de Pierre Assouline

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La République des livres
Eautobiographie d’un nageur passionné

Eautobiographie d’un nageur passionné

Un écrivain n’est jamais requis d’écrire ses œuvres complètes. La parution d’un seul livre peut lui assurer une gloire durable à condition que ce soit le livre de sa vie. Le seul et l’unique qu’il désirait plus que tout laisser derrière lui avant de se retirer. Comme un ultime témoignage de son passage en forme de bonjour et d’adieu à la fois. Ainsi du Dernier des Justes d’André Schwartz-Bart et de quelques autres. Et dans un tout autre registre de Héros et nageurs de Charles Sprawson (Karachi, 1941- Londres, 2020). Un livre-culte parmi peu d’autres mais l’expression est si galvaudée que l’on s’en veut déjà de le banaliser ainsi. Car c’est le genre de texte susceptible de provoquer un émerveillement chez ses lecteurs ; leur enthousiasme est tel qu’ils s’en font volontiers les agents de propagande. Et non, tous ne sont pas des nageurs compulsifs qui hantent piscines et bords de mers dès l’aube. Juste des passionnés de littérature et d’histoire car c’est aussi de cela qu’il s’agit malgré les apparences.

Paru à l’origine en 1992 à Londres sous le titre tout aussi poétique de Haunts of the Black Masseur. The Swimmer as Hero, puis en français dans une traduction de Guillaume Villeneuve aux éditions Nevicata en 2019 (et en format de poche dans la collection Champs), c’est un texte aussi scintillant que sa couverture. Il faut oublier la citation assez pessimiste d’un personnage du film Quai des brumes que l’auteur place en épigraphe (« Quand je vois un nageur, je peins un noyé ») pour mieux s’y plonger. Encore que l’on y croisera un Goethe hanté toute sa vie par le souvenir de noyés pour s’être senti responsable de la mort d’une femme qui s’était laissée couler, désespérée par sa lecture des Malheurs du jeune Werther. Au vrai, ce livre regorge d’informations, de coups d’œil, de choses vues ou lues qui enrichissent comme peu d’autres notre intelligence de la natation sous ses facettes les plus inattendues.

L’auteur y dépeint les Anglais du XIXème siècle comme hostile à cette activité, la jugeant inappropriée pour un gentleman bien né car elle se pratiquait nu. Il n’est pas surprenant qu’il leur fasse la part belle car ils sont aussi ceux qui ont inventé aussi le premier cercle de natation national, la Swimming Society par les soins d’anciens élèves d’Eton en 1828 ; ils donnèrent même naissance au « style d’Eton ». A savoir : tous dans les pieds, rien dans les mains. Mais il n’y en a pas que pour eux. On comptait quelque huit cents piscines dans l’ancienne Rome ; à sa chute, la capacité de séduction de l’eau chuta également. Dans les années 30, les meilleurs nageurs mondiaux étaient japonais. Après avoir modernisé l’antique art samouraï de la nage, ils ont dominé la discipline avec une inventivité stylistique d’une variété remarquable.

Fort d’une belle érudition, généreuse et polyglotte, l’essai est dépourvu de cette cuistrerie qui vous enfonce dans vos lacunes. En le lisant, on a souvent l’impression que sous la plume de Charles Sprawson un mot y rencontre un autre pour la première fois. Il y est question de qualité de la battue, de sens de l’eau, de lecture du bassin, de chorégraphie natatoire, d’ondulation du serpent, dans un style aussi gracieux et délié que celui de Léon Marchand dès lors qu’il a plongé. Le crawl moulinant, le style en fléau, la manière australienne… On se croirait dans un championnat d’échecs où les ouvertures portent des noms tout aussi baroques. Marchand de tableaux, Charles Sprawson fut lui-même un nageur passionné (et comment eut-il pu en être autrement ?) qui traversa l’Hellespont à la brasse indienne en souvenir du poète Byron. Précis de littérature natatoire, Héros et nageurs est l’eautobiographie d’un illustre inconnu et qui entendait le rester.

Un livre pour ceux qui barbotent dans le lac, alignent les longueurs dans les bassins en comptant les carreaux de faïence au fond ou une fois en mer se donnent à leur quête spirituelle de l’eau. Paul Valery tenait la natation pour « une fornication avec l’onde ». Entendez que nager en mer l’excitait grave. Il est vrai que lorsqu’on nage, on se sent détaché de la vie ordinaire, dans un état où la dilatation du temps et les contrastes de température contribuent au sentiment d’exaltation béate qui s’empare du nageur. Lorsque George III, roi du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande nageait au large de Weymonth, il se faisait accompagner par un orchestre de chambre. Aujourd’hui, on ne compte plus les Georges qui crawlent avec des écouteurs dans les oreilles. O tempora, o mores !

(Illustration de Paul Thek )

Cette entrée a été publiée dans Essais.

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commentaires

1 475 Réponses pour Eautobiographie d’un nageur passionné

Chaloux dit: à

@Pablo. Je me demande si l’assasseure ne serait pas plutôt un vieux trave désaffecté.

Dear Phil, on appelait déjà le duc de Saint-Simon « gousset fin », rien de nouveau sous le soleil. Mais les religieuses de Mystra exhalent un léger parfum de rose.

Jazzi dit: à

A Paris, dans les bibliothèques municipales c’est très compliqué, renato.
Du coup, je donne mes livres dans les hôpitaux.

MC dit: à

Du bon usage du Don des livres, DHH; J’avoue me trouver devant le même problème, et tout n’est pas donnable. La méchante pratique du désherbage a nui à bien des doublons, mais pas que. Pour ce qui me concerne, j’espère donner quelques volumes au Musée Hugo (Bibliothèque de 1851, avec un Blanc de St Bonnet paru autour de 1846 et dédicacé par l’auteur à Mme Hugo, qui n’est encore que Baronne!) Le reste sera sans doute plus difficile à caser. Bien à vous. MC

Phil dit: à

Merci dear Chaloux, elles « sentaient la sainteté ».

Chaloux dit: à

Dear Phil. Mystra, proche de Sparte, a été abandonnée faute d’approvisionnement possible en eau. Les religieuses du couvent sont seules parmi les ruines de cette ville fantôme.

Phil dit: à

Sparte aussi n’existe quasiment plus, dear Chaloux, difficile d’imaginer qu’elle fut rivale d’Athènes.

Marie Sasseur dit: à

Regarde moi ces cultouristes, ils te brassent et les siècles et les anecdotes anachroniques, encore pire que Jolly.

Marie Sasseur dit: à

Pour les missels en latin, le mieux est sans doute de les donner à la déchetterie, ou aux puces, pour que le molok du sept cinq les récupère.

Chaloux dit: à

Dear Phil, j’en garde le souvenir d’une ville très laide où j’ai pris de l’essence!

Phil dit: à

Indeed, tout est laid à Sparte aujourd’hui, dear Chaloux. Après vingt-cinq siècles, plus besoin de faire défiler Apollon en poupée gonfable pour valider le grand remplacement.

rose dit: à

Philippe Katherine.
Ce qui est fait est fait.

rose dit: à

C plus que difficile de donner des livres. Cela s’apparente à Mission impossible.

Chaloux dit: à

« rose dit: à
C plus que difficile de donner des livres. Cela s’apparente à Mission impossible. »

Pas comme d’inventer des ragots débiles à propos de gens qu’on ne connait pas. Hein, Rose dont les propos ne la sentent pas, la rose?

rose dit: à

Mais les religieuses de Mystra exhalent un léger parfum de rose.

Parfois, cela vient de leur chapelet qui est fait en pétales de roses enroulés sur eux-mêmes.

J J-J dit: à

@ encore que sans toi tous, il ne resterait plus que ce duo de connards alcooliques delinquants,

ouf, j’ai enfin gagné ma breloque sur cette chaine. Il était temps, depuis le tank… hein. Je savoure 1 brin, karsavapa durer longtemps, hein ma grozz konazz de sueur ? En attendant la traduction du split-zkrieg, sait-on jamais ?
Bàv,

Marie Sasseur dit: à

ouf, j’ai enfin gagné ma breloque sur cette chaine. Il était temps, depuis le tank…

___
Oui, dis-moi, pense aussi à demander à bougro, s’il se souvient de Pleyel, que le show goes on…

Bloom dit: à

Ah, ces sites de livres-échangisme!

J J-J dit: à

bon… —

1 – je suis bougro, tu penses bien avec tous mes pseudos ! ela m’étonnes que tu ne l’aies pas encore remarqué.
2 – mais avec ma mémoire de merde, je me souviens pas de ce que je vous ai raconté au sujet de la salle Pleyel. IL faut dire qu’avec un gode ceinture attaché en permanennce, on n’est pas toujours à ce qu’on écrit, hein ? Vus devirez bien vous en douter, vous, la grande spécialiste du bonddage…
Rappelez-nous ldonc au passage del’histoire de l’escroc aux puces de montreuille de l’un et du bannissement dans un cul de basse fosse pour l’autre pour délit de diffamation publique… Je me souviens qu’on avait mi mais qu’on avait ri… Nos deux pseudo musicalistes classiques chiant sur la musique atonale de Boulet and co se congratulaient comme des boulevards et des pécuchets, pour imposer leur prétendue autorité morale aux RM et autres MC sur leurs propres terrains de boules. Ils sont de retour, chapeaux de cuir et bottes melon…
3 – Merci de ne pas me tutoyer, SVP et de nous répondre sur le split, if possible, ce qui nous serait bin plus instructif que vos réactions pidermiques envers ces deux engeances scrofuleuses, hélas parfois soutenues par le Phil Ystain, toujours aux aguets, et toujours prêt à défendre la pédérastrie aristosacratique littéraire venue du grand remplaçant (Placé Bot) etde quelques autres camusés.
Bàv, étonnante bougresse de vielle keufe !!!

