Ecrire ou aimer, il faut choisir
Etrange comme la quête de cette Nadejda évoque celle de la Nadja d’André Breton par la commune euphonie de leurs prénoms comme par l’atmosphère, du moins au début de La Passion Dolores (210 pages, 18 euros, Léo Scheer/ en librairie le 6 septembre) de Richard Millet. Lui, Pascal, écrivain, la soixantaine, pianiste amateur passionné au point de tourner les pages des partitions pour les concertistes, écrivain viré par l’éditeur qui l’employait « pour avoir dit la vérité sur l’état la littérature en France » ; c’est d’ailleurs la seule allusion, véritablement autobiographique, à son éviction sur fond de scandale (l’affaire Brejvik) du comité de lecture de Gallimard, les autres allusions, sur sa vie amoureuse, pouvant correspondre à la biographie de nombre de lecteurs. Elle, Nadejda, pas encore 40 ans, grande soprano russe qui fait penser à Anna Netrebko (mais c’est dédié à une certaine « Natalia » ce qui brouille un peu plus les pistes) à la voix si envoûtante, dotée d’un tel pouvoir d’ensorcellement, qu’il rêve de la posséder, la voix, charnellement.
Le voilà parvenu à ce point d’incertitude, donc de souffrance, où il ne supporte plus les rôles dans lesquels elle meurt sur scène. Car c’est un être souffrant du début à la fin, à croire que c’est sa seule nature, ce qu’annonce l’une des citations placées en épigraphe, celle-ci du Jean Eustache de La maman et la putain, film générationnel s’il en est :
« Je ne me suis pas accroché à toi mais à ma souffrance.”
Il souffre surtout de ce que leur relation n’arrive pas à trouver son rythme, sa mesure. Le roman même devient le lieu de son amour. Il est vrai qu’il tient l’amour et l’écriture pour les deux seules épreuves de vérité auxquelles il ne peut se soustraire quitte à présumer de lui-même, négligeant ainsi le conseil de sagesse de Bossuet, autre citation en épigraphe tirée, elle, du Traité de la concupiscence :
… car c’est la le commencement de tout peché : c’est par la que vostre mere a esté seduite et que vostre pere vous a perdus.”
Tout cela, admirablement écrit et décrit, notamment les scènes de la rencontre dans un château d’Orliac à l’allure fantastique au creux du Limousin ; elles ont le parfum non du Grand siècle mais d’un certain romantisme, moins Villiers de l’isle-Adam (même si l’on voit passer sa nouvelle “Le convive des dernières fêtes” issue du recueil des Contes cruels) que Novalis. Et à partir de la page 69, on bascule dans autre chose avec l’entrée en scène inopinée de la Dolorès du titre, une Américaine, 16 ans, fille de l’autre et contre-Lolita dans son genre. Le narrateur, que sa passion pousse à transférer la voix de l’une dans le corps de l’autre, puis à échanger les corps, devient l’homme qu’elles n’hésiteraient pas à tuer pour trouver un compromis leur permettant de vivre ensemble.
Paumé dans ses injonctions amoureuses contradictoires, il hésite à faire le grand saut au pont Mirabeau où le poète Paul Celan l’avait précédé. Au lieu de quoi, le narrateur replonge dans les affres du double, et Millet dans ses obsessions de grand-écrivain-solitaire, être désenchanté que la vulgarité de l’époque a poussé à se résigner au pari d’une gloire posthume, sa certaine idée de lui-même, son goût de l’ombre sulfureuse, sa vision tragique de la littérature et de la société, lonesome cow-boy d’un monde dont il se veut l’ultime spécimen dostoïevskien. Dolores finira par se suicider, crime dont le narrateur s’attribue la responsabilité non seulement pour n’avoir pas su l’aimer mais pour n’avoir su se laisser aimer par elle.
« La douleur amoureuse est ce qu’il y a de pire, avec l’injustice et la dépression nerveuse »
C’est un roman d’analyse, classique pour le meilleur et non pour le pire, tel qu’on en a lus un grand nombre depuis La Princesse de Clèves, mais très incarné et sexué, aussi charnel que sensuel, sur l’amour des femmes, la difficulté à se parler sans se dire l’indicible, l’amour de la musique et de la littérature ; mais malgré la lignée très fréquentée dans laquelle il s’inscrit, il est prenant, vibrant, sensible, formellement classique mais envoûtant lorsque l’on sent l’auteur pétrifié par les puissances obscures qui le travaillent dans sa nuit sacrée, un peu surérudit question musique et peu trop référencé question littérature, mais enrichissant aussi par ces aspects-là, écrit dans une langue splendide, même si elle ne hisse pas ce livre à la hauteur de ses grands romans La gloire des Pythre, Ma vie parmi les ombres, Les trois soeurs Piale…
Si l’amoureux passionné en lui est impitoyable avec lui-même, l’auteur est complaisant avec le lecteur et le mélomane qui l’habitent laissant le polémiste reprendre la main lorsqu’il dénonce « les singes savants asiatiques… et l’obscène Lang Lang dont les simagrées sont au corps extatique de Glenn Gould ce qu’un logo est à un tableau de Zurbaran ». Un brin de mépris pour ceux qui ne sont pas du niveau où il croit se placer. Il ne manque pas une occasion de nous rappeler que nous avançons dans un monde barbare où il y aura de moins en moins de gens à qui parler, où la culture restera de plus en plus confinée dans un bunker où une élite issue d’un autre âge de la civilisation sera seule à même de l’apprécier. A lire comme il convient sans écouter d’autre musique que celle du texte, mais sans oublier qu’il a une bande originale qui est tout sauf hasardeuse : Im Abendrot de Richard Strauss, Requiem de Fauré, Offertorium pour violon et orchestre et Hommage à T.S. Eliot de Sofia Goubaïdoulina…
Par ailleurs, Richard Millet écrit des essais pamphlétaires et tient un blog qui l’est tout autant. Il y exprime à flux tendu sa vision politique et littéraire, parfois phobique et souvent violente, radicale sinon haineuse, de la décadence de l’Occident, de la lâcheté criminelle du pape, de la société du spectacle, de la médiocrité du milieu littéraire, de la veulerie touristique et en permanence de l’immigration, des droits de l’homme, de l’islam, du terrorisme etc On saura bientôt si son roman crépusculaire, l’un des plus beaux de cette rentrée, pâtira de la détestable réputation de Richard Millet. Le paradoxe voudrait que, le cas échéant, il s’en réjouisse tant cela le conforterait dans sa paranoïa de dernier des Mohicans.
(« Anna Netbreko » et « Viva la mamma ! » photos D.R.)
781 Réponses pour Ecrire ou aimer, il faut choisir
La nouvelle du maquillage du Bébé, ou de sa Mémère, n’a rien d’accablant.
Il faut seulement partir du principe que la plupart des Français vivent dans le monde réel avec plein d’emmerbes, et que les Politiques vivent eux dans un monde pour marionnettes ….
Un Guignol couteux, je vous l’accorde ! Surtout pour un spectacle pitoyable.
Pablo
n’avait-IL pas d’abord essayé de ‘faire’ acteur
Oui, aux C.Elysées, Pablo, on avait fait dix heures de queue depuis trois heures du matin, pour avoir des places à un prix abordable.
Michelangeli non plus, je le regrette aussi. Mais la génération Weissenberg, et la suivante, Pollini-Argerich-Sokolov oui. Le fameux Koroliov m’a ennuyé au-delà du possible, une vraie purge.
Nelson Freire sort nettement du lot, à tout point de vue.
