Du souci de soi
Comment s’en sortir avec un comité de rédaction constitué de quelque 192 collaborateurs ? On peut. Même dans un pays jugé ingouvernable eu égard à son innombrable variété de fromages. Il suffit de s’oublier un peu sans jamais cesser d’être soi. Une telle gageure s’imposait aux concepteurs du Dictionnaire de l’autobiographie sous-titré « Ecritures de soi de langue française » publié sous la direction de Françoise Simonet-Tenant, avec la collaboration de Michel Braud, Jean-Louis Jeannelle, Philippe Lejeune et Véronique Montémont (848 pages, 65 euros, Honoré Champion)
Ce n’est pas que mon cher moi personnel m’obsède à ce point mais cette lecture m’a passionné. Je dis bien « lecture », ainsi qu’il ne sied pas d’ordinaire à un ouvrage de cette nature, voué à être consulté, feuilleté, pillé mais pas à être lu, ce qui s’appelle : lu. Le fait est que m’en étant emparé comme de n’importe quel dictionnaire thématique, de ceux qui font florès depuis que la librairie est atteinte sans en souffrir de la fièvre des dicos, je m’apprêtais à m’y promener par sauts et gambades et que je l’ai lu passionnément dans sa continuité.
Ordre alphabétique oblige, il se clôt par là où il devrait commencer : la sincérité. Entendue comme l’intention de dire la vérité, elle est au coeur du projet autobiographique. « C’est ici un livre de bonne foi, lecteur » prévient l’incipit des Essais de Montaigne. Ce qui frappe d’emblée, c’est l’incertitude générique qui hante toute recherche dans ce domaine : Mémoires ? Journal intime ? Correspondance ? Témoignage ? Ce qui frappe ensuite, c’est la référence permanente, récurrente dans nombre de notules, à quelques noms : le Rousseau des Confessions (ce qui n’empêche pas d’explorer des œuvres du Moyen-Âge et de la Renaissance, ne fût-ce que pour rappeler que si « ça » commence bien avec lui, il ne fut pas le premier) ; le Michel Leiris de l’inoubliable L’Âge d’homme (1939), désir de vérité sur soi sous forme de catharsis lucide dans l’indifférence au risque d’affronter que son œuvre soit métaphoriquement déchirée par un coup de corne de toro ; enfin le nom du chercheur Philippe Lejeune, pionnier des études sur les écritures de soi, mais c’est d’autant plus normal que ce dictionnaire entend dresser un bilan plus de quarante ans après la parution de son essai fondateur Le Pacte autobiographique, pacte considéré comme un contrat proposé par l’auteur au lecteur, engagement que prend un auteur de raconter sa propre vie en s’interdisant toute fiction ou dissimulation, publié en 1975 (une borne pour les historiens du genre), année faste qui a également vu la publication du Roland Barthes par Roland Barthes et du W ou la Disparition de Perec, l’un des rares qui ait réussi à renouveler le genre autobiographique en saturant ses livres de listes et de mots afin de combler le vide créé par la perte et l’absence des siens. Claude Roy, dans une formidable trilogie (Moi je, Nous, Somme toute) qui absorbait tous les genres en un « éloge de la contradiction, c’est-à-dire de la vie”, a réussi lui aussi à donner de nouvelles couleurs à ce qui aurait pu paraître figé. Le philosophe et épistémologue Georges Gusdorf, théoricien de l’autobiographie, est également souvent cité mais on comprend vite qu’il est jugé passéiste, car limité par une pensée rigide, par la jeune garde des experts du moi littéraire.
Pas facile de circonscrire le spectre de l’autobiographique. Va pour la fiction confessionnelle s’agissant d’une bonne partie de l’œuvre de Drieu la Rochelle. Mais j’ai du mal, pour ma part, à tenir ces grands romans que sont Kaputt (1943) et La Peau (1949) comme « les deux volets d’une autobiographie où l’auteur apparaît sous son nom » ; on sait bien que Curzio Malaparte avait évidemment puisé dans son vécu de correspondant de guerre sur le front, mais on sait également qu’il avait pris des libertés pour le transcender en littérature, sans quoi ces livres n’auraient pas conservé leur puissance d’évocation, et ils ne refléteraient pas, comme ils le font encore et de manière unique, la barbarie de ce temps.
Difficile de négliger la matrice chrétienne de cette manière de confessio qui ne dit pas son nom. Elle est le terreau y compris chez les plus détachés de la foi. De là à reconnaître saint Augustin comme le saint patron des autobiographes, il y a un pas que la critique littéraire contemporaine s’est longtemps refusé à franchir, alors que ses Confessions (397- 400) devrait être leur bréviaire laïc. Pas très moderne et pas assez chic, l’évêque d’Hippone en tout cas moins que les mémoires-confessions de Rousseau, modèle de la confidence pathétique jusqu’à l’impudique puisqu’il s’ouvre sur le deuil de la mère, dont l’autoportrait en majesté des Mémoires d’outre-tombe fit un contre-modèle. Récuser l’influence de saint Augustin au nom de Rousseau est d’autant plus absurde que celui-ci était un grand lecteur des textes sortis de Port-Royal. Etrange car les Mémoires du cardinal de Retz constituait une bonne passerelle entre les deux univers. Et la borne saint Augustin ne coïncide pas avec l’idée selon laquelle le XVIIIème fut le grand siècle autobiographique car il correspond à l’émancipation de l’individu avec ce qu’elle a entrainé dans l’ordre de la littérature de témoignage et de Mémoires historiques.
Autant d’auteurs, autant de formes, chacun adaptant à son tempérament et ses tropismes le canon établi malgré lui par Rousseau dans son incipit :
« Je forme une entreprise qui n’eut jamais d’exemple et dont l’exécution n’aura point d’imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature ; et cet homme ce sera moi »
Elle peut se nourrir de l’examen de conscience et de l’aveu intime (Amiel) ; de l’autobiographie en archipel cherchant la vérité en imaginatif raconteur d’histoires (Jean le bleu et Noé de Giono) ; de l’invention d’un journal factice (Alias Caracalla de Daniel Cordier) ; autoportrait dans lequel l’essai se substitue au récit (Montaigne, greffier des sensations et sentiments intimes) ; de l’introspection de grand lecteur qui cherche à comprendre son imaginaire adolescent s’est constitué à partir des verbes « lire » et « écrire » (Les Mots de Sartre) ; du grand désordre thématique et chronologique organisé (Le Miroir des limbes de Malraux) ; de l’essai en contrebande destiné à se raconter dans l’espoir de couper l’herbe sous le pied aux historiens ces « vautours de mémoires » (Régis Debray avec Les Masques et Loués soient nos seigneurs) ; du refus de la progression narrative dans l’exposition de soi (Journal de Delacroix) ; de la déconstruction (Jacques Derrida, bien sûr) ; de la parodie d’autobiographie truquée (Louis-René des Forêts dans Le Bavard, 1946) et des éclats d’une existence (idem dans Ostinato, 1997) ; de la mise à distance de la narration par l’introduction d’un dialogue entre la narratrice et son double (Enfance, 1983, de Nathalie Sarraute)
Nulle main-à-plume n’est tenue de passer sa vie à se demander « Pourquoi suis-je moi ? » dans des dizaines de volumes tel Julien Green afin de se mettre à jour de soi-même. Ni de s’efforcer de repousser douloureusement les limites de l’écriture du moi à l’épreuve de la maladie tel Hervé Guibert. Tant d’écrivains ont leur part dans le récit de soi qu’un Flaubert paraît bien isolé si l’on se réfère à son injonction (« Ne pas s’écrire ») et à sa détestation de la mise en scène de soi. Et il s’y est tenu, sauf à lire son exceptionnelle correspondance comme son grande œuvre autobiographique. Aux antipodes de l’attitude d’un Gide écrivant son Journal à destination de la Pléiade et recopiant ses lettres dans la perspective de l’édition d’une Correspondance ; il n’en faut pas moins lui reconnaître un courage et un cran remarquables pour oser publier Corydon en 1924 et deux ans plus tard Si le grain ne meurt, y avouant sans détour et en y revendiquant sans la moindre hypocrisie ses mœurs pédérastes (non pas homosexuel, uraniste, salaïste, inverti et encore moins gay, mais bien pédéraste, selon son souhait) ; Gide a incontestablement ouvert un chemin dans cette voie-là même si il a été dépassé en audace en 1939 par le De l’abjection de Marcel Jouhandeau, remarquable écrivain de soi qui ne rencontra pourtant pas les faveurs du public malgré les quelque cent trente volumes à son actif.
On s’en doute, un recueil d’une telle richesse et d’une telle densité est plein de pépites et de surprises. Je n’aurais pas crû que le néologisme « diariste », dans ses rapports euphoniques avec le dérangement intestinal, eut remonté à 1952 à peine (je lui donnais volontiers donné un bon siècle de plus) ; par la même occasion que « cyberdiariste », qui date de la fin des années 1990, est concurrencé depuis 2003 par…. blogueur ! De même, j’ai longtemps crédité Michel Tournier de l’invention de « extime », et il ne démentait pas (son Journal extime, 2002) alors qu’elle est d’Albert Thibaudet en 1923.
Autre découverte, le titre originel de L’Ecriture ou la vie (1994) de Jorge Semprun : « l’Ecriture ou la mort », ce qui change beaucoup de choses. On y apprend à ne pas juger sur la réputation, ne serait-ce que parce que Victor Hugo réputé mégalomane n’a jamais versé dans l’autobiographie malgré ses carnets, ses notes et ce qui a pu transparaitre de lui dans sa défense des grandes causes. Autre détail, moins anodin : l’importance de la notation météorologique, qui fait office de datation climatique pour le mémorialiste : le temps qu’il fait n’est pas sans intérêt dès lors que ce qui est écrit s’articule sur le temps qui passe. Au passage, en rappelant les précédents de Guizot, Ariès, Le Roy Ladurie, son clou est rivé à Pierre Nora qui avait crû inventer quelque chose en lançant les Essais d’ego-histoire (1987) poussant les historiens à l’introspection comme pour justifier leur implication personnelle dans une recherche.
Tout au long de ses 457 entrées qui tournent autour de « l’écriture à la première personne du singulier non fictionnelle », ce dictionnaire a le bon goût de s’ouvrir à ce qui s’écrit dans le monde francophone. On relève ainsi une intéressante notule sur « Islam ». L’occasion de rappeler que l’exposition de la vie privée et la mise en lumière de soi y étant traditionnellement mal vues sinon prohibées, les écrivains qui y sacrifient opèrent ainsi une rupture parfois fracassante avec ce monde. En témoignent les éclats de Driss Chraïbi (Le Passé simple, 1954), de Kateb Yacine (Nedjma, 1956), de Malika Mokeddem (Mes hommes, 2005).
