Jean Lacouture, des vies dans le siècle
C’est un phénomène qui ne laisse pas de surprendre, du moins en France, car en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, l’art délicat de la nécrologie est moins consensuel. Le fait est que chez nous, la mort d’une personnalité fait taire l’esprit critique et suscite une unanimité suspecte, surtout quand, de son vivant, le défunt avait été régulièrement attaqué. On dira que c’est une question de respect pour celui qui n’est plus là pour se défendre, mais cette conception du respect, mêlée d’hypocrisie, est elle-même discutable.
De Jean Lacouture, qui s’est laissé mourir à 94 ans, je garderais une forte empreinte peut-être parce que mon admiration fut toujours critique, qu’il s’agisse du journaliste ou du biographe. Je n’ai jamais laissé passer une occasion de dire ou d’écrire que je lui devais en grande partie ma vocation d’ « écrivain de vies ». C’était dans les années 1970 ; je m’ennuyais dans une soirée où mes parents m’avaient trainé pour me sortir des livres ; je m’étais donc éclipsé en trouvant refuge dans le bureau-bibliothèque de nos hôtes pour y fureter ; je tombais sur le Malraux de Lacouture. De cette lecture passionnée naquit l’envie d’en faire autant. Bien sûr, ce ne fut pas la seule influence : il y eut également Citizen Kane de Welles et le Disraeli de Maurois, pour autant que l’on sache ce qui a joué précisément sans trop se laisser aveugler par les pièges de la reconstruction. Mais comme, les premières fois, j’avais essentiellement cité Lacouture, il me dit un jour au cours de l’une de nos conversations : « Pourquoi avoir cité les autres ? ».
Ce n’était qu’un détail mais c’était lui, qui n’oubliait rien. Pour avoir écrit dans une critique que son Mendès France était la moins remarquable de ses biographies en raison de sa complaisance pour son héros, j’eus droit trois ans plus tard à un envoi de son monumental De Gaulle ainsi dédicacé : « En espérant que celle-ci ne vous paraîtra pas trop complaisante, n’est-ce pas… ». Succès, notoriété, magister, influence, rien n’y faisait : le gascon en lui demeurait fier, susceptible, orgueilleux. Ce qui n’empêcha pas l’amitié, souvent teintée de remarques douce-amére. Le croisant un jour dans une rue, il m’engagea à faire un bout de chemin avec lui pour le plaisir de la conversation, un grand balayage de l’actualité culturelle mêlé de potins sur les uns et les autres au cours duquel il me glissa : « A propos, épatant, votre Cartier-Bresson. Et une très bonne idée de biographie ! Je m’étonne de ne pas l’avoir eue avant vous… ».
Il nous arrivait de nous croiser également dans des salons du livre en province ou au théâtre à Paris, l’occasion de reprendre langue et de commenter. Il est vrai que c’était un merveilleux causeur. Non qu’il fut brillant au sens superficiel où on l’entend dans les salons. C’était mieux que cela : un enthousiasme et un allant portés par une érudition, une expérience des hommes et des situations, un instinct, une subjectivité, le tout magnifié par un souffle lyrique et parfois emphatique, un panache, une gourmandise, une verve qui en faisaient un conteur/commentateur unique dans son genre qu’il s’agisse de politique, de littérature, de tauromachie, d’opéra ou de rugby, toutes choses qui lui tenaient à coeur. Tout cela faisait son talent, à l’oral comme à l’écrit, avec une rapidité d’exécution qui suscitait bien des jalousies, et une infatigable curiosité, la vraie marque des grands journalistes.
On aimait parler boutique. Même si son retour en grâce dans la critique et dans le grand public date du Louis XI (1974) de Paul Murray Kendall, la biographie à la française lui doit sa résurrection dans ces années-là avec Jean Orieux, Henri Troyat et quelques autres. Mais Lacouture, ce n’était pas seulement un ton à part : c’était aussi un type de héros. Pour l’essentiel des politiques, des écrivains, des contemporains. Ce qui séparait le plus ? La méthode. Mais c’était une question de fond. Il n’allait jamais aux archives et s’en flattait presque, ce qui, à mon sens le condamnait à un travail de compilation. Il rejetait alors l’objection par le fait qu’il privilégiait les entretiens avec les témoins, souvent les mains dans les poches, pour renifler l’atmosphère, le bonhomme, les événements. Son enquête reposant en grande partie sur des conversations, le biographe s’en faisait l’écho en ce qu’il entretenait au fond une conversation avec le lecteur. D’où le ton très oral de ses livres. Il se laissait volontiers guider par le nez. Il n’allait même pas en bibliothèque : « C’est trop impressionnant ! », préférant confier à une paire d’étudiantes le soin d’y lire à sa place tout sur le sujet et de lui faire des comptes rendus, une fiche par livre.
« Je suis un bricoleur, un amateur, un artisan » reconnaissait-il lorsque des historiens blanchis sous le harnais lui reprochaient des lacunes, des imprécisions, des erreurs. Voire des contre-vérités ou des maquillages de textes comme ce fut le cas lorsque Jean-Luc Barré révéla dans sa propre biographie de Mauriac que son prédécesseur avait tronqué des pages des carnets de jeunesse du héros afin de dissimuler son homosexualité (de masculine, une liaison amoureuse y était devenue féminine). Ce que Jean Lacouture, dans une vive controverse, reconnut sans regret en expliquant qu’il ne voulait pas lui porter préjudice ni fâcher sa famille qui lui avait ouvert ses vieux papiers. De même avait-il jugé bon dissimuler l’existence d’une maitresse de De Gaulle à Londres et choisi de ne pas embarrasser François Mitterrand, malade, affaibli, en « oubliant » de l’interroger sur ses relations avec René Bousquet.
Qu’il ait eu raison ou tort, sa plume, contrairement à celle de nombre d’historiens, nous emportait pour ne plus nous lâcher et nous faisait apparaître Nasser, Blum, Malraux, Mendès, De Gaulle, Mauriac, Champollion comme si nous ne les connaissions pas humainement. A la fin de sa carrière, il s’était offert le luxe d’un Jacques Rivière, hommage à la Nrf de l’entre-deux-guerres qui l’avait éduqué à la littérature, tout en sachant que « ca ne se vendra pas ». Il avait même pris le risque de renouveler la biographie, genre qui montrait déjà les premiers signes de l’essoufflement, en s’essayant avec succès au portrait de groupe avec les Jésuites.
Bien sûr, j’ai longtemps cherché la clé de Jean Lacouture, le rosebud qui le révélerait mieux que tout. J’en ai trouvé deux qu’il n’a pas reniées lorsque je l’ai poussé à s’exprimer.
Il y a d’abord le catholique en lui. Même s’il avait pris des distances avec la foi de son milieu d’origine, la grande bourgeoisie bordelaise, il ne s’en était jamais dépris tant l’empreinte était forte. Le collège chez les Marianistes à Caudéran, les études secondaires chez les Jésuites du lycée Saint-Joseph de Tivoli, cela laisse des traces plus profondes que SciencesPo, les Lettres et le droit. Elles transparaissent dans son extraordinaire faculté de mea culpa, cette confession publique et médiatique permanente qui fut la sienne chaque fois qu’on opposait à l’ancien correspondant de presse et grand reporter du Monde et du Nouvel observateur, ses erreurs de jugement notamment dans son compagnonnage avec les Vietcongs qui lui fit « orienter » ses articles, et dans sa ferveur lors de la prise du pouvoir au Cambodge par les Khmers rouges.
Cela valait également pour le débat franco-français, lorsque le biographe admiratif de De Gaulle reniait en lui le journaliste qui n’avait cessé de dénoncer le Général dans les années 50 et 60. De quoi désarmer toute critique – et ce n’était pas une tactique de sa part pour justifier ses errements en se colletant à « l’histoire immédiate », expression qu’il avait inventée pour baptiser la collection qu’il dirigeait aux éditions du Seuil. Dans le meilleur des cas, de la naïveté ; dans le pire…
« J’ai pratiqué une information sélective en dissimulant le caractère stalinien du régime nord-vietnamien. Je pensais que le conflit contre l’impérialisme américain était profondément juste et qu’il serait toujours temps, après la guerre, de s’interroger sur la nature véritable du régime. Au Cambodge, j’ai péché par ignorance et par naïveté. Je n’avais aucun moyen de contrôler mes informations. J’avais un peu connu certains dirigeants actuels des Khmers rouges, mais rien ne permettait de jeter une ombre sur leur avenir et leur programme. Ils se réclamaient du marxisme sans que j’aie pu déceler en eux les racines du totalitarisme. J’avoue que j’ai manqué de pénétration politique.»
Appelons cela ainsi… Peut-être le reporter aurait-il mieux senti certaines choses si, sur le terrain, au cœur de l’événement, il avait moins fréquenté les chancelleries, les excellences, les ministres et les chefs, et davantage les vrais gens, comme on ne disait pas encore.
L’autre clé, plus enfouie et plus inavouable, c’était l’Occupation. Non pour ce qu’il a fait mais pour ce qu’il n’a pas fait. Sa famille était gaulliste de la première heure et lui, rien. Ni d’un côté ni de l’autre. Quand on a 20 ans en 1941 et qu’on se contente de poursuivre ses études alors que ses propres parents prennent des risques et montrent la voie, on le vit après comme une faute. Qu’importe si à la fin, il gagna le maquis en Dordogne pour échapper au STO avant de devenir l’attaché de presse du général Leclerc en Indochine. Tout son engagement intellectuel et journalistique à gauche, dans les guerres de décolonisation notamment, et contre l’impérialisme américain sous toutes les latitudes, peut se lire à l’aune de cette prise de conscience : son absence des événements à un moment de la vie de la France où, comme me l’avait dit Fernand Braudel, « il eut été indigne de ne pas s’engager ».
