Epigraphes de rentrée
On ne le dira jamais assez : l’épigraphe d’un roman (qui n’est pas une exergue, contrairement à une idée répandue, car celle-ci est juste une inscription en tête d’un ouvrage) est un ambassadeur et un chevau-léger. Elle donne le la. C’est souvent ce qu’on lit en premier bien que ce paratexte ne soit justement pas de l’auteur. Il engage l’auteur plus qu’on ne le croit, à supposer que celui-ci l’ait choisi avec soin, afin d’y synthétiser non sa pensée mais son état d’esprit au moment de la conception, du mûrissement et de l’achèvement de son monstre ; la précision vaut d’être formulée quand on en connaît tant qui ne placent deux phrases d’un fameux ou d’un obscur qu’à seule fin d’épater la galerie, de frimer.
Trop ostentatoire, l’épigraphe discrédite d’emblée l’auteur en le faisant passer pour un cuistre. Trop elliptique, il y a fort à parier qu’elle ratera son objectif (ah ! ces auteurs qui ne traduisent pas ! sauf à croire qu’ils ne veulent être entendus que de quelques uns, cela m’est arrivé mais enfin, avec de l’anglais non traduit, on ouvre généreusement le spectre des happy few…). Trop longue, elle court le risque de n’être pas lue. Trop multipliée, elle est sûre de voir son effet annulé par la concurrence. Frédéric Beigbeder a fait très fort cette année dans le genre tarabiscoté (voir ci-dessous le barde anonyme du XVIème siècle).
Les meilleures donnent envie de se reporter aussitôt non au livre qu’on tient entre les mains mais à celui dont la citation est extraite. Certains préfèrent ne rien mettre ; d’autres, dans un accès d’immodestie, se citer eux-mêmes ; d’autres enfin rechercheront une manière d’adoubement en se plaçant sous le patronage d’un grand esprit, lequel n’en peut mais, ce dont l’auteur se défendra en invoquant l’hommage à un classique admiré. Il en est qui en mettent tant, excédant les trois auteurs cités qui paraissent d’ordinaire un maximum, que ce n’est plus un hommage mais une rafle.
La citation peut se placer entre guillemets, ou en italiques mais c’est l’un ou l’autre. Parfois, l’osmose est telle qu’on a envie d’applaudir à cette fusion-acquisition : un modèle du genre demeure l’une des épigraphes de chacun des chapitres de la Société du spectacle, moins pour la phrase que Guy Debord avait choisie (« Nous n’avons rien à nous que le temps, dont jouissent ceux mêmes qui n’ont point de demeure”) que pour la qualité de son auteur, Baltasar Gracian, et l’influence par lui revendiquée de son traité sur L’homme de cour. Tant il est vrai qu’une épigraphe réussie, c’est à dire bien choisie, gouverne et irradie le livre qu’elle annonce. En cette rentrée 2014, à Aurélien Bellanger revient la palme de l’épigraphe la plus brève :
« Reviens, Robot ».
Et à Eric Reinhardt celle de la plus interminable :
« Je demeurai comme charmé, durant près d’une demi-minute à contempler ce féérique spectacle… Me sentant bien asséché de la route, j’éprouvai, malgré moi, -je l’avoue,- une attirance vers le ténébreux enchantement de cette onde ! Sans mot dire, je me dévêtis, posai mes vêtements à côté de moi, presque au niveau de l’étang, et, ma foi,- j’y pris un bain délicieux,- éclairé par la complaisance de l’hôtelier, qui me considérait d’un air de stupeur soucieuse, concentrée même… car, vraiment, à présent que j’y songe, il avait des expressions de figure incompréhensibles, ce brave homme ». Villiers de L’Isle-Adam, « L’Agrément inattendu », in Histoires inédites
Certes seul le citateur sait pourquoi il s’y est reconnu ; mais l’on évitera de faire aussi long car l’intérêt du lecteur faiblit au bout de deux phrases et il faut se garder de raconter une histoire là où le lecteur ne recherche qu’une pensée, l’aboutissement d’une réflexion, sa brillante synthèse, voire tout simplement une formule.
Certaines épigraphes mériteraient de figurer dans une anthologie ; un Québécois en tient registre sur la Toile en lui dédiant un site ; par son moteur de recherche, on y découvre par exemple, au hasard, que Jacques-Pierre Amette avait trouvé l’épigraphe de son roman Les deux léopards dans un texte de son cher Botho Strauss. On se souvient peut-être de celle du Rouge et le Noir trouvée sous la plume de Danton (“la vérité, l’âpre vérité”) ou de ce que Sartre citait Céline en tête de La Nausée. Certains ont le don de citer à seule fin de redresser une citation fameuse trop malmenée : ainsi le mot de Buffon qui n’est pas « Le style, c’est l’homme » mais « Le style est l’homme même ». La fidélité dans la citation est la moindre des choses. Ce qui n’a pas empêché il y a quelques années Yannick Haenel de renverser le sens d’un vers de Paul Celan en épigraphe de son Jan Karski en le traduisant à sa manière pour servir son propos quitte à trahir le sens que le poète lui avait donné.
La Bible fait toujours recette en toutes saisons. C’est probablement le livre dans lequel les auteurs puisent le plus. A la bourse des citations, Pascal fait toujours bonne figure malgré le vertige. Ce qui est tout de même moins énigmatique que les citations anonymes (« Ces traces de neige sur la neige, qui les distinguera ? ») Pour vous donner un avant-goût de ce qui vous attend à la rentrée, florilège suit :
« C’est une chose grave que d’être toujours à deux ».
Friedrich Nietzsche
« La cité des hommes, jadis une enclave à l’intérieur du monde non humain, se répand sur la totalité de la nature terrestre et usurpe sa place […] un appel muet qu’on préserve son intégrité semble émaner de la plénitude du monde de la vie, là où elle est menacée. »
Hans Jonas, le principe de responsabilité.
« One day I know/ We’ll find/ A place of hope/ Just hold on to me/ Just hold on to me. »
PJ Harvey, A place called home
« Il existe un rendez-vous tacite entre les générations passées et la nôtre. Nous avons été attendus sur la terre. »
Walter Benjamin, Sur le concept d’histoire
« L’homme est conduit, lorsqu’il croit se conduire, et pendant que par son esprit il vise à un endroit, son cœur l’achemine insensiblement à un autre ».
François de La Rochefoucauld, Maximes
« Nous sommes devenus des épines dans les yeux des autres »
Rose Ausländer
« Ce qui, vivant, ne vient pas à bout de la vie, a besoin d’une main pour écarter un peu le désespoir que lui cause son destin »
Kafka, Journal, 19 octobre 1921
« Vigila el mar, vigila les muntanyes/ Pensa en el fill que duus a les entranyes. »
« Surveille la mer, surveille les montagnes,/ Pense au fils que tu portes dans tes entrailles. »
Pere Quart (Poète catalan)
« Quant au Soleil, il repose au milieu de toutes choses. En effet, dans ce temple suprêmement beau qu’est le monde, qui choisirait de poser ce luminaire dans un lieu autre ou meilleur que celui d’où il peut illuminer le tout simultanément ? »
Copernic
« La scène n’était pas exempte de cette horreur profonde et comme religieuse que le spectacle de la culpabilité et de la honte d’un des leurs éveille chez les hommes avant que la société devienne assez corrompue pour que pareil spectacle fasse sourire au lieu de frémir »
Nathaniel Hawthorne, La Lettre écarlate
« Vous êtes de faux nègres, vous maniaques, féroces, avares. Marchand, tu es nègre ; magistrat, tu es nègre ; général, tu es nègre ; empereur, vieille démangeaison, tu es nègre : tu as bu d’une liqueur non taxée, de la fabrique de Satan »
Arthur Rimbaud, Une saison en enfer
« Au-delà du texte écourté, lacunaire, que chacun gribouille comme il peut, dans son coin, la lueur fugace, énorme, de la syntaxe générale »
Pierre Bergougnioux
« Etouffons, étouffons une ardeur détestable ;/ Ou bien mourons, avant que d’être plus coupable./ Mais que mon frère, au moins, en me fermant les yeux,/ Joigne une dernier baiser à des adieux ».
Ovide, Les Métamorphoses
« Nous courons sans souci dans le précipice, après que nous avons mis quelque chose devant nous pour nous empêcher de le voir »
Blaise Pascal, Pensées
« Quelque part, je suis étranger par rapport à quelque chose de moi-même ; quelque part, je suis « différent », mais non pas différent des autres, différent des « miens » : je ne parle pas la langue que mes parents parlèrent, je ne partage aucun des souvenirs qu’ils purent avoir, quelque chose qui était à eux, qui faisait qu’ils étaient eux, leur histoire, leur culture, leur espoir, ne m’a pas été transmis. »
Georges Perec, Ellis Island
« Non, ce n’est pas moi. C’est quelqu’un d’autre qui souffre. Moi, je n’aurais pas pu souffrir autant »
Anna Akhmatova, Requiem
« Oh ! oui, c’était ainsi, la vie de cet enfant avait été ainsi, la vie avait été ainsi dans l’île pauvre du quartier, liée par la nécessité toute nue, au milieu d’une famille infirme et ignorante, avec son jeune sang grondant, un appétit dévorant de la vie, l’intelligence farouche et avide, et tout au long un délire de joie coupé par les brusques coups d’arrêt que lui infligeait un monde inconnu »
Albert Camus, Le Premier homme
« Kai jas ame, Romale ?/ Où allons-nous, Roms ?
