de Pierre Assouline

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Epigraphes de rentrée

Epigraphes de rentrée

On ne le dira jamais assez : l’épigraphe d’un roman (qui n’est pas une exergue, contrairement à une idée répandue, car celle-ci est juste une inscription en tête d’un ouvrage) est un ambassadeur et un chevau-léger. Elle donne le la. C’est souvent ce qu’on lit en premier bien que ce paratexte ne soit justement pas de l’auteur. Il engage l’auteur plus qu’on ne le croit, à supposer que celui-ci l’ait choisi avec soin, afin d’y synthétiser non sa pensée mais son état d’esprit au moment de la conception, du mûrissement et de l’achèvement de son monstre ; la précision vaut d’être formulée quand on en connaît tant qui ne placent deux phrases d’un fameux ou d’un obscur qu’à seule fin d’épater la galerie, de frimer.

Trop ostentatoire, l’épigraphe discrédite d’emblée l’auteur en le faisant passer pour un cuistre. Trop elliptique, il y a fort à parier qu’elle ratera son objectif (ah ! ces auteurs qui ne traduisent pas ! sauf à croire qu’ils ne veulent être entendus que de quelques uns, cela m’est arrivé mais enfin, avec de l’anglais non traduit, on ouvre généreusement le spectre des happy few…). Trop longue, elle court le risque de n’être pas lue. Trop multipliée, elle est sûre de voir son effet annulé par la concurrence. Frédéric Beigbeder a fait très fort cette année dans le genre tarabiscoté (voir ci-dessous le barde anonyme du XVIème siècle).

Les meilleures donnent envie de se reporter aussitôt non au livre qu’on tient entre les mains mais à celui dont la citation est extraite. Certains préfèrent ne rien mettre ; d’autres, dans un accès d’immodestie, se citer eux-mêmes ; d’autres enfin rechercheront une manière d’adoubement en se plaçant sous le patronage d’un grand esprit, lequel n’en peut mais, ce dont l’auteur se défendra en invoquant l’hommage à un classique admiré. Il en est qui en mettent tant, excédant les trois auteurs cités qui paraissent d’ordinaire un maximum, que ce n’est plus un hommage mais une rafle.IMG_3002

La citation peut se placer entre guillemets, ou en italiques mais c’est l’un ou l’autre. Parfois, l’osmose est telle qu’on a envie d’applaudir à cette fusion-acquisition : un modèle du genre demeure l’une des épigraphes de chacun des chapitres de la Société du spectacle, moins pour la phrase que Guy Debord avait choisie (« Nous n’avons rien à nous que le temps, dont jouissent ceux mêmes qui n’ont point de demeure”) que pour la qualité de son auteur, Baltasar Gracian, et l’influence par lui revendiquée de son traité sur L’homme de cour. Tant il est vrai qu’une épigraphe réussie, c’est à dire bien choisie, gouverne et irradie le livre qu’elle annonce. En cette rentrée 2014, à Aurélien Bellanger revient la palme de l’épigraphe la plus brève :

« Reviens, Robot ».

Et à Eric Reinhardt celle de la plus interminable :

« Je demeurai comme charmé, durant près d’une demi-minute à contempler ce féérique spectacle… Me sentant bien asséché de la route, j’éprouvai, malgré moi, -je l’avoue,- une attirance vers le ténébreux enchantement de cette onde ! Sans mot dire, je me dévêtis, posai mes vêtements à côté de moi, presque au niveau de l’étang, et, ma foi,- j’y pris un bain délicieux,- éclairé par la complaisance de l’hôtelier, qui me considérait d’un air de stupeur soucieuse, concentrée même… car, vraiment, à présent que j’y songe, il avait des expressions de figure incompréhensibles, ce brave homme ». Villiers de L’Isle-Adam, « L’Agrément inattendu », in Histoires inédites

Certes seul le citateur sait pourquoi il s’y est reconnu ; mais l’on évitera de faire aussi long car l’intérêt du lecteur faiblit au bout de deux phrases et il faut se garder de raconter une histoire là où le lecteur ne recherche qu’une pensée, l’aboutissement d’une réflexion, sa brillante synthèse, voire tout simplement une formule.

Certaines épigraphes mériteraient de figurer dans une anthologie ; un Québécois en tient registre sur la Toile en lui dédiant un site ; par son moteur de recherche, on y découvre par exemple, au hasard, que Jacques-Pierre Amette avait trouvé l’épigraphe de son roman Les deux léopards dans un texte de son cher Botho Strauss. On se souvient peut-être de celle du Rouge et le Noir trouvée sous la plume de Danton (“la vérité, l’âpre vérité”) ou de ce que Sartre citait Céline en tête de La Nausée. Certains ont le don de citer à seule fin de redresser une citation fameuse trop malmenée : ainsi le mot de Buffon qui n’est pas « Le style, c’est l’homme » mais « Le style est l’homme même ». La fidélité dans la citation est la moindre des choses. Ce qui n’a pas empêché il y a quelques années Yannick Haenel de renverser le sens d’un vers de Paul Celan en épigraphe de son Jan Karski en le traduisant à sa manière pour servir son propos quitte à trahir le sens que le poète lui avait donné.

La Bible fait toujours recette en toutes saisons. C’est probablement le livre dans lequel les auteurs puisent le plus. A la bourse des citations, Pascal fait toujours bonne figure malgré le vertige. Ce qui est tout de même moins énigmatique que les citations anonymes (« Ces traces de neige sur la neige, qui les distinguera ? ») Pour vous donner un avant-goût de ce qui vous attend à la rentrée, florilège suit :

« C’est une chose grave que d’être toujours à deux ».

Friedrich Nietzsche

 « La cité des hommes, jadis une enclave à l’intérieur du monde non humain, se répand sur la totalité de la nature terrestre et usurpe sa place […] un appel muet qu’on préserve son intégrité semble émaner de la plénitude du monde de la vie, là où elle est menacée. »

Hans Jonas, le principe de responsabilité.

« One day I know/ We’ll find/  A place of hope/ Just hold on to me/ Just hold on to me. »

 PJ Harvey, A place called home

 « Il existe un rendez-vous tacite entre les générations passées et la nôtre. Nous avons été attendus sur la terre. »

Walter Benjamin, Sur le concept d’histoire

« L’homme est conduit, lorsqu’il croit se conduire, et pendant que par son esprit il vise à un endroit, son cœur l’achemine insensiblement à un autre ».

François de La Rochefoucauld, Maximes

 « Nous sommes devenus des épines dans les yeux des autres »

Rose Ausländer

« Ce qui, vivant, ne vient pas à bout de la vie, a besoin d’une main pour écarter un peu le désespoir que lui cause son destin »

Kafka, Journal, 19 octobre 1921

 

« Vigila el mar, vigila les muntanyes/ Pensa en el fill que duus a les entranyes. »

« Surveille la mer, surveille les montagnes,/ Pense au fils que tu portes dans tes entrailles. »

Pere Quart (Poète catalan)

« Quant au Soleil, il repose au milieu de toutes choses. En effet, dans ce temple suprêmement beau qu’est le monde, qui choisirait de poser ce luminaire dans un lieu autre ou meilleur que celui d’où il peut illuminer le tout simultanément ? »

Copernic

 « La scène n’était pas exempte de cette horreur profonde et comme religieuse que le spectacle de la culpabilité et de la honte d’un des leurs éveille chez les hommes avant que la société devienne assez corrompue pour que pareil spectacle fasse sourire au lieu de frémir »

Nathaniel Hawthorne, La Lettre écarlate

 « Vous êtes de faux nègres, vous maniaques, féroces, avares. Marchand, tu es nègre ; magistrat, tu es nègre ; général, tu es nègre ; empereur, vieille démangeaison, tu es nègre : tu as bu d’une liqueur non taxée, de la fabrique de Satan »

Arthur Rimbaud, Une saison en enfer

 « Au-delà du texte écourté, lacunaire, que chacun gribouille comme il peut, dans son coin, la lueur fugace, énorme, de la syntaxe générale »

Pierre Bergougnioux

« Etouffons, étouffons une ardeur détestable ;/ Ou bien mourons, avant que d’être plus coupable./ Mais que mon frère, au moins, en me fermant les yeux,/ Joigne une dernier baiser à des adieux ».

Ovide, Les Métamorphoses

 « Nous courons sans souci dans le précipice, après que nous avons mis quelque chose devant nous pour nous empêcher de le voir »

Blaise Pascal, Pensées

« Quelque part, je suis étranger par rapport à quelque chose de moi-même ; quelque part, je suis « différent », mais non pas différent des autres, différent des « miens » : je ne parle pas la langue que mes parents parlèrent, je ne partage aucun des souvenirs qu’ils purent avoir, quelque chose qui était à eux, qui faisait qu’ils étaient eux, leur histoire, leur culture, leur espoir, ne m’a pas été transmis. »

Georges Perec, Ellis Island

 « Non, ce n’est pas moi. C’est quelqu’un d’autre qui souffre. Moi, je n’aurais pas pu souffrir autant »

Anna Akhmatova, Requiem

« Oh ! oui, c’était ainsi, la vie de cet enfant avait été ainsi, la vie avait été ainsi dans l’île pauvre du quartier, liée par la nécessité toute nue, au milieu d’une famille infirme et ignorante, avec son jeune sang grondant, un appétit dévorant de la vie, l’intelligence farouche et avide, et tout au long un délire de joie coupé par les brusques coups d’arrêt que lui infligeait un monde inconnu »

Albert Camus, Le Premier homme

 « Kai jas ame, Romale ?/ Où allons-nous, Roms ?

