Détester Wagner sans être germanophobe
L’Italie passe pour être la patrie de la voix, l’Allemagne celle de l’orchestre et la France celle du théâtre donc de l’opéra. Et au chapitre des idées reçues, la France serait le pays qui a le mieux compris Richard Wagner. Nietzsche, André Suarès et d’autres l’ont écrit. Pour comprendre le phénomène, à supposer qu’il soit avéré, il faudrait y adjoindre d’autres grands esprits venus d’Allemagne, Martin Heidegger et Ernst Jünger, qui ont également chez nous une faveur (recherches, intérêt critique etc) qu’ils n’ont pas toujours eu chez eux. Fin XIXème/début XXème, notre littérature fut prise de mélomanie avec un tropisme allemand prononcé. Dans Verdi-Wagner. Imaginaire de l’opéra et identités nationales (320 pages, 22,80 euros, Actes sud), Timothée Picard a bien raison de nous renvoyer à l’index des noms cités dans l’édition de la Pléiade d’A la recherche du temps perdu : tout pour Wagner, des miettes pour Verdi…
Les tintinophiles, de même que les charlotôlâtres, savent gré à leur maître d’avoir caricaturé l’Opéra à travers la Castafiore et ces-gens-qu’on-paie-vraiment-pour-crier-comme-ça ? Ce trait bien appuyé s’inscrit dans une longue tradition où l’opéra est supposé plaire à une élite argentée tandis que l’homme du commun doté d’un solide bon sens ne s’y laisse pas prendre. Mais Gounod n’est pas le seul à en faire les frais. Ni même tel ou tel compositeur. En témoigne la réplique d’Omar Sy dans Intouchables, lorsqu’il doit accompagner son paraplégique à l’Opéra : « C’est de l’allemand ! C’est de l’allemand en plus ! » s’étrangle-t-il de rire en se tapant sur les cuisses, avant de récidiver en voyant des arbres marcher, et les spectateurs du film également, même s’ils réagiraient tout autrement en voyant la même scène dans le Seigneur des anneaux. Le plus drôle, comme l’a relevé l’auteur tant dans les commentaires sur la Toile que dans les articles des critiques, c’est que les spectateurs sont convaincus que « c’est du Wagner » alors qu’il s’agit d’une représentation du Freischütz de Weber. En cela les scénaristes jouent délibérément la carte de la germanophobie douce et railleuse, alors que dans l’inconscient populaire Verdi a longtemps symbolisé par excellence l’Opéra. Ce ne fut pas sans mal, Wagner l’ayant durablement éclipsé. En France, il y fallut la passion communicative de Boris de Schoelzer, Francis Poulenc, Michel Leiris (un fervent du Bal masqué) et Dominique Fernandez, pour qu’il retrouve sa place. Même s’il reste aujourd’hui encore largement folklorisé. N’empêche, Savinio pose la bonne question : « Pourquoi n’est-ce que face à la musique de Wagner que l’on est wagnérien ou antiwagnérien ? » Il est vrai que rares sont ceux qui se disent verdiens ou antiverdiens.
L’essai de Picard est savant sans en avoir l’air. Le récit, des plus fluides, est composé dans une langue claire, que l’on dirait « à la Plutarque » tant il est inspiré par le canevas des Vies parallèles des hommes illustres. Il est de pires modèles. Celui-ci est fidèle jusque dans la volonté d’édification du lecteur, ce qui le distingue de l’un de ses prédécesseurs sur cette fois, l’Alberto Savinio de Narrate, uomini, la vostra storia (1942, Hommes,, racontez-vous). On n’est pas étonné d’apprendre que l’auteur, spécialiste de l’étude des conceptions et des représentations de la musique à travers l’histoire des idées, et notamment du wagnérisme européen, enseigne la littérature comparée à l’université de Rennes. Le comparatisme semble lui être devenu un réflexe naturel.
Son essai entend décortiquer nos imaginaires verdiens et wagnériens, à travers les stéréotypes, poncifs et lieux communs qu’ils véhiculent sur les Italiens et les Allemands, et sur ce que notre mémoire collective en a fait. Car il est difficile de nier que l’un est devenu le symbole de l’italianité et au-delà celui de la culture méditerranéenne, et l’autre le symbole de la germanité et au-delà celui de la culture nordique, les embrassant chacun sans nuance en des blocs homogènes afin de mieux les dresser l’un contre l’autre. Un phénomène qui ne s’est pas dupliqué en France, ni avec Berlioz, ni avec Debussy, ni avec Bizet. Timothée Picard, qui connaît bien le monde des revues musicales, rappelle opportunément qu’il fut un temps où Richard Wagner servait de « prête-nom » à Edouard Dujardin et à ses amis de la Revue wagnérienne (1885-1888) pour défendre leurs principes artistiques et spirituels.
L’auteur s’emploie à traquer les moindres signes dans les plus grandes œuvres, dans une nouvelle particulièrement musicale de Pirandello, aussi bien que chez Andrea Camilleri. Ainsi voit-il en Thomas Mann une volonté de germaniser de manière subliminale sa Montagne magique dans l’usage permanent que l’écrivain y fait de la technique wagnérienne du leitmotiv. Placée dans les profondeurs du texte, elle peut y entrer en conversation avec la latinité verdienne qui, elle, ne peut être qu’en surface, l’enjeu de leur conversation secrète n’étant autre que la spiritualité de l’Europe (quant à la France, elle y est incarnée par la musique de Bizet).
Combien de militants du Front national ont-ils eu à l’esprit, en entendant le chœur des esclaves tel un hymne de leur parti dans les meetings, que Nabucco évoque la persécution des juifs par les Babyloniens ? Dans Senso comme dans le Guépard, Visconti convoquait la musique de Verdi comme un rappel du Risorgimento. Dans Django unchained, Quentin Tarantino a été assez virtuose pour faire sa sauce des deux identités : italienne avec du Verdi, son Requiem accompagnant la cavalcade meurtrière du Ku Klux Klan ; allemande avec un pastiche d’une séquence wagnérienne, et le prénom de l’héroïne, Broomhilda ou Brünnhilde.
Ce passionnant essai a également le mérite de montrer en creux l’inanité des injonctions binaires qui nous sans cesse proposées : Voltaire ou Rousseau ? Gluck ou Piccinni ? Beatles ou Rolling Stones ? Bordeaux ou Bourgogne ? Football ou Rugby ? etc Beaucoup se sont évertués à faire en sorte que Verdi incarne la tradition et Wagner l’avant-garde en réactivant pour l’occasion une querelle des Anciens et des Modernes. Mais notre cas serait-il désespéré, docteur, si nous avouons notre égale admiration pour l’un et pour l’autre ? Timothée Picard nous rassure, et ce n’est pas par goût du consensus, son brillant essai en témoigne : « ce sont deux visages certes divergents mais néanmoins complémentaires du romantisme- et de la sensibilité au romantisme ». Ouf ! Nous n’aurons même pas à nous soigner.
Après avoir lu cet essai, on s’étonne que Georges Valance fasse si peu cas de la musique dans Petite histoire de la germanophobie (244 pages, 18 euros, Flammarion). Elle s’y trouve bien sûr, mais à peine. Comme si elle n’avait pas compté dans la crise allemande de la pensée française. Tout pour la bataille fondatrice de Bouvines, l’histoire, la politique, la poésie, la littérature, la religion… Le traité de Versailles et la communauté européenne du charbon et de l’acier. A croire que pour les Français, la notion de fédéralisme a éclipsé Wagner dans l’idée qu’ils se feraient du génie allemand. Et pourtant… En cherchant bien, on trouverait certainement dans les relations musicales entre les deux pays de quoi nourrir cette fameuse méfiance qui a engendré « une psychose de l’invasion ». Friedrich Sieburg n’avait pas tout à fait tort en écrivant (1931) que la conscience française avait fini par considérer comme allemand tout ce qui lui était opposé. Curieux essai que celui de Georges Valance qui ignore la wagnérophobie alors que d’aucuns se sont échinés à la rendre consubstantielle à la germanophobie. Par ses absences, ce livre plaide a contrario pour l’urgence à inscrire l’enseignement de l’histoire des arts (peinture mais aussi musique) au programme des collèges et lycées. Sa réflexion est d’un journaliste aussi français que germanophile, mais elle n’en fait pas moins preuve de pessimisme sur l’avenir des relations entre les deux pays. Il craint que l’Allemagne ne se laisse à nouveau emporter par sa puissance « pour son malheur et celui de ses voisins ». Le sentiment de supériorité en serait le symptôme le plus alarmant. Et Valance de finir son essai par une citation de l’écrivain Günter Grass que l’on connût mieux inspiré mais à qui il laisseR le dernier mot :
« Nous devrions avoir conscience, nos voisins l’ont, de la masse de souffrance que cause l’Etat unitaire, de l’étendue du malheur qu’il a apporté aux autres et à nous-mêmes (…) Auschwitz, ce lieu d’épouvante, cité comme exemple de traumatisme permanent, exclut à l’avenir un Etat unitaire allemand. Si, comme il reste à craindre, il s’impose quand même, son échec est écrit d’avance ».
Ces lignes sont extraites d’un discours prononcé à Tutzing le 1e février 1990.
(« Le Ring mis en scène par Patrice Chéreau en 1976 à Bayreuth » ; « Richard Wagner » ; Giuseppe Verdi » photos D.R.)
