Gaston Gallimard versus Bernard Grasset et réciproquement
Si la rivalité entre deux monstres sacrés de l’édition moderne n’avait été qu’une querelle de personnes éminentes, ou un affrontement d’egos, elle serait secondaire. Si elle vaut que l’on s’y attarde, c’est bien que deux visions de leur monde, deux conceptions de leur métier, et, tout de même, de la littérature, se sont opposées à travers l’antagonisme qui lia Gaston Gallimard (1881-1975) à Bernard Grasset (1881-1955) durant toute la première moitié du XXème siècle. De quoi justifier le passionnant documentaire que Jérôme Dupuis, journaliste littéraire à L’Express, leur consacre ce jeudi à 21h35 sur France 5 dans la série « Duels ». Le titre dit bien l’intention : « Guerre dans l’édition ».
Leur histoire commune ne fut pourtant pas exclusivement belliqueuse. Il y eut des pauses. Il est vrai qu’ils s’estimaient tout en guerroyant. Ils déjeunaient régulièrement en tête-à-tête. Gaston poussa même l’élégance jusqu’à publier sous la couverture blanche Gallimard les quelques livres (Remarques sur l’action et Psychologie de l’immortalité, 1928, La chose littéraire, 1929) que Bernard Grasset ne pût s’empêcher d’écrire. Peut-être avait-il pris au premier degré la boutade de Jean Cocteau qui, raillant la légère mégalomanie de son éditeur, suggérait que sur la couverture de son prochain livre, on imprimât en gros caractère « Un livre de Bernard Grasset » puis dessous en tout petit « Paroles de Jean Cocteau »…
L’anecdote est rapportée dans ce documentaire bien informé (même si les sources viennent surtout de la rue Gaston-Gallimard), de même que d’autres assez édifiantes. Un demi-siècle d’édition française est revisité à travers cette relation pour le moins contrastée entre ces deux commerçants assez particuliers puisqu’ils avaient en principe passé « un pacte avec l’esprit ».
A vrai dire, tout dans leur tempérament, leur personnalité, leurs origines, leur formation, leurs méthodes, leurs ambitions, les opposait. Tout ! Tant et si bien que lorsque entre les deux guerres Edouard Bourdet, l’un des dramaturges les plus courus de Paris, écrivit une pièce sur les coulisses du milieu littéraire dans sa dimension combinarde et spectaculaire, il le fit exclusivement à travers l’affrontement entre les deux hommes, et qui avait commencé dès « l’affaire Proust » : l’incessante débauche des auteurs de l’un par l’autre et réciproquement, la sourde guerre pour le contrôle des jurés littéraires etc. Un siècle après, on se rend compte que rien n’a vraiment changé, que tout se passe à peu près dans le même quadrilatère germanopratin et que les moeurs n’ont guère évolué, pour le meilleur et pour le pire.
On sentait bien dans cette comédie intitulée Vient de paraître que, pour l’un comme pour l’autre, l’édition était un métier de joueur, preuve que tous les joueurs ne se ressemblent pas. On pourrait raconter la vie littéraire dans le Paris de cette époque via leurs relations, tout en évitant comme le fait le documentaire, en raison des contraintes de « Duels », de trop resserrer la focale sur leurs deux maisons.
Jérôme Dupuis a même ramené des scoopinous dans son filet : des images d’archives parfois originales, des mises en perspective judicieuses, la voix si rare de Gaston Gallimard – laquelle ne fait oublier ni la diction catastrophique du commentateur, ni le simili-jazz au kilomètre qui sert hélas de fond sonore. La discrétion du grand patron de la Nrf, l’ampleur de son réseau, la subtilité avec laquelle il faisait jouer son influence, tout cela ressort bien ; de même que le flair de son concurrent, son usage sensationnel de la publicité littéraire, son sens du lancement (« Radiguet A 19 ans… »), sa facilité à inventer des slogans et des formules (« les 4 M » : Morand, Mauriac, Montherlant, Maurois).. Au fond, les rares qui les ont tous deux roulés, et pas qu’une fois, sont Morand et Giono : ils leur ont fait signer à chacun un contrat pour le même livre…
Gaston Gallimard a gagné parce qu’il se plaçait toujours dans la durée. Parce qu’il avait la patience d’écrire tous les jours aux auteurs, de les cajoler, de les attendre. Parce qu’il a eu l’habileté de mettre deux fers au feu durant toute l’Occupation et la prudence de ne publier d’Allemands que classiques (Goethe). Parce qu’il avait une revue (la Nrf) susceptible d’attirer des auteurs pour quelques articles avant de les ferrer pour l’édition. Parce qu’il était une famille avec à ses côtés un frère qui avait le sens des chiffres, un fils pour prendre la relève, des neveux à tous les étages. Parce qu’il a toujours songé à constituer un fond.
Bernard Grasset a perdu parce qu’il n’avait aucune patience, qu’il était un maniaco-dépressif à tendance hystérique, et que son ego était surdimensionné. Parce qu’il vivait dans l’instant, dans l’immédiat et voulait que tout livre soit un « coup » éditorial, se fichant bien de la postérité. Parce qu’il disparaissait sans explication pendant des semaines. Parce qu’il avait collaboré sans retenue tant avec Vichy qu’avec les Allemands pendant l’Occupation, leur ouvrant son catalogue. Parce que c’était un homme seul, que sa maison ne reposait que sur lui, et donc sur sa propre fragilité.
Et puis quoi : de nos jours, quand il est question de « Bernard » chez Grasset, c’est de BHL qu’il s’agit ; alors que lorsqu’on dit « Gaston » chez Gallimard, on se souvient qu’il n’y en a eu et qu’il n’y en aura jamais qu’un.
(« Gaston Gallimard et Bernard Grasset » photo D.R.)
696 Réponses pour Gaston Gallimard versus Bernard Grasset et réciproquement
Reprenons :
Napoléon a gagné ou perdu à Waterloo, pas les deux. Plus près de nous : la loi Macron est la première étape d’une restructuration méthodique de la France pour résoudre ses problèmes économiques, ou une posture pour pouvoir dire à Bruxelles qu’on fait ce qu’on peut pour réformer un pays ringard. Pas les deux.
puisque vous trouvez cela fâcheusement binaire, vous allez pouvoir nous démontrer que Napoléon a à la fois gagné et perdu, et que Macron est tout ensemble Turgot et Guignol.
(personne ne vous oblige à subir les modes de pensée)
Euh… ça dépend qui distribue des kits à qui, hein…
Henri Thyssens n’est pas encore intervenu ? c’est bien dommage. Ses éclairages sur le monde interlope des galligrasset sont toujours bienvenus. Y surnagent quelques requins patronymiques à la Le Roy Ladurie-Worms, aujourd’hui blanchis par le temps et l’oubli des archives, qui donneraient sens à la folie de Grasset, la double liquidation de Denoël et la collectionnite du sieur Gallimard, le tout sous puissant patronage germano-pratin.
Allez ! Ne nous fâchons pas : Napoléon a gagné et perdu.
Cependant, une révision des logiques non-binaires, logique probabiliste, logique floue, semble s’imposer, ne serait ce que par « curiosité »….
Bonne journée.
le porquerollais a écrit : « l’histoire est une putain » ; il sait de quoi il parle, comme un proxénète pas net
L’histoire doit répondre avec simplicité aux questions simples, avec nuances aux questions complexes, mais dans tous les cas elle tend à établir des vérités.
Certains ici l’identifient aux contes et ce sont eux qui nous en content.
François Delpla dit: 19 mars 2015 à 7 h 55 min
La critique sous pseudonyme est une lâcheté, l’affirmation que derrière le pseudo il n’y a personne une lâcheté indépassable.
Vous devriez nuancer vos propos, qui me paraissent en déficit de subtilité. Vous signez vos posts de votre vrai nom, c’est votre affaire. D’autres (tel Paul Edel) ne font pas mystère de leur nom d’état-civil, tout juste dissimulé sous le voile (islamique?) d’un pseudo. D’autres enfin,comme moi, ne sont que leur pseudo, et je vous garantis bien que personne ne se cache derrière. Ou bien, si vous préférez, mon pseudo et mon vrai nom ne sont qu’une seule et même personne. Faites comme si mon vrai nom était Personne. D’ailleurs je vous suggère d’adopter le pseudo de « Polyphème », ce qui me permettra, à l’occasion de vous crever votre oeil unique avec la poutre que vous semblez avoir dedans.
Certains ici l’identifient aux contes et ce sont eux qui nous en content.
Eh mais, il arrive à Polyphème de ne pas dire que des sottises.
pauledel a écrit un billet intéressant sur mort à venise, le roman, qui ferait une bonne postpréface à placer dans vos éditions (papier, of course). Puisqu’il a opté pour une conversation avec lui-même, aimable contamination de l’atmosphère du roman, signalons ici sa prestation.
Scientifique ou non, l’histoire ?
le nez de Clopâtre…
L’histoire est affaire de conteurs qui plongent leur seaux/sots dans les Mille et un Puits … et en retire n’importe quoi !
L’histoire de la Palestine, contée par Benyamin Netanyahou, chef du Likoud, est sensiblement différente de celle contée par Khaled Mechaal, chef du Hamas terroriste…
L’histoire de la Palestine est polyforme, multiple et, pour être clair, inexistante en vérité.
un pseudolâtre m’autorise à signer de mon vrai nom ?
J’en profite pendant qu’il est temps !
François Delpla dit: 19 mars 2015 à 7 h 55 min
La critique sous pseudonyme est une lâcheté, l’affirmation que derrière le pseudo il n’y a personne une lâcheté indépassable.
C’est amusant, tout de même, ce fétichisme du nom d’état-civil. Je pourrais répondre à Delpla que mes parents juifs, que j’ai reniés depuis longtemps, ainsi que tout ce que, bon gré mal gré, il pouvaient représenter, m’ont légué un patronyme en forme de GAG, dont j’ai toujours eu honte. Ou bien au contraire, je pourrais lui dire que papa et maman, collabos notoires, ont passé le plus clair de leur temps libre sous l’occupation à dénoncer des Juifs, au point d’être liquidés en 44 par les fifis, si bien que je préfère rester anonyme, d’autant plus que mon nom réel est celui d’une dynastie bien connue de maîtres de forges. Que ne pourrais-je inventer pour lui servir une identité d’emprunt. C’est pourquoi le pseudo, de M OU MME, dans sa sobriété et sa transparence, me paraît de loin préférable. De toute façon, il me paraît difficile, dans la situation où je me trouve, de révéler mon véritable blaze à François Delpla : je participe en effet aux non-activités d’une cellule pseudo-islamiste dormante en train de préparer un coup fumant dont notre musée le plus célèbre sera le théâtre. Nous nous proposons en effet de greffer une paire de couilles à la Victoire de Samothrace.
pauledel a écrit un billet intéressant
Non ? J’y crois pas.
