de Pierre Assouline

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Diable de Caubère !

Diable de Caubère !

Mais comment fait-il ? Trois heures durant, Philippe Caubère est partout sur la scène de l’Athénée-Louis Jouvet, on ne voit et on n’entend que lui, et à la fin, il a l’élégance de ne pas paraître exténué quand les spectateurs le sont allègrement d’avoir autant savouré, souri et surtout ri sans discontinuer. Que c’est bon d’entendre des gens rire de bon cœur, d’un rire qui n’est pas le rire gras des shows télévisés ni le rire de dérision que Canal + a incrusté dans les esprits. Rire moliéresque, finesse de marivaudage, tragique russe, hénaurmité rabelaisienne, humour bouffon, ridicule de la farce, et le tout fait un excellent auteur dont la voix est unique dans le spectacle français, aussi pétaradante qu’étincelante.

Avec l’air de ne pas y toucher, à sa manière burlesque et déjantée et sans jamais se prendre au sérieux, La Danse du diable est aussi une réflexion en abîme sur le théâtre et le transmission, avec la mère comme fil rouge et personnage central. Ce pur projet de théâtre d’un seul homme n’a rien d’un one man show. C’est juste un grand comédien qui nous raconte une histoire, mais si comique qu’elle nous fait rire comme on ne sait plus le faire au théâtre, et si fantastique qu’elle nous fait rêver comme on n’ose plus le faire au théâtre. Le personnage qui remplit la scène de sa présence s’appelle Ferdinand Faure, son alter ego. Il a des fantasmes de gloire.

«Peut-on, de nos jours, parler de soi-même, de ses craintes intimes, de ses espérances, et que ce soit gai ? Peut-être que je suis fou, ou prétentieux, ou les deux à la fois. Tant pis.”

Vingt ans après avoir rempli l’Athénée-Louis Jouvet de milliers de spectateurs, tous les soirs pendant des semaines, et un an après avoir dû renoncer à le présenter à ses compatriotes marseillais, un tendon d’Achille ayant rompu les amarres lors d’une cabriole à Tarascon-sur-Ariège, et ce n’était pas que métaphorique, il remet donc ça avec son spectacle-fétiche La Danse du diable, créé en 1981 au Festival d’Avignon, premier d’une saga autobiographique mais si peu nombriliste qui sera suivi par le Roman d’un acteur et L’Homme qui danse. Autant d’œuvres qui sont désormais à voir et à écouter autant qu’à lire. L’ensemble constitue une épopée personnelle parmi les plus originales du théâtre contemporain en France.

En 1981, Philippe Caubère avait 31 ans ; or il n’hésite pas à reprendre à 64 ans un spectacle aussi physique, qui exige tant de l’intensité de la mémoire que de la tension nerveuse. On comprend qu’il le dédie au danseur Jean Babilée, immortel interprète du Jeune homme et la mort qu’il avait créé à 23 ans avant de le reprendre à 60 ans. Un modèle éblouissant pour celui qui, à ses débuts, avait pris le soleil du côté de chez Mouchkine.IMG_3110

Il est tout à tour, et parfois à quelques secondes d’intervalle, des hommes et des femmes, des Marseillais et des Aixois, Malraux l’agitateur agité, Sartre en nain globuleux, l’omniprésent général de Gaulle en héron enchanté, sans oublier le déhanché Johnny Ouliday, François Mauriac confit en méchancetés, et Jean Vilar, et Gérard Philippe et Roger Lanzac et Lucien Jeunesse, tous traités dans un irrespect étincelant. Tel est le bestiaire de Caubère : la France des années 60. Le résultat, étourdissant, donne l’impression de lire une version actualisée d’A la recherche du temps perdu adaptée en bande dessinée par Louis-Ferdinand Céline.

Caubère joue vite sans se presser. Il est rapide où d’autres se précipitent, car le temps sur scène n’a pas le droit de prendre son temps comme dans la vraie vie. Il faut condenser et comprimer, pratiquer l’ellipse jusqu’à l’os. Il réussit l’exploit d’être toujours dans l’énergie sans jamais verser dans l’hystérie, qu’il murmure, se lamente, vocifère, radote, se récrie, se confie. Il parvient même à n’en faire jamais trop tout en en faisant jours plus. Le temps est loin où l’on parlait de ce spectacle avec admiration mais en louant le phénomène en lui, le comédien marathonien, le logorrhéique inspiré, celui qui pouvait aligner ses « morceaux » sans reprendre son souffle. Car on a beau chercher, il n’y a pas le moindre excès dans cette entreprise pourtant démesurée.

C’est un grand privilège que de voir un tel comédien, l’un des rares à être véritablement un artiste total, un auteur complet, usant du verbe, de la danse, du mime, recréer son monde soir après soir. Ce qu’il raconte est né de l’improvisation, avant d’être fixé dans des livres, puis de retourner mordre la poussière des planches mais sans jamais perdre en chemin la spontanéité, la fraicheur et la vitalité de l’ invention première.

Et quel bonheur d’entendre prononcés des milliers de mots, dont on a l’impression qu’ils se rencontrent pour la première fois ainsi parfaitement articulés, et non marmonnés à voix basse en tournant le dos au quatrième mur comme ça se fait de plus en plus souvent au Français, avec ces liaisons magnifiques que l’on dirait d’un autre temps tant la radio prend à cœur de les ignorer de nos jours. Philippe Caubère, c’est une présence portée par une voix et c’est si rare…

Et pour finir, on entend sa voix mais d’outre-tombe nous murmurer que « le théâtre, c’est un peu comme les rêves, ça n’existe pas ». Ce qui est plutôt bien vu pour un homme tourmenté comme un insomniaque. Voilà, c’est jusqu’au 7 décembre et si vous n’avez pas compris qu’on y va pour se faire du bien, qu’on en ressort heureux et provisoirement réconcilié avec ses contemporains, c’est que vous êtes bouchés à l’émeri.

 (« La danse du diable » photo D.R.; « Philippe Caubère dans les airs » photo Passou)

 

 

 

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française, Théâtre.

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commentaires

1 443 Réponses pour Diable de Caubère !

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 8h42

Le blog à Passou est une auberge espagnole où chacun y apporte son casse-croûte pour le faire partager à tout le monde : on est pas obligé de goûter à tous les plats des voisins !

JC..... dit: 13 novembre 2014 à 8h43

Pas d’accord, Lavande !

Le juron, l’insulte, la dérision, la violence ne doivent pas être rangés sous le tapis ! Pourquoi s’en priver ? Pourquoi accepter la castration du « toujours le bon goût » ? Le mauvais goût existe, il est utile !

Le coup de la banane à Taubiroute est excellent !

A quoi ça servirait que ce bon Rabelais, et tant d’autres, nous aient ouvert le chemin de la farce, de la brutalité, du vulgaire ?… Merde alors !

Ouvrons nos cœurs, libérons nos intestins …

D. dit: 13 novembre 2014 à 8h43

Je suis D., et je suis avec vous, JC, le grand admirateur du FN.
Ne me prenez pas pour un autre, vous tombez dans le même travers que les commentateurs qui vous voient partout.
JC, nous sommes les maîtres incontestés de la RdL, nous décidons ce qui est digne de commentaire ou pas. Pour ce qui est des Notes de Pierre Assouline, nous n’avons aucune autorité pour le guider.
Vive D., vive JCouille !

Lavande dit: 13 novembre 2014 à 8h45

Je m’aperçois que justement, en bas, dans les « vous aimerez aussi » il y a le Pierre Lemaitre que je voulais vous remettre en mémoire. Du coup j’ai relu l’article de Passou. Je suis d’accord à 101% avec son enthousiasme et d’ailleurs j’ai participé au sauvetage des petits libraires en péril en l’offrant plusieurs fois.

J.-C. Azerty dit: 13 novembre 2014 à 8h46

Immensément admiratif !!! Devant Caubère ? un saltimbanque ??? Pourquoi, grands dieux ? (JC)

Pour une fois, je suis à peu près d’accord avec le pou des îles. Caubère, le saltimbanque (ce n’est nullement péjoratif) est un homme de la répétition, du ressassement, tourné vers la rumination du passé, vers la re-présentation. L’homme, par ailleurs, du one man’s show. Ce que symbolise Rosetta, c’est tout le contraire. D’abord, ce n’est pas Rosetta qu’il faut admirer, ce sont les équipes de scientifiques et de techniciens qui l’ont conçue, fabriquée et lancée, donc le contraire du one man’s show. Ensuite, l’expérience Rosetta est le contraire de la répétition et du ressassement du passé : elle est l’exploration de l’inconnu avec les moyens de la connaissance acquise. Lavande a tort : l’admiration qu’on peut éprouver pour le travail d’un Caubère n’a rien à voir avec celle qu’inspire l’exploit scientifique de Rosetta. Ni la nature ni l’intensité de l’admiration ne sont les mêmes. Il y a admiration et admiration. JC a raison : ce qui fait l’intérêt (très relatif) des commentaires de la RdL, c’est qu’ils ne se limitent pas au ressassement des « problématiques littéraires ». La critique littéraire est un exercice tourné vers le passé, pour un public de vieux croûtons. Patrick Besson a trouvé les mots justes pour la définir :  » tant de bonnes paroles en l’air. Qui ne retomberont jamais. « 

J.-C. Azerty dit: 13 novembre 2014 à 8h50

il y a le Pierre Lemaitre que je voulais vous remettre en mémoire. (Lavande)

Ressassement d’un passé déjà irrémédiablement nécrosé. Qui est d’ailleurs au juste ce Pierre Lemaître, déjà complètement oublié, dès que son oeuvrette a été éjectée des étals des supermarchés ?