Marie Sasseur dit: à

Swim, Girl, Swim
BY J. PATRICK LEWIS
for Gertrude Ederle

As Europe woke from sleep,
Young Trudy Ederle
At Cap Gris Nez in France
Dived into a daunting sea.

Many had tried to make
This superhuman swim—
Thirty-five punishing miles.
Chances, at best, were slim.

When Fury found the waves,
Far from the western shore,
Her trainer shouted, « Let’s turn back! »
But Trudy cried, « What for? »

Under an English moon,
The celebration began
After the fastest crossing
By woman or by man.

Bloom dit: à

Bouvard et Pécuchet, oauis, mais comme la mauvaise et l’exécrable société doivent être chylés à l’égale, on songe aussi à DukonT et DukonD, deux garçons kkkoiffeurs tellement qui frisent tant le ridicule qu’ils devraient rase les murs.

Bloom dit: à

ouvard et Pécuchet, oauis, mais comme la mauvaise et l’exécrable société doivent être chylés à l’égale, on songe aussi à DukonT et DukonD, deux garçons kkkoiffeurs tellement qui frisent le ridicule qu’ils devraient raser les murs.

Chaloux dit: à

En fait, le tableau du musée Magnin est bien une Cène. Le prétexte mythologique a été créé pour passer la censure des autorités protestantes, mais c’est une Cène: voir le cartel du musée Magnin.

Bloom dit: à

Traduire, c’est un peu comme nager entre deux eaux…

(1)
Première strophe de « Recueillement », de Baudelaire, par deux traducteurs américains, Nathaniel Rudavsky-Brody (1) & Richard Howard (2), suivies de l’original. On appréciera le travail, les partis pris, et parfois la licence.

Be good, O my Sorrow, try to be more calm.
You asked for Evening; Evening’s here; it falls:
A darkling atmosphere enfolds the city,
Carrying peace to some, to others pain.

(2)
Behave, my Sorrow! let’s have no more scenes.
Evening’s what you wanted – Evening’s here:
a gradual darkness overtakes the town,
bringing peace to some, to others pain.

Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille.
Tu réclamais le Soir ; il descend ; le voici :
Une atmosphère obscure enveloppe la ville,
Aux uns portant la paix, aux autres le souci.

(Nathaniel Rudavsky-Brody est également traducteur de Benjamin Fondane ; quant à un la traduction de Richard Howard des Fleurs du mal fut saluée en son temps comme un événement.)

Chaloux dit: à

Je m’honore d’être insulté par Bloomie, homoncule d’une violence incontrôlée, incapable jusqu’à l’hystérie de supporter une seconde qu’on ne soit pas de son avis. Surtout, je plains sa famille qui, si elle ne s’est pas barrée, ce que je lui souhaite (à elle), doit certainement subir perpétuellement les fureurs et le pithiatisme de cet histrion décervelé.

J J-J dit: à

il n’est pas à plaindre, étant parfaitement intégré à la bonne société et à sa famille…
Pourquoi ainsi envier son destin et l’accabler de vos propres tares ?
Bàv et à votre ami, DUkonT.
Ne répondez surtout pas à cette incidente, vous démontreriez ainsi les limites de vos courbettes à passoul pour entrer en grasse. Quelle humiliation fut-ce !… Et tout ç, pour en arriver là, trois mois plus tard de l’extraction du bannissement
Et ne venez pas chialer: « mais madame, c’est lui qu’a commencé, il est jamais d’accord avec ce que jeudi, alors je me défends du mercredi, hein, c normal, hein, maîtresse ? i fontt que d’m’embêter, c pas jusss, na ! »

Chaloux dit: à

Si tout va si bien, Bloomie a-t-il besoin d’un avocat comme toi, dont le cerveau imbibé de ta pisse trempe si près de ton dentier, Gigi la visqueuse (tu ne fus jamais mieux nommé)? Une pauvre créature qui trahit les secrets de ses amis sur Internet et les insulte les soirs de réveillon.

Phil dit: à

musicalistes classiques

cependant bien agréable de lire ces échanges entre grands écouteurs, dear jjj, ne serait-ce que pour connaître la musique après une visite aux météores. Les vôtres avec Renato ne déméritent pas, il suffit de trouver la bonne conduite intérieure pour l’écoute de vos sélections.

Bloom dit: à

La chalouze tangue, encore un petit pet de vent mauvais et zou! àuax abyssses. Le vernis de la bartcasse à craqué depuis longtemps et en sort le vieux foireux irrécupérable qui se remet à salir le blogapassou.

renato dit: à

Cène christique ? Je comprendrais si au lieu d’Apollon avec sa lyre, il y avait eu Dionysos, qui est un élément du culte pan-méditerranéen d’un dieu qui meurt et renaît (comme Osiris et le Christ), car en 1635, le courant païen sous-jacent à la Renaissance n’était peut-être plus très vif, mais il était encore très présent, mais je suspecte que Biljert ait beaucoup approximé, ou alors une convention nouvelle aurait transféré le culte pan-méditerranéen de la figure de Dionysos à celle d’Apollon : l’époque actuelle n’est pas la seule à être marquée par les bourdes. La chose ça mérite un approfondissement.

J J-J dit: à

il n’y a pas assez de spécialistes de la musique dodécaphonique, minimaliste, atonale et répétitive icite..; c’est un peu le prlblème, quant à la musique classique il y a de meilleurs blogs que celui-ci en principe dédié à l’actu littéraire et aux insultes qui vont avec… Nous en avons des spécialistes éloquents qui astiquent leur plume toute la ste journée pur ce faire.
Pas d’avocature, mais du simple bon sens… celui
d’un cerveau imbibé de pisse près du dentier (sic)… Fallait y penser, y’a pas à dire, y’a du talent à revendre pour l’édification d’un nouveau dictionnaire pour Charoule !… A moins qu’il existe déjà et qu’on n’ait là qu’un aimable pillage des meilleures invectives de Jean-Charles…
A part de ça, pas difficile de faire gicler un prurit sous cutané généralisé à travers la constellation des boutons d’ancé du ci-devant citoyen musicaliste, comme disait GCM. Starsk’i and Hurkth ! B-à-v,

J J-J dit: à

l’ancé sur une trace d’ak, et Rosebud comprendra au dernier étage du collage de frèce, 😉
p/° Glycérine des vestiaires désinfectée,
Ici, les pianistes sont toujours « grands », Freire, Grimaud, François, à quoi bon aduler les petiots sous la pluie ? Tu l’as donnée, ta Langue-Langue aux chats. Tu ries, fée RER ? Escarboucle et esperluette.

Chaloux dit: à

Il est interdit de répondre aux insultes (perpétuelles) de sa Majesté Bloomie et de la chose visqueuse qui le suit comme une ombre dégoulinante . INTERDIT!
En insultant sans trêve autrui, en traitant tout le monde de nazi et de Doriot, Bloomie ne salit rien ni personne, c’est évident. Sans parler de l’autre, dont le cerveau est dans un état voisin d’une soupe en boîte.

Ils ne salissent pas.

Hurkhurkhurk!

Bloom dit: à

« tête de p….torchon »
—.
Propos de souillon.

Chaloux dit: à

Cartel du musée Magnin:
« Sur le sol nuageux de l’Olympe, les dieux reconnaissables grâce (sic!) à leur attributs, se sont réunis. Biljert s’est souvenu des leçons du Caravage lorsqu’il peint au premier plan les ombres portées et la musculature de Dionysos (avec son raisin) et du satyre. Disposées en une frise plus classique, les autres divinités festoient au second plan. Neptune (trident), Hercule (massue), Flore (fleurs), Vénus accompagnée de Cupidon.
En Hollande, dans le contexte de la Réforme protestante, les commandes de peintures religieuses se font rares. L’artiste trouve un stratagème : il représente sous le couvert de cet épisode mythologique, la dernière Cène : Apollon auréolé rappelle le Christ entouré de ses apôtres, Vulcain (avec son maillet) occupe la place habituelle de Jean, Mars cuirassé et casqué, celle de Judas, seul face à tous. »

Bloom dit: à

@ RBL, J’ai longtemps sévi/servi dans un cabinet d’avocat de la rue Bobillot (de 1982 à 1993)… et je n’étais pas un mongol fier, à cette époque de haut militantisme

3J, j’avais omis de vous répondre. Nous fûmes donc voisins & avons dû nous croiser car j’y viviais dans la seconde moitié années 80. J’allais nager à la piscine de la Butte, déjeuner au Temps des Cerises (Coopérative ouvrière ce production), écouter de la musique ou voir des pestacles au Merle Moqueur, et dinais parfois dans un restaurant africain dont le menu proposait parfois une soupe de crococidle cartilagineux. Je déambulais sans fin dans la rue Des Cinq Diamants, et emprutnais la rue Emile Atget pour décoller de Corvisart.
L’académicien & prix Goncourt Erik O.,ancien conseiller culturel de Mittrand, habite dans le coin. On l’entend encore parfois jouer du piano….
Je suis un pays, il faut que je me rendre ou écrive à lamairie du 13, Place d’Italie, pour obtenir un extrait de naissance.

renato dit: à

J’avais lu le cartel, et si on se tient aux caractéristiques de chaque divinité, cela ne colle pas, mais comme je l’ai dit, je vais me pencher sur la question.

Chaloux dit: à

Extrait de naissance de Bloomie:

« Ta mère fit un pet foireux, et tu naquis de sa colique ».

Chaloux dit: à

J’ai des lettres.