Paul Edel commente son propre billet et censure les autres commentaires : il finira à Beaubec sur Géhenne, offrant la grappa à l’ermite locale, folle de joie !
François Delpla dit: 19 mars 2015 à 7 h 55 min
La critique sous pseudonyme est une lâcheté, l’affirmation que derrière le pseudo il n’y a personne une lâcheté indépassable.
Romain Gary, alias Emile Ajar, aurait été content d’apprendre ça, tiens.
oui MOUMME, intéressante, la notule de pauledel.
ça nous change des romans de la toupie, en vogue parmi les commentateurs.
la traduction de mort à venise est sortie chez grasset. un autre objet non-identifié que le collectionneur avisé Gallimard a manqué. Gide trouvait l’atmosphère de Mann assez irrespirable et Gaston ne causait pas un mot germanique. Heureusement, Abetz était fliessend en français.
Pour en revenir au sujet et à Bernard moins prudent que Gaston en passant par la stupide querelle cherchée à Dutilleux, l’histoire de Vichy doit certes éviter tout moralisme, et toute démarche binaire. Or de ce point de vue elle est encore dans l’enfance, après les coups de balancier symétriques d’Aron (Robert) et de Paxton. Un Vichy titubant mais de bonne volonté suivi d’un Vichy se ruant à la servitude. Comme eût dit feu Chancel : « et Hitler dans tout ça ? »
Méchant certes, il savait doser sa méchanceté et c’est là, encore aujourd’hui, le grand tabou. Cela ne le rend évidemment pas plus gentil, mais évidemment plus méchant.
En occupant la France, il est le premier à savoir que c’est le pays de la révolution démocratique et des droits de l’homme, de l’émancipation des Juifs etc. Pire, qu’il a connu une fièvre antisémite au temps de Dreyfus, et secrété des anticorps efficaces. Il va donc falloir y aller très, très, doucement. Mais y aller quand même puisque justement il veut tuer la France, sur le plan matériel et surtout moral : donc la rendre complice de la persécution des Juifs la rendra méconnaissable et haïssable à ses propres yeux.
J’arrête là ce début d’analyse, juste destiné à montrer que rien n’est simple pour déterminer qui est juste (dans quelque sens du terme que ce soit). Et que l’histoire a, sur l’occupation allemande de la France, encore beaucoup de travail devant elle.
Si c’est pour se faire constamment insulter par JC, Paul Edel, maître chez lui, a raison de censurer ce pitoyable commentateur
Historia magistra vitae… que l’on dit… mais… des deux choses l’une, ou nous sommes mauvaises élèves ou elle est mauvaise pédagogue…
Les écrivains préférés des Français : Marc Lévy et Jean d’O chez les vivants, Hugo et Pagnol chez les morts-vivants
Avouons qu’on aurait été étonnés de voir arriver en tête Baudelaire ou même Balzac, Giono ou Pierre Michon. Pierre Michon, auteur favori des Français, tu imagines. C’est sûr que le Français moyen lit plus d’un livre par mois, mais de là à lire Pierre Michon…
Nous avons considéré un peu vite, sur les conseils de notre belle APHRODITE, que le nommé JC était parfait pour jouer le rôle du demi-dieu de la provocation terrestre …
Elle s’emballe souvent, notre déesse, et souvent pour peu de chose.
la traduction de mort à venise est sortie chez grasset. un autre objet non-identifié que le collectionneur avisé Gallimard a manqué.
Ah bon? mais dites-moi, entre se crises d’hystérie maniaco-dépressive et son prurit collaborationniste, il lui arrivait d’avoir du flair, au Bernard ? Voilà de quoi nourrir quelques judicieuses additions à l’article de Wikipedia. Je commence à soupçonner Assouline, biographe de Gaston (ou je me trompe ?), émargeant de surcroît à la caisse Gallimard, d’un brin de partialité.
La remarque sut maître et élève me semle plus porteuse que les éternelles régalades sur le nom et les pseudos .
adage juif : un ma^tre ne sait pas ce qu’il enseigne . Au fon, c’est presque toujours vrai, vérifiable. Alors: c’est la limite u couplet mzîtres et élèves.
Terriens, supposer qu’on peut acheter Pierre Assouline, c’est surestimer ses propres finances…
cette pauvre nouille de JC se débat avec ses pseudos à la con qui vont de Zeus, à son fantôme ou Abdouducon el porquerolli… croire croire un seul mot de ce bouffon, pauvre petit microbe ?
François Delpla dit: 19 mars 2015 à 7 h 55 min
La critique sous pseudonyme est une lâcheté, l’affirmation que derrière le pseudo il n’y a personne une lâcheté indépassable.
Ce matin, j’ai croisé Paul Personne qui sifflait entre ses dents la chanson bien connue de Balavoine : » Je m’présente : je m’appelle Henri « . A qui se fier, mon dieu, à qui se fier.
François Delpla, l’Histoire ? l’Histoire de l’Histoire et des historiens, pour différencier l’historien de 2015 de celui de 1950, ou de 1920, ou de 1870, ou de 1780….
Dans l’entre deux guerres ont été écrits trois romans essais sur l’Histoire et sa philosophie : les Somnambules de Borch où il pose la question de la possiblité d’une éthique collective – la Montagne Magique de Mann, un livre où l’auteur met sous verre l’ensemble des pensées, des idées et des théories d’une époque, il les fait s’affrnter dans une ambiance d’être et temps des personnages – et l’Homme sans Qualités de Musil, où l’auteur essaie de mettre à mal Marx, Kant, Hegel, Nietzsche et Spengler.
quand Musil a commencé à écrire ce livre il venait de découvrir les travaux d’un jeune philosophe viennois : Karl Popper, il a dû être fasciné, Popper est à l’origine de cette façon de considérer avec ironie l’idée que l’histoire humaine serait déterminée de l’intérieur par des grandes causes qui agiraient selon des lois propres et permettraient de trovuer des explications à tout ce qui s’est produit depuis l’apparition du premier homme sur cette terre.
Qu’importe, aujourd’hui nous n’en sommes plus là ! L’homme moderne est un homme de savoir, un homme cultivé, un homme qui a accumulé des montagnes de connaissances, il regarde cet amoncellement de savoir et se demande par quel bout il doit prendre les choses.
La grande spécificité de l’homme moderne c’est son intelligence, et le sentiment de déception qui va avec. C’est que, voyez-vous Monsieur Delpla, l’homme moderne est spinoziste jusqu’au bout des ongles, il a fait de Spinoza son Dieu à la pensée vivante, celui qui disait que l’homme était par nature mauvais et que seul la connaissance pouvait arriver à le guérir de ce mal, l’homme moderne a poussé cette religion de la connaissance à un niveau tel que Spinoza lui-même n’aurait pu l’imaginer.
Nous sommes maintenant arrivés au bout de ce processus, nous connaissons parfaitement l’origine du mal humain : l’immaturité, mère de son égoïsme et de sa cupidité, source de ce besoin maladif d’être admiré, enduire cet être immature par un vernis de culture, le gaver de savoirs et de connaissances, c’est un peu comme plâtrer une jambe de bois. Rien n’y fera tant que nous n’aurons pas guéri les homme de ce mal originel que constitue son immaturité ontologique qui fait que l’Histoire des hommes peut se résumer à longue suite de catastrophes.
Qu’est-ce que la transcendance ? Comment pouvons-nous la définir aujourd’hui ?
Bien des erreurs ont été commises sur cette question !
Nous entrons maintenant dans une ère post-spinoziste, le spinozisme aura été qu’une tentative d’accroitre le savoir humain, il se sera soldé par un cuisant et lamentable échec, si nous continuons à ce rythme les inégalités entre les hommes atteindront bientôt des niveaux jamais atteints dans l’histoire des hommes : notre savoir n’a servi à rien.
Comment définir la transcendance aujourd’hui sinon comme faire émerger la possibilité d’une maturité humaine ?
Notre monde n’a jamais été aussi loin d’un réel monde humain. Nos sociétés modernes sont composées de particules élémentaires, d’électrons libres, mus par leurs seuls désirs égoïstes. Lars von Trier montre l’aboutissement d’un tel monde dans son film « Mélancolia » où une planète portant ce nom engloutit notre monde parce que ce monde avait oublié la signification de de mot magique : mélancolie, ce mot qui seul pourrait définir la spécificité de notre espèce dans la conscience inquiète et malheureuse de la présence de l’autre, un monde humain où chacun, nourri de son seul savoir, ne vit pas pour lui-même, mais un monde un monde où chacun est nourri que de sa seule inquiétude des autres humains : la transcendance ne doit être définie aujourd’hui que comme la source unique de cette inquiétude.
Après le chemin de l’esprit et celui de l’âme, la troisième voie sera la bonne, l’homme est né de la technique, nul doute que la technique lui permettra d’accéder à cette voie, de la technique est né un homme immature, de la technique naitra un monde humain mature, nous appellerons « transcendance » cette vérité comme socle d’une confiance nouvelle entre les hommes.
… provocation… provocation… toujours le mot inapproprié qu’il emploie cette divinité d’opérette… bon, c’est vrai que du haut de sa montagne à vaches la perception du monde ne peut qu’être approximative…
Mort à venise d’abord publié par les éditions Simon Kra, rachetées par Grasset après guerre.
Gary ou Ajar ont insulté qui sous pseudonyme ?
C’est surtout qu’à beaucoup trop vouloir faire trop lourdingue dans le genre modeste alcoolique anonyme on sent bien l’haleine des congénères qui doivent l’aider à avancer…
…
…il ne faut pas en arriver,…à démontrer,…
…
…que l’histoire, c’est une réserve d’énergie gratuite,…comme une parenthèse d’Archimède,…
…
…l’énergie carcérale,!…fabriqué par la rotation en mouvement perpétuel, d’un animal dans un cycle rotatif,!…pistonné à répétition,!…
…Ah,!Ah,!Ah,!…des pistons dans les maisons closes, pour récupérer l’énergie en transcendantal libérer aux charmes d’abricots aux Bacall’s,!…
…
…le plein électrique,!…
…vient,!…mon chérie,…mettons nos contacts, ou je change de poulain à gages,!…
…donne de la puissance, le contrôleur me passe demain,!…au noir,!…en prise pour son scooter bleu-marine à genre » îles marquises « ,!…Ah,!Ah,!Ah,!…
…relax Archimède, calme tes A.D.N., en montures,!…
…c’est des pur-sang,!…les communiantes libres aux amazones,!…c’est déjà techno-gay, la souris en main, le muguet pas loin,!…etc,!…
…
Ah ben revoilà encore un esclave d’un gros distillateur. Du changement…
Ne pas assumer de rameuter les ploucs ça c’est déjà vu ? et si oui ça a donné quoi ?