JC..... dit: 13 novembre 2014 à 8h50

D. dit: 13 novembre 2014 à 9 h 43 min

Oui, D., comme je vous comprends… Ensemble nous vaincrons et nous mettrons au pas les méchants !

Dans un proche avenir, on consignera TKT, Abdel, Renato, à la voirie comme garde-champêtres avec obligation de chanter des psaumes durant le travail pour distraire les paysans …

Nous attaquerons la Suisse, pillerons leurs banques, au retour nous offrirons des montres dérobées, à chaque Français de souche… Le bonheur est devant nous !

Attention à ne pas marcher dedans …

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 8h51

Passou se contente d’afficher le menu principal à la porte de son auberge, pompeusement baptisée « salon littéraire », dont les commentateurs enrichissent (ou appauvrissent) la carte à l’infini.

Lavande dit: 13 novembre 2014 à 8h52

« Lavande a tort : l’admiration qu’on peut éprouver pour le travail d’un Caubère n’a rien à voir avec celle qu’inspire l’exploit scientifique de Rosetta. »
Merci J-C Azerty mais j’en avais conscience. C’était juste un « raccourci stylistique ».(petite précision d’ailleurs: je suis moi-même scientifique, physicienne plus exactement)

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 8h57

1/ Le blog à Passou est une auberge espagnole où chacun y apporte son casse-croûte pour le faire partager à tout le monde : on est pas obligé de goûter à tous les plats des voisins !

2/ Passou se contente d’afficher le menu principal à la porte de son auberge, pompeusement baptisée « salon littéraire », dont les commentateurs enrichissent (ou appauvrissent) la carte à l’infini.

3/ Bref, la singularité du blog à Passou, c’est nous, en bloc et en blog !

J.-C. Azerty dit: 13 novembre 2014 à 8h58

Passou se contente d’afficher le menu principal à la porte de son auberge, pompeusement baptisée « salon littéraire », dont les commentateurs enrichissent (ou appauvrissent) la carte à l’infini. (Jacques Barozzi)

En effet. Au fur et à mesure que s’éloigne la date de mise en ligne du plat du jour pour se rapprocher de la date de péremption, la saveur s’en dissipe, les convives s’évertuent tant bien que mal à la restaurer en fournissant leurs propres ingrédients, jusqu’au moment où les derniers arrivés n’ont plus à se partager que quelques misérables rogatons, qui se voudraient saignants mais n’ont plus que le goût et la consistance de vieilles semelles.

Tu sais celle avec la petite poche où tu ranges ton crayon dit: 13 novembre 2014 à 8h58

D. dit: 13 novembre 2014 à 9 h 43 min

Thierry, mon Zürichois chéri, comme je t’aime quand de tes petits poings cruels tu essaies de faire tomber les murs où tu t’enfermes.
T’es beau dans l’effort mon adoré.

T’as mis ta chemise jaune?

JC..... dit: 13 novembre 2014 à 8h59

Bon, adieu ! Respect aux Grands, bises aux amis, bras d’honneur aux autres, moue de mépris à certains…

renato dit: 13 novembre 2014 à 9h05

« pêcheurs à la ligne toscans ! »

La truite tu l’a ferrée o tu ne l’a pas ferrée; si tu l’a presque ferrée tu peut passer chez le poissonnier…

« garde-champêtres »

En voilà un qui vit dans l’illusion qu’un changement radical le libérera de sa condition… enfin, déjà qu’un changement radical dans le sens suggéré n’est qu’une illusion…

dans le lointain dit: 13 novembre 2014 à 9h06

plus que JC, impossible ? … et bougue-rototo qui trépigne de rage dans son coin, faut pas l’oublier le vieux débris de mots

Il ne veut pas être en manque dit: 13 novembre 2014 à 9h09

dans le lointain dit: 13 novembre 2014 à 10 h 06 min

Le bedeau veut sa dose.

Révérend Père Drot (de l' année) dit: 13 novembre 2014 à 9h12

j’ai participé au sauvetage des petits libraires en péril en l’offrant plusieurs fois. Lavande.

Ou la littérature comme œuvre de charité, on aura tout lu sur ce blog.

J.-C. Azerty dit: 13 novembre 2014 à 9h14

Caubère joue vite sans se presser. Il est rapide où d’autres se précipitent, car le temps sur scène n’a pas le droit de prendre son temps comme dans la vraie vie. Il faut condenser et comprimer, pratiquer l’ellipse jusqu’à l’os.

Philippe Caubère, c’est une présence portée par une voix et c’est si rare…

Beaux éloges. Tous les vrais acteurs de théâtre savent ça, c’est une affaire entendue, mais il est bon de rappeler de temps en temps quelques fondamentaux.

Lucy dit: 13 novembre 2014 à 9h16

Diable de Passou ! Comment fait-il pour supporter tout ce qui se déverse sous ses billets ?
Heureusement qu’il a déjà publié ses BREVES DE BLOG !

Fons dit: 13 novembre 2014 à 9h22

Sorry for being a bit late Captain Playmobil, but I overslept a bit vos cloches.

Quite a guy he is that T, chère vie! Les Initiés faut pas trop en parler au petit capitaine, comme il est tellement sensible, il va encore rougir de rage au sujet de comment on peut oser de raconter de telles co….ies dans un livre de m…. I like l’enfant sauvage aussi, ça va bien avec votre nom du bois, je trouve, tout comme votre nom tout mystère va bien avec les forêts Reinhardt.

Mais dites donc, la danse du diable, vous arrivez encore à aller la voir, avant votre départ de la capitale tellement busy? Comme monsieur Assouline aime beaucoup la danse et comme j’aime bien la façon dont C.P. explique théâtre tout en connaissance de cause à travers ce billet. Même si la plupart de ses commentaires parlent de noms et de spectacles dont je ne sais pas trop, car le théâtre et moi ne sont pas trop amis. Mais n’est-ce jamais trop tard pour changer les choses?

Merci à ce commentateur (je ne retrouve pas pour le moment) qui m’a rappelé et fait cliquer le lien pour la danse de Philip Coubert. J’avais lu le billet de monsieur Assouline, en me disant « ça doit être bien cette pièce, mais comme de toute façon il doit plutôt être impossible d’avoir encore des places », ainsi je n’avais recherché ni le théâtre, ni la disponibilité des billets. Grâce à ce commentateur je viens de découvrir les trois petits extraits, que le théâtre mets en ligne comme teaser. Wow! Quelle danse que ça semble être! Je dois absolument essayer de convaincre la cheffe pour y aller!

Donc je continue à cliquer un peu pour savoir où ce trouve ce théâtre. Et WOW encore! tout près de rue Mathurins. Mais je connais le quartier! Je l’ai parcouru à la recherche du 42 Arcade il y a quelques semaines. En plus je l’ai couru tout essouflé pour éviter les foules au Haussmann, de crainte que j’allais louper ‘vie’, qui m’a fait faire tellement courir il y a quelques jours. Ayant fait rdv live ici au billet Truffaut, au café Liabanis ds Galeries (3e étage) pour 16:00 je cours vers la FNAC à 15:30 pour trouver un petit cadeau pour ‘vie’. Un monde fou à la caisse je ne sors de la FNAC qu’ à 16:00 et tout en courant j’arrive au Galeries 16:10. Elle n’est pas là, et c’est la cheffe qui m’attend toute seule. Contrôle par le free wifi de la Galerie. Contreordre par ‘vie’ pour 16:30 au 73, il faut donc retourner en toute vitesse d’où je viens. La cheffe abondonne, ‘tu n’as qu’à rencontrer cette personne tout seul’. Il faut donc retourner direction FNAC/Lazare de nouveau par la foule. Impossible dans un quart d’heure. Grâce à la recherche Modiano, je sais qu’il vaut mieux essayer en évitant Haussmann. Une fois sorti de la foule Galeries je traverse Haussmann près de l’opéra et je cours, je cours en prenant rue des Mathurins, pour arriver au 73, 16:30 pile, tout essouflé, ma veste à la main.

Mais est-ce que le théâtre Jouvet serait le théâtre dont parle Modiano dans son dernier livre de m….?

QUOTE:

de « Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier » Patrick Modiano:

Kindle location 55:

– Il ne s’était pas trouvé dans ces parages depuis une éternité. Il ne se souvint que sa mère jouait dans un théâtre des environs et que son père occupait un bureau tout au bout de la rue, à gauche, au 73, boulevard Haussmann.

Kindle location 62:

– Sa mémoire aurait été plus vivace dans le café rue des Mathurins, devant le théâtre, là où il attendait sa mère, aux alentours de la gare Saint-Lazar, une zone qu’il avait beaucoup fréquentée autrefois.

END QUOTE

Mais il faut rester dormir, pour voir la danse. Et WOW again, tout près le George Sand rue des Mathurins me semble parfait. Si seulement j’arrive à trouver une date dans le calendrier tellement chargé.

