de Pierre Assouline

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La République des livres
Jean Lacouture, des vies dans le siècle

Jean Lacouture, des vies dans le siècle

C’est un phénomène qui ne laisse pas de surprendre, du moins en France, car en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, l’art délicat de la nécrologie est moins consensuel. Le fait est que chez nous, la mort d’une personnalité fait taire l’esprit critique et suscite une unanimité suspecte, surtout quand, de son vivant, le défunt avait été régulièrement attaqué. On dira que c’est une question de respect pour celui qui n’est plus là pour se défendre, mais cette conception du respect, mêlée d’hypocrisie, est elle-même discutable.

De Jean Lacouture, qui s’est laissé mourir à 94 ans, je garderais une forte empreinte peut-être parce que mon admiration fut toujours critique, qu’il s’agisse du journaliste ou du biographe. Je n’ai jamais laissé passer une occasion de dire ou d’écrire que je lui devais en grande partie ma vocation d’ « écrivain de vies ». C’était dans les années 1970 ; je m’ennuyais dans une soirée où mes parents m’avaient trainé pour me sortir des livres ; je m’étais donc éclipsé en trouvant refuge dans le bureau-bibliothèque de nos hôtes pour y fureter ; je tombais sur le Malraux de Lacouture. De cette lecture passionnée naquit l’envie d’en faire autant. Bien sûr, ce ne fut pas la seule influence : il y eut également Citizen Kane de Welles et le Disraeli de Maurois, pour autant que l’on sache ce qui a joué précisément sans trop se laisser aveugler par les pièges de la reconstruction. Mais comme, les premières fois, j’avais essentiellement cité Lacouture, il me dit un jour au cours de l’une de nos conversations : « Pourquoi avoir cité les autres ? ».malrau

Ce n’était qu’un détail mais c’était lui, qui n’oubliait rien. Pour avoir écrit dans une critique que son Mendès France était la moins remarquable de ses biographies en raison de sa complaisance pour son héros, j’eus droit trois ans plus tard à un envoi de son monumental De Gaulle ainsi dédicacé : « En espérant que celle-ci ne vous paraîtra pas trop complaisante, n’est-ce pas… ». Succès, notoriété, magister, influence, rien n’y faisait : le gascon en lui demeurait fier, susceptible, orgueilleux. Ce qui n’empêcha pas l’amitié, souvent teintée de remarques douce-amére. Le croisant un jour dans une rue, il m’engagea à faire un bout de chemin avec lui pour le plaisir de la conversation, un grand balayage de l’actualité culturelle mêlé de potins sur les uns et les autres au cours duquel il me glissa : « A propos, épatant, votre Cartier-Bresson. Et une très bonne idée de biographie ! Je m’étonne de ne pas l’avoir eue avant vous… ».

Il nous arrivait de nous croiser également dans des salons du livre en province ou au théâtre à Paris, l’occasion de reprendre langue et de commenter. Il est vrai que c’était un merveilleux causeur. Non qu’il fut brillant au sens superficiel où on l’entend dans les salons. C’était mieux que cela : un enthousiasme et un allant portés par une érudition, une expérience des hommes et des situations, un instinct, une subjectivité, le tout magnifié par un souffle lyrique et parfois emphatique, un panache, une gourmandise, une verve qui en faisaient un conteur/commentateur unique dans son genre qu’il s’agisse de politique, de littérature, de tauromachie, d’opéra ou de rugby, toutes choses qui lui tenaient à coeur. Tout cela faisait son talent, à l’oral comme à l’écrit, avec une rapidité d’exécution qui suscitait bien des jalousies, et une infatigable curiosité, la vraie marque des grands journalistes.

On aimait parler boutique. Même si son retour en grâce dans la critique et dans le grand public date du Louis XI (1974) de Paul Murray Kendall, la biographie à la française lui doit sa résurrection dans ces années-là avec Jean Orieux, Henri Troyat et quelques autres. Mais Lacouture, ce n’était pas seulement un ton à part : c’était aussi un type de héros. Pour l’essentiel des politiques, des écrivains, des contemporains. Ce qui séparait le plus ? La méthode. Mais c’était une question de fond. Il n’allait jamais aux archives et s’en flattait presque, ce qui, à mon sens le condamnait à un travail de compilation. Il rejetait alors l’objection par le fait qu’il privilégiait les entretiens avec les témoins, souvent les mains dans les poches, pour renifler l’atmosphère, le bonhomme, les événements. Son enquête reposant en grande partie sur des conversations, le biographe s’en faisait l’écho en ce qu’il entretenait au fond une conversation avec le lecteur. D’où le ton très oral de ses livres. Il se laissait volontiers guider par le nez. Il n’allait même pas en bibliothèque : « C’est trop impressionnant ! », préférant confier à une paire d’étudiantes le soin d’y lire à sa place tout sur le sujet et de lui faire des comptes rendus, une fiche par livre.

mauriac« Je suis un bricoleur, un amateur, un artisan » reconnaissait-il lorsque des historiens blanchis sous le harnais lui reprochaient des lacunes, des imprécisions, des erreurs. Voire des contre-vérités ou des maquillages de textes comme ce fut le cas lorsque Jean-Luc Barré révéla dans sa propre biographie de Mauriac que son prédécesseur avait tronqué des pages des carnets de jeunesse du héros afin de dissimuler son homosexualité (de masculine, une liaison amoureuse y était devenue féminine). Ce que Jean Lacouture, dans une vive controverse, reconnut sans regret en expliquant qu’il ne voulait pas lui porter préjudice ni fâcher sa famille qui lui avait ouvert ses vieux papiers. De même avait-il jugé bon dissimuler l’existence d’une maitresse de De Gaulle à Londres et choisi de ne pas embarrasser François Mitterrand, malade, affaibli, en « oubliant » de l’interroger sur ses relations avec René Bousquet.

Qu’il ait eu raison ou tort, sa plume, contrairement à celle de nombre d’historiens, nous emportait pour ne plus nous lâcher et nous faisait apparaître Nasser, Blum, Malraux, Mendès, De Gaulle, Mauriac, Champollion comme si nous ne les connaissions pas humainement. A la fin de sa carrière, il s’était offert le luxe d’un Jacques Rivière, hommage à la Nrf de l’entre-deux-guerres qui l’avait éduqué à la littérature, tout en sachant que « ca ne se vendra pas ». Il avait même pris le risque de renouveler la biographie, genre qui montrait déjà les premiers signes de l’essoufflement, en s’essayant avec succès au portrait de groupe avec les Jésuites.

Bien sûr, j’ai longtemps cherché la clé de Jean Lacouture, le rosebud qui le révélerait mieux que tout. J’en ai trouvé deux qu’il n’a pas reniées lorsque je l’ai poussé à s’exprimer.

Il y a d’abord le catholique en lui. Même s’il avait pris des distances avec la foi de son milieu d’origine, la grande bourgeoisie bordelaise, il ne s’en était jamais dépris tant l’empreinte était forte. Le collège chez les Marianistes à Caudéran, les études secondaires chez les Jésuites du lycée Saint-Joseph de Tivoli, cela laisse des traces plus profondes que SciencesPo, les Lettres et le droit. Elles transparaissent dans son extraordinaire faculté de mea culpa, cette confession publique et médiatique permanente qui fut la sienne chaque fois qu’on opposait à l’ancien correspondant de presse et grand reporter du Monde et du Nouvel observateur, ses erreurs de jugement notamment dans son compagnonnage avec les Vietcongs qui lui fit « orienter » ses articles, et dans sa ferveur lors de la prise du pouvoir au Cambodge par les Khmers rouges.