…
…l’histoire en Yodel,!…de la casserole aux chalets,…les mêmes sources et disques à se ramener,!…Non de Dieu,…
…par tout les seins,!…de bonnes tenues,!…
…etc,!…Ah,!…un droit de veto,!…
…c’est mieux que rien,!…
…
Les faits parlent d’eux-mêmes, rien à voir avec le(s) discours
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Je ne suis pas sûr que les faits parlent d’eux-mêmes: pensez aux témoignages divergents suite à un accident. Le comment et le pourquoi divergent (et dix verges, c’est énorme, comme disait le grand Desproges de Louang Prabang).
Si l’histoire se borne à lister des faits du type « le roi Jean d’Angleterre est mort d’une indigestion de prunes », c’est une discipline pauvre et affligeant et il ne faut pas s’étonner de la désaffection pour icelle.
L’histoire est une mise en récit comme l’écrivent si bien ces personnages considérables que sont Marc Bloch & Paul Veyne entre autres.
Quant à l’immunité à l’air du temps », à d’autres. Va-t-on nier que l’accès aux archives grâce à internet n’a pas changé le caractère de la recherche? Le « Zeitgeist », c’est aussi les conditions de production de l’histoire, du discours historique.
Prenez l’historiographie française de la Révolution: comment ne pas mettre en parallèle la disparition de l’interprétation dominante communiste à la disparition « historique » du PCF du paysage politique français, et à l’avènement d’une histoire tocquevillo-libérale modelée sur une société du même type? Qui lit Mazauric ou Soboul aujourd’hui?
Idem par exemple pour l’historiographie du mouvement républicain irlandais depuis le « révisionime » d’historiens comme Conor Cruise O’Brien ou Roy Foster qui ont remis en cause la doxa républicaine.
Histoire = écriture de l’histoire = controverse, quand bien même les faits sont avérés. L’insurrection de Pâques 1916 écrite par Tim Pat Coogan ou Charles Townshend, ce n’est pas le même événement.
Et puis après le présent faut surtout qu’il s’arrête, n’est-ce pas…
Jean d’O, y fait partie des vivants ou des morts-vivants ?
non ! Mann dit que du haut de cette montagne que nous appelons « Connaissance et Culture » la vue du monde n’est pas approximative : elle est nulle, la culture est un sanatorium.
demandez à Monsieur Delpla la difficulté pour écrire les manuels d’histoire quand on s’est aperçu que dans nos classes de collèges il y avait des enfants dont les parents venaient de Micronésie !
pour ne pas les exclure il a fallu trouver des spécialistes de l’histoire de Micronésie, des gens qui savaient ce qu’il s’était passé en Micronésie au 12è siècle !
Par chance nous avons trouvé un spécialiste de l’histoire ancienne de la Micronésie et nous avons pu rajouter un chapitre dans nos manuels d’histoire : la Micronésie de l’antiquité à nos jours…
Je vous dis pas la joie de ces enfants quand ils ont appris l’histoire de leurs ancêtres… ils riaient, ils étaient joyeux, c’était émouvant de les voir, la question est : pouvons-nous en dire autant de nous ?
La différence avec l’époque de Th. Mann, c’est pas que nous sommes sortis du sanatorium. Nous y sommes toujours. Mais, en plus, nous nous sommes réfugiés dans la chambre froide. Et on attend… on prête l’oreille pour savoir ce qui se passe…
…
…& l’histoire pour un roman de la rose,!…
…laisser pour compte,…
…en Dominique, nique nique,!…
…la foie en tartine d’outre-tombe,!…
…de la veine, aux saints,!…etc,!…
…
…l’esprit du détail aux profits pour se privé de vivre,!…
…déjà de l’avare de Molière,…aux scènes de courtisans, » la folie des grandeurs « ,…
…des constructions de » Psy « , complices,!…pour écrire l’histoire,…
…management – lobbying à fesses industriels,!…Ah,!Ah,!Ah,!…
…Non, Mr. même celle là,!…jamais, sans titres terres et châteaux,!…
…pour qui se prend t’il,!…pour ta soeur,!…
…le tableaux variable à propulsions,!…
…voilà du vent,!…
Wiedergänger dit: 19 mars 2015 à 12 h 10 min
c’est pas que nous sommes sortis du sanatorium. Nous y sommes toujours. Mais, en plus, nous nous sommes réfugiés dans la chambre froide. Et on attend… on prête l’oreille pour savoir ce qui se passe…
« Nous » y sommes… « nous » nous sommes réfugiés… « on » attend… »on prête l’oreille »… Qui ça au juste, « nous » ? qui ça au juste, « on » ? Ces collectifs résonnent comme des coquilles vides. Ils ne désignent personne de particulier. Du vent.
Très claire et très suffisante mise au point de Jean-Pierre Bertin-Maghit sur « l’affaire » Dutilleux. Comme quoi l’attitude de Christophe Girard et de la mairie de Paris s’apparente à de la pure calomnie, relève de la sottise, est une mauvaise action, lâche par-dessus le marché.
Jambrun,
Tu poses des questions à notre ami W. en connaissant les réponses ! Fourbe….!
Nous… tu sais bien que c’est toi !
j’ai commis bien des forfaits mais point encore de manuel !
Nos amis ont du bons sens, François Delpla !
L’histoire… ce sont des histoires…. toutes mensongères… destinées aux enfants !…
comme toujours lorsque delpla vient occuper le terrain, là même où il n’a rien à dire, c’est qu’il cherche à faire oublier une déculotté subie ailleurs… Moi j’irais voir du côté de la discussion, affichée sur ce site : « Sanjay Subrahmanyam, un brahmane consterné à Paris »…
Deux belles gueules
de fiches anthropométriques !
Incontêstablement.
…
…M OU MME,!…
…techniques des sacs plastiques,!…la transparence,!…les nouvelles fraîches aux frigo,!…
…l’innovation quotidienne,!…mais, c’est bien sûr,!…replay Dallas please,!…etc,!…
…
10:45
« Qu’est-ce que la transcendance ? Comment pouvons-nous la définir aujourd’hui ? »
Aujourd’hui, je ne sais pas, mais en 1944 selon Dietrich Bonhöffer ds Résistance et soumission, lettres de captivité :
Qui est Dieu ? Non d’abord une croyance générale ds la toute-puissance de Dieu, etc. Ce n’est pas une authentique expérience de Dieu, mais un prolongement du monde. La rencontre avec Jésus Christ. L’expérience qu’il s’agit ici d’une conversion de tt l’être humain par le fait que Jésus est seulement « là, pour les autres ». L’ « être-là-pour-les-autres » de Jésus est l’expérience de la transcendance ! […] La foi est la participation à cet être (Sein) de Jésus […] Notre relation à Dieu n’est pas une relation « religieuse » à l’être (Wesen) le plus haut, le plus puissant, le meilleur que ns puissions imaginer — cela n’est pas une authentique transcendance — mais notre relation à Dieu est une vie nouvelle ds « l’être-là-pour-les-autres », ds la participation à l’être de Jésus.
Ce ne sont pas les tâches infinies et inaccessibles, mais les êtres humains qui sont placés de proche en proche et que l’on peut rejoindre à chaque fois qui sont le transcendant. Dieu sous forme humaine !
Mr Delpla, vous n’avez pas fait de manuel ? ah bon.
vous savez au moins ce que nous attendons de vous ?
je ne voudrais pas vous rappeler les déficits de nos comptes publics on va encore me faire passer pour un esprit mesquin.
nous attendons de vous que vous enrichissiez notre culture par votre savoir, afin d’alimenter nos conversations.
Car nous sommes ici comme dans le sanatorium de Mann, c’est bien pour cette raison que nous aimons tant le blog de Monsieur Assouline, nous avons ici aussi nos esprits éclairés, les défenseurs de la haute culture, les amoureux de Proust et des impressionnistes, les musiciens ! qui aiment entendre la petite musique de l’écriture de Thomas Bernhard, je ne vais pas vous dresser un inventaire complet mais vous trouverez ici tous les avis et toutes opinions reflétant notre richesse culturelle et philosophique.
Avec Alba nous avons tiré au sort pour savoir qui jouerait le rôle de Settembrini et celui de Naphta, je ne voulais pas que le rôle de Naphta me tombe dessus, du coup nous avons tiré à la courte paille paille et vlan ! je me suis retrouvé avec le rôle de ce juif converti au jésuitisme , si vous saviez Monsieur Delpla la lourdeur de ce personnage… qu’est-ce qu’il est lourdingue, le personnage le plus lourdingue de toute la littérature mais qu’est-ce que vous voulez il fallait bien que quelqu’un prenne ce rôle parce que la lourdeur fait aussi partie du paysage culturel, je sais bien que certains voudraient voir dans la culture que lle côté le plus léger, la consolation, le réconfort blablabla, c’est tous des foutaises.
vous vous occupez de l’histoire des grands hommes ! Napoléon, Staline, Hitler, Alexandre… et c’est bien, comment vous le reprocher ? mais l’organisation ! comment les hommes arrivent-ils à organiser tout ça ? on dit : ils n’ont pas eu le choix, on les aurait fusillés, mais c’est faux ! l’homme a toujours le choix, c’est Augustin qui la dit, la liberté est un fardeau quand elle n’aboutit pas à créer un monde juste, parce qu’après il faut pardonner à tous ces hommes, pardonner, et encore pardonner, et voilà l’histoire des hommes : crimes et pardon, crimes et pardon, crimes et pardon… c’est tellement facile de demander aux hommes de commettre des crimes, et c’est tellement difficile après de leur pardonner ces crimes, « la culture et la connaissance nous sauveront ! », personne n’y croit vraiment, n’est-ce pas Monsieur Delpla ? vous non plus vous n’y croyez pas, hein ? c’est là que les choses commencent à devenir lourdes, mais je n’en veux pas à ceux qui n’éprouvent que de la haine pour cette lourdeur, au contraire je les comprends, après tout nous n’avons qu’une seule vie, le plus bel hommage que vous puissions rendre à cette grande histoire des catastrophes humaines c’est de choisir la légèreté de la vie, de l’amour, de la douce musique proustienne.
il a peut-être pas fait de manuel, mais il se livre à longueur de temps à une activité manuelle, qui n’a pas plus besoin d’être ici précisée, hi-hi-hi !
