Dieu et le diable sont dans les détails
On en connaît qui se prennent pour Bartleby le scribe : de leur propre aveu, ils préfèreraient ne pas. On en sait qui se croient Bloom échappé d’Ulysses dès qu’ils consacrent une journée à traverser Paris. On en a vus si légers et si paisibles qu’ils avaient carrément pris Plume comme nom de plume. On en croise même qui, tel Gonzalo M. Tavarès, repeuplent leur bairro lisboète des ombres familières de M.M. Kraus, Walser, Calvino, Brecht, excusez du peu ; ou tel Enrique Vila-Matas qui se prend pour tout ce qu’il lit . On peut supposer que son admirative empathie pour Pessoa a du plus d’une fois pousser Antonio Tabucchi à épouser l’identité multiple de ses hétéronymes. Mais on n’avait encore jamais croisé le chemin d’un spécimen aussi doux que Jean-Louis Schefer en son Monsieur Teste à l’école (80 pages, Pol). Ce n’est pas un essai sur un essai, ni une analyse universitaire, mais bien une rêverie, une promenade enchantée, le règlement d’une dette envers le personnage de fantaisie imaginé par Valéry jeune : “La bêtise n’est pas mon fort” écrivait-il en un incipit qui déjà nous conviait aux noces de l’intelligence et de l’humour.
Des années que Jean-Louis Schefer accumule des notes où est repérée cette vibration thématique sur l’énigme et les incertitudes du moi, Valéryen depuis ses 15 ans, l’âge où on apprend par cœur Le Cimetière marin et un peu moins par cœur La Jeune Parque : « J’aimais secrètement M. Teste chez qui je devinais un allié » avoue-t-il. Rien de moins assuré avec un homme de verre sans cesse en représentation. Corps sans ombre, ombre sans corps, la syntaxe est sa grande affaire, avec l’exploration de ses sensations. Plutôt que de perdre son temps à chercher le succès littéraire, il l’a employé à trouver les lois de l’esprit. Preuve qu’on peut penser sans livres. Teste est en théorie un modèle psychologique. La quarantaine, le débit rapide, épris de précision. Né du hasard, il y est retourné.
“Et si cet homme qui se construit en laboratoire, comme l’alambic de ses pensées, était un personnage ?” A prêter l’oreille tant au livre de Valéry qu’à celui de Schefer, on croit percevoir la mélodie d’une gymnopédie littéraire. Sa pensée avance non par fragments mais par cristaux. L’auteur a été jusqu’à s’étourdir dans la lecture compulsives des Cahiers de l’oncle Paul, ce laboratoire à ciel ouvert où l’intelligence de l’essayiste est en fusion permanente dans des éprouvettes à forte densité poétique. Heureux homme qui avait tué la marionnette en lui. Ce n’était pourtant qu’une vie de papier. Jean-Louis Schefer a réussi à lui donner corps sans rien en trahir.
Mettant son cœur à nu, Baudelaire eut dit de ce « Tombeau de M. Teste » qu’il est fait d’une émeute de détails. Qu’eut-il dit alors de Ces choses-là (297 pages, 17 euros, POL) de Marianne Alphant, livre également hors-genre qui, remarquons-le, paraît chez le même éditeur. On va finir par croire que POL est avec Verdier le lieu de refuge privilégié pour une certaine liberté de ton, une fantaisie qui réclame le droit à la divagation, à la broderie de mots et à la légèreté. C’est bienvenu, d’autant que l’auteur, qui connaît son XVIIIème sur le bout des doigts, siècle volage qu’elle a su attraper, a sous la plume la grâce et la sprezzatura nécessaires pour balayer le fatras de son érudition et n’en conserver que les traces volantes. De quoi l’autoriser à interpeller régulièrement « madame l’Histoire » sans faire de chichis.
De quoi s’agit-il ? De détails, ces débris de la vie, ces petits importants, ces petites choses, ces petits faits affolants, ces petits riens qui sont tout, qui ont la vertu de rallonger le temps. Autant dire des détails traités en majesté. Sade et son sistème chiffreur. L’étoffe de mazulipatan vieux rose couvrant le cou de Chardin en son autoportrait. Boswell écrivant à Samuel Johnson dans une église de Wittenberg couché sur la pierre tombale de Melanchton. Détails ! Diderot fuyant des cygnes en courant et se blessant au pied chez Mme d’Epinay. Le prince de Ligne décidant d’écrire sans ordre ses mémoires. Sade donnant à sa femme la mesure précise d’un étui masturbatoire. Lavisse en ses petites vignettes. Détails ! Détails ! La clé de la chambre de Cécile que Mme de Volanges garde sur sa cheminée et dont Valmont tente de faire un double. La jeune princesse de Lamballe soufrant d’une galanterie donnée par son mari. Le duc d’Orléans montre une impertinente disposition à rire sous cape. Les amants de passage s’appelaient des « voltigeants ». Beaumarchais perdant la clef du billard dans le lit de sa maîtresse. Détails ! Détails ! Détails ! Là que se dissimule la clef, le point, le moment, le rosebud, la beauté des enchaînements. Autant dire l’essentiel.
L’énoncé même de leur inventaire dégage une douce musique quand c’est Marianne Alphant qui tient la baguette. Quelque chose d’un éphéméride saisi par la poésie de l’Histoire. On voit ses goûts. Ses dégoûts aussi. Lamartine abhorré en prend pour sa grade. Forcément, un homme si empathique pour les orateurs, un ennemi du détail alors qu’il forme le regard ; on ne fait pas plus sec, à l’opposé d’un Saint-Simon qui en fait son miel. Marianne Alphant, elle, n’aime rien tant que crébillonner, marivauder, fragonardiser, mesmériser, casanover.