Les 26000 euros de mascara, de fond de teint et de vernis à ongles de Touquette le Macronide, à la fin du quinquennat c’est 520 000 EUROS DE FRAIS DE MAQUILLAGE!
il peut être marrant jean do
Dès la semaine semaine prochaine, il va falloir que les français deviennent très pédagogues vis-à-vis de Touquette, et lui expliquent patiemment, en répétant plusieurs fois si nécessaire qu’ils ont très bien compris où il entend les mener : à la misère généralisée.
Ce ‘La professionnelle » est une trouvaille!
Moi, c’est Brendel, Chaloux, quand il se produisait encore dans le grand amphi de la rue d’Assas! Ça n’est pas d’hier! Avec des étudiants qui s’étaient assis autour de lui sur l’estrade…
Brendel m’a révélé Schubert qui jusqu’alors n’était à peu près pour moi qu’un nom dans l’histoire de la musique et l’auteur de l’Inachevée.
Son interprétation enregistrée de la sonate en La mineur fut une révélation pour moi.
Autre souvenir prodigieux: Brendel/Fischer Dieskau dans le Voyage d’Hiver. Une salle complètement hypnotisée pendant une heure, pas une mouche ne volait. Au disque, je reste cependant fidèle à Hans Hotter/Gerald Moore.
Nous avions au Middle Age les moines et les enlumineurs, bien à l’abri dans les monastères ; nous avons aujourd’hui les voyous et les enculmineurs, indécents dans leur caverne d’Ali Baba…
On a ce qu’on mérite.
A votre avis Claro a lu le dernier Millet?
À bas la grande distribution mondialisée qui se nourrit sur le dos des petites gens, vive le petit commerce de proximité et l’épicier arabe du coin ouvert 24/24 et 7/7
D’accord sur Nelson Freire; de plus il est brésilien et incroyablement sympathique.
Pollini s’est foutu de nous lors d’un récital Beethoven à Pleyel. Il a joué au triple galop comme s’il voulait se débarrasser d’une corvée pour rejoindre sa copine!
Sokolov…Il me semble qu’il a réalisé un des rares enregistrement de l’Art de la Fugue qui ne soit pas totalement soporifique. Mais je confonds peut-être.
Fischer Dieskau, je l’ai entendu à Pleyel, avec son pianiste habituel. Très beau souvenir, mais le plus beau, le plus génial, c’est Montserrat Caballe.
Parmi les pianistes, Jean-Claude Pennetier que j’oubliais.
chaloux 10h13
..au lieu de le porter au nues comme il sied à sa grandeur
Quand j’ai entendu Pollini, je l’ai tout de suite comparé à Jessye Norman. Deux instrumentistes qu’on paie fort cher le droit d’entendre mais qui ne font un peu de musique qu’aux rappels.
@ Chaloux
C’est pour n’avoir pas voulu faire la queue toute la nuit que j’ai raté Horowitz. Le maximum que j’ai fait c’est 6 heures (I.Stern en Bach), à la Pleyel, pour avoir les places des 3 premiers rangs à 25 francs (les riches payaient 180 fr à partir du 4ème rang). Michelangeli je l’ai entendu a 2 mètres, au premier rang (ce qui n’est pas bon du tout pour le son – piano trop fort par rapport à l’orchestre) dans le Concerto en sol de Ravel avec Barenboim – fabuleux. Pendant qu’on faisait la queue dans le hall de la Pleyel, ils sont arrivés tous les deux et Michelangeli a fait semblant de s’étonner de la quantité de monde qui attendait déjà que les guichets s’ouvrent à 18h30, c’est-à-dire 4 heures après.
Argerich je l’ai entendue souvent à l’époque de Barenboim à l’Orcheste de Paris (c’est une grande copine de « Dani »). Et son ex mari Kovacevich. Et Freire. Et tant d’autres. Même la Grimaud, tapant son piano comme une folle en Bach.
Tu penses quoi de David Fray?
9h43 avoir voté pour lui ou pas, en dehors d’une responsabilité ou d’une adhésion qu’est-ce que ça change, on en a pour cinq ans.
« Tu penses quoi de David Fray? »
Ce que j’ai entendu -le peu- très beau.
Et puis c’était lui ou Marine Lepen. Chaloux, pensez-vous qu’il eut mieux valu voter FN ? Ensuite les législatives, les électeurs auraient pu contrebalancer le pouvoir qui lui a été confié mais trop proches dans le calendrier électoral , la France a choisi la même couleur pour son assemblée.
« qu’est-ce que ça change ».
Bérénice, vous êtes cuite? Qu’est-ce que ça change de ne pas avoir voté la mort de Louis XVI ou les pleins pouvoirs à Pétain? Mais ça change tout, c’est cela qui change tout.
Et puis cinq ans, vous savez, par les temps qui courent… ça peut se ramasser.
Mais Bérénice le tatchérisme de Macron EST UN TOTALITARISME.
Et je suis bien content de n’avoir contribué EN RIEN à le faire élire.
Pour revenir à la réalité, avec lasuppression des empois aidés dans l’éduc nationale parle-t-on encore des classes avec effectif divisé par deux pour une pédagogie efficace auprès des populations en difficultés?
@ Chaloux
Sur Pollini tu as raison (pour moi il est aussi surévalué que Brendel, aussi glacial et aussi pressé). Mais pas sur Jessye Norman. L’un de plus beaux concerts que j’ai entendu c’était des extraits de Wagner, très bien dirigés par Barenboim et les Wesendonck-Lieder à la fin avec elle. Fabuleux.
D’ailleurs, Karajan l’a choisie pour son dernier concert (l’une des vidéos musicales les plus émouvantes de youtube – il dit à sa femme en allant au concert « Tout est fini »):
Georges Perros… mots aiguisés et pointus, exigeants, comme dans cette évocation de Stendhal. Mais je le rencontre aussi dans cet orage sur Paris, ces nuages noirs, cette pluie brutale. Une parole sans concession. Des brisures. Traçant des mots sur un carnet. Une énergie qui précédait le langage et qui le débordait.
Les assidus de son œuvre sont des chanceux…
La littérature contre l’amour…
Macron commence sa longue descente aux enfers. Le coup du maquillage je l’avais remarqué depuis longtemps. Il a notamment un problème de cernes, qui s’est accentué ces derniers temps parce qu’il est crevé, il doit dormir peu et sa résistance physique n’est plus celle du jeune homme énarque, lequel de toutes façons ne présent pas de caractère viril marqué…sur les écrans la différence avec son homologue roumain a prete à sourire, on croyait voir un garçonnet à côté de son papa.
Ca va être l’enfer pour Macron mais il l’aura bien voulu et cherché. Trois moi après son élections le chômage à grimpé de 1 pour cent, les réformes qu’il veut engager par la force sont de mauvais choix, il n’y a aucun plan de réindustrialisation ni aucun financement. Il ne fait que jouer sur les vases communicants, il est persuadé que casser le code du travail va favoriser l’embauche, il redonne un peu de pouvoir d’achat au bas de l’échelle qui achète beaucoup des produits et services non français, il retire substantiellement aux classes d’au dessus qui sont les plus grosses consommatrice des produits nationaux, il va avoir à affronter la rue bientôt, son PM est muet depuis qu’il lui a marché sur les pieds, il a les Armées à dos, ses ministres sont globalement des technocrates, ses députés sont moins que ça : pour beaucoup des amateurs et des maladroits. Et l’opinion chute. ÉVIDEMMENT.
« Bérénice, vous êtes cuite ? » (Chaloux)
Enfin, Chaloux, maitrisez vous ! Est ce ainsi qu’on parle à une dame comme Bérénice …. ?
Certaines des mesures qu’ils prônaient me séduisaient mais quand je vois M
me Pénicaud , je me dis qu’il a choisi une ministre du travail à la hauteur des espérances de l’électorat, elle et ses yaourts . On ne doute absolument pas de sa compétence mais son passé fait douter de la sincérité politique si ces deux mots peuvent s’accorder, je ne crois pas.
