J.M. Besnier : « La technologie ne doit pas se couper des sources du langage »
Jean-Michel Besnier, philosophe, responsable d’un pôle de recherche sur les problèmes de santé connectée et d’humain augmenté à Paris-Sorbonne, est de ces chercheurs qui, en France, travaillent sur les conséquences du transhumanisme, du posthumanisme, de l’intelligence artificielle et de la robotisation sur la société. Il est notamment l’auteur de Demain les posthumains : Le futur a-t-il encore besoin de nous ? (Fayard/Pluriel, 2012), L’Homme simplifié : Le syndrome de la touche étoile (Fayard, avec Francis Brunelle et Florence Gazeau de Un cerveau très prometteur : Conversation autour des neurosciences (Le Pommier,
La République des livres : Curieux comme les robots se présentent presque tous sous une apparence androïde ou humanoïde… Comment expliquez-vous cela ?
Jean-Michel Besnier : Cette obstination à leur donner une forme humaine est pour moi une source d’interrogation. J’ai longtemps pensé que cela ne correspondait pas à une nécessité fonctionnelle. Une lessiveuse à roulettes ferait tout aussi bien l’affaire. On dit que c’est pour susciter l’empathie, ce qui ne pas de soi par exemple pour les robots utilisés en archéologie sous-marine. Parfois, on donne également une explication néo-darwinienne selon laquelle la forme humaine, autrement dit notre conformation physique correspond aux exigences de l’environnement. De ce point de vue là, le robot participerait de cette exigence et serait plus fonctionnel s’il est muni d’une tête, d’un tronc, de bras et de jambes.
C’est pourtant le cas depuis l’invention du mythe du Golem, non depuis sa apparition dans un psaume de l’Ancien testament mais depuis sa création dans le ghetto de Prague au XVIème siècle…
Certainement mais il y avait là une propension animiste : on était sinon dans une mentalité primitive, du moins dans quelque chose d’archaïque ; il y avait une projection. On peut penser que depuis, la chose ayant été largement décantée, la prévalence aurait été donnée à des impératifs pragmatiques. Ce n’est pas le cas. Même les roboticiens les plus raisonnables, ceux qui disent vouloir rendre des services, faire des outils et prendre leurs distances avec un imaginaire jugé plutôt parasitaire qu’autre chose, même ceux-là font des robots à forme humaine. Même quand ils fabriquent un robot aspirateur, ils ne lui donneront peut-être pas une forme humaine mais celle d’un animal domestique, quelque chose sur quoi mobiliser nos neurones-miroir à l’origine de nos comportements d’empathie. Comme si on avait besoin de ça ! Il y a là comme une persistance de l’animisme.
Le comité d’éthique a-t-il son mot à dire sur les problèmes soulevés par l’intelligence artificielle ?
Le comité les a déjà croisés à maints égards. Lorsqu’il aborde les problèmes entrainés par le décryptage et l’édition du génome, cela mobilise nécessairement l’intelligence artificielle. De toute façon, les questions de technologies d’imagerie, cérébrales ou médicales, relèvent déjà de l’intelligence artificielle. Cela dit, je n’ai pas lu d’avis du comité consultatif national d’éthique présidé par Jean-Claude Ameisen qui aurait exprimé une prise de position explicite sur la question. C’est totalement dans leur champ de compétences si l’on en juge par tout ce qu’ils ont déjà fait à propos des neurosciences.
Ceux qui fabriquent des automates réfléchissent-ils à la perspective de leur donner des dilemmes d’ordre moral ?
La direction générale des armements (DGA) se pose la question de l’éthique des robots. En 2010 déjà, j’y avais été auditionné sur la question et je m’étais rendu compte qu’ils allaient déjà très loin dans le domaine, mais avec des hypothèses de travail extrêmement naïves et déconcertantes pour un philosophe. Car ceux qui envisagent l’interface du robot en des termes moraux pensent la morale en termes de discrimination entre le bien et le mal, l’ami et l’ennemi, le favorable et le défavorable. On est là en plein dans le binaire imposé par le numérique. Faire un robot moral revient à faire un robot qui sait scanner l’uniforme de l’ennemi. Les roboticiens parlent de conscience. Ils peuvent la donner à leur robot à condition de s’attacher à une définition minimale de la conscience, à savoir : est conscient le dispositif ou l’organisme capable de distinguer entre soi et non-soi. Cela permet d’avoir une situation de retrait par rapport à une situation. C’est assez primaire. Mais quand les sciences cognitives se sont emparées de la conscience, elles avaient déjà opéré une déflation sémantique du concept, loin du cartésianisme, ce qui leur a permis de doter animaux et végétaux d’une conscience. Les roboticiens ont donc conçu des robots dotés d’heuristiques réflexives, c’est à dire de dispositifs de rétroaction qui réaménagent leur combinatoires interne en fonction du dispositif extérieur. Le robot aspirateur se cognera trois fois au pied d’une table jusqu’à ce qu’un calcul lui permette de l’éviter. Ainsi, on se donne à bon compte la possibilité d’appeler cela de la conscience puisqu’on a affaire à un système qui s’adapte. Avec la psychologie comportamentaliste, qui a fini par définir l’être humain comme une boite noire qui émet des output et reçoit des input, on aboutit à une éviction de la vie intérieure, laquelle ne pouvait qu’aboutir à ce minimalisme conceptuel.
En quoi la notion de plasticité cérébrale, de plus en plus souvent évoquée, est-elle lourde d’équivoque ?
Parce qu’elle accrédite l’idée que l’humain est indéfiniment malléable. Ce qui est potentiellement dangereux. L’homme n’est pas de la terre glaise que l’on peut sculpter indéfiniment. Les neurobiologistes savent bien que c’est faux, ils connaissent les limites de cette plasticité. Je lui préfère la notion rousseauiste de perfectibilité, qui me paraît plus réaliste et raisonnable. On ne peut pas augmenter l’humain indéfiniment et le plier à tous les formats. Pour autant, je ne suis pas essentialiste ; je ne crois plus dans la conception fixiste de l’humain, pour autant l’autre biais me paraît assez pernicieux.
Puisqu’on parle d’augmentation de l’humain, problématique au cœur du transhumanisme, comment définissez-vous celui-ci ? Philosophie ? Idéologie ? secte ?…
Plutôt un mouvement d’opinion dans lequel se reconnaissent des gens qui considèrent que, aujourd’hui, ce sont les sciences et les technologies qui doivent pouvoir réaliser les aspirations de l’humanité. Encore faut-il définir ce que veut celle-ci. Le transhumanisme va du plus soft, dans sa version française, au plus hard, dans sa version américaine. Les Français de ce courant sont là-dessus assez baba cool et new age ; ils disent en gros que les sciences et les techniques devraient se démocratiser et permettre la réalisation des idéaux égalitaires et l’augmentation de la longévité ; ils ont encore la candeur de s’imaginer qu’en se multipliant, l’offre technologique va diminuer le prix des produits. Les Américains, eux, n’ont pas cet idéalisme : ils sont même parfaitement cyniques ; ils croient à une rupture beaucoup plus radicale préparée aujourd’hui par les sciences et les technologies et annoncée pour 2045 ; ils l’appellent de leurs vœux car ils estiment que l’humanité a provoqué suffisamment de dégâts et qu’elle a donc fait son temps ; leur radicalité se manifeste par leur conviction que la rupture se traduira par l’émergence d’une nouvelle espèce ; c’est pour cela que le posthumain est dans leur lexique courant ; et comme on ignore tous ce que ce sera, c’est englobé dans le concept de « singularité ». Autrement l’inédit, l’imprévisible, l’imprédictible. Il y a là une composante quasi religieuse : on est dans l’attente. Mais les conditions de cette émergence se préparent tout en sachant qu’on ne sait rien de ce qui va émerger ! Ce n’est pas une secte car il n’y a pas de complot mais il y a un gourou (Raymond Kurzweil) et le sentiment d’appartenir à une certaine élite. L’université de la Singularité, dans la Silicon Valley, réunit les visionnaires du monde entier…
Mais ce ne sont pas de simples allumés quand on sait les forces financières qui sont derrière : Google, Microsoft, la Nasa, lesquels sont aussi en pointe dans la recherche sur l’intelligence artificielle…
Parfaitement. Il y a là des puissances d’argent redoutables. Ce qui m’impressionne le plus, c’est que ces gens sont pour l’innovation à tout crin, ils multiplient les start-up et investissent dans les biotechnologies ; or quelle est la logique intrinsèque qui conduirait de la gestion du cyberespace aux recherches sur le vieillissement. Seulement voilà, il leur faut impérativement prendre pied dans tous les champs de l’innovation, mus par une irrépressible pulsion d’hégémonie. On est passés d’une logique lamarckienne à une logique darwinienne : avant, du temps de « l’épopée de l’obscur » comme on disait, on considérait que la science et la technique servaient le progrès et permettaient une meilleure adaptation ; désormais, on est dans l’idée de multiplier objets et dispositifs, et attendre que s’opère une sélection par le marché à l’issue de laquelle certaines innovations survivront, d’autres pas. Face à ce cynisme, on ne peut plus moraliser. Ainsi on est passé d’une médecine qui soigne à une médecine qui répare.
