Il n’y a que la Patagonie qui convienne à mon immense tristesse
Serait-ce la naissance d’un genre littéraire ? Comme on se dit sagement qu’en cette matière on n’invente jamais rien, ou alors une fois par siècle, on se doute qu’il doit bien y avoir des précédents, même si celui qui nous vient le plus naturellement à l’esprit, Jérôme Lindon de Jean Echenoz, est assez récent (éditions de Minuit, 2001), ainsi que les évocations de la figure Jean-Marc Roberts, patron de Stock, par Philippe Claudel et Jean-Marc Parisis. Bizarre tout de même que d’autres titres plus anciens ne s’imposent pas spontanément à notre mémoire. A croire que l’hommage de l’auteur à son éditeur disparu est l’exception et non la règle. Peut-être que cela ne se fait pas. Faut-il y voir une marque d’ingratitude ou la confirmation que dans ce couple, l’amitié ne serait que de façade, circonstancielle.
Un bon moyen d’en juger serait que l’hommage ait lieu du vivant de l’éditeur, ce qui ne manquerait pas de le mettre dans l’embarras, mais tant pis. Sûr que J.B. Pontalis ne l’aurait pas permis. Disparu il y a un an, le jour de ses 89 ans, il fait aujourd’hui l’objet d’un tir croisé. Or les deux écrivains qui y paient leur dette à son endroit y récusent tant l’idée que, celui qui fut également leur ami, n’était pas un père de substitution que leur dénégation a force d’aveu.
L’un et l’autre ont été parmi les auteurs les plus assidus de la collection « L’un et l’autre », éclatante tentative de renouvellement de l’art de la biographie sous la forme de vies brèves en miroir avec l’auteur, que J.B. Pontalis dirigeait chez Gallimard. Christian Garcin lui a donné quatre textes, et Jean-Michel Delacomptée, sept. Tant l’éditeur que l’ami sont au centre de Jibé (59 pages, 7 euros, arléa) que le premier des deux consacre à Pontalis. Dans ce vagabondage écrit au fil des pensées, que l’on devine sensible mais sans complaisance, émouvant mais dénué de la moindre mièvrerie, gouverné par l’esprit de la divagation, tout tourne autour d’un tableau d’Emile Friant qui figure d’ailleurs en couverture. D’où vient qu’en le contemplant sur les cimaises de l’ancien musée Fabre à Montpellier, il soit aussitôt renvoyé à son souvenir radieux ?
Cela ne s’explique pas. Le fait est qu’il parvenait sans mal à convoquer sa figure à partir de ce tableau. La vision des Lutteurs lui fit surtout comprendre qu’une commune hantise de la disparition et de l’apparition le liait secrètement à son éditeur depuis vingt ans que durait leur amitié affectueuse. Pas un autre père, il insiste, mais un ami cher en qui il reconnaît toutefois qu’il a vu au début le reflet d’un homme dont Pontalis fut l’intime à la création des Temps modernes, et que le jeune Garcin n’était pas loin d’idolâtrer : Jean-Paul Sartre. Il était l’homme qui a vu l’homme, mais cette illusion n’eut qu’un temps.
De tous les livres non pas édités mais écrits par J.B. Pontalis même, puisqu’il prit goût à sa propre écriture littéraire (et non plus seulement psychanalytique) vers la fin sa vie, Frère du précédent est celui qui a le plus marqué Christian Garcin, un livre dans lequel il évoquait un frère encombrant avec qui il entretenait des rapports conflictuels. C’est aussi le cas de Jean-Michel Delacomptée qui le reconnaît dans Ecrire pour quelqu’un (170 pages, 15,90 euros, Gallimard). Ce qui laisserait accroire que leur relation était plus fraternelle que paternelle, l’âge importe peu. Or cette poignante méditation sur la mémoire est largement consacrée à la figure de son vrai père, et cette juxtaposition des deux images n’en est que plus troublante. Le portrait n’en est que plus fin : Giacometti l’eut-il sculpté en pied qu’il l’eut intitulé « L’homme qui charme ». Tout en sourires, courtoisie et intelligence.
A-t-on rêvé éditeur plus attentif et prévenant ? Pontalis était à l’écoute comme d’autres sont aux aguets. Il y faut une vraie générosité, d’autant que la sienne, flottante, limbique, était exempte de la moindre brutalité. Delacomptée étaient séparés par leurs origines et leur éducation Pontalis (l’un fils d’un représentant en librairie vivant en banlieue parisienne, l’autre fils de grands bourgeois industriels) ; mais ils se retrouvaient justement dans une même aversion pour les frontières, qu’elles fussent frontières de classes ou de castes. Rebelle aux catégories convenues, aux diktats des choix binaires et aux genres littéraires tranchés, l’éditeur favorisa à travers sa collection des récits en miroir gouvernés par une vision littéraire des choses d’une grande souplesse « et qu’on ne saurait perdre sans y perdre tout un art de vivre ». Une vraie liberté dans l’écriture. Elle était indispensable à Delacomptée, dont on n’a pas oublié les magnifiques tombeaux de Bossuet, Racine ou Saint-Simon, pour mettre à nu son obsession dans cet autre tombeau pour son père et pour J.B. Pontalis :
«… l’étrange et douloureuse survie en nous de ce qu’on souffert les défunts, comme si le temps n’existait pas, et qui va plus loin, plus profond, que la simple mémoire. Car on ne se souvient pas seulement : on continue de ressentir. (…) L’individu a disparu, sa trace matérielle demeure. Ce qu’ont souffert les aînés nous étreint dès qu’on y songe, comme s’ils vivaient et souffraient maintenant. Ils n’ont pas disparu : ils sont là. Preuve en est l’expérience commune, quand il s’avère impossible de parler d’eux sans que la respiration se crispe, que la voix se brise, et qu’éclatent les sanglots. Cet indicible qui nous submerge, c’est le temps qui ne s’efface pas ».
Le titre du livre de Jean-Michel Delacomptée le crie et le murmure : ce n’est pas vrai, on n’écrit pas pour soi, on écrit pour les autres et même, pour quelqu’un. Au fond, la vie de leur Pontalis ressemble à l’esprit qui anime les vies de sa collection (Christian Bobin en est l’incontesté best-seller) ainsi qu’il l’avait défini, « telles que la mémoire les invente, que notre imagination les recrée, qu’une passion les anime ». Ce sera le dernier livre publié sous cette livrée bleu nuit, il n’y en aura pas d’autre selon le voeu de son fondateur. Cela n’aurait pas de sens tant elle lui ressemblait. Elle se devait de disparaître avec lui.
A propos, « Il n’y a que la Patagonie qui convienne à mon immense tristesse » est une phrase du Cendrars de la Prose du Transsibérien, citée par Christian Garcin et que Jean-Michel Delacomptée aurait pu reprendre. D’un ami disparu aussi, on peut se dire veuf, ou orphelin.
(« Sous le ciel » photo Ryan McGinnis ; « JB Pontalis » photo Mélanie Gribinski)
948 Réponses pour Il n’y a que la Patagonie qui convienne à mon immense tristesse
d’accord avec J. Barozzi : que Jacques Chesnel ne se mette surtout pas martel en tête à propos d’une vanne vaseuse de Bouguereau (qui n’est pas le pire ici). Simplement, il a commis l’erreur d’exprimer une émotion, qui traduisait de l’admiration pour autrui. Ce genre d’expression est ressentie par certains comme totalement insupportable, ici, où l’on croit que l’intelligence doit se parer des oripeaux de la pédanterie pour être belle.
La magie de l’art, surtout cinématographique, c’est qu’il nous permet une identification si forte qu’à chaque acteur qui meurt, à chaque disparition d’un cinéaste aimé, c’est un peu du « meilleur de nous-même » qui s’en va.
Le temps ne fait rien à l’affaire, hein baroz.