…
…Elena,…en est encore au béatitudes de la pluie d’or,!…et de sang,!…
…
…les grands esprits se la Baccall pour elle,!…
…les églises aux aumônes,…donner pour la science sur Mars,…Dieu avec nous,!…un pétard dans l’écu,!…etc,!…
…
…replay Dallas please,!…
Au dernières nouvelles des sommets de la créativité de la génération -euh, je censure… déjà qu’en plus ils se reproduisent…- on en est à réchauffer Mad Max en ce moment. Pas de soucis à se faire pour vous…
Vous pourrez toujours aller faire l’avant, l’après chez Popaul.
Elena merci mille fois, « foi » et « Dieu » sont devenus aujourd’hui des mots insultants, les gens préfèrent les raccourcis parce qu’ils sont perdus dans leur tête. Même les particules élémentaires athées ont besoin de gens qui ont su conserver une foi véritable, une foi pure et intacte, pour montrer à tous cette voie de « l’être là pour les autres » et en finir avec ces enfumages de philosophes et leur foute raison toute puissante, la Bible ne nous dit-elle pas que la vérité humaine n’est jamais un dévoilement du monde mais le socle d’une confiance entre les hommes ? quelle triste confusion dans laquelle nous nous embarqués sur la signification même de ce mot « vérité ».
la pluie d’or,!…et de sang,!…
Un rare moment de non simulation ?
« en finir avec ces enfumages de philosophes et leur foute raison toute puissante »
Confusion, Hamlet, confusion ….il n’ ya aucun rapport !
La raison n’est pas l’apanage des philosophes, elle n’est pas toute puissante, et elle demande bien au contraire tout notre amour* !
*vous vous souvenez … ?!
notre amour
c’est beau
ça fait combien ?
vous vous occupez de l’histoire des grands hommes ! Napoléon, Staline, Hitler, Alexandre…
où prîtes-vous cela ?
Je constate au contraire chez Hitler un cas unique. Les autres « grands hommes » sont bien davantage en phase avec leur époque et en quelque sorte produits par elle. Lui produit la sienne, dans une grande mesure.
hamlet dit: 19 mars 2015 à 13 h 35 min
« foi » et « Dieu » sont devenus aujourd’hui des mots insultants, les gens préfèrent les raccourcis parce qu’ils sont perdus dans leur tête. »
C’est r’parti !
» pensez aux témoignages divergents »
il y en a pour dire que jésus est parmi nous
@Bloom » pensez aux témoignages divergents suite à un accident. »
l’histoire n’est pas un accident ou le récit d’une série d’accidents
cf « Les Croix de bois, ou le film ‘ Avoir vingt ans dans les Aurès’
Lui produit la sienne, dans une grande mesure.
Il n’était pas vraiment le seul à être industrieux tout de même !
Bon, vous laisse à vos concours de lèche-cul, il y a des langues dont je ne veux pas chez moi et je crois qu’on le sait malgré les airs de Tartuffe à l’envers à la mode…
entre « dans une grande mesure » et « il n’était pas le seul », verriez-vous un abîme ?
le métier de JC à Porquerolles : éboueur ? (ce ne serait pas étonnant)
« et Hitler dans tout ça ? » : la question manque dans presque tout ce qu’on écrit sur la collaboration dans l’Europe occupée.
Je viens de retrouver ceci dans ses « propos de table », en librairie depuis le début des années 50. Il s’agit de Hacha, le président tchèque qui a succédé à Benès fin 1938 après Munich. Hitler raconte comment, profitant de l’assassinat de Heydrich à Prague quelques jours avant, il l’a chambré avec l’aide du secrétaire d’Etat à la présidence Otto Meissner :
[On vient d’instruire le Führer, en son QG de Vinnitza, d’une campagne lancée par Hacha, ordonnant à tous les Tchèques de collaborer avec l’Allemagne sous peine d’être considérés comme des traîtres.]
Cette initiative résulte d’un entretien que j’ai eu à la chancellerie avec le président Hacha lors d’une cérémonie à la mémoire de l’Obergruppenführer Heydrich. J’ai fait savoir à Hacha et aux ministres qui l’accompagnaient que nous ne tolérerions plus les atteintes portées aux intérêts du Reich et que nous envisagerions, le cas échéant, de déporter toute la population tchèque. Pour nous, qui avions déjà transféré des millions d’Allemands, cette entreprise ne poserait aucun problème. En entendant cela, Hacha et ses compagnons s’effondrèrent. Après un instant de silence, ils me demandèrent la permission de faire état de cette menace auprès de leurs compatriotes, avec toute la discrétion possible. J’ai accédé à leur désir. En effet, je considère les Tchèques comme des ouvriers habiles et intelligents et je tiens à ce que le calme règne dans le Protectorat, d’autant plus que deux de nos principales usines d’armement y sont installées.
Le fait que le gouvernement du protectorat ait entrepris sa tâche d’une manière qu’on peut considérer comme pro-allemande à 100% peut être attribué, entre autres facteurs, à l’action du ministre d’Etat Meissner. Celui-ci s’est en effet promené après la cérémonie avec les ministres tchèques dans les jardins de la chancellerie et a su les persuader, en réponse à leurs questions inquiètes, que je ne plaisantais pas. Ils l’ont si bien compris que leur politique consistera désormais à purger le pays de toute influence de Bénès. Ils feront même comprendre au peuple tchèque que, dans cette lutte pour la vie, il n’y a plus de place pour les attentistes et pour les tièdes.
(propos du 4 juillet 1942)
Il n’est pas « le seul industrieux », mais l’incontestable chef d’orchestre.
On remarquera que cette visite d’Hacha à Berlin est mille fois moins connue que celle du 14 mars 1939, quand il livre sous la menace les clés de son pays à Hitler… alors qu’elle n’est pas mille fois moins importante.
le pauvre fou delpla ne sait plus quoi inventer (comme si personne avait jamais contesté le rôle d’Hitler) pour survendre sa marchandise, et minimiser la réalité du vichysme…
Je constate au contraire chez Hitler un cas unique. Les autres « grands hommes » sont bien davantage en phase avec leur époque et en quelque sorte produits par elle. Lui produit la sienne, dans une grande mesure.
On pourrait dire exactement la même chose de Napoléon, d’Alexandre ou d’Octave-Auguste.
Elena dit
Ce ne sont pas les tâches infinies et inaccessibles, mais les êtres humains qui sont placés de proche en proche et que l’on peut rejoindre à chaque fois qui sont le transcendant. Dieu sous forme humaine !
Supprimez Dieu et la transcendance de cet édifiant discours, et vous obtenez exactement le même résultat.
il y a parfois dans le débat intellectuel des gens qui racontent de grandes sottises (on pourrait en donner, en France, l’exemple de François Furet) mais qui finissent par jouer un rôle positif et ce à travers le travail de clarification, et d’explication, auxquelles elles donnent lieu. Rien de tel en revanche chez françois delpla, qui avec ses propos infra-débiles ne fait que se comporter en parasite de toute discussion pour venir caser sa carte-de-visite, et agresse les internautes. Je propose, à son attention, de créer un néologisme : on l’appellera, le ténieux.
François Delpla dit :
Je constate au contraire chez Hitler un cas unique. Les autres « grands hommes » sont bien davantage en phase avec leur époque et en quelque sorte produits par elle. Lui produit la sienne, dans une grande mesure.
Thèse éminemment contestable, aux limites de la contre-vérité. Tout le monde sait que Hitler est le produit de la Grande Guerre et du traité de Versailles. Qu’Adolf ait produit son époque apparaît, au moindre examen, comme une vue excessivement sommaire et partielle. Le nazisme (c’est-à-dire pas seulement son führer) a tout juste produit (en partie) la société allemande sur une petite douzaine d’années, et la catastrophe d’une Europe en proie au chaos sur cinq ans. C’est peu, au total. L’Europe telle que nous la connaissons depuis 1945 n’est pas sortie de l’hitlérisme mais de la Seconde Guerre Mondiale, ce qui est un peu différent, et ce qui lui a permis de naître, c’est surtout le plan Marshall. François Delpla semble fasciné, au-delà de toute raison, par un personnage dont nous connaissons aujourd’hui davantage les limites que le « génie ».
Gallimard semble être un produit de son époque. Grasset un peu moins. Denoël, complétement si on l’associe à M. Steele.
à Vair Mifuge : ténieux, non, il a le mérite d’alimenter le débat ; l’exemple du vrai ténieu, le parasite indécrottable qui pollue ce blog depuis si longtemps qu’on se demande s’il ne bénéficie pas d’une attention toute particulière, c’est JC ; Paul Edel l’a bien compris en le faisant sortir par la petite porte vite fait bien fait, bienfait
dans l’édition remettre à une place d’honneur : JÉRÔME LINDON
… et JOSÉ CORTI
Le talent de Hitler était dans son mimétisme dangereux (pour fanatiser le peuple allemand), et ses capacités dans les relations diplomatiques (pour rouler dans la farine ses adversaires, du moins au début). Bref, le summum de la démagogie cynique.
Les autres « grands hommes » sont bien davantage en phase avec leur époque
Et les grandes femmes alors, elles comptent pour des prunes?
M. Delpla a certain talent pilpoulesque, il faut bien reconnaître. Il vous tord l’adolf comme un bonzaï, c’est tout de même plus divertissant qu’une émission d’arte.
Vu un « mein kampf » chez un libraire lisboète (bizarrement on disait lisbonnin jusqu’à la seconde guerre) à prix hitlerien. sapré salazar.
Il est à craindre que pauledel ait sombré dans la grappa. Revoir Venise avant de mourir, disait le vicomte qui ne buvait pas mais rigolait comme un bossu à l’enterrement de sa femme.
M OU MME 19 mars 2015 à 15 h 56 min : toujours plus d’insultes sous pseudo, donc toujours moins de courage (moi fasciné par Hitler ? des baffes ! et si vous voyiez comment je suis gaulé, vous brouilleriez encore plus les pistes !! ); je rappelle que pour éviter cette ignominie, on peut décliner son identité en privé.
Sur le fond :
-les personnages qu’on m’oppose comme ayant « au moins autant » produit leur époque étaient tous des héritiers ! Staline de Lénine, Alexandre de Philippe, etc. etc. De qui donc Hitler hérite-t-il ?
-il met évidemment à profit certaines circonstances, PGM, traité de Versailles etc. mais elles étaient loin de produire nécessairement le nazisme;
-et avant qu’on me cite la crise de 29, je voudrais poser ma question favorite : une Allemagne prospère n’aurait peut-être pas porté Hitler à sa tête aussi vite mais qu’est-ce qui prouve qu’elle ne l’aurait pas fait du tout ? et pourquoi la question est-elle si rarement posée ?
