de Pierre Assouline

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La République des livres
Les bouquinistes n’ont pas la forme olympique

Les bouquinistes n’ont pas la forme olympique

A Paris, la Seine coule entre des livres et des gravures depuis quelques siècles. On dit qu’ils l’empêchent de déborder. Combien d’autres villes à travers le monde peuvent s’enorgueillir d’un pareil privilège ? C’est une façon de voir les choses. Une autre consisterait à préciser que d’un côté du fleuve siège la mairie de Paris et de l’autre, la Préfecture de police. En ce moment et pour les douze mois à venir, elles ont un souci commun : les Jeux olympiques d’été Paris 2024.

Puisque pour la première fois de leur histoire la cérémonie d’ouverture se déroulera hors stade, ce ne pourra être que sur la Seine. Il n’est pas de plus bel écrin pour ce défilé. En principe, malgré leur excellence dans la performance, il n’est pas prévu que les athlètes marchent sur l’eau. Les 10 500 sportifs navigueront donc d’est en ouest, du pont d’Austerlitz au pont d’Iéna, sur des embarcations prévues à cet effet sous les yeux de 600 000 spectateurs. Entre des livres et des gravures, ce serait bien le moins pour la capitale d’une nation qui passe pour littéraire. Cela aurait de la gueule. Sauf que les organisateurs ont averti à la mi-juillet que les bouquinistes devaient démonter leurs boîtes, dégager et faire place nette.

Tollé ! Haro sur les bouquinistophobes ! Après une pétition rappelant que les bouquinistes étaient « l’âme de Paris » et que sans eux Paris ne serait plus Paris, on a pu lire dans Le Monde un appel d’intellectuels avertissant gravement et solennellement, avec un sens inédit de la nuance :

« C’est là un enjeu, l’un des plus nobles et sacrés qui soient, de civilisation face à la barbarie montante en ces temps troublés, y compris sur le plan politico-idéologique, par une croissante, inquiétante et parfois agressive, inculture ! « 

Rien de moins ! La mairie se défend : il s’agit de sécuriser l’espace à commencer par les gradins et de libérer la vue pour accueillir les spectateurs de la fameuse cérémonie d’ouverture et ceux des épreuves nautiques. La préfecture itou : il faut parer à la menace terroriste et permettre aux démineurs de déminer le long des parapets en vertu d’un article du Code de la sécurité intérieure. On le sait : le problème dans la vie, c’est que chacun a ses raisons. Les intéressés aussi. Ce qui les révolte, ce n’est pas de fermer boutique (tout Parisien doué de raison devrait fuir Paris en juillet prochain) mais de la déplacer. Sur les 230 bouquinistes inscrits au registre du commerce, environ 150 de ces autoentrepreneurs sont donc priés d’aller voir ailleurs avec leurs quatre boîtes, maximum autorisé. Or celles-ci sont aussi anciennes que ce qu’on y trouve. Leur fragilité les rend difficilement démontables, transportables et remontables.

Souvent leurs boulons sont rouillés ; leur étanchéité tient à un réglage millimétré hérité d’un savoir-faire ignoré des déménageurs ; à la moindre indélicatesse, elles peuvent se briser ; chacune est unique. A la préfecture, « le bureau des interventions et de la synthèse » (un nom pareil, il fallait y penser) qui gère le dossier a dû s’en délester auprès d’un algorithme fou avant de demander à l’Intelligence artificielle comment rendre les parapets orphelins sans se les mettre à dos. De partout on s’indigne. C’est l’âme de Paris qu’on assassine !

D’un côté, des bouquinistes raillent les beaux esprits qui s’enflamment pour leur cause en observant que si ces derniers s’étaient faits moins rares, ils n’auraient pas de problèmes de fins de mois en début de mois (sans oublier que les plus fidèles clients des bouquinistes exclusivement littéraires sont avant tout des amateurs d’éditions originales de Céline, Rebatet, Drieu La Rochelle, Morand…) ; de l’autre, on remarquera que la majorité des lecteurs le sont avant tout de nouveautés qu’ils ne sont pas censés trouver dans les boîtes (en principe…). De plus, tourisme oblige et nécessité faisant loi, les livres anciens ont de plus en plus tendance à laisser la place aux images en tout genre (cartes postales, photos, estampes, gravures, affiches, Unes historiques de journaux, etc.) sur les étals des bords de Seine, même si une boîte sur quatre a le droit de vendre plus de souvenirs que de livres et d’estampes.