Rosanette dit: à

je constate que le texte du cartel de ce tableau confirme ce que je disais plus haut de la référence christique de cette scène orgiaque, construite autour d’un apollon auréolé de lumière qui ne peut pas ne pas évoquer par sa place son air et sa posture le jésus de la Cene
mais je n’ai pas de réponse a la question que je me posais:
Pied de nez iconoclaste et blasphématoire d’un peintre protestant aux catholiques , ou bien promesse de rédemption apportée par le seul personnage respirant la sainteté présent dans le tableau?
En tout cas les JO auront fait beaucoup pour la notoriété de ce peintre hollandais

Chaloux dit: à

@Rosanette c’est indiqué. Passer la censure protestante.

D. dit: à

Non. On a pas le droit d’écrire Grimaud (H) à côté de François (S). Sauf à vouloir provoquer.

Marie Sasseur dit: à

Sur l’Olympe, les dieux sont rassemblés pour un banquet célébrant le mariage de Thétis et Pélée. À gauche se tiennent Minerve, Diane, Mars et Vénus accompagnés de l’Amour. Flore, la déesse du printemps, se trouve derrière eux. Apollon couronné, identifiable à sa lyre, préside au centre de la table. On reconnaît plus loin Hercule avec sa massue et Neptune avec son trident. À l’extrême-droite, Eris a déposé sur la table la pomme de la discorde. Certains dieux manquent, probablement en raison de la coupure dont la toile a souffert sur la partie gauche ; la présence du paon de Junon le laisse penser. Le thème du festin de dieux était populaire en Hollande ; le Mariage de Psyché et Amour d’Hendrick Goltzius déclencha une abondante production d’œuvres illustrant ce sujet.
ORIGINE ET DATE
Vers 1635 – 1640

ARTISTE
Jan Harmensz. van BIJLERT

(Utrecht, 1597 – Utrecht, 1671)

https://musee-magnin.fr/collection/objet/le-festin-des-dieux

Marie Sasseur dit: à

Marchand de tableau, au top ce soir.

D. dit: à

Sparte et Mystra, je connais bien.
On peut bien manger à Sparte. L’eau du robinet y est excellente. L’une des meilleures douches froide que j’aie prise était spartiate.
Mystra, de peu d’intérêt. Pour monter il faut d’abord traverser en long cet épouvantable marché qui étale des contenus tout droit sortis des containers chinois débarqués au Pirée.

Samuel dit: à

Je viens de terminer la lecture de « Quand Israël est Roi » des frères Tharaud.
Ah ces juifs ! De la biblique tente de Sem aux ghettos sinistres du Yiddishland, d’une Shaoh l’autre… Quel parcours !
C’est pas du tout un livre pour Bloomie, notre kapo sioniste du blog.

Marie Sasseur dit: à

Et de deux

Marchand très facile
Après avoir fait une démonstration en demi-finale du 200 papillon, Léon Marchand, zen et tranquille, a fait de même sur 200 brasse. La fatigue ne semble pas l’atteindre et il pourra donc bien tenter la double médaille d’or, demain, à l’occasion des finales.
L’équipe

MC dit: à

Ce sont les Tharaud,… qui trouvent moyen en 1946 d’entrer dans une anthologie de la Resistance!

J J-J dit: à

Je crains qu’il ne soit trop fatigué demain et ait comme une baisse de pression. Donc, médaille d’argent je pense, je préférerais l’or pour la france de macron. Mentalisons le ainsi, on ne pourra qu’avoir une bonne surprise.
Je parle de Léon Marchand, pas de DukonD… Hélas, Nelson Montfort et son parler vomitoire n’est pas loin pour paralyser la rdl… Bàv,

J J-J dit: à

Il est certain que ce soir, les frères Taro sont à l’honneur !…, Boucheron est trop content de cette défense de la contre histoire de france… Ils aimaient beaucoup nager et résister à contre courant, oui…, passoul.
Bàv, Christiane.——-,

Bloom dit: à

J’ai des lettres.

Torcheculatoires: P.Q.

Jazzi dit: à

« Samuel dit: à
Je viens de terminer la lecture de « Quand Israël est Roi » des frères Tharaud.
Ah ces juifs ! De la biblique tente de Sem aux ghettos sinistres du Yiddishland, d’une Shaoh l’autre… Quel parcours !
C’est pas du tout un livre pour Bloomie, notre kapo sioniste du blog. »

1 à 0

Jazzi dit: à

« Bloom dit: à
J’ai des lettres.

Torcheculatoires: P.Q. »

1 à 0

Jazzi dit: à

Une lecture explosive d’été

Passionnante la relecture de « Un captif amoureux » de Jean Genet (1910-1986) à près de quarante ans d’écart ! Un livre testamentaire, que j’avais lu à sa parution, juste après sa mort. Un livre plus autobiographique que romanesque, dans la lignée du « journal du voleur » et qui a mis fin à « plus de vingt-cinq ans de presque total silence ». « Un captif amoureux » est essentiellement consacré à son compagnonnage avec les exilés et les combattants Palestiniens et les longs séjours qu’il effectua dans leurs divers camps de 1970 à 1984. Des bribes de mémoires éclatées, où sont également évoqués les Black Panthers, qu’il fréquenta quelques années plus tôt. Le poète, qui, à peine sorti de l’adolescence, avait été envoyé faire son service militaire à Damas, en Syrie, s’est toujours intéressé au Moyen-Orient, à ses conflits passés et actuels, à son histoire. Comme en témoigne son récit, bien dans sa manière, tout à la fois poétique et politique, au bon sens du terme, où à travers ses rencontres, ses observations et ses choses vues, on prend toute la mesure de la complexité des problèmes qui secouent la région depuis le début de la Première Guerre mondiale et met en cause les principaux empires et puissances de l’époque : ottoman, anglais, français, italien ou allemand. Et nous démontre que les responsabilités dans la région sont bien antérieures au retour des Juifs en Palestine après la Seconde Guerre mondiale. Oui, un livre d’un poète authentique, pour qui l’écriture était avant tout érotique. Une lecture passionnante et édifiante, qui nous permet de comprendre, aujourd’hui plus que jamais, que ce n’est pas en criant tout en sautilant sur ses jambes : « 
Gaza Gaza Gaza !. C’est pas ça qui réglera les problèmes. Tout au contraire, ça les compliquent ! Extrait :

« Plus tard, j’aurai trop souvent l’occasion d’observer de près les vieilles dames de ce qui reste des grandes familles palestiniennes. (…) Elles étaient donc – l’une d’elles surtout – douces adorablement et égoïstement, c’est-à-dire que leur douceur avait pour but de tenir à distance les misères trop crues. (…) Elles se tenaient au courant des souffrances de Chatila autant que du cours de l’or et du dollar, dans les deux cas à travers des points d’une broderie, ou tapisserie de laine et de soie ; la souffrance était connue, mais en passant par un coussin, par une robe de cent ou de cent vingt ans, brodée par des doigts morts, sous des yeux aveugles. Elles cultivaient la politesse afin d’en être parées (…)
De leur lit de parade, elles regardent leur peuple à l’aide d’une longue-vue en nacre. De ce lit et des fenêtres, les princesses aux poignets assez costauds pour porter les chaînes d’or, elles regardent les combats et la tristesse de leurs regards ajoute encore en préciosité. De la fenêtre d’une maison portative, je regardais la mer, au loin, Chypre, et j’attendais les combats, mais non jusqu’à devenir une vieille princesse aux chairs succulentes. Cette ressemblance ne me troubla jamais (…) ; pourtant comme elles, d’une fenêtre ou d’une loge, et comme avec une lorgnette de nacre, j’aurai regardé la révolte des Palestiniens. Que j’étais loin d’eux – par exemple quand j’écris ce livre, au milieu des feddayin, je demeurais en deçà d’une lisière, je me savais épargné, non par la grâce de mon physique celte, non par un enrobement de graisse d’oie mais d’une cuirasse autrement étincelante et sûre : ma non appartenance à une nation, à une action où je ne me confondis jamais. Le coeur y était ; le corps y était ; l’esprit y était. Tout y fut à tour de rôle ; la foi jamais totale et moi jamais entier. »

« Il y a tant de façons d’être mariés. Mais ce qui me paraissait étrange c’était, chaque jour – jour et nuit – chaque heure et chaque seconde, sous les arbres, les jeux de ce curieux manège : l’islam avec le marxisme. En théorie tout y était contradictoire : Coran et Capital se haïssaient, cependant une harmonie, sensible à tous, semblait résulter de ces deux divagations. Qui donnait par générosité semblait l’avoir fait par justice, après lecture intelligente du livre allemand. Nous naviguions en pleine folie, avec vitesse et lenteur, un Dieu cognait du front le front bombé de Marx qui le niait. Allah était partout mais nulle part, malgré les prières vers La Mecque. Louis Jouvet était un acteur connu en France dans les années 46-50. Avec le même détachement je répondis oui au sien quand il me demanda d’écrire pour lui une pièce à deux ou trois personnages. Je compris que la courtoisie lui dictait la question presque provocante et ce fut la même courtoisie que je reconnus dans la voix d’Arafat quand il me dit :
– Et pourquoi pas un livre ?
– Bien sûr.
Puisque nous échangions des politesses, nous n’étions tenus, ni l’un ni l’autre par des promesses oubliées bien avant qu’elles ne soient dites. La certitude qu’il n’y avait rien de vraisemblable dans la question d’Arafat pas plus que dans ma réponse, fut peut-être la raison réelle qui me fit oublier le papier et le stylo. Ne croyant pas au projet du livre – d’aucun livre – certain de n’être attentif qu’à e que je voyais ou entendais. Je m’épris autant de ma curiosité que de ce qu’elle observait. Sans bien m’en rendre compte chaque évènement et chaque parole se disposa dans ma mémoire. Je n’avais rien à faire, sauf à voir et entendre, ce qui n’est pas une occupation avouable. Curieux et indécis je restai donc là et peu à peu, comme les vieux couples d’abord indifférents l’un à l’autre, entre les Palestiniens et moi, mon amour et leur tendresse me retinrent à Ajloun*. »

* Le camp d’Ajloun, en Jordanie, l’une des nombreuses bases palestiniennes où séjournera Jean Genet, jusqu’à 2 ans avant sa mort, durant les quatorze dernières années de sa vie…

(« Le captif amoureux, folio, p. 148 à 151)

Bloom dit: à

notre kapo sioniste du blog.

