de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Dieu et le diable sont dans les détails

Dieu et le diable sont dans les détails

On en connaît qui se prennent pour Bartleby le scribe : de leur propre aveu, ils préfèreraient ne pas. On en sait qui se croient Bloom échappé d’Ulysses dès qu’ils consacrent une journée à traverser Paris. On en a vus si légers et si paisibles qu’ils avaient carrément pris Plume comme nom de plume. On en croise même qui, tel Gonzalo M. Tavarès, repeuplent leur bairro lisboète des ombres familières de  M.M. Kraus, Walser, Calvino, Brecht, excusez du peu ; ou tel Enrique Vila-Matas qui se prend pour tout ce qu’il lit . On peut supposer que son admirative empathie pour Pessoa a du plus d’une fois pousser Antonio Tabucchi à épouser l’identité multiple de ses hétéronymes. Mais on n’avait encore jamais croisé le chemin d’un spécimen aussi doux que Jean-Louis Schefer en son Monsieur Teste à l’école (80 pages, Pol). Ce n’est pas un essai sur un essai, ni une analyse universitaire, mais bien une rêverie, une promenade enchantée, le règlement d’une dette envers le personnage de fantaisie imaginé par Valéry jeune : “La bêtise n’est pas mon fort” écrivait-il en un incipit qui déjà nous conviait aux noces de l’intelligence et de l’humour.

Des années que Jean-Louis Schefer accumule des notes où est repérée cette vibration thématique sur l’énigme et les incertitudes du moi, Valéryen depuis ses 15 ans, l’âge où on apprend par cœur Le Cimetière marin et un peu moins par cœur La Jeune Parque : « J’aimais secrètement M. Teste chez qui je devinais un allié » avoue-t-il. Rien de moins assuré avec un homme de verre sans cesse en représentation. Corps sans ombre, ombre sans corps, la syntaxe est sa grande affaire, avec l’exploration de ses sensations. Plutôt que de perdre son temps à chercher le succès littéraire, il l’a employé à trouver les lois de l’esprit. Preuve qu’on peut penser sans livres. Teste est en théorie un modèle psychologique. La quarantaine, le débit rapide, épris de précision. Né du hasard, il y est retourné.

“Et si cet homme qui se construit en laboratoire, comme l’alambic de ses pensées, était un personnage ?” A prêter l’oreille tant au livre de Valéry qu’à celui de Schefer, on croit percevoir la mélodie d’une gymnopédie littéraire. Sa pensée avance non par fragments mais par cristaux. L’auteur a été jusqu’à s’étourdir dans la lecture compulsives des Cahiers de l’oncle Paul, ce laboratoire à ciel ouvert où l’intelligence de l’essayiste est en fusion permanente dans des éprouvettes à forte densité poétique. Heureux homme qui avait tué la marionnette en lui. Ce n’était pourtant qu’une vie de papier. Jean-Louis Schefer a réussi à lui donner corps sans rien en trahir.

Mettant son cœur à nu, Baudelaire eut dit de ce « Tombeau de M. Teste » qu’il est fait d’une émeute de détails. Qu’eut-il dit alors de Ces choses-là (297 pages, 17 euros, POL) de Marianne Alphant, livre également hors-genre qui, remarquons-le, paraît chez le même éditeur. On va finir par croire que POL est avec Verdier le lieu de refuge privilégié pour une certaine liberté de ton, une fantaisie qui réclame le droit à la divagation, à la broderie de mots et à la légèreté. C’est bienvenu, d’autant que l’auteur, qui connaît son XVIIIème sur le bout des doigts, siècle volage qu’elle a su attraper, a sous la plume la grâce et la sprezzatura nécessaires pour balayer le fatras de son érudition et n’en conserver que les traces volantes. De quoi l’autoriser à interpeller régulièrement « madame l’Histoire » sans faire de chichis.

De quoi s’agit-il ? De détails, ces débris de la vie, ces petits importants, ces petites choses, ces petits faits affolants, ces petits riens qui sont tout, qui ont la vertu de rallonger le temps. Autant dire des détails traités en majesté. Sade et son sistème chiffreur. L’étoffe de mazulipatan vieux rose couvrant le cou de Chardin en son autoportrait. Boswell écrivant à Samuel Johnson dans une église de Wittenberg couché sur la pierre tombale de Melanchton. Détails ! Diderot fuyant des cygnes en courant et se blessant au pied chez Mme d’Epinay. Le prince de Ligne décidant d’écrire sans ordre ses mémoires. Sade donnant à sa femme la mesure précise d’un étui masturbatoire. Lavisse en ses petites vignettes. Détails ! Détails ! La clé de la chambre de Cécile que Mme de Volanges garde sur sa cheminée et dont Valmont tente de faire un double. La jeune princesse de Lamballe soufrant d’une galanterie donnée par son mari. Le duc d’Orléans montre une impertinente disposition à rire sous cape. Les amants de passage s’appelaient des « voltigeants ». Beaumarchais perdant la clef du billard dans le lit de sa maîtresse. Détails ! Détails ! Détails ! Là que se dissimule la clef, le point, le moment, le rosebud, la beauté des enchaînements. Autant dire l’essentiel.

L’énoncé même de leur inventaire dégage une douce musique quand c’est Marianne Alphant qui tient la baguette. Quelque chose d’un éphéméride saisi par la poésie de l’Histoire. On voit ses goûts. Ses dégoûts aussi. Lamartine abhorré en prend pour sa grade. Forcément, un homme si empathique pour les orateurs, un ennemi du détail alors qu’il forme le regard ; on ne fait pas plus sec, à l’opposé d’un Saint-Simon qui en fait son miel. Marianne Alphant, elle, n’aime rien tant que crébillonner, marivauder, fragonardiser, mesmériser, casanover.

S’emparant de chacun de ces détails longs d’une ou deux lignes, auquel le roi était dit-on le plus attentif des hommes, Roland Barthes eut sans aucun doute tiré autant de biographèmes de dix pages chacun. Marianne Alphant rend justice à un fauteuil d’époque en une phrase par la seule observation de la cannelure des pieds, ses tigettes à culots et autres ornements. A d’autres, à Jean-Louis Schefer par exemple, qui sait, de déterminer qui se niche dans leurs agréments, de Dieu ou du diable.