La différence est si profonde ?
Et comment ! Elle engage une conception mécaniste du vivant et invalide complètement la conception traditionnellement vitaliste du vivant. On s’est donc installé dans l’idée qu’il peut en être de l’humain comme de la machine. On répare ! A mes yeux, ce qui est capital, c’est que l’on s’est engagé résolument dans une démarche désymbolisatrice. Lorsqu’il s’agissait encore de soigner, on était dans le langage, le culturel. Quand le médecin examinait un patient, il lui parlait et l’écoutait, persuadé qu’il ne souffrait pas que d’une panne mais que son mal avait aussi un environnement symbolique. Cette dimension disparaît dès lors que l’on ne considère plus l’organisme que comme une mécanique dont il faut entretenir et changer les pièces. Les médecins s’en plaignent mais s’y résignent et conviennent que le dialogue avec le patient ne soit plus essentiel.
Mais c’est toute la société qui a évolué ainsi…
Certainement et dans les hôpitaux, cela se traduit par l’obligation de ne pas rester plus de dix minutes avec un patient. L’entretien, tenu pour un bavardage, est considéré comme superflu. Il faut désormais être spécialiste en traitement du signal pour gérer l’imagerie médicale et pour traiter les datas résultant des capteurs et des implants. Là comme ailleurs, les ingénieurs vont prendre le pas.
A propos, comment traduisez-vous le maître-mot des colloques transhumanistes enhancement : « améliorer » ou « augmenter » ?
Ils n’ont qu’un seul mot pour les deux, qu’ils accentuent pour pencher du côté du quantitatif ou du côté du mélioratif. J’ai toujours soutenu qu’en français, on pouvait admettre les deux, mais il faut bien constater qu’« augmenter » l’a emporté. Et l’usage prévaut bien qu’il y ait un choix stratégique et idéologique dans l’utilisation qu’on fait de ce concept.
Mais quand des transhumanistes vous disent que, puisque vous portez des lunettes, vous êtes déjà augmenté, vous répondez quoi ?
Je réponds que c’est une idiotie. Ma vue est tout au plus réparée, remédiée, comme l’aurait pu être mon ouï par un sonotone, ou ma hanche. Je serais augmenté quand on aura introduit dans mon génome des gènes de la chauve-souris pour son audition ou des gènes du requin pour sa sensibilité aux ondes électriques. La limite, c’est la transgression de ce qui est donné nativement aux humains. Le prétexte à l’augmentation tient dans le déficit et dans le handicap. Quand on remédie à un handicap, on est tenté par l’idée de booster. Voyez l’athlète Oscar Pistorius amputé des jambes et équipé de prothèses en fibre de carbone. En 2008, le comité olympique lui avait interdit de concourir avec les valides parce qu’on avait peur qu’il les humilie ; derrière cela, il y avait l’idée que les Jeux n’étaient pas destinés à fabriquer des dieux mais à témoigner de l’excellence de l’humain ; or avec la candidature du sud-africain, le format valorisé depuis l’aube de la Grèce était transgressé.
Curieusement, la Renaissance est le modèle des transhumanistes…
Ce n’est pas Condorcet ni la Révolution française, ni l’annonce d’un progrès indéfini des sciences et des techniques, c’est la Renaissance comme ouverture de tous les possibles. Ils en conservé surtout la dimension de rupture avec le Moyen-Age et la mondialisation.
Tout de même, comment ne pas voir les germes d’un totalitarisme dans le projet de créer une nouvelle espèce ?
Il y a effectivement un totalitarisme soft dans l’ambition de créer quelque chose qui va bien plus loin qu’un homme nouveau. Mais je place cela en droite ligne avec le futurisme de Marinetti. La lecture de son manifeste est sidérante : la prémonition de l’homme d’acier, c’est l’homme qui en a fini avec la passivité du corps, de la nature, de la femme ; comme il ne veut plus subir, il agit mais grâce à l’acier. On est en plein mythe de la réactivité ; la réflexion, considérée comme une temporisation, est congédiée.
Mais n’y a-t-il pas un soubassement religieux dans cet esprit ?
Quand on lit attentivement les travaux du philosophe suédois Nick Bostrom, qui a créé la première association transhumaniste mondiale, on découvre des incursions du côté de la gnose des premiers siècles de la chrétienté. Il reprend l’idée selon laquelle Dieu, assailli par les forces du Mal qui l’ont obligé à saboter son travail, n’a pas pu aller jusqu’au bout de sa création, il a laissé des choses en chantier, d’où le fait que nous soyons inachevés, mortels etc Les transhumanistes veulent aujourd’hui en finir avec la conscience ; ils considèrent qu’elle a été un avantage sélectif à une période donnée de l’histoire de l’espèce, mais qu’elle est devenue un frein. Ainsi l’humanité serait menacée de disparition si l’intelligence n’est pas remplacée par l’instinct.
On n’a pas l’impression que votre cœur balance entre le cyborg et l’homme bionique, la machine métal et la reproduction du génome biologique. Alors, la peste et le choléra ?
Non, car je ne suis pas manichéen. Mais j’aime la chair ! Je place mes espoirs dans la biologie si elle permet de traiter des maladies génétiques. Mais je reste circonspect car, dès qu’il y a technologie, il y a risque de démesure. Ce qui m’inquiète le plus, c’est la disparition du symbolique. Si on laisse faire la technologie et qu’elle se coupe des sources du langage, l’hégémonie sera plus radicale ; rien ne m’inquiète comme de voir la technologie condamner le langage comme source de toutes les misères, et les technophiles substituer un univers de signaux à un univers de signes.
(Illustrations de Istock et Harry Campbell, photo Passou)
1 114 Réponses pour J.M. Besnier : « La technologie ne doit pas se couper des sources du langage »
Je vous rappelle le fameux épisode du Satiricon de Pétrone quand Trimalcion commande son tombeau :
TRIMALCION, UN NOUVEAU RICHE, COMMANDE SON TOMBEAU
Construiras-tu mon tombeau comme je t’en ai chargé ? Je te demande surtout de représenter au pied de ma statue ma petite chienne, des couronnes, des flacons d’huile parfumée pour que, grâce à toi, il me soit donné de vivre après ma mort. Je veux toutes sortes d’arbres fruitiers autour de mes cendres, et quantité de vignes. Il est, en effet, tout à fait insensé d’avoir de son vivant une maison bien garnie, et de ne pas s’occuper de celle où il nous faudra habiter bien plus longtemps. Qu’une horloge soit représentée au milieu de sorte que quiconque regarde l’heure puisse, bon gré mal gré, lire mon nom. Quant à l’épitaphe, vois si celle-ci te semble convenir : « Ci-gît C. Pompeius Trimalcion. Homme de devoir, vaillant, fidèle, parti de rien, il laissa trente millions de sesterces à sa mort sans jamais avoir suivi l’enseignement d’aucun philosophe. »
à 4 h 28 min
les (innombrables) esclaves, socle de cette charmante soce, ne gagnaient rien
pas de syndicats chez les romains. ceux qui protestent finissent en kitkat dans le colisée, ça aide à la prospérité générale.
« La culture et le symbolique sont ainsi les marques du pouvoir créateur néguentropique de l’être vivant sur son environnement, les preuves de sa capacité à agir dans le monde qui l’entoure et à le maîtriser, lui imposer une forme. Il s’agit bien là d’un processus de domestication de l’Etre au sens de Peter Sloterdijk [1][1] Peter Sloterdijk, La domestication de l’Etre, Mille…, c’est-à-dire un apprivoisement du monde et un auto-apprivoisement du vivant par lui-même, une rationalisation sécurisante de l’existence par sa réification symbolique et son quadrillage culturel technologique, voire biotechnologique. »
https://www.cairn.info/revue-le-philosophoire-2002-3-page-69.htm
pas de syndicats chez les romains
Non vraiment? nul ossement?
Ah les salauds!
logés nourris , de quoi auraient-ils pu se plaindre
en plus ils causaient latin, le rêve quoi
stop au lavage de cerveau et aux mots qui ne font pas sens, qui vont bien à toute la clique de névrosés des boyaux de la tête.
