Diable de Caubère !
Mais comment fait-il ? Trois heures durant, Philippe Caubère est partout sur la scène de l’Athénée-Louis Jouvet, on ne voit et on n’entend que lui, et à la fin, il a l’élégance de ne pas paraître exténué quand les spectateurs le sont allègrement d’avoir autant savouré, souri et surtout ri sans discontinuer. Que c’est bon d’entendre des gens rire de bon cœur, d’un rire qui n’est pas le rire gras des shows télévisés ni le rire de dérision que Canal + a incrusté dans les esprits. Rire moliéresque, finesse de marivaudage, tragique russe, hénaurmité rabelaisienne, humour bouffon, ridicule de la farce, et le tout fait un excellent auteur dont la voix est unique dans le spectacle français, aussi pétaradante qu’étincelante.
Avec l’air de ne pas y toucher, à sa manière burlesque et déjantée et sans jamais se prendre au sérieux, La Danse du diable est aussi une réflexion en abîme sur le théâtre et le transmission, avec la mère comme fil rouge et personnage central. Ce pur projet de théâtre d’un seul homme n’a rien d’un one man show. C’est juste un grand comédien qui nous raconte une histoire, mais si comique qu’elle nous fait rire comme on ne sait plus le faire au théâtre, et si fantastique qu’elle nous fait rêver comme on n’ose plus le faire au théâtre. Le personnage qui remplit la scène de sa présence s’appelle Ferdinand Faure, son alter ego. Il a des fantasmes de gloire.
«Peut-on, de nos jours, parler de soi-même, de ses craintes intimes, de ses espérances, et que ce soit gai ? Peut-être que je suis fou, ou prétentieux, ou les deux à la fois. Tant pis.”
Vingt ans après avoir rempli l’Athénée-Louis Jouvet de milliers de spectateurs, tous les soirs pendant des semaines, et un an après avoir dû renoncer à le présenter à ses compatriotes marseillais, un tendon d’Achille ayant rompu les amarres lors d’une cabriole à Tarascon-sur-Ariège, et ce n’était pas que métaphorique, il remet donc ça avec son spectacle-fétiche La Danse du diable, créé en 1981 au Festival d’Avignon, premier d’une saga autobiographique mais si peu nombriliste qui sera suivi par le Roman d’un acteur et L’Homme qui danse. Autant d’œuvres qui sont désormais à voir et à écouter autant qu’à lire. L’ensemble constitue une épopée personnelle parmi les plus originales du théâtre contemporain en France.
En 1981, Philippe Caubère avait 31 ans ; or il n’hésite pas à reprendre à 64 ans un spectacle aussi physique, qui exige tant de l’intensité de la mémoire que de la tension nerveuse. On comprend qu’il le dédie au danseur Jean Babilée, immortel interprète du Jeune homme et la mort qu’il avait créé à 23 ans avant de le reprendre à 60 ans. Un modèle éblouissant pour celui qui, à ses débuts, avait pris le soleil du côté de chez Mouchkine.
Il est tout à tour, et parfois à quelques secondes d’intervalle, des hommes et des femmes, des Marseillais et des Aixois, Malraux l’agitateur agité, Sartre en nain globuleux, l’omniprésent général de Gaulle en héron enchanté, sans oublier le déhanché Johnny Ouliday, François Mauriac confit en méchancetés, et Jean Vilar, et Gérard Philippe et Roger Lanzac et Lucien Jeunesse, tous traités dans un irrespect étincelant. Tel est le bestiaire de Caubère : la France des années 60. Le résultat, étourdissant, donne l’impression de lire une version actualisée d’A la recherche du temps perdu adaptée en bande dessinée par Louis-Ferdinand Céline.
Caubère joue vite sans se presser. Il est rapide où d’autres se précipitent, car le temps sur scène n’a pas le droit de prendre son temps comme dans la vraie vie. Il faut condenser et comprimer, pratiquer l’ellipse jusqu’à l’os. Il réussit l’exploit d’être toujours dans l’énergie sans jamais verser dans l’hystérie, qu’il murmure, se lamente, vocifère, radote, se récrie, se confie. Il parvient même à n’en faire jamais trop tout en en faisant jours plus. Le temps est loin où l’on parlait de ce spectacle avec admiration mais en louant le phénomène en lui, le comédien marathonien, le logorrhéique inspiré, celui qui pouvait aligner ses « morceaux » sans reprendre son souffle. Car on a beau chercher, il n’y a pas le moindre excès dans cette entreprise pourtant démesurée.
C’est un grand privilège que de voir un tel comédien, l’un des rares à être véritablement un artiste total, un auteur complet, usant du verbe, de la danse, du mime, recréer son monde soir après soir. Ce qu’il raconte est né de l’improvisation, avant d’être fixé dans des livres, puis de retourner mordre la poussière des planches mais sans jamais perdre en chemin la spontanéité, la fraicheur et la vitalité de l’ invention première.
Et quel bonheur d’entendre prononcés des milliers de mots, dont on a l’impression qu’ils se rencontrent pour la première fois ainsi parfaitement articulés, et non marmonnés à voix basse en tournant le dos au quatrième mur comme ça se fait de plus en plus souvent au Français, avec ces liaisons magnifiques que l’on dirait d’un autre temps tant la radio prend à cœur de les ignorer de nos jours. Philippe Caubère, c’est une présence portée par une voix et c’est si rare…
Et pour finir, on entend sa voix mais d’outre-tombe nous murmurer que « le théâtre, c’est un peu comme les rêves, ça n’existe pas ». Ce qui est plutôt bien vu pour un homme tourmenté comme un insomniaque. Voilà, c’est jusqu’au 7 décembre et si vous n’avez pas compris qu’on y va pour se faire du bien, qu’on en ressort heureux et provisoirement réconcilié avec ses contemporains, c’est que vous êtes bouchés à l’émeri.
(« La danse du diable » photo D.R.; « Philippe Caubère dans les airs » photo Passou)
1 443 Réponses pour Diable de Caubère !
Le blog à Passou est une auberge espagnole où chacun y apporte son casse-croûte pour le faire partager à tout le monde : on est pas obligé de goûter à tous les plats des voisins !
Pas d’accord, Lavande !
Le juron, l’insulte, la dérision, la violence ne doivent pas être rangés sous le tapis ! Pourquoi s’en priver ? Pourquoi accepter la castration du « toujours le bon goût » ? Le mauvais goût existe, il est utile !
Le coup de la banane à Taubiroute est excellent !
A quoi ça servirait que ce bon Rabelais, et tant d’autres, nous aient ouvert le chemin de la farce, de la brutalité, du vulgaire ?… Merde alors !
Ouvrons nos cœurs, libérons nos intestins …
Je suis D., et je suis avec vous, JC, le grand admirateur du FN.
Ne me prenez pas pour un autre, vous tombez dans le même travers que les commentateurs qui vous voient partout.
JC, nous sommes les maîtres incontestés de la RdL, nous décidons ce qui est digne de commentaire ou pas. Pour ce qui est des Notes de Pierre Assouline, nous n’avons aucune autorité pour le guider.
Vive D., vive JCouille !
Je m’aperçois que justement, en bas, dans les « vous aimerez aussi » il y a le Pierre Lemaitre que je voulais vous remettre en mémoire. Du coup j’ai relu l’article de Passou. Je suis d’accord à 101% avec son enthousiasme et d’ailleurs j’ai participé au sauvetage des petits libraires en péril en l’offrant plusieurs fois.
Immensément admiratif !!! Devant Caubère ? un saltimbanque ??? Pourquoi, grands dieux ? (JC)
Pour une fois, je suis à peu près d’accord avec le pou des îles. Caubère, le saltimbanque (ce n’est nullement péjoratif) est un homme de la répétition, du ressassement, tourné vers la rumination du passé, vers la re-présentation. L’homme, par ailleurs, du one man’s show. Ce que symbolise Rosetta, c’est tout le contraire. D’abord, ce n’est pas Rosetta qu’il faut admirer, ce sont les équipes de scientifiques et de techniciens qui l’ont conçue, fabriquée et lancée, donc le contraire du one man’s show. Ensuite, l’expérience Rosetta est le contraire de la répétition et du ressassement du passé : elle est l’exploration de l’inconnu avec les moyens de la connaissance acquise. Lavande a tort : l’admiration qu’on peut éprouver pour le travail d’un Caubère n’a rien à voir avec celle qu’inspire l’exploit scientifique de Rosetta. Ni la nature ni l’intensité de l’admiration ne sont les mêmes. Il y a admiration et admiration. JC a raison : ce qui fait l’intérêt (très relatif) des commentaires de la RdL, c’est qu’ils ne se limitent pas au ressassement des « problématiques littéraires ». La critique littéraire est un exercice tourné vers le passé, pour un public de vieux croûtons. Patrick Besson a trouvé les mots justes pour la définir : » tant de bonnes paroles en l’air. Qui ne retomberont jamais. «
il y a le Pierre Lemaitre que je voulais vous remettre en mémoire. (Lavande)
Ressassement d’un passé déjà irrémédiablement nécrosé. Qui est d’ailleurs au juste ce Pierre Lemaître, déjà complètement oublié, dès que son oeuvrette a été éjectée des étals des supermarchés ?