(Photos Andrew McConnell et Eliott Erwitt)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

763

commentaires

763 Réponses pour Dieu et le diable sont dans les détails

de nota dit: 11 avril 2013 à 23h06

« Un jour que champêtrement,par raffinement de volupté sur laquelle on se blase en ville,j’avais une bien belle et excellente bonne fortune dans l’épaisseur du bois de P,dans le moment le plus intéressant,un bruit affreux se fait entendre en s’approchant de nous avec la plus grande rapidité.
A peine eus-je le temps de me dire:voici enfin la punition de tous mes pêchés et entre autres de celui qui se consommait que,quoique je regardasse à terre plutôt qu’au ciel,je vois sauter trente biches au-dessus de notre tête.On conviendra que c’était bien de quoi arrêter le pêcheur le plus endurci. »

Giovanni Sant'Angelo dit: 11 avril 2013 à 23h41

…la nature n’attend pas le nombres d’années de raison,…pour se ficher ou s’afficher la gloire du seigneur,…
…et l’occasion préparée fait le larron en robe de chambre,…le ridicule ne tue pas,…il exacerbe le dressage des biches,…pour un quatre roues motrices,…
…des prétextes pour faire commerce avec Dieu et le Diable de consort en projection et connivences,…
…etc,…

Polémikoeur. dit: 11 avril 2013 à 0h19

« Rosebud » est plus qu’un moment :
et la fin et le commencement.
Empèchement.

Polémikoeur. dit: 11 avril 2013 à 0h21

Pourquoi dit-on Dieu, d’une part,
et « le » diable, de l’autre ?
Articulièrement.

Polémikoeur. dit: 11 avril 2013 à 0h24

Le détail pratique du diable,
est logé dans ses roues.
Et dans ses poignées.
Transbordement.

Lycaeides idas nabokovi dit: 11 avril 2013 à 0h45

Mis en ligne, par mégarde, sous le fils précédent.

« God is in the details »
Ludwig Mies van der Rohe
Aby Warburg
Gustave Flaubert
Michel-Ange
Anonyme.

« Less is more ».

En l’absence d’un clou on perdit le fer à cheval
En l’absence du fer à cheval on perdit le cheval
En l’absence du cheval on perdit le cavalier
En l’absence du cavalier on perdit la bataille
En l’absence d’une bataille on perdit le royaume

Mais d’un autre côté, le perfectionnisme n’est pas toujours le bon chemin car « le diable est dans les détails » et trop de détails peuvent nous détourner de l’objectif principal.

Giovanni Sant'Angelo dit: 11 avril 2013 à 2h32


…Oui,…par mégarde je t’ai répondu, aussi sur le fil précédent,…
…God save the Queen,…et les stratifications en détails,…my Lord’s,…nombriliste à deux balles,…
…etc,…

Lycaeides idas nabokovi dit: 11 avril 2013 à 2h49

In ‘The Lost World’ Malcom dit à Levine : « Parle de ton Dieu, le mien est dans le processus »

JC dit: 11 avril 2013 à 5h03

Il est regrettable que les détails qui donnaient du goût à la vie disparaissent les uns après les autres de notre remue-ménage quotidien. On perd petit à petit la joie de passer d’un état à un autre, de vaincre les mille petites barrières de code… Dommage…

Prenons l’apartheid ! Quel détail merveilleux, ce lavabo interdit aux colorés ! J’imagine le lavabo Mauvaise Langue et au bout d’un long raccord tubulaire, une petite merdouille en faience, blanche, bien suffisante pour Abdel ! Quelle belle époque !… où le métissage était erreur nocturne dans la solitude des colonies impériales et non objectif à atteindre ! c’était le bon temps … La Maison Blanche était white only…

Il n’y a pas si longtemps, n’avez vous jamais apprécié dans certaines entreprises de petites dimensions, la subtile distinction entre les toilettes PERSONNEL et DIRECTION ? Quel charme fou dans les détails hygiéniques : le torchon immaculé du personnel … lequel allait souiller volontairement la serviette dégueulasse des dirigeants de leurs pognes graisseuses d’ouvriers sans éducation ! Détail charmant …

Et le Mariage ! Par le passé, on mariait une bite à un con, un con à une bite : le détail était important. Demain peut-être, on mariera deux bites, ou deux connes …! Détail perdu, la diversité, l’altérité sexuelle …

Mais ne désespérons pas : il restera beaucoup de détails ajoutant de la diversité au monde. Car c’est dans la nature humaine, tout ce qui s’est voulu égalitariste a échoué, battu en brêche par cette maudite caractéristique : l’individu trouve son miel, justement, dans les détails.

Lycaeides idas nabokovi dit: 11 avril 2013 à 5h24

Étant donné que son incapacité de faire la différence entre individualisme et connerie est manifeste, JC qui cause individualisme c’est quand même cocasse. D’ailleurs on ne peut ne pas suspecter que l’idée qu’il s’est fait de l’égalitarisme et de l’individualisme est plutôt approximative ; mais bon, on ne va pas fignoler là-dessus, il suffit de rappeler qu’il cause de liberté d’expression en France en se fondant sur la Constitution des USA… détail qui suffit à le disqualifier définitivement…

JC dit: 11 avril 2013 à 5h53

Oui, renato, oui ! les autres sont des imbéciles qui ne t’arrivent pas à la cheville, tous ! tous ! Souffrance, souffrance d’iceux, pauvres nuls, soumis à ta jugeotte infiniment sûre, ahahaha ! Bonne journée !

Alexia Neuhoff dit: 11 avril 2013 à 6h00

@ de nota
Un saut de 3O biches dessinent un accent circonflexe sur les « péchés » et le « pécheur », du prince de Ligne (il est vrai).

Lycaeides idas nabokovi dit: 11 avril 2013 à 6h02

Il vous arrive de vous relire JC ? Il vous arrive de réfléchir de temps à autre ? On peut en douter. Par exemple, vous dites : « Détail perdu, la diversité, l’altérité sexuelle … »

Perdu ? Où, quand, comment, pourquoi ? à cause de la possibilité qui serait donnée aux homos de se marier ? ça change quoi dans mon économie de vie ? rien, puisque la sexualité de l’autre ce n’est que son affaire, c’est son individualité qui est en jeu, pas la mienne, ni la votre d’ailleurs. Puis, parce que l’altérité sexuelle reste que cela vous plaise ou pas.

guillaume dit: 11 avril 2013 à 6h55

Pour les aigris, comme jc, tout ce qui n’est pas pourri est bête, prétexte à railler

nelson dit: 11 avril 2013 à 6h59

« Prenons l’apartheid  »
l’apartheid, cher à maggie thatcher (grande amie de pinochet

bouguereau dit: 11 avril 2013 à 7h08

je vois sauter trente biches au-dessus de notre tête

ça c’est une levrette..bravo denota, c’est plus moral que tintin tuant son tas de gazelle

Alexia Neuhoff dit: 11 avril 2013 à 7h14

« On conviendra que c’était bien de quoi arrêter le pécheur le plus endurci. »
Eh bien, bouguereau, je vous attendais sur cette débandade… (des biches, évidemment)et… rien.

