Milad Doueihi : l’humaniste d’aujourd’hui est un geek éclairé
Auteur notamment de La grande conversion numérique ( Seuil, 2011) et de Qu’est-ce que le numérique ? (Hermann, 2013), Milad Doueihi, chercheur américain d’origine libanaise, se distingue facilement dans le désert conceptuel, du moins en français, au sein duquel s’inscrit la réflexion sur l’internet (plus sociologique que philosophique, elle est le plus souvent orientée vers des questions du type « L’internet est-il une chance ou une menace pour la démocratie ? »). L’auteur, qui n’est pas un numéricien, reconnait avoir d’abord fait l’apprentissage de l’amitié et de la convivialité en découvrant le réseau. Puis il s’est mis à réfléchir aux analogies et aux équivalences entre le monde d’où il venait (la civilisation du livre) et celui qui l’attirait insensiblement vers l’écran de l’ordinateur. Il lui est apparu que cette conversion, contrairement aux autres, n’impliquait aucun reniement ; même s’il l’ignore, le monde numérique est selon lui foncièrement lettré ; ses équivalences ne sont donc pas imposées de l’extérieur. Milad Doueihi réfléchit de manière aiguë au savoir-lire numérique (digital literacy), à l’archivage de l’avenir, à ce que la technologie collective change à nos vies, en quoi elle modifie le lien social. Il est de ceux qui font vraiment avancer la réflexion sur le sujet, par des essais stimulants appelant notamment à un « humanisme numérique ».
La République des livres : Vous qui êtes à la fois historien des religions et titulaire de la chaire d’humanisme numérique à la Sorbonne, donc à mi-chemin entre les deux mondes, êtes-vous sensible aux assauts que subissent les humanités gréco-latines ?
Milad Doueihi : Bien sûr ! Dans mon travail et ma réflexion, les langues anciennes m’ont toujours été extrêmement utiles, même si, à une époque de ma vie, je ne l’aurais jamais cru. Un exemple parmi d’autres : on parle beaucoup de l’univers du jeu, de ses implications dans le numérique et les mondes virtuels. Dans un très beau texte étrangement peu cité, le linguiste Emile Benveniste rappelle que le français a parlé du sens ludique de « jouer » qui vient du latin ludo, ludus : à l’origine, il contient la dimension du divertissement et celle de l’apprentissage, puisqu’il évoque autant le jeu que l’école. Or dans l’informatique et le numérique, on a besoin de revenir à cette notion d’apprentissage quitte repasser par la philologie si on veut mieux comprendre les phénomènes dans la longue durée.
Que ce soit nécessaire au chercheur, nul n’en disconviendra. Mais au citoyen ?
Pareillement car nos réflexions sont ancrées dans des réflexions, distantes ou proches, avec le monde ancien. A commencer par le modèle démocratique qui renvoie à Athènes, et le modèle républicain qui renvoie à Rome. Si on n’a pas notion de ce qu’est la polis, si on ignore les conceptions grecque et romaine de la citoyenneté, on passe à côté de ce qui façonne notre propre rapport au politique et au lien social. C’est une erreur de remplacer ces heures d’apprentissage des langues anciennes par l’enseignement du codage par exemple car ce serait sacrifier des formes d’apprentissage qui nous accompagnent profondément. On parle de sauver tout cela alors qu’en principe, on ne devrait même pas être en situation de le défendre ! Ce qu’ont transmis au monde de grands esprits tels que Jean-Pierre Vernant, Marcel Détienne, Jean Bollack sur la Grèce est considérable, il ne faudrait pas que cela relève d’un âge d’or révolu de la pensée française.
Mais quel sens cela peut-il encore avoir d’être un humaniste au XXIème siècle ?
Il faut commencer par se détacher d’une conception traditionnelle de l’humanisme, trop associée à une période et à une idéologie qui peuvent être nostalgiques sinon conservatrices. Tant Husserl que Lévi-Strauss nous invitent à réfléchir à l’actualité, aux écarts qui peuvent exister entre les sciences pures, celles de la mesure et de la précision d’un côté, et de l’autre les sciences de l’esprit. Cet humanisme doit prendre en compte les nouvelles donnes, les nouvelles réalités technologiques, informatiques et numériques.
Mais s’il vous fallait définir l’humaniste aujourd’hui, il ressemblerait à qui ?
Au geek éclairé. Quelqu’un comme l’américain Donald Knuth, un grand informaticien qui enseigne à l’université de Stanford et qui a été distingué par le prix Turing en 1974. Il a écrit un très beau livre dans lequel il expliquait que le code informatique est une pratique lettrée. Sans jamais se détacher des réalités algorithmiques, il a conscience que l’informatique participe à une culture humaniste qui a évolué. Il a en commun avec l’humanisme traditionnel une certaine éthique de la transmission ; il lui est inenvisageable de la séparer de la production de l’informatique. A ses yeux, celle-ci n’est pas détachée de la tradition humaniste classique, même si elle la complexifie. Ainsi il a tout un discours sur l’objet, l’annotation, le commentaire, la qualité littéraire, la typographie au sein du code lui-même. Il estime que celui-ci a des pratiques littéraires qui ont participé à la naissance de l’humanisme classique. Pour que le code se transmettre, il y a des responsabilités à assumer dans telle ou telle manière de programmer. C’est le seul moyen pour que nos successeurs comprennent ce qui a guidé nos choix et en fonction de quelles contraintes. Dommage que le Codage lettré ne soit pas traduit en français car Donald Knuth est tout de même à l’origine du concept de programmation lettrée ! Un autre grand informaticien Dries van Damme a toujours dit que des pratiques lettrées étaient nécessaires. Et tout en étant très différents l’un de l’autre, ils sont considérés comme des purs et durs dans leur métier.
Et les philosophes ? Et les historiens ?
Les disciplines des sciences humaines ont soit accueilli le numérique comme un simple outil destiné à fabriquer des textes et des éditions, en tout cas pas comme un objet noble digne d’engager la réflexion ; soit comme l’ont fait des préhistoriens, des philosophes, des théologiens, les Leroi-Gourhan, Ellul, Simondon.
Comment définissez-vous les humanités numériques ?
C’est la manière dont les disciplines lettrées de l’humanisme classique ont reçu et sont en partie façonnées par le numérique, tant dans leur manière de produire le savoir, que dans leur aptitude à le partager et le transmettre. Cela concerne l’histoire, la philosophie etc auxquelles d’autres ajouteront la sémantique, la linguistique computationnelle et stylistique. Une histoire canonique des humanités numériques nous renvoie vers un jésuite, le père Buzat, qui s’intéressait beaucoup à Thomas d’Aquin ; dans les années 50, il est allé voir les gens d’IBM pour leur demander l’autorisation d’utiliser leurs ordinateurs afin de produire un schéma sémantique conceptuel de son œuvre. Mais le premier humaniste numérique n’est autre qu’Allen Turing. Quand on lit son texte fondateur de 1950 La machine Turing, on est tout de suite frappé par l’importance accordée aux sciences humaines. Il tente d’y répondre à toutes les objections littéraires, philosophiques, artistiques, esthétiques, éthiques que l’on peut adresser à cette machine soi-disant intelligente.
Comment expliquez-vous que les roboticiens d’aujourd’hui en soient encore à concevoir leurs machines comme des humanoïdes ?
La robotique occidentale est obsédée par la question anthropomorphique depuis le Golem, démarche on ne peut plus humaniste. Il y a là tout le poids de la Bible qui façonne notre imaginaire, nous perturbe, notamment avec ce que la littérature en a fait ; mais dès que l’on sort de notre culture monothéiste et que l’on se rend au Japon ou en Corée, c’est beaucoup plus décomplexé. Cela dit, il y a également une autre explication avancée par certaines écoles de pensée : le robot, c’est le mouvement et le déplacement dans l’espace plutôt que la représentation de l’humain. A la fin du XVIIème siècle, Leibniz disait qu’il pouvait imaginer une machine qui irait en ville, tournerait dans les rues, descendrait peut-être les escaliers… Le robot humanoïde nourrit notre imaginaire au-delà de ce que l’on pourrait croire : dans un grand hôtel de Las Vegas, l’un d’eux a été mis en place pour livrer des choses aux clients dans leur chambre ; or ceux-ci lui ont ouvert la porte, lui ont donné un pourboire… Yves Vaudoyer de l’Inria a mis au point un robot curieux qui fonctionne comme un cabinet de curiosité informatique : il apprend de son environnement au fur et à mesure et il s’adapte. Nous vivons en partie avec un imaginaire façonné par Hollywood dans lequel le robot suit une trajectoire très classique : on le crée, il nous imite pour être notre semblable, il se perfectionne, enfin il essaie de nous éliminer.
Mais n’être-vous pas troublé par la volonté de certains de doter les robots d’une conscience ?
Là oui ! Pendant longtemps, on a essayé de reproduire en informatique ce qu’est la conscience. Le piège car c’est insaisissable ! Ils se sont alors dirigés vers quelque chose de plus philosophique, un modèle inspiré des Lumières qui est celui de l’autonomie. En donnant une certaine autonomie au robot, il lui permet de faire jouer sa capacité à s’adapter et à décider lui-même comment réagir : quand il se cogne quatre fois de suite à un pilier, il décide lui-même d’emprunter un autre chemin. Mais on n’est pas là dans l’éthique !
Pourquoi ce sujet est- devenu si important depuis peu ?
La crainte de produire des choses qui nous échappent. Certains veulent en rester aux lois de la robotique édictées en science-fiction par Isaac Asimov ; d’autres disent plutôt que le robot apprend, comme l’humain apprend. Le robot nous échappera lorsqu’il autoproduira son code. On n’en est pas très loin et je ne parle que du code qui génère du code ; mais on ignore où l’on va avec les apprentissages non-supervisés. La créature peut échapper à son créateur sans que nous ayons les moyens de prévoir ni de prédire dans quelle direction et avec quelles réactions. Excitant, non ? Mais cela pose des questions. Le problème, c’est qu’il n’y a pas de précédent dans notre histoire au code algorithmique. On a rarement vu une telle convergence entre quelque chose qui a la faculté de s’autogénérer et de faire monde, ce qui peut légitimement inquiéter.
Justement, les perspectives ouvertes par les transhumanistes et les posthumanistes vous inquiètent-elles ?
Certains reprennent des thèses philosophiques des Lumières que nous connaissons bien, mais ils essaient de leur donner un statut autonome, celui du logiciel, du robot, de l’homme augmenté. Il y a différentes écoles parmi eux, des plus doux (les Français) aux plus radicaux (les Américains). Ce qui m’intéresse chez eux, c’est qu’ils nous incitent à réfléchir autrement que par le passé aux liens entre l’automatisation et l’autonomie, qu’il s’agisse d’être humains ou d’êtres informatiques.
Enhancement, maître-mot de ce milieu-là, vous le traduisez comment : « augmentation » ou « amélioration », car en anglais, c’est les deux ?