D. dit: 13 novembre 2014 à 9 h 43 min
Oui, D., comme je vous comprends… Ensemble nous vaincrons et nous mettrons au pas les méchants !
Dans un proche avenir, on consignera TKT, Abdel, Renato, à la voirie comme garde-champêtres avec obligation de chanter des psaumes durant le travail pour distraire les paysans …
Nous attaquerons la Suisse, pillerons leurs banques, au retour nous offrirons des montres dérobées, à chaque Français de souche… Le bonheur est devant nous !
Attention à ne pas marcher dedans …
Passou se contente d’afficher le menu principal à la porte de son auberge, pompeusement baptisée « salon littéraire », dont les commentateurs enrichissent (ou appauvrissent) la carte à l’infini.
Du coup j’ai relu l’article de Passou. (Lavande)
Il y aura toujours des gens pour tenter de reculer les bornes du masochisme.
« Lavande a tort : l’admiration qu’on peut éprouver pour le travail d’un Caubère n’a rien à voir avec celle qu’inspire l’exploit scientifique de Rosetta. »
Merci J-C Azerty mais j’en avais conscience. C’était juste un « raccourci stylistique ».(petite précision d’ailleurs: je suis moi-même scientifique, physicienne plus exactement)
Bref, la singularité du blog à Passou, c’est nous, en bloc et en blog !
Dans mes bras, Azerty !
Dans mes bras, Lavande !
Thélème … ! Thélème … !
1/ Le blog à Passou est une auberge espagnole où chacun y apporte son casse-croûte pour le faire partager à tout le monde : on est pas obligé de goûter à tous les plats des voisins !
2/ Passou se contente d’afficher le menu principal à la porte de son auberge, pompeusement baptisée « salon littéraire », dont les commentateurs enrichissent (ou appauvrissent) la carte à l’infini.
3/ Bref, la singularité du blog à Passou, c’est nous, en bloc et en blog !
Passou se contente d’afficher le menu principal à la porte de son auberge, pompeusement baptisée « salon littéraire », dont les commentateurs enrichissent (ou appauvrissent) la carte à l’infini. (Jacques Barozzi)
En effet. Au fur et à mesure que s’éloigne la date de mise en ligne du plat du jour pour se rapprocher de la date de péremption, la saveur s’en dissipe, les convives s’évertuent tant bien que mal à la restaurer en fournissant leurs propres ingrédients, jusqu’au moment où les derniers arrivés n’ont plus à se partager que quelques misérables rogatons, qui se voudraient saignants mais n’ont plus que le goût et la consistance de vieilles semelles.
D. dit: 13 novembre 2014 à 9 h 43 min
Thierry, mon Zürichois chéri, comme je t’aime quand de tes petits poings cruels tu essaies de faire tomber les murs où tu t’enfermes.
T’es beau dans l’effort mon adoré.
T’as mis ta chemise jaune?
Bon, adieu ! Respect aux Grands, bises aux amis, bras d’honneur aux autres, moue de mépris à certains…
« pêcheurs à la ligne toscans ! »
La truite tu l’a ferrée o tu ne l’a pas ferrée; si tu l’a presque ferrée tu peut passer chez le poissonnier…
…
« garde-champêtres »
En voilà un qui vit dans l’illusion qu’un changement radical le libérera de sa condition… enfin, déjà qu’un changement radical dans le sens suggéré n’est qu’une illusion…
Thélème … ! Thélème … ! (JC)
Il devient fou, ma parole. Il me fait penser à Jean Rochefort dans « le mari de la coiffeuse ».
plus que JC, impossible ? … et bougue-rototo qui trépigne de rage dans son coin, faut pas l’oublier le vieux débris de mots
dans le lointain dit: 13 novembre 2014 à 10 h 06 min
Le bedeau veut sa dose.
j’ai participé au sauvetage des petits libraires en péril en l’offrant plusieurs fois. Lavande.
Ou la littérature comme œuvre de charité, on aura tout lu sur ce blog.
Caubère joue vite sans se presser. Il est rapide où d’autres se précipitent, car le temps sur scène n’a pas le droit de prendre son temps comme dans la vraie vie. Il faut condenser et comprimer, pratiquer l’ellipse jusqu’à l’os.
Philippe Caubère, c’est une présence portée par une voix et c’est si rare…
Beaux éloges. Tous les vrais acteurs de théâtre savent ça, c’est une affaire entendue, mais il est bon de rappeler de temps en temps quelques fondamentaux.
Diable de Passou ! Comment fait-il pour supporter tout ce qui se déverse sous ses billets ?
Heureusement qu’il a déjà publié ses BREVES DE BLOG !
Sorry for being a bit late Captain Playmobil, but I overslept a bit vos cloches.
Quite a guy he is that T, chère vie! Les Initiés faut pas trop en parler au petit capitaine, comme il est tellement sensible, il va encore rougir de rage au sujet de comment on peut oser de raconter de telles co….ies dans un livre de m…. I like l’enfant sauvage aussi, ça va bien avec votre nom du bois, je trouve, tout comme votre nom tout mystère va bien avec les forêts Reinhardt.
Mais dites donc, la danse du diable, vous arrivez encore à aller la voir, avant votre départ de la capitale tellement busy? Comme monsieur Assouline aime beaucoup la danse et comme j’aime bien la façon dont C.P. explique théâtre tout en connaissance de cause à travers ce billet. Même si la plupart de ses commentaires parlent de noms et de spectacles dont je ne sais pas trop, car le théâtre et moi ne sont pas trop amis. Mais n’est-ce jamais trop tard pour changer les choses?
Merci à ce commentateur (je ne retrouve pas pour le moment) qui m’a rappelé et fait cliquer le lien pour la danse de Philip Coubert. J’avais lu le billet de monsieur Assouline, en me disant « ça doit être bien cette pièce, mais comme de toute façon il doit plutôt être impossible d’avoir encore des places », ainsi je n’avais recherché ni le théâtre, ni la disponibilité des billets. Grâce à ce commentateur je viens de découvrir les trois petits extraits, que le théâtre mets en ligne comme teaser. Wow! Quelle danse que ça semble être! Je dois absolument essayer de convaincre la cheffe pour y aller!
Donc je continue à cliquer un peu pour savoir où ce trouve ce théâtre. Et WOW encore! tout près de rue Mathurins. Mais je connais le quartier! Je l’ai parcouru à la recherche du 42 Arcade il y a quelques semaines. En plus je l’ai couru tout essouflé pour éviter les foules au Haussmann, de crainte que j’allais louper ‘vie’, qui m’a fait faire tellement courir il y a quelques jours. Ayant fait rdv live ici au billet Truffaut, au café Liabanis ds Galeries (3e étage) pour 16:00 je cours vers la FNAC à 15:30 pour trouver un petit cadeau pour ‘vie’. Un monde fou à la caisse je ne sors de la FNAC qu’ à 16:00 et tout en courant j’arrive au Galeries 16:10. Elle n’est pas là, et c’est la cheffe qui m’attend toute seule. Contrôle par le free wifi de la Galerie. Contreordre par ‘vie’ pour 16:30 au 73, il faut donc retourner en toute vitesse d’où je viens. La cheffe abondonne, ‘tu n’as qu’à rencontrer cette personne tout seul’. Il faut donc retourner direction FNAC/Lazare de nouveau par la foule. Impossible dans un quart d’heure. Grâce à la recherche Modiano, je sais qu’il vaut mieux essayer en évitant Haussmann. Une fois sorti de la foule Galeries je traverse Haussmann près de l’opéra et je cours, je cours en prenant rue des Mathurins, pour arriver au 73, 16:30 pile, tout essouflé, ma veste à la main.
Mais est-ce que le théâtre Jouvet serait le théâtre dont parle Modiano dans son dernier livre de m….?
QUOTE:
de « Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier » Patrick Modiano:
Kindle location 55:
– Il ne s’était pas trouvé dans ces parages depuis une éternité. Il ne se souvint que sa mère jouait dans un théâtre des environs et que son père occupait un bureau tout au bout de la rue, à gauche, au 73, boulevard Haussmann.