Il est dangereux pour un Bébé de sortir de son parc et d’échapper à la vigilance de sa vieille nurse … il ne réussira qu’à renverser les pots de chambres pleins !
« Et puis c’était lui ou Marine Lepen. » (Bérénice)
Il fallait évidemment élire Marinette la Walkyrisette !
Pour changer de merbe ! Au lieu de reconduire le Zozo Macron, encore pire que ces c.ouillons de Hollande, Sarkozy, Chirac etc etc …
Les Français ne fonctionnent qu’à l’électrochoc.
Mais ça change tout, c’est cela qui change tout.
dans votre conscience? Expliquez vous, le résultat sera le même enfin pas tout à fait selon que vous serez concerné par l’une ou l’autre des réformes qui seront soit ordonnée soit adoptée.
ées, ées.
10 h 49 min
il fait où il lui est dit
Ainsi les pays qui envient des travailleurs détachés pour 1 an maximum devront payer les cotisations salariales dans le pays qui les emploie, est-ce que cela va réduire le » dumping » ,à qui ce changement va profiter, à qui l’emploi des travailleurs détaché va continuer de nuire? Les cotisations étant indexées sur le coût horaire du travail, n’y-a-t-il pas à craindre que la concurrence continue comme avant de nuire aux petites entreprises françaises en dépit de l’effort constaté?
envoient
D, Son premier ministre a sa photo partout, on ne peut pas tout s’offrir, le son et l’image!
@Les français ne fonctionnent qu’à l’électrochoc
C’est précisément que l’électrochoc a fonctionné, malgré la tartine de maquillage
http://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/sites/regions_france3/files/styles/top_big/public/assets/images/2017/04/27/marine_gilbert-3023517.jpg?itok=VDd6P3gE
David Fray je le trouve très bien, et intelligent en plus, ce qui ne gâche rien. Dans le beau documentaire que Bruno Monsaingeon lui a dédié, on le voit enregistrer les concertos de Bach avec un orchestre de chambre allemand, auquel il demande (avec sa mèche rebelle et sa belle gueule – ma femme est amoureuse de lui) plein de petits détails, qui commencent par agacer certains des musiciens, qui paraissent se moquer de lui (genre, « le type c’est la pète un peut trop »). Mais à la fin, c’est tellement beau, que tout le monde a l’air conquis.
David Fray parlant très bien de Bach et le jouant encore mieux:
David Fray plays Bach: Partita No. 2 & 6, Toccata in C minor
Pablo, Avec Norman peut-être pas eu de chance…
Un autre extrait du documentaire de Bruno Monsaingeon:
Bach Piano Concerto BWV 1055 A major David Fray
https://www.youtube.com/watch?v=FRyLYtBLIOE
En même temps, Pablo, les concertos de Bach sont des œuvres collectives dans les lesquelles le moi du pianiste compte peu. Difficile de se faire une idée à propos d’un pianiste sur ce répertoire. Cela dit, il joue évidemment très bien.
Pablo, il me fait penser à Glenn Gould, jeune. D’ailleurs B Monsaingeon avait réussi à l’approcher.
@ Chaloux
Et d’Anne Queffélec, tu en penses quoi?
– Johann Sebastian Bach/Ferrucio Busoni Nun komm der Heiden Heiland BWV659a
– Alessandro Marcello/Johann Sebastian Bach Adagio, uit Hoboconcert in d BWV974
– Antonio Vivaldi/Johann Sebastian Bach Largo, uit Orgelconcert in d BWV596
– Georg Friedrich Händel/Wilhelm Kempff Menuet uit Suite in Bes HWV434
Pablo, très bonne interprète, les très bons sont légion. C’est l’exception qui manque.
« C’est l’exception qui manque. »
Eh oui. Et en tout. Les miracles sont rares.
Qui c’est B. Monsaingeon ?
D, c’est un homme qui se passionne pour les pianistes:
https://www.youtube.com/watch?v=1Y7g07Ozmy4&list=RD1Y7g07Ozmy4#t=36
70 o/o des sondés déclarent qu’ils ne souhaitent pas que Macron s’exprime davantage.
Les boules…
Je ne connaissais pas, Bérénice.
Je ne connaissais que G. Monsaingeon qui écrit dans Libération (que je ne lis jamais, c’est un principe).
Chaloux ne connaissant cette chance qui est la vôtre j’ai pour ma part entendu et vu peu d’interprètes en concert, de ces deux, Fazil Say et Piotr Anderszewski, que diriez-vous? Une interview récente de P A:
https://www.tdg.ch/culture/piotr-anderszewski-voix-pianiste-hante/story/13931312
Bérénice, je ne suis pas le poinçonneur des pianistes.
Jacques Rouvier qui fut le professeur de David Fray
Chaloux, vous donniez votre avis hier sur certains, comme je n’ai pas votre oreille je voulais simplement savoir si les miennes n’étaient pas défaillantes.
Il est bon de recevoir des leçons de maintien des anciens esclaves du bloc de l’est, Pologne, Hongrie, qui savent, eux, … surtout lorsqu’on débute, ….maquillé !
« Et je suis bien content de n’avoir contribué EN RIEN à le faire élire. »
Il n’y a pas à être fier, Chaloux ! Il faut parfois accepter de se salir les mains, même pour un pianiste…
Jazzi, vrai nous n’avons pas encore eu connaissance des talents du Président concernant sa pratique du piano.
« de la Pleyel »
De la salle Pleyel ou de Pleyel, Pablo75 !
Salle Pleyel
252, rue du Faubourg Saint-Honoré
Tél. : 01 42 56 13 13
Métro : Ternes
Vingt ans après Gaveau, la maison Pleyel dota à son tour Paris d’une salle de concert tout aussi prestigieuse que celle de son ainée mais beaucoup plus spacieuse. Pour ce faire, son directeur, l’ingénieur acousticien Gustave Lyon chargea l’architecte Jean-Marcel Auburtin de réaliser l’édifice selon ses plans. Après le décès de ce dernier en 1926, ses deux collaborateurs, André Granet et Jean-Baptiste Mathon, conduisirent les travaux à leur terme.
En 1927, la nouvelle salle Pleyel, constituée d’une salle de concert symphonique de trois mille places, de la salle Chopin, d’une capacité de 500 places, destinée à la musique de chambre, et de la salle Debussy, d’environ 150 places ouvrait ses portes.
Avec sa haute façade sobre et son vaste hall décoré de quatre bas-reliefs dus au sculpteur Gaston Etienne Le Bourgeois (1880-1956), la salle Pleyel, de style Art déco, fut inaugurée en grande pompe le 18 octobre 1927. Ce jour-là, en présence du président de la République Gaston Doumergue, du président du Conseil Raymond Poincaré et du ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts Édouard Herriot, ainsi que des compositeurs Paul Dukas, Manuel de Falla, André Messager et Reynaldo Hahn, le public put assister à un concert fleuve donné par l’orchestre de la Société des concerts du Conservatoire dirigé par Philippe Gaubert, avec en soliste le pianiste Robert Casadesus et au cours duquel Igor Stravinski et Maurice Ravel dirigèrent également des œuvres de leur répertoire.
C’est à la salle Pleyel, où Stravinski revint diriger Agon en 1957, puis Threni en 1958, et où Otto Klemperer donna des interprétations mémorables de la Neuvième de Mahler et de l’Héroïque de Beethoven, que l’Orchestre de Paris s’est installé à résidence en 1967, avec à sa tête Herbert von Karajan, sir Georg Solti ou Daniel Barenboim, et, depuis septembre 2006, l’Orchestre Philharmonique de Radio France, dirigé par Myung-Whun Chung.