Certains bouquinistes menacent de s’enchaîner à leurs boîtes, d’autres d’y mettre une enclume. Leur emblème est ainsi blasonné : « D’azur party de gueules à la boîte à bouquins soutenue de pierres, au chef d’argent au lézard convoitant l’épée ». Car à l’instar du reptile, ils cherchent le soleil ; quant à l’arme blanche, les libraires avaient autrefois le privilège de la porter. Les bouquinistes de la Seine, combien de divisions ? Pour l’instant, ils présentent un front uni. Mais le temps presse. Un ultimatum leur a été lancé par la mairie : d’ici la fin de ce mois, l’affaire doit être réglée. Qu’ils acceptent de s’exiler ailleurs dans Paris ou pas, on ne leur propose pour toute indemnité que de rénover leurs boîtes alors que tout le processus les empêchera de travailler pendant des mois. La mairie propose, la Préfecture dispose. Or celle-ci n’en a que pour la sécurité. Tout le reste n’est que littérature.

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

1 276 Réponses pour Les bouquinistes n’ont pas la forme olympique

lmd dit: à

Renato, j’ai écouté, regardé, votre lien montrant Frank Zappa dirigeant Dog Breath Variations. Cette musique un peu assise ne renverse pas grand chose et me laisse perplexe. Je n’ai pas suffisamment écouté FZ et ses multiples tentatives et inventions pour m’y retrouver. J’ai cependant observé que tous les musiciens de son orchestre portent une chemise blanche et des bretelles noires sauf lui (une chemise noire et des bretelles blanches). Je pense que cela dénote une intention formaliste tempérée par un soucis de convivialité… J’ai une affection un peu lointaine pour FZ.

Rosanette dit: à

@Closer
j’avais lu en leur temps des souvenirs autobiographiques d’Aldo Naouri
Une jeunesse vécue dans la misère avec une mere immigrée, issue du proletariat judéo-libyen et étrangère à la civilisation dans laquelle sa famille avait à s’insérer
Et, miracle de l’assimilation ,cela donne pour la premiere generation Aldo Naouri et a la generation suivante Agnes Desarthe
Mais le vrai miracle , c’est que dans ces milieux ce genre de parcours rapidement assimilateur, n’est pas exceptionnel; certes ,ils ne produisent que rarement des figures marquantes -aussi rarement que les autres lignées fussent-t- elles de « souche »-, mais les descendants ,des la premiere generation sont toujours des gens parfaitement immergés dans la culture et la langue de leur monde d’adoption

Nicolas dit: à

Closer, j’ai lu aussi cette première partie de notre journaleux préféré, au delà du fait que je ne suis pas tourné vers la nostalgie j’ai noté qu’une fois de plus il n’a rien à dire, c’est d’une platitude confondante. Du moins ce que j’en ai lu, Vian cité précédemment avait plus de panache si je puis dire. Bref cette personne à laquelle je m’intéresse peu, voir pas du tout, parce qu’elle ne présente aucun intérêt est transparente et dangereuse, j’ai une autre idée de la démocratie. Fin de l’aparté.

et alii dit: à

chez NADEAU
L’AVC comme phénomène social
3uriel Darmon montre ainsi que ce qui apparaît comme simplement biologique est en fait traversé de part en part par le social, les deux se mêlant. En amont, la possibilité de faire un AVC n’est pas la même en fonction des conditions matérielles d’existence et des pratiques des individus, contrairement d’ailleurs au topos qui se développe autour des récits d’AVC, celui du « coup de tonnerre dans un ciel serein ».
Muriel Darmon définit un « effet observateur » et un « effet patient » comme deux biais centraux de l’évaluation des pertes. Dès lors, « une compétence qui est objectivement perdue, mais qui n’est pas perçue par le médecin, le patient ou ses proches, n’a pas d’effet et, même, n’a pas d’existence ».
3Enfin, pendant la rééducation, la forme même que prend cette socialisation secondaire joue sur le processus de récupération. Cela est souligné dès le premier chapitre avec le récit différencié de l’AVC d’un grand patron et d’une chercheuse en neurosciences : s’ils appartiennent tous deux aux classes supérieures, pour l’un la rééducation marque durablement le « nouveau » capital culturel, « comme s’il portait la marque du caractère secondaire et scolaire de sa rééducation » ; pour l’autre, la récupération est totale grâce à une forme de « seconde socialisation primaire » à domicile par sa mère, qui est une ancienne professeure. Cet exemple montre combien la forme que prend cette nouvelle socialisation est centrale. Or, dans le cadre institutionnel, elle prend majoritairement une forme scolaire, qui passe par l’écrit, par des exercices et par des évaluations, y compris lorsqu’on touche aux domaines pratiques. Plus les patient·e·s posséderont les dispositions nécessaires pour s’adapter à cette forme scolaire, meilleure sera leur rééducation, et inversement. D’autant plus que les exercices sont marqués socialement :
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2022/12/10/darmon-reparer-cerveaux/

et alii dit: à

En 1973, le sociologue Mita Munesuke (1937-2022) publie un long article conjuguant avec audace l’analyse du cas N. N. avec des données quantitatives, mais aussi avec la lecture du cas Genet produit par Sartre. C’est cet article de sociologie devenu un classique au Japon que publient en français les éditions du CNRS, une traduction qui coïncide avec la disparition de Pierre Legendre, auteur d’une fameuse étude sur une autre figure criminelle, celle du caporal Lortie.
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2023/05/10/sociologie-passage-acte-munesuke/

