de Pierre Assouline

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La République des livres
Diable de Caubère !

Diable de Caubère !

Mais comment fait-il ? Trois heures durant, Philippe Caubère est partout sur la scène de l’Athénée-Louis Jouvet, on ne voit et on n’entend que lui, et à la fin, il a l’élégance de ne pas paraître exténué quand les spectateurs le sont allègrement d’avoir autant savouré, souri et surtout ri sans discontinuer. Que c’est bon d’entendre des gens rire de bon cœur, d’un rire qui n’est pas le rire gras des shows télévisés ni le rire de dérision que Canal + a incrusté dans les esprits. Rire moliéresque, finesse de marivaudage, tragique russe, hénaurmité rabelaisienne, humour bouffon, ridicule de la farce, et le tout fait un excellent auteur dont la voix est unique dans le spectacle français, aussi pétaradante qu’étincelante.

Avec l’air de ne pas y toucher, à sa manière burlesque et déjantée et sans jamais se prendre au sérieux, La Danse du diable est aussi une réflexion en abîme sur le théâtre et le transmission, avec la mère comme fil rouge et personnage central. Ce pur projet de théâtre d’un seul homme n’a rien d’un one man show. C’est juste un grand comédien qui nous raconte une histoire, mais si comique qu’elle nous fait rire comme on ne sait plus le faire au théâtre, et si fantastique qu’elle nous fait rêver comme on n’ose plus le faire au théâtre. Le personnage qui remplit la scène de sa présence s’appelle Ferdinand Faure, son alter ego. Il a des fantasmes de gloire.

«Peut-on, de nos jours, parler de soi-même, de ses craintes intimes, de ses espérances, et que ce soit gai ? Peut-être que je suis fou, ou prétentieux, ou les deux à la fois. Tant pis.”

Vingt ans après avoir rempli l’Athénée-Louis Jouvet de milliers de spectateurs, tous les soirs pendant des semaines, et un an après avoir dû renoncer à le présenter à ses compatriotes marseillais, un tendon d’Achille ayant rompu les amarres lors d’une cabriole à Tarascon-sur-Ariège, et ce n’était pas que métaphorique, il remet donc ça avec son spectacle-fétiche La Danse du diable, créé en 1981 au Festival d’Avignon, premier d’une saga autobiographique mais si peu nombriliste qui sera suivi par le Roman d’un acteur et L’Homme qui danse. Autant d’œuvres qui sont désormais à voir et à écouter autant qu’à lire. L’ensemble constitue une épopée personnelle parmi les plus originales du théâtre contemporain en France.

En 1981, Philippe Caubère avait 31 ans ; or il n’hésite pas à reprendre à 64 ans un spectacle aussi physique, qui exige tant de l’intensité de la mémoire que de la tension nerveuse. On comprend qu’il le dédie au danseur Jean Babilée, immortel interprète du Jeune homme et la mort qu’il avait créé à 23 ans avant de le reprendre à 60 ans. Un modèle éblouissant pour celui qui, à ses débuts, avait pris le soleil du côté de chez Mouchkine.IMG_3110

Il est tout à tour, et parfois à quelques secondes d’intervalle, des hommes et des femmes, des Marseillais et des Aixois, Malraux l’agitateur agité, Sartre en nain globuleux, l’omniprésent général de Gaulle en héron enchanté, sans oublier le déhanché Johnny Ouliday, François Mauriac confit en méchancetés, et Jean Vilar, et Gérard Philippe et Roger Lanzac et Lucien Jeunesse, tous traités dans un irrespect étincelant. Tel est le bestiaire de Caubère : la France des années 60. Le résultat, étourdissant, donne l’impression de lire une version actualisée d’A la recherche du temps perdu adaptée en bande dessinée par Louis-Ferdinand Céline.

Caubère joue vite sans se presser. Il est rapide où d’autres se précipitent, car le temps sur scène n’a pas le droit de prendre son temps comme dans la vraie vie. Il faut condenser et comprimer, pratiquer l’ellipse jusqu’à l’os. Il réussit l’exploit d’être toujours dans l’énergie sans jamais verser dans l’hystérie, qu’il murmure, se lamente, vocifère, radote, se récrie, se confie. Il parvient même à n’en faire jamais trop tout en en faisant jours plus. Le temps est loin où l’on parlait de ce spectacle avec admiration mais en louant le phénomène en lui, le comédien marathonien, le logorrhéique inspiré, celui qui pouvait aligner ses « morceaux » sans reprendre son souffle. Car on a beau chercher, il n’y a pas le moindre excès dans cette entreprise pourtant démesurée.

C’est un grand privilège que de voir un tel comédien, l’un des rares à être véritablement un artiste total, un auteur complet, usant du verbe, de la danse, du mime, recréer son monde soir après soir. Ce qu’il raconte est né de l’improvisation, avant d’être fixé dans des livres, puis de retourner mordre la poussière des planches mais sans jamais perdre en chemin la spontanéité, la fraicheur et la vitalité de l’ invention première.

Et quel bonheur d’entendre prononcés des milliers de mots, dont on a l’impression qu’ils se rencontrent pour la première fois ainsi parfaitement articulés, et non marmonnés à voix basse en tournant le dos au quatrième mur comme ça se fait de plus en plus souvent au Français, avec ces liaisons magnifiques que l’on dirait d’un autre temps tant la radio prend à cœur de les ignorer de nos jours. Philippe Caubère, c’est une présence portée par une voix et c’est si rare…

Et pour finir, on entend sa voix mais d’outre-tombe nous murmurer que « le théâtre, c’est un peu comme les rêves, ça n’existe pas ». Ce qui est plutôt bien vu pour un homme tourmenté comme un insomniaque. Voilà, c’est jusqu’au 7 décembre et si vous n’avez pas compris qu’on y va pour se faire du bien, qu’on en ressort heureux et provisoirement réconcilié avec ses contemporains, c’est que vous êtes bouchés à l’émeri.

 (« La danse du diable » photo D.R.; « Philippe Caubère dans les airs » photo Passou)

 

 

 

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française, Théâtre.

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commentaires

1 443 Réponses pour Diable de Caubère !

Puisqu'il vient, acceptons le fou-rire... dit: à

Puisqu’il vient, acceptons le fou-rire… dit: 13 novembre 2014 à 14 h 39 min

même pour énoncer une vérité, prière de ne pas usurper (pépé).

Phil dit: à

la clopine, c’est speedy gonzales de la réplique. baroz au wepler a pu siffler ses huîtres tranquillos.

l'observatoire dit: à

14 h 38 : « pléyel bordel » : 39 fois depuis le début de l’année (service comptabilité) : radotage

Feud, not freud or friend dit: à

Oui, je suis TKT. Et alors ? Ça vous défrise ?

Clopine dit: à

14H 34 : non, pour que je puisse conserver mon estime pour vous.

C’est vous qui voyez, mais enfin, je ne vais pas me renier pour vous, Paul Edel !

bouguereau dit: à

je sens que je vais passer pour un monstre….

mais laisse parler l’homme à grosses mains calleuses qui est en toi polo..

tout finit pas se savoir dit: à

Chaloux dit: 13 novembre 2014 à 14 h 36 min
Amette n’est vraiment qu’un tout petit bonhomme.

Quel aigri, ce Chaloux. Encore plus jaloux que Widergang, le petit teigneux.

Sergio dit: à

qui vous savez dit: 13 novembre 2014 à 14 h 24 min
et une handouillette AAA, ça vaut pas une andouillette AAAAA.

C’est vrai, ça ! Je vais retourner casser le gourbi… A des prix hors de prix ! Les gaspards monumentaux…

versubtil dit: à

@en automne,
Vous ne manquez pas de culot de vous servir de mes images à des fins personnelles pour ridiculiser autrui.
Vous auriez pu adoucir votre propos ou du moins le relativiser avec cette image-ci :

http://4.bp.blogspot.com/-_busxfY3IU8/VGC0FpjIFOI/AAAAAAAACug/j9klxev9yJI/s1600/081120144052.jpg

Chantal, je vous conseille chez Robert Laffont La saga Maeght de Yoyo Maeght, formidable bouquin qui est un hymne à son grand-père mais aussi et surtout a la rencontres des artistes, à la pratique de l’ édition d’ art sous toutes ses formes et aux rencontres créatrices.
 » Tout ce qui ne me passionne pas m’ ennuie », formule de Guitry que Yoyo Maeght reprend à son compte et qui lui sert à qualifier l’ activité grand-paternelle.
A bientôt.

Le jean Michel Frodon, l’ art du cinéma chez Citadelle et Mazenod, grandiose aussi par la taille et le poids, un cadeau avant les fêtes!

pas keupu dit: à

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 14 h 44 min
je sens que je vais passer pour un monstre….

mais laisse parler l’homme à grosses mains calleuses qui est en toi polo..

Faites comme bouguereau la vraie chique parisienne…

Jacques Barozzi dit: à

C.P., je ne suis plus retourné aux Bouffes du Nord depuis le départ de Peter Brook. Oui, ce théâtre italien en ruine, caché derrière la façade d’un immeuble bourgeois, dans un quartier improbable, où j’habitais étudiant, est plein de charme. J’y ai vu Isabelle Huppert dans un délicieux Marivaux et La Tempête du grand Willy ! Un lieu encore magique aujourd’hui, pas sûr ?

J.-C. Azerty dit: à

et un Cioran pour la route, un !