Amélioration, plutôt. Car le point de départ, c’est cette singularité qui est le point de convergence entre l’intelligence de la machine et l’intelligence humaine ; et comme à un certain moment l’intelligence de calcul de la machine va dépasser celle de l’humain, il fallait du coup les réunir d’une certaine façon. Cette association permettrait de nous améliorer jusque dans notre corps. Ce qui vise à créer un homme nouveau. C’est là une vieille histoire comme on le sait ! On relève des traces d’eugénisme, certes minoritaires bien présentes, dans certains réflexions transhumanistes. Cela ne fait pas pour autant du transhumanisme un système totalitaire car les tendances y sont diverses et nombreuses. Leur profession de foi est assez théologique. De toute façon, je suis convaincu qu’avec l’informatique, science dominante de nos jours, les transhumanistes ne se privent pas de raconter le récit des origines autrement. Et nous, avec nos données et nos traces, nous sommes désormais priés de nourrir la machine algorithmique, « maître vorace de l’intelligence » comme disait le logicien américain Charles Sanders Peirce. Si le transhumanisme nous pose problème, c’est qu’il nous perturbe dans certaines de nos convictions inconscientes et implicites, qu’elles soient de l’ordre du religieux ou qu’elles touchent notre conception de notre propre autonomie en tant qu’être humain. Etymologiquement, l’autonomos est celui peut se donner ses propres lois, même si l’on sait très bien qu’on ne peut pas tout décider. L’article « Autonomie » de l’encyclopédie de Diderot et d’Alembert est à cet égard assez remarquable : à côté de la définition classique, il y a des exemples qui sont des réponses aux… transhumanistes ! Il y est raconté que Rome comme empire souverain a fait parfois le choix de laisser certaines cités grecques vivre selon leurs anciennes constitutions ; l’autonomie s’affirme là par un geste de délégation ; or pour cela, l’Encyclopédie précise qu’’il faut aussi s’assurer que celui qui délègue a la possibilité de retirer cette autorité. Les transhumanistes nous invitent justement à penser ce nouveau modèle délégation avec l’intelligence artificielle.
Mais que pensez-vous de ce « nouvel homme » qu’ils appellent de leurs vœux ? Ca rappelle de mauvais souvenirs…
J’ignore si c’est dangereux mais je sais que c’est problématique. C’est dans la tradition du new age mais en plus complexe. Ce qui est nouveau, c’est la convergence entre l’informatique et les sciences du vivant, ce qui change complètement la donne, d’autant qu’elle est difficile à penser car elle est toute récente. La biologie a fait d’énormes progrès depuis les années 60. Certaines puces électroniques, que l’on commence à fabriquer, sont des organismes vivants, ce qui nous fait entrer dans une ère inédite.
Mais ces gens-là considèrent-ils le posthumain comme la nouvelle transcendance ?
Ils sont à la fois antimonothéistes et polythéistes mais en regardant vers l’Asie alors que la tradition occidentale a été polythéiste elle aussi. Pourquoi regarder vers l’Inde et la Chine quand les mondes grec et romain offrent ce qu’il faut ? Ils citent les textes védiques, ceux du taoïsme. Ils sont dans une nouvelle spiritualité, une puissante quête du religieux, que l’on retrouve d’ailleurs dans l’histoire de l’informatique : pour initialiser la base de données de Linux, il faut passer par la commande bless… Pas une entreprise de technologie dans la Silicon Valley qui n’ait son « Chief Evangelist »… On néglige la puissance toujours actuelle de ce vocabulaire. Cela me paraît être d’inspiration plus protestante que catholique car dans l’histoire de l’informatique, il y a toujours eu des bifurcations génératrices de nombreuses chapelles et communautés. Quand Bossuet critiquait les églises protestantes au XVIIème siècle, il leur reprochait d’engendrer la multiplicité, les variations, et de multiplier les confessions de foi.
De toute façon, on n’a pas toujours pensé la nature humaine comme fixe et intangible ?
Non, bien sûr. Il y a toujours eu des modulations. La question de l’autonomie, de la liberté, du libre-arbitre revient sans cesse. C’est la hantise de la réflexion religieuse côté chrétien ou autre. Il suffit d’aller voir du côté d’Augustin et de la question de la grâce qui est celle du libre-arbitre. Les anthropologues nous ont appris que la volonté d’améliorer l’homme était permanente dans toutes les cultures. Dans nos sociétés, il faut compter aussi avec le culte de l’apparence, de la beauté physique, de la performance. Tout a désormais partie liée avec la mesurabilité. Evaluer, mesurer. On n’en sort pas. On mesure tout, c’est impressionnant. Comment gérer cette mesurabilité exagérée ? Un vrai problème d’aujourd’hui car cela introduit des critères de comparaison très différents. Il ne s’agit pas juste de quantitatif et de qualitatif ; cela introduit toute une série de variables, de paramètres qui au début étaient du ressort des spécialistes, médecins et autres. Ces compétences nous ont été carrément transférées grâce à des machines, des sites, des applications individuels.
La question identitaire est-elle en train de pourrir le climat intellectuel ?
Je ne suis pas sûr qu’elle doive être péjorative ou négative. Avec la géolocalisation, on retrouve des dimensions identitaires locales qu’elles soient linguistiques ou culturelles. C’est peut-être contraignant mais cela permet un retour du local dans le monde globalisé. Le moteur de recherche prend votre adresse IP et vous donne des résultats en fonction de la géolocalisation. Mon pseudonyme pour prendre des captures d’écran, c’est « miladus ». Quand j’arrive à Baltimore, dès que je le tape c’est « my lady » qui sort et on me propose des cosmétiques ; quand je rentre à Paris et que je le tape, c’est « malade » qui sort et on me propose des médicaments !
Vous avez une idée du visage du numérique dans les prochaines années ?
Dans l’ordre de l’apprentissage et de la supervision, la massification des données va être de plus en plus importante. En informatique pure et dure, cela va se jouer dans le domaine du quantique ; cela peut changer les règles en regard des questions de censure, de chiffrage et de surveillance. Mais pour moi, le plus intéressant s’effectuera dans la convergence avec le vivant, le corps, où la peau ne sera plus seulement le support mais l’interface avec l’informatique. J’ai vu des prototypes où, en lieu et place de la montre intelligente déjà dépassée, il y a des points de lumière à même la peau de la main. Il suffira d’appuyer dessus et non sur un objet. Là on franchira un cap.
Et du côté de l’intelligence artificielle ?
Tout dépend ce que l’on entend par là. S’il s’agit de reproduire la manière de penser de l’humain, j’ai des doutes malgré les progrès enregistrés. Mais s’il s’agit de la capacité d’apprentissage des machines et de leur faculté à produire du savoir, on peut dire que ça arrive déjà. Quelle sera la limite ? Nous en train de passer implicitement d’un modèle de prévision ou d’aide à la décision vers un modèle de prescription, ce qui est assez grave tant sur la plan éthique, économique que politique. Les moteurs de recommandation élimineront énormément de choix au profit des nécessités du marché fussent-elles adaptées à votre profil et votre réseau social. C’est très grave car le libre-arbitre, déjà bien fragilisée, n’en sera que plus appauvri. Ca peut aller jusqu’à la prescription politique… On a longtemps vécu avec l’archive numérique dans le modèle décrit par Borges avec la bibliothèque universelle accessible, avec tous les savoirs à disposition. Or les archives peuvent devenir des lieux d’oubli : ca existe mais c’est introuvable. Or qui décide de la « trouvabilité » (pardonnez-moi ce mot inélégant) si ce n’est les moteurs de recherche et de recommandation ? Je suis effrayé par la domination de Google en la matière. C’est d’autant plus révoltant que les moteurs de recherche sont de plus en plus mauvais : ils nous noient sous les données qui ne sont pas les bonnes, en tout cas pas celles que l’on cherche et que l’on demande. Pour Google, l’enjeu est d’abord d’amasser le plus possible d’archives pour améliorer leur algorithme. Ils ont eu l’intelligence de commencer tôt et de tout stocker depuis le début.
Vous travaillez sur le sujet ?
Je fais des recherches sur l’évolution du vocabulaire du web censé désigner un espace infini. Ca avait commencé avec un lexique maritime : naviguer, safari, explorer… Le juriste Carl Schmitt expliquait en 1950 dans Le Nomos de la terre que la localisation et le droit sont associés à la terre alors que la mer est sans frontière. Or nous avons désormais de registre. Soit on est dans le domaine du métal (le chrome) soit dans le domaine musical (opéra etc). J’en viens à reprendre l’expression des anthropologues du XXème siècle : « la terre habitée ». J’essaie de savoir comment dans le numérique on est passé de la terre habitée à la terre habitable, dans ses représentations tant figuratives que techniques. Les noms de domaine sont toujours très éloquents. Vous avez selon les pays « .fr », « .uk », « .de » etc Le moins utilisé du monde, c’est… « .us ». Parce que les Américains ont décidé qu’ils étaient le net, et que « .com » et « .org » leur suffisaient. Les choses évoluent et on assiste au retour des autorités territoriales. En France, la CNIL veut gérer les données confidentielles des utilisateurs français. On revient sur terre.
De quoi traiteront vos prochains livres ?
De l’imaginaire de l’intelligence. Dans l’un, à paraître l’an prochain au Seuil, je me livre à une archéologie de l’intelligence comme mythe fondateur de l’informatique. J’y revisite les textes des pères de l’informatique (Turing, Von Neuman,…) pour essayer de comprendre comment on en est arrivé à l’actuelle survalorisation de l’intelligence. Presque tout est devenu « intelligent » ! Dans l’autre texte plus bref, à paraître en novembre chez Hermann, j’y expose sous le titre « Un sauvage chez les geeks » comment les geeks, qui étaient les sauvages de nos sociétés, en sont désormais à nous civiliser à leur civilisation tout en étant les premières victimes de ce geste civilisateur car ils sont passés du statut d’individus à celui de grands acteurs. J’y reprendrais également des textes de science-fiction tels que Le Meilleur des mondes d’Aldous Huxley, notamment le personnage de John dit « Le sauvage » parce qu’il est hybride car il partage les deux civilisations ancienne et technique, et les livres du préhistorien André Leroi-Gourhan qui a toute sa vie pensé la triade barbare/sauvage/civilisé et le rythme des mutations technologiques.
(Photos D.R)
688 Réponses pour Milad Doueihi : l’humaniste d’aujourd’hui est un geek éclairé
Pas Dieu mais le hasard.
Pas l’amour mais l’instinct.
Pas la beauté mais un simple code.
Pas la foi absolue de Bach (qui était piétiste et avait dans sa bibliothèque les Sermons de Tauler, disciple d’Eckhart) produisant de la beauté unique (qu’aucun athée n’a jamais produit), mais un fou des nombres.
Moi je te cite des faits et tu les reduits à des mots. C’est ça ta preuve?
« Words, words, words… »
(Hamlet)
Des faits, par exemple. Tu en as?
crucifixus est dei filius ; non pudet quia pudendum est. Et mortuus est dei filius ; CREDIBILE EST QUIA INEPTUM EST. Et sepultus resurrexit; certum est quia impossibile1
Moi je te cite des faits et tu les reduits à des mots. C’est ça ta preuve?
hallons pablo..monte pas sur ta rossinante pour faire l’hidalgo..t’es qu’un pti gros
Il y a 1 million d’années vivait déjà sur Terre l’Homme, aux côtés de différentes espèces simiesques que l’on peu appeler « pré-hominidés » pour plus de facilité, et dont il subsiste de très rares représentants dans certaines forêts profondes et impénétrables.
Si quelqu’un a quelque chose contre cela, qu’ils se fasse connaitre et avance des arguments valables, pas des spéculations.
Mais Pablo, tu ne m’apportes pas de preuves de l’existence de dieu !
Et je n’ai pas à t’apporter la preuve qu’il n’existe pas, puisqu’il suffit de regarder autour de soi pour être certain qu’il n’est qu’une vue de l’esprit imaginatif de certains Terriens !
Passe une bonne soirée !
Mais le type, là… C’est vraiment de l’essence qu’il file ? Et c’est gratos ? Non déclarabe ?