« Confesse, enfant du siècle! »
En voilà un qui n’a qu’une piètre opinion de soi-même… Faut se reprendre en main mon garçon…
où l’on croit que l’intelligence doit se parer des oripeaux de la pédanterie pour être belle
..c’est sûr jean marron..ton pastis tiède sans marque à la mort de sa mère..ça fait pédant! dailleurs en litterature on peut pas plus pédant épicétou
« … c’est un peu du « meilleur de nous-même » qui s’en va. »
C’est donc le pire qui reste ?
La magie de l’art, parfois musical, c’est qu’il nous permet une identification si forte qu’à chaque acteur qui meurt, à chaque disparition d’un cinéaste aimé, c’est un peu du « meilleur de nous-même » qui s’en va.
Je me demande pourquoi ça ne fonctionne pas.
Bouguereau (qui n’est pas le pire ici)
ha!..y’en a des pires..mais non pas toi mon copin chénel ! ha quand t’es triste t’es encore plus con
C’est donc le pire qui reste ?
crac chénel y s’est encore repris une kro..
words dit: 2 mars 2014 à 16 h 17 min
génuflexer en stand électroménager?
Evidemment ! C’est là qu’il y a les femmes… Faut pas sortir de l’X…
No comment dit: 2 mars 2014 à 15 h 01 min
je vais pisser un coup la, ma grande…la biere a cet effet sur moi…t’as les mains propres? comment? non…en soie les gants et une serviette propre aux couleurs de Chelsea…
renato dit: 2 mars 2014 à 16 h 30 min
« … c’est un peu du « meilleur de nous-même » qui s’en va. »
C’est donc le pire qui reste ?
Oui parce qu’après faut creuser dans l’opaque !
l’une de paroles les plu énigmatiques que j’ai entendues -après celles que j’entendais enfant-
d’une personne adulte sans prétention d’en faire
un propos d’enseignement -a été dite entre deux discours des « autres » par Pontalis : « aec moi, ce n’est pas dangereux »
je n’aurais jamais osé demander comment il convenait de le comprendre .
mais la RdL est peut- être le lieu de tous les dangers
avec moi
ce n’était pas une rencontre de psys .
Non, pas le pire, mais une impression de perte, ça oui. Tenez, vous allez bien entendu rigoler, mais j’appréhende la disparition de Gérard Depardieu (qui me semble se rapprocher d’autant plus que son régime alimentaire comporte quelques dangereuses habitudes, me semble-t-il). Comment, pourrait-on me dire ? Ce gros con indélicat, ravagé, alcoolique et délirant, aux opinions qui sont tout sauf humanistes ? Oui, mais cet acteur a été présent dans tant de spectacles qui m’ont enrichie, qu’une partie de mon histoire culturelle sombrera, ne sera plus « tangible », quand il ne sera plus là. Et il ne faut pas croire que la durée est la condition de ce sentiment de perte. Patrick Dewaere est mort depuis belle lurette. Eh bien, il est très rare que je vois un film qui me bouleverse sans que je ne « divague » un peu sur ce qu’il aurait fait du rôle d’un des personnages principaux. Par exemple, dans « tenue de soirée », le rôle de Michel Blanc me semblait presque « doublé » par le fantôme de Dewaere (ce qui ne retire rien au mérite de Blanc, of course, parce qu’exister devant Gégé, rien qu’exister hein, c’est presqu’aussi difficile que d’être copine avec Daaphnée, si tant est qu’on pourrait en avoir envie.)
« qu’à chaque acteur qui meurt, à chaque disparition d’un cinéaste aimé, c’est un peu du « meilleur de nous-même » qui s’en va. »
« … faut creuser dans l’opaque ! »
Opaque pour opaque, je préfère creuser dans le parmesan…
y’en a des qui prépare les mouchoirs..et ben ils ont tort clopine..faut faire le plein de kro..comme ça..on est pas pris au dépourvu.. »gérard a kické le buckette ? il était temps bordel »
Moi, presque Dieu, premier troll de la RdL, non par l’intelligence, mais par la présence démoniaque, j’avoue n’être rien en dehors de mon rapport avec les infâmes commentateurs, que j’essaie d’anéantir, du bout de ma supériorité (je représente tous les sexes et même plus, un sexe de négation) et du bas de mes plantes de pied. Comme l’affirme mon chef, nous les trolls, en attaquant quelqu’un, avec systématisme, nous leur donnons un peu de gloire. Un peu comme 9.11, que seraient devenus ces 6000 victimes, sans la publicité octroyée par notre action ? Moi, D., j’affirme par Bambi 2014, Anette, Conmara, toutes celles qui furent et des êtres féminins, et moi-même, un homme, que je suis plus fort que quiconque. Je suis un homme, rien n’a changé chez moi ces dernières 50 années. J’ai grandi en taille, aujourd’hui 172 cm agrémentés de ma mèche de cheveux toujours shampouinée de frais. Une fois par an, avant la messe de minuit, je prends une douche. Je n’ai jamais vu un film de ce Resnais, et je ne sais pas où se trouve Marienbad, est-ce une plage sur la mer Noire ? Je prends toutes mes vacances en France, cet été, je compte descendre le Rhône en dos crowlé, pointant mes prunelles vers le ciel.
La maison suédoise, Absolut, marque prestigieuse de vodka, va me sponsœuriser. Bref, je vais devenir la sœur de Ciboulette, nous avons en commun, une enfance heureuse, nous étions honorés tous les dimanches après la messe, puis battus afin, que nous ne prenions pas notre plaisir comme un dû.
Le sdf de la ligne 7, se présente en imperméable et quand il ouvre les battants, les femmes s’esclaffent entre elles. Vivent-elles dans le péché ? Moi, je sors mon chapelet, acheté dans une boutique londonienne, en pvc et métal.
le Boug’, « Gérard a kické le buckett », c’est du chinois. Traduction, please ?
L’honneur perdu de mademoiselle Clopina Trouille a été trouvé par un SDF. Il sera rendu à sa propriétaire négligente contre une SEULE idée acceptable. A bientôt…
évidemment je dis kro..mais si on est une paysanne normande enrichie on peut faire le plein de calva..si ce n’est déjà fait..oncque n’a jamais vu un normand pris au dépourvu la dessus..ha j’en ai fait des allez et retour la nuit en normandie avec le coffre qui faisait des bruits.. »j’ai peur de la mort » meusieu l’agent!
« … acheté dans une boutique londonienne, en pvc et métal. »
Et pas à Lourdes ?! faudra en toucher un mot à M. Montebourg…
chus comme toi clopine..je fais que réponde à tes questions
D’accord le Boug’. Alors, NON, Gérard Depardieu n’est pas mort, c’est Alain Resnais (faudrait mettre un peu la pédale douce sur les kros, là) – mais ça ne saurait trop tarder, vu ce qu’il se fait subir à lui-même, et d’ailleurs, sans vouloir m’immiscer, toi-même, le Boug’, est-ce que cela fait longtemps que tu as fait un petit bilan, mh ?
c’est justement ce que je disais a mon copin chénel clopine « tu nous enterreras tous »..
« … Non, pas le pire, mais une impression de perte… »
Ce n’est pas logique. Si ‘c’est un peu du « meilleur de nous-même » qui s’en va’, la perte est un fait ; cela étant, le pire reste : tout le pire et un peu moins de meilleur…
le pire c’est pour ceux qui restent….bref c’est de pire en pire épicétou
L’inventeur du basket-ball :
Renato, vous coupez les cheveux en quatre, que dis-je, en huit là. N’avez-vous pas le sentiment, si partagé, que les oeuvres d’art s’adressent souvent au « meilleur de nous-mêmes », ce mélange de culture et d’émotion, qui, lorsqu’il est assaisonné d’un zest d’intelligence, nous permet de nous sentir un peu moins bête, un peu plus ouvert au monde, un peu plus sensible, au sortir, par exemple, d’un cinéma ? C’est cette part-là de nous-même qui est « amputée » quand un acteur comme Dewaere, un cinéaste comme Resnais, un chanteur comme Brassens, etc. disparaît. Ca me semblait contenu dans ma petite formule, donc excusez ce long développement.