Et là, le mea culpa ne pouvait être que privé, intime, seul face à sa conscience. Sa mère écoutait la radio de Londres tous les jours, mais lui ne l’entendait pas. Longtemps il s’en fit le reproche muet avant de s’en ouvrir à ses proches. De la honte et du remords qu’il en conçut est né et a vécu Jean Lacouture.
(« Jean Lacouture et ses personnages Mauriac, Malraux, Blum » photos D.R. et Georgette Chadourne)
692 Réponses pour Jean Lacouture, des vies dans le siècle
Sergio dit:
à
Ueda dit: 21 juillet 2015 à 17 h 15 min
j’ai eu la trique à Benarès.
Boh y a pas besoin de marcher jusque-là quand même…
JC..... dit:
à
Ceux qui « améliorent le réel jusqu’à le nier » font du jeanlacouturisme nouveau …. !
Aaaaah, les gnafrons !
le doigt sur... dit:
à
Les SUPREMS de la Tamla Motown étaient-elles, elles aussi maquées et tout le toutim?
J. Chesnel qui connait mieux le jazz que la peinture va nous l’ expliquer.
Bloom dit:
à
Les bains de mer:
Les Indiennes hindoues, chrétiennes, musulmanes, jaïns et sikhs se baignent en sari: très sexy parfois.
Les Chinoises portent des combinaisons intégrales (pas intégristes).
La nouvelle mode lancée par Décathlon et Go sport,n c’est la combinaison intégrale pour enfants afin que ces chères têtes blondes ne chopent pas le vilain mélanome.
–
u. de l’esprit? Voyons, vous n’y songez pas: vous êtes bien le seul à en avoir ici. Tout le monde le sait.
Ueda dit:
à
Fine and mellow, magnifique ce que son corps complètement foutu parvient à faire.
las dit:
à
on sait que JC n’est qu’un pervers (ueda adore)
JC..... dit:
à
La seule façon de se baigner, lustrale, est d’être nu.
georges dit:
à
Bloom
le sari n’est pas très pratique pour nager
JC..... dit:
à
Honnêtement, les gars, si vous n’avez pas de prétention sexuelle, corps sublime, étudiantes scandinaves accrochées à votre logos, désir de désirer, … nager ça sert à rien !
Sauf en cas de naufrage, et encore ! à moins de 300 m des côtes, température de l’eau supérieure à 15 °, âge inférieur à 45 ans…
Jean-Gérard dit:
à
Billie Holiday était une droguée, alcoolique, à la dérive depuis l’adolescence … (JC)
On pourrait en dire autant d’Amy Winehouse. Pourtant, quelle grande chanteuse elle fut. Ce tordu, tout juste capable de ressortir jusqu’à plus soif le plat réchauffé pour la énième fois de ses âneries, de ses répugnants mépris de beauf machiste et raciste ne comprend décidément rien à la musique. A quoi d’ailleurs comprend-il quoi que ce soit ?
Ueda dit:
à
Tu as gagné un week-end avec ces Chinoises adorables et soucieuses de leur peau, JC
http://i.telegraph.co.uk/multimedia/archive/03010/Qingdao-face-kini_3010592b.jpg
JC..... dit:
à
Camarade ueda,
Ma Gong Li, une amie sûre, stupéfiante beauté intellectuelle, a une fille adolescente qui porte ce masque …
Ce qui nous ramène à cet axiome bourgeois franzouese du siècle passé : « Ceux qui ont la peau bronzée sont ceux qui travaillent aux champs : des ploucs ! »
Widergänger dit:
à
Souhaitons, mon cher JC, que le repos du septième jour demeure sacré en ces temps où on veut le macroniser.
Jean Benoit..... dit:
à
Ne crachez pas partout, JG : une chanteuse n’est qu’une chanteuse, après tout : on l’oubliera comme tant d’autres qui furent adulées… raison garder.
JC..... dit:
à
Bien entendu, Michel…. tu me comprends…!
Sergio dit:
à
JC….. dit: 21 juillet 2015 à 18 h 08 min
mohair et acier de BOUGUEREAU INDUSTRIES
Boh ça va être encore comme les claviers sans fil s’il faut changer les piles à trois heures du matin…
Widergänger dit:
à
Un hommage intéressant de Raphaël Draï :
http://laregledujeu.org/2015/07/21/24257/hommage-a-raphael-drai/
JC..... dit:
à
Sergio,
IA Project change mes piles toutes les heures et je ne me plains pas : je suis un robot bien traité !
Sergio dit:
à
la vie dans les bois dit: 21 juillet 2015 à 17 h 30 min
le très célèbre barrage contre le pacifique avait enfin été construit.
Bon y a une huit voies dessus ? Avec des refuges ! S’agit pas de tomber en rade entre Valparaiso et Okinawa… Le stop ça marche plus trop !
Sergio dit:
à
JC….. dit: 21 juillet 2015 à 18 h 57 min
IA Project change mes piles
Oui mais le mec qui change les piles si lui la sienne tombe en panne ? I se souvient plus de rien…
Sergio dit:
à
Widergänger dit: 21 juillet 2015 à 18 h 36 min
le repos du septième jour
Les Robespierre c’était tous les dix jours ! Ben avec ça…
Widergänger dit:
à
Le Judaïsme est donc plus démocratique que le robespierrisme !
Widergänger dit:
à
Qu’a à nous dire Spengler sur l’histoire et l’Islam ?
30 octobre 2014
Un volume est consacré à la réception de la pensée du philosophe allemand dans le contexte international actuel.
http://laregledujeu.org/2014/10/30/18183/qua-a-nous-dire-spengler-sur-lhistoire-et-lislam/#1
Passou dit:
à
Frantz de 17.38, Ne vous méprenez pas sur la réflexion de Fernand Braudel. Il voulait dire (il me l’a explicité) : indigne de ne pas s’engager dans un camp quel qu’il soit, résistant, collabo, vichyste ou autre. Lui estimait que déjà se porter volontaire ou être mobilisé en mai 40 pour défendre son pays, c’était déjà un engagement. Ce fut le sien. Et après : cinq ans d’Oflag. Mais on ne peut pas reprocher à un prisonnier de n’avoir pas réussi à s’évader !
Widergänger dit:
à
Olivier Messiaen y aura composé son fameux Quatuor pour la fin du temps.
Widergänger dit:
à
Quatuor pour la fin du temps :
https://www.youtube.com/watch?v=jXxmvsllhCg
la vie dans les bois dit:
à
Sergio, à 18 h 57 min
Pas du tout Sergio, vous n’êtes pas ici en ligne avec BlaBlacar.
Delage, huit cylindres needed.
la vie dans les bois dit:
à
Dommage, le message de Frantz était porteur.
la vie dans les bois dit:
à
Dommage aussi de ne pas revenir sur la maîtresse supposée du commandeur.
Ainsi, je pense à Phil susceptible d’en savoir un peu plus, cette descendante de Mac Mahon ( Emmanuel de) aurait tenté, réussi ? -avec noblesse- de redorer le blason de famille, auquel sa mère aura tout fait, pour lui conférer une sorte d’indignité.
la vie dans les bois dit:
à
Quand je dit Emmanuel, Phil, c’est parce que il faudrait remonter plus loin encore.
la vie dans les bois dit:
à
Sinon, j’aime beaucoup Amy Winehouse. Body and soul.
labat dit:
à
oublier une chanteuse:mais on n’oublie pas la cantatrice joséphine
idle dit:
à
« Je suis un bricoleur, un amateur, un artisan »
çA tombe BIEN,
moi aussi,
Maure au… Mort aux….Morts aux …..More etc….° So WATTS…ÏEasy…ISssaïes!
la vie dans les bois dit:
à
Docteur, bonsoir, je ne peux retenir ce sourire, à l’évocation de la cantatrice.
betobahia dit:
à
Mais qui n’ a pas assisté à un concert de Nina Simone complètement beurrée annonant le » ne me quitte pas » de Jacques Brel.
Moi, je n’ ai pas oublié…
Court dit:
à
« Jacques Chesnel est un grand amateur de Jazz. Et depuis longtemps ».
Attention, Christiane, on pourrait croire à vous lire que cet intérêt est quasi séculaire!
JC..... dit:
à
S’engager ? Dégageons ….
Le monde est une telle farce !
Il ne sert à rien de savoir. Rien ne tient bon !
la vie dans les bois dit:
à
la suite de mon 20h20 est là, mais il faut un peu temps.
https://books.google.fr/books?id=RmumG_acM0YC&pg=PR7&lpg=PR7&dq=auguste+viatte+m%C3%A9moire+jurassien&source=bl&ots=1qiYFSxUil&sig=6qmAWHeuaJFHqE5AuDY5BkctKDE&hl=fr&sa=X&ved=0CDUQ6AEwA2oVChMI87373PTsxgIVR1sUCh1q_QkG#v=onepage&q=auguste%20viatte%20m%C3%A9moire%20jurassien&f=false
Jean-Gérard dit:
à
le Disraeli de Maurois (Passou)
Chef-d’oeuvre bien oublié, comme d’ailleurs, me semble-t-il, les grandes biographies qui firent les délices de mon adolescence : Lélia, René, Olympio, Prométhée.
C'est Vrai! dit:
à
(…)°Et après : cinq ans d’Oflag. Mais on ne peut pas reprocher à un prisonnier de n’avoir pas réussi à s’évader ! »°)
Jean-Gérard dit:
à
Le monde est une telle farce !