Oh j’allais oublier pour le capitaine Palymobil, qui m’a l’air un peu triste ce matin, je peux le rassurer, hier à Cologne ces Hooligans ne semblaient pas encore avoir trop entendu parler de lui et de son livre de chevet. À mes questions micro trottoir ils n’ont répondu que par des: Frrrranzoooosen? Frrrranzoooosen? Mögen wir nicht! et puis ce n’était que des: « Ausländer raus! Ausländer raus! » suivis par des « Wau! » « Wau! ». Les gens qui passaient ont fait un détour, mais il ya quand même deux ou trois qui se sont arrêtés et quand je leur ai tenu le micro, ils m’ont répondu avec des « Und wenn diese Kerle doch Recht haben? ». Je ne sais pas si le suicide a déjà été traduit, qui sait, peut être il fera aussi carton in Germany? Et le capitaine Playmobil en toute tenue, comme chef de promotion, ça devrait fonctionner en toute franchise même avec un petit accent de Frrrranzoooosen, pendant ces temps de cadeaux pour le Weihnachtsmann et ses petites histoires.

Et Playmobil, si jamais ça vous dit, on peut découvrir « Royaume » ensemble, je l’ai ici devant moi, juste en dessous de « Pas pleurer » et « Sigmaringen », et si vous préférez entendre un extrait pour ne pas trop risquer vos sous avant de joindre vos potes, vous n’avez qu`à demander. Bonne journée de navigation à vous, j’essayerai to be on time tomorrow morning. Nothing special on the list today, apart from cleaning da house a bit.

bérénice dit: 13 novembre 2014 à 9h26

je suis moi-même scientifique, physicienne plus exactement) Lavande.

Ne seriez-vous pas l’auteure du best seller daté au demeurant, la métaphysique décor? Je l’ai lu et j’avoue qu’il m’a laissé un souvenir fatigant tant il m’a été difficile d’en venir à bout, les bras m’en tombaient cependant que la révélation encourageante d’ailleurs m’indiqua de ne pas tenter un pas de plus dans cette direction, je risquais l’implosion , une flèche vibre encore dans mon lobe cérébral gauche. Après cela voyant une fumée blanche s’élevait sur des notes de Schumann ce fut à jamais l’hiver sans chauffage.

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=IQjHAABhIpM

http://www.wat.tv/video/clara-haskil-444mb_2tg2r_.html

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 9h28

un coup d’pompe dans l’cul a fons et tout devrait être ok..sur une comète a des myard de km c’est plus de boulot

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 9h30

pratiquer l’ellipse jusqu’à l’os

ça m’a rappelé les nos a moelle de ma jeunesse..je regardais ma mère au travers et je méditais

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 9h32

Rien à voir avec l’Athénée-Louis Jouvet, Fons.

Théâtre des Mathurins
36, rue des Mathurins
Tél. : 09 61 67 98 73
Métro : Havre-Caumartin ou RER : Auber

Le Théâtre des Mathurins, baptisé ainsi seulement en 1912, a pour origine une salle de concert élevée à cet emplacement à la fin du 19e siècle.
En novembre 1900, Marguerite Deval et Gabrielle Dorziat y créèrent La Petite femme de Luth, un opéra burlesque de Tristan Bernard.
En avril 1902, la salle de la rue des Mathurins présenta Le Page, une bluette en un acte du jeune Sacha Guitry, alors âgé de 17 ans.
Une «pure stupidité», ainsi qu’il l’avouera, avant d’y faire ses véritables débuts d’auteur dramatique trois ans plus tard avec sa première pièce : Nono, une comédie en trois actes, qu’il revint jouer pour la dernière fois aux Mathurins en 1920.
En 1922, le théâtre fut entièrement réaménagé par l’architecte Charles Siclis, dans le style Art déco dont témoigne toujours la façade, tandis que l’intérieur de l’édifice et la salle d’un peu moins de 400 places ont été sensiblement modifié au fil du temps.
Entre 1927 et 1939, Georges et Ludmilla Pitoëff infléchirent fortement la programmation en présentant aux Mathurins des œuvres de George Bernard Shaw, Ferdinand Bruckner, Steve Passeur, Jean Anouilh, Tchékhov ou Ibsen.
Non moins ambitieux, Marcel Herrand et Jean Marchat, qui leur succédèrent jusqu’en 1953, y montèrent Le Malentendu d’Albert Camus, Mort sans sépulture de Jean-Paul Sartre, Haute surveillance de Jean Genêt, tandis que l’on vit défiler sur la scène Michel Auclair, Gérard Philipe et Tania Bachalova.
Par la suite, sous la direction de Madame Harry Baur, le théâtre conserva sa spécificité avec des créations et reprises de pièces de qualité comme La vie que je t’ai donnée de Luigi Pirandello, Le Square de Marguerite Duras ou Soudain l’été dernier de Tennessee Williams.
En 1976, sous la direction de Jean-François Prévand, Pierre Arditi et Jean-Luc Moreau y interprétèrent Rosencrantz et Guildenstern sont morts de Tom Stoppard. A cette époque, des œuvres de François Billetdoux, Fernando Arrabal, Bertolt Brecht, Curzio Malaparte, Louis-Ferdinand Céline, Tchékhov, Shakespeare ou encore Sophocle furent à l’affiche des Mathurins.
En 1981, Henri de Menthon, placé à la tête du théâtre, poursuivit dans la même voie en présentant au public, entre autres : Pétition de Vaclav Havel, dans une mise en scène de Stefan Meldegg ; Le Bonheur à Romorantin de Jean-Claude Brisville , avec Caroline Cellier ; La Femme Assise de Copi, avec Marilu Marini, dans une mise en scène d’Alfredo Arias ou encore Les Palmes de Monsieur Schutz de Jean Noël Fenwick, considérable succès couronné par un Molière en 1989 et joué plus de 1000 fois .
Durant cette période, Henri de Menthon y fit aménager en sous-sol une salle de cent places avec un foyer-bar.
Après quatre ans de fermeture et plusieurs directeurs successifs, dont Jean-Louis Livi et Bernard Murat de 2002 à 2005, le Théâtre des Mathurins a été repris en 2011 par Louis-Michel Colla, également propriétaire du Théâtre de la Gaîté-Montparnasse, qui y a présenté récemment l’adaptation théâtrale de Lettre d’une inconnue de Stefan Zweig, avec Sarah Biasini, la fille de Romy Schneider.

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 9h34

Il y aura toujours des gens pour tenter de reculer les bornes du masochisme

le plaisir et la douleur ne peuvent se reposer sur eux même jean marron sinon ils tombent..c’est comme le vélo électrique sans selle..clément a rosset a écrit de belle page la dessus..demande a dracul

Fons dit: 13 novembre 2014 à 9h35

Klein Bijou 10:28

j’allais oublier, vous aussi ils n’avaient pas entendu parler et ils n’ont répondu que « Wau, Wau, Klein Bijou! », et je n’ai même pas risqué de de demander s’ils avaient lu des traductions bien connues.

now I definitely have to run and go for the cleaning up.

Oui-oui dit: 13 novembre 2014 à 9h36

Lavande dit: 13 novembre 2014 à 9 h 33 min
la vitalité du blog.

Lavande, infirmière chef à l’Hopital Quisefour Delacharité

Fons dit: 13 novembre 2014 à 9h39

merci Barozzi pour votre 10:32

je viens seulement de le voir après avoir répondu à Klein Bijou.

Je vais imprimer et y revenir plus tard dans la journée ou demain.

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 9h39

dis donc fons.puisque t’es sur qu’on s’est connu dans une ote vie..t’es un bon coup? jme rappelle pus..sans offense attation

boudegras dit: 13 novembre 2014 à 9h41

le vieux débris de mots essaie de faire croire qu’il existe encore, c’est pitoyable et lamentable, hein ?

Daaphnée dit: 13 novembre 2014 à 9h42

ça m’a rappelé les nos a moelle de ma jeunesse..je regardais ma mère au travers et je méditais

On ne le dira jamais assez, le Boug’,
l’os à moelle est bien plus multifonctionnel que le trou d’une serrure ..
Pfff !

dans le lointain dit: 13 novembre 2014 à 9h43

bouguereau et « attation » : 73 fois depuis le début de l’année, un record

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 9h44

faut reconnaite que comme robot ménager keupu il est tiptop..ça doit ête de bosh

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 9h46

je kiffe la moelle sur une baguette grillée avec du poivre dafnoz..avec les infos d’rtl derrière..c’est ma madeleine rasée à l’os à moi..j’ai bien l’droit

Miroir, mon beau miroir dit: 13 novembre 2014 à 9h47

boudegras dit: 13 novembre 2014 à 10 h 41 min
le vieux débris de mots essaie de faire croire qu’il existe encore, c’est pitoyable et lamentable, hein ?

Le bedeau agite son goupillon.

Clopine Trouillefou dit: 13 novembre 2014 à 9h48

… Je ne vois pas pourquoi notre hôte devrait se passer d’exprimer son admiration pour la performance de l’acteur Caubère. Ce n’est pas parce que ce dernier a aligné les plus tristes et grossiers arguments contre la pénalisation des clients des prostituées (moi je suis, bien évidemment, partisane du néo-abolitionnisme en la matière) que cela lui enlève du talent… Parce que, sinon, ouvrez grand la poubelle, va y avoir du monde, et des maîtres, et des génies mêmes, qui vont devoir être jetés dedans.

