Dubois, qualité française
La qualité française, on voit bien que cela a pu être au cinéma depuis l’après-guerre. Il y eut les films de François Truffaut, puis ceux de Claude Sautet, les uns et les autres frappés de ce label, noble ou indigne selon les points de vue et surtout le ton avec lequel il est prononcé. L’expression est née d’ailleurs à la suite d’un article retentissant de Truffaut en 1954 dans les Cahiers du cinéma « Une certaine tendance du cinéma français » dans lequel il dézinguait Autant-Lara, Delannoy, Clément, Carné, Clouzot, Clair, Duvivier et surtout les scénaristes-dialoguistes au service de leur prétendu « académisme » Aurenche & Bost (ça les a tués professionnellement pendant de nombreuses années, jusqu’à ce que Tavernier les réhabilite). Au cinéma, on connaît et avec le recul, on se réjouit que cette qualité française ait existé. Ce pourrait être un label « »NF » » (norme française) comme on en trouve sur les bons-produits-de-chez-nous. Mais en littérature ?
Chacun pourra y mettre qui bon lui semble (Modiano, Quignard, Michon ?…) comme des équivalents en qualité aux Renoir and co. Mais face à Sautet, s’il y en a un qui m’a toujours paru s’inscrire naturellement, c’est bien Jean-Paul Dubois. Non que l’univers de l’un (la bourgeoisie parisienne des années 70 dans ses bistrots, ses restaurants, ses dîners, ses maisons de campagne, ses villégiatures mais aussi ses échecs et ses désillusions) se reflète dans celui de l’autre. C’est juste que le tempo de Jean-Paul Dubois, sa voix, son rythme, correspond à l’idée que l’on peut se faire de romans bien français dans la meilleure acception de l’expression. Question de facture, de tournure, d’esprit, de musicalité plus que de clarté (ah, la fameuse clarté française héritée de Descartes…). Il y a chez lui une douceur, un rapport au temps (du genre à évaluer la vitesse d’une goutte de pluie), une tendresse pour ses personnages, qui font sa signature et laissent des traces chez le lecteur.
Dans Une vie française (2005) (« française », justement), le photographe arboricole Paul Blick semblait appartenir à la rare cohorte des personnages de roman destinés à rester gravés dans le disque dur de notre mémoire. Une histoire personnelle rythmée par les mandats des présidents de la Vème de De Gaulle à Chirac. Il est doté d’une vraie légèreté. On est heureux de l’avoir lu mais une fois refermé, il n’en reste rien, si ce n’est le souvenir d’un instant délicieux. Un humour exquis, qui rend plus soudaine et inattendue la fin si grave.
Pour arriver d’un coup en série, les drames ne relèvent pas pour autant de la série noire. Parce que le récit, le personnage et l’auteur lui-même ont trop de charme pour assombrir. Trop nonchalant pour être vraiment désespéré, trop indolent pour succomber à la tristesse. Avec ce qu’il faut de mélancolie, et une touche de nostalgie, c’est cela qui reste au fond, un charme indéfinissable, et c’est déjà beaucoup, même s’il triomphe au détriment de la profondeur. On comprend que Rabbit en paix (1993) de John Updike soit l’un des romans étrangers qui ait le plus marqué Jean-Paul Dubois.
Les impressions provoquées il y a une dizaine d’années par la lecture d’Une vie française, puis par le Cas Snejder, sont du même ordre que celles suscitées ces jours-ci par son nouveau roman La Succession (240 pages, 19 euros, éditions de l’Olivier). Charme… légèreté… mélancolie… humour… Et le goût d’une certaine Amérique. On y suit un homme du nom de Paul Katrakilis, dans sa folle tentative de se débarrasser d’une malédiction familiale. Quelque chose de l’ordre d’une fatalité génétique : la volonté d’en finir. Entendez : une longue chaîne de suicides.
« Il ne faut jamais se tromper de vie. Il n’existe pas de marche arrière » aimait à lui répéter son père.
Il aime la vie pourtant. Surtout la vie d’avant semble-t-il. Du genre à écouter ronronner des voitures de collection, la Triumph notamment. On en connaît qui murmurent à l’oreille des chevaux ; lui est plutôt du genre à s’entretenir avec sa tondeuse à gazon (une Briggs & Stratton, tout de même, les connaisseurs apprécieront). Il a une âme de bricoleur. C’est dire que ce Paul ressemble à Jean-Paul. Un homme libre depuis qu’il a su se rendre propriétaire du temps, du moins le sien. Aussi décalés l’un que l’autre.
Il est vrai que la famille en question est si perturbée qu’elle en est perturbante. La famille, ce qu’on ne choisit pas. Ici, ce qu’on subit. Des grands dépressifs mais dépourvus de sens du tragique. On ne s’ennuie pas avec eux. Tous plus ou moins médecins de grand-père en petit-fils. Le grand-père débarqué de Russie a même réussi à ramener une lamelle du cerveau de Staline dans ses bagages. Sauf que notre héros, lui, quoique diplômé de médecine pour ne pas faire mentir l’atavisme, un rien immature, a la sagesse de se tirer de Toulouse après avoir appris le métier de pelotari au pays basque. Car c’est aussi un métier. Il a décidé de vivre de sa passion de la cesta punta en s’inscrivant dans le circuit des pros au World Jai-Alai de Miami qui cognent sur le fronton, et escaladent les murs pour rattraper une balle, pour un salaire tandis qu’autour d’eux des Américains déchainés lancent des paris insensés sur les performances et l’issue des parties.
C’est spectaculaire à souhait. Parfois violent mais dès qu’il en sort c’est pour flotter délicieusement dans le territoire de l’éphémère. Quelque chose en lui de Bartleby. Quand il ne joue pas, préfèrerait ne pas. Les quinielas sont rapides, brèves, intenses. La balle défonce parfois la chistera à 300 kms/h. Le public est très business/business, bigarré, poisseux, hurleur, véreux, on ne lui achèterait pas une voiture d’occasion, mais qu’importe. Vivre pour jouer et jouer pour vivre, il en rêvait sauf que lui, c’est vraiment le goût du sport pour le sport, l’art pour l’art. A ce niveau-là, la passion pour un sport devient un mode de vie, ce que Dubois rend remarquablement, sans forcer la note. Il y a en lui quelque chose d’une force intranquille.
A la faveur d’une grève pour obtenir une amélioration de leurs conditions de travail, il perd tout. Retour à Toulouse, case départ, un rien désenchanté ; il pourra toujours y faire de la voile et barrer son bateau tout en suçant des Fisherman’s Friend. D’autant que son père n’est plus. Il a sauté du troisième étage, mais pas comme n’importe qui : mâchoire scotchée (surtout éviter la tentation de crier) et lunettes solidement fixées (surtout ne pas rater le spectacle de sa propre mort). Il faut liquider la succession, reprendre le cabinet, ce qui ne se fait pas d’une main d’osier fut-elle douée. Dans la maison du défunt, ça sent encore la mort. Dramatique mais jamais morbide.
C’est que l’auteur a de la tenue en toutes circonstances, dans la vie comme dans son écriture l’une n’allant pas sans l’autre ; quelle que soit la circonstance, outre son goût de l’absurde bien tempéré, il y met la touche d’humanité qui change tout. Cette fois, il fait plus sombre à l’intérieur de lui que dans ses autres romans. Un rien de gravité probablement. Il est vrai que la succession n’est pas qu’une question d’héritages en toutes choses mais aussi de répétitions. Tout revient de retours en retours. Mais comment éviter la malédiction familiale qui finit par le rattraper malgré tout ?