-l’épisode Hacha de 1942 laisse sans voix monsieur comme madame.
@jem 19 mars 2015 à 16 h 04 min : assez d’accord; les ruses diplomatiques restent un sujet relativement neuf, en cours d’inventaire.
François Delpla dit
moi fasciné par Hitler ?
Mais si, tu l’es, mon pote. L’Adolf te botte, et pas qu’un peu. Tu le kiffes grave. A ton âge, t’as pas honte ? Ta perversité te perdra.
hacha, ch’est un (affreux) francmachon comme benèch.
je rappelle que pour éviter cette ignominie, on peut décliner son identité en privé.
Mais je la lui ai déclinée, mon identité : M OU MME ! Il est bouché à l’émeri, ce type.
je me demande si ce billet est à lier à la remarque d’Y.MWichaud sur son blog à propos de la vitrine Gallimard
jem il me semble que pour ce qui est de rouler dans la farine ses adversaires, du moins au début et même plus tard, sur le terrain des relations diplomatiques, Mussolini était autrement plus habile que le moustachu.
L’un de ses premiers soins fut de faire savoir aux Etats-Unis qu’il était tout à fait d’accord avec eux, sur la question des dettes de guerre, et qu’il serait même content de les honorer (mais que bien sûr… l’Italie n’avait pas les moyens de payer).
Faisons maintenant un bond en avant de dix ans.
Par les messages de son ambassadeur à Washington Mussolini comprend à la mi-1930 qu’avec ses récents discours guerriers en Tosacane contre un pays ‘voisin-et-même-très-voisin’ il va se faire sucrer ses crédits par les USA, qui décemment ne peuvent tout de même pas arroser un pays qui se propose d’entrer en guerre contre leur allié la France ; même si le risque de voir Mussolini prendre ce risque est minime. Eh bien, qu’à cela ne tienne : ce seront les voeux radiophoniques du 1er janvier 1931, sur le thème, pour vivre heureux vivons en pets !
Etc. etc. etc.
Enfin monsieur delpla, compte tenu de son germano-tropisme (laissons de côté son ridicule charabia germano-pratin) ne saurait ignorer l’habile comédie de l’intéressé au moment de la conférence de Münich, et ce, alors que l’Axe est déjà pleinement constitué.
A quoi on pourrait ajouter, si on voulait jouer à la comparaison Italie-Allemagne, que les fascistes eux-mêmes savaient que leur destin était entre les mains de Benito ; et qu’ils avaient peu de chances de rester au pouvoir (d’où leur obsession du thème de l’attentat) en cas de disparition du capobanda, sauf, hypothétique coup d’Etat militaro-dynastique. Hélas l’intéressé ne mentait pas forcément lorsqu’il disait, « celui qui me remplacera n’est pas encore né »…Aussi Héraclite-Oris n’a peut-être pas eu totalement tort de me répondre le 19 mars 2015 à 16h 01 que le ténieux delpla « a le mérite d’alimenter le débat » -même si en termes de rapport qualité-prix, le compte n’y est pas…
quant à celui qui me poursuit de sa haine pour le crime de l’avoir un jour contredit au sujet d’un roman, il avait cessé depuis un moment de me poursuivre de site en site. Le fait qu’il le fasse sur la RDL laisse à penser qu’il a peu d’estime pour les défenses naturelles de cet espace. A vos anticorps !
L’antique corps du délit : http://www.delpla.org/article.php3?id_article=571
voici le commencement du billet d MICHAUD
Passant il y a peu devant la librairie Gallimard du boulevard Raspail, j’ai été un peu éberlué de voir une vitrine entière consacrée à la Shoah, aux camps, à la libération des camps, etc.
Je n’en nie certainement pas le besoin mais j’étais perturbé par l’aspect “commerce éditorial” de la commémoration.
(pardon, Toscane)
François Delpla dit :
et si vous voyiez comment je suis gaulé
Delpla doit confondre la RdL avec un site de rencontres. Il se prend pour le Gauleiter des Gaules !
“commerce éditorial”
Vous avez pu vous retenir de dire pinacothèque sur ce sujet là, c’est bien…
à toutes fins utiles je signale que le « lien » apposé par le diffamateur abject François Delpla à 16h 51 min fait l’objet d’une plainte en cours auprès de la CNIL : comme déjà, ici rappelé sur un autre fil de discussion.
Vitrine de Noël je trouverais ça vraiment moche surtout depuis quelques mois.
Simon dit: 19 mars 2015 à 16 h 55 min
c’est une citation, vérifiable .
Ah, ben on est épris de justice à ce que je vois, ça promet…
François Delpla dit
quant à celui qui me poursuit de sa haine pour le crime de l’avoir un jour contredit au sujet d’un roman, il avait cessé depuis un moment de me poursuivre de site en site.
Alors là, c’est pas moi. Delpla sombrerait-il dans le confusionnisme ? le grand âge, peut-être. Histoire de retrouver sa sérénité, je lui conseille une cure de confuçiussionisme (non remboursée par Nétanyahou là là).
M OU MME mots magiques, y’en a des tas c’est vrai…
Bon, je crois que je vais laisser persévérer ceux qui aiment…
(@M OU MME, 16h 59 min) Enchanté. Non, apparemment ce n’est pas vous que visait le ténieux mais… moi-même car il ne me pardonne pas de lui avoir « mis le nez dedans » il y a maintenant… plus de cinq ans, dans le cadre d’une discussion qui se déroulait sur le site nonfiction.fr. Je précise bien que c’était lui qui m’avait « abordé, au sens maritime du terme », comme il l’écrit -parce qu’en plus, il se croit drôle!-, et non, le contraire. Enfin c’était bien sur le terrain historien qu’il s’était fait moucher -et en aucune façon sur le terrain… littéraire, comme il tente de le faire croire sans que son nez s’allonge.
Si je comprends bien leur style d’expression, entre nemeth et delpla, il n’y en a pas un pour racheter l’autre. Completement investis par leur personnage respectif. Le duce et le fuhrer. Ah tu parles de guides touristiques .
Dites-nous en quelle année qu’on puisse mieux vous comprendre…
lvdlb aura été mal renseigné : mon dernier travail publié (autre qu’auto-édité) concerne l’affaire Dreyfus, et le prochain concernera Proudhon.
(lvdlb) je m’en veux, d’être resté poli : as-tu seulement jamais lu, pauvre type, une ligne de moi écrite sur Mussolini ?
2mn luc, on m appelle sur une autre ligne.
(@lvdlb) en tout cas, moi j’tai pas sonné.
« … -et avant qu’on me cite la crise de 29, je voudrais poser ma question favorite : une Allemagne prospère n’aurait peut-être pas porté Hitler à sa tête aussi vite mais qu’est-ce qui prouve qu’elle ne l’aurait pas fait du tout ? et pourquoi la question est-elle si rarement posée ? »
Pourquoi la question est-elle si rarement posée ?! mais parce que il s’agit d’une question dépourvue de sens – puisque le cours des « choses »… etc. etc.
C’était sous couveuse ?
Il y a tant de poules qui se vantent de boire à la source, pardonnez mon insolence…
Si accettano miracoli…
J’adore les parlottes sans intérêt !
Pourquoi ? mais parce qu’on se fout du Kanzler Dolfie Moustachette méchante … tout ça c’est « has been » merdique !
C’est le présent qui nous intéresse et, accessoirement, l’avenir.
Qui fait la gueule éternellement ?
Le présent ? non mais vous avez vu l’heure ?
JC dit
C’est le présent qui nous intéresse et, accessoirement, l’avenir.
Certainement, certainement. On ne va pas faire de la philosophie à deux balles, mais JC sait très bien que si, à la rigueur, on peut (peut-être) parler le présent, en revanche on ne peut écrire que sur le passé — étant bien entendu qu’on ne peut écrire sur l’avenir qu’au passé. Curieux d’ailleurs, si l’on y songe, mais indubitable. 300 000km/s , JC, c’est notre fatalité. Avant les premières mesures de la vitesse de la lumière, on pouvait se faire des illusions, mais c’est fini, tout ça, depuis déjà bien longtemps.
…
…sur msn Actualité,…bon, mais, ces faillites de banques,…Autriche, Allemagne, Andorre,…
…ces contrôles et retraits des particuliers à plus de 500.000 €uro au moins pour chaque épargnant ( Andorre ),…
…
…même si c’est pas un montage Pub financier d’austérité,…tout ces fonds, ils sont ou,…pour financer quoi,!…
…et avec les protections et assurances de l’Andorre à la CEE,…& la french – alliance,!…
…qui vas payer la note, de ces en cas, enregistrer au noir aux paradis-fiscaux,!…
…
…transparences sur transparences,…des concourniates de fonds en dessins de relevés topographiques,!…
…
…des comptes roulants pour faire pressions en » rotatives » à liasses,!…
…et, au Scanner, séparer les couleurs administratives bancaires,!…et sur les premiers » galvano « , essais des corrections » elbo « ,…
…pour un contraste au Noir plus plat, et accentuer les couleurs,!…
…
…les analogies logiques, un fond d’histoires scientifiques,!…liées aux techniques en comparaison,!…
…l’histoire en voie de progrès sur une science exacte,…c’est pas nouveau,…
…le lucre et profits, comparés à une imprimerie & à ses accessoires techniques,!…
…déjà, les liasses en résultats,!…
…etc,!…gélato,!…du vent,!…à la poupe,!…galéasse,!…Ah,!Ah,!Ah,!…Go,!…
…
entre nemeth et delpla, il n’y en a pas un pour racheter l’autre. Completement investis par leur personnage respectif. Le duce et le fuhrer.
vous cumulez l’insulte sous X avec l’autre grande plaie de la Toile : le renvoi dos à dos du troll et de sa cible.
***************************************
Quant à l’autre aimable deviseur pour qui j’ai posé une question « vide de sens » (Hitler aurait-il pu parvenir au pouvoir sans la crise de 29 ?), on va faire tout le possible pour combler son vide à lui.
