de Pierre Assouline

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La République des livres
Eblouissante obscurité des sonnets de Garcia Lorca

Eblouissante obscurité des sonnets de Garcia Lorca

Qu’on le veuille ou non, il en va de Federico Garcia Lorca comme de Heinrich von Kleist : impossible d’évoquer leur œuvre en oubliant l’ombre portée de leur mort sur leur vie. Dans le cas du premier, son exécution par des miliciens franquistes ; dans celui du second, son suicide avec sa maitresse. Les éditeurs de l’Anthologie bilingue de la poésie espagnole dans la Pléiade assurent même que si Garcia Lorca (1898-1936) la domine avec Cervantès aux yeux des lecteurs, les conditions tragiques de sa mort n’y sont pas étrangères ; quant à Cioran, il allait même plus loin en jugeant impossible de lire une ligne de Kleist sans penser qu’il s’est donné la mort, comme si son suicide avait précédé son œuvre (De l’inconvénient d’être né). C’est dire l’accueil réservé à tout ce qui sort encore de la plume du poète andalou. Non des inédits ni des exhumations mais des résurrections dans notre langue. Le cas des Sonnets de l’amour obscur (Sonetos del amor oscuro, 64 pages, 7 euros, Allia). Quasiment une plaquette mais, comme toujours sous les auspices de cet éditeur, publiée avec un soin particulier apporté à la typographie, la mise en page, le papier. Ce souci de la qualité éditoriale est d’autant bienvenu que le livre reproduit, outre quelques photos d’époque, des dessins de l’auteur à l’encre bleue sur papier fort, des encres de Chine, crayons de couleur et gouaches sur bristol ou carton.

Avant même d’avoir été lus, ces onze poèmes étaient entrés dans la légende car ils étaient précédés par la rumeur hantant de longue date les cercles des admirateurs de Garcia Lorca. On les disait perdus même si quelques uns étaient connus. Dans une éclairante présentation, la traductrice Line Amselem, à qui l’on devait déjà la transhumance en français de Jeu et théorie du duende, Le cante jondo, Les berceuses et Complaintes gitanes du même auteur, rappelle le chemin tortueux suivi par ces sonnets avant de parvenir jusqu’à nous. La première fois, ce fut sous une forme on ne peut plus clandestine : sans nom d’auteur ni d’éditeur, dans un tirage de 250 exemplaires non-commercialisé, en 1983 à Grenade (le poète était né à 50 kms de là, à Fuente Vaqueros). Pourtant le général Franco était mort depuis plusieurs années.

Étrangement, c’est en français et non en espagnol que ces fameux onze textes étaient parus ensemble pour la première fois en pleine lumière, deux ans avant, pour l’édition des œuvres de Garcia Lorca dans la Bibliothèque de la Pléiade. Face à la crainte d’une multiplication d’éditions pirates, les ayants-droits durent céder et ils parurent enfin en espagnol par les soins du supplément culturel du journal ABC au sein d’un important dossier consacré au poète (1984). A une nuance près, un détail qui n’en est pas un : le titre y avait été amputé de « oscuro » car l’obscurité en question désignait, on s’en doute, l’arrière-fond homosexuel des sonnets. Il est omniprésent mais voilé sous les métaphores, ce qui renforce l’universalité de l’amour en question. De toute façon, ce fameux titre n’avait pas été établi, fixé, figé par son auteur. Seuls deux poètes et amis, Vicente Aleixandre et Pablo Neruda (du temps où celui-ci était consul du Chili en Espagne), devant lesquels Garcia Lorca avait lu ses sonnets, ont témoigné de l’authenticité du titre.

Proust disait de tout créateur de sonnet qu’il pétrarquise. Quatorze vers, deux quatrains (cuartetos), deux tercets. L’exposé d’un questionnement suivi en chute de celui de sa solution. Une forme aussi corsetée que celle du haïku mais qui ouvre aux plus vastes perspectives. Une virtuosité derrière laquelle transparait le musicien en Garcia Lorca (un sonnet se doit de sonare, sonner) qui, dans le cas présent, se met « au service de la finesse de son esprit, dans la fulgurance dictée par la brièveté » selon Line Amselem. En s’attaquant à cette forme poétique strictement codifiée, Garcia Lorca avait deux modèles en tête, deux références : les 154 Sonnets de Shakespeare (dont la majorité numérotés de 18 à 126 expriment son amour pour un jeune homme) qu’il a pu lire soit en version originale soit en traduction (on peut lire ici une analyse fine de leurs traductions en espagnol) ; et les Sonnets de la nuit obscure (La noche oscura) de Jean de la Croix, chez lequel la traductrice relève nombre d’emprunts lexicaux. Par souci du rythme, de la cadence, la respiration, elle a choisi de rendre l’hendécasyllabe (vers de onze syllabes) par un vers en contenant une de moins.

Toute nouvelle traduction est redevable à celles qui l’ont précédée. Cette édition des Sonnets de l’amour obscur est aussi discrète que précieuse dans la double acception du terme par la délicatesse avec laquelle elle rend présente, chaleureuse, presque familière la sensualité de celui qui se disait ni un homme, ni un poète, ni une feuille mais « un pouls blessé qui sonde les choses de l’autre côté » (in Poète à New York). Afin d’en juger, voici à la suite de la version originale du Sonnet de la douce plainte (Soneto de la dulce queja), la traduction publiée dans l’Anthologie de la poésie espagnole suivie de celle de Line Amselem (2024) :

« Tengo miedo a perder la maravilla/ de tus ojos de estatua y el acento/ que me pone de noche en la mejilla/ la solitaria rosa de tu aliento.

Tengo pena de ser en esta orilla/ tronco sin ramas, y lo que más siento/ es no tener la flor, pulpa o arcilla,/ para el gusano de mi sufrimiento.

Si tú eres el tesoro oculto mío,/ si eres mi cruz y mi dolor mojado,/ si soy el perro de tu señoro,

no me dejes perder lo que he ganado/ y decora las aguas de tu rio/ con hojas de mi otoño enajenado. »

    Traduction publiée dans l’Anthologie bilingue de la poésie espagnole :

“J’ai peur de perdre la merveille/ De tes yeux de statue et cet accent/ Que vient poser la nuit près de ma tempe/ La rose solitaire de ton haleine.

Je m’attriste de n’être en cette rive/ Qu’un tronc sans branche et mon plus grand tourment/ Est de n’avoir la fleur- pulpe ou argile-/ Qui nourrirait le ver de ma souffrance.

Si tu es le trésor que je recèle/ Ma douce croix et ma douleur noyée/ Et si je suis le chien de ton altesse

Ah, garde-moi le bien que j’ai Gagné/ Et prends pour embellir ta rivière/ Ces feuilles d’un automne désolé. »

    Et dans la traduction de Line Amselem (2024) établie à partir de différents déchiffrages de l’original :

“ J’ai la crainte de perdre le prodige/ de tes yeux de statue, et cette touche/ que me met sur la joue pendant la nuit/ la solitaire rose de ton soufflé.

Je suis triste d’être sur cette rive/ un tronc sans branche, et plus encor me coûte/ de n’avoir pas la fleur, pulpe ou argile,/ pour le ver rongeur par lequel je souffre.

Si tu es mon bien caché, mon trésor,/ si tu es ma croix, ma douleur mouillée,/ et si je suis le chien de ta couronne,/

fais que je garde ce que j’ai gagné/ et de ta rivière les eaux décore/ de feuilles de mon automne emporté.”

( » Sans titre », « Portrait de Dali », « Autoportrait » dessins à l’encre sur papier de Federico Garcia Lorca, D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Poésie.

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commentaires

1 219 Réponses pour Eblouissante obscurité des sonnets de Garcia Lorca

et alii dit: à

vipère
UN HABITANT de la nièvre m’a raconté qu’ado, il ramassait des vipères et les déoosais à la pharmacie pour un labo qui le payait à la pièce;on en faisait du serum contre les morsures

et alii dit: à

les déposais

et alii dit: à

en 2017/
L’unique sérum contre les morsures de vipère est en pénurie
SANTÉ•Il doit être normalement administré durant les 15 heures après la morsure…
c’est fini

B dit: à

Clopine, vous avez commis une faute, quand à pour quant à, faut-il la considérer comme signifiante, en d’autres termes termes, serait-ce l’aveu d’une  » mistake » .

puck dit: à

pedro : « Toute considération sociologique ou politique sur lui est bidon. Lorca avait de très bons amis falangistas et aussi d’extrême gauche. C’est son apolitisme, sa naïveté politique qui lui a coûté la vie. »

Garcia Lorca a effectivement voulu se réfugier chez ces amis phalangistes, mais pas assez bons amis pour lui sauver la vie :

quant à sa naïveté politique qui lui a coûté la vie : quelqu’un peut m’expliquer exactement c’est quoi exactement la « naïveté politique » ?

puck dit: à

pedro : « Lorca était un fils de bourgeois qui aimait les beaux gitans. Ce qui le fascinait dans le peuple andalou c’était avant tout sa liberté, que lui, homosexuel caché, n’avait pas, ou plutôt son « indomptabilité ». »

je suis pas sûr que Garcia Lorca aurait bien aimé cette idée.

mais si c’est le cas il faut remercier Dieu de nous avoir pondu des « beaux gitans » capables de donner d’aussi beaux poèmes.