(Les photos sont de Marc Riboud/ Droits réservés. Elles sont sans rapport direct avec le thème du billet, encore que… C’est juste une manière de saluer ce grand photographe qui nous a quittés aujourd’hui à 93 ans).
1 793 Réponses pour Dubois, qualité française
Cher Grand Rappel.
Ebaubi devant votre esprit torrentiel, votre style si varié, vos cibles si diverses, j’ose à peine vous suggérer de passer mes commentaires, si vous ne les aimez pas.
Le reste relevant du secret de polichinelle, croyez naturellement à mes sentiments choisis.
1392 commentaires dont 78 trustés par wgg
Il est temps d’effectuer un iwwg!
Un iwgg!
Le manque de délicatesse des hommes politique; Cahuzac accuse un mort en déclarant à son procès :
« Le compte a servi à financer une activité politique pour soutenir Michel Rocard »
Sergio dit: 5 septembre 2016 à 23 h 14 min
Jean Langoncet dit: 5 septembre 2016 à 22 h 09 min
Sacrés éléphants, ils n’ont pas seulement bonne mémoire …
Les chercheurs se sont intéressés en particulier à l’éléphant, dont le goût pour l’alcool est connu depuis fort longtemps. On raconte de nombreuses histoires à propos de troupeaux entiers faisant bombance dans des dépôts de céréales et se livrant à des orgies de fruits fermentés.
Nom de Dieu c’était mon fétiche l’éléphant ! J’ai le droit alors… Quand y a une esseplication ça reicht aus nichteware ?
Défense d’y voir un blanc seing
les babars n’auront pas le dernier mot
Ah, c’est un petit malin, Cahusac. Un génie même. Profiter d’un mort, faut le faire ! En plus, il dit bien sûr que ce pauvre Rocard n’était au courant de rien… Je crois que Cahusac, c’est nouvelle incarnation de Lucifer, rien de moins…
Cela pourrait inspirer Sarkozy pour sa défense : c’est pas moi, c’est Rocard !
« Cahusac »
CahuZac, WGG, avec le Z de Zorro.
Comme si truster un blog avait un sens ! C’est fou comme les insensés de ce blog émettent sans arrêt des propositions dénuées de signification, comme dirait Wittgenstein… Non, ça n’a vraiment aucun sens de parler ainsi.
Ou le sel sens que ça ait, c’est que le wgg en question est 78 fois plus intelligent que les autres. C’est le seul sens d’une telle proposition. Ce n’est pas le sens que vous y croyiez, mais il vous a échappé. C’est dire sa richesse en vérité, c’est « warheitreich », comme dirait Heidegger…
Widergänger dit: 5 septembre 2016 à 23 h 28 min
« Ou le sel sens que ça ait, c’est que le wgg en question est 78 fois plus intelligent que les autres. »
Encore un pompon. Toutes dix minutes le pompon.
Alba, fabricant de pompons.
T’es pas capable de comprendre. C’est tout.
Est-il possible de poster un rire?
Chaloux dit: 5 septembre 2016 à 23 h 50 min
Est-il possible de poster un rire?
Hell it was and still is
https://www.youtube.com/watch?v=bHOHi5ueo0A
Tu ferais mieux d’aller lire le dernier bille d’Attali : »Nous mourrons de nos éclats de rire ». Fais gaffe, tu risques d’y passer.
Widergänger dit: 6 septembre 2016 à 0 h 23 min
Là, c’est toi. Pas de pompage, pas la première bêtise qui te passe par la tête. Toi.
Toi tout seul.(Et toi tout seul, c’est pas grand-chose).
A la recherche d’un lien entre Edmund WHITE et PALE fire, je suis pour l’heure plongé dans un abime d’obscurité digne d’un polar de Jeremy Black.
« Je préfère Merkel et son humanisme à ces politiciens français bateleurs d’estrade qui font assaut à la tv pour stigmatiser quelques femmes qui se baignent en burkini. » (Popaul, 20h26)
La vieillesse est un naufrage : elle vous transforme un humaniste amoureux de la vie en idiot utile du Califat, un complice de la radicalité politico-religieuse …
Triste !
Arriver à ne pas voir plus loin que le bout de son nez, le comble pour un intellectuel qui, au minimum, pense un peu plus que le crétin de base …
Faire un IWWG, faire un IWWG, je n’ai rien contre lorsque l’embryon est âgé de quelques semaines…. mais là ?!… la donne change !
« Dans un livre paru jeudi dernier, l’écrivain Tahar Ben Jelloun analyse le rapport à la femme partagé par les franges les plus extrémistes de l’islam comme « un problème de sexualité non résolu ».
C’est pour cela que les islamistes rigoristes disent qu’on doit la couvrir, l’empêcher d’être libre, de se montrer… »
Il exagère le pote à Passou ! franchement le sixième couvert chez Drouant lui a fait perdre le bon sens d’un Paul Edel !
…. Ah, ces Marocains qui parlent sans savoir …uhuhu !
C’est simplement la façon qui convient à ta médiocrité de te rassurer sur ta médiocrité.
Nam qui maledicit et vituperat, quanto id acerbius facit, tam maxime ille pro iniquo inimico ducitur, et plerumque propterea fidem non capit.
Médite, mon pauvre chéri comique et incompétent, médite !
C’est bien pire que ça, et ce n’est pas seulement, hélas, les islamistes rigoristes qui sont ainsi, mais le plus banal des musulmans. Il s’agit d’empêcher la femme de penser, de se cultiver, de s’ouvrir au monde. C’est bien plus effrayant que ne le suggère dans cet extrait Tahar Ben Jelloun. Un livre récent à lire à ce sujet qui était l’invité de la Grande Librairie l’autre jour. Un livre qui m’a fait frémir d’horreur, par un ancien chanteur du groupe Zebda, de Toulouse, Magyd Cherfy :
— Ma part de Gaulois, Magyd Cherfy, Actes Sud, 258p 19,80€
Un livre à lire et à méditer.
Ce n’est pas la peine d’aller chercher si loin ! Toulouse, tu te rends compte, c’est le bout du monde… !
Il suffit de lire l’Alcoran : écrit noir sur blanc, sourate IV LES FEMMES. Paroles divines que tout adepte doit suivre à la lettre depuis le 7ème siècle…
…. et les tarés de NO BORDERS, les ravis de la crèche divers et avariés, les humanistes complices, les féministes muettes, qui chuintaient avant les viols en Germania, ouvrant la porte : « WILKOMMEN ! WILLKOMMEN ! »
Il ne manque plus que 79 millions d’Ottomans en Europe pour que le bal costumé soit une réussite totale …
As-tu compté le nombre de viols ? As-tu compté le nombre d’entrants ? Qu’en as-tu conclu ?
Un seul viol, bien sûr, est une horreur absolue.
As-tu compté en Europe le nombre de femmes maltraitées par des européens en une année ? As-tu comparé les chiffres : femmes européennes maltraitées par des Européens/femmes violés par des migrants entrants. Quels sont les chiffres et les proportions ? Qu’en as-tu conclu ?
« … moi qui ai vu mourir ma chienne, je suis très réservé sur ce que dit Heidegger à propos de la non conscience de la mort chez les animaux. »
« Les animaux aussi ils ont un art, mais ils n’écrivent pas de livres. » E. Satie cité de mémoire.
Cela dit, Heidegger n’était qu’un animal très spécialisé, intelligence courte, donc, et conscience du monde zéro.
Mon cher Wiwi, ne compte pas sur moi pour jouer avec un type comme toi ainsi que le font Pablo, Chaloux et d’autres, dans le but honorable de te procurer un peu de jouissance.
On ne discute pas avec une mule savante ! Que dieu te prenne sous son aile : je ne vois que lui pour t’aider à être meilleur.