Soit, donc, une Allemagne maintenant ses taux de croissance des années 20 pendant la décennie suivante. Elle vient d’accepter les annuités du plan Young et cela a mis une première fois les nazis en selle par un référendum à l’automne 29. S’engagent alors à Genève les discussions sur le désarmement. Les héritiers de Stresemann y vont doucement, les nazis poussent à la roue en accusant le gouvernement de faiblesse. Arrivent les présidentielles de 1932. Plus question de présenter Hindenburg à 84 ans. A droite, pour faire pièce au candidat du Zentrum (Brüning ?) et au socialiste, qui d’autre que Hitler ? Il n’a pas l’argument du chômage, mais celui des réparations qui empêchent de satisfaire tel et tel besoin, et celui de la faiblesse des négociateurs allemands à Genève… et de toutes les malfaçons versaillaises, Dantzig et compagnie, et de la question d’Autriche (dans l’histoire réelle, la France met son veto en 1931 à une union douanière Autriche-Allemagne, cela pourrait aussi se produire sans la crise de 29 et donner un argument de choc aux nazis). Il y a aussi bien sûr l’anticommunisme, attisé par le premier plan quinquennal soviétique…
C’est là que Renato trouva le lit plein et devint livide ?
La question reste vide de sens, mon garçon.
Je ne suis pas, personnellement, certain que la vitesse de la lumière soit une constante universelle dans tout l’univers …
J’intuite même le contraire, fermant ma gueule en absence de preuve…
Donc, Jambrun, je crois que nous aurions intérêt à nous foutre du passé, dare-dare, car tes arguments… valables dans ton référentiel, ne sont que « fiente à la grappa » dans le mien.
tu y viendras, Rena, tôt ou tard !
CANTINES SCOLAIRES
Problème sans fondement : les Français ont pris du porc pour un quinquennat, et ne se plaignent guère.
Que les communautaristes ferment leur gueule de consommateurs !
Encore un qui a du mal à comprendre que si sa mère avait eu un pantograph il serait un tramway… ou un tgv… faut voir l’inclination des rails…
Bon, pour ceux qui ne sauraient pas encore ce que c’est que de vrais .. vrais, tarés :
« Dans un communiqué sonore et écrit difusé sur Twitter, puis repris par des comptes et canaux sympathisants habituels, l’Etat islamique s’attribue la responsabilité de l’attaque contre le Musée du Bardo à Tunis, mercredi 18 mars. L’assaut, affirme le groupe djihadiste, a été mené par « deux chevaliers de l’Etat du Califat lourdement armés de mitrailleuses et de grenades » baptisés « Abou Zakaria Al-Tounsi » et « Abou Anas Al-Tounsi». Des noms de guerre confirmant implicitement la nationalité tunisienne des assaillants. »
…
…Simon, vous vous faite avoir,…avec vos réponses ciblées,!…question niveau tempérance à pallier,…niveau échafaudage camouflage,!…
…sans fonds de décor,!…
…vos exercice de répétitions en chambre,…sur planches,!…etc,!…
…
Puis on peut toujours rêver. naturellement:
La tête pensante des attentats de Tunis se nomme Abou Jambrun al Burgundi !
Finalement, avec ces gros tarés de L’IE, voir l’attentat du Bardo, il y a toujours plus taré ailleurs.
De quoi se réconforter.
Mais si .
Marine Le Pen, notre blonde Walkyrie, veut stopper la construction de nouvelles mosquées en France en attente de précisions sur le « financement religieux » !
Les paris sont ouverts : Le Pen ou Allah ?
Bonne nuit ! Faites de beaux cauchemars, les petits !
( Bon, ne jurons de rien parce que si D. nous remake les croisades, on n’est pas sortis de l’affaire .. )
C’est bien gentil ces querelles sur Hitler ou Mussolini, mais notre horizon s’appelle Al-Baghdadi.
Il est possible que ce guignol ne soit plus de ce monde dans quelques mois, mais le totalitarisme qu’il symbolise, eh bien, nous allons vivre avec quelques décennies.
Il serait temps de changer de cible.
(Salut à vous, Daaphnée)
Avant de vous quitter définitivement, une info importante !
Un copain designer m’a torché un ensemble vestimentaire « Croisés Humanistes Valeurs Universelles » ….. à rester sur le cul, tant il est beau !
A côté, une chemise brune …… ça fait camping-car Palavas les Flots !
18 h 54 : ah Marine !, JC a la trique !
‘alors que lorsqu’on dit « Gaston » chez Gallimard, on se souvient qu’il n’y en a eu et qu’il n’y en aura jamais qu’un.’ (PA)
Dites « Alain » chez des philosophes, et vous verrez les clivages.
— Ce que j’ai négativement appris, à la fréquentation des cultureux, c’est de ne jamais appeler par son prénom, devant un tiers, une personne réputée qu’on a l’heur ou le malheur de bien connaître.
Chez les galléristes aussi, ou les critiques d’art, c’est atroce.
Que de colères dans des pince-fesses…
J’y vais plus!
Un vieux sentiment « républicain » (connaissez vous le vieux Guéhénno? Lu hier son ‘Journal d’un homme de 40 ans’, c’est un livre à faire honte à beaucoup d’astres morts-nés de notre galaxie littéraire) m’interdit absolument ce genre de démagogie.
Monsieur Verdoux dit: 19 mars 2015 à 19 h 14 min
18 h 54 : ah Marine !, JC a la trique !
Le camarade JC (un homme pondéré, m’a-t-il semblé, dans ses jugements politiques) n’a jamais frappé une femme.
Votre propos est obscur.
Cher U.
A mon avis, l’Al-Baghdachose devrait faisander plus vite sous le soleil qu’Adolf et Benito en zone plus tempérée.
(Il faudrait demander à Clopine qui s’y connaît en pâtés. )
Renato s’étant évanoui, sinon à la lecture de mes précisions uchroniques, du moins dans la nature, je voudrais dire un mot sur l’histoire réelle en soulignant un point mis en lumière par Ian Kershaw et encore trop négligé.
Hitler a tenté de « soustraire la classe ouvrière au marxisme » jusqu’en 1927 puis s’est aperçu que cela ne marchait pas et a orienté sa propagande vers les campagnes et les classes moyennes, trop tard pour éviter une claque aux législatives de 1928 (2,6 %). Mais l’ascension était commencé, et était déjà fort sensible à la fin de 1929, avant toute répercussion en Allemagne du « jeudi noir ». Une partie non négligeable des 18% de septembre 1930 était déjà engrangée -ce score lui-même ne devant pas beaucoup à la montée, encore modérée, du chômage.
Hitler n’a donc, contrairement à ce qu’indique un regard superficiel, pas été enfanté par la crise et la question de son devenir politique en cas de maintien de la prospérité se pose bel et bien.
Ne pas la poser, au contraire, c’est persister dans ce qui a fait sa fortune : la sous-estimation de ses capacités.
Quant aux ceusses qui prétendent que ces questions n’ont plus aucune actualité, je me demande gravement s’ils me font rire ou pleurer.
l’ascension AVAIT commencé
(ce que je dis de l’ascension)
merci delpla, grâce à vous nous en savons maintenant bien plus sur Gallimatias versus Grasset
Hé, mon garçon! je ne me suis pas évanoui: je vous ai répondu comme il se doit, il suffit de suivre le fil… tramway… Inglourious Basterds…
Quant aux ceusses qui prétendent que ces questions n’ont plus aucune actualité, je me demande gravement s’ils me font rire ou pleurer. (Delpla)
C’est un débat historiographie intéressant.
C’est aussi votre propre passion, bien au-delà de l’histoire.
Pourquoi pas?
Mais en termes politiques, vos contemporains regardent aujourd’hui au-delà.
En Europe, et contrairement aux mélopées périodiques sur le « retour des années 30 », le danger nazi est négligeable. Il y a des populismes d’extrême-droite, mais ce n’est pas pareil.
Le scholarship, s’il se veut politiquement pertinent (mais on peut choisir le cunéiforme, je trouve ça très bien) devrait s’intéresser à autre chose.
Cette autre chose est pour moi évidente, mais je ne suis pas là pour jouer au maître d’école.
(@renato) faut pas faire attention… le ténieux, comme l’a surnommé luc, multiplie les trolls de manière compulsive pour faire oublier l’humiliation qu’il s’est prise hier dans le fil de discussion : « Sanjay Subrahmanyam, un brahmane consterné à Paris ».
Ce soir c’est télé.
Dommage pour Ph. Roth, mais je vais préférer Dennis Lehanne pour Shutter Island.
Edité en langue française par Payot&Rivages, maison sans doute pas concerné par cette truffade parisienne.
http://www.cineclubdecaen.com/realisat/scorsese/shutterisland.htm
Et puis Di Caprio, impossible de résister.
Daaphnée dit: 19 mars 2015 à 18 h 56 min
( Bon, ne jurons de rien parce que si D. nous remake les croisades, on n’est pas sortis de l’affaire .. )
–
J’ai décidé de ne plus intervenir d’aucune façon ici, Daaphnée.
mais je constate que je vous manque déjà.
Apparemment Daaphnée est une grande panseuse politique.
Widergänger dit: 19 mars 2015 à 20 h 52 min
Apparemment Daaphnée est une grande panseuse politique.
Désolé de vous décevoir, son ventre est plat.
Et le vôtre?
Celui de D., c’est du Suchard, il nous l’a dit (bravo)
« … ne jamais appeler par son prénom, devant un tiers… »
Pourtant n’être appelé que par son prénom, même devant plusieurs tiers, c’est le témoignage d’une reconnaissance certaine…
Sur Hitler, mes petits chéris, vous lirez avec intérêt le très bon livre de Stern : Hitler, le Führer et le Peuple, Champs Flammarion, mes chéris.
@ bab el-oueda 19 mars 2015 à 20 h 11 min
où avez-vous vu que j’identifiais les deux époques ?
Une crise économique gérée par des politiciens aux vues courtes est le principal point commun… et pour moi elle est loin d’être le facteur central de la montée de Hitler au pouvoir.
De même, le racisme actuel est très différent de celui des nazis. Cf. http://www.athena-vostok.com/a-propos-d-hitler-du-nazisme-et-des-blocages .
Cependant
-beaucoup font des rapprochements erronés et il importe de le montrer;
-« notre » racisme reflète tout de même celui de Hitler, un peu comme la lune doit sa lumière au soleil. En particulier, l’idée d’une lutte politique mondiale entre deux forces antagonistes, se traitant réciproquement d’empire du mal, est un prolongement de la psychose déclenchée dans la tête d’un caporal fin 1918, rationalisée au cours des mois suivants dans la thèse sans précédent d’une lutte finale entre Juifs et Aryens.
D’un côté, on nous dit que les Français lisent beaucoup (16 livres par an, mazette !) et de l’autre on nous dit qu’ils ne lisent que du Marc Lévy et du Jean d’O. On salue la performance, mes petits chéris, parce que se farcir 16 Jean d’O d’affilé, ou 16 Marc Lévy, et ne serait-ce que 8 Jean d’O et 8 Marc Lévy, moi je dis chapeau ! Faut’l faire !