Pablo75 dit: à

[Paco de Lucia] Quand il a commencé sa carrière, sous l’ère Franco, les gitans étaient des « non existants », pour voir un concert donné par des gitans il fallait aller dans des lieux cachés, il fallait être sûr que ceux qui connaissaient ces lieux interdits ne fileraient pas l’info à la police, sinon ils faisaient de descente et ils embarquaient tout le monde. D’autant que parmi les jeunes qui assistaient à ces concerts certains cachaient derrière leur blouson un tee shirt avec un beau portrait du Ché. […] très tôt il joue avec un chanteur gitan qui n’aurait jamais pu se produire sur scène si ce n’était pas Paco de Lucia.
puck dit:

Là on nage en plein délire communiste des années 50-60. Et le délirant est quelqu’un qui ne connaître strictement rien à l’Espagne et au flamenco.

Le flamenco était méprisé par la Gauche espagnole sous Franco parce que tous ses grands noms étaient des franquistes (Lola Flores étant sa caricature). Le franquisme a toujours appuyé le flamenco, comme symbole nationaliste et pour attirer les touristes. Après la guerre civile, il y avait à Madrid des centaines de « tablaos flamencos », des lieux où l’on pouvait l’écouter et voir ses danses (Paco de Lucía y a travaillé à ses débuts dans les années 60). Le franquisme a multiplié les Festivals de flamenco, et pas qu’en Andalousie. L’un des plus importants, le Festival Internacional del Cante de las Minas a été créé dans la région de Murcia en 1961. En Andalousie il y en avait des milliers, dans toutes les grandes villes mais aussi dans les petits villages, comme celui de Moguer. Paco de Lucía a commencé à être connu dans le milieu grâce au Concurso Internacional de Arte Flamenco de Jerez de la Frontera en 1962.

Le flamenco était tellement « inexistant » sous le franquisme que l’un de ses plus grands danseurs, Antonio Gades, communiste et après la mort de Franco à gauche du PCE, a été envoyé en 1964 à l’Exposition Internationale de New York pour représenter l’Espagne. Gades, qui n’a jamais caché qu’il était de gauche, a monté plein de spectacles sur Lorca pendant le franquisme.

Le cinéma franquiste est plein de chanteurs et danseurs flamencos, et d’histoires de gitans. Pour tout jeune qui a vécu en Espagne dans les 20 dernières années du franquisme le flamenco était un truc ringard, qui puait le nationalisme le plus arriéré et qui était pour cela défendu par la Droite la plus rance. Flamenco et toros allaient ensemble et ont connu un succès fou pendant les franquisme à cause du tourisme. C’est la démocratie qui a fait du flamenco une mode de gauche.

Mais je ne sais pas pourquoi je perds mon temps à réfuter les délires d’un type qui ne sait pas de quoi il parle et dont le cerveau n’est plus en état de raisonner. Pour savoir la vérité en lisant les radotages de PPPP (sur le flamenco ou sur la Russie) il suffit de se dire que la vérité est l’exacte contraire de ce qu’il écrit.

Pablo75 dit: à

Garcia Lorca a effectivement voulu se réfugier chez ces amis phalangistes, mais pas assez bons amis pour lui sauver la vie :
quant à sa naïveté politique qui lui a coûté la vie : quelqu’un peut m’expliquer exactement c’est quoi exactement la « naïveté politique »
puck dit:

Lorca, ayant beaucoup d’amis chez les phalangistes (dont José Antonio Primo de Rivera, le fondateur de la Falange) mais aussi chez la gauche et l’extrême gauche, a cru très naïvement qu’il pouvait rentrer à Granada quand la guerre civile a éclatée (alors que tout le monde lui recommandait de pas le faire). Quand il a vu la violence extrême des franquistes contre tout ce qui était ou paraissait de gauche dans sa ville, il a eu peur et il est allé se réfugier chez les frères Rosales (dont l’un, Luis Rosales, allait être un poète très connu pendant le franquisme), qui étaient phalangistes. Mais à Granada il y avait deux groupes de phalangistes qui s’opposaient, les fanatiques et les plus modérés des frères Rosales. Quand les fanatiques ont su que Lorca (qu’ils considéraient comme de gauche et homosexuel) était réfugié chez eux ils sont allé le chercher et l’ont fusillé pour montrer au groupe des frères Rosales qui avait le pouvoir dans la ville.

Pablo75 dit: à

@ Rapanui

Quel plaisir d’emmerder des sous-merdes enragés comme toi !!

rose dit: à

Comme si d.ieu pondait 🙄 !

rose dit: à

Je raconte à ma mère, brièvement, Dominique Pélicot qui répond au Président du Tribunal « je l’aimais énormément ». (À moins que ce ne soit « je l’aime », je préfère éviter l’idée).
Emma répond tout de go et sans réfléchir :
« Eh bien heureusement. »

Ma mère, magnifique !!!

rose dit: à

Ma mère, sans aucun doute, dit-elle, a du sang gitan dans les veines, elle croit que c’est par son père.

Jazzi dit: à

« C’est la démocratie qui a fait du flamenco une mode de gauche. »

Il faudrait faire une analyse sur la présence du flamenco dans le cinéma d’Almodovar, cinéaste phare de la Movida, Pablo75 ?

rose dit: à

Je me demande l’intérêt réel de divulguer la recette :
« préparées bien à l’avance : trois cachets de 2,5 milligrammes écrasés et stockés dans « une petite pipette ». »

Jazzi dit: à

« Pedro Almodóvar, selon les critiques, a redéfini la perception de l’Espagne et du cinéma espagnol. La majorité de ses films sont tournés en Espagne, en particulier à Madrid ou dans la région de La Manche, et présentent des symboles typiques espagnols, comme la tauromachie, le gaspacho ou le flamenco. » (wiki)

Et plus généralement, le flamenco dans le cinéma espagnol
http://www.flamencoweb.fr/spip.php?article81

puck dit: à

pedro merci pour ces explications très éclairantes sur le fait que les espagnols qu’ils soient de droite ou de gauche partageaient ce racisme anti gitans…

sauf que tu ne m’as dis ce que tu entends par « naïveté politique » ?

pour en rester à ta savance tu peux aussi me confirmer tu vois vraiment Garcia Lorca comme un bourgeois homo amoureux des petits c.ls des gitans ?

Rapanui dit: à

des sous-merdes enragés

« enragéEs».
Ce sera et syntaxe et grammaire pour Bouzin75, qui ignore encore que l’adjectif s’accorde en genre & en nombre. Le cancre a passé trop de temps au coin avec un bonnet d’âne sur sa tête d’épingle, ça se paie cash.
Quelle tanche!

et alii dit: à

La bohemienne!
construction d’un discours stéréotypé sur les Tsiganes, partant une représentation de l’altérité, vont agir comme un miroir reflétant les problématiques sociales du temps [13]. Berchtold souligne que cette « vision de l’altérité s’exerce surtout à travers le personnage de la Bohémienne » [14]. Pensée comme sensuelle, mystérieuse et audacieuse, la Bohémienne exerce la fascination la plus forte sur les auteurs de cette époque, jusqu’à devenir un type littéraire et musical dont la Carmen de Mérimée, mais surtout de Bizet témoigne magnifiquement. Pensée comme fière et sauvage, soumise à ses instincts, un peu sorcière, fatale pour elle-même et pour ceux qui l’approchent de trop près, la Bohémienne est toujours du côté d’un féminin excessif, d’une sensualité à fleur de peau dont la danse est le révélateur :

« Elle dansait, elle tournait, elle tourbillonnait sur un vieux tapis de Perse, jeté négligemment sous ses pieds ; et chaque fois qu’en tournoyant sa rayonnante figure passait devant nous, ses grands yeux noirs vous jetaient un éclair. Autour d’elle tous les regards étaient fixes, toutes les bouches ouvertes ; et en effet, tandis qu’elle dansait ainsi, un bourdonnement du tambour de basque que ses deux bras ronds et purs élevaient au-dessus de sa tête, mince, frêle et vive comme une guêpe, avec son corsage d’or sans pli, sa robe bariolée qui se gonflait, avec ses épaules nues, ses jambes fines que sa jupe découvraient par moments, ses cheveux noirs, ses yeux de flamme, c’était une surnaturelle créature [15]. »
https://shs.cairn.info/revue-etudes-tsiganes-2011-3-page-26?lang=fr

D. dit: à

Moi je n’aime pas la musique gitane.

Pablo75 dit: à

@ Rapanui

Quel bonheur d’emmerder des avortons hystériques dans ton genre !!

Pablo75 dit: à

ce racisme anti gitans…
puck dit:

Tu as atteint là le niveau zéro de la discussion.

Ne me fais plus perdre mon temps, PPPP.

Pablo75 dit: à

Il faudrait faire une analyse sur la présence du flamenco dans le cinéma d’Almodovar, cinéaste phare de la Movida, Pablo75 ?
Jazzi dit:

N’étant pas un spécialiste ni du flamenco ni d’Almodóvar, ce n’est pas à moi qu’il faut le dire.

Rapanui dit: à

@Quel bonheur d’emmerder des avortons hystériques dans ton genre !!

Faut changer de disque, Bouzin, c’est bien limité tout ça.
Bon, quand on a affaire à un spécialiste en fosses sceptiques et autres insultes cloacales, on conçoit qu’il faille tout retraduire en français sauf les mots qui salissent.
Ex : N’étant pas un spécialiste ni du flamenco ni d’Almodóvar, ce n’est pas à moi qu’il faut le dire.
= N’étant spécialiste ni de flamenco ni d’Almodóvar, ce n’est pas à moi qu’il faut le demander.
Fastoche, non?
On parie que le contrefait va continuer à nous amuser?