Que d’histoires, que de vies, que de traces que d’échos dans ce recueil de tant d’intimités ! Ce recueil est d’une richesse sans pareille ; il se lit en continu mais comme un récit éclaté, sacré paradoxe quand on sait que tout dictionnaire relève d’un genre qui suggère par définition la consultation plutôt que la lecture. Le Dictionnaire nous invite, avec bonheur et non sans malice, à revisiter l’œuvre de nombre d’écrivains au prisme de l’autobiographie, du « je » narré et du « je » narrant pour parler comme les théoriciens de la chose ; il n’en est dénué de jargon malgré le caractère universitaire de l’ensemble (ah, ces « positionnement énonciatif », « instance narratoriale », « processus de légitimation, « stratégie d’énonciation » sans oublier ce cher « dispositif » qui semblent toutefois en démanger quelques uns !). Pas sûr non plus qu’il soit indispensable de passer par l’analyse que Barthes en fit pour saisir l’originalité de la forme des Mémoires de guerre du général de Gaulle. Cela dit, n’allez pas croire que la postérité paie toujours sa dette à l’écriture de soi. A lire certains romans et même certains essais historiques, on se demande parfois si la vocation des mémorialistes n’est pas d’être pillé ou démarqué, ce qui revient au même.
Chaque autobiographe est un cas. Nul mieux que le parti pris de Roger Martin du Gard (son Journal et sa correspondance ne furent publiés que longtemps après sa mort et son œuvre est fermée à toute clef autobiographique, notamment le cycle des Thibault) n’illustre l’impératif de discrétion, de décence, de pudeur et la détestation de tout exhibitionnisme, de l’indiscrétion. En 1995, devenu presque aveugle, un autre grand discret, Claude Mauriac, qui s’était lancé dans l’écriture de soi dès l’adolescence, cesse d’écrire son Journal, redevenu manuscrit et qui s’achève sur ce mot pathétique : « Illisible ». Il y aussi le cas Chateaubriand réduit à la pauvreté à partir de 1836, acculé à vendre vendre à l’avance les droits post-mortem de ses Mémoires d’outre-tombe, « formidable marqueterie littéraire, où les oeuvres antérieures trouvent à se réécrire” à une société commanditaire, ce qui revenait à « hypothéquer sa tombe ».
L’égotisme stendhalien, non comme accumulation excessive de moi et de je (syndrome de BHL) mais comme analyse de soi dénué d’affectation, de vanité, de lyrisme, de forfanterie (Chateaubriand n’en était pas dépourvu). Avec la Vie de Henry Brulard, écrite en 1835 quand M. le consul s’ennuyait à Civita-Vecchia mais publiée en 1890, Stendhal peut apparaître plus prudent :
« J’écris ceci, sans mentir j’espère, sans me faire illusion, avec plaisir comme une lettre à un ami ».
Un cas intéressant en ce que le narrateur-personnage ne s’appelle ni Beyle ni Stendhal. Ni confession intime, ni construction de soi en grand homme, c’est un livre plus proche du Tristram Shandy de Laurence Sterne, tout en errance, mouvement, digressions que le lecteur est invité à reconstituer en découvrant chaque fragment comme ceux d’un fresque éclatée. Le narrateur y fait le pari de gagner un jour le gros lot à la loterie de la vie en étant lu en 1935…
On croise aussi des autobiographes hantés par les ravages de la maladie d’Alzheimer, le spectre de la dissipation progressive de la mémoire, la méfiance que ses lacunes entraine chez celui qui se souvient, les accès qu’elle donne ou non, à une prise de l’identité personnelle. Une place originale est faite à la place occupée par l’éthique protestante non dans le capitalisme mais dans le Journal et l’autobiographie. Sartre, qui en était, avait relevé la dimension de l’examen de conscience et du livre de d’oraisons chez Gide, traits qui n’apparaissaient pas dans le Journal des Goncourt ou celui de Jules Renard :
« Le fond, c’est la lutte contre le péché. […] Il n’est pas question que le carnet soit le reflet d’une vie. C’est une sorte d’offertoire religieux et classique, un livre de comptes moraux, avec une page pour le crédit, une page pour le débit. »
On sort d’un livre avec l’ardent désir de (re)lire Enfance de Sarraute, ses délicats et minuscules mouvements intérieurs, avec d’autres yeux, et tant d’autres auteurs ici révélés à travers le prisme particulier du « souci de soi » (l’expression est de Michel Foucault) alors qu’ils ont été si souvent ailleurs commentés. Evidemment, l’autofiction à la génération prétendument spontanée, que son père putatif Serge Doubrovsky définissait comme « fiction d’événements et de faits strictement réels », est bien présente, on s’en doute –et on remarquera en passant que la plus belle autofiction parue à la fin de l’autre siècle ne s’annonçait pas comme telle, A défaut de génie de François Nourissier.
Mais sans en rajouter, en ramenant ce phénomène de mode à ce qu’il fut en réalité, cette bible des écritures de soi la met à la place assez mineure qu’elle n’aurait jamais dû quitter dans l’histoire de l’autobiographie. La faute à qui tout ça ? L’APA (Association pour le Patrimoine Autobiographique) le proclame dans le titre de sa revue quel les abonnés entre eux appellent « la FAR ». La quoi ? la Faute à Rousseau bien sûr ! Mais que l’on se rassurer surtout si l’on n’est pas écrivain ou auteur et que l’on a nulle intention de se raconter ou de s’introspecter : on gagne toujours à s’autoriser un peu d’amitié pour soi.
(« Roland Barthes » photo D.R. ; « Nathalie Sarraute, 1987 » photo de Marc Trivier ; « Michel Leiris, 1971 », photo de Henri Cartier-Bresson ; « André Gide, 1948 », photo D.R. )
1 809 Réponses pour Du souci de soi
En la matière, il n’y a de précipitation que dans la lecture. Je me suis procuré en même temps le livre d’une auteure presque inconnue du public ; eh bien elle aura la priorité sur Passou. Elle s’appelle Céline Lebon
@La librairie de Paris, c’est celle de la place de Clichy?
non, celle de la rue Crubellier; me suis gourée, celle de la place des trenes, c’était y deux jours…
ça vous dit ?
Google ne m’a rien trouvé sur cette Céline Lebon. Dommage.
Mort à crédit, c’est le titre
me suis gourée deux fois, Celle avenue des Ternes, mais c’est toujours dans le XVIIème.
Au fait Chaloux, le bar parisien dont vous causiez l’autre jour, ce devait être » Chez Francis ».
Wah…Quel humour ravageur…
… la fatigue.
Aujourd’hui, comme on dit par ici: il neigeait à patin.
Non, il me semble que ça s’appelait La Tour d’Auvergne.
Ah, alors il faudra que je retourne, un jour, au fond de la rue des Martyrs.
Wah Wah Wah qu’on dit quand on est branché, d’abord
Voilà que celle à l’initiative de la dénonciation en ligne , depuis NYC, » balance ton pata negra », va pouvoir donner la suite qui convient à ce qu’elle considérait au départ comme une » blague ».
En effet, E. Brion, le dénoncé, va poursuivre en justice.
Les réactions de la dame,
« Eric Brion que je nomme comme l’auteur des propos dégradants dont j’ai fait l’objet (…) a finalement changé de stratégie et a décidé, contre toute décence, de m’amener devant les tribunaux »
Elle pense que cette assignation est destinée à la faire taire.
Comprends pas; elle accuse par hashtag, et ne veut pas donner la suite qui convient ?
Faire accuser par la justice française, celui qu’elle a dénoncé ?
(modéré)
sans risque ça se discute pour quelqu’un dont l’identité est connue par tous ici
même le robot connaît son nom
The Turning Point -at the Fillmore East
Serge Klarsfeld a raison, Céline c’est de la bombe, de l’atomique. J’en viens à la conclusion qu’afin de préserver l’ordre public, tôt ou tard, il est impératif d’interdire de reproduction non seulement les pamphlets, mais tout céline. Saisissez vous de vos smart-phones et faites savoir le mot d’ordre
Faut pas noter faut lire http://www.bouquineux.com/index.php?telecharger=1673&Colette-La_Chatte c’est fait pour ça internet à la base
À demain
En bon musicien que vous êtes, vous pardonnerez les fautes d’accord et de concordance des temps ; c’était pas voulu
Un coin du monde…
Widerganger, Plus j’essaie de vous suivre dans vos délires sur mon livre que vous n’avez pas lu, ce qui s’appelle : lu, plus je me demande pourquoi il y a un an ou deux, vous avez pris l’initiative de m’ inviter à venir parler devant vos élèves au lycée et pourquoi vous m’avez décommandé peu de temps avant que je ne m’y rende. Ou plutôt : maintenant je comprends… Grave.
Des pennes à la sauce tomate avec du gruyère et de l’ail ça me semble très bien. Je n’y vois rien à redire.
@Nicolas
Merci infiniment. Je lutte contre les amazones et il n’y a pas de librairie française dans ma ville. Sachant qu’EN PLUS je déteste lire sur format numérique, je vais faire une exception pour l’amie Colette.
@D.
C’était bof. Rien à voir avec ma propre tambouille, comme celle d’hier soir.
Sinon, ça chauffe trop concernant le livre de Passou. On serait presque soulagé de ne pas avoir pu s’en faire d’avis.
@Bref il ne faut pas croire le Moyen-orient qui nous pourrit la vie, le centre du monde. On a aussi retrouvé récemment dans le Sinkiang chinois, les restes d’un homme vieux de 3 à 4000 ans, il mesurait + de 1.90m, avait les cheveux châtains clairs, les yeux aussi, et un pantalon… à carreaux (façon tartan écossais, en tissus très bien tramé… au fait : on était habillé comment en Palestine en ces temps ?). De là à penser aux scythes et aux pictes d’écosse ? ou à ce que les légendes chinoises appellent « les diables roux aux yeux verts » ?
Moi, je trouve ça rigodon
Nicolas
je connais peu Colette.
Elle a une plume vive et acérée mais aussi emplie de tendresse lorsqu’ elle parle de sa mère et de la maison de son enfance. Les chats peut- être.
Dans une bibliothèque, un livre enfoui ?
Souvent lorsque le lis Clopine, ses nouvelles croquées ici, c’ est un genre littéraire en soi qui demande un rythme enlevé, je pense à Colette.
je crois qu’ une bloggueuse ici connaît Colette mieux que moi.
Nicolas la précision de la descriptipn, la minutie des détails, ici peut- être où long chat est injustement méconnu
http://salem.blog.24heures.ch/archive/2013/02/02/un-chat-celebre-de-colette.html
Céline c’est de la bombe, de l’atomique.