 » Nul n’est responsable de ce qu’il est ni même de ce qu’il fait. Cela est évident et tout le monde en convient plus ou moins. Pourquoi alors célébrer ou dénigrer ? Parce qu’exister équivaut à évaluer, à émettre des jugements, et que l’abstention, quand elle n’est pas l’effet de l’apathie ou de la lâcheté, exige un effort que personne n’entend fournir. « 

l'amateur dit: à

Un lieu encore magique aujourd’hui, pas sûr ? (Jacques Barozzi sur les Bouffes du Nord)

Je sais que Peter Brook a voulu préserver l’aspect « ruines » de l’intérieur, et il est vrai que ça a du charme même si ça fait un peu toc, mais enfin une réfection des sièges, de leur disposition notamment, et de l’agencement des balcons ne serait pas du luxe.
Et puis, ce qui fait la magie d’un lieu, c’est aussi et surtout la programmation. Elle est un peu en baisse depuis le départ de P. Brook, il faut reconnaître.

C.P. dit: à

John, pas de fantômes pour moi. Evidemment, il se passe, ou plutôt il se PASSERA quelque chose.
Quant à l’appareillage technique, il veille sur la présence « actuelle », celle des comédiens, c’est tout ce que j’ai voulu dire, et peut-être aussi que leur action d’acteurs est aidée selon les époques de cette technique, ce qui n’est pas du tout la revendication d’un progrès, de la chandelle au projecteur, du décor-meuble à la vidéo, du gueuloir au micro-collier (et à l’oreillette pour les défauts de mémoire, tout de même : vous savez qui en a besoin).

J.-C. Azerty dit: à

« Orwellien » est le plus répandu des adjectifs dérivés d’un nom d’écrivain. Mais que peut-il encore signifier ?

Mais à peu près rien du tout, rien du tout. C’est le genre d’épithète qui dispense ceux qui s’en servent d’expliquer avec précision ce qu’ils mettent au juste dessous, sans doute parce qu’ils seraient bien en peine d’y parvenir.

l'amateur dit: à

Suggestion dit: 13 novembre 2014 à 12 h 46 min

Entièrement d’accord. Il est urgent de ranimer ce blog. Sinon, la République des ceci cela ne sera pas ce qu’elle se proposait d’être à son lancement.

Faire appel à plusieurs chroniqueurs pour pallier une défaillance est sûrement une solution, effectivement.

renato dit: à

Ça ne vaut pas un épisode de Futurama, mais vus comme BD les échanges Clopine – Paul sont d’un comique impayable…

Jacques Barozzi dit: à

Oui, l’amateur, mais le nouveau Bobino, hélas, n’a plus rien à voir avec l’ancien, tandis que l’Olympia, légèrement déplacé et reconstitué à l’identique, s’en sort beaucoup mieux. Le théâtre Déjazet a conservé pas mal de son charme, sous la férule de Jean Bouquin. Le cinéma le Louxor, magnifiquement rénové, a perdu malheureusement sa grande salle au profit de plusieurs salles minuscules !

Colette la pâle nue dans ses châles pliants dit: à

Orwellien, kafkaïen, platonicien, jambrunien…
C’est comme quand renato dit « kantien », ça ne signifie rien sans attribut ou référence précise.

Jacques Barozzi dit: à

C.P., il est même des lieux de spectacle contemporains qui ont néanmoins une certaine âme. Celui-ci, par exemple, qui devrait vous parler ?

20e arrondissement

Théâtre national de la Colline
15, rue Malte Brun
Tél. : 01 44 62 52 52
Métro : Gambetta

Inauguré en janvier 1988, le Théâtre national de la Colline a été aménagé à l’emplacement du théâtre de l’Est parisien, créé en 1963 par Guy Rétoré dans les murs de l’ancien cinéma Zénith et transféré depuis au 159, avenue Gambetta (20e arr.).
Avec sa large façade entièrement vitrée et encadrée d’un grand portique en béton, ce bâtiment représentatif de l’architecture des années 1980 a été conçu par les architectes Valentin Fabre et Jean Perrotet, assistés d’Alberto Cattani.
Il est constitué de deux salles de spectacle : le Grand théâtre (750 places) et le Petit théâtre (200 places).
Jorge Lavelli, premier directeur de la Colline, y présenta exclusivement des œuvres d’auteurs contemporains, comme Une visite inopportune de Copi (1988), La Nuit des chasseurs de Dominique Müller et André Engel (1989), Avant la retraite de Thomas Bernhard (1990) ou encore Les Larmes amères de Petra van Kant de Rainer Werner Fassbinder.
Alain Françon, qui lui succèda en novembre 1996, poursuivit dans la même lignée en ne s’interdisant pas toutefois d’y présenter des auteurs plus anciens du 20e siècle. Citons, pour cette période : La Tragédie du roi Christophe d’Aimé Césaire (1997), Orgia de Pier Paolo Pasolini (2002), L’Acte inconnu de Valère Novarina (2007) ou Combat de nègre et de chiens de Bernard-Marie Koltès (2010).
Dirigé depuis janvier 2010 par Stéphane Braunschweig, le Théâtre de la Colline, qui privilégie toujours les auteurs vivants français et étrangers, se veut « un lieu d’émergence de nouvelles écritures scéniques » : Une douzaine de spectacles y sont proposés chaque saison, parmi lesquels 3 à 4 créations. C’est ainsi que l’on a pu y voir Les Autonautes de la cosmoroute d’après l’œuvre de Julio Cortázar et Carol Dunlop (saison 2011-2012) ou Tout mon amour de Laurent Mauvignier et Nouveau Roman de Christophe Honoré (saison 2012-2013).

béatrice dell dit: à

à l’amateur 15 h : RÉGULATION !

J.-C. Azerty dit: à

John, pas de fantômes pour moi. Evidemment, il se passe, ou plutôt il se PASSERA quelque chose.(C.P.)

Oui, mais dans le même lieu, il s’est passé quelque chose, il s’est passé bien des choses. Que savons-nous des rémanences du passé dans certains lieux privilégiés ? Et l’espace scénique est un espace magique entre tous. L’émotion n’y fait pas le départ entre ce qui s’y est passé, ce qui s’y passe et ce qui va s’y passer. L’espace scénique est un enchevêtrement de traces.

TKT dit: à

JCouille, vous me voyez derrière tous les commentaires qui ne sont pas de vous.
Je ne sais pas qui était cette Laurence de Sainte Lumière.
À propos, JCulé, vous avez abandonné l’utilisation des signatures se référant à D.bile ?

PS: Je n’ai jamais mis un crayon dans une poche de chemise, vous devez confondre avec le derrière de votre lobe d’oreille, porte-crayon des comptables et des épiciers.

Esprit critique dit: à

Nouveau Roman de Christophe Honoré (saison 2012-2013).

Plus con tu meurs.

chantal dit: à

la colline c’est une belle salle, j’y ai déjà été pour un colloque, un que j’aime bien c’est le théâtre hébertot.

un très chouette aussi le théâtre en bois de Bussang, dans le ballon d’Alsace, çà c’est de la cabane !

Jacques Barozzi dit: à

T’es mort, Esprit critique ?

renato dit: à

Colette, en espérant que « pâle nue dans ses châles pliants » ne soit pas un spectacle désolant, est-ce que vous faites référence au fait que j’ai fait référence à la « nébuleuse » ?

C.P. dit: à

Jacques, me suis-je fait mal comprendre ? J’aime les Bouffes du Nord,le lieu et son accueil aussi, mais vous savez qu’il est maintenant fragile (d’où l’an passé des prises en charge de spectacles par déplacement de La Colline, etc.) Non, je voulais seulement dire que l’appareil technique y est bel et bien présent et nécessaire. Et, près d’Avignon-la-ville, la Carrière Boulbon sans éclairage, que serait-ce ? Au fond, une partie au moins de mon plaisir au théâtre vient de : comment vont-ils (les comédiens) faire avec ça ? Et pourquoi ne serait-ce pas une émotion aussi que l’intérêt pour le boulot ? Je vous passe les raisons -vous en connaissez certaines- de cet intérêt particulier.

Clopine dit: à

Très intéressant votre lien sur la projection, Chantal. Comme personne ne semble y échapper, je reconnais avoir moi aussi pratiqué la chose, très certainement, et pourquoi pas à l’égard de notre hôte ?

Mais en tout cas moins, me semble-t-il, que ce qu’autrui projette sur moi (wouarf) !!!

Jacques Barozzi dit: à

Chantal, il y a encore pleins de lieux qui ont conservé du charme, heureusement !
Allez, un dernier pour toi, avant que je ne parte au… cinéma !

17e arrondissement

Théâtre Hébertot
78, boulevard des Batignolles
Tél. : 01 43 87 23 23
Métro : Rome

Lorsque la nouvelle commune des Batignolles-Monceaux fut créée par ordonnance royale de 1830 sur une portion du territoire de la commune de Clichy, elle se fit construire huit ans plus tard par l’architecte Adolphe Azémar son propre théâtre, qui s’appelait alors Théâtre des Batignolles.
Rebaptisé Théâtre des Arts en 1907, celui-ci prit en 1940 le nom du dramaturge et journaliste Jacques Hébertot, qui le dirigea depuis cette date jusqu’à sa mort en 1970.
Inscrit au titre des Monuments historiques en août 1974, le théâtre Hébertot fut placé aux débuts des années 1980 sous la responsabilité artistique du comédien Jean-Laurent Cochet.
Doté d’une salle à l’italienne de 630 places, il est dirigé depuis 2003 par Danièle et Pierre Franck, qui y ont aménagé une seconde salle, le Petit-Hébertot, d’une capacité de 110 places.
Figurant parmi les plus anciennes salles de la capitale, le théâtre Hébertot conserve la mémoire des nombreux spectacles qui y ont été programmés au fil du temps.
C’est dans cette salle bâti sous la Restauration que dans les années 1920 Georges Pitoëff assura la mise en scène d’œuvres dramatiques de George Bernard Shaw, Luigi Pirandello, Marcel Achard, Jean Cocteau ou Jules Romains.
En 1938, André Barsacq y mit en scène Le Bal des voleurs de Jean Anouilh, avec Jean Dasté et Michel Vitold.
En 1945, Gérard Philipe et Michel Bouquet s’y illustrèrent dans le Caligula d’Albert Camus, et, en 1949, Maria Casarès, Michel Bouquet et Serge Reggiani
dans Les Justes, du même Albert Camus.
En 1956, Marcelle Tassencourt y mit en scène L’Éventail de Lady Windermere d’ Oscar Wilde, et en 1959 le Long voyage vers la nuit d’Eugene O’Neill.
En 1965, Claude Régy y monta La Collection et L’Amant d’Harold Pinter, avec Delphine Seyrig, Jean Rochefort et… Michel Bouquet.
En 1988 et 1989, Philippe Caubère y créa deux spectacles et on a pu y voir, plus récemment : Art de Yasmina Reza (1998) ; Comédie sur un quai de gare de Samuel Benchetrit, avec Marie et Jean-Louis Trintignant (2002) ; Doute de John Patrick Shanley, dans une mise en scène de Roman Polanski, avec Thierry Frémont (2006) ou encore La Femme du boulanger de Marcel Pagnol, mis en scène par Alain Sachs, avec Michel Galabru (2012).

un spectateur fatigué dit: à

le théâtre en bois de Bussang

Ouais, c’est vrai, mais pour y aller bonjour ! Des p’tites routes, des p’tites routes, toujours des p’tites routes, comme dit le tronçonneur Dalila.