Il ne sert à rien de savoir. Rien ne tient bon ! (JC)
Mais si, mais si. Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit. Evidence qu’il conviendrait de mettre sous le nez des Grecs et de nos éleveurs, histoire de les guérir de quelques illusions.
C'est Pas Vrai! dit:
à
JC….. dit: 21 juillet 2015 à 20 h 51 min
S’engager ? Dégageons ….
« Le monde est une telle farce !
Il ne sert à rien de savoir. Rien ne tient bon ! »…Peut-être Vous trompez-VOUS? My DEAR? Maby yes, maby not? Qui sait!
la vie dans les bois dit:
à
Le chef- d’œuvre, oui, je m’en souviens également. Le pied !
Ueda dit:
à
la vie dans les bois dit: 21 juillet 2015 à 20 h 20 min
Dommage aussi de ne pas revenir sur la maîtresse supposée du commandeur.
Ainsi, je pense à Phil susceptible d’en savoir un peu plus, cette descendante de Mac Mahon ( Emmanuel de) aurait tenté, réussi ? -avec noblesse- de redorer le blason de famille, auquel sa mère aura tout fait, pour lui conférer une sorte d’indignité.
Merci, merci!
Je déboule et déjà vous me faites réfléchir.
Quelle différence entre l’intelligence simple et la bêtise compliquée?
— « Trois personnes qui passent, l’une d’elle est forcément mon maître » (孔).
Ueda dit:
à
« Trois personnes qui passent, l’une d’elle est forcément mon maître » (孔).
C’est moi qui traduit comme ça, c’est que cette parole m’accompagne.
la vie dans les bois dit:
à
uhuh, ne te fais pas une hernie au cerveau.
Cela te dépasse, comme toujours. Accepte que l’on ne parle qu’à quelques uns; ne t’invite pas comme un malpropre de la dialectique.
Concentre-toi sur la philo.
http://www.philomag.com/les-idees/vraies-gens-par-andre-comte-sponville-8145
Ueda dit:
à
JC….. dit: 21 juillet 2015 à 18 h 35 min
Ce qui nous ramène à cet axiome bourgeois franzouese du siècle passé : « Ceux qui ont la peau bronzée sont ceux qui travaillent aux champs : des ploucs ! »
Mais oui, « les têtes noires », c’est ainsi que nos inscriptions les plus antiques appellent le peuple (limin).
JC..... dit:
à
SOUSCRIPTION FUNERAIRE
Nous lançons une souscription pour la déco du tombeau du maître de la critique de jazz, celui qui surpassa le vieillard cacochyme Panassié, Jacques de la Rillette, l’immense critique qui sait, qui dit, qui conclut !
Envoyez vos sous, poste restante, Porquerolles avec l’annotation : pour Jacquot le perroquet du be-bop !
Ueda dit:
à
la vie dans les bois dit: 21 juillet 2015 à 21 h 31 min
uhuh, ne te fais pas une hernie au cerveau.
Cela te dépasse, comme toujours.
Dépasser, dépasser, c’est parfois le cas mais il ne faut pas exagérer.
Au fait, ce repassage?
la vie dans les bois dit:
à
« Il n’allait même pas en bibliothèque : « C’est trop impressionnant ! », préférant confier à une paire d’étudiantes le soin d’y lire à sa place tout sur le sujet et de lui faire des comptes rendus, une fiche par livre. »
Je ne sais comment il faut considérer cela. Si les deux font la paire, ou si on se moque du monde.
bref dit:
à
JC c’est quand même l’illustration que la vieillesse est un naufrage!
combien au jus pour arriver en pleine forme à 80 balais? 10??
frantz dit:
à
Mais bien entendu : « personne ne lui reprochera de ne pas s’être évadé », c’est ce que j’ai écrit à 17h38. Par ailleurs si Braudel ne faisait pas la différence entre se porter volontaire et être mobilisé en mai 40, il avait une étrange notion de l’engagement…Et pour autant que je sache, il a été mobilisé en septembre 1939, comme des millions d’autres et n’a pas eu à se porter volontaire. A la même date, mon futur parrain, citoyen suisse vivant et travaillant en France depuis plusieurs années, non mobilisable donc, s’est engagé pour la durée de la guerre dans la Légion Étrangère, estimant qu’il devait participer à la défense du pays où il vivait. Peut-on dire que les deux hommes étaient également « engagés » en ce mois de septembre 1939 ?
Pluton dit:
à
Était-ce à Zürich ?
Phil dit:
à
Les cinq ans d’Oflag de Braudel ont permis non seulement une somme inégalée sur l’époque Philippe II mais aussi la brillante démonstration que le capitalisme n’a pas été inventé par les juifs. Il faut se garder parfois d’exiger des « engagements » qui affaibliraient la production intellectuelle d’une nation.
Le cas de M. Lacouture est différent, ce qui explique sans doute son recours aux petites mains et les remords a posteriori. Il s’agit plutôt de la méditerranée à l’époque de Brigitte Bardot.
Sergio dit:
à
la vie dans les bois dit: 21 juillet 2015 à 20 h 06 min
Delage, huit cylindres needed.
Ha c’est beau ! Mais pour le Barrage, quand même, il faut la Léon Bollée…
Au début je pensais pas que cela existait vraiment ! Et puis si, Léon et Amédée Bollée, leur première construction fut un tricyle, mais bien longtemps avant, dans leur atelier de la rue Pergolèse.
moi dit:
à
In fine, voilà ce que je pense :
https://www.youtube.com/watch?v=eYSbUOoq4Vg
Mais finalement ce n’est pas ceux en qui je crois, donc : « Tout va bénné! ».
Pessach dit:
à
Halte là :
https://www.dailymotion.com/video/x1whni1_video-jean-ferrat-petit_people?start=26
Bloom dit:
à
le sari n’est pas très pratique pour nager
—
En Inde comme dans beaucoup d’autres pays d’Asie, on ne nage pas, on se baigne, on se trempe…Le seul athlète indien présent au dernier meeting Areva a lancé 3 fois le disque dans la cage de protection. Peu d’appétence pour les sports, sauf le cricket, le hockey sur gazon et le kabbadi…En revanche le yoga est devenu obligatoire pour les fonctionnaires.
JC..... dit:
à
bref dit: 21 juillet 2015 à 21 h 38 min
Evidemment, la vieillesse est un naufrage !
Ayant dépassé depuis longtemps l’âge vénérable de 80 ans, j’espère battre le record de Jean Lacouture. Encore 2 ans, j’en ai 92, vous n’êtes pas près d’être privé de mes propos, du meilleur goût parait-il … uhuhuhu !
JC..... dit:
à
Il a une bonne gueule sur l’illustration le Jeannot, mais mangé aux mites avec ces taches de rouille, peuchère ! … heureusement, j’ai une peau de bébé : on me donnerait 52 ans.
(je dis tout ça, qui est sans importance, parce que je sais que ça en horripile plus d’un … et bêtement, cela me ravit !)
JC..... dit:
à
Une dernière information non-littéraire : le « Dictionnaire amoureux de la Méditerranée » de notre cher Richard Millet se laisse lire très agréablement… cependant il n’atteint pas la vertu d’un Morand qui vole à une altitude supérieure.
Et maintenant, en mer ! cornecul !
Attila dit:
à
« Les cinq ans d’Oflag de Braudel ont permis non seulement une somme inégalée sur l’époque Philippe II mais aussi la brillante démonstration que le capitalisme n’a pas été inventé par les juifs. »
Il avait accès à une bibliothèque et des archives pendant sa captivité, Braudel, Phil ? Sinon comment peut-on travailler à une thèse, à moins que celle-ci soit un roman ?
Bloom dit:
à
la brillante démonstration que le capitalisme n’a pas été inventé par les juifs. »
—
Max Weber avait déjà frappé fort avec « L’Ethique protestante et l’esprit du capitalisme », en 1905, non?
la vie dans les bois dit:
à
Sergio, à 22 h 48 min
La Léon Bollée a disparu au tournant du pont, pour ne plus revenir. M. Jo est reparti vers le Nord. Suzanne ne lui a pas rendu la bague. Il ne lui a rien dit.
Le barrage contre le pacifique qui a été construit, il faudrait faire plus amples recherches cadastrales. Savoir si ces polders qui font gagner de la terre sur la mer, que la plaine puisse donner ce qu’elle peut de riz, poisson, de mangues. Si cette plaine est celle de Suzanne.
la vie dans les bois dit:
à
La démonstration de Phil à 22h26 s’étend sur un temps historique qui dépasse, -et de loin, car le temps de M. Braudel n’est pas celui de l’instant décisif- la question déontologique très précise que pose Frantz.
La démonstration de Phil qui ressort d’une sorte de nécessité historique, justifiant à posteriori un passé dont on connaît la suite, ne s’inscrit pas dans le débat:
Pourquoi Braudel serait-il plus qualifié que d’autres pour donner des leçons de bonne conduite, en temps de guerre ?
la vie dans les bois dit:
à
la formule « il l’a prouvé par la suite » serait la dernière preuve qu’on n’attend plus, d’une malhonnêteté du raisonnement. Dans le meilleur des cas.
Phil dit:
à
Une mémoire considérable doublée d’une attention aux details, géographe en plus d’être historien, et la plupart des archives méditerranéennes sinon déjà visitées au moins localisées. Les deux ont permis sa réflexion sur Philippe II, dear baroz, hors archives. Le récit de la mort du Roi Prudent, pourrissant inamovible sur son fauteuil entre les murs nus de l’Escorial, est peut être la seule
‘concession au roman de la captivité.