Cela valait également pour le débat franco-français, lorsque le biographe admiratif de De Gaulle reniait en lui le journaliste qui n’avait cessé de dénoncer le Général dans les années 50 et 60. De quoi désarmer toute critique – et ce n’était pas une tactique de sa part pour justifier ses errements en se colletant à « l’histoire immédiate », expression qu’il avait inventée pour baptiser la collection qu’il dirigeait aux éditions du Seuil. Dans le meilleur des cas, de la naïveté ; dans le pire…

 « J’ai pratiqué une information sélective en dissimulant le caractère stalinien du régime nord-vietnamien. Je pensais que le conflit contre l’impérialisme américain était profondément juste et qu’il serait toujours temps, après la guerre, de s’interroger sur la nature véritable du régime. Au Cambodge, j’ai péché par ignorance et par naïveté. Je n’avais aucun moyen de contrôler mes informations. J’avais un peu connu certains dirigeants actuels des Khmers rouges, mais rien ne permettait de jeter une ombre sur leur avenir et leur programme. Ils se réclamaient du marxisme sans que j’aie pu déceler en eux les racines du totalitarisme. J’avoue que j’ai manqué de pénétration politique.»blum

Appelons cela ainsi… Peut-être le reporter aurait-il mieux senti certaines choses si, sur le terrain, au cœur de l’événement, il avait moins fréquenté les chancelleries, les excellences, les ministres et les chefs, et davantage les vrais gens, comme on ne disait pas encore.

L’autre clé, plus enfouie et plus inavouable, c’était l’Occupation. Non pour ce qu’il a fait mais pour ce qu’il n’a pas fait. Sa famille était gaulliste de la première heure et lui, rien. Ni d’un côté ni de l’autre. Quand on a 20 ans en 1941 et qu’on se contente de poursuivre ses études alors que ses propres parents prennent des risques et montrent la voie, on le vit après comme une faute. Qu’importe si à la fin, il gagna le maquis en Dordogne pour échapper au STO avant de devenir l’attaché de presse du général Leclerc en Indochine. Tout son engagement intellectuel et journalistique à gauche, dans les guerres de décolonisation notamment, et contre l’impérialisme américain sous toutes les latitudes, peut se lire à l’aune de cette prise de conscience : son absence des événements à un moment de la vie de la France où, comme me l’avait dit Fernand Braudel, « il eut été indigne de ne pas s’engager ».

Et là, le mea culpa ne pouvait être que privé, intime, seul face à sa conscience. Sa mère écoutait la radio de Londres tous les jours, mais lui ne l’entendait pas. Longtemps il s’en fit le reproche muet avant de s’en ouvrir à ses proches. De la honte et du remords qu’il en conçut est né et a vécu Jean Lacouture.

 (« Jean Lacouture et ses personnages Mauriac, Malraux, Blum » photos D.R. et Georgette Chadourne)

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commentaires

692 Réponses pour Jean Lacouture, des vies dans le siècle

la vie dans les bois dit: à

Sergio, cette histoire d’éléphants dans les Alpes me semble, à vue de nez, une légende urbaine.

Le même dans l'autre sens dit: à

la tique dit: 22 juillet 2015 à 19 h 10 min
Autrement dit, je n’ai rien à vous dire, barozzi.

Et réciproquement, petite sotte.

la vie dans les bois dit: à

barozzi, ne faites pas votre fielleuse, cela vous va mal. Vous entrainez à votre suite un bande de pantins.

Sire qu'on flexe (ce qui vaut mieux que sire qu'on scie ?)??) dit: à

merci notre hôte d’avoir hébergé sous votre nom le commentaire de Lavande, notre envoyée spéciale…

l'autre dans le même sens dit: à

quelle nouille, cette vie dans les bois. Et contente d’elle, c’est ça le plus drôle.

la vie dans les bois dit: à

Faire du théâtre de proximité et reprocher à Angot de ne pas en être, vous rigolez. Elle est au dessus de « ça ».

l'autre dans le même sens dit: à

la vie dans les bois dit: 22 juillet 2015 à 19 h 22 min
barozzi, ne faites pas votre fielleuse

Faudrait savoir, tite tête ! Je croyais que t’avais rien à lui dire.

l'autre dans le même sens dit: à

Mais elle va pas bientôt la fermer, cette vie dans les bois ? Quand comprendra-t-elle qu’elle n’intéresse personne ?

la vie dans les bois dit: à

Vous vouliez retrouver ma lettre à Christine, mais bien volontiers. Elle date du 17 novembre dernier.

Attila dit: à

Christine lectrice de ses oeuvres à Montpellier :

 » Je suis cinquième sur la liste de L’Express, aujourd’hui malheureusement huitième, la semaine prochaine je le dirai quand on saura. j’appréhende la lecture chez Sauramps, la grande librairie de la ville. Moins chez Molière. C’est juste parce que je suis cinquième des ventes qu’on m’accueille chez Sauramps. Il y aura cent personnes, peut-être plus que je ne connaîtrai pas et qui vont m’agresser c’est sûr. Il faut que j’interdise qu’on m’adresse la parole en privé, après la lecture et la dispersion des gens, il faut absolument que j’empêche qu’on vienne me parler. C’est là, c’est à ce moment-là, désarmée, que je risque. Les gens venus voir le phénomène, comme ils disent dans Elle : la bête. Leur réflexion, leur lecture, leur avis, qu’ils le donnent en public c’est là que ça m’intéresse, devant tout le monde, sinon on sort des lois de la guerre. Ils entrent dans la guérilla quand ils viennent en privé, le terrorisme ceux qui viennent me parler. J’ai droit comme tout le monde à la protection des lois, j’écris devant tout le monde, qu’on me réponde devant tout le monde. Je ne peux rien dire quand il n’y a plus personne, c’est là toujours qu’ils nous chopent, quand on n’a plus de défense, quand le public est parti, quand les protecteurs boivent un verre au bar, c’est là qu’ils viennent ceux qui ont un point de vue. A me faire partager. Quand les autres ont décidé de laisser faire finalement ils se détendent. […]
Une femme entre, qui regarde les poches, lève la tête et dit : c’est pas le célèbre écrivain ? Elle montre Interview en Pocket, me demande mon préféré, par lequel commencer. Je lui suggère de choisir elle-même, puisqu’elle veut un Pocket Interview ou Sujet Angot. Un poche, me dit-elle, parce qu’il y a tellement d’écrivains dont on nous dit que c’est bien, les critiques sont fantastiques et j’arrive péniblement à la fin, je préfère prendre un poche et puis après je verrai. Mais vous, lequel vous préférez Interview ou Sujet Angot, elle prend les deux et me demande une dédicace puisque je suis là, elle ne s’y attendait pas, ce sera sa première, ça mettra en rage son collègue. Je le fais. Elle enchaîne pendant que je dédicace sur ses déceptions constantes, ses recherches constantes d’auteurs, de livres qui soient bons, ses inévitables déceptions, alors elle préfère acheter des poches, et après elle voit. […]
Je m’apprêtais à partir. Je dis à Fanette : je reviens demain pour les dates. Une femme à la caisse s’adresse à moi et me dit : j’ai lu votre livre. C’est un livre qui m’a… j’ai été obligée de… enfin c’est un livre, qui l’a… J’ai été obligée de : mettre une distance par rapport au voyeurisme, comme ça se passe à Montpellier… Enfin, je veux dire, j’ai été obligée de faire un travail. De distance. Par rapport au voyeurisme. Cette femme me traite devant tout le monde d’exhibitionniste, heureusement elle a pu faire un travail par rapport au voyeurisme. Je suis déjà sur mon vélo et je m’apprête à partir, mais je vais pleurer. Alors je fais demi-tour, je reviens et je me colle dans le petit renfoncement à côté de la caisse, derrière Fanette, j’attends que la femme soit partie, et j’explose, je pleure. Je dis que je ne supporte pas. Fanette me dit, si tu veux la lecture on ne la fait pas. Elle semble s’inquiéter : Comment faire ? Je comprends. Je comprends, moi-même ce qu’elle a dit ça m’agresse, alors toi je comprends. Comme disait Hélène c’est un vrai sujet romanesque. Et puis je suis partie, finalement, en riant, j’avais trouvé de quoi rire, une anecdote, celle de la veille sur Judith ou une autre, en tout cas bref je suis partie en riant. »
(« Quitter la ville », Editions Stock, 2000)