Moi je me demande souvent pourquoi on tend si facilement le micro aux « people », sur des sujets dont ils n’ont en aucun cas la maîtrise. Je suis sûre qu’un Depardieu aurait un discours pertinent, intelligent, documenté, sur le métier d’acteur ou celui de vigneron. Pourquoi alors lui demander ses opinions politiques ou autres ? Il n’aura, sur ces sujets-là, que la même valeur que n’importe qui, c’est-à-dire beaucoup de risques de ne dire que des conneries… Comme Jc, quoi…

Caubère et quelques autres revendiquent leur position de « clients » de prostituées qui seraient « épanouies » dans leur « travail ». C’est commode… Mais je m’en fous, moi, de son opinion sur ce sujet. Qu’il me parle plutôt du maquillage de scène, des techniques de mémorisation de textes et de l’alchimie de l’émotion théâtrale… Pour le reste, c’est juste quelqu’un que je ne fréquenterais pas, même si l’occasion m’en était donnée, voilà tout !

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 9h50

« avec les infos d’rtl derrière.. »

Moelle bucale avec zob anal, le boug ?

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 9h51

Pour le reste, c’est juste quelqu’un que je ne fréquenterais pas, même si l’occasion m’en était donnée, voilà tout !

le voilà prévenu l’arsouille..t’es trop cher pour lui

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 9h51

Moelle bucale avec zob anal, le boug ?

que clopine te fréquente baroz me laisse perplesque

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 9h53

keupu favori dit: 13 novembre 2014 à 10 h 51 min

..sais pus quoi inventer pour prouver qu’il en a

Rions un peu dit: 13 novembre 2014 à 9h54

Clopine ne fréquente pas : elle n’a que des faire-valoir de sa petite personne

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 9h55

Clopine, Passou a bien le droit d’admirer Caubère, mais tout ce qui est excessif est nul, non ?

« Rire moliéresque, finesse de marivaudage, tragique russe, hénaurmité rabelaisienne, humour bouffon, ridicule de la farce, et le tout fait un excellent auteur dont la voix est unique dans le spectacle français, aussi pétaradante qu’étincelante. (…) Le résultat, étourdissant, donne l’impression de lire une version actualisée d’A la recherche du temps perdu adaptée en bande dessinée par Louis-Ferdinand Céline. »

Quelle truffe! dit: 13 novembre 2014 à 9h57

Pourquoi alors lui demander ses opinions politiques ou autres ? Il n’aura, sur ces sujets-là, que la même valeur que n’importe qui, c’est-à-dire beaucoup de risques de ne dire que des conneries…

ON SE TUE A TE LE DIRE, CLOCHONNE!
Tu dis que des conneries et après tu viens couiner que tu as encore eu que des mauvaises notes.

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 9h57

Plus que la performance d’acteur, c’est également l’auteur dramatique que célèbre Passou !

keupu favori dit: 13 novembre 2014 à 10h01

tu rabâches le boug’ tu rabâches de plus en plus t’es au bout du rouleau, faut recharger tes batteries, va faire un tour à la cave…

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 10h05

A la recherche du temps perdu adaptée en bande dessinée par Louis-Ferdinand Céline

3 heures pour nous dire que..c’est prende le risque de faire trop long

Cohérence dit: 13 novembre 2014 à 10h06

« (moi je suis, bien évidemment, partisane du néo-abolitionnisme en la matière)…..
Mais je m’en fous, moi, de son opinion sur ce sujet. »
Clopine

La Brayonne serait bien inspirée de s’appliquer ses principes.

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 10h07

Ce qui est valable aussi pour keupu contre le boug !

les lémures faut que ça grimace dans le noir baroz..

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 10h08

La Brayonne serait bien inspirée de s’appliquer ses principes

on lui demande pas où..ça neunous regarde pas

Clopine Trouillefou dit: 13 novembre 2014 à 10h09

Jacques, notre hôte ne rigole peut-être pas tous les jours, d’où une admiration fondée en partie sur la reconnaissance ? Ca ne vous est jamais arrivé, à vous, d’admirer quelqu’un ou quelque chose pour des raisons qui n’avaient pas tout à voir avec la nature de l’objet de votre admiration, mais bien plutôt avec des circonstances qui vous étaient individuelles ?

Ce mécanisme, Proust l’a parfaitement compris, évidemment. Le ravissement éperdu que Swann éprouve pour la petite phrase de Vinteuil repose sur son amour d’Odette. Alors, allez savoir ! Peut-être que Passou, ce soir-là où il est allé voir Caubère, était disponible à l’acteur, particulièrement sensible, pour des raisons inconnues de nous (la présence d’une jolie voisine, un verre de fragolino particulièrement excellent et bu juste avant le commencement du spectacle, une accointance physique entre l’acteur et un instituteur d’enfance, bien aimé, ou encore sa ressemblance avec le boucher qui a fourni un superbe gigot la semaine d’avant à la famille Assouline, que sais-je ?) Et puis voilà, le tour est joué : l’admiration pour la virtuosité réelle de l’artiste gonfle et enfle, sous le sentiment personnel d’une félicité dont les ressorts nous échappent !

Phil dit: 13 novembre 2014 à 10h10

Passou est un enthousiaste du théâtre. Il a sûrement vu la pièce de BHL, « Hôtel Europe » (Hôtel de Sarajevo construit à l’époque austro-hongroise), mais n’a pas dû grimper aux rideaux comme avec Caubère.

TKT dit: 13 novembre 2014 à 10h11

Clopine, il est préférable de légaliser la prostitution, ce qui permet à la police de la contrôler. Quant à la pénalisation des clients ou clientes (oui, les femmes vont elles aussi aux putes ou aux gigolos) c’est un peu ridicule, les activités se passent en passant par internet et des petites annonces. Il serait préférable de s’attaquer aux réseaux de proxénètes qui importent les prostitué/es, mais là, c’est comme la drogue, il ne faut pas oublier les gens (police etc…) qui touchent au passage pour fermer les yeux.
Rendre la prostitution illégale, c’est refaire la prohibition américaine des années 20 et 30. John Kenney senior gagna beaucoup d’argent en investissant dans les bordels et les boites de nuit.
Clopine, il est impossible de supprimer l’envie du sexe, alors mettez votre morale hypocrite aux orties.

À Singapore la prostitution est légale, par contre la drogue est punissable de la peine de mort. Est-il possible de se procurer de la drogue à Gaylang, le quartier chaud de la ville ? Je n’en sait rien, par contre j’ai déjà senti des fumets de haschich se dégager de jeunes sortant des boites de nuit et fumant en pleine rue.

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 10h12

Oui, Clopine, mais pour un critique c’est une faute professionnelle, voyez ce pauvre JC qui, sur les conseils de Passou, a acheté le Reinhardt !

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 10h13

sous le sentiment personnel d’une félicité dont les ressorts nous échappent !

..en somme faut aller voir le pestacle avec une pute..ce que j’ai préféré dans le pesctacle c’est la pipe..

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 10h15

Quelqu’une nous a rappelé récemment, Clopine, que la prostitution est le plus vieux métier du monde, le sien venant juste après…

J.-C. Azerty dit: 13 novembre 2014 à 10h16

tandis que l’intérieur de l’édifice et la salle d’un peu moins de 400 places ont été sensiblement modifié au fil du temps. (Jacques Barozzi)

Rénover et moderniser une salle de cinéma, on s’en fout un peu, et même c’est généralement souhaitable, compte tenu des progrès techniques, mais dans le cas d’une salle de théâtre l’opération est beaucoup plus risquée. Non seulement parce que le rapport salle/scène risque de s’en trouver définitivement modifié, pas forcément, après tout, en mieux, mais le problème vraiment délicat, c’est celui que pose l’espace scénique, dans ses trois dimensions, surtout quand il s’agit d’une scène prestigieuse comme celle des Mathurins ou de nombre d’autres scènes parisiennes ou de province. Modifier, jusqu’à le transformer complètement, un espace où ont évolué un Jouvet, un Vilar et tant d’autres, un espace encore hanté (et sans doute plus qu’on ne croit, ce n’est pas une simple métaphore, c’est une réalité physique,sur laquelle Lavande pourrait nous éclairer) de leur présence, de la présence devenue invisible mais néanmoins réelle d’une mise en scène de Strehler, par exemple, cela relève d’une action toujours sacrilège, et d’autant plus sacrilège qu’elle est irrémédiable. Je me figure que parmi les acteurs qui jouent aujourd’hui sur de telles scènes, certains doivent percevoir autour d’eux ces multiples présences invisibles. D’ailleurs, une fois le rideau refermé, et le plateau déserté par les comédiens, dans les lumières pas encore éteintes, leur présence physique est encore, de longues minutes, décelable.

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 10h19

ma parole jean marron..c’est comme dans ton chalet bien que déserté..la présence !

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 10h20

Cette même personne, commentatrice échaudée de la RDL, qui ne commente plus depuis trois ans, nous a dit aussi à Clopine et moi au Wepler qu’elle venait toujours lire régulièrement le blog, précisant : « Je saute la note d’Assouline, trop convenue, je lis les commentaires et je me marre ! »

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 10h21

la prostitution est le plus vieux métier du monde, le sien venant juste après…

y’a même des maquereaux ici..ma mère de ma mère!

pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 10h22

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 11 h 13 min
..en somme faut aller voir le pestacle avec une pute..