MC dit: à

« voire pas du tout? »

Phil dit: à

Mon collègue m’apprend la mort

Ça morituri sec dans votre constellation de celebrities, dear jjj. Mandez-nous des crocs niques plus mort Dante, l’économiste Cohen a bien pu casser sa pipe en bataillant corps défendant pour les fendables 35 horace.

renato dit: à

lmd, Zappa se réfère au Pop, au sens Warholien du terme, ce qui englobe le baroque et le minimalisme, le bruit et la chanson, le jingle et l’avant-garde cultivée, le mélodrame et le film de série B, la primordialité et l’électronique.

Un ami qui avait assisté à sa première direction au War Memorial Opera House de San Francisco (1983, il me semble), m’a décrit sa manière Webernienne d’exécuter Varèse et Varésienne d’exécuter Webern. On peut voir cette approche dans l’écriture aussi. Varèse et Stravinsky sont très présents, ce qui était déjà le cas, bien que moins radical, à l’époque du très-très long, donc d’écoute plutôt ardue, Brown Shoes don’t make it (apprécié par Cathy Berberian et Berio) — incidemment bien à part l’anecdote du président Johnson en complet gris et chaussures marron, le texte tourne autour de la conviction de Zappa que le gens qui font les lois sont sexuellement mal fichus —.

Bon, sortons de l’anecdote. La musique de Zappa serait à écouter comme une stratification, un territoire où il aurait creusé en révélant des moments sonores (voir certains tableaux de Kooning où on voit des allusions à des sujets que l’œil connais déjà — Marylin, p. ex.), car en se mettant en relation avec l’œuvre d’autres musiciens il tente de disloquer la pensée qui les a produites.

Enfin, je deviens ennuyeux !

Pour ma part, regrets d’avoir manqué le concert de Rome, présenté par Robert McDuffie, à cause du covid.

Janssen J-J dit: à

non hélas, il n’avait pas réussi à empêcher le prétendu ennemi de la finance à donner quitus à el Khomri et touraine pour désinguer le code du travail et attaquer la sécu…
Vous ne respectez rien, fil, comme tous les cyniques de cette chaine, je le regrette, mais suis habitué au déceptivisme perpétuel, même à l’égard des bons qui communient dans la seule corresp. des postmodernistes Morue & Chardavoine.
M’en remets-j, mais n’oublie jamais rien. Je reset.

J J-J dit: à

@ Enfin, je deviens ennuyeux !
Mais non, mais non …

J J-J dit: à

Zappa photo !

Pablo75 dit: à

« Un ami qui avait assisté à sa première direction au War Memorial Opera House de San Francisco (1983, il me semble), m’a décrit sa manière Webernienne d’exécuter Varèse et Varésienne d’exécuter Webern. […] Bon, sortons de l’anecdote. La musique de Zappa serait à écouter comme une stratification, un territoire où il aurait creusé en révélant des moments sonores (voir certains tableaux de Kooning où on voit des allusions à des sujets que l’œil connais déjà — Marylin, p. ex.), car en se mettant en relation avec l’œuvre d’autres musiciens il tente de disloquer la pensée qui les a produites. »
renato dit:

Celle-là je la garde pour mon livre sur la connerie infinie du faux art du XXe siècle…

Le plus drôle c’est que même l’auteur de ce texte se rend compte du fait qu’il est en train de parler de choses sans le moindre intérêt qui n’ont rien à voir avec la musique: « à l’époque du très-très long, donc d’écoute plutôt ardue, « Brown Shoes don’t make it » (apprécié par Cathy Berberian et Berio) […] Enfin, je deviens ennuyeux ! ».

Dans un siècle on se demandera comment autant de crétins du XXe ont pu avaler sans broncher autant de nullités frauduleuses enveloppées dans du blablabla aussi creux que le tunnel du Mont Blanc.

Pour tous les renatos au goût esthétique gâté par la bêtise la plus crasse et le snobisme le plus débile, un peu de vraie musique:

Nicola Porpora – Polifemo: « Alto Giove » – Simone Kermes

https://www.youtube.com/watch?v=025jvtBm03o

renato dit: à

Ces concombre-de-mer75 qui écoute la musique en analphabète, semble persuadé que ses opinions ont un quelque intérêt.

renato dit: à

Bon, c’est vrai que comme tous les parvenus, concombre-de-mer75 achète les livres au kg.

Pablo75 dit: à

@ Renato

Tu écoutes la musique en savant (raté) mais tu as un goût de chiotte qui t’empêche de jouir de la musique. Tu es un impuissant de l’oreille, doublé d’un esnob inguérissable.