… et que vient faire l’inventeur du basket-ball par ici ? Mon dieu, que votre esprit labyrinthique est difficile à suivre, Renato.
Oui, madame… j’ai ressenti cela quand mon mari a quitté l’Elysée et que je me suis retrouvée avec le meilleur de lui-même…
Comme vous êtes sensible ! Vous auriez fait une favorite de haute lignée. Je vous lis toujours avec plaisir.
Un long développement, en effet. On meurt, ce n’est qui ce qui reste qui importe :
http://kulturica.com/k/wp-content/uploads/2011/12/tempesta.jpg
bouguereau contre chénel : « la haine, c’est la vengeance du poltron » (G.B.Shaw)
mort dans son lit douillet
Une honte !
Bon, mais le basket là-dedans ??? (excusez ma curiosité).
Talleyrand-Périgord dit: remember, tout ce qui est excessif.. 2 mars 2014 à 14 h 59 min
vous avez tout à fait raison, « tout ce qui est excessif.. » c’est ce que je me dis en considérant avec votre choix de pseudo…
« Nous n’avons pas les mêmes valeurs ! »
Oups ! ce n’est qui ce qui > ce n’est que ce qui
…
…@,…kicking,…à,…14 h 50 mn,…
…
…mes bottes timides,…
…mes coups de Jarnac,…mes bottes secrètes ,…mais çà tombe tout seul, mes réflèxions à l’eau de rose trop mûres,…
…
…pas de quoi, faire Saint-Cyr, avec du poil à gratter dans ses chaussettes,…
…encore sur une partie d’échec,…difficile en Ukraine,…dés fois,…
…
…avec,… » ce que je suis payer « ,…il faudrait encore suivre mes conseils,…et me culpabiliser qu’ils ont tourner au vinaigre des connivences à faire mentir,…,…
…l’ennemi n°1 de l’€urope reste l’état de Bismarck pour moi,…
…
…j’attend toujours le » Cinéma » & propagandes,…pour me faire changer d’avis,…
…
…on ne me là fait pas en cati-mini normande,…
…je connais les dédains des peuples et régions entre-eux,…c’est de l’Europe cela,…juste de la racaille à col-blanc,…
…il en est d’usurier, de vivre des miettes en attendant l’Apocalypse des raisons mise en sacs-poubelles,…etc,…
…
…les vrais ministères sont trop proches des chiottes et mal payer,…autant rester sur le carreaux,…pas sur l’échiquier,…merci,…
…
…les solutions comme le diplôme de médecine dans les paquets Bonux,…
…
…donnez pour nos châteaux » socialistes « ,…c’est le changement,…tient,…etc,…
…
Christian dit: 2 mars 2014 à 17 h 23 min
« la haine, c’est la vengeance du poltron » (G.B.Shaw)
Ha mais non ! Parce que si on zigouille tout de suite, on n’en profite pas !
« faut faire le plein de kro.. »
Oui, le boug, mais ça fait pisser Abdel et ça le rend muet !
« Hatred is the coward’s revenge for being intimidated. » (G.B.Shaw)
voilà, bon, après cela faut voir comment on s’y prend pour le faire..
Ce n’était rien, Renato, une faute de frappe que j’avais corrigée de moi-même, mais par contre, j’ai bien peur que ma question reste à jamais sans réponse. Il planera donc sur ce blog une terrible interrogation métaphysique : pourquoi donc Renato, passoulinien canal historique, amateur d’images et de curiosités, esprit quelque peu tortueux et parfois hermétique, a-t-il, le dimanche 2 mars 2014 à 17 : 01, rendu hommage à l’inventeur du basket-ball en postant un lien à lui dédié ? La chrétienté n’ose imaginer la réponse… (bon, allez, je sors, tenez.)
kicking dit: 2 mars 2014 à 17 h 57 min
« Hatred is the coward’s revenge for being intimidated. » (G.B.Shaw)
Dans Blueberry on dit le cobarde… On apprend des trucs, quand même…
L’ambiance s’échauffe avec la mort d’Alain Resnais !
C’était quoi déjà le sujet de départ ?
au départ tu disais comme ça que jicé c’était une ordure traitre avec ses 40 ballets mal comptés..t’en fais trop baroz
rénato s’entraine pour ouvrir un blog avec commentaire clopine..c’est un courageux lui..tu peux pas comprende
Jacques Barozzi dit: 2 mars 2014 à 17 h 50 min
« faut faire le plein de kro.. »
Oui, le boug, mais ça fait pisser Abdel et ça le rend muet
Tu n’arrêtes pas de troller baroz, tu frôles l’accoutumance.
(bon, allez, je sors, tenez.)
debout tu pourras mettre toi-même la main à ton panier, c’est déjà ça, suis pas le genre de malpoli à te dire que tu pourras te gratter remarque..
Oui, le boug, mais ça fait pisser Abdel et ça le rend muet !
ha dans les pub on peut boire de la stout..y’a qu’en angleterre que j’arrive a boire cette saloperie//comme l’ouzo en grèce..tu ramènes une bouteille et tu t’en sers pour pocher le poisson au finiche
J’aime pas les liftings un peu trop appuyés, le boug !
JC, il doit avoir au moins 70 berges au compteur…
bonjour christian..pourquoi tant de haine etc?
« L’année dernière à Marienbad », je suis sûr que sergio a adoré !
JC, il doit avoir au moins 70 berges au compteur…
en parlant de blouberry..dans l’incal y’a des vieux riches qui s’incarnent des corps de rêve pour allez guincher..sur internet c’est encore moins cher..comme y’en a qui se rèvent tueur et qui sont des bons père de famille..c’est le progrés baroz!
ce n’est pas vrai, on n’écrit pas pour soi, on écrit pour les autres et même, pour quelqu’un.
s’il y a bien un phénomène qui m’impressionne aujourd’hui,au moins au regard de mes souvenirs d’enfance* c’est qu’au moins dans les villes, on y « écrit » tout le temps et partout, sur tous les supports, arbres, pierre, tissus peaux papiers
* où me fascinaient les trainées d’écritures publicitaires dessinées par des avions dans le ciel
souvenirs d’enfance*****///// où me fascinaient les trainées d’écritures publicitaires dessinées par des avions dans le ciel
ça me rappelle zuidcoote..et les pub kronenbourgs
Jacques Barozzi dit: 2 mars 2014 à 18 h 14 min
« L’année dernière à Marienbad », je suis sûr que sergio a adoré !
Houlà ! Il y a au moins un an que je l’ai pas revu ! Et maintenant tout le monde va se jeter dessus à la bib comme dans les soldes…
ça a autrement de classe que des trainées filandreuses d’axone et de miéline et de déficit de dopamine dans le ciel renfield t’as raison
Remarque c’est bien la Patagonie… Si on a des nuages pareils au-dessus de sa baraque !
Abdel, pourriez-vous me dire ce qui vous a plu dans « L’année dernière à Marienbad », c’est un film de tapette, comme moi ?!
Ils ont tous faits Raymond dans ce service
..je me souviens me faisant vaguement chier aprés les 5 paquets de frites et le pot de mayonnaises ..et 2 ou 3 claques forcément..3 heures de l’ap^me..toudincou.. ronronron dans le ciel bleu..lentement.. »c i n z a n o »..ça c’est a la mesure de la vraie tristesse renfield
c’est un film de tapette, comme moi ?!
tu vois toi aussi toujours a te rêver udo ..helmut..ou dirk baroz..