Joli. Jolly!
Kak unt fress, meschugge!

Bloom dit: à

J’ai lu La randonnée de Samba Diouf. C’est juste du colonialisme & du paternalisme bon teint, parfois pas intéressant. Fallait bien leur rendre hommage à ces troupe de choc quand on avait soi-même été à l’arrière à se dore la pilule.
C’était dans le même volume que Le Feu et Orages d’acier, évidemment, ça tient pas la route en comparaison de Barbusse et Jünger. De la sous-littérature de guerre mondiale faite par les autres.
Les Tharaud étaient des antisémites bon teint, comme ce pays en produisit à la pelle, et continue de, pas vrai mon brave Salmuel?

Bloom dit: à

troupeS / doreR

Samuel dit: à

Jazzi, ton bougre de Genet n’a rien compris à l’Islam.
L’Islam est avant tout une religion de terreur et de fanatisme et Mahomet ne fut autre qu’un bédouin barbare qui voulait régler ses comptes avec les tribus qui lui étaient hostiles.
Quant aux palestiniens, c’est de leurs « frères » arabes que viennent tous leurs malheurs. Tant pis pour eux. Eux aussi, ils méritent une Shoah à leur mesure.

Jazzi dit: à

En voilà une réflexion subtile et nuancée, Samuel !

Samuel dit: à

Un joli petit commentaire d’un lycéen marseillais sur la cérémonie d’ouverture des JO sur X :
« La scène de la Cène sur la Seine n’est pas du tout saine mais obscène ».

Samuel dit: à

C’est vrai que toi, le Jazzi, t’es un modèle de subtilité ! Le parangon de la nuance !
Banane va…

Jazzi dit: à

Tu sais où tu peux te la mettre, la banane, Samuel !

Pablo75 dit: à

Devinez qui est la Championne Olympique de la Pétasserie Bloguesque? Eh oui, Marie Pouffiasse dite La Grosse Maso qui aime à la folie les châtiments publics (et « jouer de la mandoline » dans son canapé en voyant de jeunes nageurs à la TV – qui vomiraient devant elle nue…).

Jazzi dit: à

Elle est magique, Pablo75 !

JC..... dit: à

Beaucoup de haine entre les membres de la Confrérie Prestigieuse des mercenaires d’Assouline, ces temps-ci ! Il est vrai que la haine doit, elle aussi, s’exprimer si l’on veut jouir de l’amour sincère.

Alors, cet amour, Maitre de la haine ?… Il vient, oui ou non ? Au travail, camarades narcissiques !

Marie Sasseur dit: à

La soubrette du sept cinq, la madame soleil au vocabulaire limité, surfe sur des sites bdsm quand iel en a la permission. L’usage qu’iel a du rezo s’en ressent.

Marie Sasseur dit: à

Rosanette dit: à
je constate que le texte du cartel de ce tableau confirme ce que je disais plus haut

…plus haut, pour mémoire :
« ce ramassis de débauchés enivrés et dénudés, trône, digne et sobre au centre de la table, un personnage couronné d’une auréole de lumière, qui ne peut pas ne pas evoquer le christ au milieu de ses disciples du repas de la référence christique de cette scène »

Ne pas se tromper de cartel, des drags queens peuvent en cacher d’autres.

Car si on a bien suivi les crisstiques, il faut  » logiquement  » en conclure que Diane, Vénus, Flore figurant sur le tableau de Jan Harmensz van BIJLERT, le festin des dieux, c’est Bartolomé, Pierre, Jean , ce  » ramassis de débauchés , enivrés et dénudés » qui font leur belles, les seins à l’air, un soir de teuf, et quelle teuf…

Jan Harmensz van BIJLERT plus provoc que Th. Jolly ?

Marie Sasseur dit: à

Sombrer dans une telle imbecillité , encore une fois : Horreur Horreur Horreur

Chaloux dit: à

Jazzi dit:

1 à 0″
« Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé,
Et de tous les côtés au soleil exposé,
Six forts chevaux tiraient un Coche » etc.

Marie Sasseur dit: à

« Oliver Sacks swam until he died. He believed swimming was instinctive, and that we must learn to walk but not to swim. Still, for many years he took a weekly lesson from a Russian coach, Slava, to perfect his stroke, and his backstroke was especially fine. In his revealing memoir “On the Move” (the title is borrowed from a poem by his friend Thom Gunn: “One is always nearer by not keeping still”), Oliver remembers swimming in a pond at Hampstead Heath on his fortieth birthday, where he first swam as a toddler with his father, who called swimming “the elixir of life ». »
https://www.newyorker.com/books/page-turner/swimming-with-oliver-sacks

Marie Sasseur dit: à

« Aujourd’hui, on ne compte plus les Georges qui crawlent avec des écouteurs dans les oreilles. O tempora, o mores ! »

Et les Camille, Passou, et les Camille…

« Champions olympiques et multiples médaillés lors des Jeux Olympiques de Londres en août 2012, Camille Muffat et Yannick Agnel ont révélé l’un de leurs secrets d’entraînement : la musique. Pour éviter que la routine ne nuise à leurs performances, leur entraîneur Fabrice Pellerin a pour habitude de leur préparer des playlists pour travailler différents rythmes de nage en musique et pour rompre la monotonie de l’enchaînement des longueurs. Une méthode qui convient parfaitement à Camille Muffat, comme elle le confiait à Ouest France cet été : “Pour beaucoup, la natation c’est enfiler des longueurs en comptant les carreaux. Absolument pas le cas pour nous. On fait souvent des séries assez ludiques, des choses qui nous permettent de ne pas tomber dans un train-train exécrable.”

https://www.eurosport.fr/economie/notre-playlist-pour-aller-nager_sto4868238/story.shtml

D. dit: à

Jazzu, il y en a peut-être déjà une.

Rosanette dit: à

Marie Sasseur ses têtes de turc qu’elle se plaît ridiculiser et même à injurier ce qui lui donne apparemment des satisfactions immenses :
mais étant du nombre de ses elu-e-s’j aimerais connaître les critères de sélection de ses cibles ^pour comprendre pourquoi j en fais partie
j’attends une réponse si possible aussi déférente que ma question

Marie Sasseur dit: à

Deachach à eu la réponse à sa question.
Ce fut éloquent.

Et aujourd’hui, j’ai piscine.

A plus loin.

Marie Sasseur dit: à

a eu, scuzez.

Chaloux dit: à

Piscine.

Elle veut dire : c’est jour de débarbouillage à l’hospice.

Bloom dit: à

L’Islam est avant tout une religion de terreur et de fanatisme et Mahomet ne fut autre qu’un bédouin barbare qui voulait régler ses comptes avec les tribus qui lui étaient hostiles.
Quant aux palestiniens, c’est de leurs « frères » arabes que viennent tous leurs malheurs. Tant pis pour eux. Eux aussi, ils méritent une Shoah à leur mesure.

Incitation au meurtre = signalement sur Pharos.

Bloom dit: à

Alors closer, vous en êtes où dans votre lectrue des oeuvres complètes de WS?

Bloom dit: à

lecture

closer dit: à

Dès que j’ai fini les Karamazov, je m’attaque au premier volume GF traduit pas FVH, avec évidemment Hamlet en priorité.

Chaloux dit: à

Bloomie ou les plaisirs de la dénonciation.

et alii dit: à

à Eux aussi, ils méritent une Shoah à leur mesure.
non Bloom,j »‘ suis toujours sceptique sur le mérite, mais là!, avec cet « aussi »,comme on dit ici, c’est une blague!
pas d’accord sur ce genre de mérite

et alii dit: à

ce matin, je lis un article de Maurice-Ruben HAYOUN
sur une chanson que je vous dédie:
chanson de JJ GOLDMAN/
Après les rêves, l’exil, la fidélité à l’héritage, le Nom de Celui qui régit tout. Un nom invocable mais qui demeure imprononçable pour les plus fidèles de ses adeptes. .L e Nom, le seul qui soit. Et que le chanteur promet de suivre tout au bout de ses rêves.

Au fond de moi, tout au fond
Mais au-dessus, je te jure
que j’effacerai ton nom, oh-oh
j’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves

racontpatavi dit: à

Du coup, je donne mes livres dans les hôpitaux.
Bravo!
Il m’est arrivé récemment ( à peine une quinzaine de jours ) une drôle d’ aventure… On m’ a ramené un de mes livres publié en tirage limité en 1985, récupéré dans une de ces boîtes à livres que l’on trouve, ici et là, en ville ou à la campagne.
Il n’a en fait pas trop souffert du temps et de ses ( je suppose ) multiples déplacements et aucune dédicace ne peut identifier le propriétaire. 1985 – 2024, il s’ agit d’ un bail! 🙂

racontpatavi dit: à

Que dis-je, 1975 -2024, soit quarante neuf-ans!

Cela m’a réellement fait un coup.

Bloom dit: à

Le signalement de propos racistes, antisémites, sexistes, d’appel au meutre, etv. n’a strictement rien à voir avec de la dénonciation. La chalouze a des lettres (PQ) mais un demi-cerveau. As usual, he just can’t tell his arse from his elbow.

Les termes de la loi:

« Comment les signalements sont ils traités?