Non content d’être un tenia, c’est un micheton… Quel programme…

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 10h23

commentatrice échaudée

j’aime beaucoup..elle qu’avait se mettre à l’aise..jean marron se srait pas formalisé

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 10h25

il grimace bien tu trouves pas baroz..il fait peur aux enfants..ils lui jettent des cailloux..tout ça c’est bonnasse

pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 10h27

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 11 h 25 min

le tenia ressort de son antre et fait un gros sourire à barozzi… Besoin de renfort, chose molle?

c'est jeudi, keupu favori ! dit: 13 novembre 2014 à 10h29

Certes Bouguereau rabâche, mais vous en oubliez, comme Clopine ou TKT ou vous même.

Clopine Trouillefou dit: 13 novembre 2014 à 10h30

TKT, voici un article sérieux, documenté, sur le sujet :

http://fatimabenomar.wordpress.com/2011/04/07/prostitution-ou-pas-prostitution/

Evidemment, ça demande l’effort de le lire jusqu’au bout…

Jacques, oui, c’était d’ailleurs aussi exceptionnel que la personne en question ! Ce qui m’a fait sourire quand elle a dit cela, c’est qu’innocemment, elle contredisait notre hôte, qui nous affirme souvent que c’est l’inverse qui est de mise : des internautes venant lire son billet et se détournant des commentaires…

Cependant, venir ici juste pour les commentaires, ça me sidère un peu. Passe encore pour les argumentés, voire les érudits… Mais se taper les éructation et borborygmes quotidiens des piliers trollesques ? Surtout quand on a été soi-même victime de telles pratiques, et que, du coup, on n’intervient même plus ?

… Cette histoire montre surtout, à mon sens, la déliquescence de ce blog ; plus que me réjouir d’une telle anecdote (après tout, je fais sans doute partie des raisons pour lesquelles des personnes comme notre mystérieuse amie fréquentent les commentaires du blog), je déplore le silence des victimes, surtout.

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 10h30

houhou..c’est l’train fantome..les esquelettes verts..intermittent à plein temps rien que pour moi..continue surtout

Ligne de défense... dit: 13 novembre 2014 à 10h31

c’est jeudi, keupu favori ! dit: 13 novembre 2014 à 11 h 29 min

Ligne de défense…merdeuse… défense de ténia…

pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 10h33

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 11 h 30 min

la vieille chose ténieuse est très vecsée mais fait semblant que ça y plaise… en pendant sur le pot…

Gespenst de Vladimir dit: 13 novembre 2014 à 10h33

Mère Pine dit: 13 novembre 2014 à 11 h 09 mn
Et puis voilà, le tour est joué : l’admiration pour la virtuosité réelle de l’artiste gonfle et enfle, sous le sentiment personnel d’une félicité dont les ressorts nous échappent !

Bientôt un prochain oukase dont vous avez le secret (ou plutôt le décret) prônant l’abolition du théâtre qui fait bander l’esprit des vilains messieurs, la mère ?

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 10h33

Evidemment, ça demande l’effort de le lire jusqu’au bout…

en suède il pense sérieusement a revenir en arrière..c’est un échec cuisant..ça demande un effort de pas faire dans la caricature clopine..

Le chaloux qui passe dit: 13 novembre 2014 à 10h34

pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 11 h 27 min

Le bedeau qui change de pseudo reste un bedeau.
Goupillon oblige.

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 10h37

« que clopine te fréquente baroz me laisse perplesque »

Parce qu’il m’arrive parfois de servir le jambon à l’os cru mais toujours avec délicatesse, le boug ?

Charenton, aile gauche dit: 13 novembre 2014 à 10h37

Clopine : je déplore le silence des victimes, surtout

Au folle ! au folle !

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 10h41

« je déplore le silence des victimes, surtout. »

Victimes pas si innocentes, Clopine, qui préfèrent rire au dépend des autres que soi ?

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 10h41

Parce qu’il m’arrive parfois de servir le jambon à l’os cru mais toujours avec délicatesse, le boug ?

t’en as trop dit ou pas assez baroz..mais chut.. ‘commentatrice échaudée’..je note..trop bien

La république télescopique dit: 13 novembre 2014 à 10h41

je déplore le silence des victimes, surtout.

« Le cri déchirant de la truie », à paraître chez Toutenfonte Editions, collection Alouette.

Gallimard aux canards dit: 13 novembre 2014 à 10h47

« L’âne m’habite » par Sœur Marie du Bocage, Editions du Trou, 2014

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 10h49

Personne n’a trouvé quel était le second plus vieux métier du monde ?
J’ai aussitôt demandé un rendez-vous professionnel et depuis, silence radio !

Clopine Trouillefou dit: 13 novembre 2014 à 10h50

Jacques, je sais bien que pour certains, le monde virtuel ne peut causer de dommages, « n’existant pas », et donc personne ne peut en être réellement victime.

C’est une opinion.

Elle est immédiatement contredite par la bonne vieille réalité. Chez les ados notamment, des dégâts psychologiques importants, allant jusqu’au suicide, ont été la conséquence de harcèlements virtuels.

Vous allez me dire qu’il s’agit seulement d’adolescents ?

Je suis bien persuadée que non. Qu’on le reconnaisse ou qu’on le nie, la disparition du minimum de courtoisie qui existe dans les relations humaines réelles, au profit d’une violence virtuelle inouïe, atteint forcément toutes sortes de profils psychologiques. Qui ont bien le droit d’exister aussi, diantre !

Stallone dit: 13 novembre 2014 à 10h54

Un adolescent qui se suicide pour une « attaque virtuelle », c’est un handicapé de moins à nourrir.

Clopine Trouillefou dit: 13 novembre 2014 à 10h54

Jacques, un peu de patience : votre silence-radio est celui des étoiles, en fait. Pour que ces dernières se mettent à parler, songez au voyage qu’elles doivent entreprendre !

Moi aussi j’attends, puisque, mécréante là comme ailleurs, je « n’y crois pas », mais ai cependant demandé à ce que le thème de ce blog soit établi… Le thème astral d’un blog, voilà une idée qui me semble fort plaisante. Verrons-nous l’ombre du Verseau envahir, au second décan, l’avenir du blog-à-Passou ?

Un thème astral pour un espace virtuel… Le jour où Rosetta a rempli sa mission… Nous voici au bord de l’infini !!!

radio keupu dit: 13 novembre 2014 à 10h59

radio keupu, sublime invention du sieur bouguereau, est heureuse de vous annoncer que nous mettons au point (aux poings aussi) un observatoire des redites et rabâchages des sornettes et autres grossièretés d’icelui, que nous nous ferons un plaisir de relever et de vous communiquer ainsi que les propos racistes à répétition du microbe zemmourien JC.
signé : tous les keupus de ce blog
(inutile de crier à la délation, nous assumons)

pas keupu serait-il raciste ? dit: 13 novembre 2014 à 11h08

l’observatoire dit: 13 novembre 2014 à 12 h 04 min
JC : 1 (négroïde)

Comme pas JC,
observatoire pas savoir compter.

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 11h08

« Rénover et moderniser une salle de cinéma, on s’en fout un peu, et même c’est généralement souhaitable, compte tenu des progrès techniques, mais dans le cas d’une salle de théâtre l’opération est beaucoup plus risquée. »

La centaine de salles de spectacle parisiens : théâtres, opéras, salles de concerts, cinémas, music-halls… répertoriées dans mon livre n’a cessé au cours du temps d’être toutes rénovées, Azerty. Et ainsi que j’ai pu le constater, beaucoup d’entre elles y ont perdu leur âme, hélas !

Le chaloux qui passe dit: 13 novembre 2014 à 11h10

pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 12 h 06 min
Redite de moule

Comparaison typiquement chalouesque.

pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 11h12

Le chaloux qui passe dit: 13 novembre 2014 à 12

Comparaison typiquement chalouesque.

Il voulait dire « constat ».
C’est corrigé.

@Lavande en toute amitié dit: 13 novembre 2014 à 11h12

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 12 h 08 min
répertoriées dans mon livre

Vous voyez bien Lavande que ce blog n’est pas un blog « littéraire ».

pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 11h13

Comparer une moule avec une moule? Pour quoi faire? Il n’y avait ni image ni comparaison. Une moule est une moule.

chantal dit: 13 novembre 2014 à 11h15

j’aimerais bien ce guide des salles de spectacle, parce que j’ai une petite idée. A priori j’irais bien en voir quelques unes un peu originales, le palais garnier j’ai déjà été, les bouffes du nord çà ressemble à quoi ?

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 11h16

Le plus amusant, ainsi que l’on peut le découvrir à travers les rubriques historiques de mon livre, c’est la transformation opérée souvent pour une même salle. Beaucoup de ces lieux ont été, tour à tour, selon les tendances de l’époque, d’abord un caf’cons, puis un théâtre, un cinéma, un cinéma porno, de nouveau un théâtre pour one man shows ou une scène de musique du monde !

