Dubois, qualité française
La qualité française, on voit bien que cela a pu être au cinéma depuis l’après-guerre. Il y eut les films de François Truffaut, puis ceux de Claude Sautet, les uns et les autres frappés de ce label, noble ou indigne selon les points de vue et surtout le ton avec lequel il est prononcé. L’expression est née d’ailleurs à la suite d’un article retentissant de Truffaut en 1954 dans les Cahiers du cinéma « Une certaine tendance du cinéma français » dans lequel il dézinguait Autant-Lara, Delannoy, Clément, Carné, Clouzot, Clair, Duvivier et surtout les scénaristes-dialoguistes au service de leur prétendu « académisme » Aurenche & Bost (ça les a tués professionnellement pendant de nombreuses années, jusqu’à ce que Tavernier les réhabilite). Au cinéma, on connaît et avec le recul, on se réjouit que cette qualité française ait existé. Ce pourrait être un label « »NF » » (norme française) comme on en trouve sur les bons-produits-de-chez-nous. Mais en littérature ?
Chacun pourra y mettre qui bon lui semble (Modiano, Quignard, Michon ?…) comme des équivalents en qualité aux Renoir and co. Mais face à Sautet, s’il y en a un qui m’a toujours paru s’inscrire naturellement, c’est bien Jean-Paul Dubois. Non que l’univers de l’un (la bourgeoisie parisienne des années 70 dans ses bistrots, ses restaurants, ses dîners, ses maisons de campagne, ses villégiatures mais aussi ses échecs et ses désillusions) se reflète dans celui de l’autre. C’est juste que le tempo de Jean-Paul Dubois, sa voix, son rythme, correspond à l’idée que l’on peut se faire de romans bien français dans la meilleure acception de l’expression. Question de facture, de tournure, d’esprit, de musicalité plus que de clarté (ah, la fameuse clarté française héritée de Descartes…). Il y a chez lui une douceur, un rapport au temps (du genre à évaluer la vitesse d’une goutte de pluie), une tendresse pour ses personnages, qui font sa signature et laissent des traces chez le lecteur.
Dans Une vie française (2005) (« française », justement), le photographe arboricole Paul Blick semblait appartenir à la rare cohorte des personnages de roman destinés à rester gravés dans le disque dur de notre mémoire. Une histoire personnelle rythmée par les mandats des présidents de la Vème de De Gaulle à Chirac. Il est doté d’une vraie légèreté. On est heureux de l’avoir lu mais une fois refermé, il n’en reste rien, si ce n’est le souvenir d’un instant délicieux. Un humour exquis, qui rend plus soudaine et inattendue la fin si grave.
Pour arriver d’un coup en série, les drames ne relèvent pas pour autant de la série noire. Parce que le récit, le personnage et l’auteur lui-même ont trop de charme pour assombrir. Trop nonchalant pour être vraiment désespéré, trop indolent pour succomber à la tristesse. Avec ce qu’il faut de mélancolie, et une touche de nostalgie, c’est cela qui reste au fond, un charme indéfinissable, et c’est déjà beaucoup, même s’il triomphe au détriment de la profondeur. On comprend que Rabbit en paix (1993) de John Updike soit l’un des romans étrangers qui ait le plus marqué Jean-Paul Dubois.
Les impressions provoquées il y a une dizaine d’années par la lecture d’Une vie française, puis par le Cas Snejder, sont du même ordre que celles suscitées ces jours-ci par son nouveau roman La Succession (240 pages, 19 euros, éditions de l’Olivier). Charme… légèreté… mélancolie… humour… Et le goût d’une certaine Amérique. On y suit un homme du nom de Paul Katrakilis, dans sa folle tentative de se débarrasser d’une malédiction familiale. Quelque chose de l’ordre d’une fatalité génétique : la volonté d’en finir. Entendez : une longue chaîne de suicides.
« Il ne faut jamais se tromper de vie. Il n’existe pas de marche arrière » aimait à lui répéter son père.
Il aime la vie pourtant. Surtout la vie d’avant semble-t-il. Du genre à écouter ronronner des voitures de collection, la Triumph notamment. On en connaît qui murmurent à l’oreille des chevaux ; lui est plutôt du genre à s’entretenir avec sa tondeuse à gazon (une Briggs & Stratton, tout de même, les connaisseurs apprécieront). Il a une âme de bricoleur. C’est dire que ce Paul ressemble à Jean-Paul. Un homme libre depuis qu’il a su se rendre propriétaire du temps, du moins le sien. Aussi décalés l’un que l’autre.
Il est vrai que la famille en question est si perturbée qu’elle en est perturbante. La famille, ce qu’on ne choisit pas. Ici, ce qu’on subit. Des grands dépressifs mais dépourvus de sens du tragique. On ne s’ennuie pas avec eux. Tous plus ou moins médecins de grand-père en petit-fils. Le grand-père débarqué de Russie a même réussi à ramener une lamelle du cerveau de Staline dans ses bagages. Sauf que notre héros, lui, quoique diplômé de médecine pour ne pas faire mentir l’atavisme, un rien immature, a la sagesse de se tirer de Toulouse après avoir appris le métier de pelotari au pays basque. Car c’est aussi un métier. Il a décidé de vivre de sa passion de la cesta punta en s’inscrivant dans le circuit des pros au World Jai-Alai de Miami qui cognent sur le fronton, et escaladent les murs pour rattraper une balle, pour un salaire tandis qu’autour d’eux des Américains déchainés lancent des paris insensés sur les performances et l’issue des parties.
C’est spectaculaire à souhait. Parfois violent mais dès qu’il en sort c’est pour flotter délicieusement dans le territoire de l’éphémère. Quelque chose en lui de Bartleby. Quand il ne joue pas, préfèrerait ne pas. Les quinielas sont rapides, brèves, intenses. La balle défonce parfois la chistera à 300 kms/h. Le public est très business/business, bigarré, poisseux, hurleur, véreux, on ne lui achèterait pas une voiture d’occasion, mais qu’importe. Vivre pour jouer et jouer pour vivre, il en rêvait sauf que lui, c’est vraiment le goût du sport pour le sport, l’art pour l’art. A ce niveau-là, la passion pour un sport devient un mode de vie, ce que Dubois rend remarquablement, sans forcer la note. Il y a en lui quelque chose d’une force intranquille.
A la faveur d’une grève pour obtenir une amélioration de leurs conditions de travail, il perd tout. Retour à Toulouse, case départ, un rien désenchanté ; il pourra toujours y faire de la voile et barrer son bateau tout en suçant des Fisherman’s Friend. D’autant que son père n’est plus. Il a sauté du troisième étage, mais pas comme n’importe qui : mâchoire scotchée (surtout éviter la tentation de crier) et lunettes solidement fixées (surtout ne pas rater le spectacle de sa propre mort). Il faut liquider la succession, reprendre le cabinet, ce qui ne se fait pas d’une main d’osier fut-elle douée. Dans la maison du défunt, ça sent encore la mort. Dramatique mais jamais morbide.
C’est que l’auteur a de la tenue en toutes circonstances, dans la vie comme dans son écriture l’une n’allant pas sans l’autre ; quelle que soit la circonstance, outre son goût de l’absurde bien tempéré, il y met la touche d’humanité qui change tout. Cette fois, il fait plus sombre à l’intérieur de lui que dans ses autres romans. Un rien de gravité probablement. Il est vrai que la succession n’est pas qu’une question d’héritages en toutes choses mais aussi de répétitions. Tout revient de retours en retours. Mais comment éviter la malédiction familiale qui finit par le rattraper malgré tout ?
(Les photos sont de Marc Riboud/ Droits réservés. Elles sont sans rapport direct avec le thème du billet, encore que… C’est juste une manière de saluer ce grand photographe qui nous a quittés aujourd’hui à 93 ans).
1 793 Réponses pour Dubois, qualité française
Pablo est envahi de plus en plus par la folie antisémite !
Non, Attali n’a jamais été plagiaire. Il a d’ailleurs toujours gagné ses procès en diffamation pour plagiat.