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…vendre la peau de l’ours littéraire,!…
…
…mais c’est qu’il griffe de ses pattes à l’odeur du miel,!…
…
…mes bourdons, mes mouches à miel, mes ministres du transit intestinal cérébral à mon endoctrinement aux pensées uniques,!…
…
…commentez, commentez,!…de rien,!…
…
…Claude François,!…Comme d’habitude,!…
…
…Jacques Brel,!…Le Plat Pays,!…
…
…esprits êtes vous las,!…Ah,!Ah,!…combien, pour changer de basse-court,!…etc,!…
…
rose dit:
à
J’aurais dû écrire cela sur le.billet consacré à Mme Kruff. Néanmoins c’est ici que vous parlez de la Léon Bollée.
Obligée de s’incliner,donc.
Une jeune photographe est allée voir au bout du monde les traces de Marguerite Duras. Elle s’appelle Françoise Beauguion.
Vous avez ses photos sur la toile et ce qu’elle dit de ce voyage.
rose dit:
à
>Attira
La somme d’une thèse est largement compilatoire de ceux qui vous précédèrent. Toutefois, chez les plus brillants, doctorants, Braudel en est, la part personnelle est énorme voire gigantesque. Il y a tout un travail.a effectuer de mise en lien. On peut se douter que c.ela.e s’est pas fait à l’oflag mais ensuite. Il a pu avertir dans ses recherches au prorata de ses connaissances acquises précédemment. C’est ainsi que je l’imagine. Planification, articulations et invention. C’est le grand art d’une pensée autonome et créatrice.
Et puis, cf. le camp des Milles et en Pologne, lorsque cela fut possible, l’art et la littérature furent des bouées de sauvetage pour ne pas perdre la.boule dans des situations impensables, pour garder son humanité.
Ce que dit Braudel, d’après ce que raconte pas sou, c’est qu’il fallait se positionner. On ne pouvait faire autrement. Si un ne le fait pas, ou bien le fait de travers, ce peut être pour des raisons multiples : enfance trop gâtée ou bien nulle capacité de projection sur l’avenir. Et c’est ainsi que l’on se trompe, raté le coche ou prend le train de Madrid alors que l’on a exigé de se rendre à Moscou. Nul n’est à l’abri. Ceux qui y ont laissé leur peau ont été capables de ce sacrifice inouï. Merci à eux.
rose dit:
à
Merci à eux non pas d’être mort -qu’elle grande stupidité que de mourir- mais de nous avoir gagné notre liberté dont nous jouissons tant et plus et,semble-t-il, de manière provisoire ; tout serait-il donc à refaire incessamment ?
rose dit:
à
>Attila pardon c.mon p. de correcteur automatique qui déraille. Pas moi.
rose dit:
à
Il a pu avancer dans ses recherches à partir de ce qu’il avait engrangé dans la tête.
rose dit:
à
alors que l’on a désiré se rendre à Moscou.
Nota : cela.c’est le.fonctionnment du correcteur automatique : toi, tu tapes.desiré, lui il.ecrit.exigé.
C’est la.guerre des sexes. Je suis pour le supprimer bel et bien.
rose dit:
à
Non pas d’être morts
quelle grande stupidité
Je ne.vais pas tout reprendre, pardonnez-moi,
rose dit:
à
Sur la bataille des Thermopyles ou autre -un cas faisant figure de loi, un patron l’a rappelé récemment c’est celui qui paye qui décide, avant cela était pareil mais pas.dit par.pudeur intrinsèque – je pose l’hypothèse que si les éléphants l’ont emporté sur les chevaux ce n’est pas.cause d’intelligence mais de poids.
Si l’on fait intervenir l’intelligence dans la même bataille, les chevaux écran pu l’emporter.
Le poids étant ici facteur premier, il.eut fallu alors y ajouter la ruse. Contourner les éléphants et (l’oserai-je) les attraper par la.queue pour les.faire.voltiger et quitter le champ de bataille.
Au boulot, je suis.contre.de.manière virulente tout ce.type.de.manoeuvre.tactitienne.
De la.vie.aussi rose, dis-le.franchement.
Et, ronge ton frein, donc.
rose dit:
à
>rose et ta passion dévorante pour la géographie ?
Elle reste, même fondue ou noyée, alors que l’histoire passe et repasse indéfiniment.
tuamotu, rose, atoll ahé ? Padutou. Motou et bouche cousou.
rose dit:
à
passe et trépasse
Je rends mon tablier
Vanille et.
christiane dit:
à
@ M.Court
C’est la guerre de 100ans ?
« Jacques Chesnel, qui réside dans la région de Caen (Normandie), est une personnalité très active dans le monde du jazz qui fait partie de sa vie depuis l’adolescence. Académie du jazz, revue Jazz Hot, INA, encyclopédie Encarta, la liste de ses activités en lien direct avec cette musique est longue… Une bonne centaine de concerts organisés au Café des Images de 1978 à 1993 par l’association Branché Jazz qu’il présidait. On peut lire ses chroniques sur les sites web consacrés à cette musique qu’il écoute depuis plus de cinquante ans avec toujours la même passion (culturejazz et sitartmag).
Un livre récent « Les grands créateurs de jazz » (Gérard Arnaud – Jacques Chesnel / Bordas)
( De Louis Armstrong à Herbie Hancock, plus de 300 créateurs qui, par la richesse de leurs thèmes, la variété de leurs styles, ont élaboré – en moins d’un siècle – une musique d’une vitalité incontestable.- Du blues au free-jazz, tous les grands courants : New Orleans, be-bop, jazz cool, West Coast… mais aussi les apports, les fusions : Afrique, Caraïbes, Brésil, Europe… qui font de cette musique une culture universelle.- Une découverte progressive de l’histoire du jazz, instrument par instrument, privilégiant les grands solistes avec leurs innovations spécifiques, leur légende et leur héritage discographique.Les auteurs : Gérald Arnaud, journaliste, membre de l’Académie du jazz, ancien rédacteur en chef de Jazz-Hot, a publié en 1985 aux éditions de l’Instant « Un demi siècle de jazz ».Jacques Chesnel, critique musical, membre de l’Académie du jazz est conseiller artistique pour le jazz à l’Institut national de l’audiovisuel). »
Pour Marc Fumaroli, j’ai la même préférence que vous, sans oublier « L’École du silence – Le sentiment des images au XVIIe siècle ». Une délectation persuasive. le dernier chapitre « Devises pour les tapisseries du Roi-soleil est surprenant (7. Un royaume où l’on rit). Les miniatures de Jacques Bailly y sont analysées avec esprit.
« La raison c’est la folie du plus fort. La raison du moins fort c’est de la folie. » (Eugène Ionesco – « Journal en miettes » p.191)
Passou dit:
à
Attila, Braudel a conçu l’essentiel de son grand livre sur la Méditerranée derrière les barbelés, loin de toute bibliothèque de recherche, ce qui nous en bouche un coin aujourd’hui encore. Et il ne fut pas le seul. Vous seriez étonné par le nombre et la qualité des universitaires prisonniers qui ont prononcé des conférences ou tenu des séminaires derrière les barbelés à destination de leurs camarades. On en connait meme un (un Polonais dont j’oublie le nom mais ça me reviendra d’autant que je l’ai blogué) qui a tenu un séminaire d’un an sur la « recherche du temps perdu » sans avoir le livre sous les yeux mais uniquement en mémoire.
La Chose...! dit:
à
(…)On en connait même un (un Polonais dont j’oublie le nom mais ça me reviendra d’autant que je l’ai blogué)…(ça alors, on attend avec impatience le développée de toute cette affaire…On compte ou encore on attend de vous de nous conter la chose°!°)
La Chose...! dit:
à
(…)(°! il me dit un jour au cours de l’une de nos conversations : « Pourquoi avoir cité les autres ? »……C’est vrai ça. Pourquoi…??????????!!!!!!!!!!!!°)
Passou dit:
à
La chose en question :
http://passouline.blog.lemonde.fr/2011/08/01/proust-derriere-les-barbeles/
Attila dit:
à
« Writing is a socially acceptable form of schizophrenia. »
Ce que Passou traduit à twit vitesse par : »L’écriture est l’une des formes sociales de la schizophrénie ».
N’est-ce pas plutôt : « L’écriture est une forme socialement acceptable de la schizophrénie » ?
Attila dit:
à
Merci de vos réponses conjuguées, Phil & Passou, vraiment étonnant ce « Méditerranée » de Braudel, que je n’ai toujours pas lu ! J’avais bien proposé un « Goût de la Méditerranée », mais mon éditrice adorée me l’avait refusé…
Avec le Morand et le Miller, qui fait actuellement les délices de JC, il y avait de quoi faire, surtout pour un méditerranéen pur sucre like me !
Ueda dit:
à
Bloom dit: 22 juillet 2015 à 7 h 26 min
la brillante démonstration que le capitalisme n’a pas été inventé par les juifs. »
Max Weber avait déjà frappé fort avec « L’Ethique protestante et l’esprit du capitalisme », en 1905, non?
Rappel nécessaire, Bloom, notre ami WGG ayant remis sur la table à plusieurs reprise les analyses du médiocre Attali, ce compilateur de troisième main.
Attila dit:
à
Proust lui-même, n’a t-il pas écrit « La Recherche… » en captivité, derrière des barbelés de liège, avec Céleste dans le rôle de Kapo ?
Attila dit:
à
dans l’inénarrable reportage au festival d’Avignon par Christine Angot pour « la règle du jeu », mis en lien hier, Olivier PY lui avoue se sentir essentiellement méditerranéen…
dont acte dit:
à
à Christiane : il serait intéressant de connaitre les raisons de cette vindicte de la part de MCourt et JC à l’égard de cette personne que je ne connaissais pas (est-ce le même que celui qui tient un blog?);
je trouve le commentaire de JC « souscription funéraire » particulièrement choquant, je m’étonne qu’il soit passé sans problème
Attila dit:
à
Marco Polo et Venise, bien avant les Protestant, n’ont-ils pas inventé une certaine forme de capitalisme ?