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 11h19

pour Chantal

Théâtre des Bouffes du Nord
37bis, boulevard de la Chapelle
Tél. : 01 46 07 34 50
Métro : La Chapelle

Caché dans la cour commune aux trois immeubles formant l’angle à pan cassé de la rue du Faubourg-Saint-Denis et du boulevard de La Chapelle, le théâtre des Bouffes du Nord, a été construit en 1876 par l’architecte Louis-Marie Emile Leménil, « sur les fondations abandonnées d’un bâtiment qui devait être une caserne ».
Excentré dans un quartier populaire, alors en lisière des champs et des voies de chemin de fer de la gare du Nord, il eut bien du mal, malgré son nom évoquant les célèbres Bouffes-Parisiens d’Offenbach, à trouver son public.
Entre 1877 et 1885, il vit défiler pas moins de quatorze directeurs.
En 1882, l’anarchiste Louise Michel, tenta vainement d’attirer les « Marlous » et les « Gigolettes » en y faisant jouer une pièce révolutionnaire Nadine.
En 1885, Yvette Guilbert y fit ses débuts dans La Reine Margot d’Alexandre Dumas.
En 1893 et 1894, la compagnie du Théâtre de l’Œuvre dirigée par Aurélien Lugné-Poë y monta huit spectacles dont plusieurs pièces d’Ibsen.
En 1904, il fut rebaptisé Théâtre Molière. Gaston Leroux y présenta une adaptation de son Chéri-Bibi et Aristide Bruant y interpréta sa propre pièce, Fleur de Pavé.
En 1917, déjà propriétaires de plusieurs scènes de variétés, Oscar Dufrenne et Henry Varna rachetèrent les Bouffes du Nord qu’ils transformèrent en music-hall.
Après la Seconde Guerre mondiale, le metteur en scène Jean Serge en prit la direction et le renomma Théâtre des Carrefours. Période durant laquelle le public parisien put y assister à la création des Bouches inutiles de Simone de Beauvoir, avec Michel Vitold.
Enfin, en juin 1952, le théâtre, qui ne répondait plus aux normes de sécurité, fut contraint par la Préfecture de Police de fermer ses portes.
Après vingt-deux ans d’oubli, la salle fut redécouverte en 1974 par Micheline Rozan et Peter Brook. Sous leur double impulsion, il put renaître de ses cendres, retrouvant son nom de Théâtre des Bouffes du Nord et conservant son aspect d’origine. C’est ainsi que le 15 octobre 1974, il rouvrit avec une mémorable adaptation du Timon d’ Athènes, mise en scène par Peter Brook.
Resté sous la fructueuse direction de ce dernier, qui la transmise en 2010 à Olivier Mantéi et Olivier Poubelle, le théâtre des Bouffes du Nord a été inscrit Monument historique en avril 1993.
Entre le parterre, le rang de loges et la galerie, il totalise environ 500 places et s’est enrichi de surcroît d’un bar à vin et d’une librairie.

Vrai ! pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 11h19

pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 12 h 19 min
On entend pus bouguereau le ténia.

C’est vrai! pendouille pus sur la RDL!

Daaphnée dit: 13 novembre 2014 à 11h23

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 11 h 20 min
Cette même personne, commentatrice échaudée de la RDL, qui ne commente plus depuis trois ans

Euh ..
Quel était le pseudo de l’effarouchée, Jacounet ?

(hm .. ?)

renato dit: 13 novembre 2014 à 11h24

Mais… qu’est-ce la critique? si on se tient au grec κρὶνω, c’est “distinguer”, ce qui implique “décerner”, “dégager”, “identifier”, “reconnaitre”. Inutile de rappeler qu’envers et contre les illusions produites par l’approche pseudo-scientifique en vogue au XXe siècle, la subjectivité joue encore le premier rôle dans l’exercice : on distingue subjectivement car dans les arts, même l’objectif de l’appareil photographique n’est pas objectif.

Malheureusement, la critique normative chère aux philologues du quattrocento, sévit encore chez les esprits faibles ou tourmentés par l’idée qu’il doit exister quelque part quelque chose comme une règle absolue ; quelque chose de physique pour certains, de mathématique pour d’autres, en vertu duquel “quelque chose” on pourrait établir avec certitude (mot qui renvoie à la religion) des valeurs sûres.

Or, le fait que la critique normative est ou fut valable pour la philologie ne joue pas pour la critique des arts puisque n’importe quel crétin sait que la critique vient après l’œuvre. Donc, en admettant que le critique dise du bien d’un ouvrage, avant de mettre main au portemonnaie, on fait un petit contrôle car les goûts parfois diffèrent. En cas de déception, faute de contrôle, le critique n’est pas responsable de l’argent mal dépensé.

Et si ma manière de faire de l’ironie ne vous plait pas, tant pis.

chantal dit: 13 novembre 2014 à 11h26

merci Jacques Barozzi, c’est un endroit qui en a vu de toutes les couleurs, j’aime beaucoup.

Dans l'escalier dit: 13 novembre 2014 à 11h26

Daaphnée dit: 13 novembre 2014 à 12 h 23 min
Quel était le pseudo de l’effarouchée, Jacounet

Ah non !
Pipilet, mais avec principes.

Le chaloux qui passe dit: 13 novembre 2014 à 11h28

Vrai ! pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 12 h 19 min

Les redites du bedeau : 3

Tournevis dit: 13 novembre 2014 à 11h32

500 places aux Bouffes du Nord ? T’es sûr, Baroz ?

(Ou alors en louant toutes les corbeilles, peut-être, mais ça n’arrive jamais et, de toute façon, on voit rien de là-haut.)

pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 11h35

Le chaloux qui passe dit: 13 novembre 2014 à 12 h 21 min

Délation, j’écris ton nom.

pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 11h37

bouguereau le ténia a l’air d’avoir vraiment « décroché ».
Où qu’est tombé?

ueda dit: 13 novembre 2014 à 11h37

Chère Daaphnée, je suis comme vous, j’aimerais beaucoup savoir comment se faisait appeler cette mysérieuse commentatrice.

Notre ami Jacques nous répondra-t-il ?

Le suspens est intenable.

Clopine dit: 13 novembre 2014 à 11h38

Le livre de Jacques sur les salles de spectacle est rudement bien, Chantal. Surtout, quand vous l’aurez acquis, laissez-le en évidence : les amis qui passent et qui le feuillettent y trouvent matière à souvenirs. Enfin, pour les miens, ça a marché comme ça : on a tous évoqué nos souvenirs (Brassens à Bobino, etc.) et tenté de raccrocher chaque salle au souvenir de ce qu’on y avait vu et écouté. C’était vraiment sympa (et le bouquin est carrément luxueux ! Du grand Barozzi…)

Suggestion dit: 13 novembre 2014 à 11h46

Charlotte a bien le droit de se désintéresser de la République du théâtre, elle a autre chose à faire, etc., soit.

Mais pourquoi ne pas ouvrir son espace à d’autres chroniqueurs ? Il y a bien déjà le coin du critique SDF. Ça mettrait un peu d’animation.

Un billet tous les quatre mois, alors qu’il y a 400 théâtres à Paris, c’est triste.

Phil dit: 13 novembre 2014 à 11h48

Belle pub, Clopine. Mais c’est de l’honnête. Que serait Paris sans les salles de spectacles

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 11h51

« Le suspens est intenable. »

Fallait venir à la sortie cimetière Montmartre-café Wepler, vous étiez tous cordialement invités, tant pis pour vous !

la vie dans les bois dit: 13 novembre 2014 à 11h53

Patience Ferdinand, il y a tout un car de spectateurs encore perdu dans le cyber espace , ils sont en train de se bouffer le nez… Ils n’ont deja plus d’oreille.

ueda dit: 13 novembre 2014 à 11h55

vous étiez tous cordialement invités, tant pis pour vous ! (Barozzi)

J’ai failli venir, Jacques. Mon camarade JC m’en a dissuadé. Il se méfie de Clopin.

chantal dit: 13 novembre 2014 à 11h58

j’ai été pour ma part ramasser des poires au jardin et découpé du potiron pour l’hiver, puis écouter un ami qui vient de publier son premier roman au mercure, les tickets thalys je suis sur une liste pour racheter des billets et ce jour – là il n’y avait pas d’offre.

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 12h02

vous étiez tous cordialement invités, tant pis pour vous ! (Barozzi)

pépèpe baroz..te souviens tu de ‘pas si bougro y est’de clopine..mes absence sont héroique baroz..grace à moi t’as de la pub gratos et tu renvoyer lascenseur sans que je sois obligé de te moquer (trop)

Chaloux dit: 13 novembre 2014 à 12h04

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 12 h 52 min

Dommage, j’adorerais faire connaissance avec vous, Judith et Clopine!

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 12h04

Pour les amis et commentateurs bienveillants, comme toi, Chantal, je serai toujours disponible pour une promenade parisienne.

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 12h06

Judith est vive, mince, cultivée, enjouée et particulièrement séduisante, Chaloux !

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 12h08

Clopine était même prête à rencontrer Daaphnée ou JC, le boug, c’est dire !

renato dit: 13 novembre 2014 à 12h09

« bouguereau le ténia a l’air d’avoir vraiment « décroché ». / Où qu’est tombé? »

Ce pauvre homme ne peut même pas déjeuner en paix… que ses admirateurs le réclament… d’un autre côté, ça lui apprendra que jouer la star de blog, faire dans l’excentrique à tout prix, peut se payer cher… et « obsessivement »… « suivi »…

Tiens, il ose... dit: 13 novembre 2014 à 12h14

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 12 h 52 min

Et il n’y aura pas de prochaine fois !