Mais c’est de bon ton chez chez toute la ver.mine antis.émite de reproduire ad vitam eternam les mêmes accusation contre ces grands figures juives qui honorent la France de leur présence. Pablo en fait partie manifestement.
@Delaporte
Le plagiat numérique successful n’est pas seulement une histoire de livres, et c’est même pratiquement devenu une forme de fonctionnement, un système.
En plus Attali est l’auteur de quelque 65 livres traduits dans quelque 30 langues. S’il était plagiaire, ça se saurait depuis longtemps.
Ce n’est sans doute pas pour rien d’ailleurs que Pablo est Espagnol d’origine. Un sondage récent indiquait que quelque 60% des Espagnols étudiants en Espagne ne souhaitaient pas s’asseoir à côté d’un juif à l’université. Ça donne à réfléchir…
La modestie, la courtoisie, la politesse, c’est dépassé et improductif. Regardez : ceux qui réussissent, ceux qui sont efficaces… sont ce les modestes ? Que nenni … Prenons exemple sur eux ! Burkini ? Oh, oui ….. !
Il est clair que dans un hôpital de fous, seuls les fous réussissent. Pasacal d’ailleurs ne s’y était pas trompé en parlant d’Aristote et de Platon.
Laf. 533, Sel. 457. On ne s’imagine Platon et Aristote qu’avec de grandes robes de pédants. C’étaient des gens honnêtes et comme les autres, riant avec leurs amis. Et quand ils se sont divertis à faire leurs lois et leurs politiques ils l’ont fait en se jouant. C’était la partie la moins philosophe et la moins sérieuse de leur vie ; la plus philosophe était de vivre simplement et tranquillement.
S’ils ont écrit de politique c’était comme pour régler un hôpital de fous.
Et s’ils ont fait semblant d’en parler comme d’une grande chose c’est qu’ils savaient que les fous à qui ils parlaient pensaient être rois et empereurs. Ils entrent dans leurs principes pour modérer leur folie au moins mal qu’il se peut.
La bêtise vit et s’alimente de ses propres fantasmes. Elle est en somme autotélique. Pablo en est la parfaite illustration.
La bêtise est très proche du fonctionnement autiste du cerveau. Pablo est quelque chose d’intermédiaire entre l’Asperger et l’Asperge.
« On ne guérit pas de la folie, on apprend à vivre avec elle ! », m’ont dit les fous que je fréquentais fraternellement et qui paraissaient à tous parfaitement normaux, cad normés.
Oui, c’est sans doute vrai. Mais heureusement quand même qu’il existe des neuroleptiques ! Déjà que je plains ce pauvre Bablo avec sa folie. Mais les autres, qu’est-ce que ça doit être !
WGG je ne vous connais que par votre communication et selon qu’on se situe de part et d’autre de la ligne Heidegger on pourra consulter la fiche suivante afin de repérer si l’on appartient pas , doté d’un QI supérieur, à ce groupe de personnes:
http://www.actionsautismeasperger.org/page/l-autisme-asperger-ou-syndrome-d-asperger
En tout cas, Pablo m’a donné envie de relire la synthèse d’Alain Roger Le Bréviaire de la bêtise, qui est un livre profond sur la bêtise. Mais on n’en a jamais fini avec la bêtise, c’est un puits sans fond, la bêtise est abyssale, comme Pablo d’ailleurs…
Oui, pas mal de critères de l’Asperger peuvent servir à caractériser les commentaires de Pablo. Mais l’Asperger n’empêche nullement la vie sociale ; j’avais un élève Asperger l’année dernière en 5ème, qui avait des caractéristiques voisines d’ailleurs que celles affichées ici par Pablo dans ses commentaires, notamment « prendre au pied de la lettre les consignes ».
@ Widergänger
« Pablo est envahi de plus en plus par la folie antisémite ! »
Et c’est le Faurisson du blog qui dit ça !!
L’admirateur éperdu de l’antisémite Blanchot et du nazi Heidegger – qui admirait à son tour Goering et Hitler.
Il faut le faire !!
De même un accès difficile à l’abstraction. Pablo c’est tout à fait ça ; il se rabbat sur les choses concrètes (d’ordre politique) qu’il croient saisir pour penser les choses abstraites, qui le dépassent. Très caractéristique des commentaires de Pablo sur Heidegger, qui demande effectivement un gros effort d’abstraction qui ne va pas de soi.
Il y a aussi comme caractéristiques d’Asperger assez typiques chez Pablo, ce qu’on appelle chez les Asperger, l’écholalie, c’est-à-dire la réitération sans fin de la quasi même phrase. La dernière intervention de Pablo en est une bonne illustration encore.
WGG je suis loin de pouvoir prétendre à votre niveau culturel néanmoins je ne partage pas votre conviction concernant ce philosophe, vous pourrez en déduire assez facilement que je suis bête, je pourrais aussi penser que le fanatisme trouve aussi à se nicher dans la compréhension de textes ou d’un esprit soit parce qu’on manifeste une propension à ignorer ce qui gêne le culte d’une personnalité, soit parce qu’on ne comprend rien. Pour vous je retiens la première hypothèse, vous ne pouvez pas faire l’impasse du point de vue d’Emmanuel Lévinas qui ne lui pardonne pas justement parce qu’il a été un des plus grands penseurs et que cette capacité à penser ne l’a pas empêché de défendre des thèses antisémites, entachant son brillant travail même s’il a pu tenter sur le terrain devant l’effroyable bêtise des nazis de sauver des étudiants.
l’écholalie, c’est-à-dire la réitération sans fin de la quasi même phrase
C’est aussi applicable dans votre cas.
, on se réjouit que cette qualité française ait existé. Ce pourrait être un label « »NF » » (norme française) comme on en trouve sur les bons-produits-de-chez-nous. Mais en littérature ?
En littérature, sûrement pas. Et Yourcenar ? Et Antonine Maillet ? Et Mallet-Joris ?
Et Césaire ? Et Senghor ? Et Ben Jelloun ? Et Ramuz ? Et tant d’autres … En littérature, les bons-produits-de-chez-nous sont souvent fabriqués ailleurs,les écrivains ont inventé la mondialisation bien avant l’heure. D’ailleurs la littérature française bien de chez nous, ça n’existe pas, il n’existe que des littératures, ou plutôt des littérateurs francophones. La littérature — comme l’art en général –, c’est le refus des communautés, c’est le singulier hors du collectif.
À quoi vous faites allusion chez Lévinas quand vous le citez comme procureur de Heidegger ? Je ne vois pas à quoi vous faites allusion. Je n’ai jamais rien lu de tel chez Lévinas, bien au contraire.
on se réjouit que cette qualité française ait existé. Ce pourrait être un label « »NF » » (norme française) comme on en trouve sur les bons-produits-de-chez-nous. Mais en littérature ?
En littérature, sûrement pas. Et Yourcenar ? Et Antonine Maillet ? Et Mallet-Joris ?
Et Césaire ? Et Senghor ? Et Ben Jelloun ? Et Ramuz ? Et tant d’autres … En littérature, les bons-produits-de-chez-nous sont souvent fabriqués ailleurs,les écrivains ont inventé la mondialisation bien avant l’heure. D’ailleurs la littérature française bien de chez nous, ça n’existe pas, il n’existe que des littératures, ou plutôt des littérateurs francophones. La littérature — comme l’art en général –, c’est le refus des communautés, c’est le singulier hors du collectif.
Non, je ne suis pas atteint d’écholalie. C’est un de vos fantasmes, bérénice c’est tout. Comme ce que vous faites dire abusivement à Lévinas que vous inventez de toute pièce. Classique chez les pauvres en esprit…
Quelle chance d’avoir une andouille comme JC pour apporter du rire franc et massif sur ce blog sérieux
Miss Tigris de retour de vacances studieuses
Mais, mon brave Jeanjean, réfléchis deux secondes quand même de temps en temps avant de nous sortir tes habituelles sornettes, ce n’est parce qu’un écrivain est singulier par nature qu’il serait le refus de la communauté. Ce genre de logique de café du commerce n’a strictement aucun sens, voyons !