—
C’est un synthétiseur, un Dr Follehaine qui offre un précipité de composants venus d’ailleurs, comme le démontre avec brio le livre de Alice Y Kaplan, « Analyse des sources et citations dans Bagatelles pour un massacre ». C’est un compilateur, qui abuse des points de suspension, comme on s’arrête entre deux jets de diarrhée, un .nculé de plagiaire qui fait du neuf avec de l’éculé. Oui, vous avez bien raison, ce sont des bombes qu’il fabrique et qui, bien qu’artisanales, ont semé la mort. Des bombes sales, concoctées par un s.lopard.
il me semble avoir vu le parlement et Big Ben ds un coin du monde il y a deux jours
http://nique76.skyrock.mobi/2928209479-J-M-W-Turner-L-incendie-de-la-Chambre-des-Lords-a-Londres-1835-En.html
Quand même de ma vie passée, jamais n’ ai vu chat nager.
Ai vu venir boire délicatement dans l’ évier, mais chat sapeur pompier jamais rencontré
pas fière de moi hier soir
le brasier qui ne s’ éteint pas de wdg
ai vu Manille dans un coin du monde aussi
https://fsa-inox.com/accastillage-marine/1120-manille-lyre-inox-a4-marine.html
un rendez-vous s’honore ; sinon c’est faire faux bond
https://www.007james.com/characters/honey_ryder.php
Jean Langoncet dit: 18 janvier 2018 à 23 h 37 min
« Serge Klarsfeld a raison, Céline c’est de la bombe, de l’atomique. J’en viens à la conclusion qu’afin de préserver l’ordre public, tôt ou tard, il est impératif d’interdire de reproduction non seulement les pamphlets, mais tout céline. Saisissez vous de vos smart-phones et faites savoir le mot d’ordre »
Plus que les coup de sabre laser de l’ami Wiwi, nouveau Quijote luttant contre les moulins à ventes (du Retour), chevalier défendant son opinion de la sépharadie qu’il croit justifiée : cet appel de Langoncet à BALANCE-TOUT-CELINE est amusant/révoltant !
Je le prend au second degré, car, voyons, Langoncet ne peut pas être aussi con!….
Je laisse le soufflé retomber un peu avant de reprendre en main le RETOUR A SEFARAD. Rien ne presse. Je vais terminer le livre savant de Michel Gras /Cursus/Armand Colin « LA MEDITERRANEE ARCHAIQUE ».
Au moins, j’échapperai au combat passionné judéo-juif qui n’a, à mes yeux de goy friend, aucun intérêt autre que communautaire, voire communautariste, voire psychanalytique …
« Des bombes sales, concoctées par un s.lopard. » (Bloom)
Bloomie le Froggie travaille actuellement sur un projet de bombes propres ne faisant du mal à personne, concoctées par un saint homme à la philanthropie avancée ….
Le jour va se lever : jogging now !
Infoutus de comprendre le mot consultatif, c’est-à-dire qui a pour tâche de donner des avis.
Actuellement au cinéma, vous pouvez voir « 3 Billboards, Les Panneaux de la vengeance », plutôt un bon film. Sur la RDL, vous pouvez lire « 300 ? Billboards, Les Panneaux de la vengeance » par WWG, très mauvais scénario. Seul point commun : il y a un nain dans les deux cas.
Ad Reinhardt :
Kurt Schwitters :
JC: « à mes yeux de goy friend », c’est une trouvaille.
Le jour va se lever : jogging now !
Le silence de Bloom sur Retour à S… est assourdissant !
« Je laisse le soufflé retomber »
Qu’en terme galant cette capitulation en pleine bataille est dite, JC !
Goy friend et pas gay friend ?
Confondre « repli tactique » et « capitulation », JiBé, t’as du faire tes EOR dans les Zouaves cannois ….
Dorothea Lange, A sign of the times – depression :
« Passou devrait remercier WGG, JJJ. »
Je pense même, Annibal, qu’en toute équité, Passou devrait lui verser un petit pourcentage de ses droits pour tous les exemplaires vendus à ceux « qui se sentent obligés » d’acheter son bouquin suite aux critiques de WG…Sans compter le bouche à oreille qui va suivre.
Se sentir obligé c’est une mauvaise motivation… tant qu’à faire j’achète un classique Disney.
Rose, Ed,
Pour répondre à votre question, « Qui est G-S. Colette ? », cet excellent article de Jean Montenot, paru le 3/08/2011 dans l’hebdomadaire L’Express. (Bien dérouler jusqu’au bout et s’attarder sur le paragraphe « La place du mot ».)
https://www.lexpress.fr/culture/livre/colette-ecrivaine-et-femme-libre-est-morte-un-3-aout_1017292.html
« L’ouvrage Le Nazi et le Barbier (titre original : Der Nazi & der Friseur) de l’écrivain juif-allemand Edgar Hilsenrath est un roman grotesque sur la Shoah et la judaïté en liaison avec le national-socialisme et la création de l’État d’Israël. Il est publié pour la première fois en 1971 aux États-Unis par les éditions Doubleday1. »
Une amie me signale ce livre. Quelqu’un connaît?
Seulement seconde classe dans la cavalerie à Carpiagne, près de chez toi, JC, le déserteur !
Tout est bon chez Colette, depuis les Claudine… !
http://www.mercuredefrance.fr/livre-Le_goût_des_chats-353-1-1-0-1.html
« L’ouvrage Le Nazi et le Barbier (titre original : Der Nazi & der Friseur) »
Ils auraient dû traduire par : « Le friseur et les frisés », closer !
Il y a des « pays de merde », c’est un fait !
Pourquoi le nier ? Pourquoi mentir au nom d’un humanisme de bazar damasquin ? Au nom d’une idéologie égalitariste stupide, où tout le monde il est beau gentil et plein de sagesse !
Notre cher Donald Trump, que Dieu le protège, a raison ! Il y a des « pays de merde » …beaucoup !
Il s’est simplement gouré de pays. En effet, les pays de merde sont TOUS en Europe. Et ils sont nombreux : Norvège, Finlande, Suède, Danemark, Allemagne, France, Suisse, Monaco ….c’est un fait bien connu !
Vive l’Afrique ! Vive la Libye, le Moyen-Orient et l’Arabie heureuse ! Vive Haïti ! A bas les pays de merde, pleins de blanc aux yeux bleus et leur femmes blondes, même pas voilées …
Il faut bien avouer que les Etats-Unis ont un président de merde, JC !
Je porte au couple Trump, le remarquable Donald et la délicieuse Mélania, une admiration sans borne, contrairement à toi, JiBé qu’est borné comme une toupie arrêtée ! …
La belle Mélania a bien du mérite, JC ! Et sans doute un peu trop le goût de l’argent ?
Le gout de l’argent est un sentiment honorable, partagé par beaucoup de gens, bien sous tous rapports …
… et le souci de soi passe d’abord par le goût de l’argent, plutôt que par le goût des autres, Narcisse aux pieds pris dans le béton de la littérature autobiographique …
Le Pacte autobiographique, pacte considéré comme un contrat proposé par l’auteur au lecteur, engagement que prend un auteur de raconter sa propre vie en s’interdisant toute fiction ou dissimulation,
J’observe que rien n’interdit de tricher. On peu s’engager solennellement et faire allègrement le contraire de ce qu’on promet. N’oublions pas non plus que dans toute entreprise inspirée par un souci de sincérité et de vérité sur soi entre une part de fiction, sans doute d’autant plus grande que l’exigence de vérité est plus forte. Quelle que soit la posture, nous travaillons tous, le plus souvent sans le savoir, à nous abuser nous-mêmes.
» Pays de merde » … Et la procédure d’impeachment ? En qualifiant ainsi un certain nombre de pays, africains notamment, le Trump tient là des propos directement contraires à l’intérêt des Etats-Unis. Cela devrait tomber sous le sens même du plus obtus des Républicains.
Les lesbiennes féministes étasuniennes devraient adopter le slogan suivant, JC : « Ce que j’apprécie le plus chez Trump, c’est Mélanie ! »
https://www.youtube.com/watch?v=DfaSfKxlNrc
Cet article passe en revue les divers avatars de l’entreprise autobiographique mais en oublie un, me semble-t-il, qui concerne d’ailleurs toute forme d’entreprise littéraire : celui qui consiste à se payer délibérément et systématiquement la fiole de ses lecteurs, en considérant que, lorsqu’on prend la plume, un seul élément devrait être pris en compte : le montant des droits d’auteur.
Et sur l’absence de Christine Angot dans ce projet éditorial, jean, tu en penses quoi ?
« souci de sincérité et de vérité sur soi »(jean)
Excellent !
AHAHAHAHA ! … souci de sincérité…OHOHOHOHO ! … de vérité sur soi !….. un écrivain ?! …. HIHIHI !… Et pour tout humain, en général : ne rêvons pas….
Comme exemple de l’art de se payer la fiole du lecteur, je citerai ce zigoto, ancien combattant de 14-18, auquel Breton fait une place dans son « Anthologie de l’humour noir » (Jacques Vaché ?) lorsqu’il évoque la tête de ses compagnons de tranchée la fois où il s’avise de balancer une grenade dans leur cagna. Verdun à l’envers (à la renverse). L’anti-Genevoix. J’en ris encore.
anaïs nin
JAZZI dit: 19 janvier 2018 à 11 h 00 min
Et sur l’absence de Christine Angot dans ce projet éditorial, jean, tu en penses quoi ?
Ah, alors là, j’avoue que tu me prends à contre-pied. Cela fait tout de même assez longtemps que j’ai lu « Une semaine de vacances », et l’émotion est encore toute fraîche. N’ayons pas peur de nous contredire : vive l’autobiographie, qui fait pleurer Jeannot !
Cesse de rire, JC, les loups ont envahi l’édition, la critique, les prix littéraires !
https://www.youtube.com/watch?v=hVkWgksDZDI
D’abord remercier Rose pour sa trop flatteuse comparaison. Et puis prendre ça à la légère : parce que cela va faire des années que je n’envoie plus rien aux éditeurs (déjà que je n’avais pas envoyé grand’chose !) : ma dernière tentative remonte à l’intervention amicale et désintéressée de « jazzi » auprès de son éditrice, tentative qui s’est soldée par un « oui, vos textes sont bons, là, mais c’est trop mince, votre « projet littéraire » ne m’apparaît pas abouti ». (que ces choses-là sont dites joliment !)
Et puis, vous savez, j’ai déjà fait l’objet de multiples « comparaisons », on a déjà cité les auteurs (souvent des femmes, il est vrai) les plus divers à mon sujet : si divers que cela pourrait être la source de l’espoir que, finalement, je ne ressemble à personne ?
En tout cas, les comparaisons trop flatteuses m’intimident, et me font perdre mon équilibre, il vaut mieux pour moi passer outre. Je préfère penser que mon obscurité, et le refus des quelques éditeurs que j’ai sollicités, proviennent effectivement d’un manque de mérite.