Est-ce un aveu qu’ici vous ne faites que… ? Non rien…

Chaloux dit: 13 novembre 2014 à 12h14

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 13 h 07 min
le lémure s’est défilé fissa

Et bouguereau le ténia, où qu’était… et où qu’y donne rendez-vous, le gros ver? chez les autres… A beau se moquer…

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 12h16

ça lui apprendra que jouer la star de blog

les stars sont incorrigibe rénateau..moi j’apprends encore des trucs

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 12h18

mais ça srait accepter que je sois pas mac et me donner rencart dans une salle de mma..trop dur..trop fort..lémure c’est une vocation au finiche

BON... dit: 13 novembre 2014 à 12h22

renato dit: 13 novembre 2014 à 13 h 09 min

Mais comme les « non-obsessifs » sautent immédiatement sur l’occasion…et ben oui…on se demande…

Z'étaient tous en gris! dit: 13 novembre 2014 à 12h24

T’aurais vu le cortège au cimitière!
La grosse en vert devant, flanquée de deux freluquets et d’une vieille tata et derrière les deux mamies à petits pas. Il ne manquait que le corbillard!

pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 12h25

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 13 h 18 min
..lémure c’est une vocation au finiche

c’est comme ténia, au finiche, -le ténia foireux qui serAIT le plus fort…Suffit d’y croire… pas vrai?…

Paul Edel dit: 13 novembre 2014 à 12h29

Clopine Trouillefou dit: 13 novembre 2014 à 11 h 09 min
Vous nous expliquez que, sous l’effet de l’humeur, d’un verre de vin ou d’autre chose, par eemple d’une voisine au profil agréable,son coude touchant le sien, Pierre assouline aurait dit n’importe quoi sur Caubère d’exalté.e là, c’est tres tres fort.. on voit bien que vous ne connaissez pas assouline, ça se voit…ce n’est pas une girouette.. là, vous faites tres fort..vous êtes en pleine forme.. j’attends la suite..

renato dit: 13 novembre 2014 à 12h29

« et ben oui…on se demande… »

Déjà « immédiatement » ne me semble pas un mot approprié dans cet environnement. Et puis, qu’est-ce que vous vous demandez, au juste ?

chantal dit: 13 novembre 2014 à 12h38

chuuut paul edel, clopine se prend pour assouline, c’est de la projection..

bientôt elle le vera en obélix dévorant un marcassin avec les dents au fond d’une hutte, et le bougre ira de son commentaire sur sa vie sexuelle avec god ceinture .. swat.

je retourne colorier mon plafond, et ne manquerai pas un prochain rdv voilà, sapience malivole m’a écrit un mot cet été, elle va bien, malgré ce que l’on sait sur les rigueurs d’Athènes.

C.P. dit: 13 novembre 2014 à 12h38

Je prends le train en marche, et j’ai des surprises :

Je croyais être en accord avec John sur le travail des comédiens et sur une « autre vie » au théâtre. Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire de « présence » ? Ou « l’âme » d’une salle historique ? J’aime bien la ruine des Bouffes du Nord, mais je sais bien aussi qu’il y a un gril technique dans les cintres, et d’aborde un plateau.
Avec tout le respect que j’ai pour eux, ça me fait comme la cocuë aux canes que Molière, Jouvet, Vilar, Strehler… rôdent en ces lieux. C’est le dispositif qui m’intéresse, quel qu’il soit, frontal, latéral, bi-latéral, en rond, s’arrangeant d’une salle à l’italienne avec loges, etc.
Et zut au rideau fermé (sauf dans les cas de transparence) qui me dévoilerait la surprise d’un « décor » ! Je me demande ce qui va se passer là-dedans, et voilà tout. Dans le cas des tournettes, j’aimerais bien qu’on me les montre AVANT, etc.
Vivent enfin les rénovations, nom de dieu !

Clopine dit: 13 novembre 2014 à 12h45

Paul Edel, enfin ! « Sous l’influence du gigot du boucher », aussi, vous l’oubliez ce dernier. Il est de notoritété publique qu’un bon boucher, (trois côtelettes et avec ça ?)ça vous prédispose un critique, est-ce vraiment à vous que l’on doit expliquer ça ? (allez, un bon mouvement, là – souriez largement, je vous le demande, tant vos commentaires exaspérés m’interloquent : mais que vous ai-je donc fait ?)

pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 12h46

encore disparu, le bouguereau!

bouguereau, le seul ténia qui aille se réfugier entre ses propres fesses…

Clopine dit: 13 novembre 2014 à 12h47

Chantal, pourriez-vous soumettre à Sapience Malivole mes meilleurs souhaits pour elle ? Elle a brièvement illuminé la RDL de sa présence, et puis, ffrrrttt, elle est partie… Depuis, il fait un peu plus sombre, ici…

pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 12h48

Depuis, il fait un peu plus sombre, ici…

justement ce que se disait bouguereau, à l’instant…

Lavande dit: 13 novembre 2014 à 12h50

Je n’ai pas une sympathie particulière pour Bouguereau mais les anti-Bouguereau, qu’est-ce qu’ils sont gonflants!

Erdélien lambda dit: 13 novembre 2014 à 12h51

Barozzi dit : //Cette même personne, commentatrice échaudée de la RDL, qui ne commente plus depuis trois ans, nous a dit aussi à Clopine et moi au Wepler qu’elle venait toujours lire régulièrement le blog, précisant : « Je saute la note d’Assouline, trop convenue, je lis les commentaires et je me marre ! »

Alors moi, c’est le plus souvent l’inverse. Je lis la note d’Assouline, et je pleure de rage en lisant les commentaires. Rage contre moi d’avoir encore perdu mon temps à chercher un texte intelligent (il y en a ) parmi dix inepties de gens qui ont un point commun : être contents d’eux-mêmes,et parti en chandelle dès qu’on leur en fait reproche.

(Je ne parle pas pour vous, Barozzi, qui arrivez à être du 1/10°)

pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 12h53

Lavande dit: 13 novembre 2014 à 13 h 50 min

Prenez un peu de charbon, pas près de s’arrêter…

erdélien lembada 1 dit: 13 novembre 2014 à 12h57

mais que vous ai-je donc fait ?)Clopine

Rien apparemment, c’est cela le pire.

Chantal, bisou avec le beau soleil 😉

Lavande, vous n’ êtes pas la seule que « ça gonfle », croyez-moi.
( Les keupu, pas keupu, encore keupu et j’ en passe, ouarff!)

erdélien lembada 1 dit: 13 novembre 2014 à 13h01

Ce qui est fort sympathique, ce sont les pseudos qui « collent » en réponse au(x) commentaires précédents, ce que fait bouguereau, il relève, salaça, les jupes de tous les commentaires, ça peut être chiant mais aussi marrant.
Pas comme les keupu ratiocineurs en diable.

Clopine dit: 13 novembre 2014 à 13h04

Ah et puis, Chantal, si vous en avez le temps, le loisir et le goût bien sûr, vous seriez gentille de m’expliquer bien calmement en quoi, exactement, je me « prends pour Assouline » ? Est-ce parce qu’il m’est arrivé (comme à tout le monde…) d’apprécier un jour un film (c’était « la couleur pourpre ») qui n’était pas si terrible que cela, mais les circonstances dans lesquelles je l’ai vu me l’ont fait à tout jamais marquer d’une pierre blanche. Ca marche aussi pour les musiques, notez – combien de « rengaines » provoquent chez nous une amitié particulière, non à cause de leur intérêt mais à cause de leur saveur de madeleine ?

(et bien entendu, s’il faut mettre les points sur les i jusque là, un critique digne de ce nom se dégage justement de ces contingences, ah là là…soupir. C’est lourd, d’être léger, par ici.. Et mon poids – 69 kilos, pas 80 !) n’est pour rien dans l’affaire.)

pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 13h05

erdélien lembada 1 dit: 13 novembre 2014 à 14 h 01 min

On n’est jamais mieux servi que par un con dans son genre… C’est bien connu.

Salace dit: 13 novembre 2014 à 13h07

mon poids – 69 kilos, pas 80 !

Décidément Clopine, vous ne faites vraiment pas votre poids en écriture…

Carrefour dit: 13 novembre 2014 à 13h11

On n’est jamais mieux servi que par un con dans son genre… C’est bien connu.pas K.

CQFD, mais quelle lourdeur.

Paul Edel dit: 13 novembre 2014 à 13h12

Il commence à me … votre sens de l’humour Barozzi…. selon vous humour = porte ouverte à n’importe quel jugement expéditif sur passou ou un autre?.c’est dit par Clopine, avec une assurance de plomb..quelle dose de mépris dans le jugent de Clopine…. par exemple affirmer que si Passou a été enthousiasmé par Caubère, ça ne peut venir que de son humeur de la soirée..des élements extérieurs qui ont troublé sa faculté de juger…. aucun respect pour son texte enthousiaste.. ,aucun respect vrai pour son professionnalisme, son expérience de journaliste qui ne s ‘en laisse pas compter par n’importe quel spectacle ou n’importe quelle lecture..Une fois sur trois, je suis en désccord total avec ce qu’il dit..mais je ne mets pas en dotue son sérieux, ses inforlations, ses impressions du moment.ca s’apelle divergence de personne à pesonne.. normal.. actuellement Clopine juge de tout, avec aplomb, certitudes, rigidité ,la reine en son verger . Elle ne supporte plus la contradiction puisqu’elle a l’intelligence de droit divin…. de l’humour? là c’est vous qui plaisantez. ,dites que vous l’aimez bien et que votre promenade avec elle et sa famille entre les tombes fut sympa. chaleureuse. pleine de grâces et de compliments réciproques. c’est une raison comme une autre, l’amitié.