_________________________________
Je signale, à ceux que cet ouvrage peut intéresser, complètement accessible sans formation scientifique, » Dans la lumières et les ombres » de JC Ameisen, médecin chercheur, spécialiste de la mort cellulaire, président du comité d’éthique de l’Inserm et membre du comité consultatif national d’éthique (indications octobre 2008, date de parution de l’ouvrage).
Des réflexions profondes, personnelles, d’un chercheur, sur l’origine de la vie, sur l’émergence de la conscience. Sur ces questions ancestrales revisitées en termes nouveaux à la lumière des progrès scientifiques. Avec d’innombrables références littéraires, poétiques, philosophiques.
Un formidable témoignage d’être présent au monde, « où nous ne sommes jamais seul à inventer notre chemin ».
« sur l’origine de la vie, sur l’émergence de la conscience. »
trop c’est trop! tout ça au lieu de mettre la main dans le cambouis comme il dirait bouguereau-berzinc! Rien que des fainéants épicétout
bon, bientôt l’heure du défilé
jean-claude, ta permanente peroxydée est en train de prendre feu, gaffe à ton demi-neurone.
Ici, je cause plus aux cons, ça ne les instruit même pas.
Bon feu d’artifice. J’ai bal ce soir.
Celui qui désespère, qu’espère-t-il ?
Une mort entière ?
Mais quelle mort remédie au mal ?
L’espoir fait vivre et la vie fait espérer.
Espoir. Désespoir. Inespoir.
« L’Italie au recensement de Claude »
…viva Italia !
pas de syndicats chez les romains. ceux qui protestent finissent en kitkat dans le colisée, ça aide à la prospérité générale
c’est dla propagande du médef..on fasait grève sur les chantiers des pyramides phil..et les luddites étoyent au pouvoir..c’est a vespasien je crois qu’on voulait présenter un hinventeur de métier a tisser qui devait doubler la production..il répondit qu’il fallait le donner aux lions en lui ayant fait manger au préalabe tous les plan dsa machine..
En janvier, le journal Bild a publié un document officiel qui prouve que les élus de Kiel, en Allemagne septentrionale, ont ordonné à la police locale de ne pas recenser la plupart des crimes perpétrés par les migrants.
Selon Bild, les polices de Rhénanie du Nord-Westphalie et de Basse-Saxe ont également reçu la consigne d’un devoir d’indulgence face à la criminalité des migrants.
En février, Die Welt a révélé que les élus du Land de Hesse ont supprimé des informations sur les crimes liés migrants, en raison d’un prétendu « manque d’intérêt du public ».
En mai, un officier supérieur de la police de Cologne a révélé qu’un fonctionnaire du ministère de l’Intérieur de Westphalie du Nord lui a ordonné de retirer le terme « viol » d’un rapport interne de police sur les agressions à Cologne.
La police de Cologne reconnaît aujourd’hui qu’elle a reçu plus de 1 000 plaintes de femmes, y compris les 454 constats d’agressions sexuelles déjà enregistrés, à la suite des événements du Nouvel an.
La police de Hambourg reconnaît avoir consigné 351 plaintes de femmes, dont 218 rapports d’agressions sexuelles pour ce fameux soir du 31 décembre 2015.
Le 7 juillet, plus de six mois après les attentats de Cologne (et le jour même où le Bundestag a approuvé la loi « Non, ça veut dire Non »), le tribunal du district de Cologne a condamné un Irakien de 20 ans et un Algérien de 26 ans à un an avec sursis pour l’agression sexuelle dont ils s’étaient rendus coupables.
La domestication de l’Etre, Mille…, c’est-à-dire un apprivoisement du monde et un auto-apprivoisement du vivant par lui-même
la technologie c’est le style de l’homme et par elle il cherche à se connaitre..le langage a été probablement la plus grande havancée hindustrielle de l’humanité..dérida a bati la carrière d’une vie rien que la dessus..te dire
ont ordonné à la police locale de ne pas recenser la plupart des crimes perpétrés par les migrants
goering il l’aurait pas supporté non pus dracul..
Il est clair que le projet européen est en ruines. L’€ bientôt secoué en août selon Attali. Les systèmes éducatifs profondément dégradés et islamisés. La laïcité profondément attaquée notamment dans les systèmes éducatifs en ruines. Les professeurs français sont les mieux formés de l’OCDE mais sont les plus mal payés. Dumping sociale aggravé en Europe grâce et à cause des réfugiés dans une politique européenne concertée et voulue depuis ses lointaines origines. Criminalité en hausse en Europe du fait des réfugiés. Impuissance des services de la DGSE a contrer le terrorisme en France selon le dernier rapport de la Commission d’enquête de l’Assemblée nationale.
bouguereau-berzinc!
un qui te tient les oreilles oar devant et l’aute qui te fait ton affaire par derrière..jean pierre coffe aurait dit que t’étais rien qu’un produit hindustriel sous blister dracul
La domestication de l’étant mais pas de l’Être. Peter Sloterdijk est un nain philosophique.
..moi je dis que tout ce qui est sous blister n’est pas forcément mauvais..sans lindustrie la massification le déréférencement de l’être..hon mangrait pas épicétou
le texte de béré n’est pas de lui dracul..et l’auteur le cite et le comprend clairment mal..un bon philosophe c’est celui qui cherche et lève les bons lièvres..pas qu’il dit qu’il les attrape
Un p’tit coup d’défilé pacifiste du 14 juillet 2016 ?…
_________
Pour le repos, le plaisir du militaire,
Il est là-bas à deux pas de la forêt
Une maison aux murs tout couverts de lierre
Aux vrais poilus c’est le nom du cabaret [*]
La servante est jeune et gentille,
Légère comme un papillon.
Comme son vin son œil pétille,
Nous l’appelons la Madelon
Nous en rêvons la nuit, nous y pensons le jour,
Ce n’est que Madelon mais pour nous c’est l’amour
(Refrain)
Quand Madelon vient nous servir à boire
Sous la tonnelle on frôle son jupon
Et chacun lui raconte une histoire
Une histoire à sa façon
La Madelon pour nous n’est pas sévère
Quand on lui prend la taille ou le menton
Elle rit, c’est tout le mal qu’elle sait faire
Madelon, Madelon, Madelon !
Nous avons tous au pays une payse
Qui nous attend et que l’on épousera
Mais elle est loin, bien trop loin pour qu’on lui dise
Ce qu’on fera quand la classe rentrera
En comptant les jours on soupire
Et quand le temps nous semble long
Tout ce qu’on ne peut pas lui dire
On va le dire à Madelon
On l’embrasse dans les coins. Elle dit « Veux-tu finir… »
On s’figure que c’est l’autre, ça nous fait bien plaisir.
(au Refrain)
Un caporal en képi de fantaisie
S’en fut trouver Madelon un beau matin
Et, fou d’amour, lui dit qu’elle était jolie
Et qu’il venait pour lui demander sa main
La Madelon, pas bête, en somme,
Lui répondit en souriant :
« Et pourquoi prendrais-je un seul homme
Quand j’aime tout un régiment ?
Tes amis vont venir. Tu n’auras pas ma main
J’en ai bien trop besoin pour leur verser du vin. »
(au Refrain)
La domestication de l’étant mais pas de l’Être
des konneries dracul..des konneries de cucul qui croit qu’il y a un dehors a l’hindustrie..y’en a pas et y’en a jamais eu..pour celui qui pense..penser c’est plus ou moins faire l’howard hughes..jayne mansfield c’est quand même pas du flanc
Un p’tit coup d’défilé
hors les défricheurs de la légion en tablier de cuir c’est tous des tarlouzes
Qui a regardé la sublime Madame Butterfly d’hier soir sur la 5? Dommage, le ténor qui interprétait Pinkerton n’était pas à la hauteur. Mais comme le rôle titre chante pratiquement sans arrêt et qu’elle était parfaite, ce n’était pas trop grave. Les larmes aux yeux, notamment au moment du « Un bel di vedremo »…Celui de Callas est meilleur, mais enfin, bon, on ne va pas se plaindre pour une fois qu’il y a de la beauté et de l’émotion pures à l’écran.
@un bon philosophe c’est celui qui cherche et lève les bons lièvres…pas qu’il dit qu’il les attrape
oui mais il y a une différence entre le philosophe des villes et des champs : le deuxième en prend beaucoup mais s’en vante pas, le 1er fait partie de la bande à passoul.
3 j..t’es pas keupu ?..si t’es keupu je vois le gros bouton arthur matin sur ton front..tas mis a bouillir hencore..