bouguereau dit: 11 avril 2013 à 7h16

où le métissage était erreur nocturne

qui éclate au grand jour..un des critères pour définir les race c’est la non interfécondité comme ils disent..tu peux te metisser nuitamment avec les chèvres jicé et si tu fais bien gaffe de pas manger au même ratelier le jour..ça peut rester ton secret bien gardé

Que fait le Redresseur Productif ?....... dit: 11 avril 2013 à 7h16

Du 17 avril au 13 mai, 5.000 des 5.600 salariés de l’usine PSA de La Janais seront au chômage partiel. Aucune voiture ne sera construite au cours de cette période…

bouguereau dit: 11 avril 2013 à 7h23

« On conviendra que c’était bien de quoi arrêter le pécheur le plus endurci. »

je crois qu’il y erreur..si on enquête façon castle..on voit la chose en deux temps, 1) le bruit et la peur d’être surpris par l’homme, sa même espèce, peut être le mari ou des chasseurs bavards..mais quand on voit que c’est une autre espèce en diable, ou dieu..ça c’est pas un détail bordel de cul

Dieu......... dit: 11 avril 2013 à 7h23

Les jours pairs, je me cache dans les détails de Lycaeides idas nabokovi, et le diable, lui, dans les détails de Bouguereau. Les jours impairs, on échange nos bêtes.

Lycaeides idas nabokovi dit: 11 avril 2013 à 7h27

« Les jours pairs, je me cache dans les détails de Lycaeides idas nabokovi… »

Voilà qu’un jour sur deux j’auberge un ténia.

bouguereau dit: 11 avril 2013 à 7h29

Beaumarchais perdant la clef du billard dans le lit de sa maîtresse. Détails ! Détails ! Détails ! Là que se dissimule la clef, le point, le moment, le rosebud

et bien oui lassouline..lacan dirait qu’une clef y tient facilement

de nota dit: 11 avril 2013 à 7h30

Alexia,vous connaissez intimement le Prince?
Quant à l’accent circonflexe qui figure le saut de la biche,alors là,je m’incline.

Diable, Assouline ! .... dit: 11 avril 2013 à 7h54

Dieu seul sait pourquoi vous avez fait le choix de cette première image ! Appropriation indue d’un trottoir de Kinshasa par un colonialiste local ? Violoncelliste indigène préférant manifestement Bach à l’entretien de cette enclave urbaine ? Saleté des lieux et de la ville ? Musique comme espace de liberté dans un enclos étouffant ? Bizarre.

berger solitaire luxembourgeois....... dit: 11 avril 2013 à 8h09

bonjour. je vis avec mes chèvres. est-ce vrai que je pourrais me marier avec en france bientot grace nouvelles lois ? sans préferer l’une , toutes épousées en même cérémonie ? merci.

Polémikoeur. dit: 11 avril 2013 à 8h10

Sans oublier le « détail »
assorti d’une « question »
d’un aboyeur politique,
bête au ventre fécond,
père d’une dynastie
plus vague que marine.
Détail, petite quantité
ou exception de qualité ?
S’y arrêter, là, ou pas ?
Pairfecsionnement.

versubtil dit: 11 avril 2013 à 8h15

Passionnant billet pour un auteur tout aussi intéressant!
Peut-on épouser la religion ( diable et/ou bon Dieu) des détails?

Lycaeides idas nabokovi dit: 11 avril 2013 à 8h23

berger solitaire luxembourgeois, si vous êtes pressé vous pouvez voir en Espagne, au Royaume Uni… puis, Argentine, Canada, Mexico, Brésil, Pays-Bas, Belgique, Portugal, Danemark… reste que votre question est tellement con que l’on dirait du JC.

John Brown dit: 11 avril 2013 à 8h28

« On va finir par croire que POL est avec Verdier le lieu de refuge privilégié pour une certaine liberté de ton, une fantaisie qui réclame le droit à la divagation, à la broderie de mots et à la légèreté. »

Bof. On pourrait en dire autant des éditions de Minuit, des Solitaires intempestifs et de pas mal d’autres, y compris la NRF, Grasset ou Flammarion. Ceci dit, un coup de chapeau en passant à l’éditeur d’envergure moyenne, c’est sympa et ça ne mange pas de pain.

John Brown dit: 11 avril 2013 à 8h36

« Passionnant billet pour un auteur tout aussi intéressant! » (rédigé par versubtil)

Bof. Honnête billet d’un honnête critique pour un auteur honnêtement intéressant. Equitable, non ? Dans le genre laudatif, il est bon d’en garder toujours sous le pied.

berger solitaire luxembourgeois....... dit: 11 avril 2013 à 8h38

qui est jc ? jesus christ ? jerome cahusac ? jean calvin ? merci.

Phil dit: 11 avril 2013 à 8h40

POL (avec fayard) ont exclu camus. cette liberté de ton a le spectre limité.
Barthes eût..défendons le subjonctif.

@ Lycanthrope de Colmar..... dit: 11 avril 2013 à 8h44

Les questions de jicé sont cons mais tes réponses encore plus cons. Il simule, il dissimule, et toi, tu n’es jamais drôle, pauvre type !

yves dit: 11 avril 2013 à 8h47

« je vis avec mes chèvres. est-ce vrai que je pourrais me marier avec  »

pauvre jc, lâché par la thatcher son idéal

Lycaeides idas nabokovi dit: 11 avril 2013 à 8h48

Pauvre type ? fort possible… mais… est-ce que être drôle est ici une obligation ? Non, parce que si cela est le cas vous devriez vous abstenir aussi de participer…

Polémikoeur. dit: 11 avril 2013 à 8h57

Un détail ?
« J’ai rêvé alors que les têtes les plus fortes (…/…)
devaient être (…/…) des hommes qui meurent sans avouer » (« in » P. Valéry).
Actuellueusement.

Nicéphore dit: 11 avril 2013 à 9h00

Est-ce vraiment Nietzsche qui est l’auteur de cet adage : « Der Teufel im Detail » ?

Phil dit: 11 avril 2013 à 9h12

La mode est aux notules, détails et scories littéraires accesibles au public non-lecteur.
Valéry publiait en pleine guerre son « Tel Quel », version alimentaire de sa prose comme le déplorait Gide. Aujourd’hui une littérature de rationnement est livrée sans coup férir.

