totalement interdit, au théâtre comme au cinéma ! A quoi je lui rétorquais qu’on ne l’avait juste qu’endormi, ce chien, que la scène était donc filmable, qu’il n’y avait pas eu de véritable violence exercée sur l’animal. Elle ne voulut pas démordre de son point de vue, tellement elle s’était identifiée au chien, lors du dénouement final. Je n’insistais pas, elle m’aurait mordu, étant bien persuadé qu’elle n’était pas convaincue par ses propres arguments. Mais, comme à son habitude, elle était contente d’avoir eu le dernier mot. Bref… Ainsi, pûmes-nous continuer nos vieilles querelles pour des vétilles, et de la sorte oublier l’émotion passagère du film grâce au truchement de ce chien. Finalement, c’est à ce collet que nous avons attribué la palme au film. Il avait eu bien soif, et nous itou. Après nous être abondamment abreuvés, nous dormîmes heureux, dans le même lit, pour une fois.
(JE, 24.8.23_9.58) – Bonne journée à tous.tes, la pluie d’orage est de retour ce matin, on respire enfin !
Critique et enthousiasme beaucoup plus modéré dans le Point, ou l’on a pas, il est vrai, bénéficie des lumières de JJJ. C’est fou ce qui sort du Point sur ce blog, mais attention, on ne le dit pas. L’excellent article sur Desprairies est à recommander. Il nl’inspire pas l’envie de le lire, mais d’en savoir plus que la formule sortie par Marie Sasseur… MC
Et rien sur le décor naturel de Villarembert pour cette snow therapy à pas cher…
Moi hier soir j’ai regardé a la télé le film de monsieur Triet, plus connu sous le nom de Arthur Harari, qui au passage a co-ecrit le scénario du film de madame …
C’était donc un chef d’oeuvre inconnu, 10000 nuits dans la jungle, l’histoire vraie d’un soldat oublié sur une île.
La maîtrise parfaite, la chute du film est à pleurer.
« Le multiculturalisme aurait-il du bon ? » (Bloomie)
Cher Bloom, heureux de lire un message de vous où votre vertu principale, proposer des réponses, disparait au profit d’une vertu suprême, poser une excellente question.
Je réponds, en féministe convaincu pratiquant, à votre sincère interrogation.
Oui ! Le multiculturalisme, ouverture bénéfique d’espaces intellectuels dodus/charnus, a du bon !
Post Scriptum
Laissons tomber le vain Reinhardt, écrivain inutile et vain !
Plongée magnifique dans le dernier Yoko HORIMO, préface Christian Bobin, Editions Sully 2018
Art et spiritualité du Japon
« Comme la Lune au milieu de l’eau »
ORIMO
L’histoire vraie du soldat Onodo..
Onoda, lol
Cette histoire, hyper célèbre, est splendide !
Le multiculturalisme aurait-il du bon?
Mandez-nous dear Bloom, au UK les salles de concert (classique), théâtre et opéra sont-elles pakistanisées correctement ? In Frankreich, nichts, nada, blanc lessive comme médias et cinéma(thèques).
Très mauvais tous ces gens qui ne boivent pas une goutte d’alcool. Les vieux british se gaussent courbent ! sur les terrasses du Reed à Madeira.
Les vieux british se gaussent courbent
… et riz comme des bossues en cloches 🙂
« elle s’était identifiée au chien », « nous dormîmes heureux, dans le même lit, pour une fois. »
Un rapport de cause à effet, JJJ ?
De l’influence du cinéma sur la sexualité (heureuse) des spectateurs !
Pas encore vu le film, mais cela ne saurait tarder…
Le choix du Figaro pour la rentrée littéraire:
Nothomb, Chalandon, Delerm, Moix.
Je n’ai rien lu de Chalandon. Les autres sont des lectures parfois agréables et distrayantes, mais je ne vais pas me précipiter sur leurs nouveaux livres pour autant…
De l’importance du chien (ou du chat) dans l’harmonie ou la disharmonie (Gabin, Signoret) des couples, JB.
Voilà ce que j’en disais, ici même, au moment de la sortie en salle du film, MS.
22 juillet 2021 à 11 h 09.
« Onoda – 10 000 nuits dans la jungle » d’Arthur Harari.
Loin des paillettes de la sélection officielle du festival de Cannes 2021, le réalisateur français qui s’était distingué avec le polar « Diamant noir » (2016) a présenté en ouverture de la section « Un Certain Regard » un beau film d’aventure comme on n’en fait plus guère, sorti dans nos salles cette semaine (l’occasion pour moi d’étrenner mon passe-sanitaire).
Entièrement tourné au Cambodge, en langue étrangère, Onada nous conte la geste incroyable et pourtant bien réelle de ce jeune officier japonais qui n’a accepté de déposer les armes qu’en… 1974 !
Qualifié de « dernier combattant » de la Seconde Guerre mondiale, le lieutenant Onada avait été envoyé en 1944 sur l’île de Lunang, aux Philippines, pour poursuivre une guerre sans merci contre les troupes américaines.
A la tête d’un petit commando, dont il fut l’ultime survivant, il poursuivit sans relâche, dans la clandestinité de la jungle, la guerrila contre les nouveaux maîtres du monde et leurs alliés locaux, ignorant toujours que l’Empire du Soleil Levant avait signé la capitulation en 1945.
Obéissant aux normes du film de guerre traditionnel, Arthur Harari nous offre de surcroit un film sous forme de fable métaphysique, prétexte à réflexion sur l’esprit de résistance : résistance à l’occupant et résistance à la modernité.
Tel un don Quichotte mâtiné d’un Robinson Crusoé, le soldat-ermite Onada combat jusqu’à l’absurde pour l’honneur perdu de son pays, qui l’avait oublié…
Devenant ainsi, sous nos yeux cinématographiques, un véritable personnage de légende, beau comme un Mishima, mais sans les apprêts du culturisme.
@ De bonne facture, Anatomie d’une chute s’apparente néanmoins plus à un bon téléfilm policier qu’à un grand film de procès (dixit le point qui voit trop de « séries »)
@ jzman. Bonne question, mais une foisj de plus je vous laisse à vos interrogations sur causalité vs corrélation… Surtout, dans votre prochaine chronique lézardée, ne vous laissez pas avoir par le point de vue désinvolte supra, ou alors discutez là, mais bien argumenté, et @ MC, merci pour renvoi… Dans ces conditions, je veux bien faire des piges pour ce journal. Mais hélas, aucun des journalistes de sa constellation ne m’a jamais convaincu, et ce n’est pas demain la veille que j’irai faire le Point sur le nouveau JDD non plus, hein ! Bàv,
@ j’irai voir le Chalandon, bien que son salaud de père ne m’eût pas emballé, ni son théâtre au Liban, à la différence de ses deux opus majeurs sur l’Irlande. Et puis, ses chroniques dans le Canard sont toujours inspirées et inspirantes… L’est devenu un écrivain qui compte quand même assez pour moij. EN outre, c’est un bon copain à RBl, il n’y a pas de hasard, je dirais. Bàv,
(nb / dormir avec ne veut pas forcément dire baiser, hein…, dans le quotidien vieillissant, c + compliqué et + doux, aussi, mais là, nous nous égarons un brin, comme dans le film, désolé).
Voici ce que j’en ai vu;
un questionnement , jusqu’à l’absurde, -cette scène où il est donné aux deux » survivants » la possibilité de rejoindre la réalité temporelle, et que le lieutenant Onoda s’applique à transformer en une gigantesque entreprise de manipulation, et avec son compère de s’en persuader-, sur l’engagement de toute une vie.
Et la sagesse zen qui s’est imprégnée dans les traits du lieutenant vieilissant, jusqu’à ce s’il soit ramené dans une douceur infinie, les pieds sur terre au moment même où dans un bruit de rotor, ses pieds quittent véritablement le sol de cette île robinsonnienne.
JJJ, vous est-il déjà arrivé de découvrir que vous avez, sans le savoir, écrit, à quelques mots-près, les mêmes très belles lignes qu’un grand écrivain ? Et que métaphysiquement il n’y a pas lieu de dire que l’un a précédé l’autre, en faisant abstraction de toute temporalité.
Ainsi j’ai découvert, amusé, que Victor Hugo avait écrit à peu de choses-près la même chose que moi. Ne serait-ce pas en définitive une immanente convergence dans la vision, la pensée et le talent ?
Médine ta mère c’est comme Putine ta mère!
(mondanités Gala-ctiques) – Arthur Harari joue le rôle du critique littéraire (la seule scène ironique et drôle en pastiche de l’ex LGL) dans le film de sa femme…, un peu comme D. le Vigan chez Ultrabright.
Avant tout, je citerais deux écrivains yougoslaves assez inconnus: Andric et Krleza.
Inconnus pour qui ?
Phil dit:
Inconnus pour 99 % des lecteurs français. Moi je connais Andric (Le Pont sur la Drina) mais je n’ai jamais entendu parler de Krleza.
Pourquoi quand j’étais petit, ma mère me disait toujours de me méfier des étrangers alors que dans ma vie d’adulte, seules des personnes proches de moi m’ont fait du mal jamais un étranger ?
Il est tellement connu Krleza, qu’il n’a même pas une fiche Wikipédia ni en français, ni en espagnol, ni en anglais.
Ne serait-ce pas en définitive une immanente convergence dans la vision, la pensée et le talent ? (D.)