Toujours se souvenir d’Harnack:
« Il faut accepter de fonder notre foi sur l’insondable ».
Moyennant quoi on évite l’historicisme des textes à la Loisy, totalement dépassé aujourd’hui.
15 h 17 : petit rappel courtelinesque : pas de discussion avec un petit pète-sec borné, non !
les anciens, monsieur, sont les anciens et nous sommes les gens de maintenant (Molière)
« Si on ne croit à rien, normal que la lecture d’Eckhart ou celle de Pascal ou celle de saint Jean de la Croix soit ennuyeuse. Mais si on a la
certitude intime qu’il existe une « force spirituelle positive qui gouverne le Tout » (pour le dire avec des précautions), c’est passionnant. »
(Pablo 75)
Et si, comme c’est mon cas,on pense qu’il n’y a aucune raison plaidant pour l’existence « d’une force positive sérieuse qui gouverne le Tout », on se dit qu’il y a bien des foutaises dans les Pensées de Pascal et on constate que ceux qui ont la Foi seront confortés dans leur croyance et que ceux qui doutent continueront de douter…
JC….. dit: 11 août 2016 à 16 h 20 min
une vue de l’esprit imaginatif de certains Terriens !
Tiens c’est vrai, ça ! On risque en plus de se coltiner les religions des mecs des soucoupes… Hon est pas sorti du petit cheval !
mais pablo pouquoi chercher des preuves de ce qu’on croit ou ne croit pas -le tribunal de l’inquisition c’est fini (en principe)
Faut rien exagérer on a quand même des certitudes par exemple on peut prouver que la deux mille quarante-deux existe…
Lucien, mon bon Lucien, vous n’allez pas assez loin dans le doute. Pour être logique avec vous-même, il vous faut douter du doute lui-même, donc croire. Pas d’autre solution au doute.
« il vous faut douter du doute lui-même, donc croire. »
Génial !
Et si, comme c’est mon cas,on pense qu’il n’y a aucune raison plaidant pour l’existence « d’une force positive sérieuse qui gouverne le Tout »
sapré lulu pourvu qu’en est encore un pour l’emmner derrière le petit bois comme ça pour rieeen..
Hon est pas sorti du petit cheval !
toi aussi t’es un pti gros
https://www.youtube.com/watch?v=9XCukflLFKM&list=RD9XCukflLFKM#t=13
al voulait po
Widergänger dit: 11 août 2016 à 12 h 24 min
Je voyais hier sur une vidéo animalière de Youtude un chimpanzé bouffer la cuisse d’un petit chevreau (ou une bête dans le genre) encore vivant. La pauvre bête quinait à vous arracher des larmes tandis que le chimpanzé poursuivait tranquillement son repas. C’est de là qu’on vient. Et notre cerveau n’est pas très différent de celui d’un chimpanzé. Alors heureusement qu’il y a les religions. Merci, petit Jésus…!
Cultivez votre jardin mais sachez rester diplomate et respectez le raffinement millénaire de cultures différentes que le prémâché de chez Ronald Mc Donald
En attendant, Hal retient pour lui ma petite histoire de la machine d’Alan Tuning. A space odyssey. Sûr que « my lady » va tout comprendre aux al.go.rithmes.
« Traditionnellement, on considère que la boussole, l’imprimerie, le papier et la poudre à canon sont les « Quatre grandes inventions » de la Chine »
Et les arts culinaires ne sont pas à négliger ; la fraîcheur du vivant croquant sous la dent n’a pas de prix (enfants s’abstenir ; parents: internet is not your children keeper)
https://www.youtube.com/watch?v=Wb28IYXBi9A
Alan Turing, cryptologue.
Le chat de Sergio n’a qu’à bien se tenir à table ; voici venu le « dead-and-alive fish »
https://en.wikipedia.org/wiki/Yin_Yang_fish
Gus, le 14h56, please.
« my lady » de la Sorbonne aime bien Von Neumann. Cela ne semble defriser personne ici. Strange.
« Je doute que Dieu existe »
« Je doute que je doute que Dieu existe »
Désolé WG, cela ne donne pas une croyance…
les malwares c’est plus obscur
la vie en cause dit: 11 août 2016 à 22 h 12 min
les malwares c’est plus obscur
L’annie est plus claire ; quelques pennies et c’est la couleur des jours heureux, la couleur de ses grands yeux, c’est cool
Les sucettes
https://www.youtube.com/watch?v=yqWnO5mWurs
C’est que vous êtes fâché avec la logique, mon cher closer.
Il n’y a pas d’autre réalité que la croyance. Si Je crois, c’est une évidence. Si je ne crois pas et doute de l’existence de Dieu, la logique même du doute m’invite à douter que je doute ; or, douter que je doute, c’est croire. Le doute n’est qu’une forme de croyance, je dirai même la forme la plus profonde de la croyance, parce que qui croit sans douter ? Le doute est ainsi la vraie croyance en Dieu, celle qui subsume toute autres forme de croyance. Comme la joie tragique, indestructible, est celle qui subsume toute ce qui contrarie même la joie. Vous n’avez pas d’autre choix que de croire, mon pauvre closer…!
Vous n’avez pas d’autre choix que de croire, mon pauvre closer…!
Obviously Five Believers
http://www.jukebo.com/bob-dylan/music-clip,obviously-five-believers,x3m388.html
Ne pas rendre les armes trop vite. Il apparaît qu’un Pascal de cinquante sacs cote 300€ chez les numismates de votre trempe Widergänger. Vous avez bien fait de ne pas crever votre bas de laine trop tôt ; toujours prêt à en découdre, fut-ce dans des conditions de change défavorables dirait Hamster Jovial
http://i1.kym-cdn.com/photos/images/original/000/545/561/2e2.jpg
» Lucien, mon bon Lucien, vous n’allez pas assez loin dans le doute. Pour être logique avec vous-même, il vous faut douter du doute lui-même, donc croire. » (Wgg)
Je doute fortement de l’existence d’un quelconque dieu, mais je ne doute pas de tout;
parmi les choses dont je ne doute pas se trouve précisément la certitude de mon athéisme…
Il se trouve qu’après quatorze ans j’ai accepté d’être une petite chose mortelle, que j’ai rejeté les béquilles que l’on me proposait pour me consoler de ma fin inéluctable, que j’ai constaté qu’il était possible d’être heureux dans l’instant, que la vie n’était généralement pas une tragédie et je n’ai pas changé d’avis…
Vous jouez sur les mots, vous vous gargarisez de mots, votre logique boite…
… I don’t believe in death ; it’s like getting out a wrong car and getting in an other… nothing more
« Vous n’avez pas d’autre choix que de croire, mon pauvre closer…! » (Wiwi)
Raisonnement boiteux, illogique, absurde ! ça fait peine à entendre une déviance de la logique formelle aussi grave.
La foi fout les foies ….!
Les humains, une variété animale inventive capable de raison, n’ont aucune raison de croire en Dieu, aucune ! Si ce n’est leur volonté de croire.
Ce qui est tout à fait respectable à titre personnel (on peut croire que la terre est plate, ou que les femmes sont inférieures aux hommes, ou que l’esprit peut ne pas avoir de support neuronal…), respectable à la condition que les croyants respectent la liberté d’autres hommes de croire en d’autres dieux ou en l’absence de dieux… athéisme qui est tout de même la tendance humaniste du IIIème millénaire chez les peuplades dotés d’un élémentaire bon sens.
» sur une vidéo animalière de Youtude un chimpanzé bouffer la cuisse d’un petit chevreau (ou une bête dans le genre) encore vivant. La pauvre bête quinait à vous arracher des larmes tandis que le chimpanzé poursuivait tranquillement son repas. C’est de là qu’on vient. Et notre cerveau n’est pas très différent de celui d’un chimpanzé. Alors heureusement qu’il y a les religions. Merci, petit Jésus…! »
quelle idée de regarder ces docus !
Pour info, les religions ont été inventées par les humains, et ça fait un bail –
La municipalité de Cannes interdit cet été la présence, sur ses plages et dans la Mer Nostre avoisinant, de ces dangereuses méduses en burkini noir qui par leur vénéneuse agitation prosélyte « troublent l’ordre public ».
C’est vrai ça ! menace publique et personnelle ! Lorsque j’en vois une, je ressens un trouble érectile d’ordre privé sous ma djellaba Helly Hansen, ce qui m’oblige à rentrer à toute vitesse rejoindre mes houris aux grands yeux et aux pupilles d’un noir brillant afin d’honorer Priape !…
@ Lucien Bergeret
« parmi les choses dont je ne doute pas se trouve précisément la certitude de mon athéisme… »
Je répète ce que j’ai dit plus bas à JC:
Tu CROIS ça, dont tu as la FOI dans les raisonnements de ton cerveau. Tu CROIS que ce que ton cerveau pense est la vérité. Exactement pareil que les fanatiques religieux. Ton apparente incroyance n’est, donc, que de la pure croyance dans la capacité de ton kilo et demi de neurones à voir la réalité et bien l’interpréter.
@ JC
« Les humains, une variété animale inventive capable de raison, n’ont aucune raison de croire en Dieu, aucune ! Si ce n’est leur volonté de croire. »
Voilà une belle profession de FOI.
On peut très bien, d’ailleurs, retourner la phrase: Les athées, une variété animale inventive capable de foi, n’ont aucune raison de ne pas croire en Dieu, aucune ! Si ce n’est leur volonté de ne pas croire.
C’est émouvant de voir quelqu’un avoir autant de FOI dans les raisonnements d’une « masse neuronal » aussi petite que celle de l’être humain. Avec elle et 5 sens qui marchent plus au moins bien, comment peut-on être sûr de bien interpréter ce qu’on voit? Grâce à la FOI, évidemment.
@ Pablo 75 qui me dit :
« Tu CROIS ça, dont tu as la FOI dans les raisonnements de ton cerveau. Tu CROIS que ce que ton cerveau pense est la vérité. Exactement pareil que les fanatiques religieux. Ton apparente incroyance n’est, donc, que de la pure croyance dans la capacité de ton kilo et demi de neurones à voir la réalité et bien l’interpréter. »
Quel raisonnement! Quelle logique!
Je ne peux que répéter pour vous ce que j’écrivais hier soir à Widerganger :
Vous jouez sur les mots, vous vous gargarisez de mots, votre logique boite…
on peut croire que la terre est plate, ou que les femmes sont inférieures aux hommes
..c’est vrai ça..qu’est ce que c’est que cette propagande gauchiss pour faire perde donald jicé
que j’ai constaté qu’il était possible d’être heureux dans l’instant
non mais dis donc lucienne..c’est pas qutu srais un travlo des fois..tu fouts ldoute
athéisme qui est tout de même la tendance humaniste du IIIème millénaire
le troisème millénaire trumpra ou ne sera pas
@ JC
« « Vous n’avez pas d’autre choix que de croire, mon pauvre closer…! » (Wiwi)
Raisonnement boiteux, illogique, absurde ! ça fait peine à entendre une déviance de la logique formelle aussi grave. »
C’est vrai que le « raisonnement » de Widergänger est spécialement stupide. En une seule phrase, il sort quatre âneries ahurissantes: « Le doute n’est qu’une forme de croyance, je dirai même la forme la plus profonde de la croyance, parce que qui croit sans douter ? Le doute est ainsi la vraie croyance en Dieu ».
@ Widergänger
À part délirer avec les mots, tu sais faire quelque chose d’autre dans la vie?