Ou plus exactement, disons que je ne sais pas plus m’empêcher d’écrire que les oiseaux de pépier. Mais, même si le monde a désespérément besoin de chants, un simple pépiement est ma foi bien imperceptible…
Merci cependant, Rose, de votre intérêt.
@clopine
le post de Rose de 2h 46 me réconforte .
je ne suis plus seule à rapprocher votre écriture de celle de Colette.il doit y avoir du vrai dans la comparaison
Le gros mesquin est parti ? Il était temps que la vérité sur son comportement soit révélée, c’est inadmissible. C’est comme si on reprochait à Modiano les numérotations des rues aléatoires et ses trous de mémoires dans le récit, il ne sera jamais romancier.
les comparaisons trop flatteuses m’intimident, et me font perdre mon équilibre (Clopine)
Moi, ce sont plutôt les comparaisons pas flatteuses (Dolfie, Weinstein, Macron, Johnny etc.) qui me déséquilibrent. Déjà que c’est très dur d’accepter d’être simplement moi-même.
Allez, pour vous remercier !
Non, Clopine est seulement Clopine. Ni George Sand ni Colette, des reines des guerrières, des gourmandes amoureuses et charnelles…
Il dort, Chantal. Et ne manquera pas de revenir en pleine forme et répondre à Passou…
Par ailleurs, Chantal, tu te goures sur toute la ligne concernant WGG !
https://www.google.fr/search?client=safari&rls=en&q=juliette+greco+ce+que+tu+te+goures&ie=UTF-8&oe=UTF-8&gfe_rd=cr&dcr=0&ei=EMlhWo-cFuza8AfwxamYAw
Rassure-toi, Clopine, je reçois le même genre de lettre de la même… !
Clopine me fait plutôt penser à Marie Besnard, celle qui empoisonnait tout le monde autour d’elle…
lettreS
Quittons nous définitivement sur cet atroce constat….
Qu’est ce qu’un écrivain, sinon un orgueilleux qui a peur d’être, à juste titre, oublié.
Un dernier fou-rire avant l’autoroute.
Chez les cons de la campagne qui n’ont eu que du ressentiment, des remords, des regrets, des échecs, Jeanne d’Arc est une sainte ! Vous vous souvenez, la folle qui entend des voix de son éditeur ! …
La Pucelle d’Arouet….
Alors là je m’en fout comme tu ne peux pas t’imaginer, je pars en voyage !
Bonne route, Chantal !
Bien, déjà deux sourires ce matin :
« à mes yeux de goy friend »
« Le friseur et les frisés »
c’est toujours ça de pris comme disait ma grand-mère
… forcément, on voudrait savoir pourquoi il avait annulé le rencart avec passoul dans son bahut au dernier moment, ce qu’il avait oublié de nous dire. On imagine que ça doit cogiter sec pour i trouver une grosse menterie en réponse. Mais va falloir qu’il la crache la vlada, sinon Ch.x ira enquêter directement auprès de la direction du lycée d’albâtre pour tirer l’affaire au clair.
Bonjour à toussent et au Brésil de Cl. Bahia
Elle mettait du Vitpris dans ses confitures ?
Quelle prétention, quel aveuglement, que ceux d’un Rousseau clamant qu’il est le seul à pouvoir atteindre la vérité sur lui-même ( » Je ne suis fait comme aucun de ceux que j’ai vus. J’ose croire n’être fait comme aucun de ceux qui existent. Si je ne vaux pas mieux, au moins je suis autre » etc.). Combien je préfère la formule par laquelle Sartre se définit à la fin des « Mots » : « Tout un homme, fait de tous les hommes, et qui les vaut tous, et que vaut n’importe qui ». Formule ô combien troublante, il est vrai : si je l’accepte, j’accepte qu’il y ait du Weinstein en moi, et que Weinstein me vaille; et il en va de même de tous ceux que je qualifie allègrement de crapules et de salauds. Mais il est vrai qu’en permanence, nous travaillons à nous tromper nous-mêmes sur ce que nous sommes, à reléguer soigneusement au fond du placard aux souvenirs ce qui gêne et qui fâche, et cela sans même nous en apercevoir. Toute entreprise autobiographique devrait être frappée au sceau de la prudence et de l’humilité. Les autres, bien mieux que nous, nous voient tels que nous sommes, savent qui nous sommes, et nous le disent, de façon souvent si peu attendue, si cruelle et si vraie qu’il ne nous reste que la honte et les larmes.
Jean, vous documentez éloquemment le paradigme de « l’illusion biographique ». Peut-être alors conviendrait-il d’en finir avec le souci de soi, et à tous les profs qui corrigent encore des copies, de se dire qu’ils ont bien du souci à se faire pour leurs chers petits élèves remontés par leurs parents éclairés sur leurs « droits » à venir… Mais qui va encore bien vouloir enseigner la littérature dans les lycées, à part gwg ?
https://www.droit-technologie.org/actualites/copie-dexamen-donnee-a-caractere-personnel/
» Madame travaille avec tant de soin à paraître ce qu’elle n’est pas qu’on ne sait plus ce qu’elle est en effet ; ses défauts mêmes ne lui sont peut-être pas naturels, ils pourraient tenir à ses prétentions. »
Madame du Deffand à propos de Madame du Châtelet citée par Jean Haechler in « Le Règne des Femmes – 1715-1793 » – Éditions Bernard Grasset P.130-131
J’ai trouvé ça sur le net, d’une fille qui se soupçonne elle-même « d’être de droite » :
« Je trouve dégueulasse qu’une femme dénonce un homme sur la place publique parce qu’il a été grossier plutôt que de lui péter la gueule tranquillement sur le moment »
Ben ça m’a fait la matinée de rigolade…
« Tout un homme, fait de tous les hommes, et qui les vaut tous, et que vaut n’importe qui »
Une des phrases les plus khonnes de toute l’histoire de la philosophie.
Elle a raison, elle est de droite, Clopine. Elle prend ses responsabilités au lieu d’en appeler au lynchage collectif.
christiane dit: 19 janvier 2018 à 12 h 54 min
Voilà une peau de banane délicatement jetée sous les pieds de…
Closer, et pis ça améliore bien le modèle, sans oublier que ça ramène à une histoire individuelle ce qui appartient au sociétal… Je n’ai giflé qu’une seule fois un mec dans ma vie. Je devais être sacrément en colère, vu qu’il faisait environ le double de moi…
rené Crevel
En relisant le chap. 48 du « Retour à Séfarad », je suis tombée sur un nom qui a éveillé un souvenir de lecture pas si lointain.
Aristides de Sousa Mendès
L’histoire de ce, consul du Portugal à Bordeaux en 1940, écrite par Salim Bachi- à la première personne du singulier- » Le consul »,( Gallimard, décembre 2014) est outre un bon récit, une belle réflexion sur l’obéissance aveugle, et son non respect.
http://www.sudouest.fr/2015/01/20/salim-bachi-un-recit-du-consul-du-portugal-a-bordeaux-aristides-de-sousa-mendes-1803263-2780.php
L’histoire de ce,
héro atypique qui à la fin de sa vie endossé la tunique de bure des franciscains.
« Comme la plupart des gens qui lisent, je suis rebuté par les jérémiades et les gens qui sont trop imbus de leur petite personne. Je n’ai pas non plus beaucoup de patience avec les bravaches et les fortiches. Il faut que quelque chose se joue, quelque chose d’important, qui va se dessiner graduellement, phrase par phrase. Mais je n’aime pas non plus que le message me soit asséné. Je préfère les auteurs qui procèdent par touches légères, comme Tchekhov. »
Raymond Carver in « Quand les nouvelles sont longues »
Le démontage du roman assoulinien fait partie des rites obligés Wiederganguesques.
On se souvient ici de l’accueil disons peu enthousiaste, réservé par le meme à certain « Portrait »
Par cette mise en pièces d’une biographie ou du biographique,on rejoint , tortueusement , le sujet….
Revenir au fait
que le « Pacte autobiographique »
c’est comme le Contrat Social…
Rousseau le juge inévitable, mais il n’y croyait pas! (C’est l’histoire d’Emile et de l’échec de son éducation)
Lorsqu’un auteur s’auto-rise à écrire sa biographie, c’est exactement comme s’il écrivait un roman ; c’est une fiction de plus, avec tout les éléments de la réalité qu’il faut pour rendre vrai. Ce qui fera défaut, c’est toujours ce que recouvre cette question de l’amnésie infantile; elle est incontournable.
« ma mère avait laissé des romans… de là date ma conscience de moi-même… mais je ne sais comment j’ai pu apprendre à lire » (+/- exact JJ Rousseau)
C’est qu’il ne faut pas croire que ces qqls années ne seraient que pipi-caca ou jeux de c-volants. Pas plus penser que tout le monde serait à la même enseigne au sens où l’on établit que dès le début avec babillage et gestes on syllabe (voir Pettito) y a aussi très vite depuis le XVIII/XIX° siècle la « formatio », la pédagogie… Ainsi Rimbaud est allé à l’école très tôt, on y enseignait le syllabaire et de façon très mécanique…
« L’Ode Açoka cadre avec la
Strophe en fenêtre de lorette
… »
Il faudrait donc sortir du dilemme stérile « Proust contre Sainte Beuve ». Il est clair que ce dernier ne s’est jamais préoccupé du moment biographique que Rousseau (seul dans l’histoire) nous indique avec la prime enfance : « mon vrai moi, n’est pas tout entier en moi »
Mais il est non moins évident que Proust, s’il eut le mérite de souligner la matérialité du texte (ce que les Structuralistes hériteront) ne put jamais
nous éclairer sur son « moi profond » (il n’était d’ailleurs pas là pour cela). Sans qu’il en soit responsable, demeure le fait depuis, que la biographie est très mal vue par la crème de la crème et que la Sorbonne juge le genre presque ridicule. On en est arrivé ainsi à l’effarante édition (nouvelle) du Pléiade sur Rimbaud, où un « nouvelle critique » patenté a segmenté Poèmes, Illumin.. & Cie de la Correspondance (comme pour ne pas faire entrer la vie dans l’oeuvre ; alors que les lettres à Demeny du « voyant » sont essentielles évidemment… ; nonobstant le fait, que contre toute raison depuis la fin de la guerre on s’acharne à clore cette oeuvre par les Illuminations en une sorte d’apothéose de la littérature « pure » « privée de sens », et non par Saison en enfer qui fait trop catholique…)
Parmi ces grands esprits réticents à la bio ou autobiographie, il y a M. Foucault. Sans doute gêné par ses moeurs, il avait pu dire en gros « ce serait trop facile s’il y avait un rapport entre la vie et l’oeuvre » (il interdira de publication l’interview de Bonnefoy où il parlait de ceci et cela). Même s’il n’eut jamais la moindre idée de cette question de la prime enfance (par exemple dans Surveiller et punir où il traite de l’enseignement mutuel; or si nous avons évoqué l’apprentissage précoce de Rimbaud vers 2/3 ans, c’est bien d’enseignement mutuel qu’il s’agissait – inutile de chercher dans la biographie de Lefrère, elle est à côté de la plaque malgré ses centaines de pages, comme tous les Fayard, et notamment celui de Taguieff sur Céline qui vaut pas un clou), oui Foucault a eu le mérite contre le maelström « Sciences Sociales » les Annales… d’injecter l’objet « archives » dans la philosophie, et donc d’aider à aller à la recherche de la Vérité, de l’origine réelle de l’auteur par exemple. Et non de rester derrière son bureau et de passer de livre en livre comme n’importe quelle « Histoire » de la philosophie, de la littérature.. le fait
(par exemple le Céline de Muray qui ressemble dans sa structure à l’Homme révolté de Camus : on est pris dans un défile de citations, de pirouettes dialectiques… on est étourdi par le style éblouissant, et ça ne sert vraiment à rien… qUId, la nécessité des Pamphlets depuis le Voyage par exemple).