N’avlom ke tumende/ o maro te mangel/ Avlom ke tumende/ Kam man pativ te den/ Je ne suis pas venu à toi/ Pour mendier du pain,/ Je suis venu à toi,/ Te demander de me respecter. »
(anonyme)
« Ne demande jamais ton chemin/ à celui le connaît. Tu risquerais/ de ne pas t’égarer »
Rabbi Nahman de Bratslav
« Il faut attendre que le sucre fonde »
Bergson
« Tels des sauvages qui ont bu à perdre la raison et, dédaignant la parole, braillent tous les à la fois, en pleine folie, durant des heures, ainsi, à mes oreilles, ces brisants funestes hurlaient contre Aros dans la nuit »
R.L. Stevenson, Les Gais Lurons
« La tête de poisson ricane/ entre les plis du chat crevé qui gonfle/- vert ou mauve ?- Le poil, couleur/ d’écaille, est misérable, colle »
Saint-John Perse, Eloges
« Un de mes rêves serait d’aller au cœur de notre planète Terre pour y chercher de l’uranium, des rubis et de l’or, et puis des monstres à l’état pur. Après, j’irai vivre à la campagne. Florie Rotondo, huit ans. » Florie, ma chérie, je comprends parfaitement ce que tu veux dire – même si toi tu ne le comprends pas : comment le pourrais-tu, à huit ans ? Parce que j’y suis allé, au cœur de notre planète, ou en tout cas j’ai enduré les tribulations de ce genre de voyage. J’ai cherché de l’uranium, des rubis, et de l’or (…) Ecoute, Florie, j’en ai rencontré des monstres à l’état pur ! Et aussi moins pur (…) La seule chose que je n’aie pas faite, c’est d’aller vivre à la campagne »
Truman Capote, Prières exaucées
« Les pères craignent que l’amour naturel des enfants ne s’efface. Quelle est donc cette nature sujette à être effacée ? »
Pascal, Pensées
« SA(U)VA(G)EMENT »
Jean-Jacques Schuhl, Télex No1
« Celui qui aujourd’hui ne se retire pas entièrement de ce bruit et ne se fait pas violence pour rester isolé est perdu »
Goethe, Entretiens avec Eckermann
« Elle était du nombre des femmes folles. Contrairement à la dignité royale, elle fit peu de cas des lois du mariage, et elle oublia le lit conjugal »
Guillaume de Tyr (XIIème siècle)
« Il aimait la reine avec fougue, et pour ainsi dire à la manière d’un enfant »
Jean de Salisbury (XIIème siècle)
« Voyez, seigneurs,/ Mon corps n’est-il pas délectable ?/ Et le roi disait que j’étais diable ! »
Philippe Mouskes, évêque de Tournai (XIIIème siècle)
« Are we going to Searborough fair ?/ (War bellows blazing in scarlet battalions)/ Parsley, sage, rosemary and thyme/ (Generals order their soldiers to kill)/ Remember me to one who lives there/ (And to fight for a cause they’ve long ago forgotten)/ She once was a true love of mine »
Barde anonyme du Yorkshire, XVIème siècle (Les paroles antimilitaristes, entre parenthèses, furent ajoutées par Paul Simon en 1966)
« Et qui suis-je ? Qu’un atome dans un rayon ? »
Joseph Joubert, Carnets
« Le bourreau a prise sur tout en moi, excepté sur mon pouvoir de changer tous les supplices en apothéose »
Marcel Jouhandeau, De la grandeur
« A la fin, la littérature se devait de plaider coupable »
Georges Bataille, La Littérature et le Mal
« I have only slipped away into the next room ».
Henry Scott Holland, Death Is nothing at all.
« Si peu de nous est en nous qu’il faut bien que le reste soit quelque part. »
Crommelynck, La Jeune Fille folle de son âme.
« Je ne sais quel lointain y baigne toute chose./ Ainsi que le regard l’oreille s’y repose,/ On entend dans l’éther glisser le moindre vol ;/ C’est le pied de l’oiseau sur le rameau qui penche,/ Ou la chute d’un fruit détaché de la branche/ Qui tombe du poids sur le sol. »
Lamartine
« La Terre était déserte et vide et les ténèbres à la surface de l’abîme »
Genèse, i, 2.
« Pour parler clairement et sans paraboles, – Nous sommes les pièces du jeu que joue le Ciel ; – On s’amuse avec nous sur l’échiquier de l’être, – Et puis nous retournons, un par un, dans la boîte du Néant. »
Omar Khayam, Les Quatrains, XCIV
« L’homme a une inclination à s’associer, parce que dans un tel état il se sent plus qu’homme […] poussé par l’appétit des honneurs, de la domination et de la possession, il se taille une place parmi ses compagnons qu’il ne peut souffrir mais dont il ne peut se passer. »
Emmanuel Kant, Idée d’une histoire universelle au point de vue cosmopolitique.
« L’homme est un loup pour l’homme. »
Plaute, La Comédie des ânes.
« Mais les gens s’acharnent sur les paresseux. Tandis qu’ils sont couchés, on les frappe, on leur jette de l’eau fraîche sur la tête, ils doivent vivement ramener leur âme. Ils vous regardent alors avec ce regard de haine, que l’on connaît bien, et qui se voit surtout chez les enfants ».
Henri Michaux, Mes propriétés
« Aucun de nous ne sait combien d’innocence il a trahi »
Graham Greene, L’Agent secret
« Ne me secouez pas, je suis plein de larmes. »
Henri Calet, Peau d’ours.
« Malheur à vous, riches. »
Luc, 6, 24.
« When the legend becomes fact, print the
legend »
The Man Who Shot Liberty Valance, 1962
« …oggi sono venuti da me diversi da Castelnuovo, ed altri luoghi raccontendo di avere veduti de Corsi ne boschie e chiedendomi riparo per la loro sicurezza. Ho procurato di fargli animo ma la paura, e l’immaginazione sono difficili a vincersi »
Lettre au Signore Siminetti, Segreteria Civile, livourne, 1773 (Archivio di Stato di livorno).
« Les gens ne croient pas qu’une fille de quatorze ans puisse quitter sa maison pour aller venger la mort de son père en plein hiver. Cela ne semblait pas si étrange, alors, mais j’admets que cela n’arrivait pas tous les jours. »
Charles Portis, True Grit, 1968.
« ¿De qué temes, cobarde criatura? ¿De qué lloras, corazón de mantequillas? »
Cervantes (Don Quijote, II, 29)
« Le réel, ce vaste abattoir des illusions… »
François-Olivier Rousseau, Projection privée
(Photos Martin Parr et Passou)
1 172 Réponses pour Epigraphes de rentrée
pour rendre l’ascenseur….
« C’est une chose grave que d’être toujours à deux ».
Friedrich Nietzsche
vous auriez traduit par « c’est une grosse chose que d’être toujours à deux »? plutôt que « c’est une chose grave d’être toujours à deux »?
on aurait pu traduire aussi par lourde, ou lourdingue : « c’est une chose lourdingue d’être toujours à deux ».
en fait ça dépend avec qui vous êtes marié.
Nietzsche lui il s’en foutait vu qu’avec les femmes il n’a jams pris autre chose que des râteaux.
d’où son expression toujours dans Zarathoustra : « philosopher au râteau ».
vous saviez que ça venait de là ?
pas évident de relever le niveau intellectuel de ce blog.
parfois je me sens un peu seul.
envoyeR, Clopine. Attention à l’orthographe.
J’ai trouvé !
» L’impotent bouguereau prend un bain de caca
Qu’arrose abondamment l’incontinent Ueda,
Se lâchant sans pudeur depuis le pont d’Orbieu,
A Lagrasse, où Passou se caresse le noeud !
c’est d’ailleurs une chose étrange de penser que Nietzsche n’a dans sa vie pris que des râteaux avec les femmes alors que ses disciples sont tous des tombeurs – je le sais ma femme est partie avec un Nietzschéen alors qu’elle ne m’aurait quitté pour partir avec Nietzsche !
ça fait parti des mystères de la philo.
mais je crois qu’il l’a écrit quelque part, comme quoi sa pensée servirait à d’autres pour faire des trucs qu’il n’a jamais pu faire lui-même.
Je sais que je vais en choquer certains, mais prendre le point de vue d’un Blaise Pascal pour savoir si, aujourd’hui, le divertissement est perversion, perte de temps, ou sagesse ultime … Beurck !
Blaise est un vieux crouton dévot ! Laissez mois quelques décennies à vivre sot et loin de Dieu, ce trou de Baal.
Message personnel
« Une de perdue, cent de retrouvées »
Musique !
» L’impotent bouguereau prend un bain de caca
Qu’arrose abondamment l’incontinent Ueda,
Se lâchant sans pudeur depuis le pont d’Orbieu,
A Lagrasse, où Passou se caresse le noeud !
Il me reste à introduire Dante et Virgile descendant l’Orbieu sur un flot de merde, et ça devrait le faire. Je pourrais aussi peindre Hamlet et Barozzi dévorant leurs étrons, et Ugolin pourrait aller se rhabiller.
Vidangeur,
Sans rapport avec cette agressivité désespérée qui vous anime : vous avez visité la morgue de Gaza ? BàV…
quoi ? bouguereau est mort et MCourt vit encore ??? j’ai point vu les épigraphes merdalors
« Dale a tu cuerpo alegria Macarena »
à celui de l’Orbion, pour qu’il comprenne un peu
Vous avez un champion?
Enfer
« Matteo Renzi a fait forte impression, par ses discours et par ses actes, depuis son arrivée au pouvoir il y a un peu moins de six mois en Italie. Mais la Renzimania suscitée par le « matador » de Florence dans toute l’Europe pourrait déjà prendre fin: l’annonce mercredi matin par l’Insee italien (Istat) du retour de la récession dans son pays a douché les espoirs de la Bourse milanaise. Et renforcé les craintes d’un nouveau trou d’air en zone euro, accrues par les tensions en Ukraine. Le salut viendra-t-il de Berlin?