Kindle location 62:
– Sa mémoire aurait été plus vivace dans le café rue des Mathurins, devant le théâtre, là où il attendait sa mère, aux alentours de la gare Saint-Lazar, une zone qu’il avait beaucoup fréquentée autrefois.
END QUOTE
Mais il faut rester dormir, pour voir la danse. Et WOW again, tout près le George Sand rue des Mathurins me semble parfait. Si seulement j’arrive à trouver une date dans le calendrier tellement chargé.
Oh j’allais oublier pour le capitaine Palymobil, qui m’a l’air un peu triste ce matin, je peux le rassurer, hier à Cologne ces Hooligans ne semblaient pas encore avoir trop entendu parler de lui et de son livre de chevet. À mes questions micro trottoir ils n’ont répondu que par des: Frrrranzoooosen? Frrrranzoooosen? Mögen wir nicht! et puis ce n’était que des: « Ausländer raus! Ausländer raus! » suivis par des « Wau! » « Wau! ». Les gens qui passaient ont fait un détour, mais il ya quand même deux ou trois qui se sont arrêtés et quand je leur ai tenu le micro, ils m’ont répondu avec des « Und wenn diese Kerle doch Recht haben? ». Je ne sais pas si le suicide a déjà été traduit, qui sait, peut être il fera aussi carton in Germany? Et le capitaine Playmobil en toute tenue, comme chef de promotion, ça devrait fonctionner en toute franchise même avec un petit accent de Frrrranzoooosen, pendant ces temps de cadeaux pour le Weihnachtsmann et ses petites histoires.
Et Playmobil, si jamais ça vous dit, on peut découvrir « Royaume » ensemble, je l’ai ici devant moi, juste en dessous de « Pas pleurer » et « Sigmaringen », et si vous préférez entendre un extrait pour ne pas trop risquer vos sous avant de joindre vos potes, vous n’avez qu`à demander. Bonne journée de navigation à vous, j’essayerai to be on time tomorrow morning. Nothing special on the list today, apart from cleaning da house a bit.
je suis moi-même scientifique, physicienne plus exactement) Lavande.
Ne seriez-vous pas l’auteure du best seller daté au demeurant, la métaphysique décor? Je l’ai lu et j’avoue qu’il m’a laissé un souvenir fatigant tant il m’a été difficile d’en venir à bout, les bras m’en tombaient cependant que la révélation encourageante d’ailleurs m’indiqua de ne pas tenter un pas de plus dans cette direction, je risquais l’implosion , une flèche vibre encore dans mon lobe cérébral gauche. Après cela voyant une fumée blanche s’élevait sur des notes de Schumann ce fut à jamais l’hiver sans chauffage.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=IQjHAABhIpM
un coup d’pompe dans l’cul a fons et tout devrait être ok..sur une comète a des myard de km c’est plus de boulot
s’élever
pratiquer l’ellipse jusqu’à l’os
ça m’a rappelé les nos a moelle de ma jeunesse..je regardais ma mère au travers et je méditais
Rien à voir avec l’Athénée-Louis Jouvet, Fons.
Théâtre des Mathurins
36, rue des Mathurins
Tél. : 09 61 67 98 73
Métro : Havre-Caumartin ou RER : Auber
Le Théâtre des Mathurins, baptisé ainsi seulement en 1912, a pour origine une salle de concert élevée à cet emplacement à la fin du 19e siècle.
En novembre 1900, Marguerite Deval et Gabrielle Dorziat y créèrent La Petite femme de Luth, un opéra burlesque de Tristan Bernard.
En avril 1902, la salle de la rue des Mathurins présenta Le Page, une bluette en un acte du jeune Sacha Guitry, alors âgé de 17 ans.
Une «pure stupidité», ainsi qu’il l’avouera, avant d’y faire ses véritables débuts d’auteur dramatique trois ans plus tard avec sa première pièce : Nono, une comédie en trois actes, qu’il revint jouer pour la dernière fois aux Mathurins en 1920.
En 1922, le théâtre fut entièrement réaménagé par l’architecte Charles Siclis, dans le style Art déco dont témoigne toujours la façade, tandis que l’intérieur de l’édifice et la salle d’un peu moins de 400 places ont été sensiblement modifié au fil du temps.
Entre 1927 et 1939, Georges et Ludmilla Pitoëff infléchirent fortement la programmation en présentant aux Mathurins des œuvres de George Bernard Shaw, Ferdinand Bruckner, Steve Passeur, Jean Anouilh, Tchékhov ou Ibsen.
Non moins ambitieux, Marcel Herrand et Jean Marchat, qui leur succédèrent jusqu’en 1953, y montèrent Le Malentendu d’Albert Camus, Mort sans sépulture de Jean-Paul Sartre, Haute surveillance de Jean Genêt, tandis que l’on vit défiler sur la scène Michel Auclair, Gérard Philipe et Tania Bachalova.
Par la suite, sous la direction de Madame Harry Baur, le théâtre conserva sa spécificité avec des créations et reprises de pièces de qualité comme La vie que je t’ai donnée de Luigi Pirandello, Le Square de Marguerite Duras ou Soudain l’été dernier de Tennessee Williams.
En 1976, sous la direction de Jean-François Prévand, Pierre Arditi et Jean-Luc Moreau y interprétèrent Rosencrantz et Guildenstern sont morts de Tom Stoppard. A cette époque, des œuvres de François Billetdoux, Fernando Arrabal, Bertolt Brecht, Curzio Malaparte, Louis-Ferdinand Céline, Tchékhov, Shakespeare ou encore Sophocle furent à l’affiche des Mathurins.
En 1981, Henri de Menthon, placé à la tête du théâtre, poursuivit dans la même voie en présentant au public, entre autres : Pétition de Vaclav Havel, dans une mise en scène de Stefan Meldegg ; Le Bonheur à Romorantin de Jean-Claude Brisville , avec Caroline Cellier ; La Femme Assise de Copi, avec Marilu Marini, dans une mise en scène d’Alfredo Arias ou encore Les Palmes de Monsieur Schutz de Jean Noël Fenwick, considérable succès couronné par un Molière en 1989 et joué plus de 1000 fois .
Durant cette période, Henri de Menthon y fit aménager en sous-sol une salle de cent places avec un foyer-bar.
Après quatre ans de fermeture et plusieurs directeurs successifs, dont Jean-Louis Livi et Bernard Murat de 2002 à 2005, le Théâtre des Mathurins a été repris en 2011 par Louis-Michel Colla, également propriétaire du Théâtre de la Gaîté-Montparnasse, qui y a présenté récemment l’adaptation théâtrale de Lettre d’une inconnue de Stefan Zweig, avec Sarah Biasini, la fille de Romy Schneider.
Protestation pour une modération: Rendez-nous Clara Haskil, please.
Il y aura toujours des gens pour tenter de reculer les bornes du masochisme
le plaisir et la douleur ne peuvent se reposer sur eux même jean marron sinon ils tombent..c’est comme le vélo électrique sans selle..clément a rosset a écrit de belle page la dessus..demande a dracul
Klein Bijou 10:28
j’allais oublier, vous aussi ils n’avaient pas entendu parler et ils n’ont répondu que « Wau, Wau, Klein Bijou! », et je n’ai même pas risqué de de demander s’ils avaient lu des traductions bien connues.
now I definitely have to run and go for the cleaning up.
Lavande dit: 13 novembre 2014 à 9 h 33 min
la vitalité du blog.
Lavande, infirmière chef à l’Hopital Quisefour Delacharité
merci Barozzi pour votre 10:32
je viens seulement de le voir après avoir répondu à Klein Bijou.
Je vais imprimer et y revenir plus tard dans la journée ou demain.
10 h 09 : le bedeau supérieur au baudet épicétou
dis donc fons.puisque t’es sur qu’on s’est connu dans une ote vie..t’es un bon coup? jme rappelle pus..sans offense attation
Pour en savoir plus et en guise de joli cadeau de Noël à la cheffe, Fons !
http://livre.fnac.com/a6012402/Jacques-Barozzi-Lieux-de-spectacles-et-vies-artistiques
le vieux débris de mots essaie de faire croire qu’il existe encore, c’est pitoyable et lamentable, hein ?
ça m’a rappelé les nos a moelle de ma jeunesse..je regardais ma mère au travers et je méditais
On ne le dira jamais assez, le Boug’,
l’os à moelle est bien plus multifonctionnel que le trou d’une serrure ..
Pfff !
bouguereau et « attation » : 73 fois depuis le début de l’année, un record
faut reconnaite que comme robot ménager keupu il est tiptop..ça doit ête de bosh
je kiffe la moelle sur une baguette grillée avec du poivre dafnoz..avec les infos d’rtl derrière..c’est ma madeleine rasée à l’os à moi..j’ai bien l’droit
boudegras dit: 13 novembre 2014 à 10 h 41 min
le vieux débris de mots essaie de faire croire qu’il existe encore, c’est pitoyable et lamentable, hein ?