Résumons : l’hypothèse que le monde a nécessité un « dieu », pour être là, est amusante, farfelue, cocasse, désopilante, variée suivant les régions, romanesque, enthousiasmante pour les naïfs, … mais totalement irréaliste en l’absence de preuve de l’existence de cette entité parfaitement inutile !
quelle idée de regarder ces docus !
c’est ça qu’est térribe..dracul ça le fait se cacher dessous les jupons de l’évèque..hévidemment une fois là il est fait comme un camembert un 15 aout..et ça fait l’élu plein de pilpoul..ben mon colon
@ Lucien Bergeret
« Vous jouez sur les mots ».
Ça, ce n’est pas une réponse.
Explique-moi comment tu sais que ce que ton cerveau pense est la vérité.
Seule réponse possible: grâce à la FOI.
À part délirer avec les mots, tu sais faire quelque chose d’autre dans la vie?
dracul y se trait le neurone..c’est le prope de l’homme allez..les femmes c’est pas mieux
Au neuvième siècle avant notre ère, en Palestine, dans le désert de Béerséba. Un homme s’enfonce dans le désert…
( on peut lire cette histoire dans la Bible, un passage du livre des Rois ).
Élie alla dans le désert où, après une journée de marche, il s’assit sous un genêt, et demanda la mort, en disant : C’est assez! Maintenant, Éternel, prends mon âme, car je ne suis pas meilleur que mes pères et il s’endormit. Puis, il reprit sa marche pendant quarante jours et quarante nuits jusqu’au mont Horeb qu’il gravit. On disait que c’est la montagne de Dieu. En haut de la montagne, il entra dans une caverne pour y passer la nuit.
Alors il entendit : « Élie, pourquoi es-tu ici ? » Il s’écria : « Je veux rencontrer Dieu ! ». La voix dit à Élie : « Sors de la grotte et reste sur la montagne. Dieu va passer. »
Alors, un vent violent se leva. C’était une tempête. Élie crut que c’était Dieu… mais Dieu n’était pas dans la tempête. Après la tempête, il y eut un terrible tremblement de terre. Élie crut que c’était Dieu… mais Dieu n’était pas dans le tremblement de terre. Après le tremblement de terre, un feu embrasa la montagne. Élie crut que c’était Dieu… mais Dieu n’était pas dans le feu. Après le feu, il y eut un souffle léger, un profond silence. Dieu était là… Et Élie se voilà le visage de son manteau…
@ JC
Je te retourne la phrase corrigée:
Résumons : l’hypothèse que le monde N’A PAS nécessité un « dieu », pour être là, est amusante, farfelue, cocasse, désopilante, variée suivant les régions, romanesque, enthousiasmante pour les naïfs, … mais totalement irréaliste en l’absence de preuve de la NON EXISTENCE de cette entité parfaitement UTILE !
Laquelle est la plus logique?
« Laquelle est la plus logique? »
La mienne ! Car elle fait l’économie d’une illusion, cette hypothèse divine totalement ridicule à mes yeux…
Laquelle est la plus logique?
haucune..heureuzment que tu as des reflesques pour retirer ta main quand tu te brule havant d’avoir besoin d’en havoir la foi pour hen décider hen ton hâme et conscience pablo
@ JC
Parce que penser que le monde est le fruit du hasard n’est pas une illusion, une hypothèse totalement ridicule?
Tu as bien fait d’ajouter à la fin « à mes yeux », c’est-à-dire « selon ma foi ».
@ tous les athées
Je vous rappelle la phrase de Hobbes dans son extraordinaire « Léviathan » (pavé – plus de 1000 pages -, publié en poche dans la collection Folio): « Le vrai et le faux sont des attributs du langage, non des choses ».
Tu as bien fait d’ajouter à la fin « à mes yeux », c’est-à-dire « selon ma foi »
c’est un hornement..une pube sur ton tshirt..un havatar de l’hindividualisme marchand
Le vrai et le faux sont des attributs du langage, non des choses
c’est haussi vieux que de se dmander si la nature parle la mathématique
Le monde existant pose plein de questionnement à des animaux, même intelligents comme l’homme !
Ce n’est pas une raison pour affirmer que la Création divine EST sans nul doute l’explication de la présence plutôt que l’absence du monde.
Il est bien préférable de ne pas supporter une explication totalement farfelue, et de dire je constate, mais je n’explique pas encore !
Résumons : l’hypothèse que dieu existe est inutilement ridicule …
@ JC
« Il est bien préférable de ne pas supporter une explication totalement farfelue… »
« l’hypothèse que dieu existe est inutilement ridicule … »
Encore une fois, belle profession de FOI.
Et vraiment émouvante une foi aussi absolue dans une simple croyance.
l’hypothèse que dieu existe
dieu a instamment bzoin de l’idéaliss pour exister..et le naturaliss n’a pas bzoin de l’hypothèse de dieu pour faire dla bonne physique..dieu remplit lorgueil de chacun
Pablo75, il faut que vous compreniez que chaque âme est prédestinée. Et dans ce parcours prédestiné se trouve la foi – ou pas.
Il s’agit d’une élection, et toute la Bible, depuis les patriarches, ne parle que d’élections si vous y faites un tant soit peu attention.
Il ne faut cependant pas désespérer, celle-ci peut survenir à n’importe quel moment.
Comme dit mon boucher : « il y a foi et foie ! » Tout ne se vaut pas.
– Je « crois » que la Terre est plutôt ronde, sans formuler des hypothèses sur sa présence au monde
– Tu « crois » qu’elle est plutôt plate, sortie du néant, créée par une entité divine ?
– Je « raisonne » à partir d’observations scientifiques dans une démarche logique, démontrable. Elle est ronde et présente au monde.
– Tu as la Foi du charbonnier, et suppute à partir d’une hypothèse ne s’appuyant sur aucune logique, aucune preuve, aucun fait démontrable !
Chacun ses goûts !
Bonne journée…
Tout ne se vaut pas.
– Je « crois » que la Terre est plutôt ronde, sans formuler des hypothèses sur sa présence au monde
– Tu « crois » qu’elle est plutôt plate, sortie du néant, créée par une entité divine
– Je « raisonne » à partir d’observations scientifiques dans une démarche logique, démontrable. Elle est ronde et présente au monde.
– Tu as la Foi du charbonnier, et suppute à partir d’une hypothèse ne s’appuyant sur aucune logique, aucune preuve, aucun fait démontrable !
ce n’est pas la poule qui philisophe, c’est JC et c’est vraiment très drôle dans le ridicucule, bravo mon gars
Résumons : l’hypothèse que dieu existe est inutilement ridicule … (JC)
Sur cette question, discuter, argumenter, ratiociner, cela ne sert à rien. L’athée résolu que je suis affiche sans complexe son négationnisme : dieu n’existe pas. Point final. Je me soucie fort peu d’argumenter ma non-foi du charbonnier.
J’ai écrit un 1 million d’années, mais c’est un malheureux lapsus.
L’homme est présent sur Terre depuis 100 millions d’années.
Nous entrerons en 2033 dans l’Ère du Verseau de degré 1, laquelle sera suivie en 4200 de L’Ère du Capricorne de degré 1.
En 8800 avant Jésus-Christ était construit par les rejetons atlantes le « Sphinx des Poissons » (Ere de degré 2) sur le site actuellement dénommé Gizah. Le 30 mai 8800 il fut inauguré, alors que son regard pointait exactement vers l’étoile Regulus dans la constellation du Lion.
26000 ans plus tôt, était construit le « Sphinx du Bélier » bien plus à l’ouest, sur le territoire atlante dont il subsiste aujourd’hui les Iles Canaries. De la même façon, son regard pointait le 30 mai -34800 vers l’Etoile Regulus qui n’occupait pas la même position dans le ciel qu’en -8800.
Je peux donc vous prédire qu’en 17200 sera construit, en remplacement du Sphinx actuel, un nouveau Sphinx, le « Sphinx du Verseau », dont le regard pointera vers l’Etoile Regulus, dont la position dans le ciel aura encore changé.
En 43200 sera construit le Sphinx du Capricorne et en 69200 celui du Sagittaire.
Notons au passage, mais certains, attentifs, l’auront déjà déduit, que le Christ est né alors que les aires de degré 1 à 7 étaient toutes « du Poisson ». Soit un événement de ce type tous les 6 milliards 469 millions et 632000 ans… en gros, l’Éternité. D’où l’Alpha et l’Oméga.
Inauguration le 30 mai -8800, pas 8800. Vous aurez corrigé de vous-même.
La Foi, le doute ou leur rejet
n’ont heureusement guère d’influence
sur la grande mécanique de l’Univers.
Nous n’avons d’importance qu’à nos yeux.
Notre poids est négligeable partout ailleurs
qu’à la faible portée de notre main.
Fourmicalement.
Discuter de l’existence de dieu ? Mais c’est, comme on dit à Solferino, un Cambadélice
On peut donc en déduire que les constructions humaines, ou du moins leurs ruines nettement apparentes, même construites en granite subsistent au mieux 26000 ans. Il est possible d’en trouver des réutilisations, comme à l’Ile de Pâques, certains Moaïs datant d’une Ère de degré 2 plus ancienne.
On trouve également dans les fonds sous-marins du Pacifique les immenses dalles cyclopéennes des ports et palais de la civilisation de Mu.
Cela devrait nous rendre très humble, et surtout remplis d’espoir, car « la roue tourne » et il s’agit des immenses rouages cosmiques qui déterminent les caractères de nos époques, de leurs événements, de nos propres vies et personne. Au dessus, l’Immense, infiniment bon et juste : Dieu.
Paroles de l’Ecclésiaste, fils de David, roi de Jérusalem.
2
Vanité des vanités, dit l’Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité.
3
Quel avantage revient-il à l’homme de toute la peine qu’il se donne sous le soleil ?
4
Une génération s’en va, une autre vient, et la terre subsiste toujours.
5
Le soleil se lève, le soleil se couche ; il soupire après le lieu d’où il se lève de nouveau.
6
Le vent se dirige vers le midi, tourne vers le nord ; puis il tourne encore, et reprend les mêmes circuits.
7
Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n’est point remplie ; ils continuent à aller vers le lieu où ils se dirigent.
8
Toutes choses sont en travail au delà de ce qu’on peut dire ; l’oeil ne se rassasie pas de voir, et l’oreille ne se lasse pas d’entendre.
9
Ce qui a été, c’est ce qui sera, et ce qui s’est fait, c’est ce qui se fera, il n’y a rien de nouveau sous le soleil.
10
S’il est une chose dont on dise : Vois ceci, c’est nouveau ! cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés.
11
On ne se souvient pas de ce qui est ancien ; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard.
12
Moi, l’Ecclésiaste, j’ai été roi d’Israël à Jérusalem.
13
J’ai appliqué mon coeur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux : c’est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l’homme.
14
J’ai vu tout ce qui se fait sous le soleil ; et voici, tout est vanité et poursuite du vent.
15
Ce qui est courbé ne peut se redresser, et ce qui manque ne peut être compté.
16
J’ai dit en mon coeur : Voici, j’ai grandi et surpassé en sagesse tous ceux qui ont dominé avant moi sur Jérusalem, et mon coeur a vu beaucoup de sagesse et de science.
17
J’ai appliqué mon coeur à connaître la sagesse, et à connaître la sottise et la folie ; j’ai compris que cela aussi c’est la poursuite du vent.
18
Car avec beaucoup de sagesse on a beaucoup de chagrin, et celui qui augmente sa science augmente sa douleur.
Chapitre 2
1
J’ai dit en mon coeur : Allons ! je t’éprouverai par la joie, et tu goûteras le bonheur. Et voici, c’est encore là une vanité.