A votre question je dirai non, a priori, je n’ai pas fait cette découverte… Mais ce que vous dites de vous et de VH converge vers l’opinion de Bayard selon laquelle c’est toujours le lecteur du moment qui a anticipé les inventions des plus grands écrivains dans les temps antérieurs, depuis qu’il en existe, et ce sont toujours les écrivains qui ont emprunté aux lecteurs du futur ce qu’ils se sont efforcés de nous faire croire de leur ptéendue inventivité. Votre thèse soutenable peut donc « se défendre », sans même la nécessité de recourir à la métaphysique… Invoquons plutôt l’influence des fractales et de l’astrophysique post einsteinienne sur la littérature, ainsi nous aurons dépassé celle des rayons gamma sur le comportement de nos 2 célèbres Marguerites.
Bàv, et merci pour cette remarque novatrice chat-vilienne qui pour une fois nous permet de rebondir sur autre chose que de la mangeaille.
Krleza, non, mais Krleža ou Karleja, oui
Le festival de Cannes est l’évènement culturel qui bénéficie de la plus importante couverture médiatique mondiale.
Cette année, Justine Triet, en compétition avec son film « Anatomie d’une chute » (un bien beau titre, au passage) a décrochée la palme d’or.
Récompense suprême.
Etait-il nécessaire de se servir de cette tribune pour dénoncer les mesures de la réforme des retraites française du gouvernement et de taper sur le système d’aides au cinéma de l’exception culturelle française dont elle a largement bénéficié ?
N’aurait-elle pas dû se contenter de remercier publiquement son compagnon, le cinéaste Arthur Harari, pour lui avoir concocté, aux petits oignons, le scénario qui lui a valu la consécration ?
Faute de quoi, elle est apparue aux yeux du monde entier comme une ingrate enfant gâtée…
Moi, je connais assez bien l’œuvre traduite de Kadaré, d’Ivo Andric et surtout celle de Danilo Kis, depuis ma rencontre avec Pascale Delpech, traductrice et compagne dudit. Je confirme ma méconnaissance de Krleza. Après tout, nul n’est parfait, même détenteur de 15OOO ouvrages à peine ouverts.
OK… je confirme le plaisir du bien fondé de la lecture de Tombeau pour Boris Davidovitch et de l’Encyclopédie des morts. A quoi je me permets de rajouter Sablier et Chagrins précoces, qui auguraient déjà du talent de ce très grand écrivain disparu bien trop tôt, et dont il reste à traduire pas mal… Bàv,
avec retard @Bloom
j’ai bien ouvert votre lien sur Danilo KISH ?QUI CITE SON épouse et traductrice que j’ai rencontrée :(je bavarde ça là avec sa soeur ) elle,la traductrice, travaillait (enseignement à Arles) avec des femmes ukrainiennes ) P.ASSOULINE A PLUSIEURS FOIS évoqué Kish sur la RDL où je n’ai pas remarqué que l' »aménité ait été de rigueur;par contre je n’accepte pas l’obligation d’amen (mot hébreu:excuses?)
bonne journée
Krleza (prononcer Kléja) est un monument de la littérature d’Europe centrale, dear Pablo. Qu’il soit inconnu en France importe peu, d’autres écrivains, Rezzori par exemple, ont déjà fait les frais d’éditeurs français mal intentionnés. Le temps rétablira. Son livre somme le plus connu, Les Drapeaux, est traduit chez nos amis allemands, moins obsédés que les Français par une joyeuse apocalypse exclusivement viennoise.
Bonne journée Et Al, on respire .
@ elle est apparue aux yeux du monde entier comme une ingrate enfant gâtée (jzmn)
mon pauvr’ garçon !… toujours rattrapé par les rumeurs germanopratines les plus veules, pour vous apparaitre comme l’arbitre des élégances…
Oui, elle a bien fait de gueuler à Cannes, cette JT, comme auparavant la jeune Haenel à Paris !
(et votre ministre l’a remise à sa place, l’affaire est donc close, non ?)
Je ne comprends pas votre besoin de vous faire le justicier macronien du monde des paillettes, et surtout de renvoyer cette cinéaste à son « cher époux », avec un pareil mépris ! Je me demande si vous ne seriez pas devenu de + en + réactionnaire et acariâtre, par hasard… Assumez dans ces conditions une bonne fois pour toute votre misogynie et cessez de vous réclamer de valeurs de gauche, vous vous salissez, je trouve ! Hein, jzmn ! Bàv, quoi, merdralhors.
@ Danilo KISH,… je voudrais pas dire m’enfin, autrefois, dans Daktari, il y avait une lionne kitchissime mais bin sympathique qui s’appelait Clarence.
une ingrate enfant gâtée…
Elle a cependant bénéficié d’une très complaisante publicité étalée sur France Inter par le méta-philosphe médiatique, Pépin de service!
Krleza (prononcer Kléja)
Phil dit: à
Miroslav Krleza [prononcer ‘Keurléja’]
https://www.croatia.org/crown/amb-croatie.fr_rez/www.amb-croatie.fr/culture/krleza_inalco2002.htm
Comment prononcer Krleža?
Anatomie d’une chute est, oui, un beau titre à rapprocher du beau roman de Javier Cercas sur le coup d’état raté des conjurés de la nouvelle démocratie espagnole, anatomie d’un instant. Petit rappel aux hispanisants du village…
https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/4326924001/javier-cercas-anatomie-d-un-instant
Vue votre réaction hystérique, JJJ, je constate que j’ai dû toucher un point sensible !
Vous avez raison, dear Pablo. Soyez tout de même assuré qu’à Agram (Zagreb !), prononcer « Kléja » contente les libraires qui connaissent l’incapacité des non-Slaves à déglutir les trois consonnes en une voyelle. Bon courage avec Trst !
Grâce à Magris, Phil, ai lu Les balades de Petrica Kerempuh et Le retour de Filipa Latinovicz.
Je ne souviens plus précisément du contexte, mais : « Les Serbes et les Croates sont la même merde de vache divisée en deux par la charrette de l’histoire ».
j’ai découvert, amusé, que Victor Hugo avait écrit à peu de choses-près la même chose que moi. Ne serait-ce pas en définitive une immanente convergence dans la vision, la pensée et le talent ?
D. dit:
J’ai les Oeuvres Complètes de Hugo en version digitale, je viens de vérifier et je peux te dire qu’il n’a jamais parlé d’endives, lui.
mais oui mais oui @ BLBG !… rajoutez en un brin dans la sauce vinaigrée… On va finir par plus causer du film…
C’est qui Pépin de service, au juste, à Fi ? je voisj pas, Jabite PU Pariss. Ne pas répondre si tout le monde est initié, merci. Bàv
je ne ME souviens plus
Bon courage avec Trst !
Phil dit:
Pas si compliqué que ça…
Comment prononcer Trst
https://fr.forvo.com/word/trst/
@ jzman, réaction hystérique…, voilà encore un adjectif récurrent sous votre plume…
Quand je parlais de votre indécrottable misogynie, à n’en point douter, j’avons dû toucher incsmt à votre point G… 🙂 hein (et j’ai pas dit gay)… Bàv mon bon !
Je pose deux questions et une constatation et voilà le résultat, hihihi !
« mon pauvr’ garçon ! »
« toujours rattrapé par les rumeurs germanopratines les plus veules »
« (vouloir)apparaitre comme l’arbitre des élégances »
« votre besoin de vous faire le justicier macronien du monde des paillettes »
« renvoyer cette cinéaste à son « cher époux », avec un pareil mépris ! »
« de + en + réactionnaire et acariâtre »
« Assumez dans ces conditions une bonne fois pour toute votre misogynie »
« cessez de vous réclamer de valeurs de gauche »
« Les dirigeants russes ont passé toute leur histoire, lorsque les choses étaient difficiles, à se précipiter pour signer des traités qu’ils n’ont jamais honorés et qu’ils n’honoreront jamais. Telle est la Russie, l’empire du mal. »
Djokhar Doudaïev
On peut dire que vous savez C-C ce qui vous arrange, jzmn, y’a pas à dire, mais que voulez-vous prouver au juste, en sortant mes supposées saillies (hystériques) de leur fil en aiguille ? hihihi – Mettre les rilleuses de votre côté, peut-être et botter en touche ? etc. Bastak !
Jazzi vous le déplorez : «Justine Triet,[…] Etait-il nécessaire de se servir de cette tribune pour dénoncer les mesures de la réforme des retraites française du gouvernement et de taper sur le système d’aides au cinéma de l’exception culturelle française dont elle a largement bénéficié ?».
Justine Triet, a trouvé cela nécessaire alors que c’est elle qui pourrait en subir les conséquences négatives. Elle a préféré disposer de cet instant où elle avait en mains le mégaphone universel pour dire ce qui lui importait plutôt que faire la promotion de son film, remercier les uns et les autres, etc. et recueillir l’approbation générale. Il était courageux de dire non-pas-du-tout alors que tout le monde s’attendait à ce que elle dise oui-bien-sûr. Ce n’est pas de critiquer le système d’aide au cinéma qui le rendra moins opérant. La robustesse du Festival de Canne lui permet de supporter ce genre d’accroc. Non ?
Jazzi vous le déplorez : «Justine Triet,[…] Etait-il nécessaire de se servir de cette tribune pour dénoncer les mesures de la réforme des retraites française du gouvernement et de taper sur le système d’aides au cinéma de l’exception culturelle française dont elle a largement bénéficié ?».
Justine Triet, a trouvé cela nécessaire alors que c’est elle qui pourrait en subir les conséquences négatives. Elle a préféré disposer de cet instant où elle avait en mains le mégaphone universel pour dire ce qui lui importait plutôt que faire la promotion de son film, remercier les uns et les autres, etc. et recueillir l’approbation générale. Il était courageux de dire non-pas-du-tout alors que tout le monde s’attendait à ce que elle dise oui-bien-sûr. Ce n’est pas de critiquer le système d’aide au cinéma qui le rendra moins opérant. La robustesse du Festival de Canne lui permet de supporter ce genre d’accroc. Non ?