Pablo75 dit: à

@ Rapanui

Bien sûr, AVORTON, bien sûr…

B dit: à

Fastoche, non?

cessez la facétie, Pablo s’exprime dans un français des barrios et son père lui a aussi mis une guitare entre les mains alors qu’il s’était cassé une jambe. Il faut rendre à Pablo ce qui appartient à Pablo, à coté d’une culture indéniable un esprit qui n’aura guère profité de la plus-value attendue, un caractère de merde, un certain opportunisme, des relations d’interet, un amour pour les blondes pures, des opinions tranchées, un sens de la négociation incomparable, l’amour du prochain ( voir de la prochaine?) je vous laisse le soin de completer mes suppositions pour une liste plus exhaustive

Chaloux dit: à

J’ai l’impression que cet après-midi c’est « reine d’un jour » pour le club franco-belge des vieilles poi.vrotes réunies.

Il faut donc se dire « à demain ».

puck dit: à

pedroooo!!! mon pedro adoré, ne sois pas fâché.

tiens que pour toi mon pedrito, un cadeau, un arrangement d’une petite chanson populaire russe « le vieux tilleul » parce que chez les russes cet arbre est lié à l’amour et à l’amitié, et comme tu le sais bien l’âme russe répandra un jour sur ce monde une amitié universelle entre les peuples, c’est la mission que Dieu a donné à ce peuple, ce que l’occident dans sa piètre cupidité et son égoïsme n’a jamais su faire, tu es bien placé, l’Espagne qui a pillé l’Amérique du sud et exterminé les peuples qui y vivaient en est un bon exemple, du coup aujourd’hui les espagnols ne sont pas très bien placés pour donner des leçons autres, pas vrai mon pedrito adoré ?

met tes écouteurs et écoute cette chanson, mais surtout ne pleure pas parce que c’est un cadeau et je ne voudrais pas que cette musique russe te fasse pleurer mon chouchou d’amour.

https://www.youtube.com/watch?v=IMrycThTMtg&ab_channel=StevenLaw

B dit: à

vieilles poi.vrotes réunies.

vieille, je vous le concède, mais pas alcoolo. Pablo est votre ami, nous ne sommes pas obligés de l’encenser pour autant et pour son tact légendaire.

Pablo75 dit: à

Si B. et Puck-Puck faisaient un gosse ensemble ça donnerait un Rapanui l’Avorton.

Le niveau intellectuel de ce blog est en train de vraiment dégringoler avec des tels trolls…

B dit: à

parce que pour vous il n’y a que ça, le niveau, l’intellectualité. Cultivez la forme, Pablo, vous y gagneriez en sympathie.

Patrice Charoulet dit: à

AMIEL

Le « Journal intime » d’Amiel comporte 16 900 pages.

Clopine dit: à

On sait tous que le procès Mazan va aboutir à une redéfinition de la loi, puisque, pour une fois, il semble que la moitié de l’opinion féminine de notre société écarquille les yeux.

On sait tous que dans l’affaire Vuillemin, (je dis pas « le petit Grégory », parce que ça…), le choix d’un avocat d’extrême-droite a instrumentalisé le calvaire des parents (surtout de la mère) jusqu’au passage à l’acte du père.

Mais tout ça met en accusation la Loi.

Et à ce qu’elle sert, en définitive.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

J’aime beaucoup ce blog que j’estime être d’un excellent nibeau en dépit de la présence de quelques personnes dont les commentaires sont réellement pitoyables, comme ceux de Pablo76 ou de renaton, mais je suis ben contente de l’avoir découvert totalement par hasard il y a quelques semaines de cela.

Clopine dit: à

Bon, soyons un tantinet plus explicite. Si nous nous donnons à nous-même des lois, si nous signons des contrats sociaux, si nous avons confiance dans nos tribunaux, encore faudrait-il que nous ayons suffisamment de courage pour nous regarder dans nos miroirs. Or, nous sommes vraiment, par ces temps qui courent, d’une lâcheté impitoyable.

Et les lâchetés impitoyables me renvoient à moi-même. Ahahah.

FL dit: à

Moi et les catégories.

Les surréalistes considéraient que Sade, Lautréamont, Rimbaud étaient des précurseurs du surréalisme.

Des « plagiaires par anticipation » comme disent les oulipiens

Aucun de ces hommes n’est surréaliste.

Ça a un avantage ces « filiations » : ça oblige à préciser en quoi ils n’étaient pas surréalistes.

Clopine dit: à

Attention, je dis bien « la moitié féminine » de notre société. Combien de femmes ne font-elles pas, en sous-main, bien peu de cas de la dignité de leur sexe ? Je ne sais pas mesurer la part de « collabos » chez mes compagnes. Mais je pressens que, dans une relation dominants-dominé(e)s, il est parfois plus profitable de « jouer le jeu », plutôt que d’en contester les règles.

FL dit: à

L’abbé Grégoire était donc comte lui aussi. Intéressant.

FL dit: à

La poésie politique et satyrique n’est pas morte. J’en suis fort heureux.

Hugo (« Châtiments » 1853) Renaud (« Où c’est qu’j’ai mis mon flingue » 1980) Fianso et 19 autres (« No pasarán » 2024)

Pour les enseignants qui veulent faire travailler leurs élèves sur le thème de la révolte et sur la forme de la poésie satyrique ce sont des références incontournables. Il faut ajouter Ézéchiel et Juvénal.

Le texte de la chanson ci-dessous est parfait, l’art poétique et la prosodie aussi. Un Renaud de la meilleure époque.

https://www.youtube.com/watch?v=G4sHoBbWXWY

FL dit: à

* satiriques
* satirique

Clopine dit: à

Bon sang, FL, je ne doute pas de la pertinence de vos propos savants. Et pourtant, ce que je m’en fous ! et pourtant itou, ce que, faisant mes premiers pas sur ce blog, ai-je démontré que j’étais totalement éblouie par la connaissance que ses commentateurs démontraient jour après jour sur la littérature… C’est comme si cette dernière ne pouvait plus y suffire. Comme si quelqu’un tapait sur une porte, en se rendant compte, finalement, que ce n’était pas la bonne. La réalité est dure. Les mots suffisent-ils encore pour la dire ?

MC dit: à

D’extrême droite, Maître Garaud? Voici du nouveau….

MC dit: à

Et tant que j’y suis, l’instrumentalisation « du Calvaire » a de beaucoup précédé sa nomination…

Clopine dit: à

MC, ce que vous allez vous épanouir, d’ici peu !

Jean Langoncet dit: à

Bof bof renato … Croyez-vous que la prestation de Bloomfield à ce même festival quelques années plus tôt (Maggie’s Farm) ait alors suscité une même indifférence ?

Jean Langoncet dit: à

Incidemment
Soudan : l’ONU accuse les belligérants d’utiliser des « tactiques de famine » contre 25 millions de civils

C’est l’un des moyens de nuisance qui caractérise partout sur la planète les tyrans qui prétendent s’affranchir de la communauté internationale

puck dit: à

« Soudan : l’ONU accuse les belligérants d’utiliser des « tactiques de famine » contre 25 millions de civils

C’est l’un des moyens de nuisance qui caractérise partout sur la planète les tyrans qui prétendent s’affranchir de la communauté internationale »

le Soudan c’est exactement comme les richesses minérales du Donbass sauf que là les américains ont face à eux les chinois.

comme en Ukraine cette guerre au Soudan est encore la conséquences de provocations américaines notamment liées à l’ingérence dans le but de renverser le pouvoir en place et en mettre un qui soit de leur côté.

les américains le font en Amérique du sud, dans le Caucase, en Asie, au Moyen Orient, dans les Balkans.

en fait ils le font partout.

comme d’hab…

puck dit: à

oubli : au Soudan c’est l’or.

si on regarde l’implantation des 800 bases militaires américaines dans le monde, elles sont soit à côté de puits de pétrole soit à côté des mines d’or.

les américains continuent leur ruée vers l’or sauf que maintenant ils le font sur tous les continents.

ça plus l’esprit « voleur de diligence » hérité aussi de la conquête du far west on a la totale.

limite il manque plus que John Wayne.

Jean Langoncet dit: à

Nota : tyran a-t-il un féminin ?

Jean Langoncet dit: à

Se nourrir, se loger, un sépulture décente ; quoi d’autre s’attaquer, Bibi ?

puck dit: à

et passou qui écrit des articles où il se réjouit de l’extension de l’otan en Finlande alors que les finlandais viennent de participer à une réunion sur l’implantation de rampes de lancement de missiles nucléaires.

plus les américaines montent le niveau de leurs provocations visant à une 3è guerre mondiale et plus les gens sont contents, même passou : en fait on sait pas vraiment si c’est juste de l’irrationalité ou bien de la bêtise…

si Trump et Vance ne gagnent pas la prochaine élection américaine je pense que tout le monde va regretter le temps où le réchauffement climatique représentait une menace pour le devenir de l’humanité.