Remarque c’est bien la Patagonie… Si on a des nuages pareils au-dessus de sa baraque !
du chiqué..du bidon comme dans le magicien d’oz
Quelle mer se casse aujourd’hui?
@Barozzi, relisez mon texte, ci-dessous…tout est la…avec l’histoire de la statue en abime et ces couloirs baroques a angles droits qui n’en finissent pas (et qui a mon humble avis, sont un symbole de cette société prisonnière de son carcan social et qui se retrouve chaque année au même endroit)…ce film est un chef d’œuvre, ou Robbe-Grillet, Alain Resnais et al, n’ont négligé aucun détail…Je ne savais pas que c’était un film de tapette et je m’en tâte, en fait…ca vous vas ? cool…
quand un poseur de diagnostic du genre de P.Assouline s’inquiète des convenances, il est temps de s’inquiéter parce qu’il ne paraîtra surement pas avec la belle coiffe à plume que portait Einstein (photo dans books)pour initier ses amis au rituel du serpent
http://www.larevuedesressources.org/le-rituel-du-serpent-art-et-anthropologie-d-aby-warburg,183.html
Répèt. du 28 à 12 h 53 : ce nuage
vient du Nebraska, pas de Patagonie.
Le Patron n’a pas traversé dans les « clouds ».
Sergendevilainement.
La haine est la vengeance du lâche pour se laisser intimider. Shaw. 17h57
Cette traduction est-elle exacte? Si oui bofbof de toutes façons la haine n’est pas une vengeance c’est un sentiment irrationnel qui trouve une place dans un des cercles de l’enfer, qu’il pousse à la vengeance ouvre un autre chapitre.
Remarque c’est bien la Patagonie. Un rêve…qui compte tenu de la faible densité de population ne fait pas courir le même risque qu’à traverser les grands espaces du nord où, à ce qu’un ami rapportait, on n’est jamais assuré de ne rencontrer un homme en armes avant les ours ou les coyotes.
Bouguereau, j’ai un titre pour un poème ( inspiré du week-end ) que je vous charge d’écrire, ce sera aérien:
Aérodrome pour un baiser
Einstein pour hopi few
http://www.geocities.ws/cyberdramaturg/picasso/ein_hopi.jpg
j’ai découvert le cinéma de Resnais quand j’avais 31 ans et il m’a accompagné tout au long de mon existence (JCh)
Une heure avant, il était immensément triste, maintenant il est si triste, sur le coup d’onze heures, il sera un peu triste, à minuit il n’y pensera plus, et demain matin il en rigolera. Ce n’est plus la confusion des sentiments, c’est la déflation des sentiments. JCh nous confie qu’il a 86 berges, Resnais n’en avait que cinq de plus, à ces âges-là ça commence à sentir le sapin, normal qu’il se sente solidaire. Quand c’est l’heure, c’est l’heure, comme dit ma voisine qui a le fatalisme chevillé au corps.
» à ces âges-là ça commence à sentir le sapin »
Une conne restera toujours une conne hein ma Colette.
Hé, j’en ai une pour vous faire sourire
Klitschko prête allégeance à la guitare électrique
Non mais Alain, tu nous manques, c’est pour ça.
Tiens, un vol de condors.
Une conne restera toujours une conne hein ma Colette.
Beaucoup ont voté pour le changement, la société berce l’individu, il y a donc à conserver l’espoir un peu comme la flamme sous l’arc de triomphe ou la lumière au cœur des églises, différentes théories s’affrontent concernant l’impermanente connerie qui clignote à tous les carrefours.
à Onsésiphore : je ne connais pas votre âge ; moi, je ne cache pas le mien : 86 ans ; j’ai découvert le cinéma de Resnais quand j’avais 31 ans et il m’a accompagné tout au long de mon existence, c’est pour cela que je suis si triste… (JCh)
Une suggestion d’épitaphe pour JCh-86ans ( à ces âges-là, il vaut mieux prévoir) :
» Après tout, je n’ai pas perdu mon temps, moi aussi je me suis trémoussé, comme tout un chacun, dans cet univers aberrant » (Cioran)
C’est en tout cas celle que je me suis choisie; ça vous a tout de même une autre gueule que les sempiternels « A notre père chéri », » à mon cher époux », etc. Je vois d’ici la mine consternée des visiteurs, les jours de Toussaint, quand ils passeront devant ma pierre tombale.
Oui, vraie tristesse de la mort de Resnais
car nous savons qu’il n’y aura plus son travail,
mais aussi quelle fierté devant l oeuvre accomplie..
Evaluer que le cinéma de Resnais a accompli un renouveau cinématographique impressionnant qui a marqué plusieurs générations
car celui qui donne « « Nuit et brouillard », Hiroshima », », » l’année dernière à marienbad, » « Muriel » ou « smoking no smoking » a changé le langage et la grammaire du cinéma européen ,avec le rôle de la mémoire, de la subjectivité, de la douleur historique après les camps de la mort, et l’utilisation de la bombe atomique dans le cinéma.Etrre à la hauteur de cette histoire là..
,
Exactement comme Antonioni qui, lui, a fait sortir le cinéma italien de la voie néo- réaliste au profit d’un nouveau regard sur la passion, le vide, la solitude, tout ce qui marque une révolution moderne de la sensibilité.
L’honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 2 mars 2014 à 16 h 38 min
« Non, pas le pire, mais une impression de perte, ça oui. »
Gaffe, Clopine, c’est peut-être pas une impression !
Il n’y a que la Patagonie …
Remplir le livre de bord
L’Incident.
Phase 7
Alignement sur piste après accord de la tour
-décollage 90km/h
-montée 130km/h
-jusqu’à 300 pieds puis rentrer les volets
-couper la pompe
-régime 2600 rpm maxi
-montée 140 km/h sans volets
-vitesse de croisière 2450 rpm.
… de la voltige.
« relisez mon texte, ci-dessous… »
Où ça, Abdel ?
Allez, va ! c’est oublié.
essayez celui-ci:
abdelkader dit: 2 mars 2014 à 12 h 46 min
à Onsésiphore : je ne connais pas votre âge ; moi, je ne cache pas le mien : 86 ans ; j’ai découvert le cinéma de Resnais quand j’avais 31 ans et il m’a accompagné tout au long de mon existence, c’est pour cela que je suis si triste… (JCh)
Cette déclaration de solidarité larme-à-l’oeil d’un vieil apprenti cadavre à un cadavre confirmé serait éventuellement émouvante si elle n’était foncièrement burlesque.
Respectez vos ainés, Jambon !
Respectez vos ainés, Jambon ! (Jacques barozzi)
Mon cul. Les aînés sont faits pour qu’on leur crache dessus, qu’on les renie, qu’on les maudisse, qu’on les jette, qu’on les roule dans la fa
Finalement Jambon, j’ai décidé de vous laisser pourrir sur pied, de vous faire macérer dans votre fange, pour vous faire respirer jusqu’à ce que vous criez merci, et au delà, votre propre odeur de cadavre.
Respectez vos ainés, Jambon ! (Jacques Barozzi)
Mon cul. Les aînés sont faits pour qu’on leur crache dessus, qu’on les jette, qu’on les ridiculise qu’on les roule dans la farine ou, mieux, dans le goudron et les plumes. Qui n’a pas renié ses vieux parents, ne les a pas vomis, ne leur a pas claqué la gueule sur leurs vieux jours, quand ils ne pouvaient plus se défendre, ne mérite aucune considération. C’est pourquoi je glaviote en toute décontraction sur la mémoire d’Alain Resnais et je conchie son oeuvre dans sa totalité. Ah… ça fait tout de même du bien de se lâcher de temps en temps.
Jean Brun, si tu la fermais.
Le hasard veut que je passe une seconde… Et qu’est-ce que je vois? Il y a tout de même une justice.
