de Pierre Assouline

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La République des livres
Des personnages en état limite

Des personnages en état limite

Il y a quelque chose de plus doux, en tout cas de moins violent, dans la désignation d’une personne comme étant limite plutôt qu’en état limite, et plus encore si on la dit borderline. Lorsqu’elle est simplement limite, on a l’impression qu’elle n’a pas encore basculé de l’autre côté, qu’on peut encore la rattraper, voire l’aider. Au-delà, c’est la pathologie, la camisole chimique. Ces gens qui seront peut-être nous un jour, mais qui sont un autre en attendant, sont au cœur d’un roman et d’une enquête.

Le deuxième roman de Sylvie Le Bihan Là où s’arrête la terre (288 pages, 18,50 euros, Seuil) a les mêmes qualités que L’Autre, le précédent qui explorait la descente aux enfers d’une femme déstabilisée par un mari pervers narcissique. Cruauté, violence, cynisme. Le tout dans un style sec, sans compromis ni métaphore, oppressant, dur. La trame est aussi banale, ce qui n’en est que plus effrayant : le trio infernal. Le mari, la femme, l’amant. Air connu. Qu’en faire d’autre que ce qui a déjà été fait tant de fois ?

Tout aurait pu commencer par un verbe : partir, assorti d’un mot de Paul Morand : partir, ce rêve de bon projectile. Sauf que là c’est de fuir qu’il s’agit. Un couple est marié depuis six ans. A la faveur d’une crise, elle lui avoue qu’elle le trompe depuis trois ans, un danois pilote automobile ; désabusée, elle rejoint son amant au grand hôtel de la Porte Maillot mais là, perdue, au lieu de monter les étages, elle s’arrête au bar boire une verre et engager la conversation avec un type qui paraît aussi paumé qu’elle. Il est aussi provincial et VRP qu’elle ne l’est pas. C’est peu dire qu’ils ne sont pas du même monde. Que faire alors ?

Fuir ensemble une vie que l’on vit pas mais que l’on bâille. Ne dit-on pas que l’amitié, c’est deux solitaires ensemble ? Ils roulent dans la nuit de novembre. Direction : le Finistère. Quelque chose de Thelma et Louis sauf qu’ils ne sont vraiment pas complices. Une semaine durant, ils vont apprendre à se connaître. Non pour faire l’amour, et encore moins pour baiser. Pour se découvrir fût-ce en s’agressant et en s’écorchant. « Il ne lui veut ni mal ni bien, il ne lui veut rien. Elle non plus ».

Un hôtel de Douardenez est le théâtre de leur huis clos. C’est là qu’ils s’avouent, lui homo honteux, elle égoïste, inconsciente et névrosée jusqu’à l’ennui. Il arrive que les M&M’s ne suffisent plus à combler la frustration. L’un et l’autre souffrent d’un mal de mère : perverse vis à vis de lui, abandonneuse avec elle. Ils se sont construits avec ça, persuadés, avec Erri de Luca, que certaines erreurs peuvent contenir une autre vérité. La beauté y est ardente est triste, les rires d’un enfant cruels,

Le récit de cette femme, qui cherche à mettre  un semblant d’ordre dans sa vie, est d’une précision chirurgicale. Il n’épargne personne, à commencer par l’auteur/narratrice, implacable dans ses jugements. Les hommes lui sont un danger ; elle les quitte pour n’être pas quittée, en proie au sentiment abandonnique. C’est d’une telle âpreté que l’on n’y cherche pas la moindre empathie pour l’un ou l’autre de ces personnages au bout du rouleau, jusqu’au dénouement du côté de Belle- Île où « il prend le silence de la plage pour une inhalation ».

Quelle illusion de croire qu’il suffit de tout plaquer pour fuir l’ennui quand on le porte en soi ! Elle s’est enfuie parce qu’elle sentait incapable de choisir entre deux hommes. Un coup de tête, au fond. Et au bout de la route, le point de non-retour : l’horizon des événements. Et si cette équipée n’était qu’un incident de parcours ?pablo delcan

L’autre livre consacré à un personnage limite s’intitule Richie (280 pages, 18 euros, Grasset). C’est une biographie de celui qui fut jusqu’à sa mort le patron de SciencesPo à Paris, Richard Descoings. Quelqu’un de fascinant pour ceux qui ont eu à le connaître, envoûtant : même. Raphaëlle Bacqué, grand reporter, enquêtrice et portraitiste hors pair au Monde, ne lui aurait probablement pas consacré tout un livre si sa mort à 53 ans n’avait été tragique : on a retrouvé son cadavre un matin dans une chambre d’un hôtel de New York où il était venu participer à une conférence. Il avait avalé un certain nombre de substances au cours d’une soirée de partouze homo particulièrement déchainée.

Et peu après, une fois son corps rapatrié à Paris, on a pu assister à ce spectacle hallucinant s’agissant, rappelons-le, d’un responsable d’établissement supérieur, pas tout à fait une université ou une faculté mais presque : des centaines d’étudiants spontanément rassemblés dans le campus une bougie à la main pour le pleurer (ils l’appelaient « Richie »), le visage du défunt couvrant la façade de l’église Saint-Sulpice, une messe de funérailles le 11 avril 2012 rassemblant le gratin politique, la nomenklatura de l’Administration, les ministres (anciens, actuels, futurs) assis au premier rang où auraient dû se trouver les gays, lesbiennes, bis, queers, trans, queer de l’association Plug’n Play de SciencePo renvoyés au fond, cérémonie présidée et organisée tant par sa récente femme Nadia que par son compagnon de toujours Guillaume Pepy, président de la SNCF.

Avec un vrai talent dans la description, Bacqué a pris un plaisir non dissimulé à mettre ses pas dans ceux d’un Rastignac de bonne famille, fils d’un couple de médecins, qui rêve de conquérir les lieux de pouvoir. Là où ça se passe. Là où on prend les décisions, où on agit, où on infléchit le cours des événements. Du moins le croit-on. Descoings a fait naturellement ses classes aux lycées Louis-le-Grand et Henri IV puis SciencesPo et l’Ena avant d’entrer au Conseil d’Etat surnommé par des réseaux, assez sociaux dans leur genre, le  « Conseil des tatas » comme les Affaires étrangères sont dit « le Gay d’Orsay ». Il sera naturellement membre du Siècle, cercle de rencontres et d’influence auquel l’auteur semble prêter une puissance exagérée.

Dès lors, le profil du bonhomme est tracé : haut fonctionnaire le jour, fêtard la nuit. Et quel ! Toutes ses soirées à faire des folies de son corps dans les boites gays avant de se présenter au boulot. Son carburant ? Vodka, coke, ectasy et cigarettes à l’infini. De quoi lui donner l’illusion de vaincre le sommeil, même si on le repêche souvent ivre mort au petit matin.

Devenu jeune patron de SciencesPo, il a fait le tour du monde pour « vendre » aux recteurs des universités étrangères son école qui n’avait alors de réputation, d’envergure, d’ambition, d’horizon qu’hexagonaux. Il a bluffé, et l’a emporté, en leur proposant un échange d’excellence, aidé en cela par le ministre Hubert Védrine et l’avocate du cabinet Baker & MacKenzie, Christine Lagarde. Et ça a marché, avec les universités de l’Ivy League et d’autres d’Asie et d’Amérique latine. Là-bas, on se moque bien qu’il ne soit pas professeur, qu’il n’ait pas trois pages de publications scientifiques dans son CV, lacune qui suscite le mépris dans le milieu universitaire français. Descoings ? Un maître de requêtes au Conseil d’Etat qui s’est emparé de SciencesPo. Ca s’est dit au début, mais très vite, ca ne se murmure presque plus.

SciencesPo, il l’a bousculée, secouée puis révolutionnée même si elle n’est pas devenue « une Harvard à la française » telle que l’a rêvée cet obsédé de la modernisation des élites. Il en a fait une grande Ecole en la réformant à la hussarde : ouverture au monde, renouvellement social des étudiants, redoublement permis en année préparatoire, doubles diplômes franco-étrangers, ouverture d’un concours d’entrée spécial aux lycéens des zones d’éducation prioritaires, multiplication de masters spécialisés, année à l’étranger obligatoire pour tous, droits d’inscription indexés sur la feuille d’impôt des parents…

Ce qui ne va pas sans heurts à l’intérieur de l’Ecole, notamment du côté du département d’histoire « l’un des bastions de la critique contre lui et son épouse ». Car, non seulement le gay flamboyant s’est marié sur le tard à la surprise générale (elle s’était imposée en le sauvant alors qu’il s’enfonçait dans une grave dépression) mais il a nommé sa femme à un poste de responsabilité à ses côtés. Ce sera la début de sa fuite en avant. Une enquête de Mediapart paraît qui accable ses pratiques : népotisme mais aussi rémunérations et bonus disporportionnés dont il est le bénéficiaire ainsi que ses proches etc

Richard Descoings fascinait parce qu’il avançait sans cesse sur un fil, conscient de son absence de limites. Désorganisé, obéissant dans la seconde à ses plus fulgurantes intuitions,  il aimait les précipices. Seule sa folie, matrice de son charisme, explique le culte de rock star que nombre d’étudiants lui vouaient. Ils étaient nombreux à l’adorer, phénomène atypique dans une faculté, et plus encore dans le SciencesPo de René Rémond… Quand on lui présentait un ambitieux projet, il vous écoutait sans dire un mot, attentif, prenant des notes, penchant bizarrement la tête, les yeux prêts à tourner sur eux-mêmes, de plus en plus inquiétant, avant de clore l’entretien : « On commence à la rentrée ? ».