Angela Merkel a adressé une fin de non recevoir à la demande de François Hollande d’une inflexion de sa politique pour contrer le risque de déflation en Europe: « Les déclarations très générales en provenance de Paris ne fournissent aucune raison pour de quelconques corrections dans la politique économique du gouvernement allemand », déclare-t-on à la Chancellerie. On ne saurait être plus clair.
(Les Echos)
A french Pinocchio …
J’allais oublier JC !
» L’impotent bouguereau prend un bain de caca
Qu’arrose abondamment l’incontinent Ueda,
Se lâchant sans pudeur depuis le pont d’Orbieu,
Où JC se repaît des fèces de Clopine,
A Lagrasse, où Passou se caresse le noeud !
Quel tableau ! Je suis en pourparler avec les responsables de l’abbaye, pour le peindre à fresque sur les murs du cloître. On imagine le bonus touristique, pour un monument déjà très visité. TF1 serait intéressé par un téléfilm.
COMMUNIQUE
Les plus hautes Autorités Locales de Lagrasse communiquent : un groupe d’étudiantes blondes du Passou Fan Club de Stockholm vient d’enlever notre Pierre Assouline dans un bus climatisé, à des fins inconnues !
Son garde du corps a été retrouvé dans la Chapelle de l’Abbaye, ivre mort en compagnie d’une jeune paysanne locale.
Pierre Assouline, dont nous devons saluer le courage, n’a aux dires de témoins dignes de foi opposé aucune résistance à son enlèvement inexplicable.
Il me manque une rime à Clopine. En principe, ça ne devrait pas poser de problème.
» L’impotent bouguereau prend un bain de caca
Qu’arrose abondamment l’incontinent Ueda,
Se lâchant sans pudeur depuis le pont d’Orbieu,
Où JC se repaît des fèces de Clopine,
Qui de l’Edouard Louis agace fort la pine
A Lagrasse, où Passou se caresse le noeud !
Plutôt que sur les murs du cloître, ce serait mieux en danse macabre autour du choeur de l’église. Quelque chose entre Giotto et Clovis Trouille.
« Où JC se repaît des fèces de Clopine »
Vidangeur, ô monstre ottoman et pervers,
la sagesse impose de ne jamais confondre cause et conséquences, source et fluences…
» L’impotent bouguereau prend un bain de caca
Qu’arrose abondamment l’incontinent Ueda,
Se lâchant sans pudeur depuis le pont d’Orbieu,
Où JC se repaît des fèces de Clopine,
Qui de l’Edouard Louis agace fort la pine
A Lagrasse, où Passou se caresse le noeud !
C’est vrai que ça pourrait se traiter façon danse macabre, surtout si on s’arrange pour que que tous ces abrutis se tiennent par la main ou par ce qu’ils pourront, pour former une folle farandole. On pourrait les attifer en costumes régionaux et donner au tout un côté légèrement naïf, suggérant ainsi que l’auteur de l’oeuvre serait un peintre local assez peu connu des historiens de l’art, mais en instance de réhabilitation, un genre Mathias Grünewald, quoi.
une goulue en zinc et poche de cuir et sucoirs..le povrom
Il est exact que la Mort est ce que l’on conçoit de plus naïf.
Vidangeur, ô monstre ottoman et pervers (JC)
Ah! oui… ou alors en mosaïque, genre Ravenne. Avec de détails très crus, carrément barbaresques, un côté transition civilisationnelle. Passou,par exemple, en sarrau wisigothique, avec des rouelles … Clopine avec des tas de très gros bijoux, très voyants, des écrouelles, miraculeusement guérie par Saint Eddy ; mais toujours avec un côté satanique sous-jacent : un mariage morganatique de JC et de Bouguereau, discrètement planqué sous une arche. Ueda compissant le Christ depuis une trompe du choeur, dans une crise d’énurésie proprement diluvienne….
Vidangeur,
Un service entraine une dette : ne pourrai-je pas rester en dehors de tout ça …????
Vidangeur,
Un service entraine une dette : ne pourrai-je pas rester en dehors de tout ça …????
Pas de problème : on vous mettrait dans un coin, à genoux et en extase, dans le rôle du donateur.
Sans blaguer, il paraît qu’à Lagrasse y sont dans tous leurs états. Les gens du coin disent qu’on n’a pas vu pareil enthousiasme depuis au moins la construction des remparts de Carcassonne. C’est le retour de l’esprit des grands chantiers médiévaux, l’élan mystique des constructeurs de cathédrales. Sans compter qu’il va falloir embaucher : je pourrai pas me taper tout le boulot tout seul.
Excellente nouvelle AFP !
Pierre Assouline vient d’être éjecté du bus de ses admiratrices devant la mosquée de Lagrasse: il semble ne pas avoir souffert.
De nombreuses questions lui ont été posées sur Tintin, Milou, Moscovici… il semble développer un syndrome de Stockholm… ne pas être encore tout à fait cohérent.
Lagrasse : lagarce !
A suivre.
(Bonne soirée)
Widergänger était incroyablement geignard (un côté Céline du pauvre) et confus, dans ses commentaires sur le billet « Gauchet ». Et puis dans ce billet, il est plutôt didactique, et semble avoir lu Genette ! Il y aurait deux Widergänger ?
Dites, Pierre Assouline, n’écoutez pas les zozos mais admettez qu’il y aurait de la cruauté, de votre part, à nous celer sciemment le contenu de votre conférence, là, sur « la névrose du commentaire infini ». Parce qu’enfin, je vous le demande un peu : sans nous, auriez-vous pu un seul instant imaginer la tenir, cette conférence ? Sans l’abrutissement de Jc, la maladie galopante de W., la vulgarité de Bouguereau, mon masochisme, la curiosité de Jacques, la sensibilité de TKT, la pédanterie de M. Court, la coquetterie de Daaphnée, hein, de quoi auriez-vous donc dû causer ? Des disparus ? Des érudits-érudites ? Des partageurs ?
Non, non, en bonne justice, vous devez satisfaire ma curiosité. Comme les autres malades, à quelques exceptions près, me fatiguent un brin, je vous propose un deal. Vous m’envoyez à moi, et à moi seule, le texte de votre conférence. Et vous me laissez le soin d’en distiller, ou non, certaines remarques (si possible nominatives…) aux autres.
Ce serait parfait. Comment ça, « non » ???
Je suis absolument scandalisé par les élucubrations pseudo-artistiques, d’un goût plus que douteux, auxquelles s’abandonne depuis plusieurs heures, le dénommé Vidangeur,dans une ambiance d’incroyable passivité de contributeurs pourtant renommés pour leur pugnacité, tels que bouguereau, JC, Clopine Trouillefou et autres. Je m’étonne moins du silence de l’hôte de ces bois, probablement encore occupé à ronfler ou à baiser ou les deux, dans quelque soupente sordide, en compagnie de quelque gourgandine. Si encore l’auteur de cette « oeuvre », qui surpasse, dans l’insanité, la production d’un Bernard Buffet (pour ne citer que lui), avait eu l’élémentaire délicatesse de me réserver un rôle, même petit, dans sa fresque, mais non. Je brille par mon absence, alors que j’estime avoir quelques titres à y figurer. Je suis écoeuré.
Larescu de service ira se faire mettre bien profond
…
Ah, Pierre Assouline, merci ! Sachez que j’en ferai bon usage. Avec discernement, bien sûr. Je ne dirai que délicatement à W., par exemple, ce que vous avez dit à propos de lui à la trente-troisième minute de votre exposé (entre nous : 33… Ca ne vous rappelle rien ?)
Par contre, je vous trouve bien modéré sur le cas de Daaphnée. Enfin, nobody’s perfect…
Et un poutou pour vous, si si si, j’y tiens.
“Sans nous” ?! m’enfin Clopine, comme s’y nous étions pour quelque chose : le commentaire est, pour sa nature, infini. Je dirais même plus, le commentaire sur la RdL déclare un ennuyeux arrière-goût de fini.
Cela dit, et quel Suisse voudrait de Vidangeur en Suisse ? Oui, tout au plus pour un jeu amusant avec la fondue… et s’il laisse tomber son but de pain dans le caquelon, on le jette dans le lac.
Ne pas se faire des illusion : “s’y” est une faute réfléchie…
renato, l’amusant est que notre hôte a mis le doigt (euh, on se tait les zozos) sur une caractéristique : nous nous détestons tous (par exemple, vous ne m’aimez guère) et pourtant nous formons un « nous ». Que cela nous plaise ou non. Vous venez ici, vous commentez : vous voilà le commensal d’un jc, d’un Bouguereau, de n’importe quel aliéné mental ou égo surdimensionné. Perso je trouve que cela vaut le coup d’être interrogée, comme démarche. Mais bon…
« la sensibilité de TKT, la pédanterie de M. Court »
Clopine
Je vous prie d’excuser cette intervention Clopine, mais n’auriez vous pas fait une interversion (bien involontaire j’en suis sûr) dans votre propos ?
Je pense que vous souhaitiez écrire :
« la sensibilité de M. Court, la pédanterie de TKT »
sinon cette phrase perd tout sens commun.
BàV
Clopine dit: 6 août 2014 à 19 h 30 min
La Brayonne nout refait le coup de « Brèves de blog »
Elle va encore pleurnicher sur sa contribution pendant plusieurs semaines.
Elle veut toujours son petit quart d’heure de reconnaissance.