Le bedeau agite son goupillon.
… Je ne vois pas pourquoi notre hôte devrait se passer d’exprimer son admiration pour la performance de l’acteur Caubère. Ce n’est pas parce que ce dernier a aligné les plus tristes et grossiers arguments contre la pénalisation des clients des prostituées (moi je suis, bien évidemment, partisane du néo-abolitionnisme en la matière) que cela lui enlève du talent… Parce que, sinon, ouvrez grand la poubelle, va y avoir du monde, et des maîtres, et des génies mêmes, qui vont devoir être jetés dedans.
Moi je me demande souvent pourquoi on tend si facilement le micro aux « people », sur des sujets dont ils n’ont en aucun cas la maîtrise. Je suis sûre qu’un Depardieu aurait un discours pertinent, intelligent, documenté, sur le métier d’acteur ou celui de vigneron. Pourquoi alors lui demander ses opinions politiques ou autres ? Il n’aura, sur ces sujets-là, que la même valeur que n’importe qui, c’est-à-dire beaucoup de risques de ne dire que des conneries… Comme Jc, quoi…
Caubère et quelques autres revendiquent leur position de « clients » de prostituées qui seraient « épanouies » dans leur « travail ». C’est commode… Mais je m’en fous, moi, de son opinion sur ce sujet. Qu’il me parle plutôt du maquillage de scène, des techniques de mémorisation de textes et de l’alchimie de l’émotion théâtrale… Pour le reste, c’est juste quelqu’un que je ne fréquenterais pas, même si l’occasion m’en était donnée, voilà tout !
« avec les infos d’rtl derrière.. »
Moelle bucale avec zob anal, le boug ?
Pour le reste, c’est juste quelqu’un que je ne fréquenterais pas, même si l’occasion m’en était donnée, voilà tout !
le voilà prévenu l’arsouille..t’es trop cher pour lui
faut reconnaître que comme casse-couilles, bouguereau il en tâte un max
Moelle bucale avec zob anal, le boug ?
que clopine te fréquente baroz me laisse perplesque
keupu favori dit: 13 novembre 2014 à 10 h 51 min
..sais pus quoi inventer pour prouver qu’il en a
Clopine ne fréquente pas : elle n’a que des faire-valoir de sa petite personne
Clopine, Passou a bien le droit d’admirer Caubère, mais tout ce qui est excessif est nul, non ?
« Rire moliéresque, finesse de marivaudage, tragique russe, hénaurmité rabelaisienne, humour bouffon, ridicule de la farce, et le tout fait un excellent auteur dont la voix est unique dans le spectacle français, aussi pétaradante qu’étincelante. (…) Le résultat, étourdissant, donne l’impression de lire une version actualisée d’A la recherche du temps perdu adaptée en bande dessinée par Louis-Ferdinand Céline. »
Pourquoi alors lui demander ses opinions politiques ou autres ? Il n’aura, sur ces sujets-là, que la même valeur que n’importe qui, c’est-à-dire beaucoup de risques de ne dire que des conneries…
ON SE TUE A TE LE DIRE, CLOCHONNE!
Tu dis que des conneries et après tu viens couiner que tu as encore eu que des mauvaises notes.
Plus que la performance d’acteur, c’est également l’auteur dramatique que célèbre Passou !
même si l’occasion m’en était donnée, voilà tout !
Aucun risque.
tu rabâches le boug’ tu rabâches de plus en plus t’es au bout du rouleau, faut recharger tes batteries, va faire un tour à la cave…
La surenchère dans la critique rend la critique nulle et non avenue !
Ce qui est valable aussi pour keupu contre le boug !
A la recherche du temps perdu adaptée en bande dessinée par Louis-Ferdinand Céline
3 heures pour nous dire que..c’est prende le risque de faire trop long
« (moi je suis, bien évidemment, partisane du néo-abolitionnisme en la matière)…..
Mais je m’en fous, moi, de son opinion sur ce sujet. »
Clopine
La Brayonne serait bien inspirée de s’appliquer ses principes.
Ce qui est valable aussi pour keupu contre le boug !
les lémures faut que ça grimace dans le noir baroz..
La Brayonne serait bien inspirée de s’appliquer ses principes
on lui demande pas où..ça neunous regarde pas
Jacques, notre hôte ne rigole peut-être pas tous les jours, d’où une admiration fondée en partie sur la reconnaissance ? Ca ne vous est jamais arrivé, à vous, d’admirer quelqu’un ou quelque chose pour des raisons qui n’avaient pas tout à voir avec la nature de l’objet de votre admiration, mais bien plutôt avec des circonstances qui vous étaient individuelles ?
Ce mécanisme, Proust l’a parfaitement compris, évidemment. Le ravissement éperdu que Swann éprouve pour la petite phrase de Vinteuil repose sur son amour d’Odette. Alors, allez savoir ! Peut-être que Passou, ce soir-là où il est allé voir Caubère, était disponible à l’acteur, particulièrement sensible, pour des raisons inconnues de nous (la présence d’une jolie voisine, un verre de fragolino particulièrement excellent et bu juste avant le commencement du spectacle, une accointance physique entre l’acteur et un instituteur d’enfance, bien aimé, ou encore sa ressemblance avec le boucher qui a fourni un superbe gigot la semaine d’avant à la famille Assouline, que sais-je ?) Et puis voilà, le tour est joué : l’admiration pour la virtuosité réelle de l’artiste gonfle et enfle, sous le sentiment personnel d’une félicité dont les ressorts nous échappent !
La performance sans transcendance n’est que ruine du spectacle !
Passou est un enthousiaste du théâtre. Il a sûrement vu la pièce de BHL, « Hôtel Europe » (Hôtel de Sarajevo construit à l’époque austro-hongroise), mais n’a pas dû grimper aux rideaux comme avec Caubère.
Clopine, il est préférable de légaliser la prostitution, ce qui permet à la police de la contrôler. Quant à la pénalisation des clients ou clientes (oui, les femmes vont elles aussi aux putes ou aux gigolos) c’est un peu ridicule, les activités se passent en passant par internet et des petites annonces. Il serait préférable de s’attaquer aux réseaux de proxénètes qui importent les prostitué/es, mais là, c’est comme la drogue, il ne faut pas oublier les gens (police etc…) qui touchent au passage pour fermer les yeux.
Rendre la prostitution illégale, c’est refaire la prohibition américaine des années 20 et 30. John Kenney senior gagna beaucoup d’argent en investissant dans les bordels et les boites de nuit.
Clopine, il est impossible de supprimer l’envie du sexe, alors mettez votre morale hypocrite aux orties.
À Singapore la prostitution est légale, par contre la drogue est punissable de la peine de mort. Est-il possible de se procurer de la drogue à Gaylang, le quartier chaud de la ville ? Je n’en sait rien, par contre j’ai déjà senti des fumets de haschich se dégager de jeunes sortant des boites de nuit et fumant en pleine rue.
Le duo des cimetières s’en donne à coeur joie.
Oui, Clopine, mais pour un critique c’est une faute professionnelle, voyez ce pauvre JC qui, sur les conseils de Passou, a acheté le Reinhardt !
sous le sentiment personnel d’une félicité dont les ressorts nous échappent !
..en somme faut aller voir le pestacle avec une pute..ce que j’ai préféré dans le pesctacle c’est la pipe..
Quelqu’une nous a rappelé récemment, Clopine, que la prostitution est le plus vieux métier du monde, le sien venant juste après…
tandis que l’intérieur de l’édifice et la salle d’un peu moins de 400 places ont été sensiblement modifié au fil du temps. (Jacques Barozzi)
Rénover et moderniser une salle de cinéma, on s’en fout un peu, et même c’est généralement souhaitable, compte tenu des progrès techniques, mais dans le cas d’une salle de théâtre l’opération est beaucoup plus risquée. Non seulement parce que le rapport salle/scène risque de s’en trouver définitivement modifié, pas forcément, après tout, en mieux, mais le problème vraiment délicat, c’est celui que pose l’espace scénique, dans ses trois dimensions, surtout quand il s’agit d’une scène prestigieuse comme celle des Mathurins ou de nombre d’autres scènes parisiennes ou de province. Modifier, jusqu’à le transformer complètement, un espace où ont évolué un Jouvet, un Vilar et tant d’autres, un espace encore hanté (et sans doute plus qu’on ne croit, ce n’est pas une simple métaphore, c’est une réalité physique,sur laquelle Lavande pourrait nous éclairer) de leur présence, de la présence devenue invisible mais néanmoins réelle d’une mise en scène de Strehler, par exemple, cela relève d’une action toujours sacrilège, et d’autant plus sacrilège qu’elle est irrémédiable. Je me figure que parmi les acteurs qui jouent aujourd’hui sur de telles scènes, certains doivent percevoir autour d’eux ces multiples présences invisibles. D’ailleurs, une fois le rideau refermé, et le plateau déserté par les comédiens, dans les lumières pas encore éteintes, leur présence physique est encore, de longues minutes, décelable.
ma parole jean marron..c’est comme dans ton chalet bien que déserté..la présence !