…
…les vacances en Guadeloupe,…
…des hôtels pour y restez,…combien par moi,…
…vous disiez,…mais, c’est bien sûr,…tout à fait convaincu,…si, si,…
…Non,…les parasols,…plus tamisés,…et du vrai jus de citron,…
…Non,…je n’épouse que les scandinaves qui ont du culot,…je voie,…blondes, rousses, auburns,…qui jouent aux billes avec les Saints-Nicolas,…
…au par du cimetière,…mais c’est loin,…dites donc,…elles prennent les Ô’Lives avec,…en papa-mobile,…le paradis des couches-tard,…il faut réserver par internet,…tout çà,…
…Oui!,…pour le jus de citron pur-saison,…enfin tranquille,…
…il vous arrive de mettre votre bikini,…
…mais vous tomber du ciel, Monsieur à déjà trop été élevé à la bouteille,…
…si la Pin-up,…veux bien dégager,…juste un peu de soleil tamisé,…of course:,…
…c’est Madame en face,…qui m’envoie,…
…Non,…pas en faire un roman,…à chaque escale-d’escort-girl,…
…la pluie,…si çà existe,…etc,…enfin,…
…
des journées entières dans les arbres dit: 2 mars 2014 à 20 h 19 min
Il n’y a que la Patagonie …
Les DR400 sont éternels !
Le chat dit: Votre commentaire est en attente de modération.
2 mars 2014 à 0 h 45 min
Il est vrai qu’il fut une époque ou le CSA ne nous emmerdait pas :
http://dl.free.fr/lEwlkHqfX
http://dl.free.fr/ldVDIcnYt
Oui, je suis pour la Grande Russie, et alors ?
On peut très bien concilier la Grande Russie et les droits de l’homme. Et de toutes façons appartenir à une Grande Nation respectée et crainte, c’est aussi un droit de l’homme, après tout, non ?
!!! Attention !!!
L’écoute des fichiers est réservé a des personnes majeures: certains propos sont extrèmement choquant.
Toutefois, il ne faut pas perdre de vue l’esprit initiale de cette radio qui était d’abord l’humour, la décontraction, et la liberté d’expression.
Ainsi que le disait Resnais, on connaît la chanson, D.
you’re man… of no mistake
Jacques Barozzi dit: 2 mars 2014 à 18 h 11 min
Question légitime à laquelle j’ai déjà répondu, Jacques ! Il faut suivre … je suis né le 14 décembre 1922, de parents inconnus, entièrement refait à neuf en 2001 puisque j’étais un des blessés graves des attentats du 11 septembre à NYC. Ridé naturel, parfumé à Fleur de Sapin de chez Roblot, ancien légionnaire docteur es sciences.
J’ai donc presque 92 ans mais suis infiniment moins gâteux que JCh, ou TKT, ou bien d’autres, et en bien meilleur état que Resnais. Surtout ce matin où j’ai piqué dans ma polytechnicienne, avec ferveur comme un quarantenaire confirmé… !
Si tu as d’autres questions aussi nulle, par exemple « Où tu te mets le cinéma d’Alain Resnais ? », je t’indiquerai l’endroit précis où ranger son ouvrage … Bien à toi !
PS : j’ai retrouvé le nom de l’horloger, très fier, qui a fabriqué la jeune automate Najat-Belkacem. Il dit n’avoir jamais réussi un automatisme aussi parfaitement huilé : on est au plus proche du crédible … Pas encore humain, on voit l’artificiel, les imperfections du logiciel, mais presque !!!
Sergio, Marguerite apprécie quer vous preniez les commandes du CAP 231 Mudry.
http://www.deezer.com/fr/artist/8000#/album/5943587
Platon doit être content, les philosophes montent au front, comme des rois…
Enfin… disons le plus grand d’entre eux ! Il est à Kiev, BHL dit « Chemise Propre », celui qui travaillait pour l’Agité Suprême et qui œuvre maintenant pour le Gros Mou élyséen dit « Farce Tranquille ».
Souhaitons lui autant de succès, et d’aussi belles photos, qu’en Libye où son passage sarkozyste fit merveille comme on le constate depuis des années, là-bas …
AFP invite les vieillards de la RdL à partager une immense joie :
« Un vieil homme de Lexington (Mississippi) déclaré mort, s’est réveillé jeudi dans sa housse mortuaire, aux pompes funèbres, alors qu’il allait être embaumé !
Walter Williams, 78 ans, avait été déclaré mort mercredi soir à son domicile par le médecin légiste local qui avait contrôlé son pouls.
Son pacemaker se serait arrêté avant de repartir, explique le légiste…. »
« Walter Williams, 78 ans, avait été déclaré mort mercredi soir à son domicile par le médecin légiste local qui avait contrôlé son pouls. »
Il s’agit d’une grossière erreur, évidemment… pourtant le mot même, “croquemorts”, dit bien ce qu’il faut faire afin de ne pas y tomber…
Meilleures Ventes :
1/ Muchachas Volume 1 (Katherine Pancol)
2/ Fifty shades Volume 1, Cinquante nuances de Grey (E.L. James)
3/ En finir avec Eddy Bellegueule (Édouard Louis)
4 /La femme parfaite est une connasse ! : guide de survie pour les femmes normales (Anne-Sophie Girard, Marie-Aldine Girard)
5/ Mémé (Philippe Torreton)
A méditer, sans modération…
d. est pour la grande russie, les autres hésitent, c’est pire que l’unité alzheimer de mon beau père chez passou!
yaka, avant que j’oublie,
votre beau-père consentirait-il dans sa Clinique Aloïs Alzheimer à une faveur, un avantage, un tarif de groupe, pour nos grands anciens ?
Pierre A., taulier prévoyant.
pierre A mon beau père est d’accord mais à une condition: que d. lui communique le n° du téléphone rouge grâce auquel il discute en direct avec poutine et obama
Mon cadavre remercie chaleureusement Onésiphore et bouguereau de leur amabilité à mon égard.
Prébois, Bouguereau et moi-même ne sommes pas aussi respectueux que tu le mériterais, JCh : il faut pardonner leur galopinade aux galopins
Je suis immensément triste pour les crachats lancés au visage des ans de J.Ch et d’A. Resnais. Leurs auteurs sont immondes !
Allons Christiane ! Allons !
Si on peut plus cracher sur les vioques, faire tomber les anciennes gloires de leur chaise roulante, où allons nous ? … enfoncés dans le politiquement courtois comme éboueurs dans leur merde ? Liberté.
« Immonde » est un mot lourd ! Gardez le pour d’autres faits* bien plus graves que de virtuelles saillies …
*liste disponible à la demande.
C’est devenu, hélas, une des constantes de ce blog : jeter à la figure de l’intervenant les quelques renseignements donnés, afin d’établir ainsi une suprématie particulièrement débile. A chaque tentative de discussion, et ça pourrait décoller quand même, par exemple, nous aurions pu partir de Resnais pour nous interroger sur le rapport au temps des cinéastes-témoins, ou la relation particulière du spectateur face à un auteur qui lui correspond (pourquoi ? comment ?), bref, des questions sympas, quoi, et sans doute on aurait bénéficié de réponses intéressantes ou érudites. Au lieu de ça, paf. L’insulte à un J. Ch et sur quel thème,je vous le demande ? Navrée, Jacques, pour vous, vraiment navrée.
Il faudrait dire, à propos de cet endroit : ô dieu des blogs, pourquoi nous as-tu abandonnés ? Mais il paraît que c’est la loi du genre. J’en viens à me dire, avec les Bergeret et autres, que c’est aussi la loi du milieu !
… ça y est, la Normande joue à la victime….