2
J’ai dit du rire : Insensé ! et de la joie : A quoi sert-elle ?
3
Je résolus en mon coeur de livrer ma chair au vin, tandis que mon coeur me conduirait avec sagesse, et de m’attacher à la folie jusqu’à ce que je visse ce qu’il est bon pour les fils de l’homme de faire sous les cieux pendant le nombre des jours de leur vie.
4
J’exécutai de grands ouvrages : je me bâtis des maisons ; je me plantai des vignes ;
5
je me fis des jardins et des vergers, et j’y plantai des arbres à fruit de toute espèce ;
6
je me créai des étangs, pour arroser la forêt où croissaient les arbres.
7
J’achetai des serviteurs et des servantes, et j’eus leurs enfants nés dans la maison ; je possédai des troupeaux de boeufs et de brebis, plus que tous ceux qui étaient avant moi dans Jérusalem.
8
Je m’amassai de l’argent et de l’or, et les richesses des rois et des provinces. Je me procurai des chanteurs et des chanteuses, et les délices des fils de l’homme, des femmes en grand nombre.
9
Je devins grand, plus grand que tous ceux qui étaient avant moi dans Jérusalem. Et même ma sagesse demeura avec moi.
10
Tout ce que mes yeux avaient désiré, je ne les en ai point privés ; je n’ai refusé à mon coeur aucune joie ; car mon coeur prenait plaisir à tout mon travail, et c’est la part qui m’en est revenue.
11
Puis, j’ai considéré tous les ouvrages que mes mains avaient faits, et la peine que j’avais prise à les exécuter ; et voici, tout est vanité et poursuite du vent, et il n’y a aucun avantage à tirer de ce qu’on fait sous le soleil.
12
Alors j’ai tourné mes regards vers la sagesse, et vers la sottise et la folie. -Car que fera l’homme qui succédera au roi ? Ce qu’on a déjà fait.
13
Et j’ai vu que la sagesse a de l’avantage sur la folie, comme la lumière a de l’avantage sur les ténèbres ;
14
le sage a ses yeux à la tête, et l’insensé marche dans les ténèbres. Mais j’ai reconnu aussi qu’ils ont l’un et l’autre un même sort.
15
Et j’ai dit en mon coeur : J’aurai le même sort que l’insensé ; pourquoi donc ai-je été plus sage ? Et j’ai dit en mon coeur que c’est encore là une vanité.
16
Car la mémoire du sage n’est pas plus éternelle que celle de l’insensé, puisque déjà les jours qui suivent, tout est oublié. Eh quoi ! le sage meurt aussi bien que l’insensé !
17
Et j’ai haï la vie, car ce qui se fait sous le soleil m’a déplu, car tout est vanité et poursuite du vent.
18
J’ai haï tout le travail que j’ai fait sous le soleil, et dont je dois laisser la jouissance à l’homme qui me succédera.
19
Et qui sait s’il sera sage ou insensé ? Cependant il sera maître de tout mon travail, de tout le fruit de ma sagesse sous le soleil. C’est encore là une vanité.
20
Et j’en suis venu à livrer mon coeur au désespoir, à cause de tout le travail que j’ai fait sous le soleil.
21
Car tel homme a travaillé avec sagesse et science et avec succès, et il laisse le produit de son travail à un homme qui ne s’en est point occupé. C’est encore là une vanité et un grand mal.
22
Que revient-il, en effet, à l’homme de tout son travail et de la préoccupation de son coeur, objet de ses fatigues sous le soleil ?
23
Tous ses jours ne sont que douleur, et son partage n’est que chagrin ; même la nuit son coeur ne repose pas. C’est encore là une vanité.
24
Il n’y a de bonheur pour l’homme qu’à manger et à boire, et à faire jouir son âme du bien-être, au milieu de son travail ; mais j’ai vu que cela aussi vient de la main de Dieu.
25
Qui, en effet, peut manger et jouir, si ce n’est moi ?
26
Car il donne à l’homme qui lui est agréable la sagesse, la science et la joie ; mais il donne au pécheur le soin de recueillir et d’amasser, afin de donner à celui qui est agréable à Dieu. C’est encore là une vanité et la poursuite du vent.
Dieu est une illusion commode ….
Seul W. évoque le non-dit par le dit mais parfois le rouleau compresseur des mots écrase ce silence, écrase l’énigme et la respiration (comme en musique). Il y a tellement d’attente en ce monde. Pourquoi pas Godot ? Di.eu, c’est comme le sourire sans chat de Lewis Carroll. Une voix de silence dans le bruit du monde.
Dans les dernières pages de Et il dit (traduit de l’italien par D.Valin – Gallimard), Erri De Luca qui est un lecteur assidu de l’Ancien Testament (mais athée) écrit :
« le ju.daïsme qui a rempli mes réveils vient de là. Je lis le mot gher, étranger, et je me reconnais : c’est ce que je suis. (…) Le jud.aïsme est une compagnie de voyage.
Au vingtième siècle, les Ju.ifs et les méridionaux sont montés sur les mêmes bateaux, ou plutôt descendus dans les soutes de troisième classe sous la ligne de flottaison. Nous du Sud, nous quittions la misère, eux, les maisons en flammes des pogromes. Nous nous détachions d’une patrie amère, eux ils allaient d’un exil à l’autre. On allait ensemble aux quatre coins du vent.
Je partage le voyage du ju.daïsme, pas l’arrivée. Pas en terre promise, ma résidence est en marge du campement. Je ne m’approche pas de l’autel des prières. Ma part de manne est assurée par des lectures en hébreu, ouvertes avant le jour. Je partage l’aube avec celui qui se tait et écoute… »
christiane dit: 12 août 2016 à 9 h 09 min
Au neuvième siècle avant notre ère, en Palestine
___________
C’est là où on voit les méfaits terrifiants de la propagande pro-palestinienne.
La Palestine a été inventée par Titus en 70 après J.-C. Donc, christiane, en -900, cet endroit ne s’appelait absolument pas la Palestine mais Israël !
Mes pauvres chéris, vous êtes en pleine crise de foi…!
Mes pauvres chéris, vous êtes bien incapables de lire Gödel. Vous auriez tous faits de piètres logiciens.
Heureusement que tu es là, WGG !
« Le doute n’est qu’une forme de croyance, je dirai même la forme la plus profonde de la croyance, parce que qui croit sans douter ? »
Jonglerie verbale WG…Oui, je crois que je doute…je crois que si je mets une casserole d’eau sur le feu et porte sa température à 100 degrés, elle va bouillir…croyance corroborée par des millions d’expériences. Je crois en Dieu, combien d’expériences indiscutables?
Je ne suis pas un athée convaincu comme JC et d’autres ici. Mais je trouve absurde, à la limite de l’escroquerie, de mettre sur le même plan la « croyance » en la science et la « croyance » dans quelque chose d’indémontrable. Quant à demander de démontrer que quelque chose n’existe pas, c’est délirant.
Tout l’univers est probabiliste. La réalité est statistique, mais les degrés de probabilité vont de proche de zéro, à un à l’échelle humaine (les vérités scientifiques).
Christiane tu dois te mettre dans la tête, une fois pour toutes, que les Palestiniens sont tout simplement des Juifs qui se sont gouré de religion !
@ JC
« Je « crois » que la Terre est plutôt ronde, sans formuler des hypothèses sur sa présence au monde »
Tu compares Dieu à la Terre maintenant? Ça, c’est de la grosse triche logique…
Tu « raisonnes à partir d’observations scientifiques dans une démarche logique, démontrable », pour les choses physiques, visibles (et encore l’histoire de la science est pleine de scientifiques très sérieux qui raisonnaient comme toi et qui ont nié des évidences nouvelles qui ne rentraient pas dans leur cadre mental – l’Académie des sciences de Berlin, à la fin du XIXe siècle, a pondu un rapport qui « prouvait » qu’un appareil très lourd ne pourrait jamais voler).
Mais pour les choses invisibles, elles sont où tes « observations scientifiques »? Quand tu regardes le ciel tu ne vois pas un vieux type barbu avec un triangle sur la tête, donc Dieu n’existe pas. C’est ça ta « démarche logique »? Moi j’appellerai ça plutôt de la logique primitive, voire infantile.
Dieu n’existe pas
Pablo, n’insulte pas le bourgeois, ce n’en vaut pas la peine : je suis peut-être un enfant, à dieu ne plaise, mais je ne crois pas au Père Noel, pardon au Père YHWH !
@ Jean
« L’athée résolu que je suis affiche sans complexe son négationnisme : dieu n’existe pas. Point final. Je me soucie fort peu d’argumenter ma non-foi du charbonnier. »
Pas ta « non-foi du charbonnier », mais ta foi de charbonnier dans la vision du monde de tes neurones.
@ JC
« Dieu est une illusion commode ».
La non existence de Dieu est une illusion commode.
Lorsque, admiratif, je reluque ERDOGAN le Terrible, magnifique sultan qui ressemble de plus en plus à un Robocop musulman, accompagné de sa bobonne toute de blanc voilée, je me dis qu’un type comme ça en Europe, quelle rigolade ….!
Vous me faites tous rire avec votre naïveté.
un Robocop musulman
bah..qule mossad lui colle un virus et y rdevient grand pote d’israel
Notre Institut Bartabacs vient de recevoir la proposition fabuleuse d’un geek éclairé, un jésuite défroqué calviniste à tendance judéo-musulmane…
L’ingénieux ingénieur nous propose son invention, à portée internationale : le CONVERTISSEUR DE RELIGION.
Un élégant boitier numérico-organique qui permet, par un simple switch entre deux religions, de se convertir en temps réel.
Le marché est immense…. on prend la licence !
Pas ta « non-foi du charbonnier »
connais tu seulment la grace mon couillon..la grace
https://www.youtube.com/watch?v=u2UUod3Y4wc
en même temps gontran n’est pas probablement qu’un con..il en est plusieurs à lui tout seul..il s’assoit et trône sur le pove gueudèle
w – 11h03
Je n’évoque pas l’Etat mais la région. Sur Wikipédia :
« Palestine (en latin : Palaestina, dérivé du grec ancien Παλεστίνα / Palestína ; en arabe : فلسطين / Falistīn et en hébreu : פלסטין) est un nom attesté depuis Hérodote qui désigna la région historique et géographique du Proche-Orient située entre la mer Méditerranée et le désert à l’est du Jourdain et au nord du Sinaï.
La zone n’est pas clairement définie. Elle est centrée sur les régions de la Galilée, de la Samarie et de la Judée. Ses limites sont au nord la Phénicie et le mont Liban et au sud la Philistie et l’Idumée. À l’époque des croisades, le Pérée au nord-est de la mer Morte, la Batanée et la Décapole au-delà du Jourdain y étaient attachés.
La Palestine peut désigner le territoire situé uniquement à l’ouest du Jourdain. Le terme est aussi utilisé comme équivalent à la terre d’Israël.
La région comprend aujourd’hui, l’État d’Israël, les territoires palestiniens occupés et parfois également une partie du royaume de Jordanie, le Liban du Sud et le plateau du Golan.