Phil dit: à

pepep..ursupapateur, phil(ae).
certes, TKT a bien croisé laurence de sainte lumière, y’a un lustre.
baroz, que des pièces gays dans vos théâtres ravalés ! c’est normal ?

chantal dit: à

il n’y a pas loin entre les deux C.P. & JB et je me souviens avoir poussé l’orteil du temps où les travaux des bouffes n’avaient pas encore eu lieu, c’était désolant.

Jacques Barozzi dit: à

Mais mon préféré, c’est l’Européen. A côté du Wepler, Clopine.

Jacques Barozzi dit: à

Le 15 h 27 min est un faux, et il n’y en aura plus d’autres de moi ensuite car… je suis parti !

TKT dit: à

Phil, je répondais au pseudo « la population ».
Pourquoi parliez vous de L de SL ?
Je ne l’ai jamais rencontré, mais j’allais sur son Blog où LdeSL publiait un roman qui au moins avançait.

C.P. dit: à

Jacques, vous vous moquez gentiment de moi : ma fidélité et ma familiarité avec La Colline s’augmentent aujourd’hui de raisons … familiales. Quant à « privilégier » des auteurs du XXe siècle et contemporains, c’est bien, mais c’est aussi bien plus que cela : le cahier des charges INTERDIT de monter des auteurs et textes précédant le XXe siècle, avec l’exception permissive accordée à Ibsen, Tchekhov, Maeterlinck, … ceux qui frôlent en somme une fin de siècle. C’est la raison pour laquelle Stéphane Braunschweig, qui était plus libre à Strasbourg, a désiré la Comédie Française. Bon, tout va bien…

chantal dit: à

spectateur fatigué je vous comprend, j’ai tortilloné pour le trouver ce chalet, je me suis échappée de la mousson d’été pour aller voir ce fameux petit théâtre ..

versubtil la fondation maeght c’est trop chicos pour moi, le musée de clermont ferrand me convient tout autan.

clopine, moi aussi je le fais, ce n’est pas criminel 😉 ..

Phil dit: à

Baroz, le dernier Nolan est raté. science fiction sur trois pattes, comme la sonde cométeuse. gardez votre crédit sur votre pass.

TKT dit: à

Phil, je ne suis pas un usurpateur, vous devez, me confondre avec JCulé et D.bile.

Phil dit: à

dear tkt, pas de confusion, alles gute. le test laurence de sainte lumière révèle les fondations du prestigieux blog à passou. no harm. z’allez pas à la séance de cinq heures comme baroz

Clopine dit: à

JC Azerty, si je peux m’immiscer dans votre conversation avec C.P. ? Une anecdote : j’avais une copine qui voulait donner des cours de théâtre, via un financement public. Le deal était d’utiliser ces cours en direction de personnes à réinsérer (notez que la copine en question était pas mal à insérer
non plus, elle, m’enfin bref, là n’est pas la question.)

Son projet commença à voir le jour quand des assistantes sociales commencèrent à s’y intéresser. Certes, la copine s’impatientait : les assistantes en question avaient le culot de partir en vacances, au lieu de se démener tant et plus autour de son si beau projet ! (euh, je crois qu’on commence à sentir, là, que je ne tenais pas la copine en question en grande estime… Bon je continue, en assumant ma subjectivité.)

Elle obtint cependant quelques financements. Et installa un « atelier théâtral ».

Qu’elle commença, funeste erreur, à envahir de sa propre personnalité : elle installa une sorte de décor, avec bateau, tentures, poufs, lampes diverses et variées… Elle imaginait, à partir de ce décor, une espèce d’histoire qu’elle entendait partager avec ses (futurs) stagiaires, et en rajoutait jour après jour, en attendant le retour des assistantes avec qui elle serait en partenariat pour trouver les élèves…

J’étais entrée dans cet invraisemblable « atelier théâtral », j’avais ouvert de grands yeux, écouté le projet grandiose qui s’élaborait là, n’avait pas osé donner mon opinion (on m’aurait accusée de méchanceté, de saper l’espoir…) mais j’aurais bien fiché mon billet que pas un seul stagiaire n’allait pouvoir commencer à pratiquer un seul petit acte théâtral, dans un tel fourbi.

Ce fut bien entendu ce qui arriva. Le premier cours fut si catastrophique que la copine dut brader le tout – et l’équipe sociale qui était derrière fut bien embarrassée.

Pourtant, l’idée de départ était à mon avis juste et attirante. La pratique du théâtre oblige à habiter son corps consciemment, à prendre une posture : les personnes laminées par le chômage et l’exclusion pouvaient utilement s’emparer des techniques de jeu pour retrouver une assurance perdue.

J’ai donc, via la copine qui était déjà passée à autre chose, présenté à l’équipe sociale un jeune acteur de mes relations, qui voulait bien devenir professeur et qui était un « pro ».

Je le revois arpentant avec moi « l’atelier théâtre », et je le regardais du coin de l’oeil pendant qu’il soulevait les tentures, qu’il ouvrait les lampes, essayait les poufs et s’asseyait dans l’invraisemblable « bateau » placé au milieu de la pièce…

Il a tout fichu dehors. Tout. Et les fanfreluches roses et les coussins bleus. Ne sont plus restés, dans la pièce, que l’estrade, une dizaine de chaises, deux gamelles, et trois paravents noirs. Point final.

Les cours ont commencé, avec un tel succès que l’atelier a duré dix ans (avant que les financements ne tarissent) et qu’encore aujourd’hui, les « anciens » évoquent les lieux avec une émotion non feinte…

Je n’ai jamais oublié cette histoire, qui me fait dire que peu importe le lieu, la salle ou la beauté d’un « décor ». C’est le jeu, le théâtre, qui est vainqueur. Pas les fantômes, même ceux de l’opéra. Et peu importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse…

J.-C. Azerty dit: à

la fondation maeght c’est trop chicos pour moi( Chantal)

Ce n’est pas chicos du tout, c’est simple et beau , comme au premier jour.

Au service des brandouilleurs dit: à

C.P. dit: 13 novembre 2014 à 15 h 30 min
C’est la raison pour laquelle Stéphane Braunschweig, qui était plus libre à Strasbourg, a désiré la Comédie Française.

Si vous voulez, on peut aller casser la gueule d’Eric Ruf, c’est qu’une question de prix. G. Holz nous accompagnera.

Clopine dit: à

… Ce qui ne retire rien, bien entendu, à la beauté architecturale de tel ou tel lieu, bien entendu, à leur charme intrinsèque, qu’il soit hypermoderne ou au contraire désuet.

Simplement, je crois sincèrement qu’on peut faire du théâtre génial dans un garage, ou dans la rue… L’important est le jeu !

Josette dit: à

J.-C. Azerty dit: 13 novembre 2014 à 15 h 37 min
simple et beau , comme au premier jour.

Rho, tu te souviens, choupinou ?

chantal dit: à

il faut tout avouer ici jc azerty ? je n’ai pas été à la fondation maeght parce que je me suis perdue en sortant de saint paul de vence, et que sur le chemin il y avait les fameuses usines florian au gorges du loup qui font des confits délicieux des feuilles de verveines enrobées de sucres et de blanc d’oeuf battu neige, j’ai essayé chez moi c’est pas évident.

cet été j’étais en auvergne, mon cousin germain crèche par là.

Sergio dit: à

J.-C. Azerty dit: 13 novembre 2014 à 14 h 52 min
exister équivaut à évaluer

… pour aboutir à cette saloperie de relation d’ordre (au sens mathématique)…

Ca a l’air bien, Cioran…

Daaphnée dit: à

( C’est quand même étonnant de votre part, Paul, que vous ayez encouragé ce qui ne pouvait être que bagou .. et pour cause. Mais bon ..)

je me dénonce dit: à

j’avoue avoir usurpé les pseudos de Bourtafiol, rodaballo, Fribert, Julius, entre autres. Mais c’est pas une raison pour usurper le mien, attention!

Sergio dit: à

chantal dit: 13 novembre 2014 à 15 h 31 min
la fondation maeght c’est trop chicos pour moi

C’est surtout qu’on peut pas garer…

rodaballo dit: à

je me dénonce dit: 13 novembre 2014 à 15 h 55 min

Salopiot, je te tiens !