à côté des néoconservateurs américains au pouvoir le réchauffement climatique c’est limite une bonne nouvelle, ce qui peut nous arriver de mieux.

je ne sais pas à quel moment passou va commencer à comrpendre que l’extension de l’otan en fait c’est pas une bonne chose, c’est un truc où nous n’avons rien à gagner et tout à perdre.

le gros problème c’est le côté moutonnier des populations : il suffit de leur répéter 10 fois par jour que les russes vont envahir Paris pour que tout le monde y croient.

là encore est-ce de l’irraison ou de la c.nnerie ?

mystère…

Jean Langoncet dit: à

Merci au robot de me donner l’occasion d’une répétition

Se nourrir, se loger, un sépulture décente ; quoi d’autre s’attaquer, Bibi ? > Se nourrir, se loger, une sépulture décente pour ses parents ; à quoi d’autre s’attaquer, Bibi ?

Jean Langoncet dit: à

Trump ou Harris, au-delà des bénéfices que l’on peut tirer ponctuellement d’un idiot utile sur le terrain, combien de temps les Etats-Unis vont-ils continuer à supporter ouvertement pareil monstruosité ?

Jean Langoncet dit: à

@là encore est-ce de l’irraison ou de la c.nnerie ?

Il se trouve sur le marché un outil d’aide à la décision très élaboré et pour ces questions : FACTS

MC dit: à

J’ignore si je vais m’épanouir , Clopine, je crois simplement comprendre que Maitre Garaud a le tort d’être le mari de Marie France, laquelle avait l’iremissible tort de n’être pas féministe pour deux sous! Il lui suffisait bien d’être Richelieu en jupons, et d’envoyer promener les oripeaux Butleriens!

MC

Jean Langoncet dit: à

pareil monstruosité ? > pareille monstruosité ?

Jean Langoncet dit: à

@Nota : tyran a-t-il un féminin ?

Merci à l’ombelle des talus pour sa réponse : Le féminin de « tyran » est « tyranne ». 😊
Y a-t-il autre chose avec laquelle je peux vous aider ?

Peut-être ; Golshifteh Farahani serait-elle française ?

Jean Langoncet dit: à

(Après tout, Marianne ça rime avec « tyranne »)

D. dit: à

La prochaine personne fera le (665 + 1)ème commentaire. Ce ne sera évidemment pas de bon augure pour lui.

Jean Langoncet dit: à

Vive la France !

D. dit: à

Puck, ce que t’as écrit sur le tilleul et l’âme russe c’est très très beau. Et tu sais, le jour où un Tu-160 larguera son joujou sur le port militaire de Cherbourg ou de Brest, ce sera avec le coeur. Je dirais même plus : le coeur dilaté par un verre de bodka.

Jazzi dit: à

Alfred de Musset, féministe avant l’heure !

ON NE BADINE PAS AVEC L’AMOUR

« Cinéma & Littérature
par Anna-Cha Bada · 9 h

Mais que veut Camille?
Décidément personne ne comprend Camille. Je viens de regarder avec des amis pour une énième fois la pièce de Musset et nous nous disputons, mes amis et moi. Camille n’est pas hautaine, Camille n’est pas capricieuse, je ne crois pas. Je crois que Camille est vexée.
Elle a aimé enfant, son cousin Perdican, et en a été aimée en retour. Elle a joué avec lui et été élevée à ses côtés car, orpheline, elle a été recueillie par son oncle, le Baron.
Camille a cru, très jeune, à une forme d’égalité et puis un jour le charme s’est rompu. Les deux jeunes gens ont été séparés et tandis que, comme toute jeune fille de cette époque, on l’envoyait au couvent, Perdican, lui, a fait des études.
Perdican a vécu, a connu des femmes, a eu des maîtresses tandis qu’elle était cloîtrée dans une cellule avec sœur Louise qu’elle admirait et qui lui racontait ses désillusions amoureuses et ses peines. Elle n’a aucune expérience sauf celle de cette femme  » la plus belle et la plus noble créature qui ait marché sur terre », par qui elle est si fascinée, qu’elle a assimilé son histoire comme si c’était la sienne. Identification adolescente si puissante aux êtres que l’on aime.
Lorsqu’ils se retrouvent à l’âge adulte pour être mariés par le Baron, après 9 ans de séparation, le décalage est flagrant. Camille ne connait rien à la vie tandis que Perdican a usé ses  » genoux sur les tapis de ses maîtresses ». Il ne s’en cache pas lorsqu’elle le questionne.
Et Camille est jalouse. Jalouse comme une femme amoureuse que l’on a trompée mais aussi jalouse comme une petite sœur que l’on a mise au piquet tandis qu’on allait seul faire la bringue. Camille est pleine de rancœur face à cette dissymétrie.
Elle veut en refusant le mariage avec Perdican, compenser le décalage que la société impose aux filles. Voiler son ignorance des choses de la vie en se donnant des airs austères.
Elle invente des obstacles, veut se faire désirer, qu’on la mérite enfin et ne pas être livrée ainsi toute pure comme une bonne petite femme docile prête à être épousée, au sortir du couvent.
Elle veut faire mariner son cousin, l’inquiéter tout comme elle est elle-même inquiète.
Si elle rejette Perdican, c’est pour voir à quoi il est prêt pour elle. Elle le met à l’épreuve. La religion et la volonté de devenir religieuse ne sont que les moyens pour Camille d’exprimer son amertume face à un système qui met les jeunes filles dans une telle position d’infériorité, dans un tel dénuement par rapport aux jeunes hommes qu’elles doivent épouser. Un système qui laisse les hommes s’épanouir en toute liberté et emprisonne les femmes.
Camille n’a pas le cynisme d’une Merteuil, elle n’est pas aussi distanciée et manipulatrice mais elle n’a pas non plus la naïveté d’une Agnès et il ne suffit pas de lui donner un baiser et de lui dire qu’elle est jolie pour qu’elle tombe amoureuse.
Pourtant elle aime Perdican mais l’humiliation qu’elle ressent en tant que femme est plus forte que ses sentiments pour lui.
A cela s’ajoute, un tempérament de jeune fille idéaliste qui n’a pas envie d’être déçue. Elle a vu passé trop de femmes au couvent ravagées de chagrin et l’idée de devenir l’une d’elles lui fait horreur. C’est ce qu’elle aura appris dans ce couvent. Elle met au défi son cousin de lui prouver que leur amour sera meilleur que tous ces mariages ratés dont elle a été par devers elle le témoin. Mais Perdican ne la rassure pas. Perdican n’est pas un idéaliste, lui. Il a la souplesse de ceux qui connaissent les plaisirs de la vie. Il pense que les choses même si elles ne sont pas parfaites valent tout de même la peine d’être vécues…
Il a connu des femmes, il en a aimé certaines mais une émotion tout particulière le saisit en retrouvant Camille. Elle est et restera éternellement son premier amour, un lien pur les unit à ses yeux et il ne cesse de la renvoyer au passé.
« Quoi! Pas un souvenir, Camille? Pas un battement de cœur pour notre enfance, pour tout ce pauvre temps passé ? »  » Cela ne te ferait pas plaisir de revoir la prairie ? Te souviens tu ? » Mais Camille ne veut pas être prise pour une enfant, faire comme si tout ce qu’elle avait vécu au couvent, ces neuf ans n’avaient pas existé. Perdican veut retrouver d’une manière presque incestueuse la petite fille avec qui il jouait mais Camille est inflexible : » je ne suis ni assez jeune pour m’amuser de mes poupées, ni assez vieille pour aimer le passé » rétorque-t-elle.
Elle ne veut pas être circonscrite à un amour d’enfant, à leur lien fraternel.
Elle ne veut pas être appelée » ma sœur » ou  » ma chère enfant ». Elle aussi elle veut avoir le droit de vivre, de grandir et d’être aimée pour la femme qu’elle est devenue. »

Bloom dit: à

SatYrique ou satiIrique?
Bottom ou Volpone?
Un copain prof de théâtre a enregistré Gargantua, je mettrai plus tard le lien gratuit œuf course, il s’est tellement éclaté qu’il ne peut s’empêcher de rire à certains moments.
La rencontre non fortuite de 2 intelligences, celle de Rabelais et la sienne. Coming up for air…

Bloom dit: à

Satirique ..tain de téléphone

J J-J dit: à

A noter deux remarques explosives à rabouter sans trop réfléchir : « la moitié féminine de l’humanité » ET « et bien, heureusement ! »…
l’IA ne l’a pas encore fait. Et pourtant ça travaille sec le folklore du flamenco à l’OTAN. Amalia Rodriguez, du club franco-belge n’était pas une sous-merde. Non. Personne ne sut vraiment la diagnostiquer. Encore 12 planches à poncer.
Aimez-vous Brahms van velde, au moins, Mimi Poinçon ? (21.10.24_9.32)

puck dit: à

« la moitié féminine de l’humanité »

la moitié humaine de la féminité ?
l’humanité féminine de la moité ?

rose dit: à

ON NE BADINE PAS AVEC L’AMOUR

« Cinéma & Littérature
par Anna-Cha Bada · 9 h

Mais que veut Camille?

Magnifique critique.
Eh oui, on ne badine pas avec l’amour.
Les gitans non plus.

puck dit: à

« combien de temps les Etats-Unis vont-ils continuer à supporter ouvertement pareil monstruosité ? »

ben là je crois qu’on touche à la fin : plus personne n’est dupe sur K. Harris et le nouveau visage tyrannique du parti démocrate.

Il s’agit d’un combat du peuple américain contre les médias.
la dernière fois ça c’était fini par une insurrection au Capitole.
cette fois si le système médiatico-militaro-politique essaie d’imposer sa loi en enfumant le peuple américain ça se terminera par une guerre civile.