« La robustesse du Festival de CanneS lui permet de supporter ce genre d’accroc. Non ? »
Au contraire, il en a vu bien d’autres, lmd : scandale et paillettes font bon ménage au royaume du capitalisme médiatique !
Triet s’est pliée à l’obligation pour être bien vue des omnipotents medias de gauche, de faire une déclaration militante de gauche en commençant son discours à Cannes.
Quand un gagnant de cette Palme aura-t-il le courage d’envoyer ch… toute cette nomenklatura hyper friquée et bien pensante qui nous pourrit la vie avec ses leçons de morale ?
« remercier les uns et les autres »
J’ai vu tous les précédents films de Justine Triet, et je crois pouvoir dire que celui-ci est en grande partie, d’après ce que j’en ai lu sur la force et la subtilité du scénario, l’oeuvre de Arthur Harari…
Il me semble que cet Onona fit l’objet d’un film naguere avec Toshiro Mifune. Curieux que personne ne s’en souvienne. MC
« que voulez-vous prouver au juste, en sortant mes supposées saillies (hystériques) de leur fil en aiguille ? »
Que pour moi, contrairement à vous, les mots ont un sens, JJJ.
A quoi bon tant lire si vous ne connaissez pas le poids des mots ?
« Quand un gagnant de cette Palme aura-t-il le courage d’envoyer ch… toute cette nomenklatura hyper friquée et bien pensante qui nous pourrit la vie avec ses leçons de morale ? »
Pialat, hué, l’a fait, closer : « Si vous ne m’aimez pas, moi non plus ! »
..et bien sûr, Pialat:
https://www.facebook.com/Ina.fr/videos/festival-de-cannes-maurice-pialat/911501668896253/?locale=fr_FR
Jazzi, pardon pour ce doublon.
Ne vous excusez pas, lmd.
La citation exacte :
« Le point levé de Pialat. Adapté du roman éponyme de Bernanos, « Sous le soleil de Satan » est primé en 1987… sous les huées. Le poing levé, le réalisateur Maurice Pialat aura cette célèbre réplique envers les journalistes : « Je ne vais pas faillir à ma réputation : je suis surtout content ce soir pour tous les cris et les sifflets que vous m’adressez. Et si vous ne m’aimez pas, je peux vous dire que je ne vous aime pas non plus. »
« Cet onona » annone le vieux dément,qui en deux clics sait procrastiner.
C’est pas curieux du tout, venant d’une vieille commère fieleuse, un avatar de l’abbé de choisy sur ce blog.
Disons que cette vieille baderne de mc ânonne.
Iel voulait de nouveau un bon coup de pied au cul. C’est fait.
Dans le cas de D,c’est « à quelques mots pres » qui fait toute la différence entre l’hôte de Jersey-Guernesey et celui de Chaville. MC
@ Que pour moi, contrairement à vous, les mots ont un sens
Quelle déclaration !… et c’est à moij que s’adresse le plus grand fan de Céline en ce 21e siècle !
et cette autre… reflétant le réflexe d’un très grand journaliste spécialisé en ciménage !… « d’après ce que j’en ai lu sur la force et la subtilité du scénario, l’oeuvre de Arthur Harari (sic) – transit, je suppose Itoire.
N’accordons aucune importance au « poids des mots » chez Céline… Entre nous, il écrivait tellement révolutionnaire, pas vraij ?…
Il est facile d’insulter gratuitement. Mais ce film avec Toshiro Mifune, l’ai- je inventé ? Ou gâte-t-il votre Japoniaiserie, MS qui voyez la sagesse du zen s’emparer de votre héros quand le rotor démarre et l’arrache à son île?! MC
Et c’est « à quelques mots près » que ce decryptologue fou, dit mc et autres pseudos, qui par déficience intellectuelle déforme tout, absolument tout ce qu’il peine à dechiffrer,
a fait le buzz et de Louise Labé, un homme ou une invention, avec le concours d’une qui le bat, si c’est possible, en cretinerie insensée.
C’est aussi ça la rdl, se faire spamer par un connard qui ne comprend rien.
Citons le Texte: « et la Sagesse zen qui s’est imprégnée dans les traits du lieutenant vieillissant, jusqu’à ce qu’il soit ramené, dans une douceur infinie, les pieds sur Terre au moment même ou, dans un bruit de rotor, ses pieds quittent véritablement le sol de cette île robinsonienne ». Il y a bien deux virgules en plus, mais c’est bien du Sasseur telle qu’on l’imagine au sortir d’une séance spirite avec l’ Esprit de François Chalais…. MC
J’ajoute que le film de Athur Harari est en replay, pour encore quelques jours, ici:
https://www.arte.tv/fr/videos/108530-000-A/onoda-10-000-nuits-dans-la-jungle/
Cette sous-merde de mc pourra utilement s’instruire.
Quitte à citer mes messages, les citer en entier.
comme l’a dit quelqu’un… (Ulysse, peut-être ?)…
« heureux que fasciné par la Stupidité dans Toutes Ses Formes, je leur ai dédié un brin de mon temps ».
Jean Canavaggio est mort.
Que descanse en paz !
Qui était-ce, Choser ?
« Dans le potager, entre deux allées, dans l’angle formé par le mur de clôture et la haie d’aubépines, il y avait un lit d’endives. L’endive est la salade de l’hiver. »
Cet extrait provient du livre « Les Misérables » de Victor Hugo, précisément du livre 5, chapitre 2.
Merci au chatquipête, si pratique.
Ça en dit long sur la valeur d’une « vérification » chez Pablo. Ahem.
Savez-vous lire: « À quelques mots près « est de D, et je le cite comme tel, pour un autre intervenant. Bref, cela ne vous concerne pas. Il n’empêche que vous le reprenez me concernant pour une communication ou je déplorais que l’ensemble des gens discutant sur le film japonais n’ ait pas cité le Toshiro Mifune. Entre temps, vous m’attaquez personnellement, et je vous réponds sur le meme film en citant votre impérissable texte qu’on pourrait titrer le Zen et le Rotor. Aussitôt,contestation, vertu outragée, cri au Troll imbecile, mobilisation du premier argument, qui n’a que faire ici puisque concernant D, et Air de la Calomnie ou j’apprends au passage que j’ai fait le buzz ( ah, le franglais, c’est d’un chic !) pour Louise Labbe homme.Si tous vos arguments ont cette pertinence, je puis dormir tranquille…sauf si vous me réveillez. Ce qui est le cas . MC
Non seulement il est question d’endive chez Victor Hugo mais, tenez-vous bien, de lit d’endive. Ce qui n’est pas rien.
Aguilera – Beautiful, Version 2022 :
https://youtu.be/7kEwGXLdbZ8?si=vj1znDHKQRB7G3wE
(À regarder jusqu’au dernier « photogramme »)
D. dit: à
JJJ, vous est-il déjà arrivé de découvrir que vous avez, sans le savoir, écrit, à quelques mots-près, les mêmes très belles lignes qu’un grand écrivain ? Et que métaphysiquement il n’y a pas lieu de dire que l’un a précédé l’autre, en faisant abstraction de toute temporalité.
Ainsi j’ai découvert, amusé, que Victor Hugo avait écrit à peu de choses-près la même chose que moi. Ne serait-ce pas en définitive une immanente convergence dans la vision, la pensée et le talent ?
Oui.
Pas écrit, mais pensé.
Cela m’a pas mal fait iech, mais je l’ai exprimé ainsi : ai passé trois ans de ma vie, autour de 2006, à souffrir énormément.
C’est là que un de la/ma Mutuelle à Montparnasse m’a téléphoné pour me demander si je m’étais déjà suicidée : j’ai répondu oui, à seize ans. Je ne le savais pas et pourtant, j’ai répondu immédiatement : c’est la première émergence de ma mémoire traumatique en 2006.
Puis, trois années durant, j’ai cherché en pensant, j’ai pensé en cherchant, qu’est ce qui avait une importance réelle dans la vie.
Au bout de trois ans, j’ai trouvé
La vie, l’amour, la mort.
Puisque j’ai un classeur qui contient moult poésies diverses et variées, concomitamment j’ai trouvé par hasard dans ce classeur
La vie, l’amour, la mort de Paul Éluard.
Voilà : sur chacun des trois concepts, inhérents à notre nature humaine, si matraquée, il a écrit trois strophes de toute beauté.
Je n’ai pas été jalouse. J’aurais sans doute aimé être novatrice, mais ce fut loin d’être le cas.
Paul Éluard a écrit cela, mieux que ce que j’aurais su faire.
Mais quelle plaie cette bourrique.
Ne comprend rien à rien mais insiste.
Vu ses « apports » sur ce blog, n’est-ce pas depuis des années, on a compris la relative indifférence que ses conneries suscitent. Âge mental : prepubere.
Pas avare d’insultes gratuites et insensées, le dément.
En dernier lieu, le cuistre mc a un petit ami chez les bouquinistes, Passou en a fait les frais.
L’endive, ce légume souvent associé à la simplicité et à la rusticité, se trouve pourtant tissée de manière inattendue dans les œuvres littéraires du 19ème siècle. Dans « Madame Bovary » de Gustave Flaubert, par exemple, l’endive apparaît dans une scène où Emma Bovary se sent déçue par la monotonie de sa vie conjugale, symbolisant ainsi son désir de nouveauté et d’évasion.
De même, dans « Les Misérables » de Victor Hugo, l’endive est mentionnée dans le contexte des émeutes de la faim, illustrant la misère du peuple et les conditions sociales précaires de l’époque. L’endive devient alors un symbole de la lutte des classes et de l’injustice sociale.