Si une vérification est possible sur Internet, le contenu signalé est tout d’abord visualisé.

Il est ensuite procédé à sa qualification juridique : est-ce une infraction à la loi ?

Si le contenu ou le comportement signalé est illicite, le signalement est orienté vers un service d’enquête de la Police Nationale, de la Gendarmerie Nationale, des Douanes ou de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes. Une enquête pénale peut être ouverte, sous l’autorité d’un Procureur de la République. »

On n’incite pas impunément à la violence envers une personne ou un groupe de personne, encore moins en usurpant le terme de Shoah.
On n’est pas dans une émission de télé-réalité ici.

Wait and see.

racontpatavi dit: à

Que dis-je, 1975 -2024, soit quarante neuf-ans!

Il me faut songer à le faire rééditer avec un addenda que j’ intitulerai :  » MAÏS »

Bloom dit: à

Hamlet est un choix judicieux.
J’organise un petit atelier WS à partir d’octobre dans une bibilothèque de la région, pour simple le plasisir du partage & de l’échange.
Ilest prévu que nous commencions également par Hamlet, suivi de Macbeth, des comédies (La Nuit des rois et Comme il vous plaira) avant d’aborder Jules César, Richard II et Henri IV part one et de clore ce vaste aperçu par La Tempête.
Les gens disposeront de suffisamment d’éléments pour explorer seuls le reste du continent bardique.

Jazzi dit: à

« une de ces boîtes à livres que l’on trouve, ici et là, en ville ou à la campagne. »

Il n’y en a quasiment pas à Paris, la vile des bouquinistes !

Jazzi dit: à

ville

Pablo75 dit: à

Et aujourd’hui, j’ai piscine.
Marie Sasseur dit:

Piscine.
Elle veut dire : c’est jour de débarbouillage à l’hospice.
Chaloux dit:

C’est exactement cela: on ne la lave que le dernier jour de chaque mois et aujourd’hui on est le 31.

Ça, plus son abstinence sexuelle depuis un demi-siècle au moins, explique sa rage ici, sa mauvaise humeur permanente (on la comprend), son rôle de bulldog bourré du blog.

Elle aboie parce qu’elle boit. Mais elle boit parce que ça la gratte partout, en réveillant sa faim de pine. Pour l’apaiser, se trifouiller le lardon devant la TV en voyant de beaux nageurs ne lui suffit pas.

Jazzi dit: à

« petit atelier WS »

En anglais ou en français ?

Marie Sasseur dit: à

Souhaitons la bienvenue à Pharos, Alexandrie, Alexandra.

Samuel dit: à

Pourquoi cette Kamala Harris n’arrête pas de sourire béatement et bêtement chaque fois qu’elle est filmée ?! Même quand elle aborde des sujets graves, elle sourit quand même. Stupidement. Elle se voit déjà présidente des États-Unis la bougresse et elle pense que ça sera une sinécure pour elle, la niaise…
Je croyais, moi personnellement, qu’avec Obama, on avait atteint le fond de la bêtise politique américaine, mais avec la Kamala, wokiste convaincue, on va creuser ce même fond pour atteindre l’abîme de la crasse absolue.
VIVE TRUMP !

Chaloux dit: à

Bloomie, je crois surtout que tu es très malade et que tu devrais te faire soigner.

Pablo75 dit: à

Marie Sasseur ses têtes de turc qu’elle se plaît ridiculiser et même à injurier ce qui lui donne apparemment des satisfactions immenses : mais étant du nombre de ses elu-e-s’j aimerais connaître les critères de sélection de ses cibles ^pour comprendre pourquoi j en fais partie j’attends une réponse si possible aussi déférente que ma question
Rosanette dit:

La réponse est double: d’abord elle est antisémite (quand elle sait que quelqu’un est juif, elle aboie bien plus fort et avec un acharnement typique des fascistes hystériques). Et ensuite elle est jalouse, pathologiquement jalouse (la jalousie étant la clé sécrète de sa vie minable), en particulier de tous les participants ici qui ont fait des « hautes études », elle qui sait à peine lire et écrire et dont la seule passion connue dans la vie (à part l’alcool et « le polissage de sa perle » -comme disent les chinois- dans son canapé en regardant des beaux nageurs) ce sont les romans de gare et les best-sellers de la collection Harlequin.

Marie Sasseur dit: à

Un duo de connards,- l’un déjà expulsé du lieu pour diffamation publique et l’autre
un voleur à signaler à l’arcom- ont décidé de plonger ce commentarium dans l’indignité.

Il convient dans ce cas de ne pas oublier le conseil de Nietzsche .

Il en va ici comme dans la vie civile, il y a des individus que l’on ne calculerait même pas en société, ou alors à faire un pas de côté, comme on éviterait de marcher sur une déjection sur un trottoir parisien.

Bloom dit: à

A pleurer de rire, les pitoyables anathèmes du cancre tout juste revenu du coin avec ce bonnet d’âne qui lui va si bien.
L’épave bloguesque n’en finit plus de dériver avant le naufrage terminal…Pathétique.

Pablo75 dit: à

Cette sous-merde de Marie la Connasse, qui insulte ici tout le monde (sans exception) depuis des années (avec un acharnement particulier sur les juifs), cette Pouffiasse Intégrale qui ne vient ici que pour aboyer ivre de jalousie, cette Pétasse Absolue qui a fait fuir de ce site plusieurs personnes qui ne supportaient plus la puanteur de ses attaques gratuites… essayant de donner des leçons de dignité !! Elle !! Une Ordure Totale…

Le plus grand mystère de cette République des Livres, est le fait que P.Assouline supporte l’odeur pestilentiel des messages de cette Grosse Folle Irrécupérable, pathologiquement jalouse de toutes les femmes du blog et antisémite de surcroît, qui n’a jamais écrit ici quelque chose d’intéressant depuis plus de dix ans et qui ne sait qu’éructer des insanités.

Marie Sasseur dit: à

Correction :
un duo de connards,- l’un déjà expulsé du lieu pour diffamation publique
et l’autre
un voleur à signaler à l’arcom et accessoirement au cnapr, au ccmm ou a la miviludes- ont décidé de plonger ce commentarium dans l’indignité.

Il convient dans ce cas de ne pas oublier le conseil de Nietzsche .

Il en va ici comme dans la vie civile, il y a des individus que l’on ne calculerait même pas en société, ou alors à faire un pas de côté, comme on éviterait de marcher sur une déjection sur un trottoir parisien.

Pablo75 dit: à

@ Marie Sasseur

Tu n’as pas encore compris que tu es haïe ici? Tu attends quoi pour dégager définitivement d’ici, Grosse Merde?

et alii dit: à

KIM CHAMBERS /
3En août 2015, Chambers est devenue la première femme à nager des îles Farallon au Golden Gate Bridge , soit une distance d’environ 30 miles. [4] La même année, Chambers a été nominée pour un prix Halberg dans sa Nouvelle-Zélande natale. [6] En 2017, un film documentaire, Kim Swims , a été publié par la cinéaste indépendante Kate Webber ; le film suit la traversée des îles Farallon de Chambers en 2015. [5] WIKI

Marie Sasseur dit: à

Et voilà Maxime-Gaël Ngayap Hambou, impérial. Deux wara-ari bien appliqués.
Good job, comme j’aime.

et alii dit: à

Oceans Seven – une série de détroits et de canaux dangereux à travers le monde qui sont considérés comme l’équivalent de la natation marathon des Sept Sommets de l’alpinisme.

MC dit: à

Je crois au contraire que c’est la haine qui la (?) fait rester. Il y a des gens comme ça, qui s’accrochent à leur entourage, meme si ledit entourage n’en à que faire.

MC dit: à

Le Grand Bassin des Tuileries menacé par l’impensable vasque des JO et son designer, lequel a tendance à se prendre pour le Coysevox de ce siècle-ci…

et alii dit: à

KIM SUITE GUARDIAN
https://www.theguardian.com/sport/2017/oct/20/kim-chambers-farallon-islands-swimming-documentary
Les règles de la Manche – le code des nageurs marathoniens – stipulaient qu’elle ne devait porter qu’un maillot de bain et des lunettes de natation et qu’elle ne pouvait pas toucher son bateau d’assistance. Elle s’arrêtait toutes les 30 minutes pour nager et boire un liquide « nourrissant » jeté par-dessus bord dans une bouteille attachée à une corde.

et alii dit: à

KIM suite:
Dans le film, l’entraîneur de natation de Chambers, Vito Bialla, plaisante sur le fait qu’elle était très mauvaise à l’époque. « Il disait que je ne pouvais pas sortir d’un sac en papier avec des palmes, ce qui était vrai. » Mais elle a persisté, en commençant par une traversée jusqu’à la célèbre prison d’Alcatraz. Au fil des ans, elle a remporté de plus en plus de victoires, devenant finalement la troisième femme, et seulement la sixième personne,

et alii dit: à

japonais à AMIENS
Parmi les favoris des épreuves de natation, on retrouve Rikako Ikee. Trois ans après une leucémie, elle se battra pour décrocher un titre individuel au 100m papillon. « J’apprécie l’atmosphère de la ville d’Amiens, c’est beaucoup plus calme qu’à Tokyo ! », lance l’athlète en plaisantant.

et alii dit: à

Le 50 mètres nage à reculons fait partie de la catégorie nage libre. Cette épreuve se démarque par sa complexité puisqu’elle est classifiée comme la plus technique au monde. Inspirée de la nage du saumon fumé, elle n’est pas à la portée de tous. Une mauvaise coordination des mouvements peut être un atout pour exceller dans cette discipline.