D. dit: à

Brahms pour traiter l’insomnie est un excellent choix. J’en baille déjà.

J J-J dit: à

@ cette fois si le système médiatico-militaro-politique essaie d’imposer sa loi en enfumant le peuple américain ça se terminera par une guerre civile.

vous voyez les coses de manière trop noire et biezn trop réductrice pour nou sannoncer incessemnt l’apocalypse. Ce n’est pas de ça qu’elle viendra… Suivez plutôt les pistes suggérées par Yama Rade sur l’indécision de la victoire à quelues voies près d’Harris vs Trump, et tremblez le monde que ce dernier en prenne en core pour quatre ans !
***Quant à Pierre Loit, il eut l’intelligence de ne pas suivre Juliette Adam dans sa haine de L’Allemangne bismarckienne et de son antismémitisme forcée… S’il douta au début de Dreyfus, il devint rapidement dreyfusard de coeur et de raison après la révision du procès. 98 et 99 furent des années difficiles pour lui, d’après la magnifique biographie que lui avait consacrée Alain Quella Villéger en 1998 (***rien à voir avec Alain Viala, MC). Je signale que la maison de Rohefort vient ^d’être enfin réouverte après plus de dix ans de trav aux… Chère Alexia, n’hésitez pas à la rejoindre, une magnifique occasion de revenir en nos contrées. Bàv,

J J-J dit: à

@ le Satire Ykon (?)

(des pb de clavier mal tempéré, ce matin mordoré, hélas -> on nous les pardonnera, je pense, car cela arrive même aux gens bien orthographiés). Bàv

J J-J dit: à

l’AMOUR badin…

J J-J dit: à

@ J’en baille déjà.
Réveillez-vous avec Sagan Françoise, les poules attendent leurs graines !…

J J-J dit: à

sur une autre antenne parallèle, on peut lire ceci :
« L’auteur de ce blog n’est pas responsable des commentaires et ne partage pas les points de vue des commenteurs, les plus outranciers soient-ils ».
Bàv,

J J-J dit: à

moij aussi, G des lettres gitanes-filtre, les « gendelettres » à la fumette moquetteuse. Bàv,

FL dit: à

Si vous souhaitez insulter votre monde plutôt que les noms d’oiseaux usuels archi-ressassés, je vous conseille « pousse-mégot » et « nez-de-boeuf ».

C’est ça les poètes comme Renaud, ils nous rappellent de vieux mots français qui ont tant de saveur.

Je note que « pousse-mégot » et « nez-de-boeuf » ne sont pas dans le « Trésor de la langue française ». C’est une faute professionnelle.

FL dit: à

Un hors-série de « Valeurs actuelles » sur les « anars de droite ».

Ca sent la catégorie journalistique.

On y trouve Brassens, Bernanos, Fallet, Audiard, Muray, Léautaud etc.

Des gens de qualité.

Et je me suis demandé si Victor Hugo n’aurait pas dû y être sachant qu’il a commencé à la Chambre des Pairs avant de participer aux émeutes contre le coup d’Etat de Napoléon III. Puis d’être obligé de fuir la France s’il ne voulait pas terminer dans les pontons puis à Cayenne.

Quand Victor Hugo parle des pontons, bien sûr c’est une réalité qu’il ne connaît pas personnellement mais on sent qu’il s’y voit.

rose dit: à

J J-J dit: à
sur une autre antenne parallèle, on peut lire ceci :
« L’auteur de ce blog n’est pas responsable des commentaires et ne partage pas les points de vue des commenteurs, les plus outranciers soient-ils ».
Bàv,

Ouais, c inouï.
Tout ça pour répondre à l’amour platonique.

Alors que, y a que le cul qui compte.

FL dit: à

« SatYrique ou satiIrique? »

La correction était en-dessous cher Monsieur.

J J-J dit: à

@ FL, chère Madame… vous ne comprenez rien à rien… J’en rajoutais dans l’humour « pétronien », sans toucher au vôtre, mais vous semblez en être dénuée. Pas grave. Bàv,
@ y a que le cul qui compte.
Et voui, on n’en sort pas, des platées de platon-nique (ta mère ?)…
A Marseille, il n’y a pas assez de keufs, comme dirait l’amère ma soeur, voilà pkoi 🙂

maestri dit: à

« @ y a que le cul qui compte. »

Pas faux, si on écoute Sciascia : C’est une chose si simple que de faire l’amour. C’est comme avoir soif et boire. Il n’y a rien de plus simple que d’avoir soif et de boire, d’être satisfait de boire et d’avoir bu, de ne plus avoir soif. C’est tellement simple.

Mimi Pinson dit: à

Aimez-vous Brahms van velde, au moins, Mimi Poinçon ? (21.10.24_9.32)

C’est un de vos amis JJ-J?

Mimi Pinson dit: à

( Je viens désormais ici avec des pinsettes..)

renato dit: à

J’ai écouté du Rameau interprété par Rondeau.

Mimi Pinson dit: à

( Je viens désormais ici avec des pinsettes..)

MAIS TOUJOURS AVEC DE PAUL kLEE, LES PINCEAUX.

Patrtice Charoulet dit: à

La pensée est libre ou elle n’est pas. Ce n’est pas penser que croire et répéter. (Alain)

J J-J dit: à

@ Ce n’est pas penser que croire et répéter.

a qui le dites vous, PC ? voys croyez à la littrérature comme à l’orthographe, et vous rpétez bêtement les dicitonnaires. Sem Alain, hein ?

et alii dit: à

du scarlatisme?
AH?Qu’on ne rappelle pas mes jeunes années au piano!;
mais Ça vaut mieux que d’attraper la scarlatine est une chanson humoristique extraite de l’opérette Normandie, montée au Théâtre des Bouffes-Parisiens en 1936, sur un livret de Henri Decoin et André Hornez, avec une musique de Paul Misraki1. Avec Tout va très bien, madame la marquise et Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ?, c’est un des grands succès de Ray Ventura et ses Collégiens2.

et alii dit: à

domenico
« En 1720, il réside à Lisbonne, enseignant la musique à la princesse Marie-Barbara3 qui deviendra une claveciniste émérite. Il retourne à Naples en 1725, et après le mariage de Marie-Barbara, avec l’héritier du royaume d’Espagne, il passe quelques années à Séville à partir de 1729, avec la cour. Il peut y étudier le flamenco. En 1733, il s’installe de façon définitive à Madrid, toujours maître de musique de la reine. Le reste de sa vie se déroule donc en Espagne. Marie-Barbara lui conservera toujours sa confiance et sa protection. C’est pendant cette dernière période qu’il compose l’essentiel de son œuvre monumentale pour le clavecin.

et alii dit: à

La scarlatine (emprunté au latin scarlatina febris, « fièvre écarlate ») ou deuxième maladie est une maladie infectieuse de la peau due à la bactérie Streptococcus pyogenes. Cette pathologie est caractérisée par une éruption cutanée et buccale typique, le plus souvent associée à une angine. Les complications possibles sont les suppurations locales de l’angine, les complications toxiniques et les syndromes post-streptococciques. Le diagnostic est clinique et le traitement comporte un antibiotique.

renato dit: à

Ah ! Les opinions rétrogrades de l’endive bouillie !

J J-J dit: à

@’tention de pas chapier un nouveau zona, hein, Scarlette o’Caulerpa ?
Quel est l’inventeur du terme de « saugrenuité » ?
Bàv,

D. dit: à

Ce ne sont pas des opinions.
C’est la Justice et la Vérité divines. Ne croyez pas y échapper.

renato dit: à

Si vous le dire c’est certainement faux.

Bloom dit: à

Pascal Ory, tout saufjournaleux, à consacré un ouvrage passionnant à l’anarchisme de droite, dans la lignée de son classique sur Les Collaborateurs.
There are more things in heaven and earth, Horatio, / Than are dreamt of in your philosophy (Hamlet, 1.5.)

renato dit: à

Cet œil latéral qu’ont les poulets et qui ressemble à un coup de Picasso, à un lunette de wc, vide de toute compréhension et de toute aptitude à espionner, à bâbord ou à tribord. Et au lieu de cela, ils vous regardent.