la vie dans les bois dit: à

Fernand Braudel a fini ses jours en haute-Savoie, ce que j’ignorais.
De même qu’une bibliothèque porte son nom.

Sergio dit: à

la vie dans les bois dit: 22 juillet 2015 à 19 h 16 min
cette histoire d’éléphants dans les Alpes me semble, à vue de nez, une légende urbaine.

Et on n’a toujours pas récupéré le val d’Aoste ! Si on se pointe avec trois cents éléphants, ça peut hufler… Y a rien qui sera pas écrasé !

la vie dans les bois dit: à

Sergio, à 19 h 36 min
Vous n’y êtes pas. Voyez plutôt du côté de la plaine du Pô en passant par le Mont Cenis, des fois que vous y trouviez quelques traces.

de nota dit: à

Jack Goody est mort le 16 juillet, Paul Jorion lui rend hommage( http://www.pauljorion.com/blog/2015/07/21/jack-goody-1919-2015/) et raconte l’anecdote suivante:

« À propos de sa petite maison en Dordogne, Jack aimait raconter l’anecdote suivante. Un de ses collègues à Oxford était Julian Pitt-Rivers, issu d’une famille d’intellectuels célèbres (son père avait cependant eut le mauvais goût de faire partie des troupes d’Oswald Mosley, le führer de la British Union of Fascists). Pitt-Rivers possédait lui aussi une maison en Dordogne. Il proposa un jour à Goody de lui rendre visite. Celui-ci se rendit à l’adresse et fut stupéfait de voir une petite maison quasi identique à la sienne. Il frappa à la porte. Pas de réponse. Il insiste : rien. Il finit par pousser la porte, qui s’ouvre sur… une étable. Il ressort, et aperçoit, un peu plus loin, le manoir. Jack, proche du politologue marxiste Eric Hobsbawn, et de E. P. Thompson, l’auteur de La formation de la classe ouvrière anglaise, aimait rapporter ce genre d’anecdotes. »

Daaphnée dit: à

Mon Dieu, Jacounet, épargnez-nous cette pauvre Christine !
Sa chronique au pays des Papes .. d’un lourd !
D’un poussif !

JC..... dit: à

N’avez-vous pas honte, « intelligents » comme vous êtes d’être aussi cons….

Trop souvent !

bref dit: à

De nota, Jorion est un fumiste, enseignant imaginaire à Cambridge, mais aussi à Irvine (il est le seul à s’en souvenir) mais aussi à Paris VIII il ne doute vraiment de rien! et en plus il a une résidence secondaire dans notre bonne ville mamma mia!!

Rebondir...ROND...ROND° dit: à

(° »JC….. dit: 22 juillet 2015 à 20 h 39 min

N’avez-vous pas honte, « intelligents » comme vous êtes d’être aussi cons….

Trop souvent ! »…Ma réponse est : « NON »! »)(°!°)….!

Rebondir...ROND...ROND° dit: à

Duc Bihoreau de Bellerente dit: 22 juillet 2015 à 15 h 25 min

«De même avait-il jugé bon dissimuler l’existence d’une maitresse de De Gaulle à Londres…»

Que lis-je? Ma foi, voilà qui me rend l’homme du 18-Juin un peu plus humain. Mais une telle affirmation exige force détails!

«Sa mère écoutait la radio de Londres tous les jours, mais lui ne l’entendait pas. Longtemps il s’en fit le reproche muet avant de s’en ouvrir à ses proches. De la honte et du remords qu’il en conçut est né et a vécu Jean Lacouture.»

Quel psy vous faites, monsieur Assouline!

(Ex-est°-LENT!°)

Rebondir...ROND...ROND° dit: à

(°!sublime aptitude°)°!°)

rose dit: à

Ai lu les deux critiques.
C. Angot est dans l’entre-soi.
Je pense à F.Berkbebert depuis cet après. Me dit que c’est lié à Paris. Cette décontextualisatuon d’avec la réalité. Cette saloperie affichée. Si ce n’est pas moi qui bouffe l’autre c’est l’autre qui me bouffe.
Ces gens là se sont fait leur place au soleil avec leur cul.

> Lavande merci.
Je suis impressionnée par le nombre vingt.
. N’ai encore jamais fréquenté le In. En vois de trois à sept maxi. Dors sur l’île de la Barthelasse.

Nota : les deux petites filles sont peut être celles de C.P

Pas vraiment d’accord avec le peuple en Avignon.
J’ai cru que c’était Angot qui dînait avec son amants.
Le reste + tard.

Ueda dit: à

bref dit: 22 juillet 2015 à 21 h 27 min
De nota, Jorion est un fumiste, enseignant imaginaire à Cambridge,

C’est bien possible.

Mais Goody, lui, est une sacrée pointure.
Et sacrément sympathique!

Ueda dit: à

Bloom dit: 22 juillet 2015 à 16 h 03 min
passéisme?

On a sucré ma réponse à Bloom, et pourquoi mon dieu?
La voici.

Notre ennemi principal ne se trouve pas là, c’est tout.

– On a également sucré mon tirage d’oreille amical envers WGG, et pourquoi mon d.ieu?

Ueda dit: à

JC….. dit: 22 juillet 2015 à 20 h 39 min
N’avez-vous pas honte, « intelligents » comme vous êtes d’être aussi cons….

C’est vrai qu’on est cons, JC.
On est tous à égalité.

Même si certains sont plus égaux que les autres!

Ueda dit: à

la vie dans les bois dit: 22 juillet 2015 à 19 h 35 min
Fernand Braudel a fini ses jours en haute-Savoie, ce que j’ignorais.

Saugrenu.

Mais on peut commencer à aimer ça!

Ueda dit: à

Attila dit: 22 juillet 2015 à 19 h 29 min
Christine lectrice de ses oeuvres à Montpellier

Complaisant.

Et je n’aime pas qu’on se foute de la gueule des montpelliérains.
Pour qui se prend elle?

Ueda dit: à

Widergänger dit: 22 juillet 2015 à 19 h 08 min
Mais non, Attila ! C’est une sorte de lettre persane en effet.

Pauvres Persans…
Bi-chare… Bad bakht…

la vie dans les bois dit: à

Comment défendre Le Corbusier ?