@Ozymandias – 20h – 10h
Un texte de Lorand Gaspar (recueil « Sol absolu » – Poésie Gallimard) p. 147/148
« Sur toutes les pistes où tu menas
les troupeaux de doutes et d’espoirs
ta main dans la douceur noisette du pelage des jeunes chameaux,
dans les cuves brûlantes qui se souviennent
du ventre de la terre – tu sais
qu’en dehors de ta foulée reprise à l’aube
aux songes d’enclos il n’y avait rien à trouver.
Rien que ce vaste non-lieu
rien que le grand pas sûr de ton égarement.
Défaite éblouissante d’un vol migrateur
l’herbe bleue coupée sous les ailes.
O la clarté prise dans nos amandiers !
Émerveillement
avoir été un jour l’odeur de la terre.
Amour de printemps
nous venons de nulle part, de jamais
abreuver le désert.«
Les larmes aux yeux, notamment au moment du « Un bel di vedremo »…
à bouillir hencore..
@Janssen J-J dit: 14 juillet 2016 à 11 h 00 min
Un autre défilé ?
Boris Vian :
« Un beau matin de juillet, le réveil
A sonné dès le lever du soleil
Et j’ai dit à ma poupée « Faut te s’couer
C’est aujourd’hui qu’il passe »
On arrive sur le boulevard sans retard
Pour voir défiler le roi d’ Zanzibar
Mais sur-le-champ on est r’foulé par les agents
Alors j’ai dit :
On n’est pas là pour se faire engueuler
On est là pour voir le défilé
On n’est pas là pour se faire piétiner
On est là pour voir le défilé
Si tout le monde était resté chez soi
Ça f’rait du tort à la République
Laissez-nous donc qu’on le regarde
Sinon, plus tard, quand la reine reviendra
Ma parole, nous on r’viendra pas… »
Tres casis dans la populationus au temps des romains :
otium
nec otium
servus
Déjà dit ici, bis repetitat
@ »les défricheurs de la légion »… comment ça ?… des tarlouzes à barbe obligatoire taillée à la hache ?
@11.05, Ok sur le très faiblard Bryan Hymel et la très moyenne Ermonela Jaho, mais bon, c’était mieux que rien, mais on n’a pas pleuré. Et puis il y avait la Lemieux, l’engoncée Marie-Nini, ma préférée.
Formateur de lire la solde des centurion et des sénateurs au temps des romains. Et le prix du pain ?
c’est pas censé placent rose..tu répètes comme une méchante maitresse d’école qui trépigne a mette des fessées..c’est hinterdit..c’est les pinces et l’aout de l’académie..et dehors pas dsalut..dracul y confine son être ici et son être là..sinon garre..
@11.14 ah oui, je l’avais oublié ce défilé de vernon sullivan, merci du rappel ch. !, Dommage que le chef de la Garde l’ait pas mis au programme de marie druckère.
»les défricheurs de la légion »… comment ça ?
si tu sais pas ça t’es un mauvais français épicétou
François Hollande s’offre les services d’un coiffeur… pour 9 895 euros par mois. Selon Vincent Placé, il y a un léger dysfonctionnement. Chez les coiffeurs sans doute.
O la clarté prise dans nos amandiers !
ozy hil havait trop bu de vieille prune cricri..ça fsait poire d’angoisse au reveil..jle sais ça mfait l’même effet
Le « c »palato vélaire c’est transforme en « g » guttural alveolabial (les données sont rangées à la maison, je musarde là, pardonnez) et.cela donne negotium, ancêtre du négoce, aujourd’hui nommé commerce ; qui donne le fonds de commerce, Montjoie de nos politiques ; particulièrement des jeunes coqs. Arrogants.
toi t’es que corvéabe de 14h a 17h25 dracul..et t’as des vacances comme mon bras..halors camembert
Je signale, à ceux que cet ouvrage peut intéresser, complètement accessible sans formation scientifique, » Dans la lumières et les ombres » de JC Ameisen, médecin chercheur, spécialiste de la mort cellulaire, président du comité d’éthique de l’Inserm et membre du comité consultatif national d’éthique (indications octobre 2008, date de parution de l’ouvrage).
Est-ce que vous avez couché avec lui ne serait-ce que virtuellement? Apparemment il n’est pas tout à fait sexuellement obsolète.
particulièrement des jeunes coqs. Arrogants.
et lâche comme les poules mouillés..tout ça c’est génétique aurait dit goering..la langue est trés nazional zocialis..mais pour la dénazifier..ten as pas hassez d’une vie
Est-ce que vous avez couché avec lui ne serait-ce que virtuellement? Apparemment il n’est pas tout à fait sexuellement obsolète
..fais gaffe béré
Marion Cocillard va recevoir sa coquille ce 14 juillet.
La tignasse à Placé (comme la frisure à Lang) peut coûter du coiffeur. Pour les autres à fausses boules de billard, ça fait cher le ciseau. Les présidents de gauche aiment se faire teindre. Schröder idem. à l’époque des romains, coupe à la sollers pour tout le monde.
Qoi? c’est une pratique courante, avant nous ne disposions que du téléphone pour suggérer entendre et vocaliser, avec le progrès technologique nous pouvons tous et toutes entrer en communication avec des inconnus connus ou des connus inconnus pour nous livrer à toutes sortes de débats et d’ébats,Moi aussi je le fais!
coupe à la sollers pour tout le monde
..havec le fume cigarette t’es chté aux murènes
mais henfin béré..tu vas pas nous faire un orgasme comme ça chez lassouline toudmême
11 h 05, gontrand ; oui,vu une Madama Butterfly splendide, surtout grâce à Ermenola Jaho… le rôle de Pinkerton et son interprète sont toujours décriés; belle mise en scène simple et efficace
Schröder idem
chez les allemands c’est dingue cette folie capillaire..schmitt était bien aussi..
Les présidents de gauche aiment se faire teindr
Phil teint ou patin il coûte cher en coiffeur, en plus si on prend en compte sa densité de cheveux au Cm2 c’est encore pire! un scandale, ensuite imaginons un peu dans cet ordre de facturation de prestation de service le montant de l’ensemble concernant l’entretien de sa modeste personne.
keupu si t’as mis sur « arrêt cuve pleine » n’ouve pas surtout..
Baroso, ancien président de la commission européenne va gérer le démantèlement de l’Europe comme membre de la banque Goldmann Sachs. Un signe des temps…
De plus Bouguereau convenez qu’un style accompagnant toujours le geste il n’y aurait aucune peine à se voir propulsé dans l’olympe des shadoks, nous et quelques autres à moins que vous préfériez être le gégène de ces lieux?
Helmut Schmidt quatre-vingt dix ans de fumage non stop, solide comme les tôles de la vw coccinelle.
Indeed, la décision de Barroso bien painfull. Edward G. Robinson était plus sympathique (dans la catégorie des batraciens).
Les traditions se perdent, c’est la première fois, du moins sous la Ve République, que l’on a plus de 1ère Dame de France. ça fait des économies pour le coiffeur !
ça fait des économies pour le coiffeur !
La cours des comptes de toutes façons publie un rapport annuel et les dépenses de l’Elysée sont en décrue .
Figaro-ci Figaro-là !
http://www.huffingtonpost.fr/2016/07/14/video-coiffeur-hollande-jt-humour_n_10984084.html?utm_hp_ref=france&ir=France
Il y en a au moins deux qui ont regardé Butterfly…D’accord avec en passant. Janssen est bien sévère avec Ermenola Jaho. Des « très moyennes » comme elle, on en voudrait plus souvent.
tu devrais réviser tes idées un peu primaires sur la realpolitik du coiffeur de poutine, keupu
http://www.laviedesidees.fr/Qu-est-ce-qu-etre-realiste.html
Moi j’ai revu le Police de Pialat et le Simenon de Passou sur Arte. Bons l’un et l’autre. le violette Leduc itou…
@ sévère avec Ermenola Jaho ?
… c’était à cause du trop plein de Calas dans la mémoire des ouies. Disons OK qu’elle était très bien, Papillon Jaho, ça vous va ?
Sur Arte, le Pol.ice de Pilat et le Simenon de Passou : le film de fiction n’a pas prit une ride et le documentaire itou !
Ensuite, le Violette Leduc, parfaitement émouvant. A quand une République de la TV, Passou ?
A quand une République de la TV, Passou ?