Ueda dit:
à
Attila
Le « capitalisme » existe depuis l’Antiquité.
Il s’agit ici pour Weber du « capitalisme moderne ».
Mais ne comptez pas sur moi, sous ce soleil, pour reprendre sa démonstration!
tom dit:
à
11h27
à quoi bon perdre son temps à lire les c.nneries du pervers en question
la banque du vatican dit:
à
» L’Ethique protestante et l’esprit du capitalisme »
les cathos à la traîne à de rares excptions près (voulues par le très-haut)
la banque du vatican dit:
à
en défense des vraies valeurs, des vrais gens, pour les bonnes oeuvres forcément
Attila dit:
à
Oui, ueda, et les Juifs sont antiques, comme les Grecs, bien avant les Romains ! Parlez-nous plutôt des Chinois, plus juifs que les Juifs en affaires et qui a Paris ont mis le sentier en déroute ?
Attila dit:
à
le Sentier
Bloom dit:
à
« L’écriture est l’une des formes sociales de la schizophrénie ». Dixit E.L. Doctorow parmi 15 autres citations.
—
Malheureusement, le James Michener juif n’aura plus besoin de docteur, oh…(très mauvais)
la vie dans les bois dit:
à
@12h11, reprendre le lien donné ci-avant de 2011.
Bon papier si vous avez du temps à perdre . Vos melanchonneries ignorantes et ordurieres , saoulent aussi.
Jouons à "Jacques à dit" dit:
à
Attila dit: 22 juillet 2015 à 12 h 13 min
plus juifs que les Juifs en affaires
Qu’entendez-vous par là ?
Jouons à "Jacques à dit" dit:
à
Attila, ce Jacques si pointu en politique, qui contrairement à Lacouture n’a jamais commis d’erreur. Mitterandien sous Mitterand, chiraquien sous Chirac, sarkozyste sous Sarko : un instinct qui ne trompe pas.
la vie dans les bois dit:
à
Pourquoi ne pas employer un vocabulaire clair: communisme et maoisme.
la vie dans les bois dit:
à
là, en ouvrant le lien, tu gagnes rien au scrabble; mais au moins ça remet les choses en place.
Pluton dit:
à
Je ne suis pas juif moi-même mais je lis ici des propos ou expressions frôlant de très près l’antisémitisme,
rose dit:
à
Phil passou et rose sur Braudel. Hum.
Oui à la traîne pck 2000 ans d’avance sur autre sujet peu banal.
C’ est pour vous laisser le temps de nous rattraper dans notre mansuétude infinie, nous avons ce désir de faire route à l’ambre.
Et, je suis quasi sûre, le capitalisme date des pharisiens. Traître à un des leurs de surcroît
La charge est lourde. Cela explique sans.doute.combien devons-nous ralentir avant de vous avoir à nos côtés, vous les impies, avec nous hommes et femmes de bonne volonté.
(je me marre)(essayer de faire porter le poids du capitalisme aux pauvres protestants comme.si la saint Barthélémy ne leur suffisait pas)
la vie dans les bois dit:
à
Le capitalisme financier n’est pas si vieux, mais vous radotez toujours sans rien emmagasiner.
roger dit:
à
» melanchonneries ignorantes et ordurieres »
tsunami de clichés…
Bloom dit:
à
Aucun doute sur l’aveugement de nombre d’intellos français. Moins connu, mais pas bien glorieux le bilan de l’Apronuc, la force de l’ONU qui prend le relais des vietnamiens au début des années 90, et dont la France faisait partie
Extrait de Wiki
»
une étude de l’Organisation mondiale de la santé estime néanmoins que le nombre de prostituées au Cambodge était passé de 6 000 en 1991 à plus de 20 000 après l’arrivée des troupes de l’ONU en 1992, dont 35 % ont moins de 18 ans. Cela avait aussi amené à propager le SIDA dans un pays où les habitants n’étaient pas préparés et la même étude montrait qu’en 1995, entre 50 000 et 90 000 cambodgiens étaient infectés.
À cela, on pourra ajouter les abus auxquels se sont livrés plusieurs membres des troupes onusiennes dont le comportement n’avait rien à envier à certaines armées d’occupation. Si le témoignage d’un docteur ayant exercé à l’hôpital de Preah Vihear et qui sous le couvert de l’anonymat affirmait à Raoul-Marc Jennar qu’« il y a eu toute une période où la majorité des patients étaient de jeunes garçons victimes de violences sexuelles perpétrées par des soldats de l’ONU » bien que plausible semble difficile à prouver, le rapport de l’Institut de recherche des Nations unies pour le développement social qui soutenait que « le comportement et les abus d’une partie de son personnel et le relatif manque de sanction de la part de ses autorités, ont ébranlé la crédibilité de l’APRONUC et ont rendu ses missions plus difficiles » ne souffre quant à lui aucune contestation ».
écharpe rouge dit:
à
la vie dans les bois dit: 22 juillet 2015 à 12 h 55 min
L’express what else
béotien dit:
à
» l’aveugement de nombre d’intellos français. »
intellectos, les maoïstes? ?
rose dit:
à
Pluton
Cela fait poncif mais c’est néanmoins ce.qui ressort ce point commerçant largement copié par les.chinois en Afrique noire entre autres..
Vous aussi radotez La vie dans les bois avec un esprit perpétuellement corrosif.
Marcher à l’amble et pas à l’ambre. Je me marre in petto de.vos arguments qui ne tiennent pas la route et sont déboulonnables en deux coups de cuillère à pot.
Maintenant, c’est vrai, j’ai lu antérieurement un attrait pour la pensée juive, un mode de.raisonnement si ce n’est d’analyse. Constamment balayé par l’attrait du blé.
Vous me faites penser au type inconnu qui n’a rien. Sauf
–
–
–
Qui prend ses we en Relais et Châteaux *****
Qui arrive chez vous les mains vides.
Repart sans remercier de la + petite carte. Ou même invitation en retour.
Pour emmagasiner autant faut avoir les cales bien vides. Y a un espace qui ne nécessite pas s’être rempli autant. Celui que vous réservez à la loi, il l’est par la foi.
Plénitude ?
Ueda dit:
à
Post modéré, Monsieur Assouline, faites quelque chose!
C’est un messages aux Jeannots d’aujourd’hui, pas aux Jeannots d’hier (fini, les Khmers Rouges!).
la vie dans les bois dit:
à
à 13 h 09 min
aucun doute là-dessus non plus, merci de ce rappel.
Vous avez pu faire quelque chose, I mean, à titre personnel, du fait de vos relations à l’international, et avez vous fait la leçon à vos fils ?
rose dit:
à
Pour emmagasiner autant, virgule.
Si encore vous témoigniez d’une espèce de bonheur intranquille, mais non. Seule l’insatisfaction permanente ressort de vos propos.
la vie dans les bois dit:
à
A lire sans modération
Pierre-Emmanuel Dauzat décrypte les regards et les erreurs d’une partie des penseurs français face au massacre cambodgien. Edifiant.
« Personne n’est exempt de dire des fadaises. Le malheur est de les dire curieusement », observait Montaigne. Le malheur des années 1970 est de les avoir dites plus curieusement que de rigueur quand il s’agissait du Cambodge et du génocide perpétré par les Khmers rouges. Et il semble qu’on ait du mal aujourd’hui à sortir du carcan idéologique qui aura interdit d’entendre les cris des victimes quand il était encore temps. En ces temps étranges où l’on situait Aron à la droite de Brejnev et où Alain Bosquet, le poète du « programme commun », s’offusquait que L’Archipel du Goulag fût mal écrit et servît l’impérialisme américain, peu voulaient entendre Soljenitsyne quand il annonçait que la chute de Saigon et de Phnom Penh conduirait au socialisme des camps.
la vie dans les bois dit:
à
Rose, je vois qu’en plus vous n’avez pas fait l’effort de corriger une erreur de frappe : Krull, par kruff, ni cruche, mais: Krull.
Lavande dit:
à
Mon commentaire sur le festival d’Avignon vu par C. Angot ne passe pas? Bizarre, bizarre.
christiane dit:
à
@dont acte dit: 22 juillet 2015 à 11 h 27 min
C’est une très longue et ancienne querelle qui semble être née sur le blog de Paul Edel. Oui, Jacques Chesnel tient un blog sur lequel des liens permettent d’accéder à ceux pré-cités ayant un lien avec le jazz ou la peinture.
Je crois que J.Ch s’est irrité de voir une littérature trop ciblée sur « Près loin ». Il aurait aimé des billets sur la littérature sud-américaine plus nombreux. P.E se sentant à juste titre chez lui a manifesté à son tour sa mauvaise humeur… Quant au duel M.Court/J.C : des gamineries sur l’âge, la longueur des attributs, la peinture… c’est à celui qui mordra le mieux, ils semblent aimé ces batailles ! Dommage, ils n’ont jamais vraiment abordé les livres ensemble…
Trois belles personnalités fières comme Artaban !
la vie dans les bois dit:
à
Et puis se produit un miracle, comme parfois.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Ponchaud
christiane dit:
à
ils semblent aimer…
Attila dit:
à
Et de plus en plus holandais sous Holande…
Attila dit:
à
Ciel, j’ai oublié des L !
Attila dit:
à
Lavande, Angot elle ne dit rien sur le théâtre, juste la rumeur et les bruits de couloirs d’Avignon, ses cafés, la ministre et les copains et copines…
Lavande dit:
à
Grand mystère: ça fait deux fois que j’envoie un commentaire d’une vingtaine de lignes(y a pire!) qui n’apparait pas. Sur Angot, Attila, je disais à peu près la même chose que vous.