« The fact that the book contains sixty chapters, none of them titled and each divided into similarly unheaded sections, should be taken as a warning sign: Fox Weber’s haphazard approach will test the concentration and patience of even the most Corbu-smitten reader. Ideas, projects, and people bob to the surface only to be abandoned in favor of a quote from one of the architect’s obsessive letters to his mother » (…)
http://www.bookforum.com/inprint/015_04/3006

Ueda dit: à

Widergänger dit: 22 juillet 2015 à 19 h 05 min
L’esplanade des mosquées, j’y suis allé une fois. Mais c’est très difficile d’accès.

Je n’avais jamais pensé être un héros…

Ueda dit: à

la vie dans les bois dit: 22 juillet 2015 à 22 h 40 min
Comment défendre Le Corbusier ?

C’est pour nous que vous vous usez ainsi les yeux?
C’est trop de bonté!

la vie dans les bois dit: à

Et encore, on a pas tout vu.

« Defaulting on another of his promises, Fox Weber provides too little material for a portrait of Le Corbusier “in the eyes of others” to emerge »

Pluton dit: à

Widergänger dit: 22 juillet 2015 à 18 h 53 min

Et contrairement à ce qu’affirme Stephan Hawking un peu vite, ces extra-terrestres ne se désintéressent pas du tout de nous. Au contraire, d’une part ils ont bien l’air d’admirer la beauté sans pareille de la terre qui leur semble un vrai paradis dans l’univers, d’autre part, ils nous étudient de très près comme nous le faisons pour les civilisation disparues.

On ne sait pas d’ailleurs si ce sont des extra-terrestres ou bien des terriens venus du futur.

Vous êtes d’une naïveté et d’une candeur peu communes, mon cher Michel. Déjà je réponds à votre question : il ne s’agit pas de terriens venu du futur, il s’agit d’entités extraterrestres biologiques.
Ensuite, je vous rappelle que ces questions sont gérées au plus haut niveau de certains États-majors et des services secrets.
Dans ces sphères, c’est évidemment la désinformation qui est de mise, pourquoi voudriez-vous qu’il en soit autrement au vu de ce qui se passe, des potentialités de ceux qui bous visitent et de leurs états de fait pas franchement sympathiques dont vous avez sans doute eu vent.
Hawking est du pain béni pour ces services : un farci qui avec son projet sert de leurre pour un bon bout de temps avec en plus pas un cent déboursé par l’état.

Sergio dit: à

Comment défendre Le corps Busier? dit: 22 juillet 2015 à 23 h 02 min
une petite chanson comme celle-ci

Ha c’est bien y a le viaduc de Viorne ! Enfin le truc le plus chargé de symboles c’est le tacal une fois de plus…

christiane dit: à

Merci Lavande (donc merci Passou). Le théâtre off… une sacrée aventure ! mais quelle chaleur dans ces petites salles de fortune où se joue un théâtre libre que parfois – mais rarement – on retrouve à la rentrée dans une salle plus grande. Je me souviens d’années passées à distribuer des tracs pour faire venir le public ou à dessiner des affiches que nous collions aux troncs d’arbres. « C’était au temps des saisons, au temps des nuages, nous étions comme eux de passage »…
Où jouiez-vous ?
Quelle œuvre aviez-vous choisie cette année et avec quelle troupe ?

Pluton dit: à

Je vous rappelle les consignes, Widerganger : ne pas s’occuper de ce qui nous dépasse de très loin. Comment considérez-vous un singe-rhésus ? Réponse : avec la considération due à un singe-rhésus, selon la loi naturelle. Et maintenant comment croyez-vous qu’ils nous considèrent ? Êtes-vous habituellement à l’écoute des signaux émis par les singes rhésus ? Et puis on est tellement gentil avec eux, il est vrai. N’oubliez pas que Spielberg nous a bien diverti en son temps avec Rencontre du IIIème type, ET, et compagnie. Et maintenant c’est au tour d’Hawking, ce génial savant.

Pluton dit: à

Si je vous dis tout cela c’est parce que j’ai moi-même été en contact avec eux, parce que moi aussi j’ai tenté à un moment, avec une certaine naïveté,de m’occuper de ce qui ne me regardait pas. Le contact a eu lieu en 2010 et cela a été très clair : rappel et démonstration de l’incroyable puissance détenue, ils m’ont bien fait comprendre à quelle « civilisation » j’appartenais et quelle civilisation était la leur. Sans ambiguïté aucune, et par simple suggestion.
Depuis je n’ai qu’un seul message à transmettre : pour votre bien, ne vous occupez pas de choses qui vous dépassent.

la plume de ma tante dit: à

‘…Notre ennemi principal ne se trouve pas là, c’est tout…’
toujours et encore, le disque MoU s’est rayé a la ritournelle dite ‘de l’Islam et des musulmans’…
c o n n a r d

Plus sérieusement dit: à

Où ranger un dérangé?…La suite en page3, L’édito du : « Le Magazine Littéraire- Juillet-août 2015 N°557-558, par ……..!…Non, oui, QUI est POUR?…Qui est contre?

Plus sérieusement dit: à

« De la honte et du remords qu’il en conçut est né et a vécu Jean Lacouture. »P.A.
Cinglant , non?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…j’ai pas inventer la poudre aux yeux,!…

…l’argent et les plaisirs, rendent les gens diaboliques, avec ou sans violences,!…

…pas cocu pour rien,!…
…les normes, de l’intolérance zéro,…

…les enfants, aux A.D.N.,…de connivences,!…
…les miens, les tiens, les leurs,!…
…tous des singes rapides,!…
…un plus dans notre hélium – bordel,…fasciste, communiste ou capitaliste,!…
…envoyé,!…

Polémikoeur. dit: à

Belle récolte commentarienne
avec Angot, les extra-terrestres
et les visiteurs du futur !
Les trois parfums tassés
sur un joli cornet et l’été,
chaud ou pas, n’est que formalité.
Sirupieusement.

Bloom dit: à

On a sucré ma réponse à Bloom, et pourquoi mon dieu?
La voici.
Notre ennemi principal ne se trouve pas là, c’est tout.

U.

1. Plus de 9 années passées à travailler en pays musulman suffisent à me prémunir contre l’islamophobie ambiante.

2. le monde est vaste et chatoyant: c’est ce friselis-là qui m’intéresse. On a encore le droit (et le devoir) de s’interroger sur les anomalies hors la sphère arabo-musulmane.

Ironiquement, vous auriez fait un bon cadre khmer rouge, avec un peu d’entraînement.

JC..... dit: à

Bloom,

1/Toutes mes félicitations pour votre islamophilie, denrée rare compte tenu de la sympathie réduite que les intégristes suscitent en ce monde par leur provocation permanente explosive et criminelle

2/Le monde serait chatoyant ? Génial !… Vaste ? Pas possible !… on ne nous a rien dit : merci pour l’info, ça nous aide à penser juste et voir clair !

3/N’est pas cadre sup chez les khmers rouge qui veut ! Ceux que vous voyez en criminels tyranniques ne sont qu’agneaux parmi les chacals…

jean Marie dit: à

Il est temps pour un autre message et Germaine Krull mérite mieux que ses commentaires.