Après avoir connu plusieurs propriétaires privés successifs et de nombreuses rénovations, la salle Pleyel a été rachetée par l’Etat et rattachée à la Cité de la Musique en 2009. Tout en lui conservant son cachet d’origine, à dominante de ton ivoire et or, les dernières modernisations ont ramené la capacité d’accueil de la grande salle à environ 2 000 places.
Poursuivant sa vocation de diffusion des chefs d’œuvre du répertoire symphonique passé ou actuel, la salle Pleyel n’exclut pas dans sa programmation d’autres formes musicales, tels le jazz, le rock ou la variété. C’est ainsi que Laurent Garnier est à ce jour le seul DJ Techno à avoir investi la salle accompagné d’une dizaine de musiciens (It’s Just Musik – Live à Pleyel, 2010).
JiBé
ceux qui ont voté Macron comme toi, au lieu d’aller à la pêche aux moules comme moi, devraient avoir honte durant 5 ans….
Je vous envie, Chaloux, de percevoir les nuances. Est-ce que vous comme Hélène Grimaud s’en explique percevez des couleurs en entendant des notes?
Même pas honte, JC ! Ni même d’avoir voté Sarko, cinq ans plus tôt : fais gaffe de ne pas avaler une moule pas fraîche !
Bérénice, si vous n’avez pas d’oreilles, je me demande à quoi peut vous servir mon avis. Comme si un aveugle demandait à une personne qu’il ne connait pas ce qu’il pense de Léonard de Vinci. Grotesque.
Je n’ai pas dit cela, vous êtes musicien moi non et l’éducation d’une oreille même ordinaire passe par l’écoute, sans être sourds nous n’avons pas nous non musiciens la même acuité aussi votre avis me semblait intéressant et bien que je ne puisse atteindre ce degré qu’est le vôtre. Toujours aussi sympa, allez vous faire voir.
ceci dit i would prefer not to, vous concernant.
J’avais oublié de donner la référence à mon commentaire de 13 h 03 !
https://www.amazon.fr/Lieux-spectacle-vie-artistique-Paris/dp/2707208116
Pas de couleurs, spécialement, je n’ai pas de velléités rimbaldiennes, car c’est à Rimbaud que Grimaud fait allusion, mais chacune des œuvres de mon -maigre- répertoire est associée à une histoire qui s’est forgée naturellement pendant la phase d’apprentissage. Jouer le morceau c’est se raconter l’histoire. Il m’arrive d’aller comme ça jusqu’à cinq heures du matin, d’œuvre en œuvre et d’histoire en histoire.
Jazzi, il faut aussi savoir ne pas se salir les mains.
Allons ! Allons, JiBé ! Les pédologues assermentés comme moi ne consomment que de la moule fraiche …
DROGUE
Règlement de comptes entre les Magistrats olympiens et les Stups au boulot : on demande une comédie musicale sur le sujet…
Et toi Jibé, c’est quoi le fruit de mer sur lequel tu concentres les risques?
Quand faut aller au charbon, faut aller au charbon, Chaloux.
Combien de Français, et de Parisiens, n’ont pas voulu se salir les mains et détournaient délicatement la tête en 42, quand on embarquait les Juifs pour le Vel’ d’Hiv ?
La langouste mayonnaise, Chaloux, comme Phil !
Je ne vois vraiment pas le rapport. Jazzi tu as vraiment l’intelligence politique d’une huître. Cela dit, l’orage s’est calmé, je m’en vais,
A bientôt,
Passou suit, c’est bien !
« La vie ordinaire du poète et écrivain Georges Perros, un documentaire poignant et édifiant à voir et écouter ici : t.co/VrmztKEi0A »
à toute, Chaloux !
Il manque une information capitale à ton résumé sur la salle Pleyel Zizzi: elle n’a plus le droit de programmer des concerts classiques depuis l’ouverture de la Philarmonie.
Closer, mon livre date de deux ans. Mais ce que tu dis me parait incroyable !
JAZZI dit: 25 août 2017 à 13 h 34 min
Pauvre c… Ton pauvre cerveau s’affaisse comme celui de la vieille concierge que tu n’as jamais cessé d’être. Tu aurais dû lire Goethe : »Méfiez-vous des rêves de jeunesse, ils finissent toujours pas se réaliser ».
« plus le droit de programmer des concerts classiques »
A Pleyel, c’est un scandale !
J’ai cherché pour cette association de la couleur à la musique, on parle de synesthésies , les scientifiques ne cautionnent pas tous .
« Méfiez-vous des rêves de jeunesse, ils finissent toujours pas se réaliser ».
Le mien était d’être écrivain, Chaloux, et il n’est pas encore advenu !
On dirait que je t’ai vexé ?
Que reste t-il une fois ses rêves réalisés, Chaloux ?
Mourir !
Je m’y refuse…
13h34 Jean Nouvel a-t-il gagné son procès?
https://media-cdn.tripadvisor.com/media/photo-s/09/72/75/a3/philharmonie-de-paris.jpg
Bérénice, je ne pense pas que l’on puisse imaginer une couleur en entendant un ton. Du point de vue de la physique ce serait une absurdité totale car la gamme de couleurs du visible n’a pas de caractère cyclique contrairement aux tons pour lesquels il suffit de multiplier la fréquence de l’onde par 2 ou bien 0,5 pour retrouver le même ton.
Ce qui peut se passer avec Grimaud, c’est une association arbitraire entre ton et couleur. Il doit etre assez facile de la mettre dans l’embarras en lui demandant la couleur associée au quart de ton situés entre si et do…elle serait tentée de répondre violet, donc entre le bleu et le rouge, or violet serait déjà attribué au La….ça ne tient pas debout, ça ne peut être qu’arbitraire et dès lors ça n’aucun intérêt.
Cela-dit l’association arbitraire de choses pour lesquelles il n’existe pas de relation physique ou astrale est présente chez tout être humain et se trouve particulièrement développée chez les autistes.
Le poème de Rimbaud est alchimique, il était un initié. Il ne s’agit ni plus ni moins que des phases du Grand-oeuvre.
Les couleurs qu’on peut voir dans l’athanor. Cela-dit j’dis ça j’dis rien.
Chaloux dit: 25 août 2017 à 10 h 26 min
Quand j’ai entendu Pollini, je l’ai tout de suite comparé à Jessye Norman. Deux instrumentistes qu’on paie fort cher le droit d’entendre mais qui ne font un peu de musique qu’aux rappels.
–
C’est clair. Et de toutes façons je n’ai jamais aimé la tessiture de Jessie Normann que je trouve dure, rugueuse.
D, voyez à la fin, les synesthètes célèbres;
Un certain nombre d’artistes, de poètes, de scientifiques et quelques Saints sont de grands initiés.
Cocteau, Hergé, Rimbaud, Poussin, Claude Perrault, Louis Le Vau, Cassini, Saint-Vincent de Paul, Nostradamus…tous ont en commun d’avoir complètement disparu de la nature quelques années sans donner aucune nouvelle.
Incroyable, mais vrai (site de France Culture):
« Cette interdiction de jouer du classique à Pleyel est totalement formelle. Elle apparaît noir sur blanc sur le contrat de concession, ainsi que dans le bulletin officiel des annonces des marchés publics.