« La vieillesse est un naufrage »…
La sentence gaullienne (empruntée à Chateaubriand?) est tellement ressassée ad nauseam, tellement découplée de son référent initial (Pétain, le vilain vieillard) qu’elle se réduit désormais à une expression toute faite, un souverain poncif, un syntagme figé qui place d’emblée son utilisateur dans la catégorie des poids lourds du psittacisme calcifié.
« … s’agit-il d’un monologue en spiral de Thomas Bernhard ? »
Thomas Bernhard: spira mirabilis.
Tu vois javert, je sais te mettre une douille, en douceur.
Excusez ma spécialisation réduite, quelqu’un pourrait-il renseigner le terme et l’usage du vocable » douille » en ces circonstances langagières, est-il fait allusion à un sex-toy, un suppositoire ou l’emploi n’est-il que le figuré d’une pratique qui dirait des choses desquelles les esprits bons se gardent sauf en cas de légitime défense? J’envie la belle assurance décomplexée de l’auteure de cette remarque circonstanciée.
Ce vieux Bloom !…….
psittacisme calcifié
une géode, un mal de Pott.
Ce vieux Bloom ! … un perroquet anglican, aux couleurs du socialisme fané, loin de tout, le pauvre !
WGG, il me semble avoir reconnu la voix de votre ami, Jacques Attali, hier sur radio classique captée entre deux ennuis, dire qu’il était plus difficile de vivre son identité musulmane en France et aujourd’hui que d’être juif.
Si Heidegger a une conscience du monde = 00, quelle est donc celle d’un renato ? On aimerait bien savoir.
Oui, c’est sûrement vrai. Mais qu’avez-vous compris que voulait dire au juste Attali en disant cela ?
Lisez le livre de Magyd Cherfy. Vous verrez combien ce que dit Attali peut se comprendre de bien des façons très opposées, très paradoxales, très contradictoires, selon qu’on est un garçon ou une fille.
Ceci dit, JC, je ne sais pas pour quel socialiste je voterai et espérons que nous soit offert un choix et pas une obligation qui demanderait dérogation mais de l’autre côté, quoi, quoi de différent ou mieux quand on n’est pas nanti, rentier, entrepreneur, capitaliste, riche ou nationaliste utopiquement protectionniste?
Oui, c’est sûrement vrai. Mais qu’avez-vous co.mpris que voulait dire au juste Attali en disant cela ?
Lisez le livre de Magyd Cherfy. Vous verrez c.ombien ce que dit Attali peut se c.omprendre de bien des façons très opposées, très paradoxales, très co.ntradictoires, selon qu’o.n est un garço.n ou une fille.
WGG je l’ai entendu brièvement , le journaliste lui tendait les actes antisémites commis à quoi il répondait ainsi, cherchez le pod-cast, fin d’après-midi sur radio classique le 05/09/2016.
Allez plutôt lire le dernier article d’Attali. Il ne s’agit pas seulement de voter mais de restaurer le débat démocratique en France qui n’existe plus. Il s’agit d’interroger nos responsables politiques sur leur programme et de les mettre devant leurs responsabilités.
Ce n’est pas seulement se déplacer un dimanche entre le café au lait du matin et le camembert du midi en faisant son « devoir » qu’on renouera avec le débat démocratique.
Il a raison Attali. Son billet de plus est un très beau texte. On dirait du Cicéron ou du Bernanos. En pleine forme avec sa grippe !
Popper rappelle que l’intellectuel, sachant qu’il occupe une position privilégiée, devrait écrire simplement et avec clarté, en évitant les mots compliqués qui ne dont choisis qu’afin de simuler une profondeur et une érudition que dans les fait il ne possède point.
Quelqu’un a cité Gadamer, après les images le link « Hans Gadamer, Kafka und Kramm »
Attali déborde d’activité. Il met en scène La Bohème de Puccini et sort un nouveau livre, Théâtre, chez Fayard. Ce soir il est l’invité d’Olivier Bellamy sur radio classique.
Voilà que le post est parti sans prévenir. Le link Gadamer, donc:
http://blogfigures.blogspot.fr/2010/12/kramms-kafka-kyklus.html
Et vous trouvez que ce que dit Popper entre en contradiction avec la pensée de Heidegger alors ? Heidegger seulement ou beaucoup d’autres penseurs ?
Bérénice,
– vous adhérez au système démocratique représentatif ? vous donnez votre voix à un « représentant élu » par le peuple, il parlera pour vous ? Alors vous pouvez élire n’importe quel bolo, ça ne changera rien au système des castes de nomenklatouristes incompétents ! Il vous trahira…
– vous croyez, comme moi, que le système représentatif actuel est mort depuis longtemps ? Qu’il faudrait une démocratie directe à construire ? Alors vous glisserez une image pieuse dans l’urne nauséabonde et participerez à la vie sociale en vous situant au dehors d’un système vérolé manipulé par les partis et les media.
Les images de Kramm sont tout à fait fascisantes. Je ne connaissais pas.
Mon post « Popper » n’était en aucun cas une réponse à qui que ce soit mais un rappel. Have a good trip…
Il publie aussi avec Pierre-Henry Salfati, Le Destin de l’Occident, Fayard. Un nouveau Déclin de l’Occident ?
Il semble que le livre d’Attali parle exactement de ce dont nous étions nous-mêmes ici en train de parler à propos de Heidegger, à savoir le rapport entre la pensée juive et la pensée grecque. Tombe à point.
renato dans son quant-à-soi, très digne…
Réhabilitation de l’éducation par l’Antiquité, grecque et hébraïque. Apprendre le grec ancien et l’hébreu biblique. Voilà ce que devrait faire une vraie réforme de l’École de la République.
Au lieu de ça : destruction du latin et du grec et des classes européennes à l’heure de la construction de l’Europe ; instauration de l’arabe au primaire. Cherchez l’erreur.
Présentation du livre d’Attali :
http://www.fayard.fr/le-destin-de-loccident-9782213671789
Chaloux dit: 3 septembre 2016 à 23 h 45 min
Je viens d’écouter. Claudio Abado conduit cette neuvième symphonie de Mahler subtilement. Et ce presque silence dans l’Adagio final très lent et retenu… son visage … cette immobilité des musiciens. L’orchestre ne joue plus.. L’attente d’une fin qui n’a pas de fin. On reste suspendus à la baguette et à la main de Claudio Abado jusqu’à ce qu’elle s’abaisse pour ouvrir à la rumeur sombre des violons, des contrebasses, des bois. Final insondable… Magnifique. Merci Chaloux.
Christiane, d’accord avec toi sur cette interprétation de Claudio Abbado…
Chaloux, merci.
Passou, pourquoi en seconde illustration ce plongeon d’un fasciste mussolinien, la main levée ?
« Un homme de 25 ans, « apparemment en pleine crise de démence », a été interpellé hier soir à Courbevoie (Hauts-de-Seine), la tête de sa mère décapitée entre les mains, selon une source proche de l’enquête. » (Figaro)
Beaucoup en ont rêvé, il l’a fait !….
Puisque vous êtes dans le territoire Abbado, Christiane, la Neuvième de Bruckner à Lucerne (aout 2013). Au programme on avait aussi Schubert l’Inachevée, et LvB la Neuvième.
« Beaucoup en ont rêvé, il l’a fait !…. »
Mais c’est très salissant, je suppose, il aurait mieux fait de la traiter par le mépris, l’oublier.
« Au lieu de ça : destruction du latin et du grec et des classes européennes à l’heure de la construction de l’Europe ; instauration de l’arabe au primaire. Cherchez l’erreur. » (Wiwi)
L’erreur ? Mais c’est bien sûr, elle est là … !