Pourtant, l’endive peut également être vue sous un angle positif. Dans les œuvres de la littérature champêtre, comme les romans de George Sand, elle est souvent décrite comme un produit de la terre, renforçant ainsi la connexion entre l’homme et la nature.
En explorant plus en profondeur, il est intéressant de noter que l’endive était également liée aux changements économiques de l’époque. Avec l’avènement de nouvelles méthodes de culture, l’endive est devenue plus accessible, reflétant ainsi les transformations de l’agriculture et de la société.
En somme, l’endive dans la littérature du 19ème siècle va au-delà de sa simple présence textuelle. Elle représente les aspirations, les luttes sociales et les changements économiques de cette période charnière. À travers des citations comme celles mentionnées, les auteurs utilisent l’endive pour tisser un réseau de significations qui enrichissent la compréhension des enjeux de leur époque.
Dans « Les Misérables » de Victor Hugo, l’endive fait une apparition saisissante lors des émeutes de la faim à Paris : « Des enfants criaient : Pain ! pain ! d’autres criaient : Lait ! lait ! d’autres criaient : Endive ! endive ! » Cette scène souligne l’extrême pauvreté et la faim qui sévissaient parmi les classes les plus défavorisées, et l’endive devient un symbole poignant de la détresse sociale.
Chez Gustave Flaubert, dans « Madame Bovary », l’endive trouve sa place dans une scène où Emma Bovary déjeune avec son mari. Flaubert écrit : « Le déjeuner fut silencieux ; l’endive avait un goût de cendre. » Cette description métaphorique de l’endive reflète les sentiments d’ennui et de désillusion d’Emma vis-à-vis de sa vie conjugale monotone.
En parcourant les écrits de cette période, on remarque que l’endive est souvent utilisée pour évoquer la classe sociale et la situation économique. Dans « Les Rougon-Macquart » d’Émile Zola, l’endive est évoquée dans le contexte d’un marché où se côtoient les différentes classes sociales, illustrant ainsi les inégalités de l’époque.
En résumé, l’endive dans la littérature du 19ème siècle se révèle être bien plus qu’un simple légume. À travers des exemples comme ceux-ci, elle devient un outil littéraire subtil pour explorer des thèmes tels que la pauvreté, l’ennui, la révolte sociale et la diversité des classes.
Je ne comprends plus rien à cette RDL. Désormais elle consiste pour quelques uns à insulter, mépriser, ricaner, caricaturer, ridiculiser, anesthésier mettre à mort l’Autre. Je croyais que la Culture était un une ouverture à l’Autre, un pont entre nous souvent dans l’intelligence légère, la drôlerie, et même la gaieté. Ici ce n’est plus le cas. Plusieurs fois dans une journée on qualifie untel ou untel d’ordure. Le voisin de commentaire est considéré comme un ennemi s’il ne pense pas comme vous, à l’image de ces désolants plateaux de télévision qui s’achèvent en invectives. Il n’y a plus ni ironie, ni légèreté, ni attention, ni patience, ni nuances ni même vraie passion partagée (sauf le travail étonnant de Barozzi à propos du cinéma) . Une discussion argumentée et calme devient de plus en plus rare. La conversation au fil des ans sur ce blog devient non plus un échange de passions, mais une guerre pour faire taire l’autre et l’humilier. Les enseignants ne sont pas les derniers dans ce concours. Sans moi.
Constatant tout ceci je n’écrirai plus dans cette RDL.
Au cours du XXe siècle, l’endive continue de faire des apparitions littéraires, bien que peut-être moins fréquentes que dans le 19e siècle. L’utilisation de l’endive évolue pour refléter les changements sociaux, culturels et artistiques de cette époque.
Dans « À la recherche du temps perdu » de Marcel Proust, l’endive est mentionnée dans le contexte d’un dîner mondain. Cette utilisation peut symboliser le raffinement et les codes sociaux de l’aristocratie, tout en contrastant avec la simplicité de ce légume.
L’endive peut également servir de métaphore dans la littérature du XXe siècle. Dans certaines œuvres surréalistes, elle pourrait être utilisée pour explorer les associations incongrues et les juxtapositions surréalistes qui caractérisent ce mouvement artistique.
En abordant la place de l’endive dans la littérature du XXe siècle, il est important de tenir compte de l’émergence de nouveaux courants littéraires, tels que l’existentialisme et le postmodernisme, qui ont apporté de nouvelles perspectives sur la signification des objets du quotidien, y compris les légumes comme l’endive.
En somme, bien que peut-être moins fréquente que dans le 19e siècle, l’endive continue d’être un élément pouvant servir de symbole, de métaphore ou de reflet des réalités sociales et culturelles dans la littérature du XXe siècle.
Cette langue de pute, en outre » cite » beaucoup.
« des gens discutant sur le film japonais n’ ait pas cité le Toshiro Mifune. »
Cite beaucoup, mais n’a pas vu le film dont il ne cite pas le titre.
Déjà apprendre à écrire sans faute de grammaire avant de cracher du fiel sur celles des autres.
Ensuite j’ai donné le lien sur le film que moi, j’ai commenté.
Toutes choses, et toutes justifications, que ce fumiste , cet imbécile, ce grossier , est bien incapable deproduire à l’appui de ses insanités. Et pour cause.
L’endive n’est pas un élément couramment évoqué dans les œuvres ayant remporté le prix Goncourt, mais une analyse plus approfondie révèle néanmoins quelques références intéressantes.
Dans le roman « La Vie devant soi » d’Émile Ajar (Romain Gary), la relation entre Momo et Madame Rosa se construit autour des repas simples et modestes, dont l’endive fait partie. Cette utilisation de l’endive dans le contexte de l’histoire souligne les aspects de simplicité et de réalisme de l’œuvre, qui traite de la vie dans un quartier pauvre de Paris.
Dans « Les Bienveillantes » de Jonathan Littell, qui a également reçu le prix Goncourt, l’endive est brièvement évoquée dans le contexte des repas au sein de la SS. Cette utilisation peut servir à dépeindre la normalité apparente de la vie quotidienne au milieu de l’horreur, créant ainsi un effet de contraste troublant.
Cependant, il est important de noter que l’endive n’a pas une présence majeure ou récurrente dans ces œuvres primées par le Goncourt. Le choix de l’endive en tant qu’élément littéraire peut refléter des aspects de réalisme, de simplicité ou de contraste, en fonction du contexte narratif et thématique de chaque livre.
Edel, ou la vertu.
Sans commentaire.
Constatant que le blog d’Edel est en etat de mort cérébrale, à cause de ceux-là même qui insultent, ici, en faisant de grandes phrases creuses, nous lui souhaitons de monologuer dans son coin.
En regardant rapidement les contributions de ce critique émérite sur ce fil de commentaires, on attend encore un petit mot d’encouragement.
Vazy Éric !
Vazy Gaspard !
Mais non, rien. Que des sempiternelles jérémiades sur la critique, le lecteur, la lectrice, et l’écrivain.
Basta.
3J, un petit hommage à Toto Cotugno, en latin :
Vous en êtes rendue là, Sasseur? Parce que c’est affligeant. J’ai vu ce film à l’époque lointaine où la télévision se préoccupait encore d’instruire les masses . J’ en ai oublié le titre, mais pas Mifune. J’aurais pu sauter sur Wiki, notez, mais je laisse le procédé à d’ autres ! MC
Le dément mc, fumé de la cervelle, a oublié le titre du film » de » Mifume. Et ne se souvient plus non plus du sujet, l’histoire vraie du lieutenant Onoda.
Lui donner un bon tuyau ?
Le numéro des urgences psychiatriques.
« un petit ami chez les bouquinistes « Quel roman! . Si vous m’aviez bien lu, et pas seulement la lettre publiée en fin de feuilleton, vous sauriez que je connais bien la corporation! Mais je crois que vous escaladiez durant ce temps là …Peut-on vous demander qui ou quoi? En tous cas, nous étions tranquilles. Fin des vacances. MC
PS Je ne ferai pas , si j’étais vous, trop d’ironie sur Paul Edel. Des gens de votre espèce sont les épouvantails rêvés pour remplir un blog comme le sien.
L’avis de Nicolas Sarkozy
Dans un entretien accordé au « Figaro magazine », l’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, s’est exprimé sur la situation politique actuelle en Israël : « En Israël, la gauche perd dans les urnes, mais elle veut gagner dans la rue. C’est curieux de reprocher à Netanyahou de vouloir mettre en œuvre son projet ! »
Je partage l’avis de Nicolas Sarkozy.
@ « Quand un gagnant de cette Palme aura-t-il le courage d’envoyer ch… toute cette nomenklatura hyper friquée et bien pensante qui nous pourrit la vie avec ses leçons de morale ? »
Ce ne sera pas demain la veille ! Et d’ailleurs, qui donc, à par vous-même et Jazzi osent ici appeler un chat un chat (et ce n’est pas du schrödinger, comme ajouterait le spirituel JJJ)
Lequel lieutenant Onoda a ensuite écrit le récit de cette vie de survivant, » Ma guerre de 30 ans sur l’île de Lubang » apprend Wikipedia.
Reste à savoir si Arthur Harari qui a rendu ces 30 années dans ce biopic,
vraiment un exploit cinématographique, spirituel et philosophique avec Yuya Endo et Kanji Tsuda dans le rôle titre, en a profité.
Enfin, Patrice Charoulet, Netanyahou vise à considérablement affaiblir le système judiciaire du pays en donnant un pouvoir presque illimité à l’exécutif. En effet, la proposition de réforme comprend une « clause d’annulation » qui permettrait à une majorité simple (61 députés sur 120) de rejeter les décisions de la Cour suprême.