Cette même personne, commentatrice échaudée de la RDL, qui ne commente plus depuis trois ans, nous a dit aussi à Clopine et moi au Wepler qu’elle venait toujours lire régulièrement le blog, précisant : « Je saute la note d’Assouline, trop convenue, je lis les commentaires et je me marre ! »
la prostitution est le plus vieux métier du monde, le sien venant juste après…
y’a même des maquereaux ici..ma mère de ma mère!
.la présence !
La fumée des pipes.
partisane du néo-abolitionnisme
de l’assurance obséquieuse ? (rires)
bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 11 h 13 min
..en somme faut aller voir le pestacle avec une pute..
Non content d’être un tenia, c’est un micheton… Quel programme…
commentatrice échaudée
j’aime beaucoup..elle qu’avait se mettre à l’aise..jean marron se srait pas formalisé
il grimace bien tu trouves pas baroz..il fait peur aux enfants..ils lui jettent des cailloux..tout ça c’est bonnasse
bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 11 h 25 min
le tenia ressort de son antre et fait un gros sourire à barozzi… Besoin de renfort, chose molle?
Certes Bouguereau rabâche, mais vous en oubliez, comme Clopine ou TKT ou vous même.
TKT, voici un article sérieux, documenté, sur le sujet :
http://fatimabenomar.wordpress.com/2011/04/07/prostitution-ou-pas-prostitution/
Evidemment, ça demande l’effort de le lire jusqu’au bout…
Jacques, oui, c’était d’ailleurs aussi exceptionnel que la personne en question ! Ce qui m’a fait sourire quand elle a dit cela, c’est qu’innocemment, elle contredisait notre hôte, qui nous affirme souvent que c’est l’inverse qui est de mise : des internautes venant lire son billet et se détournant des commentaires…
Cependant, venir ici juste pour les commentaires, ça me sidère un peu. Passe encore pour les argumentés, voire les érudits… Mais se taper les éructation et borborygmes quotidiens des piliers trollesques ? Surtout quand on a été soi-même victime de telles pratiques, et que, du coup, on n’intervient même plus ?
… Cette histoire montre surtout, à mon sens, la déliquescence de ce blog ; plus que me réjouir d’une telle anecdote (après tout, je fais sans doute partie des raisons pour lesquelles des personnes comme notre mystérieuse amie fréquentent les commentaires du blog), je déplore le silence des victimes, surtout.
houhou..c’est l’train fantome..les esquelettes verts..intermittent à plein temps rien que pour moi..continue surtout
c’est jeudi, keupu favori ! dit: 13 novembre 2014 à 11 h 29 min
Ligne de défense…merdeuse… défense de ténia…
bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 11 h 30 min
la vieille chose ténieuse est très vecsée mais fait semblant que ça y plaise… en pendant sur le pot…
Mère Pine dit: 13 novembre 2014 à 11 h 09 mn
Et puis voilà, le tour est joué : l’admiration pour la virtuosité réelle de l’artiste gonfle et enfle, sous le sentiment personnel d’une félicité dont les ressorts nous échappent !
Bientôt un prochain oukase dont vous avez le secret (ou plutôt le décret) prônant l’abolition du théâtre qui fait bander l’esprit des vilains messieurs, la mère ?
Evidemment, ça demande l’effort de le lire jusqu’au bout…
en suède il pense sérieusement a revenir en arrière..c’est un échec cuisant..ça demande un effort de pas faire dans la caricature clopine..
pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 11 h 27 min
Le bedeau qui change de pseudo reste un bedeau.
Goupillon oblige.
« que clopine te fréquente baroz me laisse perplesque »
Parce qu’il m’arrive parfois de servir le jambon à l’os cru mais toujours avec délicatesse, le boug ?
Clopine : je déplore le silence des victimes, surtout
Au folle ! au folle !
Le chaloux qui passe dit: 13 novembre 2014 à 11 h 34 min
Humour nul d’un nul…
« je déplore le silence des victimes, surtout. »
Victimes pas si innocentes, Clopine, qui préfèrent rire au dépend des autres que soi ?
Parce qu’il m’arrive parfois de servir le jambon à l’os cru mais toujours avec délicatesse, le boug ?
t’en as trop dit ou pas assez baroz..mais chut.. ‘commentatrice échaudée’..je note..trop bien
je déplore le silence des victimes, surtout.
« Le cri déchirant de la truie », à paraître chez Toutenfonte Editions, collection Alouette.
« L’âne m’habite » par Sœur Marie du Bocage, Editions du Trou, 2014
Personne n’a trouvé quel était le second plus vieux métier du monde ?
J’ai aussitôt demandé un rendez-vous professionnel et depuis, silence radio !
Jacques, je sais bien que pour certains, le monde virtuel ne peut causer de dommages, « n’existant pas », et donc personne ne peut en être réellement victime.
C’est une opinion.
Elle est immédiatement contredite par la bonne vieille réalité. Chez les ados notamment, des dégâts psychologiques importants, allant jusqu’au suicide, ont été la conséquence de harcèlements virtuels.
Vous allez me dire qu’il s’agit seulement d’adolescents ?
Je suis bien persuadée que non. Qu’on le reconnaisse ou qu’on le nie, la disparition du minimum de courtoisie qui existe dans les relations humaines réelles, au profit d’une violence virtuelle inouïe, atteint forcément toutes sortes de profils psychologiques. Qui ont bien le droit d’exister aussi, diantre !
bébé ?
Un adolescent qui se suicide pour une « attaque virtuelle », c’est un handicapé de moins à nourrir.
Jacques, un peu de patience : votre silence-radio est celui des étoiles, en fait. Pour que ces dernières se mettent à parler, songez au voyage qu’elles doivent entreprendre !
Moi aussi j’attends, puisque, mécréante là comme ailleurs, je « n’y crois pas », mais ai cependant demandé à ce que le thème de ce blog soit établi… Le thème astral d’un blog, voilà une idée qui me semble fort plaisante. Verrons-nous l’ombre du Verseau envahir, au second décan, l’avenir du blog-à-Passou ?
Un thème astral pour un espace virtuel… Le jour où Rosetta a rempli sa mission… Nous voici au bord de l’infini !!!
Le thème de la cruauté et de la fragilité adolescentes, et pas seulement virtuelle, c’est le sujet du dernier film chroniqué par Sophie Avon, Clopine.
http://larepubliqueducinema.com/respire-fond/
radio keupu, sublime invention du sieur bouguereau, est heureuse de vous annoncer que nous mettons au point (aux poings aussi) un observatoire des redites et rabâchages des sornettes et autres grossièretés d’icelui, que nous nous ferons un plaisir de relever et de vous communiquer ainsi que les propos racistes à répétition du microbe zemmourien JC.
signé : tous les keupus de ce blog
(inutile de crier à la délation, nous assumons)
radio keupu dit: 13 novembre 2014 à 11 h 59 min
Les redites du bedeau : 1
Le chaloux qui passe dit: 13 novembre 2014 à 12 h 02 min
Redite de moule sans esprit.
l’observatoire dit: 13 novembre 2014 à 12 h 04 min
JC : 1 (négroïde)
Comme pas JC,
observatoire pas savoir compter.
« Rénover et moderniser une salle de cinéma, on s’en fout un peu, et même c’est généralement souhaitable, compte tenu des progrès techniques, mais dans le cas d’une salle de théâtre l’opération est beaucoup plus risquée. »
La centaine de salles de spectacle parisiens : théâtres, opéras, salles de concerts, cinémas, music-halls… répertoriées dans mon livre n’a cessé au cours du temps d’être toutes rénovées, Azerty. Et ainsi que j’ai pu le constater, beaucoup d’entre elles y ont perdu leur âme, hélas !
pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 12 h 06 min
Redite de moule
Comparaison typiquement chalouesque.
Le chaloux qui passe dit: 13 novembre 2014 à 12
Comparaison typiquement chalouesque.
Il voulait dire « constat ».
C’est corrigé.
Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 12 h 08 min
répertoriées dans mon livre
Vous voyez bien Lavande que ce blog n’est pas un blog « littéraire ».