Les Brandouilleurs de Malicornay dit: à

@ Notre service :

Nous, on lui a dit, au Stéphane : n’y va pas, mon gars ! Par le fait, tu auras comme les autres des ennuis avec les sociétaires. Et le Ruf, tout sociétaire qu’il est, en aura aussi demain, comme Muriel hier, comme les administrateurs extérieurs. Le Stéphane, du coup, il va monter avec la rage son quatrième, son cinquième, son dixième Arne Lygre. Nous, on lui dit : trop, c’est trop ! Mais on ne peut pas le priver de hareng norvégien, bon dieu ! Enfin, quand même, un Pirandello l’année prochaine sans doute…

J.-C. Azerty dit: à

il faut tout avouer ici jc azerty ? je n’ai pas été à la fondation maeght parce que je me suis perdue en sortant de saint paul de vence, et que sur le chemin il y avait les fameuses usines florian au gorges du loup qui font des confits délicieux des feuilles de verveines enrobées de sucres et de blanc d’oeuf battu neige, j’ai essayé chez moi c’est pas évident. (Chantal)

Eh bien, c’est du joli !

Daaphnée dit: à

C’est surtout qu’on peut pas garer…

il faut y aller quand il fait soleil, Sergio, en moto ! Là avec ces belles couleurs d’automne, ce doit être assez beau ..

sans blague dit: à

ce qu’autrui projette sur moi (wouarf)

et tu te fais quoi dessus en fait ?

Lavande dit: à

@Un spectateur fatigué et Chantal:
Parfois c’est difficile d’aller à un théâtre mais il arrive que ce soit pire encore pour en revenir.
Quand le Théâtre du Soleil a fêté ses 50 ans, le Monde avait demandé aux lecteurs de raconter leur expérience avec ce Théâtre et j’avais proposé ce petit texte racontant deux anecdotes:
« 1981 : notre première participation au festival d’Avignon, dans le cadre des CEMEA . Séjour dans un lycée hors de la ville. Des débats passionnés et passionnants avec des comédiens, des journalistes, des metteurs en scène qui venaient discuter dans les cours de récréation sous un soleil de plomb. Et … Ariane Mnouchkine, éblouissante de finesse, d’intelligence et de chaleur humaine.
Ma première rencontre, inoubliable, avec le Palais des Papes a donc été Richard II. Des costumes japonais somptueux et j’ai encore dans l’œil le spectacle époustouflant de ces comédiens qui glissaient sur le plateau sans un seul mouvement apparent.
Aux antipodes (météorologiques), un spectacle d’hiver à la Cartoucherie. Mon mari étant en fauteuil roulant et le métro et la navette n’étant pas accessibles, nous allons à Vincennes en taxi. A la sortie, dans le froid et le vent, les allées du bois sont sinistres. Le taxi commandé n’arrive pas. «Il est passé mais il ne vous a pas vus» dixit le standard. C’est fou ce que les taxis ont du mal à «voir» les personnes en fauteuil! «Pas d’autre possibilité avant au moins 3/4 d’heure». Un couple d’un certain âge, désolé pour nous, reste un moment. Leur voiture est trop petite pour nous emmener mais le monsieur nous donne son numéro de téléphone: «Nous n’habitons pas loin: si vous avez des problèmes, je reviendrai avec une autre voiture». L’esprit Cartoucherie? »

J.-C. Azerty dit: à

Simplement, je crois sincèrement qu’on peut faire du théâtre génial dans un garage, ou dans la rue… L’important est le jeu ! (Clopine)

Bien sûr que oui. Et votre ami animateur d’atelier-théâtre avait bien raison de déménager le bric-à-brac inutile et encombrant laissée par l’occupante antérieure, manifestement incompétente. L’espace scénique — Peter Brook l’a suffisamment souligné — est un espace vide, et pourtant, après des années d’usage, le même espace devient mystérieusement habité, et, je n’hésite pas à le dire, hanté. Cela n’implique pas que le metteur en scène et la troupe qui vont s’y installer seront requis de s’inscrire dans je ne sais quelle tradition. Au contraire. On sait bien que l’art du théâtre ne vit que de renouvellement. Simplement, il existe des lieux privilégiés (ils ne le sont pas tous), qui ne sont pas de simples granges, que leur passé prestigieux continue d’habiter, quoique invisible. et qu’il me paraîtrait sacrilège (et imbécile) de « rénover », sous prétexte de les adapter aux exigences et aux modes du théâtre contemporain. Il est évidemment plus raisonnable de construire un édifice neuf adapté à ces nouvelles exigences. Je pense qu’un Georges Perec, armé de l’extraordinaire sens de la trace et de la reconstitution du passé révolu, presque défunt,presque inatteignable, qu’il exploite génialement dans « La vie mode d’emploi », aurait pu écrire sur un théâtre de ce genre un livre inoubliable.

je me dénonce dit: à

Daaphnée dit: 13 novembre 2014 à 15 h 57 min
usurpateur .

Pas moi. Faudrait pas non plus m’imputer tous les péchés du monde, hein.

je me dénonce dit: à

J’ai usurpé le pseudo de C.P. à 15 h 16 et 15 h 30, c’est tout.

Paul Edel dit: à

Puisqu’il vient, acceptons le fou-rire… dit: 13 novembre 2014 à 14 h 39 min

ce qui est embêtant dans la haine, c’est qu’elle rabâche

C.P. dit: à

C’est bizarre, la modération : moi je vois mon 15h56, et vous non ?

je me dénonce dit: à

Et celui de J.-C. Azerty 15 h 09. (J’oubliais.) (Il ne m’en voudra pas.)

versubtil dit: à

la fondation maeght c’est trop chicos pour moi Chantal

C’ est un genre Musée cette fondation.
Plus sympathique est de feuilleter les somptueux catalogues de la collection « Derrière le miroir », quasiment toujours en impression lithographique – la spécialité d’ Adrien Maeght – j’ en possédais pas mal depuis les années 70 ( partis avec ma première bibliothèque).
Maintenant, lorsque je vois les prix chez les libraires spécialisés ou non…

Et faire attention aux retirages.
Des textes de tardieu, Bonnefoy, Paulhan, Ponge, etc…dans une typographie impeccable.

( Bon, désolé, je viens ici que par intermittence.)

rodaballo dit: à

Si, si, C.P., je vois très bien votre 15 h 56. Il est pas mal, d’ailleurs.

je me dénonce dit: à

versubtil dit: 13 novembre 2014 à 16 h 34 min
( Bon, désolé, je viens ici que par intermittence.)

Pas grave, versubtil, vos intermittences sont des fulgurances. Mais je peux vous remplacer si vous voulez.

Clopine dit: à

Pas de com’ de C.P. à 15 h 56 sur mon ordi ! Par contre, un peu plus tard, une jolie petite méchanceté de Daaphnée, qui laisse comme à son ordinaire dépasser sa langue bifide, pendant qu’elle agite lentement sa tête triangulaire, carapçonnée d’écailles vertes, sous ses yeux perfides et demi-clos, histoire d’hypnotiser son monde… Cette fille a le coeur froid, comme celui d’un serpent (ahaha).

Jean-René F. dit: à

C.P. dit: 13 novembre 2014 à 15 h 56 min
Ce n’est pas bien grave, mais allez tous vous enculer.

D’un certain côté, on peut comprendre que la modération hésite, C.P.

versubtil dit: à

J’ en ai même oublié le lien :

http://www.maeght.com/editions/selection.asp?id=8

Sinon sur ebook, on peu même agrandir les gravures ou lithos.

( Si vous êtes fulgurant, vous êtes assurément un je me dénonce qui fonce.)
Je me défonce est plus euphonique pour des répliques à l’ emporte pièce,gardez-le, c’ est pas mal du tout.)

C.P. dit: à

Ben non ! le 15h56 a été sucré. Merci @ Notre service. Je m’en vais. Il y avait un scoop, et tant pis, ce n’est pas grave.

Sergio dit: à

Daaphnée dit: 13 novembre 2014 à 15 h 59 min
il faut y aller quand il fait soleil

J’ai fait une fois le trajet vers la côte toute la nuit, par désoeuvrement et sans prévenir, partant de la France du Nord, je me suis fait gueuler à l’arrivée mais gueuler ! Cependant il faisait, hassurément, soleil… Au reste c’était à peu près la période actuelle de l’année.

Puisqu'il vient, acceptons le fou-rire... dit: à

Paul Edel dit: 13 novembre 2014 à 16 h 31 min

Mon pauvre Edel, que peut-il y avoir de haïssable en vous? Le ridicule prend toute la place.

Sergio dit: à

Clopine dit: 13 novembre 2014 à 16 h 38 min
langue bifide

Bon Dieu l’idée érotique du siècle ! Une révolution… Du boulot pour les chirurgiens les marketings ! Quand même si ça fait des noeuds comme dans la Royale…

chantal dit: à

je comprend sergio, j’ai envie de me traçer une petite route en solo .. ce n’est pas archi raisonnable vu le prix du diesel, l’an prochain j’opte pour une moto ou bien j’ai repéré un vélo électrique chez un revendeur hollandais qui tient vachement longtemps ..

Bon ce n’est pas le sujet. Mais pour le prix d’un catalogue maeght somptueux .. brrr .. http://www.maeght.com/editions/article.asp?id_selection=8&id=1271

En kindle je serait trop frustrée.

Talons aiguilles dit: à

Clopine dit: 13 novembre 2014 à 16 h 38 min
langue bifide

Mi-figue ou bas résilles?

C.P. dit: à

Tout de même :

Nous fîmes donc observer à Stéphane Braunschweig que peut-être il n’y avait point regrets à remâcher. Qu’on lui aurait bientôt jeté le chat aux jambes comme à d’autres, résidents ou non de la Maison. Il en retira qu’il persisterait dans son affection pour Arne Lygre et le hareng norvégien. Que pourtant l’idée d’un Pirandello l’occupait fort…

versubtil dit: à

le prix d’un catalogue maeght somptueux .. brrr ..