(…)
Le nom « Palestine » perdure même s’il a pris un sens politique et a perdu une partie de sa neutralité, spécifiquement après la création de l’État d’Israël en 1948. Notamment, certains Isra.éliens ou Ju.ifs perçoivent dans l’utilisation du terme « Palestine » un déni de l’existence effective de l’État d’Israël sur une partie de ce territoire, ou de sa légitimité sur cette même terre.(…)
Historiquement elle correspond à Canaan, à la Terre d’Israël et fait partie de la région de Syrie (Syrie-Palestine). Dans les traditions abrahamiques, elle est la Terre promise aux enfants d’Israël, la Terre sainte du christianisme et une terre sainte de l’Islam. »
Qu’en pensez-vous ?
les Palestiniens sont tout simplement des Juifs qui se sont gouré de religion !
ont houblié jusqua leur propre blaze y hannonent des trucs en harabe..leur manne est assuré a coup d’uzi dans l’cul..c’est bien la preuve que dieu n’a rien mais rien a voir lanedans..c’est mathématique
bouguereau et JC : toujours dans la fange, ils n’en sortent pas, c’est vraiment lamentable
@ gontrand
« Tout l’univers est probabiliste. La réalité est statistique… »
Tu confonds ce que l’être humain peut percevoir avec 5 sens et penser avec 1,5 kilos de neurones, avec la Réalité. C’est Wittgenstein qui a
dit que la seule façon de pouvoir comprendre le monde, c’est sortir de lui. Les mouches ont aussi une vision du la réalité, mais à mon avis elle n’est pas très « réelle ». Qui te dit que l’être humain n’est qu’une mouche, ou moins encore, par rapport à la Réalité?
Quant à la science, c’est le grand Niels Bohr, prix Nobel de physique à 37 ans pour ses découvertes dans le domaine de la physique quantique et très croyant (comme Max Planck ou Louis de Broglie, entre beaucoup d’autres grands scientifiques) qui a dit que la science ne décrit pas la réalité, mais ce qu’on peut dire d’elle.
Paroles de l’Ecclésiaste, fils de David, roi de Jérusalem
archi pompé sur dl’assyrien poplythéiss..où les hâmes erent dans le chéol sans joie..et dans les cimetières la nuit hon entend les cadave affamé qui mastiquent..ça rigolaient pas..ça t’étonne moins haprés que le nabucodonozaure fait quinze lite dédé
C’est Wittgenstein qui a
dit que la seule façon de pouvoir comprendre le monde, c’est sortir de lui
tout l’monde y rate des occasions dse taire..c’est pas la peine d’hen rajouter sur ce pov witgueune..qu’était un bien brave homme
christiane dit: 12 août 2016 à 12 h 00 min
_______
Mai enfin ! c’est complètement faux.
La Falestine, c’est uniquement la région de Gaza !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le reste ça a toujours été Israël !
..tu vois bien cricri qu’havec ton hébreu sur les bords de la manne tu files la chyasse
JC – 11h36
J’ai lu ce livre, l’année de sa parution. Il m’a paru si clair Fous de l’origine de Daniel Sibony (éd.Christian Bourgois), 2005.
Alice Granger en fait une analyse pertinente. Si tu as le temps, lis cet article :
http://www.e-litterature.net/publier2/spip/spip.php?page=article5&id_article=106
@Widergänger dit: 12 août 2016 à 12 h 13 min
Je ne suis pas assez savante pour vous contredire. Si vous avez le temps, pourriez-vous lire l’article d’A. Granger mis en lien pour JC pour le livre de D.Sibony Fous de l’origine ? Je sais que vous êtes à vif sur ces questions brûlantes. J’essaie juste de comprendre ce qui se passe en ces terres. Ne vous fâchez pas. Expliquez-moi votre vision des évènements, là-bas.
Le peuple juif est un peuple anormal, peuple de la Bible, cette Bible qui a inspiré deux autres Textes, le Texte chrétien et le Texte coranique, qui ont donc une dette à son égard
ha partir du moment ou c’est révélé ça fait pas l’hombe d’hun doute..voilà pourquoi vote fille est aveugue..un genre de honte congénitale..cherchez pas plus loin surtout..la prime est au plus kon..toujours
J’essaie juste de comprendre ce qui se passe en ces terres
mensonge froid et calculé..du sang à vnir
« Seule réponse possible: grâce à la FOI. »
Ça devient grave là !!
Non mais sérieusement, la religion c’est un vieil archaïsme de superstitions, inventé par les êtres humains se sentant perdus devant l’inconnu, il lui faut un ou des lots de consolation épicémarre
@bouguereau dit: 12 août 2016 à 12 h 17 min
Oui, je sais, le temps est très orageux quand on aborde ces problèmes mais ce n’est pas moi qui a mis l’aiguille de la boussole sur le mont Sinaï. Depuis hier, c’est un panier de crabes : croire, ne pas croire, Existe-t-il ? ou pas ? Les croyants sont-ils des demeurés, des fanatiques, des mystiques mystifiés ?
Moi, je lis Beckett et l’Ancien Testament et le Nouveau et comme Erri De Luca, je reste loin des autels mais je ne suis pas athée, juste sensible au silence et à la beauté du monde malgré ce qui s’y passe.
Vous êtes drôle !
il LEUR faut
@n’ayons pas peur des mots dit: 12 août 2016 à 12 h 29 min
Mais, je ne suis pas perdue devant l’inconnu, je n’ai nul besoin d’être consolée et je trouve l’idée d’éternité bien ennuyeuse.
« cherchez pas plus loin surtout..la prime est au plus kon..toujours »
dieu il connaît son boulot il sait ce qu’il fait disait à une copine une dame dans le métro
12h29 (qui ai)
12 h 31 min
l’inconnu dans la nuit des temps (j’aurais dû préciser)
ce n’était pas très rassurant pour les aïeux!!
@ n’ayons pas peur des mots
« Seule réponse possible: grâce à la FOI. » Ça devient grave là !! Non mais sérieusement, la religion c’est un vieil archaïsme de superstitions, inventé par les êtres humains se sentant perdus devant l’inconnu ».
Tu confonds la spiritualité avec la religion. C’est grave (cela montre que le thème t’est complétement étranger).
J’ai écrit plus bas que la spiritualité, contrairement à la religion, était individuelle, intime, une affaire entre soi et l’Au-delà qui ne concerne personne d’autre. Et donc souvent hétérodoxe, anti-religieuse, hérétique même.
C’est étrange comme tous les athées, pour discuter de l’existence de Dieu, qui est une question spirituelle, métaphysique, parlent de la religion, qui est un fait anthropologique, sociologique, politique.
C’est comme si pour parler du corps humain on ne parlait que de ses maladies.
La religion est le cancer de la spiritualité.
Le comité contre l’islamophobie attaque la mairie de Nice pour l’interdiction du burkini…
C’est très simple à comprendre, christiane.
Dans l’Antiquité, il y avait Israël et la bande Gaza, comme on dit aujourd’hui, qui était la Palestine/Falestine (parce que la langue arabe n’a pas de p).
En 70, Titus a débaptisé Israël pour lui donner le nom qui était réservé à l’étroite bande de terre appelée « la Palestine », qui était peuplée de gens venus de la mer, les archéologues supposent des côtes de l’actuelle Turquie.
Titus a fait ça pour effacer le nom d’Israël de la carte du monde. C’est un CRIME ! D’où ma colère.
bon, l’amère christiane un peu gnagnagna ne mérite pas les injures que lui prodigue le vieux pochtron de bouguereau
Vous êtes drôle !
c’est par anticipation que ce crétin de keupu volant a ton secours te file un frisson sinistre
La Falestine, c’est uniquement la région de Gaza !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le reste ça a toujours été Israël !
WG, yavait pas aussi un truc qui s’appelait le royaume de Juda? C’était pas rien: sa capitale était Jérusalem.
Raconte, dis WG, raconte…
SAUVAGE !
Elle se marie. Il est violent. Elle le tue. On la juge, on la condamne et on enferme la meurtrière.
La libérer ? ….!
Pour quelle se remarie et recommence … elles veulent notre mort, les femmes, ou quoi ? Toutes des…
La religion est le cancer de la spiritualité
hum..tu dois savoir que dans l’histoire c’est justement aux « spirite » qu’a été réservé linsulte d’athéisme..car tout ça a bien sur une histoire fort complesque..que tu figes dans une dispute trés scholastique..et quant aux athée historique et politique il ne visaient essentiellement que les religions révélés..t’es un moine vérolé qui fait dla contrebande de bière éventée et de fromage amoniaqué..tu voudrais qu’on te brule au lieu de prende du pieds au cul..c’est humain..et trés espagnol pablo
« Tu confonds ce que l’être humain peut percevoir avec 5 sens et penser avec 1,5 kilos de neurones, avec la Réalité. » Pablo75
Qu’est-ce-qui m’empêche de définir la réalité comme ce que l’être humain peut percevoir, etc…C’est une convention, voilà tout.
« ce dont on ne peut parler, il faut le taire… »
Assez d’accord avec toi sur spiritualité/religion. Que des gens aient une vie spirituelle, communiquent ou croient communique avec un au-delà de la parole et de la réalité humaines, cela ne me gêne pas du tout, du moment que l’on ne vienne pas me faire ch…. avec une Loi, une Cha..ria ou autre nuisance.
« J’ai écrit plus bas que la spiritualité, contrairement à la religion, était individuelle, intime, une affaire entre soi et l’Au-delà qui ne concerne personne d’autre. Et donc souvent hétérodoxe, anti-religieuse, hérétique même. »
« la religion, qui est un fait anthropologique, sociologique, politique. »
les gens en manque ou en quête de spiritualité se tourn (ai ) ent vers la religion –maintenant ils vont plutôt chez le psy, ya progrès
enfin faut espérer
La religion est le cancer de la spiritualité
hum..tu dois savoir que dans l’histoire c’est justement aux « spirite » qu’a été réservé linssulte d’atthéisme..car tout ça a bien sur une histoire fort complesque..que tu figes dans une dispute trés scholastique..et quant aux athée historique et politique il ne visaient eçentiellement que les religions révélées..t’es un moine vérauleye qui fait dla contrebande de bière éventée et de fromage amoniacqué..tu prends du pieds au cul et tu cries au bucher..c’est humain..et trés espagnol pablo
« dieu sait ce qu’il fait »
la présence d’un satyre à por’and roll reste un mystère
WG
gens venus de la mer
les Philistins ?
je lis, p’ésentement, didon, » Sybil or the two worlds » de Benjamin Disraêli. Un réquisitoire implacable contre les inégalités sociales.
Pour le reste, j’ai parcouru les posts et je retiens que l’explication su la Falestine par Alba est absolument remarquable. la Falestine est la terre des Philistins, évidemment.
Quant au p , les Arabes le prononcent f , en effet, comme Flatun, pour Platon.
On s’en fout, un peu, au demeurant
. J’ai entendu Pierre Assouline à France Inter, parlant sur le livre et la lecture. Il n’était pas question de guiques.
je n’ai d’ailleurs toujours pas compris ce qu’est un guique. Personne n’a jugé opportun de me l’expliquer.
Widergänger dit: 12 août 2016 à 12 h 52 min
Le comité contre l’islamophobie attaque la mairie de Nice pour l’interdiction du burkini…
même les municipalités de Casablanca, de rabat-Salé, etc, ont formellement interdit de se plonger le cul dans la soupière affublé de ces ailes de parachute que sont les burkinis et surtout les jilbebs…cart c’est immonde sur le plan bactériologique.Essaie d’aller à la pistache en short, et tu verras le résultat.
Ces crétins enturbannés ont pris le pouvoir…la faute à qui?
La foi du charbonnier… Celle du pétrolier c’est l’Alcoran halor…
à lire les compères bouguereau et JC (les deux font la paire) nous sommes tous Kcons ou nuls, sauf eux, des foudes d’intelligence… un peu facile les trumpistes franchouillards
Merci, W. Vous êtes cohérent.