La construction de la Nouvelle Europe Caramerkelisée passe par l’étude de la langue arabe dans toutes les classes, y compris dans toutes les Universités, dans tous les Instituts, dans toutes les Ecoles, X, Piston, ENA ….
Allahou Akbar, et Najat est son prophète EN !
Pardon, de LvB l’Héroïque…
« Décapiter…mais c’est très salissant, je suppose » (Renato)
La première fois, certes ! Je pense qu’avec un peu de pratique, on commence à se placer convenablement, le geste est sûr, on est moins nerveux … la routine, quoi !
Passou, pourquoi en seconde illustration ce plongeon d’un fasciste mussolinien, la main levée ?
Diable…Christiane, d’où tirez-vous cette « légende » ? Rhôdes ou l’Erythrée ?
@WGG
quand je lis vos post en latin je pense a l’appréciation que m’avait valu de Piere Grimal un de mes thèmes latins il y a une soixantaine d’années: »la syntaxe est correcte mais le tour est barbare »
On ne connaissait pas encore la tomba del tuffatore (1968) – (interactions entre la Grèce, l’Étrurie et le naissant monde Romain):
http://blogfigures.blogspot.fr/2011/05/il-tuffatore.html
Cela dit, pour des gens qui vivaient le mythe de l’ancien, la posture n’est pas ce qu’il y a de mieux.
Et « le petit double zéro tendant vers l’infini », c’est qui?
Quod Alpha dixi, Alba, mentulatorum
Te nuper, aliqua cum jocarer in charta
Si forte bilem movit hic tibi versus,
Dicas licebit Beta me togatorum.
adaptation libre d’après Martial Liber V, XXVI- AD ALBA
« Cela dit, pour des gens qui vivaient le mythe de l’ancien, la posture n’est pas ce qu’il y a de mieux. »
C’est à propos de la photo dans le texte, naturellement.
@Phil – 10h55
Ben, du Littré :
(foin de…) locut. interj.
Locution familière dont on se sert pour exprimer la répulsion.
« Foin du loup et de sa race ! » [La Fontaine, Fabl. IV, 15]
« J’étais en train de rire ; Foin de la messagère et de son compliment ! » [La Fontaine, Eunuq. IV, 9]
« Foin ! que n’ai-je avec moi pris mon porte-respect », [Molière, l’Ét. III, 9]
« Foin de moi ! » [Racine, Plaid. II, 5]
« Foin de ces terreurs paniques qui n’ont pas le sens commun ! » [Rousseau, Hél. VI, 2]
« Foin du plus parfait des mondes, si je n’en suis pas ! » [Diderot, Neveu de Rameau.]
« Foin des mécontents ! Comme balayeuse on me loge, Depuis quarante ans, Dans le château, près de l’horloge », [Béranger, H. rouge.]
HISTORIQUE
XVIe s.
« Foin de la beste et de celui qui me l’a vendu », [Oudin, Curios. fr.]
Le documentaire de Didier Deleskiewicz sur Fernand Braudel était très intéressant. Merci à vous et à Jean. Je garde cette impression de modestie de la vraie culture et encore une fois de son choix de la durée pour évaluer l’organisation de l’Histoire, la structurer, lui donner sens loin du « roman » de la nation.
Les témoins qui ont pris la parole l’ont fait avec discrétion, simplicité, émotion. Sa fille était remarquable. Beaucoup de classe !
Sacrée DHH,
vous faisiez du latin, il y a 60 ans ? Magnifique !… De combien de prothèses êtes vous équipée, jarnidieu !?
(comme vous dites : » la syntaxe de votre question est correcte, mais le tour est barbare »)
@renato dit: 6 septembre 2016 à 10 h 25 min
Merci, Renato, ce maestro est captivant. Je vais aller écouter cela grâce aux vidéos enregistrées sur internet.
« Je garde cette impression de modestie de la vraie culture et encore une fois de son choix de la durée pour évaluer l’organisation de l’Histoire, la structurer, lui donner sens loin du « roman » de la nation. » (Christiane)
Bardel de merbe ! Nous n’avons pas besoin d’Histoire, des Histoires, de culture, de vraie culture qui n’ont pas de sens dans notre situation : nous avons besoin d’un ROMAN de la NATION, sinon les meilleurs de nos enfants partiront vivre ailleurs, en laissant Palmyre détruite par les Barbares* !
*j’exagère, mais cela reste signifiant …uhuhu !
Christiane, les souvenirs s’entremêlent, il y a une erreur à 10 h 25 min, corrigé à 10 h 39 min.
@JC….. dit: 6 septembre 2016 à 10 h 21 min
de temps en temps un soleil à la Prévert dans tes commentaires tellement moches…
Fleurs et couronnes
« …Et la plus grande la plus belle
Celle qui pousse toute droite sur le fumier de la misère
Celle qui se dresse à côté des vieux ressorts rouillés
A côté des vieux chiens mouillés
A côte des vieux matelas éventrés
A côté des baraques de planches où vivent les sous-alimentés
Cette fleur tellement vivante
Toute jaune toute brillante
Celle que les savants appellent Hélianthe
Toi tu l’as appelée soleil
…Soleil… »
Celle que les savants appellent Hélianthe
Toi tu l’as appelée soleil
j’ai eu une hallucination….j’avais lu Hollande à la place d’hélianthe…..broufffff
L’étant pauvre en monde fréquente en permanence le blog pour compenser sa vie ratée. Le blog devient l’axe de sa vie, il veut absolument y être un dominant, mais pauvre en esprit il a recours au plagiat. Une fois de plus, le dévoilement advient.
Mais DHH, le latin mis dans mon commentaire n’était pas de moi mais d’un philosophe que cite Valère-Maxime. Latin donc un peu tardif. D’où l’impression grimalienne… Tout le monde n’écrivait certes pas comme Cicéron, c’est clair.
@JC….. dit: 6 septembre 2016 à 11 h 40 min
Sacrée DHH,
vous faisiez du latin, il y a 60 ans ? Magnifique !… De combien de prothèses êtes vous équipée, jarnidieu !?
C’est vrai que toi t’as fait la guerre la guerre de 14, JCtounet. T’as cassé du boche !Cela conserve. Nez en moins, on se demande comment un sans dent peut encore mordre.
Claudio Abbado pour JC, c’est le fils de sa voisine du dessus… uhuhuhuh
@ bérénice
Hier j’écoutais Radio Classique à 18h pour voir qui était l’invité de « Passion Classique ». Quand j’ai vu que c’était Attali et j’ai entendu O.Bellamy dire que son actualité était multiple et qu’il mettait en scène « La Bohème » aux Invalides, j’ai coupé la radio.
Comment un type peut être économiste, haut fonctionnaire, Conseiller d’État, banquier, pdg de plusieurs entreprises, administrateur du broker français Kepler Cheuvreux et de la société de biotechnologie Pharnext, essayiste, biographe, dramaturge, romancier, écrivain pour enfants, mémorialiste, auteur de rapports, blogueur, éditorialiste à L’Express, président du conseil de surveillance de Slate, acteur, pianiste, auteur de chansons, directeur d’orchestre et metteur en scène d’opéras?
Réponse: en faisant tout mal.
Donc, pourquoi écouter à la radio un type pour qui la vie consiste à faire plein de choses de façon superficielle, rien que pour mettre plein la vue à quelques naïfs?
Je me rappelle qu’il y 2-3 ans, ayant en version électronique l’un de ses romans, j’ai commencé à le lire. J’ai été stupéfait, croyant que Attali était un type intelligent: j’ai rarement lu quelque chose d’aussi nul, d’aussi niais. C’était du Marc Levy avec un style journalistique.