Donc il y aurait nécessité d’enquêter en somme sur la passé d’un auteur au plus loin dans sa vie; ce que lui ne peut pas faire (évidemment c’est difficile pour Platon ou Pythagore… mais faisable pour Rousseau, pour Proust…). Un exemple peut nous être donné avec Nietzsche qui lui affirmera toujours le lien constitutif de la vie et de l’oeuvre ; l’oeuvre n’étant jamais que le raconter sa vie à soi-même.
Cependant son autobiographie ne pouvait davantage le faire à elle seule…
Ainsi il fit remonter ses plus lointains souvenirs à la mort de son père (il avait précisément 5 ans), après vient le lycée, Schopenhauer, etc… (C’est là que l’Histoire de la philosophie en général commence, et nous assomme avec Schopen, hEIDEGGER, Wagner… car comment pourrait elle penser que quoi que ce soit de fondamental ait pu exister auparavant… dans l’optique de la pyramide des savoirs c’est logique !). Et puis vint le Zarathoustra pas exemple où les exégètes reconnaissent brillamment Platon, la caverne, on monte descend, ébloui, remonte, sort… re-rentre pour chercher SChopenhAuerBunzen… et ça peut donner un DEA mentionné.
Reste la question là encore, que le « Surhomme » que tout le monde attend façon R. Heydrich, à terme n’est autre chez Nietzsche que… l’enfant! Deleuze qui fut tj très perspicace l’a noté:
« L’homme qui veut périr… est l’ancêtre et le père du surhomme. Le destructeur de toutes les valeurs connues, le lion… prépare sa dernière métamorphose: il devient enfant » (p 220)
Donc tout le cirque Apollon Dionysos Saint Paul… ne vise qu’à retrouver la vérité du commencement. En ce sens, au lieu de la rejeter, il faut lire Elisabeth Foster-Nietzsche qui comme Isabelle Rimbaud, assista son frère jusqu’à la mort, et prit soin de sauver son oeuvre, mais encore, qui seule retracera sa vie et son enfance au milieu des jeux que le jeune Friedrich affectionnait. On apprendra aussi que leur père était pasteur et pédagogue (il fut le précepteur de princesses de Saxe) comme l’était son propre père d’ailleurs. Et qu’en ce sens il s’intéressait aux pédagogies les plus novatrices de l’époque comme celle du Pasteur français Oberlin (père des Maternelles). Alors, que si le futur philosophe ait été orphelin à 5 ans, rien n’interdit de penser qu’il avait pu auparavant bénéficier de la pédagogie de son père ; chose dont lui, ne pouvait se souvenir explicitement, puisque le moment se voyait frappé par l’amnésie infantile, mais chose qui demeurait efficiente puisque structurant sa future conscience sous des images (subliminales comme on dit). Prisme avec lequel il aurait pu lire à son tour Schopen 1 Platon et cie de façon très très particulière, en ne privilégiant dans le corpus, que ce à quoi il pouvait se reconnaître.
L’intérêt est grand s’agissant de Proust notamment(et dans son rapport à Céline évidemment), au sujet duquel tout ce que l’on sait pour l’instant, c’est qu’il serait allé à une école enfantine « Pape-Carpentier ». Depuis cette donnée, penser son style n’est pas rien… Mais au moins peut-on poser la question hors du champ universitaire obligé de la « littérature comparée ».
iNQUIET, très Inquiette
la grande romancière Slip-manie
a été reçu à l’Elysée
par Macrochon qui n’aime pas « Bagatelles »
C’est que bRIQuitte est enceinte jusqu’au cou !
(Oui depuis le 14 juillet -1,2,3,4,…- et le diner à la Tout eiffelle)
Mélancron ne peut pas tout faire, il doit s’occuper du KLébar, alors il a songé à Slip-manie qui n’arrive plus à écrire
pour être… Nounours
et des heures douces, douces…
Leïla Slimani se fait le chantre de la cause féminine, en défendant une sexualité libre pour les Marocaines.
Et pourquoi pas LA chantre ? surtout pour la cause féminine !
LVDLB et TRUOMPEU, on ne vous a jamais appris à écrire quand vous étiez petit ? Un sujet + un verbe + un complément…
ARAGON à JAZZY
« Je n’ai jamais appris à écrire
ou les Incipit »
Retour à S…
—
Quesaco, Baroz?
Dans Libé,
René Levy et Gisèle Berkman
s’écharpent sur Céline Ferdinand.
L’un est chefton aux études levinassiennes (ce ne sont pas les siennes cependant, lui est le fils d’un polteur pto Pot) Elle est chefteuse au collège intern de Philo où elle s’occupe de l’international naturellement
Le premier veut qu’on publie tout Céline pour qu’on puisse distinguer l’homme du salaud et ne plus masquer la saloperie qui n’est pas une oeuvre DANS l’acte salopé d’un homme sans oeuvre plutÖt que de laisser le salaud dans l’homme se cacacher sous l’oeuvre (c’est un structuraliste déstructuré Derridatien)
La seconde saisit d’effroi voit un muertre (muerta murderer) oui un meurtre au bout de chaque mot, comme d’autres virent des rafales tactactatc dans les 3 points de la Trinité suspntative ! Et restant sans voix, ne peut en dire plus. Elle a d’ailleurs écrit (toujours chez Fayard… décidément) le livre monument : « La Dépensée » !!
(la édépensée » qui est bien sûr un concept, n’est pas la bËtisse dit-elle en présentation… )
Ne « dépenséeee » pas 1 euro pour cette masturbation
LAISSER AUSSI COULER Libé
Mais avec de tels zigotittos bien SURVEILLER le Shanghai 2018 des Uni « franaçaises » !
ça risque de ziazzaguer
Quand je vois homodiégétique et hétérodiégétique au tableau comme sur la photo, tout le fatras jargonnant de la critique structuraliste & poste revient me renverser avec la force d’une vague sur Bondi Beach. Que de couleuvres genettiennes, barthiennes, greimasiennes, todoroviennes, proppiennes et John Passes and Sam Betterwanes, prolepses sur syllepses et autres homologies il a fallu se coller pour essayer de aux jurys des concours…fouthèses…
essayer de PLAIRE aux jurys des concours
On aurait pu y penser plus tôt :
« Le ministre britannique des Affaires étrangères a proposé à Emmanuel Macron de construire un pont de 35 km entre la France et le Royaume-Uni. Le président français a répondu « Let’s do it ». »
« Que de couleuvre… »
Le faux savoir vient des profs et de leurs théories absconses, qui n’ont aucun fondement, ou si peu, dans la réalité.
Curieux ce mouvement sur certains blogs où tous ceux qui créent et publient sont, d’emblée, traités en suspects. passion de rapetisser.
Prolapse et phimosis vont en bateau.
Rilke a vingt-trois ans. Au printemps 1898 il visite l’Italie, Florence, ses musées, ses églises, contemple les maîtres anciens. A son retour il rédige les Notes sur la mélodie des choses.
(Traduit de l’allemand par B.Pautrat pour les éditions Allia)
III
« … Nous en sommes encore à peindre les hommes sur fond d’or, comme les tout premiers primitifs. Ils se tiennent devant l’indéterminé. Parfois de l’or, parfois du gris. Dans la lumière parfois, et souvent avec, derrière eux, une insondable obscurité. »
« Curieux ce mouvement sur certains blogs où tous ceux qui créent et publient sont, d’emblée, traités en suspects. passion de rapetisser. »
Moi, cela me semble logique, et certes parfois injuste. Mais ceux qui publient sont suspectés d’avoir établi un pacte avec l’ordre établi, d’être complice des malheurs de la société médiatique, de « collaborer » avec le Mal. Il faut qu’ils montrent plusieurs fois patte blanche, avant d’être acceptés, comme vous, Paul Edel, et vous savez que ça n’a pas été sans mal en ce qui vous regarde, et que ça continue souvent à être difficile. Mais vous, vous êtes courageux et persévérant…
Le plus énorme, c’est la réaction de wgg face à Passou : de la jalousie, de l’amertume, et même de la HAINE ! Tout ce que le petit prof raté, qui n’a jamais été publié, envie à l’écrivain arrivé, membre de l’Académie Goncourt, et patron d’un prestigieux blog… C’en est trop pour l’immonde wgg, qui devient fou.
17.02 cessez d’enfoncer vos portes légèrement entrouvertes.
Vertu première de l’autobiographe : la perplexité. Assertion interdite. Chaque phrase se terminant par un point d’interrogation. Moi ? Qui ça au juste ?
Delaporte vous avez dû avoir une scolarité bien douloureuse pour avoir une telle hargne contre les profs !
Bin sûr qu’il devrait me remercier, Passou, mais il est trop ingrat. Personne dans la presse ne lui fera une critique aux petits oignons comm la mienne.
La mienne est fouillée et va droit au cœur de la problématique littéraire de son écriture qui se résume à une conférence ex-cathédra sur l’histoire des Juifs séfarades avec des apartés indiscrèts dans la vie du conférenciers quand il est un peu fatigué. C’est-à-dire le contraire même de son prétendu projet littéraire vaseux et inconsistant.
Entre les prix goncourt et les livres des jurés on est particulièrement à la noce cette année…!
Comme le livre de D. Rozenberg est dans sa fameuse liste de dettes, on voit bien à ses répliques à mes commentaires, qu’en fait il ne l’a lu qu’en diagonal, comme il fallait s’y attendre.
Tout ça, c’est du bidon. Huit pages pour impressionner la galerie qui ne sont même pas assimilés, lu très superficiellement. Au final une vulgarisation historique bourrées d’insuffisances, d’erreur, de contradictions disant tantôt que les Juifs ont été absents pendant 5 siècles et disant ailleurs qu’il y a une communauté juive à Séville au début du XXè siècle !
C’est n’importe quoi ! C’est une vraie fumisterie commerciale sans aucun intérêt littéraire sinon se gratter le nombril avec sa queue. C’est un livre parfaitement écœurant.