S’emparant de chacun de ces détails longs d’une ou deux lignes, auquel le roi était dit-on le plus attentif des hommes, Roland Barthes eut sans aucun doute tiré autant de biographèmes de dix pages chacun. Marianne Alphant rend justice à un fauteuil d’époque en une phrase par la seule observation de la cannelure des pieds, ses tigettes à culots et autres ornements. A d’autres, à Jean-Louis Schefer par exemple, qui sait, de déterminer qui se niche dans leurs agréments, de Dieu ou du diable.
(Photos Andrew McConnell et Eliott Erwitt)
763 Réponses pour Dieu et le diable sont dans les détails
« Un jour que champêtrement,par raffinement de volupté sur laquelle on se blase en ville,j’avais une bien belle et excellente bonne fortune dans l’épaisseur du bois de P,dans le moment le plus intéressant,un bruit affreux se fait entendre en s’approchant de nous avec la plus grande rapidité.
A peine eus-je le temps de me dire:voici enfin la punition de tous mes pêchés et entre autres de celui qui se consommait que,quoique je regardasse à terre plutôt qu’au ciel,je vois sauter trente biches au-dessus de notre tête.On conviendra que c’était bien de quoi arrêter le pêcheur le plus endurci. »
…la nature n’attend pas le nombres d’années de raison,…pour se ficher ou s’afficher la gloire du seigneur,…
…et l’occasion préparée fait le larron en robe de chambre,…le ridicule ne tue pas,…il exacerbe le dressage des biches,…pour un quatre roues motrices,…
…des prétextes pour faire commerce avec Dieu et le Diable de consort en projection et connivences,…
…etc,…
« Rosebud » est plus qu’un moment :
et la fin et le commencement.
Empèchement.
Pourquoi dit-on Dieu, d’une part,
et « le » diable, de l’autre ?
Articulièrement.
Le détail pratique du diable,
est logé dans ses roues.
Et dans ses poignées.
Transbordement.
Mis en ligne, par mégarde, sous le fils précédent.
« God is in the details »
Ludwig Mies van der Rohe
Aby Warburg
Gustave Flaubert
Michel-Ange
Anonyme.
« Less is more ».
En l’absence d’un clou on perdit le fer à cheval
En l’absence du fer à cheval on perdit le cheval
En l’absence du cheval on perdit le cavalier
En l’absence du cavalier on perdit la bataille
En l’absence d’une bataille on perdit le royaume
Mais d’un autre côté, le perfectionnisme n’est pas toujours le bon chemin car « le diable est dans les détails » et trop de détails peuvent nous détourner de l’objectif principal.
…
…Oui,…par mégarde je t’ai répondu, aussi sur le fil précédent,…
…God save the Queen,…et les stratifications en détails,…my Lord’s,…nombriliste à deux balles,…
…etc,…
In ‘The Lost World’ Malcom dit à Levine : « Parle de ton Dieu, le mien est dans le processus »
Il est regrettable que les détails qui donnaient du goût à la vie disparaissent les uns après les autres de notre remue-ménage quotidien. On perd petit à petit la joie de passer d’un état à un autre, de vaincre les mille petites barrières de code… Dommage…
Prenons l’apartheid ! Quel détail merveilleux, ce lavabo interdit aux colorés ! J’imagine le lavabo Mauvaise Langue et au bout d’un long raccord tubulaire, une petite merdouille en faience, blanche, bien suffisante pour Abdel ! Quelle belle époque !… où le métissage était erreur nocturne dans la solitude des colonies impériales et non objectif à atteindre ! c’était le bon temps … La Maison Blanche était white only…
Il n’y a pas si longtemps, n’avez vous jamais apprécié dans certaines entreprises de petites dimensions, la subtile distinction entre les toilettes PERSONNEL et DIRECTION ? Quel charme fou dans les détails hygiéniques : le torchon immaculé du personnel … lequel allait souiller volontairement la serviette dégueulasse des dirigeants de leurs pognes graisseuses d’ouvriers sans éducation ! Détail charmant …
Et le Mariage ! Par le passé, on mariait une bite à un con, un con à une bite : le détail était important. Demain peut-être, on mariera deux bites, ou deux connes …! Détail perdu, la diversité, l’altérité sexuelle …
Mais ne désespérons pas : il restera beaucoup de détails ajoutant de la diversité au monde. Car c’est dans la nature humaine, tout ce qui s’est voulu égalitariste a échoué, battu en brêche par cette maudite caractéristique : l’individu trouve son miel, justement, dans les détails.
Étant donné que son incapacité de faire la différence entre individualisme et connerie est manifeste, JC qui cause individualisme c’est quand même cocasse. D’ailleurs on ne peut ne pas suspecter que l’idée qu’il s’est fait de l’égalitarisme et de l’individualisme est plutôt approximative ; mais bon, on ne va pas fignoler là-dessus, il suffit de rappeler qu’il cause de liberté d’expression en France en se fondant sur la Constitution des USA… détail qui suffit à le disqualifier définitivement…
Oui, renato, oui ! les autres sont des imbéciles qui ne t’arrivent pas à la cheville, tous ! tous ! Souffrance, souffrance d’iceux, pauvres nuls, soumis à ta jugeotte infiniment sûre, ahahaha ! Bonne journée !
@ de nota
Un saut de 3O biches dessinent un accent circonflexe sur les « péchés » et le « pécheur », du prince de Ligne (il est vrai).
Il vous arrive de vous relire JC ? Il vous arrive de réfléchir de temps à autre ? On peut en douter. Par exemple, vous dites : « Détail perdu, la diversité, l’altérité sexuelle … »
Perdu ? Où, quand, comment, pourquoi ? à cause de la possibilité qui serait donnée aux homos de se marier ? ça change quoi dans mon économie de vie ? rien, puisque la sexualité de l’autre ce n’est que son affaire, c’est son individualité qui est en jeu, pas la mienne, ni la votre d’ailleurs. Puis, parce que l’altérité sexuelle reste que cela vous plaise ou pas.