D. dit: à

C’est bon, le saumon fumé.

et alii dit: à

JAPON/
ces techniques regroupées sous le nom de suijutsu (techniques de l’eau) devinrent un des dix-huit arts transmis dans les écoles de samouraïs et furent par la suite, suivant les endroits et les périodes, appelées suiren, tosuijutsu, etc. Différentes « traditions » prirent forme et des traités furent écrits. Dès le début du XIXe siècle, des compétitions entre différentes écoles furent organisées.

Le suijutsu est donc un savoir pratique adapté à chaque situation (comment nager en eau peu profonde, se battre au sabre loin du rivage, sauver un combattant de la noyade…), une science de l’analyse de l’eau (courants, profondeur…) à partir de données visuelles et tactiles, et un entrainement psychique favorisant l’immersion dans l’eau.

Treize traditions issues d’écoles différentes ont subsisté et sont à ce jour répertoriées.

et alii dit: à

Aujourd’hui, les féroces samouraïs ont disparu, et les pacifiques créatures de l’eau du nihon eiho peuvent s’exercer dans une des 132 nages répertoriées et homologuées par la Fédération japonaise de natation. Pour la plupart de ces nageurs, le but compétitif n’existe pas, leur intention première est en général de se sentir japonais et d’acquérir une discipline spirituelle, laquelle a pour but le mizu no kokoro, ce point où l’esprit (kokoro) devient comme de l’eau (mizu).

et alii dit: à

Bébés dans l’eau est une activité de loisir, très douce, pratiquée par les nourrissons dans une eau parfaitement saine et à une température de 32°. C’est redécouvrir en famille les joies et les bienfaits du milieu aquatique.
Le centre Paris Anim’ Grange aux Belles propose des ateliers aquatiques de « Bébés dans l’eau »
C’est une activité très douce pratiquée par les nourrissons dans une eau parfaitement saine et à une température de 32°. (Atelier de 30 à 45 min)
Proposer un contact précoce avec l’eau, c’est offrir à votre enfant un mode de vie privilégié de développement, des occasions de mouvement, un lieu de plaisir partagé, une opportunité d’échanges, de communication, de socialisation.
Les parents accompagnent l’enfant dans l’eau
Animé et encadré par Sofian, Yacine et Sophie – maîtres nageurs et animateurs aquatique, Tijani – animateur aquatique.
Lieu d’activité : Bassin Grange aux Belles – 17, rue Boy Zelenski – Paris 10
https://www.paris.fr/activites/bebes-nageurs-260

Nicolas dit: à

Grâce aux JO on sait qu’on peut confondre l’Olympe et le Paradis, ça n’a pourtant pas l’air de les réhabiliter auprès des intellos. Les intellos, tous des racistes ?

J J-J dit: à

Olympe de Gouge au Paradis ? Et comment !

renato dit: à

Il y a une différence essentielle entre l’Olympe et le Paradis des monothéistes, Nicolas. Le premier est le lieu de l’humain avec ses grandeurs et ses faiblesses ; le second est le lieu des branleurs et des hypocrites.

Bloom dit: à

Les saumons sont des poissons anadromes qui vivent en mer et remontent les rivères pour se repoduire en eau douce. C’est très spectaculaire à voir en Ecosse.
A l’opposé, les anguilles sont des poissons catadromes qui vivent eau douce et se reproduisent dans la mer des Sargasses, très loin de Chandigarh.
La catastrophe, c’est ce que péparent les bellicistes moyen-orientaux et le catamaran (mot tamoul) n’a aucun rapport avec une catastrophe rigolote, bien qu’il puisse dans certains cas permettre d’y échapper.

Chaloux dit: à

@Pablo

Je pense qu’ils la passent au jet.

J J-J dit: à

Je préférerai toujours héroïser un pédophile qui toute sa vie, aura lutté contre ses pulsions pour ne pas nuire aux enfants, plutôt que d’accabler « avec la meute », celui qui passa l’acte et ne put s’empêcher de récidiver.
Hélas, personne ne songera jamais à différencier le premier, victime de sa nature comme du second. Tous dans le même panier, nous expliqueront les idéologues de droite, éliminer, punir, enfermer, soigner, mais à quoi bon ? Les autres… d’abord, essayer de comprendre, puis d’aider et de soigner, avant de dissuader par les autres moyens traditionnels publics, si aucune amélioration n’était pas possible.
Voilà ce qu’a toujours expliqué un mien ami enseignant psycho-sociologique et politiste à ses étudiants, provoquant immanquablement une base de discussion préalable à l’élargissement de leurs consciences et leurs propres émotions…
L’herdélie enseignante restera aveugle, je le crains, à ce genre de pédagogie. Elle objectera. C’est dommage. Et nous allons bien voir.
Bàv, à demain, CT,… on verra bien, je vous espère un brin apaisée, en dépit des JO.

Marie Sasseur dit: à

Grâce aux JO on sait qu’on peut confondre l’Olympe et le Paradis
_____
Je rêve qu’un écrivain s’empare de l’histoire du tableau de Bijlert, un peu comme Laurent Binet l’avait excellemment fait à propos d’un vrai faux tableau de Pontormo.
Et là, s’inscrivant dans la très riche histoire du siècle d’or hollandais, voir D. Arasse, à l’époque d’une république naissante une fois débarrassés de la ferule mortifere des espagnols, et de l’école d’Utrech, pour finir aux JO 400 ans plus tard… Énorme.

Mais chut… place à Léon, Marchand de tableaux

Marie Sasseur dit: à

Le patron L. Marchand a gagné, quel exploit, vivre ça, énorme.

Clopine dit: à

Bah, Jj-J, vous savez, le mépris, qu’il soit de classe, qu’il provienne « du sexe fort », qu’il soit assis sur une « supériorité intellectuelle » jamais remise en cause (comment l’a-t-on acquise ? N’était-elle pas déjà là, dans votre berceau ? Et les bonnes fées vous prodiguant leurs bienfaits en même temps qu’elles vous enfournaient la cuillère en argent qui « vous revenait », »de droit », n’étaient-elles pas un tantinet perverses ?), n’a jamais été mieux compris et ressenti que par un vieux russe qui a tout dit dans « humiliés et offenses » (et je ne vous humilierai pas,ni ne vous offenserai, en vous rappelant le nom de ce vieux russe, vous connaissez son nom mieux que moi).

Alors, la cérémonie des J.O., à savoir le rêve réalisé d’un Jazzi macroniste triomphant, ben en réalité, ça fait juste partie d’un système relativement bien organisé, un peu à bout de souffle, certes, mais qui ne me concerne qu’en me prouvant un peu plus que… Je suis vivante, humiliée, offensée, mais vivante tout de même, non ?

Quand j’étais petite fille, à Noël, il y avait (je ne sais si c’est toujours le cas aujourd’hui), un cadeau qui consistait en fausses pièces de monnaies revêtues de papier doré, mais qui étaient en chocolat. On accrochait le petit sac au sapin. Les moins de six ans en avaient les yeux brillants…

Les médailles nationalistes, c’est pareil. Mais c’est juste du chocolat (de mauvaise qualité).

Clopine dit: à

Et ça permet juste à Macron de ne pas nommer sa future première ministre, pour sortir de son chapeau un candidat « consensuel » qui aura pour mission de préserver les intérêts de la classe dominante, sans remettre en cause l’urgence de sortir du système.

Vous me direz qu’il y a eu des canuts, et qu’ils ont juste été tués, donc battus, mais pourtant, leur message reste, à mon sens, d’actualité !

« Pour gouverner, il faut avoir
Manteaux et rubans (= médailles) en sautoir
Nous les tissons pour vous, grands de la terrer,
Mais nous, pauvres canuts, sans draps on nous enterre

Mais notre règne arrivera
Quand votre règne finira
Nous tisserons le linceul du vieux monde
Car on entend déjà la révolte qui gronde »

(et on sent déjà le feu qui dévore notre terre)

Jazzi dit: à

« la cérémonie des J.O., à savoir le rêve réalisé d’un Jazzi macroniste triomphant (…) me prouvant un peu plus que je suis vivant… »

conne.

Clopine dit: à

Jazzi, voici que tu m’insultes ?

Clopine dit: à

Juste parce que « la défense des minorités » se résume à un show de drag queens autocentrées sans autre projet politique que la revendication d’une individualité (sur fond de cartes postales d’un tourisme de masse, vendant un Paris jouisseur, égoïste et dominateur) excluant toute prise de conscience collective ?

Euh…

Bon, ben je préfère être « conne » sans toi qu' »intelligente » avec. Ou, précisément, l’inverse.

Pablo75 dit: à

Je pense qu’ils la passent au jet.
Chaloux dit:

C’est une vraie malade mentale qu’il faut calmer de temps en temps…

Pablo75 dit: à

n’a jamais été mieux compris et ressenti que par un VIEUX russe qui a tout dit dans « humiliés et offenses » (et je ne vous humilierai pas,ni ne vous offenserai, en vous rappelant le nom de ce VIEUX russe,
Clopine dit

Dostoïevski avait 39 ans quand il a publié « Humiliés et offensés ».

Jean Langoncet dit: à

Les fanatiques du Hamas ont perdu leur chef, les fanatiques ethnico-religieux maintiennent Bibi au pouvoir ; cocorico les zemouriens de là-bas : La république des livres du Livre se porte à merveille … et, cerise sur le gâteau, Trump conchie les JO ; on fait comment pour se faire naturaliser chinois en juillet 2024 ?
https://www.youtube.com/watch?v=d9p6IynfQEQ

Clopine dit: à

Oui, Pablo75, il n’avait que 39 ans… Mais à 28 ans, il a passé quatre ans de bagne. D’après vous, les années de bagne comptent combien pour vieillir un homme ? Euh… Faut compter comme pour les chiens, 7 ans pour 12 mois ? Disons oui, alors, ça fait
combien, euh, je pose 7 et je retiens 8 ? Moi je crois que, justement, chez le Dosto de 39 ans, c’était un type qui était déjà aussi vieux que l’humiliation qu’il avait vécue, qui écrivait comme on survit. M’enfin, ce que j’en dis… D’ailleurs, peut-être est-ce cela la caractéristique d »un écrivain comme Dosto. Il n’a pas eu le loisir d’être jeune. L’a été directement plongé dans un système qui aurait dû l’anéantir. Ca vous vieillit un homme, is-n’it ?