JC..... dit: à

Jean Marie,
Excellente idée. Que voyez-vous, vous, comme commentaire méritant, mérité, sur Germaine KRULL ?

conteur/commentateur dit: à

L’art et la manière du compliment « boomrangué », alors l’enfant rêveur que vous faites, où va-t-il? Tous les jours, je te vois, au matin, t’échapper par le bus 63, et déjà renonçant aux jeux du premier âge; chercher dans les feuillets un solitaire ombrage; et le soir, quand bien tard, nous le croyons perdu, répondant à regret au signal entendu. Tu reviens lentement par la plus longue allée, la face de cheveux et de larmes voilée. Qu’as-tu fait si longtemps? Tu n’as pas dans leurs nids sous la mère enlevé les petits réunis.
Pour un chapelet d’oeufs, dont tous les ans l’on change. Jamais tu ne troublas fauvette ni mésange; hier encor tu lâchas un bouvreuil prisonnier, et tu n’aimes qu’au bois les soupirs du ramier…(°!°)

Attila dit: à

au crédit photos, Passou écrit: : « Jean Lacouture et ses personnages Mauriac, Malraux, Blum »

Personnages en place de personnalités, est-ce à dire que les livres de Jean Lacouture sont plus des romans que des biographies ?
Compliment ou vacherie ?

Ueda dit: à

la plume de ma tante dit: 23 juillet 2015 à 0 h 13 min
‘ la ritournelle dite ‘de l’Islam et des musulmans’…

Pèpèpe

Il faut que vous distinguiez les deux termes pour pouvoir commencer à comprendre ce qui va vous arriver.
Encore une fois, je vous souhaite du courage.

Ueda dit: à

Bloom dit: 23 juillet 2015 à 3 h 43 min
Notre ennemi principal ne se trouve pas là, c’est tout.
U.
1. Plus de 9 années passées à travailler en pays musulman suffisent à me prémunir contre l’islamophobie ambiante.

Comme le plus souvent, on répond à une question politique (qui ne concerne pas les goûts ni les sentiments) par une réponse moralo-esthéthique.

« Plus de 9 années passées à travailler avec des soviétiques m’ont donné l’amour du peuple russe, l’admiration pour certains militants communistes et je ne mêlerai pas ma voix, etc. »

Politique d’abord!, mon ami.

Tenez, ma réponse, qui est factuelle (« notre ennemi principal n’est pas en Asie du Sud-est, et n’est pas encore l’Etat chinois »).
Voici un test: êtes-vous capable de prononcer la phrase « notre ennemi » ou êtes-vous resté inconsciemment dans la position post-politique de « l’ami de la paix et des cultures »?
La question est très simplement là.

jean Marie dit: à

En parlant d’elle, jamais je mets Krull!
Elle, elle crée, Lacouture paraphrase la vie des autres.

Ueda dit: à

Bloom dit: 23 juillet 2015 à 3 h 43 min
« 2. le monde est vaste et chatoyant: c’est ce friselis-là qui m’intéresse.  »

À la bonne heure!
Souhaitons qu’il le reste.
En matière esthétique, Benetton est respectable.

« On a encore le droit (et le devoir) de s’interroger sur les anomalies hors la sphère arabo-musulmane. »
C’est mon job.

« Ironiquement, vous auriez fait un bon cadre khmer rouge, avec un peu d’entraînement. »
Ecoutez, j’a consacré à votre proposition un instant d’attention car qui dit, en effet, ce que vous ou moi, dans certaines circonstances…? Surtout avec cette self-righteousness qui transparaît parfois chez vous…

Je vais vous surprendre, je préfère Daesh!

On vit avec des potes, on fait des raids extras, on crame des fumiers qui demandent grâce en pleurant, on a autant de meufs dociles qu’on veut (deux esclaves sexuelles chez moi, yazidi et shiite, elle sont à vous si vous me faites l’honneur d’une visite, inshallah), à défaut de Bordeaux on a de l’herbe, et les capitaux qui circulent en désordre nous donnent les moyens d’arrondir un joli pécule lorsqu’on filera en loucedé en abandonnant leur califat en carton…

Décidément, si vous n’y voyez pas d’inconvénients, je vous laisse l’Angkar.

Attila dit: à

ueDa voit des ennemis partout, reviens Daaphnée, il angoisse !

Ueda dit: à

Attila dit: 23 juillet 2015 à 9 h 11 min
ueDa voit des ennemis partout, reviens Daaphnée, il angoisse !

Pas du tout, Attila.
L’ennemi (hostis) n’est pas l’inimicus: pas de sentiment personnel.
C’est un constat purement rationnel: quelle force contraire à ce que tu veux être t’a désigné comme SON ennemi?

Dans la conjoncture présente il se voit assez bien, faut-il que je vous tienne la main?

Bloom dit: à

Je viens d’apprendre ce que tout le monde sait: Jean Salem est le fils d’Henri Alleg. But I’m proverbially slow on the uptake…
D’où le talent et le courage de ce philosophe. Maitre livre sur le bonheur, avec des citations rares de Musset & de Descartes sur la ville…
rien lu d’aussi enthousiasmant depuis longtemps.

Attila dit: à

« faut-il que je vous tienne la main ? »

Dans la culotte du zouave Abdel !

Cécile Baie dit: à

reçu ce message de ma copine Sally Mara : JC : inCONcevable… je partage

la plume de ma tante dit: à

‘…Il faut que vous distinguiez les deux termes pour pouvoir commencer à comprendre ce qui va vous arriver…’

Tain…sans lui, saurais-je seulement comment respirer ?…c’est bien vous ici qui fait l’amalgame que font tous les fêlés de la cafetière et autres chantres du conflit des civilisations, entre Islam et Islamisme…you want to patronise me ? you’re not big enough…

Sibi confidère ou encore fidenter dit: à

Ueda dit: 23 juillet 2015 à 9 h 17 min

Attila dit: 23 juillet 2015 à 9 h 11 min
ueDa voit des ennemis partout, reviens Daaphnée, il angoisse !

« Pas du tout, Attila.
L’ennemi (hostis) n’est pas l’inimicus: pas de sentiment personnel. »
Je vous trouve très APODICTICUS ((1598)° très Cher!°)

Giovanni Sant'Angelo dit: à


… » le Croissant et la croix gammée  » ….
…par Roger Faligot et Rémi Kauffer,…1990

…autant y jeter un coup d’oeil,…

…questions d’adoubements et connivences aux liens,!…
…les voiles aux vents à la voile,!…

…à l’heure d’internet,!…

…plus besoins de billionaires ou milliardaires,!…
…automatic gestion,…à l’Optimum à Pareto,…pour crève la faim, à cerveaux d’ânes,!…aux Ouroboros P.D.G. sur trônes,!…
…tient , voilà du boudin,!…Ah,!Ah,!…

…un autre,… » la Violence des riches « , Monique Pinçon-Charlot, Michel Pinçon,…
…les pouvoirs pour tenir les liens  » barbelées de taxes « ,…
…aux grandes surfaces et profits, en partages d’actionnaires  » collabos « ,!…
…prise d’angle sur vues,!…la 3D,…
…tactiques et stratégies,!…du profit sec,!…à leurres,!…etc,!…

Lavande dit: à

Christiane (23h23) : nous avons joué dans un petit théâtre très central et sympathique : le Théâtre du Chapeau Rouge. Je parle de « ma » compagnie parce que j’en suis secrétaire, costumière, accessoiriste, chargée de relations publiques etc… et pour Avignon : caissière !
Il ne s’agissait pas du tout d’œuvre classique. Le metteur en scène et le comédien principal, qui est psychiatre et psychanalyste, avaient choisi de reconstituer, en quelque sorte, des présentations de malades que Jacques Lacan faisait à Ste Anne dans les années 70. A partir de compte-rendus ils ont choisi deux cas : un transsexuel et un psychotique, l’un et l’autre remarquablement incarnés par une comédienne (pour le premier) et un comédien de la compagnie, Lacan étant joué par le psy dont je parlais précédemment. Le titre est « La Folie/Lacan »
Nous avions déjà joué cette pièce à Grenoble avec succès mais à Avignon ça a nettement dépassé nos espérances : du point de vue financier nous sommes largement rentrés dans nos frais avec un reste pour …les costumes (!) du prochain spectacle ! Et surtout des rencontres incroyables comme une dame qui était interne à Ste Anne, qui a participé à ces présentations et s’est occupée du premier patient mis en scène (elle s’en souvenait avec beaucoup de tendresse). Elle était extrêmement émue et élogieuse.
Si vous voulez lire des critiques ou même, pour le deuxième lien, voir des photos du spectacle (avec « mes » costumes!) :
http://www.madinin-art.net/la-folie-lacan-une-vraie-reussite/
http://www.quelque-chose-en-plus.com/#!La-folie-Lacan-en-Avignon/c1sbz/559a612b0cf20881704575a1

JC..... dit: à

Il y a guerre de civilisations !