Comparer une moule avec une moule? Pour quoi faire? Il n’y avait ni image ni comparaison. Une moule est une moule.
j’aimerais bien ce guide des salles de spectacle, parce que j’ai une petite idée. A priori j’irais bien en voir quelques unes un peu originales, le palais garnier j’ai déjà été, les bouffes du nord çà ressemble à quoi ?
Le plus amusant, ainsi que l’on peut le découvrir à travers les rubriques historiques de mon livre, c’est la transformation opérée souvent pour une même salle. Beaucoup de ces lieux ont été, tour à tour, selon les tendances de l’époque, d’abord un caf’cons, puis un théâtre, un cinéma, un cinéma porno, de nouveau un théâtre pour one man shows ou une scène de musique du monde !
On entend pus bouguereau le ténia.
L’est rentré dans son « domicile »?
pour Chantal
Théâtre des Bouffes du Nord
37bis, boulevard de la Chapelle
Tél. : 01 46 07 34 50
Métro : La Chapelle
Caché dans la cour commune aux trois immeubles formant l’angle à pan cassé de la rue du Faubourg-Saint-Denis et du boulevard de La Chapelle, le théâtre des Bouffes du Nord, a été construit en 1876 par l’architecte Louis-Marie Emile Leménil, « sur les fondations abandonnées d’un bâtiment qui devait être une caserne ».
Excentré dans un quartier populaire, alors en lisière des champs et des voies de chemin de fer de la gare du Nord, il eut bien du mal, malgré son nom évoquant les célèbres Bouffes-Parisiens d’Offenbach, à trouver son public.
Entre 1877 et 1885, il vit défiler pas moins de quatorze directeurs.
En 1882, l’anarchiste Louise Michel, tenta vainement d’attirer les « Marlous » et les « Gigolettes » en y faisant jouer une pièce révolutionnaire Nadine.
En 1885, Yvette Guilbert y fit ses débuts dans La Reine Margot d’Alexandre Dumas.
En 1893 et 1894, la compagnie du Théâtre de l’Œuvre dirigée par Aurélien Lugné-Poë y monta huit spectacles dont plusieurs pièces d’Ibsen.
En 1904, il fut rebaptisé Théâtre Molière. Gaston Leroux y présenta une adaptation de son Chéri-Bibi et Aristide Bruant y interpréta sa propre pièce, Fleur de Pavé.
En 1917, déjà propriétaires de plusieurs scènes de variétés, Oscar Dufrenne et Henry Varna rachetèrent les Bouffes du Nord qu’ils transformèrent en music-hall.
Après la Seconde Guerre mondiale, le metteur en scène Jean Serge en prit la direction et le renomma Théâtre des Carrefours. Période durant laquelle le public parisien put y assister à la création des Bouches inutiles de Simone de Beauvoir, avec Michel Vitold.
Enfin, en juin 1952, le théâtre, qui ne répondait plus aux normes de sécurité, fut contraint par la Préfecture de Police de fermer ses portes.
Après vingt-deux ans d’oubli, la salle fut redécouverte en 1974 par Micheline Rozan et Peter Brook. Sous leur double impulsion, il put renaître de ses cendres, retrouvant son nom de Théâtre des Bouffes du Nord et conservant son aspect d’origine. C’est ainsi que le 15 octobre 1974, il rouvrit avec une mémorable adaptation du Timon d’ Athènes, mise en scène par Peter Brook.
Resté sous la fructueuse direction de ce dernier, qui la transmise en 2010 à Olivier Mantéi et Olivier Poubelle, le théâtre des Bouffes du Nord a été inscrit Monument historique en avril 1993.
Entre le parterre, le rang de loges et la galerie, il totalise environ 500 places et s’est enrichi de surcroît d’un bar à vin et d’une librairie.
pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 12 h 19 min
On entend pus bouguereau le ténia.
C’est vrai! pendouille pus sur la RDL!
pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 12 h 19 min
Les redites du bedeau : 2
Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 11 h 20 min
Cette même personne, commentatrice échaudée de la RDL, qui ne commente plus depuis trois ans
Euh ..
Quel était le pseudo de l’effarouchée, Jacounet ?
(hm .. ?)
Mais… qu’est-ce la critique? si on se tient au grec κρὶνω, c’est “distinguer”, ce qui implique “décerner”, “dégager”, “identifier”, “reconnaitre”. Inutile de rappeler qu’envers et contre les illusions produites par l’approche pseudo-scientifique en vogue au XXe siècle, la subjectivité joue encore le premier rôle dans l’exercice : on distingue subjectivement car dans les arts, même l’objectif de l’appareil photographique n’est pas objectif.
Malheureusement, la critique normative chère aux philologues du quattrocento, sévit encore chez les esprits faibles ou tourmentés par l’idée qu’il doit exister quelque part quelque chose comme une règle absolue ; quelque chose de physique pour certains, de mathématique pour d’autres, en vertu duquel “quelque chose” on pourrait établir avec certitude (mot qui renvoie à la religion) des valeurs sûres.
Or, le fait que la critique normative est ou fut valable pour la philologie ne joue pas pour la critique des arts puisque n’importe quel crétin sait que la critique vient après l’œuvre. Donc, en admettant que le critique dise du bien d’un ouvrage, avant de mettre main au portemonnaie, on fait un petit contrôle car les goûts parfois diffèrent. En cas de déception, faute de contrôle, le critique n’est pas responsable de l’argent mal dépensé.
Et si ma manière de faire de l’ironie ne vous plait pas, tant pis.
merci Jacques Barozzi, c’est un endroit qui en a vu de toutes les couleurs, j’aime beaucoup.
Daaphnée dit: 13 novembre 2014 à 12 h 23 min
Quel était le pseudo de l’effarouchée, Jacounet
Ah non !
Pipilet, mais avec principes.
Vrai ! pas keupu dit: 13 novembre 2014 à 12 h 19 min
Les redites du bedeau : 3
Et le diable Cauvert, Jacques Barozzi?
500 places aux Bouffes du Nord ? T’es sûr, Baroz ?
(Ou alors en louant toutes les corbeilles, peut-être, mais ça n’arrive jamais et, de toute façon, on voit rien de là-haut.)
Le chaloux qui passe dit: 13 novembre 2014 à 12 h 21 min
Délation, j’écris ton nom.
bouguereau le ténia a l’air d’avoir vraiment « décroché ».
Où qu’est tombé?
Chère Daaphnée, je suis comme vous, j’aimerais beaucoup savoir comment se faisait appeler cette mysérieuse commentatrice.
Notre ami Jacques nous répondra-t-il ?
Le suspens est intenable.
Le livre de Jacques sur les salles de spectacle est rudement bien, Chantal. Surtout, quand vous l’aurez acquis, laissez-le en évidence : les amis qui passent et qui le feuillettent y trouvent matière à souvenirs. Enfin, pour les miens, ça a marché comme ça : on a tous évoqué nos souvenirs (Brassens à Bobino, etc.) et tenté de raccrocher chaque salle au souvenir de ce qu’on y avait vu et écouté. C’était vraiment sympa (et le bouquin est carrément luxueux ! Du grand Barozzi…)
Charlotte a bien le droit de se désintéresser de la République du théâtre, elle a autre chose à faire, etc., soit.
Mais pourquoi ne pas ouvrir son espace à d’autres chroniqueurs ? Il y a bien déjà le coin du critique SDF. Ça mettrait un peu d’animation.
Un billet tous les quatre mois, alors qu’il y a 400 théâtres à Paris, c’est triste.
Belle pub, Clopine. Mais c’est de l’honnête. Que serait Paris sans les salles de spectacles
« Le suspens est intenable. »
Fallait venir à la sortie cimetière Montmartre-café Wepler, vous étiez tous cordialement invités, tant pis pour vous !
Et il n’y aura pas de prochaine fois !
Patience Ferdinand, il y a tout un car de spectateurs encore perdu dans le cyber espace , ils sont en train de se bouffer le nez… Ils n’ont deja plus d’oreille.
vous étiez tous cordialement invités, tant pis pour vous ! (Barozzi)
J’ai failli venir, Jacques. Mon camarade JC m’en a dissuadé. Il se méfie de Clopin.
j’ai été pour ma part ramasser des poires au jardin et découpé du potiron pour l’hiver, puis écouter un ami qui vient de publier son premier roman au mercure, les tickets thalys je suis sur une liste pour racheter des billets et ce jour – là il n’y avait pas d’offre.
vous étiez tous cordialement invités, tant pis pour vous ! (Barozzi)
pépèpe baroz..te souviens tu de ‘pas si bougro y est’de clopine..mes absence sont héroique baroz..grace à moi t’as de la pub gratos et tu renvoyer lascenseur sans que je sois obligé de te moquer (trop)
Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 12 h 52 min
Dommage, j’adorerais faire connaissance avec vous, Judith et Clopine!