Vous avez bon goût Chantal, vous tapez sur l’ un des plus chers sans avoir jeté un coup d’ œil à l’ intérieur..

Esprit critique dit: à

Que pourtant l’idée d’un Pirandello l’occupait fort… (C.P.)

Pour faire oublier la désastreuse mise en scène de Stan Nordey qu’il avait invité ?

chantal dit: à

pour mon malheur versubtil .. redois avoir ququ part un catalogue d’Ato Carte, ne sais pas ce que cela peut bien valoir

chantal dit: à

Anto Carte scusi.

Anto Carte dit: à

Vous êtes toute excusée, Chantal.

DHH dit: à

Z’étaient tous en gris! dit: 13 novembre 2014 à 13 h 24 min
« T’aurais vu le cortège au cimitière!
La grosse en vert devant, flanquée de deux freluquets et d’une vieille tata et derrière les deux mamies à petits pas. Il ne manquait que le corbillard! »
C’est tres mal de venir perfidement incognito epier les gens pour les observer sans indulgence et balancer ensuite d’eux l image miserabiliste d’un ramassis de tocards

boudegras dit: à

chantal, je la voyais plutôt brune, zut

JC dit: à

DHH dit: 13 novembre 2014 à 17 h 41 min
Z’étaient tous en gris! dit: 13 novembre 2014 à 13 h 24 min
« T’aurais vu le cortège au cimitière!
La grosse en vert devant, flanquée de deux freluquets et d’une vieille tata et derrière les deux mamies à petits pas. Il ne manquait que le corbillard! »

C’est tres mal de venir perfidement incognito epier les gens pour les observer sans indulgence et balancer ensuite d’eux l image miserabiliste d’un ramassis de tocards

ET SI CETTE IMAGE ETAIT VRAIE ? …..

versubtil dit: à

Anto Carte, un catalogue, pas un tableau…

Cela dépend de l’ originalité et de la rareté de votre catalogue ainsi que de la qualité du texte de l’ auteur qui souvent l’ accompagne. Un catalogue banalement imprimé ne vaut pas grand chose.
Par contre avec 3000 euros vous pouvez vous payer un original sur papier ou sur toile de pas mal d’ artistes de qualité.
Je peux vous conseiller avec grand plaisir.

renato dit: à

« Je me suis laissé dire que c’était plus pour le modèle que pour le peintre. »

C’est vrai. Et dommage que le peintre ait fléchi sur la main droite…

bouguereau dit: à

c’était plus pour le modèle que pour le peintre

comme si tu disais que c’est plus pour la pissoire que pour duchamp..

bouguereau dit: à

Je peux vous conseiller avec grand plaisir

comme rénato..fais péter dla femme nue à 3000 mais avec une main droite qui rsembe pas a une gauche

Sécalier dit: à

avec 3000 euros vous pouvez vous payer un original sur papier ou sur toile de pas mal d’ artistes de qualité.

Des petits bras. Si vous voulez un Renato Maestri, par exemple, faut compter beaucoup plus cher.

Un nœud-nœud pas comme les autres dit: à

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 17 h 50 min

comme si tu disais que c’est plus pour la pissoire que pour duchamp..

La preuve par l’exemple.

renato dit: à

« comme si tu disais que c’est plus pour la pissoire que pour duchamp.. »

C’est selon… l’envie du moment…

Le Chœur de la RdL dit: à

youpi, bouguereau est revenu !

collectionneur dit: à

Si vous voulez un Renato Maestri, par exemple, faut compter beaucoup plus cher.

Impossible à trouver sur le marché, introuvable en salle des ventes, artiste virtuel?

Il en manque une dit: à

JC dit: 13 novembre 2014 à 17 h 45 min

Et encore, il y avait pas le prix coucourge!

bouguereau dit: à

C’est selon… l’envie du moment…

à stalingrad les tableaux de maitre servaient a boucher les fenêtres..et c’est ce qui les a sauvé du feu..dieu aime les artistes

dompteur dit: à

Policiers, pompiers et personnels spécialisés sont en effervescence ce jeudi après-midi à Montévrain en Seine-et-Marne. Depuis le milieu de la journée, ils sont à la recherche… d’un tigre en liberté. Des experts du parc des Félins de Nesles (Seine-et-Marne) ont été dépêchés sur place. Selon leurs analyses et les traces de pas retrouvées sur place, il s’agirait bien d’un tigre «adolescent» dont le poids est estimé à 😯 kilos, environ et nommé « mes p’tits chéris » .la dernière fois il rôdait dans un lycée parisien notamment dans une classe de cinquième qui étudiait un texte de Le Clézio…..

Un nœud-nœud pas comme les autres dit: à

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 17 h 58 min

nœud-nœud fait de l’histoire

roudoudou dit: à

bouguereau peut être pénible parfois, d’accord, mais les anti-bouguereau alors, qu’est-ce qu’ils sont chiants !

renato dit: à

Marché?! salle des ventes?! si vous suivez les mauvais chemins…

CQFD dit: à

ET SI CETTE IMAGE ETAIT VRAIE ?

DHH s’est reconnue donc c’est vrai.

boudegras dit: à

roudoudou, va sucer ton pouce ailleurs

boudegras dit: à

dieu aime les artistes… mais déteste les baveux radoteurs

Un nœud-nœud pas comme les autres dit: à

Violente manifestation de bouguereau contre les anti-bouguereau.
Une cellule psychologique est mise en place pour bouguereau.

Passou dit: à

Phil, Je n’ai pas vu la pièce de BHL (il y a des limites au sacrifice et à la conscience professionnelle) mais je l’ai lue. Affligeant. C’est à se demander comment il n’a pas eu honte de faire venir (car en majorité, il les a fait venir) les spectateurs VIP (Hollande, Valls & co) à l’Atelier pour assister à ça : une boursouflure egolâtre qui ose instrumentaliser les guerres au profit de son image.

Jacques Barozzi, Non, je suis désolé de vous le redire, mais vous, autrement dit : les commentateurs, ne sont pas l’attraction ni le sel de ce site. Une minorité de ses lecteurs lisent les commentaires… Ne vous suicidez pas pour autant.

boudegras dit: à

cela dit, t’as raison, roudoudou, je suis chiant, je le sais mais je peux pas m’en empêcher, je suis né comme ça.

DHH dit: à

Léon Blum exprime dans ses « souvenirs de l’affaire » cette idée d’une grande vérité ,que les gens exceptionnels sont ceux qui cumulent des qualités qui habituellement s’excluent ;
C’est ce ce qui m’est revenu venu à l’idée quand Lavande , que ses post révèlaient si fine connaisseuse de littérature et de théâtre, nous a appris qu’elle était physicienne de profession

Chaloux dit: à

Bas rose, passe-moi le sel…

Un nœud-nœud pas comme les autres dit: à

Emmerder le monde, c’est tout ce que je sais faire, comme dit Chaloux mon maître.

bouguereau dit: à

Une minorité de ses lecteurs lisent les commentaires… Ne vous suicidez pas pour autant.

comment qutu l’sais dabord (un suicide mimétique serait encore plus bête)

boudegras dit: à

que chaloux soit plus con que bougue-rototo, ça se discute pas.

Un nœud-nœud pas comme les autres dit: à

Tais-toi, bouguereau. A quatre pattes, tout de suite ! Chaloux est là, tu ne fais pas le poids.

Chaloux dit: à

Je vous laisse sous le sel (rien de ouveau sous le sel, qui a dit ça?)… hurkhurkhurk.

bouguereau dit: à

que chaloux soit plus con que bougue-rototo, ça se discute pas.

keupu peut pas encadrer plus lémure que lui..

Un nœud-nœud pas comme les autres dit: à

Chaloux et TKT : les deux seuls grands.
Les autres : de la roupette de samsonite.

hamlet dit: à

« les commentateurs, ne sont pas l’attraction ni le sel de ce site. Une minorité de ses lecteurs lisent les commentaires… Ne vous suicidez pas pour autant. »
???
encore heureux que personne ne lit mes commentaires….
sérieux, même moi je ne les lis pas, sinon je ne verrais vraiment pas l’intérêt de les écrire.

Chaloux dit: à

les commentateurs, ne sont pas l’attraction ni le sel de ce site.

Gallimard vient de lui promettre la Pléiade?
On rêve…
Bonne soirée,

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 18 h 22 min
que chaloux soit plus con que bougue-rototo, ça se discute pas.

keupu peut pas encadrer plus lémure que lui..

Parole de ténia.

l'observatoire dit: à

maintenant qu’il est observé à la loupe, bougue-rototo fait moins le malin, on va pas le louper
(attention ya ton bavoir qui dépasse)

hamlet dit: à

question : qui parmi les commentateurs du blog de Monsieur Assouline lit les commentaires.
allez-y : levez les doigts que je compte…
Monsieur Chaloux ? non ? Jacky ? non plus ?
voilà, c’est bien ce que je disais personne ne les lit, à la limite il y en aurait 5 ou 6, mais 800 ! qui aurait le courage de se taper 800 commentaires ?

non moi je viens sur ce blog uniquement pour lire les articles de Monsieur Assouline, et encore pas à tous les coups.

non, ce blogil faut le prendre comme un lieu de relaxation, inspirer…. souffler !! inspirer…. souffler !!!

c’est comme au théâtre, on inspire et après hop ! on souffle.

d’ailleurs depuis qu’ils ont viré les souffleurs je ne vais plus au théâtre.
le souffleur c’est le truc le plus intéressant dans les pièces.
souvent au milieu d’une pièce je me levais du mon fauteuil et j’allais les voir, pour leur dire bonjour, et aussi combien j’admirais leur travail, on restait là à papoter, c’était sympa.
les souffleurs étaient tous des gens adorables, toujours le mot pour rire, à la limite on aurait dû virer tous les acteurs et garder que les souffleurs.

l'observatoire dit: à

à propos de bavoir, qu’est-ce que j’ai fait du mien ? J’arrête pas de me cracher dessus.