Vous l’avez voulu, vous l’aurez. Inutile de vous voiler la face….uhuhu !

Bloom dit: à

on a de l’herbe

En général plutôt du teush que de la beuh, en direct de la Bekka via le Hamas…calumet de la paix occasionnel…

Widergänger dit: à

Français moderne :

l’expression : « le magazine de l’économie »
devient : « économie le mag ».

Intéressant : inversion du déterminant et du déterminé, suppression de la préposition qui servait de ciment entre les deux, abréviation du noyau du GN.

J. Attali parle de ce genre de phénomène linguistique et s’en inquiète, à juste titre.

Origine de la destruction de la langue française : principalement le langage journalistique et la publicité. La nécessité d’aller vite dans la transmission de l’info. Info qui n’informe plus. La destruction du français serait-elle le signe de la destruction de l’info elle-même ? Et au-delà, de la démocratie, de nos vies, de la civilisation ?

La guerre des civilisations n’aura sans doute pas lieu, faute de combattants, détruits avant terme…

Widergänger dit: à

Le gouvernement grec ne gouverne que grâce à l’appui de l’opposition…

Syriza a gagné une bataille mais perdu la guerre.

Bloom dit: à

La nécessité d’aller vite dans la transmission de l’info.

en français moderne, l’info > les niouzes

Widergänger dit: à

L’élevage du poulet industriel a commencé en Judée il y a 2300 ans en Israël, et s’est répandu partout au Moyen-Orient ensuite. Il n’est parvenu en Europe que deux siècles plus tard. Il avait commencé en Orient 5000 ans auparavant.

C’est le fameux « Tranlatio pulli »

Widergänger dit: à

Si vous voulez arrêter de fumer, apprenez à tricoter, c’est la tricothérapie.

Widergänger dit: à

Bientôt on pourra recharger son téléphone portable en 30 secondes. Une technologie israélienne.

Attila dit: à

« L’élevage du poulet industriel »

Acquis ou régression culturelle ?

Widergänger dit: à

C’est de l’élevage du poulet que date en Israël le décollage économique il y a 2300 ans !

clic clic clic dit: à

« La nécessité d’aller vite dans la transmission de l’info. »

ça vient plutôt des djeunes via les sms et tweets

Attila dit: à

Le téléphone portable, objet ultime de l’incommunicabilité humaine !
Je n’en ai pas…

cqfd dit: à

12 h 09 min

le pire pour la population aurait été la sortie de l’UE (les friqués s’en sortent toujours )

Widergänger dit: à

L’opposition aux accords avec l’Iran est en train de grimper aux States ! Depuis qu’on sait qu’il y a des accords secondaires secrets entre l’Iran et l’AIEA !

Widergänger dit: à

Attila dit: 23 juillet 2015 à 12 h 26 min
Heureux homme, parce que pour les autres, qui en ont une nécessité vitale, c’est indispensable.

arthur dit: à

Avec le tél portable, difficile de louper les rendez-vous

Attila dit: à

« Origine de la destruction de la langue française : principalement le langage journalistique et la publicité. »

Qui dit destruction dit renouvellement, invention, recréation…
Demain, WGG enlève le bas !

Widergänger dit: à

Attila, il ne faut pas confondre « crise du langage » et « destruction du langage ».

Cioran s’en inquiétait déjà.

Widergänger dit: à

Valls veut qu’on bouffe du bœuf !

Ah, les bœufs !

Attila dit: à

« Les « Hugo Awards », plus prestigieuse récompense en Science-Fiction, pris en otages par l’extrême-droite américaine »

En hommage à Victor Hugo ? C’était pas un auteur de science fiction !

Attila dit: à

Les poètes d’aujourd’hui se sont reconvertis dans les slogans publicitaires, WGG !

Attila dit: à

« Valls veut qu’on bouffe du bœuf !
Ah, les bœufs ! »

Pour la défense des valeurs chrétiennes occidentales, ueDa nous conseillerait de manger plutôt du cochon !
Ah la la, les porcs !

Widergänger dit: à

Mais, Attila, de même que la littérature du XIXè siècle fut influencé par le style journalistique (jusqu’à la recherche de Proust), de même aujourd’hui, il faudrait regarder de plus près l’influence de la pub sur la littérature.

Pluton dit: à

Vous avez raison pour ce qui concerne le téléphone portable, Attila. C’est une plaie qui s’est abattue sur l’humanité et qui laisse presager une catastrophe sanitaire a échéance de 20 ans au vu des premiers retours dexperiencr d’usage fréquent sur une periode d’une dizaine d’années : neurinomes degenerant en tumeurs maligne du nerfauditif, quand ce n’est pas directement le cortex ou les méninges qui sont atteints.

la plume de ma tante dit: à

ISIS/EI/Daech peut dire merci à ses ennemis….

les ennemis de Daech sont surtout les musulmans : shiites, sunnis, apostats et none-of-the-above…à ce jour, autant que je sache, ils n’ont pas fait une seule victime en Israël mais des milliers un peu partout dans le monde musulman…

Widergänger dit: à

La France a son festival d’Avignon ; la Corée du sud a son festival de la boue ! Chacun son théâtre.

Widergänger dit: à

Pluton dit: 23 juillet 2015 à 13 h 00 min
Les cordons auditifs réduisent les nuisances.

Pluton dit: à

Sans compter les très nombreux accidents de la route du a l’usage du téléphone portable dans la voiture : ce sont aujourd’hui des centaines de morts rien qu’en France, et des milliers de handicapés à vie. Et cela va continuer car actuellement beaucoup persistent à ne pas respecter le code de la route.

Pluton dit: à

Le passager à la 3G a neanmoins un peu amélioré la situation Le 1800 MHz est moins nocif que le 900, qui était redoutable par sa capacité de pénétration.

JC..... dit: à

« La France a son festival d’Avignon ; la Corée du sud a son festival de la boue ! » (W.°

Puisque l’on compare ces deux Festivals bouseux*, pour bouseux culturolâtres, lequel est le meilleur, d’après toi ?

*je me souviens, au Off, d’une fille grassouillette qui faisait la mouette devant 20 clampins effondrés dont moi-même…. Ô misère …! Quelle cagade …

JC..... dit: à

Il est clair que même catapultée par les chariots de pont du Charles de Gaulle, elle n’aurait jamais pu s’envoler, la grassouillette qui nous racontait sa « vie de mouette » ….Peuchère ! La pauvre !… ça rend triste de voir des clownesses pareille !