Évidemment, si vous approuvez on ne peut que se poser la question de savoir quelle est votre vision de le démocratie.
@ je n’écrirai plus dans cette RDL.
allez quoi…, ne faites pas cette tête, ce n’est qu’un mauvais moment à passer, n’y a par Mordom. Revenez Léon, nous avons les mêmes à la maison !
J’aime beaucoup, pmp, la marque du pâté Schrödinger pour Mimi-souris qui en raffole ; je la recommande aux autres chats de l’erdélie qui nous écoutent, et même si elle reste encore assez cher, elle vaut vraiment le coup, soyez sûr qu’au Brésil ou ailleurs, ils vous en seront reconnaissants ! Bàv,
« Dans le potager, entre deux allées, dans l’angle formé par le mur de clôture et la haie d’aubépines, il y avait un lit d’endives. L’endive est la salade de l’hiver. »
Cet extrait provient du livre « Les Misérables » de Victor Hugo, précisément du livre 5, chapitre 2.
Merci au chatquipête, si pratique.
Ça en dit long sur la valeur d’une « vérification » chez Pablo. Ahem.
Non seulement il est question d’endive chez Victor Hugo mais, tenez-vous bien, de lit d’endive. Ce qui n’est pas rien.
D. dit:
Tu es un grand escroc: il n’y a aucune mention ni de potager ni d’endives dans Les Misérables, Livre 5, chapitre 2 (intitulé « Que faire dans l’abîme à moins que l’on ne cause? » et dans lequel on parle de barricades – et V.H. ne dit pas qu’il s’agissait de barricades d’endives…).
att’ation, elle va encore crier au harcèlement sexuel et vous renvoyer paître sur son réseau préféré : youp-pine-porn !
Je reviendrai pour Laurent Binet, et ses correspondances florentines, bien sûr
J’aime ses mensonges étudiés.
Plutôt bien aise de laisser les edeliens, finalement ce que sont les pires intervenants ici de » là-bas », et ne rappelons pas cette dingo, marteau, fu blogaedel, qui avait accusé, ici même, M. Kindera d’être un abuseur sexuel .
Bref, sales, bêtes et méchants.
Je croyais que la Culture était un une ouverture à l’Autre, un pont entre nous souvent dans l’intelligence légère, la drôlerie, et même la gaieté.
Paul Edel dit:
Visiblement, tu n’as jamais lu les pamphlétaires, tu ne sais pas qui est Saint-Simon, J.de Maistre, Léon Bloy, Bernanos ou Céline, entre beaucoup d’autres.
Écrire à 80 ans: « je croyais que la Culture était un une ouverture à l’Autre, un pont entre nous » est n’avoir rien compris à la vie en général et à l’art et la littérature en particulier.
Depuis quand l’art et la littérature doivent être aimables, gais, drôles ou légers – et pourquoi pas frivoles, tant qu’on y est?
Des décennies de lecture, de cinéma et de musique pour arriver à une conclusion aussi débile?
Aïe, trop vite partie
du blogaedel
Kundera
Appliquant la « méthode Pablo », je suis allé feuilleter et lire quelques pages des trois livres recommandés par Passou dans ce billet. Eh bien, le seul qui m’ai vraiment donné envie d’aller plus loin est le Desprairies, étonnant n’est-il pas? Je ne suis pas aller jusqu’à l’acheter, il ne faut pas exagérer. Nous verrons plus tard, à la Médiathèque peut-être…
En parlant de lombrics (Gaspard Koenig), il se trouve par une coïncidence stupéfiante que j’ai rencontré des lombrics dans le livre que je lis en ce moment, « Ton absence n’est que ténèbres » de Jon Kalman Stefansson. Une paysanne d’un fjord isolé d’Islande, sans éducation mais curieuse et lectrice compulsive, écrit un article sur les lombrics et l’envoie à une revue scientifique de le ville la plus proche…Il est accepté et elle est invitée à participer au prochain Conseil de la Revue!
Allons nous assister à une avalanche de livres sur les lombrics? Les campagnards ou ex campagnards de la RdL, Clopine, JJJ, pourraient s’y atteler, ça les changerait de la socio et de Bourdieu. Encore que les « rapports de domination chez les lombrics, ça ne manquerait pas d’intérêt…
Paul Edel croit que la Culture c’est ça:
Richard Clayderman – Ballade pour Adeline
https://www.youtube.com/watch?v=eCCan3TFPoc
Mais non, mon pote, réveille-toi, la Culture c’est ça:
Verdi Requiem – Dies Irae e Tuba Mirum
https://www.youtube.com/watch?v=cHw4GER-MiE
M. Kindera (un kinder surprise !?)
Merci pour cette suggestion intelligente, closer. Pmp, j’ai souvent découvert des lombrics à Paris, ceci dit, nous pourrions commencer à quatre mains rurbaines, genre nouvelle entreprise Werber… Les fourmis datant un brin, il est temps de composer la sage des lombrics, bien plus érotiques et androgynes qu’icelles. Bàv
d’une SAGA islandaise, bien sûr…
Allons nous assister à une avalanche de livres sur les lombrics?
closer dit:
Dans les 24.597 pages des Oeuvres Complètes de V.Hugo en version digitale, il y en a une seule où il parle de lombrics:
(attention: le texte n’étant pas très aimable, gai, drôle ou léger, que les « pauledels » du blog s’abstiennent de le lire)
« Chemin faisant, pendant la traversée, les plaies abandonnées deviennent effroyables ; les mutilés qu’on transporte sans assistance, sans secours, misérablement entassés les uns sur les autres, voient les lombrics, cette vermine du sépulcre, sortir de leurs jambes brisées, de leurs côtes enfoncées, de leurs crânes fendus, de leurs ventres ouverts… »
Actes et paroles. Pendant l’exil (1854)
Paul Edel, oui. J’ai passé la soirée, hier, dinant sous des arbres au frais avec quelques amis anciens ou plus récents, parlant de dessins, de peintres italiens. J’ai mentionné un petit livre que j’ai acheté il y a peu, une nouvelle traduction du Journal de Jacopo Da Pontormo (les presses du réel) et plusieurs le connaissaient, l’avaient lu et s’en étaient régalés ; ce n’est pas le hasard.
https://64.media.tumblr.com/a4ba48d61cda527103c3e60fab5d2ea6/tumblr_ojqq5gpjCL1s1mljio1_1280.jpg
Puisque c’est ainsi nous reviendrons vendredi.
vendredi matin, l’empereur, sa femme, et le p’tit prince
Sont venus chez moi, pour me serrer la pince.
Comme j’étais parti,
Le p’tit prince a dit, etc
Pourquoi une parfaite entente entre deux êtres est fort éloquente même quand elle est silencieuse ?
Pourquoi la joie est jubilatoire et la tristesse austère ?
Paul Edel dit: à
Je ne comprends plus rien à cette RDL. Désormais elle consiste pour quelques uns à insulter, mépriser, ricaner, caricaturer, ridiculiser, anesthésier mettre à mort l’Autre. Je croyais que la Culture était un une ouverture à l’Autre, un pont entre nous souvent dans l’intelligence légère, la drôlerie, et même la gaieté. Ici ce n’est plus le cas. Plusieurs fois dans une journée on qualifie untel ou untel d’ordure. Le voisin de commentaire est considéré comme un ennemi s’il ne pense pas comme vous, à l’image de ces désolants plateaux de télévision qui s’achèvent en invectives. Il n’y a plus ni ironie, ni légèreté, ni attention, ni patience, ni nuances ni même vraie passion partagée (sauf le travail étonnant de Barozzi à propos du cinéma) . Une discussion argumentée et calme devient de plus en plus rare. La conversation au fil des ans sur ce blog devient non plus un échange de passions, mais une guerre pour faire taire l’autre et l’humilier. Les enseignants ne sont pas les derniers dans ce concours. Sans moi.
Constatant tout ceci je n’écrirai plus dans cette RDL.
En quelques lignes tout a été dit sur l’état actuel de ce blog. Après deux ans d’absence, je suis revenu voir (curiosité malsaine ?). Rien n’a changé, à part quelques nouveaux plutôt intéressants (Damien, Vadeboncoeur et quelques autres). Les « normaux », genre Rosanette, Closer, Jazzi, ne sont pas de taille pour utiliser l’espace, si ce n’est J. Barozzi qui a du savoir et du répondant….
Paul Edel fait certainement allusion, entre autres, entre autres !! au match au sommet de hier entre Pablo 75 et Renato, du tout grand spectacle; un vrai « combat des chefs » de deux vieillards avinés.
Oui, Pierre Assouline, votre blog est devenu pathétique, et pourtant vos textes sont intéressants, souvent passionnants, bien écrits. Oui, vous avez raison et j’ai tord: rien ne m’oblige à lire les commentaires (est-ce dans la nature humaine de ne pas savoir résister à porter son regard vers le sordide ?)
Je pense , peut-être, aller rejoindre Christiane dans le blog de Soleil-Vert (en voilà un qui sait garder son calme quand il vient ici, mais c’est rare), encore que je me passionne surtout pour la physique théorique, l’astrophysique, et pas vraiment pour la science-fiction, mais j’aime ses pages sur les échecs: à propos que devient MVL??.
Et pourquoi ne pas chercher l’adresse du blog de Paul Edel puisqu’il en est fait allusion régulièrement ici.
Até, que Deus vos abençoe a todos
Pourquoi j’aime bien prendre conseil de moi-même ?
Pourquou l’oubli est plus blessant que le mépris ?
Pourquoui certaines gens vous encouragent souvent d’une si décourageante manière ?!
Ah bon Claudio, parce que Rosanette et moi n’avons ni savoir, ni répondant ?