Pablo75 dit: à

@ Renato

Avec l’éducation privilégiée que tu as arriver à la fin de ta vie en étant si nul, est un vrai exploit.

Renato ou le génie du ratage.

renato dit: à

Pauvre concombre-de-mer75 il a manqué sa vie et il se persuade que c’est de même pour tout le monde.

Pablo75 dit: à

Renato, le génie qui sait tout mais ne comprend rien.

renato dit: à

Alors, concombre-de-mer75, personne ne vous a dit que le mot génie est à employer avec parcimonie ?

Nicolas dit: à

MC, tâchez de faire preuve de savoir être

Clopine dit: à

Depuis tant d’années que je viens ici, je dois déjà en avoir parlé, forcément. Telle que je me connais, j’ai dû mettre en ligne les paroles, essayer d’être convaincante pour mettre en appétit les erdéliens, bref, tenter de partager mon plaisir…

En ces jours où tout est si menaçant (nous le savions, nous l’avons toujours su, nous refusons de l’admettre, appelez-moi Cassandre et ne me croyez pas, ahaha), je me découvre une envie de plaisirs simples (enfin, « simples », si on veut. Tout ici est architecturé avec un soin extrême, on sent le lecteur d’Hugo, revu à la sauce oulipienne, si j’ose dire.

Bref, bref, je partage :
https://www.google.com/search?q=timol%C3%A9on+le+jardinier&rlz=1C1CHBF_frFR936FR936&oq=timol%C3%A9on+le+jardinier&aqs=chrome.0.0i355i512j46i512j0i512j69i60j69i61.4041j0j15&sourceid=chrome&ie=UTF-8#fpstate=ive&vld=cid:c9499a31,vid:WBUaLkrUA34

Damien dit: à

Cet après-midi, j’ai feuilleté le bouquin de Sarkozy. Environ 500 pages. Je suis incapable de lire ça, cette apologie continue de soi-même. cette défense du rien. Cette autopromotion du néant. Mais je vous invite justement à voir les choses différemment. Ce énième volume de ses mémoire montre que Sarko est toujours là. Qu’il est même devenu… l’homme providentiel. Lui seul peut battre Marine Le Pen ! Il faut simplement qu’il fasse des promesses sociales — c’est-à-dire des promesses électorales. Je vois très bien Sarko effectuer un second quinquennat, et remettre la France au travail (comme Mussolini). Il y met de la bonne volonté. Bon, sur l’Ukraine ce n’était pas ça du tout… On oubliera. Les vieux réflexes ravageurs sur la Russie. Sa fierté d’avoir rencontré Poutine d’homme à homme. Il devra se corriger un peu, au fond comme toute la droite européenne, pro-russe. Sarko est compatible avec la démocratie, voilà l’essentiel. Donc, son retour est envisageable. Et utile. Je vais le feuilleter encore un peu, son bouquin, pour me faire une idée. Son programme ? Allez, bonne journée. Repassez me voir quand vous aurez des arguments.

closer dit: à

Pourquoi ai-je écrit Constantine alors que c’est à Orléansville que la famille Naouri a débarqué en venant de Libye ? L’accueil de la communauté juive locale est décrit comme « calamiteux » par Aldo N, à cause de leur accoutrement oriental. Leur père qui se rendait pieusement chaque 14 Juillet au consulat de France à Benghazi était mort avant la naissance d’Aldo et le reste de la famille ne parlait que le judéo-arabe. N’empêche que le frère aîné d’Aldo s’est fait appeler « Monsieur » pour la première fois de sa vie en franchissant la frontière tunisienne. En Libye c’était « chien de j… » du matin au soir.

Une mère exceptionnelle, une ascension sociale idem…Et beaucoup d’anecdotes savoureuses dans cet entretien.

Damien dit: à

Le dernier candidat à avoir eu un programme politique, c’était M. Balladur. Et Chirac, qui n’avait pas de programme, l’a devancé. « Je vous demande de vous arrêter ! » Moi, je crois beaucoup à l’hypothèse Sarkozy pour 2027.

Bloom dit: à

Rosanette, les 3 exils d’Algérie , de Benjamin Stora. Magistral. C’est que l’Histoire et l’histoire se croisent.
Le reste est de la feuille à Frqance Dimanche.

Damien dit: à

Sarkozy a mûri. Il est toujours aussi bling-bling, mais il le montre moins. Et puis on a oublié le pavé de Buisson, qui était du reste un livre remarquable. Que j’ai lu. Donc, si Sarko revient, vous aurez intérêt à lire « La cause du peuple », je l’ai rangé dans un coin, certain qu’il allait encore m’être utile.

Damien dit: à

Même Bloom il va voter pour Sarko, quand la question sera : Marine, ou comment s’en débarrasser ?