N’avlom ke tumende/ o maro te mangel/ Avlom ke tumende/ Kam man pativ te den/ Je ne suis pas venu à toi/ Pour mendier du pain,/ Je suis venu à toi,/ Te demander de me respecter. »

(anonyme)

« Ne demande jamais ton chemin/ à celui le connaît. Tu risquerais/ de ne pas t’égarer »

Rabbi Nahman de Bratslav

 « Il faut attendre que le sucre fonde »

Bergson

« Tels des sauvages qui ont bu à perdre la raison et, dédaignant la parole, braillent tous les à la fois, en pleine folie, durant des heures, ainsi, à mes oreilles, ces brisants funestes hurlaient contre Aros dans la nuit »

R.L. Stevenson, Les Gais Lurons

 « La tête de poisson ricane/ entre les plis du chat crevé qui gonfle/- vert ou mauve ?- Le poil, couleur/ d’écaille, est misérable, colle »

Saint-John Perse, Eloges

« Un de mes rêves serait d’aller au cœur de notre planète Terre pour y chercher de l’uranium, des rubis et de l’or, et puis des monstres à l’état pur. Après, j’irai vivre à la campagne. Florie Rotondo, huit ans. » Florie, ma chérie, je comprends parfaitement ce que tu veux dire – même si toi tu ne le comprends pas : comment le pourrais-tu, à huit ans ? Parce que j’y suis allé, au cœur de notre planète, ou en tout cas j’ai enduré les tribulations de ce genre de voyage. J’ai cherché de l’uranium, des rubis, et de l’or (…) Ecoute, Florie, j’en ai rencontré des monstres à l’état pur ! Et aussi moins pur (…) La seule chose que je n’aie pas faite, c’est d’aller vivre à la campagne »

Truman Capote, Prières exaucées

 « Les pères craignent que l’amour naturel des enfants ne s’efface. Quelle est donc cette nature sujette à être effacée ? »

Pascal, Pensées

« SA(U)VA(G)EMENT »

Jean-Jacques Schuhl, Télex No1

 « Celui qui aujourd’hui ne se retire pas entièrement de ce bruit et ne se fait pas violence pour rester isolé est perdu »

Goethe, Entretiens avec Eckermann

« Elle était du nombre des femmes folles. Contrairement à la dignité royale, elle fit peu de cas des lois du mariage, et elle oublia le lit conjugal »

Guillaume de Tyr (XIIème siècle)

 « Il aimait la reine avec fougue, et pour ainsi dire à la manière d’un enfant »

Jean de Salisbury (XIIème siècle)

« Voyez, seigneurs,/ Mon corps n’est-il pas délectable ?/ Et le roi disait que j’étais diable ! »

Philippe Mouskes, évêque de Tournai (XIIIème siècle)

 « Are we going to Searborough fair ?/ (War bellows blazing in scarlet battalions)/ Parsley, sage, rosemary and thyme/ (Generals order their soldiers to kill)/ Remember me to one who lives there/ (And to fight for a cause they’ve long ago forgotten)/ She once was a true love of mine »

Barde anonyme du Yorkshire, XVIème siècle (Les paroles antimilitaristes, entre parenthèses, furent ajoutées par Paul Simon en 1966)

« Et qui suis-je ? Qu’un atome dans un rayon ? »

Joseph Joubert, Carnets

 « Le bourreau a prise sur tout en moi, excepté sur mon pouvoir de changer tous les supplices en apothéose »

Marcel Jouhandeau, De la grandeur

 « A la fin, la littérature se devait de plaider coupable »

Georges Bataille, La Littérature et le Mal

 « I have only slipped away into the next room ».

Henry Scott Holland, Death Is nothing at all.

 « Si peu de nous est en nous qu’il faut bien que le reste soit quelque part. »

Crommelynck, La Jeune Fille folle de son âme.

 « Je ne sais quel lointain y baigne toute chose./ Ainsi que le regard l’oreille s’y repose,/ On entend dans l’éther glisser le moindre vol ;/ C’est le pied de l’oiseau sur le rameau qui penche,/ Ou la chute d’un fruit détaché de la branche/ Qui tombe du poids sur le sol. »

Lamartine

« La Terre était déserte et vide et les ténèbres à la surface de l’abîme »

Genèse, i, 2.

 « Pour parler clairement et sans paraboles, – Nous sommes les pièces du jeu que joue le Ciel ; – On s’amuse avec nous sur l’échiquier de l’être, – Et puis nous retournons, un par un, dans la boîte du Néant. »

Omar Khayam, Les Quatrains, XCIV

« L’homme a une inclination à s’associer, parce que dans un tel état il se sent plus qu’homme […] poussé par l’appétit des honneurs, de la domination et de la possession, il se taille une place parmi ses compagnons qu’il ne peut souffrir mais dont il ne peut se passer. »

Emmanuel Kant, Idée d’une histoire universelle au point de vue cosmopolitique.

 « L’homme est un loup pour l’homme. »

Plaute, La Comédie des ânes.

« Mais les gens s’acharnent sur les paresseux. Tandis qu’ils sont couchés, on les frappe, on leur jette de l’eau fraîche sur la tête, ils doivent vivement ramener leur âme. Ils vous regardent alors avec ce regard de haine, que l’on connaît bien, et qui se voit surtout chez les enfants ».

Henri Michaux, Mes propriétés

 « Aucun de nous ne sait combien d’innocence il a trahi »

Graham Greene, L’Agent secret

« Ne me secouez pas, je suis plein de larmes. »

Henri Calet, Peau d’ours.

 « Malheur à vous, riches. »

Luc, 6, 24.

« When the legend becomes fact, print the

legend »


The Man Who Shot Liberty Valance, 1962

 « …oggi sono venuti da me diversi da Castelnuovo, ed altri luoghi raccontendo di avere veduti de Corsi ne boschie e chiedendomi riparo per la loro sicurezza. Ho procurato di fargli animo ma la paura, e l’immaginazione sono difficili a vincersi »

Lettre au Signore Siminetti, Segreteria Civile, livourne, 1773 (Archivio di Stato di livorno).

« Les gens ne croient pas qu’une fille de quatorze ans puisse quitter sa maison pour aller venger la mort de son père en plein hiver. Cela ne semblait pas si étrange, alors, mais j’admets que cela n’arrivait pas tous les jours. »

Charles Portis, True Grit, 1968.

 « ¿De qué temes, cobarde criatura? ¿De qué lloras, corazón de mantequillas? »

Cervantes (Don Quijote, II, 29)

« Le réel, ce vaste abattoir des illusions… »

François-Olivier Rousseau, Projection privée

(Photos Martin Parr et Passou)

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commentaires

1 172 Réponses pour Epigraphes de rentrée

Clopine dit: 7 août 2014 à 13h07

Pierre Assouline a eu peur ! Il a édulcoré son propos, alors qu’il devait juste annoncer l’exclusion tant souhaitée de jc…

(du coup, je range ma poupée, moi).

JC..... dit: 7 août 2014 à 13h09

Clopine, cachez vos mauvaises idées que je ne saurais voir …. ohohoho !

Onésiphore de Prébois dit: 7 août 2014 à 13h11

Par bonheur, EU/UN/NATO ont compris l’erreur et laissent le duo terrrrible Le Drian/ Zozollande s’amuser tout seuls, à nos frais, en Afrique sahélienne …( JC)

Sans doute, mais sans l’intervention de nos clampins, nous nous retrouverions avec un second Califat, des portes de l’Egypte aux portes du Maroc : une situation géopolitique des plus intéressantes.

willie dit: 7 août 2014 à 13h18

« ces interventions, Irak, Libye, ont été faites sous mandat ! »

pétrole oblige

JC..... dit: 7 août 2014 à 13h22

Oussama, je voudrais pas te choquer mais…. si on laissait faire les Marocains, les Algériens qui sont fâchés avec, les égyptiens du maréchal Messi Messi… ça trainerait pas !

Faut y aller avec la mentalité adéquate, pas chipoter « génocide » et petits enfants qui pleurent… non ! au napalm… comme au bon vieux temps, quand un génocide c’était 100.000 cadavres bouffés par les mites ou une jolie bombe nucléaire avec la peau du canard laqué !

C’est un humaniste qui te le dit : faut pas merdouiller frappes ciblées.

JC..... dit: 7 août 2014 à 13h24

Ah ! j’oubliais : on ne paie pas de rançon pour les otages. On les laisse mourir : c’est la vie ! Comme font les Anglais qui savent raisonner eux, dirait Voltaire qu’était loin d’être con.

des journées entières dans les arbres dit: 7 août 2014 à 13h26

JB, vous avez atteint le point God, hier à 23h02. C’est bien, il fallait quelqu’un pour se dévouer, et ainsi donner suite à la prophétie du Grand Assoubâ.
C’est hilarant.
(vous seriez, avec Dr Lecter – hors concours-, les plus approchants du sujet…)

Restons littéraire, il était une fois un château ou « Dithyrambes pour Dionysos »

Le Château Vaugelas étend ses 180 hectares de vignoble sur la commune de Camplong d’Aude, entre le Mont Alaric et la Montagne Noire. Appartenant aux Bonfils depuis 2000, la propriété comporte un chai de plus de 400 barriques, renouvelées chaque année au tiers, des cuves en béton revêtues mais aussi deux cuves originales tronconiques en bois de 80 hl permettant un remarquable travail de pigeage.
Dès le XVIème siècle, les Bénédictins implantèrent la vigne sur ce magnifique terroir d’éboulis graveleux schisteux apportés par l’Orbieu, qui coule aux limites du domaine. A l’époque le Château Vaugelas fournissait en vin l’abbaye de Lagrasse.

bouguereau dit: 7 août 2014 à 13h33

Dernière nouvelle du Père-Lachaise

suffit dlire le rapport des keufs baroz..rien ne vaut le maitre du chien policier..t’en as pour tes ronds..les chats c’est que du flan égotique

bouguereau dit: 7 août 2014 à 13h35

désopilant le lien de jc, bises à tous

faut toujours que la droite française copie la gauche américaine aprés tout lmonde jicé

bouguereau dit: 7 août 2014 à 13h37

les granjons, les capitelles ou les cabanons pointus…

faut arréter avec tes tas d’gravat baroz..la france en est couverte

bouguereau dit: 7 août 2014 à 13h39

les Anglais qui savent raisonner eux, dirait Voltaire qu’était loin d’être con

t’as un petit chapeau rouge et tu portes les valoches des bouana jicé

Phil dit: 7 août 2014 à 13h40

Ganz compose un Hitler crédible. Les Suisses ont une compréhension innée de l’homo germanicus, qui n’est pas une question de « genres ».

bouguereau dit: 7 août 2014 à 13h42

On peut dire que mes épigraphes font recette, le boug ?
Et ce n’est que le début de mes divers « goûts de… »

qu’on un gout d’invendu baroz !