Voilà l’adresse de Paul, Claudio :
https://pauledelblog.fr/2023/08/19/pavese-ou-la-fete-impossible/
au match au sommet de hier entre Pablo 75 et Renato, du tout grand spectacle; un vrai « combat des chefs » de deux vieillards avinés.
Claudio Bahia dit
Tu manges trop de bananes, Bahia et on sent que la chaleur te bouffe le cerveau.
Question âge, je crois que tu pourrais être mon père (on sent le grand âge -naufrage compris- dans tes mots).
Quel auteur célèbre a comparé les humains à « des îles se créant réciproquement des mirages et des illusions à travers des océans de malentendus ! » ?
Ah bon Claudio, parce que Rosanette et moi n’avons ni savoir, ni répondant ?
closer dit
Ne cherche pas de la logique chez un « viejo chocho ».
Hé ! Ho ! Claudio, je bois mais modérément et jamais n’ai pris une cuite, car je vis selon la devise ne quid nimis ou si vous préférez medèn ágam.
lmd, hier soir au frais ?
On reconnaît bien là une grande bouche du Rhône…
Je viens de voir que L. Binet ne met aucune biblio, en fin de ses correspondances alimentées par le décès suspect de Jacopo da Pontormo.
Stay tuned, on démarre l’enquête.
Pas à vendredi, non, j’ai des invités.
closer dit: à
Ah bon Claudio, parce que Rosanette et moi n’avons ni savoir, ni répondant ?
je ne voulais pas dire du mal de vous; je me suis mal exprimé, au contraire, je vous admire, vous et Rosanette. C’est surtout moi en fait qui n’ai pas « les codes », comme on dit chez vous. Vous avez la chance de vivre dans un pays et une capitale de culture et vous avez accès à tout le savoir
Sur cela, au revoir
CB : MVL fait du surplace.Apres son titre mondial en blitz en 2021 rien a se mettre sous la dent
Je ne le vois pas en lice pour le prochain tournoi des candidats
Il s’est séparé de son secondant Étienne Bacrot. Plus inquiétante est la situation du jeune Firoutza qui après des débuts éclatants et un ELO de plus de 2800 semble moins s’investir dans les échecs.
Hé ! Ho ! Claudio, je bois mais modérément et jamais n’ai pris une cuite
renato dit:
Moi je ne bois pas du tout, à part du thé toute la journée (la meilleure drogue intellectuelle qui existe).
Et je ne sais pas ce qu’est être saoul (à part de musique).
Par contre, celui qui prend un peu trop de caipirinha en lisant ces commentaires et cela malgré son âge avancée, on le connaît tous.
Physique théorique : je trouve d’étonnantes similitudes dans la genese du monde selon le kaballiste Louria et celle induite par la théorie de la gravitation quantique a boucles (l’univers est issu d’une contraction)
Curieuse cette conception de la Culture qui exclut le monde courtois des Salons, que Saint Simon non plus que Proust ne dédaignait pas, et qui a eu cours ici,, pour ne se tourner que vers les grands imprecateurs façon Bloy, ou les faux réformateurs comme le Petit Duc. Enfin…. Il paraît qu’on ne veut plus admettre que les deux mondes aient pu coexister. Que fera-t- des auteurs qui, comme Madame de Sevigne, ou le Bussy de la Correspondance, n’entrent pas dans ce moule. MC
Je tiens à m’excuser à nouveau pour la confusion précédente. Après avoir effectué des recherches approfondies, je n’ai pas été en mesure de trouver de citation précise à base d’endive dans les œuvres de Victor Hugo. Il se peut que l’association entre Victor Hugo et les endives soit une confusion ou une mauvaise interprétation. Si vous avez d’autres questions ou des sujets sur lesquels vous souhaitez discuter, je suis là pour vous aider.
Je m’excuse pour l’inexactitude dans ma réponse précédente. Après avoir effectué des recherches plus approfondies, je n’ai pas pu trouver de référence précise à des endives dans les œuvres de Victor Hugo, y compris dans « Les Misérables ». Je vous présente mes excuses pour la confusion. Si vous avez d’autres questions ou besoins d’informations, n’hésitez pas à me le faire savoir.
Curieuse cette conception de la Culture qui exclut le monde courtois des Salons, que Saint Simon non plus que Proust ne dédaignait pas, et qui a eu cours ici,, pour ne se tourner que vers les grands imprecateurs façon Bloy, ou les faux réformateurs comme le Petit Duc. Enfin…. Il paraît qu’on ne veut plus admettre que les deux mondes aient pu coexister.
MC dit:
Curieuse façon de lire, la tienne. Qui a exclu l’un de ces deux mondes? Paul Edel. Moi je n’ai fait que rappeler que la culture est aussi autre chose (sans exclure aucune – si tu me crois capable d’exclure Bach ou Mozart de la culture, il faut aller voir un psy).
Tu devrais lire un Petit Traité de Logique Élémentaire avant d’intervenir ici. J’ai souvent remarqué dans tes discussions sur ce blog avec d’autres que tu as des étranges problèmes de raisonnement.
Je tiens à m’excuser à nouveau pour la confusion précédente. Après avoir effectué des recherches approfondies, je n’ai pas été en mesure de trouver de citation précise à base d’endive dans les œuvres de Victor Hugo.
D. dit:
Pourtant tu te trompes à nouveau. Entre temps moi j’en ai trouvé une:
Le vieillard du Galèse
Si mon vaisseau déjà, prêt à toucher les bords,
vers le but désiré ne tournait ses efforts,
poète des jardins, je chanterais peut-être
la culture des fleurs et la rose champêtre.
je décrirais l’acanthe arrondie en berceaux,
l’ENDIVE, se gonflant du suc des clairs ruisseaux,
le myrte, amant des eaux qu’il couvre de son ombre,
les contours tortueux de l’énorme concombre,
le narcisse tardif, le persil frais et vert,
et le lierre rampant dont le chêne est couvert….
Comme quoi, tu es doublement nul.
Moi : Connais-tu une bonne blague avec des endives ?
GPT : Bien sûr, voici une blague pour vous :Pourquoi les endives ne jouent-elles jamais aux cartes ?Parce qu’elles ont peur de jouer avec les salades !N’hésitez pas à me demander d’autres blagues ou des informations supplémentaires !
Moi : Une autre.
GPT : Bien sûr, voici une autre blague pour vous :
Comment est-ce que l’endive a salué le concombre ?
En disant : « Salut, partenaire ! Comment ça roule enroulé ? »
J’espère que cela vous a fait sourire ! Si vous en voulez plus, n’hésitez pas à me le faire savoir.
Moi : Tordant ! Dix autres s’il te plait.
GPT : Je suis ravi que vous ayez apprécié ! Voici dix autres blagues pour vous :
1. Pourquoi les endives sont-elles si calmes ?
Parce qu’elles ont la tête dans le chou !
2. Quelle est la chanson préférée des endives ?
« Salades Days » !
3. Comment les endives se saluent-elles ?
Elles disent : « En-dive-tu bien ? »
4. Pourquoi les endives ne sont-elles pas bonnes en mathématiques ?
Parce qu’elles ont du mal à compter leurs feuilles !
5. Qu’est-ce qu’une endive dit à une autre endive quand elles sont tristes ?
« Ne t’en fais pas, ça finira par s’arranger en salade ! »
6. Quel est le plat préféré des endives ?
Le sauté de collines, bien sûr !
7. Pourquoi l’endive ne gagne-t-elle jamais aux courses ?
Parce qu’elle n’a pas de pied pour aller vite !
8. Pourquoi l’endive est-elle toujours invitée à la fête ?
Parce qu’elle est toujours « en-roulade » !
9. Comment appelle-t-on une endive qui danse ?
Une « salade tourbillon » !
10. Pourquoi les endives n’aiment-elles pas mentir ?
Parce qu’elles ne veulent pas semer la « chicorée » dans le groupe !
J’espère que ces blagues vous ont fait sourire ! Si vous en voulez encore, n’hésitez pas à me le dire.
On pourrait en conclure que Bloom est derrière tout ça.
L’extrait poétique que vous avez partagé semble capturer la beauté et la diversité de la nature à travers une description imagée de différentes plantes et végétaux. L’auteur évoque des éléments tels que l’acanthe, l’endive, le myrte, le concombre, le narcisse et le persil, les décrivant avec des termes évocateurs qui suscitent des images visuelles et sensorielles.
Le choix de ces éléments végétaux semble contribuer à l’atmosphère bucolique du poème. Chacune de ces plantes apporte sa propre connotation et symbolisme. L’acanthe, par exemple, est souvent associée à la décoration ornementale, tandis que le myrte est lié à la beauté et à la sensualité. Cependant, c’est l’endive qui retient particulièrement l’attention.
L’endive est décrite comme se gonflant du suc des clairs ruisseaux, une image poétique qui évoque la croissance et la vitalité. Il est intéressant de noter que cette description peut sembler en contradiction avec la manière dont les endives sont généralement cultivées, dans des sols plutôt que dans des ruisseaux. Cela pourrait refléter une utilisation symbolique et imaginative des éléments naturels dans le poème.
L’extrait évoque également une association entre les plantes et leur environnement. Par exemple, le lierre rampant est associé au chêne, suggérant une relation harmonieuse entre la nature sauvage et l’élément plus fort et robuste de l’arbre.
Dans l’ensemble, l’extrait poétique offre une représentation visuelle de la nature, mettant en évidence la diversité des plantes et leur interaction dans un paysage de jardin. Les termes et les images choisis par l’auteur contribuent à créer une ambiance sensorielle pour le lecteur, le transportant dans ce monde végétal.