650 Réponses pour Détester Wagner sans être germanophobe
Pauvre D.bile, votre réponse, concernant ma légitime animosité envers vous (depuis 2005), est ridicule et lâche (votre réponse, par mes justes raisons). Vous êtes un lâche et une ordure du web, pourtant avec un anonymat blindé, incapable de dire la vérité. Vous voudriez être le maître dans un jeu S&M, D. regardez vous dans une glace, personne ne vous voudrait ne serait-ce qu’en partenaire maso, même pas virtuellement. Malheureusement, il n’y a pas de réplique léthale pour se débarrasser d’un troll perveres narcissique.
Pour ce qui est de JC, votre frère-de-merde ou votre double politique, ce sont ses fantasmes politiques qui m’indisposent.
Quant à vous faire des avances, pauvre cruche, ayant vu votre physique incolore et votre regard oblique de toqué super-timide, franchement, vous êtes le genre de personne qui font changer les autres, de trottoir. Vous êtes malsain et vous ayant vu en 2006 au CCS, je dois dire que vous avez l’air bizarre, malsain et atteint d’une pathologie non guérissable. Pour ce qui est de votre portrait en veste de coton blanc, mis en ligne par vous sur la RdL, vous avez l’air niais au possible.
Vous devriez quitter Melun, redevenir agriculteur, j’aurais alors une chance que vous rentriez dans la statistiques annoncée ce matin à la radio.
radicale dans le sens où il nous faudrait rompre avec les consensus habituels ou habituellement débités sur toutes les ondes, un tel mouvement n’existe pas.
« Vous dites que les politiciens sont nuls, c’est possible. Le probloc, c’est qu’on n’en a pas d’autres. »
Le vote blanc, c’est un vote actif.
Ce n’est pas l’expression de ceux qui restent chez eux, ou de ceux qui n’ont pas compris comment ça marche.
Ça évite le recours à ce qu’on appelle les « populistes », qui sont rarement propres sur eux.
Notez que je ne dis pas du tout que je vote blanc, je demande que cette possibilité soit institutionnellement reconnue.
Period.
U, il y a bien l’articulation de Rienzi en 1842 qui va dans votre sens. Après, on revient à l’Art le plus haut, Les Wesendonk puis Tristan, et la vieille dramaturgie mythistorique qui fit les beaux jours de Versailles, mais accommodée à la sauce teutonne. Puis sortie par le haut de cette impasse, avec Les Maitres et Parsifal. Ces derniers léguant l’un une vision de l’Allemagne, l’autre, un prolongement aux operas de jeunesse en meme temps qu’une dramaturgie et une musique qui brise le dogmatisme tétralogique. De l’Art à son plus haut.
Après, malheureusement, Cosima et Winifred.
Tout à fait d’accord pour Elgar, au mieux, c’est du Pudding, au pire, du mauvais Saint Saens.
Lew, oui, Opérette apparait je crois chez Hervé , « le compositeur toqué »-à vérifier-
Pour le devoir Beaubourgeois imposé au compositeur, je me suis entendu dire ^par son auteur qu’E Tanguy avait retiré du commerce son premier disque.
Impossible de retrouver la référence, mais j’ai entendu une descente aux Enfers d’après Dante je crois de Dusapin, tout à fait remarquable en sa tension symphonique.
Bref, comme disait Ravel, « Il y aura encore de belles choses à écrire en do majeur ».Il semble, la chute du Dictateur Boulet s’étant produite, qu’on s’en rende compte de nouveau, après une longue période de dodécacophonie à la française, Schoenberg en moins, hélas.
Bien à vous.*
MCourt
« Pour ce qui est de JC, votre frère-de-merde »
Thierry… faites un effort, bon dieu ! Il n’y a pas de parenté de cette ordre entre D+ et moi-même.
Question : vous être Kron, ou quoi ?
bérénice dit:11 octobre 2013 à 12 h 51: « être à l’ouest depuis la chute du mur ne dit plus rien »: Vous n’avez aucune connaissance de ce que sont les nouveaux Länder. Je connais bien la région qui va de la mer Baltique à Berlin, et aussi entre Hambourg et la Pologne: être à l’Est veut toujours dire quelque chose, économiquement, politiquement etc…
Par contre il y a à l’Ouest des laissés-pour-compte.
Certains Français rêvent de l’égalité par le bas, les Allemands sont plus réalistes.
Que voulez vous dire, JC, que vous êtes des frères de combat légitime ?
Chacun sa perception des odeurs, politiquement vous êtes un excrément, le reste de la pensée de Vichy. D. y ajoute son délire de catholique messe en latin seule religion valable. Le crétin est en plus, un ayatollah chrétien. Plus conservateur que les Pape François.
Au lieu d’habiter Melun, il devrait habiter la région de Versailles.
Notez que je ne dis pas du tout que je vote blanc, je demande que cette possibilité soit institutionnellement reconnue.
Period.
zouzou on ne « vote pas blanc » en général sinon ça srait un parti..et c’est ce parti que tu veux faire reconnaitre..le plus drôle c’est que tu en frais celui des antipopuliss..vas au étatunis et parle de politique au bar..tous les populiss y ont voté blanc..aprés pour leur gun et la télé..et comble un paquet veulent les faire rameuter au cas on en enlévrait leur gun..là y sdéplacent..en calçon
Alice Munro, Prix Nobel, un choix assez frileux.
@ Clopine: C’est quoi vivre normalement ?
« politiquement, vous êtes un excrément »
Peut-être… Pour ma gouverne, pouvez-vous me dire ce qui vous conduit à ce jugement non seulement péremptoire mais erroné ?
TKT dit: 11 octobre 2013 à 12 h 57 min
C’est trop long Thierry, ça sent son word corrigé et recorrigé.
Il faut un esprit bien malade pour passer plus d’une heure à écrire tant d’insanités.
..le populism au état unis c’est de mépriser les hommes politiques..surtout surtout décourager quiconque qui aurait l’idée que ça puisse changer juste un peu..et je dis que tu calçonnes, parceque tu le sais. period
@ Clopine: C’est quoi vivre normalement ?
sapré vontraube..
partoutatiss bouguereau faites un effort moi pas compriss!
Vous devriez quitter Melun, redevenir agriculteur, j’aurais alors une chance que vous rentriez dans la statistiques annoncée ce matin à la radio
..sapré vontraube
Pour ce qui est de votre portrait mis en ligne par vous sur votre blog, vous avez l’air niais au possible.
bouguereau faites un effort
j’en fais des kils !
Ça évite le recours à ce qu’on appelle les « populistes »,
ça fait leur jeu comme voter pour eux
Mais quelqu’un, ici, a-t-il lu Alice Munro
e ? Notre hôte, peut-être ?
TKT : j’ai lu ce qualificatif dans un article consacré à la nouvelle nobélisée. On y disait qu’elle habitait à la campagne, que son principal trait de caractère était la modestie (« l’absence d’ego »), que son oeuvre parlait de femmes « ordinaires » (dans leur quotidien), ni aristocrates ni déchues quoi, ni richissimes ni miséreuses, et qu’elle avait eu une vie ni aventureuse à l’extrême, ni de recluse. Un divorce, un remariage… Tout ceci est EXTREMEMENT SYMPATHIQUE, d’autant que c’est une écrivaine anglophone, et que j’ai toujours cru qu’un nouvel « âge d’or » de la littérature (si on considère que l’âge d’or de la littérature romanesque était le dix-neuvième siècle) viendrait sous des plumes anglophones et féminines : filles, cousines, petites nièces de Virginia W.
et en plus, pour mon bonheur, elle écrit des nouvelles ! Alors que si j’ai commencé d’écrire, (quoi que ce soit que l’on puisse en penser), c’est grâce – ou à cause, suivant les points de vue – de la formidable nouvelle « construire un feu » de London. Je ne m’y risque qu’en tremblant, c’est sûr. Mais la nouvelle (et j’ai relu récemment celles de Daphné du Maurier, de pures petites merveilles) est un genre qui me satisfait pleinement. Intellectuellement, c’est un exercice si périlleux. Stylistiquement, c’est une ascèse : comment faire « bien » avec « peu » – ce qui rejoint le terreau qui me plaît, la grande aventure des paysans, des « gens de peu », qui n’ont de cesse de faire « bien » avec « peu ».
Je pense donc, si le sujet de Munro est bien la vie ordinaire, que la forme de la nouvelle colle bien avec le fonds. Première condition d’une oeuvre de valeur.
Donc, je saute dessus, et j’espère bien ne pas être déçue !
13h26 vous avez fait une faute mais ce n’est pas grave ça fuit à foukou ce mètre étalon.
Monsieur Court merci, j’ai involontairement estropié le patronyme des Wesendonck, je ne suis pas sur mon clavier habituel. J’ai été les écouter ces lieders au festival de l’été Mosan, chez nous France Musique, c’est Musique 3.
Je retourne à mon petit traité de scénographie : Jacques Copeau ..
Renoncer à l’idée de décor.
grégoire dit: 11 octobre 2013 à 13 h 28 min
Vous n’avez pas encore fini tous les saints du calendrier ?
Comme représentant officiel du NPA sur la rdl vous devriez signer Olivier ce serait plus clair.
L’enfermement dans votre système de pensée-unique vous donne un petit air de TKT d’extrême-gauche du plus bel effet.
JC….. dit: 10 octobre 2013 à 14 h 55 min
» alors, sachant que Renato est souvent Chaloux »
N’importe quoi, vraiment…
Je soupçonne quelques poulpes de poster sur ce blog.