Quand vous aurez compris que je ne m’intéresse pas à Passou mais à ce qu’il écrit vous aurez fait un pas de géant ! Il s’agit de critique littéraire.
Et je n’en ai guère lu d’autre que la mienne, à part un peu celle de Jazzi. Tout le reste c’est très proche du néant bêtifiant qui s’intéresse aux personnes et sans aucun argument, commed e la merde jetée à la figure des gens pour le plaisir de salir. Vous êtes nés dans un tas d’ordures, c’est pas possible autrement.
Chantal m’avait parlé je ne sais plu oú d’une écrivaine de nouvelles et je n’ai pas du tout eu la présence d’esprit d’en prendre note! Si Chantal me lit …
Et puis alors la scène chez des amis espagnols dans le Marais où il se fait rembarrer pas doucement par une ancienne convertie redevenue juive, ça donne des Juifs séfarades qui se disent de la maison une image atroce qui ne donne vraiment envie de s’acoquiner avec de telles mégères mal apprivoisées.
Les Juifs de ma famille sont autrement plus chaleureux quand ma cousine m’a accueilli dans sa famille sachant d’où je venais. Elle m’a mis tout de suite à l’aise en me disant que c’est Dieu qui m’avait ramené au bercail.
Et pis le Passou qui se peint en victime genre chien battu ! Ah on a droit à la totale, là ! C’est effrayant tout ça ! Où est l’humanité dans tout ce bordel ?
Céline Lemechant ?
…pas envie de…
J’espère qu’ils ne sont pas tous comme ça, les Juifs séfarades, des têtes à claques prétentieuses et arrogantes !
Ce soir je me fais du maquereau à la poêle.
Depuis hier on assiste à des choses pitoyables.
On va encore frôler la catastrophe cosmique :
« Un bloc rocheux d’un kilomètre de diamètre se dirige actuellement dans la direction de la Terre à la vitesse de 107 826 km/h. 2002 AJ129, c’est le petit nom de cet astéroïde, est attendu à proximité de notre planète le 4 février. »
S’il pouvait emporter delalourde au passage…!
C’est marrant W je pensais qu’en t’exprimant ici tu arriverais (peut être) à trouver un peu de sérénité mais en fait ce semblant de sérénité et d’assurance qui va avec ne t’a permis que de te construire une identité de gros c.hon. Comme quoi on en a jamais fini d’apprendre avec le genre humain.
À demain
Pour nous éclairer, voir et entendre Passou sur Akadem:
http://www.akadem.org/magazine/2017-2018/retour-a-sefarad-avec-pierre-assouline-15-01-2018-97766_4753.php
Leur fantasme était non pas de faire l’amour à dix mille mètres de hauteurs, dans les wc, mais de se faire marier par le pape :
« Carlos, steward, et Paula, hôtesse de l’air, ont été unis religieusement par le pape François à 10.000 mètres d’altitude jeudi. »
avec la prolepse se combine l’analepse, et l’ellipse aussi ; pour étudier la temporalité du récit, c’est commode 🙂
@Il s’agit de critique littéraire. Et je n’en ai guère lu d’autre que la mienne, à part un peu celle de Jazzi.
Et pas celle du journal Riz La Croix ?
Vous aviez eu le sentiment de commettre une critique littéraire, Jazzman ? Rassurez-nous bien vite sur ce pathétique besoin d’avoir au moins un allié de temps en temps, pour faire accroire qu’il est encore dans le monde réel et non point virtuel !
Bon, je vas aller acheter le bouquin pour en faire une vraie critique littéraire, je le lirai en Double Diagonal.e comme à mon habitude, mais dans un an ou deux seulement, quand Passoul aura commis un nouvel opus identitaire et que la présente ébauche sera parue en format poche, car il s’agit toujours d’un work in progress.
Faut jamais êt’en reste dans la « communauté erdélienne », d’après ce que la présente épreuve tendrait à démontrer. Je suis avé vous, n’ayez pas peur… Mais wgw a oublié de rendre hommage à l’affreuse jojolle qui a pourtant apporté sa pierre à l’édifice, pas une critique littéraire certes, mais une déconstruction socio-historique matinée de fièvre exanthématique. Forcément, « ça dépend, ça dépasse », rentre pas dans ses catégories d’entendement habituelles. Voit pas tout. Et surtout, répond pas directement à=au bon Passoul, quel muf’ !
(le bon sire le souffre et se tient toujours coi)
Chantal2 à Nicolas 18.27
Si c’est de moi qu’il s’agit : il s’agit d’Annie Saumont, pour les nouvelles…
http://vendangeslitteraires.overblog.com/2017/11/delicieuses-papillotes-litteraires.html
De la chance que je passe par ici, de temps en temps…
Avec ce feuilleton sur le dernier roman de notre hôte rapport à un certain détracteur,
pas envie de prolonger mes visites !
Dommage, tout ça… mais la volonté de préserver la liberté d’expression est à ce prix, je suppose !
@18.59, OK, rose, mais quel rapport avec le phymosis ?
Moi, j’en ai souffert étant très djeune (à 7 ans, je ne parvenais pas à me décalotter le gland), on a dû m’opérer au risque de me faire passer pour un juif ou du moins un goy friend, alors que chez mes catéchistes, ça rigolait pas sur le sujet : on était encore de juste avant Jean XXIII, l’avait pas encore rencontré monseigneur Athénagoras ni prononcé la condamnation du pronazi Pie XII. T’imagines, les juifs déicides !… Oberamergau et ce qu’en a raconté Jeannae Favret-Saada. Edifiant !
Nicolas et Chantal2: excellentes les nouvelles d’Annie Saumont ( décédée l’an dernier).
Elle a écrit plus de 300 nouvelles et elle est un cas unique dans la littérature française.
Je garde en mémoire par ex. « Les voilà, quel bonheur » un petit bijou.
merci christiane à 9h46
je savais un peu de sa vie « rocambolesque ». Ai lu aussi cette nuit, que, à distance, de Paris où elle vivait désormais, elle avait écrit de manière caustique sur les habitants du village de sa maison natale, et lorsqu’elle a voulu y revenir, chacun s’étant reconnu, elle fut accueillie à coups de pierre.
à cause de cela JJJ
Prolapse et phimosis vont en bateau.
je crois que derrière roland Barthes sont écrits analepse et prolepse. C’est une leçon sur la narration, je crois bien.
j’ai lu la critique littéraire de lvdlb sur le billet voeux à volonté ; fort intéressant même si on n’a pas lu ce roman et réenrichi par le film de Y-A bertrand et la ville de Sefar à côté de Djanet et du Kzar de Draa.
Et puis celle de Paul Edel qui virevolte comme une libellule
Et puis celle de JC, qui est en cours et en live
Et puis celle de Christiane juste après celle de lvdlb
il me semble que rarement autant de gens se sont exprimés sur le même livre avec des points de vue variés.
entre goy et boy friend se montre le même basculement et retournement qu’entre dax et pax.
on prend la lettre l’initiale en minuscule on la bascule vers le bas et ensuite on la retourne vers la droite
c’est beau un goy friend
extrait de l’article de Libé mis en lien :
« Chaque phrase, chaque mot, est un appel au meurtre. Ainsi, dans Bagatelles pour un massacre, de ce portrait qui allie délire antisémite et racisme anti-Noirs, dont les Juifs sont pour Céline les descendants »
Le funeste Coulibaly de l’Hypercacher aurait mieux fait de lire Céline Lemechant …Quelque chose cloche !
Par surcroît, il se prénommait Emir
wgg l’anonyme trop connu est libre de se ridiculiser
@Marianne
Non, vous ne comprenez strictement rien ! Désolé, mais c’est vous qui êtes grave.
Votre argumentation est vide. C’est trop facile de jeter l’anathème sur la critique de votre bouquin sans y répondre point par point. Je suis dans l’argumentation, vous êtes dans l’insulte. Le niveau monte chez Goncourt…
Golem était au moins un roman, c’était la raison de mon invitation.
Je crois que vous êtes bête tout simplement.
mais comment ça tient debout ?
https://www.youtube.com/watch?v=WIaotG29QQ8
une critique aux petits oignons. Wégégèze
C’ est exactement ça.
Une potted thinking de wgg, voir Miss. Susan Stebbing
@Je crois que vous êtes bête tout simplement
C’est préférable à un procès en mauvaise foi
Janssen J-J dit: 19 janvier 2018 à 19 h 24 min
Prochain épisode, sa fistule.
107 826 km/h, ce n’est pas très rapide, soit dit en passant.
Je fais régulièrement des aller-retours intergalactiques à une vitesse quasi-luminique.
pierre jourde
Mais MC, je ne suis pas le seul à dire ici que les livres de Passou c’est de la merde. Tu n’as qu’à aller voir le blog De Popaul ! Un jour le pourtant olympien C.P. s’est fendu d’un commentaire tout à fait explicite à ce sujet. Les livres de Passou lui tombent aussi des mains.
Enfin, c’est évident pour qui a un peu de goût pour la littérature et un peu de jugeote. Mais le fait qu’il soit édité en dit long sur l’état de l’édition aujourd’hui.
Passou est bon pour parler des Camondo, des galeristes des impressionnistes ; c’est déjà beaucoup. Je l’ai souvent dit ici, son bouquin sur les Camondo est remarquable. Il n’aurait jamais dû dévier de cette route. Mais il s’est mis en tête de vouloir écrire ce qu’il ne sera jamais capable d’écrire : des romans. Il n’est pas fait pour ça. Il n’y comprend rien, en plus. Et il est tellement idiot qu’il se prend pour un Balzac ! Il est dans le jury Goncourt, il chatouille de menton de Gallimard, est reçu chez le Premier ministre pour nous vendre les ordures antisémites de l’autre taré. Un arriviste de première, c’est tout.
Il n’a aucune sensibilité romanesque parce que pour aller nous rapporter sans sourciller que Garcia Marquez a été influencé par Virginia Woolf, faut vraiment être le dernier des imbéciles et n’avoir aucune sensibilité littéraire. Et c’est ce genre de personnage qui vient me donner des leçons ! Elle est gratinée celle là!
Wgg 20h14: et pourquoi vous avez annulé au dernier moment ?
Par surcroît, il se prénommait Emir > Par surcroît, il se prénommait Emir l’enculé de sa race
« Et c’est ce genre de personnage qui vient me donner des leçons ! Elle est gratinée celle là! »
Je vous signale à tout hasard que vous êtes ici chez lui et que c’est vous qui « venez »!
Et Bloom qui se demande de quoi on parle !
« Bloom dit: 19 janvier 2018 à 15 h 38 min
Retour à S…
—
Quesaco, Baroz? »
Près de 2000 commentaires exclusivement consacrés au dernier « roman » de Passou, à cheval sur deux papiers, un record absolu…
Mais il n’existe que parce que je viens justement ! C’est ça que vous n’avez toujours pas compris.