Cependant, il est important de noter que cet extrait n’est pas immédiatement identifiable comme étant de Victor Hugo dans mes connaissances jusqu’à septembre 2021. Il est possible que cette référence soit issue d’une source moins connue ou d’une interprétation personnelle.
Si vous souhaitez en savoir plus sur l’auteur, l’œuvre ou le contexte de cet extrait, n’hésitez pas à fournir plus d’informations ou à poser des questions spécifiques.
Moi je n’ai fait que rappeler que la culture est aussi autre chose (sans exclure aucune – si tu me crois capable d’exclure Bach ou Mozart de la culture, il faut aller voir un psy).
Le propos soumettait l’idée qu’on puisse échanger des arguments culturels sans pour autant se livrer un combat, se jeter des oeufs pourris au visage. Peut-être est-ce comme en politique, cela ne sert à rien d’en discuter, chacun reste sur ses positions . L’art de la discussion devrait se passer d’animosité, de violence, et si vous possédiez tant d’arguments et l’á propos pour défendre vos positions, vos « convictions », vos gouts et rejets, vous devriez ne pas avoir recours à l’insulte ou à ce genre de truc bateau T’as rien compris. Qu’auriez-vous compris, vous, qui échappe aux autres et justifie votre attitude?
au UK les salles de concert (classique), théâtre et opéra sont-elles pakistanisées correctement au UK les salles de concert (classique), théâtre et opéra sont-elles pakistanisées correctement?
—
pour la musique, je vous suggère de voir les proms, dear Phil.
Pour le théâtre, le public est assez comme en France, plutôt âgé et élitaire. Mais, différence importante, tous les élèves brits ont au moins une fois participé à la Christmas Pantomime (Panto), quelle que soit leur origine, religion etc.
Et ils ont tous, en lien avec des Community centres et d’autres associations ‘to keep them off the streets’, eu leur heure de gloire dans un « talent show », qui va du karaoké à la danse en passant par le slam etc.
La baisse des subventions par les gouvernements conservateurs successifs a mené à la fermeture de centaines de bibliothèques jugées non rentables, comme si c’était le but de la chose. En revanche, on trouve des livres en ourdou hindi pendjabi et gujarati dans toutes les bibliothèques publiques des grandes villes, ce qui aide à la fréquentation. Birmingham a la plus grande bibliothèque des iles britanniques et l’espace culturel le plus important d’Europe, fierté d’un conseil municipal travailliste qui a investi dans la culture là ou d’autres mettaient beaucoup d’argent à subventionner des entreprises qui fonctionnaient déjà bien sans apport supplémentaire. Un choix fait en pahse vec les diverses communautés de cette ville à la réputation douteuse autrefois (voir les Peaky Blinders).
Mise au point importante: le multiculturalisme en GB fait avant toute chose référence aux politiques publiques qui ont accompagné et souvent encouragé l’expression de la diversité culturelle et religieuse. Cette expression des cultures issues de l’immigration post-décolonisation (à partir de 1948, pour faire simple) a facilité rencontres, interactions et hybridation avec la société britannique dans des domaines divers et variés: danse, musique, carnavals, sports, gastronomie etc.
Le chicken tikka massala est une invention du multiculturalisme brit dont feu le ministre des affaires étranges, R Cook(!) fit un vibrant éloge lors d’un de ses derniers discours…
C’est bien d’étudier les autres, ça peut donner des idées, car il ne pensent pas comme nous (si tant est que nous pensions un peu…) et organisent la diversité autrement.
en phase avec…
nougaro le sait:
eJzj4tVP1zc0TDJLL6xMSTIzYPQSz8svTU8sylcozi8tVijJz1NISsxJzs8DAAYUDZs
Obrigado Claudio. Você voltara um dia!
Ma Palme d’or 2023
J’ai 78 ans. Traduisons : bientôt octogénaire.
Je vais au cinéma une ou deux fois par an. La raison : le prix d’une place de cinéma équivaut à un mois d’abonnement sur Netflix, qui offre une infinité de films et de séries.
J’ai hésité à y aller, ce 24 août, mais j’y suis allé. Dans un des deux cinémas de ma sous-préfecture, on offrait aux amateurs le film qui a obtenu la Palme d’or au dernier festival de Cannes, « Anatomie d’une chute » . J’ai acheté ma place en arrivant cinq minutes en retard. Ne supportant pas les luminaires qui se trouvent sur les murs latéraux, je ne mets généralement au premier ou ou au deuxième rang pour ne pas être ébloui ou gêné par ces éclairages.
En me plaçant au milieu du deuxième rang, j’ai remarqué qu’une dame était au troisième rang derrière moi.
Trouvant le son du cinéma trop fort, je viens avec en poche une
boîte de boules Quies et ma première occupation est de sortir ma boîte et de mettre mes boules Quies. Ma deuxième occupation , bien que je sois mince, est de desserrer quand je suis assis ma ceinture d’un ou deux crans pour être tout à fait à l’aise.
J’avais demandé à la caisse le durée du film : 2h 30 . Je m’étais exclamé. Je me préparais à un …marathon.
Le film était…moyen ; il ne restera pas dans l’histoire mondiale du cinéma. Palme d’or ? Le jury n’a rien trouvé de mieux ?
Vu mon âge, et bien que n’ayant aucun cancer, j’ai des mictions fréquentes (prostate!). J’avais bu trop (d’eau) avant de venir, j’ai dû sortir pour aller aux toilettes une première fois. J’ai fouillé dans ma poche, pris ma boîte et remis mes boules Quies dedans , puis j’ai remis ma boîte dans ma poche. J’ai resserré ma ceinture avant de me lever. Et me suis dirigé vers les toilettes, près de la caisse. J’ai dit que le film durait deux heures et demie. A la deuxième heure, nouvelle envie de miction. Boite, boules Quies, ceinture… Cela m’a pris une ou deux minutes.
La dame qui était derrière moi m’avait précédé vivement (elle a dû foncer) et je suis tombé sur elle devant la caisse et les toilettes. Elle avait ameuté la caissière et le responsable de la salle. Et elle a déclaré en me montrant : « Ce monsieur était en train de se masturber ! »J’ai répliqué : « Madame, j’ai 78 ans, je dois aller aux toilettes pour des raisons de prostate, et vous m’avez vu fouiller dans ma poche , car j’y mets des boules Quiès. » Réponse de la dame : « Je l’ai vu ! » Elle : « Allons à la police ! ». « Madame, vous fantasmez ! C’est incroyable ! » La dame : « Moi, fantasmer, retirez ce mot ! Je vous ai vu.»
Le responsable de la salle a déclaré ne pas vouloir prendre parti, a invité la dame a rentrer par une porte et moi par une autre.
J’ai vu la fin de ce film moyen non pas au deuxième rang mais plus loin.
Voilà le récit de ma Palme d’or 2023. Je crois que je vais continuer à regarder des films sur Netflix.
!
……… interlude ………..
Sacré Charoulet! Il n’y a qu’à lui qu’il peut arriver des trucs pareils…
Pour votre problème, Monsieur Charoulet, demandez à Monsieur Barozzi des conseils; il a la solution.
Pourquoi les vieux aigris dorment peu et leur peu de sommeil est plein d’aigreur ?
Faudrait être parfaitement vicieux pour se masturber sur les images de « Anatomie d’une chute » !
Mais que faisait Marie Sasseur à Dieppe, aujourd’hui ?
Compte-rendu inattendu du léZard sur le film, demain…
Pour les problèmes de prostate, une seule adresse, que je vous recommande chaleureusement Patrice Charoulet : Docteur Constantino Del Giudice (Constantin de la Justice) à l’IMM (Institut Mutualiste Montsouris).
Un magicien et un hôpital public 4 étoiles, tout neuf, pour une légère intervention avec anesthésie locale (embolisation prostatique).
Prévoir une nuit d’hospitalisation après l’intervention et attendez-vous à un rasage soigné des poils pubiens par une jeune infirmière musulmane, aux cheveux entièrement couverts, avant…
Pourquoi les célibataires prennent-ils le mariage au sérieux contrairement aux hommes mariés ?
Pourquoi le suicide c’est tout tragiquement le doute allant chercher le vrai dans l’au-delà ?
Pourquoi on se lasse même des femmes aimées ?
Pourquoi une prostituée thaïlandaise m’a dit un jour que l’amour est avant tout une affaire d’odeurs subtilement parfumées ?
Non Pablo, quand je vous ai quitté, vous durcissiez votre position avec le Requiem de Verdi. La Culture était alors le Dies Irae et le Libéra. Point de milieu. Je veux bien accorder que c’est curieux pour quelqu’un qui vient précédemment de citer Rameau, mais il vous fallait choisir pour ridiculiser Paul Edel.Tout cela constitue des remugles peu glorieux, mais vous les avez bel et bien brandis . Que vous ayez réfléchi aux conséquences, je ne le crois pas une seconde. Il suffit de vous lire pour en avoir la preuve. MC
Non Pablo, quand je vous ai quitté, vous durcissiez votre position avec le Requiem de Verdi. La Culture était alors le Dies Irae et le Libéra. Point de milieu.
MC dit:
Tu as du mal à comprendre le français (à ta place je m’inquiéterais). À quelqu’un qui me dit que la Culture est « un pont […] souvent dans l’intelligence légère, la drôlerie, et même la gaieté » je lui réponds que la Culture est AUSSI le contraire, avec des exemples.
Si tu me dis que pour toi la journée est avant tout le jour et je te dis que elle est aussi la nuit, je suis en train de nier l’existence du jour?
Si tu as des problèmes pour comprendre une logique aussi élémentaire, va voir un neurologue, parce que ton cerveau est en train de tomber en panne, mon pote (et je te le dis très sérieusement).