Chaloux dit: 11 octobre 2013 à 13 h 45 min
Le pauvre,
c’est vrai qu’à ce niveau d’incapacité à dépasser le premier degré seul renato peut le concurrencer.
Chaloux dit: 11 octobre 2013 à 13 h 45 min
JC….. dit: 10 octobre 2013 à 14 h 55 min
» alors, sachant que Renato est souvent Chaloux »
N’importe quoi, vraiment…
——
Il fait semblant d’être malcomprenant ou bien ?
Clopine Trouillefou dit: 11 octobre 2013 à 13 h 42 min
Mais quelqu’un, ici, a-t-il lu Alice Munro
Des tas de gens ont lu Alice Munro. J’aurais parié que vous étiez une de ses lectrices, Clopine.
Balle au centre dit: 11 octobre 2013 à 14 h 07 min
à ce niveau d’incapacité à dépasser le premier degré
Eh bien, tiens, justement, la championne du premier degré, c’est Alice Munro. Sobriété du style, droit au but. Jamais la moindre ambiguité, ou alors clairement définie, genre « attention, ceci est ambigu ». On a dit que c’était la Tchekhov anglo-saxonne. Faux. Chez Tchekhov, il y a toujours un moment où on se demande si c’est du lard ou du cochon. Chez Munro, jamais. C’est du lard. Point à la ligne.
..lecerf est con..c’est keupu
Clopine Trouillefou dit:11 octobre 2013 à 13 h 42:
« Mais quelqu’un, ici, a-t-il lu Alice Munro
e ? ,….que son principal trait de caractère était la modestie (« l’absence d’ego »), que son oeuvre parlait de femmes « ordinaires » …:
J’ai lu un recueil de nouvelles de AM, il y a bien longtemps et franchement, c’est oublié. Coté Goldin et Spark, je suis plus amateur. Clopine les nouvelles (short-stories) ne sont pas considérés en UK et Commonwealth, comme un genre subalterne. Ainsi que la poésie, il n’y a que la France, pour ne pas mélanger dans une carrière ces trois genres. Les short-stories sont une spécialité des auteurs féminins tout en UK, qu’en Afrique du Sud et donc le Canada. J’ajouterais volontiers Somerset Maugham, un maître. Le grand maître de la nouvelle, reste quand même Guy de Maupassant, mais serait-ce un chauvinisme qui me ferait porter un tel jugement ?
Pour ce qui est du manque d’ego, Clopine, Clopine, il n’y a pas de réussite sans ego*. Alice Munro est peut-être discrète et a le talent de se montrer humble, au sens anglais du terme.
* Il y a même des personnes à l’ego gros comme le Ritz (hello Scott F.!) et qui sont quand même des ratés.
Alice Munro aime les personnages simples, dîtes vous, et alors ? Ce n’est pas une preuve de quoi que ce soit pour l’auteur.
Coté Goldin et Spark, je suis plus amateur
dis plutot que tu kiff les porno bavaroye en sound surround vontraube..anal sex in der sparkasse..avec gold ceinture 18 carat..t’es un p’tit éparniant épicétou
@ ©lopine: » j’ai toujours cru qu’un nouvel « âge d’or » de la littérature (si on considère que l’âge d’or de la littérature romanesque était le dix-neuvième siècle) viendrait sous des plumes anglophones et féminines : filles, cousines, petites nièces de Virginia W. »:
Bref, vous ne lisez en dehors des francophones, que la littérature anglophone ? C’est oublier l’Allemagne, les autres pays européens, particulièrement l’Italie, puis l’Amérique latine et toute l’Asie. J’ai oublié les auteures arabes, israéliennes, libanaises etc…
Quand vous écrivez littérature romanesque, vous voulez parler du « roman » ou de fiction plus ou moins rose ?
Un Prix Nobel a l’avantage de faire un éclairage sur un auteur, on va acheter et lire ou relire Alice Munro.
Alice Munro n’a pas le profil de Jelinek ou d’Herta Müller.
Le Prix Nobel n’est pas le Goncourt, on attend aussi d’un laudaté qu’il ait aussi un profil politique.
Fazit: Le jury n’a pas trouvé un auteur plus essentiel ? Ou, il fallait un Canadien ?
Tout à fait d’accord pour Elgar, au mieux, c’est du Pudding, au pire, du mauvais Saint Saens.
M. court
Camus (Renaud) va en faire une déprimette.
Chaloux dit: 11 octobre 2013 à 13 h 45 min
Je soupçonne quelques poulpes de poster sur ce blog.
Boh, le poulpe c’est mou élastique ça poulope pas assez vite dans les tours, pas vrai patron ?
Phil dit: 11 octobre 2013 à 15 h 16 min
Camus (Renaud)
décidément, phil ne sortira jamais de ses marottes.
monorail, c’est une modeste contribution pour inverser les statistiques issues des boycotts francecultureux. hihihi. Il y a d’autres noms, malheureusement plus talentueux mais heureusement déjà connus.
pas vrai patron ?
Boh Sergio pense que le poulpe c’est pour les Galiciens et les Grecs alors là énormément ils en mangent des quantités terribles mais ce n’est absolument pas du tout nourrissant et cela laisse un goût prodigieusement tonitruant dans la bouche.
Bougre de rôt: Herta Müller habite Berlin et ne porte pas de Dirndl, même pas en tenue de soirée.
Les poulpes, ça sert à rien.
Les moules, non plus.
Entre poulpe et calamar, y a une nuance bon dieu !
le profil de Jelinek ou d’Herta
tu t’intoccyx avec d’la daube même pas walhallal vontraube..qu’à lidèle y z’importe la cochonaye par djet espécial only for you ..direct from béjingue..tu sauve la france à toi tous seul traube..tiens on va te cloquer la médaye du mérite agricol, avec une poiniée de persil pour te filer dans le tarbouif..hurkurk
entre la moule et l’huitre, aussi
entre le lard et le cochon, pas tant qu’ça.
vous avez raison, Phil, MCourt du mauvais Antoine Goléa ou pire du Bernard Gavoty
TKT, franchement, pffff… D’après vous, j’ai une bibliothèque « sectaire », où seuls mes auteurs de prédilection trouveraient place ? Mais enfin, vous savez à quoi ça sert, une bibliothèque ?
Certes, j’aime mes « trouvailles » : la dernière en date s’appelle Tracy Chevalier, auteure qui trace les portraits de femmes et de filles humbles, en butte au sexisme de leurs époques et entourages : « jeunes filles la perle » ou « prodigieuses créatures ». Mais mes étagères sont parfaitement hétéroclites.
Les seuls avec qui, je l’avoue, j’ai un peu de mal, ce sont les japonais, et avant tout Murakami, que j’exècre comme la pire littérature pour post-adolescents que j’aie jamais lue. Mais sinon, mon appétit est infini, et ma curiosité suffisamment vaste pour nourrir mon cerveau, puisqu’il paraît que j’en ai un, et qu’en plus, je tâche de m’en servir…
pas de procès bidon, TKT : les persifleurs sont déjà bien assez nombreux par ici, et font fuir les personnalités les plus attachantes. Plus de Lavande, DHH se fait bougrement rare, je ne parle même pas de toutes les disparues, même celles que je n’aimais pas beaucoup comme Sandgirl. Je me fais l’effet d’un brontosaure, non, plutôt d’un ptérodactyle, dans une volière emplie de perroquets jacassants et de corbeaux criards… Ne vous y mettez pas vous non plus, s’il vous plaît !
Quelle bête idée de lire « la route des Flandres », au phrasé enduné..
Dona tartt aura bientôt le nobel.
Ne vous y mettez pas vous non plus, s’il vous plaît !
Clopine
Cela fait près de 10 ans que TKT la met plus bas que terre, mais elle en redemande.
Va comprendre Charles.
» je tâche de m’en servir… »
Tu tâches, tu tâches… tu taches aussi un peu, des fois. C’est tout à ton tonnerre…ton neu-neu…ton tonneau…merde, j’vais pas y arriver ! ton nonneur, Clo. Mais, tu sais, il y loin de la coupe au lièvre…
Nonobstant, persévère, Clo. Va, cours, vole et te venge !
Tiens, une carotte, pour t’encourager.
Non, pas d’accord. TKT ne me met pas « plus bas que terre ». Il me considère parfois comme une ennemie, et a-t-il si tort que cela ? Parfois aussi, il se « retranche » derrière les idées reçues de son enfance : classe laborieuse = classe dangereuse. Et puis il est TKT, quoi. Comme nous tous, avec les mêmes aspirations, l’envie d’être aimé (tiens, ça me fait repenser au temps où Passou me qualifiait de « rechercheuse d’amouuuuur », wouarf), et une certaine propension à vouloir s’avancer sous les problocs imaginaires de la renommée. MAIS en même temps, TKT peut être blessant, un rien vulgos, un peu « marchand de vin ». Il n’en est pas moins un être humain qui se livre. Et ça, voyez-vous, ô mes petits passouliniens croulant sous les masques grotesques et effrayants de la calomnie, c’est quand même à noter. Je veux dire que je suis persuadée de la sincérité de TKT, qui correspond étrangement à la mienne, chacun à notre bout de l’échelle sociale. Rien que pour cela…
à Clopine : pour commencer avec Alice Munro : FUGITIVES (*****) en poche
Merci Curiosa, j’y cours.
je me rends compte que j’ai utilisé un mot d’argot « probloc », dans un sens peu courant. La probloc, c’est la proprio, nous sommes d’accord. Mais c’est aussi le PROJECTEUR dans une salle de spectacles.. (j’ai administré une salle de ce type pendant quatre ans, dans une autre vie !)