C’est quand même curieux ce regard discriminant que beaucoup ici partagent : on peut allègrement aller pisser sur des tombes, mais “attention”! faut pas cracher sur l’âge. Moi, pour moi, je m’en fous, j’aime bien penser que je mourrai en riant et sans pleureuses près du lit… Mais là, autour de ce décès, nous avons à faire avec la connerie humaine en sa plus belle expression car d’un coté l’on exagère comme chez les adolescents attardés, et de l’autre c’est la plus belle expression du conformisme bienpensant qui dit toute son indignation… enfin, même pas de quoi faire une petite comédie pour une chaine TV kul.tu.rel.le.le… binationale…
JC vous connaissez suffisamment Christiane et son romantisme, ses souffrances ou ses joies ne peuvent être qu’immenses, un côté russe
LIVRES HEBDO ….. dit: 3 mars 2014 à 8 h 46 min
Meilleures Ventes :
1/ Muchachas Volume 1 (Katherine Pancol)
2/ Fifty shades Volume 1, Cinquante nuances de Grey (E.L. James)
3/ En finir avec Eddy Bellegueule (Édouard Louis)
4 /La femme parfaite est une connasse ! : guide de survie pour les femmes normales (Anne-Sophie Girard, Marie-Aldine Girard)
5/ Mémé (Philippe Torreton)
(fin de citation)
Pour moi, cela confirme que ce sont majoritairement les femmes qui achètent.
Hélas!
Le titre du 4/ tenterait la femme très imparfaite que je suis
Celle qui signait ici, il y a peu, Lucien Bergeret.
renato, vous ne teniez pas ce discours à la mort de Cortazar , deux poids deux mesures ?
« Il faudrait dire, à propos de cet endroit : ô dieu des blogs, pourquoi nous as-tu abandonnés ? »
Ô Eschyle…reviens ! Ta concubine prend le pouvoir du pompeux, sérieux, fielleux, foireux discours de comices agricoles littéraires… Ne nous abandonne pas à La Brayonne !!!
tu vois chénel si ta tristesse était moins immense et ton singeul malt moins tourbé et si t’avais su donner quelques petites choses prouvant ton interet particulier sur le gazier..et ben t’aurais mérité au lieu de mette ta grande sensibilité à la remorque du génie grand artiss..
renato, vous ne teniez pas ce discours à la mort de Cortazar
rénato il s’essaie webmasteur basé à miami vice..ses ambitions sont autrement immense que dse mette à la remorque d’un petit macchab fransoziche hé..pour lui il n’est de faisandé que bruce willis écrasé par un mactruck..tu comprends chénel ?
@Renato « pour moi, je m’en fous, j’aime bien penser que je mourrai en riant et sans pleureuses près du lit »
« J’aime bien penser »… ben voui !… On en recausera quand tu commnenceras à sentir le sapin, comme dirait l’autre con.
je ne sais pas ce que chénel a fait à boudegras pour qu’il s’acharne comme ça quand on aime Goering
cortazar c’est qu’une guest star chénel..rénato c’est du iron man..avec un peu de parmesan et un filet d’huile d’olive..la grappa c’est trop dégueu
Il faudrait tout de même que les braves gens qui « parlent » devant toute une assemblée ici, assemblée par définition hétéroclite et diverse, que TOUT ce qui est dit peut être critiqué dans le meilleur et dans le pire des styles ! Le choix du style étant de la responsabilité de chaque personnalité ou personnage joué …
C’est la définition même d’un « blog ouvert ». Si on ne veut pas entendre les mouches voler, si on souhaite monologuer en chaire sans chère et sans chair, on monologue seul en fermant soigneusement les commentaires.
Il y a des gens peureux qui aiment ça… si, si, j’en connais …
C’est devenu, hélas, une des constantes de ce blog
c’est comme clopine à juger sempiternellement la galerie en vrac.. »je m’en vais ».. »je reviens ».. »c’est addictif ».. »c’est nul »..
Resnais a-t-il été tenté d’adapter »a la recherche du temps perdu « ?
j’aimerais bien le savoir,car après avoir vu » Muriel » dans un petit cinéma de Chartres , j’ai trouvé qu’il était le cinéaste parfait de la mémoire et j’aurais aimé qu’il me filmât.. Mais visiblement il préférait travailler avec les écrivains vivants, de Cayrol à Semprun(mais ils sont devenus morts , curieusement,enfin..)
Il n’empêche, j’imagine bien Resnais visitant , le soir , Marcel Proust, et eux deux, parlant de Swann , de moi,de Gilberte (agnes jaoui?) de tante Léonie , des Guermantes, des aubépines, ou des sources de la Vivonne, et Resnais proposant des lieux de tournage, des noms de comédiens, et faisant écouter des 78 tours des mélodies de Fauré .
comme dab’ boudegras tu réponds pas aux questions, t’es qu’un pleutre
et tu t’en poses pas de question du pourquoi que je te dis de fermer ta sale gueule de raclure keupu..tu saurais mieux le dire que moi..comme chénel ?
comme dab tu réponds pas aux questions boudegras t’es qu’un poltron pochtron
Mon cadavre remercie chaleureusement Onésiphore et bouguereau de leur amabilité à mon égard. (JCh)
Allons, allons, t’es pas encore mort, Ducon. Certes, t’as tendance à t’incruster et il faudrait voir à faire de la place pour les jeunes : regarde Resnais, il a tout de même fini par se rendre compte que sa calamiteuse production offusquait l’avenir des jeunes cinéastes frrantsouès, il est quand même parti à temps — enfin, presque. Mais enfin, à 86 berges, tu peux encore te balancer un temps dans les branches du sapin, pas longtemps,certes, certes, car il va falloir quand même songer à le couper, pour les planches.
Je suis immensément triste pour les crachats lancés au visage des ans de J.Ch et d’A. Resnais. Leurs auteurs sont immondes ! (Christiane)
Elle est vraiment immensément con,cette Christiane. Décidément, ça s’arrange pas avec l’âge. Il faudrait qu’elle pense à en finir, elle aussi.
Il n’empêche, j’imagine bien Resnais visitant , le soir , Marcel Proust
bof jle vois pas du tout à l’aise dans les reconstitutions..il est du temps des babas classieux l’alain..son monde s’est pas écroulé à lui.;l’avait les moyens..il a pus se retirer dans une espèce de patagonie hippi..hop il meurt..hop chénel se fait un fix
Odette,
Personne ne réussira à adapter Marcelou Prout au cinématographe grand écran !
Il ne se passe « rien » dans la Recherche, le peu que j’en ai lu me le laisse penser, aucune « action » sérieuse. Quels effets spéciaux pourraient être numériquement insérés dans le film ? Aucuns ! Pas de cascades numériques possibles, pas de bagarres, pas de carrioles qui sautent sur une mine … rien à « montrer ».
Seule solution : récupérer le Narrateur et en faire un Tintin aventureux, un espion soviétique culturo musculeux, ou un homo chanteur queenesque, genre Freddie Mercury … bref, impossible !… une trahison impensable pour les adeptes de la religion proustique !
Il faudrait qu’elle pense à en finir, elle aussi. (mézigue)
Mort de rire. Faudrait quand même que je songe à me modérer. Merci à JC pour ses pertinents commentaires. Je vais finir par croire qu’il y a que les vieux fachos dans son genre pour garder le sens de l’humour. Non : j’oubliais Bouguereau.
Il faudrait qu’elle pense à en finir, elle aussi
on fait semblant d’s’accompagner et d’s’instruire allez jean marron..l’école des cadaves ça exiss pas..c’est inné..pas de surdoué
allez vas-y Onépasiphore, remets-zen un couche, tu me fais jouir
Non, J.Ch., pas deux poids deux mesures, mais une simple observation : moi, je ne crache sur l’âge de personne car, enfant, on m’a bien expliqué que tout le monde vieillit et meurt, ne vais non plus pisser sur des tombes. Si toutefois quelqu’un veut pisser sur des tombes et cracher sur l’âge, pourquoi s’offusquer, est-ce que quelqu’un s’offusque lorsque c’est Boris Vian qui le dit ?