Damien dit: à

Sarko pourrait refaire éventuellement DEUX mandats consécutifs. L’article 6 de la Constitution le confirme entre les lignes : « Nul ne peut exercer plus de deux mandats CONSECUTIFS. » Allez, c’est dans la poche !

Phil dit: à

Morue & Chardavoine

Très bon, dear jjj, il devenu rare de sourire sur le prestigieux blog à passou, effet des 35 heures amollissantes probablement. M. Char au lait, qui n’apprécie pas le brocard d’âge, a cité ici une lettre de Chardonne à Galey que ne connaissais pas. A retenir simplement, « le peuple est idiot ».

renato dit: à

Quelqu’un, les jours derniers, a parlé d’abeilles. Vous pouvez télécharger l’appli « BeeWild », pour recenser et surveiller les colonies d’abeilles non gérées par des apiculteurs.

lmd dit: à

Pablo 75, je vois que la réponse de renato à ma question concernant Zappa vous a conduit à vous exprimer avec votre violence habituelle à l’égard du « faux art du XXe siècle». Mais j’ai observé que ces jours-ci vous avez mis des liens vers des enregistrements des Blues Cousins ou Klaus Schulze qui sont des musiciens que je trouve bien moins valeureux et créatifs que Zappa. Je me demande ce que représentent pour vous ces musiques pour que vous souhaitiez les partager ?

D. dit: à

C’est intolérable d’employer ce terme « d’écouter la musique en analphabète ». Et comme par hasard c’est ce vieux débris de renato avec ses neurones à lampes et ses programmes pourris bugués des années 80 qui vient nous sortir ça.
La musique est in langage universel qui n’a besoin d’aucun alphabet pour être entendue au sens propre et figuré, espèce de fiefé vieux Connard de Colmar.

renato dit: à

Tien le poutiniste dédé, autre concombre de mer, donne son opinion. Il y a évidemment deux possibilités d’écoute, pas besoin de ce réacs pour le savoir, mais l’autre concombre de mer en bon parvenu écoute la musique comme il achète ses livres : au kg.

renato dit: à

Par ailleurs, L’Endive, Brown Shoes don’t make it est de 1966, enregistré en 1967. Donc, « programmes pourris bugués des années 80 », vous le rangé dans un coin quelconque de votre immense propriété imaginaire… et la prochaine fois prenez quelques infos avant de causer comme une poule hypnotisée.

Pablo75 dit: à

Je me demande ce que représentent pour vous ces musiques pour que vous souhaitiez les partager?
lmd dit:

Elles me plaisent. Cela suffit.

Je ne suis pas comme Renato, qui concernant l’art en général et la musique en particulier, est comme un mécanicien qui connaîtrait très bien les moteurs des voitures mais qui n’as pas le permis de conduire.

Pablo75 dit: à

Renato connaît la théorie musicale, mais il n’a pas compris encore que la musique ne s’écoute pas avec le trou du cul.

renato dit: à

Tiens, revoilà Concombre-de-mer75, qui nous raconte sa vision du l’autre, sans doute dictée par le poids des livres qu’il achète au kg.

Pablo75 dit: à

Renato il a fait ses études théoriques dans cette vie. Pour la pratique il n’a pas commencé encore, il laisse ça pour la prochaine vie (s’il ne naît pas encore avec les sens bouchés, comme dans celle-ci).

renato dit: à

Toujours plus délirant le Concombre-de-mer75, avec la grossièreté qui caractérise le parvenu.

Pablo75 dit: à

Renato est un animal à sang froid. Après de décennies d’écoute musicale, il ne sait pas encore ce qui lui plaît et ce qui ne lui plaît pas. C’est un théoricien de la bouillie musicale. Pour lui les bruits arbitraires de Boulez et la musique sublime de Bach c’est la même chose. Renato est la parfaite illustration du Crétin Esthétique du XXe siècle, définitivement fasciné par toutes les couillonnades avant-gardistes que les cyniques nuls ont pu inventer.

Lui il a tout avalé, sans faire la distinction entre la merde et l’Art vrai.

renato dit: à

Pauvre Concombre-de-mer75. Ça doit être un de ces pauvres gars qui ont visé très haut et ils se sont retrouvés dans la poussière en compagnie de leurs illusions. De là l’achat compulsif de livres et cette rage qui le ronge e l’accompagne : jaloux va.
Bon, maintenant j’ai Martini Dry et une meilleure conversation.

Pablo75 dit: à

un de ces pauvres gars qui ont visé très haut et ils se sont retrouvés dans la poussière en compagnie de leurs illusions.
renato dit:

Excellent auto-portrait d’un type qui a eu tout dans la vie pour devenir un grand artiste mais à qui sa famille n’a pas pu acheter l’essentiel: l’intelligence, la créativité, la lucidité. D’où le lamentable échec de sa vie qui résume si bien la nullité de ses photographies (c’est tout ce qu’il sait faire après tant d’études artistiques: appuyer sur le bouton de l’appareil photo le plus cher possible).