L’enquête de Raphaëlle Bacqué, nécessairement people & name-dropping, est davantage un portrait, fouillé, souvent passionnant, toublant, qu’une biographie. Car on referme le livre en ignorant toujours le secret de cet homme. Ce qui le faisait avancer. Tant la famille de Richard Descoings que l’homme qui le connaissait le mieux (Guillaume Pepy) ayant refusé de recevoir l’auteur, on ne saura pas quel était la clé de l’autodestruction qui  le minait et lui faisait repousser toujours les limites jusqu’au point de non-retour. Ne reste plus alors qu’à s’en remettre aux quelques lignes lues à son enterrement par le politologue Jean-Claude Casanova qui voyait en lui un oublié de Dieu en quête de redemption :

« Nous arriverons un jour aux portes du Royaume de Dieu… Notre vie est déjà pleine de morts, et pour chacun le plus mort des morts est le petit garçon qu’il fut. Et pourtant l’heure venue, c’est lui qui reprendra sa place à la tête de ma vie, rassemblera mes pauvres années jusqu’à la dernière, et comme un jeune chef ses vétérans, ralliant la troupe en désordre entrera le premier dans la maison du Père » (Georges Bernanos, Les grands cimetières sous la lune)

Obsédé par la nécessité de garder le lien avec la jeune génération, Richard Descoings confiait parfois à certains étudiants le soin d’alimenter son compte Facebook. Son mot de passe ? Un totem. Les premiers temps, « Lafcadio » ; à la fin, « Dies Irae ».

(Illustrations Victo Ngai et Pablo Delcan)

Cette entrée a été publiée dans documents, Littérature de langue française.

704

commentaires

704 Réponses pour Des personnages en état limite

jem dit: à

En France, on a vécu très longtemps avec les traductions de Vialatte, qui sont aujourd’hui critiquées (à juste titre probablement), mais qui au fond ne dénaturaient pas les textes de Kafka, et qui permirent même à plusieurs générations de s’initier assez exactement à l’univers kafkaïen. La force de l’auteur est là, son génie ; sa création ne peut être abîmée. On pourrait par exemple dire la même chose des Evangiles : des textes « tout à tous », quelle que soit la traduction.

Bloom dit: à

En français?
—-
Alexandre Vialatte

« Un matin, au sortir d’un rêve agité, Gérgoire Samsa s’éveilla transformé dans son lit en une véritable vermine »

Claude David
« En se réveillant un matin après des rêves agités, Gregor Samsa se retrouva, dans son lit, métamorphosé en un monstrueux insecte »

Je préfère la version Vialatte, malgré la francisation du prénom.

erreur de casting dit: à

JE NE PEUX TOUJOURS PAS ACCEDER A ROBOTS ARE WINNING

Bloom dit: à

17h00 = Très bon.

Widergänger dit: à

Oui, moi aussi, je préfère Vialatte. C’est de loin le meilleur ! Les autres, des pinailleurs, des enc.leurs de mouches.

Widergänger dit: à

TOUS EN GRÈVE MARDI 19 CONTRE LA TOXIQUE RÉFORME BELKACEM !

Widergänger dit: à

erreur de casting dit: 15 mai 2015 à 17 h 30 min
JE NE PEUX TOUJOURS PAS ACCEDER A ROBOTS ARE WINNING
_________
C’est normal avec un tel pseudo !

Sirius dit: à

Oui, Vialatte est le meilleur, meilleur que l’original à dire vrai. C’est souvent comme cela avec les très bonnes traductions françaises…

erreur de casting dit: à

JE PEUX CHANGER DE pseudo;en voici un pour la suite:le méridien

Daaphnée dit: à

Passionnant.

le hénième dit: à

j’ai changé d’avis, mais non sur la grève dont je suis solidaire

Daaphnée dit: à

Bon, pendant que l’EN espère finir de s’amollir – la réforme – pour fabriquer des abrutis – Ah, pauvre Belkacem, il ne suffit pas d’avoir appris à monter des dossiers quand on est ministre de l’EN – bref, pendant ce temps-là …

Va-t-on se décider à négocier avec Bachar El Assad ou aboutir à la même imbécilité qu’en Egypte ?

Daaphnée dit: à

Il serait temps de lire de nouveau Tocqueville ..

D. dit: à

Il faut bien dire que plus les mois passent et moins la Ministre de l’Éducation Nationale démontre qu’elle est à la hauteur de la tâche.

D. dit: à

Donc je ne peux qu’encourager à la grêve.

le Jocrisse et l'intubé dit: à

Bien sûr qu’il n’y a pas photo : Vialatte est bien meilleur. M’enfin, faudrait pas oublier que le meilleur, in fine, c’est encore Kafka !

Bon, sur ce. L’après-midi a été consacrée à l’interview d’un jeune et beau ingénieur forestier. Mais la nuit, donc, sera consacrée à l’aride dérushage. Il faut que le goût du cinéma soit immédiatement addictif, pour qu’on consente ainsi à des tâches pareilles. Mais je me dis « allez Clopine, encore soixante-dix ans d’efforts et Cannes est à toi ! » (ahahah). En attendant, on y demande Attila…

D. dit: à

Une des choses agaçants, c’est cette litanie du numérique. Imaginer que l’on va résoudre les immenses problèmes de cette façon, c’est de l’inconscience pure.

Daaphnée dit: à

Pendant que le monde tourne, la Brayonne braille encore .
Des gourdes pareilles, comment est-ce encore possible ?
Hé oui, il fallait bien que les nouvelles technologies permettent aussi à des idiots de propulser leur ventre en avant.
Misère, Hue !

le hénième dit: à

un jeune et bel ingénieur ….alors clopine , il n’y a pas que le cinéma!

JC..... dit: à

Avant que de repartir vers de nouvelles aventures nettement nocturnes, sachez que Bouguereau, inventeur, vient de me céder les droits et brevets de ses fabuleux gode-ceintures en ivoire et acier velours, prodiges de technicité au service du plaisir !

Toute personne désirant occuper les postes enviés d’Agent général de Pays, européens ou non, peut présenter sa candidature, poste restante, Porquerolles.

Il faut naturellement jouir de bonnes références …

Bloom dit: à

La suppression des classes européennes est une grosse c.nnerie. Les élèves que j’avais en classe « euro » de lycée provenaient de tous les milieux; un nombre non négligeable étaient issus « de l’immigration » maghrébine, subsaharienne, portugaise, turque, souvent bons en langues. A l’EN comme aux AF, tout n’est que contresens, mépris du terrain & refus du réel.

Widergänger dit: à

Bloom, ce sont des tarés d’idéologues pourris !

le hénième dit: à

c’est aussi sur le mépris ou plutôt leS mépris que l’article sur la rèle du jeu mettait l’accent . ce n’est plus que bains de mépris

Sant'Angelo Giovanni dit: à


… » Communication ou manipulation « ,…
…éditions Empirika 1982,…

…se promener  » léger « ,!…
…et pour peindre, après; par fatigué de ne rien faire,!…
…la recette, j’ai oublier,!…étrange destin,!…un homme seul, & heureux,!…sans son harem de poulailler d’escort-girls,!…

…monopoles d’imprimeries,…liasses et monnaies, châteaux d’Europe sous clés,!…
…l’empire, quels frais du personnel,!…gratuit,!…c’est à vous,!…
…mais, quoi donc, les ruines des jeux de rôles,!…
…je suis, je suis, je suis,!…aussi,!…
…etc,!…

D. dit: à

Sergio, j’ai mis un pendule au dessus de l’url de votre blog et je dois vous dire qu’il y a effectivement un problème de hantise démoniaque qui risquerait de tout pervertir. Son interdiction me semble tout à fait indiquée.

D. dit: à

Daaphnée, vous avez toujours été de mauvais conseil à Sergio. Depuis le départ. Laissez-le tranquille, maintenant.

D. dit: à

Ne vous prenez pas pour ce que vous n’êtes pas, Daaphnée. Vous n’avez aucun mérite pour les quelques qualités qu’on vous attribue. C’est Dieu qui vous a fait comme ça.