N’empêche que ce conflit là-bas semble interminable comme la haine qui oppose certains aux autres. Toutefois j’ai entendu parler d’un orchestre réunissant les uns et les autres et d’un hôpital, aussi, où ensemble ils soignent les blessés.
Et puis la haine, la mort, les attentats, il y en a maintenant dans tant d’autres coins du monde…
En effet, la haine entre les Juifs et les habitants de la Palestine/Filistine (bande de Gaza), date de l’Antiquité.
Et puis la haine, la mort, les attentats, il y en a maintenant dans tant d’autres coins du monde…
ouf..
La foi du charbonnier… Celle du pétrolier c’est l’Alcoran halor…
la foi du bougnat c’est pas de vague et biznèce az iouzoul
je n’ai d’ailleurs toujours pas compris ce qu’est un guique
guicque..havec un c..tu suis pas
Alba est absolument remarquable
si c’est tempéré par un farouche desir d’égalitié dans tardjikistan central..et un acquiécement sur le tant et tant de violence dans ce monde..
t’es un pignouf vendu a pas cher bergueune
nous sommes tous Kcons ou nuls
havec toi dans l’lot elle sra toujours dans l’rouge raclure..désolidarise toi par charité..si t’en as
ta goule, raclure de bouguereau trumpiste
intéressant le boudegras avec son bouguereau trumpitse, c’est tout à fait le bonhomme aussi moche
Depuis des décennies, les baigneurs et baigneuses se baignent sur les plages françaises en maillot une ou deux pièces sans problème, dans un consensus admis par tous.
Quelques fouteuses de merbes, prosélytes de la religion du prophète, vont faire trempettes, elles, en burkini noir immonde afin de cacher des corps qui le valent bien, il est vrai.
Un maire courageux, celui de Cannes, vient d’interdire ce prosélytisme religieux inadmissible sur les plages de sa commune.
Et bien ! de quoi se plaignent quelques emmerbeurs du CCIF ? :
« Cette interdiction risque d’exclure une partie de la population musulmane du vivre-ensemble »… et la Ligue des Droits de l’Homme, assemblée de sombres navets, s’insurge et ose écrire :
« Comment en effet, ne pas craindre que, par des attitudes aussi exclusives et répressives, certains de nos compatriotes ne se sentent exclus de la cité ? »
Ces idiots utiles de l’islamophilie se rendent ils compte que ce sont les burkinisettes qui s’excluent d’elles même dans un acte de provocation religieuse !?
Y en a, je vous jure, des tarés chez les humanistes éclairés à la lampe à huile islamiste !
Faut dire les Itlams ils ont des plages… Y a pas d’eau ! Je vois pas comment i se mettraient en bikini…
Houi mais moi les burkinisettes che veux bien les mater, hein ! Et même payer un esquimeau…
il s’appelle Donald (ou Dingo au choix) bouguereau, comme l’autre blondasse éructant
….TGRK !
(pour ceux qui, de retour d’un long voyage ennuyeux, ne seraient pas au courant : « Ta Gueule Raclure de Keupu » !)
@bouguereau dit: 12 août 2016 à 15 h 32 min
Non, pas »ouf ! », plutôt, hélas. le monde semble aller vers le pire, la destruction, le meurtre, la barbarie. Qu’en est-il du vivre ensemble ?
L’épuisement. Un livre de C.Bobin, je crois, parle de cela.
Il reste la parole, la communication, l’attente du dialogue. Ce n’est pas la Cybernétique qui donnera force au langage, au dialogue, à la recherche. Au contraire, elle enfermera chaque être humain dans un monde virtuel où la toute puissance des informations sera directement liée à son cerveau. Milad doueihi dit que « le robot humanoïde nourrit notre imaginaire », le mien est plutôt nourrit par ce qui m’entoure : les gens, les paysages, la musique (Bach, Mozart, Schubert, K.Jarett, A. Brahem…) la lumière, les couleurs, mes livres, les nuages, le rire des enfants, les oiseaux, Dieu, quand il reste au loin et silencieux et inconnaissance et mes souvenirs. Vous trouvez cela « gnagnagna ». Qu’importe…
Vous trouvez cela « gnagnagna »
–
Penses-tu…
l’andouille haineuse et le pochtron salace, ça TRUMP énormément ça oui alors, surtout dans l’injure
Il ne faut pas interdire, JC, mais porter vous-même le Burqini. Après tout, lors de la gay-pride, il est permis de se déguiser en bonne-sœur ou en prêtre. Portez le Burqini, c’est très tendance je vous dis, surtout pour les hommes.
« web censé désigner un espace infini »
Ca déjà c’est bizarre ; on est un certain nombre, mais les occurrences, elles, sont beaucoup moins nombreuses.
Ce qui fait qu’on tourne très vite en rond…
16 h 24 min
le burkmachin un signe religieux maintenant..?! On aura tout vu
N’importe quoi
bref, le bougue , je ne sais toujours pas ce que veut dire guicque ou guique,ou guik….
et puis, soizonnett, une fois, cétipavrai qu’Alba est un peu moins konknoustousse?
nhon?
ce que je préfère, au mot burkini, c’est jilbeb…ça vous a un côté paluche qui se saisit du service trois-pièces…
et puis oui, la déclaration des Machins droits de l’homme est une saloperie lâche, collabo, bien immonde comme ce à quoi la gôhe nous a habitués depuis des décennies. Serveurs de soupe halal ! On est vraiment tombés bien bas. mais je peux vous dire qu’au Lac de Naussac, en Lozère, l’eau est tellement froide que des connhasses à burkinibourkinafaso, y en a pas lerchem ! Trop froid pour leur postèr harrisseux, sans doute. Remarquz , il n y’ a de toutes façons pesonne à part quelques Boches hygiénisant…ach , la réchénératzion par la eau frouatte !! et des Hollandais…
« Des combattants de Daech ont pris vendredi en otage environ 2000 civils, avant de les emmener avec eux en fuyant la ville de Minbej dans le nord de la Syrie. Un fief de Daech repris il y a une semaine. » (le Dauphiné Libéré)
comme les SS, jadis, quand les Soviétiques approchèrent des camps, prirent la fuite avec les déportés survivants… la Ligue des Droits Machin, pourquoi tu tousses?
Et qu’on ne vienne pas m’expliquer que, non ,décidément, on ne peut pas mettre tout l’Islam dans le même sac. Ah bon? et Boko Haram, qui fait pareil?
Les boucliers humains, les Américains en utilisèrent au Vietnam; les Soviétiques en Afghanistan…;et d’une manière générale, toutes les vermines de ce monde utilisent cette méthode.
« la réchénératzion par la eau frouatte !! et des Hollandais… »
ils sont habitués à l’eau froide, pareil pour les Scandinaves
Donald bouguereau et Dingo JC, c’est-y pas beau ces Trumpistes en trompépètes bébêtes
et puis, soizonnett, une fois, cétipavrai qu’Alba est un peu moins konknoustousse?
nhon?
un fabricant qui te traite bien salement pasque t’es avec en sale dette..bref..chte dispense d’être honnête
De toute façon, la LDH a sombré depuis longtemps. J’en suis parti quand la direction est devenu anti-sioniste et pro-palestinienne. Le comité central de la LDH est complètement entre les mains de farouches pro-palestiniens avec une haine viscérale des Israéliens dont j’ai fait les frais quand je suis revenu d’Israël pour enterrer ma mère en 2006. Des gens atroces à la LDH ! Pourris ! Leur siège est rue Marcadet tout près de chez moi…
Pour réconcilier tout le monde, D.ieu n’a pas besoin d’exister pour être, comme dit puis Jean-Sol. L’existence précède les sens – enfin non, pas tout à fait
Je me demande vraiment pourquoi vous habitez dans ce quartier pourri, Michel.
Les premiers robots se trouvent dans l’Iliade. D’abord des automobiles aux roues en or, puis des servantes en or du dieu HéphaIstos. C’est au chant XVIII.
Je vous avais mis les extraits en grec mais ce c.nnard de robot de la modération les a rejetés. Vous n’auraez donc pas droit à l’original grec, mes pauvres chéris.
La déesse Thétis se rend auprès d’Héphaïstos pour le prier de forger de nouvelles armes pour Achille. Elle trouve le dieu boiteux des deux jambes affairé autour de ses soufflets à la fabrication de vingt trépieds :
« Il plaçait des roulettes d’or sous la base de chacun, pour que, d’eux-mêmes, ils entrassent dans l’assemblée des dieux et revinssent dans la maison, merveilleux spectacle ! »
Et un peu plus loin, ce sont des robots servantes en or :
« Des servantes s’empressaient pour soutenir le prince, toutes d’or, mais semblables à de jeunes vierges vivantes ; elles ont un esprit dans leur diaphragme ; elles ont la voix, la force, et les immortels les ont appris à agir. » (v.415-423)
Et puis il y a le mythe de Pygmalion (Ovide, Métamorphoses, X, v. 243-297).
Le « vivre-ensemble », c’est la devise des sardines, sans tête, dans leur boite ! Pour vivre heureux vivons hors-boite ….
« le burkmachin un signe religieux maintenant..?! On aura tout vu
N’importe quoi »
T’es kcon, ou tu simules ?
Dédé, c’est nu que nous sommes le plus vrai ….
Ce thème sera exploité plus tard, notamment par :
-Eichendorf, La statue de marbre (1819);
-La Vénus d’Ille, Mérimée (1837);
-Le portrait oval, Edgar Poe (1842);
-Le portrait de Dorian Gray, Oscar Wilde (1890)
-L’Eve futur, Villiers de L’Isle-Adam (1886)
-Le Golem, Isaac Bashevis Singer (1969)
-Le Golem, Elie Wiesel (1983)
-Le Portrait, Pierre Assouline, (2007)
-Golem, Pierre Assouline, (2016)
Des films :
-Le Golem, Paul Wegener (1915)
-Métropolis, Fritz Lang (1927)
Annonce prochaine de la découverte d’une exoplanète jumelle à la Terre
Widergänger dit: 12 août 2016 à 21 h 00 min
tu vas voir, on va y trouver le double de Daesh…
« Battu par un israélien, un judoka égyptien refuse de lui serrer la main »
Ça va plaire à WG…
D. dit: 12 août 2016 à 17 h 25 min
porter vous-même le Burqini.
Ca va se prendre dans mes rayons !
.
Le pape François Ier ©-
« Dans le cadre du « vendredi de la miséricorde », le souverain pontife argentin a rendu visite à d’anciennes prostituées,
une vingtaine de rescapées des réseaux de traite des femmes. » (Le Point)
Sacré François ! Il est à l’œuvre, il a la pèche : vingt déesses ! De la passerelle vaticane aux soutes romaines … Peripat Pope …
« Dans le cadre du « vendredi de la miséricorde », le souverain pontife argentin a rendu visite à d’anciennes prostituées, une vingtaine de rescapées des réseaux de traite des femmes. » (Le Point)
Sacré François ! Il est à l’œuvre, il a la pèche : vingt déesses ! De la passerelle vaticane aux soutes romaines … Peripat Pope !
Enfilons nos burkini, les gars !
Franchement, une religion où les hommes sont libres de se balader en short ou en maillot, cool et où les femmes doivent se cacher dans des sacs de la tête aux pieds…. ça craint non ? C’est pas très républicain, non ?
Que font les féministes de ce pays ? Qu’est ce qu’elles foutrent ?… Ah, bon !… je comprends… oui, ça …c’est plus facile….