Cela dit, il me semble normal que une disparition nous touche, et comprends la tristesse, mais je serais plus contenu dans l’usage des adjectifs d’accompagnement… laissant « immense », et autres dans ce goût-là, dans le clavier…
Onésime de Rubempré, vous ne savez rien…
un homo chanteur queenesque, genre Freddie Mercury
la recherche illustrée par tom ! édité par un gros faiseur allemand..le bouquin faisant 50 kil..du parmesan a toutes les pages ! rénato en achète tout de suite 12 pour faire une table basse
Onésime de Rubempré, vous ne savez rien… (renato)
tout ce que je sais…
pour le filet d’huile d’olive..le service marketing en fait un brain storming.y’a du pour..et du contre..qu’est ce t’en pense toi chénel un prospect fort honnête ?
… et revoilà la table basse si chère au célinien petit…
C’ est un peu vrai que notre Jambon local sent la carotte râpée pourrie, cette odeur collante de vieux…
Onésime de Rubempré,
N’importe qui s’est vu mourir, par exemple en mer, sait bien que le moment peut venir à tout instant que l’on soit jeune ou vieux… vous ne savez rien de cela ?
Avoir vécu cela, ça fait disparaître l’idée même d’un « âge où on sentirait le sapin » : on se sent « toujours prêt », en sursis ! Bien à vous …
célinien petit
cette inversion c’est un peu téléphoné tu trouves pas rénato..sapré rénato.t’es un marrant
Onésime de Rubempré (Renato)
Au fait, le Lucien, autrement plus sage que Resnais, que JCh, que Christiane ou que moi, il a le bon goût de se pendre, lui, et à pas trente ans. Et l’on ira nous raconter, après ça, que la sagesse vient avec le nombre des années. Même Schopenhauer n’a pas compris la valeur exemplaire et prophylactique du suicide chez les jeunes. La voilà bien, la vraie médecine préventive.
âge où on sentirait le sapin
ha mais les mineurs croyaient ferme que les pastille des vosges ça concervait jicé..rooh l’haleine de six planches que ça donnait tu connais ?
Si le suicide était chose courante chez les jeunes, on aurait moins de vieux cons ?….. j’ai bon là ? j’ai bon ?
Action : On pourrait proposer, au lieu de l’emploi aidé, le suicide aidé …!
Action : On pourrait proposer, au lieu de l’emploi aidé, le suicide aidé …!
..et si qu’au dernier moment il retourne le flingue contre toi jicé ! a ête trop bon on peut avoir l’air con
… si le suicide était chose courante chez les vieux con, on aurait moins de jeunes… bravo JC, tu pètes le forme
Oh, j’y suis bien moins constante que vous, Bouguereau, sur ce blog. Ce qui m’étonne, c’est qu’on puisse ainsi, rien que pour le plaisir d’énoncer une vacherie, de bavasser en quelque sorte, empêcher de se servir de ce blog comme d’un endroit où des personnalités fort riches se croisent. J Ch, par exemple, connaît tout du jazz, et est un peintre qui « vaut le détour ». Paul Edel, écrivain, ancien critique littéraire. DHH, érudite, parisienne et partageuse. Jacques Barozzi, curieux de profession. Polémikoeur, grand observateur de points. D’autres encore, qui diplomate écrivant d’Angleterre, ou de retour de Singapore, ou spécialisé dans les traductions d’allemand ou d’espagnol. Sergio ou Renato (qui ne m’apprécient pas, ce n’est pas le problème) peuvent tout aussi bien être pertinents, nous apprendre « des choses » (comme le pourquoi d’un lien sur le basket, ahaah. Et même bibi, la moins « autorisée », peut-être, la plus « surprenante » (si l’on songe à mon origine sociale, à mes occupations « rurales », moins surprenante si l’on songe à mon goût pour la littérature), une de celles qui déclenchent le plus l’ire des trolls. Il y a des filles partageuses et particulières, comme Rose ou Bérénice, aussi. Et des passants érudits qui viennent, sur tel ou tel point précis, éclairer nos lanternes. Pourquoi donc nôtre hôte permet-il une telle obscurité, un tel épaississement, une telle dévaluation de son blog ?
le courage pour un pleutre somme boudegra, balancer un saloperie et ne pas répondre aux questions si ce n’est par l’injure, quelle belle paire avec Onépasifort… des pleutres, rien que des pleutres
..même keupu il s’y connais en pine de srin..oui oui c’est l’assouline le castrateur au ongles sales ! tout est de sa faute..houhou ! si on a l’air con c’est de sa faute..salaud!
« Et des passants érudits qui viennent, sur tel ou tel point précis, éclairer nos lanternes. »
Je le prend pour moi… c’est gentil ça Clopinouille de Bray, j’apprécie ! On fait ami-ami ?
« Pourquoi donc nôtre hôte permet-il une telle obscurité, un tel épaississement, une telle dévaluation de son blog ? »
Bonne question… réponse intelligente souhaitée !
quand on lit Onesiphore et JC, qui n’ont même pas d’humour visible à l’oeil nu, on se dit que la tombe se referme sur eux . ces malheureux s’ensevelissent dans leur propre betise, tellement ils sont lourds, hargneux, jaloux, négatifs,méprisants, en un mot d’une stupidité ennuyeuse.ils tiennent l’épicerie de la betise sur ce blog.
il sait pas nous mettre en valeur..ha ben merde..ha tu parle d’un ciel patagon qui convient au chefs d’escadrons..forcément on y peut rien..! j’y avais pas pensé clopine..tout s’éclaire !
quand on lit Onesiphore et JC, qui n’ont même pas d’humour visible à l’oeil nu
keupu c’est quand même celui qui volent le plus haut dans le ciel..
haut haut haut..comme le rossignol..c’est pas compliqué : on l’voit pus !
« Et des passants érudits qui viennent, sur tel ou tel point précis, éclairer nos lanternes. »
Je le prend pour moi… c’est gentil ça Clopinouille de Bray, j’apprécie ! On fait ami-ami ? (JC)
Moi zaussi, Clopibraye de Nouille.
Si le suicide était chose courante chez les jeunes, on aurait moins de vieux cons ?….. j’ai bon là ? j’ai bon ? (JC)
On ne saurait mieux dire.
« ces malheureux s’ensevelissent dans leur propre betise, tellement ils sont lourds, hargneux, jaloux, négatifs,méprisants, en un mot d’une stupidité ennuyeuse. Ils tiennent l’épicerie de la betise sur ce blog. »
Qu’est ce qu’on te sert, Guignol, comme bêtise ? Rien ? Ah !!!! …tu as été gâté à la naissance, tu as tout ce qu’il faut, déjà ?… OK ! profite … amuse toi !
On n’est pas en Centrafrique, ici.
les nouveaux pieds-nickelés : JC, bouedegras, Onépasifort, morts de rire
quand on lit Onesiphore et JC, qui n’ont même pas d’humour visible à l’oeil nu(Guignols band)
Plus myope qu’une une taupe, Guignols band est mort. De profundis.
Islande :
http://www.flickr.com/photos/gigjae/8547088222/in/photostream/
Curiosa dit: 3 mars 2014 à 11 h 28 min
« les nouveaux pieds-nickelés : JC, bouedegras, Onépasifort, morts de rire »
C’est le quatrième mousquetaire anarcho-curiosiste, celui que je préfère : Mort De Rires … il est excellent !
Pourquoi pensé-je à Benoit Hamon, va savoir ?!
Avant de vous quitter définitivement, une supplique adressée à Passou, car ce billet traîne en longueur !