D. dit: à

La suppression des classes européennes est une très bonne chose, qui correspond à la volonté du plus grand nombre, et qui sera suivie à terme de la disparition de l’Europe, pour le plus grand bien des nations qui la composaient.

D. dit: à

Plus je vous lis, Bloom, plus j’ai l’impression que vous vivez dans un monde à part, bien éloigné des réalités vécues par Monsieur tout-le-monde : des agriculteurs, des artisans, des commerçants, des employés, bref presque tout ce qui compose une population à 80 % et qui n’en ont rien à foutre de vos considérations larmoyantes d’expatrié.

Widergänger dit: à

D. dit: 15 mai 2015 à 23 h 50 min
bref presque tout ce qui compose une population à 80 % et qui n’en ont rien à foutre de vos considérations larmoyantes d’expatrié.
___________
Sans doute ! Mais c’est bien triste pour notre pauvre pays gouvernés par des fous et peuplé par des innocents.

Widergänger dit: à

Vous inquiétez donc pas, Sergio, c’est pareil depuis toujours pour mon blog. C’est pas grave. Ça veut simplement dire que contrairement à ce qu’on essaie de nous faire croire, l’Internet n’est pas cet outil de communication démocratique. Ceux qui ont les commandes sont les petits dictateurs d’aujourd’hui. Et petits dictateurs deviendra grand, assurément !

kelkoo dit: à

C’est, bien sûr, une tête à toutes les portées. Fut-elle exceptionnelle.

Bloom dit: à

Plus je vous lis, Bloom, plus j’ai l’impression que vous vivez dans un monde à part, bien éloigné des réalités vécues par Monsieur tout-le-monde :

Une solution, ne le lisez plus. Exercez votre libre arbitre.

Bloom dit: à

Bloom, ce sont des tarés d’idéologues pourris !

Beaucoup trop d’idéologie en effet. Le numérique en est une. Un ancien président de chaine franco-allemande rencontré récemment ne jure que par cela…Depuis, les enquêtes de consulting se succèdent…Où vont les deniers de l’état? Dans du consulting, aussi…

Bloom dit: à

Plus je vous lis, Bloom, plus j’ai l’impression que vous vivez dans un monde à part, bien éloigné des réalités vécues par Monsieur tout-le-monde :

Une solution, ne me lisez plus. Exercez votre libre arbitre.

JC..... dit: à

L’Europe est un échec absolu, l’Afrique est un échec définitif, l’Arabie heureuse est un malheur enrichi par le pétrole et malade de sa foi, l’Amérique un melting-pot puant au crane creux, la Chine et l’Inde sont des prisons peuplées de miséreux, de survivants enfermés dans leur Histoire.

Moi même, je ne me sens pas très bien…

JC..... dit: à

Parmi les personnages « en état limite », loin dans la démence devant les dopés du travail, les enfumés au cannabis, les alcooliques connus, les héros de l’héroïne, les soutiers de la coke, les dérangés de l’ecstasy … n’oublions pas les pires : ceux qui achètent des gosses à des pauvres femmes idiotes.

Ceux là sont des criminels, inconscients du mal qu’ils font au monde.

JC..... dit: à

Rachida fut l’emblème sarkozien de la diversité, l’arabe de service, oiseau mouche dépensier et remuant… aussitôt remplacé par BelKacem, colibri débile au cerveau embrumé par les certitudes infantiles.

Richesse de la diversité chez ces personnages « en état limite », parfaitement à l’image de la Nation.

Bloom dit: à

Pierre Assouline, j’espère que vous ferez le nécessaire pour que cessent certains propos tenus ici qui relèvent de la diffamation et de l’incitation à la haine raciale et qui n’ont d’autre but que de faire fermer votre blog.
La Rdl serait-elle devenue une annexe de Minute?

JC..... dit: à

Le développement technologique de nos sociétés évolue à l’inverse du développement personnel de ses membres, terriblement en retard, dépassés, perdus.

Comment voulez vous que nous n’allions pas, à marche forcée, vers une société entièrement (dé)faite de « personnages en état limite » ?!

Bon week-end !

JC..... dit: à

Mon cher Bloom, vous dites beaucoup de c.nneries, j’essaie de suivre… c’est cela la liberté d’expression : tolérer les idées nauséabondes des autres. Nauséabondes, car ce ne sont pas les vôtres.

Notre propre fiente sent toujours moins fort que celle du voisin.

JC..... dit: à

Quels sont les « personnages en état limite » les plus représentatifs de nos sociétés actuelles ? Evident ! Les professeurs des écoles.

Leur « état limite » est pire que celui des chômeurs. Les chômeurs sont aidés par l’Etat car il faut éviter l’explosion sociale… les pédagogues ne sont pas aidés par leur Ministère. Jamais. La Tutelle se moque bien de leur sort peu enviable, et les syndicalistes ne sont pas là pour les défendre, mais pour empêcher tout changement….

Les profs sont les plus malheureux des « personnages en état limite » de nos sociétés, confrontés qu’ils sont, sans autorité, à la violence de gosses sans famille.

JC..... dit: à

Je vous l’annonce une bonne fois pour toute : je quitte la République des Livres à tout jamais !

Bloom ne me supporte plus. On va pas finir ça au surin, hein ?

Et s’il était le seul ! Passou a droit à un blog sans tache. J’abandonne… Ma tâche désormais sera entièrement consacrée à la distribution des Gode-Bouguereau en acier velours dans les écoles, dès la 6ème classique. La satisfaction des enfantelets et des parentelets du pays est à ce prix… On doit favoriser les entreprises.

Adieu mes chers amis ! Bras d’honneur crasseux aux autres. On parlera désormais de « l’esprit du 16 mai » ….

bel, baby ! dit: à

le Jocrisse et l’intubé dit: 15 mai 2015 à 19 h 16 min

« L’après-midi a été consacrée à l’interview d’un jeune et beau ingénieur forestier. »
Ah, il était beau homme ?

lolo dit: à

Bloom 6h28
« annexe de Minute? »

Il y en a pour prendre les provocs-déjections de celui qu’ils appellent leur ‘camarade’ ou ‘ami’ jc, pour de l’humour

h û e dit: à

la daaf cete charmante jeune-femme ne fait jamais de faute des français et de frappe sur internet c’est bien connu

h û e dit: à

la daaf cete charmante jeune-femme ne fait jamais de faute de français et de frappe sur internet c’est bien connu

û dit: à

la daaf cette charmante jeune-femme ne fait jamai sde faute des français et de frappe sur internet c’est bien connu

renato dit: à

« je vous abandonne bien volontiers le rang d’excellence qui est le vôtre »

Belle expression, mais qu’est-ce qu’il y a d’excellent?

Bloom dit: à

Ctpc. Tp.

Monsieur Marcel, instituteur dit: à

« beau » à la place de « bel », ce n’est pas une faute de frappe mais une méconnaissance de la langue, un naturel qui revient en galoche quand l’attention se relâche.

Le vit en bois dit: à

h û e dit

Depuis que clopine parle à ces ânes, ça ne s’améliore pas

ZEUS..... dit: à

Il nous est difficile de comprendre, vu d’ici, pour quelles raisons Djokhar Tsarnaev, jeune musulman d’origine tchétchène, ne sera pas torturé une bonne quinzaine de jours par de savants spécialistes US au savoir sadique éprouvé, alors qu’il a été reconnu coupable des attentats épouvantables de Boston !

Son action criminelle a fait 3 morts et plus de 264 blessés le 15 avril 2013 ! Parmi ces derniers plusieurs hommes, femmes, enfants souffriront toute leur vie de douleurs torturantes, à cause de l’acte minable que ce crétin infligea à des innocents.

Cela vaudrait à nos yeux justes de divinités impartiales, deux semaines de torture a minima… puis naturellement une mort dégradante, bien atroce, par exemple la faim et la soif jusqu’à ce que mort s’ensuive.

Il nous semble que la justice humaine est loin de la bonne justice olympienne. Tout cela nous inquiète…l’homme n’est pas raisonnable dans ses jugements.

ici londres dit: à

6 heures 27 : annexe de Minute, avec Benito JC Zeus c’est pire, Minute à côté c’est bisonours

Phil dit: à

jc est en train de perdre la boule..va finir comme le président Chirac. ze show must go on.
Baroz, sortez-nous la bio de Gallet.

Attila dit: à

La question juive s’est invitée au festival de Cannes…

« Tout juste sorti de la projection du film du Hongrois László Nemes, « Le fils de Saul », Pierre Vavasseur, journaliste et critique au Parisien, nous livre ses impressions sur ce film qu’il décrit comme la première claque de ce Festival de Cannes 2015. L’action se déroule en 1944 et un prisonnier juif chargé d’assister les nazis dans l’extermination des déportés croit reconnaître son fils dans l’un des cadavres extraits de la chambre à gaz. On ne raconte évidemment pas la suite mais selon Pierre Vavasseur si ce film n’est pas primé, quelque chose ne tournera définitivement pas rond à Cannes ! »

Janus... dit: à

Son coup fut franck et menhir.