@ Lycanthrope de Colmar..... dit: 11 avril 2013 à 9h13

Non mais ! qu’est ce que tu crois que nous faisons ici sinon nous distraire en attendant la mort ?

bouguereau dit: 11 avril 2013 à 9h19

dieu/diable est dans les détails a une valeur soit métaphysique soit esthetique, pour ça qu’elle semble contradictoire, elle sont esseclusive..suffit de se référer par exempe au rasoir d’ocaz, le détails y est necessaire donc divin..le diabolos en metaphysique est forcément un détail..ou alors on est manichéen..ça s’encule réciproquement mais pas en même temps, c’est quantique

Lycaeides idas nabokovi dit: 11 avril 2013 à 9h20

Et naturellement, le Lycanthrope, on doit obligatoirement se distraire selon vos critères, pas que chacun exprime sa diversité ou son individualité… ce serait une transgression gravissime, n’est-ce pas…

bouguereau dit: 11 avril 2013 à 9h23

nous distraire en attendant la mort ?

j’en ai assez chié avec godot renato

Beatrice d'anjou dit: 11 avril 2013 à 9h24

un des premiers actes d’aurelie philipetti est de virer un excellent auteur dramatique et metteur en scène, Jean Marie Besset qui travaille à Montpellier.. . je trouve ça pathétique car nous avions déjà tres peu d’auteurs dramatiques vivants excellents à la tête d’un théâtre subventionné. Estce parce qu’il a été joué dans des théâtres privés? est-ce parce qu’il a été nommé par Frederic Mitterand?

Lycaeides idas nabokovi dit: 11 avril 2013 à 9h27

« j’en ai assez chié avec godot… »

Faut dire ça au Lycanthrope bouguereau, il semble que la chose le trouble.

bouguereau dit: 11 avril 2013 à 9h27

gymnopédie

..surement un machin a faire dans les bois avec les biches

bouguereau dit: 11 avril 2013 à 9h32

Estce parce qu’il a été joué dans des théâtres privés? est-ce parce qu’il a été nommé par Frederic Mitterand?

..sur un tel geublo que celui ci tu devrais venir avec de l’analyse et de la prise de risque..un peu de courage politique que diable jicé !

@ Lycanthrope Bouguereau dit: 11 avril 2013 à 9h34

« ça s’encule réciproquement mais pas en même temps, c’est quantique »

T’as rien compris au monde quantique ! là où les gode-ceinture ne sont que diables en détails, là où la Verge Marie est putain de Mohammerd et Bayrou, folle de Chaillot !

bouguereau dit: 11 avril 2013 à 9h42

là où la Verge Marie est putain de Mohammerd et Bayrou

c’est la théorie des multivers décohérents..est ce que dieu est le même pour chacun ou est ce que lui même y est à chaque fois different..sinon comment comprendre un musulman disant que dieu est trois fois le même

Mandelbroute, benoîtement..... dit: 11 avril 2013 à 9h46

Le propre du divin, et du gouvernement actuel, c’est l’incohérence documentée, le chaos structuré.

Polémikoeur. dit: 11 avril 2013 à 9h51

Un « détail » peut réellement compromettre
un ensemble bien plus imposant que lui.
Un chouïa sur un réglage mécanique,
une seconde d’inattention, un microbe,
qu’ils tombent au « bon » moment et…
Papilionestiquement.

Ville de Paris.... dit: 11 avril 2013 à 9h51

Nous ne souhaitons pas donner le nom de Margaret Thatcher à l’une de nos impasses. Par contre une Avenue Besancenot, un Carrefour Melenchon, cela peut être envisagé par Anne Hidalgogo. A voir.

Polémikoeur. dit: 11 avril 2013 à 9h55

Hexagérer : outrepasser la limite des cinq sens.
Demidouzainement.

bouguereau dit: 11 avril 2013 à 10h01

le nom de Margaret Thatcher à l’une de nos impasses

..tu ne respecteras donc jamais rien jicé

bouguereau dit: 11 avril 2013 à 10h02

Polémicoeur, vous exagérez.

un pet de none dans la main d’un cardinal argentin sur une vieille k7 d’edwy.. et c’est le tremblement de terre a rome

bouguereau dit: 11 avril 2013 à 10h04

c’est comme une nonagrègue..on l’est tous ou presque..ceux qui l’ont..des détails merde

Polémikoeur. dit: 11 avril 2013 à 10h08

Une voie de garage Maggie
en hommage à son action
pour les chemins de fer.
Detraverseusement.

John Brown dit: 11 avril 2013 à 10h37

 » JB, »honnêtement » est de vous..Et vous le laisse.
Avez-vous lu Schefer?  » (rédigé par versubtil)

Soyons honnête , je ne l’ai pas lu.

Bien à vous.

xlew.m dit: 11 avril 2013 à 10h43

Je suis agnostique dans cette histoire de Dieu qui détaille la bimbeloterie du diable et du diable qui retaille la verroterie de Dieu dans la littérature, à tous les coups l’indigène-lecteur qui est en moi se fait avoir, je me retrouve toujours avec deux aspirateurs à chaque passage du représentant, qu’il soit d’origine divine ou diablotine, qu’il me propose un roman Dyson sans sac ou une nouvelle Hoover à eau, je tombe dans ses filets et achète tout en double. Personnellement j’appelle de mes vieux un « choc de simplification » dans la littérature, généraliste comme universitaire, française. Que naissent cent mille écrits courts, nerveux, qui ramassent enfin bien les élevages de poussière éditoriale dans les coins et fassent leur fête au bétail acarien qui adore se planquer jusqu’au coeur des plus infimes intrigues et vétilles des moquettes et leurs émeutes de récits en polyester qui eux-mêmes ne dédaignent jamais de se diffuser en aérosols dans le retable sacré de nos narines pour aller chatouiller nos cellules olfictives de poëte…et que trente bichettes viennent me brouter l’occiput et me bouffer les implants capillaires si je ne suis pas sincère.

Polémikoeur. dit: 11 avril 2013 à 10h46

Problème avec un adverbe ?
Des solutions : garde et accueil.
Temporaires ou définitifs.
Recyclement.

Polémikoeur. dit: 11 avril 2013 à 10h52

« Que trente bicyclettes
viennent me brouiller l’écoute
et me sonner les clochettes ? »
Cet endroit est bizarre !
Granbraquettement.

Dieu..... dit: 11 avril 2013 à 10h57

le Diable est une invention à moi, favorisant la moralisation forcée de mes créatures. Succès relatif….

Le gardien du phare de l'île du Docteur Mort aux... dit: 11 avril 2013 à 11h12

tu peux te metisser nuitamment avec les chèvres jicé

jicé, c’est un genre de Jean-Louis Schäfer qui teste sur ses brebis et ses autres bestiaux la possibilité de son île ouverte au coït inter-espèces.L’île du Dr Moreau, quoi. »Ouvert, l’âne nuit » ça s’appellerait. Ca paraîtrait aux Emissions de Minuit et passou se fendrait d’un p’tit bifton.

Polémikoeur. dit: 11 avril 2013 à 11h27

13 « Républiques de la Culture »
multicolorées en approche !
Cette richesse est-elle déclarée ?
Sa provenance est-elle connue, licite ?
S’arrêteront-elles à 13 à la douzaine ?
Qui contrôle la « holding » ?
Transparentalement.