Mon collègue d’espagnol me dit que le chiffre des bibliothèques municipales de Madrid n’est peut-être pas si significatif que cela, dans la mesure où la lecture sur tablette est plus fréquente en Espagne, paraît-il.
Faut écouter aussi par Bernstein la 9ème de Mahler. Remarquable interprétation, 1971 je crois. L’adagio final…!
Christiane, mes commentaires ne sont pas moches, ils parlent d’une réalité que tu rejettes. Je me demande, attendri, pourquoi puisqu’elle est inévitable, cette réalité du monde des faits.
(… tu préfères le monde des fées, n’est il pas vrai ?…)
@Bloom dit: 6 septembre 2016 à 8 h 25 min
« La vieillesse est un naufrage »…
La sentence gaullienne (empruntée à Chateaubriand?) est tellement ressassée ad nauseam, tellement découplée de son référent initial (Pétain, le vilain vieillard) qu’elle se réduit désormais à une expression toute faite, un souverain poncif, un syntagme figé qui place d’emblée son utilisateur dans la catégorie des poids lourds du psittacisme calcifié.
On peut rénover si ça peut vous faire plaisir : « La vieillesse est une noyade dans une couche culote ».
12h37
Rois des congres, de père en fils …! Double peine : mauvaise heure !
Faudra que le professeur JC m’explique comment on peut avoir un roman national sans avoir d’histoire.
JC est un indécrottable positiviste. Et il croit en plus qu’il pense juste sans autre option possible. C’est triste d’être aussi obtus.
Marcel, pourquoi les titres de tous tes polars commencent-ils par Mon cadavre… ?
Est-ce toi que tu assassines ?
@ Passou
La modération de ce site est vraiment incompréhensible.J’ai un message sur Attali qui ne passe pas, malgré l’absence de mots « malsonnants » et le fait d’avoir fait plusieurs essais en mettant de points partout.
Je ne comprends pas à quoi elle sert, puisque tout le monde la détourne et qu’on peut tout dire en déformant les mots.
Marcel,je vous ferais remarquer que d’un point de vue vétérinaire autorisé, le psittacisme est décalcifIant. On ne peut pas non plus écrire n’importe quoi sur ce blog pour se rendre intéressant.
« La vieillesse est une noyade dans une couche culote ».
—
Un médecin, romancier à succès, nous a confié qu’il avait comme patient un vieil homme qui n’a même pas de quoi se payer des couches-culottes. L’incontinence se traite au linge, en France en 2016.
Pablo, mets une phrase différente au début.
Marcellou,
Le Maréchal Pétain fut un grand soldat au milieu de ses confrères, les bouchers des tranchées WWI : j’y étais !
Il faut lui vouer une saine admiration, ainsi qu’aux amis suivants : Benito la Mâchoire, Dolfie P’tite Mustach aquarelliste de talent, Pinochet les Lunette Noires, Francisco Franco un peu court mais tenace, sans oublier les joyeux Pol Pot l’exterminateur, Stalin goulagiste indiscipliné, Mao Zedong le pédophile heureux, Fidel le gâteux cubain, et autre Arafat, terroriste, Prix Nobel de la Paix !
« La vieillesse est une longue maladie ». Michelet.
Il faut comprendre que le « roman national » c’est privilégier UNE histoire parmi toutes les histoires possibles à partir des mêmes faits …
Deux heures de colle : n’écoute pas en classe !
Jibé dit: 6 septembre 2016 à 12 h 57 min
« Marcel, pourquoi les titres de tous tes polars commencent-ils par Mon cadavre… ? »
Poser la question, c’est y répondre. Dans ce cas, ce n’est pas une bonne nouvelle …
@ Chaloux
« mets une phrase différente au début »
C’est fait, puisque je commenais avant le fait que le texte ne passe pas.
C’est très étrange la modération ici. D’ailleurs P. Assouline devrait dire quels sont ses critères, quels mots sont interdits.
… commentais…
Hé bé ..Hé bé.. déception.. plutôt que « Continuer »,j’aurais dû apprendre à finir! Okay, le rythme,la petite musique…surtout une vision assez standard formatée Minuit,beaucoup d’eau qui mouille depuis un moment sur fond d’humour O….Alors si Passou conseille je vais aller plutôt faire un tour du côté Dubois.
@Jibé dit: 6 septembre 2016 à 12 h 57 min
Marcel, pourquoi les titres de tous tes polars commencent-ils par Mon cadavre… ?
Il faut le demander à mon éditeur. Dans tout contrat qui se respecte, l’éditeur a la prérogative des titres.
Cependant je crois savoir que mon éditeur a été gardien au Père Lachaise.
@D. dit: 6 septembre 2016 à 13 h 03 min
Je vous vais mis au piquet, élève D. Comment se fait-il que vous soyez revenu par la fenêtre ?
avais
« Le Président philippin traite OBAMA de fils de pute » (AFP)
Les clients, même aisés, ne respectent plus leurs fournisseurs, même zélés…
« Le Président philippin traite OBAMA de fils de p.ute » (AFP)
Les clients, même aisés, ne respectent plus leurs fournisseurs, même zélés…
Pétain il a fait UNE chose signalée, en quatorze-dix-huit, mais généralement oubliée ; cela se situe en dix-sept, après l’offensive Nivelle avortée du vingt avril.
D’abord, cela tout le monde le sait, il est appelé au commandement suprême pour enrayer les mutineries, ce dont il se tire avec succès.
Mais ensuite, il réétudie la question du Chemin des Dames, et recommence cette offensive, tout du moins partiellement, mais en tenant l’affaire rênes courtes, millimètre par millimètre par millimètre si l’on peut dire, avec des préparations (mot horrible, certes) d’artillerie précises, contrôlées. Et c’est un succès, les positions sont prises, avec sept pour cent dit-on (les fameux sept pour cent ?) de pertes au lieu des quatre-vingts pour cent en avril.
C’est très étrange la modération ici. D’ailleurs P. Assouline devrait dire quels sont ses critères, quels mots sont interdits. (Pablo75)
La modération assoulinienne n’est pas si étrange que ça, et ce ne sont pas seulement ni principalement certains mots qui sont interdits mais certaines idées et certaines opinions. Cette modération qu’on pourrait rêver impartiale est immodérément partiale. Par exemples les posts de certain petit chouchou, pourtant franchement délirants, et dont Pablo75 n’est pas le seul à avoir dénoncé les délires, sont systématiquement épargnés, bien que souvent d’une agressivité insultante à l’égard de tel ou tel et bien que flirtant souvent avec la loi ( je pense à tel post récent déversant son fiel sur les Musulmans de France).
Un de mes élèves ce matin m’écrit qu’il est faible en français mais que M. Alba lui donne envie d’apprendre. Qu’en sera-t-il la semaine prochaine…? Je vous tiendrai au courant…
Mon cher Jeanjean, arrête la Suze !
1/Ce n’est pas un « flirt avec la Loi » de dire comme Voltaire « Ecrasons l’infâme ! », car aujourd’hui l’infâme n’est plus chrétien ou juif ou bouddhiste : il est musulman !
2/ »Musulman de France » ne veut rien dire, il faut dire « musulman EN France », car dans la religion islamique, il n’y a qu’un seul peuple, et les Musulmans sont créatures de dieu, pas « Musulman DE France » …
Bien à toi
Amitiés à Josette qui a bien du mérite …
L’un de vous peut-il me faire parvenir une photo d’Edwy Plenel, ce c.onnard merdiatique qui se veut califophile, et nous insulte de sa logorrhée de collabo religieux en se prenant pour une conscience, alors qu’on attend toujours sa science !