14 juillet, fête nationale, identité nationale : eh bien, ayant assisté à la télé au traditionnel défilé (on n’est pas là pour se faire engueuler), je déclare haut et fort que je n’y crois plus ! Et la preuve, la voici : comment un gonze physiquement aussi atroce que le François Hollande a-t-il pu séduire une grognasse comme la Julie Gayet, qui n’est tout de même pas le boudin de base ? Une telle union, contre-nature, vérifie la définition que l’abbé (Siéyès) donnait de la France : un agrégat inconsistant de peuples désunis. Post-sternum : le JB’s ne manque pas de charme mais ne vaut tout de même pas le Talisker.
Calas, Jean roué en place de Toulouse après une sombre affaire.
Callas, Maria, c’est autre chose!
Le doc sur Violette Leduc, parfaitement émouvant.
Julie Gayet a vu l’occasion d’etre la Bécu, sinon La Poisson, du Roi François III le Corrézien . Le pavillon de Louveciennes ayant été pillé de nipponnesque façon, il a fallu se contenter d’une garçonnière de 6eme Arrondissement ,et d’un chevalier servant muni de croissants (retour du refoulé?)sous casque de motard. Les traditions se perdent…
La modération redouble de zele. Tout cela est pourtant très connu…Je passe les cas ou des compléments historiques sont pudiquement mis en attente…
@Christiane
Le Clézio comme Rachid Boudjedra, Dino Buzzati comme Mohammed Dib ont tous senti dans leurs voyages et l’ont décrit dans leurs oeuvres la vaste et majestueuse mansuétude que le Désert procure a ses visiteurs.
Au Désert, même un athée sent et ressent la fin des hommes et le commencement de Dieu.
Il est temps que ça cesse !
Nous devrions lutter collectivement contre les abus de la merdération ?
Faisons la grève générale des commentaires ou bien allons tous poster chez Patrick Scemama ?
Moi, le 14 juillet, je m’en tape comme d’une guigne et je fais comme chantait le grand Brassens :
« Le jour du 14 juillet,
Je reste dans mon lit douillet…
Non mais les braves gens n’aiment pas que…
L’on suive une autre route qu’eux… »
Non mais le brave Hollande n’aime pas que…
Macron suive une autre route que lui…
le message de l’érotomane :
bérénice dit: 14 juillet 2016 à 11 h 27 min
erreur de destinataire.
s’adresse sans doute au Professeur JC Ameisen, pour lui proposer les services du chatbot de kurweil, danielle ?. Une consultation psychosexuelle, à payer en nature, bien sur.
Bien à vous.
à 11 h 23 min
le petit c’était son maquilleur pour à peu près le même prix, en plus de son coach périné
et tous ses voyages en jet à la c.n
Jibé dit: 14 juillet 2016 à 11 h 56 min
Yen a jamais eu en France c’est pas prévu par la Constitution, heureusement d’ailleurs
en tout cas d’après la Cour des comptes (?) FH dépense bien moins que ses prédécesseurs
Ce qu’il restera de Hollande, après son règne, pour faire un portrait de lui par quelque Suétone, divers éléments : les « sans-dents », d’abord, puis la coiffure qui coûte si cher, comme s’il fallait être absolument la folle la plus dépensière du royaume. Quelques éléments lisibles, d’autres peut-être, par lesquels il restera dans l’histoire tel un César de pacotille.
@ OZYMANDIAS dit: 14 juillet 2016 à 12 h 49 min
Loand Gaspar, dont j’aime les livres. Chirurgien ( Neurophysiologie -passionné par les connaissances actuelles du cerveau mais n’hésitant pas à citer un papyrus égyptien datant du XVIIe siècle avant notre ère, énumérant quarante cas de blessures du crâne ou à puiser à la source gréco-latine de la pensée scientifique (Parménide, Héraclite,Hippocrate…).
Soigner a été son activité principale.
Et poète, né dans une famille hongroise, en Transylvanie.
Un choix donc qui balance avec le billet de Passou et vos commentaires.
Paris aussi, (lieu de ses études en médecine et de ses rencontres… ami de Michel Deguy, Butor, Yves Bonnefoy, Maulpoix, de peintres, T’ang, Hollan… Jérusalem, plus tard où il travaille à l’Hôpital Français de Bethléem…
puis exil à Beyrouth..
Sidi-bou-Saïd près de Tunis (l’expérience du désert / « Sol absolu »)… Les îles de l’Égée (Patmos)
Homme de poésie, homme de science, médecin, des façons d’être, de penser, de sentir, d’interroger la lumière, la matière, la vie. Un des plus grands poètes francophones vivant, en solidarité et en empathie avec le vivant (hommes, bêtes, plantes…) :
« j’ai rêvé d’une genèse
l’univers naissait sans s’interrompre
non pas d’un ordre venu du dehors
mais ample mais plein de sa musique
d’être là caillou compact à l’infini
sans départ ni achèvement jaillie du jaillissement »
(« Patmos »)
Lorand Gaspar
christiane dit: 14 juillet 2016 à 13 h 17 min
« j’ai rêvé d’une genèse
l’univers naissait sans s’interrompre
non pas d’un ordre venu du dehors
mais ample mais plein de sa musique
d’être là caillou compact à l’infini
sans départ ni achèvement jaillie du jaillissement
(« Patmos »)
C’est beau, très beau même. Mystiquement beau.
Tagore et Rûmi n’auraient pas dit mieux !
Merci Christiane.
J’ai trouvé aussi que le film de Pialat était remarquable de justesse de ton malgré quelques petits trucs ici ou là qui ne collaient pas (les sourires mal harmonisés parfois avec l’ambiance). Un incroyable travail de fond en tout cas dans la façon de dire les dialogues. Et le jeu remarquable des comédiens. Chapeau !
La Transylvanie.
Né en 1928 à Sighet en Transylvanie, Elie Wiesel était un adolescent lorsqu’en 1944 il fut déporté avec sa famille à Auschwitz puis à Birkenau.
http://www.leseditionsdeminuit.fr/livre-La_Nuit%C2%A0-2518-1-1-0-1.html
A défaut de travail, les chômeurs français ont une « loi » de travail !
Merci qui ? Merci El Khomri !
Valls et Hollande aussi.
Souriez, bonnes gens, la loi va sortir !
il restera dans l’histoire tel un César de pacotille
tout ça pour 10000 boules..c’est l’prix dlapéro des croquants en smaine a la mairie de paris du temps de chirac..et chirac en césar..hinfame delaporte !
C’est beau, très beau même. Mystiquement beau.
..sapré ozy
« Ce qu’il restera de Hollande, après son règne »
Pas que des blagues rue du Cirque, sur un scooter, paris by night.
Il restera le chemin de Damas… et d’autres chemins armés jusqu’au dents.
Vous êtes toujours en état d’urgence, kom ça ?
Au Désert, même un athée sent et ressent la fin des hommes et le commencement de Dieu
les rats du navire ne voit pas d’inconvénient a croire qu’il y ait un capitaine ozy
la décision de Barroso bien painfull
le corps mystique de l’europe sur la chaise d’affaire..c’est pas mysticment beau
De plus Bouguereau convenez
tu promets de mette le feu et ça prend l’eau..t’es une allumeuse béré épicétou
C koi cette filo de me.rDe du centaure qui croit que les responsabilités sont engagées à hauteur des émoluments lorsqu’on dirige un pays; le centaure ici n’est pas payé mais il pense avoir une légitimité sur ses courtisans.
Tibère-pépère a un coiffeur, mais Sarkozy avait « une maquilleuse » comme une vieille tapette du show-biz.
Choisis ton camp, camarade.
vos gueules les raclures
Hollande aurait dit, très sérieusement :
« Président de la République, c’est être confronté à la mort. »
de quoi sagit il meussieu courte..bisse havec des étoiles et des tirets..les plus hintelligents sauront décoder..lavnir pour arthur martin est bouché
Je me suis acheté un petit bateau gonflable une place, jaune et bleu. Je pars m’amuser dans les rouleaux. Je vais essayer d’emballer par la même occasion, parce que je m’ennuie un peu, cet accessoire devrait y contribuer.
ya pas dquoi rire delaporte..il sagit dla france !
A propos du coiffeur à Pépère, il parait que Sarkozy « ironise ». Moi aussi, « j’ironise »…
achète un padeul dédé..tout les lecteurs du figaros en font
Le chef de la hollandie a surtout dit qu’il était « normal ». C’est un argument nécessaire et suffisant, dans certains milieux.
Ça et mes abdominaux et pectoraux d’un aspect spectaculaire, disons-le en toute vérité et humilité.
il a même chanté l’infame..la vedette la plus populaire dla télé française
Sans même évoquer le superbe hâle de mon corps, mon grain de peau pour le moins attirant ainsi que mes beau cheveux bruns blondissant au soleil.
Mon problème principal, c’est mon intelligence hors-norme : elle fait peur. Les filles préfèrent les hommes normaux de ce côté-là. C’est injuste.