Moi et les autres évidemment.
@Chantal 2 dit: 19 janvier 2018 à 19 h 16 min
« Annie Saumont, pour les nouvelles… »
Délicieux rappel. Ses nouvelles sont des petits bijoux aux épilogues toujours surprenants.
« …ce feuilleton sur le dernier roman de notre hôte rapport à un certain détracteur!
Dommage, tout ça… mais la volonté de préserver la liberté d’expression est à ce prix, je suppose ! »
Si c’était sur un autre blog, ses commentaires seraient plus concis. Un seul d’ailleurs aurait suffi.
Ici, ce n’est user de la liberté d’expression , c’est mépriser, injurier, sortir de la critique littéraire pour mener un travail de sape honteux, pour déverser de la haine sur le blog de l’auteur qui l’héberge depuis des années et le supporte… On est vraiment à des années lumières d’une critique littéraire mais en plein dans une sorte de folie destructrice et cela gêne tout le monde, enfin presque…
Les romans de Passou ils sont morts avant que d’être nés. Il n’en restera que du papier, et encore ! Vanitas vanitatis…
Mais c’est l’époque qui est sinistre et cynique. Une époque de merde. Vraiment.
Le seul qui ait montré qu’il est vraiment écrivain ici, c’est Popaul. Et lui, il a une authentique sensibilité littéraire.
Passou, ses romans c’est blabla et compagnie, ça n’a strictement aucun intérêt littéraire, c’est de la frime, rien de plus. Et souvent il parle de ce qu’il ne connaît pas, comme du yiddish dans son Portrait, q’il présente comme une langue prestigieuse sous prétexte que son héroïne, comme Gœthe l’avait appris à balbutier, quand l’immense majorité des Juifs allemands n’avaient que mépris pour ce dialecte de bouseux dont Mendelssohn avait demandé qu’on se purifie en somme ! C’est n’importe quoi la littérature romanesque de Passou. Bon à jeter au feu pour alimenter la chaudière des soirs tranquilles…. C’est bien pire que D’Ormesson. Il n’en restera rien.
@cela gêne tout le monde, enfin presque…
Puissiez vous vous apaiser , il reste la littérature
Comment l’ordure qui signe le commentaire de 20h34 ose encore se présenter ici.
Il me suffit de savoir que » Passou » a compris… cette énorme imposture du voyeur pervers. Qui s’est inventé des « cousins » depuis qu’internet existe.
Alors comment ce boursouflé, payé par nos impôts, ose parler de famille.
Lui qui n’a ni famille, ni foi, ni loi.
Je l’ai déjà dit plusieurs fois: Il est de la race des lâches de la rue Lauriston.
Lui qui a vendu frangins, le père n’en parlons pas.
Une loque.
C’est un livre plein de conscience.
En plus ces jurés Goncourt n’élise jamais d’authentiques écrivains qui comptent et qui resteront à l’évidence dans l’histoire littéraire comme les frères Rolin, dont Passou ne nous parle jamais. Ils ne votent que pour la médiocre sous-littéraure ds Slimanini et Vieillard avant l’âge avec ses romans historiques sans Histoire qui prétend dénoncer le Mal en se débarrassant des Juifs des conseils d’administration chez les grands capitalistes dont il se moque. C’est du bourrage de crâne tout ça ! La vraie littérature est ailleurs ! Elle existe, elle se fait. Leslie Kaplan est une remarquable écrivain dont Passou ne nous a jamais parlé par exemple ! C’est autre chose que Slimanini et la mémé vengeresse ! La médiocrité qui écrase le génie et la littérature qui compte !
poussière dit: 19 janvier 2018 à 20 h 09 min
wgg l’anonyme trop connu est libre de se ridiculiser
Hélas, il est aussi libre d’empoisonner ce blog à longueur de journée en ressassant continuellement sa vindicte stérile d’auteur raté.
En matière de fines lames, je suis plutôt Vendetta qu’Opinel … Quant à Toledo et les ferias alentours, pas les moyens
Vous semblez intimes … ou vous transposez ?
Et laissez Widegrenier évoluer comme bon lui semble
Un prof suicidaire, au bout du rouleau, le boursouflé de 21h13, menteur comme un arracheur de dent, haineux.
Qui n’est pas plus juif que ceux qui en avaient l’obsession malsaine. Il est un parfait nazi, qui veut faire croire à un vernis de culture littéraire..
Langoncet, vous êtes new sur ce blog, ou il vous faut des cours de rattrapage ?
Vous avez raté la séance autobiographique où le père du boursouflé n’a pas sauvé la tante, ou la grand mère, enfin, vous voyez la « famille’ quoi. Des gens bien parisiens sous la botte.
Je suis ici new en tout mais jamais je ne me reconnaîtrai dans le portrait que dresse de moi la Dame si intelligente qui écrit que les juifs descendent des noirs et que c’est inqualifiable au plan pénal
Langoncet, no matter, le diner de con ce ne sera pas non plus ce soir.
Il existe des blacks qui vivent le judaïsme dans une version non « occidentale ».
https://fr.wikipedia.org/wiki/Falashas
Le prétendu « roman » de Passou s’inscrit dans la tradition pédante fastidieuse des romans historiques de la fin du XVIIè siècle, que plus personne ne lit, tels ceux de Mme de Villedieu avec ses intrigues diplomatiques (Passou n’en est pas loin avec son amorce au consulat d’Espagne, son adresse bouffone au roi.
C’est la veine aussi du Vieillard goncourisé qui prétend comme Mme d’Aulnoy ou Mlle Caumont de la Force (dont le château est aujourd’hui encore en ruines, détruit durant la Révolution, tout près de Bergerac) où l’auteur prétend révéler, tel la panne des chars d’assaut en route pour Vienne en pleine cambrousse, des causes secrètes et des circonstances inconnues du grand public comme L’Histoire secrète de Marie de Bourgogne.
C’est du recuit déjà faisandé à peine sorti du four.
Bien sûr, et des éthiopiens aussi
La médiocrité qui écrase le génie et la littérature qui compte !Wgg.
Quelle phrase creuse!
Mais rien ne change depuis les grecs, regardez comment l’ empire romain christianisé sous Théodose a enfoui la pensée matérialiste antique.
Relisez Jean Salem par exemple.
Et la pensée qui compte et l’ art qui compte?
Ce que je sais c’ est que je reviens de chez ma libraire qui va fermer boutique avant l’ été, située dans une Préfecture de la France rurale et sur le Boulevard le plus commerçant de la ville. Et même qu’ un romancier Gallimard a décrit ce boulevard dans ses romans.
Alors?
J’ y suis allé cet après-midi pour y chercher des livres commandés, petite liste, wgg, petite liste :
Xavier Girard, Louise Bourgeois face à face récit au Seuil collection Fiction & Cie
Jean-Yves Jouannais L’ Idiotie chez Champs/art Flammarion
Et puis devant l’ amas des paquets de retour fermés du libraire j’ ai pris :
Maurizio Bettini Contre les racines Champs/inédit Flammarion
Pacal Dibie Ethnologie de la chambre à coucher chez Métaillé…
Et LE SONGE D’ UNE NUIT D’ ETE, Gallimard, cahier blanc aux pages lignées.
Puis j’ ai demandé le livre de Passou qui en fait était très visiblement présenté sur un chevalet et que je n’ avais pas vu de prime abord. Feuilleté très rapidement. J’ ai différé mon achat potentiel lorsqu’ un ami arrivant du Cap D’ Agde, pas littéraire pour un sou demanda La divine comédie de Dante. Et me voilà à faire le vendeur improvisé entre la dernière publication de De Ceccatty ( Seuil ) et celle de Jean Charles Vegliante ( Poésie/Gallimard) – la libraire qui va fermer avait les deux – en insistant sur la version bilingue de Vegliante, mal m’ en a pris, la version française unique fut son choix.
Je pense à vous Wgg, la littérature compte encore!
Ce qu’on peut espérer pour les élèves à la merci de ce délinquant verbeux, qui pointe à l’EN, c’est qu’il soit mis très rapidement fin à sa carrière.
@WGG
En tant que romancier pierre Assouline vous paraît mediocre
Vous n’avez à mes yeux pas tout à fait tort tort . Car les vrais romanciers sont rares. Ecrire avec talent cela ne suffit pas pour vous conférer cette grâce qui fait le grand romancier, cette capacité à faire vivre de manière crédible un monde ancré dans le temps dans l’espace ;cela c’est, au sommet de cet art , le privilège d’un Tolstoi ,d’un Thomas Mann ou d’un Balzac , pas vraiment de Pierre Assouline .
Lui ,c’est d’abord un remarquable biographe ; et même quand il sort de ce genre et il ecrit toujours avec talent , c’est-à-dire qu’il sait trouver les mots pour rendre une atmosphère pour faire partager des sentiments des impressions . C’‘est ce qui fait la qualité de ses œuvres personnelles, qui ne sont pas tout à fait des romans mais des éclats de littérature (Rosebud, Vies de job ,cela aurait pû etre le retour a sefarad qui serait raté à cet egard si je vous en crois ) Rappelez vous notamment comment dans le vies de Job est rendue l’atmosphères de l’école biblique de Jérusalem ou le portrait de son grand père avec son univers social et familial
Tout compte fait, ce que j’ecris là n’est pas fondamentalement different de votre point de vue sur l’écriture de Pierre Assouline, à qui vous déniez un vrai talent de romancier, et dont par ailleurs le dernier opus vous a particulièrement déçu , ce que vous expliquez de manière argumentée, encore que contestable , mais que vous êtes tout à fait fondé à défendre si c’est votre conviction .Mais vous auriez pû le dire sur un autre ton. Aussi virulente et sévère soit-elle votre critique pouvait s’exprimer de manière courtoise sans invective ni injure, d’autant que l’agressivité du ton prive de sa pertinence ce que votre approche aurait pu avoir de stimulant , suscepible d’ alimenter une discussion , éventuellement rude ,mais entre gens civilisés.
Suffirait-il alors d’être sur un blog pour avoir le droit d’ignorer la bienséance et le respect de ses interlocuteurs, en s’abandonner à une violence verbale désinhibée et déplacée à l’encontre de celui qui vous donne l’hospitalité ?
Imaginez ces échanges dans la vraie vie ; déverseriez vous cette bile acrimonieuse chez lui ,en face de lui .Evidemment cela finirait mal ;vous seriez viré ou baffé
Je vous plains, en tout cas, mes pauvres chéris, pour être aussi cons.
Passou me prend de haut. Je réplique. Point barre. Je ne vais tout de même pas me laisser marcher sur les pieds par un Passou, non ! Je le vaut bien…!
WGG l’Imprécateur.