JC... dit: à

l’observatoire dit: 13 novembre 2014 à 18 h 36 min
à propos de bavoir, qu’est-ce que j’ai fait du mien ?

je viens de torcher bouguereau avec.

Faire-part dit: à

On apprend que Jacques Barozzi vient de se suicider. Pour seule explication il a laissé le mot suivant :
Passou m’a tuer.

hamlet dit: à

le souffleur est le grand oublié de l’histoire des arts et de la culture.
pourtant ils doivent énormément.
sans souffleur la culture n’aurait été ce qu’elle a été.
on va me rétorquer les décorateurs et les électriciens aussi !
là je dis hého !! non ! surement pas ! faut pas prendre un souffleur pour un éclairagiste.
c’est deux métiers totalement différents : l’éclairagiste éclaire, et le souffleur, lui, il souffle.
parce qu’appuyer sur un interrupteur pour mettre la lumière tout sait le faire, par contre allez demander à un électricien de souffler ! il n’y arrivera jamais, never !

hamlet dit: à

Jacky est mort ?
misère, pour une fois que je lis un commentaire il faut que ce soit pour apprendre un drame.
comme quoi, il faut surtout pas les lire.

Un nœud-nœud pas comme les autres dit: à

je viens de torcher bouguereau avec.

Je savais bien que tu étais son larbin.

Paul Edel dit: à

« les commentateurs, ne sont pas l’attraction ni le sel de ce site. »
c’est clair,vous n’êtes que du poivre,ce qui n’est pas mal du tout…

felix d dit: à

Le « souffleur » c’est aussi le nom du cheval qui n’a le droit que de renifler la jument pour vérifier qu’elle est d’accord pour une vraie saillie par le bel étalon.
On appelle cela un boute en train.
C’est un beau métier, souffleur.

le sel de ce site dit: à

Ne le prenez pas mal, Paul Edel, nous sommes sûrs que vous n’étiez pas visé.

felix d dit: à

ce que je peux être con quand je m’y mets !

casio dit: à

nez cassé, ephèbe, avec une plume sur le côté
vu le sweet poulpe aussi
sinon c’est pas rantamplan

hamlet dit: à

« C’est un grand privilège que de voir un tel comédien… recréer son monde soir après soir. »

effectivement ce doit être un sacré privilège de voir quelqu’un recréer ce monde parce que celui qui l’a créé la première fois il était tout sauf clair.

c’est ce que j’aime aussi chez artistes, leur aptitude à recréer le monde.

parce que beaucoup s’y sont essayés et ils sont vautrés complet.
par exemple les socialistes, eux aussi ils voulaient recréer le monde, et ben vu le résultat on se dit qu’il aurait dû mieux faire du théâtre.

à la limité on leur demande même pas de le recréer complètement, juste inverser la courbe du chômage, c’est moins difficile à faire que recréer complètement le monde, et ben même ça il y arrivent pas, comparés aux artistes c’est vraiment des manches.

Chaloux dit: à

Paul Edel dit: 13 novembre 2014 à 18 h 40 min

et clocloche qu’en remet une couche…

hamlet dit: à

non, je ne vois vraiment pas l’intérêt de lire les commentaires de ce blog.
je ne vois pas l’intérêt de lire en général.

hamlet dit: à

écrire ! ça c’est bien d’écrire !
mais lire c’est nul.

hamlet dit: à

si les gens passaient moins de temps à lire et plus à écrire, pour arriver à un monde où tout le monde écrit et personne ne lit, ça ce serait génial !
le monde parfait.
il faudrait demander à ce comédien de recréer un monde de ce genre.
à moins bien sûr qu’il n’aime pas les mondes parfaits, à la limite c’est son droit, on est pas obligé.

hamlet dit: à

l’humanité se divise en deux : les

J.-C. Azerty dit: à

Que c’est bon d’entendre des gens rire de bon cœur, d’un rire qui n’est pas le rire gras des shows télévisés ni le rire de dérision que Canal + a incrusté dans les esprits.

(Dans l’obscurité de la salle de l’Athénée Louis-Jouvet, deux spectateurs)

Esther Assouline (se tournant à demi vers son mari Pierre) – Pourquoi tu ris comme ça ?

Pierre – Ben… je ris. Pourquoi, y a un problème ?

Esther – Tu ris pas comme ça d’habitude.

Pierre – Ah bon. Et je ris comment ?

Esther – Tu ris … plus gras.

Pierre – Et quoi encore ?

Esther – Plus fort aussi. Rappelle-toi, au show de Bigard.

Pierre – Oui mais là, c’est Caubère, ça va bientôt faire trente ans que je vais écouter ses vannes, tu comprends que je ne me morde pas les couilles. Je ris d’un rire plus…

Esther – … distinglé.

Pierre – … entendu.

Esther – … de connivence.

Pierre – Commence pas, veux-tu.

Esther – Tu es sûr que tu te sens bien ?

Pierre – Je t’emmerde.

Spectateur anonyme – Dites-donc, je sais bien que le spectacle est aussi dans la salle, mais si vous la fermiez un peu , hein ? On ne s’entend plus rire.

Pierre – De couaille, de couaille ?

Esther – De couaille, de couaille ?

(Pugilat. Entrée des pompiers. Caubère perd son texte. Il s’enquille dans le monologue de Figaro, bifurque sur la tirade des nez, sent brusquement le poids des ans. le sentiment de la dérision du métier de saltimbanque l’écrase brusquement. Il s’écroule. Invectives dans le public : « escroc! », « vieux ringard! » « remboursez ! »).

hamlet dit: à

dans la mesure où personne ne lit on peut se permettre de pas terminer ce qu’on écrit.

hamlet dit: à

c’est le téléphérique qui monte à Beauregard, à la Clusaz, je reconnais, j’ai un chalet dans le coin, un petit.

Jacques Barozzi dit: à

Excellent, Azerty !

JC..... dit: à

« Une minorité de ses lecteurs lisent les commentaires… Ne vous suicidez pas pour autant. » (Passou)

Dans ces conditions, je ne commenterai plus jamais, JAMAIS, chez Messire Assouline …. A quoi ça servirait que je me décarcasse ?

Assouline ?
Finira comme Paul Edel !
Seul… triste…. non-imposable !

Jacques Barozzi dit: à

Passou, je ne faisais que rapporter les propos d’une ex-commentatrice. Mais il me semble cependant que ce qui fait le plus causer le commentarium, c’est plutôt l’étage de l’auberge espagnole que celui du salon littéraire situé juste au-dessus. Quoiqu’il en soit, tout le mérite de ce blog vous revient de droit et je vous en suis infiniment gré,
avec mes compliments réitérés !

Erdélien lambda dit: à

–les commentateurs, ne sont pas l’attraction ni le sel de ce site. Une minorité de ses lecteurs lisent les commentaires…–

Quand je le dis, on rigole, quand c’est Passou qui le dit… le JC en fait un caca nerveux !

PMB dit: à

//C’est à se demander comment il n’a pas eu honte de faire venir (car en majorité, il les a fait venir) les spectateurs VIP (Hollande, Valls & co) à l’Atelier pour assister à ça//

Honte qu’il partage équitablement avec les dits VIP, dont la vie semble régie par le seul calcul.

Sur Médiapart, un auteur se plaignat que Mr Décolleté faisait régner une « terreur intellectuelle ».

Il n’y a bien que lui et BHL à le croire.

Chaloux dit: à

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 19 h 11 min

Evidemment.

Jacques Barozzi dit: à

« Ce n’est pas chicos du tout, c’est simple et beau , comme au premier jour. »

Et le parc aux sculptures de la fondation Maeght est un lieu magique où il fait bon se promener.
Chantal, j’ai encore dans mes placards, un pot de confiture de rose, acheté chez Florian cet été ! Celui à la violette était un pur délice !

Étonnons-nous..... dit: à

Je ne comprends pas pourquoi Chaloux déteste autant Paul Edel.
Que Clopine déteste Daaphnée, bon, on en devine les raisons, que TKT déteste D., on le conçoit, que Widergänger déteste tout le monde, on voit pourquoi aussi, mais cette vindicte de Chaloux à l’égard de Paul Edel me dépasse.

bouguereau dit: à

Evidemment.

non tête de fion qui nous laisse..ta performance lassouline serait plus grande a aquiecer sur tes pouvoirs a faire du social endginiring que le fair play de baroz a te rappeler qu’on est plus dans l’ancien monde où la flatterie coutait quelquechose..c’est zukèrebèrgue qu’il faut lire quand on fait d’l’internet pus lafontaine dirait phil..le moderne on le reconnait a un changement de moral

JC..... dit: à

Adieu, à tous !

bouguereau dit: à

un pot de confiture de rose

ça casse pas trois patte a un canard..un gout de loukoum dans l’cul d’une mousmé

chantal dit: à

c’est vrai que c’est délicieux ces confitures, la prochaine fois j’irais me promener dans le jardin de statues, çà sent très bon par là, je lis que merce cunningham y a créé des spectacles et tant d’autres ..

http://www.fondation-maeght.com/index.php/fr/la-fondation

mon catalogue est tout simple versubtil, je ne crois pas qu’il vaille grand chose, mais j’ai de ravissantes tourterelles esquissées que je vais encadrer 😉

JC... dit: à

Bonjour, je suis de retour.

Étonnons-nous.... dit: à

que JC aime D. et vice-versa, c’est évident, l’un est l’envers de l’autre.
Ce sont deux frères siamois attachés par devant, seuls leurs trous du cul sont opérationnels.