Polémikoeur. dit: 11 avril 2013 à 11h31

Quota de participation de l’abonné de base atteint.
Ottocensûrement.

exeat dit: 11 avril 2013 à 11h38

et la censure compulsive , c’est aussi un détail, ?ne dites pas angélique , dieu risque de sortir de son diable à provisions

bérénice dit: 11 avril 2013 à 11h43

xlew je veux bien faire la bichette puisque vous semblez sincère quoique ça ne suffise à inscrire une politique éditoriale dans la réalité des vies alors que tout pousse à constater que l’on peut sincèrement mentir, mentir au nom de la sincérité .

bérénice dit: 11 avril 2013 à 12h00

exeat votre « survous » laisse à désirer? problème de joints d’étanchéité? Contactez d’urgence les services compétents ne laissez pas le sous-sol vous gâcher le salon.

Misère de misère..... dit: 11 avril 2013 à 12h03

Imbécillité du monde. Berheim démissionne, Hollandouille ne démissionne pas ! Paille et poutre. Chienlit merdique.

bérénice dit: 11 avril 2013 à 12h05

xlew j’imaginais sans peine que vous disposiez d’une autre proposition et que vous aimiez les bichettes mais puisque vous ne donnez suite… je désespère

bérénice dit: 11 avril 2013 à 12h08

Un homme de synagogue ne peut en rien être comparé à un homme d’état y compris dans cet état où nous sommes rendus, a-t-on connu des précédents de ce genre?

cataploc dit: 11 avril 2013 à 12h09

Misère de misère….. dit: 11 avril 2013 à 13 h 03 min
Hollandouille ne démissionne pas !

Pourquoi démissionnerait-il ?

Misère de misère..... dit: 11 avril 2013 à 12h10

Effectivement comparer un type comme Bernheim et un connard comme l’andouille serait une insulte à l’intelligence de l’observateur !

exeat dit: 11 avril 2013 à 12h13

la démission du grand rabbin : c’est sans doute l’intelligence , mais un pape ?

exeat dit: 11 avril 2013 à 12h17

@bérénice dit: 11 avril 2013 à 13 h 00 min
mettez votre survet pour aller voir votre titus, même s’il crèche encore au diable .

bérénice dit: 11 avril 2013 à 12h17

Misère le gouvernement précédent a su habiller ses propres échecs avec un certain dynamisme affiché qui d’ailleurs n’a pas leurré les électeurs la partie est extrêmement difficile non seulement il faut opter pour les bonnes mesures mais en cas de mauvais résultats ne pas perdre de vue que les loups guettent.

John Brown dit: 11 avril 2013 à 12h18

« Misère de misère….. dit: 11 avril 2013 à 13 h 03 min
Hollandouille ne démissionne pas !

Pourquoi démissionnerait-il ? » (rédigé par cataploc)

Grand rabbin ou pas, un plagiaire est un voleur. Berheim et Cahuzac devraient bientôt, chacun avec ses titres particuliers à y figurer dans un prochain « dictionnaire amoureux de nos élites voleuses. Que celui qui l’écrira n’oublie pas d’y joindre Macé-Scaron.
Hollande, quant à lui, n’a encore plagié personne. Même pas Mélenchon, c’est dire.

Misère de misère..... dit: 11 avril 2013 à 12h19

Il y a une différence qui vous échappe entre l’emprunt et le vol…

Misère de misère..... dit: 11 avril 2013 à 12h21

John Brown, vous avez vous aussi plagié, n’est ce pas ? Avouez !

John Brown dit: 11 avril 2013 à 12h26

Bernheim a délicatement qualifié d’ « emprunts » la série de ses plagiats. C’est fou ce que nos élites ont le sens de l’euphémisme quand elles sont prises la main dans le sac. En somme, c’est ce que les anarchistes appelaient la « reprise individuelle ». Alors quoi, Bernheim, ni dieu ni maître ? — Bof, plagiat et emprunt, c’est tout un, n’importe quel dictionnaire des synagogues vous le dira.

Phil dit: 11 avril 2013 à 12h27

même cette littérature, aujourd’hui commentée, est une littérature de plagiaire.

John Brown dit: 11 avril 2013 à 12h28

« John Brown, vous avez vous aussi plagié, n’est ce pas ? Avouez !  » (rédigé par Misère de misère)

Je n’ai jamais pratiqué que le plagiat par participation, cher à Pierre Bayard.

bérénice dit: 11 avril 2013 à 12h29

J Brown que dire de l’arrangement musical? En quoi diffère-t-il d’un plagiat
J Cahuzac a pour le moment soustrait une partie de son patrimoine à l’impôt.
Berheim falsifie son identité sous réserve qu’un diplôme serve encore de trait d’identité.

Misère de misère..... dit: 11 avril 2013 à 12h30

Grand dieu, non !
l’emprunt est un acte amical : vous empruntez une femme mariée tous les jeudi.
le vol, vous finissez par l’épouser…

Misère de misère..... dit: 11 avril 2013 à 12h33

cataploc dit: 11 avril 2013 à 13 h 09 :
« Pourquoi démissionnerait-il ? »

Par respect pour la fonction.

John Brown dit: 11 avril 2013 à 12h38

Hier matin, au Louvre, je surprends une jeune pickpocket romano-bulgare en train d’explorer mon sac. Superbe, au demeurant, l’oeil en velours et l’avant-scène salle Richelieu.

— Mais, mademoiselle, que je lui fais, vous n’y songez pas : je suis l’ex- grand rabbin Bernheim.

— Moi, qu’elle me répond, impressionnée, c’est Esméralda. On sait tes exploits. Tu viens avec nous ?

Depuis, fou d’amour, je fais les poches aux Japs sous la pyramide.

exeat dit: 11 avril 2013 à 12h41

un plagiat est quand différent de l’adaptation réécrite de l’idée d’un autre qui requiert une intelligence particulière , et se trouve parfois renforcée par la mention de la source originale citée dans le texte , et avec tous les détails .
G.Bernheim a été vraiment  » rapide ». maintenant qu’il a démissionné, c’est clos , pour ce qui le concerne en personne d’ailleurs on a remarqué , surtout J.A.M d’ailleurs, l’incidence d’internet sur ce questions d’identités et d’identification.
est-ce raison suffisante de dire Internet Dieu et Diable ?

Amicale des Fraudeurs Socialistes dit: 11 avril 2013 à 12h42

Notre ami Jérôme n’a pas fait pire que Guérini. Pourtant, il est exclu du PS et le mafieux marseillais ne l’est pas.
Cherchez l’erreur !
Vous tomberez vite sur la magouille….

exeat dit: 11 avril 2013 à 12h45

Par respect pour la fonction.
Même s’il alléguait cette raison, je suppose qu’il en a de plus fortes.
Sa position était devenue intenable, un pourrim permanent

Entendu dans un confessionnal à Porquerolles...... dit: 11 avril 2013 à 12h47

Lorsque je tente une approche de dieu dans mes lectures, le diable s’agite, se tortille, dans ma culotte !

cataploc dit: 11 avril 2013 à 12h55

Par respect pour la fonction.