Carlo Emilio Gadda

MC dit: à

Juliette Adam, femme d’un préfet de quinze jours , n’était pas la caricature que vous en faites, JJJ. Lire Après l’ Abandon de la Revanche, où elle dit son fait aux militaires et aux politiques, et le diptyque: « Paienne » » Chrétienne », si vous en avez le courage. Bien à vous. MC

Patrice Charoulet dit: à

« Apparu, disparu, c’est toute l’histoire d’un homme , comme celle d’un…infusoire. » (Henri Frédéric Amiel, Journal intime)

MC dit: à

Claude Habib répond à la Trouillefou: «  la mixité généralisée va de pair avec une difficulté inédite, à présent que l’autodétermination de genre et d’orientation est devenue le credo generationnel. Nul ve sait plus sa place ni la conduite à tenir avec l’autre sexe. Dans un tel contexte , raviver la guerre des sexes, c’est faire la politique du pire. ». Question: Craignez-vous que cela se produise? C’est un réflexe répandu. On le voit avec l’ affaire des viols de Mazan: immédiatement il y a eu politisation. Cette histoire effrayante, qui est un paroxysme de vice, de violence, de mensonge, à été aussitôt commentée pour appeler tous les hommes à la honte, comme s’ils étaient responsables de ces crimes. C’est développer un rapport raciste du masculin, un sexisme à l’envers, totalement décomplexé. Les accusés ne sont pas des « hommes ordinaires », ce sont des excités qui naviguent sur des sites oarticuliers. Ce n’est pas l’occasion qui fait le larron, ce sont les larrons qui fabriquent l’occasion. Ils ont l’air ordinaires, comme tous les pervers. Le pervers est indistinguable parce qu’il se cache… Tout le monde dit après coup « jamais je ne l’aurais cru. La perversion exige la dissimulation …

J J-J dit: à

@ la caricature que vous en faites,

loin de moij… mais vous ne la connaissez pas très bien apparemment, JA, hélas, pour la résumer ainsi en deux coups de cuiller à pot.
Parfois, je vous trouve bien trop désinvolte en voulant m’en remontrer. Mais pour qui diable vous prenez-vous parfois, sinon toujours ? Il est vrai que je vous ai interpellé par mégarde, car vous répondez toujours peu ou prou…

@ Quant à Pascal Ory…, j’estime qu’il s’est beaucoup inspiré de la thèse plus fondamentale de JL Loubet del Bayle sur les « non-conformistes » des années 30…
https://www.seuil.com/ouvrage/les-non-conformistes-des-annees-30-une-tentative-de-renouvellement-de-la-pensee-politique-francaise-jean-louis-loubet-del-bayle/9782020021678
Mais peut-être sommes-nousj HS ?
Bàv,

J J-J dit: à

Attention à ce que vous ramassez das, les bois, par exemple l’Inocybe erubescens, appelé Inocybe de Patouillard, qui est une espèce de champignons basidiomycètes extrêmement toxique contenant de la muscarine.

Bàv, etalii et consortiums… Ne nous laissons pas berner,

Jean Langoncet dit: à

(Identification d’une femme)

Jean Langoncet dit: à

Rions encore un peu

« Au Liban, l’émissaire américain Amos Hochstein défend une proposition de cessez-le-feu »

Oui, au Liban …

Jean Langoncet dit: à

… et encore un peu

Au cours de la « guerre du Golfe [tienstiens] » en 1991, Israël a été livrée en missiles « Patriot », devenus depuis lors son « dôme de fer ». Aujourd’hui je lis : « Le système anti-missile américain THAAD déployé en Israël ». C’est une promesse de perpétuation de la guerre pour les 33 ans qui viennent et les générations futures

Jean Langoncet dit: à

(Tout ce qui n’est pas soi doit représenter un ennemi potentiel ; à ce compte là …)

Chaloux dit: à

Il y a un moment, dans les sonates de Scarlatti où les mains ne se croisent plus. On s’est longtemps demandé pourquoi. C’est tout simplement que son élève était devenue tellement grosse qu’elle ne pouvait plus croiser les mains.

Chaloux dit: à

Deuxième concerto de Brahms.

Hélas, Zimerman, jamais plus de 5 minutes, impossible pour moi de le supporter davantage, Barenboïm est avant tout un chef d’orchestre, et Serkin me fait languir et m’endort.
J’ai indiqué le Rubinstein parce que la manière dont il tient ce concerto du début à la fin (je crois qu’il lui est arrivé de jouer les deux dans un même concert) est d’un musicien exceptionnel. Norpois dirait qu’il le joue de main de maître.

On peut en dire autant de ses enregistrements du concerto de Schumann, du 2e de Saint-Saens, des variations symphoniques, de certains Mozart comme le 17e etc.

Et qui joue le Larghetto du 26e de Mozart comme Wanda Landowska?

https://www.youtube.com/watch?v=238QTEyeIwo&ab_channel=WandaLandowska-Topic

Chaloux dit: à

Christine Boisson est morte. Une merveilleuse comédienne.

MC dit: à

Je n’ai pas parlé d’ Ory, si j’ai lu Juliette Adam ( opus indiqués!)

MC dit: à

On peut avoir l’impression qu’elle gouverne Paris de son Salon, je vous l’accorde, mais c’est une femme de conviction. Loti en est une autre bien plus évaporée…

puck dit: à

@ »vous voyez les coses de manière trop noire et biezn trop réductrice pour nou sannoncer incessemnt l’apocalypse. »

venant d’un type qui vote pour Glucksmann je préfère faire partie de ceux qui annonce l’apocalypse que de gens comme vous qui votent pour des gens qui veulent la provoquer.

vous me suivez ? moi « annoncer » et vous « provoquer ».

annoncer vs provoquer : je vous invite à chercher la définition de ces 2 mots pour voir la différence.

puck dit: à

cela dit je veux faire aussi semblant que tout va bien.

exemple au hasard : pour le prix Sakarov, parmi les nominés on avait Elon Musk, en principe les 3 nomionés qui arrivent en tête viennent faire un discours devant le parlement européen.

pas compliqué de faire le calcul pour voir que Musk devait mathématiquement faire partie de ces 3, ben non il n’en fait pas partie.

et quand les types ont demandé combien de voix il manquait pour qu’il en fasse partie on leur a répondu qu’on ne savait pas.

c’est la vision de la démocratie au parlement européen.

puck dit: à

parfois ça se présente sous des aspects plus drôlatiques.

exemple au hasard : ce we il y a eu un référendum en Moldavie pour l’adhésion à l’UE, le « oui » l’a emporté de très peu.

les européens ont dénoncé l’ingérence russe dans ce référendum.

par contre la semaine d’avant Ursula s’est carrément rendue en Moldavie pour promettre qq milliards si les moldaves votaient oui.

en langage démocratique on appelle ça de « l’achat de voix » c’est à dire qu’on paye des gens pour voter pour telle personne.

d’un côté les russes s’ingèrent et de l’autre l’Europe achètent les gens ce qui est aussi une forme d’ingérence mais dans une version plus mafieuse genre sicilienne.

cela dit moi je veux bien faire comme si tout allait bien.

puck dit: à

pour ce qui est de Trump le problème est qu’effectivement ça va se jouer à qq voix.

sachant que le taux de fraude électorale aux US dépasse de loin ce nb de qq voix je vous laisse imaginer qui peut en tirer avantage.

en fait aux US les choses sont simples :

d’un côté on a un type qui n’a que des électeurs qui votent pour lui

de l’autre on a un parti démocrate qui contrôle les médias, la justice, le FBI, la CIA, les réseaux sociaux (sauf X) etc etc etc etc…

si le résultat se joue à qq voix je vous laisse deviner qui pèse le plus dans la balance.

en fait dans le système démocratique américain les électeurs c’est devenu l’élément le moins important.

si vous n’en êtes pas conscients par contre ceux qui votent pour Trump en sont tout à fait conscients.

peut-être que prévoir l’apocalypse c’est trop par contre je peux vosu certifier que si Trump perd ils vont sacrément avoir les boules, à tel point, je veux dire tellement les boules que l’hypothèse d’une guerre civile ne peut pas ne pas entrer dans l’équation.

comme dit l’adage : qui sème le bordel récolte le bordel.

puck dit: à

en plus c’est dans la logique des choses : les néoconservateurs américains et Soros ont mis le bordel en Libye, en Irak, en Afghanistan, en Ukraine, au Soudan, au Venezuela, au Moyen Orient, en Asie etc…

dans la liste le seul pays qui manque c’est le leur.

du coup si on veut en rester à la logique la plus stricte que ces types provoquent une apocalypse chez eux dans une échelle de 1 à 10 limite on est à 11 ou même à 250.

renato dit: à

La logorrhée, un mode de vie ou l’espoir d’exister ? Dans un cas comme dans l’autre, quelle tristesse !

puck dit: à

tu sais ce qu’elle te dit la logorrhée ?

quand le président ukrainien s’est rendu dernièrement aux US des sénateurs lui ont dit qu’il devait mobiliser les jeunes ukrainiens de 18 à 25 ans !
ils lui ont dit nous l’avons fait pour le Vietnam pas de raison que vous ne le fassiez pas.

du coup après avoir effacer une ou de générations d’ukrainiens ils veulent maintenant supprimer la plus jeune génération.

alors que les américains savent pertinemment depuis le début que les ukrainiens n’avaient aucune chance de remporter une victoire.

c’est là où je crois vraiment que, du point de vue freudien, dans l’inconscient des Blinken, Nuland et autres qui ont vu leurs aïeuls victimes de pogroms en Ukraine au début du 20è s. leur intention non avouée, inconsciente est de les venger et de faire payer les ukrainiens des sévices infligés à leurs aïeuls.

c’est soit ça soit ils sont complètement tarés, du coup je préfère l’explication freudienne.

renato dit: à

Les opinions d’un bavard ne m’intéressent absolument pas, d’ailleurs je ne perds pas mon temps avec une soupe mal faite.

puck dit: à

un autre qui devrait consulter un psy c’est le chancelier allemand : la semaine dernière il a dit que si l’économie est en train de s’effondrer c’est à cause de la Russie.

donc il imagine dans sa tête que les russes ont mis en place des sanctions économiques contre l’Allemagne.

là on n’est plus dans le domaine des politologues, mais bien des psychiatres.

l’Europe est devenue une espèce d’immense hôpital psy à ciel ouvert.

quand on est à ce point déconnecté de la réalité tout devient possible.

puck dit: à

ce côté « psy » on le retrouve dans l’obstination des européens à dire aux autres ce qu’ils doivent faire.

au début du conflit ils ont été voir les chinois, les indiens et autres pour leur dire vous devez nous suivre dans les sanctions contre la Russie.

les autres ont répondu non.

ils y sont retournés une 2è fois pour leur redire et ils ont eu la même réponse.

normalement, je veux dire dans un monde normal, si ces gens étaient psychologiquement normaux, ils auraient dû s’arrêter là, dire ok c’est bon on a compris.

ben non, ils se sont obstinés : ils y sont retournés au moins 50 fois pour leur redemander toujours la meêm chose et ils ont obtenu toujours la même réponse.

hé ben ça c’est une chose qui aurait dû alerter tous les citoyens de notre contnient sur les facultés mentales de nos dirigeants !