J’aimerai l’accrocher dans chacune de mes chiottes, cad à la place qu’il mérite ! … JC, Poste restante, Isle de Porquerolles, Var.
aujourd’hui l’infâme n’est plus chrétien ou juif ou bouddhiste : il est musulman !(JC)
Voilà en effet le genre de déclaration que la « modération » assoulinienne ne voit aucun inconvénient à laisser passer.
Noble Jeanjean,
Au nom de quoi, une religion pourrait éviter la contradiction voltairienne qui considère que toute religion est une soumission inadmissible au déraisonnable ?
Voudriez vous, mon bon, éteindre les Lumières qui firent la gloire de notre pays, grâce au courage de nos aïeux … ?!
…. TGR de frédé !
En twit à droite,E.White trouve « feu pâle » de Nabokov un grand roman comique homo.Et encore il n’a pas lu la chronique d’Annelise Roux sur Guiraudie!Extralucide
Visité la page d’accueil du site de Mediapart, qui me paraît fréquentable à tous égards. Ils proposent un abonnement à 11 euros, incluant la possibilité de créer un blog. Je crois que je vais me laisser tenter.
Je suis tenté de m’abonner à Mediapart : le travail que fait un Edwy Plenel est magnifique !
Erreur de pseudo. Rectification.
Je suis tenté de m’abonner à Mediapart : le travail que fait un Edwy Plenel est magnifique !
CahuZac, WGG, avec le Z de Zorro
–
…ou le z de zéro (avant la virgule)
Abu Jissé al Porquerolli ne passe pas !
D. dit: 6 septembre 2016 à 15 h 54 min
hanculer est autorisé, la preuve.
Il y a une raison, c’est qu’on peut pas le faire tout le temps, parce que c’est très fatigant…
Allez, 1000 roupies sur l’ami Luc, déjà Gond Court des Lysséens pour Mille six cents ventres, en souvenir de nos années de prépa & de cette visite mémorable des caves d’Aloxe Corton (Vive la géosaoulograpghie!)
l’Adagio final très lent
…un adagio, quoi…
@Pablo.
c’est bizarre, j’ai essayé trois de faire passer un post dans le repub. du cinéma, il a trois fois disparu. (Pourtant gentil pour tout le monde).
Il serait dorénavant interdit de critiquer Attali dans ce blog? La modération a fait disparaître mes commentaires (pourtant très modérés) sur lui. Je viens d’essayer à nouveau, en prenant toutes les précautions, et ça ne passe toujours pas.
Très étrange.
À moins que ça ne soit Widergänger le nouveau modérateur du blog…
@ Chaloux
Est-ce qu’il y aurait un problème avec le (trop) nombre de commentaires et dans ce cas-là ceux qui sont un peu longs ne passent plus?
C’est amusant ce compteur de commentaires qui avance comme les années. Que s’est-il passé en 1527 ?
il faut pouvoir chanter Attali sur un air d’opéra et ça passe.
@Bloom dit: 6 septembre 2016 à 16 h 15 min
Amusant, Bloom. Nous aurions pu nous rencontrer. Non pas en prépa, mais dans les caves d’Aloxe Corton où les membres du colloque auquel j’assistais étaient conviés. Nous avions même eu un concert de viole de gambe dans ces caves de la part d’une participante ! Sacré souvenir !
Je suis allé lire l’article d’Attali sur son blog. J’ai trouvé ça bien beau, bien gentil, mais on se dit : que n’a-t-il fait tout cela quand il était « aux affaires » (Attali utilise souvent cette expression, « aux affaires », car il est très prétentieux et semble considérer que lorsqu’il était « aux affaires », il a fait le maximum… alors que non, objectivement, il n’a pas mieux réussi que les autres, ça a même été aussi pire sinon davantage. Et maintenant, il donne des leçons de sa tour d’ivoire au lieu de se consacrer définitivement à la musique et de nous fiche la paix !)
Qu’en sera-t-il la semaine prochaine…? Je vous tiendrai au courant…
Oui, on espère aussi que Passou le fera, qui s’est engagé à aller là-bas pour causer du Golem. Mais aura-t-il le temps d’en placer une ? Pas sûr, car en heidegger, il est pas trop sûr de lui. on lui conseillerait d’avoir une maladie diplo ou alors de mett’ des couch’culottes.
@D. dit: 6 septembre 2016 à 16 h 16 min
l’Adagio final très lent
…un adagio, quoi…
Vous n’êtes pas chargé de relever les pléonasmes D. Bon d’accord celui-ci plaît aux nases, mais c’n’est pas une raison !
@Delaporte dit: 5 septembre 2016 à 23 h 20 min
Le manque de délicatesse des hommes politique; Cahuzac accuse un mort en déclarant à son procès :
« Le compte a servi à financer une activité politique pour soutenir Michel Rocard »
Mettez-vous un peu à sa place, Delaporte. Accuser un vivant ? Il risquait de finir comme Boulin ou Bérégovoy !
Eh bien non, Marcel. Ce n’est pas un pléonasme puisque Adagio veut dire « à l’aise Blaise », en dessous il y a Lento et encore en dessous : Largo, et vraiment tout en bas : Larghissimo qui veut dire ultra-lent, considéré comme tempi intermédiaire.
Passons sur les autres tempi intermédiaires.
C’était pour voir qui suivait.
Un post coincé « en attente de modération », son auteur le voit ; Passou le libère quand il revient.
Un post qui disparaît purement et simplement, là c’est autre chose.
Oufle ! Dubois est goncourtisable, on n’a pas bossé pour rien. Heureusement qu’il y a aussi Mauvigner, pour le prochain round de la rdl ?
Cahuzac?
http://xaviergorce.blog.lemonde.fr/2016/09/06/roublard-vivant-spectacle/
Je suis surpris de n’avoir toujours pas été placé par la rdl en moderatio quant’à bill, c’est rageant à la longue, pourtant c’est pas les pléonasmes calcifiés qui manquent ni les paires de bafles.
bouguereau me manque un peu, je dois dire.
Pablo, mon post n’était pas long. je disais simplement que ce que j’apprécie chez ce réalisateur c’est qu’il laisse le temps de regarder les paysage et que l’auteur de l’article devrait aller plus souvent à la ligne.
Cahuzac, un saint homme, a toute mon admiration.
Il a fait – peut on le lui reprocher une seconde – dans le domaine de l’argent sale, ce que nous avons tous fait dans le domaine de l’amour sale, éphémère :
« Les yeux dans les yeux, mon bébé, je te le jure ! je n’aime que toi !!! »
Passou le libère quand il revient
s’il revient… après 1600, on dirait qu’il a déserté, l’en a un peu marre, que tout part en quenouilles, comme à volo.
Ce Rocard, quand-même. Je vous avais bien dit de vous en méfier. Ici-même. La CSG, le RSA, le financement des comptes de campagne. Ils sont géniaux ces démocrates chrétiens de gauche.
Allez-y, Berenice, sans hésitation aucune, votez pour eux.
les yeux dans les yeux avec Cahuz ?… Difficile, a le regard de biais, pas loin des pépètes, vers Vaduz.
« que tout part en quenouilles, comme à volo. » (JJJ)
J’attend Pablito et son prévisible Wiwi bashing :
« Tout part en quenouilles, comme à vélo ! »
Cahuzac veut nous faire croire qu’il a fait de la politique par idéalisme. Mais bien sûr, c’est leur motivation à tous… jusqu’au fin fond des fausses factures et de l’argent sale.
Feu pâle de Nabokov (on voit pas trop ce qu’il y a d’homosexuel là dedans, au moins d’après la fiche de l’éditeur).