Paul Edel dit: à

Assouline ?
Finira comme Paul Edel !
Seul… triste…. non-imposable !
tout faux!! JC
Que des contre vérités. mon, petit JC .
je suis gai.. tres entouré , entre famille nombreuse et chaleureuse, avec amis écrivains, grappa et voyages à Rome monte sacro..

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 19 h 39 min

Une leçon du ténia. Y touillera qui voudra, mais le fond ne décolle pas de l’imbécillité habituelle du personnage.

(Je ne déteste absolument pas ce pleurnichard d’Edel quoiqu’il en soit persuadé).

Étonnons-nous.... dit: à

JC en dehors de sa vie sur internet, doit passer sa vie à détester les imposables et les non-imposables.
En tant que D., cette burne depuis des années au chômage, compte sur les impôts des autres pour payer son entretien.

Daaphnée dit: à

« les commentateurs, ne sont pas l’attraction ni le sel de ce site. Une minorité de ses lecteurs lisent les commentaires… Ne vous suicidez pas pour autant. »

Bon, si on prend les billets … je n’y vois pas de « sel » particulier.
Du sucre ? Noooooooooon !

En réalité, on (je) passe comme on feuilletterait une revue … parfois arrêt sur un article, un tweet. Pparfois .
Puis, il y a quelques signatures dont il est amusant ou intéressant, selon, de voir ce qui leur passe par la tête …

Mais si c’est au nombre de connexions sur le site – d’ailleurs quoi d’autre ? – que s’évalue la fréquentation et le nombre supposé de lecteurs, alors nul doute que les commentateurs contribuent amplement à ce « succès » ….

Une question me vient.
Est-ce, en définitive, un échec ?

Chaloux dit: à

Daaphnée a tout compris, boumou rien du tout comme d’hab.

quel fou rire, répétitif qui plus est ! dit: à

Phil dit: 13 novembre 2014 à 14 h 41 min

la clopine, c’est speedy gonzales de la réplique. baroz au wepler a pu siffler ses huîtres tranquillos.

too much ! j’ai failli m’étrangler (faut dire qu’il y a une certaine pression ; que de cocotte minute) – psitt ! woody-woodpecker, ça marcherait aussi … elle a un mega sens de la convivialité la Clopine !

// bouffes du nord dit: à

Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2014 à 14 h 48 min

C.P., je ne suis plus retourné aux Bouffes du Nord depuis le départ de Peter Brook. Oui, ce théâtre italien en ruine, caché derrière la façade d’un immeuble bourgeois, dans un quartier improbable, où j’habitais étudiant, est plein de charme. J’y ai vu Isabelle Huppert dans un délicieux Marivaux et La Tempête du grand Willy !
Un lieu encore magique aujourd’hui, pas sûr ?

Bien sûr que si, encore plus de magie, pardi ! y a eu un incendie ; la calcination a été laissée sur certains murs (et ce que j’y apprécie, c’est qu’on y a le droit, 3 mn avant le tout début, de bouger, de se glisser vers les coussins juste devant la scène, faut être bon en yoga ! de plus, de mémoire, j’y ai entendu, minimum 2 fois, Arthur H).

hamlet dit: à

faites donc comme moi, lancez-vous dans l’écriture !
moi c’est Clopine qui m’a conseillé de le faire…
du coup j’ai passé l’après-midi à la spa pour trouver un chat, je sais pas si Paul Edel en a un, le chat c’est le truc le important, tous les grands écrivain on un chat, j’en ai trouvé un super, roux à poils roux, il s’appelle Schrody, je lui acheté déjà un sac de croquettes pour le remercier pour sa contribution à mon oeuvre, le truc le plus galère du monde, encore plus galère que se coincer un doigt une porte ou se faire enlevé par des djihadistes, c’est pour choisir les croquettes, il y a des centaines de croquettes de marques différentes, que dis-je des milliers, n’empêche heureusement que personne ne lit les commentaires, si c’était le cas on serait obligés d’écrire que des trucs intéressants, misère quel stress ce serait, bon maintenant il faut trouver un bon sujet, du genre qu’on peut dire aux gens « ouai heu ce sujet heu je le porte en moi depuis des années heu, ce livre tu sais heu c’est un accouchement heu, ça c’est heu dans la douleur heu », je sais pas si la spa reprend les chats ?

Daaphnée dit: à

Cher Chaloux, vous savez les questions d’affinités dépassent parfois toute logique .
Pour ma part, j’aime bien votre présence ici et j’aime bien aussi celle du Boug’ .

Lui, parle d’un changement de morale ..

mmm … Je ne sais pas, toujours est-il que c’est curieux ce phénomène où des gens échangent depuis plusieurs années, à distance .. Comment dire … Moi, c’est cette distance ou cette grande proximité parfois, qui m’interpelle le plus ..
Plutôt, que j’aime bien observer ..

Puis, il y a cette manière particulière dont les uns ou les autres se positionnent ou non sur un sujet. Ce qui m’a le plus intéressée c’est l’article de Charles sur le plagiat, et voyez que je n’ai fait que le signaler ..
.

bouguereau dit: à

je suis gai.. tres entouré

sapré polo ! phil est seulabre sur son tabouret avec sa duvel et son kipper..lhomme heureux na pas de chemise pour pas sla tacher

bouguereau dit: à

mais cette vindicte de Chaloux à l’égard de Paul Edel me dépasse.

l’envie.vaut mieux faire envie que pitché polo

Chaloux dit: à

Daaphnée, le « changement de morale » de boumou est une vieille histoire. On est déjà passés à autre chose.

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 20 h 44 min

Explication de ténia. toujours au plus bas, le boumou. Va tout vous espliquer, par le bas, le sale, l’inavoué, ce que je disais hier.

bouguereau dit: à

baroz au wepler a pu siffler ses huîtres tranquillos.

oui oui certain(slurp)ment clopine..et gratos! et que je te cire les pompes de lassouline..c’est un malin..

Daaphnée dit: à

je sais pas si la spa reprend les chats ?

Ah mais, Hamlet, n’allez pas vous débarrasser si vite de ce chat !
Et le crayon ?
Plume ou papier ?
Comment ???
Sur votre ordinateur ???????????????
Malheur !
Vous allez continuer à faire le zouave et votre chat pourra toujours attendre ses croquettes !

C’est dommage, pour le chat .

Chaloux dit: à

Hamlet, offrez-lui plutôt une paire de bergères Louis XV. Gustave, mon chat, les adore.

bouguereau dit: à

Va tout vous espliquer, par le bas, le sale, l’inavoué, ce que je disais hier

tous les jours que dieu fait..allez

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 20 h 53 min

mais voui, vieux ténia, tout ce que tu sais faire. Et encore…

bouguereau dit: à

une paire de bergères Louis XV. Gustave, mon chat, les adore

toi aussi t’es gai et entouré..sapré chaloux

hamlet dit: à

Non, je ne veux pas jouer les rabats joies mais je dirais que, même si la religion et la culture sont destinés à élever nos âmes, les voies pour y parvenir sont très différentes. Le croyant élève son esprit vers la présence du Seigneur tout puissant et non pas vers la beauté d’une œuvre. Sans vouloir dénigrer ceux qui prennent cette route, je pense que la voie du Divin est bien plus facile à suivre. Car si l’appel de Dieu ne s’adresse qu’à l’âme, celui de l’Art et de la Culture s’adresse autant à l’âme qu’à l’esprit. Si pour un simple croyant, l’intelligence n’est pas utile pour exercer sa Foi, pour un amoureux de l’Art et de la Culture elle est évidemment indispensable. L’art et la culture nourrissent à la fois l’âme et l’esprit par un savant dosage où le moindre déséquilibre se solde par un inévitable échec. Toutefois, s’il fallait trouver un point commun entre les deux, je crois que le divin comme la culture procèdent d’un même travail d’humilité où chacun constate sa petitesse face à la grandeur d’œuvres qui le transcendent.

voilà, c’est le premier chapitre de livre.
il ne me reste plus maintenant qu’à trouver le sujet.

bouguereau dit: à

Va tout vous espliquer, par le bas, le sale, l’inavoué, ce que je disais hier

l’envie ! chaloux..l’envie..la tienne..et pense a te rapprocher d’un tatami..ça pourrait servir

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 20 h 54 min

Souvent beaucoup trop, vieux ténia. Et puis pas besoin de payer…

Daaphnée dit: à

( le mien, de chat, en ce moment me tourne le dos !
Signe qu’il est temps que je cesse ce tapotis sur le clavier .. je suis à un bout du canapé, lui à l’autre .. et il hume l’odeur du plat qui mijote à la cuisine .. Tiens, on me dit que c’est prêt .. )

Widergänger dit: à

Une minorité de ses lecteurs lisent les commentaires… (passou)
Je voudrais bien savoir comment il peut en être aussi sûr !

Il n’a aucun moyen technique de le savoir. Rien en vérité ne lui permet d’affirmer que les visiteurs qui ne commentent pas ne lisent pas les commentaires.