« La programmation ainsi définie exclut tout concert ou spectacle de musique classique quel qu’en soit la forme (concert symphonique, récital, musique de chambre, opéra, etc.) y compris dans le cadre de manifestations à vocation commerciale ou de manifestations à vocation non commerciale (mécénat, soirée de bienfaisance, etc.) » Avis de marché pour la Salle Pleyel
Du jamais vu, pour Olivier Pardo : « Ça veut dire que pour la première fois, l’Etat prend une des salles historiques de musique classique et fait interdiction d’y jouer de la musique classique. On se croirait dans un pays totalitaire. Je suis étonné qu’au-delà des 11 000 pétitionnaires, il n’y ait pas plus de gens qui se manifestent. »
« Tout le monde sait que la Philharmonie a coûté beaucoup trop cher [390 millions d’euros NDLR]. En fermant Pleyel, puis en lui interdisant la musique classique, on pense qu’on va drainer les mélomanes, les contraindre à aller dans un autre quartier, à la Philharmonie. Et puis il y a quelque chose d’idéologique, on se dit que la Salle Pleyel est un symbole de la bourgeoisie parisienne. Sans mauvaise caricature du maoïsme, on veut amener les bourgeois ailleurs pour qu’ils découvrent, à l’occasion, qu’il y a des quartiers populaires. » Olivier Pardo
Ce que vous dites est vrai, Closer, je déteste le 19ème et c’est pour cette raison que je n’ai jamais mis les pieds à la « philarmonie » qui plus est sonne comme un attrape-bobo.
Je ne me suis jamais laissé dicter quoi que ce soit par l’intelligentsia du ministère.
A lire absolument:
le dossier du Figaro Magazine de cette semaine sur La Folle de l’Hôtel de Ville.
A la tête de la Nef des Fous de ce petit pays, càd l’épouvantable Ville de Paris, Hidalgo la Dingue est parfaitement à sa place ….
Merci, Passou pour le lien (G.Perros). De nota avait signalé l’entretien en oubliant de mettre le lien.
Il s’agit d’Hidalgo, je suppose ?
On peut dire que Paris n’a pas eu de chance. Je vous invite à prier Sainte Geneviève, Patronne de Paris, afin que Dieu accepte de nous enlever ce fléau.
En effet, il n’était pas nécessaire de déshabiller Pleyel pour habiller la « philharmonie », closer ! Paris a bien deux opéras et des centaines de théâtres, de salles de concerts et de salles de cinéma !
Merci aussi à Aymen Hacen qui écrit :
« Il s’agit d’un vieux documentaire diffusé sur la 3, je crois, et c’est un ami qui me l’a passé ; je me suis permis de le publier pour des raisons aussi amoureuses (ma passion pour Perros) que scolaires. Profitez-en ! »
ça te fatiguerait de mettre le lien, closer ?
http://www.lefigaro.fr/politique/2017/08/25/01002-20170825ARTFIG00053-anne-hidalgo-les-folies-de-la-reine-des-bobos.php
il vous reste le théâtre des champs Elysées, l’opéra Garnier et Bastille, l’auditorium de la maison de la radio, la salle Cortot et Gaveau.
ça fait longtemps que je vous dis qu’elle est folle, la Hidalgo : un jour que je lui avais déposé une enveloppe sur laquelle j’avais écrit, selon l’usage, « Premier adjoint au Maire de Paris », en 2000, du temps où j’étais responsable des éditions de la ville, sa chef de cabinet, a rageusement rayé cette mention et l’a immédiatement féminisée en me tirant une grimace !
JAZZI dit: 25 août 2017 à 15 h 38 min
c’est toujours mieux que le roi des escrocs
« sa chef de cabinet, a rageusement rayé cette mention et l’a immédiatement féminisée en me tirant une grimace »
et vous n’avez pas porté plainte
Stéphane Bern homo, qui l’eut cru ?
http://www.huffingtonpost.fr/2017/08/23/stephane-bern-presente-son-compagnon-en-couverture-de-paris-match_a_23158821/?utm_hp_ref=fr-homepage&icid=maing-grid7%7Cmain5%7Cdl1%7Csec1_lnk3%26pLid%3D187498263_uk
Non Bob, je me suis dit in petto qu’elle c.onnasse !
Rien à voir avec la RDL, … juste un ‘papier collé’ à la Georges P., qui sait ?
® 2.20 – Rencontré Machin par hasard cette nuit à la cantine de science po. Un gars plutôt jeune et la gueule tatouée d’une grosse étoile (de David) surmontant un petit marteau ou une petite faucille (le tatouage sur sa joue droite est en partie caché par une barbe clairsemée, plutôt sale et mal taillée). J’écoutais à la dérobée son invraisemblable bagout (il semblait avoir un avis définitif sur tout…, et notamment, -grâce à son charisme de pacotille-, de rallier une majorité contre des pétitions visant au boycott des droits d’inscription pour les plus pauvres des méritants… A ses yeux, en effet, seuls les rejetons de l’élite économiquement aisée et cultivée par de bonnes humanités du pays avait vocation à prétendre accéder à l’ENA) devant les autres étudiants ébaubis. Mais dès que fut annoncé le très attendu sémillant Alain Badiou pour son cours hebdomadaire de philosophie pour les salariés du soir en formation permanente, on l’entendit faire silence et taire brutalement tous les autres, à la manière de ce petit morveux qui n’entendait pas perdre la moindre miette de son discours baveux et de tout le copier, histoire de mieux pouvoir le recycler et monnayer ailleurs.
Je pensais à tout le profit à tirer de cette circonstance et observation inespérées… sur la RDL notamment, où je voyais d’ici l’effet produit. Car l’objectif restait quand même de faire taire à jamais cette grande gueule de sag.ouin. Car, on savait que seule sa crainte de la délation (preuves de ses turpitudes à l’appui), et de voir ses supercheries démasquées étaient susceptibles de faire disparaitre à jamais ce mytho parano de la surface du Net. Mais voilà qu’il s’incruste encore un peu, et pour cause, vu qu’il n’a pas encore dit son dernier mot. Je l’entends sévir maintenant sur les ondes de France culture, -car j’ai bien enregistré sa voix-, dans cette émission nocturne dédiée à la reprise des longues pages centrales du reportage du Monde de la veille sur l’économie de l’Amazonie. Je parie que ce crétin va faire croire aux auditeurs de l’émission, puis à la Rdl, au Maglitt ou à Télérama, qu’il était encore en train de voguer récemment en pirogue sur l’Orénoque de Prague au Cœur des ténèbres, parmi de dangereux primitifs encore jamais découverts depuis les fameuses excursions de CLS chez les Nambikwaras, Bororos et autres Tupi-Gawahibs des tropiques. En réalité, il est bel et bien en train de dragouiller un jeune stagiaire de la radio à Paris rétif à ses avances, quoique fasciné par son bagout post exotique. Il essaye en vain de le traîner dans son lit, une affaire apparemment plus commode que pour la bimbo de Kiev, qui n’eut jamais l’ombre de la moindre existence ukrainienne, d’après d’autres rumeurs mieux informées. Quelle grosse tache !
BJ à toussent et notamment Hamlet, qui a eu l’astucieuse idée de me réactiver le souvenir du merveilleux roman de Primo Levi, la Clé à molette.
JAZZI dit: 25 août 2017 à 15 h 49 min
assez fort pour qu’elle entende!
Tu n’as pas fait latin, bob ? Moi non plus. La définition de « in petto ».
http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/in_petto/43241
« Un certain nombre d’artistes, de poètes, de scientifiques et quelques Saints sont de grands initiés. »
Egalement vrai pour les fondateurs de religion : Moïse, le Christ, Muhammed, etc.
En ce temps-là, Hidalgo s’occupait du « bureau des temps » et j’étais chargé d’en tirer un dépliant tiré à 300 000 exemplaires. Un gouffre financier dont on a jamais compris de quoi il s’agissait…
Jazzi 15 h 58 min
Oui , certes
mais dommage qu’elle n’ait pas entendu
Jazzi
peut-être eut-il fallu lui poser la question (?)