Clopine Trouillefou dit: 11 octobre
e ne parle même pas de toutes les disparue
Ha oui il faut recruter énormément au moins un bataillon comme à Петроград ou alors comme dans Hemingway à l’hosto en train de filer de la grappa…
Le « masque effrayant de la calomine », Clopine, c’est TKT, l’aigri qui ne connaît que l’injure (son seul point commun avec Chaloux).
d’la daube même pas walhallal
sans l’imprimatur de goering en grand veneur..même dracul en voudrait pas
Tiens, une carotte, pour t’encourager
ça donne belle haleine
..ils se consultent
« Les short-stories sont une spécialité des auteurs féminins tout [tant ?] en UK, qu’en Afrique du Sud et donc le Canada. »
Le Canada, une province d’Afrique du Sud « donc »… A quand un prix de Nobel de géographie ?
« dans une volière emplie de perroquets jacassants et de corbeaux criards… » (Clopine)
Est-ce bien sympathique?
Il arrive que le corbeau de Poe s’adresse au perroquet de Flaubert, et c’est bougrement intéressant.
Littéraire avant tout, hein.
Ha le poulpe c’est bon très bon, déjà par le nom qui est celui d’un méchant, ensuite dans l’assiette pas du tout à cause de sa chair humaine qui n’a pas de goût mais surtout des condiments qu’on y balance à tour de bras du coup ça fait des mises en batterie comme sur le Richelieu ou le Missouri…
Parroquets, perroquets… On n’est pas des grrrrrrrrrrrooooos pleins d’soupe ! Pour ça faudrait déjà qu’on soye invité chez Drouant…
« Il arrive que le corbeau de Poe s’adresse au perroquet de Flaubert »
Et le perroquet lui répond : « Jamais plus ! »
@ Clopine: » classe laborieuse = classe dangereuse »:
Mais non, Clopine, d’ailleurs si laborieux veut dire travailleur, le travail n’est le monopole d’aucun milieu. Et puis nous sommes en 2013, qui ne travaille (en France) « que » 35 heures ?
Il me semble que dans ce pays, le mécontentement est la seule chose en commun. C’est ce qui fait avancer le FN.
« dans une volière emplie de perroquets jacassants et de corbeaux criards… » (Clopine)
Il va de soi que les perruches, les autruches, et particulièrement les cruches et les nunuches (volatiles féministes typiquement normands) ne sont pas dénombrées dans les bêbêtes jacassantes et criardes du blog …
TKT, ce n’est pas moi qui le dis :
« ça donne belle haleine »
Non mais des fois, le boug’ ! T’as qu’à dire aussi que je refoule du goulot, tant que t’y es ! Pour ce qui est de venir te goberger à la maison, te remplir la panse avec un beouf à la ficelle et sa garniture d’oignons confits, un saint pourçain saint pourçain bio pour faire la rue Michel (t’as des nouvelles de Sologne, au fait ? je suis rongée d’inquiétude), ben mon pote, tu peux toujours te l’arrondir !
Tricard, que tu es.
Tu l’as bien cherché, avoue.
Bon, ça va mieux. Fallait que ça sorte, comprends-tu ? Tu me connais, le boug’, j’suis pas le mauvais cheval, toujours prête à rendre ses vis à Chaloux (faut toujours qu’il aye des problocs avec ses vis platinées, ce con), avenante, accorte et tout et tout. L’accorte girl, qu’ils me surnomment dans mon patelin, les péquenods.
Mais là, la coupe du lièvre (bien dégagé sur les oreilles) était pleine à ras bord, à bâbord et même à tribord, te dire ! A Babar, aussi, me souffle Clopin qui est en train de ranger sa bibliothèque, on a un vide-grenier dans deux jours.Fallait que ça cesse, que ça sorte, et que ça fasse fissa.D’où mon léger emportement, j’suis une sanguine, que veux-tu, le boug’…
Tu m’en veux pas, dis ?
Bien sûr ! Evidemment, les classes laborieuses sont dangereuses !
Imaginer que le travail est quelque chose de sain, qu’il représente un intérêt autre qu’enrichir l’Etat ou les Capitalistes, qu’il évite l’assistanat infâmant, le chômage éprouvant, la délinquance au pied de l’immeuble, les meurtres, les cambriolages … c’est se tromper lourdement : c’est rater sa vie !
Oui ! Evidemment ! Les classes laborieuses sont un danger !
les éleveurs se pendent jicé
bouguereau dit: 11 octobre 2013 à 17 h 50 min
« les éleveurs se pendent jicé »
Faut s’adapter, se recycler, observer l’évolution, changer de job …
Voleurs de cuivre ?
Il me semble que dans ce pays, le mécontentement est la seule chose en commun.
tu t’sens pas intégré vontraube ? t’es trop content de toi ?
Kron comme un laquais ?
Voleurs de cuivre ?
..non t’as pas l’temps..ça meugle à 7h le dimanche matin..
« le travail n’est le monopole d’aucun milieu »
Monsieur von Traube, Ihre Hoheit, Ihrer Pracht, Unser Glanz, Votre Luminescence à lèdes, vous incarnez, je le dis avec toute la solennité que me confèrent les pouvoirs que je tiens de la volonté du peuple, duquel je ne sortirai que par la force des boyaux nets (comme dit mon ami Jean Marron, hi Johnnie !), vous représentez, disais-je, vous incarnez (à propos, votre oncle incarné, ça va mieux ?) la France dans toute sa splendeur, sa pétulance, son alacrité.La France des villes, comme celle des cambrouzes. La France immarcescible, inchoative,cocorico !, immortelle et odoriférante pour les sicles des Sikhs.
Amen.
Le Préz’ voulait dire -il a été emporté par un élan, qui doit être en train de le boulotter dans sa tanière, prions pour le repos de son âme – que vous incarniez, vous incarnassiez même, Freiherr von Traube, le glandeur de la France.
Allons z’enfants de l’apatri-i-de…
Curiosa, si vous trouvez plus pudding que Lord Of Hope and glory pour chœurs et orchestre, dites-le moi.C’est un peu la Chevauchée des Wa&lkyries façon Victoria.
Le reste visait surtout les symphonies. J’aurais pu ajouter les variations Enigma, ou Cockaigne, mais Phil me dirait qu’E.M Schmitt va déprimer.
Les sonates de Bliss, c’est autre chose.
Je vous laisse sous votre pseudonyme qui est tout un programme.
MC
PS
Gavoty savait écrire, et son Vierne au moins supporte la distance. Encore faut-il le lire, ou l’écouter.
(t’as des nouvelles de Sologne, au fait ? je suis rongée d’inquiétude)
..et bien non..le plomb doit voler bas, c’est l’ouverture..mais j’ai confiance dracul a son casque lourd et son gros manteau de cuir feldgrau
Bon, je vous quitte, je vais au théâtre. Mes amitiés à bouguereau. Et à Chaloux qui tient le secrétariat de Clo.
Ihre Pracht, ‘tschuldigung ! (Quel est le con qui m’a rédigé cette note ? Demain matin, à l’aube, fort de Vincennes ! Pas de quartier !)
She don’t lie she don’t lie she don’t lie
cockaïgne..
bouguereau dit: 11 octobre 2013 à 18 h 04 min
le plomb doit voler bas, c’est l’ouverture..mais j’ai confiance
Oui mais si le réservoir est crevé ?
» son gros manteau de cuir feldgrau »
Excuse-moi,boug’ chéri (je peux à nouveau te manifester toute mon affection, j’espère que la tienne répond à la mienne, et pas en pévécé, espère ! finalement, Passou avait raison, avec son histoire de recherche d’amouuuur), où j’en suis, moi ? ah oui, je te trouve quand même un brin optimiste et poil léger, casque lourd ou pas. Même peint en bleu,le cax, il est suffisamment pomme pour se faire poirer, si j’ose dire (avec toi, j’ai toutes les audaces, le boug’, pas croyab’ l’effet que tu me fais !)et poivrer par une classe verte de moutards solognots armés de pistolets à bouchons. Pan dans l’oeil ! De bronze, ça se tombe,vu qu’avec ses manies de gros dégueulasse, tu penses bien qu’il aura tombé l’imper, Melkisadik, prince des flasheurs !
Bien fait pour sa gueule.J’irai pas pleurer sur sa tombe. Cracher, je dis pas.
« Chaloux qui tient le secrétariat de Clo »
Décidément, keupu, t’es encore plus con qu’hamlet, dextère, sinistre et toute la clique à claques réunis !
Tu distinguerais pas un pot de miel et un essaim de mouches à merde.
Gaffe, tu vas faire tomber ta tartine.
@ bouguereau dit:11 octobre 2013 à 17 h 54 min: Comment ça, intégré ? En Suisse ? En France ? Je ne comprends pas votre question.
Vous aviez donc compris quand je m’adressais au col-blanc D.burné et que je lui faisais la proposition de rentrer dans son Cantal natal.
« Le pauvre,
c’est vrai qu’à ce niveau d’incapacité à dépasser le premier degré seul »
qui ne connaît que l’injure (son seul point commun avec Chaloux).