La déliquescence mentale de Michel Alba, alais Widergänger, professeur à l’Éducation Nationale:
« Mais c’est de bon ton chez chez toute la ver.mine antis.émite de reproduire ad vitam eternam les mêmes accusation contre ces grands figures juives [Attali et BHL] qui honorent la France de leur présence. Pablo en fait partie manifestement. »
« Ce n’est sans doute pas pour rien d’ailleurs que Pablo est Espagnol d’origine. Un sondage récent indiquait que quelque 60% des Espagnols étudiants en Espagne ne souhaitaient pas s’asseoir à côté d’un juif à l’université. Ça donne à réfléchir… »
Voilà la diar.rhée logique de ce cinglé, admirateur de la philosophie nazie du nazi Heidegger, le « génie » qui après avoir lu « Mein Kampf » admirait Hitler.
Ce qui est à penser au contraire en art comme en littérature c’est le paradoxe de l’appartenance à la communauté de la singularité de l’artiste en général.
Anselm Kiefer est un génie actuel de la peinture, une singularité par excellence, mais il incarne ô combien a communauté des hommes ; ses tableaux construisent de la communauté justement, portent remède aux déchirures très graves de la communauté, retissent des liens communautaires.
Les problèmes de l’art sont autrement plus complexes que tu ne les imagines, mon Jeanjean, avec tes caricatures de bonne femme…
« En plus Attali est l’auteur de quelque 65 livres »
(Widergänger)
Avec combien de nègres derrière?
« Clash Onfray, Attali et le plagiat »
http://www.dailymotion.com/video/xb461u_clash-onfray-attali-et-le-plagiat_news
Pablo est de plus en plus énervé. Je pense qu’il va falloir bientôt appeler l’ambulance pour lui mettre la camisole de force avant qu’il ne pète un plomb…
. Classique chez les pauvres en esprit…
vous êtes assez loin d’un Pascal qui s’auto-flagellait, vous c’est aux autres du moins ceux qui ne soutiennent pas votre point de vue que vous adressez cette volonté d’humiliation et je crois que pour le moment vous ne pouvez faire la preuve de votre génie par une publication qui réussirait une synthèse ou proposerait à un lectorat averti à votre niveau d’exposer sa réflexion à une approche critique. Je l’ai exprimé, je ne suis qu’une plébéienne et c’est hélas la plèbe qui en cas de graves dérapages des esprits « supérieurs » a à subir comme première cible le fruit de leur intense travail intellectuel.
Paraphrasant Courteline (« Passer pour un idiot aux yeux d’un imbécile est une volupté de fin gourmet ») on peut dire que passer pour un asperger aux yeux d’un fou à lier, est un vrai plaisir.
Comme passer pour un antisémite aux yeux d’un admirateur d’un nazi est une vraie joie.
Non, ce n’est vraiment pas mon genre l’autoflagellation. Mais je n’en suis pas foncièrement orgueilleux pour autant même si mon tempérament, c’est vrai, me porte naturellement vers l’orgeuil, et est de ce point de vue très pascalien…
Mais si t’est heureux comme ça, mon Pablocito, tant mieux pour toi. Je n’ai rien à y redire. Ça s’appelle un imbécile heureux ; on en a même fait des films.
Bonne soirée, ciao.
@ Widergänger
« Pablo est de plus en plus énervé. Je pense qu’il va falloir bientôt appeler l’ambulance pour lui mettre la camisole de force avant qu’il ne pète un plomb… »
Tu me plagies, là. C’est ce que j’ai déjà dit ici à ton propos. C’est ça que tu as appris chez Attali?
Mais contrairement à ce que vous pensez, bérénice, je n’ai pas de point de vue ni de vision du monde.
La différence entre moi et certains ici, dont vous êtes, c’est simplement la différence entre quelqu’un qui sait penser et les autres qui ne savent pas et croient savoir. C’est ce que Platon dans Le Sophiste, appelle justement un Sophiste. Vous, bérénice, par exemple, vous êtes simplement une Sophiste typiquement. Lisez Le Sophiste de Platon, vous en apprendrez beaucoup sur vous, le début surtout, jusqu’à 244a.
…
…j’adore la panthère » rose ‘,!…comme interlude,!…
…
…surement beaucoup d’épisodes que j’ai jamais vus,!…
…revivre ses paradis d’esprits, quels bons moments,!…
…
@ Widergänger
« mon tempérament, c’est vrai, me porte naturellement vers l’orgeuil, et est de ce point de vue très pascalien… »
Si tu avais un minimum d’orgueil, du point de vue très pascalien ou du point de vue très heideggerien, tu aurais disparu de ce blog depuis longtemps et tu aurais démissioné de ton poste de prof pour des raisons psychiatriques.
Mais toi, tu es au fond un grand maso, je te l’ai déjà dit, de ceux qui vont se faire fouetter les fesses rue Saint-Denis. C’est pour cela qu’ici tu fais semblant d’admirer la pensée nazi d’un nazi, pour te faire traiter de tous les noms et ainsi pouvoir enfin jouir après tes branle.ttes interminables.
Mais oui, mon Pablocito. Tout le monde ici admire ta grande clairvoyance, voyons !
Giovanni Sant’Angelo dit: 2 septembre 2016 à 19 h 10 min
…
…j’adore la panthère » rose ‘
Ha mais oui c’est un animal très important !
J’ai vu récemment un épisode où elle jouait de la trompette, c’était gigantesque…
Quant à moi, j’aimerais bien lire De nota qui je crois est équipé pour vous affronter ou abonder dans votre sens à propos de ce débat autour de Heidegger . Cela apporterait une troisième voix qui je le pense aurait autant de valeur que la vôtre, WGG, et celle de Pablo. Je ne cherche pas plus à persuader que vous-même qui d’ailleurs ne persuade que peu à ce propos, votre vérité n’est apparemment pas celles de plusieurs des intervenants de ce blog, Berguenzinc qui loue votre endurance dans cette joute ne partage pas lui non plus votre lecture.
Voilà comment Attali « écrit » ses livres:
« Attali , Histoires du temps a écrit :
Depuis cet âge, chaque race humaine possède sa temporalité propre, son » Age « , qui exprime sa nature particulière, et qui, au même titre que son genre de vie, ses activités, ses qualités et ses défauts, définit son statut et l’oppose aux autres races.
Vernant, Mythe et pensée chez les Grecs a écrit :
Chaque race possède sa temporalité propre, son âge, qui exprime sa nature particulière et qui, au même titre que son genre de vie, ses activités, ses qualités et ses défauts, définit son statut et l’oppose aux autres races.
Attali a écrit :
Montaigne , dans son » Voyage en Italie « , après d’autres voyageurs des XVe et XVIe siècles, note la confusion qui résulte de l’origine changeante du temps d’une ville à l’autre.
Le Goff ,Pour un autre Moyen Age a écrit :
Montaigne, dans le » Voyage en Italie « , après d’autres voyageurs des XVe et XVIe siècles, note la confusion, le désordre qui naît de ce temps à l’origine changeante d’une ville à l’autre. »
http://www.passion-histoire.net/viewtopic.php?f=32&t=19695
Dans ce forum d’histoire (Passion-Histoire) on rappelle que Mitterrand disait de lui qu’il avait les « guillemets faciles ».
Il serait bien présomptueux de ma part de vouloir persuader des ânes…
Oui, il va vite comme Montaigne qui ne met pas forcément des guillemets quand il cite ses contemporains. Rien là de problématique qui pourrait être assimilé à un plagiat.
La vérité ne dépend pas de la personne qui l’énonce. Il en va de la philosophie comme des mathématiques à cet égard. Tout ce que pense Heidegger dans Sein und Zeit ne dépend en rien de la personne de Heidegger sinon comme support d’une pensée qui se pense en quelque sorte toute seule.
Il serait bien présomptueux de ma part de vouloir persuader des ânes…
A quoi vous servirait-il d’écrire en une si pauvre compagnie, vous mirer tel un Narcisse dans le reflet négatif du miroir que vous tendent, résolus, certains des membres de cette confrérie à laquelle vous ajoutez votre présence assidue , n’y en aurait il point d’autres pour vous plus adaptée à votre intelligence des textes.