Bloom dit: à

Et en plus, Baroz, les présidents du Festival sont des Coen, Joel & Ethan. Un quasi complot cinématograhique, le protocole des frères de Cannes.
Il ne manquerait plus qu’une traduction française du « Jewish Century » de Yuri Slezkine paraisse en 2016…La yarmulke sur la cabeza…

D. dit: à

J’ai une solution : je ne lirai plus Bloom.

D. dit: à

Baroz ? Ici ?

Attila dit: à

Et hier, Bloom, Woody Allen a présenté hors compétition son ‘Irrationnal man » !

D. dit: à

Baroz est Attila ? Je connais un Attila gondolier à Venise. Si ça se trouve c’est le même.

Attila dit: à

Il ne faut plus écrire Cannes mais Khan !

Phil dit: à

woody fait payer 10.000 euros l’interviou. sapré woody. faut aimer la clarinette.

Attila dit: à

Phil, sur la Croisette, Tristan Bernard, qui s’y réfugia sous l’Occupation, disait déjà qu’ici : « On bloque les comptes et on compte les Bloch » !

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…la question, n’est pas la faute de français,…mais cette volonté de participez,…
…envers et tout, contre temps et opiniâtreté,…un rôle, pour nous remuer la sauce,!…à la louche,!…
…mon Dieu, tout çà,!…pourquoi pas,!…

…un meilleur goût, par distanciations à plantée ses choux,!…

…bon, et nos Stars, nos vedettes féminines,!…
…passons,…et à part Nicole Kidman, avec ses cheveux en boucles,…
…quelques vedettes de la chanson,!…

…une époque, ou nos bonnes à tout faire,!…sont plus belles à se mettre du chapeau,!…à Cannes sans sucres,!…

…Ouah,! Ouah,!…Ah,!Ah,!…etc,!…

Attila dit: à

« nos vedettes féminines,!… »

Sophie Marceau a montré sa petite culotte !

D. dit: à

Jacques, c’est vous ? Je suis content de votre retour. Sachez que par certains aspects je vous apprécie.

D. dit: à

Jacques, je me disais ce matin en me réveillant totalement, à l’issue d’une méditation somnolente sur le monde d’aujourd’hui que si un grand choc ne vient pas mettre un immense coup de pied dans la fourmilière, on ira pas loin.
L’Astéroïde géant me semble tout à fait convenir.
Et je dis ça bien conscient que je ne suis pas meilleur que les autres sur cette terre, que je mérite autant que x ou y de disparaitre pour faire place à un nouveau monde. Noë était grand Saint, investi d’une mission divine. Je n’ai pas cette prétention, que tout le monde soit rassuré.

Attila dit: à

Si j’étais celui que vous croyez, D., je pourrais vous répondre que ce n’est pas réciproque ?!

Phil dit: à

dear Baroz, fallait nommer jony deep président de Cannes. fini les prébendes.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…pas encore de forêts vierges aux anges et marquises,!…
…du tripot,…à la foire aux offshores leaks,!…
…des vacances pour cherchez du sable Vatican S.A,…entre-plis,!…etc,!…
…Ah,!Ah,!…

D. dit: à

De toutes façons cela arrivera, il n’y a qu’à connaitre un peu de géologie pour constater que régulièrement, des phénomènes cataclysmiques se produisent. La terre en a connu de nombreux, de nature différente, et il y a eu de nombreuses extinction massives d’espèces par le passé, chacune suivies de périodes de près de 100 millions d’années qui ont été nécessaires pour la repeupler en organismes vivants diversifiés. Qui est capable ici d’avoir de telles réflexions ? Qui est capable de réaliser que 10000 ans du Néolithique à aujourd’hui, ce n’est jamais que un dix-millième d’une de ces périodes des 100 millions d’années ?
Vous êtes à la fois Tout et Rien. Vous avez la possibilité de tendre vers le Tout, éternellement et hors du temps, mais prenez biens conscience auparavant que vous n’êtes Rien, mais alors Rien du tout à l’échelle de temps.

Attila dit: à

Oui, Phil, d’autant plus que Cocteau disait que : « Cannes est un Paradis bien sûr, comment voulez-vous qu’il en soit autrement avec les pépinières des saints consacrés par le monastère des îles. »

D. dit: à

Ça vous en bouche un coin, mais c’est nécessaire.

Jerry dit: à

T’es tout troué, Dédé?

Widergänger dit: à

Il y en a un autre sur la naissance d’Israël, baroz. Vous êtes gâté (dans quel sens faut-il le prendre…?)

Bloom dit: à

Il ne faut plus écrire Cannes mais Khan !

Bien vu. À ceci près que le H vient après le A, Baroz. Kahn, rien d’autre n’est qu’une variante de Cohen/Cohn/Coen, les grands prêtres du Temple de Yerushalaïm, ‘l’aristocratie rabbinique’.
Khan, c’est Gengis (Cheng-Ji-Shi), LE nom pakistanais par excellence.
Tikka Khan, le « Boucher du Bengale », de sinistre mémoire.

Phil dit: à

le festival de berlin avait lieu en juin. Cannes s’est plaint et dit qu’en hiver à berlin ce serait mieux. sapré Jacob, faudrait pas que les teutons la ramènent.

Widergänger dit: à

Aaron était le premier grand prêtre (Cohen gadol). Dès l’origine, les Juifs ont séparé l’Eglise de l’Etat, représentés par Moïse et Aaron.

Bloom dit: à

Phil, Tristan Bernard, interné comme juif à Drancy,
De quoi avez-vous besoin M. Tristan Bernard ? »
« – D’un cache-nez. »

Baroz, l’ami Vlad est sur la croisette pour son canard et pour rapporter des autographes des stars (The Coens, Woody, Antoine Verchut….).

Vu & écouté Woody au Michael’s Pub à Manhattan: no comment.

Widergänger dit: à

Les Juifs se sont saisis du Cinéma, inventé par d’autres (les Frères Lumière et Méliès) pour en faire une industrie (Chaplin et les grands producteurs hollywoodiens). C’est ce que Godard ne supporte pas. Chantons sous la pluie rend hommage aux Juifs qui ont fait le cinéma à travers la figure de Moïse dans une danse étourdissante. Beau morceau de bravoure, anthologique.

Comme n'importe qui (enfin presque) dit: à

no comment

marrant, pas son style dans ses films !

mauvais rêve dit: à

Touite

(Très bon papier par Daniel Mendelsohn)

giulietta massina dit: à

10 h 20 : faaux, phil, hé, où êtes-vous allé chercher ça ??? par contre, pour Benito JC/Zeus, alors là d’accord, complètement brindezingue le gars

u. dit: à

Le coin des pédants

« Khan, c’est Gengis (Cheng-Ji-Shi), LE nom pakistanais par excellence. »

C’est un titre, avant d’être devenu patronyme.
Il continue d’être employé en Asie centrale comme terme de politesse (comme Khanûm, Banu, etc.).

Ramses II...... dit: à

Bravo, Maréchal Sissi !

Cette fripouille de Morsi condamné à mort, ça va calmer les empoisonneurs religieux : la prison, c’est malsain pour ces crapules…

christiane dit: à

Toujours étonnée par les rappels à l’ordre adressés au blogueur qui tient cette République par certains commentateurs. Rappels visant à exclure des commentaires ceux qui dérangent et exaspèrent pour de multiples raisons (la « folie »,la perversité, la bêtise, la naïveté, l’âge, la profession, l’appartenance à une religion, le grotesque, la vulgarité…) d’une communauté qui n’a d’existence que l’illusion. Celle de faire partie d’une élite ayant droit d’exercer un contrôle moral et esthétique, de culture et de bon goût dans l’espace-commentaires. Une sorte de prise de possession par quelques habitués. Le tous-contre-un y fait florès et l’envoi d’un nouveau billet est souvent le seul antidote à cet « emballement mimétique » (cf. R. Girard). Nouveau billet qui, d’une façon sibylline, rendra indiscernable la réaction du mystérieux maître des lieux quant aux censures et interdits exigés. Toutefois, ces commentateurs ne cesseront de fréquenter l’arène des combats…

Attila dit: à

Oui, Bloom, je suis un peu dyslexique : mais l’on reproche souvent aux Kahn d’être d’envahissants Khan, non, tout le problème de la question juive est là !
Ai-je atteint le point Godwin ?
WGG, je ne dirais pas que Chaplin participe de l’industrialisation du cinéma : les producteurs associés sont l’anti Hollywood, qui ne lui pardonna jamais et finit par avoir sa peau, ainsi qu’à Polanski, plus tard…

Bloom dit: à

Pédants 2

хаан, Khaan , ou les Mongols fiers. Grand Khan, va!