Chaloux dit: à

Bloomie, en grand admirateur de Francis Jammes depuis l’enfance, je prends l’âne sans problème. Ce sont des animaux merveilleux dont je connais plusieurs et dont je ne me lasse pas. Je les adore et ils me le rendent bien.

Pour le reste:
 » As usual, he just can’t tell his arse from his elbow. »

Embraye, passe la vitesse supérieure, et quitte le stade an.al.

Chaloux dit: à

Un jour dans un sauna, Dostoïevski a avoué à Tourgueniev qu’il avait violé et étranglé une petite fille.
Au lieu de l’insulter, Tourgueniev garde un silence de mort.
Pourquoi? Parce que si Tourgueniev avait insulté Dostoïevski celui-ci se serait cru absous. Le silence, au contraire, confirmait la condamnation.

Chaloux dit: à

Peut-être, si ton épouse consent à revenir une après-midi par semaine, pourra-t-elle t’y aider.

Clopine dit: à

Si je devais faire un film sur la base de « crime et châtiment, je ne pourrais pas m’empêcher de mettre à l’écran un Raskolnikolv avec une chevelure « noire » au début, et, au lendemain du double assassinat, « blanche ». Ce serait, à mon sens, assez cinématographique, pour montrer que dans ses confrontations avec l’inspecteur Colombo, euh, je veux dire, Petrovitch (qui sait dès le départ, comme Colombo et le lecteur, que Raslo est le coupable), il affiche la couleur de ses cheveux comme signe de sa culpabilité.

J’ai longtemps divagué sur cette « adaptation cinématographique » du roman. Mais bon, j’aurais tenté, je crois, d’atténuer la responsabilité de la pauvreté dans les actes de Rasko. Et j’aurais eu tort.

Clopine dit: à

Ah, Chaloux, voici toute la subtilité bourgeoise de la Rdl dans votre commentaire. Ce français de Tourgueniev contre ce forcené russe de Dosto !

Pablo75 dit: à

Mais à 28 ans, il a passé quatre ans de bagne. D’après vous, les années de bagne comptent combien pour vieillir un homme ? Euh… Faut compter comme pour les chiens, 7 ans pour 12 mois ? Disons oui, alors, ça fait combien, euh, je pose 7 et je retiens 8 ? Moi je crois que, justement, chez le Dosto de 39 ans, c’était un type qui était déjà aussi vieux que l’humiliation qu’il avait vécue, qui écrivait comme on survit.
Clopine dit:

On sent que tu connais très mal la vie de l’ami Fiodor (un Scorpion ascendant Sagittaire avec la Lune en Gémeaux – Lune très fréquente chez les écrivains):

« Le 23 janvier 1850, Dostoïevski arrive à Omsk (Souvenirs de la maison des morts). En sa qualité de noble, certaines punitions et certains mauvais traitements lui sont épargnés, ce qui lui vaut d’être détesté par les autres détenus. Les punitions corporelles lui sont épargnées sur l’intervention de M. de Grave, un officier d’origine française ; le médecin du camp le prend en sympathie et lui accorde des séjours à l’infirmerie.

Dans les baraquements, il partage sa vie avec des forçats de droit commun. Il écrit dans sa correspondance : « Je n’ai pas perdu mon temps : j’ai appris à bien connaître le peuple russe, comme peut-être peu le connaissent ». L’intellectuel de salon qu’il était commence alors son évolution : « J’étais coupable, j’en ai pleine conscience… J’ai été condamné légalement et en bonne justice… Ma longue expérience, pénible, douloureuse, m’a rendu ma lucidité… C’est ma croix, je l’ai méritée… Le bagne m’a beaucoup appris et beaucoup inculqué. » Il rencontre au bagne « les hommes les plus richement doués, les plus forts de tout notre peuple… », et se rapproche ainsi du « peuple russe » orthodoxe, rapprochement qui nourrira plus tard son slavophilisme. »
(Wikipedia)

Donc, les années de bagne de Dostoïevski ont compté simplement comme des années – et des années très importantes de formation intellectuelle et spirituelle – sans lesquelles il n’aurait pas été l’écrivain qu’il est.

Jazzi dit: à

« Les frères Karamazov respire la jeunesse ! »

Quand je dis conne c’est conne…

Jazzi dit: à

« Et j’aurais eu tort. »

Voilà une parole qui est bonne mais on peut la mettre d’ores et déjà au présent !

Clopine dit: à

Rien de trop beau, pour mes ânes, pas vrai ? Convoquons Ravel… Et contribuons à la mort d’un d’entre eux. Ah, la douleur, toujours, comme la mer, toujours recommencée.

Bon, je sais qu’on peut carrément se moquer.

Bah.

Pablo75 dit: à

Un jour dans un sauna, Dostoïevski a avoué à Tourgueniev qu’il avait violé et étranglé une petite fille.
Chaloux dit:

J’avais lu ou entendu cela (il y a très longtemps, chez Troyat?), mais en regardant dans mes notes de lecture, je trouve ceci:

… cette histoire où Dostoïevski raconte à Tourgueniev qu’il a violé jadis une petite fille. « Pourquoi me racontez-vous cela? » demande Tourgueniev. « Parce que je vous méprise… »
(Jean Baudrillard. Cool memories V)

rose dit: à

Nager jusqu’à Alcatraz, c’est dingue : les eaux sont glacées.

Et le bagne d’Edmond Dantès au château d’If ? Il avait vingt deux ans.

rose dit: à

Je ne soutiendrai pas plus le pédophile qui résiste à ses pulsions que celui qui y cède.

Pablo75 dit: à

Et ceci:

« Le double » de Dostoïevski (de très loin, ce que Dostoïevski a écrit de mieux).
(Vladimir Nabokov. Lettres choisies)

Clopine dit: à

Justement non, les frères Karamazov, qui, comme les Mousquetaires de Dumas, étaient quatre au lieu de trois, se démènent dans le crépuscule du tsarisme. Or je crois fermement que nos enfants doivent se débattre, aujourd’hui, contre un capitalisme mortifère. Mais bon, on peut toujours dire que « jusqu’ici, tout va bien ». (grâce, d’ailleurs, à un barrage contre le rn dont on se demande si d’aucuns sont bien persuadés de son utilité).

rose dit: à

Et bien oui, pour le bagne. Et même la Kolyma pour eux qui supportent le froid. Et que l’on en ressorte vivant !

rose dit: à

Et Jean Valjean, qu’a fait le bagne de lui ?
Et bien, l’homme qu’il est devenu.

Pablo75 dit: à

Et ceci encore:

« Il n’y a pas une once – j’ose le dire – de « vérité » dans Dostoïevski. »

Julien Gracq. « Proust considéré comme terminus ».

rose dit: à

Joli papier. Jamais atteint « d’exaltation béate » mais ça viendra sans doute dans la douce mélodie des clapotis.

Oui, oui, Nicolas.

Chaloux dit: à

Chers amis de la RDL, c’est avec sollicitude, et, disons le mot, une certaine inquiétude, que j’ai sélectionné pour vous la page jointe ci-dessous. Elle traite d’un mal trop peu connu, et qui pourtant fait des ravages dans les familles, dans les entreprises, dans les transports en commun, sur les aires d’autoroutes, à la poste, chez le boucher, dans les cours de yoga etc. : le syndrome d’Hubris.
Vous vous demandez en quoi consiste ce syndrome ?
En voici un premier résumé :
« Les personnes souffrant du syndrome d’Hubris développent un narcissisme, une confiance et une arrogance excessifs avec un sentiment de toute puissance. Elles se surestiment en permanence, ont toujours l’impression d’avoir raison, sont intolérantes à la contradiction, et ne se remettent jamais en cause. C’est le cas des tyrans comme Hitler. Elles sont impulsives, n’hésitent pas à user du mensonge et de la manipulation pour parvenir à leurs fins. Pour elles, les apparences sont reines. « Elles perdent peu à peu le contact avec la réalité, se sentent invulnérables, ont une confiance excessive dans leurs décisions »,
J’espère que cette lecture provoquera chez certains d’entre vous une première prise de conscience, un nouvel élan, et surtout qu’elle sera, à terme, pour des personnes en souffrance, l’amorce d’un nouveau départ.
N’hésitez pas ! Faites lire cette page à vos enfants, s’ils vous parlent encore, à vos parents, s’ils ne sont pas morts de chagrin, à vos conjoints, s’ils acceptent de vous visiter une après-midi par semaine, à vos amis, s’ils ne vous ont pas tous fui, et exigez d’eux qu’ils répondent, sans ambages, à cette question : reconnaissent-ils, dans la description de ce mal, une personne de leur entourage ? Si c’est le cas, ce sera peut-être un premier pas vers des soins nécessaires !

Bien sincèrement,

Chaloux.

https://www.doctissimo.fr/psychologie/maladies-psychiatriques-sante-mentale/les-autres-troubles-mentaux/le-syndrome-dhubris-quand-le-pouvoir-rend-fou/c5f4b6_ar.html#le-syndrome-d-hubris-definition

Samuel dit: à

L’âne est longanime, sage et plein de bonté. C’est le Sisyphe du règne animal, supportant vaillammant son labeur sans jamais se plaindre.
L’Âne d’or d’Apulée de Madaure est le premier « roman » de l’histoire de l’humanité : Ce que doit la littérature aux ânes !