Pourquoi ne pas nous parler des grands poètes français au catalogue d’Amazon ? Exemple : « Le pêcheur de lune »/ 1959/édit.HOBAY, proposé en édition originale à 2 euros. Commis par une jeune poétesse, Minou DROUET.
C’était l’Eddy Bellegueule de cette époque…
Comment dire ? … un « vent », frais, qui soufflait sur la littérature.
c’est marrant quad je pense à bouguereau, JC et Onépafifort, je pense aussitôt à Alain Escada, Béatrice Bourges et Ludivine de la Rochère… pourquoi ? ah si la Manif’ pour Rien
Le quarteron : Jambon, le Bloug, Tôto et Jeçais.
Curiosa,
Il me semble, tant qu’à faire, que vous auriez pu me nommer « JCRien »… membre des PN erdéeliens.
Adieu !
À 11 h 57 min du 3 mars 2014,
vous êtes décadent ? Vous n’arrivez pas à perdre du poids ? Vous n’arrivez pas à prendre du poids ? Faites attention, vous pourriez louper la sortie… votre sortie…
Ne rigolez pas, Curiosa !
Nous avons lancé un AO pour de la fourniture de tomates pourries, d’œufs cassés, de guano pestilentiels, pour nous associer dans la joie matrimoniale des célébrations de « Mariage pour Tous » dans la région !
Sympa, non ?! Le riz… c’est dépassé ! On ne va pas « viser », on n’est pas idiots…
Jeçais, Jeçais…y’a de la rumba dans l’ air!
JC à 11h57 : Adieu !… si ça pouvait être vrai !
Les interventions de Clopine et de Christiane sur ce blog dépassent régulièrement ce qui se fait de mieux dans le genre cucul concon coin-coin nounouille. Certes, elles iront vous dire qu’elles sont des femmes. Mais cela ne saurait en aucun cas constituer une excuse. Ni même une circonstance atténuante.
Le quarteron : Jambon, le Bloug, Tôto et Jeçais
..mais mais c’est mon christian le trés courageux
clopine tu devrais cultiver ton jardin les lçon sur la maigreur des carottes des voisines c’est pas poli
renato dit: 3 mars 2014 à 11 h 36 min
Islande :
je vois pas la première pression a froid..y’a comme un défaut là rénato
..les hommages sur resnais sont partout insuportabes de bétises et de suffisances..ça fait dailleurs honte
Ceci n’est pas de moi !
« Christiane dit: 3 mars 2014 à 9 h 33 min
Je suis immensément triste pour les crachats lancés au visage des ans de J.Ch et d’A. Resnais. Leurs auteurs sont immondes ! »
Tristesse n’est pas le mot qui convient. Dégueulasse serait plus approprié !
christiane (sans majuscule)
Bien sûr ! Évidemment !!!!! c’est Clopine qui a rédigé le discours solennel de jean- françois Copé, patron de l’UMP, monsieur « tous à poil » lorsqu’il dit, l’œil étincelant -bien qu’un peu trop bleu pâle- devant la presse ce matin:. »je fais l’objet d’une campagne de presse haineuse.( ça c’est du clopine pur jus).Il ajoute :»Je propose une refondation de la République « (vœu de Clopine) il a oublié d’ajouter RDL » des livres, » car il se méfie des livres et surtout de la terrifiante section BD pour enfants.
Le Patron a tenté de larguer sa cour encombrante
sous un faux ciel de Patagonie mais peine perdue
et fiasco intégral, pas plus là qu’à Sigmaringen
le commentarium ne s’est laissé distancer.
La baie du Mont Saint-Michel à marée montante ?
Excursionnément.
Humour du jambon aux rillettes :
Elle fait risettes à Bordeaux, Chesnel?
Pas les mêmes valeurs!
Il fait risettes!
(Clopine)un peintre qui « vaut le détour ».
Coloriages?
JC, je ne sais pas si vous avez vraiment l’âge que vous annoncez (92 ans), ni si vous êtes gâteux, au sens clinique du terme. Vous êtes tout à fait dans une santé mentale, désastreuse. Est-ce dû à l’âge ? D., votre enfant de cœur, était déjà tout à fait atteint, en 2005, vers 43 ans. Que vous reprochiez aux autres, un gâtisme plus avancé que le votre, ce n’est que votre point de vue. Si vous avez vraiment 92 ans, malheureusement pour nous, vous vous portez encore trop bien. Quand vous ne pourrez plus utiliser un PC, nous serons libérés.
Je ne vous souhaite pas la mort, vu votre âge, cela finira par arriver.
Tout vous mets hors de vous, et tout vous est prétexte à crachats.
Le pire de vos commentaires ? Quand vous traitiez une Ministre en fonction, de guenon. Racisme primaire, rappel de votre jeunesse sous Vichy ? Au contraire de D.bile, vous avez parfois de l’humour, mais vous vous noyez dans un océan de fiel.
Pour ce qui est de votre haine envers Alain Resnais, comme chez John Brown, c’est dû à quoi ? En quoi, Alain Resnais, vous génère une telle hargne ?
Je vous souhaite, JC, une courte vie en tant qu’internaute, pour la vraie vie, elle doit être depuis longtemps, insupportable. Autrement vous ne seriez pas tellement négatif.
une constatation : JC, bouguereau et Onépasifort sont habités, que dis-je, submergés par la HAINE, leur venin quotidien, c’est elle qui les habite et quand j’écris bite je pense à la leur qui doit inversement proportionnelle à leur HAINE : MINISUCULE
JC et Jambon sont des Tartarins de con-de-ta-race, des frustrés qui doivent filer doux à la maison devant leurs maritornes, de grands frustrés qui viennent ici pour se défouler et jouer les esprits forts : ils se croient géants et ne sont que des nains de jardins provençaux, une simple déclinaison des personnages de comédie à la Daudet et Pagnol. Pas bien méchants au demeurant, peuchère, ils ne font peur à personne d’autre que leur propre ombre !
Jacques, étant donnée sa nature, l’ombre n’a peur de rien… tandis que certains sursautent dès que leur ombre fait une fugace apparition…
doit inversement proportionnelle à leur HAINE : MINISUCULE
Ah Curiosa là ne se pose le problème, je redoute un calcul qui ne résoudra pas l’énigme de leur identité, l’habit ne fait pas le moine certes mais pourquoi vouloir les déshabiller?
« Biologie comportementale, inhibition de l’action, apprentissage socio-culturel, etc. »
Dr Lecter, j’ai mis ce lien à votre place.
http://www.youtube.com/watch?v=S0msBPXObAA&NR=1
bérénice, c’est tout simple, pensez à Goebbels
Les formes se renouvellent, les figures ne manquent pas, plus actuelles, hélas, cependant pas envie de tirer par le fond le fil.
JC et Jambon sont des Tartarins de con-de-ta-race, des frustrés qui doivent filer doux à la maison devant leurs maritornes (Jacques Barozzi)
Tais-toi, vieille estrasse en sursis, fiancé de la Camarde, scénariste de quatrième zone, plumitif insane.
Au prochain, en attendant faites de beaux rêves.
des frustrés qui doivent filer doux à la maison devant leurs maritornes, (Jacques Barozzi)
Pauvre khôn, c’est là que tu te goures, je suis célibataire invertébré depuis l’âge de seize ans.
ne sont que des nains de jardins provençaux (jacques Barozzi)
Parle pour toi, antique nain de jardin du Suquet. Vieille moule pas fraîche qu’on refuserait même chez Astoux !
je suis célibataire invertébré (mézigue)
Invétéré ! Merdre !
la HAINE t’étouffes, Onépasifort, tu vacilles,tu tremblotes, tu chancelles, t’as de vapeurs de chaisière, t’es de plus en plus moche, bref, tu fais pitié, mais continue donc, on en redemande
IN-VER-TÉ-BRÉ : comme son cerveau
948
commentaires