Vu de NYC..... dit:
à
La personnalité étiente de Jacques Chesnel, son cursus, ses médailles « Jazz Hot » !!!, on s’en moque…
Cet homme est vieux et dépassé par une musique que nous voyons se créer sans lui.
Pour qui se prend cette rillette française ? pour une terrine au caviar ? Dérisoire…
rose dit:
à
>la vie dans les bois
Vous baignez ds les poncifs, avec votre cruche, cassée, que vous ne déposez. Las.
Quant à Germaine, je n’ai pas d’ordi. me débrouille tant bien que mal, accompagnée d’un correcteur automatique qui essaie.vainement de prendre le pas sur moi ; ai appris hier à installer des applis usuelles.
De joshua slocum pour vous tout particulièrement
« La vie sourit à ceux qui essaient » cela concerne son passage du détroit de Magellan.
Ou de Brad Pitt » qui ne tente rien n’a rien ».
Il va falloir se farcir tout le massacre des khmers rouges ; les.viols des.enfantw par les soldats qui ont tué et rien, absolument rien sur le temple d’Angkor.
Rien non plus sur le fait établi que et la Thaïlande et le Cambodge ont entrepris vaillamment double lutte contre la prostitution essentiellement infantile et contre le trafic de drogue. Regarder hier sans voir demain c’est un point de vue passéiste.
Hâte, Lavande et Attila de connaître l’analyse d’Angot.
Ai lu Jl Porquet et un autre ds le volatile et Libe d’hier.
Attila dit:
à
ça nous arrive à tous Lavande, changez de pseudo et mettez n’importe quelle adresse (dupond, par ex) et ça marchera.
Attila dit:
à
Pour Angot, c’est ici rose et c’est très drôle
Christine est sur le pont ! Le Festival d’Avignon raconté de l’intérieur par Angot. Avec dialogues et silences. t.co/uRadzkEDP2
Attila dit:
à
Pour le lien activé, voir le Twit’ vitesse à côté, rose !
Adeu dit:
à
Les Khmers rouges, c’est du passé, on a changé de siècle.
Jeannot Lacouture, tu es pardonné!
Dans le siècle nouveau, à l’ère du totalitarisme en habits neufs, les jeannots nouveaux se mettent à proliférer.
Ils n’ont plus besoin de prendre l’avion, le monde est venu à eux, al-hamdu lillah.
Les organisations wahhabites, nées chez notre ami et allié saoudien, se structurent grâce à d’abondants pétro-financements.
Ce sont désormais des puissances au niveau municipal, encouragés par le nouveau courant islamo-progressiste français.
A Puteaux, par exemple, on a pu entendre le Cheikh Aidh Al-Qarni, un homme pétri d’humanité.
C’est un enseignement pieux, qui se réclament des meilleurs savants.
Une brève piqûre de rappel (les émissions originales peuvent être vues sur MemriTv)
– le cheikh Saad Elbrik (accueilli à Puteaux) se plaint : « Dès que l’on dit quelque chose de bien sur Hitler, on est accusé d’antisémitisme«
– le cheikh Aidh Al-Qarni (accueilli à Puteaux) : « Les gorges doivent être tranchées et les crânes fracassés; c’est le chemin vers la victoire «
– le cheikh saoudien Mohammad Al-Arifi : « L’Islam n’impose pas d’âge minimum pour le mariage«
– l’imam saoudien Mohammad Musa Al-Sharif : « Le jour viendra où l’Islam règnera à nouveau sur le Monde«
– le cheikh saoudien Mohammad Al-Arifi : « Les soldats israëliens ont trop peur de quitter leur tank pour uriner ou déféquer, la Palestine sera libérée par la force, et non par la négociation. »
– le professeur d’université Salman-Al-Abdali : « Les attentats-suicide OK à Tel-Aviv, mais pas à Ryiad«
– l’expert législateur saoudien Basem Alem : « Nous avons le droit d’appeler au Jihad offensif pour imposer notre mode de vie«
– l ‘imam yéménite Abd Al-Majid Al-Zindani présente des preuves scientifiques que la femme ne peut parler et se souvenir en même temps
– le saoudien Adnan Hassan Bahareth: « les femmes ne peuvent réussir en politique que si elles sont dirigées par des hommes«
– le cheikh Yousuf Al-Qaradawi justifie le meurtre des enfants et des femmes israëliens dans des opérations suicide
– l‘imam égyptien Zaghloul Al-Naggar: « Israël doit être détruite. L’Amérique doit être réduite à néant«
– le ministre de l’Information saoudien Muhammad Abduh Al-Yaman : « Nous avons dit aux chrétiens et aux juifs dans des échanges interreligieux que leurs Livres Saints sont falsifiés et que nous voulons les ramener à la Vraie Religion«
– l’imam égyptien Gamal Qutub : « Les Juifs détestent le Monde, et le Monde les déteste«
Etc, etc.
Maintenant, voici le point, le point Nasrallah (ex-Godwin).
Ces joyeux propagandistes souhaitent que l’Europe connaissent enfin la justice (qui ne peut qu’être une, puisque Dieu est un).
Visionnez s’il vous plaît l’exécution d’une femme, mise en ligne par un membre de La Règle du Jeu, qui ne voulait pas y croire.
http://laregledujeu.org/2015/07/22/24304/lextreme-banalite-de-la-decapitation-a-la-mecque/
On décapite comme sur un coin de table, les policiers bedonnants restent tranquillous, c’est jamais qu’une femme…
Dans la dignité, dans une ambiance bon enfant.
Lavande dit:
à
Attila, je n’ai pas eu l’intelligence élémentaire de les copier; marre de les réécrire! et je tiens à ma petite fleur provençale comme pseudo, inchangé depuis le début de la RDL.
Attila dit:
à
Dites-nous plutôt ce que vous avez aimé ou pas à Avignon, Lavande !
Angot elle a applaudi à deux spectacles pour lesquels il faut comprendre qu’ils ne lui ont pas déplus. Pour les autres, elle est sorti avant la fin. Pour Angot, le théâtre c’est elle, moi j’aime bien, surtout que c’est gratuit, c’est BHL qui paye !
Adeu dit:
à
Le Modérateur ne se trompe jamais!
Vous avez dû multiplier les mots à 5 lettres, Lavande, ou lancer en loucedé un appel au djihâd!
(Obsédé?
Oui, je revendique le droit d’être obsédé.
Mon obsession ne s’arrêtera qu’avec son objet, peut-être dans 50 ans.)
Ueda dit:
à
C’est idiot de s’appeler Adeu, ça n’inspire aucun respect au Modérateur,
Je reste dans la salle d’attente à lire Paris-Match.
christiane dit:
à
@ Vu de NYC….. dit: 22 juillet 2015 à 14 h 09 min
Je ne sais qui se cache bien à l’abri sous ce pseudo mais le contenu de ce post est particulièrement abject.
Ueda dit:
à
Message de Doctorow à WGG
Planning to write is not writing. Outlining, researching, talking to people about what you’re doing, none of that is writing. Writing is writing.
Duc Bihoreau de Bellerente dit:
à
«De même avait-il jugé bon dissimuler l’existence d’une maitresse de De Gaulle à Londres…»
Que lis-je? Ma foi, voilà qui me rend l’homme du 18-Juin un peu plus humain. Mais une telle affirmation exige force détails!
«Sa mère écoutait la radio de Londres tous les jours, mais lui ne l’entendait pas. Longtemps il s’en fit le reproche muet avant de s’en ouvrir à ses proches. De la honte et du remords qu’il en conçut est né et a vécu Jean Lacouture.»
Quel psy vous faites, monsieur Assouline!
rose dit:
à
>Lavande
Cela est temporaire jusqu’à ce que passou revienne. Gardez votre pseudo puisque vous y tenez et supprimez ou bien doublez une de ses lettres. Cela a marché pour Cristiano sur le.blog de Paul.
rose dit:
à
>Attira merci. Dès que j’ai fini slocum, ‘irai lire sa critique.
> Christiane c’est d’autant plus e la provocation permanente que Paul et Jacques C. se sont ensuite réconciliés, attitude întelligente
rose dit:
à
>Christiane
Ne soyez pas + affectée que cela. Ce ne sont qu’attitudes snobes auxquelles il manque le respect dû à nos aînés.
Cordialement à vous,
Polémikoeur. dit:
à
L’emploi de « complaisance »
au sujet de Pierre Mendès France
n’éveille pas la meilleure résonance.
Malàpropposément.
la plume de ma tante dit:
à
c’est très bien de saluer les écrivains qui disparaissent, même pour les américains et les zoulous d’entre-eux…mais quand Assia Djebbar est morte , point de In Memoriam pour elle ici…non madame…les mauvaises langues diront que c’était voulu…bref, Doctorow, j’en ai entendu parler mais jamais lu, quelqu’un (un journal US dont j’oublie le nom dont duquel) l’a comparé à un Charles Dickens americain…tain…tant que ca ? perso, je me suis arrêté a Updike chez les écrivains US…sinon, j’apprends que le Meursault , Contre-Enquête de Kamel Daoud va être mis en scène en Avignon, fin Juillet…ça doit être un record de temps, à mon avis, entre la parution d’un livre et son adaptation au théâtre… quelqu’un m’a dit qu’apparemment, ma présence ici faisait gerber le garde-champêtre…donc je vais essayer de passer par ici un peu plus souvent, même si c’est pas tres commode avec les voyages, les vacances etc itou…qui sait, il va peut-être gerber tellement qu’il en crèvera…voilà, ce fut la minute nécessaire de la plume de ma tante…
Passou dit:
à
Lavande, votre commentaire de 20 lignes sur Angot est introuvable, même en modération. Vous êtes sûre que vous avez cliqué ? Réessayez
Lavande dit:
à
4ème essai pas plus concluant: rien de rien!