Le pauvre Hollande est décidément mal conseillé, à tous points de vue. Ai-je lu récemment qu’il avait « décoré » sa « styliste »? Juste retour des choses. Je me demande qui oserait aller chercher le pain avec les brassières en manière de costume que lui confectionne cette « styliste ». Pour le reste, j’ai écouté. La pauvreté d’analyse est suffocante.
Tiens, Géronte revient!
« ya pas dquoi rire delaporte..il sagit dla france ! »
Au moins, la prochaine fois que tu iras voter, le boug, tu feras plus attention !
Pourquoi vous venez tout casser en nous parlant d’Hollande, Chaloux ? Ces dames rêvaient, et vous nous sortez le petit gros, comme ça d’un seul coup.
ce que « La Nuit » raconte aux jours de Minuit :
1 -> pas de rapport évident entre la traditionnelle cérémonie du défilé du 14 juillet avec les aventures amoureuses du présent président.
2 -> mais un lien certain entre La Callas et l’affaire Calas.
Passou dit: 12 juillet 2016 à 20 h 09 min
J’accepte volontiers, Widergänger. On en reparle après la rentrée.
Oh oui! S’il vous plait…
Hurkhurkhurk.
Je re-men-vais,
Salut,
D. dit: 14 juillet 2016 à 14 h 46 min
Remarquez qu’il n’y en a sans doute plus pour longtemps. s’agissant de la Cour des Comptes, Hollande a dit « qu’il en était vite parti. Il sait « vite partir », c’est un bon point pour nous. Ensuite, on n’en parlera jamais plus.
Au Désert, même un athée sent et ressent la fin des hommes et le commencement de Dieu. (Ozymandias)
Moi qui ai passé quarante ans au Sahara, je n’ai jamais ressenti ça.
Joxe, ex de la Cour des comptes entre autres, qui règle ses comptes à Hollande sur le dos de Rocard (Mediapart, 7 juillet, conclusion) :
« Michel Rocard, et beaucoup d’autres serviteurs de l’Etat, nous avons été conduits à la politique par nécessité civique. Non pour gagner notre pain, mais pour être en accord avec notre conscience, nos idées, nos espoirs. Les exemples contemporains de programmes électoraux trahis, oubliés ou reniés, de politiciens avides de pouvoir, mais non d’action, « pantouflant » au besoin en cas d’échec électoral pour revenir à la chasse aux mandats quand l’occasion se présente, tout cela est à l’opposé de ce qui anima, parmi d’autres, un Rocard dont beaucoup aujourd’hui encensent la statue mais tournent le dos à son exemple en détruisant des conquêtes sociales pour s’assurer d’incertaines « victoires » politiciennes, contre leur camp, contre notre histoire, contre un peuple qui n’a jamais aimé être trahi »
@MCourt.
Proust a rencontré Edmond de Goncourt en 95 chez les Daudet. Il a donc pu se faire une idée du personnage. Lettre intéressante in Lettres à Reynaldo Hahn (p. 41-43), Gallimard 1986.
Tiens, Trissotin est encore là
Hon peut pas lui mettre des tuyaux de douche dans la tête, vu attendu qu’on se hurle à se tuer qu’on en est déjà aux calculateurs en matière vivante…
Par exemple le PC de la maison faudra pas le mettre sur roulettes comme la lessiveuse, sans quoi on l’installe dans le bureau on le retrouve en train de se rincer au salon !
Joxe est un vrai grand serviteur de l’Etat. Il y aurait toute une génération -et même au-delà- à mettre au rencart à droite comme à gauche. Ils ne veulent pas disparaître mais c’est inéluctable. Ou c’est la démocratie qui disparaîtra : premiers signes les déclarations « censitaires » de Minc, de Fillon, cet apprenti dictateur en pot de rillettes, et de Cohn-Bendit.
un peuple qui n’a jamais aimé être trahi (Joxe)
C’est le genre de formule aussi vide que ronflante. Qu’est-ce que c’est d’abord qu’un « peuple », s’agissant notamment des populations mêlées qui vivent dans les limites du territoire appelé « France » ? On peut légitimement supposer que ce que les uns ressentent comme une trahison est accueilli par d’autres comme une divine surprise. Les exemples historiques de ce clivage sont innombrables. Les uns et les autres font pourtant partie du même « peuple » (à moins que l’entité nommée « peuple », encore une fois, n’existe pas, le mot n’étant utilisé que pour désigner plus rapidement et sous réserve d’examen, l’agglomérat d’individus vivant sur le territoire baptisé « France ».).
Quant à ce pauvre Macron, d’après certains journalistes « il est en route vers la victoire » avec ses 3000 supporters -dont la moitié au moins, comme parait-il ses « marcheurs »- étaient probablement des figurants. C’est la « victoire » racontée aux enfants. On cherche désespérément un candidat susceptible de ne pas mettre le pays à feu et à sang.
Chaloux, le défilé des maoris par douze degrés m’a rappelé un passage d' »hiver caraïbes ».
C’est après la visite de Proust que les Goncourt ont consigné dans leur journal leur opinion sur l’âpreté au gain inversemment proportionnelle au plaisir sexuel. On rigolait bien dans le grenier du Jules.
javert, puisque tu poses la question, ce lien-là:
http://www.leseditionsdeminuit.fr/livre-La_Nuit%C2%A0-2518-1-1-0-1.html
a un peu à voir, de loin, avec le roman « Golem », t’wa.
C’est pour ceux qui préparent un happening sur Frankenstein.
C’est pour après la rentrée, tu suis pas.
Phil, je viens de charger le break d’une grosse cantine de livres, bien arrimée pour éviter d’être écrasé par tout ce bavardage imprimé au premier coup de frein. Le Journal des Goncourt est du voyage. C’est parti pour un temps hors du temps, sans lequel il me serait bien difficile de vivre. Dans les Carnets du Grand Chemin, Gracq compare le silence de la Bourgogne (Montsauche-Lormes-Clamecy) à celui de l’Ardenne (p.33), et c’est sans doute pourquoi j’aime tant l’une et l’autre. Plus rien que le grand murmure des bois.
A bientôt,
LDVB je vous répondrai que nous n’avons pas gardé les enfants ensemble et que vos pré-supposés me concernant relèvent d’une familiarité aussi inconvenante que les info qui pourraient être mises en ligne seraient sans doute compromettantes pour vous et votre groupe inféodé à des pratiques relevant d’un autre âge ou d’une psychopathologie autrement plus malfaisante que celle que vous insistez à vouloir me voir endosser. Tout mon mépris vous accompagne et je vous souhaite bien du plaisir.
BàV.
Et Passou il est pas encore rentré de la garden-party ? Une touche halor…
Chaloux dit: 14 juillet 2016 à 16 h 12 min
le grand murmure des bois.
Je connais quelqu’un qui a voulu faire du camping sauvage dans les Vosges avec sa chacune comme en vrai de vrai ; à potron-minet il s’est réveillé terrorisé par les bruits de la forêt, direction la gare la plus proche où passe jamais rien pedibus cum jambis…
Je connais quelqu’un qui a voulu faire du camping sauvage dans les Vosges avec sa chacune
Depuis le territoire s’est vu éradiqué de ses prédateurs à l’exception du loup, du lynx et de l’ours. Mais je ne crois pas que les Vosges soient concernées par ce projet d’ailleurs remis en cause par les éleveurs.
bérénice dit: 14 juillet 2016 à 16 h 34 min
Depuis le territoire s’est vu éradiqué de ses prédateurs
On aurait encore des sangliers sur les hauteurs de Nancy. Un jour je voulais me débarrasser d’un quidam promptement l’immerger dans la Moselle ; pas besoin d’aller si loin me dit mon copain, tu mets ça en forêt de Haye les sangliers viennent travail parfait ! Ausgezeichnet…
Oui Chaloux, les Goncourt offrent une agréable lecture de vacances des temps engloutis, depuis les pets de nonnes mis en bouteilles jusqu’aux chambres d’hôtels sans lavabo dont les frérots ont la nostalgie.
Quelle activité! Quelle variété pseudonymique!
En passant
En revenant
En lisant…
Mais ne vous arretez pas! Il y a aussi:
En vieillissant.
En rabâchant.
En radotant…
la vie dans les bois dit: 14 juillet 2016 à 13 h 58 min
Ne reproduisez pas ici les âneries des présentations du livre de Wiesel faites par des ploucs.
Auschwitz et Birkenau sont distant de 1 km à peine.
L’ancienne caserne polonaise devenue Auschwitz 1 et Birkenau qui est Auschwitz II, et l’usine de caoutchouc, la Buna, Auschwitz III.