B dit: à

renato, Pablo est guitariste et pas des plus mauvais. Je suppose que les gouts et les couleurs devraient continuer de ne pas avoir à être discutés. Être musicien cela suppose une oreille et une sensibilité

B dit: à

Ceci dit, quand j’entends des experts, musicologie, concertiste, chefs parler de leur approche musicale et de ce qu’ils perçoivent et comprennent je me fais l’effet d’être sourde et attardée mentale.

renato dit: à

Jaloux va.

renato dit: à

« Je suppose que les gouts et les couleurs devraient continuer de ne pas avoir à être discutés. »

Ça il faut le dire au parvenu, B, pas à moi.

J J-J dit: à

@ « le peuple est idiot ».
Profond, ce Galet ! et Geneviève, est-elle toujours en vie ?
@ L’ivraie de lard frais /faire la distinction entre la merde et l’Art vrai/. J’avoue humblement pmp ne pas toujours savoir faire la différence, mais aij appris qu’il n’y avait pas que moij. (d’RPTV à BLBG).
@ Merci Dexter pour votre sourire, j’imagine-j le pouvoir que je puisse avoir sur vous, depuis tant de temps !
@ 16 h, je suis sorti d’Erri de Luca, dans le jardin, vérifier si mes tomats étaient bine protégées. il faisait 44°C à l’ombre dela bouillée des seringas flétris. Je suis resté à la fraiche dans une relative obscurité. Je le note, car c’est un jour historique, le premier d’une longue série avant le grand départ.??? J’epsère que les erdéliens ont sur rester réhydratés. Je n’aimerais pas apprendre que d’aucun.es eussent fait des bêtises à cet égard, au point d’imaginer Sarkozy en sauveur de la France maréchalisée…
***A tout prendre, je conseille en alternative avant cette cata, ce bon polar de Franck Thilliez. Pas d’souci, il finit plutôt bien pour le lieutenant, sa promise et leurs deux enfants. Mais ils ont eu chaud, hein !
https://www.babelio.com/livres/Thilliez-Sharko/930267

Pablo75 dit: à

Pour Renato l’Aristocrate de Mes Deux, Marquis tu Trou du Cul, qui traite de « parvenus » les gens qui lui mettent le nez dans sa nullité :

Rameau – Les Boréades – Entrée de Polymnie
Marc Minkowski
https://www.youtube.com/watch?v=2V8O8W30sH4

B dit: à

Si même les amoureux de l’Art s’envoient des missiles! Concernant Boulez on entend tout et son contraire de la part des critiques musicaux. Il y a peu j’écoutais je ne sais plus quoi dirigé par PB, pour moi le compte n’y était pas sans que je puisse expliquer pourquoi. Après, il a peut être été inégal. Zappe lui se reconnait tout de suite par le style et la structure de ses oeuvres, preuve en est, même les débiles dans mon genre le peuvent .

renato dit: à

Le parvenu75 délire dans l’insulte. L’échec de sa vie doit vraiment le ronger.

B dit: à

3J, j’ai atteint la 1ère bouée sans rencontrer de méduses, j’ai aussi peur des requins et quand je nage j’en imagine un se pointer avec son museau sympathique, cool la baignade! Il y a deux jours douze dauphins à 300 mètres, je n’en ai compté que quatre mais les sauveteurs qui ont un bateau les ont filmés. C’est la première fois que j’en aperçois ici non loin du rivage. Demain je tente la seconde bouée s’il n’y a pas de méduses. Eau à 27.

Pablo75 dit: à

@ B

Écoute l’Entrée de Polymnie de Rameau que j’ai mis plus haut, et après écoute cela, dont notre Vicomte de Colmar et ses alentours, raffole:

Pierre Boulez – Répons [46 min de sadisme sonore]

https://www.youtube.com/watch?v=JhQ2AZsK7Os

Et une fois cela fait, tu me répètes la phrase la plus tarte à la crème de l’histoire de l’Esthétique:

« Je suppose que les gouts et les couleurs devraient continuer de ne pas avoir à être discutés. »

Janssen J-J dit: à

,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,
@ des crocs niques plus mort Dante,
non, j’y arrive pas…, c pas mon style… On m’a tjs reproché de pas savoir être assez méchant très longtemps pour me cuirasser des attaques des kons, pourtant j’essaie un brin, mais j’y arrive pas, car aij toujours pensé qu’ils étaient tous amendab’, que c’était pas leur faute. Et c’est pas à cause de mon gêne de la générosité, après vérification de sa présence, tel que l’avait imaginé mon ami Richard Powers…
Dieuj veille sur lui, l’est encore bin vivant, celui là et pour longtemps encore !
https://www.lemonde.fr/livres/article/2011/03/24/generosite-de-richard-powers_1497686_3260.html

MC dit: à

Phil , Lettre ou Chardonne dezingue les Morand, ce qui ne doit pas l’empêcher d’écrire à Paul M régulièrement! On ne précise pas si la lettre est en vente chez les bouquinistes. MC

B dit: à

Pablo, n’attendez pas de moi des fulgurances, je ne suis qu’une coiffeuse anonyme, sans valeur, sans diplômés supérieurs, sans grande culture. Suis hors compétition, loin des superlatifs que je n’aime pas, loin de pouvoir donner un avis éclairé.