Faut voir, la statistique tient en compte le livre comme mobilier (élément décoratif) ou pas?
bab el-oueda dit: 19 mars 2015 à 20 h 11 min
le BoUddha tourne autour de son vous-savez-quoi… depuis le temps…accouchez-donc, mon brave de cet incubus qui vous donne l’air bien panseux et flatulent! vous jouez peut-être pas au maitre d’école, parce que vous vous prenez pour le surgé…
Delpla, prenons aussi un peu l’air quand nous le pouvons.
Il suffit parfois de tourner la caméra dans l’autre sens.
Tenez.
Quand les guerrilleros ne sont pas colombiens ni russes ni vietnamiens, mais américains.
Avec une éminente Française (Presle, dite Prelle dans le générique).
Avec en face, hélas, quel peuple…
Filmé par un Allemand, mais vous le savez déjà!
(ceci est une citation)
la plume de mon oncle dit: 19 mars 2015 à 21 h 14 min
Alors, alors?
Wenger?
Hello la vie…bien content que la vieille dame ait donné une belle fessée a ces punks de Dortmund…ils le méritaient bien…mais dommage pour Arsenal…presque mais pas tout a fait…next year maybe ?
Les attentats de Paris, de Copenhague, de Tunis, les exactions des extrémistes islamistes en Syrie, en Irak, en Afghanistan, au Pakistan, en Libye, au Nigeria, montrent que le nazisme n’a pas perdu toute son actualité. il nous reste à apprendre du nazisme. Non pas au plan de son idéologie foireuse, de son antisémitisme dément, mais au plan de ses méthodes. Il faut le reconnaître, l’efficacité des méthodes de la Gestapo reste inégalée. Un Klaus Barbie fut, parmi d’autres, un excellent professionnel. Les nazis nous ont appris l’efficacité de la cruauté méthodiquement et sadiquement exercée, à grande échelle. Bref, si nous ne parvenons pas à dépasser nos adversaires en cruauté, si nous ne nous montrons pas impitoyables, si nous ne déployons pas contre eux un arsenal de tortures raffinées, terrifiantes, collectives, de traitements dégradants, déshumanisants, si nos polices et nos services secrets ne sont pas autorisés à user de techniques incompatibles avec les principes démocratiques et humanistes dont nous nous réclamons, nous perdrons la partie. Oui à la contre-terreur méthodique, déployée avec une ampleur suffisante. Le régime de Bachar al Assad l’admirable nous montre la voie. Les méthodes expéditives de son armée et de ses forces de l’ordre est l’exemple qu’il nous faut suivre si nous voulons survivre.
Le régime de Bachar al Assad l’admirable nous montre la voie. Les méthodes expéditives de son armée et de ses forces de l’ordre est l’exemple qu’il nous faut suivre si nous voulons survivre. (Monsieur ou son épouse)
Euh…
Ceux d’en face sont haïssables, mais quoi.
En termes de qualité/prix, ce n’est pas un aigle.
-« Où sont les aigles? »
– Oui, c’est aussi une question.
la plume de mon oncle dit: 19 mars 2015 à 21 h 18 min
Hello la vie…
C’est formidable de commencer sa soirée comme ça.
Seul Hamlet va y voir du nietzchéisme.
– »notre » racisme reflète tout de même celui de Hitler, un peu comme la lune doit sa lumière au soleil. En particulier, l’idée d’une lutte politique mondiale entre deux forces antagonistes, se traitant réciproquement d’empire du mal, est un prolongement de la psychose déclenchée dans la tête d’un caporal fin 1918, (Delpla)
Mais pas du tout, pas du tout, le soleil c’est nous, vous sous-estimez vos compatriotes.
S’il s’agit de structure (et il s’agit de structure) nous autres Français avons tout ça en magasin: guerre contre les parpaillots, haine exterminatrice de la révolution française.
Ces Allemands, ces Russes, ces Chinois sont nos élèves.
Bien sûr, ils sont un peu lourdauds.
Ils n’ont pas notre finesse.
Au fond, le défi que les islamistes radicaux nous lancent aura eu cette utilité historique de nous montrer la voie dans laquelle nos institutions politiques doivent logiquement et nécessairement évoluer : celle de la démocratie tempérée par la terreur.
avant Hitler, l’antisémitisme n’est jamais exterminateur.
C’est lui qui instaure ce règne du « eux ou nous, et à brève échéance ».
Quel modèle antérieur ?
merci d’être précis.
C’est lui qui instaure ce règne du « eux ou nous, et à brève échéance ».
Quel modèle antérieur ? (Delpla)
Soit.
L’idéologie subit un tour radical.
Mais (tu es là, Hamlet?) si la cause finale est neuve, la cause efficiente est vieille.
(Mais Aristote, bien sûr, était un esclavagiste très libéral)
Hadrien a exterminé gaiement en Judée, qui finira d’ailleurs débaptisée. Évidemment on n’en faisait pas tout un plat à l’époque.
François Delpla dit: 19 mars 2015 à 21 h 47 min
Oui, enfin, mon petit chéri, y a quand même eu l’Inquisition, qui fut, à bien des égards, une première Shoah !
Bon, eh ben, c’était passionnant sur la 5, le duel Gaston Gallimard/Bernard Grasset. Oh ! mes chéris, quelle coïncidence, hein ! Il a vraiment un regard d’halluciné, le B.G. Faut dire qu’il travaillait pas mal du chapeau, 9 années absent de Paris au total pour soigner ses névroses. Ce qui est le plus drôle, je trouve, chez B.G., ce sont les titres de ses bouquins, comme Psychologie de l’immortalité. Faut quand même être pas mal déjanté pour trouver un titre pareil. Plus mégalo, tu meurs.
C’est lui qui instaure ce règne du « eux ou nous, et à brève échéance ».
Quel modèle antérieur ? (Delpla)
Quel modèle antérieur ? eh bien, celui de la Révolution française, celui de la Terreur, celui de la répression de la Vendée. Ce sont les Français qui ont inventé le règne de l’inhumanité au nom du progrès humain. Ce sont eux qui, plus tard, inventeront le fascisme, bien avant Mussolini et Hitler, comme l’a très bien montré Zeev Sternhell.
En effet, Hadrien, et pis l’Inquisition. L’extermination fait bel et bien partie de l’histoire juive, mon cher Delpla raplapla… La grosse différence avec le p’tit Hitler, c’est la méthode. Le boche, y fait tout de suite dans la grosse industrie exterminatrice. C’est très schleuh. Radical.
M OU MME dit: 19 mars 2015 à 22 h 48 min
Allez, arrête ton, char, mon chéri ! Tu fais dans le grotesque.
C’est comme aujourd’hui, la Merkel. Elle exporte son chômage en Grèce, au Portugal et en Espagne. Et y peuvent bien tomber comme des mouches, tous ces Grecs, par milliers qu’y’s suicident, pffft, la Merkel, elle s’en contrefout. Peuvent bien crever, les Grecs !
Oh, mes petits chéris, pendant les vacances, y’avait sur ARTE (j’vous en ai déjà parlé !) une émission sur le nouveau patron de l’Europe, le Jünker (Jean-Claude, de son p’tit nom), ben, on voyait le Kohlqui venait adouber le Jünker, oh ben dis donc, le Kohl, fallait voir ça, que j’l’ai pas reconnu, ce pauvre Kohl, un cadave, dis donc, un cadave ambulant en plus, sur sa chaise roulante, cadavéreux, mais alors complètement véreux, le Kohl, il a pas dit un seul mot. On l’a roulé sur sa chaise, on l’a collé là, y trônait avec un pied sérieusement déjà dans la tombe, à la table de conférence, y venait adouber le Jünker pour nous entuber profond. Et pis, ça marche en plus. Et y continue à tomber, en Grèce surtout avec le Schäuble, en fauteuil roulant lui aussi. Ah, y sont forts tous ces Schleuh, de l’Hitler au Schäuble, en passant par la mère Merkel, du grand art dans la Vernichtung de l’Européen moyen…
Bon, j’espère que vous êtes prêts pour l’éclipse de demain matin ! Tous avec vos lunettes. Et attention les yeux !
N’éclipsez pas les enfants du phénomène scolaire !
Ceux qui n’ont pas de lunettes peuvent regarder l’éclipse à travers une rape à fromage.
En ma qualité d’astrologie officiel de la RdL, je me dois de vous donner les prévisions pour demain maitin :
Il ne se passera absolument rien d’intéressant pour les Balance, Lion, Cancer, Verseau, Taureaux et Scorpion. Désolé pour eux.
Les Capricorne, Gémeaux, Vierge, Sagittaire verront leur finances diminuer légèrement.
Les Béliers commettront une erreur qu’ils ne regretteront pas, une fois de plus.
Pour finir, les poissons auront le feu au cul.
comme souvent.
c’est pour ça qu’on les met dans l’eau, d’ailleurs.
…
…l’équipée en perte de vitesse long courrier d’histoire,!…
…
…N°6,…les meilleurs plats et habitudes alimentaires pour effacer notre mémoire collective,!…
…l’inspecteur » Gadget « , revu et corrigé,…
…
…au mess,…salade-tomate, un steak bien cuit,!…des oiseaux sans têtes,!…bière Tuborg,…ou une pinte de vin,!…
…
…à l’entrée,…Bacall-lauréat,!…très tendu,…
…à la sortie,…Pigeon de première source,!…de dernière source,!…
…
…et après,!…tient, et nos édulcorants,..