Simplement je défends l’honnêté d’un homme si injustement accusé et même persécuté. Cette défense, à mes yeux comme aux yeux de bien d’autres, ne saurait se réduire, en outre, à la défense d’un homme. Car à travers lui et sa défense, c’est de l’Homme en soi qu’il s’agit, d’une conception de l’Homme qui a pu aboutir à des crimes impardonnables qui sont la Shoah. L’enjeu n’est donc pas mince et regarde ce qu’il en est aujourd’hui de la Vérité de l’Homme. Et c’est le propre d’un blog littéraire comme celui-ci de participer à ce genre de problématique et donc de débat. Encore faut-il pouvoir débattre avec des gens honnêtes et qui ne soient pas perpétuellement de mauvaise foi, ce qui est le cas ici avec des gens comme Pablo, qui ne comprend en plus pas grand chose à l’enjeu réel du débat. Mais l’un ne saurait empêcher l’autre.
@ Widergänger
» il va vite comme Montaigne qui ne met pas forcément des guillemets quand il cite ses contemporains. Rien là de problématique qui pourrait être assimilé à un plagiat. »
Tu as un sens moral très développé, toi: tu justifies maintenant le plagiat. Et tu connais bien le Droit.
Vraiment, ta folie te fait croire que tu vis dans un monde de nounours.
Le juge: – Vous êtes accuse de plagiat. Votre livre est plein de citations sans guillemets.
L’accusé: – Montaigne plagiait aussi. Et en plus j’écris vite.
Le juge: – Avec des arguments de Droit aussi définitifs que ceux-là, je ne peux que vous acquitter. Pour la prochaine éditions mettez quand même les 20 000 guillemets qui manquent dans votre livre.
Au lieu de dire des cxnneries à la chaîne, informe-toi un peu avant de parler:
http://www.univ-angers.fr/fr/formation/anti-plagiat/c-est-quoi-le-plagiat.html
Le fait qu’Attali a toujours gagné ses procès pour accusation de plagiat montre bien justement que du point de vue du droit, Attali n’a commis aucun plagiat.
La notion de plagiat est une notion littéraire qui est née avec la notion d’auteur. Au Moyen-Âge, le plagiat est la règle de production littéraire des textes du Moyen-Âge.
Attalio a tout à fait raison dans sa défense. Et juridiquement, le droit s’est rangé de son avis.
Chrétien de Troyes n’aurait jamais pu écrire sans le plagiat de la matière de Bretagne, qui inspire nettement toute son œuvre. Mais en m^me temps, Chrétien de Troyes a inventé le roman comme nouveau genre littératire.
C’est quelque chose du même genre avec Attali. Il pense le monde moderne et sa pensée lui est propre. Il a le privilège ou l’inconvénient de pouvoir dormir que trois heures par nuit, ce qui lui a laissé le temps tout au long de sa vie d’écrire beaucoup de chose la nuit.
La mégalomanie de J.Attali est telle, qu’il raconte partout qu’il est chef d’orchestre. En réalité, il a dirigé (catastrophiquement) des orchestres d’amateurs, comme on le voit ici (j’ai honte pour lui quand j’entends ça – comment peut-il être si peu lucide?):
https://www.youtube.com/watch?v=aZhoiCX2Dk4
L’un des commentaires:
« Ça laisse perplexe. Pour la petite histoire, c’est à Grenoble, il y a environ une quinzaine d’années, que Jacques Attali a entamé la direction d’orchestre. Pas avec les Musiciens du Louvre, non je vous rassure, mais un orchestre amateur composé aussi de quelques professionnels ou professeurs du conservatoire, l’orchestre universitaire je crois. La première répétition fut un « grand » moment de rigolage, ou d’agacement extrême, selon les capacités développées par chacun pour faire face, pour ne pas dire encaisser, les absurdités de la vie. Car l’homme ne savait pas diriger. A peine mieux que le quidam de la rue qui n’a jamais écouté autre chose que André Rieux ou Clederman Il était à contre temps quasiment en permanence. Une partie des musiciens a quitté les lieux plus ou moins bruyamment. Une musicienne, s’est alors levée et a entrepris avec patience d’expliquer au Maitre, que non, là, c’était pas bon, les bras devait être en haut, pas en bas, etc, etc. Ça a détendu un peu l’atmosphère. Monsieur avait donc trouvé un orchestre grandeur nature avec de vrais musiciens à l’intérieur pour passer ses caprices. Une preuve supplémentaire qui prouve que tous ces nombrils, purs produits des grandes écoles, qui jouissent et vivent pour le pouvoir, sont aussi de grands tarés (VGE, le célèbre romancier, etc). »
De même dans les Pensées de Pascal, on peut y lire des phrases entières reproduites telles quelles de Montaigne, exactement comme les phrases qu’Attali tire de JP Vernant ou de Duby ou de Le Goff. C’est le fonctionnement même de la littérature en général.
La mégalomanie de J.Attali est telle, qu’il raconte partout qu’il est chef d’orchestre. En réalité, il a dirigé (catastrophiquement) des orchestres d’amateurs, comme on le voit ici (j’ai honte pour lui quand j’entends ça – comment peut-il être si peu lucide?):
À lire le premier commentaire de la vidéo de Youtube. Tout est dit sur ce mégalo.
Mais ce qui est intéressant (si je puis dire…), c’est que le procès qu’on fait à Attali, on ne le fait pas à Pascal. De là à penser qu’on le fasse à Attali pour la simple raison qu’il est juif, il n’y a qu’un pas…
Non, Attali dirige réellement de grands orchestres, comme à Jérusalem où il a donné des concerts avec un grand orchestre. Attali est réellement un génie qui sait presque tout faire. C’est comme ça.
@ Widergänger
« Le fait qu’Attali a toujours gagné ses procès pour accusation de plagiat montre bien justement que du point de vue du droit, Attali n’a commis aucun plagiat. »
Ça, d’abord, ça reste à vérifier.
Et après, combien de fois les éditeurs se sont arrangés entre eux pour que les affaires de plagiat d’Attali ne sortent pas dans la presse, moyennant finances?
Attali raconte comment il est devenu chef d’orchestre. Un grand chef d’orchestre s’est présenté à lui (par téléphone) un jour pour lui dire qu’il lui donnerait des cours de direction d’orchestre, vu qu’Attali avait indiqué dans une émission télévisée regretter ne pas pouvoir diriger un orchestre alors que c’est ce qu’il aurait aimé faire par passion de sa vie. Et il a pris des cours auprès de ce grand chef pour ensuite pouvoir diriger de grands orchestres. C’est un fait vérifiable.
Quelle histoire, Attalibashing, à l’heure où la France aimable devrait regarder un film de qualité française, un Delannoy par exemple. Gabin, médecin des pauvres, est trompé par sa femme qui s’entiche d’un artiste de Montmartre. Le clou, tout se passe pendant la guerre et l’artiste a échappé à l’armée. Très bien, actually, ne sais plus très bien si c’est un Delannoy. Mitrand déjeunait nrégulièrement avec Chardonne à l’époque du super conseiller
Mon pauvre Pablo, tu t’inventes le roman qui t’arranges. Mais avant de causer dans le poste, prends soin quand même de vérifier tes sources, hein… Ça t’évitera peut-être de gros ennuis et tu me remercieras… enfin, je n’en attends pas tant d’un énergumène de ton acabit…
(psst!, vous-là, oui vous en haut à droite, de l’écran, je voulais rectifier quelque chose à propos du French Doctor. Vous avez délibérément omis de donner les véritables raisons de son retour en Euskadi !)
@ Widergänger
» le procès qu’on fait à Attali, on ne le fait pas à Pascal. De là à penser qu’on le fasse à Attali pour la simple raison qu’il est juif, il n’y a qu’un pas… »
C’est vrai que Pascal a vécu dans la deuxième partie du XXe siècle, il a écrit des dizaines de livres, donne son opinion sur tout dans la presse et passe à la TV tout le temps, en plus d’être conseiller des présidents de la République de gauche comme de droite.
Tes arguments sont de plus en plus débiles. Ton cerveau se dégrade à vue d’oeil.
Une chose très étrange: personne attaque le frère jumeau d’Attali, pourtant Juif aussi.