Attila dit: à

C’est surtout, krypton, que j’aime me promener dans les rues de Paris les mains dans les poches et ne pas être sonné comme un vulgaire domestique !
Pour la communication, il y a un répondeur à mon domicile au 01 40 19…
Quand j’entends ce que les gens se disent via leurs portables, je crois que je préfèrerais encore écouter la mouette grassouillette de JC !

Lavande dit: à

Décidément je ne suis pas dans les petits papiers du modérateur. Peut-être est-ce parce que j’ai mis deux liens? Alors je les dissocie.
23 juillet 2015 à 11 h 00 min

Christiane (23h23) : nous avons joué dans un petit théâtre très central et sympathique : le Théâtre du Chapeau Rouge. Je parle de « ma » compagnie parce que j’en suis secrétaire, costumière, accessoiriste, chargée de relations publiques etc… et pour Avignon : caissière !
Il ne s’agissait pas du tout d’œuvre classique. Le metteur en scène et le comédien principal, qui est psychiatre et psychanalyste, avaient choisi de reconstituer, en quelque sorte, des présentations de malades que Jacques Lacan faisait à Ste Anne dans les années 70. A partir de compte-rendus ils ont choisi deux cas : un transsexuel et un psychotique, l’un et l’autre remarquablement incarnés par une comédienne (pour le premier) et un comédien de la compagnie, Lacan étant joué par le psy dont je parlais précédemment. Le titre est « La Folie/Lacan »
Nous avions déjà joué cette pièce à Grenoble avec succès mais à Avignon ça a nettement dépassé nos espérances : du point de vue financier nous sommes largement rentrés dans nos frais avec un reste pour …les costumes (!) du prochain spectacle ! Et surtout des rencontres incroyables comme une dame qui était interne à Ste Anne, qui a participé à ces présentations et s’est occupée du premier patient mis en scène (elle s’en souvenait avec beaucoup de tendresse). Elle était extrêmement émue et élogieuse.
Si vous voulez lire des critiques ou même, pour le deuxième lien, voir des photos du spectacle (avec « mes » costumes!) :
http://www.madinin-art.net/la-folie-lacan-une-vraie-reussite/
le deuxième dans le com suivant

Lavande dit: à

« La France a son festival d’Avignon ; la Corée du sud a son festival de la boue ! » (W.°

Puisque l’on compare ces deux Festivals bouseux*, pour bouseux culturolâtres, lequel est le meilleur, d’après toi ?

Au festival des commentateurs stupides j’hésite pour la médaille d’or et la médaille d’argent.

W. avez-vous une fois dans votre vie mis les pieds à Avignon? Non?… mais ça ne vous empêche pas d’avoir une opinion définitive.

Nescio dit: à

Ueda dit: 23 juillet 2015 à 9 h 17 min

En attendant la parution de votre très attendu « Carl Schmitt pour les nuls », j’aurais besoin de vos lumières.
Certains se sont déjà penchés sur la circularité de l’argument schmittien, d’autres sur la distinction étymologique qu’ils n’ont pas trouvée tt à fait satisfaisante, laissons cela en suspens.
C’est la phrase suivante de votre réponse à Attila qui me préoccupe pour l’instant :
« C’est un constat purement rationnel: quelle force contraire à ce que tu veux être t’a désigné comme SON ennemi? »

Le renversement est familier (c’est celui qui est produit par la parabole dite du bon Samaritain pour définir le contraire de l’ennemi/ hostis/ πολέμιος, le « prochain », que l’égoïsme empêchait d’imaginer à partir d’un moi en position de maîtrise, d’un moi supposé donateur confronté à tte la misère du monde — « wir können ja nicht alle aufnehmen! »)

« C’est un CONSTAT purement RATIONNEL : quelle force contraire à ce que tu VEUX être t’a désigné comme son ennemi? »
N’est-ce pas supposer résolus le pbl de la volonté & celui de l’objectivité de l’observateur ?
Supposez-vs en général ou ds le seul cas particulier d’Attila que votre interlocuteur est un pur esprit détaché de tte passion ?
Que sa volonté lui est transparente ?
Qu’il n’est ni illusionné ni de mauvaise foi ?
Que sa volonté s’accompagne bien d’une liberté, d’une capacité, d’une possibilité, qu’elle n’est pas simple désir, vague fantasme ?

Et comment faire pour que le fanatique (auquel on ne peut dénier le volontarisme mais qui est bel & bien concerné par l’ignorance de ses propres pulsions et/ou de leur métamorphose après « canalisation », sublimation, etc.) ne soit pas en position de se réclamer lui aussi de cette définition ?
L’infidèle l’empêchant d’être pleinement pieux devenant le motif légitime d’un agir guerrier …
(Version farce : l’examinateur qui a sous-noté le candidat qui « voulait » réussir, le supérieur hiérarchique qui n’a pas accordé d’augmentation, le conjoint ou petit ami en titre qui fait obstacle à votre carrière de don Juan, mes voisins les Jones qui font obstacle avec leur Rolls, leur piscine à vagues & leur serre à orchidées à la reconnaissance de ma suprématie sociale ds mon quartier ?)

« M’sieur, c’est lui qui a commencé » — René Girard, qui n’est pas un gauchiste que je sache, a bien montré comment la persécution se justifie constamment par le sentiment d’être la première victime ; on ne fait jamais que répondre au mépris, à l’agression, etc. C’est pas moi, c’est tjs l’autre.
Hurrah ! la vendetta (ou le bouc émissaire, qu’on trouvera préférable pour éviter l’anéantissement mutuel), le retour. Mais argumenté, hein.
C’était bien la peine que le nazaréen se décarcasse …

Bloom dit: à

la plume de ma tante dit: 23 juillet 2015 à 13 h 00 min

Vrai. Mais quelque chose me dit que la volonté de prise du pouvoir dans la bande de Gaza, aux dépends du Hamas jugé trop laïc, est le prélude à un conflit en bonne et due forme avec Israël. J’aimerais me tromper…

Court dit: à

Prix Hugo: Hugo Gernsback, Attila.pour le reste, voir Sadoul, Anthologie de la SF, et Gernsback, à qui on devrait l’appellation SF;
Bien à vous.
MC

JC..... dit: à

Lavande dit: 23 juillet 2015 à 13 h 59 min

Aaaaah ! le rêve toujours présent de distribuer les prix de bêtises, or et argent … aux autres, bien entendu !

Jamais à soi-même ! Et pourtant ……

JC..... dit: à

Je vais faire comme Lavande, tiens… je m’en va distribuer mes médailles de stupidité, car Avignon, j’y ai été quelques fois, habitant à quelques encablures. C’était un temps où j’en perdais beaucoup …

« – Lacan, voyou et faussaire psy : Médaille d’Or de l’Embrouille psychanalytique consciente

-Avignon, festival pour ploucs en batterie : Médaille d’Argent de la Nullité Théâtrale Prétentieuse pour bobos incultes

Ueda dit: à

Nescio dit: 23 juillet 2015 à 14 h 06 min

Je vous salue, Nescio, voilà un interlocuteur!
Ça change des grands enfants comme Abdelkader et WGG, qui confondent le « le » et le « la », et qui se préparent de mauvaises surprises…
Ce pour quoi votre suggestion de livre (« Pour les nuls ») est peut-être une bonne idée… avec quelques sous en perspective…

Mais je suis délicieusement à l’ombre, devant une petite rivière, avec un Jurançon bien frais, et les maîtres teutoniques vont attendre un peu.