Comme n'importe qui (enfin presque) dit: à

Pour traduire Goethe « Im Anfang war die Tat » proposerais volontiers « Au commencement était l’agir » parce que c’est plus amusant et puis moins Tatsache. Enfin, je dis ça mais faudrait que je m’y mette.

Comme n'importe qui (enfin presque) dit: à

(et je tends encore une perche mais quel sot)

u. dit: à

christiane dit: 16 mai 2015 à 11 h 57 min
Toujours étonnée par les rappels à l’ordre adressés au blogueur

Bravo christiane.

En voici un exemple.
Le camarade JC provoque avec beaucoup de finesse (car ses portraits sont psychologiquement assez justes):

« Rachida fut l’emblème sarkozien de la diversité, l’arabe de service, oiseau mouche dépensier et remuant… aussitôt remplacé par BelKacem, colibri débile au cerveau embrumé par les certitudes infantiles.
Richesse de la diversité chez ces personnages « en état limite », parfaitement à l’image de la Nation. »

Notre ami Bloom chausse les bésicles de l’idéologie:
« Pierre Assouline, j’espère que vous ferez le nécessaire pour que cessent certains propos tenus ici qui relèvent de la diffamation et de l’incitation à la haine raciale et qui n’ont d’autre but que de faire fermer votre blog. »

Ce qui, remarquons le en passant, sert aussi à faire planer une vague menace judiciaire.

Ce que l’ami Bloom n’a pas vu chez le camarade JC, c’est qu’il indique clairement que ces caricatures sont le signe d’un état de la nation toute entière.

Monsieur Verdoux dit: à

11 h 57 : bonté divine !

Bloom dit: à

Comment: dans les années 90, WA donnait 2 sets tous les lundis soir au Michael’s Pub, sur la 55e rue, avec son groupe de jazz New Orleans, The Ragtime and Funeral Band. Diner très cher et assez quelconque mais musique plutôt sympa, genre bande son de Radio Days. Entre les deux sets, l’habile clarinettiste-cum-cinéaste de génie allait se requinquer dans une kilométrique limousine blanche garée devant la porte. L’établissement donnait parfois l’impression d’être tenu par une mafia peu ragoutante.
J’appréciais alors beaucoup WA, notamment Crime & Misdemeanors, grand film talmudique & La rose pourpre du Caire, avatar du Spiegelman Episode de Getting Even. Et le personnage et son cinéma m’indiffèrent maintenant.

Phil dit: à

gulietta, des amis belges qui interviouvent le woody. ça coute la peau des fesses mais il n’est pas le seul. faut payer la coiffeuse, l’éclairage et tout et tout. Au final, une brique dans le nez.

Sirius dit: à

 » Crime & Misdemeanors, grand film talmudique »

Peut-être talmudique je n’en sais rien, mais surtout grand film tout court qui peut toucher strictement tout le monde, talmudiste ou pas.

Woody a connu un âge d’or à cette époque, Annie Hall, Manhattan, Hannah et ses sœurs, Crimes et Délits, autant de grands films voire de chefs d’œuvre. Les films récents ressemblent parfois à des remakes moins bons que l’original. C’est flagrant pour Match Point comparé à Crimes et Délits.

Jean-Gérard dit: à

Il faut lire, toutes affaires cessantes, l’étude d’Emmanuel Todd, « Qui est Charlie ? ». En même temps qu’elle dénonce et analyse l’accès d’hystérie qui s’est emparé de la France en janvier 2015, elle révèle, masquées derrière un unanimisme superficiel, de singulières convergences. Où l’on voit aussi comment la France fabrique des djihadistes pour l’Etat islamique. Un livre éclairant qui arrive à son heure.

Monsieur Verdoux dit: à

bon diou, christiane, vous avez la mémoire courte : les injures de JC, vous n’en avez pas eu assez ou bien vous aimez ça pour vous donner bonne conscience, retournez chez Popaul qui fait le ménage, même le vôtre

Phil dit: à

sapré gérard. tout le blog à passou a déjà lu le Todd. et l’passé à la centrifugeuse. circulez. aujourd’hui, c’est la partouze du pédégé de sciences po qui remue les foules du prestigieux blog à passou. passez au laser !

Contre-sens dit: à

« Où l’on voit aussi comment la France fabrique des djihadistes pour l’Etat islamique. » (John Brown)

On voit surtout comment l’Etat islamique fabrique des djihadistes contre la France ….

Contre-sens dit: à

Monsieur Verdoux, vous confondez le fond et la forme

Contre-sens dit: à

« elle révèle, masquées derrière un unanimisme superficiel, de singulières convergences. » (John Brown)

De singulières divergences, aussi. Où étaient le 11 janvier, les Musulmans de France, c’est à dire, plus exactement, les Français musulmans ?

D. dit: à

la « folie »,la perversité, la bêtise, la naïveté, l’âge, la profession, l’appartenance à une religion, le grotesque, la vulgarité…

si chacun pouvait se situer s.v.p.

Bloom dit: à

Faire tout un plat des « hordes nihilistes » empêche de s’interroger sur ce que l’on trouve dans son assiette.
Les plantes du Midi viennent en droite ligne du « pays des Sarrazins », via les huertas d’Espagne et de Sicile : abricotiers, pruniers de Damas, artichaut (fleur de chardon améliorée par les Arabes), laitues, chou-fleur, persil, betterave, fenouil, céleri, melon, courges et citrouilles, aubergines…L’économie monde ne date (datte ?) pas d’hier.

le hénième dit: à

EN PSYCHANALYSE LIMITE IL Y A MASUD KAHN

frederic dit: à

« ces caricatures sont le signe d’un état de la nation toute entière »

ainsi parlent les caricatures

le hénième dit: à

MASUD KHAN

le hénième dit: à

je confirme l’orthographe du psy paki MASUD KHAN

(la daaf est vraiment une truffe) dit: à

Depuis que clopine parle à ces ânes, ça ne s’améliore pas

non ce n’tait pas de clopine

christiane dit: à

@Monsieur Verdoux dit: 16 mai 2015 à 13 h 00 min
Deux démarches différentes :
– s’adresser directement à un commentateur pour lui dire ce que l’on pense de son intervention
– demander son exclusion pour x raisons à celui qui tient le blog
J’use de l’une, pas de l’autre !

u. dit: à

Jean-Gérard dit: 16 mai 2015 à 12 h 55 min
Il faut lire, toutes affaires cessantes, l’étude d’Emmanuel Todd, « Qui est Charlie ? ».
Un livre éclairant qui arrive à son heure.

Un livre paranoïaque, qui s’est arrêté au 20ème siècle.

cricri est une sainte dit: à

« s’adresser directement à un commentateur pour lui dire ce que l’on pense de son intervention »

s’adresser directement au brêle de pq ne sert qu’à flatter ce qui lui tien tlieu d’ego, à empirer la situation- il ne demande que ça pour surenchérir et ainsi de suite

fred dit: à

Contre-sens dit: 16 mai 2015 à 13 h 08 min

ce sont des citoyens comme vous – ce pays est un pays laïc, tant pis pour les demeurés qui voudraient (faire) défiler sous des bannières religieuses

Quelle truffe! dit: à

non ce n’tait pas de clopine

t’en tiens une sacrée couche, le vit dans l’nez!

u. dit: à

Bloom dit: 16 mai 2015 à 13 h 12 min
Faire tout un plat des « hordes nihilistes » empêche de s’interroger sur ce que l’on trouve dans son assiette.
Les plantes du Midi viennent en droite ligne du « pays des Sarrazins »: pruniers de Damas, artichaut (fleur de chardon améliorée par les Arabes)

Je ne comprends pas ce raisonnement.

Je suis prêt anytime à manger un artichaut arabe.
Je suis nettement moins chaud à l’idée de me laisser manger par un artichaut arabe (même avec sa fleur de chardon améliorée).

Attila dit: à

Pas seulement au potager, Bloom, mais aussi dans les jardins d’agrément : jasmin, lauriers à fleur, buis, pin d’Alep, palmiers…
La mondialisation par les plantes est une antique réalité.
L’un des endroits les plus magiques de Cannes, c’est l’allée des eucalyptus (from Australia) de l’île Sainte-Marguerite. Ou encore, autour de chez ma soeur, sur la colline de Tanneron, à l’époque des mimosas en fleurs…

u. dit: à

« Les troupes de l’E.I. à un kilomètre de Palmyre »

Ce type de situation fait réfléchir sur l’idée répétée de la « valeur sacrée d’une vie humaine ».

Il est évident qu’au regard de la survie du site de Palmyre (et de sa signification pour l’humanité), la mise à mort de quelques milliers de djihadistes serait de peu d’importance.