Janssen J-J dit: à

B. me fait toujours penser à la nuvelle académicienne qui aime tant nager. L’an dernier elle s’ennuyait un peu comme Pauline à la plage. Mais aujourd’hui, elle a décidé d’affronter le danger, d’aller jusqu’à la 2e bouée. L’est formidab’ ! Pour moi, la t° de l’eau serait bien trop chaude… Quel bouillon, non ?

renato dit: à

Don Carlo 1978 dirigé par Claudio Abbado, mis en scène par Luca Ronconi.
https://lascala.tv/it/evento/03823dd2-d434-4109-b4af-46f211c72052

Riccardo Chailly reprendra pour l’inauguration de la Scala, saison 23-24, cet opéra de Verdi en raison de l’influence qu’il a eu sur le Boris Godounov de Moussorgski, qui a inauguré la précédente saison.

B dit: à

3J, c est agreable pour nager, le matin l eau est de claire à limpide, sans vagues, c est idéal. J en profite pour tenter de raffermir mon corps vieillissant.

Phil dit: à

Yes Mr Court, lettre étonnante mais il m’a toujours semblé que Chardonne avait un faible pour Galey ! A rendre jaloux l’autre Gallet, rebondi à L’os en gelé.
Ceci dit, pas souvenir dans la correspondance qu’il ait épargné un seul de ses contemporains (peut-être Marcel Aymé)

racontpatavi dit: à

J’ai connu un professeur qui a fait un doctorat sur Franck Zappa. Même qu’il fit encadrer un rare poster vintage des années prolifiques du musicien qui posait avec guitare et slip panthère! 🙂

Jean Langoncet dit: à

@L’article réussi dont nous parlions est le dernier où il évoque les vacances de son enfance provinciale d’un milieu modeste. Il commence ainsi:

Il poursuit ainsi : « (…)Ces étés à Bretignolles me rappellent que nous, les enfants nés sous de Gaulle seront les derniers témoins d’une France que les Trente Glorieuses, la déchristianisation et Mai 68 ont changé de fond en comble (…) »

Heu, non, rien … Ah si, le mec est né en 1965 et les épisodes historiques qu’il associe de manière absurde – pêle-mêle : les Trente Glorieuses, la déchristianisation et Mai 68 ! – pour suggérer qu’ils représentent la décadence d’une France enchantée et heureuse qui les précédait, petit rappel : deux guerres mondiales, la guerre d’Indochine, la guerre d’Algérie suivies de 60 ans de paix et de prospérité – Pascal est un enfant gâté

Des candidats à la présidentielle de 27 : tout prétendant se déclarant hostile à l’UE et au Conseil de l’Europe, ne serait-ce qu’à des fins démagogiques, ne mérite que le mépris

Janssen J-J dit: à

excellent exercice, B. ! Dans quelle eau matinale du globe vous raffermissez-vous, au juste, à 27°, -sans vouloir être indiscret- ?

renato dit: à

Et pour ne rien laisser de côté.
Mettez-y des sourcils. (Put eyebrows on it) – est une expression utilisée par Zappa pour dire qu’il fallait mettre un petit plus dans le jeu : la petite différence entre une bonne performance et un jeu d’expert époustouflant.
Peter Rundel partage cette expression depuis 1993, lorsqu’avec Frank Zappa il a créé The Yellow Shark lors de quelques concerts légendaires, après une année de répétitions rigoureuses avec l’Ensemble Modern de Francfort. Vingt-cinq ans plus tard, il a dirigé The Yellow Shark avec l’Ensemble Giorgio Bernasconi de l’Accademia Teatro alla Scala.

A la fois aboutissement et compendium de la carrière de Zappa, The Yellow Shark rassemble une vingtaine de morceaux, dont chacun a sa propre histoire : celles écrites spécialement pour le projet de 1993 ; les inédites, la mélodie de Pound for Brown remonte aux années 1950 ; celles tirées d’autres destinations comme Outrage at Valdez, pour le documentaire Cousteau, 1989 ; et les chansons d’albums entrés dans l’histoire du rock Uncle Meat, 1969 ; Roxy & Elsewhere, 1974 ; Jazz from Hell, 1986.