??
Ça se comprendrait s’il avait commis une faute.
Je suppose que vous êtes partisan du camp adverse. Mais a-t-on jamais demandé à Sarkozy de faire la politique PS ? Pourquoi Hollande devrait-il faire la politique de l’UMP ?
Pour être aussi faible intellectuellement, vous devez être JC.

Camping adverse dit: 11 avril 2013 à 12h58

Cataploc, le signe de faiblesse intellectuelle est partagé bien au-delà d’un seul !

exeat dit: 11 avril 2013 à 13h00

excuses>j’avais cru que vous parliezde Cahuzac . Je fais
mon pourrim Je sors .
Bonne journée

exeat dit: 11 avril 2013 à 13h04

sur ceS questions
la recherche de plagiat est une activité qui ne m’intéresse rait pas plus que de commettre des plagiats.question d’histoire personnelle me semble-t-il et d’avoir détesté des personnes qui empruntaient des expressions heureuses de tiers.
Cette affaire m’a rappelé une histoire de jumelle qui m’a été racontée par leur tante, e crois , (une parente proche) qui se partageaient la tache, et l’une allait passer les épreuves d’examens et concours de l’autre .
j’ai déjà vu bien des hommes confondre sincèrement des femmes qui ne se ressemblaient pas du tout .

Info du jour dit: 11 avril 2013 à 13h08

Le Monde:
Le grand rabbin de France Gilles Bernheim a annoncé sa « mise en congé » avec effet immédiat, a annoncé jeudi le vice-président du Consistoire Elie Korchia, à l’issue du conseil exceptionnel qui s’est déroulé en milieu de journée jeudi 11 avril, à Paris. Dans l’attente d’une nouvelle élection, l’intérim est assuré par le grand rabbin de Paris, Michel Guggenheim, et par le directeur de l’école rabbinique, le rabbin Olivier Kaufmann.

Collectif des Plagiaires Libres..... dit: 11 avril 2013 à 13h11

Ne soyez pas honteux, ceux qui vous jugent ne sont pas meilleurs que vous et leur pureté n’est que façade !
Adhérez au collectif. Venez nombreux. Amenez vos amis.

exEat dit: 11 avril 2013 à 13h12

11 avril 2013 à 14 h 00 mins’excuse enfin de sa comédie qui n’amuse personne non plus que les nocturnales de certains commentateurs .
A force de dire presse tige et autres champs !

exEat dit: 11 avril 2013 à 13h23

une histoire de jumelleS .
Je n’avais lu qu’un livre de G.Bernheim (plusieurs de Lyotard)
ce qui me frappe dans les commentaires des journalistes, c’est qu’il est attribué à ce rabbin le désir d’une prise de conscience des choses du féminin .
(il est connu l’un des noms de Dieu a été traduit, d’une traduction argumentée par « les seins »

exEat dit: 11 avril 2013 à 13h26

il est connu que
autre « élément de langage » comme on dit aujourd’hui, dans ce même nom de Dieu en hébreu, ce qui correspond à « assez »

exEat dit: 11 avril 2013 à 13h27

« les seins » ou la mamelle de la Création , mamelle nourricière,pour le cas où lycaeus idas nabokovi n ‘aurait pas compris .

exEat dit: 11 avril 2013 à 13h30

par opposition au » diable », renato ne me faites pas dire ce que j
e n’ai pas dit!

John Brown dit: 11 avril 2013 à 13h32

Je suis agrégé de philo, de maths et de physique, et docteur en droit canon. Ce n’est pas vrai, mais je laisse dire car j’ai eu des malheurs dans ma famille. J’ai aussi un solde de tout compte aux îles Cocos.

exEAt dit: 11 avril 2013 à 13h39

c’est toute la philosophie du tagu euler. il faut qui est en péril avec la fin du soutien gorge sans Euler

Ginette Lesueur dit: 11 avril 2013 à 13h39

Pour ma part, je continue à porter des soutiens-gorges et j’en suis contente.

le garagiste de Chaloux dit: 11 avril 2013 à 13h42

docteur en droit canon

tu veux dire que tu es une bombasse, jean marron ? tu te mouches pas du coude, dis donc.

Gala, mais pas tous les jours.... dit: 11 avril 2013 à 13h46

Nous avons remarqué la disparition d’une photo du blog de John Brown qui faisait pourtant ressortir chez lui son côté canon, disons couleuvrine moyenâgeuse…

John Brown dit: 11 avril 2013 à 13h47

Bernheim a déclaré que, s’il avait laissé courir le bruit qu’il était agrégé de philosophie, c’était à cause d’un événement tragique dans sa vie. Il n’a pas précisé lequel.

Je suis en mesure d’apporter cette précision : cet événement tragique, c’est de ne pas avoir été reçu à l’agrégation de philosophie.

Nos condoléances.

exEAt dit: 11 avril 2013 à 13h50

14 h 35 min c’est à dire depuis que les slips affichent à la ceinture le nom de l’archange ?pauvre petite main claviardeuse qui n’a pas proposé un détail d’une photo W /C

Hollandouille..... dit: 11 avril 2013 à 13h59

Moi-je veux des détails de gauche irréprochables, et je nomme une commission spéciale, chargée d’expulser diable et bon dieu de ceux-ci !….Euh….

Schumacher, garde-chasse dit: 11 avril 2013 à 13h59

Que naissent cent mille courts, nerveux, qui ramassent dans les coins et fassent leur fête au bétail

alec enfonce Pierre Louÿs et son roi Paupol, qu’avait pas dépassé les 11 000 verges…au passage il améliore encore le modèle, avec la fonction à tirer dans les coinceteaux bizarres…sale temps pour les bichettes…sapré alec

exEAt dit: 11 avril 2013 à 14h09

14 h 54 min c’est à dire que ça dépend du filtre comme celui que vous mettez dans votre potd ‘échappement .

exEAt dit: 11 avril 2013 à 14h12

ce que e peux affirmer, c’est que ce n’est pas u lycée que j’ai appris même le nom de P.Valéry , même en classes dites classiques avec supplément latin et grec à l’aube .