Pour les aigris, comme jc, tout ce qui n’est pas pourri est bête, prétexte à railler
« Prenons l’apartheid »
l’apartheid, cher à maggie thatcher (grande amie de pinochet
je vois sauter trente biches au-dessus de notre tête
ça c’est une levrette..bravo denota, c’est plus moral que tintin tuant son tas de gazelle
« On conviendra que c’était bien de quoi arrêter le pécheur le plus endurci. »
Eh bien, bouguereau, je vous attendais sur cette débandade… (des biches, évidemment)et… rien.
où le métissage était erreur nocturne
qui éclate au grand jour..un des critères pour définir les race c’est la non interfécondité comme ils disent..tu peux te metisser nuitamment avec les chèvres jicé et si tu fais bien gaffe de pas manger au même ratelier le jour..ça peut rester ton secret bien gardé
Du 17 avril au 13 mai, 5.000 des 5.600 salariés de l’usine PSA de La Janais seront au chômage partiel. Aucune voiture ne sera construite au cours de cette période…
« On conviendra que c’était bien de quoi arrêter le pécheur le plus endurci. »
je crois qu’il y erreur..si on enquête façon castle..on voit la chose en deux temps, 1) le bruit et la peur d’être surpris par l’homme, sa même espèce, peut être le mari ou des chasseurs bavards..mais quand on voit que c’est une autre espèce en diable, ou dieu..ça c’est pas un détail bordel de cul
Les jours pairs, je me cache dans les détails de Lycaeides idas nabokovi, et le diable, lui, dans les détails de Bouguereau. Les jours impairs, on échange nos bêtes.
« Les jours pairs, je me cache dans les détails de Lycaeides idas nabokovi… »
Voilà qu’un jour sur deux j’auberge un ténia.
Beaumarchais perdant la clef du billard dans le lit de sa maîtresse. Détails ! Détails ! Détails ! Là que se dissimule la clef, le point, le moment, le rosebud
et bien oui lassouline..lacan dirait qu’une clef y tient facilement
Alexia,vous connaissez intimement le Prince?
Quant à l’accent circonflexe qui figure le saut de la biche,alors là,je m’incline.
Dieu seul sait pourquoi vous avez fait le choix de cette première image ! Appropriation indue d’un trottoir de Kinshasa par un colonialiste local ? Violoncelliste indigène préférant manifestement Bach à l’entretien de cette enclave urbaine ? Saleté des lieux et de la ville ? Musique comme espace de liberté dans un enclos étouffant ? Bizarre.
bonjour. je vis avec mes chèvres. est-ce vrai que je pourrais me marier avec en france bientot grace nouvelles lois ? sans préferer l’une , toutes épousées en même cérémonie ? merci.
Sans oublier le « détail »
assorti d’une « question »
d’un aboyeur politique,
bête au ventre fécond,
père d’une dynastie
plus vague que marine.
Détail, petite quantité
ou exception de qualité ?
S’y arrêter, là, ou pas ?
Pairfecsionnement.
Passionnant billet pour un auteur tout aussi intéressant!
Peut-on épouser la religion ( diable et/ou bon Dieu) des détails?
berger solitaire luxembourgeois, si vous êtes pressé vous pouvez voir en Espagne, au Royaume Uni… puis, Argentine, Canada, Mexico, Brésil, Pays-Bas, Belgique, Portugal, Danemark… reste que votre question est tellement con que l’on dirait du JC.
« On va finir par croire que POL est avec Verdier le lieu de refuge privilégié pour une certaine liberté de ton, une fantaisie qui réclame le droit à la divagation, à la broderie de mots et à la légèreté. »
Bof. On pourrait en dire autant des éditions de Minuit, des Solitaires intempestifs et de pas mal d’autres, y compris la NRF, Grasset ou Flammarion. Ceci dit, un coup de chapeau en passant à l’éditeur d’envergure moyenne, c’est sympa et ça ne mange pas de pain.
« Passionnant billet pour un auteur tout aussi intéressant! » (rédigé par versubtil)
Bof. Honnête billet d’un honnête critique pour un auteur honnêtement intéressant. Equitable, non ? Dans le genre laudatif, il est bon d’en garder toujours sous le pied.
qui est jc ? jesus christ ? jerome cahusac ? jean calvin ? merci.
» Qu’eut-il dit alors de Ces choses-là »
Qu’eût-il dit
« qui est jc ? »
Vous n’avez qu’à suivre le fil.
POL (avec fayard) ont exclu camus. cette liberté de ton a le spectre limité.
Barthes eût..défendons le subjonctif.
Les questions de jicé sont cons mais tes réponses encore plus cons. Il simule, il dissimule, et toi, tu n’es jamais drôle, pauvre type !
JB, »honnêtement » est de vous..Et vous le laisse.
Avez-vous lu Schefer?
Bien à vous.
« je vis avec mes chèvres. est-ce vrai que je pourrais me marier avec »
pauvre jc, lâché par la thatcher son idéal
Pauvre type ? fort possible… mais… est-ce que être drôle est ici une obligation ? Non, parce que si cela est le cas vous devriez vous abstenir aussi de participer…
@ Lycanthrope de Colmar…..
jc ta gu., t’es tout sauf drôle
@Lycaeides idas nabokovi
le jc n’est qu’une pauvre tache
Un détail ?
« J’ai rêvé alors que les têtes les plus fortes (…/…)
devaient être (…/…) des hommes qui meurent sans avouer » (« in » P. Valéry).
Actuellueusement.
Est-ce vraiment Nietzsche qui est l’auteur de cet adage : « Der Teufel im Detail » ?
Gymnopédie, gymnopédie… Par ce temps ?
La mode est aux notules, détails et scories littéraires accesibles au public non-lecteur.
Valéry publiait en pleine guerre son « Tel Quel », version alimentaire de sa prose comme le déplorait Gide. Aujourd’hui une littérature de rationnement est livrée sans coup férir.