Pour les amis et commentateurs bienveillants, comme toi, Chantal, je serai toujours disponible pour une promenade parisienne.
Judith est vive, mince, cultivée, enjouée et particulièrement séduisante, Chaloux !
le lémure s’est défilé fissa
Clopine était même prête à rencontrer Daaphnée ou JC, le boug, c’est dire !
« bouguereau le ténia a l’air d’avoir vraiment « décroché ». / Où qu’est tombé? »
Ce pauvre homme ne peut même pas déjeuner en paix… que ses admirateurs le réclament… d’un autre côté, ça lui apprendra que jouer la star de blog, faire dans l’excentrique à tout prix, peut se payer cher… et « obsessivement »… « suivi »…
Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 12 h 52 min
Et il n’y aura pas de prochaine fois !
Est-ce un aveu qu’ici vous ne faites que… ? Non rien…
bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 13 h 07 min
le lémure s’est défilé fissa
Et bouguereau le ténia, où qu’était… et où qu’y donne rendez-vous, le gros ver? chez les autres… A beau se moquer…
ça lui apprendra que jouer la star de blog
les stars sont incorrigibe rénateau..moi j’apprends encore des trucs
mais ça srait accepter que je sois pas mac et me donner rencart dans une salle de mma..trop dur..trop fort..lémure c’est une vocation au finiche
renato dit: 13 novembre 2014 à 13 h 09 min
Mais comme les « non-obsessifs » sautent immédiatement sur l’occasion…et ben oui…on se demande…
T’aurais vu le cortège au cimitière!
La grosse en vert devant, flanquée de deux freluquets et d’une vieille tata et derrière les deux mamies à petits pas. Il ne manquait que le corbillard!
bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 13 h 18 min
..lémure c’est une vocation au finiche
c’est comme ténia, au finiche, -le ténia foireux qui serAIT le plus fort…Suffit d’y croire… pas vrai?…
Tellement cousu de fil merdeux, ce bouguereau…
Clopine Trouillefou dit: 13 novembre 2014 à 11 h 09 min
Vous nous expliquez que, sous l’effet de l’humeur, d’un verre de vin ou d’autre chose, par eemple d’une voisine au profil agréable,son coude touchant le sien, Pierre assouline aurait dit n’importe quoi sur Caubère d’exalté.e là, c’est tres tres fort.. on voit bien que vous ne connaissez pas assouline, ça se voit…ce n’est pas une girouette.. là, vous faites tres fort..vous êtes en pleine forme.. j’attends la suite..
« et ben oui…on se demande… »
Déjà « immédiatement » ne me semble pas un mot approprié dans cet environnement. Et puis, qu’est-ce que vous vous demandez, au juste ?
C’était encore de l’humour, Paul, perdu !
chuuut paul edel, clopine se prend pour assouline, c’est de la projection..
bientôt elle le vera en obélix dévorant un marcassin avec les dents au fond d’une hutte, et le bougre ira de son commentaire sur sa vie sexuelle avec god ceinture .. swat.
je retourne colorier mon plafond, et ne manquerai pas un prochain rdv voilà, sapience malivole m’a écrit un mot cet été, elle va bien, malgré ce que l’on sait sur les rigueurs d’Athènes.
Je prends le train en marche, et j’ai des surprises :
Je croyais être en accord avec John sur le travail des comédiens et sur une « autre vie » au théâtre. Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire de « présence » ? Ou « l’âme » d’une salle historique ? J’aime bien la ruine des Bouffes du Nord, mais je sais bien aussi qu’il y a un gril technique dans les cintres, et d’aborde un plateau.
Avec tout le respect que j’ai pour eux, ça me fait comme la cocuë aux canes que Molière, Jouvet, Vilar, Strehler… rôdent en ces lieux. C’est le dispositif qui m’intéresse, quel qu’il soit, frontal, latéral, bi-latéral, en rond, s’arrangeant d’une salle à l’italienne avec loges, etc.
Et zut au rideau fermé (sauf dans les cas de transparence) qui me dévoilerait la surprise d’un « décor » ! Je me demande ce qui va se passer là-dedans, et voilà tout. Dans le cas des tournettes, j’aimerais bien qu’on me les montre AVANT, etc.
Vivent enfin les rénovations, nom de dieu !
d’abord…
Paul Edel, enfin ! « Sous l’influence du gigot du boucher », aussi, vous l’oubliez ce dernier. Il est de notoritété publique qu’un bon boucher, (trois côtelettes et avec ça ?)ça vous prédispose un critique, est-ce vraiment à vous que l’on doit expliquer ça ? (allez, un bon mouvement, là – souriez largement, je vous le demande, tant vos commentaires exaspérés m’interloquent : mais que vous ai-je donc fait ?)
encore disparu, le bouguereau!
bouguereau, le seul ténia qui aille se réfugier entre ses propres fesses…
Chantal, pourriez-vous soumettre à Sapience Malivole mes meilleurs souhaits pour elle ? Elle a brièvement illuminé la RDL de sa présence, et puis, ffrrrttt, elle est partie… Depuis, il fait un peu plus sombre, ici…
Depuis, il fait un peu plus sombre, ici…
justement ce que se disait bouguereau, à l’instant…
Je n’ai pas une sympathie particulière pour Bouguereau mais les anti-Bouguereau, qu’est-ce qu’ils sont gonflants!
Barozzi dit : //Cette même personne, commentatrice échaudée de la RDL, qui ne commente plus depuis trois ans, nous a dit aussi à Clopine et moi au Wepler qu’elle venait toujours lire régulièrement le blog, précisant : « Je saute la note d’Assouline, trop convenue, je lis les commentaires et je me marre ! »
Alors moi, c’est le plus souvent l’inverse. Je lis la note d’Assouline, et je pleure de rage en lisant les commentaires. Rage contre moi d’avoir encore perdu mon temps à chercher un texte intelligent (il y en a ) parmi dix inepties de gens qui ont un point commun : être contents d’eux-mêmes,et parti en chandelle dès qu’on leur en fait reproche.
(Je ne parle pas pour vous, Barozzi, qui arrivez à être du 1/10°)
Lavande dit: 13 novembre 2014 à 13 h 50 min
Prenez un peu de charbon, pas près de s’arrêter…
mais que vous ai-je donc fait ?)Clopine
Rien apparemment, c’est cela le pire.
Chantal, bisou avec le beau soleil 😉
Lavande, vous n’ êtes pas la seule que « ça gonfle », croyez-moi.
( Les keupu, pas keupu, encore keupu et j’ en passe, ouarff!)
La vieille cour se réveille… Très amusant…
Ce qui est fort sympathique, ce sont les pseudos qui « collent » en réponse au(x) commentaires précédents, ce que fait bouguereau, il relève, salaça, les jupes de tous les commentaires, ça peut être chiant mais aussi marrant.
Pas comme les keupu ratiocineurs en diable.
est-ce qu’on peut le tremper dans un verre d’eau?
salace…
( Pas de salade, hein.)
Ah et puis, Chantal, si vous en avez le temps, le loisir et le goût bien sûr, vous seriez gentille de m’expliquer bien calmement en quoi, exactement, je me « prends pour Assouline » ? Est-ce parce qu’il m’est arrivé (comme à tout le monde…) d’apprécier un jour un film (c’était « la couleur pourpre ») qui n’était pas si terrible que cela, mais les circonstances dans lesquelles je l’ai vu me l’ont fait à tout jamais marquer d’une pierre blanche. Ca marche aussi pour les musiques, notez – combien de « rengaines » provoquent chez nous une amitié particulière, non à cause de leur intérêt mais à cause de leur saveur de madeleine ?
(et bien entendu, s’il faut mettre les points sur les i jusque là, un critique digne de ce nom se dégage justement de ces contingences, ah là là…soupir. C’est lourd, d’être léger, par ici.. Et mon poids – 69 kilos, pas 80 !) n’est pour rien dans l’affaire.)
erdélien lembada 1 dit: 13 novembre 2014 à 14 h 01 min
On n’est jamais mieux servi que par un con dans son genre… C’est bien connu.
mon poids – 69 kilos, pas 80 !
Décidément Clopine, vous ne faites vraiment pas votre poids en écriture…
On n’est jamais mieux servi que par un con dans son genre… C’est bien connu.pas K.
CQFD, mais quelle lourdeur.