Chaloux dit: à

@Pablo. Pas lu dans le Dosto de Troyat (que j’ai sans l’avoir lu). Il me semble que j’ai plutôt lu cela autour de Flaubert, confidence de T. à F ?
Dans ta version, T répond, et dans la mienne il ne répond pas. Tirons cela au clair !

Clopine, je ne comprends rien à ce que vous écrivez. Il y a des bourgeois assassins, comme il y a des cheminots assassins. Votre point de vue est abusivement sociologique. Et il y a même des bourgeois innocents, par exemple ce pauvre notaire de Bruais-en-Artois, trainé dans la boue par un juge obsédé des mêmes idées que vous, et qui n’y était pour rien. Sociologiquement, Dostoïevski appartient bel et bien à une certaine bourgeoisie, renseignez-vous. Son œuvre est certes pleine de bourgeois qui ne parviennent pas à s’en sortir, ce qui ne les fait pas sortir de l’état de bourgeoisie. D’où voudriez-vous qu’il ait tiré ce qu’il écrit, si ce n’est de son état de bourgeois même (même déconfit) ?

Chaloux dit: à

Lorsqu’il faudra aller vers vous, ô mon Dieu, faites
que ce soit par un jour où la campagne en fête
poudroiera. Je désire, ainsi que je fis ici-bas,
choisir un chemin pour aller, comme il me plaira,
au Paradis, où sont en plein jour les étoiles.
Je prendrai mon bâton et sur la grande route
j’irai, et je dirai aux ânes, mes amis :
Je suis Francis Jammes et je vais au Paradis,
car il n’y a pas d’enfer au pays du Bon Dieu.
Je leur dirai :  » Venez, doux amis du ciel bleu,
pauvres bêtes chéries qui, d’un brusque mouvement d’oreille,
chassez les mouches plates, les coups et les abeilles. »
Que je Vous apparaisse au milieu de ces bêtes
que j’aime tant parce qu’elles baissent la tête
doucement, et s’arrêtent en joignant leurs petits pieds
d’une façon bien douce et qui vous fait pitié.
J’arriverai suivi de leurs milliers d’oreilles,
suivi de ceux qui portent au flanc des corbeilles,
de ceux traînant des voitures de saltimbanques
ou des voitures de plumeaux et de fer-blanc,
de ceux qui ont au dos des bidons bossués,
des ânesses pleines comme des outres, aux pas cassés,
de ceux à qui l’on met de petits pantalons
à cause des plaies bleues et suintantes que font
les mouches entêtées qui s’y groupent en ronds.
Mon Dieu, faites qu’avec ces ânes je Vous vienne.
Faites que, dans la paix, des anges nous conduisent
vers des ruisseaux touffus où tremblent des cerises
lisses comme la chair qui rit des jeunes filles,
et faites que, penché dans ce séjour des âmes,
sur vos divines eaux, je sois pareil aux ânes
qui mireront leur humble et douce pauvreté
à la limpidité de l’amour éternel.

Francis Jammes

Marie Sasseur dit: à

Exploit exceptionnel, de L. Marchand.
Fantastique
Oui, merci Léon, c’était grand

Clopine dit: à

Chaloux, moi, je comprends trop bien, non à ce que vous écrivez, mais à ce que vous êtes. Vous allez remuez de la tête, dire que c’est abusif de ma part, et de quel droit, et que j’exerce sur vous une violence intolérable… Mais pourtant, quand on a lu peu de livres, ou regardé des images, in fine, il y a derrière les mots comme une photographie, au pire, ou au moins un portrait, au mieux, qui se dégagent de l’objectif ou du pinceau. Sont-ils plus pertinents de ce que vous pensez de vous-même ? J’ai comme une tendance à croire que oui. Et d’accord, je suis, ce faisant, outrecuidante.

Samuel dit: à

Erratum :
…vaillammEnt…

Jazzi dit: à

« reconnaissent-ils, dans la description de ce mal, une personne de leur entourage ? »

Clopine !

rose dit: à

Sa mère est marseillaise. Elle est peut-être née dans l’eau.
(Je sors).

Marie Sasseur dit: à

Leon Marchand a commencé avec les Dauphins du TOEC de Toulouse, un club au palmarès impressionnant, mais sur la rdl, il convient d’en rappeler un champion puisque Passou a biographé A. Nakache.

rose dit: à

il convient d’en rappeler un champion puisque Passou a biographé A. Nakache.

Oui. Récemment.

J J-J dit: à

@ rôz, pmp il ne s’agissait pas de « soutenir » l’un ou l’autre. Bàv2, et beaux rêves de nages.

Chaloux dit: à

Clopine, votre sentiment de supériorité, qui suinte à chacun de vos mots depuis toujours, tient sans doute à l’idée que vous vous êtes faite de la vie, et à la façon dont vous vous racontez à vous-même, délires dont rien ne peut vous faire démordre.
De mon côté, je pense que la première chose à faire est de se défaire de toute tradition et origine familiales et d’aller dans la vie, sans se demander si l’on est riche, pauvre, déchu, mais de prendre tout ce que l’on peut prendre, le château de Versailles et le ghetto de Venise, Saint-Simon (le duc) et Vallès, et même Jean Meslier s’il le faut, d’aller où on doit aller, que ce soit en esprit ou en réalité, simplement parce qu’il est douteux que le voyage ait lieu deux fois. Voyez Casanova (je ne parle pas du séducteur mais de tout le reste de l’homme), qui a certes souffert de sa relativement basse extraction mais qui ne s’en est pas laissé compter par elle, qui s’en est même affranchi autant qu’il lui était possible.

Et je vous le dis sans user de l’effroyable sabir dont vous vous servez à mon égard : je pense que vous n’avez rien compris à ce que vous avez lu, rien de rien, parce que (il y a des années que je vous lis, même si maintenant je saute vos posts qui rabâchent sempiternellement la même chose), votre seul problème, votre unique intérêt, ce ne sont pas les livres, ni la littérature, c’est vous même, uniquement et parfaitement vous-même. Vous êtes le cercle même où vous êtes enfermée. Il n’y a pour vous que vous au monde. Vous êtes la victime consentante d’un monstrueux narcissisme qui ne peut mener nulle-part. Précisément, là même où semblez être.

Chaloux dit: à

« où vous semblez être ».

J J-J dit: à

(nb ou ps) – Il ne s’agit pas « d’excuser » non plus l’auteur du tort, pas plus que de nier le mal subi par la victime. Il s’agit de réfléchir un peu à la façon dont nous fonctionnons… juste de temps à autre, sur ce que nous sommes, ce que nous croyons, et de nous extraire de nos idiosyncrasies pour nous mieux voir « juger » et « condamner » le monde des vivants dans lequel nous nous baignons. Un monde où personne ne vaut mieux que quiconque, de Jean Valjean ou du p’tit prince de St Exupérie.

J J-J dit: à

@ qui ne s’en est pas laissé compter /// CONTER, nom de dieu ! SVPlease

@ et chacun, bien sûr, a ses points aveugles, mais également des capacités d’évolutions positives, même si ce n’est jamais gagné d’avance pour personne… Moij par exemple, j’ai tendance à ma- glu-tiner. Car j’aime bien essayer de discuter avec tout le monde, ce qui n’est pas tjs facile avec d’aucuns dont on n’a pas toujours envie d’avoir des atomes crochus, parce qu’on ne les ressens pas… et c’est instinctuel…
Nous sommes périssables et suffocatoires. Tous et toutes animalcules. Comme chez Etienne De Greff, avec des instincts de défense et/ou de sympathie.
Bàv,

Chaloux dit: à

La visqueuse, ton sabir de dégénéré ne contient jamais d’erreur?

Chaloux dit: à

« qu’on ne les ressens pas ».

La visqueuse, balaie devant ta porte…

(Il arrive parfois que la pensée fasse des jeux de mots, mais ton erreur est celle d’un enfant de sept ans. Ton âge mental, en somme, du moins ce qu’il en reste).

Chaloux dit: à

Sabir de la Gigi (hauts plateaux de la Charente):

« pas tjs facile avec d’aucuns dont on n’a pas toujours envie d’avoir des atomes crochus, parce qu’on ne les ressens pas… ».

Hurkhurkhurk!

rose dit: à

Un monde où personne ne vaut mieux que quiconque.

Personne.

rose dit: à

Garder deux choses à l’esprit toutefois.
La bagne reste l’expérience limite, dangereuse.
Navalny y a laissé sa peau.
Ce que ne sait pas Poutine, cet assassin, c’est qu’il y a une frange d’individus que l’on ne mate pas. Des irréductibles en somme.

rose dit: à

@ et chacun, bien sûr, a ses points aveugles, mais également des capacités d’évolutions positives, même si ce n’est jamais gagné d’avance pour personne…

Chacun.
Jamais gagné.
On recouvre.
C comme le bébé qui apprend à marcher.
Le danger qd même (je l’ai aussi), c’est la fixette.

D. dit: à

« Les jeux sont une ambition qui est en train de payer » lance Gabriel Attal ce premier août, en baissant la rémunération du livret d’épargne populaire (LEP)de 5 a 4 %.

Manifestement, ça ne « paye » pas pour tout le monde.

ATTENTION A LA TORPEUR ESTIVALE.
NE NOUS MÉPRENONS PAS SUR QUI NOUS GOUVERNE.

Marie Sasseur dit: à

Pas si récent que ça « le nageur » de Passou, lu y a plus d’un an.
Enfin et heureusement autres temps, autres mœurs, des Cartonnet dans les bassins y’en a plus.
________

Hier soir Leon Marchand, de rêves, papillon véloce, est entré en brassant, dans la grande histoire sportive.

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