Histoire d’un œuvre créé par un artiste si peu conventionnel qu’il a pu habiter deux mondes : le rock et la musique classique contemporaine, avec la même pertinence et la même acuité critique et satirique.

1991 : l’Ensemble Modern de Francfort commande à Zappa un nouveau projet musical.
L’Ensemble se rend à Los Angeles pour répéter avec Zappa aux Joe’s Garage Studios. Lors d’une réunion entre Zappa, Andreas Mölich-Zebhauser le manager de l’Ensemble et Peter Rundel le directeur, Mölich-Zebhauser remarque le poisson exposé dans le quartier général de Zappa. Il s’agit d’une œuvre en fibre de verre offerte à Zappa par l’artiste Mark Beam ; ce n’est pas un requin, mais il y ressemble, et il est jaune.
1992 — The Yellow Shark devient le titre et le symbole du nouveau projet. Dans une série de concerts organisés en septembre à Francfort, Berlin et Vienne, Zappa et Rundel se succèdent sur le podium.
1993 — Sortie de l’album The Yellow Shark, qui rassemble 18 morceaux des concerts susmentionnés, en direct mais en grande partie post-produits. Il s’agit de la dernière œuvre enregistrée de Zappa, qui meurt en décembre.
2018 — Peter Rundel revient diriger la musique de The Yellow Shark pour la première fois depuis sa création et 25 ans après la mort de l’auteur. Porteur d’un magistère de direction d’orchestre qui s’est étoffé au fil des années et qui est reconnu par tous, Rundel est une mémoire historique irremplaçable de l’esprit et des conceptions performatives absolument atypiques de The Yellow Shark. Par exemple dans la mise au point du système de prise de son, que Zappa a défini dans les moindres détails pour chacun des 29 instrumentistes. Bien au-delà de la simple amplification, il constitue une véritable valeur compositionnelle coessentielle à la musique.
L’Ensemble Giorgio Bernasconi, coprotagoniste de cette nouvelle lecture, est un projet didactique original de l’Académie de la Scala, créé en 2008 : au cours d’une période de deux ans, il permet aux étudiants du cours pour professeurs d’orchestre de se plonger dans l’histoire du XXe siècle, d’une part, avec l’interprétation d’œuvres importantes de la littérature moderne et avec les recherches musicales les plus intéressantes et les plus significatives des compositeurs d’aujourd’hui.

Cela bien à part :
https://youtu.be/CmKK6RLGp1k

B dit: à

3J, c’est canicule dans le sud occitan aussi.

Jazzi dit: à

« Dans quelle eau matinale »

En Méditerranée, sur le littoral biterrois…

Patrice Charoulet dit: à

Sur le blog de Philippe Bilger, une commentatrice s’adrese à un commentateur en ces termes :

 « Vous n’êtes pas assez civilisé, c’est pourquoi le mot « diplomatie » n’évoque rien pour vous.
Vous êtes de ces barbares qui jouissent du crime, de la mort, de la souffrance, de la douleur, et pour que cela soit admissible, vous justifiez le crime ultime par le crime ultime.
« Civilisation », ce mot il faudrait vous le faire expliquer par votre mère, ou par une autre femme de votre entourage. Civilisation, c’est un truc à la con qui fait d’un homoncule, un homme. »

JC..... dit: à

Cher Patrice, on ne fera jamais d’un homoncule, un homme, sauf anomalie merveilleuse.

La civilisation cache, ou utilise, tout objet.

renato dit: à

Après une nuit de sommeil. Il y en a qui voudraient s’approprier des appréhensions des classes privilégiées, mais ils n’arriveront jamais à la hauteur des Benjamin Constant, Jacob Burckhardt, Friedrich Nietzsche car avec leur culture ils ne peuvent que se tailler un string ; en conséquence, les voilà qu’ils pratiquent l’insulte de cour d’école.
Mélos et logos à la poubelle ? En un sens oui, car en dehors d’un amusant bien que limité effet de dérision, incapables de cueillir le provisoire et d’apprécier le singulier, ils n’offrent qu’une synthèse approximative des langages régressifs et quelques « mises en scène de leurs aigreurs ». Je me demande quels échecs ont-ils essuyés, quelles vexations ont-ils subi si, ne sachant s’opposer au monde qu’avec l’arrogance transmise par les modèles les plus frustres parmi ceux que l’Ancien Monde a produits, ils n’arrivent à voler que raz les pâquerettes ; puis je me dis qu’ils ne sont que de pauvres gens que soumis à la norme imposée par les petits grands-prêtres de n’importe quel talk-show culturel, ils n’ont su ou pu réaliser les ambitieux objectifs rêvés pour eux par leurs velléitaires mamans, et je passe à autre chose — déjà heureux que fasciné par la Stupidité dans Toutes Ses Formes, je leur ai dédié un brin de mon temps.

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