DHH dit: à

Autres « mots »,trouvailles d’humour amer, de Tristan Bernard sur son sort pendant l’occupation:
« nous etions le peuple élu,nous sommes aujourd’hui le peuple en ballotage »
et une fois qu’il a eté arrêté :
« nous vivions dans la crainte;maintenant nous allons vivre dans l’esperance

lol dit: à

Quelle truffe! dit: 16 mai 2015 à 13 h 43 min

râté!

Monsieur Verdoux dit: à

vous n’avez pas toujours eu cette indulgence plénière, Christiane, ou bien la mémoire vous fuit, je n’ose y croire

Barbarosa dit: à

Tristan Bernard est sorti vivant de Drancy, contrairement à Max Jacob…

u. dit: à

À Marseille, dans la ville arabe, j’ai trouvé de la bien meilleure menthe (nanah) que dans les quartiers du sud.

À Alger aussi, je préférais me balader dans la médina.

Bloom dit: à

l’allée des eucalyptus (from Australia)

Très bel arbre Baroz. L’intrigue du passionnant roman de Murray Bail, « Eucalyptus », s’articule autour de la reconnaissance de quelques unes de ses 700 variétés. Vous aimerez.
Outre l’Australie, je l’ai croisé avec plaisir entre Lisbonne et Porto, Cape Town et Fishoek, dans le Chettinad, sur le plateau du Golan…La petite famille ne repart jamais de France sans emporter les précieux bonbons à l’eucalyptus!

jean claude dit: à

14h19

Il n’y a pas de medina à Alger

jean claude dit: à

« À Marseille, dans la ville arabe, »

quel humour ce petit zouzou

Bloom dit: à

Tristan Bernard est sorti vivant de Drancy, contrairement à Max Jacob…
—-
Contrairement à mon grand oncle Isidore . Contrairement au meilleur ami de mon père, Harry Frankel, juif autrichien, réfugié à Paris en 38.
Contrairement à des dizaines de milliers d’autres. « Les passagers du Roissy Express » de François Maspero comporte des pages capitales sur Drancy.

Jean-Gérard dit: à

Un livre paranoïaque, qui s’est arrêté au 20ème siècle. (u.)

Paranoïaque vraiment ? Je n’ai pour ma part rencontré dans le livre d’Emmanuel Todd que des observations des plus sensées. U. aurait-il l’obligeance d’étayer d’arguments cet attendu… très inattendu ?

p q gagne u dit: à

u. dit: 16 mai 2015 à 12 h 06 min
ses portraits sont psychologiquement assez justes):

L’une est une arriviste cynique (la pauvre Simone a fini pas céder au harcèlement ) ; l’autre une militante

Jean-Gérard dit: à

Contrairement à des dizaines de milliers d’autres. (Bloom)

Ne jouons pas sur les mots. Contrairement à ce que prétend Bloom, ces dizaines de milliers d’autres sont sortis bel et bien vivants de Drancy.

u. dit: à

Un brave Suisse en balade à Marseille…
Mais quoi, c’est un Suisse, il ne comprend rien à notre vivre-ensemble.
(Tribune de Genève)
Marrant, le ton…
Très reportage colonial.

« A quelques rares exceptions, la communauté musulmane de Marseille n’a pas ou peu réagi aux événements de ces derniers jours. Nous sommes allés à la rencontre des fidèles dans un climat de malaise autour de la mosquée de la Porte d’Aix. 

C’est là le cœur du «quartier arabe» de la ville. Le français semble une langue étrangère dans cette foule bruissante et orientale. De fortes odeurs d’épices montent entre la boucherie hallal et les boutiques où l’on vend couscoussiers, électroménager et vêtements colorés. Les femmes qui portent pour la plupart le tchador font les courses pendant que les hommes palabrent à voix basse sur le trottoir. Parfois quelques mots fusent dans la langue de Molière. Ils laissent deviner que le sujet alimente des conversations: «Ce sont des jeunes, ils sont endoctrinés», déplore un passant.

Les choses se corsent à la sortie de la mosquée de la rue Maraval. C’est la prière du vendredi. Les fidèles, surpris d’être apostrophés par un journaliste «étranger», se confient spontanément dans un premier temps. La mosquée est tenue par les fondamentalistes du Tabligh. Elle est suspectée d’être un haut lieu de l’islamisme radical à Marseille. Pourtant, le discours est apaisant: «Nous sommes contre ce qui s’est passé. Ces gens-là n’ont rien à voir avec l’islam. Et puis, ceux qui parlent de notre religion ne la connaissent pas.» Durant le prêche, l’imam aurait relu les versets du Coran qui dénoncent le recours à la violence, affirme notre interlocuteur. Le dialogue s’engage.

Soudain, un barbu tout vêtu de blanc s’interpose. Son regard est dur, hostile. Il met fin à la conversation. Notre interlocuteur obtempère. Il ne parlera plus. Impossible de converser avec l’imam. «Pas d’imam ici.» L’infidèle est repoussé. Quelques mètres plus loin, Ahmed s’approche. Il était présent lui aussi à la mosquée. «Je n’aime pas ce qui vient de se passer avec vous. Il faut parler. Moi je lis le Canard Enchaîné, et j’aime ça.» Dans cette ville, où la communauté musulmane représente près de la moitié de la population, les tueries de Paris semblent à la fois lointaines et proches. C’est un paradoxe. Personne n’ose évoquer véritablement le sujet qui dérange tellement. On semble sourire pourtant derrière les barbes des fondamentalistes. On crie parfois la haine dans les quartiers Nord. Hier, des vidéos ont circulé sur la Toile. On y voit des jeunes des cités, les yeux brillants de cocaïne, brandissant des couteaux et menaçant les bourgeois des quartiers Sud des pires sévices. Des acclamations étaient montées deux jours plus tôt de la prison des Baumettes à l’annonce du massacre dans les locaux de Charlie Hebdo.

Marseille est comme une poudrière qui ne demande qu’à exploser, mais personne ne se résout à allumer véritablement la mèche. Les responsables religieux, musulmans ou non, se sont singularisés ici par la discrétion de leurs communiqués. La ville est gouvernée par une sorte de Yalta des religions. Juifs et catholiques au Sud, musulmans au Nord, à chacun son territoire. Quant aux politiques, de droite ou de gauche, ils ont certes lâchés quelques condamnations, mais finalement du bout des lèvres. Marseille est au cœur de tout. Base arrière de l’islamisme radical, elle a vu l’arrestation par les douaniers, le 30 mai, du tueur Nemmouche, de retour de son massacre bruxellois. Des investigations menées ces derniers jours ont clairement ciblé des soutiens locaux. Ici, les djihadistes ont droit de cité. Mais sans faire de bruit. »

DHH dit: à

@Bloom
la majorité des juifs emprisonnes à Drancy sont sortis vivants …..mais plus pour longtemps.
Ils sont dans pour la plupart partis en fumée quelques jours plus tard dans le ciel polonais .
Sans doute n’ont-ils pas apprécie de »revoir leur pays natal avant de mourir » comme le dit avec aigreur Georges Perec en parlant de sa mère .
Et puisque nous voila ramenés au point Godwin ,un livre »,la Shoah censurée » sous-titré « la sorcière de Nancy » qui montre que l’enseignement de la shoah n’est pas toujours bien venu dans les lycées, y compris aux yeux du corps enseignant, et rappelant les obstacles mis sur la route d’une enseignante de Nancy qui souhaitait lui donner sa place

exotisme dit: à

14h39
Très reportage colonial.

En effet

Barbarosa dit: à

J’ai du changer de pseudo car ça ne passait plus…

Jean-Gérard dit: à

la majorité des juifs emprisonnes à Drancy sont sortis vivants …..mais plus pour longtemps. (DHH)

Cette présentation me paraît plus conforme à la vérité des faits que celle de Bloom, inutilement polémique. La qualité d’un regard historique se mesure au souci des nuances.

Barbarosa dit: à

Ne jouons pas sur les mots, Drancy a été une gare de triage vers la mort. Tristan Bernard est mort le 7 décembre 1947. Il est l’un des rares rescapés de Drancy, contrairement à…

La république des folles dit: à

J’ai du changer de pseudo car ça ne passait plus…

Un d’ces 4, Dédé signera Dédette
Attila, Lili
Bloom, Molly
et Passou, Pussy

exotisme dit: à

14 h 39 min
le (plutôt mauvais) gestionnaire de la ville, toujours là

Bloom dit: à

ces dizaines de milliers d’autres sont sortis bel et bien vivants de Drancy.

Vous jouez sur les mots. Vous savez très bien que c’était un sursis.

D. dit: à

la « folie »,la perversité, la bêtise, la naïveté, l’âge, la profession, l’appartenance à une religion, le grotesque, la vulgarité…

un diagramme de Kiviat conviendrait parfaitement.

D. dit: à

Je viens d’écrire à mon député afin qu’il présente une loi interdisant l’homologation aux mines des motocycles trop bruyants.

u. dit: à

« En Italie, un forcené tue quatre personnes pour un problème de fil à linge » (Libé)

La raison de ce personnage limite ne tenait qu’à un fil.