Ceci dit, je m’en fous…

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 20 h 56 min

J’avais compris, vieux ténia, pas la peine de répéter… Le bas, le sale, l’inavoué. Mais non…

hamlet dit: à

La vérité ? Toutes les créations artistiques, la peinture, la musique, la littérature permettent de dévoiler une partie de la vérité du monde. Toutes les œuvres d’art nous disent quelque chose de cette vérité, et sans elles, nous ne pourrions y parvenir. Mais cette Vérité ne tombe pas du ciel, elle exige une contrepartie. Cette contrepartie est la prise de risque de l’artiste lorsqu’il produit son œuvre. Chaque réalisation artistique représente une mise en danger de son auteur. Si le créateur accepte de courir ce risque, alors, dans ce cas, son œuvre nous dévoilera une vérité. Si à l’inverse, le créateur, par peur, refuse de prendre ce risque son œuvre n’atteindra jamais cette vérité. Voilà pourquoi nous ne devons avoir de cesse de louer l’admirable courage des artistes qui osent assumer cette prise de risque ! Car pour bon nombre d’entre eux cette aventure dangereuse connaît une fin dramatique !
Croyez-moi c’est un grand privilège que de voir un comédien ou un artiste véritable, total, un auteur complet, usant du verbe, de la danse, du mime, recréer son monde soir après soir. Ce qu’il raconte est né de l’improvisation, avant d’être fixé dans des livres, puis de retourner mordre la poussière des planches mais sans jamais perdre en chemin la spontanéité, la fraicheur et la vitalité de l’invention première. »

ça c’est le deuxième chapitre….
comme sujet du livre je crois que jais vais prendre le sport de combat.

hamlet dit: à

un truc hyper important pour les écrivains c’est les interviews des journalistes.
avant de me lancer dans le livre je vais commencer par préparer mes interviews sur france culture avec des réponses du genre :

« Ce serait faire preuve de vanité que refuser vos compliments sur mon ouvrage. Alors je les accepte ! Mais étant l’auteur de ce petit livre vous comprendrez que je ne peux pas parler de ses qualités, on ne peut être à la fois juge et partie. Toutefois, je veux bien répondre sur un point. Vous avez prononcer le mot « morale ». Pour l’art en général, et la littérature en particulier, la morale ne doit pas être une préoccupation. Notre seul soucis, notre seule exigence c’est, comme nous le disions, la Vérité ! Si ce livre devait receler une qualité, ce serait justement celle de refuser le mensonge. Chaque être est multiple. Je me suis rendu compte, en l’ écrivant, à quel point la littérature est un moyen de nous plonger dans cette multiplicité. L’art seul permet d’entrer dans le jeu de cette complexité. Il y parvient essentiellement dans un processus de dévoilement. Là encore, nous retrouvons des forces antagonistes : le mensonge nous éloigne de la beauté tandis que la vérité nous en rapproche. Mon livre est peut-être critiquable sur la forme, je laisse les critiques et les lecteurs en juger, mais je tiens à dire que sur le fond, il est inattaquable car il ne dit rien d’autre que la vérité. Je le dis d’un point de vue éthique, et non pas moral, car si la morale n’a rien à voir avec l’art il existe bien une éthique artistique, à savoir d’une part, ne pas faire de la beauté de l’œuvre une fin en soi et d’autre part, toujours rester fidèle et toujours sincère par rapport à soi-même. Bien sûr cette Vérité n’est pas toujours facile à dire. Ni d’ailleurs à entendre. Elle constitue toujours une prise de risque et une mise en danger de l’auteur. Vous vous en êtes certainement rendue compte si vous l’avez lu. »

Jacques Barozzi dit: à

« l’odeur du plat qui mijote à la cuisine ..  »

Quoi de bon à dîner, Daaphnée ?

Hamlet, vos commentaires accusent une baisse de régime, comment expliquez-vous comment ?

Il y a des chats aussi snobs que leurs maîtres, Chaloux, et d’autres tout aussi indépendants que leurs maîtres et qui trouvent leur confort partout !

hamlet dit: à

dans la foulée j’ai commencé à écrire le début de mon discours pour le nobel :

« Nous devons aujourd’hui tous nous battre en faveur d’une culture portant des vertus émancipatrices et humanistes… d’une culture exigeante pour le plus grand nombre. Si certains veulent détourner ce combat à leur seul profit il ne faut les dénoncer et les condamner ! Si ces gens ne possèdent pas les vertus nécessaire pour mener ce combat le mieux est de les oublier parce que la véritable culture n’a aucun besoin de s’encombrer de ces gens-là ! La culture que je connais… ma culture se situe à l’opposé de la leur. Je peux en témoigner, au nom de tous le artistes que je côtoie, jour après jour. Ces personnes admirables partagent une même mission : se battre pour imposer imposer une vraie culture… une culture qui défend des valeurs fondées sur l’humanisme et la générosité ! Permettez-moi d’insister sur ce point parce que c’est important. Nos sociétés traversent des crises très graves. Chaque heure qui passe voit la barbarie gagner du terrain. La misère la plus infâme touche une part de plus en plus grande de la population. Nous savons tous que, pour des raisons économiques, nous ne pouvons pas améliorer pour le moment le sort de ces personnes. Pour cela, il faudra se montrer patients et attendre de renouer enfin avec une croissance qui tarde à arriver. Mais faut-il pour autant abandonner ces personnes qui se sentent déjà exclues par la société ? La réponse est non ! L’art et la culture est le seul moyen à notre disposition pour leur apporter un peu de réconfort. Voilà les missions que nous nous sommes fixées : à la fois rendre les hommes meilleurs et leur apporter un peu de consolation à ceux qui en ont besoin. Voilà comment la culture peut transformer notre vie à tous ! C’est pourquoi nous devons tous nous unir pour réussir cette mission. Si nous échouons ce sera la fin de notre civilisation !!! »

il me reste plus qu’à trouver le sujet du livre.

Widergänger dit: à

Ce qui est amusant quand même, c’est que maintenant notre passou chéri avoue que son bouquin Brèves de blog n’était au fond qu’un livre secondaire, voire inutile. Enfin, quand je dis inutile, pas pour tout le monde… pour se faire de la pub sur notre dos… Sont bon qu’à ça les commentateurs… rapporter un max de fric…! ce faisant, on pousse le cynisme jusqu’à les mépriser… pourquoi se gêner, il est vrai… tas de bœufs, qu’il vous dit, notre passou chéri…!

Jacques Barozzi dit: à

« Une minorité de ses lecteurs lisent les commentaires… (passou)
Je voudrais bien savoir comment il peut en être aussi sûr ! »

Il se fie aux compliments hypocrites de ses relations et amis ?

hamlet dit: à

Jacky moi non plus j’aime pas trop la fin de celui de 21h04.
j’ai pas dû prendre le bon chat.

Jacques Barozzi dit: à

« rapporter un max de fric…! »

Pas sûr, ML. M’étonnerait qu’il y ait eu plus de 5 000 exemplaires vendus, ce qui couvre à peine les frais d’édition.

Widergänger dit: à

Si c’est ça le théâtre d’aujourd’hui…!

Et en effet c’est ça le théâtre d’aujourd’hui…

Le théâtre est mort.

Je soupçonne fort les nombreux lecteurs du blog de venir lire en douce les commentaires sans le dire à passou parce que cette nef des fous a je ne sais quoi de jéromeboschien en diable tout à fait dans l’air du temps, le théâtre des fantômes…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…quels, nuls,!…
…pas capable de poser la Roseta comme il faut sur une si grande comète,!…
…près d’un abîme intérieur, comme une bouche d’aspiration, à première vue,!…

…comète qui à l’air bizarre,!…pourvu que c’est pas un camouflage d’extra-terrestre sur le tard,!…venir se réchauffer le nombril autour du soleil,!…Costa del Sol,! Ollé,!…

…même pas, un double-jeux de longues pattes amovibles ( comme les araignées ),!…pour atterrir et déambuler sur cette comète,!…

…lamentable la technologie  » européenne « ,!…Cinéma politique, tout au plus,!…pour la bande à Bordeaux – Mickey – Mousse,!…

…ingénieurs de merde,!…ou vont nos impôts,!…envoyez en l’air,!…la part des anges,!…
…encore du mousseux,!…quel horreur,!…
…Ah,!Ah,!…toute une équipe à l’image ridicule du progrès,!…

…faite du porno-politique, c’est plus dans vos compétences technologiques,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…etc,!…
…Go,!…etc,!…

Chaloux dit: à

Notre chat, Jacques, c’est un voyou noir et blanc pas snob pour deux sous que nous avons pour ainsi dire ramassé dans le caniveau. Surtout d’une intelligence et d’une finesse stupéfiantes dans ses relations avec -tous-les autres. (Et snob, pas besoin de l’être pour aimer les belles choses).

Widergänger dit: à

T’es naïf, Baroz, ou t’es con ?

Il ne s’agit pas du tout du livre. T’as pas encore compris que le livre n’était là que comme une amorce pour la rentrée publicitaire qui fait de ce blog une véritable petite entreprise qui rapporte gros ?!

Tu piges, là ? Ou faut te faire un dessin ? Mon pov Baroz, tu feras bien toujours parti des enculés dans ce monde de rapaces !

Daaphnée dit: à

Hé bé. V »la que les rapa

renato dit: à

« Je voudrais bien savoir comment il peut en être aussi sûr ! »

Il est chez WordPress, si je ne fais erreur, donc… il a l’accès aux statistiques et aux adresses IP… il y a de quoi se faire une idée…

Daaphnée dit: à

??????

Bon, je retourne à Auster …

Widergänger dit: à

il a l’accès aux statistiques et aux adresses IP… il y a de quoi se faire une idée… (renato)

L’idiot du village a parlé !

Les adresses Ip n’ont jamais permis de savoir s’ils cliquait pour lire les commentaires ou pas, tartuffe !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…parler pour ne rien dire,!…des envies de se faire baiser,!…rémunérer,!…
…un peu les fils de putes de la culture,!…
…d’une église à l’autre, le bouillon de culture,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…Go,!…etc,!…

Widergänger dit: à

bouguereau dit: 13 novembre 2014 à 21 h 24 min
moi…je veux être rénuméré!
Òn va fonder un syndicat pour défendre les intérêts des forçats du blogage.

On va demander une rémunération au prorata des rentrées publicitaires. Sinon, on fait la grève des commentaires ! Pu de pub ! Couic ! Out !

Widergänger dit: à

How is it that someone sharing my world wrote this book that I perhaps find strange and difficult?

Que de préjugés ! Comme la littérature ancienne était plus facile à lire que la littérature moderne !

Qu’est-ce qu’on peut faire avec des gens qui pensent comme des pieds ?

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