tA pHoTo dit: 11 avril 2013 à 14h16

C’eSt VrAi, La PhOtO dE JhOn BrOwN nOuS MaNqUe BeAuCOuP: un paysage est un état d’âme, un beau désordre est un effet de l’art. Trogne tout droit sorti d’une nouvelle de Gogol…

exEAt dit: 11 avril 2013 à 14h16

Dieu et le diable sont aussi das les chansons
« Est-ce la main de Dieu,
Est-ce la main de Diable
Qui a tissé le ciel
De ce beau matin-là,
Lui plantant dans le cœur
Un morceau de soleil
Qui se brise sur l´eau
En mille éclats vermeils?
barbara

exEAt dit: 11 avril 2013 à 14h17

ave des fleurs
Est-ce Dieu, est-ce Diable
Ou les deux à la fois
Qui, un jour, s´unissant,
Ont fait ce matin-là?
Est-ce l´un, est-ce l´autre?
Vraiment, je ne sais pas
Mais, pour tant de beauté,
Merci, et chapeau bas.

exEAt dit: 11 avril 2013 à 14h18

la première personne qui a prononcé evant moi e nom de P.Valéry était unprofesseur très connu , dont la femme était une poéte-sse spécialiséE dans es vers libres-ou blancs-féministes et qui a ensuite divorcé pour se re-marier avec un philosophe.Je précise que la poésie n ‘était pas son métier, elle était psy!! ça ne s’invente pas .

Bloom dit: 11 avril 2013 à 14h20

Là que se dissimule la clef, le point, le moment, le rosebud, la beauté des enchaînements. Autant dire l’essentiel.
(…)Roland Barthes eut sans aucun doute

N’est-ce pas précisemment ce que Roland Barthes, dans La chambre claire, et pour la photographie, appelle le « punctum »?

exEAt dit: 11 avril 2013 à 14h22

allez faire pipi dans votre sCeau et laissez- moi tranquille avec votre » punctum » .

Première fois dit: 11 avril 2013 à 14h24

La première personne qui a dit « Oh crotte alors » était une vieille dame très méconnue, dont le mari était spécialisé dans les planches de 35X150 et qui a ensuite divorcé pour se re-marier avec un épicier. Je précise que la couture n’était pas son métier, pas plus que le gavage des oies, ni le nettoyage à sec, elle était monitrice d’auto école!! ça ne s’invente pas.

exEAt dit: 11 avril 2013 à 14h26

dit: 11 avril 2013 à 15 h 21 min
d’où êtes vous pour coincer autant d’R ,et n’en faites pas une partita !
( moi, je m’en balance de vos 50 nuances aux agrès)

Deuxième fois dit: 11 avril 2013 à 14h39

La première personne qui m’ a dit « bonjour, vous» était une femme unijambiste très reconnaissable, dont le mari était spécialisé dans les sports mécaniques et qui a ensuite divorcé pour se re-marier avec un manchot. Je précise que le ravaudage n’était pas son métier, pas plus que la télévision, ni le tir au pigeon, elle était voyante extra-lucide!! ça ne s’invente pas.

exEAt dit: 11 avril 2013 à 14h44

 » excusez du peu  »
excusez ! ce que vous voudrez et pourrez, pour le reste, il y a Dieu et le diable pour se le partager
bonsoir et testez vous bien

DHH dit: 11 avril 2013 à 14h47

Extraordinaire photo ,ce violoncelle devant la clôture.
clin d’oeil à Rostropovitch devant le mur:
ici la clôture enferme ,A berlin ce jour là le mur était liberation
on peut broder longuement sur le rapprochement

Troisième fois dit: 11 avril 2013 à 14h48

La première personne qui a dit devant moi le mot «margarine» était une femme tronc très connue sur les champs de foire, qui possédait une Simca 1000 et s’en est par la suite séparée pour s’acheter un DS 23 à injection électronique. Je précise que la colle n’était pas son métier, pas plus que l’herbe à chat, ni le riz au thon, elle était ribambelle chez un marchand gros et demi-gros!! ça ne s’invente pas.

Quatrième fois dit: 11 avril 2013 à 14h55

La personne première qui a dit devant moi le mot «gronk» était une femme flanc très connue dans le milieu des surgelés, qui possédait une rôtissoire et s’en est par la suite séparée pour s’acheter une pompe à vélo. Je précise que la glon n’était pas son métier, pas plus que la shlong, ni le troumpf, elle était shponk chez un crac!! ça ne s’invente pas.

exEAt dit: 11 avril 2013 à 15h00

. Preuve qu’on peut penser sans livres.
que l’on puisse penser sans livre, O.K. mais je n’ai pas vu que cela soit prouvé dans le billet, même si celui-ci est sur la toile .

Cinquième Parnod dit: 11 avril 2013 à 15h05

Première personne…devant moi… une femme… spécialisée… très connue… mariée avec…puis divorcée de … pour épouser un…. Je précise qu’elle n’était pas… C’était une…!! ça ne s’invente pas.

Secrétariat de u. dit: 11 avril 2013 à 15h12

Dans le cadre de nos fonctions, qui consistent notamment à surveiller l’ensemble des blogs tenus par des commentateurs susceptibles de porter préjudice à notre patron, nous nous voyons obligés d’informer celui-ci que M. Sergio ne sait pas ce qu’est l’ASM.
M. u. avisera.

Secrétariat de u. dit: 11 avril 2013 à 15h15

que l’on puisse penser sans livre, O.K. mais je n’ai pas vu que cela soit prouvé dans le billet

En effet, c’est une remarque très juste et, comme vous le laissez entendre, le fait que ce billet soit sur la toile ne constitue en rien une excuse.

exEAt dit: 11 avril 2013 à 15h18

@Secrétariat de u. allez repasser votre pantalon dzns k’autre sens ,y a des plis de fromagerie .
Bonne soirée

Sixième fois dit: 11 avril 2013 à 15h22

La première personne que j’ai vue avec des plis de fromagerie était le mari d’une crémière, qui a divorcé pour se re-marier avec un charcutier !! ça ne s’invente pas.

Sergio dit: 11 avril 2013 à 15h28

Secrétariat de u. dit: 11 avril 2013 à 16 h 12 min
ne sait pas ce qu’est l’ASM.

Ah mais ça c’est normal au lycée j’ai toujours réussi à me faire exempter de sport co…

eXEAt dit: 11 avril 2013 à 15h31

la photo de cette femme installée à jouer du violoncelle est émouvante : on voit même une partition(?) sur le pupitre;pas de pince à linge .

Mélomane à cordes quantiques dit: 11 avril 2013 à 15h38

Il est clair que cette femme émouvante joue comme un pied de ce violoncelle en plastique : aucun attroupement pour l’écouter.

eXEAt dit: 11 avril 2013 à 15h39

16 h 18 min vous abusez: car j’ai écrit preuve et non excuse !
mais peut-être P.Assouline et d’autres veulent-ils un renouvellement de commentateurs ?
ici, je voulais mettre l’accent sur le mot preuve . par exemple , je ne peux pas retrouver où j’ai lu que *** écrivait un W et un B devant certains noms pour white et Black (et non colored comme sur la photo: c’est un « détail », bien sûr !mais quand même )

Moralisation, piège à cons...... dit: 11 avril 2013 à 15h46

HR a raison : il faut absolument renouveler le stock de commentateurs de la RdL, l’actuel est moisi/pourri depuis longtemps. Il y a même des morts-vivants.

u. dit: 11 avril 2013 à 15h49

« Marianne Alphant, elle, n’aime rien tant que crébillonner, marivauder, fragonardiser, mesmériser, casanover. »

Le soir venu, il est quand même raisonnable de faire chambre à part.