Pourquoi le suicide c’est tout tragiquement le doute allant chercher le vrai dans l’au-delà ?
Samuel dit:
si le suicide c’est ça, il n’a rien de tragique.
*
Pourquoi on se lasse même des femmes aimées ?
Samuel dit:
Pourquoi tu prends ce qui t’arrive à toi pour règle générale?
Samuel, quand j’étais plus jeune, concernant l’amitié entre un homme et une femme( entre une femme et un homme) je pensais que pour y avoir accès, qu’elle soit viable, opérante, ressentie, très souvent il était nécessaire de se débarrasser du désir ( amoureux et/ou sexuel) et ainsi que seul les hommes avec qui l’acte avait trouvé cours étaient rendus à l’amitié. Maintenant, au seuil de l’éternité, je ne sais plus rien de l’amour, de l’amitié et j’en suis venue à dire que j’aime tout le monde de la même façon un peu insipide avec une préférence toutefois pour les animaux . Au moins eux ne parlent pas pour exprimer ses idées ou des sentiments oiseux ou des choses discutables, déplaisantes, spacieuses,mensongères.
( spécieuse *) Closer, j’ai suivi votre indication pour Sidérations, je vais finir par croire que cet auteur n’écrit pas pour moi, avec du Temps où nous changeons, c’est le second que je ne parviens pas à lire. Il m’ennuie, je renonce.
Bloom, les anglais sont surement plus ouverts à la mixité ethnique cependant les droits d’inscription dans les facs sont tellement élevés que je doute que l’entreprise aille beaucoup plus loin que l’équivalent de la scolarité secondaire , 10 000 euros au plus bas par an ne sont hélas pas à la portée de tous les budgets. Le poulet massala n’est-il pas en dehors du symbole qu’un gadget rassurant, ici nous avons le couscous bien qu’il ne figure dans aucun discours officiel. Macron est plus que critiqué par les enseignants après ses dernières suggestions, ces derniers se demandent si le nouveau et jeune ministre ne sera pas qu’un homme de paille á son service. C’est la seconde fois qu’EM se prononce au début d’un ministère, avec le prédécesseur de G.A, il avait contraint le nommé à acquiescer en public à des propositions le conduisant involontairement à remuer la tête un peu comme ces petits chiens qui ornaient jadis la plage des voitures faisaient la joie des enfants.
Chantions*
Mouvement pas dissout mais les voies du seigneur sont impénétrables
VENDREDI 25 AOUT 2023, 5h49
Ouf ! La journée de deuil d’hier a été épuisante pour les mélomanes politiques adorant WAGNER, dont certains membres de l’Institut Bartabacs de Porquerolles qui en font partie, et qui révèrent sans retenue cet ange de mort défunté accidentellement.
Il est vrai que Dracul PUTIN n’aime pas les humanistes à la PRIGOGINE formé en cuisine soviétique au haché-menu militaire qui rapporte gloire et roubles sonnantes, parfois trébuchantes…
Heureusement, la farce continue.
Dieu merci, l’Empire du Bien regorge de compositeurs et musiciens remarquables en attente, l’Empîre du Mal, de même !
Plutôt que chercher un compositeur dans nos citernes, pourquoi pas Glinka ?
@Mais que faisait Marie Sasseur à Dieppe, aujourd’hui ?
La tafiole s’est trompé d’adresse. Il faut qu’il consulte un proctologue.
Lu le post de Puck, et en me souvenant de l’expression consacré par Adorno, je me suis dit : « Voilà l’exemple typique du fasciste de gauche », car si la famine a tué des milliers d’enfants Iraniens, les premiers et seuls responsables sont les criminels qui gouvernent ce pays (voyez encore aujourd’hui) qui avaient un tas de préoccupation contingentes (ou spirituelles, c’est selon) sauf celle de nourrir leur population.
Pas envie de m’attarder sur sa critique de l’Occident fondée sur la paranoïa des fascistes de Moscou, je comprends néanmoins que, toujours selon l’expression consacrée par Adorno, puck ne soit pas capable de faire les distinctions qui s’imposent.
Incidemment, Adorno parle de « fascistes de gauche » dans une lettre à Beckett.
charolais lui donnera les coordonnées d’un spécialiste. Il a le fondement sensible. Il a par ailleurs déposé une plainte auprès de Passou.
Pas envie de m’attarder
Tu as raison René.
Le vent se lève.
« Le film était…moyen ; il ne restera pas dans l’histoire mondiale du cinéma. Palme d’or ? Le jury n’a rien trouvé de mieux ? »
C’est certain, ce n’est pas du Musset dans le texte.
charolais était seul l’autre jour au cinéma dieppois
Presque seul, avec sa prostate et ses boules.
Et il se demandait : Est-ce assez d’admirer ?
Est-ce assez de venir, un soir, par aventure,
D’entendre au fond de l’âme un cri de la nature,
D’essuyer la goutte, et de partir ainsi,
Quoi qu’on fasse d’ailleurs, sans en prendre souci ?
______
» Sous votre aimable tête, un cou blanc, délicat,
Se plie, et de la neige effacerait l’éclat. «
Iraniens,
Ne s’agissait-il pas de l’Irak et de la guerre justifiée par le recel supposé par ce pays d’armes chimiques ou bacteriologiques? Vu il y a peu un téléfilm allemand expliquant l’origine du mensonge d’état, après vérification le scénario provient bien de la réalité des faits, les services secrets allemands (ou la Chancellerie?) n’ont pas fait part du mensonge , la CIA n’ignorant rien de la supercherie ont continué de répandre la fausse info. Au départ un réfugié cherchant un statut raconte en fait pour vraie l’hypothèse issue d’une thèse récupérée sur le Web de l’existence de camion usine et donc itinérants et indétectables.
Camions.*
B, je n’ai rien pu vous dire sur Sidérations que je n’ai pas lu. Je n’ai rien lu de Richard Powers.
Malheureuse Sasseur !
« Marie était laide. Heureuse, elle eût peut- être été jolie. Nous avons déjà esquissé cette petite figure sombre. Marie était maigre et blême ; elle avait près de soixante ans, on lui en eût donné quatre-vingts. Ses grands yeux enfoncés dans une sorte d’ombre étaient presque éteints à force d’avoir pleuré de rage. Les coins de sa bouche avaient cette courbe de l’angoisse habituelle, qu’on observe chez les condamnés et chez les malades désespérés. La lumière qui l’éclairait en ce moment faisait saillir les angles de ses os et rendait sa maigreur affreusement visible. Comme elle tremblottait toujours, elle avait pris l’habitude de serrer ses deux genoux l’un contre l’autre. Tout son vêtement n’était qu’un haillon qui eût fait pitié l’été et qui faisait horreur l’hiver. Elle n’avait sur elle que de la toile trouée ; pas un chiffon de laine. On voyait sa peau çà et là, et l’on y distinguait partout des taches bleues ou noires qui indiquaient les endroits où son amant l’avait touchée. Ses jambes nues étaient rouges et grêles. Le creux de ses clavicules était à faire pleurer. Toute la personne de cette vieillarde, son allure, son attitude, le son de sa voix, ses intervalles entre un mot et l’autre, son regard, son silence, son moindre geste, exprimaient et traduisaient une seule idée : la haine. »
Oh Marie…
Bof, contrairement à ce plagiaire professionnel, Hugo a fait de Cosette ce que cette tafiole hait par dessus tout: une belle femme.
…Dommage je préférais la version précédente
…
https://youtu.be/Wg6m15-djqA?feature=shared
C’est bien d’étudier les autres
Indeed dear Bloom, merci pour ce spin-off de la diversité chez nos amis brits. La France a du retard, blocages subliminaux dus à des « élites » endogames, un Premier colored n’est pas pour demain. Le chicken massala, plat star de MarksSpencer, en faillite à Paris.
Mr Charoulet, tombeur de Bouguereau, satyre à Dieppe.
Khan, gaffe sur le fait que les Londoniens ne sont plus blancs.
Bon, B, ai commis une erreur. Reste que puck est un fasciste de gauche comme tous ceux qui justifient l’agression russe en niant ainsi aux Ukrainiens le droit de choisir leur destinée.
Pablo, veuillez lire le compte rendu de B qui vous est aussi adressé. En substance : on ne commence pas systématiquement par dire « tu n’as rien compris » quand on veut exposer une conception duelle. J’ajouterais qu’on ne l’expose pas quand on mobilise trois pamphlétaires.Il y a une logique élémentaire qui paraît ici vous echapper. MC
Closer, bizarre, c’est sûrement votre frère.
Une chanson m’a tiré les larmes, nostalgie augmentée d’un manque de sérotonine.
Marie Sasseur, on dine au frais si toute la journée les arbres ont laissé à l’ombre les constructions susceptibles d’emmagasiner de la chaleur, si le sol et la végétation sont régulièrement arrosées, etc, etc., et si on boit l’apéro à l’intérieur jusqu’à ce que l’heure tardive permette de profiter d’une température plus aimable (c’est le savoir vivre). Il reste à régler la question des moustiques. Chacun a ses trucs.
Si on cherche une bibliographie ad hoc, voir Pontormo, Catalogue raisonné de l’œuvre peint, Philippe Costamagna, Gallimard. (cinq ou six pages de biblio.)
Dans son Journal, Jacopo da Pontormo note jusqu’en 1556 (alors qu’il meurt en 1557) ce qu’il mangé, avec qui, (et si ça lui fait mal au ventre) et à quel morceau des fresque de San Lorenzo il a travaillé. Je n’ai rien suspecté (mais je ne savais pas alors que L. Binet enquêtait).
Dans le doute, suspectons le Pape.
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