« A l’université américaine de New Wye, Charles Kinbote, professeur de langue et de littérature zembliennes, original, misogyne, végétarien, est fasciné par son voisin, John Shade, poète et professeur. Ils se lient d’amitié. Après la disparition tragique de John Shade, Kinbote s’empare du manuscrit que Shade venait juste de terminer, un long poème intitulé Feu pâle. Il se propose de le publier en l’accompagnant de gloses et de commentaires qui en feront un ouvrage de haute érudition. C’est ce poème et l’appareil critique de Kinbote qui constituent le roman de Vladimir Nabokov. Le poème est en lui-même une sorte de à la manière de dont le lecteur trouvera aisément les modèles. Les commentaires sont une satire malicieuse des travaux de recherche et d’érudition tels que les conçoivent la plupart des universitaires américains. Mais, ce qui donne à Feu pâle son caractère romanesque, c’est l’intrigue policière très habilement mêlée à la satire parodique. Le roi du Zembla, détrôné par les révolutionnaires, s’est réfugié aux Etats-Unis où un tueur à gages, Vinogradus, a été chargé de le retrouver et de l’abattre. Aux dernières pages, on verra ce Vinogradus arriver sur le campus de New Wye et, après maintes péripéties, tuer le vieux poète de la balle qu’il destinait au monarque exilé. Seul Vladimir Nabokov pouvait mener à bien un semblable divertissement. Sa connaissance des milieux universitaires américains, sa vaste érudition, son goût pour la linguistique, la botanique, la zoologie, l’entomologie, sa verve satirique et ses dons exceptionnels de mimétisme, tout cela, ingénieusement amalgamé, lui a permis d’écrire un ouvrage qui ne ressemble à aucun autre ».
Cher Chaloux, sur 12 messages chez ma chère Annelise de la RdC (Seigneur dieu, quelle affection j’ai pour elle) … trois -identiques- sont de toi !
fait de la politique par idéalisme. Mais bien sûr, c’est leur motivation à tous.
Oui JC, et qu’est-ce qui les empêcherait d’aller jusqu’au bout ? Marine, peut-être, sans doute, un peu, beaucoup, passionnément ? La seule figue non pourrite du tonneau ? Comment une figue de parole et pourquoi ? Passe les Ponge, Francis…
Le génie du lieu, Marcel. J’y crois dur comme fer – et la plupart du temps dans des lieux « travaillés » par l’homme.
Ce vin, quel régal…!
Merci JC. Mea Maxima culpa. Je n’avais pas vu que la RDC qui ne montait pas descendait. Il serait par trop se.xiste de dire : »Annelise fera le ménage ». Aussi ne disé-je rien.
En 2017, je vote pour Michel Rocard.
la RDC qui ne montait pas descendait…
l’Afrique, au milieu du gué, pourtant il y a des barrages comme sur l’Orénoque.
Marine ? …
On ne résout pas un problème de qualité structurelle défaillante d’un système en changeant quelques têtes, qui prendront les postes comme les bourgeois ont pris ceux des aristos … et ne changeront que la nappe.
Mais le choc peut être salutaire, à défaut d’être la solution ! Le changement sera lent …
Les harbres, on dirait qu’ils sont accoudés à un interminable bar…
Janssen J-J dit: 6 septembre 2016 à 17 h 33 min
En 2017, je vote pour Michel Rocard.
Houi mais pour retrouver des bulletins maintenant…
@ Chaloux
« mon post n’était pas long. »
Alors c’est mon autre hypothèse: Widergänger est devenu le Chef de la Modération. D’où notre bannissement à nous deux.
L’influence d’Alba, j’ai un doute. Peut-être Attali a-t-il introduit un logiciel espion dans le moteur de la RDL.
La peste soit de ce pays qui ne reconnaît pas le talent ! Maudite France !
Allez-y, Berenice, sans hésitation aucune, votez pour eux.
D nous n’avons pas la même feuille d’imposition, la même situation, nos origines diffèrent. Les politiques sont avant tout boostés par une ambition personnelle puis accompagnés tout le long de leur mandat par des pressions qu’exercent financiers patronat syndicats qui comme on le voit ne font pas contre-poids. Les intérêts du pays sont fondus dans un ensemble, D je ne peux pas défendre les intérêts du capital et les « réformes » qu’il attend patiemment du pouvoir des élus . La droite a été longtemps au pouvoir pour démontrer sa capacité à gérer orienter réformer, je ne saisis pas en quoi elle peut séduire socialement les gens de ma catégorie et je ne suis cependant pas satisfaite de tout ce qui se décide ou pas d’ailleurs si tant est que je sois suffisamment informée.
Et j’ajouterai que je ne voterai pas pour Hollande.
Chaloux j’ai la flemme de chercher aussi si vous étiez suffisamment aimable de redonner le, les? liens musicaux en offrande et daté du 3 septembre.
datés, crotte!
LDVB, pensé à vous ce midi, aperçu une femme ravissante et dynamique qui portait des espadrilles.
Chaloux si vous ne manifestez pas plus de générosité au partage je conclurai que vous êtes aussi mal-aimable et pingre que mon ex-employeur et quoique votre culture soit indéniablement supérieure à la sienne, il y a pourtant des managers délicats qui s’offrent des séjours loin de l’entreprise, hélas celui-ci le nez dans le guidon était absolument obsédé par sa mission de rentabilisation, en dehors d’elle un néant où l’on peinait à déceler l’être .
Je viens , pour m’amuser , de relire les poèmes de Nietzsche, à la fin du Gai savoir….qu’est ce que c’est nul…mais alors nullissime.. je me suis bien marré de voir que pour être un grand penseur, on n’en est pas moins un poétaillon mirliton !
Cahuzac est un détritus. Il pratique la nécrophilie financière.
aperçu une espadrille ravissante et dynamique qui portait des femmes juste sorties des bois après y avoir passé des journées entières.
Moi itou, & ça m’a fait penser à javerte, du temps où elle était encore enceinte.
relire les poèmes de Nietzsche, à la fin du Gai savoir…. qu’est ce que c’est nul…mais alors nullissime
à mon avis ils ont été mal traduits par wgg
mal-aimable et pingre que mon ex-employeur
–
on peut quand même savoir de qui il s’agissait ?
Berguie,
Cahuzac est un saint homme ! Tout le monde ne peut pas être Mère Thereza !!! Cahuzac ? une lumière ministérielle, un politique hors pair, hors paires, dirait le bricoleur du Modem, un pion socialiste !
L’image même de l’homme, comme il sera toujours : éternellement imparfait….
D nous n’avons pas la même feuille d’imposition, la même situation, nos origines diffèrent.
–
Nous n’avons pas non plus le même sexe.
il n’y a que notre immense culture et notre grande intelligence qui se ressemblent.
Le roman » Succession » de Jean-Paul Dubois est dans la première sélection Goncourt ?
Alors permettez-moi de porter un toast au French Doctor, le pelotari le plus célèbre de la côte de Floride, j’avais écrit californienne…
Il est peu probable qu’il ait le moindre echo auprès de lycéens français à qui cette première sélection de romans va être donnée en lecture pour déterminer leur Goncourt, tellement ils ont encore du temps- oh, quelques années guère plus- pour mettre leur famille en orbite et quatre années de journées de bonheur, et plus, 60 jours de bonheur, qui est dit : « éphémère »…
Je porte un toast donc.