Deneb dit: 7 août 2014 à 13h50

L’Espagne commet une grosse erreur en acceptant de rapatrier sur son territoire un des ses ressortissant (un missionnaire) atteint par le virus Ebola.
D’une part, ce virus est mortel à 90 % et les soins prodigués dans un hôpital moderne de Madrid ne peuvent que très faiblement influer sur le pronostic (pour ainsi sire quasiment pas). D’autre part, le virus étant extrêmement et durablement contaminant, présent et vivant plusieurs semaines dans toutes les sécrétions et excrétions humaines d’un malade, même si celles-ci sont sèches, il convient de prendre des mesures d’isolement démesurément complexes et coûteuses, lesquelles ne peuvent garantir une protection à 100 % dans la mesure où le risque n’est jamais totalement maîtrisé.
Si ce malade parvenait à survivre (10 % de chances), il resterait contaminant pendant des semaines par ses sécrétions et excrétions et ne pourrait donc en aucun cas quitter le dispositif d’isolement mis en place.
Le bons sens dicte de traiter les malades où ils se trouvent. Par ailleurs, compte tenu de l’ampleur de l’épidémie, historiquement jamais encore atteinte, devra se poser très prochainement la question du contrôle sanitaire d’accès des voyageurs en provenance des pays où l’épidémie est importante, avec probablement la mise en place de centres de quarantaine.

bouguereau dit: 7 août 2014 à 13h55

avec ton masque ton long nez et tes fumigations tu risques rien allez dédé..

D. dit: 7 août 2014 à 13h57

Deneb a raison, fermons les frontières, les aéroports et les sites internet.

bouguereau dit: 7 août 2014 à 13h57

heureusement que Barozzi, Pado et hamlet relèvent le niveau

tu les sents les coups dlangue au moins baroz ?

JC..... dit: 7 août 2014 à 14h01

Je ne voudrais pas choquer en vous livrant une réflexion militaire : le napalm étant vieillot comme traitement des fous furieux religieux, ne peut-on demander à nos savants du CNRS, sous-employés, d’inventer un virus Ebola, malin, capable de suppléer au napalm ?

Ne vous méprenez pas ! on ne discute pas de moraline bobo, ni de morale gnangnan ! on cause technique, juste technique : comment tuer des terroristes à peu de frais, avec une joli petit Ebola intelligent, sans tuer les braves gens qui passent par là et qui veulent vivre en dehors du Califat du Bonheur …

Sergio dit: 7 août 2014 à 14h07

JC….. dit: 7 août 2014 à 16 h 01 min
capable de suppléer au napalm ?

La bombe à dépression c’est très intéressant cela laisse la matériel à l’état neuf…

L'expert dit: 7 août 2014 à 14h09

« inventer un virus Ebola, malin, capable de suppléer au napalm »

Réponse : ça existe déjà en pire que le virus Ebola, et même des Etats voyous en possèdent, car les armes bactériologiques sont peu coûteuses et relativement faciles à « inventer ».

Deneb dit: 7 août 2014 à 14h09

Vous pouvez choisir de vous amuser de ce que j’écris, Bouguereau et D., mais je vous invite surtout à consulter les différents articles encyclopédiques sur le sujet, ainsi que la documentation de l’OMS et alors vous rirez peut-être moins en constatant que tout ce que j’écris est parfaitement fondé.

keupu dit: 7 août 2014 à 14h13

bouguereau, le petit Ruquier de ce blog est en perte de vitesse, il rame dans le vide sans les pagaies comme dirait bouguereau

des journées entières dans les arbres dit: 7 août 2014 à 14h22

Abdel, ce n’est pas le lac d’Annecy sur la photo.

Martin Parr, Italy. Lake Garda. Riva del Garda, 1999

bouguereau dit: 7 août 2014 à 14h32

La bombe à dépression

une kro ou deux et t’as re la pêche sergio !

bouguereau dit: 7 août 2014 à 14h35

tout ce que j’écris est parfaitement fondé.

sois sérieux un peu dédé..au pire tu te fais lécher le cul par keupu..nickel propre aprés

bouguereau dit: 7 août 2014 à 14h37

les armes bactériologiques sont peu coûteuses et relativement faciles à « inventer »

c’q’un con peut faire seul un plus con peut le rebouter..et là on est tranquille les gars..hon a le champion du monde, keupu

Sergio dit: 7 août 2014 à 14h37

es journées entières dans les arbres dit: Lake Garda. Riva del Garda, 1999

Tout est dans les lanternes mais le problème c’est qu’elles bougent… Comme quoi le romantisme c’est comme tout ça se fixe pas c’est quantique…

willie dit: 7 août 2014 à 14h38

JC « on ne discute pas de moraline bobo, ni de morale gnangnan »

adolf les gros muscles, tu te répètes

bouguereau dit: 7 août 2014 à 14h44

Riva del Garda, 1999

pas du tout l’eau c’est du vinyl et les arbres sont en zinc grossièrement peint, le livre est un rapport classé x..c’est la zone 51..mais non c’est prés de marseille jicé

bérénice dit: 7 août 2014 à 14h54

16h01 vous devriez faire attention à votre tribord, à toujours virer de ce côté vous irez vers l’arrière avant le point de départ, où vivaient vos parents en 36 . Ebola n’est pas domestiqué, j’ai le souvenir d’un médecin qui entre 1990 et 2000 y trouvait plus d’inquiétude que pour tout autre virus, il ne voyageait pas encore et le nombre des morts qui lui sont dues n’a jamais été discrétionnaire.

Sergio dit: 7 août 2014 à 14h57

ouguereau dit: 7 août 2014 à 16 h 44 min
le livre est un rapport classé x.

Boh j’aurais dit les Mémoires d’un âne ou les Petites filles modèles…

bérénice dit: 7 août 2014 à 15h02

je préfère à ce titre « La tangente des raviolis », un mal de mer à la moindre houle…

bérénice dit: 7 août 2014 à 15h11

keupu les raviolis aussi me donnent la nausée avec ou sans roulis, sur un bateau ça fournit l’occasion de faire un tour sur le pont sans toutefois envisager un baiser romantique, vous y côtoyez des congénères blêmes et aussi malade que vous l’êtes, règne une espèce de solidarité entre sub-vomissants, une forme de collectivité aérée et subitement claustrophobe qui ne parle pas tant elle s’occupe à guetter la fin du mouvement.

Onésiphore de Prébois dit: 7 août 2014 à 15h48

JB, vous avez atteint le point God, hier à 23h02. ( Des Journées…)

— Se trouverait-il dans la salle un lecteur de la RdL ? demanda le conférencier avant d’entamer son exposé.

— Oui, moi, risqua, après un instant de silence, un type chafouin assis au dernier rang, engoncé, malgré la chaleur, dans un imperméable mastic qui le faisait vaguement ressembler, avec la moustache, à Bruno Ganz dans le rôle d’un cher d’Etat peu connu du siècle dernier. — Aurai-je le privilège de venir vous serrer la main ?
— Bien volontiers, répondit le conférencier, le bien connu Piotr Patchouline ( de l’Académie Congourd).

Le type chafouin se leva et progressa péniblement vers l’estrade , manifestement gêné à la fois par la chaleur et par la quadruple ceinture d’explosifs qu’il dissimulait sous son imper.

— Saurai-je votre blaze, lui demanda Patchouline en lui tendant la dextre.

— Onésiphore de Préb.., fit le faux Adolf, en appuyant sur le bouton planqué dans son slip.

Il n’acheva pas. Une explosion proprement apocalyptik éventra le plafond de la salle capitulaire de l’abbaye de Lagrasse (XIIIe siècle, inscrite à l’inventaire supplémentaire des MH).

Ce n’est que huit jours plus tard, qu’on retrouva, coincé dans un créneau du rempart de Carcassonne, le chef de Piotr Patchouline, qu’éclairait le sourire triomphant du blogueur recordman du monde des commentaires débiles avec pas moins de 2342 posts à propos d’une énième provoc imbécile d’un certain Eddy Louis.