Phil, sortez un peu de vos classiques miteux. Le French Doctor fait, dans ce roman, des révélations passionnantes sur Les dessous de Miami.
Phil, sans doute Le cas du docteur Laurent de Jean-Paul Le Chanois, 1957 ?
Le frère jumeau d’Attali n’écrit pas de livre…!
Pablo pense exactement comme pense un Asperger. C’est frappant.
Tu devrais peut-être consulter, Pablo.
ces arbres … d’eau
https://www.youtube.com/watch?v=mrs9RM0kI0A
Le « cinéma » de qualité en veux-tu en voilà !
https://www.youtube.com/watch?v=u6TKmbig1ao
@ Widergänger
Au lieu de continuer à dire des bêt.ises ici, va écouter un peu de grand Bach sur Mezzo…
« Attali est réellement un génie qui sait presque tout faire. » (Wiwi)
Un type qui sait tout faire ne sait rien faire. On appelle ça : un homme de mains.
Demain, pour les optimistes … !
« La minute de vérité », Widergg. avec Michèle Morgan. Un Delannoy. Mais c’était fortiche de votre part…Lavie devrait en prendre de la graine, au lieu de rester scotchée sur Miami vice.
Phil, je retarde simplement la fin de ma lecture du livre de Jean-Paul Dubois. Et je profite des bons moments.
Quittons nous sur les nouvelles d’un pédagogue de bon goût:
« L’eurodéputé et vice-président du MoDem Robert Rochefort a été interpellé mercredi après avoir été surpris dans un magasin en train de se masturber à proximité d’enfants, a-t-on appris aujourd’hui de source proche de l’enquête, confirmant une information de RTL. »
Quel soulagement …..
Non, en ce moment, j’ai davantage l’âme portée vers Chostakovitch que vers Bach.
La symphonie n°8 par Mravinsky, c’est génial. L’ostinato de l’allegro, ça me prend au trippes. C’est ce que je rêve de faire par écrit. Quelque chose qui s’inspirerait de l’Ostinato de Louis-René des Forêts que je rêve de plagier…
La symphonie n°8 de Chostakovitch par I. Mravinsky. Sublime.
Mais non, Phil ! Avec Google tout se sait maintenant. Mais c’est impressionnant de voir défiler tous ces films des années 50 ! Il doit y avoir sans doute de bonnes études de synthèse là-dessus. Vous en connaissez de recommandables, Phil ?
Les livres de Raymond Borde, Widergänger, fondateur de la cinémathèque de Toulouse et entubé par la clique à Langlois. Vecchiali a fait aussi un bon résumé de ces films. Tout ça pour éviter de boire le champagne debullé servi par gougeul. Lavie, mandez-nous des nouvelles de votre lecture
Merci Phil. Je retiens alors Raymond Borde.
Je vous vois bien finir en chef d’orchestre, mix de Karajan et celui de la grande vadrouille
Je vois que Raymond Borde a même écrit un livre avec A. Breton. Vous le connaissez, Phil ? Ça parle de quoi ?
Croyez moi, Widergänger, googeul digitalise à tout va et ses top managers jouent au morpion dans l’avion. Alors vous pensez si la connaissance de la qualité française les pertube..pfft
Je dois que j’ai eu pareillement une passion pour la direction d’orchestre quand j’avais une quinzaine d’années, c’est vrai. Un peut comme Attali mais à l’étage en dessous… Et pareillement pour le piano que malheureusement je n’ai jamais appris à jouer, faute de piano… Attali raconte qu’il ne fichait rien en classe jusqu’en Première au lycée, passant son temps à jouer du piano en grand dam de son père. Et puis, soudain, en Première, il a eu une révélation pour les mathématiques. Un peut comme moi aussi, les mathématiques me fascinaient à cet âge-là. J’étais d’ailleurs premier en maths tout comme lui… Mais lui n’avait pas de fantôme d’Auschwitz à gérer dans sa vie, ça change une vie.
« De même dans les Pensées de Pascal, on peut y lire des phrases entières reproduites telles quelles de Montaigne »
On voudrait voir les preuves !
…un peu… désolé, je tappe trop vite sans regarder.
Tu cherches les Pensées de Pascal sur Google, tu tomberas sur des sites qui mettent en parallèle Pascal et Montaigne. Mais c’est très connu.
WGG va t-il finir par le dire ?
Attali c’est Moi !!!
Attali aussi doit avoir ses fantômes, puisqu’il est tombé de son lit il y a quelques semaines
Non, mais il me semble que je le comprenne fort bien. Mais lui a eu la chance de naître dans la grande bourgeoisie même si son père est né extrêmement pauvre. Ça change tout aussi.
justement Phil, je chauffe la pelote, comme ceux qui ont la foi, assurés d’avoir déjà quelques points d’avance.
Cette chronique d’une mort annoncée, c’est bien simple, on la dirait écrite par un membre de la famille du Fench Doctor, un cousin éloigné, disons.
Alors que jusqu’à son retour définitif au bercail, répondant à « un fatum de sous-préfecture », c’est pétulant de finesse et d’humour. Mais restons prudent, je n’ai pas terminé.
Vous connaissez le quagga ?
Moi non plus.
http://www.quaggaproject.org/_img/rau-quagga.jpg
Je ne crois pas, Phil. Ça se reconnaît de loin quelqu’un qui porte des stigmantes spectrales…
La grosse différence entre Attali et moi, c’est qu’il n’a besoin pour réparer les fatigues du jour que de trois heurtes par nuit tandis que moi c’est plutôt de l’ordre de dix heures pour me sentir frais… C’est vraiment deux profils psychiques très différents.
La grande bourgeoisie, ça peut vous traumatiser. Voyez Gide, qui sut malgré tout magnifiquement résister.
J’ai beaucoup de passion en commun avec Attali. Pascal entre autres. Il a même écrit un bouquin sur Pascal.
Sans doute, Phil. Mais pas dans le cas d’Attali, grande bourgeoisie juive d’Algérie, avec un père qu’il porte au nue. Il doit en grande partie ce qu’il est devenu à son père qui semble en effet avoir été un homme tout à fait remarquable.
…aux nues…
Lavie, vous avez commencé la lecture de ce livre avec la notule du prestigieux blog à passou ?
Il me semble que Widergänger, après avoir créé un Heidegger à sa convenance et peut-être, à sa ressemblance, réédite la tentative avec Jacques Attali. Madame Bovattali, c’est moi. Widergänger crée vraiment Heidegger, il crée Attali. Sa vocation romancière éclate ici. C’est beau, aussi, cette fascination pour le grand homme en qui on ne discerne, en somme, que des qualités. C’est sans doute un trait du véritable amour.
Même pas un complexe seferado- ashkénazi, Widergg ?
Mais il n’est pas devenu le brillant élève qu’il fut sans une masse énorme de travail. Il raconte qu’il faisait des centaines d’exercices de maths quand les autres n’en faisaient que quelques-uns. Je dois dire que je pratiquais de même. Au moins un par jour dès la seconde, donnés d’ailleurs chaque semaine par mon prof de maths à Chaptal, et j’ai continué ainsi de même jusqu’en taupe. Après, j’ai perdu la foi dans les mathématiques et la vérité scientifique. Pas seulement un effet du fantôme, mais une vraie crise métaphysique, déjà heideggérienne sans doute…
Ah oui, ça oui, sans doute, Phil ! Là, vous avez raison, je pense. Chez les séfarades, il est clair que l’extermination des Ashkénase les a traumatisés en leur filant un complexe. On voit ça aussi bien d’ailleurs chez Assouline que chez Attali. C’est frappant.
yes, Phil, je (re)passais devant la librairie à ce moment-là; j’ai donc laissé la miss Celine Minard, dans son tonneau, fuselage d’avion high tech, arrimé sur la paroi, certaine de l’y retrouver très vite.
D’une montagne, l’autre.
Vous connaissez le Jaizkibel ?