Bon…
– Êtes-vous chrétien?
-Je suis chrétien !
– Qu’est-ce qu’un chrétien…
Plus beaucoup le temps de venir, mais si ce temps revient, je vous le promets, un lit de rose, un reposoir…
Harmonie du soir
Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir;
Les sons et les parfums tournent dans l’air du soir;
Valse mélancholique et langoureux vertige!
Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir;
Le violon frémit comme un cœur qu’on afflige;
Valse mélancolique et langoureux vertige!
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Le violon frémit comme un cœur qu’on afflige,
Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir!
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir;
Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige.
Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir,
Du passé lumineux recueille tout vestige!
Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige…
Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir!
Le Cantal c’est pas mal c’est l’Auvergne ; pour le moment on a un gouvernement provisoire… De toutes manières on peut pas faire d’élections, d’abord c’est pas le genre et ensuite on n’est pas assez nombreux…
Boh les vélos électriques le mieux c’est de leur installer des sortes de pantographes, mais plutôt comme les trolleybus, quoi…
Nouvelles de chez Popaul
Chantal : merci Christiaaaane !
Christiane : merci Chantaaaal !
@ Clopine troue la Frousse et San Giovani Angellopoulos. Sur un autre blog, ils ont l’air de dire : [Lorsqu’on le regarde de façon superficielle, le corps humain paraît symétrique alors qu’en réalité… le coeur, le visage, le foie, les intestins sont asymétriques, sans compter le cerveau bien sûr, dominé (chez 90% des humains) par la masse cérébrale du côté gauche où se trouve le centre du langage. Il semblerait que cela soit dû au « right-shift gene » (ou gène RS), traduit « gène du déplacement à droite » qui, chez la plupart des gens, stimule le développement plus rapide du côté gauche du cerveau au cours de l’embryogenèse. Or c’est le côté gauche du cerveau qui commande la partie droite du corps, et donc qui détermine la prédominance des droitiers dans le monde.» De même que les droitiers dominent le monde, les hommes possèdent en majorité un testicule droit plus développé, plus gros, plus lourd et… placé plus haut, triomphalement. Le testicule gauche de taille inférieure, situé légèrement dessous, ressemble donc à un petit frère qui se cacherait timidement à l’ombre de son aîné…] » (c’est un copié-collé).
Par conséquent, on se demande pourquoi on devrait supporter ici les perles de Tracy Chevalier, ou les classes dangereuses de son grand père Louis.
Nous cassent les burnes wagnériennes, à gauche…
Chaloux vous regardez trop la pub et des roses, pour un lit, ne sont éparpillés que les pétales c’est cruel il faut les arracher.
Langue de péripatéticienne
En quoi ça vous dérange que deux femmes s’estiment et se le disent à propos de Patrice Chereau sur le blog de Paul Edel? Diable, votre reflexion laisse rêveur .
Il faudrait donc que les blogs ne soient que des terrains pour se balancer des insultes ?
ta gueule keupu !
mais j’ai confiance dracul a son casque lourd et son gros manteau de cuir feldgrau
Oulala, le Boug’ !
J’en connais qui ne pourront pas verser leurs larmes de crocodile … enfin, de Crocodylus niloticus, puisque clocloche nous a trouvé des « brontosaure » et « ptérodactyle ».
je la voyais plutôt en …
Cette normande!
Toujours à chercher la baguette. Pfff !
Mais, bon.
Pendant ce temps, ML hulule au fond des bois .. Le pauvre homme!
Des fées vertes mais pas l’ombre d’une Walkyrie .
Oui enfin le ptérodactyle c’est comme le Rafale faut que ça bombe à mort pour pas tomber…
Le pays de Jules Verne est tombé amoureux du principe de précaution sous Chichi le Gâteux. Hourrah !
But … que diable ! … Changeons d’amourette, c’est la guerre, et passons aux choses sérieuses : aimons l’innovation post-hydraulique et le gâteau énergétique au gaz de schiste qui diversifie nos sources d’approvisionnement !
Bonne nuit, les petits !
deux femmes s’estiment et se le disent à propos de Patrice Chereau au sur le blog de Paul?
Mais que fait Polo au milieu ???????????
que ça bombe à mort pour pas tomber…
C’est bien ce que je me disais, elle en a laissé tomber sa tartine.
Si c’est pas une chute, ça … (!), le tragique pour ses potes:
« Et la tartine chut.
(fin) »
Je sais jouer du piano AUSSI.
J’ai une culture extraordinaire AUSSI, même si je ne passe pas mon temps à l’étaler.
J’excelle dans plein de domaines AUSSI.
D., il y a des choses pour lesquelles on juge en pied.
Prendre son pied avec Chaloux, à part Daf je ne vois pas.
Le S/M en est encore à ses origines.
Félicie aussi ?
Sergio, sous prétexte qu’il est ancien, est prêt à écrire n’importe quoi pourvu qu’il se rende intéressant. C’est un comportement qu’on ne peut que dénoncer.
Il y a plus grave : ils sont visiblement en train de les cryogéniser sur leur estrade !
Daaphnée, j’ai mis en ligne ce petit film datant du temps de mon adolescence.
Je suis celui qui joue de la batterie. C’est à 00:45 qu’on me voie le mieux.
Vous pourrez vous faire une idée.
https://www.youtube.com/watch?v=FPK4P06lpug
…
…le sommet pour moi,…reste le strip-tease du monde social,…qui reste à développer,…
…
…@,…mon post le 10 octobre à 23 h 29 mn,…et,…23 h 44 mn,…Génial,…
…
…Génial,…en un tour de main littéraire,…
…
…Non,…le strip-tease des cerveaux,…monter comme des horloges,…de la mécanique, des diodes,…des résistances,…des mini-transistors,…enfin,…les robots – humains,…
…pour en trahir dans les représentations le dessein du profit, du lucre,…aidés par la technologie,…Non,…les hommes-esclaves c’est dépassés,…depuis Métropolis,…
…
…les gens drogués et culpabilisés, nudistes cocus devants les appareils d’états,…au prétextes des conjonctures-connivences & lobbying’s offshores,…
…
…immolé le peuple dans sa démocratie-souveraine,…par nos sophistes-politiques,…
…prétextes du pire déjà créer pour profits à GoGo’s – privé,…etc,…
…Ah,…Ah,…Bip,…Bip,…etc,…l’art d’une pipe,…à Crésus,…etc,…
…magnifique,…et humain,…
…
…
…la question est aussi,…pourquoi il pense comme çà,…
…
…comment ce fait-il que nos » diversions « ,ne suffisent pas, pour couvrir ces choses-là,…qui perdurent depuis des millénaires,…
…
…on n’a pas réussis à lui fourguer un autre épouvantail copier/coller à sa mesure,…pour qu’il se distrait ailleurs,…avec la Bourse, les go-go-girls, la suprématie sur le monde,…
…
…Non,…il faut qu’il nous cible sur l’opéra-théâtre-messe-spectacle-télé_soumission-,…et à en mettre des esclavage des peuples dans la détresse et les dépendances fascistes des états qui pensent pour notre bien » collectif « ,…
…en Stalag-13,…pour tremplin-logique,…à rebonds,…
…pourvu que çà se tasse,…
…sans châteaux , sans domaines, sans galions,…sans » rien « ,…
…Oui,…on risque de tout perdre,…si c’est pas déjà fait,…Santé,…Santé,…etc,…envoyé,…
…
En définitive, nos media font entendre un long sanglot tragique sur les noyades lampeduziennes -tout au plus le bilan de trois mois d’attentats dans les mosquées pakistanaises, les rue égyptiennes ou les églises nigérianes- parce que cela ne nous déplaît pas tous ces morts au pied des remparts de notre forteresse.
Comme nous sommes heureux d’être enviés par ces sauvages… ! Comme nous devons être flattés que l’on meure noyés pour accéder à notre Paradis, n’est ce pas ?!
Le malheur des migrants souligne notre bonheur européen déclinant, mais encore enviable …
Après cette fâcheuse aubade,
notre bonheur européen déclinant, mais encore enviable …
Cette aubade là, de bon matin, devrait nous élever l’esprit en nous rappelant l’essentiel … !
Le Nobel de l’Humour à Û (et son cher protégé)
Bah, ayez pitié de nous, pauvre pêcheur, le camarade JC est un observateur swiftien!
Ecoutez votre petit coeur, vous ressentez ça aussi, non?
Oh, une seconde seulement.
La compassion vient ensuite au galop, et vous avez mis la main à la poche.
Bravo!
heureusement que vous êtes là pour la recette de la vérité humaine -(votre bichon vous aveugle! quelle insulte pour Swift )
Pauvre pécheur/pêcheur,
Sans vouloir vous contrarier, il me semble que le Nobel de l’Humour revient de droit à nos deux duettistes TKT et D.
Ces Princes du Rire ont un numéro si bien rodé, depuis le temps, si riche d’insultes imméritées, de fantasmes étonnants, de suppositions, affabulations, exagérations tellement irrationnelles… que je ne me lasse pas de les voir déchainer sans peine les rires du bon public erdéelien…
Vive le duo Thierry-Dédé ! Le camarade u. a un humour « différent », nous en reparlerons.
Temps superbe, ici, ensoleillé et presque chaud … un régal pour les bateaux qui dodelinent à peine sous une brise tranquille, légère comme une promesse socialiste.