Aux dernières nouvelles, le pronostic vital de la bienheureuse Clopine Troudebout, canonisée à travers la nef dans le puits du cloître, n’est plus engagé. Réduite à un tronc privé de bras, de jambes et d’oneilles, elle a gardé toute sa conscience et se propose déjà d’écrire la biographie hagiographique de Patchouline avec son nez.

des journées entières dans les arbres dit: 7 août 2014 à 16h11

JB, je savais bien que vous alliez lui péter sa gueule à l’Eddy.

keupu dit: 7 août 2014 à 16h20

merci Onésiphore pour votre joli conte qui révèle que le faux Adolf c’est bougureau (rot), bien vu

ST dit: 7 août 2014 à 16h39

« Suite à l’appel de l’écrivain Edouard Louis et du philosophe Geoffroy de Lagasnerie contre la participation de Marcel Gauchet aux «Rendez-vous de l’histoire» de Blois, Olivier Steiner rappelle que l’expression d’opinions divergentes est nécessaire au débat. » (LIBERATION)

Suite du feuilleton avec une tribune dans « Libé ». On joue le bon sens.

JC..... dit: 7 août 2014 à 16h47

« 16h01 vous devriez faire attention à votre tribord, à toujours virer de ce côté vous irez vers l’arrière avant le point de départ, où vivaient vos parents en 36 »

Euh …… ! Excellent…. excellent !…félicitations ?…

bouguereau dit: 7 août 2014 à 17h27

Si le ravioli ne sont pas un produit maison, ils ne sont pas

toutafé! comme les lasagnes qui ne connaissent pas la route de l’écurie..fameux plat rénateau

Onésiphore de Prébois dit: 7 août 2014 à 17h43

« Le réel, ce vaste abattoir des illusions… »

François-Olivier Rousseau, Projection privée

Il serait sans doute plus juste de dire : « les illusions, ce vaste abattoir du réel ». Voir ce qu’en dit Cioran dans un livre souvent magistral, « le Mauvais démiurge ».

ST dit: 7 août 2014 à 17h48

Dans Libération, Édouard Louis et moi-même publions une mise au point pour réaffirmer les raisons de notre appel à boycotter les Rendez-vous de l’histoire. Elle prend la forme d’une tribune cosignée par une trentaine d’autres intellectuels, écrivains, artistes, etc. qui s’inquiètent, avec nous, des conditions du débat public aujourd’hui. » Geoffroy de Lagasnerie

Sur son site, vous pouvez prendre connaissance des premiers signataires. Que des pointures de premier plan ! Au moins, ils font montre d’un certain courage : celui de revendiquer délibérément la censure.

des journées entières dans les arbres dit: 7 août 2014 à 17h55

ST, c’est un hétéronyme de situationniste débordé par les évènements, ça
bzz, bzz.

JC..... dit: 7 août 2014 à 18h02

Entre Eddy Louis et Blaise Pascal, il y a une proximité médiatique inexistante, qu’il n’y a jamais eu entre Johan Sébastian Bach et Dario Moreno …

… assimilable aux écarts que nous pourrions constater entre Hypatie et… coupure de communication…

des journées entières dans les arbres dit: 7 août 2014 à 18h11

JB, vous savez quoi ?
Je vais m’inquiéter de ce livre de Dominique Schneidre.
Dès demain.

ST dit: 7 août 2014 à 18h25

« Je vais m’inquiéter de ce livre de Dominique Schneidre. »

Incommu(e) au bataillon.

des journées entières dans les arbres dit: 7 août 2014 à 18h31

ST dit: 7 août 2014 à 20 h 25 min
C’est étrange en effet, ST, que cet écrivain -que je ne connais pas- n’ait jamais (?) été chroniquée sur la RDL.
Ce qu’elle dit dans l’extrait vidéo donné en lien ci-avant, avec cet épigraphe :
« Le réel, ce vaste abattoir des illusions… »
est intrigant.
(et puis -confidence, elle a un âge qui – à titre personnel- m’interpelle)

ueda dit: 7 août 2014 à 18h32

Je suis allé voir le lien indiqué par ST.

J’apprécie beaucoup ce paragraphe:

« Nous ne voulons pas reconnaître les discours que Marcel Gauchet et les cénacles qui tournent autour de lui relaient comme des discours acceptables et sujets à l’on ne sait quel débat. Nous ne voulons pas que soient présentées comme tolérables les idées selon lesquelles les femmes seraient naturellement portées vers la grossesse, que la société souffrirait d’une « marginalisation de la figure du père » et de l’avènement d’un « matriarcat psychique », que la mariage pour tous représenterait un « dispositif pervers », que la lutte antiraciste pourrait comporter des risques, pour ne citer que quelques-uns des poncifs ultraréactionnaires que Marcel Gauchet fait circuler à travers ses écrits, ou dans sa revue Le Débat. »

« Sujets à l’on ne sait quel débat… voulons pas que soient présentées comme tolérables les idées… »
C’est formidable.

On dira que ce sont deux jeunes cons.
Sans doute.

Mais leur hystérie, quoique reconnaissable dans son style (une lignée Foucault-Eribon), est un peu attrape-tout: elle se conjugue avec l’inspiration plus paranoïaque du boursieusisme avancé.

Mais non, je ne les psychiatrise pas, ils ne sont pas plus fous que vous et moi!

Rappelons (hein) que « l’hystérie » ne relève pas seulement du sexe mais désigne un rapport particulier au savoir.

(Je suis bien content d’apparaître dans ces lieux comme une sorte de spectre post-lacanien.
Voilà bien longtemps que ça ne m’était pas arrivé, merci Geoffroy et Edouard)

renato dit: 7 août 2014 à 18h51

« On joue le bon sens. »

Lu.

Sauriez-vous détecter la petite vacherie qu’Olivier Steiner sert aux deux impulsifs champions du boycott ?

Zarbi dans les jarres dit: 7 août 2014 à 18h51

des déburnées entières dans les arbres dit: 7 août 2014 à 20 h 11 min
vous savez quoi ?
Je vais m’inquiéter

Like I say,you’re so gay…
Elle s’inquiète et la littérature frémit

des journées entières dans les arbres dit: 7 août 2014 à 18h54

Zarbi dans les jarres dit: 7 août 2014 à 20 h 51 min
vous savez, si vous jouiez aux poupées lorsque vous étiez petit, et que vous mettez des robes de filles, vous pouvez bien allez pavaner au bois de Boulogne, si ça vous chante. Je n’y suis pas.

Giovanni Buitoni dit: 7 août 2014 à 18h55

renato dit: 7 août 2014 à 17 h 25 min

Si le ravioli ne sont pas un produit maison, ils ne sont pas.

et en vertu de quoi je vous prie, Monsieur ??

des journées entières dans les arbres dit: 7 août 2014 à 18h59

Zarbi , vous chantez ?
Je vous demande ça, car il y a de la con currence, à l’Eurovision.
On peut vous soutenir pour 2015, si vous voulez.

renato dit: 7 août 2014 à 19h00

« et en vertu de quoi je vous prie… »

Vous n’avez qu’à faire l’expérience.

bouguereau dit: 7 août 2014 à 19h08

une sorte de spectre post-lacanien

lacan soutenait toujours les pédants audacieux..il ne jouait pas le bonsens mais le vent..et le vent c’est comme tout il change

bouguereau dit: 7 août 2014 à 19h11

les illusions, ce vaste abattoir du réel

les deux sont spécieux jean marron..des gummihoses comme dirait vontraube

bouguereau dit: 7 août 2014 à 19h12

Réduite à un tronc privé de bras, de jambes et d’oneilles

une rigolote pleine de poil en somme

des journées entières dans les arbres dit: 7 août 2014 à 19h30

Même s’il a mangé son cheval en lasagnes, me semble avoir compris – à confirmer- que Montaigne a inspiré Pascal, pour ce qui est de colloquer.

« discuter, mais de questions graves ou intellectuelles.
« Raisonner de quelque affaire, ou de quelque point de doctrine » (Acad. 1694). « L’affaire est importante, elle mérite que nous en conférions à loisir » (Acad. 1694).
« Ces docteurs ont longtemps conféré sur les questions qui leur ont été proposées » (Fur.). On sent bien qu’en ce sens le verbe n’est aucunement synonyme de « bavarder »,
ou de « converser ».

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/caief_0571-5865_1988_num_40_1_1689

des journées entières dans les arbres dit: 7 août 2014 à 19h46

closer, vous participez vous aussi à ce commerce effroyable qui consiste à répandre la bêtise crasse ?

Allez, je vais vous souhaiter bonne nuit bien obscure.
Un truc, entendu dans l’autoradio, la clim était en panne.

http://www.youtube.com/watch?v=2vjPBrBU-TM

D. dit: 7 août 2014 à 19h52

renato dit: 7 août 2014 à 21 h 00 min

« et en vertu de quoi je vous prie… »

Vous n’avez qu’à faire l’expérience.

Ma que ?

Court dit: 7 août 2014 à 20h03

Il y aurait beaucoup à dire sur ce texte, avec la photo du chérubin chéri des médias,Nouveau Saint Sébastien, d’une époque qui en consomme pas mal, et le déferlement de tolérance qui s’y trouve.
Quant aux « pointures » invoquées, un conglomérat d’ ultras plus ou moins usés de la gaytitude et du spectacle (Téchiné!) ne saurait prétendre représenter une pensée autre que celle, éminemment prévisible, qu’il affiche en pareille circonstance. Terroriste et sectaire, spécialement à l’égard des femmes.
Il convient, par delà ce Barnum médiatique, de renvoyer ces positions dictatoriales dans les limbes du non-évènement, et de mesurer par ce texte la force des esprits auxquels nous sommes confrontés. Rien d’autre que des apparatchiks roses.
MCourt

Widergänger dit: 7 août 2014 à 20h12

Court toujours aussi impayable… Sa prose n’est pas rose mais quelle prose…! prosit !

ueda dit: 7 août 2014 à 20h22

« et puis -confidence, elle a un âge qui – à titre personnel- m’interpelle » (boniche)

M’interpelle…

Voilà une manière bien vulgaire de désigner l’honnête pied au cul.