Moi non plus.
http://a54.idata.over-blog.com/0/53/15/00/Le-Jaizkibel-Pays-Basque/jaizkibel-pais-vasco–1-.jpg
J’aime trop Montaigne pour laisser Wider nous débiter des fariboles, aussi je l’invite toutes affaires cessantes à lire un article( http://www.persee.fr/doc/caief_0571-5865_1981_num_33_1_1896) où il pourrait bien apprendre la place qu’occupent les emprunts de Montaigne dans la rédaction des « Essais », emprunts qui , bien sûr, n’ont rien à voir avec le plagiat, mais certainement pas pour les raisons que donne Wider..sinon, Attali est un génie, ça me fait penser à Musil qui brocardait déjà en son temps l’aptitude de ses contemporains à trouver du génie chez n’importe qui et dans n’importe quoi..
l’extermination des Ashkénase les a traumatisés en leur filant un complexe. (Widergänger)
Quelle idée. Personnellement, je me serais plutôt réjoui d’être du bon côté. Je n’ai pas coutume de me réjouir du malheur des autres mais, comme je dis toujours, les malheurs des autres, c’est l’affaire des autres.
Jean, il n’est pas capable de comprendre sans doute que les Séfarades sont juifs. Ça, il a pas encore intégré !
Mais mon petit chéri, de nota, t’es bien gentil, mais l’article de Claude Blum je le connais presque par cœur ! Claude Blum c’était mon prof à Nanterre. Je connais toute la production de Claude Blum, qui est un génie, lui aussi. Mais ce qu’il a écrit là n’a strictement rien à voir avec le problème qui nous occupait au sujet du plagiat.
@Berenice,
ne comptez pas sur moi pour me fiche dans le débat « Heidegger », j’en suis tout à fait incapable et m’en tartine la biscotte, c’est un débat pour les universitaires et encore! pas tous, tout ce que je peux dire concernant Levinas c’est qu’il a pu exprimer son désarroi dans un entretien qu’il donna au nouvel obs où il confia et son admiration pour le génie de Heidegger et son chagrin d’y trouver chez lui « comme un consentement à l’horrible »
Vous faites du Renard (jules) sans le savoir ? Jean; l’essentiel n’est pas d’être heureux mais plutôt que les autres ne le soient pas.
Au début du chapitre I, 31, des Essais, « Des cannibales », Montaigne emprunte tout un paragraphe d’au moins une bonne dizaine de lignes à l’un de ses contemporains sans du tout le signaler ni par des guillemets ni par quelque note que ce soit.
Non, l’essentiel, au contraire, Phil, c’est que les autres soient heureux ! C’est ce qu’enseigne Attali à juste titre, et pas seulement par générosité mais mais une grande intelligence du fonctionnement réel du monde.
Non, dans le débat autour de Heidegger, c’est de la conception que l’Occident s’est fait depuis Platon qu’il s’agit. Cela dépasse évidemment de beaucoup un pur enjeu universitaire, de peu d’intérêt, c’est voir l’Homme par le petit trou de la serrure !
d’Attali ses ex camarades de l’Ena,ecole où il avait peu d’amis, disaient que s’il travaillait surtout la nuit c’était pour bénéficier d’un tarif avantageux de l’électricité pour sa photocopieuse qui marchait continument
Hilarant.
Alba s’effondre dans un numéro à la Benny Hill.
Non, Heidegger n’a jamais consenti à l’horrible. Ce sont de pures calomnies. Toutes les preuves du contraire ont été réunies par François Fédier dans Ecrits politiques de Heidegger 1933-1966, publiés chez Gallimard.
Mais évidemment ici personne ne l’a lu à part moi !!
Lisez-le. Après seulement vous aurez le droit de causer dans le poste, bande de nazes.
« Mais ce qu’il a écrit là n’a strictement rien à voir avec le problème qui nous occupait au sujet du plagiat. »
ça veut dire que l’un de nous deux n’a rien à Sein ici et qu’il devrait plutôt tuer le Zeit devant la tivi…
Oui, c’est bien possible aussi, DHH. Encore faut-il pouvoir travailler la nuit. Mon cerveau ne me l’aurait pas permis par exemple.
Alba, je te signale QU’IL FAIT NUIT!
Phil dit: 2 septembre 2016 à 21 h 43 min
Vous faites du Renard (jules) sans le savoir ? Jean; l’essentiel n’est pas d’être heureux mais plutôt que les autres ne le soient pas.
C’est bien mon opinion et j’allais l’exprimer, mais je me suis retenu, craignant d’en froisser certains. Jules Renard, ce n’est sûrement pas le bréviaire de la haine, mais c’est sûrement celui de la méchanceté.
Mais il est clair que vous ne l’avez même lu, cet article de Blum, en plus, de nota ! Vous voulez m’impressionner avec un article que vous n’avez même pas lu par un prof dont je connais quasiment toute la production universitaire ou peu s’en faut. Si vous voulez m’impressionner, mon bon de nota, faut vous lever plus de bonne heure la matin…
Widergänger dit: 2 septembre 2016 à 21 h 40 min
Jean, il n’est pas capable de comprendre sans doute que les Séfarades sont juifs.
Il me prend pour un ignare.
Jean dit: 2 septembre 2016 à 21 h 36 min
l’extermination des Ashkénase les a traumatisés en leur filant un complexe. (Widergänger)
Quelle idée. Personnellement, je me serais plutôt réjoui d’être du bon côté
Du bon côté de la Méditerranée, bien entendu.
Jean, vous n’avez que deux options devant vous après ce que vous avez écrit :
1°) Vous êtes effectivement un ignare;
2°) Vous êtes un gros imbécile.
C’est à vous de choisir…
Du bon côté de la Méditerranée, bien entendu. (Jeanjean)
________
Oui, on avait compris…!
un prof dont je connais quasiment toute la production universitaire ou peu s’en faut (Widergänger)
Un abîme de perversité .
Comment devenir Néron sans être empereur? C’est toute la problématique de survie d’Alba. Un cas.
Vous êtes un gros imbécile. (Widergänger)
Gros … gros … Je suis un peu en surpoids, certes, mais comme près de la moitié des Français.
C’est aussi la problématique d’Attali. Le fil qui les relie. A mon avis.
De toute façon, Attali a toujours dit qu’il n’avais pas appris grand chose à l’ENA. Je veux bien le croire…! Mais à Sciences po, si !
l’Ena,ecole où il avait peu d’amis,
Bien compensé par sa proximité avec Flabius, normalien, lui, de toute antiquité ; une lecture rare que celle de Flabius Joseph
NOTA: merci Bérénice, j’étais en effet un peu déboussolé hier
http://www.dailymotion.com/video/xodrv3_les-mysteres-de-l-ouest-12-eme-episode-de-la-saison-2_tv?GK_FACEBOOK_OG_HTML5=1
Alba, lui a plutôt fait Science-Suppo.
Je ne vois franchement pas ce qu’il peut y avoir de pervers à avoir passé des heures à lire les bouquins et articles dans des revues, de Blum dans ma jeunesse. J’allais le lire à Pompidou. Sa grosse thèse géniale notamment, mais pas que, mes petits chéris…
FlaVius Joseph, mon petit chéri !
Qui en France aujourd’hui s’intéresse à Attali, frainchemain ?
Widergänger dit: 2 septembre 2016 à 22 h 14 min
FlaVius Joseph, mon petit chéri !
Flavius Josèphe, mon lapin
Les ashkénazes n’ont-ils pas un peu de mépris pour les séfarades en général ?
C’est de ce complexe là, dont parlait sans doute Phil, WGG ?
Mais des milliers de gens qui l’admirent, des milliers. Va lire son blog, mon Jeanjean. Des centaines de milliers de gens, de tous horizons. Et dans le monde entier, qui le lisent chaque semaine. C’est un parmi les cents premiers intellectuels reconnus d’importance dans le monde. Eh oui !
Flavius Joseph était tout seul à causer dans le poste à son époque, alors toujours prendre ses précautions quand un thésard vous cite Flavius J. C’est pas comme Catulle- Mendès mais pas loin
Pour le goy de base que je suis, les séfarades c’est le Sentier, et les ashkénazes c’est le haut du panier…
Je ne crois pas. Mais ça dépend de quel Ashénaze et de quel Séfarade !