Enfilons nos bur.kini, les gars ! Franchement, une religion où les hommes sont libres de se balader en short ou en maillot, cool et où les femmes doivent se cacher dans des sacs de la tête aux pieds…. ça craint non ? C’est pas très républicain, non ? Que font les féminis.tes de ce pays ? Qu’est ce qu’elles foul.trent ?… Ah, bon !… je comprends… oui, ça …c’est plus facile….
UN GEEK ECLAIRE PEUT EN CACHER UN AUTRE, ETEINT
Eric Ciotti: « La France doit rester la France » (Le Figaro)
Bartolone : « En France, nos Donald Trump fourbissent leurs armes » (Le Figaro)
C’est tellement vrai ! Il faut, aussi, c’est important, capital, vital, médicinal, que Ciotti reste Ciotti, et Barto reste Marto le rigolo…
20 h 48 min
c’est eux qui disent que c’est religieux
c’est provoquant comme tenue : trempée c’est moulant – faudrait que le saint pape se penche là-dessus pour faire entendre la raison
sinon bientôt ils vont exiger des heures d’accès réservé ( jicé serait obligé de mater avec des jumelles)
closer dit: 12 août 2016 à 21 h 26 min
Encore un pauvre arriéré mental, cet Egyptien. Sombre, un tel pays !
Pourquoi tu répètes deux fois la même chose JC? T’as peur qu’on comprenne pas?
Closer,
je répète deux fois, trois fois, la même chose car j’ai remarqué qu’en RDL depuis 10 ans :
– le niveau technique des servants du serveur baisse
– le niveau des contributeurs littéraires baisse
– je n’y suis pour rien, naturellement …
Dingo JC bébégaie et radodote
Quelques éléments historiques à se remémorer :
https://zevengeur.wordpress.com/2016/06/12/de-jeanne-darc-a-latlantisme-europeiste-600-ans-de-trahisons-des-elites-francaises/#Partie4
pour saluer Françoise Jaret-Mollis.. Mojet-Larris.. Mallet Joris
Quoi, pour saluer Françoise Mallet-Joris ?
Soyez plus clair et moins énigmatique, Berguenzinc, si vous voulez continuer à commenter ici parmi les grands.
J’ai un site qui s’interpose, problème local, je suppose.
Dieu n’existe pas, la preuve, je l’ai rencontré.
Une dizaine d’explosions en Thailande 4 morts ,plusieurs dizaines de blessés, cela ne déloge pas les JO de la Une. C’est devenu une vraie plaie, le sport, qui rime avec « penser comme des porcs ».
Sybil & The 2 nations, roman important et écrit par un Conservateur, le 1er (et seul à ma connaissance) juif à avoir occupé les fonctions de 1er ministre britannique. « Mary Barton » une plongée dans l’horreur industrielle de Manchester magistralement saisie par la sensibilité d’une grande écrivaine anglaise mal connue chez nous, Elizabeth Gaskell. « to clem », en dialecte mancunien, signifie « mourir de faim ».
« »She’s well-nigh clemmed, » said Barton. « Folk do say one mustn’t give clemmed people much to eat; but, bless us, she’ll eat nought. »
I’d scorn to speak for mysel; but when I see such men as Davenport there dying away, for very clemming, I cannot stand it. I’ve but gotten Mary, and she keeps hersel pretty much. I think we’ll ha’ to give up house-keeping; but that I donnot mind. »
Jaret-Mollis, ou mou du jarret…
Voilà Gaskell traduit par Google translate, à défaut de la traduction de Bloom qui ne fait jamais son boulot qu’à moitié, laissant ses collègues dans la panade :
Elle est clemmed à peu près », a déclaré Barton. «Folk disent il ne faut pas donner aux gens clemmed beaucoup à manger; mais nous bénisse, elle va rien manger. »
Je dédaigne de parler pour moi-même; mais quand je vois des hommes tels que Davenport y mourir loin, pour les très clemming, je ne peux pas le supporter. Je l’ai, mais obtenu Mary, et elle garde Hersel à peu près. Je pense que nous allons Ha »pour abandonner la maison de maintien; mais que je donnot esprit
À défaut de la traduction de l’expert, voilà ce que ça donne…:
« Elle est presque morte de faim, dit Burton. Les gens disent qu’il ne faut pas trop donner à manger aux crève-la-faim ; mais, que Dieu nous bénisse, elle ne mangera rien. »
J’ai horreur de parler pour moi ; mais quand je vois des hommes comme Davenport aller mourir au loin tel un crève-la-faim, je ne peux pas le supporter. J’ai eu la chance de trouver Mary, elle est pas mal conservée. Je pense que nous allons devoir céder la place ; mais je n’arrive pas à me faire à cette idée.
Quand la République romaine n’avait pas encore été ravagée par la mondialisation, voilà ce que ça donnait :
L’AMOUR DE CICÉRON POUR SA PETITE PATRIE
Cicéron. — Moi, quand il m’est permis de m’absenter plusieurs jours, surtout durant la belle saison, je viens chercher ici le charme et le bon air. Mais il est une autre raison qui m’attire ici, rien d’étonnant qu’elle ne te touche pas.
Atticus. — Et quelle est donc cette raison ?
Cicéron. — Eh bien, pour dire la vérité, ce pays est la patrie naturelle à mon frère et moi ; c’est là en effet que sont les racines de notre race antique, c’est là qu’est né notre culte domestique, notre famille, c’est là que demeurent de nombreux vestiges de nos ancêtres. Que dire de plus ? Tu vois cette maison, telle qu’elle est à présent, somptueusement bâtie par la passion de notre père, qui, lorsqu’il était malade, passait ici presque tout l’été plongé dans les livres. Mais c’est dans ce lieu même, bien que mon grand-père y vécût et que sa maison fût petite, conformément aux mœurs antiques, c’est là, sache-le, que je suis né. Voilà pourquoi il y a je ne sais quoi, quelque secret en moi, qui donne peut-être à mes yeux plus de charme à ces lieux.
Atticus. — Allons donc sur les lieux mêmes, où reposent les vestiges de ceux que nous aimons et admirons.
Le portrait de Pline l’Ancien par Pline le Jeune ; c’est intéressant aussi ; je vais le donner à méditer à mes élèves :
UN EMPLOI DU TEMPS BIEN REMPLI
Il avait un esprit aigu, une passion pour l’étude, une capacité de travail énorme. Avant le lever du jour, il allait chez l’empereur Vespasien, de là il donnait ses ordres aux différentes fonctions administratives dont il avait la charge. De retour chez lui, il s’adonnait à ses études le reste du temps. Après le repas, souvent, qu’il prenait pendant le jour léger, à la façon ancienne, l’été, s’il avait quelque loisir, il s’étendait au soleil, lisait un livre, prenait des notes et relevait des passages. Car il ne lisait jamais rien sans relever des passages de ce qu’il lisait ; il avait même l’habitude de dire qu’il n’y a pas de livre assez mauvais pour qu’on ne puisse pas en tirer quelque profit. Après ce bain de soleil, il se lavait la plupart du temps à l’eau froide, ensuite il se restaurait et dormait un peu ; puis, comme si une nouvelle journée commençait, il étudiait jusqu’à l’heure du dîner ; pendant le dîner, il lisait encore, prenait des notes, et, pour tout dire, sans perdre de temps.
Le portrait de Pline l’Ancien par Pline le Jeune ; c’est intéressant aussi ; je vais le donner à méditer à mes élèves :
UN EMPLOI DU TEMPS BIEN REMPLI
Il avait un esprit aigu, une passion pour l’étude, une capacité de travail énorme. Avant le lever du jour, il allait chez l’empereur Vespasien, de là il donnait ses ordres aux différentes fonctions adm.inistratives dont il avait la charge. De retour chez lui, il s’adonnait à ses études le reste du temps. Après le repas, souvent, qu’il prenait pendant le jour léger, à la façon ancienne, l’été, s’il avait quelque loisir, il s’étendait au soleil, lisait un livre, prenait des notes et relevait des passages. Car il ne lisait jamais rien sans relever des passages de ce qu’il lisait ; il avait même l’habitude de dire qu’il n’y a pas de livre assez mauvais pour qu’on ne puisse pas en tirer quelque profit. Après ce bain de soleil, il se lavait la plupart du temps à l’eau froide, ensuite il se restaurait et dormait un peu ; puis, comme si une nouvelle journée commençait, il étudiait jusqu’à l’heure du dîner ; pendant le dîner, il lisait encore, prenait des notes, et, pour tout dire, sans perdre de temps.
Peut-être que Dieu c’est comme le chat de Schrödinger ? I sont peut-être en même temps dans le bocal i parlent du Zéro et de l’Infini…
L’andouille haineuse est furieux après la RdL et va pleurnicher chez son pote serdgio
Toutes manières Dieu y a qu’à y dire sors dehors si t’es un homme… Ha ben non…
Sergio dit: 13 août 2016 à 18 h 05 min
Toutes manières Dieu y a qu’à y dire sors dehors si t’es un homme… Ha ben non…
Bien sûr que non ; il est plus prudent de rechercher le bon mot. Le hic, c’est qu’on décide pas toujours… Et ne comptez pas sur moi pour continuer de faire la circulation aux crossroads … La retraite à 80 piges par siècle, c’est plutôt confortable pour un journaleux
https://www.youtube.com/watch?v=GsB_cGdgPTo
ah, quand même, pour répondre aux prétentions de Françoise Hardy, rien de meilleur que du Buddy Holly sur canapé
https://www.youtube.com/watch?v=9MYZXJ5Q0oY
« Selon le site Yabiladi.com, le ministère de l’Éducation nationale marocain s’apprête à supprimer des manuels scolaires de la 3e année de collège la sourate 48, Al Fath ou La Victoire éclatante, jugée trop pro-djihad ; elle sera remplacée par la sourate 59, Al Hashr ou L’Exode. Cette modification vient après la décision de « débaptiser » la matière « éducation islamique » pour la nommer, désormais, « éducation religieuse ».
ALLAH EN CALBAR? décidément, d’autres que nozigues, moins vendus à la pourriture salafiste, semblent avoir admirablement réglé le problème ! Transmis à la Ligue des Droit de l’Insecte…pour réflexion.
Je rappelle aussi que Bourguiba, ce « tyran » avait donné eux femmes un statut moderne dès 1957….Maroc, Tunisie…reste l’Algérie pourrie par la mafia du pétrole, et la moyenâgeuse Mauritanie…
Et merci aux gouvernements du Maghreb de nous avoir, jadis , envoyé toute la lie de la population de ces régions, histoire de vider les geôles et de nous emmerder.
et , j’oubliais, vous savez tous que Mohammed V, le grand père de l’actuel roi, avait protégé les Juifs du royaume chérifien contre la peste vichyste ! Raison de plus , sans aucun doute pour déplaire à la Ligue des Droits des Étrons, dont l’antisémitisme comme le rappelait Alba est plus que consubstantiel…il est devenu leur organe vital…
Salutaire effort, mais l’epectase ne découlera pas des diatribes de vôtre collègue Alba, au demeurant plus réservé que vous ; il évoquait l’antisionisme de la LDH, Cher Berzik. Puissiez-vous regarder plus loin en arrière et nous parler, un jour, l’un et l’autre, l’un avec l’autre, depuis un kibboutz ; on se tiendra peut-être autre chose que les côtes… D’ici-là, merci de nous laisser souffler
https://www.youtube.com/watch?v=HRlOI3N7Hao
pourquoi « depuis un kibboutz », hein M’sieur Langoncet?
Et pourquoi ne pas parler en connaissance de cause ?
Ce serait intréressant
pas besoin ,à mon sens, d’aller se faire suer dans un kibboutz pour parler en connaissance de cause !
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