Changement de pseudo, d’adresse et même d’ordi rien n’y fait
Polémikoeur. dit:
à
Merci au conseil de lecture
qui mène dans le sillage de Slocum !
Circonféeriquement.
Bloom dit:
à
Hun Sen, actuel premier cambodgien sans interruption depuis 1998 (vive la démocratie) est un ancien Khmer rouge: passéisme?
Angkor est un haut lieu de la prostitution enfantine encouragée par l’afflux massif de touristes venus soi-disant admirer les temples hindo-bouddhistes . Passéisme?
La Thaïlande lutte contre ce fléau, pas le Cambodge, où tout s’achète, y compris les gens, et en dollars la monnaie du pays. Passéisme?
Sergio dit:
à
rose dit: 22 juillet 2015 à 9 h 02 min
Contourner les éléphants et (l’oserai-je) les attraper par la.queue pour les.faire.voltiger
I faut déjà un quart d’heure pour en faire le tour, de l’éléphant ! Et pendant ce quart d’heure, fin comme le Renard du désert, il va se retourner, l’éléphant… Et lui ne l’oublions pas il a moins de chemin à faire il manoeuvre sur les lignes intérieures comme dirait Liddell Hart !
L’astuce suprême mais c’est ultra-secret comme la botte de Nevers, c’est de le coincer en haut d’un précipice comme dans le duel de Печорин… Puisqu’on les trouve dans les Alpes, pourquoi pas ?
christiane dit:
à
@rose dit: 22 juillet 2015 à 15 h 35 min
Bonne nouvelle, que leur dialogue renoué !
Par ailleurs, je ne me ferai jamais à la lâcheté de certain(e)s sous pseudo. Ces espaces commentaires deviennent alors des bouches d’égout !
Court dit:
à
Bien d’accord, Christiane.
MC
Widergänger dit:
à
Là où l’on voit très bien que notre petit Ueda est un fieffé antisémite, c’est que ce que dit J. Attali sur la nécessité d’une Europe politique n’a absolument rien à voir avec le fait qu’il soit juif par ailleurs !
Cette confusion est révélatrice des préjugés criminels de ce brave Ueda.
Les Ueda d’un côté et la décapitation en Arabie saoudite de l’autre, on a atteint des sommets de l’horreur pour aujourd’hui. Ce sont des preuves de plus que la presse française ne fait pas son boulot. Elle aurait dû se dresser comme un seul homme contre la présence de l’ambassadeur de l’Arabie Saoudite lors de la manifestation contre les attentats à Charlie. Voilà ce qu’est devenue la France socialiste !
Widergänger dit:
à
Pour ma part, je sais qu’il y a un mot qu’il ne faut jamais écrire dans les commentaires, sous peine de censure, c’est le mot :
ad
minis.
tra.
tion.
C’est un des grands mystères de la Rdl…
Widergänger dit:
à
Et, ajouterai-je, ce que dit J. Attali sur une plus forte intégration politique de l’Europe n’a strictement aucun rapport non plus avec le fait de savoir si le capitalisme aurait été inventé par les Juifs ou non.
J. Attali a écrit un excellent bouquin sur les Juifs et l’argent. Il n’a pour autant jamais prétendu que c’étaient les Juifs qui avaient inventé le capitalisme.
Mais il descend en flèche dans ce bouquin un certain Max Weber. Mais pas du tout pour dire qu’il se serait trompé sur l’origine du capitalisme !
Ueda est un âne. Tournons la page.
christiane dit:
à
@ Court dit: 22 juillet 2015 à 16 h 26 min
Dans ses carnets, tenus de 1891 jusqu’à sa mort, Anton Tchékhov écrit :
« Chez les insectes, la chenille devient papillon ; chez les humains, c’est le contraire ».
La méchanceté et la bêtise humaine l’ont conduit à la solitude et à cette noirceur.
Ici, parfois, on rencontre des chenilles… Qui sait quel papillon elles ont délaissé ?
JC..... dit:
à
Vous n’allez tout de même pas vous décapiter entre vous, bande de fanatiques musico-littéraires !!!
1/ Jacques Chesnel est un vioque qui roule des mécaniques sans muscles depuis longtemps, à l’ancienne … NYC n’a pas tort. Personne ne lui accorde le moindre crédit dans le milieu que je connais bien !
2/ L’Abdel dérape, en souhaitant la mort du garde-champêtre de Porquerolles, un ami personnel parfaitement sympathique …. elle est folle, la plume de sa tante ! Débile !
Bref, calmez-vous les fofolles… la vie est belle. Si le soleil vous nuit, mettez votre mitre d’aplomb !!!
radioscopie dit:
à
Widergänger dit: 22 juillet 2015 à 16 h 43 min
« Ueda est un âne. »
Il se pourrait que, d’un certain point de vue, celui-ci s’en trouvât flatté.
radioscopie dit:
à
J’en vois un, à 17h10, qui fait du dédoublement de personnalité.
Widergänger dit:
à
Pour ma part, j’ai beaucoup aimé ce qu’écrit la mère Angot sur le festival d’Avignon. C’est plein d’humour à souhait, frivole, spirituel et sans concession. Un regard très acéré sur l’esprit bobo qui règne en ces lieux saints.
Ce qu’elle dit d’Olivier Py est hilarant. Et la fin, pas moins drôle : « Je dîne avec un amant, etc. » Les potins, quoi !
La France est quand même un grand pays, qui a un festival du théâtre dans un état de la civilisation déclinante où le théâtre est un genre à l’agonie.
radioscopie dit:
à
Angot est une star. C’est le « papier » d’une star. Cela en dit long sur la vie de star, ce quelque chose d’au-delà, au-dessus, de détaché, décalé, une sorte d’apesanteur, de lévitation à 50cm du sol. Moi quand je quitte une salle de théâtre, je me sens lourd des x € que je me suis fait piquer.
radioscopie dit:
à
Widergänger dit: 22 juillet 2015 à 17 h 24 min
« (…) c’est vous mon pauvre Ueda, qui mettait du juif à toutes les sauces ! »
C’est l’imparfait du subjectif ?
Widergänger dit:
à
C’est du ladino, pouvez pas comprendre.
sigh dit:
à
christiane dit: 22 juillet 2015 à 15 h 11 min
vous savez bien que c’est l’horrible reptilien de porquerolles, à qui vous tentez désespérément de trouver des qualités intéressantes
Sergio dit:
à
Ha ben voilà il y a un budget soucoupes… C’est le plus important de tout ! Si les bombes atomiques nous mangent pas évidemment…
Widergänger dit:
à
radioscopie dit: 22 juillet 2015 à 17 h 29 min
C’est normal, vous êtes un lourd, un plouc près de ses sous. Un petit quoi ! Et même, un petit gros, les plus moches !
Ton semblable, ton frère dit:
à
Vraiment, christiane, vous n’avez pas reconnu JC dans ce « commentaire particulièrement abject » ?
les amis de la rillette dit:
à
nous levons notre verre de Bordeaux à la bonne santé de Jacques Chesnel
Passou dit:
à
En fait ce que j’aime bien (au second degré) dans le texte de Christine Angot, c’est qu’il reflète la quintessence du snobisme des festivaliers riches (hôtel du Cloître St Louis ou La Mirande où ils se retrouvent entre eux) et soi-disant cultureux, qui ne portent aucun intérêt au théâtre et qui sont là juste pour se faire voir, rencontrer des connaissances, échanger des propos superficiels; son texte est une caricature involontaire de ce petit monde. Une étude anthropologique. Le comble c’est qu’elle a tous les billets qu’elle veut, souvent gratuits en plus et elle méprise et prend de haut l’attaché de presse qui lui dit qu’elle aurait pu prévenir si elle ne voulait pas y aller.
En fait ça ne l’intéresse pas du tout! C’est un passage obligé du mois de Juillet. Aucune analyse, aucun intérêt pour le Off bien sûr, aucune mention de débats (nombreux et intéressants): si elle veut voir O.Py c’est en privé à la Mirande.
Bien sûr « mon » festival d’Avignon (j’y vais depuis 30 ans) n’a rien à voir avec ça.
Cette année « ma » compagnie présentait un spectacle dans un petit théâtre du Off, pendant la première moitié du festival. Le succès a dépassé nos espérances et à la fin on jouait à guichet fermé et on refusait une vingtaine de réservations chaque soir. Des rencontres étonnantes; une belle aventure qui restera un grand souvenir pour toute l’équipe.
Dans le In j’ai eu quelques déceptions: un roi Lear gueulard et caricatural. « Les Idiots » un mauvais goût déplaisant. J’ai eu miraculeusement une place pour Richard III (complet dès l’ouverture de la réservation tout public) mais situé très haut et inconfortable, ce qui fait que je l’ai aussi regardé le lendemain …à la télé! C’était superbe et joué avec finesse. Digne du grand Will comme disent les Anglais.