Cela dit, et quel Suisse voudrait de Vidangeur en Suisse ? Oui, tout au plus pour un jeu amusant avec la fondue… et s’il laisse tomber son but de pain dans le caquelon, on le jette dans le lac. (Renato)
Bravo, cher Renato. Je partage votre énergique mépris. il était plus que temps que quelqu’un réagisse. Il est inadmissible que les plus estimables contributeurs de ce blog soient ainsi traînés dans le… dans la… dans la boue, fût-elle celle de l’Orbieu, qui est d’ailleurs une des rivières les moins polluées de France. Il est des travestissements sacrilèges, obscènes, bassement scatologiques, que je n’admets pas plus que vous, des cacographies indignes de ce blog. Encore bravo, et merci.
Clopine,
un, vous vous êtes persuadée que je ne vous aime guère, et c’est faux : je ne peux vous aimer ni ne pas vous aimer, et cela vaut pour tous les intervenants, car je ne vous connais pas réellement.
Deux, je peux jouer le jeu de JC, c’est-à-dire le traiter de singe hurleur (c’est ce qu’il cherche), mais il se peut très bien qu’il ne soit qu’un complice objectif… que sais-je… un vieux communiste qui veut vous obliger à penser le contraire de ce qu’il dit… Et bouguereau ? Moins con et plus « kultivé » de ce que le spectateur lambda s’imagine… etc.
Bon, après cet excès de sincérité je peut recommencer à mentir — que cela plaise à rose ou pas.
Onésiphore tu croyais quoi ?
Tes masques deviennent trop commun,
pourquoi jouer ?
Il suffit d’attendre que tu le jettes.
Tu ne sais pas résister.
Merdre ! déjà 20 heure ! vous me mettez en retard…
la partie non écrite du
Tra ctat u s
désigne plutôt ce que cet ouvrage
cherche à
faire
lorsqu’il met en œuvre cette démarche éthique et thérapeutique
visant à désamorcer toute tentation de transgresser les limites du langage. On voit
alors s’éclairer cette citation en apparence énigmatique de Ferdinand Kürnberger
que Wittgenstein choisit de faire fi
gurer en épigraphe du
Tra ctat u s
:
Devise : … et tout ce que l’on sait, qu’on n’a pas seulement entendu
comme un bruissement ou un grondement, se laisse dire en trois mots.
http://www.editions-ellipses.fr/PDF/9782729874377_extrait.pdf
Je rentre de Lagrasse.
Public nombreux, majoritairement féminin.
Aucun incident à signaler.
Ni insulte, ni horion.
Personne n’a réagi quand, au début de la conférence, l’orateur a demandé s’il y avait dans la salle des commentateurs de la RDL.
Ceci explique peut-être cela.
La Lecture infinie : les voies de l’interprétation midrachique, préfacé par Emmanuel Levinas. Paris, Édi
tions du Seuil, 1987
david Banon
Renato, « nous ne nous connaissons pas » : quelle blague ! La connaissance que nous avons de nous-mêmes, via
Merdum, excuses, je reprends !
nous sommes planqués derrière nos pseudos, je le veux bien. Mais comme nous nous livrons, sans cesse, même ceux qui, contrairement à un Jacques (ou à moi-même) font assaut de sincérité… Nos références, nos goûts, ici étalés, notre humour ou notre absence d’humour : j’en viens à penser que notre portrait est plus véridique, parce que débarrassé du poids de la réalité, ici qu’ailleurs. Voyons, imaginons que nous nous rencontrions. Donc, pour moi, vous êtes un italien attiré par l’image. Donc brun, petit, avec de gros yeux et bougeant sans cesse. Je suis pour vous brayonne : calme, d’une stature de génisse (dixit jc), blond « aux nattes repliées ». Nous ne nous reconnaîtrions pas, c’est évident. Et pourtant, mis en face l’un de l’autre, nous saurions tout de suite que l’un est Renato, et
l’autre Clopine. Parce que les petits cailloux que sont nos mots éparpillés ici gardent encore la chaleur de nos mains respectives, et tracent de nous un portrait peut-être plus véridique que la forme de notre nez et la couleur de nos yeux…
J’ai tapé trop vite ; vous aurez de vous-même remis la négation là où elle aurait dû être.
Clopine c’est quoi cette histoire de commentaire infini, un truc biblique ?
Si je peux vous donner une opinion tout à fait personnelle que je crois qu’aucun de nous ne sait combien d’innocence il a trahi Mais les gens s’acharnent sur les paresseux. Tandis qu’ils sont couchés, on les frappe, on leur jette de l’eau fraîche sur la tête, ils doivent vivement ramener leur âme.
Il est vrai que même sur les blogs certains vous regardent alors avec ce regard de haine, que l’on connaît bien. Ce regard se voit parfois chez les enfants.
C’est que voyez-vous l’homme a une inclination à s’associer, parce que dans un tel état il se sent plus qu’homme, il se sent poussé par l’appétit des honneurs, de la domination et de la possession, il se taille une place parmi ses compagnons qu’il ne peut souffrir mais dont il ne peut se passer.
Pour le dire plus clairement et sans paraboles, je dirais que nous sommes les pièces du jeu que joue le Ciel, du coup on s’amuse avec nous sur l’échiquier de l’être, et puis hop ! nous retournons, un par un, dans la boîte du Néant.
Il est évident qu’à la fin, la littérature se devait de plaider coupable.
Pourquoi ? me dire-vous ? Simplement parce qu’au-delà du commentaire écourté, lacunaire, que chacun gribouille comme il peut, dans son coin, la lueur fugace, énorme, de la syntaxe générale L’homme est conduit, lorsqu’il croit se conduire, et pendant que par son esprit il vise à un endroit, son cœur l’achemine insensiblement à un autre.
En tout cas c’est là mon avis après chacun en pense ce qu’il veut.
sur un texte de Freud «
Analyse finie et analyse infinie
»
NLS
Messager
31
–
2010/2011
2
Marginalia
de «Constructions dans l’a
nalyse»,
par Jacques
–
Alain Miller
«
Your bait of falsehood takes this carp of truth.
»
Shakespe
are,
Hamlet,
II,
1, v. 63
http://www.kring-nls.org/files/jacques-alain_miller_-_marginalia_de_constructions_dans_lanalyse.pdf
quand mirbeau s’emmêlait les pinceaux …
« Surtout, souviens-toi que l’homme qui sollicite tes suffrages est, de ce fait, un malhonnête homme, parce qu’en échange de la situation et de la fortune où tu le pousses, il te promet un tas de choses merveilleuses qu’il ne te donnera pas et qu’il n’est d’ailleurs pas en son pouvoir de te donner. […] Les moutons vont à l’abattoir. Ils ne disent rien, et ils n’espèrent rien. Mais du moins ils ne votent pas pour le boucher qui les tuera et pour le bourgeois qui les mangera. Plus bête que les bêtes, plus moutonnier que les moutons, l’électeur nomme son boucher et choisit son bourgeois. Il a fait des Révolutions pour conquérir ce droit. »
notre portrait est plus véridique, parce que débarrassé du poids de la réalité, ici qu’ailleurs.
Mais Clopine, pourquoi ne serions pas AUSSI dans la réalité sur ce blog?
Nous le sommes autant que dans la vie » à découvert « .
Le physique, la manière de parler etc…cela peut-être un aussi gros obstacle.
Ici, cela parle avec autant d’ obstacles, différents mais présents.
Outre l’évocation quasi spirite de Pierre Assouline, J’aime bien le couplet sur « nos mots qui sont comme des petits caillous éparpillés, qui gardent la chaleur de nos mains respectives, et tracent de nous un portrait peut etre plus véridique que la forme de notre nez, et la couleur de nos yeux »
Grand moment de lyrisme Clopinien,aux métaphores on ne peut plus incohérentes, qu’on est irrésistiblement tenté d’appeler pour cette raison « style nouille ».
Bien à vous.
MC
Un Italien, Clopine. Avec une majuscule.
L’orthographe, toujours l’orthographe…
Par exemple, si vous étiez un canon physiquement parlant,( c’est bien peut-être le cas, d’ailleurs ) on serait bien plus indulgent dans la vie courante avec vous. On regarderait vos épaules au tracé impeccable, vos seins bien plus fiers et dressés que vos arguments langagiers, qui passeraient alors comme un regard à la poste.
Je m’adressais à vous chère Clopine.
Ma pauvre Clopine, renato est grand. On voit bien que vous ne le connaissez pas du tout.
D’ailleurs vous croyez bien connaitre beaucoup de choses, mais ce sont des idées que vous vous faites. On ne vous a pas assez critiquée dans votre vie, sans doute parce que vous êtes gentille et attachante. Mais voyez le résultat aujourd’hui.
« Paul Cézanne, pauvre inconnu de génie… »
Octave Mirbeau, Rengaines, 23 juin 1891
Clopine dit: 6 août 2014 à 20 h 33 min
J’ai tapé trop vite ; vous aurez de vous-même remis la négation là où elle aurait dû être.
–
Remettre vos négations là où elle doivent être, nous n’avons pas que ça à faire non plus. Autant que ce soit dit puis appris.
Mieux vaut ne pas connaître renato si il est un grand pizzaïolo.
Il peut nous la faire à la napolitaine, mais venant d’un Suisse on a bien peur que cela ne soit raté de par le manque de saveur.
C’est que voyez-vous l’homme a une inclination à s’associer, parce que dans un tel état il se sent plus qu’homme
–
Ça veut dire quoi ce charabia, Hamlet ? Vous aussi vous feriez mieux de vous occuper à d’autres choses que commenter ici.
On a pourtant tellement à apprendre des négations.
Là où vous ne vous êtes pas trompée, c’est sur les gros yeux de renato qui bougent sans cesse.
Moi il me fait carrément peur.