Non mais ! qu’est ce que tu crois que nous faisons ici sinon nous distraire en attendant la mort ?
La mort ça sert à rien…
dieu/diable est dans les détails a une valeur soit métaphysique soit esthetique, pour ça qu’elle semble contradictoire, elle sont esseclusive..suffit de se référer par exempe au rasoir d’ocaz, le détails y est necessaire donc divin..le diabolos en metaphysique est forcément un détail..ou alors on est manichéen..ça s’encule réciproquement mais pas en même temps, c’est quantique
Et naturellement, le Lycanthrope, on doit obligatoirement se distraire selon vos critères, pas que chacun exprime sa diversité ou son individualité… ce serait une transgression gravissime, n’est-ce pas…
La mort ça sert à rien…
la mort des autres si..c’est quantique
nous distraire en attendant la mort ?
j’en ai assez chié avec godot renato
un des premiers actes d’aurelie philipetti est de virer un excellent auteur dramatique et metteur en scène, Jean Marie Besset qui travaille à Montpellier.. . je trouve ça pathétique car nous avions déjà tres peu d’auteurs dramatiques vivants excellents à la tête d’un théâtre subventionné. Estce parce qu’il a été joué dans des théâtres privés? est-ce parce qu’il a été nommé par Frederic Mitterand?
« j’en ai assez chié avec godot… »
Faut dire ça au Lycanthrope bouguereau, il semble que la chose le trouble.
gymnopédie
..surement un machin a faire dans les bois avec les biches
Estce parce qu’il a été joué dans des théâtres privés? est-ce parce qu’il a été nommé par Frederic Mitterand?
..sur un tel geublo que celui ci tu devrais venir avec de l’analyse et de la prise de risque..un peu de courage politique que diable jicé !
« ça s’encule réciproquement mais pas en même temps, c’est quantique »
T’as rien compris au monde quantique ! là où les gode-ceinture ne sont que diables en détails, là où la Verge Marie est putain de Mohammerd et Bayrou, folle de Chaillot !
là où la Verge Marie est putain de Mohammerd et Bayrou
c’est la théorie des multivers décohérents..est ce que dieu est le même pour chacun ou est ce que lui même y est à chaque fois different..sinon comment comprendre un musulman disant que dieu est trois fois le même
Le propre du divin, et du gouvernement actuel, c’est l’incohérence documentée, le chaos structuré.
Un « détail » peut réellement compromettre
un ensemble bien plus imposant que lui.
Un chouïa sur un réglage mécanique,
une seconde d’inattention, un microbe,
qu’ils tombent au « bon » moment et…
Papilionestiquement.
Nous ne souhaitons pas donner le nom de Margaret Thatcher à l’une de nos impasses. Par contre une Avenue Besancenot, un Carrefour Melenchon, cela peut être envisagé par Anne Hidalgogo. A voir.
Polémicoeur, vous exagérez.
Multivers solitaires.
Granzespassement.
Hexagérer : outrepasser la limite des cinq sens.
Demidouzainement.
le nom de Margaret Thatcher à l’une de nos impasses
..tu ne respecteras donc jamais rien jicé
Polémicoeur, vous exagérez.
un pet de none dans la main d’un cardinal argentin sur une vieille k7 d’edwy.. et c’est le tremblement de terre a rome
c’est comme une nonagrègue..on l’est tous ou presque..ceux qui l’ont..des détails merde
Une voie de garage Maggie
en hommage à son action
pour les chemins de fer.
Detraverseusement.
Péché de gourmandise au Vatican ?
Absolustationnement.
Absolustationnement ?
Sommet stupide.
Théabsoluvationnement !
» JB, »honnêtement » est de vous..Et vous le laisse.
Avez-vous lu Schefer? » (rédigé par versubtil)
Soyons honnête , je ne l’ai pas lu.
Bien à vous.
Je suis agnostique dans cette histoire de Dieu qui détaille la bimbeloterie du diable et du diable qui retaille la verroterie de Dieu dans la littérature, à tous les coups l’indigène-lecteur qui est en moi se fait avoir, je me retrouve toujours avec deux aspirateurs à chaque passage du représentant, qu’il soit d’origine divine ou diablotine, qu’il me propose un roman Dyson sans sac ou une nouvelle Hoover à eau, je tombe dans ses filets et achète tout en double. Personnellement j’appelle de mes vieux un « choc de simplification » dans la littérature, généraliste comme universitaire, française. Que naissent cent mille écrits courts, nerveux, qui ramassent enfin bien les élevages de poussière éditoriale dans les coins et fassent leur fête au bétail acarien qui adore se planquer jusqu’au coeur des plus infimes intrigues et vétilles des moquettes et leurs émeutes de récits en polyester qui eux-mêmes ne dédaignent jamais de se diffuser en aérosols dans le retable sacré de nos narines pour aller chatouiller nos cellules olfictives de poëte…et que trente bichettes viennent me brouter l’occiput et me bouffer les implants capillaires si je ne suis pas sincère.
Problème avec un adverbe ?
Des solutions : garde et accueil.
Temporaires ou définitifs.
Recyclement.
« Que trente bicyclettes
viennent me brouiller l’écoute
et me sonner les clochettes ? »
Cet endroit est bizarre !
Granbraquettement.
le Diable est une invention à moi, favorisant la moralisation forcée de mes créatures. Succès relatif….
De dieu en diable
et de diable en dieu.
Pou(tine)pérussement.
tu peux te metisser nuitamment avec les chèvres jicé
jicé, c’est un genre de Jean-Louis Schäfer qui teste sur ses brebis et ses autres bestiaux la possibilité de son île ouverte au coït inter-espèces.L’île du Dr Moreau, quoi. »Ouvert, l’âne nuit » ça s’appellerait. Ca paraîtrait aux Emissions de Minuit et passou se fendrait d’un p’tit bifton.
Grand rabbing bang ?
Saintzécriturpitudement.