La question a été mille fois posée, bob, mais les réponses étaient plus confuses les unes que les autres !
J’ai regardé et écouté ce documentaire émouvant. A qui doit-on ce tournage risqué ? Je ne reconnais pas la voix de celui qui l’interroge. Il y a juste un titre « Une vie ordinaire », pas d’autre indication.
Je retiens, à la fin, ces paroles de G.Perros : « La vie d’un homme est imprenable ». Il dit aussi que c’est l’amitié qui l’a rapproché de cet homme mais que ce tournage lui a valu des réflexions désobligeantes des habitants, des amis… mais qu’il ne le regrette pas.
Jazzi
ah, dans ce cas, alors!
Il paraît qu’elle a le projet de rendre la rue de Rivoli piétonne en ne lui conservant qu’une seule file pour les véhicules. J’aimerai bien comprendre où elle entend reporter la circulation des 4 files supprimées ?
A-t-elle déjà vu l’état du trafic rue de Rivoli, surtout le soir et le samedi ? Même avec 5 files, ça roule tout au plus au pas ou pas du tout. Les gens n’ont qu’à prendre la ligne 1 du métro ? Déjà saturée même avec un intervalle de 2 minutes entre chaque rame. Bus pleins, taxis tous pleins, gens circulant parce que c’est tout simplement nécessaire : petites entreprises, coursiers, etc…c’est comme ça que Paris existe et vit. Et il y a un siècle c’était la même saturation au même endroit et pour les mêlés raisons. Non, c’est une ideologue qui ne connaît pas la vie des gens normaux et encore moins sa ville. Elle n’a en tête que les cas marginaux.
15h50 un scoop!
Tiens, bob, si ça t’intéresse : un blabla qui n’a débouché sur rien de concret à Paris !
http://www.revue-projet.com/articles/2003-1-les-temps-de-la-ville/
« Il paraît qu’elle a le projet de rendre la rue de Rivoli piétonne en ne lui conservant qu’une seule file pour les véhicules. »
Il ne parait pas, D., les travaux sont déjà en cours rue de Rivoli, à la hauteur de l’Hôtel de Ville…
Je suis outré.
15h 50
Tiens! du Edouard Schuré mal digéré! (« Les Grands Initiés », bien mal nommés.) Il y avait longtemps…
@Christiane,
c’est Paul-André Picton qui a réalisé ce documentaire sur Perros et c’est la fille de Gérard Philippe, Anne-Marie, qui lit les textes…
« Georges Poulot dit Georges Perros est mort il y a vingt ans, presque inconnu. Depuis, l’auteur des « Papiers collés » et des « Poèmes bleus » ne cesse d’être découvert et publié de façon posthume. Éclairé par des témoignages de son fils Frédéric et de Michel Butor, l’ami de toujours, rythmé par les images de Douarnenez et les textes lus par Anne-Marie Philipe, ce portrait a été réalisé grâce à l’unique témoignage filmé existant sur Georges Perros, tourné par Paul-André Picton dans les années soixante. »
Mais alors, est-ce le même film ?
@de nota dit: 25 août 2017 à 16 h 27 min
Merci beaucoup, de nota. Je venais de trouver cette indication (postée juste après vous)
http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/7810_1
Jazzi 16 h 21 min
intéressant (surtout si on a le temps de tout lire !) tenir compte de l’évolution et des changements, pas facile dans des espaces urbains peu étendus comme paris avec cette concentration de bagnoles en plus , faut être courageux pour prendre un vélo
Jazzi
avec moins ou pas du tout de diesel ça irait déjà mieux
Jazzi
c’est un casse-tête :les rues sont trop étroites
J.Chapalain dans une recherche généalogique concernant des « personnages » liés à Douarnenez et avec l’aide de F.Hascouet de la mairie de Douarnenez, nous donne accès à ses articles de journaux, concernant, entre autres Georges Perros :
http://jose.chapalain.free.fr/pageprin239.htm
Pour G.Perros c’est juste en-dessous de la photo du cimetière marin de Treboul. On peut consulter 5 de ces articles.
Il y a d’autres « personnages » intéressants…
« la synchronisation par la division du travail entre les hommes et les femmes à travers la dissociation formelle entre les espaces assignés aux activités productives et ceux dévolus aux activités reproductives. »
–
…mort de rire…ils sont capables se tout oser, même des trucs comme ça.
Ouaaaaarfff ! Je suis plié en deux. L’enculage de mouches lyophilisées !
Merci Jazzi de me faire passer un bon moment de détente. Ces consenties coûtent cher et c’est moi qui paye mais je suis d’accord à 199 pour cent pourvu que ça reste aussi poilant.
Ces co.n.neries consenties
Archives supprimées http://passouline.blog.lemonde.fr/
C’est un peu chiant.
Bruits de bottes entre Macron et la Pologne.
Aux dernières nouvelles (confidentielles), les 3000 hommes de l’opération Barkhane seraient prêts à quitter le Sahel et à fondre sur Varsovie et Cracovie.
« La réponse de Varsovie a été cinglante. «L’arrogance» d’Emmanuel Macron est sans doute due à son inexpérience», a dit vendredi après-midi la première ministre Beata Szydlo, ajoutant que le chef de l’État français ne pourra décider seul de l’avenir de l’Europe. «Je conseille à M. le président qu’il s’occupe des affaires de son pays, il réussira alors peut être à avoir les mêmes résultats économiques et le même niveau de sécurité de ses citoyens que ceux garantis par la Pologne», a encore lancé Mme Szydlo, rappelant également «à M. Macron que la Pologne est membre de l’Union européenne au même titre que la France».
«La Pologne n’est pas isolée. Nous accueillons aujourd’hui une réunion importante, le président Macron ne suit donc pas attentivement les informations»
Pourquoi les autorités turques ne libèrent-elles pas ce type inoffensif au nom ridicule de Loup Bureau ?
Je leur demande un geste.
« Je conseille à M. le président qu’il s’occupe des affaires de son pays, il réussira alors peut être à avoir les mêmes résultats économiques et le même niveau de sécurité de ses citoyens que ceux garantis par la Pologne. »
–
Bien fait pour lui. Qu’il balaye chez nous d’abord.
Encore des messages anodins qui ne passent pas. Je vais essayer en les coupant en morceaux.
1.- Il paraît que seule la moitié des abonnés à l’Orchestre de Paris salle Pleyel ont continué à la Philharmonie.
2.-Du co.up ils o.nt bai.s.sé les pr.ix des co.nc.erts et m.is de b.us grat.uits qui ram.ène.nt les g.ens au ce.ntre de Pa.ris.
3.-Et comme ça ne marche toujours pas on remplit les salles en offrant gratuitement des places aux gens des banlieues proches, ce qui aggrave le cas.
En même temps c’est de plus en plus difficile de trouver des places au Théâtre des Champs-Elysées (où les programmes sont, en plus, bien meilleurs qu’à la Philharmonie) et au Châtelet.
Et pour couronner le tout, à Boulogne-Billancourt on a inauguré La Seine Musicale, avec une très bonne nouvelle salle dédiée à la
musique classique.
http://www.laseinemusicale.com/fr/la-destination/auditorium-35.html
C’est dire si la Philharmonie est mal barrée.
Question à Passou: qu’est-ce qui est interdit dans la phrase: « Du co.up ils o.nt bai.s.sé les pr.ix des co.nc.erts et m.is de b.us grat.uits qui ram.ène.nt les g.ens au ce.ntre de Pa.ris. » (J’avais d’abord séparé « bai.s.sé » et « co.nc.erts », et ça passait toujours pas).
La Seine Musicale de Boulogne:
http://www.laseinemusicale.com/fr/identite/le-geste-architectural-8.html
L’image de Macron en Espagne prend un coup. Toute la presse espagnole en parle.