D dit: à

Ce que tu décris-là avec perfection, Puck, m’évoque l’obstination de rené nato, le guignol milanais exilé à Colmar.

D. dit: à

Et qui doit dormir comme un bébé a cette heure. Il n’est plus très jeune.

rose dit: à

Il n’est plus très jeune.

Bravo ! Dormir comme un bébé, re-bravo.
La conscience tranquille ? On l’espère.

rose dit: à

Moi, je trouve passionnantes les analyses de Puck.

ce côté « psy » on le retrouve dans l’obstination des européens à dire aux autres ce qu’ils doivent faire.

Etc.
Être borné ou pas.

rose dit: à

Les familles d’accueil de la France profonde pour les enfants du nord placés par l’ASE.

Belle image donnée de nos campagnes ! À convaincre chacun d’aller illico vivre en ville.

Le pire étant toujours pour moi de répéter une histoire vécue par soi-même enfant.

rose dit: à

Mazan, la masculinité en cause.
Bof.
C’est tout un système mis en cause. Tant que les femmes ne concevront pas de penser les hommes de telle manière, les hommes ne s’extirperont pas.
Nous sommes intimement liés.
Laisser les hommes libres, cela semble inconcevable.

rose dit: à

ben non, ils se sont obstinés : ils y sont retournés au moins 50 fois pour leur redemander toujours la même chose et ils ont obtenu toujours la même réponse.

Votre analyse me passionne.
L’erreur lorsqu’elle persiste consiste à l’engluement, à l’enferrage, à creuser sa tombe avec ses dents. Au sur place.
Le pire étant, à mes yeux, celui ou celle qui te confirme dans ton erreur. Il est vrai que s’opposer ce n’est pas donné à tout le monde.

rose dit: à

Le bois.
Nous avons eu un printemps et avons un automne pluvieux.
On commence en mai. Juin. On finit en septembre. Octobre, c’est déjà tard.
Il a fait chaud du 15 juillet au 15 août. Très, sur une trop brève période. Ah, la chaleur écrasante !
Traiter son bois à la mi-novembre pour faire du feu dans la cheminée, c’est débile. Et trop tard, on est entré dans l’hiver.
Je vais finir, encore une heure, quatre au total pour une stère de chutes et 40€. Comment les paysans se foutent de ta gueule ouvertement. Et comment toi (c’est moi), tu le sais pertinemment.
J’emmènerai la tronçonneuse pour changer la chaîne. Il refuse la révision. Il s’est fait commerçant et ne répare quasiment plus rien. Son conseil te vaut deux mois de gros emmerdements. Bref. C’est un glandu.
En tout cas, mi-novembre, je ne participerai pas au bois. Je lui dirai « c’est en mai que ».
Où dormir ailleurs sans avoir à travailler ?

rose dit: à

Où ?

rose dit: à

infligés à leurs aïeuls.

c’est soit ça soit ils sont complètement tarés, du coup je préfère l’explication freudienne.

Je penche pour « ils sont complètement tarés ».

J’en ai croisé un ukrainien dans le train en rentrant de Berlin. Il fuyait. G donné la moitié de mon pique-nique. On s’est parlé en espagnol.
Arrivés à la gare Saint Charles, il m’a prise dans ses bras pour un gros hug.
Il avait passé plusieurs mois en Espagne chez une femme âgée à l’aider. Deux ans pour fuir l’Ukraine à pieds. Il m’a fait croire qu’il était d’un autre pays, mais c’est une polonaise avec qui j’ai vivement sympathisé, qui m’a dit non, il est ukrainien lorsqu’elle l’a entendu téléphoner.

rose dit: à

La guerre, c’est un gros merdier. Si soi-même, on n’a pas envie d’y être, comment peut-on concevoir d’y envoyer autrui ?

Je le conçois que la sanité intellectuelle devient difficile à partager.

rose dit: à

« par contre la semaine d’avant Ursula s’est carrément rendue en Moldavie pour promettre qq milliards si les moldaves votaient oui. »

On la trouve où cette info. ?

rose dit: à

américain THAAD déployé en Israël ». C’est une promesse de perpétuation de la guerre pour les 33 ans qui viennent et les générations futures.

Les juifs installés en Israël vont faire leur alya pour s’installer chez eux, en France, en Espagne, en Allemagne etc.
Dans trente trois ans, j’aurais cent ans. Je retournerai à Jérusalem et je pleurerai de bonheur. Retrouver son chez soi sur les pas de sa plus grande vieillesse, quoi de plus heureux ?

renato dit: à

Il suffit d’évaluer à leur juste valeur les alliés du criminel qui squatte le Kremlin (Corée du Nord et Iran) pour comprendre la nature perverse des idéologies qu’informent ses complices européens.

Bloom dit: à

Mon ami Sam me disait qu’au colloque de la Bnf l’invité du Collège de France à repris dans sa communication l’essentiel de sa thèse s’il y a plus de 20 ans. E qu’il prouve qu’elle tient toujours la route, me disait-il goguenard.
Mes travaux sur l’Irlande du nord, aujourd’hui aux archives du Sin Feinn à Belfast, ont été repris sans que je sois crédité, et je m’en suis toujours fichu car c’est une preuve de pertinence. La connaissance se bâtit par strates, les écrivains passent leur temps à se pomper. . Nous passons notre temps à nous entre gloser disait Michel de…l’important est de ne pas raconter de conneries et de faire des œuvres de fiction de qualité.

Bloom dit: à

Ce qui….
Il n’a pas cité ses sources, ce monsieur, bien sûr…

Janssen J-J dit: à

@ Loti en est une autre bien plus évaporée… (bien plus lucide et cultivé sur le genre humain que vous même, Grande Rappelle)

@ qui sème le bordel récolte le bordel (une sentence de Maurice des bordels à Queue, foutriquet)

@ « quatre au total pour une stère de chutes et 40€.
Ca fait chère la stère »…
Par chez moi, et j’habite chez ma caopine, elle vaut 27 euros TTC.

@ « moi je veux bien faire comme si tout allait bien ». Do it ! – Cassandre est morte et la vie a continué, pas plus pire qu’au paravent)
Al. Navatny aussi. Messieurs Poutine & Rastrump sont toujours là, ont leur tâche de pacification à accomplir.

@ cf. Ory s’adressait à rBL, et Loti à ceux qui essayèrent de se défaire de leurs réjugés tenaces du 19e s. Non, Aziyadé n’était pas un beau matelot. Il ne faut pas croire à tout ce que le perfide 2e couteau des Goncourt à pu vous raconter… Des langues de pute, il y a eu plus chez les cons que chez les connes, depuis le moyen-âge jusqu’à nos jours.

@ Il faut bien dire que la diplomatie occidentale expliquée par le freudiens a de ses côtés réjouissants à défaut d’être psychiatriques… Elle peut convaincre les néo marxistes, à petits pas (voir Marius Kissinger).

@ Le Nil et le grand Nihil, de Pierololo? Avec Juliette, ils se retrouvèrent pour glorifier le nationalisme égyptien. Mais sils divergeaient souvent de méthodez et d’armes, c’est ce qu’il vous faudrait comprendre, MC. Mais non, vous préférez toujours asséner vos préjugés d’autorité, comme si nous étions toujours dupes, ma soeur et moij.

Bàv, 22.10.24_10.06 / pmp, un plateau de fruits de mer m’attend à La Tremblade au déjeuner du jour. Bon’ap à tous.tes…

Chaloux dit: à

Ukraine. Seul le temps dira si les milliards engloutis par la France dans une guerre qui marque surtout l’inféodation de Macron aux USA (et Macron continue à leur brader la France, j’espère qu’il sera justement châtié pour cela, tout comme Von der Leyen en Europe), guerre qui est devenue une machine à se fabriquer des ennemis (comme si nous n’avions pas suffisamment d’amis), auront été un bon investissement ou non. Ce qui pointe surtout pour le moment, c’est un désastre économique et diplomatique.

Chaloux dit: à

Santé du livre. Je viens de commander sur un site bien connu, pour 4 euros 71, un livre vendu 94 euros chez son éditeur (Champion).

Chaloux dit: à

Il y en a un qui mériterait d’être promené en cage à travers les 36 000 communes de France.

Espérons.

Phil dit: à

Santé des lecteurs, dear Chaloux, déclinante comme Boisson qui causait avec Emmanuelle, suceuse quatrilingue mariée à Hugo Klaus, chagrin des belles. Quoi de neuf sur le prestigieux blog à passou, jjj taille des croupières à M. Court pour Juliette Adam.