Des ronds strient la surface de l’eau calme et attirent l’attention : des petits poissons chassés par des plus gros, lesquels seront bouffés plus loin … la vie, la nature à l’œuvre, horrible Nature dont l’écologie nous apprend qu’il faut en respecter les lois …!
Savoir ce qu’en pensent les thons Duflot et Placé ?
tout est pour le mieux jicé et tu te plains..
Boug,
C’est mon côté humain …
Je m’étonne qu’il soit tellement question de Wagner, et si peu de la rentrée littéraire.
J’imagine que je ne dois pas être le seul.
Cela me laisse sur ma faim et favorise de fait le vagabondage du commentaire.
ton coté pile comme dirait clopine
entre faire l’étonné et l’ahuri y’a une nuance bon dieu
cher MCourt, très touchée par votre post d’hier à 18:04, on vous savait comique mais rigolo à ce point il faut le signaler, bouguereau a de la concurrence
bien à vous
SP
ahuri c’est un des plus beau mot de la culture française..un iiiidiotism au carré..shakespeare il peut fumer..des pièces qu’il en a fait c’t’ahuri
abruti c’est plus commun keupu
Bon, encore un commentaire en attente de modération, alors qu’il ferait rougir Edgar de jalousie.
Vous voulez dire, curiosa, que notre ami Court pourrait faire de l’ombre au duo de choc de l’Humour, les Nobelistes TKT/D. !?
Pour un petit post de rien du tout …?
Il y a des corporations qu’on déteste d’instinct comme le prisonnier les matons et les profs les parents d’élèves: ainsi le blogueur et les modérateurs.
c’est vrai JC : petit post de rien du tout comme vous dites si judicieusement :vide
Camarade u.,
Soyons compatissant avec les modérateurs, leur vie est un enfer !
Ils sont payés avec un lance pierre sans élastique, la journée toujours à la recherche du propos politique/culturel/religieux incorrect, finissent leur temps épuisés, rentrent chez eux, dans une mansarde où il fait froid (l’énergie est si chère) ou la pluie ruisselle le long d’un mur moisi, ingèrent rapidement une viande froide couverte de mouches, et se couchent rapidement au côté d’une femme osseuse et frigide, qui ronfle déjà comme un NSU-Wankel de la belle époque ….
Aimons les modérateurs ! Sauvons les, en écrivant correctement des banalités rassurantes !
3) dsk vdqs et cqfd
avec un lance pierre sans élastique
..tu confonds avec le calçon de zouzou
Nous n’avons pas trop parlé des débats épiques qui fleurirent, surtout dans les années quatre-vingt-dix, dans les sphères culturo-politiques francono-bavaroises (ne me remerciez pas pour « francono », c’est offert.) À l’époque le gars Wolfgang quémandait les aides gouvernementales et le soutien monétaire régional de la Franconie, pour tenir à flots le festival que Richard et Cosima avaient créé « avec leur sang. » Le festival avait beau être sold-out, il perdait de l’argent, contrairement à Salzbourg qui a toujours connu une belle santé financière. C’était peut-être un peu l’honneur de l’Allemagne que de remettre au pot lorsqu’il le fallait, ne serait-ce que pour faire oublier les subsides versés jadis par « l’Onkel Wolf » (Sergio, hallo quoi.)
Contrairement à l’immense majorité des commentateurs, je ne suis jamais allé à Bayreuth, cela me manque un peu. C’est sans doute parce que j’ai dans la tête encore l’avis de Mark Twain qui visita les lieux en 1891 ; « »l’impression d’être assis en compagnie d’un mort dans une tombe à la mélancolie lugubre. » Il faudrait se rendre compte par soi-même. Chéreau lutta contre ça dans ses créations, j’en suis sûr, j’en mettrais ma main au feu et serais même prêt à serrer la « chose », la main baladeuse proche de la branche allemande de la famille Adams.
a star is born : sur le blog de popaul, Christiane danseuse abandonne le plumage d’hiver (les vêtements), on demande à voir !
Ceci n’est qu’un essai pour tester le robot, peut-être piloté d’ailleurs comme le suggère Dédé.
Certaines réactions au drame de Lampedusa laissent rêveur.
L’Europe, dans son désarroi transcendantal, a oublié jusqu’aux catégories élémentaire du politique.
Cet écervelage laisse à place à des voix chevrotantes, misérabilistes, pathétiques…
J’espère n’être pas le seul à avoir noté la confusion extrême qu’exprimait la décision italienne de décider un DEUIL NATIONAL à cette occasion.
Qu’on déplore l’impuissance de l’humanitaire est une chose.
Mais ce réflexe imbécile à l’auto-culpabilisation systématique a quelque chose du cri d’une vieille bête qui agonise.
Je suis têtu comme un Teuton qui tête, mais la douane me pique toujours mon biberon.
La décision du gouvernement italien est incompréhensible, la position des « autorités/médiocrités » européennes tout aussi stupide, avec leur couloir humanitaire-aspirateur à la Martin Schultz.
Décréter un « Deuil National » en Italia est …honteux pour nos amis ritals car DEBILE !….
Suite, on va voir…
La nation italienne n’est en rien responsable de ce drame, en tant que nation.
Naturellement, il ne faut pas trop s’étonner du geste moral-panicard du gouvernement italien, qui en raison de sa déliquescence, n’a guère plus de capacité réflexive que la petite grenouille de nos lycées à laquelle on administrait une décharge électrique…
Mais les apprentis-sorciers qui donnent le ton au Parlement européen (nés et éduqués il est vrai à une époque qui leur semble plus douce) sont d’autant plus coupables qu’ils n’ont pas une opinion au cul, et peuvent sans risques continuer confortablement à réciter leurs contes d’enfants.
Son président Martin Schulz (un bon Allemand, il n’est pas nazi) y va d’un lamento qui évoque le père Aristide Briand:
« Dans le silence de cet hémicycle, on entend des cris d’enfants, on voit leurs parents se noyer ! », avant d’appeler à « un tournant de la politique de l’UE ». »
La commissaire Cécilia Malmström renchérit: « Il faut ouvrir des voies légales d’immigration »!
Et le moment suivant, d’appeler à la vigilance contre le danger du « racisme ».
On est là dans la pure irresponsabilité lacrymale.
L’UE s’est à ce point, volontaire ment, dé-politisée qu’elle se conçoit comme une sorte de terrain vague adonnée à la non-gestion des flux planétaires.
Elle refuse de fonctionner comme une communauté politique.
Elle devrait avant tout prêter attention aux citoyens dont elle a la charge (ces pauvres Italiens de Lampedusa sont de facto transformés en facho ontologique), et surtout dénoncer les régimes qui sont les responsable de ce drame: non la nation italienne, mais l’atroce dictature de M. Asaias Afeworki en Erythrée, et les bandes cyniques qui sévissent sur les côtes libyenne.
Bah, Adolf est noir, et nous sommes blancs.
Ces peuples lointains sont « en développement », laissons leur encore du temps…
Bon, j’abandonne.
Je vais troquer le biberon pour le blanc sec.
J’ai trouvé que la décision prise par l’Italie, celle du deuil national, ne manquait pas de noblesse. N’oubliez pas u. et JC que ce pays est en équilibre dans la mâchoire de la Méditerranée, que le souvenir odysséen est peut-être toujours-là, la vision du tombeau liquide dans lequel furent précipités les malheureux africains était peut-être insupportable pour les Italiens. Mettons-nous à leur place.
@ D. dit: 12 octobre 2013 à 10 h 33: « Je m’étonne qu’il soit tellement question de Wagner, et si peu de la rentrée littéraire. J’imagine que je ne dois pas être le seul. »: Vous ne réagissez jamais au sujet proposé par la Note. Alors Wagner ou Prix Littéraires, pour vous, c’est du pareil au même. Vu le nombre des connentaires signés D. ou JC, il est fort peu question de Wagner et de la question concernant la germanophobie et de l’amour pour la musique de Richard Wagner. Une germanophobie générée par Bismarck et Herr Hitler serait compréhensible, mauvaise aura de l’un, pourriture de l’autre (ne pas oublier quand même que le fascisme n’est pas une exclusivité Allemande, une pensée pour Vichy, Rome et Madrid).
Quand il sera question du résultat des Prix Littéraires, Dédé-la-praline, vous aurez ou auriez l’occasion de nous parler des livres que vous auriez acheté et lu. Pas de ceux que gratuitement vous auriez feuilleté en diagonale.
Très joli geste que ce deuil nationale pour les noyés au large d’une île italienne. Que les Européens s’excusent, c’est discutable, les premiers responsables sont quand même les Politiques des pays d’origine des gens qui fuient leurs pays. Les pays riches sont-ils responsables, partiellement ?
Quand je lis JC, je frémis, il allie racisme et bêtise, égoïsme et perversité.
Eh oui, xlew et TKT, mais je ne peux pas vous répondre, on m’a coupé le kiki.
Encore un ptit morceau du post sucré:
La nation italienne n’est en rien responsable de ce drame, en tant que nation.
Naturellement, il ne faut pas trop s’étonner du geste moral-panicard du gouvernement italien, qui en raison de sa déliquescence, n’a guère plus de capacité réflexive que la petite grenouille de nos lycées à laquelle on administrait une décharge électrique…
« un bon Allemand, il n’est pas nazi » nous écrit u. Ce dernier ne doit rien à voir avec le vrai U. et être un autre pseudo des plus à droite des trolls.