« La factura de 26.000 euros en maquillaje de Macron que hace palidecer a los franceses. »
https://elpais.com/elpais/2017/08/25/gente/1503651157_974157.html
@16.26
1°) – J’apprends donc qui fut Edouard Schuré. Merci infiniment… apparemment, un grand initié à l’ésotérisme des religions monothéistes. Enchanté d’apprendre tous les jours quelque chose de nouveau sur ce blogue formidable (NB / pour les autres innocents aux mains pas remplies comme moi, s’il y en a, voici donc un lien qui peut servir).
https://www.babelio.com/livres/Schure-Les-grands-inities/21177
2°) – J’apprends de surcroît que ce ‘papier collé’ serait un remake mal digéré de Schuré, et là j’exige explication, en dépit de la fierté que j’éprouve de cette étonnante tentative de comparaison. En effet, de deux choses l’une : vu que je ne connaissais pas cet illustre oiseau-là il y a encore cinq minutes, je n’arrive pas à bien comprendre comment j’aurais pu mal le digérer trois heures plus tôt. Ou bien alors, il s’agit d’une critique savamment chantournée d’un Petit Rappel à l’ordre taquin, à l’encontre d’une religion freudienne férue de décodages oniriques qui n’avait pas encore trouvé son gourou sous la plume d’E. Shuré, d’où la critique irait plutôt vers icelui que vers missel.
QQu’il en soit, dans aucune de ces 2 hypothèses, il ne faudrait voir la moindre malveillance de ma part, je reste un gars bin ordinaire, mais plein de bonne volonté et toujours porté par le respect total devant la sagesse de Monostratos, l’éclaireur des ténèbres. Car il me fait toujours progresser vers les Lumières de la Raison ‘rdl’.
Bien à vous, cher MC et mes hommages à Madame.
J J-J.
Je comprend rien à ce que vous blablatez sur la philharmonie https://www.google.fr/amp/www.europe1.fr/culture/12-million-de-visiteurs-a-la-philharmonie-pour-sa-1ere-annee-2650383.amp
Vous le faites exprès?
Pas mal de salle à Paris fonctionnent sur abonnement, pas plus élitiste. Si tu veux aller voir un spectacle ponctuellement, c’est quasiment impossible.
Pablo 75 de 17h59.
quand vous avez le hoquet, ça inquiète la modération.
On notera également que pour sucer la teub à Fillon Closer ca l’a pas trop dérangé d’aller à la Halle de la Villette. Le politique plus excitant que la musique classique?
Fiste sa femme en public https://pbs.twimg.com/media/C4JgTqNWMAAIOcH.jpg
Anne Hidalgo ?…. c’est la Vile de Paris !
Ouais bah moi aussi je peux critiquer Hidalgo si je veux https://m.facebook.com/bateaudemoiselle/posts/10154631318167470
@ Nicolas
Tu penses bien qu’après avoir dépensé presque 400 millions d’euros, ils ont mis le paquet pour que les gens aillent. D’abord ils ont fait plein de concerts plus au moins éducatifs à 5 euros, et d’autres non éducatifs pas chers du tout (dans celui d’hommage à Boulez les entrées commençaient à ce prix). Après, les départements et les villes autour de la Philharmonie achètent des places pour les offrir aux jeunes. Et ensuite: « La Philharmonie a misé sur des week-ends thématiques (« Comédie musicale », « Love stories » …) et des tarifs accessibles le week-end pour attirer les familles, ainsi qu’un programme complet d’activités éducatives. »
Pas un mot dans l’article sur les abonnés de l’Orchestre de Paris, dont c’est la salle. Ni sur les bus qui ramènent les gens au centre de Paris (on se demande bien pourquoi si on rempli la salle à 97 %)
Autre chiffre intéressant: « public cumulé de la Cité de la musique et de la Salle Pleyel en 2014 (730.868) ». Public assistant à un concert payant dans la grande salle: 407.109 (mais combien d’entrées payés avec de l’argent public?). Beaucoup de gens, donc, mais noyés dans plein d’activités plus ou moins subventionnées. Mais combien de vrai mélomanes pour les vrais concerts?
Et j’aimerais savoir combien cela coûte en argent public chaque saison de la Philharmonie. Alors que la Pleyel était une entreprise privée.
Moi j’allais à la Pleyel (toujours avec 2, 3 ou 4 personnes) plusieurs fois par an, souvent une fois par mois. Et je ne suis toujours pas allé à la Philharmonie, sauf pour la visiter gratuitement au début. Et je connais pas mal de monde dans mon cas.
On a dit à jean nouvel de faire un opéra à 100 briques, ca l’a bien fait rigolé, pour 100 briques t’as plus rien, il a dit oui oui et il a fait un opéra digne de ce nom, une fois les travaux commences faut bien les finir.
Quand au fait que la culture soit subventionnée et qu’on essaye tant bien que mal d’y accueillir un public de non initié ça ne me pose pas de problème non plus, bien au contraire.
Quant à la programmation de la salle Pleyel je n’en savais rien et n’en connais pas les raisons, mais quand je constate comment les « mélomanes » se plaignent je me dis que cette petite privation leur apprend la vie, comme beaucoup d’autres la connaissent. You are welcom.
Merci pour le marimba Bérénice, vous faites un effort mais ca ne me semble pas très approprié pour ce type de musique.
Janssen
En effet ,Il y a erreur sur la référence. Elle renvoie à celui de 15h 58, non de 15h 50. Alors à moins que vous ne soyez Delaporte…
Bonne soirée.
MC
Lui joue comme un psychopathe, mais il est plutôt « underground » https://youtu.be/ypJGM9zqHT8
Nicolas, j’ai assisté à un concert de ce jeune virtuose sympathique, de ce qui est à disposition sur you tube j’ai choisi celle ci. Si vous pouvez le trouver dans les bacs il se promène entre jazz et classique. Ne pouvant répondre de mes oreilles ordinaires, je vous dirai simplement que s’il se produisait par là j’irai l’applaudir à nouveau.
Pablo, l’acoustique de la salle a été modifiée et ne pourrait de toute façon plus accueillir de formations classiques.
A propos de Georges Perros et du documentaire qui lui a été consacré, s’agit-il de ce film?
Très mauvais choix Béré, un autre peut être ?
Je trouve l’initiative novatrice, de plus cela ne gâche rien au piano qui n’est pas couvert, je ne pense pas que l’enregistrement ait été réalisé dans cette friche. T E intervient dans le commentaire si vous descendez sur l’échelle.
Tous ces gens sûrs d’eux même, Nicolas, je ne suis pas mélomane, juste une flâneuse .
bérénice dit: 25 août 2017 à 21 h 38 min
Oui. Passou l’a mis en lien (twitt) après que de nota l’a signalé
Pablo75, Aucune ! Mystère de la modération. Peut-être la présence de « con » dans « concert »…
vous n’aimerez pas non plus ces deux beaux gosses:
sortie de route:
@ Passou
« Peut-être la présence de « con » dans « concert »… »
Non, même pas, j’avais divisé la syllabe en premier et la phrase ne passait pas…
Question plus générale: pourquoi une modération automatique de mots alors que c’est si facile de la contourner et que tout le monde la contourne?
Elle ne sert qu’à embêter parfois sans qu’on sache pourquoi.
Let’s see… It’s a con in the old man’s game
Rare sont ceux qui dépassent le stade du gadget quand ils réinventent leur instrument Bérénice, Steve Vai est un très grand musicien, il ne s’est pas contenté de faire des reprises.