Faut vous répéter combien de fois les choses pour que ça rentre ?
Elie Wiesel fut déporté d’abord à Auschwitz II (Birkenau où les Juifs étaient liquidés) et ensuite très vite (une semaine plus tard), déporté à Buchenwald avec son père qui y est mort.
Lanzmann citait, dans l’interview, l’écrivain Imre Kertèsz à charge contre Wiesel, mais il a été impossible de retrouver la citation exacte. Il ne me semble pas dans l’esprit de Kertèsz de taper ainsi sur un autre Juif…
Delaporte dit: 14 juillet 2016 à 17 h 46 min
Quel rapport avec le fait d’être juif ou pas ?
Si Lanzmann le dit c’est que c’est vrai.
C’est peut-être pas très élégant de l’avoir dit au moment où il l’a dit mais ce n’est pas de sa faute, on l’a sollicité, il a dit ce qu’il pensait. En plus il n’a fait que dire la vérité. Mais on n’aime pas les gens qui disent la vérité. La vérité fait mal.
« Si Lanzmann le dit c’est que c’est vrai. »
Lanzmann, comme tout le monde, peut se tromper.
En plus il n’a fait que dire la vérité
Faut-il comprendre que le transfert d’Auschwitz à Buchenwald ait pu être un traitement de faveur? Je trouve cette querelle un peu stupide.
http://www.jewishgen.org/ForgottenCamps/Camps/BuchenwaldFr.html
« Non pour gagner notre pain, mais pour être en accord avec notre conscience, nos idées, nos espoirs. » (Joxe)
Quand on est joxe, on est joxe !
Depuis le territoire s’est vu éradiqué de ses prédateurs à l’exception du loup, du lynx et de l’ours
y’avait des archéoptérisques et si béré le dit c’est que c’est vrai
Quand on est joxe, on est joxe !
ça fait pas grossir
Quel rapport avec le fait d’être juif ou pas ?
c’est dans l’deutéronome..bugner du goye ça compte pas..et pascal a dit ‘une fessée a sa soeur c’est pas pareil’..dracul quand qu’il dit quekchose c’est que des khonneries
« Elle est dure comme du marbre, revêche comme une ortie mais jolie comme une bonne année… »
Miguel de Cervantès (L’illustre servante).
Eh oui! Même l’illustre auteur de « Don Quichotte » faisait dans le genre arlequin !
Bouguereau, l’autre jour alors que je cherchais à me faire entendre d’un conseiller-vendeur, un couple bavard le retenait au delà de la vente qu’il venait de conclure et racontait une partie de leurs projets , m’approchant pour une 3 ème fois en essayant d’interrompre le fil passionnant de leur récit, la femme qui allait manifestement rompre le fil et prendre congé remit cela de plus belle avec une histoire de camping ajourné en raison du trop plein de réservations aussi m’emparai-je de l’argument pour lui vanter les joies du camping sauvage arguant qu’il n’y avait plus de loups et qu’on avait réussi à tuer Lucie et que Etretat dans ces conditions devait être un lieu de villégiature serein et sécurisé .
On n’a pas l’impression que votre cœur balance entre le cyborg et l’homme bionique, la machine métal et la reproduction du génome biologique. Alors, la peste et le choléra ?
Non, car je ne suis pas manichéen. Mais j’aime la chair ! Je place mes espoirs dans la biologie si elle permet de traiter des maladies génétiques. Mais je reste circonspect car, dès qu’il y a technologie, il y a risque de démesure. Ce qui m’inquiète le plus, c’est la disparition du symbolique. Si on laisse faire la technologie et qu’elle se coupe des sources du langage, l’hégémonie sera plus radicale ; rien ne m’inquiète comme de voir la technologie condamner le langage comme source de toutes les misères, et les technophiles substituer un univers de signaux à un univers de signes.
Je ne suis pas manichéen non plus et manipule avec précaution les technologies qui prétendent se substituer aux signes, des gestes ; la masturbation est une maladie grave
https://www.youtube.com/watch?v=0XRL6S7qrx8
Quittons nous sur un constat !
Vous dites à des gosses turbulents, le soir au coucher :
« La technologie ne doit pas se couper des sources du langage » … Ils s’endorment illico.
Merci qui ? …. merci Besnier ! C’était dans notre rubrique : A quoi servent les philousophes …
A la savonneuse marseillaise de Gainsbourg, j’aime mieux la sautillante et muette version de Grappelli et Reinhardt … Le coup d’état permanent
Les grandes vacances m’appellent.
Faire le lézard sur la plage et lire ou relire des classiques sous le soleil entre autres activités estivales, telle sera ma vie pendant les semaines prochaines.
A septembre prochain.
Bonnes vacances à tous et à toutes.
Ozy,
Je souhaite qu’un requin suicidaire te bouffe et crève d’indigestion … Bonnes vacances !
Ozizi sept semaines de vacances…mazette, c’est pas le brexit qui vous perturbe. Heureusement qu’il reste des pougneurs comme le prestigieux passou pour tenir le comptoir.-sans oublier le capitonné Attali qui fait des allers-retours sur krypton pour causer avec superman.
Tiens, c’est étrange, entre 11h27 et 16h18, ce14 juillet, il semblerait que l’erotomane qui signe berenice ait perdu toute velléité de proposer la botte à M. Ameisen. Qu’elle trouvait pourtant à son goût.
Pour se cacher derrière des enfants ?
Quel courage, didon. Je ne pensait pas relevée les filets ce soir, avec une grosse morue dedans. Comme quoi tout arrive.
Concernant « Nuit » de Elie WIESEL, je vais le prendre pour led vacances.
Il a dit deux choses, uniquement, qui importent. Que ce livre est le seul qui lui importe et qu’il aurait préféré serrer la main des personnes dont Lanzmann a fait un film. Pour voyeurs comme le poltergeist.
Il dit dans ce livre des choses qui me rappelle un peu le témoignage de Magda Hollander.
Et on m’appelle, toujours un peu late, je suis.
Non, s’agissant de la Shoah, Lanzmann ne se trompe jamais. Ce serait trop grave de se tromper.
Lanzmann se trompe un peu, notamment lorsqu’il invente une citation de Kertész, que personne ne retrouve. Tout ça ne tient guère debout.
bérénice dit: 14 juillet 2016 à 18 h 20 min
Ni l’un ni l’autre. Ce sont simplement les faits historiques sans aucun jugement de valeur.
Desnos, qui n’était pas juif, a eu un parcours similaire ; il est arrivé lui aussi à Birkenau et n’y est resté qu’une semaine pour ensuite aller à Buchenwald. Ensuite il a échoué à Teresienstadt (Terezin, près de Prague) où il est mort le 8 juin 45. Quelle est la logique là-dedans ? Personne n’en sait rien, sinon une logique de destruction massive.
Que vous n’avez pas retrouvé, nuance !
Pas le temps de corriger, petit écran, petit clavier, sorry.
« Que vous n’avez pas retrouvé, nuance ! »
Si vous la retrouvez, faites-nous-en part ! Un journaliste de « L’Obs », je crois, a fait la même recherche, et n’a rien trouvé non plus. Cette citation n’existe que dans la tête de Lanzmann.
Quand besnier proclame : »j aime la chair « ca flanque la trouille, on sent le cannibale qui sort dans la clairière ou le frustré qui à fait le mur de son unité psychiatrique
Qu’est-ce que c’est encore que ces bêtises, Bérénice ? Vous me faites honte.
Il n’y a jamais eu d’ours dans les Vosges.
Vous savez que j’ai toujours eu un certain attachement pour vous, Bérénice, mais si c’est balivernes sur balivernes, je vais être contraint de prendre mes distances et je le ferai à grand regret mais contraint, soyez en certaine.
Moi aussi, j’aime la chair, Paul. Je ne m’en suis jamais caché. Suis-je fou pour autant ?
Un énorme steak tartare me comble totalement, par exemple.
Par contre, on a retrouvé une interview de Kertész en 2005 dans « L’Express », qui déclarait à propos de Wiesel ceci :
«J’ai lu ‘la Nuit’ d’Elie Wiesel il y a très peu de temps seulement, puisque le livre, écrit en 1960, était introuvable en Hongrie. En le lisant, j’ai eu un choc: j’ai découvert que nous étions ensemble à Buchenwald.»
Et Kertész de conclure :
«Wiesel m’impressionne beaucoup.»
Pour se cacher derrière des enfants ?