En Allemagne, le parti nazi est interdit et ceux qui se veulent d’extrême-droite, sont interdits de parole et de réunion. Il n’y a pas de FN en Allemagne. Oui je sais, le FN se veut un parti de droite populiste, à moins que ce soit la gauche populiste et xénophobe que Marine Le pen veut mener aux Présidentielles.
Madame Merkel a été réélue et qui pourrait dire, que la Chancelière soit populiste ?
D., vous ne vagondez pas, vous avez envie d’investir la RdL.
Pour une cruche restée toute sa vie professionnel au même degré de séniorité/juniorité, c’est comique.
@ TKT « Pas de ceux que gratuitement vous auriez feuilleté en diagonale ».
Je proteste, au nom de la mémoire de mon pseudo. Ne l’associez pas à D., cette engeance parasitaire inculte pleine de pustules urticantes.
vie professionnelle
TKT, votre surdité est parfois à mourir d’ennui.
« « un bon Allemand, il n’est pas nazi » nous écrit u. »
Vous êtes complètement insensible à l’ironie.
Cette remarque entre parenthèses exprime ma colère envers la complaisance moraliste. Le fait que que le président M. Shulz soit allemand semble lui accorder une sorte de plus-value morale: on reçoit ses berceuses comme du petit lait.
Votre post de 11h54 ne vaut rien:
« Un très joli geste que ce deuil nationale pour les noyés au large d’une île italienne. Que les Européens s’excusent, c’est discutable, les premiers responsables sont quand même les Politiques des pays d’origine des gens qui fuient leurs pays. »
Votre deuxième phrase, fruit du remords, suffit à détruire la première.
(Et puis, au nom du Ciel, arrêtez de confondre JC, qui n’a pas les mêmes opinions que vous, et le poltergeist « D., D+, etc..
Vous êtes victimes de vos illusions qui sont drôles un certain temps, mais pénibles à la longue).
Curiosa, c’est joliment exprimé, un peu moins aigre que d’habitude, mais pour ce qui est de répondre à la question, tout aussi superficiel.
Maintenant, luibre à vous d’honorer lzes compositeurs dont la noàtoriété ne dépasse pas le Royaume-Uni…
Bien à vous
MC
PS « Land » et non « Lord », mais il ne parait pas que vous l’ayez remarqué….
« Mettons-nous à leur place. »
Ce qui est appelé, cher xlew, est l’expression d’une compassion.
C’est un geste moral, de simple humanité.
Le deuil national est une décision d’ordre politique.
u. qui êtes JC et pas U., je vous dis le mot de Cambronne !
Au contraire de vous, JC-en-chemise-brune, je sais que la vie est pleine de contradictions. De plus, quand je dis que le geste est joli, je ne dis pas qu’il est très beau et plein de courage. Joli, Ducornaud, peut avoir un coté ironique.
D/ les blogs en voûte étoilée et vous êtes céleste
Quand je vous vois passer si loin dessus le sujet
Je pleure désespère d’improbables sections
vos mots sont comme des voiliers
à tous les vents qui viennent caresser
votre mat une flèche étincelante
ravive nos soir alanguis mortelle demeure toujours de votre sillage furtif
formera un vœu puissant caché aux indiscrets.
Je suis tout à fait sourd à votre humour, u./JC, et votre ironie me parait malsaine.
« Joli, Ducornaud, peut avoir un coté ironique. »
Je vous prie, TKT, de ne pas écorcher mon nom, qui s’épelle Du-gom-meau.
Bon, sur votre première phrase, je vous accorde le point.
Ironisons, ironisons…
cela ne constitue bien évidemment qu’une réponse surprise et incomplète à vos doutes,D_ vous êtes l’être évanescent que la naissance dispense des suites que nous ne manqueront pas d’apporter à vos affaires toutes cessantes et courantes vous réciterez trois after et chanterez dix Ave pour votre pénitence.
« Je suis tout à fait sourd à votre humour, u./JC (votre persistance dans la confusion est vraiment incroyable!) et votre ironie me parait malsaine. »
L’application à la politique d’un vocabulaire médical est rarement signe de bonne santé!
TKT l’usage du Web peut conduire tout droit dans une essence rare mais cependant pas tout à fait éradiquée que les spécialistes nomment confusion , il me semble que depuis un certains nombre de jours certains vous en approchez et votre critique s’en ressent. Quelle importance de savoir qui est qui accrochez vos guirlandes là où la branche se présente à vous accessible et sans l’ombre d’un doute ou encore bien que la signature puisse faire sens et éclairer les propos ignorez celles qui vous obsèdent et passez aux voisines.
Si j’étais u., je me ferais du souci. Je pense que TKT ne va plus le lâcher, maintenant que le pli est pris.
quand je dis que le geste est joli, je ne dis pas qu’il est très beau et plein de courage
j’acquièce, c’est comme des culs vontraube..les sans geste un peu jolis..difficile ! les trés beaux courageux, rares !
bérénice alias D.bile, je n’ai pas besoin, de vos conseils.
« Si j’étais u., je me ferais du souci. Je pense que TKT ne va plus le lâcher, maintenant que le pli est pris. »
Mais non, mais non.
Toujours prêt à dialoguer.
Edgar, moins la pipe.
stump dit: 11 octobre 2013 à 17 h 18 min
« Il arrive que le corbeau de Poe s’adresse au perroquet de Flaubert »
Et le perroquet lui répond : « Jamais plus ! »
Excellent !
A propos de Vierne, Court, votre estimé Gavoty se penche t-il sur la mutine Arlette et son Mutin, aussi facteur d’orgasme à l’occasion ?
Que deviennent Giovano et ses histoires extraordinaires à l’orthographe si incertaine qu’on roule trois fois les phrases dans la farine avant de les cuire à la poêle?
u. dit: 12 octobre 2013 à 12 h 14 min
le poltergeist « D.,
Je ne sais pas comment je dois le prendre, u. J’espère que ce n’est pas agressif de votre part mais enfin c’est pour le moins indélicat.
…
…que deviennent Giovanni et ses histoire,… extraodinaire,…
…
…venez le voir dans sa boutic germanopratine,…bérénice,…
…
…il travaille,…il décore toute la journée,…envoyez,…etc,…
…
…etc,…
On a vu La couleur pourpre d’Alice Walker, et vu et revu Marylin Norma Jean Baker Monroe, mais qui a lu Alice Munro?
En France, les nouvelles c’est pas sérieux, pour les lycéens, à lire, et à écrire. Un Prix Nobel pour classes terminales?
Perso, la seule Canadienne dans laquelle je trouve plaisir à me réfugier est Margaret Atwood.
Il n’empêche D., que tout blondinet sur votre batterie vous en faisiez déjà, du bruit !
Ah, l’Italie ! C’est vrai qu’ils en font des tonnes, deuil national, les gosses en première ligne et le Pape au balcon – à l’heure où ce vieux crouton de Berlusconi est prêt à expier ses péchés …
De là à ce qu’on nous joue la sainte victime – le clan Berlusconi ? Je n’ai pas encore lu la presse sur le sujet – qui ôte les péchés du monde ..
En France, les nouvelles c’est pas sérieux
mmm …. disons que son écriture tient plutôt de l’exercice avec cette difficulté – selon Baudelaire, dans la composition tout entière il ne doit pas se glisser un seul mot qui ne soit une intention, qui ne tende, directement ou indirectement, à parfaire le dessein prémédité – qui n’en fait pas l’exercice le plus simple non plus .. ni le mieux réussi ..
Daaphnée, sur les 4 « Les Irrésistibles », groupe américain du début des années 60, D. a le sens du réalisme: Il a fait son choix pour se représenter, en choisissant le seul vraiment moche du groupe.
Les cheveux longs quand on est laid (je parle du batteur, pas de Dédé qui n’est que mochissime) rendent encore plus laid.
Bloom, avouez qu’un pays qui produit un maître de La Nouvelle, et qui méprise ce genre littéraire, n’est pas vraiment conséquent.
Du coté germanophone, les Kurzgeschichten ne sont pas un genre mineur.
Alice Munro a beaucoup travaillé avec une autre femme, signant à deux. Étrange…
Traube, il m’avait bien semblé que vous étiez très fâché après D. ..)
les trés beaux courageux, rares !
mouaissss, bof, utiliser un autre que le sien comme faire-valoir c’est très courant.. (rien à voir avec un vrai plan cul……)
http://www.drees.sante.gouv.fr/IMG/pdf/er853.pdf
@JC, je vous rappelle qu’il existe une inégalité des enfants français face à la surcharge pondérale, directement liée à la différence de leurs appartenances de classe respectives. Vous ne pouvez décemment pas vous féliciter du naufrage de nos jeunes prolétaires qui ne sont pas tous en partance de la Grande Bleue meurtrière.
MDR,Que Vierne ait divorcé d’Arlette Taskin qui le trompait avec un facteur d’orgue, c’est du Feydeau. Que le fait ait eu une incidence sur sa vie créatrice, j’en doute. Je pense que c’est une des raisons pour lesquelles le livre de Gavoty, ancien, un demi-siècle après les faits est essentiellement centré sur la musique de Vierne.L’autre est le très vraisemblable manque d’enthousiasme des ayants-droits! Le grand choc, ce sera la mort de son fils et le bouleversant Quintette à cordes qui en résultera.
A noter que ce n’est pas « mon Gavoty » puisque ce n’est pas moi qui l’ai introduit dans cette conversation.