De ce côté-là la nature ne l’a pas gâté il est vrai. N’en parlons plus et c’est tout.
Il n’est d’ailleurs pas le seul parmi les commentateurs à avoir de gros yeux qui bougent tout le temps. Je pourrais vous en citer deux ou trois autres, mais je ne le ferai pas par charité.
renato n’a pas du tout la tronche napolitaine. Pas du tout.
Il est chauve comme une pizza sans pain…ou plutôt sans sauce tomate.
» tronche napolitaine » ce n’est nullement mon propos énoncé D, relisez moi bien vous qui donnez des conseils à tout le monde
‘The first album is maybe the greatest work of modern art of the 20th century.’
Luke Haines about Ramones
Malgré mes origines italiennes bien ancrées, je fais un effort pour écrire le français le plus correctement possible.
( Je suis de Lucca.)
Je me suis bien relu, et je constate que vous attaquez renato sur son physique, ce que je n’admets pas.
D’autant plus qu’il est sorti et ne peut même pas se défendre. Alors permettez-moi au moins de le faire à sa place.
Onésiphore tu croyais quoi ?
Tes masques deviennent trop commun,
pourquoi jouer ?
Il suffit d’attendre que tu le jettes.
Tu ne sais pas résister. (Trop facile)
Quels masques ? Je ne comprends pas.
Oh que vous êtes croquignolet D, être chauve, c’ est décrire, tout simplement, je ne porte aucun jugement de valeur sur cette qualité du crâne.
C’est ça, rattrapez-vous comme vous pouvez.
C’ est comme vos repas tristounets du soir, je les ai lu sans faire de commentaire et je me dois de vous dire qu’ils manquent de fantaisie. Je dirai plus précisément qu’il manque de l’ accompagnement d’une femme, de persil, de fenouil, de ciboulette et même de basilic.
Cette photo me fait penser au lac d’Annecy…je crois reconnaitre la montagne au fond…sinon, au milieu de cette déprime générale, ou des centaines de cadavres de gamins gisent dans des sacs en plastique a Ghazza, une bonne nouvelle nous vient de Buenos Aires, d’un disparu qui, lui, est revenu…sa mère n’est plus la, les généraux argentins l’ayant exécutée, mais sa grand-mère est , Dieu merci, toujours la… du coup ce p’tit texte de pas grand-chose, vaut le coup d’avoir vu le jour…mon cousin Abdel et 6.000 autres disparus ne sont toujours pas revenus…
Les disparus
Tous les dimanches
Sur cette place blanche
Ecrasée par le soleil
Des mères
Regardent le ciel
Et leurs prières
Arrachent a la nuit noire
De l’oubli la mémoire
De ceux qui ne sont pas revenues
De ceux qui ont disparu
Ces yeux qui pleurent
Sous les orangers en fleurs
Le silence
Qui entoure
Ces absences
L’espoir de retour
Chaque dimanche
Sur la place blanche
De ceux qui ne sont pas revenus
De ceux qui ont disparu
Chaque dimanche
Cette place blanche
Baigne
Dans l’amour
Et l’espoir
Que la mémoire
Vaincra l’oubli un jour
Et que reviennent
Ceux qui ne sont pas revenus
Ceux qui ont disparu…
JC a sans doute exagéré sur la stature de génisse. Il faut raison garder. Ou alors il pensait à la démarche et son imagination est allée trop loin. Enfin tant que l’on reste dans le domaine de l’imagination, on imagine.
Vous êtes seul D, sans bouquet garni à votre table et sans vous voir de nos propres yeux, vous voir en chair et en os, vous voir comme presque vous touchez, on vous sent pâle comme le dernier des mohicans sans aucune plume à votre arc, sans aucune flèche à votre derche.
Tu sais où tu peux te le mettre, ton bouquet de persil ?
mon cousin Abdel et 6.000 autres disparus ne sont toujours pas revenus… (Abdelkader)
6000 connards de moins, c’est toujours ça de pris. On se sent tout de suite plus au large.
Vous toucheR…
Vous êtes attendrissant s’il ne perçait chez vous une certaine dureté qui doit être une carapace à votre célibat.
C’ est vrai que vous ne savez pas vous y prendre avec les femmes. Dieu sait que vous avez multiplemement essayé sur ce blog.
Vous nagez la brasse alors qu’il vous faut passer au crawl.
Quels masques ? Je ne comprends pas
ça faisait baltringue hybridé avec la tête de delco de sa volvo..ça faisait peur
Et la police, qui c’est qui la fait sur ce blog? Le Pape peut-être?
Vous me faite rire et je vous aime bien D.
( Et ce n’ est pas pour cela qu’il vous faut me coller aux fesses comme vous l’ avez fait avec Daaphnée, Rose, Bérénice etc…)
Vous n’ êtes pas mon genre ni renato non plus d’ ailleurs avec son crâne pizza qui passe sa journée sur un tabouret de sculpteur à vis tournante. Cela par contre lui fait une pâte à admirablement travaillée.
Enfin tant que l’on reste dans le domaine de l’imagination, on imagine
..on est heureux comme dirait donatien
mon masochisme
la sodomie ça fait pas mal clopine..tu dis ça pour nous faire plaisir
un pavé dans la mare 🙂
« Comment, oui comment pourrait-on croire à cette nouvelle scène new-yorkaise dont on nous rebat les oreilles à grand cris prétentieux dans les fanzines? Car enfin, voici des gens […] qui ne parviendront vraisemblablement jamais à sortir de ce trou de CBGB qui risque, à défaut d’avoir été un tremplin,de devenir leur tombe.
[…]Car Ramones est le degré zéro du rock, fut-il punk.
[…]Mais je veux bien être pendu si en fait les Ramones ne sont pas le groupe le plus propre et le moins dangereux du monde. »
Philippe Manoeuvre, Rock & Folk 115, août 1976
Vous avez compris D, que si renato fait tourner la pâte à pizza sur son crâne comme un derviche tourneur c’est qu’il a les doigts occupés à l’ ordinateur et cela durant toute la journée de ce qu’ elle compte d’ heures et de minutes. Même la nuit, il tapote il tapuscrit!
Il est très persévérant.
C’est comme bouguereau il aime toujours siffler la fin de la partie
http://katherinemcdougallphotography.files.wordpress.com/2012/11/image-php.jpeg
by Klee en série
Onésiphore de Prébois dit: 6 août 2014 à 22 h 03 min
mon cousin Abdel et 6.000 autres disparus ne sont toujours pas revenus… (Abdelkader)
6000 connards de moins, c’est toujours ça de pris. On se sent tout de suite plus au large.
Mon cousin était loin d’été un connard… les autres disparus non plus…il était docteur en physique et prof a la fac…le professorat au coin de la rue…mais vous, vous semblez les connaitre de prés…z’etiez un proche ? un indic des services de securite algeriens? ou alors un proche de Mme Soleil ? ou peut-être ne connaissiez vous pas vos parents ? comment ? votre père…oui, j’aimerais bien compatir, mais il y’a les infos a la radio en ce moment…une aut’fois peut-ete…
mon cousin Abdel et 6.000 autres disparus ne sont toujours pas revenus… (Abdelkader)
Abdelkader veut peut-être savoir pourquoi son cousin Abdel et les 6000 autres sont des connards. Parce qu’ils n’existent pas. Ils existent d’autant moins qu’ils sont morts, évidemment, alors pourquoi se gêner. Mais Abdelkader est un connard lui aussi, vu qu’il n’existe pas plus que son cousin Abdel et que les autres 6 000. Mort en sursis, dira-t-on, nous le sommes tous. Mais il y a quelque chose de plus pervers, qui tient à la nature des « échanges » sur le web. Il faut avoir atteint le degré d’abrutissement et de dégénérescence intellectuelle d’une Clopine pour croire qu’on peut nouer des relations avec quelqu’un de vivant sur le web. Il n’y a aucune personne vivante derrière Abdelkader, pas plus que derrière Clopine ou que Jacques Barozzi. Abdelkader, comme tous les participants de ce blog, se réduit absolument au petit tas de crottes écrites qui s’inscrivent sur un écran d’ordinateur ( à condition qu’on l’allume).Derrière le pseudo d’Abdelkader, il n’y a aucune personne vivante qu’on puisse respecter, estimer, aimer. Je n’ai d’ailleurs aucune chance de rencontrer jamais Abdelkader et il n’a aucune chance de me rencontrer. Il n’y a de chaque côté qu’un fantoche virtuel, avec quoi l’on peut s’amuser à sa guise, que l’on peut railler, tourner en ridicule, insulter de la façon la plus grossière : rien, de toute façon, ne le fera ni saigner ni sourire, puisqu’il n’existe pas. Et il en va de même de tous les participants de ce blog, qui sont tous des connards (moi compris). Les seuls sentiments qu’ils m’inspirent et que je leur inspire sont l’indifférence et le mépris le plus complet. Assouline, tout le premier, est l’un des pires connards que je connaisse, Hamlet est un connard. Widergänger est un connard (plutôt deux fois qu’une). Clopine est une connasse. Et le reste à l’avenant. J’irai plus loin : la RdL est la plus excitante simulation d’Auschwitz que je connaisse. Pratiquer ce terrain de jeux pervers qu’est la RdL, c’est jouer à Auschwitz. Le seul cadeau que je me sentirais de faire à chacun des participants de ce blog, c’est : une balle dans la nuque au bord d’une fosse commune. Cela ne tire pas vraiment à conséquence, puisque je ne crois pas vraiment à l’existence de mes victimes virtuelles et que je ne suis moi-même qu’un meurtrier virtuel. Ce sont des mannequins de paroles, et rien d’autre, moi tout le premier. Nous n’avons d’existence que virtuelle. Il n’y a aucune personne vivante, de chair et de sang, au pseudo que vous demandez. La pratique assidue de la RdL est fondamentalement une école de désespoir : l’autre est un connard, tout simplement parce qu’il est l’autre, donc rien. Pas besoin d’avoir lu Lévinas pour comprendre ça : il suffit de fréquenter le blog d’Assouline. Si vous voulez restaurer un peu d’humanité authentique en vous, cessez de fréquenter cette merde. Rencontrez de vraies personnes vivantes, de tous âges et de toutes conditions, que vous pourrez vraiment connaître et aimer; pas des crétins virtuels qu’excitent rituellement les billets « littéraires » foireux rédigés par un autre crétin tout ausi virtuel; pas des ersatz fabriqués uniquement avec des mots, que vous ne pouvez traiter que comme des objets de divertissement, et comme l’occasion de jeux le plus souvent pervers.