Discutable,
le consentement éclairé des bébêtes !
Antiviolement.
13 « Républiques de la Culture »
multicolorées en approche !
Cette richesse est-elle déclarée ?
Sa provenance est-elle connue, licite ?
S’arrêteront-elles à 13 à la douzaine ?
Qui contrôle la « holding » ?
Transparentalement.
Quota de participation de l’abonné de base atteint.
Ottocensûrement.
« Enfilez-vous ! »
et la censure compulsive , c’est aussi un détail, ?ne dites pas angélique , dieu risque de sortir de son diable à provisions
xlew je veux bien faire la bichette puisque vous semblez sincère quoique ça ne suffise à inscrire une politique éditoriale dans la réalité des vies alors que tout pousse à constater que l’on peut sincèrement mentir, mentir au nom de la sincérité .
Bien vu !
exeat votre « survous » laisse à désirer? problème de joints d’étanchéité? Contactez d’urgence les services compétents ne laissez pas le sous-sol vous gâcher le salon.
Imbécillité du monde. Berheim démissionne, Hollandouille ne démissionne pas ! Paille et poutre. Chienlit merdique.
xlew j’imaginais sans peine que vous disposiez d’une autre proposition et que vous aimiez les bichettes mais puisque vous ne donnez suite… je désespère
Un homme de synagogue ne peut en rien être comparé à un homme d’état y compris dans cet état où nous sommes rendus, a-t-on connu des précédents de ce genre?
Misère de misère….. dit: 11 avril 2013 à 13 h 03 min
Hollandouille ne démissionne pas !
Pourquoi démissionnerait-il ?
Effectivement comparer un type comme Bernheim et un connard comme l’andouille serait une insulte à l’intelligence de l’observateur !
la démission du grand rabbin : c’est sans doute l’intelligence , mais un pape ?
@bérénice dit: 11 avril 2013 à 13 h 00 min
mettez votre survet pour aller voir votre titus, même s’il crèche encore au diable .
Misère le gouvernement précédent a su habiller ses propres échecs avec un certain dynamisme affiché qui d’ailleurs n’a pas leurré les électeurs la partie est extrêmement difficile non seulement il faut opter pour les bonnes mesures mais en cas de mauvais résultats ne pas perdre de vue que les loups guettent.
« Misère de misère….. dit: 11 avril 2013 à 13 h 03 min
Hollandouille ne démissionne pas !
Pourquoi démissionnerait-il ? » (rédigé par cataploc)
Grand rabbin ou pas, un plagiaire est un voleur. Berheim et Cahuzac devraient bientôt, chacun avec ses titres particuliers à y figurer dans un prochain « dictionnaire amoureux de nos élites voleuses. Que celui qui l’écrira n’oublie pas d’y joindre Macé-Scaron.
Hollande, quant à lui, n’a encore plagié personne. Même pas Mélenchon, c’est dire.
B16 …une agonie maitrisée
Il y a une différence qui vous échappe entre l’emprunt et le vol…
John Brown, vous avez vous aussi plagié, n’est ce pas ? Avouez !
Bernheim a délicatement qualifié d’ « emprunts » la série de ses plagiats. C’est fou ce que nos élites ont le sens de l’euphémisme quand elles sont prises la main dans le sac. En somme, c’est ce que les anarchistes appelaient la « reprise individuelle ». Alors quoi, Bernheim, ni dieu ni maître ? — Bof, plagiat et emprunt, c’est tout un, n’importe quel dictionnaire des synagogues vous le dira.
même cette littérature, aujourd’hui commentée, est une littérature de plagiaire.
« John Brown, vous avez vous aussi plagié, n’est ce pas ? Avouez ! » (rédigé par Misère de misère)
Je n’ai jamais pratiqué que le plagiat par participation, cher à Pierre Bayard.
J Brown que dire de l’arrangement musical? En quoi diffère-t-il d’un plagiat
J Cahuzac a pour le moment soustrait une partie de son patrimoine à l’impôt.
Berheim falsifie son identité sous réserve qu’un diplôme serve encore de trait d’identité.
Grand dieu, non !
l’emprunt est un acte amical : vous empruntez une femme mariée tous les jeudi.
le vol, vous finissez par l’épouser…
cataploc dit: 11 avril 2013 à 13 h 09 :
« Pourquoi démissionnerait-il ? »
Par respect pour la fonction.
Hier matin, au Louvre, je surprends une jeune pickpocket romano-bulgare en train d’explorer mon sac. Superbe, au demeurant, l’oeil en velours et l’avant-scène salle Richelieu.
— Mais, mademoiselle, que je lui fais, vous n’y songez pas : je suis l’ex- grand rabbin Bernheim.
— Moi, qu’elle me répond, impressionnée, c’est Esméralda. On sait tes exploits. Tu viens avec nous ?
Depuis, fou d’amour, je fais les poches aux Japs sous la pyramide.
un plagiat est quand différent de l’adaptation réécrite de l’idée d’un autre qui requiert une intelligence particulière , et se trouve parfois renforcée par la mention de la source originale citée dans le texte , et avec tous les détails .
G.Bernheim a été vraiment » rapide ». maintenant qu’il a démissionné, c’est clos , pour ce qui le concerne en personne d’ailleurs on a remarqué , surtout J.A.M d’ailleurs, l’incidence d’internet sur ce questions d’identités et d’identification.
est-ce raison suffisante de dire Internet Dieu et Diable ?
Notre ami Jérôme n’a pas fait pire que Guérini. Pourtant, il est exclu du PS et le mafieux marseillais ne l’est pas.
Cherchez l’erreur !
Vous tomberez vite sur la magouille….
Par respect pour la fonction.
Même s’il alléguait cette raison, je suppose qu’il en a de plus fortes.
Sa position était devenue intenable, un pourrim permanent
Lorsque je tente une approche de dieu dans mes lectures, le diable s’agite, se tortille, dans ma culotte !