« – Pourvu qu’il ne s’appelle pas Mourad, ça commence à bien faire.
– Ca va, un certain Giulio Murolo d’après Il Corriere. »

christiane dit: à

@14h12 (qui que vous soyez)
Il ne s’agit pas de mansuétude. Certains commentaires de JC sont insupportables, d’autres pleins de finesse. Mon commentaire ne visait pas que les critiques (souvent fondées à ce sujet) concernant le personnage qui a choisi ce pseudo mais d’autres commentateurs aussi.
C’est une question autre : se sentir autorisé au nom d’un collectif (?) à faire le « ménage » comme vous le dîtes sur un blog qui n’est pas le vôtre au nom d’une respectabilité ambiguë car qui êtes-vous ? Qui sont les commentateurs ici réunis ? que sait-on de leurs motivations profondes ? A tour de rôle souvent certains glissent dans l’odieux, le jugement caricatural, le mépris, la cruauté. Ce n’est pas une arène de blanches colombes mais un défilé de gladiateurs féroces ou de clowns. Leur point commun être retenus par les billets intéressants de Pierre Assouline et, surtout, profiter de son hébergement presque sans limites pour y faire salon avec les copains ! Certain(e)s ici ne peuvent poser un commentaire sans se faire immédiatement « rosser » avec une méchanceté gratuite : clopine, DHH, rose, D, W (qui le cherche bien…), j’en passe. Parfois, des trêves de courte durée où des échanges vraiment intéressants et importants, voire graves – comme les derniers inscrits ici – peuvent se lire. Enfin, globalement, un sacré cirque !

D. dit: à

Mais occupez-vous donc de vos oignons, cricri.

Sans quoi dit: à

précieux bonbons attirent-ils les enfants sans quoi c’est pas du jeu.

Daaphnée dit: à

On n’arrête pas le progrès.

Sans quoi dit: à

voyez Daaphnée sort de son trou intersexuel..

Pompée dit: à

ah, cette Dame Christianeblanche, colombe et vilains messieurs, la pureté du diamant contre les déjections, toute la panoplie, le panneau plie aussi

le racisme est un délit dit: à

christiane dit: 16 mai 2015 à 15 h 57 min

.il se trouve que celui à qui vous attribuez de très bonnes notes (propos très fins etc, selon vous) tient des propos racistes,
et que PA ne peut pas passer son temps à lire tous les commentaires

garde-fous dit: à

cette Dame Christianeblanche, colombe

christianne méfiez-vous des messieurs à scooter rose

Sans quoi dit: à

La jeune fille allait translucide, iridescente, aussi sensible qu’une algue aux sons de la mer.

suite (c'est u qui a commencé) la revue de presse dit: à

Des migrants s’entretuent (Rohingyas et Bangladais s’affrontent pour leur survie sur des bateaux sur le point de sombrer.La Tribune de Genève)

sonority dit: à

« aussi sensible qu’une algue aux sons de la mer. »

Que de sifflements

Daaphnée dit: à

Bon, pendant que certains s’envoient des choses salissantes à la tête ..
Il y a qd même la nuit des musées, ce soir.

(si vous partez maintenant, Sergio, vous serez dans les temps )

bérénice dit: à

Voir et revoir les collections permanentes, c’est toujours sympa ces évènements nocturnes, la nuit invite, en plus des amateurs, une intimité chaleureuse, le ciel étoilé pour les citadins qui trop souvent se cloîtrent assez tôt demeure en lui-même une merveilleuse toile. Dommage que ce ne soit pas aussi la saison des cigales. L’occasion d’une belle promenade sous les frondaisons de cette 136ème soirée pour peut-être entrevoir le dernier quartier.

bérénice dit: à

16h47 : ces mots font penser à l’Ophélie de Rimbaud

I

Sur l’onde calme et noire où dorment les étoiles
La blanche Ophélia flotte comme un grand lys,
Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles…
– On entend dans les bois lointains des hallalis.

bérénice dit: à

Sergio est capturé par Baudelaire

Un éclair… puis la nuit ! – Fugitive beauté
Dont le regard m’a fait soudainement renaître,
Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ?

Bloom dit: à

Important de tout citer:

« Les vivres venant à manquer, les deux groupes – Rohingyas d’un côté et Bangladais de l’autre – se sont alors affrontés pour obtenir le peu de nourriture qui restait, a expliqué Mohammed Koyes, survivant bangladais.

Les affrontements se sont encore amplifiés lorsque le bateau a commencé à sombrer, ajoute Mohammed Amin, que d’autres passagers ont jeté à la mer. Il a dérivé six heures avant d’être secouru. »

La Tribune de G.

Passage au réel du « Lifeboat » d’Hitchcock…Steinbeck, visionnaire.

Sergio dit: à

bérénice dit: 16 mai 2015 à 17 h 26 min
dans l’éternité ?

Y a un tunnel comme le Simplon, si c’est pour terminer comme Aschenbach vaut mieux descendre à Brigue s’enchrister là… On rechope des voyageuses du train suivant !

u. dit: à

Bloom a raison de dire: n’oublions pas ce que nous avons dans notre assiette.

On est ce qu’on mange.
C’est ce que souligne ce prédicateur, un Français modéré, qui rappelle sagement à l’ordre la jeunesse de Villetaneuse à Champigny-sur-Marne, Aubervilliers, Aulnay-sous-Bois, Montmagny, Mérignac, Garges-Les-Gonesse ou Halluin…

https://www.youtube.com/watch?v=uUIwRxC9CcU

u. dit: à

Le mangeur de porc devient un porc, et le Soumis-à la-loi ne doit pas le fréquenter.

On voit qu’il est un porc humain au fait qu’il ne s’éloigne pas des femmes:

« « Généralement, le problème des jeunes c’est les femmes, on n’a pas à se voiler la face. Tout tourne autour de la femme : la musique, c’est avec la femme, l’alcool et la drogue, c’est avec la femme, l’argent, c’est pour draguer. Tout tourne autour de la femme, malheureusement, généralement, on ne va pas dire pour tous les cas, mais malheureusement tout tourne autour de la femme. »
« Ne pas être dépendant de la femme, quand une femme passe et tu es dépendant, tu regardes, nous les Musulmans, on est fort, la femme elle passe, qu’elle parte ! Elle a eu l’idée d’enlever tous ses vêtements: « et bien, je ne te regarde pas ! ». L’homme est fort, le Musulman est fort, il n’a pas besoin de ça, c’est bas pour lui tout ça. Même si, certes il est séduit parce que c’est un homme, car l’homme est attiré par la femme, comme la femme est attirée par l’homme, mais il sait que ce qu’elle a fait pour le séduire, c’es tellement mauvais qu’il préfère satisfaire Allah. » » (Mehdi Kabir)

— Soit dit en passant, je me demande ce que font les associations « anti-racistes », anti-xénophobes et autres CRANs devant un discours qui voue à l’impureté physique les citoyens au sein desquels il a la chance de vivre.

Je vais me changer les idées auprès d’une nonne taoïste.

le hénième dit: à

LE BILLET est-il trop haut ou plein pour susciter des commentaitres dans son sillage? on pouvait néanmoins en espérer plutôt que ces ressassements ^vieux comme la RdL

no rest dit: à

« Passage au réel du « Lifeboat » d’Hitchcock…Steinbeck, visionnaire » …

l’horreur s’étend et amplifie

Daaphnée dit: à

Ah, c’est terrible ce que vous citez, U. !
C’est un grand malade mental, ce Mehdi Kabir .
Ceux qui l’écoutent sont à ce point demeurés qu’ils ne s’en aperçoivent pas ?
Terrible .
En effet, que font les CRAN et autres sentinelles du respect des droits de l’Homme ?!

Daaphnée dit: à

En fait, ce pauvre type de Mehdi Kabir a dû manger de la merde depuis tout petit pour en avoir un tel paquet à la place de la cervelle ..
Je ne vois pas d’autre explication .

bérénice dit: à

(Mehdi Kabir) Ueda, quelle est sa position dans la pyramide?

bérénice dit: à

Daaphnée, vous savez, ce n’est pas parce qu’ils mangent du mouton qu’ils se rallient tous à l’intégrisme d’une part et de l’autre que le cerveau s’atrophie en cervelle tout juste bonne à produire des bêlements d’approbation .

eh bê dit: à

le pire c’est que ce n’est pas un gag marrant- il est bon pour l’asile – il prêchouille encore?

cricri dit: à

jc est un véritable saint (en comparaison de ce prédicteur

Daaphnée dit: à

Utilisez Google, Berenice, et essayer d’apprendre un peu par vous-même !
Sinon, vous êtes partie pour avaler jusqu’à plus soif les paroles d’un idiot à la grande bouche, tel que cet hystérique sans cervelle de Kabir de Villetaneuse .