Onésiphore de Prébois dit: 6 août 2014 à 23 h 02 min
Il va falloir si résoudre, ne plus se taire face aux épreuves qui peuvent marquer durablement la sérénité d’un homme.
Oui Onésiphore est affecté, frappé dans sa chair.
Personnellement je me vote un moratoire.
Crie, hurle Onésiphore.
Nous te le devons
Je me tais.
Enfin, Clopine ! se faire des illusions n’est pas salutaire : l’autre est et restera toujours et en tous les sens un mystère.
S’agissant du blog d’Assouline et de tout ce qui, de près ou de loin lui ressemble, et qui, passant par l’écran d’ordinateur, de télévision, ou même de cinéma, le téléphone (portable ou pas), tend à vous faire prendre les zombies pour des êtres vivants, j’ai pris le maquis : c’était facile, comme disait Giono, il suffisait de sortir.
il semble que l’affect le plus partagé par les commentateurs demeure « la frustration », comme on dit ,même si chacun expliquerait différemment sa
déception il n’est pas certain que PAssouline lui-même ne soit pas déçu de son public de personnages,même s’il ne le fait pas$ savoir de manière telle que lesdits personnages se transforment sensiblement (horizons, interprétations, tons)
Onésiphore de Prébois dit: 6 août 2014 à 23 h 02 min
petit tas de crottes écrites
C’est parfait ! Ce sont les pensées, qui sont intéressantes, non les identités. Sinon en plus on pourrait aller jusqu’à retomber dans l’appartenance, donc le pire des pires…
Les requins n’aiment pas les robots :
« j’ai pris le maquis »
Un autre rebelle du dimanche.
‘…Je n’ai d’ailleurs aucune chance de rencontrer jamais Abdelkader et il n’a aucune chance de me rencontrer…’
plutôt votre chance que la mienne…ceci étant, vous me semblez etre en besoin chronique d’une sérieuse et profonde pipe par une vielle pétasse édentée…si vous en connaissez une…
Onésiphore,nous serons tout aussi misérables la semaine prochaine,mais alors ça vous fera peut-être marrer.
…
…un coup de main,…sur la perche aux miels de saison,…la langue aux doigts,…
…
…des touristes!,…encore,…c’est pas la grâce pour rien,…
…allons,!…mes majorettes faites honneurs à votre ville,…allez y en cadences,…tapez leurs dans l’oeil du bon sens,…
…fatigués les à outrance,…pour que la relève, les cueillent à la petite cuillère,…
…allez y , & de une, & de deux , alternez, joignez les bouts,…tournez le bâton,…relancer l’embouts,!…avec grâce,!…plus de rigueurs et feignez l’innocence la timidité violente,…c(est votre premier défilé,…au ras de cuisse,!…bomber votre pubis, votre mont Avé nus,…queue diable, reprenons à l’écarté,…le gode en main,…relancer en bouteille,!…les vils vertus de la ville,!…
…flexion des bras,…revenez en arrière,…
…
…Non,…Brigitte,…là vous en faite de trop,…même en répétition la furreur s’éclate en ses gay’s joies mal réprimés,!…
…le 14 Juillet avec nos majorettes,…à la prime-heure en l’air,!…
…comme un épigraphe de rentrée des cultures,…cerises, raisins, pommes poires, et j’en passe,…aux con-fistures,…à jus,…
…du nectar,…aux parfums,…comme une main aux fesses,!…etc!,…Ah!,…Ah!,…Bip,!Bip,!… …mes bourses à Janus,…aux majorettes en fleurs,…cousues mains,!…sur un miel de rossignol de près,!…etc,!…
…
…y a pas autre chose,!…mais çà vient de commencer,!…la finale,!…encore une en boîte,!…au fût,!…on a gagner,!…
…à Dieu, & à ses enfilées,…c’est clear,…
…quel goulot la gamine à la bouteille,!…enfin,!…y survivre,!…etc,!…
…suivant,!…envoyez,!…d’un coup,!…
…
vous me semblez etre en besoin chronique d’une sérieuse et profonde pipe par une vielle pétasse édentée…si vous en connaissez une…( Abdelkader)
Qu’est-ce que je disais…
je n’éprouve absolument pas le sentiment de devoir aire part sur le blog de ce qu’il m’a apporté ;je l’ai fait connaître à de nombreuses personnes , en le présentant comme je le voyais , souvent comme une réponse à une question qu’elles me répercutaient le travail du traducteur par exemple, des infos sur l’édition
hier encore, je l’ai fait connaître à une journaliste blogueuse hongroise après un travail sur « le terrain » avec bibliographie vérifiée ensemble sur la toile
aher de bassan dit: 6 août 2014 à 23 h 42 min
je l’ai fait connaître à de nombreuses personnes
Ne rêve pas ma H.R. chérie.
Rien.
Ton apport est nul.
Onésiphore de Prébois dit: 6 août 2014 à 23 h 39 min
Z’étes un guérillero de l’AZERTY…un heros de l’interweb… un nihiliste du 9 a 5…un revolutionnaire des 35 heures… une autre mauvaise langue…je vous pensais autrement étoffé… un mensch, même si vous avez les idées tordues…mai non…z’etes juste un aut’trouduc…que dis-je ? un comme vous ne mérite pas des insultes ni une gifle avec ma pantoufle gauche…juste que je traverse la rue pour l’éviter…
Luisella, vous m’avez bien cerné.
Je suis un grand séducteur, j’aime séduire.
Mais la réalité du couple me fait terriblement peur. Pour moi le couple ne peut exister que définitivement et dans un but de fécondité.
De plus cela contient le péché originel et je le fuis. Je sais pourtant que je ne peux être parfaitement pur de corps et d’esprit mais je fuis cette perversion qui enferme l’homme depuis la nuit des Temps dans cette terrible condition de la chair et dont seule la mort peut le libérer.
C’est de l’orgueil, vous allez me dire.
Je vous répondrai que non : de la prédestination.
faire part
Dans la mesure où la participation n’est ni sanctionnée ni valorisée,il semble qu’elle demeure ad libitum
et je ne conçois pas que l’on soit obligé de participer:PAssouline s’est assuré une grande compagnie pour l’éternité ici l’on passe et sera toujours assez quand ce n’est pas déjà trop pour se aitre traiter de névrosé ou de parano folklo ou forclos
Et en temps que prédestiné à vous expliquer cela, je vous l’explique, pour votre salut à tous.
Tout est donc parfaitement cohérent. L’édifice tient bon, et c’est vous qui marchez dans la boue et qui vous ensablez.
En temps que monaDe, je vous le dis.
monade au sens philosophique, bien entendu, et certainement pas théosophique, que je réfute.
…
…encore,!…un 33 tours d’enculés, sinon rien!,…le haut de gamme quoi,!…
…en pénurie de stock,!…c’est pas de saison pourtant,!…
…l’inflation,…la déflation,…les dix-versions,!…
…les commandements au beurre et à l’argent du beurré,!…etc,!…
…Ben-Huur,!…Stop ou encore,!…aux idiôlatries,!…aux Stup-peurs,!…des riens en tout, à l’unité,…c’est du lourd,…
…etc,!…à deux-mains,!…of course,!…repos,!…
…encore,!…
Enfin, on peut dire que Pierre Assouline joue le jeu, son jeu, c’est son job ; pour les commentateurs , ce n’est peut-être pas étranger à leur job , les histoires de causes et d’identité priment this world is
mémoire ampliatif : d’ormesson en pléiade
…
…çà planche sur l’Ô,…les devoirs à traire,!…n’en ajoutons pas,!…la fraîcheur en primeur,…etc,!…
…
…
…l’arbre de vie,…et,…desseins à monades,…
…pour en rester au zoo , comme paradis,!…
…logé nourri,…du privé, sinon rien,…à tout prendre,!…Ah,Ah,…etc,!…
…
Ce jour, observant 3 cols vert s’ébattre, une grue cendrée est passée au dessous de moi descendant La Pank au ras de l’eau.
Instant de grâce lors d’une matinée ensoleillée.
Très bonne journée.
@ Clopine.
Recette de cuisine pour clopinou.
Canard à la LOUIS XVI. (10 à 30 mn)
Ingrédients :
Un canard de 18 mois (mâle ou femelle), heureux et bien nourri.
Une commode Louis XVI à tiroirs.
Préparation :
Avec des petits ciseaux, couper les ongles, égaliser les palmes.
Consommation :
Bloquer délicatement la tête du canard dans le tiroir choisi suivant votre taille.
Maintenir fermement le canard par le col contre le tiroir avec la main gauche.
Fourrer le canard par l’arrière.
Au moment adéquat, refermer le tiroir avec la main droite.
Variante :
Remplacer la canard par une femme ou un jeune homme*.