D. dit: à

Les élagages se font en hiver, généralement janvier-février. On peut laisser un peu le bois dehors en vrac. On le débite et on le met sous abri quelques semaines à quelques mois après.
J’ai une tronçonneuse électrique (à fil) et guide de 40 cm. Une marque allemande bien connue. Ce n’est pas du tout un engin de pro, évidemment.
Elle n’est pas chère à l’achat (moins de cent euros), ne nécessite aucune réparation ou entretien spécial. Parce que le thermique, c’est certes très puissant, mais c’est aussi une source d’emmerdement assez incroyable. Et généralement ça commence par les carburateurs déglingués parce que l’utilisateur a imaginé qu’on pouvait laisser de l’essence ordinaire dans le réservoir pendant six mois comme ça tranquillos. On peut, mais seulement avec des essences spéciales alkylées vendues en petit bidon 4 à 5 fois plus cher qu’à la pompe. Mais vu la faible consommation, il faut absolument faire ce choix en thermique.
Bref, une tronçonneuse électrique de qualité peut durer 15 ans.
Il faut juste savoir changer la chaîne soi-même, ce qui est facile.
La notice explique comment, d’ailleurs. Il faut dévisser complètement le gros bouton noir, enlever le guide et la chaîne, mettre le guide verticalement face à soi, mettre la nouvelle chaine dessus, dans le bon sens évidemment (vérifier les petites flèches gravées sur les maillons) ; donc à ce stade un bout de la chaîne pendouille en bas. On positionne ensuite précautionneusement l’ensemble horizontalement sur la tronçonneuse, en veillant à ce que la chaîne aille bien dans l’engrenage de la roue. Il y a du mou, c’est normal, il faut se débrouiller pour que ce mou soit entre la roue l’engrenage et le guide mais pas à l’extrémité du guide, ni au niveau de la roue. Remettre ensuite avec précaution tout l’ensemble tendeur préalablement déposé en veillant à le positionner correctement (butée ou fente). Toujours tenir le guide et la chaine bloquée dessus, d’une main, sans rien bouger, pendant cette opération. Tourner le bouton central noir jusqu’à le serrer faiblement. Puis tendre la chaîne avec la molette extérieure rouge. A ce stade seulement on peut lâcher le guide. Tendre la chaîne de façon à ce qu’on ne puisse pas la tirer de plus de 2 mm vers l’extérieur. Bien serrer ensuite le bouton central noir.
Évidemment, remplir le réservoir d’huile pour chaîne.
Pendant l’utilisation, vérifier régulièrement la tension de chaine et la retendre si besoin (débrancher la prise de courant, desserrer un peu le bouton noir, tendre avec la molette rouge, resserrer le bouton noir). Ne pas trop faire chauffer la chaîne. Si ça fume et que le bois noircit, faire une pause de 3 minutes). Ca peut arriver avec des chaines anciennes, insuffisament huilées et sur des bois durs type chêne.

Chaloux dit: à

Dear Phil, bien amusant de voir la très visqueuse Gigi à Dada sur le bidet de son bouffi, obèse et monstrueux orgueil, et si déplacé.

(Je ne sais rien de Juliette Adam).

J J-J dit: à

@ au chagrin des Belges (ah bon ? un lien de CB avec HC) qui dit : « Quoi de neuf sur le prestigieux blog à passou ? »

Henriette Chafoin est de retour, peut-être, dirfilm … Elle ne sait rien de Juliette Adam, mais se place quand même le Champion, rivalisant aux puces de montreuil avec l’Escrobar…
MC avait un peu plus de tenue, autrefois qui disait : « quand on ne vient pas me chercher, je fousj la paix aux internatues, sinon je les tue ».
Bàvj-

Chaloux dit: à

Gigi, le bulot de la RDL va manger des langoustes!

Cette pauvre Gigi est un Daumier.

Hurkhurkhurk!

Chaloux dit: à

Le bulot avarié de la RDL…

Phil dit: à

lien de CB avec HC

SK, dear jjj. Zezêtes plus féru de Juliette que d’Emmanuelle.

et alii dit: à

ilme semble qu’il y a eu une mort lal élucidée par laRDL? CELLE DE LA FEMME ABURROUGHS/
ETAIT-CE EN FAIT UN FEMINICIDE/
« the death of Joan brought me into contact with the invader, the Ugly Spirit, and maneuvered me into a lifelong struggle, in which I had no choice except to write my way out ». (Queer, 1985, p. xxii).

et alii dit: à

évidemment pas « femme à  »
mais « femme de » ;soit Joan

et alii dit: à

ces père qui ont le même nom que leur fils,comme William S B, je ne m’y retrouve pas

FL dit: à

« On peut avoir l’impression qu’elle gouverne Paris de son Salon »

Quel était le rôle réel de ces salonières ? Proust en parle : quelques intrigues pour des élections à l’Académie. Mme Verdurin réussit à se faire octroyer des croissants pendant la guerre alors qu’elle joue les Barrès dans son salon.

Vachard le petit Proust.

Bon elles organisent la vie sociale. C’est pas rien. Mais est-ce que ça va beaucoup plus loin ?

FL dit: à

« Mon ami Sam me disait qu’au colloque de la Bnf l’invité du Collège de France à repris dans sa communication l’essentiel de sa thèse s’il y a plus de 20 ans. »

Quelle thèse ?

FL dit: à

Tous ces salons ont disparu pendant la guerre 14-18 comme les attelages et les grandes horizontales.

Phil dit: à

Proust, petit vertical ?

FL dit: à

* Mme Verdurin réussit à se faire octroyer des croissants pendant la guerre, sur ordre d’un ministre, alors qu’elle joue les Barrès dans son salon.

Bloom dit: à

La culture française en Inde de 1870 à 1962 : présences et actions : dynamiques indiennes et politique française | Theses.fr

rose dit: à

Thèse d’il y a plus de vingt selon le sujet.
Avec mise à jour quand même ?

rose dit: à

Cela va t-il plus loin ?
Elle souffle sur l’oreiller, en pleine orgasme, à leur mari « fais ceci, fais cela. »
Nous, on voit le résultat.
Il se dit cela de Mme Netanyahou (qu’il ne pourrait pas être aussi con tout seul).

rose dit: à

On peut laisser un peu le bois dehors en vrac. On le débite et on le met sous abri quelques
Et quand il pleut tout le temps, comment c qu’il sèche ?

P.S : moi je, suis sans fil.

rose dit: à

Ah si pour la tronçonneuse j’ai un fil. Pour la tondeuse, non.

rose dit: à

Chez moi, j’habite chez moi, le stère de chêne en 50 cm coûte 110€.

chutes et 40€.
Ca fait chère la stère »…
Par chez moi, et j’habite chez ma caopine, elle vaut 27 euros TTC.

MC dit: à

Je rappelle tout de même que les pages Lotiesques intitulées La Mort de Philadelphie ont failli provoquer un incident diplomatique d’envergure avec l’ Angleterre , étant mises en avant par Victoria pour annuler un de ses voyages…cela , on ne l’attendrait pas de Juliette Adam! MC

MC dit: à

La Mort de Philae! Le robot corrige ici en dépit du bon sens!

Bloom dit: à

Une thèse, même publiée, celle-ci par l’Institut français de Pondichery, n’est pas nécessairement actualisée.  Il faut laisser du boulot pour les autres, surtout quand on fait autre chose que de l’enseignement, comme c’est est le cas de l’ auteur, récemment revenu en France après un vingtaine d’années à étudier et travailler dans le sous-continent indien, notalment pour le rézo culturel à deux reprises. Ses intérêts se sont portés depuis sur les techniques de navigation fluviale et dans le Golfe du Bengale…

B dit: à

NB se prend six mois fermes pour ses dérapages non contrôlés en état d’ivresse.

D. dit: à

Le prix du bois varie en fonction de beaucoup de paramètres : région, essences ou mélanges d’essence, longueur des bûches, temps de séchage, conditionnement (vrac ou palette livrée et rangée ou l’on veut), achats groupés ou non dans un même village ou quartier…

Ce qu’il faut fuir : les fournisseurs dont on ne trouve pas l’inscription au registre du commerce. Ceux qui n’ont pas d’adresse physique vérifiée (attention, parce qu’ils peuvent avoir quand même un site internet). Ceux qui veulent bien vous livrer et vous faire payer la livraison, mais en choisissant le moment de livraison (non ! un article annoncé disponible immédiatement doit être livré sans délai surtout si la livraison est payée). Des clients ont parfois payés des livraisons et attendus des semaines pour un beau soir pluvieux, en rentrant du travail, trouver un tas de bois déposé en vrac sur le trottoir et une partie de la chaussée, avec lettre d’avertissement de la mairie voire amende. A boycotter une fois que ça ce sait. Boycotter également ceux qui répondent au téléphone mais n’envoient ni prix ni devis ou demandent uniquement des espèces.
A savoir : régulièrement des petites parcelles forestières privées sont coupées-volées. Il serait dommage de se chauffer d’un tel bois, en ayant fait semblant de ne rien savoir…

Jazzi dit: à

Le voyage à Barbès du léZard.

D. dit: à

Barbès ! Quelle horreur… comment peut-on mètre les pieds dans des endroits aussi mal femmés ?
Beurk.

et alii dit: à

Egon Schiele’s death mask to be auctioned in London

et alii dit: à

des salons et des dames:
GERMAINEGermaine de Staël, fille des Lumières et de la Révolution, femme à jamais insoumise, fait (enfin) son entrée dans la prestigieuse (et très masculine) collection de la Pléiade chez Gallimard. Mme de Staël qui, de son vivant, fut la femme la plus célèbre d’Europe et qui a littéralement révolutionné la pensée de son temps avec ses écrits, rejoint le cercle très restreint des femmes publiées dans la célèbre collection.

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