Dans le Off quelques bijoux. J’en cite quelques-uns pour ceux qui pourraient encore y aller: « les pieds tanqués » sur la guerre d’Algérie: 4 copains qui jouent à la pétanque en révélant petit à petit leurs liens avec ce pays. Entre rires et émotions. En vrac: « Jeanne et Marguerite », « la peur » (S. Zweig), « A plates coutures » sur le conflit Lejaby et d’autres…(une vingtaine au total)
Une riche moisson mais une terrible canicule!
p.c.c. signé LAVANDE
radioscopie dit:
à
Widergänger dit: 22 juillet 2015 à 17 h 48 min
radioscopie dit: 22 juillet 2015 à 17 h 29 min
« C’est normal, vous êtes un lourd, un plouc près de ses sous. Un petit quoi ! Et même, un petit gros, les plus moches ! »
Non, non, pas si « petit » (1,82m) et pas vraiment « gros » (69kg). Près de mes « sous » ? Pas plus que cela : je ne gagne que 2,5 fois le salaire d’un prof certifié dernier échelon, c’est assez dire que je suis obligé de compter. Côté Madame Irma, vous avez quelques progrès à faire mon petit chéri.
Pluton dit:
à
Ce budget soucoupes est une splendide fumisterie. J’ai déjà dit ici ce que je pensais d’Hawking. Nous sommes en contact avec plusieurs types extraterrestres ici-même sur Terre. Et je peux vous dir bien gentiment que c’est pas nous qui avons fait le premier pas vers eux. Ils viennent, ils font, ils prennent et ils s’en vont. Voilà le type de relations cordiales entretenuedsavec eux.
Sergio dit:
à
Près de ses sous, près de ses sous, la meilleure technique c’est encore celle de Papillon, puisqu’on parlait d’insectes, tiens…
Wiedergänger dit:
à
Marche plus.
Wiedergänger dit:
à
Remarche (plus)…
Widergänger dit:
à
Marche encore ?
Widergänger dit:
à
Marche bizarrement.
Widergänger dit:
à
« une caricature involontaire », dit Lavande.
Non, c’est très consciemment qu’elle a fait une satire de ce théâtre social dans le théâtre. Il faut le lire comme une petite piécette. Une satire très réussie.
radioscopie dit:
à
Widergänger dit: 22 juillet 2015 à 18 h 22 min
Qu’est-ce qui vous empêche de traiter Lavande (dont l’analyse de départ n’est pas si éloignée de la mienne)de « lourde, plouc, petite grosse et moche » ? Il y a 2 poids (sic) 2 mesures(sic).
Widergänger dit:
à
Mais dans mon commentaire, mon brave radioscopie, il ne s’agit ni de votre poids physique ni de votre taille réelle et encore moins de vos revenus… Vous confirmez par votre réponse que vous êtes un lourdingue.
Widergänger dit:
à
Eh oui ! y a deux poids deux mesures. C’est ça l’injustice du monde ! Et vous en faites les frais. Pas de chance, hein !
radioscopie dit:
à
Widergänger dit: 22 juillet 2015 à 18 h 22 min
« Il faut le lire comme une petite piécette. »
Ah, ah, voilà qui révèle le plouc proche de ses sous.
radioscopie dit:
à
Widergänger dit: 22 juillet 2015 à 18 h 26 min
« Vous confirmez par votre réponse que vous êtes un lourdingue. »
Eh bien, moi, je vous confirme que vous êtes un foldingue.
angophile dit:
à
Merci pour le lien « Christine est sur le pont »! J’espère que ce n’est que le premier d’une longue liste:
Christine sur « les marches »
Christine au stade
Christine à l’Opéra
Christine à la biennale
Christine au salon de l’auto
Christine au camping
Christine sur un chantier
Christine sur un plateau
Christine chez les nudistes
Christine chez mon beau-frère
Christine chez les papous
enfin,Christine sur Mars, l’apothéose!
Widergänger dit:
à
À tout prendre, je préfère être un foldingue qu’un lourdingue. Plus y a de fous, plus on s’amuse. Tantis que les lourdingues sont toujours tristounet, de pauvres trissotins.
Widergänger dit:
à
Pluton dit: 22 juillet 2015 à 18 h 16 min
On veut bien vous croire. Mais quand vous dites « nous », c’est très excessif. Il s’agit tout au plus de quelques individu sur terre, très rares, à peine une poignée.
Mais je suis convaincu, moi aussi, que des contacts au plus haut niveau existent. Notamment avec l’administration américaine au plus haut niveau. Il y en a plusieurs preuves (indirectes bien sûr).
Widergänger dit:
à
Pluton dit: 22 juillet 2015 à 18 h 16 min
On veut bien vous croire. Mais quand vous dites « nous », c’est très excessif. Il s’agit tout au plus de quelques individu sur terre, très rares, à peine une poignée.
Mais je suis convaincu, moi aussi, que des contacts au plus haut niveau existent. Notamment avec l’ad.
minist.
ration américaine au plus haut niveau. Il y en a plusieurs preuves (indirectes bien sûr).
la vie dans les bois dit:
à
Angot est tout simplement épatante quand elle pratique le SFCT stendhalien, lorsqu’elle ne se laisse pas embrigader par un quarteron d’écrivains, à signer au bas d’une pétition à la ministre de la culture, cédant à la précipitation médiatique.
Et puis quoi, le fait de déplorer la pauvreté et l’inanité de créations théâtrales contemporaines, -inanité indépendantes de la restriction de budget sans précédent alloué au théâtre, en hollandie !- comme elle le fait avec ses silences énervés -mais libre- nous fait se sentir aussi libre qu’elle en quittant avec énervement, une pièce de Pommerat, par exemple.
Dommage qu’il n’y ait pas de femme avec qui en parler sur ce blog.
autre regret, plus logistique celui-l@, il manque un calendrier permettant une recherche plus aisée de billets et commentaires.
Widergänger dit:
à
Et contrairement à ce qu’affirme Stephan Hawking un peu vite, ces extra-terrestres ne se désintéressent pas du tout de nous. Au contraire, d’une part ils ont bien l’air d’admirer la beauté sans pareille de la terre qui leur semble un vrai paradis dans l’univers, d’autre part, ils nous étudient de très près comme nous le faisons pour les civilisation disparues.
On ne sait pas d’ailleurs si ce sont des extra-terrestres ou bien des terriens venus du futur.
la vie dans les bois dit:
à
Plus exactement : SFCDT
Sergio dit:
à
Oui enfin les petits quand il faut se calfeutrer à la place K25 de la salle de concert ou des avions à réaction qui emportent mille hommes ils sont sacrément favorisés…
bref dit:
à
widangeur
quand allez vous intstaller votre tente sur l’esplanade des mosquées?, des fois que les soucoupes reviennent vaudrait mieux que vous soyez là, cette fois là!
pensez à prendre votre caméra!
jem dit:
à
On ne sait s’il faut prendre ce texte de Christine Angot au premier degré ou non. Rien ne l’indique, aucune touche ironique manifeste. Et pourtant, il y aurait eu là matière à une sorte de énième Lettre persane, avec la saveur du style – qui fait défaut à Christine Angot, même si cela se laisse lire.
Attila dit:
à
Un été sans le compte-rendu de Lavande en Avignon, ça n’aurait pas été ça. Heureusement, c’est passé au forceps, crac, boum, aie ! Merci. Je ne vois pas ce qui bloquait, peut-être les termes « la guerre d’Algérie » ?
Angot n’en a cure du théâtre, ce qui compte c’est et moi et moi et moi. Et c’est pour ça qu’on l’aime. A ce degré d’égotisme assumé il n’y en a plus guère des comme elle. Son article est facile à décoder. Prime pour elle avant tout son propre intérêt : elle ne va pas voir le spectacle d’Olivier Py, dont ses copines lui disent qu’il faut absolument ne pas le manquer pour constater à quel niveau sous la barre du zéro il a précipité l’idée même du théâtre, pour ne pas avoir a en dire du mal. Elle préfère le rencontrer, sous prétexte d’interview, lui glissant au passage qu’elle aime son One man show, où il chante et danse en travesti, faisant comprendre à cet homme influent, ex directeur de l’Odéon et actuel directeur du festival d’Avignon, « qui n’a pas de problèmes avec Fleur », qu’elle aussi à l’occasion, elle pourrait monter sur scène et lire ses textes. Oui, oui, elle l’a déjà fait. Pas folle la guêpe !
radioscopie dit:
à
Moi je pratique le SFCDW, et c’est assez amusant.
Attila dit:
à
« Dommage qu’il n’y ait pas de femme avec qui en parler sur ce blog »
Mais vous pouvez m’en parler, à moi, la vieille aux abois !
Widergänger dit:
à
L’esplanade des mosquées, j’y suis allé une fois. Mais c’est très difficile d’accès. J’y suis allé accompagné par un guide arabe de la vieille ville. Un arnaqueur. Mais si on y va seul, c’est dangereux, et vous vous faites encore plus arnaquer par les gardiens arabes qui sont là et font le guet.
Widergänger dit:
à
Mais non, Attila ! Vous l’avez mal lu. Vous faites un gros contre-sens. C’est une sorte de lettre persane en effet. C’est le regard satirique d’Angot sur le festival.
la vie dans les bois dit:
à
C’est ainsi qu’Angot est grande barozzi; elle préfère les anges et les hommes.
Attila dit:
à
Le seul spectacle qu’Angot n’égratigne pas, et dont elle parle longuement, c’est celui écrit par Vinaver et dit par sa fille, sur l’affaire Betancourt; Et dont il ressort que seule la fille est sympathique, pour sûr, c’est elle qui a la haute main sur le magot. Angot sera t-elle sponsorisée par l’Oréal ?
la vie dans les bois dit:
à
Autrement dit, je n’ai rien à vous dire, barozzi.
Attila dit:
à
Angot n’a pas d’humour, WGG, satir(ist)e toi-même !
Widergänger dit:
à
Je ne suis pas sûr qu’elle trouve la fille plus sympathique que la mère !
Widergänger dit:
à
Dans ce texte en tout cas, si manifestement !
Widergänger dit:
à
Angot fait souvent rire les gens quand elle lit en public ses récits.
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