Widergänger dit: 7 août 2014 à 20h23

J’ai bien aimé « l’inspiration paranoïaque du boursieusisme avancé » (ueda). C’est fort, très fort ! Boursieusissons, boursieusissons, mes petits chéris.

Sergio dit: 7 août 2014 à 20h33

Dans les raviolis, il y a du boeuf ; seulement élever ces animaux-là au quatorzième étage de Parly VIII…

des journées entières dans les arbres dit: 7 août 2014 à 20h33

Bien sûr, c’était sans compter sur l’inénarrable folle uhuh qui arrive vent debout.

« il y a plusieurs façons d’éliminer quelqu’un. Elle avait choisi la méthode douce, moins sûre que d’autres et moins expéditive »

http://books.google.fr/books?id=hQ5JAwAAQBAJ&pg=PT3&lpg=PT3&dq=dominique+schneidre+r%C3%A9el+illusions&source=bl&ots=abfj5wRW91&sig=PrwyXwsGwLYdXvFF-9RCk5Dgnd0&hl=fr&sa=X&ei=juHjU4HvJ4WY1AWNiIEo&ved=0CCIQ6AEwAA#v=onepage&q=dominique%20schneidre%20r%C3%A9el%20illusions&f=false

ueda dit: 7 août 2014 à 20h41

D. dit: 7 août 2014 à 21 h 53 min
c’est post-lacanien, un ravioli en boîte ?

Halte.
Lacan fut aussi un hamlet (avec h) de la psychanalyse.
Il était bien sombre à la fin de sa vie.

Le livre de Haddad (puisque j’en ai parlé et que tout ceci est placé par P. A. sous le signe du discours névrotique)…
J’ai lu jusqu’au bout ce livre pathétique (entendre qu’il suscite autant l’émotion que l’hilarité).

Un mec aussi bouffé de l’intérieur que notre ami WG (que je salue car s’il est un moulin en roue libre, au moins moud-il du grain), mais avec une ténacité à mettre sous le nez du lecteur ses errances, son mélange de réflexion et de naïveté, d’intelligence et de connerie, qui mérite la considération.
Indécrottable, malgré tout.

Il est très bien sur Comment entrer dans le judaïsme par Lacan, un peu plus flou sur Comment en sortir.

Le livre se termine par le rêve de l’adoption de l’auteur par Lacan, ce qui en donne la clé, et constitue par moment un tableau absolument poilant de l’analysant jobard, roulé dans la farine lacanienne (une farine admirable, une farine à l’occasion géniale, je n’ai jamais dit le contraire).
Allez-y voir, si vous ne me croyez pas: p. 367-73.

Lecture pour l’été!
J’en suis sorti gaillard.

(Belle équanimité de Pierre Assouline sur son blog dans l’extrait de You Tube.
Parfait.)

ACP dit: 7 août 2014 à 20h57

« équanimité »

Yapa à dire, il en jette zouzou.
Yena quand même qui font kagne (ou un truc du genre) pour autre chose que pour pleurer à Blois.
« Plus grand vivant que mort », belle devise.

ueda dit: 7 août 2014 à 20h57

Widergänger dit: 7 août 2014 à 22 h 45 min
Dire que Lacan est « génial » c’est vraiment ne rien dire.

Ce n’est pas ne rien dire, WG, mais dire peu de chose.
C’est peu, c’est quelque chose.
— Le dire en 2014 a un autre sens que le dire en 1966.

Lacan avait une génialité aussi indéniable que celle de Landru ou de Charlie Parker.

ACP dit: 7 août 2014 à 21h09

« Lacan avait une génialité aussi indéniable que celle ……..de Charlie Parker. »
ueda

Parfois j’ai quand même l’équanimité qui se rebelle un chouia.
Comparaison…. raison.
Sur la commode oui.

D. dit: 7 août 2014 à 21h52

C’est la guerre, renato. Je vous annonce que depuis 23 h 30 la France est en Defcon niveau 1. Des Rafale, des Mirage 2000 et des hélicoptères Tigre ont décollé de toutes les bases et tentent d’intercepter plusieurs objets volants non-identifiés.
Qu’est-ce que vous dites de ça ?

D. dit: 7 août 2014 à 21h55

Pour l’instant il n’y a que France info qui a lâché le truc. Hollande interviendrait à la TV et sur les radios à 00h 30. Plusieurs bases de missiles auraient été « visitées » ainsi que l’ile longue à Brest.

D. dit: 8 août 2014 à 22h09

renato, le héro, est en train de manger des raviolis faits maison quand son voisin, un lacanien affolé, sonne à sa porte et lui assène ces terribles nouvelles.
renato tombe ensuite à genoux, repousse l’assiette de raviolis et se met à prier la madonne.

D. dit: 8 août 2014 à 22h13

puis une soucoupe volante se place en vol stationnaire au dessus de Colmar et envoie de mystérieux rayons rouges. Tout se met alors à décoller dans l’appartement de renato, plus rien ne tient au sol, et renato lui même flotte dans le rayon en s’élevant vers la soucoupe.
Pendant ce temps-là des entités bilogiques de forme humanoïde ont pénétré de partout et foutent un bordel sans nom en gazouillant.

salluste dit: 8 août 2014 à 22h20

(merci de continuer à négliger, ignorer, tout bonnement, mon sens de l’épigramme)

ST dit: 8 août 2014 à 22h28

Vous avez raison, D, je lisais l’autre jour que la SF était encore l’un des rares secteurs de l’édition qui marchait bien. Vous avez une chance de devenir très riche.

renato dit: 8 août 2014 à 22h53

Il y a un hic, D. Les éclaireurs d’une armée infiniment plus puissante que celle qui a envoyé ces quatre primitives soucoupes, ont déjà exfiltré renato : le secret de la transformation de l’or en sable est donc maintenant en lieu sûr. L’appartement que les espions ont cru habité par lui est maintenant vide… enfin, vide… un vieux Nagra passe en boucle quelques mesures d’une vieille chanson de Madonna : une arme létale car ces quelques mesures répétés en boucle ont le pouvoir de réduire en compote le système nerveux de quiconque les écoute sans la préparation ou la protection adéquate.

abdelkader dit: 8 août 2014 à 23h26

des journées entières dans les arbres dit: 7 août 2014 à 16 h 22 min
merci des journees…je vois Annecy partout, ces jours-ci…

abdelkader dit: 8 août 2014 à 23h37

traverse la rue pour l’éviter…
Une histoire fascinante…le photographe et le macaque (non cui de pq, c’est un bouc pas un singe…pas assez de classe)…bref le juge anglais a adjugé que même si la camera appartient au photographe, si c’est le singe qui appuie sur le bouton, c’est le singe qui a le copyright… case dismissed !

http://www.telegraph.co.uk/technology/news/11015672/Wikipedia-refuses-to-delete-photo-as-monkey-owns-it.html
ce singe est trop cool…

B comme BERLIN dit: 8 août 2014 à 0h35

Si les raviolis ne sortent pas d’une boite Buitoni, ce ne sont pas des raviolis.
Paroles d’un vrai français.

r-ôse dit: 8 août 2014 à 2h08

Y a-t-il encore autre chose que des pétasses qui passent leur putain de vie à feuilleter un album de mariage ici ?

Giovanni Sant'Angelo dit: 8 août 2014 à 2h26


…il y a ceci,…dans la vie,…de ne pas vouloir exister pour et par les autres,!…
…vouloir vivre dans son cocon,…ses seules illusions,…aucun maître à penser,…libre et à se suffire,…
…à ne prendre aucune initiative, à intervenir,…à la  » fresco « ,…en deuxième couche,…reprendre en glacis, les tons chauds,…garder les contrastes d’ensemble,…

…encore des toiles de suggestions,…mais, Monsieur,…la vie en garder pour la continuité des moteurs d’esprit,…c’était pas une maison de dévotion avant,…ou plutôt si,…toutes ces peines pour çà,!…ces héros, ces batailles,…de ses acquis ses nations,…bordels de merdes,!…l’internationale,! des eaux et forêts,…toutes ces sources à garder,!…

…çà ou autres choses,!…le haut du pavé,…un bas qui blesse,!…pour ne pas en découdre,!…les bas en séries,…les rouges, les verts, les bleues, les jaunes,…bien tendus les muscles pour se mettre ses bas,…
…v’là,…autre chose,!…
…et si l’on ne s’occupe de politiques,…la politique s’occupe de vous,…mes monastères, mes temples d’illusions des bourses à rien foutre,!…
…et toutes ces portes ouvertes aux étrangers,…la ville offerte comme une proie,!…familles égarées échiquetées,…à traînées leurs médiocrités construites en amont,…
…s’en sortir,!…leurs travailles en esclavages,…en loyers,…en misères de médias construites à niveaux,…sacrifiés à l’échiquier du temps,…toutes ces vies agglomérées pour une  » chimie  » de soumission coûte que coûte,…une cour, pour la cour de la cour d’état en cour,!…
…à chacun,…son caca de pyramide en cour,!…mes ministres du parfum en mouches par couches à strates des coures à courses à courent,…
…mon cocon,…le plat du jour,!…du boudin,…aux variantes en cour,…sel, poivres,…moutarde pour nous en relever le goût,… » je maintiendrait,…Oui,!…mais quoi,!… »,…mon bâton de berger,!…pour tourner en rond,!…sur l’échiquier,!…
…etc,!…
…Ah!,Ah!,…Ah!,Ah!,…

JC..... dit: 8 août 2014 à 3h42

Malgré tout le respect dû à son grand âge, les engagements idéologiques de Roger Godement, tels qu’ils sont proclamés dans sa missive de 1971 mise en lien, font sourire aujourd’hui…

Cette époque de grande couillonnade 68tarde frappait les meilleurs, ceux qui supportaient les démocrates d’Hanoï et les khmers rouges cambodgiens, pantins qui avaient le culot de distinguer, par cris et banderoles, le pur de l’impur dans les manifs utopico-comiques. Admirables rêveurs, idiots utiles de politiciens de dirigeants bien plus cyniques …

Certains mourront toujours persuadés que ces qualités humaines sont non-miscibles, qu’avec un bon « système » on peut séparer le bien du mal !