Phil dit: 13 novembre 2014 à 13h13

Caubère a vraiment pas bonne mine, comme disait la grand-mère. couperosé, soufflé, difficile à croire tout ce que passou écrit à la diable.

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 13h17

mon poids – 69 kilos, pas 80 !

faut quand même prende une grande consigne a la gare..t’es la ruine du pti tueur

pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 13h19

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 14 h 17 min

Pour le ténia, juste une petite concession…

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 13h22

ce sont les pseudos qui « collent » en réponse au(x) commentaires précédents, ce que fait bouguereau, il relève, salaça

mais non..c’est polo qui fait son bergeret

Sergio dit: 13 novembre 2014 à 13h22

Houi enfin la madeleine ça vaut pas un bon tartare ou une handouillette AAA… Une madeleine, une madeleine, et puis quoi encore ?

qui vous savez dit: 13 novembre 2014 à 13h24

Sergio dit: 13 novembre 2014 à 14 h 22 min
Houi enfin la madeleine ça vaut pas un bon tartare ou une handouillette AAA

et une handouillette AAA, ça vaut pas une andouillette AAAAA.

Laurence de Sainte Lumière dit: 13 novembre 2014 à 13h25

Oh, vous savez, moi, c’est la population qui ne me dit pas grand-chose.

J.-C. Azerty dit: 13 novembre 2014 à 13h26

Avec tout le respect que j’ai pour eux, ça me fait comme la cocuë aux canes que Molière, Jouvet, Vilar, Strehler… rôdent en ces lieux. C’est le dispositif qui m’intéresse, quel qu’il soit, frontal, latéral, bi-latéral, en rond, s’arrangeant d’une salle à l’italienne avec loges, etc. (C.P.)

Mmouais … Sans doute… certes…

Mon point de vue, purement intuitif d’ailleurs, devrait trouver un commencement de validation vers le milieu du XXIIe siècle; il faudra sans doute qu’au préalable ait été résolu le problème de la compatibilité entre physique quantique et relativité. Il est possible que la récente découverte du boson de Higgs fasse avancer les choses dans mon sens, mais je m’avance peut-être moi-même beaucoup. En tout cas j’ai la conviction qu’au niveau subatomique, il se passe, sur un plateau de théâtre, des choses dont nous n’avons pas idée. Pour le comprendre, il faudrait faire l’effort de penser autrement qu’en termes de grill et de monte-plats (avec tout le respect que je dois à Pinter).

l'observatoire dit: 13 novembre 2014 à 13h27

deuxième constat de nos nombreux observants : l’inquiétude est manifeste, quelques soit-disants petits malins ont la frousse, la pétoche, les jetons, ceux qui voient des chaloux ou des bedeaux partout… notre travail porte ses fruits, bouguereau se fait minus-cule, but recherché, nous vaincrons

Clopine dit: 13 novembre 2014 à 13h27

Eh bien le portrait peu flatteur que vous faites de moi, Paul, correspond sans doute à VOTRE vérité, mais n’allez pas me faire croire qu’il est « objectif ». Vous dois-je quelque chose ? Vous ai-je promis quelque chose ? Etes-vous tout simplement déçu par ce que vous fantasmiez sur moi ne correspond pas à la simple réalité d’une photo, postée sur clopineries ? Ai-je déjà tenté de me faire passer pour autre que ce que je suis – et n’avez-vous pas eu, parfois, recours à ma voix, ne serait-ce que pour vous faire passer l’amertume de certaines solitudes vespérales ? J’étais devenue, pour vous, une voix consolatrice, dans la nuit… Je n’aurais jamais cru devoir vous le rappeler !!!

Je pourrais presque vous accuser d’injustice, Paul – j’en suis à m’imaginer que c’est un troll qui usurpe votre pseudo, mais non, c’est bien vous, sur la bienveillance de qui j’avais pu, par le passé, tant compter !

Tenez, tout ceci me navre tant que je vais vous proposer un contrat, afin de ne pas abîme l’image qu’à mon tour, je me fais de vous, ô vous l’écrivain que je suis la première à avoir décelé ici…

Si je vous énerve tant, si vous croyez réellement que je me sens supérieure ici, à tous et en premier lieu à notre hôte, s’il vous semble que je « règne » et distribue à tort et à travers bons et mauvais points, si ma lutte anti-trollesque vous semble une simple posture injustifiée par les faits, bref, si je vous insupporte, alors : ne lisez plus mes commentaires. Voilà. Vous voyez « Clopine Trouillefou », eh bien zou, vous passez.

Ca vous demandera un effort, parce que vous estimez que je mérite une bonne leçon d’humilité ? Faites-vous une raison, et surtout dites-vous bien que les trolls auront tout loisir de vous remplacer avantageusement. Vous en sortirez grandi, et ainsi je pourrais conserver l’estime que j’ai pour vous, et la reconnaissance pour la critique aimable de mon petit livre que vous avez bien voulu poster sur votre blog, et le remerciement infini que je vous dois, enfin, pour le meilleur que vous m’ayez apporté : la découverte de la correspondance de Flaubert, que je vous dois…

l'observatoire dit: 13 novembre 2014 à 13h28

il y a beaucoup de commentateurs pour lesquels nous avons le plus grand respect pour leur intelligence remarquable et remarquée

La population dit: 13 novembre 2014 à 13h29

Laurence de Sainte Lumière ? Professeure d’Economie du Développement au moyen-orient, visiteuse mystère d’hôtel et de restaurant de luxe, économiste, écrivaine, le secret de son identité reste entier.

Puisqu'il vient, acceptons le fou-rire... dit: 13 novembre 2014 à 13h29

J’étais devenue, pour vous, une voix consolatrice, dans la nuit… Je n’aurais jamais cru devoir vous le rappeler !!!

Buztère Quitonne dit: 13 novembre 2014 à 13h30

Poapul ou un amour déçu étalant sa déception ? il n’y a pas si longtemps, l’aimée était « délicieuse »

Puisqu'il vient, acceptons le fou-rire... dit: 13 novembre 2014 à 13h31

l’écrivain que je suis la première à avoir décelé ici…

Elle voulait dire « desseller », à force d’être assise dessus.

Paul Edel dit: 13 novembre 2014 à 13h34

vous me demanndez un contrat? pur que je ne gaerde pas ma liberté de juger? vous êtes notaire? vous plaisantez, je garde ma liberté, gardez la votre..

Puisqu'il vient, acceptons le fou-rire... dit: 13 novembre 2014 à 13h36

Amette n’est vraiment qu’un tout petit bonhomme. Et il se mêle d’écrire sur Voltaire…

Phil dit: 13 novembre 2014 à 13h36

mais non « je ne m’en fous pas ». Laurence de sainte lumière, bonne copine à passou, des débuts du prestigieux blog.

Feud, not freud or friend dit: 13 novembre 2014 à 13h36

JCouille dit:13 novembre 2014 à 14 h 29 min
Laurence de Sainte Lumière ? Professeure d’Economie du Développement au moyen-orient, visiteuse mystère d’hôtel et de restaurant de luxe, économiste, écrivaine, le secret de son identité reste entier.

La personne derrière ce pseudo voulait écrire Lawrence (comme dans Lawrence of Arabia), très mauvais en anglais la Sainte Lumière accepta de se faire passer pour femme. Encore quelqu’un sûr de soi qui se prenait pour un des nombrils du monde.

Paul Edel dit: 13 novembre 2014 à 13h38

Buztère Quitonne
oui, certains des textes de Clopine, sur son blog, sa « chronique familiale » sont vraiment bien.et je continuerai à dire ce que je pense en toute liberté. quelle marrade de la part de Clopine de vouloir faire « un contrat » qavec moi pour que je me taise. je sens que je vais passer pour un monstre….

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 13h38

Ai-je déjà tenté de me faire passer pour autre que ce que je suis

toutafé..enfin un peu d’objectivité..c’est pour ça baroz..pas de bourguereau surtout..tu comprends? vdqs..bon pléyèle bordèle

Puisqu'il vient, acceptons le fou-rire... dit: 13 novembre 2014 à 13h39

je retire tout ce que j’ai dit. J’essaie de me faire plus con que je ne suis et pourtant je le suis déjà beaucoup. Le seul grand ici, c’est Chaloux.

Puisqu'il vient, acceptons le fou-rire... dit: 13 novembre 2014 à 13h39

Paul Edel dit: 13 novembre 2014 à 14 h 38 min
je sens que je vais passer pour un monstre….

Non, juste pour un con, mais c’était déjà le cas.

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 13h40

« Il commence à me … votre sens de l’humour »

Paul ne nous ferait-il pas une petite dépression ?
ça passera !

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