LDVB entre personnes bien éduquées je n’allais tout de même pas vous gratifier de la formule originale, je tentais d’adapter mon verbiage à la prestance du salon. Je ne me cache pas derrière les enfants pas plus que derrière ma bibliothèque et je note que vos insinuations sont à la mesure de votre bassesse fourbe et malhonnête, ne dit-on pas que le menteur est le premier à croire en ses mensonges s’il cherche des émules? . Question morue vous qui êtes souvent si salée peut-être vous auriez-vous dû y penser avant que La Métamorphose qui vous est chère s’installe définitivement dans vos rayonnages, il me semble que c’est malheureusement un peu tard pour vous d’y penser. Je fais référence à Kafka qui vraisemblablement sans situations labyrinthiques nous aurait épargnés de son » Procès », l’Homme est coupable quoiqu’il ait fait, c’est rassurant, n’est-ce pas?
Pour OZY qui part en vacances:
L’alter ego le plus connu de Picasso est l’Arlequin, personnage mystérieux d’origine classique associé au dieu Mercure et à l’Alchimie. Arlequin avait le pouvoir de devenir invisible et d’aller instantanément dans n’importe quelle partie du monde; il portait d’étonnants déguisements que l’on disait offerts par Mercure. On disait aussi que les secrets de l’Alchimie auraient été trouvés au travers de l’ Arlequinade.
Un des Arlequins du peintre/
http://media3.picsearch.com/is?4wHbDktsl-jhw-iqSDKO8qwKc6Tp35Jf3kN_1sjCt9w&height=320
Chaloux, je trouve horrible cette expression « cantine de livre ».
Il y avait des montreurs d’ours dans les Vosges alsaciennes, dédé. Sans compter les nombreux couvents d’Ursulines. Lanzmann a debuté dans le reportage de crimes sensationnels. En lorraine, pas très loin des Vosges, terribles meurtres années 50 dont il rendit compte avec une certaine complaisance.
Bérénice, il n’y a pas en Alchimie « des secrets » mais un seul. Et ne comptez pas sur moi pour vous en parler, cela strictement interdit : Savoir, Vouloir, Oser, Se Taire.
Mais c’était au 18ème siècle, fifi. On est au 21ème, loulou.
Cantine de livre, ça a un côté alimentaire horrible, genre briques de soupe Royco et paquets de nouilles Panzani.
Quel courage, didon LDVB
Sûrement en faut-il un de la sorte pour en abuser ( des enfants hein, pas du courage) ou les violer, mais vous savez cela puisque vous aussi n’en manquez pas.
Je ne parviens pas à comprendre pourquoi autant de commentateurs et commentatrices veulent parler d’autant de sujets différents.
A la fin, on ne sait plus où on en est. Au moment où je vous parle, je ne sais plus où on en est, du steak, des morues, des ours, de Mercure, des loutres, à qui, à quoi, et comment, et pourquoi et quand et tutti quanti.
No small talk avec la chabot de 21h09.
______________
Chez Lanzmann, demandez le frère. Un good trip.
Hop cette fois, je dois filer.
La chabot vous répond qu’étant donné l’incompatibilité essentielle existante entre une malhonnêteté couverte et une honnêteté à découvert elle préfère encore l’honnêteté qui n’oeuvre pas uniquement à ce pour quoi on la paie et ne tente pas de recouvrir d’un palimpseste infini des crimes qu’elle n’a pas commis . Bonnes vacances et boissons frappées.
Qu’est-ce que c’est encore que ces bêtises, Bérénice ? Vous me faites honte.
Il n’y a jamais eu d’ours dans les Vosges.
Ellipse, D, j’évoquais la réintroduction de ces espèces dans d’autres régions que les Vosges où j’ai séjourné à plusieurs reprises en été en hiver et en automne, belle région avant les tempêtes qui ont décimé ses massifs, plaisir du ski de fond, beauté du lac et mystère de ses sombres forêts de sapins, des fermes auberges perdues où il faisait bon se réchauffer en goûtant à ces fameuses tourtes de pomme de terre.
D pensez vous qu’aucun sitting ne soit possible avant plusieurs semaines et qu’enfin il soit permis de se rouler dans l’herbe en riant comme des fous?
Phil dit: 14 juillet 2016 à 21 h 23 min
Il y avait des montreurs d’ours dans les Vosges alsaciennes
Houi et puis bon quand on voit un Vosgien déambuler dans Nancy y a pas de blanc bonnet, hein… Ils sont essetrêmement reconnaissables mais faut pas leur donner de cahuètes !
Somptueuse pyrotechnie au Trocadéro à l’instant. Moins de crépitantes, plus d’arbres de noël montants ou descendants le long de la tour. Vue d’un balcon de la banlieue, un moment magique et inoubliable.
Michel nous l’a dit, ces jours derniers, et tout le monde ou presque l’a raillé…il disait que nous plongeons dans le malheur absolu:
Ce soir ,un attentat au camion fou qui a foncé sur la foule réunie ç Nice sur la Promenade des Anglais. Des dizaines de morts…L’ÉPOUVANTE…..
..erguenzinc dit: 15 juillet 2016 à 0 h 22 min
Michel nous l’a dit, ces jours derniers,
Sinistres clowns
La mosquée de Nice risque d’ avoir du plomb dans l’aile…
Jean Langoncet dit: 15 juillet 2016 à 0 h 26 mi
sinistre pousse-mégot
erguenzinc dit: 15 juillet 2016 à 1 h 46 min
Jean Langoncet dit: 15 juillet 2016 à 0 h 26 mi
sinistre pousse-mégot
Ouais; bien vu, pour un professeur des écoles et ses rejetons de l’enseignement supérieur
https://www.youtube.com/watch?v=0XRL6S7qrx8
La technologie étend l’homme, là où la religion le rétrécit, en appelant au pire.
Il y a des Français qui, un jour de fête nationale, foncent dans une foule en camion… Etrange idée !
Gardons nous de tout amalgame ! Les camionneurs ne sont pas tous des assassins…
Ce merveilleux peuple de France est souvent, pour ne pas dire toujours, en retard d’une guerre. Contre une guérilla terroriste de Français contre Français à la kalach ou au camion-bélier … on sort le porte-avions CHARLES DE GAULLE !
Après un an et demi de déni et de dérobade, le grotesque pgàl consent depuis deux jours à ne plus parler de « dache » mais de « terrorisme isl…iste ».
pgàl= petit gros à lunettes
La peste verte sera plus difficile à éradiquer que la peste brune !
Comme un goût amer de l’été 2016…
@JIBÉ
Absolument d’accord, car on chercherait en vain, une volonté internationale comme « les Alliés » jadis. Et puis , certaine complaisance , n’est-ce pas, envers certaine religion moyenâgeuse, sous prétexte de tolérance et de « muticulturalisme » rappelle furieusement la même complaisance devant Hitler.
Lutter, en démocratie occidentale, contre une minorité d’assassins qui tuent leurs propres compatriotes au nom d’une culture de la mort, cela ne sera pas facile, tant la « Justice » défend des concepts en un temps où il faudrait défendre des innocents contre des barbares.
C’est le moment de revoir « Le Camion » de Marguerite Duras.
Honneur au jeunes Tunisien serviteur d’Allah ! Mécréants, vous paierez très cher vos offenses répétées à la vraie foi ! Allah Aqbar !
Ne jouons pas sur les mots, mais il me semble que le terme « cancer vert » est plus représentatif de ce qui attaque nos sociétés, que la « peste brune » à l’ancienne…
Charles,
Ce Tunisien est Français
J’ai lu « franco-tunisien » sur le net. Si vérifié, Charles et JC ont tous les deux raison.
Un peu plus de deux heures à consacrer à l’écoute de ce remarquable entretien :
Hier soir, au moment de l’attentat de la Promenade des Anglais, je dinais à Paris avec ma nièce, étudiante en Histoire à Nice où elle prépare le Capès !
Elle m’a dit qu’à la rentrée, d’après la réforme Belkacem, l’arabe serait enseigné, dès les classes primaires dans les écoles françaises ! Cela me parait incroyable ? Intégration ou soumission galopante !
https://reporterre.net/Soutenu-par-Macron-Attali-et-Juppe-un-minier-russe-s-apprete-a-saccager-la
ÇA AUSSI, C’EST DU TERRORISME, BON DIEU DE B.BORDEL DE M;ERDE !!!!!!
https://fr.sott.net/article/28296-Theorie-du-desengagement-moral-un-peu-de-folie-contagieuse
En attendant, je me suis précipité sur le téléfon pour appeler ma fille, qui habite Cannes. » Je ne pense pas que tu était à Nice hier soir, mais tout de même, rappelle-nous, pour nous rassurer » …Cruelles contradictions. Allah au bar !
1114
commentaires