DIS PATER VEIOVIS MANES, SIVE QUO ALIO NOMINE FAS EST NOMINARE, UT OMNES ILLAM URBEM CARTHAGINEM EXERCITUMQUE QUEM EGO ME SENTIO DICERE FUGA FORMIDINE TERRORE CONPLEATIS, QUIQUE ADVERSUM LEGIONES EXERCITUMQUE NOSTRUM ARMA TELAQUE FERENT, UTI VOS EUM EXERCITUM EOS HOSTES EOSQUE HOMINES URBES AGROSQUE EORUM ET QUI IN HIS LOCIS REGIONIBUSQUE AGRIS URBIBUSVE HABITANT ABDUCATIS LUMINE SUPERO PRIVETIS EXERCITUMQUE HOSTIUM URBES AGROSQUE EORUM QUOS ME, SENTIO DICERE, UTI VOS EAS URBES AGROSQUE CAPITA AETATESQUE EORUM DEVOTAS CONSECRATASQUE HABEATIS OLLIS LEGIBUS QUIBUS QUANDOQUE SUNT MAXIME HOSTES DEVOTI. EOSQUE EGO VICARIOS PRO ME FIDE MAGISTRATUQUE MEO PRO POPULO ROMANO EXERCITIBUS LEGIONIBUSQUE NOSTRIS DO DEVOVEO, UT ME MEAMQUE FIDEM IMPERIUMQUE LEGIONES EXERCITUMQUE NOSTRUM QUI IN HIS REBUS GERUNDIS SUNT BENE SALVOS SIRITIS ESSE. SI HAEC ITA FAXITIS UT EGO SCIAM SENTIAM INTELLEGAMQUE, TUNC QUISQUIS HOC VOTUM FAXIT UBI FAXIT RECTE FACTUM ESTO OVIBUS ATRIS TRIBUS. TELLUS MATER TEQUE IUPPITER OBTESTOR.
Passou me prend de haut. Je réplique. Point barre. Je ne vais tout de même pas me laisser marcher sur les pieds par un Passou, non ! Je le vaux bien…!
viré ou baffé
ça ne va pas tarder; déjà convoqué par le passé au rectorat pour conduite incompatible avec la charge, cette fois il est bon pour être lourdé, et sans indemnités.
et alii dit: 19 janvier 2018 à 20 h 30 min
oui ; j’ai pensé cela et campagne/ville : le // est saisissant
eh oui, le souci de la république (un jour on remontera aux sources)
https://www.youtube.com/watch?v=rimh1gWBQ-U
Dans les autobio, genre qui refuse à quiconque le droit de lui dire ce qu’il lui arrive mieux qu’il ne saurait le dire, j’ai bien aimé celle de Darwin.
J’aime bien ceux qui le font tardivement, et qui ont baroudé, cela fait un peu roman d’aventure.
Ceux qui ont baroudé, prenons l’exemple de Sylvains Tesson..
Ah ? j’en ai déjà trop parlé.
@audiobio
Istanbul is Sleepy
https://www.youtube.com/watch?v=YUBw9vskBIs&list=PLupmXYR5mpstnPxIonPnPXwgU0Rl9dCtR
Pardon
C’est du recuit déjà faisandé à peine sorti du four.
Ceci est hautement improbable :
faisandé est en amont, ce fait sur une viande crue ; puis cuit et à peine sorti du four suivent et pour finir recuire ; tss tss widergänger
Désolée mais la cuisine nécessite quelque rigueur temporelle, comme la narration.
Avant, pendant, après. Après on peut jouer, accélérer, ralentir, passer sous silence.
Faire des bonds dans le passé analepse, ou dans le futur prolepse ou laisser des ellipses narratives : impossibilité totale de parler cela , on le laisse alors sous silence.
On a sans doute raison.
Il est bien tout seul au singulier, Sylvain Tesson.
DHH
vous n’aviez pas dit George Sand vous pour Clopine ?
Wah Wah Wah ; faisons le test : n’importe quel ouvrage publié un jour de Céline, ouvert au hasard ; tu recopies et c’est tout
«Russian Roulette»
https://www.youtube.com/watch?v=UedzkRvs2LQ
@Rose
non c’est toujours à Colette que j’ai pensé ;je le lui ai dit la première fois sur son blog à propos je crois d’une description de fleurs
Faudra monter le son
@Faudra monter le son
ah, je suis bien contente alors DHH ; moi aussi je pense comme vous à Colette pas à George Sand.
On considérera le texte qui suit comme un fragment de mon autotobibiographie ( à paraître incestamant sous peu chez Gagalimartial ). Mon vrai nom est Dolfie Higler.
Youpi ! Cette fois, ça y était ! Le projet d’aéroport était définitivement abandonné ! Les zadistes exultaient ! Cette nuit de la Victoire fut un grand moment de congratulations, d’ivresses et d’étreintes. Les jours suivants, profitant du relatif relâchement des forces de l’ordre ( enfin, c’est comme ça qu’elles s’appelaient elles-mêmes ), de nombreux nouveaux militants vinrent augmenter la population de la zad, jusqu’à la doubler, voire la tripler. Ils s’installèrent dans les nombreuses friches encore libres, évitant cependant de se mêler aux premiers arrivés. Ils se disaient, eux aussi, écolo-gauchos, et leur dégaine s’accordait à leurs dires.
Cependant, un observateur attentif eût décelé quelque chose de fuyant, un rien de torvitude (ah! pas mal, ce néologisme) dans leurs regards.
Et pour cause ! Ces prétendus anticapitalistes purs et durs étaient en réalité des militants du F.F.F. ( Front Fasciste Franchouillard ) fichés comme tels à la D.D.T. comme activistes musclés.
Installés avec armes ( armes surtout ) et bagages, ils prenaient leurs ordres d’un certain Dolfie Higler, installé au centre de la zad, dans une cahute ornée de croix camées. C’était le théoricien du groupe, dont il affirmait la pureté et la supériorité raciale. Comme les affiliés se faisaient chaque jour plus nombreux, il ne tarda pas à prôner la nécessité de l’élargissement de leur espace vital, aux dépens des écolos-gauchos, au demeurant taxés par lui de judéité.
L’assaut contre les inférieurs eut lieu une nuit de printemps (baptisée depuis nuit des cons coucos). Les zadistes écolo-gauchos, qui ne s’étaient doutés de rien, furent taillés en pièces. Quelques uns tâchèrent bien d’alerter les forces de l’ordre (?). » Non mais vous rigolez, leur répondirent-elles. Croyez pas que vous nous avez assez fait chier comme ça ? Démerdez-vous « .
Il restait une poignée de survivants que les vainqueurs entassèrent dans une cahute dont on boucha toutes les issues, avant de les gazer à l’ibuprofène.
A l’extérieur, et jusque dans les allées du pouvoir, on ne chercha pas à éclairer les tenants ni les aboutissants de cette bagarre, qu’on interpréta comme un règlement de comptes entre bandes rivales écolo-coco-gauchos. Les vainqueurs se gardèrent bien de faire savoir à l’extérieur qui ils étaient.
Depuis, la zad de Notre-Dame-des-Bandes est devenue un camp d’entraînement pour les troupes toujours plus nombreuses du FFF. Tout autour, la présence des forces de l’ordre (?) est devenue symbolique. Déjà qu’à Calais et dans les prisons on a de gros problèmes, alors on va pas se compliquer la vie avec des zadistes d’ailleurs, au fond, plutôt sympathiques (disciplinés, polis, avec un petit côté militaire croquignolet). Les commandos FFF essaiment dans toute la France et, déjà, en Europe, où , paraît-il, ici et là (en Hongrie, en Pologne etc.) on les accueille à bras ouverts.
Vive le FFF écolo-coco-gaucho-bolcho-facho !
Youpi ! Cette fois, ça y était ! Le projet d’aéroport était définitivement abandonné ! Les zadistes exultaient ! Cette nuit de la Victoire fut un grand moment de congratulations, d’ivresses et d’étreintes. Les jours suivants, profitant du relatif relâchement des forces de l’ordre ( enfin, c’est comme ça qu’elles s’appelaient elles-mêmes ), de nombreux nouveaux militants vinrent augmenter la population de la zad, jusqu’à la doubler, voire la tripler. Ils s’installèrent dans les nombreuses friches encore libres, évitant cependant de se mêler aux premiers arrivés. Ils se disaient, eux aussi, écolo-gauchos, et leur dégaine s’accordait à leurs dires.
Cependant, un observateur attentif eût décelé quelque chose de fuyant, un rien de torvitude (ah! pas mal, ce néologisme) dans leurs regards.
Et pour cause ! Ces prétendus anticapitalistes purs et durs étaient en réalité des militants du F.F.F. ( Front Fasciste Franchouillard ) fichés comme tels à la D.D.T. comme activistes musclés.
Installés avec armes ( armes surtout ) et bagages, ils prenaient leurs ordres d’un certain Dolfie Higler, installé au centre de la zad, dans une cahute ornée de croix camées. C’était le théoricien du groupe, dont il affirmait la pureté et la supériorité raciale. Comme les affiliés se faisaient chaque jour plus nombreux, il ne tarda pas à prôner la nécessité de l’élargissement de leur espace vital, aux dépens des écolos-gauchos, au demeurant taxés par lui de judéité.
L’assaut contre les inférieurs eut lieu une nuit de printemps (baptisée depuis nuit des cons coucos). Les zadistes écolo-gauchos, qui ne s’étaient doutés de rien, furent taillés en pièces. Quelques uns tâchèrent bien d’alerter les forces de l’ordre (?). » Non mais vous rigolez, leur répondirent-elles. Croyez pas que vous nous avez assez fait ch… comme ça ? Dé……-vous « .
Il restait une poignée de survivants que les vainqueurs entassèrent dans une cahute dont on boucha toutes les issues, avant de les gazer à l’ibuprofène.
A l’extérieur, et jusque dans les allées du pouvoir, on ne chercha pas à éclairer les tenants ni les aboutissants de cette bagarre, qu’on interpréta comme un règlement de comptes entre bandes rivales écolo-coco-gauchos. Les vainqueurs se gardèrent bien de faire savoir à l’extérieur qui ils étaient.
Depuis, la zad de Notre-Dame-des-Bandes est devenue un camp d’entraînement pour les troupes toujours plus nombreuses du FFF. Tout autour, la présence des forces de l’ordre (?) est devenue symbolique. Déjà qu’à Calais et dans les prisons on a de gros problèmes, alors on va pas se compliquer la vie avec des zadistes d’ailleurs, au fond, plutôt sympathiques (disciplinés, polis, avec un petit côté militaire croquignolet). Les commandos FFF essaiment dans toute la France et, déjà, en Europe, où , paraît-il, ici et là (en Hongrie, en Pologne etc.) on les accueille à bras ouverts.
Vive le FFF écolo-coco-gaucho-bolcho-facho !
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