Ne pas perdre son temps avec les simplificateurs totalitaires et réducteurs, fussent-ils grands mathématiciens ou philosophes ou bons artisans !

JC..... dit: 8 août 2014 à 3h46

« Lacan avait une génialité aussi indéniable que celle de Landru ou de Charlie Parker. »

Il y a des phrases, comme ça, qui font rêver…

JC..... dit: 8 août 2014 à 4h01

Je crois fermement, comme notre spécialiste Dédé, que les Extraterrestres ont investi nos dirigeants politiques, nos philosophes, nos rebelles, nos artistes, durant les longues nuits d’hiver …

Il suffirait de gratter un peu la peau de ces messieurs-dames pour découvrir la structure macroscopique organique complexe des êtres venus de la galaxie, monstrueuses bestioles qui ont pénétré les meilleurs d’entre nous.

Ils sont parmi nous ! Ils sont là ! Sous nos dirigeants, les moules extraterrestres veillent !

JC..... dit: 8 août 2014 à 4h06

Ce qui tue l’Europe est ce qui nous tue en France : la paralysie active des porteurs de lunettes sales.

kicking dit: 8 août 2014 à 4h54

et il continue d’aboyer en permanence être dans le bon camp.. le fayot éternel..

JC..... dit: 8 août 2014 à 5h34

Chouette ! ça bouge de nouveau en Palestine !

Fin de la trêve… Pour notre joie effarée de bonheur imbécile, les Joyeuses Taupes de Gaza vont recreuser des tunnels financés par l’aide européenne et internationale, et relancer régulièrement des croquettes empoisonnées à ces génocidaires amateurs, nos sales amis Juifs financés par l’aide américaine.

Parfait !…. On commençait à s’ennuyer …

Mme Michu dit: 8 août 2014 à 5h47

Juste pour rire en passant… Non mais t’imagines le super bon coup qui a besoin de menaces et de chantage ?

renato dit: 8 août 2014 à 6h58

« Ce qui tue l’Europe est ce qui nous tue en France : la paralysie active des porteurs de lunettes sales. »

Voilà ! Je suis encore une fois hors du coup car mes lunettes sont toujours ‘parfaitement’ propres.

JC..... dit: 8 août 2014 à 7h05

Renato,
Si les humains étaient propres comme vous (et moi ?) le monde irait parfaitement bien : le bonheur partout, pour tous, tout le temps …

ueda dit: 8 août 2014 à 7h33

« Nous sommes devenus des épines dans les yeux des autres »
Rose Ausländer

Qui plus est, devenus aveugles ils nous ignorent.
Les autres sont des snobs.

(Je sens un frétillement au bout de la ligne.
Sous le prochain billet, un gardon de Lagrasse?)

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 7h58

Avant que son cerveau n’atteigne la vitesse au plancher de 100% de ses capacités, la Lucy contemporaine du film de Luc Besson va se reconnecter à la Lucie des origines de l’humanité. La différence entre elles deux ? L’une porte des talons aiguilles de chez Christian Louboutin et l’autre pas : génial !

Giovanni Sant'Angelo dit: 8 août 2014 à 8h06


…Sabotages à cons,!…comme les événements  » 68tards « ,…
…c’est toujours çà,!…
…pour en détourner la concurrence d’élèves studieux des sciences,…les excités-rebelles,!…
…à l’argent,la richesse tout de suite,…à garantir votre bourgeoisie & train de vie,!…
…à la  » gauche nouvelle « , comme des sangsues pour guérir des crises,…la thérapie,…juste encore quelques années,… dans cette période  » choc « ,…le temps de spolier tout le monde, en sursis,!…

…des fruits pour le ciments, de quoi se désagréger l’avenir, encore plus vite,…

…un air de déjà vu,…s’infiltrer dans les partis-politiques à rien foutre,!…pour se changer des églises, une autre diversion des  » prêcheurs d’évangiles « , à la mode,!…les concerts,…les fans – débiles,…les croisades nouvelles,…pour les cocus heureux,!…en bouteilles,!…du cru 2014,…

…droite-gauche,…mêmes recettes,…sous le pinceau du profit,…les oeuvres du temps à l’abris,!…la squaw, en grotte,…etc!,…
…à mon cocon – sidéral,…Ah!,Ah!,…
…à ma tasse de café,!…une autre gauche,…moins cloporte,!…
…une gauche d »Aristocrates,!…à gratter son milliardaire aux fromages,…
…la Cour,…poils au cul,!…etc,!…

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 8h08

«Lucy» de Luc Besson a totalisé 354 000 entrées en France dans 680 salles mercredi pour son premier jour d’exploitation (dont 86 000 entrées sur Paris périphérie). Un bon démarrage après le bon score de ce film aux États Unis : 80 millions de dollars de recettes en 2 semaines, alors que le film a coûté 40 millions de dollars au total.

J’y étais et vous irez, même si en France on aime pas les tenants du ticket gagnant !

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 8h15

En revanche, la palme d’or 2014 du festival de Cannes, « Winter sleep », est loin de remplir les salles. 3h 16′ de projection purgative !
La palme d’or c’est comme le prix Goncourt, à force de compromissions concensuelles, c’est rarement le meilleur qui l’emporte !

JC..... dit: 8 août 2014 à 8h17

De Rabelais, cette chanson scélérate citée dans le Quart Livre :

« Grand Tibault, se voulent coucher
Avecques sa femme nouvelle,
S’en vint tout bellement cacher
Un gros maillet en la ruelle,
O ! mon doux amy (cedict-elle),
Quel maillet vous voy-je empoingner ?
— C’est (dist-il) pour mieux vous coingner,
— Maillet (dist-elle) il n’y fault nul :
Quand gros Jan me vient besoingner,
Il ne me coingne que du cul. »

Les éléphants roses d'Eze dit: 8 août 2014 à 8h19

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 9 h 58 min
la Lucie des origines de l’humanité

Jacky, on t’a déjà dit de ne pas faire Histoire sans vérifier sur wikiki.
C’est simple pourtant.

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 8h21

Mais là c’est pas Histoire mais Préhistoire, éléphants roses !

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 8h25

Dans le film Lucy, la statue de Robert de Sorbon est réduite en miettes. ueda saura t-il nous dire pourquoi ?

Planquez vos arrières dit: 8 août 2014 à 8h26

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 10 h 19 min
Rabelais était-il sodomite, JC ?

Gaffe tous, la concierge est dans l’escalier.

Mme Michu dit: 8 août 2014 à 8h30

ceux qui, contrairement à un Jacques (ou à moi-même) font assaut de sincérité…

Clo-Clo, tu veux pas venir geindre aussi à côté de Jacques et dire qu’on est tous que des ingrats rapport à tout le bien que tu nous fais ici ?

Les éléphants roses d'Eze dit: 8 août 2014 à 8h32

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 10 h 21 min
Mais là c’est pas Histoire mais Préhistoire

Chipote pas Jacky, t’as encore tout faux.
Vérifie on te dit.

JC..... dit: 8 août 2014 à 8h35

Comme disait Kennedy, je crois : « Nous sommes tous des sodomites allemands ! »

JC..... dit: 8 août 2014 à 8h39

Clopine, et alliés, font assaut de sincérité « forcée ». La sincérité pour faire joli, pour reluire, pour lustrer le saint ou la sainte, quoi … !

Il n’y a pas plus faux qu’une personne sincère.

Cong dit: 8 août 2014 à 8h44

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 10 h 15 min
concensuelles

Imaginer qu’il soit sensuel est si improblable pour lui qu’il n’arrive pas à l’écrire.

Si déjà le mieux est l'ennemi du bien dit: 8 août 2014 à 8h52

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 10 h 15 min
La palme d’or c’est comme le prix Goncourt, à force de compromissions concensuelles, c’est rarement le meilleur qui l’emporte !

Jacques, pouvez-vous nous donner les critères de choix du « meilleur » ?
Selon vous, restons simple.

Mme Michu dit: 8 août 2014 à 8h54

à force de compromissions concensuelles

Faire dans la dentelle chez les cache-merde…

Mme Michu dit: 8 août 2014 à 9h01

Enfin, bref, yenaki (chez les proprets) pour se vanter d’enculer il leur suffit de trouver un trou du cul et de le pointer du doigt. Grand dieux, à chacun ses petits soucis…

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 9h08

« pouvez-vous nous donner les critères de choix du « meilleur » ? »

Ce qui ne fait pas concensus dans Télérama.

« Selon vous, restons simple. »

Le cinéma de Besson est loin d’être simple, j’y vois une parenté avec celui des origines, tel le grand Méliès, qui s’est ruiné en créant ses propres studios…

JC..... dit: 8 août 2014 à 9h11

Dites-moi, Dame Michu…

Avant de réaliser votre rêve d’épousailles avec ce crochu de Michu, n’étiez vous pas la cadette bossue, plus que dodue, de Louis Enguerrand Marie, duc de Scatologie sur Cuvette ?