Moi, je suis à la fois d’ascendance ashkénaze et plus lointainement séfarade. Mais la cohabitation se passe très bien… Mais je reconnais que ce n’est pas tout à fait la même façon d’être juif, jusque dans les prières d’ailleurs. Mais dzans le monde juif ashkénaze il y a aussi des différences dans les pratiques religieuses et les prières selon la géographie.
Dites voir baroz, vous préférez le Portugal aux Canaries maintenant ?
Mais le sentier, c’est aussi le haut du panier, je peux vous le dire, pour l’argent. Un de mes élèves a touché 40 000 euros pour sa bar mitsva ! Mais ce ne sont pas des intellectuels. Alors que les Ashkénazes, c’est d’abord des intellectuels. Même mon père qui n’était pourtant qu’un simple ouvrier, était au fond un intellectuel. J’ai dû pas mal hérité de lui sans doute et du frère de ma mère qui était un type très intelligent mais d’une autre forme d’intelligence, plus sensible, portée sur les fleurs, puisqu’il avait fait des études d’horticulture qui l’avait amené à exercer le métier de fleuriste rue de Seine dans les années 50-60.
Mais ce ne sont pas des intellectuels. Alors que les Ashkénazes, c’est d’abord des intellectuels
Allons, allons, vous vous laissez emporter jusque dans les coulisses du palais ; surveille tes arrières cow-boy. Tu es un peu notre porte-parole à tous chez les Attali
https://www.youtube.com/watch?v=wJPrE_3Lxno
Mais le -e- de Josèphe, c’est du bidon ; en réalité son nom c’est :
יוסף בן מתתיהו הכהן, Yossef ben Matityahou HaCohen. Pas de -e- en hébreu.
C’est un Cohen. Moi, je suis un Lévi.
J’avais beaucoup aimé ce film moi aussi, Macadam cow-boy, que j’ai vu à sa sortie avec ma mère, je me souviens.
Mais il faut dire aussi qu’avant la classe ouvrière était remarquablement cultivée. Mais mon père n’a jamais eu le sentiment d’en faire partie, ni faire partie de rien d’ailleurs…
Voilà, j’ai refermé ce livre » La succession ».
Un battement d’aile, venu du grand nord.
http://farm8.staticflickr.com/7304/9739563483_8efea4e822_c.jpg
Et alors ? C’est tout ce que vous êtes capable d’en tirer comme commentaire ? C’est un peu mince ! Tout ça pour ça …
« Laf 533, Sell 457… » (18h W)
Traduire, le génie écrivant vite, Lafuma et Sellier, en leurs éditions des Pensées…
@ »C’est un peu mince ! Tout ça pour ça … »
j’ai laissé ç commentaires sur ce fil, tous en rapport avec ce livre de J-P. Dubois.
Ce sont les seuls qui concernent le sujet.
Donc pas de partenaire à la pelote sur la RDL !
Préciser toutefois que cette réflexion philo:
« Il ne faut jamais se tromper de vie. Il n’existe pas de marche arrière » n’est pas exprimée par le père du personnage principal.
j’ai donc laissé 10 commentaires sur ce fil.
Et puis petit plaisir personnel, à partager: le restaurant » Wolfie’s » à Miami existe toujours …
https://restaurant-ingthroughhistory.com/2011/03/27/famous-in-its-day-wolfies/
Que peut-on avoir à faire à Miami ?!
Il n’y a pas dans le monde de ville moins intéressante.
Barozzi allait aux Canaries ? Il se trouve que j’y ai une importante base. Nous nous sommes peut-être croisés sans le savoir.
Widergänger dit: 2 septembre 2016 à 22 h 39 min
Mais le -e- de Josèphe, c’est du bidon ; en réalité son nom c’est :
יוסף בן מתתיהו הכהן, Yossef ben Matityahou HaCohen. Pas de -e- en hébreu.
C’est un Cohen. Moi, je suis un Lévi.
–
Combien reste-il de Zabulon ?
Chaloux dit: 2 septembre 2016 à 21 h 59 min
Alba, je te signale QU’IL FAIT NUIT!
–
C’est qu’il brille tellement, Chaloux, qu’il ne peut pas s’en rendre compte.
Widergänger dit: 2 septembre 2016 à 20 h 44 min
La symphonie n°8 de Chostakovitch par I. Mravinsky. Sublime.
–
Il brille et il est drôle.
Attali au tombeau et moi au dodo.
Usque cras, cari mei ! Plurimum valete totos.
…
…pour moi,!…
…çà reste quand même horrible cette photo avec ces arbres alignés de trop,!…
…
…Monet Derain G.Braque y savent y faire sans photos,!…une balade aux champs,!…
…
…prendre pieds aux milieux des insectes de tout genres,!…scribes et grillons,!…
…
…juste un plan de ci, de la, à l’Ô de là, des culs en l’air,!…choisir son lot, même des châtaignes à l’oseille, plus avant, au dieux du cul,!…pour en rajouter à l’exergue,!…etc,!…
…à mes châteaux, Oh,!Oh,!,…
Angelo, fixette sur la photo des arbres ? Vous avez raison ! Le canal de Bruges regardé par le mauvais côté de la lorgnette. Le photographe préfère les plongeurs bédouins aux béguines.
DUFAUX, QUALITE FRANCAISE
Le scandale, qui éclot enfin, des faux meubles vendus pour des millions d’euros par de peu scrupuleux antiquaires aux établissements qui vivent, comme le château de Versailles, de l’argent public est un enchantement mafieux pour qui adore le pourrissement des mammifères humanoïdes les mieux habillés, les plus cultivés, les plus propres sur eux …. Joie ! Rentrez dans le l’Art, messieurs du guet !…
JC, vieux comme le monde. Les antiquaire sont comme leurs chaises, une patte sur trois est fausse.
Que les antiquaires soient des voyous parfumés à l’eau bénite de l’Art du faux, je veux bien.
Mais qu’ils nous prennent nos sous par le truchement complice des gestionnaires de l’argent public ! … ça… c’est insupportable.
Il ne faudrait pas oublier qu’Ezra Pound a payé l’addition, ce qui n’est pas le cas de tant d’autres que les « bienpensants » sous influence ne stigmatisent pas: industriels, intellectuels, artistes, fonctionnaires, etc., etc. Banale ignominie…
Mais regardons plutôt une particularité curieuse offerte par le panorama de cette même époque: les juifs et le fascisme. Je l’ai plusieurs fois dit ici, il me semble cependant utile rappeler que la communauté juive italienne fut, un bon moment durant, plutôt favorable au fascisme; que Giorgio Sarfatti, président de la société sioniste italienne, fut un soutien mondain et économique de Mussolini; que son épouse, Margherita Gassini Sarfatti, fut une importante théoricienne du fascisme, et que théories bien à part, et cerise sur le gâteau pour une juive, on lui doit l’injonction faite aux juifs italiens: « Ou avec Rome ou avec Jerusalem », en d’autres mots, « s’aligner ou partir » — si on pense que la communauté juive est présente en Italie depuis la République romaine, on mesure l’impact de l’injonction!
Ce n’est pas la seule particularité curieuse qui anima le panorama au cours de ces années-là. Heidegger, par exemple, je le trouve vraiment exemplaire, voyons: catholique, il deviendra protestant afin que sa carrière académique prenne de l’ampleur — quelle envergure cet homme! Bon, c’est vrai qu’il y en a qui jouissent de drôles de dispositions d’esprit, mais c’est aussi vrai que même si toutes les superstitions se valent, il y a dans le catholicisme des questions doctrinales incompatibles avec les protestantisme-s — et vice-versa. Or, on s’attendrait à un minimum de rigueur intellectuel chez quelqu’un qui serait censé savoir que l’on branche le cerveau avant d’entreprendre une quelconque action. Certes, on peut comprendre que la perspective d’une brillante carrière ne doive souffrir de l’encombrement de vains obstacles doctrinaux, et que de ce fait, bien que cela soit difficile à croire, l’ineffable tricoteur aurait mis son cerveau en veille. Mais, puisque l’agnostique que je suis aime penser que pour un croyant sincère l’orientation religieuse n’est pas un élément décoratif que l’on peut oublier sans peine, la question des incompatibilités doctrinales reste, et il me plairait connaître la solution conceptuelle que ce tricoteur a concocté afin de se justifier « devant l’Éternel »…
Et pour conclure, Ezra Pound: « The whole fight is for the conservation of the individual soul ».