À demain
@ Nicolas
« quand je constate comment les « mélomanes » se plaignent je me dis que cette petite privation leur apprend la vie »
Tu as l’air d’être très naïf (ou très jeune): d’abord les mélomanes ne se privent pas, ils vont ailleurs. Et ensuite ils n’ont pas besoin de la « terrible épreuve » d’une salle qui arrête de donner des concerts classiques pour savoir ce qu’est la vie. Ce n’est pas parce qu’on aime la musique au point d’aller à des concerts qu’on est riche, en bonne santé, heureux en amour et sans problèmes de travail.
Cinq minutes de magie gratuite:
Philip Glass -The Poet Acts
With Karina Sarkissova
Tu devrais essayer la philharmonie, tout le monde dit que la salle de concert est tip top. Tu prends la ligne 2 jusqu’à Stalingrad et la 5 jusque Porte de Pantin, faut compter 15-20 minutes.
@P75, « Ce n’est pas parce qu’on aime la musique au point d’aller à des concerts qu’on est riche, en bonne santé, heureux en amour et sans problèmes de travail ».
Non, certes, mais il se trouve que c’est souvent le cas, comme dirait MC, et en plus, ça aide.
un roman de Corto Maltese ?
23.03, Vous avez de drôles de goûts musicaux, JLC, pourquoi les imposer ainsi aux seuls mélomanes de la grande musique de la salle gavo, alors que la vie peut être ailleurs pour eux aussi ?
https://www.bing.com/videos/search?q=celine+dion&&view=detail&mid=720DC3B6F0B9D540843D720DC3B6F0B9D540843D&FORM=VRDGAR
@ Nicolas
Si je ne suis pas allé encore à la Philharmonie c’est à cause du programme des concerts. J’ai l’impression qu’on joue des choses plus « populaires » qu’à la Pleyel, plus tape à l’oeil (Lang Lang, Grimaud). Sinon je connais bien le quartier de Porte de Pantin, j’y ai habité à 5 min pendant 11 ans. Et maintenant j’habite plus loin mais je peux aller à pied en 20-25 min. Et revenir en métro par la 5 jusqu’à République et par la 11 jusqu’à chez moi. À pied c’est plus dur parce que ça monte beaucoup (j’habite à quelques dizaines de mètres du point le plus haut de Paris, qui se trouve à Télégraphe).
@ Janssen J-J
» il se trouve que c’est souvent le cas »
Tiens, je ne savais pas que les mélomanes étaient une race supérieure sans aucun problème d’aucune classe.
Personne n’évoque la salle des concerts de la Cité de la musique ? Cela permettrait pourtant, à mon sens, de déterminer si le problème concerne la Philharmonie elle-même ou l’emplacement géographique …
(D’accord évidemment pour l’immense gâchis de la salle Pleyel)
Pour l’acoustique mes suffrages vont à l’Oratoire du Louvre, mais évidemment pas pour le même type de formations
C’est très simple x, pour ma part le classique à tendance à un peu me faire chier quand même, un petit peu de ci de la de temps en temps je dis pas, mais pas plus, n’insistez pas.
@ « Je ne savais pas que les mélomanes étaient une race supérieure sans aucun problème d’aucune classe… »
C’est humain, tout le monde n’a pas la sensibilité sociologique élémentaire pour s’en rendre compte, et puis il y a des choses transmusicales beaucoup plus importantes dans la vie des villes et des bois, par ex. http://les400culs.com/
Grâce à Hidalgo tu te sens plus proche du peuple maintenant http://www.alvinet.com/similaires/laquo-nbsp-que-l-39-etat-fermeture-mjc-nbsp-rien-regarde-lever-petit-doigt-nbsp-raquo/39211770
…
…en, tout cas, je vient, de prendre connaissances, du désarrois, que cause, la main-d’œuvre liberticide de la Pologne,…
… » mal,payer, les travailleurs polonais,… », et déchéance, de l’élite française du travail,…
…
… » Macron « ,…beaucoup, plus objectif, que le Hollande,…dans, l’esprit » français « , à la de Gaule « ,…
…
…je ne peux, que le félicité,…de mettre ce dilemme, en valeurs, ‘ l’attaque fasciste du gouvernement prussiens de Pologne ‘ , sur l’Europe du travail,…
…
…un réalisme social,…Bip,!Bip,!…etc,!…
…
;;;
23h15 merci pour ces précieux enseignements.
autre version:
John Adams
Mettre sa mâchoire en avant, à la Benito Mussolini, est à la portée de n’importe qui mais il ne faut pas le faire n’importe où : pas en Pologne, par exemple !
Que de morts, si le ridicule tuait pour de vrai …. !
la directive européenne:
Et pourquoi pas? ce problème concerne également le Portugal, l’Espagne qui fait travailler en France des ouvriers du bâtiments à 4 euros/h tous frais déduits.
alors les « lacaniens »
http://www.podcastjournal.net/La-voix-sur-le-divan-psychanalyse-de-l-art-lyrique_a11303.html
Bâtiment.
Et si l’on prévoit que la réforme du travail va privilégier les accords d’entreprise on pourra prévoir également un alignement du coût salarial sur celui des travailleurs détachés si rien n’est fait pour harmoniser les salaires en Europe, mais bon ici ne vont que des intello à l’abri du besoin et de l’entreprise aux prises avec les lois du marché.
Et le rempart de 1 an maximum n’empêchera pas la valse aux entreprises, chacune attendra son tour pour reprendre un chantier, la belle affaire.
JC, des polonais satisfaits:
Les gesticulations injustifiées des Bons européens accueillant la vermine, Merkel & Bébé Macron, comme celles des Méchants européens, polonais, hongrois, défendant leur souveraineté longtemps étouffée par l’URSS, témoignent s’il en était besoin que l’Europe n’existe pas !
Elle agonise depuis plusieurs décennies car en dehors du marché unique, de la monnaie, tout le reste est en attente aux quatre vents…
Les Nations comptent plus pour les peuples que l’Europe.
JC la réforme de la justice en Pologne fleure bon la nostalgie, un pas en avant et ils retrouvent les bons vieux schémas des soviets, pourvu qu’ils puissent envoyer leurs travailleurs aux conditions qui les arrangent, est-ce là tout ce qu’ils attendent de l’Europe ? Contourner ses règlements et bénéficier des avantages?
une chanson parce qu’elle était belle
Cornell Capa :
http://blogfigures.blogspot.fr/2013/04/cornell-capa-marilyn.html?q=Marilyn
Vous avez bien raison de simplifier Bérénice … mais attention le puits de la naïveté n’est pas loin !
Alimentez le débat, de toutes façons les décisions ne sont pas unilatérales, nous verrons bien si l’Europe progresse dans le sens des peuples et pas uniquement pour servir le capital en échange d’une garantie de paix.
Bruxelles entretient l’illusion d’une volonté européenne au service des peuples, ce qui est totalement faux.
Il ne s’agit que d’un totalitarisme soft post-communiste, exercé par une bande de malfrats apatrides, idiots utiles de l’humanisme béat post WWII, privilégiant l’Allemagne…
Le Brexit est un signe d’intelligence politique des Anglais, des pragmatiques à qui on ne l’a fait pas !
La Dislocation/Rénovation est amorcée.
C’est presque comique de voir l’Europe flancher aujourd’hui, par ce qu’en fait d’Europe on a fait une Europe économique, et non culturelle. Il suffit d’un ridicule grain de sable sur les travailleurs détachés et le dumping social que cela crée pour tout arrêter ! Ce qui se passe est dommage et même absurde, lorsqu’on connaît les relation privilégiées dont l’histoire a fait preuve entre la France et la Pologne. Et voilà que pour une question de gros sous, ils en viennent presque à se foutre sur la gueule !
Macron, ce n’est pas le petit télégraphiste, mais le petit épicier… Il est intransigeant sur la question de ses sous. Le pauvre homme !
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