Bien à vous.
MCourt
Daphnée, je ne suis pas fâché avec D., il faudrait que j’eusse eu avant des relations convenables. Or, D. me poursuit depuis 2005, vous pensez bien que le verbe que vous employez est tout à fait inapproprié. Vous avez remarqué que je le dis mochissime et non laid ? C’est en effet un homme fade, sans attrait aucun, moche, mal fringué, que je vis au CCS en 2006. On ne le remarquerais pas s’il n’avait, ce regard oblique des gens maladivement timide et, vraisemblablement battus quand ils étaient enfant. Bref, moche il est, et non laid, laids certains en deviennent sexy, D. a le sex-appeal d’une soupe rance…
« Temps superbe, ici, ensoleillé et presque chaud » …
on signale à l’instant de source sûre que des flottes de centaines de milliés de réfugiés se dirigent vers porquerolles
milliers
Cher Thierry, toujours aussi blagueur ! Daaphnée va finir par croire que nous sommes vraiment en froid. Je ne vais pas répéter ce que tu m’as dit dans l’intimité au sujet de mon physique, mais chacun ici se doute bien que je suis fort joli garçon.
Court, vous jetez un seau d’eau glacée sur mes polissonneries. Le quintette pour piano et cordes op. 42 ça remue, c’est composé dans la douleur, c’est de la douleur dans son rendu le plus vif, en effet.
Le CCS en 2006… que de souvenirs entre nous, Thierry. Dès que je t’ai vu, je crois que ça a été le coup de foudre.
TKT dit: 12 octobre 2013 à 11 h 49 min
Vous ne réagissez jamais au sujet proposé par la Note.
La burne helvète ne s’est toujours pas aperçu que notre dédé rdélien était toujours dix fois plus dans le sujet que les récits touristiques ou familiaux qu’il nous impose à longueur de commentaires insipides.
Un tel acharnement dans la volonté de ne pas apprendre à lire est proprement stupéfiant.
ach ! l’aigreur, vous bien connaître hein ?, Zavatta Court : vous lire sur le cirque Chéreau
signé : la fille de Goléa/Gavoty
Je dois reconnaître que ce n’est pas mon physique qui t’a séduit d’emblée, mais le fait que je lise un livre en chinois. Cela t’a impressionné, il n’y avait vraiment pas de quoi, tu l’as compris plus tard… (mais chut, je n’en dirai pas plus).
Souviens-toi, mon Thierry : 你知道我爱你
« Quand je lis JC, je frémis, il allie racisme et bêtise, égoïsme et perversité. »
Je partage entièrement cette opinion ! Comment puis-je continuer à vivre connaissant la Vérité ?…..
xlew.m dit: 12 octobre 2013 à 11 h 44 min
« J’ai trouvé que la décision prise par l’Italie, celle du deuil national, ne manquait pas de noblesse. »
Tout le monde peut se tromper…
L’important étant de reconnaitre, un jour, si on est capable de comprendre ce que veut dire « DEUIL NATIONAL » (!), ses erreurs !
Car « noblesse », c’est autre chose…rien à voir avec un fait divers.
« Vous ne pouvez décemment pas vous féliciter du naufrage de nos jeunes prolétaires qui ne sont pas tous en partance de la Grande Bleue meurtrière. »
Euh…. ! Décemment, non……………..!
(je vais essayer l’indécence, si vous me le permettez, Bérénice)
D., les signes chinois vont trois par trois.
Christiane et la leçon de danse :
http://www.dailymotion.com/fr/relevande/search/danse+du+ventre/1#video=xvptn2
quel phénomène ce dédé. la super névrose. fortiche, tkt, you are !
M. Court, vou audiblez quoi dans Elgar ?
JC, vous pourriez comme D., aller vivre à la campagne et, devenir agriculteur. Je vous enverrais volontiers de la corde made in Switzerland.
Laissez quand même D., passer en premier et je vous prie de ne le détacher quand vous serez sûr de son exitus. Vous, pour changer de méthode, essayez d’ingurgiter trois bouteilles de Vodka en quelques secondes.
Phil dit: 12 octobre 2013 à 15 h 00 min
quel phénomène ce dédé.
Comme quoi le belge n’a rien a envier à l’helvète.
La décrépitude n’a rien à voir avec le paysage.
Cher Thierry,
Je vis déjà à la campagne et à la mer ! Pour quelles raisons changer ? Agriculteur ? Euh… Apiculteur de jeunes bêbêtes friandes de miel, d’accord.
(pour les trois bouteilles de vodka, avec l’ami Putin, nous essayons de nous occuper du contenu plutôt que du contenant)
fakery as a bond, best rope ever but that is no news
JC, vous savez bien que je crois volontiers, que vous n’avez jamais mis les pieds à Porquerolles. Peut-être rêvez vous de vivre à Vitrolles ?
Putin est le premier chef d’état Russe, qui ne boit rien du tout.
Donc, D., les signes chinois vont trois par trois et, Putin est un homme sportif qui ne boit pas. (et Renato n’est pas Alsacien)
Phil est vraiment Belge, personnellement j’ai le permis C, je n’ai pas le droit de vote et bien entendu je reste, étranger et donc, expatrié.
Si votre idole était élue, je songerais à devenir un citoyen Helvétique. Mais bon, en cas de malheur, ce serait fini au bout de 5 ans.
Étrange cette manie D.bile de vouloir associer domiciliation et nationalité, surtout que vous êtes un xénophobe à la valeur de raciste ajoutée, D’JC.
Avec votre raisonnement, vous donnez le passeport Français à tous les gens étrangers domiciliés sur le territoire Français ?
suis pas belge. austro-hongrois. sapré dédé. et Wagner dans tout ça. combien d’ipodés écoutent du Wagner ?
sapré tkt. le permis poids lourds !
JC….. dit: 12 octobre 2013 à 14 h 46 min
L’important étant de reconnaître, un jour, si on est capable de comprendre ce que veut dire « DEUIL NATIONAL » (!), ses erreurs !
Car « noblesse », c’est autre chose…rien à voir avec un fait divers.
Et pourquoi ça ?
Vous trouvez qu’il est aujourd’hui possible pour l’Europe de commenter autre chose que le fait-divers ? Vous disiez vous-même qu’elle était sortie de l’Histoire dans d’autres posts. L’Italie, avec tous les regards braqués sur elle, se devait de prendre une mesure d’une portée symbolique, et sans doute de nature politique, qui le nierait ? Mais là-encore, la politique semblant morte — nous ne sommes plus au temps de Garibaldi ni même à celui de De Gasperi (ou même d’Andreotti) –, les autorités en place ne pouvaient que faire parler les raisons du coeur. Moi j’y ai cru, je n’y ai vu aucune Schadenfreude, le peuple italien est quelquefois d’une franchise désarmante. Il voit peut-être aussi que la prévision romanesque de Jean Raspail (aussi bien construit et articulé que fût son « Le Camp des Saints ») n’est pas si réaliste que ça, que les fortunes de mer, les traquenards des passeurs, seraient légions. Ce deuil national n’est absolument pas un leitmotiv wagnérien qui tomberait à point pour câliner le sens de la repentance des européens, c’est peut-être juste un moment sincère de recueillement qui permet aussi de se « retourner », de prendre un instant de réflexion, d’évaluer le problème de cette émigration clandestine maritime qui ne doit représenter que trois pour cent des gens qui cherchent à se réfugier chez nous. La seule chose que vous êtes en droit de redouter pour l’heure est que l’un des metteurs en scène de l’Avignon 2013 nous ponde un opéra sur le sujet.
TKT dit: 12 octobre 2013 à 15 h 27 min
« JC, vous savez bien que je crois volontiers, que vous n’avez jamais mis les pieds à Porquerolles. »
1/ Exact ! Je ne me déplace qu’en scooter ou en chaise à porteur, la marche à pied, le ùmétro, le taxi, c’est pour les ploucs…
2/ A propos d’affirmation : je ne vous ai jamais entendu proférer autre chose que des âneries … quel est votre secret ?
3/ si Putin, mon ami démocrate, ne boit rien du tout comme vous dites si intelligemment, il doit être salement déshydraté, à force
Au cul, la vieille ! c’est l’automne !
Bien à vous
Phi, il y a trois permis pour les étrangers, en Suisse. A, B et C.
Non, je ne fais pas partie des poids lourds qui sont ici en payant des impôts décidés au forfait. Le canton de Zürich, refuse d’ailleurs depuis deux ou trois ans, ce genre d’arrangement. Fazit, une villa à Küsnacht ZH, est vide et encore pas terminée, le propriétaire Russe est parti sur le lac Léman. La villa en question, étant du style « Bel-Air » (quartier chic de Beverly-Hills), sur un petit terrain (par rapport à la villa), c’est un peu une horreur pour les voisins.
Vous êtes K&K, il me semblait bien que votre horizon soit assez large et bien diversifiée. Bon choix que la Belgique, vous passez la frontière vers Maubeuge, et cela ressemble à la DDR devenue BRD, alcool en plus. D. l’alcolo devrait y vivre.
Xlew
je préfère mettre à votre crédit ces réflexions « humanisto-naïves » sur cette imbécillité de Deuil National italien plutôt qu’au débit d’une faiblesse intellectuelle que je ne supposais pas aussi prégnante …
On verra à l’usage.
Ces morts là sont morts par choix.
Leur choix.
Deuil national !!!
Comique.
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