Par respect pour la fonction.
??
Ça se comprendrait s’il avait commis une faute.
Je suppose que vous êtes partisan du camp adverse. Mais a-t-on jamais demandé à Sarkozy de faire la politique PS ? Pourquoi Hollande devrait-il faire la politique de l’UMP ?
Pour être aussi faible intellectuellement, vous devez être JC.
ta gueule jicé
Cataploc, le signe de faiblesse intellectuelle est partagé bien au-delà d’un seul !
ta gueule, bougre de rôt
excuses>j’avais cru que vous parliezde Cahuzac . Je fais
mon pourrim Je sors .
Bonne journée
sur ceS questions
la recherche de plagiat est une activité qui ne m’intéresse rait pas plus que de commettre des plagiats.question d’histoire personnelle me semble-t-il et d’avoir détesté des personnes qui empruntaient des expressions heureuses de tiers.
Cette affaire m’a rappelé une histoire de jumelle qui m’a été racontée par leur tante, e crois , (une parente proche) qui se partageaient la tache, et l’une allait passer les épreuves d’examens et concours de l’autre .
j’ai déjà vu bien des hommes confondre sincèrement des femmes qui ne se ressemblaient pas du tout .
Le Monde:
Le grand rabbin de France Gilles Bernheim a annoncé sa « mise en congé » avec effet immédiat, a annoncé jeudi le vice-président du Consistoire Elie Korchia, à l’issue du conseil exceptionnel qui s’est déroulé en milieu de journée jeudi 11 avril, à Paris. Dans l’attente d’une nouvelle élection, l’intérim est assuré par le grand rabbin de Paris, Michel Guggenheim, et par le directeur de l’école rabbinique, le rabbin Olivier Kaufmann.
Ne soyez pas honteux, ceux qui vous jugent ne sont pas meilleurs que vous et leur pureté n’est que façade !
Adhérez au collectif. Venez nombreux. Amenez vos amis.
11 avril 2013 à 14 h 00 mins’excuse enfin de sa comédie qui n’amuse personne non plus que les nocturnales de certains commentateurs .
A force de dire presse tige et autres champs !
comme quoi mieux vaut avouer directement s’être planté à l’agreg ..
BHL est bien agrégé de philosophie. l’a manqué sa vocation.
@carthusia:
votre remarque est un peu pipi -caca .
une histoire de jumelleS .
Je n’avais lu qu’un livre de G.Bernheim (plusieurs de Lyotard)
ce qui me frappe dans les commentaires des journalistes, c’est qu’il est attribué à ce rabbin le désir d’une prise de conscience des choses du féminin .
(il est connu l’un des noms de Dieu a été traduit, d’une traduction argumentée par « les seins »
il est connu que
autre « élément de langage » comme on dit aujourd’hui, dans ce même nom de Dieu en hébreu, ce qui correspond à « assez »
« les seins » ou la mamelle de la Création , mamelle nourricière,pour le cas où lycaeus idas nabokovi n ‘aurait pas compris .
« assez « car Dieu se suffit à lui -même ,bien sûr .
par opposition au » diable », renato ne me faites pas dire ce que j
e n’ai pas dit!
Je suis agrégé de philo, de maths et de physique, et docteur en droit canon. Ce n’est pas vrai, mais je laisse dire car j’ai eu des malheurs dans ma famille. J’ai aussi un solde de tout compte aux îles Cocos.
11 avril 2013 à 14 h 28 min insiste lourdement :
assez , c’est ussi ce qui vient de ressortir d’ue étude scientifique !! sur l’utilité du soutien gorge . Or il paraît que le diable surtout fait dans la dentelle
http://www.tdg.ch/sante/sante/Le-soutiengorge-sertil-vraiment-a-quelque-chose/story/19295470
ta gueule renfied épicétou..
Je ne porte plus de soutien- gorge depuis longtemps !!
Moi, non plus !
c’est toute la philosophie du tagu euler. il faut qui est en péril avec la fin du soutien gorge sans Euler
Pour ma part, je continue à porter des soutiens-gorges et j’en suis contente.
docteur en droit canon
tu veux dire que tu es une bombasse, jean marron ? tu te mouches pas du coude, dis donc.
Nous avons remarqué la disparition d’une photo du blog de John Brown qui faisait pourtant ressortir chez lui son côté canon, disons couleuvrine moyenâgeuse…
Bernheim a déclaré que, s’il avait laissé courir le bruit qu’il était agrégé de philosophie, c’était à cause d’un événement tragique dans sa vie. Il n’a pas précisé lequel.
Je suis en mesure d’apporter cette précision : cet événement tragique, c’est de ne pas avoir été reçu à l’agrégation de philosophie.
Nos condoléances.
14 h 35 min c’est à dire depuis que les slips affichent à la ceinture le nom de l’archange ?pauvre petite main claviardeuse qui n’a pas proposé un détail d’une photo W /C
Emeute, émeute… Ca passera, comme le café…
Moi-je veux des détails de gauche irréprochables, et je nomme une commission spéciale, chargée d’expulser diable et bon dieu de ceux-ci !….Euh….
Que naissent cent mille courts, nerveux, qui ramassent dans les coins et fassent leur fête au bétail
alec enfonce Pierre Louÿs et son roi Paupol, qu’avait pas dépassé les 11 000 verges…au passage il améliore encore le modèle, avec la fonction à tirer dans les coinceteaux bizarres…sale temps pour les bichettes…sapré alec
14 h 54 min c’est à dire que ça dépend du filtre comme celui que vous mettez dans votre potd ‘échappement .
ce que e peux affirmer, c’est que ce n’est pas u lycée que j’ai appris même le nom de P.Valéry , même en classes dites classiques avec supplément latin et grec à l’aube .