Parce que, on sent fort bien que vous aimez ça …

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 9h13

Phil vous rappellera que dans mon « Goût du cinéma » j’avais mis un extrait d’un roman de Robert Brasillach, qui nous faisait visiter les studio de Méliès à Montreuil : censuré par la bonne pensance des éditions Gallimard !

Mme Michu dit: 8 août 2014 à 9h23

on sent fort bien que vous aimez ça …

Tu veux dire que je n’ai aucun besoin de le hurler tous les jours à qui ne veut pas l’entendre ? Pas faux…

Mme Michu dit: 8 août 2014 à 9h34

Toujours autant puant l’idée fixe, le JC… Bientôt il va nous écrire un Goût du Bonheur chez les merdeux mégalos-collectifs qui n’ont jamais assez de lèche-cul-béquilles, autant dire que ça va ratisser large !

Polémikoeur. dit: 8 août 2014 à 9h39

La courbure asymptotique du commentarium
tendrait-elle vers un « génial » définitif,
tout étant dit dans ce mot en épigraphe
autant que sous forme de critique ciné ?
Est-il alors encore question de cerveau,
même utilisé à dix pour cent (fumisterie
sur mesure pour « coaching » de performance)
ou seulement d’arc réflexe médullaire ?
Juste assez de synapses pour actionner
le bouton « like » ou « buy » du « smartphone » !
Trop-super-méga-fun&raillement.

Polémikoeur. dit: 8 août 2014 à 9h45

Il y avait un cinéma commercial,
soit dit sans jugement de valeur,
il est simplement devenu consommable,
avec un menu chips, coca et pop-corn.
Superbessoniquement.

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 9h50

« Il y avait un cinéma commercial, »

Un cinéma populaire, un cinéma de quartier, Popo, le cinéma commercial, fnac + Télérama, ce serait plutôt la palme d’or, sublime, forcément sublime, mais chiante !

Phil dit: 8 août 2014 à 9h58

ouiche baroz…mais vous auriez pu mettre des extraits du Brasillach, récrit et republié en poche dans les années 60. C’est le goût de la censure en France.
Aujourd’hui les goûteux du cinéma se répartissent entre une greluche déjantée Lucy et la planète aux singes.
La production ne fait pas dans la dentelle, le public non plus.

Pitié pour lui dit: 8 août 2014 à 10h00

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 11 h 13 min
Phil vous rappellera que dans mon « Goût du cinéma »

Espérons pour Phil qu’il s’en fout.

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 10h01

Pour Polémikoeur :

Je défie mes contemporains de me citer la date de leur première rencontre avec le cinéma. Nous entrions à l’aveuglette dans un siècle sans traditions qui devait trancher sur les autres par ses mauvaises manières et le nouvel art, l’art roturier, préfigurait notre barbarie. Né dans une caverne de voleurs, rangé par administration au nombre des divertissements forains, il avait des façons populacières qui scandalisaient les personnes sérieuses ; c’était le divertissement des femmes et des enfants ; nous l’adorions, ma mère et moi, mais nous n’y pensions guère et nous n’en parlions jamais : parle-t-on du pain s’il ne manque pas ? Quand nous nous avisâmes de son existence, il y avait beau temps qu’il était devenu notre principal besoin.
Les jours de pluie, Anne-Marie me demandait ce que je souhaitais faire, nous hésitions longuement entre le cirque, le Châtelet, la Maison Electrique et le Musée Grévin ; au dernier moment, avec une négligence calculée, nous décidions d’entrer dans une salle de projection. Mon grand-père paraissait à la porte de son bureau quand nous ouvrions celle de l’appartement ; il demandait : « Où allez-vous, les enfants ? »
« Au cinéma », disait ma mère. Il fronçait les sourcils et elle ajoutait très vite : « Au cinéma du Panthéon, c’est tout à côté, il n’y a que la rue Soufflot à traverser. » Il nous laissait partir en haussant les épaules ; il dirait le jeudi suivant à M. Simonnot : « Voyons, Simonnot, vous qui êtes un homme sérieux, comprenez-vous ça ? Ma fille mène mon petit-fils au cinéma ! » et M. Simonnot dirait d’une voix conciliante : « Je n’y ai jamais été mais ma femme y va quelquefois. »
Le spectacle était commencé. Nous suivions l’ouvreuse en trébuchant, je me sentais clandestin ; au-dessus de nos têtes, un faisceau de lumière blanche traversait la salle, on y voyait danser des poussières, des fumées ; un piano hennissait, des poires violettes luisaient au mur, j’étais pris à la gorge par l’odeur vernie d’un désinfectant. L’odeur et les fruits de cette nuit habitée se confondaient en moi : je mangeais les lampes de secours, je m’emplissais de leur goût acidulé. Je raclais mon dos à des genoux, je m’asseyais sur un siège grinçant, ma mère glissait une couverture pliée sous mes fesses pour me hausser ; enfin je regardais l’écran, je découvrais une craie fluorescente, des paysages clignotants, rayés par des averses ; il pleuvait toujours, même au gros soleil, même dans les appartements ; parfois un astéroïde en flammes traversait le salon d’une baronne sans qu’elle parût s’en étonner. J’aimais cette pluie, cette inquiétude sans repos qui travaillait la muraille. Le pianiste attaquait l’ouverture des Grottes de Fingal et tout le monde comprenait que le criminel allait paraître : la baronne était folle de peur. Mais son beau visage charbonneux cédait la place à une pancarte mauve : « Fin de la première partie. » C’était la désintoxication brusquée, la lumière. Où étais-je ? Dans une école ? Dans une administration ? Pas le moindre ornement : des rangées de strapontins qui laissaient voir, par en dessous, leurs ressorts, des murs barbouillés d’ocre, un plancher jonché de mégots et de crachats. Des rumeurs touffues remplissaient la salle, on réinventait le langage, l’ouvreuse vendait à la criée des bonbons anglais, ma mère m’en achetait, je les mettais dans ma bouche, je suçais les lampes de secours. Les gens se frottaient les yeux, chacun découvrait ses voisins. Des soldats, les bonnes du quartier ; un vieillard osseux chiquait, des ouvrières en cheveux riaient très fort : tout ce monde n’était pas de notre monde ; heureusement, posés de loin en loin sur ce parterre de têtes, de grands chapeaux palpitants rassuraient. […]
Ma mère s’enhardit jusqu’à me conduire dans les salles du Boulevard : au Kinérama, aux Folies Dramatiques, au Vaudeville, au Grammont Palace qu’on nommait alors l’Hippodrome. Je vis Zigomar et Fantômas, Les Exploits de Maciste, Les Mystères de New York : les dorures me gâchaient le plaisir. Le Vaudeville, théâtre désaffecté, ne voulait pas abdiquer son ancienne grandeur : jusqu’à la dernière minute un rideau rouge à glands d’or masquait l’écran ; on frappait trois coups pour annoncer le commencement de la représentation, l’orchestre jouait une ouverture, le rideau se levait, les lampes s’éteignaient. J’étais agacé par ce cérémonial incongru, par ces pompes poussiéreuses qui n’avaient d’autre résultat que d’éloigner les personnages ; au balcon, au poulailler, frappés par le lustre, par les peintures du plafond, nos pères ne pouvaient ni ne voulaient que le théâtre leur appartenait : ils y étaient reçus. Moi, je voulais voir le film au plus près. Dans l’inconfort égalitaire des salles de quartier, j’avais appris que ce nouvel art était à moi, comme à tous. Nous étions du même âge mental : j’avais sept ans et je savais lire, il en avait douze et ne savait pas parler. On disait qu’il était à ses débuts, qu’il avait des progrès à faire ; je pensais que nous grandirions ensemble.
(Sartre, Les mots, éditions Gallimard, 1964)

Polémikoeur. dit: 8 août 2014 à 10h20

Un p’tit cocktail BD-ciné-pub ?
Une recette à toutes les sauces,
speed à volonté sans supplément !
Technique et savoir-faire réunis,
pourquoi nier le plaisir du fix ?
Parce qu’il vide en fin de trip
le crâne plus qu’il ne l’irrigue.
Pas plus de liberté pour l’esprit
là-dedans que de repos d’étape
dans la promesse du mirage.
Bis-Léon-Nikita-Lucy-placent.

kicking dit: 8 août 2014 à 10h28

non mais certains voudraient ici nous faire croire qu’ils leur arrive parfois de renoncer à se la jouer, on rêve..

kicking dit: 8 août 2014 à 10h34

sublime, forcément sublime, mais chiante !

pas forcément ceux qui chient le plus sur les autres..

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 10h38

Après les livres qu’ils n’ont pas lus, les films qu’ils n’ont pas vus, mais dont ils causent !
Le cinéma a commencé muet, Polémikoeur de mon coeur ! Les mots ne sont venus qu’après.
Plus que des mots, Besson c’est de l’image et du son.
Il y a trop peu de belles images dans « Winter sleep », en revanche pour le bavardage on est particulièrement servi.
Heureusement, le public ne s’y trompe pas…

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 10h42

Voilà ce que j’en dis chez Sophie Avon, où les commentateurs semblent rester sans voix !

« Un hiver en or ?
Heu, pour ma part, je dirais plutôt un film en plomb, Sophie !
Du Bergman en Anatolie pour le bavardarge et la lenteur, entre Tchékhov et Madame Bovary pour les personnages, le tout enrobé dans un romantisme particulièrement surranné, sans parler des violons exécutés après plus de trois heures de marathon !
Cette palme est une prime à l’art pompier… »

Polémikoeur. dit: 8 août 2014 à 10h52

Qui sont-« ils » ?
Qui est « le » public ?
Celui des petits matins glauques,
devant la Veuve qui découpait
« au nom du peuple français » ?
L’Audimat, juge suprême…
tellement versatile.
Trompavidement.