Ex-Pet dit: 11 avril 2013 à 15h50

65 h 1893 min vous abusez: car j’ai écrit rustine et non bouse !
mais peut-être P.ATartempion et d’autres veulent-ils un renouvellement de cravates ?
ici, je voulais mettre l’accent sur le mot tisane. par exemple , je ne peux pas retrouver où j’ai lu que (()) écrivait un crâne et un ballon devant certains noms pour planète et syphon (et non éponge comme sur la plage: c’est un « bignou », bien sûr !mais quand même )

eXEAt dit: 11 avril 2013 à 15h50

encore que e ne sois ni rabbin, ni pape , je donne volontiers ma démission à qui de droit, mais qui est-ce « qui de droit »?

eXEAt dit: 11 avril 2013 à 15h53

mes détours par le blog de P.Assouline sont une assez vieille histoire, dont il ne sait rien de rien et dont il ne saura jamais rien.
mais elle aurait été ourdie par un diable qu’elle n’aurait pu être aussi rusée pour mon moi !

Ex-Pet dit: 11 avril 2013 à 15h55

eXEAt dit: 11 avril 2013 à 16 h 53 min
mes débours par le blog de P.Assouline sont une assez vieille poche, dont il ne vient rien de rien et dont il ne viendra jamais rien.
mais elle aurait été ourdie par un hareng-saur qu’elle n’aurait pu être aussi abrasive pour mon moi !

Historia, des people et des amours mortes...... dit: 11 avril 2013 à 15h59

HR, avez-vous eu un enfant de Pierre Assourbanipaline ? Allez ! Avouez, ça soulage !

Sergio dit: 11 avril 2013 à 16h00

Une pensée qui avance par cristaux c’est pas mal comme image, seulement après naturellement faut que les cristaux fondent pour se reconstituer différemment car la pensée, bien entendu, ne peut pas s’arrêter.

u. dit: 11 avril 2013 à 16h00

Ces deux photos entretiennent avec le billet un rapport subtil mais nécessaire.

Sauras-tu le retrouver?

bouguereau dit: 11 avril 2013 à 16h04

Les armatures de soutien-gorge ça sert à rien…

maintenant il sont rembourré à la mousse haute densité..pigeonné qu’on est

u. dit: 11 avril 2013 à 16h09

Les prothèses mammaires de M. Mas étaient de si mauvaises qualité qu’elles partaient parfois avec le soutient-gorge.

Huissier lubrique........................ dit: 11 avril 2013 à 16h09

Un soutien-gorge ce n’est pas tant ce qu’on trouve qui est plaisant, c’est plutot ce qu’on y cherche.

eXEAt dit: 11 avril 2013 à 16h10

historia
ça n’a rien à voir avec des enfants lsdos cher bossu
vous voulez que je vous dise : le manque de bol, c’est qu’on tome parfois dans la vie sur des gens avec lesquels on a au moins un fantasme en commun, avant de se coltiner leurs livresou leur enseignement . et ça parfois on a envie de comprendre pourquoi .ça parât cérébral, comme ça avec le mot fantasme , et le mot moi, et qui peut espérer avoir une preuve ?
mais ça ne me turlupine plus du tout , cette question.occupez-vous de vos fantasmes,, de ceux de l’onkle lapis l’assouline, je m’occupe des miens

bouguereau dit: 11 avril 2013 à 16h10

N’est-ce pas précisemment ce que Roland Barthes, dans La chambre claire, et pour la photographie, appelle le « punctum »?

le punctum du robebud..on voit bien que kabloom est de culture anglosaxophone

Marchez! dit: 11 avril 2013 à 16h12

Les thèses pro-masses de M. Mamère étaient de si mauvaise qualité qu’elles portait parfois un soutien à Georges.

Sergio dit: 11 avril 2013 à 16h13

bouguereau dit: 11 avril 2013 à 17 h 04 min
Les armatures de soutien-gorge ça sert à rien…
pigeonné qu’on est

C’est le problème… Sans connaissances techniques on n’existe même plus…

J.Ch. dit: 11 avril 2013 à 16h14

Je trouve que « la république du jazz » n’est pas, de loin, du même niveau que celui-ci, hélas

bouguereau dit: 11 avril 2013 à 16h14

Un soutien-gorge ce n’est pas tant ce qu’on trouve qui est plaisant, c’est plutot ce qu’on y cherche

t’es grand rabbin de france par hasard ?

Gestionnaire de fantasmes..... dit: 11 avril 2013 à 16h15

HR, sous-traitez, pour vos fantasmes ! sous-traitez ! Ne jamais rester seul(e), toujours faire souffrir un(e) autre. Cela aide.

eXEAt dit: 11 avril 2013 à 16h17

des enfants dans le dos
on tombe
ça paraît
C’est un professeur qui m’emmena au théâtre voir Monsieur Teste, que je n’ai pour ainsi dire pas relu depuis .

u. dit: 11 avril 2013 à 16h24

“Un incipit qui déjà nous conviait aux noces de l’intelligence et de l’humour. »

Les cristaux ont été les beaux enfants de ce couple modèle.

u. dit: 11 avril 2013 à 16h27

Le soutien-gorge, de quoi s’agit-il ? Un de ces détails, ces débris de la vie, ces petits importants, ces petites choses, ces petits faits affolants, ces petits riens qui sont tout, qui ont la vertu de rallonger le temps.

Ex-Pet dit: 11 avril 2013 à 16h27

historia
ça n’a rien à voir avec des pincouins lsdos cher cul de jatte
vous voulez que je vous arrosse : le manque de poivre, c’est qu’on tombe parfois dans l’escalier sur des topinambours avec lesquels on a au moins un peigne en commun, avant de se coltiner leurs épluchures ou leur bouillon . et ça parfois on a envie de biner pourquoi .ça parât jardinier, comme ça avec le mot truite , et le mot jambon, et qui peut espérer avoir une assiette ?
mais ça ne me démange plus du tout , cette question.occupez-vous de vos légumes,, de ceux de l’ongle lapis l’assouline, je m’occupe des veaux.

JC dit: 11 avril 2013 à 16h29

Aucun doute ! renato est l’enfant de l’intelligence et de l’humour, dont parle Marcel Zhu à 17:24

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*