C’eSt VrAi, La PhOtO dE JhOn BrOwN nOuS MaNqUe BeAuCOuP: un paysage est un état d’âme, un beau désordre est un effet de l’art. Trogne tout droit sorti d’une nouvelle de Gogol…
Dieu et le diable sont aussi das les chansons
« Est-ce la main de Dieu,
Est-ce la main de Diable
Qui a tissé le ciel
De ce beau matin-là,
Lui plantant dans le cœur
Un morceau de soleil
Qui se brise sur l´eau
En mille éclats vermeils?
barbara
ave des fleurs
Est-ce Dieu, est-ce Diable
Ou les deux à la fois
Qui, un jour, s´unissant,
Ont fait ce matin-là?
Est-ce l´un, est-ce l´autre?
Vraiment, je ne sais pas
Mais, pour tant de beauté,
Merci, et chapeau bas.
la première personne qui a prononcé evant moi e nom de P.Valéry était unprofesseur très connu , dont la femme était une poéte-sse spécialiséE dans es vers libres-ou blancs-féministes et qui a ensuite divorcé pour se re-marier avec un philosophe.Je précise que la poésie n ‘était pas son métier, elle était psy!! ça ne s’invente pas .
Tout droit sortie…
Là que se dissimule la clef, le point, le moment, le rosebud, la beauté des enchaînements. Autant dire l’essentiel.
(…)Roland Barthes eut sans aucun doute
—
N’est-ce pas précisemment ce que Roland Barthes, dans La chambre claire, et pour la photographie, appelle le « punctum »?
J ‘en ai marrrrre !!!!
allez faire pipi dans votre sCeau et laissez- moi tranquille avec votre » punctum » .
Après-midi de printemps.
HR et JC font leurs giboulées
La première personne qui a dit « Oh crotte alors » était une vieille dame très méconnue, dont le mari était spécialisé dans les planches de 35X150 et qui a ensuite divorcé pour se re-marier avec un épicier. Je précise que la couture n’était pas son métier, pas plus que le gavage des oies, ni le nettoyage à sec, elle était monitrice d’auto école!! ça ne s’invente pas.
sur punctum ,est -ce que l’armature du soutein-gorge en est ?
dit: 11 avril 2013 à 15 h 21 min
d’où êtes vous pour coincer autant d’R ,et n’en faites pas une partita !
( moi, je m’en balance de vos 50 nuances aux agrès)
La première personne qui m’ a dit « bonjour, vous» était une femme unijambiste très reconnaissable, dont le mari était spécialisé dans les sports mécaniques et qui a ensuite divorcé pour se re-marier avec un manchot. Je précise que le ravaudage n’était pas son métier, pas plus que la télévision, ni le tir au pigeon, elle était voyante extra-lucide!! ça ne s’invente pas.
» excusez du peu »
excusez ! ce que vous voudrez et pourrez, pour le reste, il y a Dieu et le diable pour se le partager
bonsoir et testez vous bien
Extraordinaire photo ,ce violoncelle devant la clôture.
clin d’oeil à Rostropovitch devant le mur:
ici la clôture enferme ,A berlin ce jour là le mur était liberation
on peut broder longuement sur le rapprochement
La première personne qui a dit devant moi le mot «margarine» était une femme tronc très connue sur les champs de foire, qui possédait une Simca 1000 et s’en est par la suite séparée pour s’acheter un DS 23 à injection électronique. Je précise que la colle n’était pas son métier, pas plus que l’herbe à chat, ni le riz au thon, elle était ribambelle chez un marchand gros et demi-gros!! ça ne s’invente pas.
Les armatures de soutien-gorge ça sert à rien…
La personne première qui a dit devant moi le mot «gronk» était une femme flanc très connue dans le milieu des surgelés, qui possédait une rôtissoire et s’en est par la suite séparée pour s’acheter une pompe à vélo. Je précise que la glon n’était pas son métier, pas plus que la shlong, ni le troumpf, elle était shponk chez un crac!! ça ne s’invente pas.
L’aurait fallu mettre la partition de l’autre côté de la palissade…
. Preuve qu’on peut penser sans livres.
que l’on puisse penser sans livre, O.K. mais je n’ai pas vu que cela soit prouvé dans le billet, même si celui-ci est sur la toile .
Première personne…devant moi… une femme… spécialisée… très connue… mariée avec…puis divorcée de … pour épouser un…. Je précise qu’elle n’était pas… C’était une…!! ça ne s’invente pas.
Dans le cadre de nos fonctions, qui consistent notamment à surveiller l’ensemble des blogs tenus par des commentateurs susceptibles de porter préjudice à notre patron, nous nous voyons obligés d’informer celui-ci que M. Sergio ne sait pas ce qu’est l’ASM.
M. u. avisera.
que l’on puisse penser sans livre, O.K. mais je n’ai pas vu que cela soit prouvé dans le billet
En effet, c’est une remarque très juste et, comme vous le laissez entendre, le fait que ce billet soit sur la toile ne constitue en rien une excuse.
@Secrétariat de u. allez repasser votre pantalon dzns k’autre sens ,y a des plis de fromagerie .
Bonne soirée
La première personne que j’ai vue avec des plis de fromagerie était le mari d’une crémière, qui a divorcé pour se re-marier avec un charcutier !! ça ne s’invente pas.
C’est pas humain, de mettre des photos de pays chauds…
Secrétariat de u. dit: 11 avril 2013 à 16 h 12 min
ne sait pas ce qu’est l’ASM.
Ah mais ça c’est normal au lycée j’ai toujours réussi à me faire exempter de sport co…
la photo de cette femme installée à jouer du violoncelle est émouvante : on voit même une partition(?) sur le pupitre;pas de pince à linge .
Il est clair que cette femme émouvante joue comme un pied de ce violoncelle en plastique : aucun attroupement pour l’écouter.