…
…après, la partouze,…un trou à combler,!…
…Mais-si,…c’était la nuit de Noce,!…t’a les photos,…
…
…j’ai les photos, mais j’ai pas mes coordonnées de beauté, dans mes bras,!…
…
…c’est que les temps ont changés,…tu vient de te réveiller,!…of course,!…
…et, ton chapeau Napoléon,…en médaillon,…mon voisin,le même au trie-cycle à N°6,…on inverse,!…
…
…chérie,!…c’est l’autre voyez le médaillon,…Oh,! God,! encore lady,!…
…les soins médicaux édulcorés,!…
…vous pousser loin la mémoire aux champignons,!…
…
…déjà, pourquoi une mémoire pour des héritiers,!…
…attention, les éprouvettes,…aux vaches,!…bleu,blanc,blond,!…la maison décline toute responsabilité en cas de précloownages,!…post projection,!…
…
…si c’est pas des histoires scientifiques, à l’Honoris Causa du Bélier,!…
…
…vous avancer le pion, à la case noire,!…
…vous prendrez en biais, en avancent,…et en front il vous bloque,!…tient la mémoire,!…
…et si la pièce prend aussi de front,…Ah,!…c’est plus un pion, c’est la pièce du roi avec une croix dessus,…sur le fond de cours,…à côté de la pièce dite reine, avec la couronne,!…
…
…N° 6,…mes genoux, c’est pas des gants,!…la mémoire scientifique me revient,…c’est pour appâter à la branlette,!…c’est éprou-vent,!…ces soins en l’air,!…
…je vous prend par dessus,!…sur canapé – lit,!…qu’elle mémoire,!…un viol nocturne alors,…format A3,!…des copier/coller,!…
…
…quelle imagination, les N°6,…ces seins de la résistance de la mémoire,!…ces fleurs-bleues sur toiles,!…Charles – magne toi les fesses,!…Hadrien te demande,!…
…
…t’a le saint dur d’Office les fesses en l’air,!…
…etc,!…Ah,!Ah,!Ah,!…la mémoire à Pascal,!…ne nous agitons pas,…le parcourt bleu normal,!…Ah,!…
…
Phil dit: 19 mars 2015 à 23 h 35 min
Ceux qui n’ont pas de lunettes peuvent regarder l’éclipse à travers une rape à fromage.
Ou a travers leur trouduc…La mauvaise langue vous montrera comment faire…un expert nobélisable en la matière, j’vous dis…faut seulement ne pas oublier de porter des lunettes de soleil, la ou le soleil ne brille point…
J’ai regardé Gallimard / Grasset sur la 5 ce soir. Je demande une faveur exceptionnelle à Pierre Assouline : qu’on prévoit un couvert supplémentaire pour la prochaine élection du Prix Goncourt. Ce n’est pas interdit par le règlement. Je promets de rester dans le petit salon à côté, d’être très sage et de manger proprement.
…
…conjugaison du verbe » appâter « , un must,…
…
…à l’indicatif simple,
…au subjonctif imparfait alors,!…etc,!…
…
…
…au subjonctif plus que parfait,…appâter,!
…
…bien en partage aux essieux d’art déco,!…
…
…
…les pions avancent tout seul,!…
…( tient,! de l’arrière pensée,!…),!…
…
…Oui,!…déjà sur P.C.,avec disque à installer,!…
…vous choisissez votre niveau de compétition, aussi,!…
…
…Simon,!…vous faite nouvelle sur le plateau à Passous,!…vous étiez qui, avant Simon,!…
…mystères et boules de gomme,!…Ah,!etc,!…
…
…
…tient, je n’ai jamais jouer à ses jeux, non plus,!…à lemmings,!…
…
…juste,…aux années 1980’s,…les jeux dans les cafés et dancings, aux » Space invaders et envahisseurs de l’espace 2,…
…
…pour votre curiosité,!…
…c’était plus facile, que de faire la cour à des filles en hameçon de profits,!…avec garde champètre,!…à la passe,!…
…
…vite compris, la jeunesse exploitée,…avec ou sans,…à l’oeil,!…
…Simon,!…d’Australie pour être encore éveillé,!…etc,!…
…
Restez chez les poseurs Giovanni, pion ou reine, jamais voulu ça, faudra revoir votre expertise en désir comme certaines énhaurmes c.nnasses obstinées…
…
…Simon, encore, une marionnettes N° 6 adroite,…
…pour tirer les » vert’s » du nez,!…en boites,!…Ah,!Ah,!Ah,!,…Go,!…etc,!…
…
(pour les lemmings j’avoue avoir menti un tout petit peu, mais c’était uniquement sur mon PC et avant le WWW donc hors sujet, n’est-ce pas…)
…
…expertise, en désirs,!…
…
…mon père, me disait, un jour,!…
…quand, t’a ton désir,!…t’a plus rien,
…que de pleurer ta liberté perdue,!…
…
…Alors,!…le désir au coeur,!…c’est aimer chez-soi, sans parasites envahisseurs sur soi,!…ou autres victimisations économiques pour des états – nationaux en leurres à faux-cons,!…
…( diversions à nous distraire, sachons nous fermer, déjà sur nos terres ouvertes aux lucres , haines , et profits d’escrocs,!..)
…au sommeil, merci,!…etc,!…
…
Avoir… non mais vous jouez au con ou vous l’êtes vraiment ?
Comment se la péter en parlant de ce qu’on ne sait pas. Vous laisse à votre logique de frustrée. Vraiment trop de cons !
Con comme la lune rêvant de bouffer la planète.
…
…un rien , de maturité, pour monter ou descendre un escalier, dessiner sur papier,!…
…déjà, avec ou sans rampes,…
…vérifier, votre alimentation, et votre entourage,!…je suis au lit, bonne soirée,!…
…etc,!…
Sur Grasset, il y a eu l’honnete livre de Jean bothoreL
On ne peut pas trouver mauvais un homme qui a édité Ramuz.
Pour Maximilien Vox, il est sur que les livres ont été dispersés.
MC
Giovanni, encore une poule qui a ch.é le Queensland sur lequel elle se la joue, ou un pistonné par un gode à mémère dont on voit les effets dans les orifices « supérieurs »… Toujours à dire ce que vous faites et où vous êtes, vous mendiez quoi ? Il n’y a pas des réseaux pour ça ?
Maintenant, plutôt que de répéter pour la millième fois que l’irréparable façon mémère à chiens-chiens ne sera pas mon genre, je crois que je vais vous laisser à votre éternité d’aboyeurs, de dépendants à la promo par le bout que vous aurez…
Après la contestation nocturne par cinq ou six personnes de
François Delpla dit: 19 mars 2015 à 21 h 47 min
avant Hitler, l’antisémitisme n’est jamais exterminateur.
il n’y a plus qu’à leur demander ce qu’est pour elles le judaïsme.
Un phénix ?
Il y avait le raisonnement par l’absurde, y aura-t-il désormais la progression du débat par l’absurde ?
On peut tout de même ajouter un argument positif :
Widergänger dit: 19 mars 2015 à 22 h 48 min
En effet, Hadrien, et pis l’Inquisition. L’extermination fait bel et bien partie de l’histoire juive, mon cher Delpla raplapla… La grosse différence avec le p’tit Hitler, c’est la méthode. Le boche, y fait tout de suite dans la grosse industrie exterminatrice. C’est très schleuh. Radical.
Je vais répliquer à celui que je ne m’abaisserai pas à appeler Widergänguéguerre en invoquant Desbois… Patrick, pas Robin.
La différence ne réside pas dans le caractère industriel de l’extermination nazie. C’est clair depuis que les équipes de Yahad-In Unum arpentent l’Europe de Varsovie à l’Oural en dressant la carte des ghettos microscopiques liquidés sur place, au besoin en plusieurs fois.
La différence est dans le caractère systématique, succédant à des millénaires de meurtres intermittents.
Yahad s’intéresse aussi à l’opération 1005 dirigée depuis 1942 par Paul Blobel, le bourreau de Babi Yar : faire le tour des fosses communes pour en brûler les cadavres.
Effacer le Juif, même mort, comme une erreur de la nature, qui dit pire ?
(et vous laisserai seuls avec maman passou patauger dans les plaisirs raffinés de la critique-thérapie)
MESSAGE PERSONNEL
Je prie l’ami Paul Edel d’accepter toutes mes excuses !
Je l’ai injustement calomnié hier en l’accusant de censure. Point de censure sur son blog ! Il s’agit d’un bug de blog, lequel est bloqué pour de simples raisons techniques, indépendantes de sa volonté.
Pardon, Paul !….
Widergänger dit: 19 mars 2015 à 22 h 48 min
Entre le début de l’Inquisition dans la Péninsule ibérique et la Shoah , combien de siècles …
L’Espagne ne compte plus que 0,5% de Juifs
L’inquisition a duré des siècles, jusqu’en 1821 au Portugal, 1834 en Espagne
Cf aussi tout au long des siècles tous les pogroms en Europe et dans la Russie tsariste
Prenons le cas de trois jeunes étudiants de l’ENA poursuivis par des policiers à Clichy sous Misère, enjambant une clôture EDF enfermant un transformateur dangereux, et grillant comme toast organique.
Y aurait il eu émeutes ? Procès ? Dix ans d’attente …? Non. Ce procès est politique : la Justice sous tout gouvernement contre l’Intérieur quelle que soit la couleur des gouvernements.
Conseil terminal : on ne doit pas fuir la Police, on obtempère à la loi et l’ordre… ce qu’auraient certainement fait nos futurs énarques, moins cons.
JC….. 20 mars 2015 à 7 h 34 min
encore un effort : ils n’étaient pas seulement plus cons que des énarques, c’étaient aussi des voyous, de la racaille ne relevant que du kärcher…
Je ne connais pas ces jeunes gens : vous avez la preuve de ce que vous avancez ?
J’ai lu dans les journaux le récit des exactions des islamistes radicaux, c’est épouvantable. Par leurs actes inhumains ces gens-là se sont rabaissés en-dessous de l’humanité. Aussi faut-il se montrer impîtoyables contre eux et employer des méthodes drastiques. Il faut d’abord les exclure de la société, eux, leurs familles et leurs amis, tous complices potentiels. On pourrait commencer par leur infliger les traitements que leur barbarie mérite, comme leur faire bouffer de l’herbe, etc. Ensuite, il faudrait les exclure de toutes les professions, confisquer leurs biens. On pourrait les forcer à porter un signe distinctif, leur tatouer un numéro matricule sur l’avant-bras. Ensuite, il faudrait se préoccuper de les éliminer. J’ai lu dans les journaux qu’il y a beaucoup de femmes dans leurs rangs. On pourrait obliger ces salopes à courir à poil — comme sur les photos, c’est si excitant –, histoire de les guérir de porter leurs satanés voiles, jusqu’à la fosse commune où on les expédierait d’une balle dans la nuque. Puis on enfermerait le reste dans des camps où on s’en débarrasserait dans des chambres, dans des chambres prévues à cet effet, sauf ceux qu’on sélectionnerait pour servir à des expérimentations scientifiques, car tout de même y en a marre de ces vivisections animales. Puis on tuerait tous les survivants et on brûlerait les corps, pour qu’il ne reste pas trace de ces scélérats. Merci à François Delpla pour toutes les suggestions que contiennent ses posts. Cependant, je me suis laissé(e) dire que c’était un vrai fan d’Adolf Hitler. J’en serais bien déçu(e). J’espère que ce ne sont que des racontars et qu’il n’en est rien.
8 h 10 min
( lire les commentaires du pervers de porquerolles (jc ou zeus ou autre pseudo il est de toute façon facilement reconnaissable) et lui répondre est une perte de temps )
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