Vive Toulouse ( quand même 4 goncourables)
Vive la médecine grecque
Vive les voitures genre Ford Mustang année 1967 et couleur rouge, enfin non, vive les Triumph Vitesse, et autres Karmann d’importation avec échappement frelaté
Vive l’Euskadi
Vive l’apprentissage de l’espagnol, méthode assimil, façon Nervioso
Vive Miami et la Floride et le Wolfie’s
Vive le dernier Quagga
et par dessus-tout, le French Doctor y tient beaucoup beaucoup: vive la Norvège
Et caresse, dans le sens du poil, à Watson.
Si le French Doctor passe l’étape suivante et ne reste pas en rade comme Christine A. L’an passé, je porterai un autre toast.
D’ici-là, et c’est peut-être la mission:
Comment dézinguer Régis Jauffret et son épistolerie ( néologisme, venant de épistolaire) pour midinettes affamées et vulgaires, lectorat de psycho-magazine ?
« à mon avis ils ont été mal traduits par wgg ».
Alba est ici le fossoyeur de la culture allemande.
En lice : 5 Gallimard, 2 Grasset, 2 Seuil, 1 Flammarion, 1 Minuit, 1 Stock, 1 R. Laffont, 1 Albin Michel, 1 l’Olivier, 1 Acte Sud.
Les trois premières maisons n’ont aucune chance, la première surtout ! Allez, on prend les paris ?
apparemment la femme aux espadrilles a lu un livre, du coup c’est le « llano en flammes ».
les qu’on s’goure sont de plus en plus convenus.
Comment dézinguer Régis Jauffret
Vous même seule devriez y parvenir sans que cela présente de difficultés, c’est une de vos fonctions naturelles, il y a chez vous une sorte d’incontinence de négativité, une surabondance de suffisance une somme de mépris jamais tarie, une quantité invraisemblable de prétentions à la critique alors que vous n’écrivez pour aucun magazine, une volonté insatisfaite à exposer vos vues , un exhibitionnisme toujours apprêté pour toutes sortes de méchancetés et familiarités indécentes ou injustifiées .
Et si cette année jauffret le Goncourt à mon mari? il aime pas les livres ce gros c.n, il aime rien… si encore il aimer bXiser, mais le cusset pire, c’est dubois ce mec, et l’art? l’arditil ça change pas le monde…il l’ouvre toujours pour dire une connerie.. je lui couperai la lang un de ces jours! mais quel tuil ce mec… Quand je pense que Jablonka voulait m’épouser! et Del Amo, et Slocombe et même Slimani, j’avais mis à mes pieds toutes les nations et j’ai épousé monsieur mauvignier, un français de poitou charente depuis cinq générations! y’a une faye chez moi… je choisis toujours le mauvais canasson… voilà ce que c’est mon mari, un crétin, un bon à rien, pas même capable de faire une Reza sur le site de la sncf, ça nous a flingué les vacances! l’apannahcé ce s’rait qu’il se choppe une maladie, une sévère, une létale, genre crabe du foi…en attendant..en attendant, je vais aller rejoindre Cherfi, c’est le voisin du dessous, un champion du monde de la cabriole…si y savait que je me tape Cherfi… c’est qu’il est raciste en plus, ce sale c.n!
il n’y a que notre immense culture et notre grande intelligence qui se ressemblent.
Non, D, vous savez bien que seul cet écart quand il est comblé peut réunir quand les horizons sont par trop différents, la culture peut se poser en trait d’union ou désunion.
Pourtant, Cahuzac est un joli nom, qui méritait mieux que ça :
De l’occitan Caüsac. Le nom du village de l’Aude est attesté sous la forme Causacum (1293) et celui du Tarn, Causagum (1035) qui résulte de la lénition de Causacum. Ces deux toponymes sont construit à partir du nom d’homme gallo-romain Cadusius, dérivé du gaulois Cadus, avec le suffixe gaulois -acum. Soit la ville/demeure/propriété de Cadusius. (Wiki)
sincèrement, je pense que le bouquin de Jauffret » les cannibales », survolé ce jour, là où l’air se fait plus vif et en avance sur le temps de saison, livre en liste pour le Goncourt est fait pour le genre radasse haineuse, mollusque de forum internet, qui signe benêtrice.
S’cusez, je suis toute à ma joie de » basque ravie »
D à 19h, je ne pousserai pas la confidence jusque là, je cumule assez d’antipathies sans vouloir ajouter à cette somme immatérielle .
S’cusez, je suis toute à ma joie de » basque ravie »
J’en connais qui sont comme dirait sergio, basque hanc.lée. Je n’aimerais pas occuper leur fonction , entre la banque (du sperme) et la nursery de rose_mary.
Pour le reste, le classement, sachez que je vous accorde une totale confiance, vous demeurerez dans ce genre la première, la seule, il faut l’espérer.
Delaporte avez-vous regardé le dessin que je donnais à 17h12?
Les indégivrables sont souvent excellents!
Eh oui, Lavande, mais le Vatican fait désormais plus attention depuis tel ou tel scandale… jusqu’au prochain.
Pour ceux qui vont suive le French Doctor au jaï laï, il y a un portrait qui suscite de la curiosité ( p.50)
http://www.cultures.toulouse.fr/thematique/musees/musee-georges-labit
Le Monde note que dans cette première liste des Goncourt, il n’y a que de « vieux » auteurs, des auteurs « confirmés ». C’est comme toujours : pas de place pour les jeunes, alors que c’était au départ l’esprit du prix.
De toutes façons, je n’aime ni son visage ni ses couilles. L’affaire est réglée. Vire-voltez avec qui vous voudrez.
Mathias Enard n’est pas si vieux et son Goncourt non plus.
Delaporte, il se trouve que ce livre de JP Dubois est un livre de la maturité. Ce n’est pas une notion équitable.
Le juste et l’injuste n’ont rien à faire dans cette jauge . J’imagine que les choix sont à l’estimé du livre fini et que peu importe l’âge des candidats.
French Doctor au jaï laï,
quel beau gargarisme, je vous souhaite tous les admirateurs du monde, vous crachez?
J’avais laissé ce lien le 2 septembre à 14h16, pour ceux de la pelote, et un peu pour les californiens de Miami Beach du jaï laï, aussi.
Plutôt destiné au nécessiteux qu’à un « jeune », l’esprit du Goncourt était social avant littéraire. Son tour nouveau date des années 30. Quelques échanges intéressants chez pauledel delagrappa où personne n’oserait pointer cette cahute à sacs. Fatalement, quinze cents commentaires ça use même les qualités du père Dubois. Bougreau serait-il rentré à l’école ? Primaire ou tertiaire ?
« Fatalement, quinze cents commentaires ça use même les qualités du père Dubois. »
fatalement, quand on compte dans les commentaires, à ce jour, que deux qui ont lu le livre.
Pas vrai Sergio, que les gouttes de pluie arrivent au sol à vitesse constante ?
Phil , pauvre Dubois autour duquel la guerre fait rage, il ne l’a pas mérité et vous faites bien de le rappeler avec diplomatie, tact et grande intelligence.
LDVB si vous étiez une élève vous seriez récompensée par les félicitations du conseil d’établissement. Qui est le la deuxième?
la radasse me pèse, javert. Propose lui la botte, je ne suis pas lesbienne.
Non seulement vous ne savez plus quoi inventer mais vous êtes sexiste, vous ne répondez qu’aux hommes? Je ne suis tentée que par l’esthétique des femmes, c’est comme un paysage qui s’offre au regard, les hommes d’ailleurs peuvent se présenter comme des tableaux. Le sexe ne m’intéresse pas non plus.
Pauledel est le deuxième lecteur, mais c’est un ombrageux avec lequel la discussion tourne court. Loin d’être un défaut ici où le plateau du considérable passou ressemble à celui du regretté Pollack.- peut être un aile de trop-
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