Mme Michu dit: 8 août 2014 à 10h53

Heureusement, le public ne s’y trompe pas…

Pourquoi avez-vous alors tant besoin de ce qu’il n’aime pas et de ceux qui n’aiment pas ? Non mais… Chochotte !

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 11h01

« Qui est « le » public ? »

Ceux qui payent leur place et dont le pourcentage sur le ticket d’entrée permettra de financer d’autres films, Popo.

bouguereau dit: 8 août 2014 à 11h02

Cette palme est une prime à l’art pompier…

les gros cul..les cax..si au moins c’était vrai

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 11h04

Oui, le boug, et j’ai beaucoup aimé. C’est un hommage au cinéma d’Eric Rhomer, drôle et émouvant, et subsidiairement aussi à celui de Claude Lelouch, mais ne le dit pas à Polémikoeur !

JC..... dit: 8 août 2014 à 11h04

Mme Michu dit: 8 août 2014 à 11 h 23 min
on sent fort bien que vous aimez ça …
« Tu veux dire que je n’ai aucun besoin de le hurler tous les jours »

On se vouvoie, madame Michu ! on se vouvoie tant que le Michu n’a pas posé sa kalachnikov à terre.

bouguereau dit: 8 août 2014 à 11h04

Méliès, qui s’est ruiné en créant ses propres studios…

tu mets trop dliens baroz..pêpèpe..besson y met pas que ses ronds

bouguereau dit: 8 août 2014 à 11h07

C’est un hommage au cinéma d’Eric Rhomer, drôle et émouvant, et subsidiairement aussi à celui de Claude Lelouch

mouai..juste ce qui l’aurait fait se vautrer..heureusement que les acteurs s’amusent..j’ai aimé aussi..mais ça fait décalé..derniers feux..les français vont fermer

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 11h11

« les français vont fermer »

On dit ça depuis si longtemps, tu crois aussi à la fin de l’Histoire ?

Polémikoeur. dit: 8 août 2014 à 11h11

« … and drugs !
Don’t forget drugs
between sex and rock’n roll !
Mangedisquedisqueragement.

renato dit: 8 août 2014 à 11h16

Retweetés par RSI

@jumping_dan: Lucy: brava la Johansson, film ipervitaminico ma pigro e mal costruito. Peccato, Besson é capace di molto meglio… #mypardo

@DomeQuisciotte: Lucy: Scarlett Johansson eroina granitica nel continuum spazio-temporale. Il 90% del nostro cervello non ha visto il film. #mypardo

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 11h16

« besson y met pas que ses ronds »

Mais sa petite industrie fait travailler pas mal d’intermittents qui renflouent les caisses de Pôle Emploi. Merci qui, le boug ?

bouguereau dit: 8 août 2014 à 11h19

tu crois aussi à la fin de l’Histoire ?

pour les français ? pas plus vite que la mienne baroz, c’est une volupté rare

bouguereau dit: 8 août 2014 à 11h22

Merci qui, le boug ?

je parle de ses studios baroz..gonflé a bloc le mec..ho j’ai pas une tendresse infini pour le mec mais il ne m’est pas plus antipathique que ça non plus..le cinéma populaire « français » ce n’est plus que lui, à quelquechose prés

Mme Michu dit: 8 août 2014 à 11h24

Euh JC… Votre manière de jouer chez vous chez les autres ça plaît à tout le monde ? ça doit dépendre…

Giovanni Sant'Angelo dit: 8 août 2014 à 11h31


…comme c’est parti,…
………………..,à nos chers  » Charles le Téméraire « ,…de nos loobying’s-school,…

…et encore,!…allez en guerre avec son  » trésor de campagne « ,…un cadeau de bienvenus pour nos fromages en guise, en guise de bienvenus,!…

…Grandville,…en manque de sainte Jeanne au fût,!…les suisses aux hallebardes,!…et les bourguignons  » sauvons  » nos culs de la Marine suisse adroite,!…

…la perspective reconstituée sur deux plans,!…littéraires,!…mirages de lucres-haines,…pour livres au pot-cassé,!…

…suivons le guide du capitalisme,!…toujours plus dans l’€’cul à l’international,!…

…à nos fringants des St-Cire’s à l’€uro des amazones des lucres-haines,…
…l’épreuve de confiances des ruses d’élites aux abois des basses-cours,!…
…mes princes,…l’épreuve comme coqs en pâte, et saindou pur porc libre d’attache,…
…& en parti-pris,…les miroirs de glace,…aux parfums des lèches-culs en grâce,!…

…à nos biscuits au beurre,!…suivant,!…etc,!…à l’élite à la tactique pour se faire mettre profond,!…

closer dit: 8 août 2014 à 11h31

Barozzi:
« Scarlett Johansson me ferait presque regretter d’être pédé, renato. »

Essaye Jacounet! Si t’arrive à la faire jouir tu ne pourras plus te passer de l’orgasme féminin…Ce serait une bonne diversification des plaisirs…

closer dit: 8 août 2014 à 11h35

Au début de Maestro, j’ai failli partir…Les deux abrutis qui occupent l’écran sont vraiment trop débiles…Et puis finalement, le charisme de Lonsdale et un peu de poésie aidant, je n’ai pas regretté d’être resté…

Polémikoeur. dit: 8 août 2014 à 11h38

Bon, Luc Besson mérite peut-être
une grand messe en salle obscure,
surtout en plein désert estival,
mais est-il une référence image
et son de l’histoire du cinéma ?
Troidéreliefalunettement.

Polémikoeur. dit: 8 août 2014 à 11h50

Ne pas oublier non plus
qu’un personnage à l’écran
n’est rien d’autre en dépit
des moyens employés, talent
y compris, pour l’animer !
Laflammélepapillonnement.

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 11h54

Question de Polémikoeur : « Besson est-il une référence image
et son de l’histoire du cinéma ? »

Réponse de Bouguereau : « .le cinéma populaire « français » ce n’est plus que lui, à quelquechose prés »

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 11h56

« surtout en plein désert estival »

Mais non, Popo, tu devrais aller voir le film turc, Palme d’or du festival de Cannes 2014, sorti en même temps que le Besson et quelques autres !

Polémikoeur. dit: 8 août 2014 à 12h10

Petite suggestion de titre pour figurer au Box Office :
« Dernier combat de l’Intouchable chez les Ch’tis »
(et prévoir une suite en dépit de l’adjectif dernier !).
Rienevaplumeusement.

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 12h17

De même qu’une bonne épigraphe ne fait pas forcément un bon roman, il n’y a pas de recette pour figurer au Box Office, Popo…
Fortheureusement

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 12h21

Et si j’allais au cinéma pour changer ?
Depuis que j’ai arrêté la lecture, il convient parfaitement à libérer mon imaginaire !
A +

Jacques Barozzi dit: 8 août 2014 à 12h30

Celui-là, peut-être, qui me changera de la merde erdélienne post pointo-godwinienne ?

Ana Arabia
Date de sortie
6 août 2014 (1h24min)
Réalisateur Amos Gitaï

« Entre Jaffa et Bat Yam, dans la banlieue sud de Tel-Aviv. Yael, une jeune journaliste enquête sur la vie de Hannah Klibanov, devenue Siam Hassan, une Israélienne convertie à l’islam. Elle est tout de suite conquise par l’histoire et le quotidien d’une communauté de Juifs et d’Arabes qui vit en paix depuis longtemps. »

closer dit: 8 août 2014 à 12h43

« Pio Marmaï est notre Scarlett Johansson masculin et français »

Il a vraiment l’air trop con Baroze! En tout cas dans ce film…

closer dit: 8 août 2014 à 12h45

 » Penser, c’est excréter. La pensée est une variante de la sueur, de la pisse et de la merde. »

OdB: absence significative des excrétions sexuelles, tant féminines que masculines…

kicking dit: 8 août 2014 à 12h57

mais quand le bas varois et l’alsacienne de service nous expliqueront-ils si oui ou non c’est intellectuel d’envoyer d’autres au casse-pipe ?

ueda dit: 8 août 2014 à 13h15

» Penser, c’est excréter. La pensée est une variante de la sueur, de la pisse et de la merde. » (Prébois)

C’est vrai que c’est épouvantable.

Peut-être devrait-on prévoir des chalets de méditation.

– « Qu’est-ce que c’est? Voulez « penser le Mal »? C’est au fond. »

Giovanni Sant'Angelo dit: 8 août 2014 à 13h24


…et de l’épigraphe jusqu’au cinéma,…un peu l’écartement du compas,…Oui,…
…la lunette de visée, sur trébuchet sur mesures,…aux galons,!…
…nos gardes aux scorpions, les arbalètes en mains,!…le retour aux sources,!…
…Ah,!…Ah,!…etc,!…

Sergio dit: 8 août 2014 à 13h47

ueda dit: 8 août 2014 à 15 h 15 min
» Penser, c’est excréter. La pensée est une variante de la sueur, de la pisse et de la merde. » (Prébois)

C’est vrai que c’est épouvantable.

Et on ne trouve toujours pas le responsable… Il est en fuite !

bouguereau dit: 8 août 2014 à 13h48

je déguste un peu de sa propre merde et je m’en nourris

tu veux dire que t’en as plein les babines comme kiki sa blédine…baa on va vous mettre une muselière comme lectère

bouguereau dit: 8 août 2014 à 13h50

ceci dit la pensée c’est beaucoup d’énergie..on savait pas que le cerveau consommait tant

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