Il commence à me … votre sens de l’humour Barozzi…. selon vous humour = porte ouverte à n’importe quel jugement expéditif sur passou ou un autre?.c’est dit par Clopine, avec une assurance de plomb..quelle dose de mépris dans le jugent de Clopine…. par exemple affirmer que si Passou a été enthousiasmé par Caubère, ça ne peut venir que de son humeur de la soirée..des élements extérieurs qui ont troublé sa faculté de juger…. aucun respect pour son texte enthousiaste.. ,aucun respect vrai pour son professionnalisme, son expérience de journaliste qui ne s ‘en laisse pas compter par n’importe quel spectacle ou n’importe quelle lecture..Une fois sur trois, je suis en désccord total avec ce qu’il dit..mais je ne mets pas en dotue son sérieux, ses inforlations, ses impressions du moment.ca s’apelle divergence de personne à pesonne.. normal.. actuellement Clopine juge de tout, avec aplomb, certitudes, rigidité ,la reine en son verger . Elle ne supporte plus la contradiction puisqu’elle a l’intelligence de droit divin…. de l’humour? là c’est vous qui plaisantez. ,dites que vous l’aimez bien et que votre promenade avec elle et sa famille entre les tombes fut sympa. chaleureuse. pleine de grâces et de compliments réciproques. c’est une raison comme une autre, l’amitié.
Caubère a vraiment pas bonne mine, comme disait la grand-mère. couperosé, soufflé, difficile à croire tout ce que passou écrit à la diable.
Chantal est poète, cela se sent, cela se voit et pas à la mode de chez nous.
mon poids – 69 kilos, pas 80 !
faut quand même prende une grande consigne a la gare..t’es la ruine du pti tueur
bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 14 h 17 min
Pour le ténia, juste une petite concession…
« la reine en son verger »
Rainer M. Rilke en est tout bouleversé Paul Edel.
ce sont les pseudos qui « collent » en réponse au(x) commentaires précédents, ce que fait bouguereau, il relève, salaça
mais non..c’est polo qui fait son bergeret
Houi enfin la madeleine ça vaut pas un bon tartare ou une handouillette AAA… Une madeleine, une madeleine, et puis quoi encore ?
Laurence de sainte lumière, ça dit quelque chose à la population ?
Sergio dit: 13 novembre 2014 à 14 h 22 min
Houi enfin la madeleine ça vaut pas un bon tartare ou une handouillette AAA
et une handouillette AAA, ça vaut pas une andouillette AAAAA.
Oh, vous savez, moi, c’est la population qui ne me dit pas grand-chose.
.mais je ne mets pas en dotue son sérieux, ses inforlations,
Avec tout le respect que j’ai pour eux, ça me fait comme la cocuë aux canes que Molière, Jouvet, Vilar, Strehler… rôdent en ces lieux. C’est le dispositif qui m’intéresse, quel qu’il soit, frontal, latéral, bi-latéral, en rond, s’arrangeant d’une salle à l’italienne avec loges, etc. (C.P.)
Mmouais … Sans doute… certes…
Mon point de vue, purement intuitif d’ailleurs, devrait trouver un commencement de validation vers le milieu du XXIIe siècle; il faudra sans doute qu’au préalable ait été résolu le problème de la compatibilité entre physique quantique et relativité. Il est possible que la récente découverte du boson de Higgs fasse avancer les choses dans mon sens, mais je m’avance peut-être moi-même beaucoup. En tout cas j’ai la conviction qu’au niveau subatomique, il se passe, sur un plateau de théâtre, des choses dont nous n’avons pas idée. Pour le comprendre, il faudrait faire l’effort de penser autrement qu’en termes de grill et de monte-plats (avec tout le respect que je dois à Pinter).
deuxième constat de nos nombreux observants : l’inquiétude est manifeste, quelques soit-disants petits malins ont la frousse, la pétoche, les jetons, ceux qui voient des chaloux ou des bedeaux partout… notre travail porte ses fruits, bouguereau se fait minus-cule, but recherché, nous vaincrons
Eh bien le portrait peu flatteur que vous faites de moi, Paul, correspond sans doute à VOTRE vérité, mais n’allez pas me faire croire qu’il est « objectif ». Vous dois-je quelque chose ? Vous ai-je promis quelque chose ? Etes-vous tout simplement déçu par ce que vous fantasmiez sur moi ne correspond pas à la simple réalité d’une photo, postée sur clopineries ? Ai-je déjà tenté de me faire passer pour autre que ce que je suis – et n’avez-vous pas eu, parfois, recours à ma voix, ne serait-ce que pour vous faire passer l’amertume de certaines solitudes vespérales ? J’étais devenue, pour vous, une voix consolatrice, dans la nuit… Je n’aurais jamais cru devoir vous le rappeler !!!
Je pourrais presque vous accuser d’injustice, Paul – j’en suis à m’imaginer que c’est un troll qui usurpe votre pseudo, mais non, c’est bien vous, sur la bienveillance de qui j’avais pu, par le passé, tant compter !
Tenez, tout ceci me navre tant que je vais vous proposer un contrat, afin de ne pas abîme l’image qu’à mon tour, je me fais de vous, ô vous l’écrivain que je suis la première à avoir décelé ici…
Si je vous énerve tant, si vous croyez réellement que je me sens supérieure ici, à tous et en premier lieu à notre hôte, s’il vous semble que je « règne » et distribue à tort et à travers bons et mauvais points, si ma lutte anti-trollesque vous semble une simple posture injustifiée par les faits, bref, si je vous insupporte, alors : ne lisez plus mes commentaires. Voilà. Vous voyez « Clopine Trouillefou », eh bien zou, vous passez.
Ca vous demandera un effort, parce que vous estimez que je mérite une bonne leçon d’humilité ? Faites-vous une raison, et surtout dites-vous bien que les trolls auront tout loisir de vous remplacer avantageusement. Vous en sortirez grandi, et ainsi je pourrais conserver l’estime que j’ai pour vous, et la reconnaissance pour la critique aimable de mon petit livre que vous avez bien voulu poster sur votre blog, et le remerciement infini que je vous dois, enfin, pour le meilleur que vous m’ayez apporté : la découverte de la correspondance de Flaubert, que je vous dois…
il y a beaucoup de commentateurs pour lesquels nous avons le plus grand respect pour leur intelligence remarquable et remarquée
Laurence de Sainte Lumière ? Professeure d’Economie du Développement au moyen-orient, visiteuse mystère d’hôtel et de restaurant de luxe, économiste, écrivaine, le secret de son identité reste entier.
J’étais devenue, pour vous, une voix consolatrice, dans la nuit… Je n’aurais jamais cru devoir vous le rappeler !!!
Poapul ou un amour déçu étalant sa déception ? il n’y a pas si longtemps, l’aimée était « délicieuse »
l’écrivain que je suis la première à avoir décelé ici…
Elle voulait dire « desseller », à force d’être assise dessus.
vous me demanndez un contrat? pur que je ne gaerde pas ma liberté de juger? vous êtes notaire? vous plaisantez, je garde ma liberté, gardez la votre..
depuis que clopine va au cimetière avec baroz, y’a un lézard chez pauledel.
Amette n’est vraiment qu’un tout petit bonhomme. Et il se mêle d’écrire sur Voltaire…
mais non « je ne m’en fous pas ». Laurence de sainte lumière, bonne copine à passou, des débuts du prestigieux blog.
JCouille dit:13 novembre 2014 à 14 h 29 min
Laurence de Sainte Lumière ? Professeure d’Economie du Développement au moyen-orient, visiteuse mystère d’hôtel et de restaurant de luxe, économiste, écrivaine, le secret de son identité reste entier.
La personne derrière ce pseudo voulait écrire Lawrence (comme dans Lawrence of Arabia), très mauvais en anglais la Sainte Lumière accepta de se faire passer pour femme. Encore quelqu’un sûr de soi qui se prenait pour un des nombrils du monde.
Buztère Quitonne
oui, certains des textes de Clopine, sur son blog, sa « chronique familiale » sont vraiment bien.et je continuerai à dire ce que je pense en toute liberté. quelle marrade de la part de Clopine de vouloir faire « un contrat » qavec moi pour que je me taise. je sens que je vais passer pour un monstre….
Ai-je déjà tenté de me faire passer pour autre que ce que je suis
toutafé..enfin un peu d’objectivité..c’est pour ça baroz..pas de bourguereau surtout..tu comprends? vdqs..bon pléyèle bordèle
je retire tout ce que j’ai dit. J’essaie de me faire plus con que je ne suis et pourtant je le suis déjà beaucoup. Le seul grand ici, c’est Chaloux.
Paul Edel dit: 13 novembre 2014 à 14 h 38 min
je sens que je vais passer pour un monstre….
Non, juste pour un con, mais c’était déjà le cas.
« Il commence à me … votre sens de l’humour »
Paul ne nous ferait-il pas une petite dépression ?
ça passera !
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