Remplacer la commode par un sac poubelle avec lien de fermeture intégré. (Se trouve dans toutes les grandes surfaces. C’est plus économique en période de crise financière).
*Vérifier l’age de la majorité sexuelle du pays où vous consommez.
Bon appétit.
Alors Passou… en quelques mots… c’était comment à Lagrasse ?
quand tu as touché le fond à quoi bon te retenir ?
Y’a pas que de la névrose. Y’en a, oui, mais y’a aut’chose. Y’a de l’alcool aussi, pas vrai 2 H 36 ?
bouguereau disait: 6 août 2014 à 16 h 18 min
« l’histoire c’est qu’il se tape toute la croisière avec si fort coup de rein que le bateau se vautre..à la fin lassouline se barre de l’épave nu en deltaplane..avec clopine qui la lui tient bien de ses deux mains de serpente..tout est tourné en gopro.. »à suivre » que c’est écrit au début »
Vers cette heure-là, Assouline disait à Lagrasse quelque chose comme: »Sur mon blog, à cet instant, l’un d’entre eux est en train de m’insulter »
Soyez à la hauteur, enlevez les coudes de la table, on nous lit !
Sinon, l’Aude est un beau désert… numérique. À tantôt, va y avoir l’orage
Je ne sais pas si c’est pour donner du grain à moudre à Passou pour sa conférence mais ces jours-ci, toutes les limites d’ignominie et de scatologie ont été dépassées.
ta gueule keupu
»Sur mon blog, à cet instant, l’un d’entre eux est en train de m’insulter »
et tous de vérifier sur leur samsung qu’on droledeument bien cornaqué..surtout clopine
jean marron a une influence délétère sur ce blog..
Y’a pas que de la névrose. Y’en a, oui, mais y’a aut’chose. Y’a de l’alcool
quand qu’on a eu du calva dans le biberon c’est pour la vie
Lourd, lourd le vidangeur dans son style pitoyablement reconnaissable et qui sent très fort.
Quel rhizome bavard, quelle continuation dans le désordre, n’ est-ce pas le dernier écrivain de Blanchot?
Pourquoi certains s’obstinent dans leur entreprise de devaluation de la culture populaire ? Peut-être des réponses :
bouguereau dit: 7 août 2014 à 9 h 32 min
ta gueule keupu
je viens de relire « Amédée ou Comment s’en débarrasser »… j’ai tout de suite pensé à bouguereau et à JC !!!
Jonathan dit: 7 août 2014 à 9 h 29 min
toutes les limites d’ignominie et de scatologie ont été dépassées.
« Reviens, Rabot ».
Enfin, ueda !
jean marron a une influence délétère sur ce blog.. (Bouguereau)
C’est la meilleure, celle-là ! En quoi suis-je le moins du monde responsable de débordements dont je suis le premier à déplorer la nature et la fréquence ?
Pour avoir un petit commentaire de passou sur le 6 août à Lagrasse.
https://www.youtube.com/watch?v=5zGesIUZgVQ
On aurait parié sur des propos de ce type, mais c’est mieux en l’écoutant (de minutes 1 à 3)
On aurait parié sur des propos de ce type, mais c’est mieux en l’écoutant (de minutes 1 à 3)(Pado)
Trois minutes de conneries, c’est déjà effectivement largement suffisant.
Ceci est une capitelle ( je me la joue ajoute t-elle)
Ce petit édifice refuge pour les bergers et autres métiers pastoraux peut se nommer caselle, gariotte, et se trouve dans bien d’ autres territoires que celui de Lagrasse.
J’admire Abdel de pouvoir écrire des poèmes en français alors que ce n’est pas sa langue maternelle et qu’il baigne dans un environnement anglophone depuis des lustres…
» des chèvres et pas des vaches, bien sûr »
Et nous on compte les moutons?
( S’agit-il d’ une envoyée spéciale de Télérama from Paris?)
Vidangeur dit: 7 août 2014 à 10 h 17 min
Quand passou parle de haine, tu dois te trouver aux premières loges Onésiphore.
Pound, XC (Section: rock-drill) :
Animus humanos amor non est,
seb ab ipso amor procedit, et
ideo seipso non diligit, sed amore
qui seipso procedit.
L’épigraphe littéraire semble être un art(ifice) bien français. Du brillant incantatoire qui ne risque pas d’être compris par d’autres nations en recherche de solides amuse-gueules. Aujourd’hui le Président Hollande envoie des épigraphes à la Chancelière Merkel qui retombent comme figues pourries.
Vous savez, la grâce que le vidangeur ne s’ aime pas, à force de véhiculer les immondices en gros tas, il s’estime en être une lui-aussi. Il s’ estime, le mot est trop doux, il se macule, s’ inocule, s’ émascule, s’ hercule et se bascule dans la fange.
Il est moche, malade et sous traitement, nous le savons de part ses aveux ici-même, c’est triste de sentir un tant soit peu la défécation finale.
Pray form him!
C’est un peu la grande bouffe littéraire à la Marco Ferreri…
«…qui retombent comme figues pourries. »
Attention aux guêpes, donc.
Mais nous! nous qui ne sommes pas éprouvés,
verrons-nous jamais le jour?
Bettina Von Arnim
Epigraphe au QUE PEINDRE?
Adami Arakawa Buren
éditions de la Différence 1987.
Que peindre? de Jean-François Lyotard !
« C’est un peu la grande bouffe littéraire à la Marco Ferreri… »
Pire. Le film de Ferreri était classieux à côté.
« Que peindre? »
Drôle question.
Vous avez sans doute raison, Phil. Mais c’est une pratique qui tend néanmoins à se répandre, notamment en Allemagne (qui connaît la pratique de la dédicace quand même) puisque Peter Härtling a placé deux citations en exergue de son dernier recueil de nouvelles, l’une de Theodor Fontane, extraite du Stechlin (Das Leben ist kurz, die Stunde ist lang : la vie est courte, l’heure est longue) et une autre de Wolfgang Hildesheimer extraite de « nachlese » (Kommt der letzte Schrei — le dernier cri — vor oder nach den letzten Dingen ? : Le dernier cri vient-il avant ou après les dernières choses ?)
Drôle question
C’est drôle de question ou question drôle, qu’avez-vous choisi?
» Comment soutenir (…) que la présence visuelle est l’ unique objet de peinture? »
J.F. Lyotard in QUE PEINDRE?
Que peindre?
Quelle drôle de question!
Lui
» Je vous accorde tout cela. Ce que vous appelez la réflexion, dans la peinture même, ne cesse de gagner, et c’est bien. La peinture ne cesse d’élaborer les conditions de la peinture, et d’essayer de les montrer par les moyens qui sont les siens. Elle inclut son commentaire. Il n’est pas de peinture, surtout depuis un siècle qui ne peigne la question : qu’est-ce que la peinture ? Et qui n’esquisse une réponse peinte à cette question. Entendu.
Mais confessez que quelque chose, je ne dis pas une chose, un objet, mais qu’un événement, qui n’est pas une chose, mais au moins une césure dans l’espace-temps, a lieu, et que c’est cela qu’il faut « rendre ». Il a eu lieu, puisqu’il est vrai qu’on peint après coup, comme on parle. Et il aura eu lieu par le témoignage que la peinture en fait. C’est cela qui donne, a et aura donné lieu et moment, occasion, à la réflexion dont vous parlez, à la mémoire d’Adami, aux paradoxes d’Arakawa, à la critique de Buren. C’est cela qu’ils essaient de rendre présent. Le lieu de l’« avoir lieu », du Stattfinden, la place du taking place, le cas de Yaccadare. Cela, la réflexion ne l’engendre pas, la spéculation le reçoit. Elle vient « trop tard » par rapport à lui, toujours.
Ce n’est pas elle qui « fait » le bleu de guède à l’orient d’un matin d’été. Qui fait que cette pâleur muette éveille aujourd’hui, au lever, dans votre esprit encore endormi, un émerveillement qu’il vous faudra des minutes, des heures, peut-être une vie, pour associer à votre premier départ à l’aube, alors qu’enfant, vous avez enfourché votre bicyclette chargée de viatiques en compagnie de votre grande sœur pour partir carte au guidon à la rencontre d’amis de lycée en vacances dans la région qui, à cent kilomètres de là, se mettent pareillement en route vers vous. Maintenant vous dites, vous nommez, oui c’est le pastel des ciels de Vendée au lever en juillet, pas loin de la mer, quand il fait grand beau, oui, c’est l’aventure de tous ces kilomètres à pédaler seuls pour tout un jour, l’ouverture de l’espace vers un point de rencontre convenu, la jubilation d’une maîtrise sur les chemins et les champs loin des parents, la vivacité de la première fois, l’autorité de votre vie déférée pour un jour à la course du soleil et de l’ombre, à l’ordre des ruisseaux fidèles, le bleu de l’inféodation à l’ordonnance des choses de la terre, l’émotion d’un rendez-vous si difficile à arranger (n’étiez-vous pas un peu amoureux de la sœur de votre ami ? et de lui ?). Vous ironisez le bleu perdu et retrouvé où baigna la tête du jeune bicycliste, vous observez que les associations mêmes que le bleu d’aujourd’hui déclenche dans votre âme adulte sont comme un début de travail réflexif, en tout cas forment un récit de mémoire, et mettent précisément en absence le timbre chromatique du matin présent, qui en est l’occasion — le peintre, qui est resté cet enfant, qui le sera encore, vous dit : riez, souriez, le bleu vous aura devancé. Telle est la présence. L’événement sensible, si vous voulez.