Voilà que je suis en attente de modération!
« Les gestionnaires de l’argent public » ont bien pu être verolés par leur commerce avec ces pommes pourries. Ça aussi c’est vieux comme le monde, dear JC. Et puis, Versââilles..
qu’est- ce sans plus un roi pour menacer de galères la ripaille ?
Oui le Renato de 8.00 heures est en retard. Prenez plutôt l’Orient express, passe plus sûrement les frontières
Il y eut l’horloge parlante… maintenant avec JC, c’est l’andouille parlante !
Les antiquaire sont comme leurs chaises, une patte sur trois est fausse.
pourvu qula bonne soit en vrai braquemart..
keupu fait le grasdouble
phil a lachment laissé tombé dracul hier soir..c’est là qu’on voit les vrais amis
Vous faites du Renard (jules) sans le savoir ? Jean; l’essentiel n’est pas d’être heureux mais plutôt que les autres ne le soient pas.
..en leur laissant la faute..c’est comme pablo qui fait chier dracul..
Vous faites du Renard (jules) sans le savoir ? Jean; l’essentiel n’est pas d’être heureux mais plutôt que les autres ne le soient pas.
..en leur laissant la faute..c’est comme pablo qui fait chyer dracul..
..halors que dracul a bien vu qu’hattali veut rien que notre bonheur lui
@Giovanni Sant’Angelo dit: 3 septembre 2016 à 2 h 22 min
Votre aversion pour cette photo est recevable. Chacun, la regardant éprouve quelque impression différente. J’essaie de me mettre dans l’œil du promeneur Marc Riboud, de son étonnement face à ce vertige d’arbres et de reflets, de son bonheur de cibler cette portion de paysage permettant d’oublier le paysage pour se fixer sur une variation de verticales, de pans les traversant avec leur rythme d’ombres et de lumière, avec cette confusion entre ce qui est réel : l’arbre et ce qui est trompeur : le reflet.
Il m’est arrivé, parfois, au bord de l’eau d’être trompé par des reflets, de ne plus distinguer la rive.
Ici, j’oublie les arbres et le plan d’eau pour rencontrer une écriture, un dessin.
Mais je comprends que cette photo puisse vous mettre mal à l’aise. Elle nous fait porter des œillères. On ne peut voir au-delà, ni à gauche, ni à droite, ni en haut, ni en bas. On ne peut voir le photographe, le lieu d’où il prend cette photo, savoir ce que sa marche lui a réservé avant, ce qu’il verra, après. On est dans son œil. Captif.
Vos interventions, dans cet espace, sont très particulières. Il y a un mystère dans votre écriture fragmentée, laissant surgir, dans les blancs entre les mots, des colères, des joies, des soupirs. C’est très musical.
Magnifique histoire de faux meubles de Versailles.
Fausses chaises, fausses tables, mais vrais euros.
A propos de chaises , bancales ou non
Wenn eine frau von Sehnsucht schwitzt
Möchte ich den Stuhl sein
Auf dem sie sitzt
j’ai donc laissé 10 commentaires sur ce fil.
Ce sont les seuls qui concernent le sujet.
Mes félicitations pour ce qui s’assortit à une téméraire prouesse. Une fois n’est pas coutume.
Cristiane, Jacques Henri Lartigues disait qu’être photographe c’est être présent , d’autres diraient que c’est être témoin ce à quoi j’ajouterai que c’est un art du cadrage et du découpage servi par un regard .
וסף בן מתתיהו הכהן, Yossef ben Matityahou HaCohen. Pas de -e- en hébreu. (Widergänger)
Dans « hébreu », moi, je vois au moins deux « e ». Mais c’est qu’il vous soutiendrait n’importe quoi, histoire d’avoir raison.
Jacques Henri Lartigues disait qu’être photographe c’est être présent
Sûr que s’il est absent, ça ne facilite pas les choses. Où qu’il est, le photographe ? — Je sais pas, mais pas derrière l’appareil en tout cas.
Jean il arrive d’être présent comme absent, ne pas y être et ne rien voir de ce qui justement mérite la photo.
jean, l’hébreu ne note pas directement les voyelles , mais seulement par des signes diacritiques et hébreu est la transcription française. On écrit « ivrit »…
berguenzinc dit: 3 septembre 2016 à 9 h 41 min
jean, l’hébreu ne note pas directement les voyelles , mais seulement par des signes diacritiques et hébreu est la transcription française. On écrit « ivrit »…
Mais dites-moi, est-ce qu’on ne tiendrait pas là le point de départ d’un roman célèbre : « La Disparition », de Georges Perec ? Point de départ croisé avec celui de l’histoire personnelle de l’auteur de « W ou le souvenir d’enfance ».
bouguereau : dracul 252, on approche du record
bah, lesseules réflexions intelligentes sur l’art photographique est la Nouvelle Encyclopédie de la Photographie de Michel Frizot et les textes de Denis Roche…le reste…prout
Jean dit: 3 septembre 2016 à 9 h 44 min
remarquable intuition….vraiment…je n’y avais jamais songé. Merdre, c’est génial. Prc tait Juif n plus. Ça srit à crusr.
la cheffe de meute magnagna se réveille toxico-létale à 9h31, la bave aux babines…
Mais ces commentaires ne lui sont pas destinés.
_________________________
Play again.
p.149
http://www.dailymotion.com/video/x2ej6mi_anita-ekberg-dans-la-fontaine-de-trevi_shortfilms
Point de départ croisé avec celui de l’histoire personnelle de l’auteur de « W ou le souvenir d’enfance ». (moué)
« e », c’est la voyelle blanche, la voyelle fantôme, voyelle du féminin, la lettre de la mère.
« Jacques Henri Lartigues disait qu’être photographe c’est être présent »
C’est en effet une des réflexions les plus khonnes que j’ai jamais entendu !! Mais comme le dit le très regretté Bernard Blier « C’est pas parce qu’on a rien à dire qu’il faut fermer sa gueule ».
Merci en tous cas pour cet apport au Dictionnaire du grand Gustave.
Et à La Palisse, qui étant absent n’était pas présent. Impayable !
Point de départ croisé avec celui de l’histoire personnelle de l’auteur de « W ou le souvenir d’enfance ». (moué)
« e », c’est la voyelle blanche, la voyelle fantôme, voyelle du féminin, la lettre de la mère. (mmmoui)
Si l’on prend cela en compte, « La Disparition » cesse d’être simplement un amusant exercice de style oulipien pour résonner en nous comme la poignante confidence d’un homme hanté par la plus cruelle des disparitions. Inutile d’insister sur le sens secret du livre qui suivra : « les Revenentes « .
christiane dit: 3 septembre 2016 à 9 h 27 min
@Giovanni Sant’Angelo dit: 3 septembre 2016 à 2 h 22 min
Votre aversion pour cette photo est recevable. Chacun, la regardant éprouve quelque impression différente.
Ben oui, ma cocotte, ch’est comme cha…rhalala les goûts et les couleurs , cha n’che dichcute pas.
Le regard ne peut être que subjectif. La réalité existe-t-elle sans qu’on la regarde? Et si oui, est-elle différente de ce qu’on en perçoit?
Voilà de beaux marronniers « philosophiques ». Et puis alors que c’est original !
bergueune c’est l’photographe cochon à l’ancienne..y met pus dpeloche dpuis lontemps
« Jacques Henri Lartigues disait qu’être photographe c’est être présent »
havec rafale et un ssd on peut havoir son être là disponibe aussi pour une bière hou deux
havoir son être là disponibe (bouguereau)
Ouh là, ça sent son Heidegger ou je ne m’y connais pas ; sans compter la bière. Gare Widergänger !
JC, l’andouille paralnte ; bouguereau, le pochtron radote, c’est du pareil au même
Jean Ping s’autoproclame président du Gabon. Avec un nom comme ça, ça va faire pong.
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