16 h 18 min vous abusez: car j’ai écrit preuve et non excuse !
mais peut-être P.Assouline et d’autres veulent-ils un renouvellement de commentateurs ?
ici, je voulais mettre l’accent sur le mot preuve . par exemple , je ne peux pas retrouver où j’ai lu que *** écrivait un W et un B devant certains noms pour white et Black (et non colored comme sur la photo: c’est un « détail », bien sûr !mais quand même )
HR a raison : il faut absolument renouveler le stock de commentateurs de la RdL, l’actuel est moisi/pourri depuis longtemps. Il y a même des morts-vivants.
« Marianne Alphant, elle, n’aime rien tant que crébillonner, marivauder, fragonardiser, mesmériser, casanover. »
Le soir venu, il est quand même raisonnable de faire chambre à part.
65 h 1893 min vous abusez: car j’ai écrit rustine et non bouse !
mais peut-être P.ATartempion et d’autres veulent-ils un renouvellement de cravates ?
ici, je voulais mettre l’accent sur le mot tisane. par exemple , je ne peux pas retrouver où j’ai lu que (()) écrivait un crâne et un ballon devant certains noms pour planète et syphon (et non éponge comme sur la plage: c’est un « bignou », bien sûr !mais quand même )
encore que e ne sois ni rabbin, ni pape , je donne volontiers ma démission à qui de droit, mais qui est-ce « qui de droit »?
mes détours par le blog de P.Assouline sont une assez vieille histoire, dont il ne sait rien de rien et dont il ne saura jamais rien.
mais elle aurait été ourdie par un diable qu’elle n’aurait pu être aussi rusée pour mon moi !
eXEAt dit: 11 avril 2013 à 16 h 53 min
mes débours par le blog de P.Assouline sont une assez vieille poche, dont il ne vient rien de rien et dont il ne viendra jamais rien.
mais elle aurait été ourdie par un hareng-saur qu’elle n’aurait pu être aussi abrasive pour mon moi !
Dédé?
HR, avez-vous eu un enfant de Pierre Assourbanipaline ? Allez ! Avouez, ça soulage !
Plus sur cette photo (2011) et ce photographe Andrew McConnell
http://www.worldpressphoto.org/andrew-mcconnell
Une pensée qui avance par cristaux c’est pas mal comme image, seulement après naturellement faut que les cristaux fondent pour se reconstituer différemment car la pensée, bien entendu, ne peut pas s’arrêter.
Ces deux photos entretiennent avec le billet un rapport subtil mais nécessaire.
Sauras-tu le retrouver?
Les armatures de soutien-gorge ça sert à rien…
maintenant il sont rembourré à la mousse haute densité..pigeonné qu’on est
Sauras-tu le retrouver?
lassouline il est vaudouisant
Les prothèses mammaires de M. Mas étaient de si mauvaises qualité qu’elles partaient parfois avec le soutient-gorge.
Un soutien-gorge ce n’est pas tant ce qu’on trouve qui est plaisant, c’est plutot ce qu’on y cherche.
historia
ça n’a rien à voir avec des enfants lsdos cher bossu
vous voulez que je vous dise : le manque de bol, c’est qu’on tome parfois dans la vie sur des gens avec lesquels on a au moins un fantasme en commun, avant de se coltiner leurs livresou leur enseignement . et ça parfois on a envie de comprendre pourquoi .ça parât cérébral, comme ça avec le mot fantasme , et le mot moi, et qui peut espérer avoir une preuve ?
mais ça ne me turlupine plus du tout , cette question.occupez-vous de vos fantasmes,, de ceux de l’onkle lapis l’assouline, je m’occupe des miens
N’est-ce pas précisemment ce que Roland Barthes, dans La chambre claire, et pour la photographie, appelle le « punctum »?
le punctum du robebud..on voit bien que kabloom est de culture anglosaxophone
Monsieur Mas est un homme d’une très grande inhumanité
Les thèses pro-masses de M. Mamère étaient de si mauvaise qualité qu’elles portait parfois un soutien à Georges.
bouguereau dit: 11 avril 2013 à 17 h 04 min
Les armatures de soutien-gorge ça sert à rien…
pigeonné qu’on est
C’est le problème… Sans connaissances techniques on n’existe même plus…
Je trouve que « la république du jazz » n’est pas, de loin, du même niveau que celui-ci, hélas
Un soutien-gorge ce n’est pas tant ce qu’on trouve qui est plaisant, c’est plutot ce qu’on y cherche
t’es grand rabbin de france par hasard ?
HR, sous-traitez, pour vos fantasmes ! sous-traitez ! Ne jamais rester seul(e), toujours faire souffrir un(e) autre. Cela aide.
des enfants dans le dos
on tombe
ça paraît
C’est un professeur qui m’emmena au théâtre voir Monsieur Teste, que je n’ai pour ainsi dire pas relu depuis .
L’amateur de pensée en cristaux ne doit méditer qu’à basse température.
“Un incipit qui déjà nous conviait aux noces de l’intelligence et de l’humour. »
Les cristaux ont été les beaux enfants de ce couple modèle.
Le soutien-gorge, de quoi s’agit-il ? Un de ces détails, ces débris de la vie, ces petits importants, ces petites choses, ces petits faits affolants, ces petits riens qui sont tout, qui ont la vertu de rallonger le temps.
historia
ça n’a rien à voir avec des pincouins lsdos cher cul de jatte
vous voulez que je vous arrosse : le manque de poivre, c’est qu’on tombe parfois dans l’escalier sur des topinambours avec lesquels on a au moins un peigne en commun, avant de se coltiner leurs épluchures ou leur bouillon . et ça parfois on a envie de biner pourquoi .ça parât jardinier, comme ça avec le mot truite , et le mot jambon, et qui peut espérer avoir une assiette ?
mais ça ne me démange plus du tout , cette question.occupez-vous de vos légumes,, de ceux de l’ongle lapis l’assouline, je m’occupe des veaux.
Aucun doute ! renato est l’enfant de l’intelligence et de l’humour, dont parle Marcel Zhu à 17:24
763
commentaires