Or c’est elle, ce timbre, que l’artiste veut rendre par le tableau. La rendre s’entend : qu’à son tour le tableau soit, pour quelqu’un, je ne sais, un événement, ce bleu, ce matin. Ce n’est pas la représentation qui lui fait souci, la présence n’est pas perdue du fait qu’on la représente, elle passe au tableau. Comment son tableau « regardera » la scène, c’est à savoir. Mais que son tableau soit au regard du regardeur un pastel de ciel d’aube au
regard d’un enfant, cela arrive ou n’arrive pas, et vous, philosophe, comme lui, peintre.
et comme tout le monde, vous devez attendre que le tableau soit là. Et si cela a lieu,
seulement alors vous spéculerez. Quand cela aura eu lieu. Le souvenir peut s’offrir avec
cette présence, avant même d’être localisé. Et sans que ce dont il est le souvenir ait eu
cette présence. Peut-être la présence est-elle toujours souvenir. Remembered, écrit
Arakawa. Photos-souvenirs de Buren. Aide-mémoire nourrissant l’œuvre d’Adami. »
Jean François Lyotard Que peindre? opus cité supra.
C’est drôle de question ou question drôle, qu’avez-vous choisi?
au moins tu sers à table
la défécation finale
t’es qu’un sataniss épicétou
il se macule, s’ inocule, s’ émascule, s’ hercule
c’est plus pire qu’un crucifix tête en bas
au moins tu sers à table
J’ essaie de rester bien élevé, comme dans la grande bouffe…;)
lyotard a confondu blanc de zinc et chantilly dans ses petits crèmes c’est pour ça..aprés coup c’est trop tard c’est certain
Du brillant incantatoire qui ne risque pas d’être compris par d’autres nations en recherche de solides amuse-gueules
c’est du tesque qui se veut erzats d’image..forcément avec ces hérétiques iconoclastes de gallimard..la html c’est la ruine des gros paysans de paris comme baroz
https://www.youtube.com/watch?v=bFnW_CrPUlA&feature=player_embedded
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=tWcpB15Ta2w
« Pourquoi certains s’obstinent dans leur entreprise de devaluation de la culture populaire ? »
Ce sont des cons d’activistes !
La « culture populaire urbaine » n’a pas besoin d’eux pour se dévaluer toute seule …
Bérénice, j’ai adoré vos groupes rock : je connaissais pas ce Bach, quel trou d’ut !
entendu n°9
« La peinture ne cesse d’élaborer les conditions de la peinture, et d’essayer de les montrer par les moyens qui sont les siens. »
Quand on lit ça, on se sent vraiment en retard sur Lyotard … uhuhuhu ! Pull !
pado dit: 7 août 2014 à 10 h 02 min
« Pour avoir un petit commentaire de passou sur le 6 août à Lagrasse.
https://www.youtube.com/watch?v=5zGesIUZgVQ »
Pado, votre lien a du génie…
«… qu’avez-vous choisi? »
Auriez-vous préféré « stupide question » ?
JC mon hit parade du moment dans l’édition Reinhold Kubik, Breitkopf & Hartel 2007
Volume 22 SDG 128
CD 2 , une très belle citation.
@hamlet: pas « une grosse chose », gross ne signifie pas gros(se), mais une « grande chose », ou quelque chose de grand. Les traductions classiques disent d’ailleurs « C’est une grande chose… », d’autant que la phrase, dans l’original, se termine par un point d’exclamation.
« ci-gît l’essai de l’ami cantique
en sigillée de céramique antique »
[épigraphe en forme d’épitaphe]
L’Europe fiente une politique extérieure anti-russe absolument foireuse !!! Se tromper d’ennemi est la chose la plus stupide, en temps de guerre, je ne croyais pas ça possible ! …
Bravo, les 27 connards !
C’est plutôt gentil et mesuré ce que dit Passou, hors conférence.
Mais après le hors-d’oeuvre, on réclame le plat de résistance !
En Provence, la capitelle se nomme borie ou cabanon.
« L’île existe toujours, au milieu du lac. Ses bords sont un peu usés. Toute l’année des fleurs y fleurissent et des oiseaux y nichent. Sur le lac se posent des oiseaux migrateurs qui viennent du nord et du sud et d’autres directions. Ils bavardent entre eux, échangent leurs nouvelles, puis repartent vers le monde. Au centre de l’île a poussé un pommier. »
René Barjavel
L’enchanteur.
Ce lien là est mon préféré …
http://captiongenerator.com/20569/La-chute-de-la-Maison-Rebelle
JC que faites-vous de la Syrie?
En Provence, la capitelle se nomme borie ou cabanon
un machin pour abuser des brebis sans être vu sur google baroz..
dla construction capitalisss et bourgeoise
http://www.archdaily.com/484679/a-collection-of-striking-soviet-bus-stop-designs/
je ne croyais pas ça possible !
libère un peu ton imagination jicé..c’est là que gît le bonheur qu’il dit donatien..et tu le laisses toujours filer
L’Europe fiente une politique extérieure anti-russe absolument foireuse !!! Se tromper d’ennemi est la chose la plus stupide, en temps de guerre, je ne croyais pas ça possible ! …
Bravo, les 27 connards !( JC)
Voilà bien le style délibérément scatologique et vulgaire que je ne supporte absolument plus sur ce blog. Après les insupportables variations du douteux Vidangeur, trop c’est trop.
Le lien JC de 13h34 est absolument impayable pour qui ne comprend pas l’allemand!
« c’est là que gît le bonheur qu’il dit donatien »
On peut dire que mes épigraphes font recette, le boug ?
Et ce n’est que le début de mes divers « goûts de… »
Encore un effort pour être révolutionnaire !
A propos de son blog, Passou parle de pépites partageuses…
Très drôle ton lien, JC, mais Hitler me fait furieusement penser à dracul !
JC….. dit: 7 août 2014 à 13 h 34 min
« votre lien a du génie… »
« La borie se présente comme une cabane en pièrres sèches, c’est-à-dire sans interposition de mortier. Les historiens ont du mal à se mettre d’accord pour dater sa première apparition. On en rencontre énormément en Provence et parfois sous des noms différents comme : les granjons, les capitelles ou les cabanons pointus… »
Extrait de mon premier livre : « Maisons et villages provençaux », éd. Ouest-France, 1980.
Trois erdéliènnes en attente du berger !
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/9/93/Bories.JPG
Dernière nouvelle du Père-Lachaise (6e division) !
http://www.huffingtonpost.fr/2014/08/06/jim-morrison-mort-heroine-marianne-faithfull-complot_n_5654073.html?icid=maing-grid7%7Cfrance%7Cdl3%7Csec1_lnk2%26pLid%3D284102
« La borie se présente comme une cabane en pièrres sèches, c’est-à-dire sans interposition de mortier. Les historiens ont du mal à se mettre d’accord pour dater sa première apparition. (Jacques Barozzi)
De là la difficulté de les dater avec précision : entre l’âge du fer et le XIXe siècle, il y a de la marge.
Je ne comprends pas que notre cher vieux pays, terre de la glorieuse civilisation françoise, espace éclairé par Les Lumières, patrie agonisante des Droits de l’homme, cénacle de la Ratatouille des Philosophes, pucier de l’adultère charmant, table ouverte de la gastronomie… je ne comprends pas, dis-je, que nous ne défendions pas les tyrans les plus tranquilles, les monstres les plus candides, les crapules les plus solides… seuls capables de défendre leurs peuplades stupides des hordes d’Atillah pétro-financées, qui n’ont qu’une idée en tête : encalifater le monde, de barbus déments ivres de divin !!!
Boumediene ! Ben Ali ! Moubarak ! Saddam Hussein ! Kadhafi ! Pahlévi ! et vous, chers autres tyrans… comme vous étiez pratiques, comme interlocuteurs internationaux !
Avec vous, ça tournait rond !
le cas ou le caca bouguereau au choix: ce n’est pas avec son salmigondis quotidien qu’il va s’attirer les bonnes grâces de Passou lassouline qu’il injurie aimablement, de même avec le petit Court et ses chochotteries pédantesques, beau duo pouet-pouet que ces deux-là pour dénaturer ce blog, heureusement que Barozzi, Pado et hamlet relèvent le niveau
L’épigraphe, ça sert à rien…
désopilant le lien de jc, bises à tous
« Trois erdéliènnes en attente du berger ! »
Les bergers ont pris la fuite pour d’évidentes raisons … plutôt des chevrettes que de vieilles biques !
Boumediene ! Ben Ali ! Moubarak ! Saddam Hussein ! Kadhafi ! Pahlévi ! et vous, chers autres tyrans… comme vous étiez pratiques, comme interlocuteurs internationaux !
Avec vous, ça tournait rond ! (JC)
Quand nous aurons fini par comprendre que nos démocraties ne sont pas exportables en l’état, peut-être la démence des entreprises des émules d’un Bush ou d’un Sarkozy nous sauteront-elles aux yeux.
Onésiphore de Prébois 7 août 2014 à 14 h 46 min
question de pétrole
L’actrice de Massacre à la tronçonneuse a été retrouvée morte chez elle, à l’âge de 65 ans. Pensée émue pour cette héroïne du film qui a inspiré le commentarium de la RDL !
https://www.youtube.com/watch?v=6xdeuCKG98w
N’oublions pas, Oussama Ben Prébois, que ces interventions, Irak, Libye, ont été faites sous mandat !
Faut-il que les organes « internationaux » soient débiles pour suivre des allumés comme Bush et Sarkozy !
Par bonheur, EU/UN/NATO ont compris l’erreur et laissent le duo terrrrible Le Drian/ Zozollande s’amuser tout seuls, à nos frais, en Afrique sahélienne …
plutôt que tronçonneuse ici c’est massacre à la bétonnière quand on lit les exultations de ce misérable JC
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