D. dit: à

bérénice dit: 16 mai 2015 à 17 h 17 min

N’importe quoi.
Un musée se visite en semaine, le matin et en janvier. Seulement personne n’y pense et du coup ils se ruent tous en nocturne-bidon à rallonge.
N’importe quoi.

bérénice dit: à

vous avez le sens de l’ordonnance, certes, mais je trouve personnellement que si l’Islam est malade, le débat l’est également, à la fixation mono focale et que là où nous sommes, cela ne sert à rien ou peu de l’illustrer par des effets de manche en jouant les procureurs.

u. dit: à

De plus, Daaphnée, comment convaincre des mangeurs de saucisses que manger du porc est interdit?
Eh bien, le Coran c’est la science.
Das ist bereits die Erwartung der modernen Wissenschaft!

Les interdits alimentaires ne relèvent pas d’une logique rituelle, ils sont fondés dans la biologie.
Ainsi, la bioenergothérapie interdit formèlement le porc, c’est un poison et un « bloqueur d’énergie », whatever it means.

Ce garçon à l’esprit un peu scientologique cite le bouquin de Keymer et al., Bioenergietherapie: Ein ganzheitliches Diagnose- und Behandlungskonzept.

https://www.youtube.com/watch?v=HfGr-jiwVgY

Je retourne à mon jambon au torchon.

D. dit: à

Il y a aussi ce petit salon de l’art accessible (mais de qualité) à Belleville.
A crever de rire. Tous ces gens qui repartent avec soit-disant de l’art sous le bras. Alors que les véritables artistes se comptent sur les doigts des mains et des pieds dans chaque pays et dans chacune des disciplines.

bérénice dit: à

D de toutes façons dans le secteur, je les ai déjà fait plus d’une fois. Mais le matin effectivement c’est mieux.

Daaphnée dit: à

Les pauvres prof de l’EN qui doivent se coltiner dans les collèges des demeurés mentaux et pourris jusqu’à la moelle comme ce Kabir !

u. dit: à

Apprenons à dialoguer avec nos frères.

Pierre Vogel, alias Abu Hamza, ancien boxeur, est partisan des explications scientifiques.
La polygamie est justifiée en Allemagne pour une raison simple: les femmes y sont plus nombreuses que les hommes.

Un article du Spiegel le décrit comme un islamique tendance nazie, mais je me demande s’il ne pousse pas un peu loin la mortadelle.

(Es gibt ihn auch in der finsteren Nazi-Variante von deutschen Konvertiten wie dem Salafisten Pierre Vogel in Mönchengladbach, der seine Leitkultur und seine Loyalität nach Mekka ausgelagert hat. Vogel, auch bekannt als Abu Hamza, ist ein ehemaliger Boxer. In seinen Predigten fordert er die Kanzlerin unter dem Gegröle seiner Fans auf, in Neukölln die Scharia einzuführen. Mal aufräumen, Hände abhacken und so, Ruhe und Ordnung schaffen.)

Tschüss!

u. dit: à

bérénice dit: 16 mai 2015 à 19 h 12 min
vous avez le sens de l’ordonnance, certes, mais je trouve personnellement que si l’Islam est malade, le débat l’est également, à la fixation mono focale

Et ce n’est pas fini, berenice!

Attendez-vous à vivre avec le Point Nasrullah (ex-Godwin): vous en avez pour des décennies!

bérénice dit: à

Ueda, il est surveillé et ne se livre à rien de répréhensible. Il attire des foules et procède à des conversions. Pour le moment inattaquable. En fait les non-musulmans qui se convertissent sont en perte de repères et en quête de spiritualité, à ce qu’il semble l’Islam remédierait à l’absence de limite en proposant un cadre strict de règles à respecter et appliquer au quotidien.

bérénice dit: à

trop de libertés tueraient-elles la Liberté?

Jean-Gérard dit: à

Les réflexions de Mehdi Kabir sur les rapports entre hommes et femmes me paraissent pleines de bon sens et de sagesse. Dans un passage célèbre du chant IV du « De rerum natura », Lucrèce ne dit pas autre chose. N’oublions pas que c’est en dominant les passions qu’on accède à la sagesse.

Daaphnée dit: à

Eh bien, le Coran c’est la science.

Le problème est bien là pour ces ignorants sans cervelle qui mélangent tout, U..
D’un discours sur la consommation de viande de porc, à l’époque du prophète, via la récupération de discours hygiéno-diététique, au rapport du comportement de l’homme vis à vis de la femme et vice versa …
On a là un bel exemple du degré zéro de la connaissance et de la réflexion.
Du Soral version barbu.

bérénice dit: à

vous en avez pour des décennies!

Compte tenu de mon grand âge je ne devrais plus en être incommodé bien longtemps. Et il n’est pas interdit de zapper le débat puisque de toutes manières, en dehors du droit de vote, qu’aurions nous comme pouvoir face à cette menace réelle que constituent l’intégrisme et ce désastre migratoire entretenu par des conflits ou des persécutions dont les responsables sont soit des tyrans bien installés ou des islamistes employés et chargés à l’explosif

Bloom dit: à

Aucune raison de laisser les fondus monopoliser le discours sur l’islam.
Lisons plutôt ce qu’écrit un grand poète du Bengale:


L’appel à la prière fait
le tour de la ville
et le réveil succède au réveil.

Dans l’orient, le gris
vieilles fesses du ciel
fait place au rose bébé

Et si l’on ouvrait un conservatoire
pour muezzins?
Badshah Akbar recommandait
que l’appel de l’aurore
fût chanté sur le mode
du Raga Ahir Bhairo –
merveilleuse aubade qui retentit
aujourd’hui encore dans le vieux Delhi
L’air est doux, l’air est chaud, l’air est très chaud:
c’est l’été.

L’horloge ne tourne pas rond
C’est un été
qui ici n’a pas encore
Été.

Tout retarde.
Les grenouilles du Rajasthan
ont beau être toutes mariées-
la pluie ne vient toujours pas.

Le bétail est étique
Krishna est introuvable à Vrindavana
Radha a beau chanter ses prières
– succès assuré –
la pluie ne vient toujours pas.

Dans la fournaise du delta,
sous ce ciel de plomb,
je tourne et me retourne et sombre
dans un sommeil sans espoir.

Au réveil,
miracle
la mousson est là –
avec un mois de retard –
et bien décidée
à rattraper le temps perdu,
le vent et l’eau
jouent furioso –

l’appel à la prière monte à l’assaut
des nuages de pluie
et la flûte de Krishna lance ses appels:
Radha, Radha, Radha…

Sergio dit: à

bérénice dit: 16 mai 2015 à 18 h 55 min
especially for you:

Faut lui mettre un vieux coup de réverbération on remplit un Zénith complet même un stade de foot transformés hurlants ça fera même tomber les avions… Encore plus pire que les camés du billet !

_

bérénice dit: à

Jean-Gérard, vous cherchez des noises ou vous maltraitez votre femme.

bérénice dit: à

Sergio je l’ai entendue avec une sono de meilleure qualité, mon avis est qu’elle vaut le détour. Excellent violoncelle .

bérénice dit: à

incommodée, excuses pour les autres également.

Widergänger dit: à

u. dit: 16 mai 2015 à 19 h 19 min
Apprenons à dialoguer avec nos frères.
________
Est-ce que nos frères dialogues avec nous ? Tuer 17 personnes, est-ce que c’est ça le dialogue ?
Faut arrêter de se foutre du monde, mon pauvre babibel ! T’es juste un fromage…

bérénice dit: à

WGG il ironise.

bérénice dit: à

Daaphnée il faudrait en kidnapper quelques-uns et procéder à des lobotomies ainsi on réduirait un peu plus l’aire du langage, Pöutine je crois les renvoie en morceaux.

Daaphnée dit: à

mmm … Bérénice, pour Ophélie Gaillard, il vaut mieux l’écouter accompagnée seulement d’un piano, si vous voulez bien entendre son jeu ..

par exemple ici,
Ophélie Gaillard_avec Ferenc Vizi,
Brahms Sonata for cello and piano n°1, op.38

https://www.youtube.com/watch?v=Ad-2RClcFxU

Widergänger dit: à

Je vais me changer les idées auprès d’une nonne taoïste. (babibel)
______
Un instant, j’ai cru lire « nonne sioniste ». Je me suis dit dans mon for intérieur : Il a de ces revers de fortune, ce pauvre fromage…! J’étais sur le point d’avoir presque pitié de lui…

Widergänger dit: à

Avec babibel, on sait jamais si c’est du lard ou du cochon…

Widergänger dit: à

Le CRAN, de toute façon, il sait juste crâner !

bérénice dit: à

Oui Daaphnée, sûrement le son est-il moins noyé ou couvert qu’en ensemble mais c’est le sien.

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