À bientôt!

JC..... dit: à

Le chômage recule en Espagne !

…et si, à Paris, on remplaçait un Catalan de Barcelona par un Espagnol de Madrid….uhuhu !…

(d’accord : j’accepte la Médaille de Bronze du Commentateur le plus dérangé)

sans blague dit: à

« grands enfants comme Abdelkader et WGG, qui confondent le « le » et le « la », et qui se préparent de mauvaises surprises »

et l ‘autre là, sur son tabouret à roulettes, l’évêque du couvent de sa mère supérieure ueda, qui débite ses prêches condescendants avec son ton onctueux de roublard qui se croit supérieur !

la plume de ma tante dit: à

Ueda dit: 23 juillet 2015 à 15 h 10 min
Tout le monde sait ici que je n’ai qu’un pauvre brevet en menuiserie qui ne me permet pas de tenir les longues discussions byzantino-chinoises mono rail que vous semblez priser…je n’ai pas non plus le temps (la vie est trop courte pour ça, vous m’en excuserez) et je dois nécessairement faire court : mon détecteur bull#hit est très perfectionné…il me permet de reconnaitre un con et/ou un faux #ul a une distance de 5oo miles marins…vous vous prenez (et me prenez) pour quelqu’un d’autre… mais je vous l’ai déjà dit : give it up, you’re not big enough…

rose dit: à

Sur les propos de Christine Angot elle est blasée, revenue de tout.
Lavande cela a l’air d’avoir été passionnant votre expérience théâtrale.
Et si nous patients avis été comédien, cela.nous aurait évité l’analyse et/ou le suicide ?
Sur le plan déontologique j’aurais aimé que le patient donne son accord ou soit mort. Rendre public le très privé cela est contre le secret professionnel non ?
Ce matin une me dit dans l’autobus « je prends des cachets parce que je suis mal de des nerfs ». Et elle insistait. Sur l’importance des cachets à cause de la maladie des nerfs.
L’envie violente que j’ai eue de
lui dire de cesser de prendre ces cachets !
Et je me suis tue.

l'équipe médicale dit: à

15 h 02 min

les psy peuvent rien pour toi, ton cas est désespéré- que tu plastronnes fait partie de ta pathologie grave

Sergio dit: à

JC….. dit: 23 juillet 2015 à 15 h 02 min
Je vais faire comme Lavande, tiens… je m’en va distribuer mes médailles de stupidité,

Mais la stupidité c’est la médaille, cornes de bouc ! Remarque en un sens c’est le seul cas de cohérence entre la médaille et ce qu’elle récompense puisque, as i understood, chépabon…

rose dit: à

avions été
Un ami à moi m’a.dit avant hier « dans ma tête ça va ». Je lui ai répondu « t’es tout maigre et t’es tout.blanc mais oui je.vois que ça va. C’est pas grave si t’es tout maigre et tout blanc. Moi je suis dorée comme un croissant qui sort du four.
C’est la vie.

labat dit: à

oui toujours à kenzaburo oé

JC..... dit: à

« Le croissant qui sort du four », c’est une blague lepéniste, ça, non ?…..

rose dit: à

J’ai pris des renseignements auprès d’un physicien chercheur de Cambridge et je vous remercie car c’est.vrai que Stephen Hawking est un physicien génial. Il.m’a dit.deux choses : quand il s’est.chope.cette.p. de maladie il était. foutu il avait besoin de.fonds.il a écrit le premier.bouquîn pour.cela.
Ensuite il a été connu il l’est resté
Il s’est.demandé le jeune chercheur quarante aire s’il aurait été aussi génial sans la.dite maladie dégénérative. Et tant d’autres physiciens géniaux ne sont pas autant connus que lui.
Je lui ai demandé si ses deux femmes.successives avaient été ses.nurses. pas la.première semble-t-il. Mais la seconde oui.
Les femmes nous devons.nous soigner de.cela. Ce côté sainte Thérèse d’Avila plus ou moins prononcé.

Quant aux extraterrestres je n’ai pas réussi à en savoir plus
À propos du projet de Stephen Hawking.
Si j’ai des infos précises je les partagerais avec vous.

Ueda dit: à

la plume de ma tante dit: 23 juillet 2015 à 15 h 30 min
Tout le monde sait ici que je n’ai qu’un pauvre brevet en menuiserie

Courage, ami.

domi dit: à

Rose

pour la première en tout cas, devait-elle l’abandonner quand il est tombé malade?

rose dit: à

Ben non c’est de la boulange comme le pain au levain.
L’herbe c’est pour les ruminants.
Give up. Bon je ne te cherche pas. Je ne compte pas te.trouver.
Le passéisme + tard avec RL Stevëson et B Moitessier qui a appelé son bateaux Josh à. A.ce jour au musée de la.marine de la Rochelle. Le bateau. Bernard retour en Indochine lui.

JC..... dit: à

la plume de ma tante dit: 23 juillet 2015 à 15 h 30 min
« Tout le monde sait ici que je n’ai qu’un pauvre brevet en menuiserie » (l’Abdel au Rabot)

… et un sacré culot, au milieu de nous tous qui sommes bac + 12, et qui avons les nobles vertus qui lui manquent …

rose dit: à

Écoute domi nombre de femmes.ne supportent pas.les.gens.malades. Je me.vois mal leur.jeter la pierre.

rose dit: à

son bateau sa goélette Joshua.

JC..... dit: à

Rose,
Joshua -le prénom de SLOCUM- navire de Bernard Moitessier, est un ketch, pas une goélette …

Widergänger dit: à

Lavande dit: 23 juillet 2015 à 13 h 59 min
Lavande, vous avez une étrange lecture de mon commentaire. Il n’était nullement dressé contre vous ou contre le festival d’Avignon. Mais bien plutôt contre la Corée du Sud.

Oui, je suis allé à Avignon, il y a très longtemps. Il y a près d’un demi-siècle, au moment de la mort de Picasso, pour voir avec toute la famille l’exposition Picasso juste après sa mort. Je me souviens de mon oncle qui disait : Mais ça ne ressemble à rien, tout ça… ! Un grand souvenir d’enfance, qui me fait encore rire. Sacré tonton, va !

JC..... dit: à

Ma grand mère disait de Picasso : « Je comprend pas tout et souvent ça me plait pas … mais Picasso c’est quelqu’un (prononcer QéQun) »

Ce QéQun reste gravé, mémoriellement. Elle était bien cette veuve de guerre…

Pluton dit: à

Comprenez-bien une chose, respectivement à ce qui va se produire d’ici une a deux heures : la NASA n’a aucune légitimité particulière pour vous parler de certains sujets.
Les contacts ont été effectués ailleurs qu’à la NASA. La NASA dispose de quelques informations d’ordre scientifique dont la portée reste extrêmement faible comparativement aux activités observées sur Terre par différentes entités étatiques ou privées

Les Yeux Fatigués (de Clopine Trouillefou) dit: à

Moi, Picasso m’a valu une baffe… (un beauf’ qui ne supportait ni le peintre, ni moi). La chaleur insultante de la paume qui m’a frappée n’a jamais été oubliée.

Je suis allée à Guernica cette année. La ville est occultée par le tableau, les (rares) touristes qui s’y baladent le cherchent partout. Et le trouve céramiqué, à l’écart du centre ville. On s’y photographie (je veux dire on s’y selfise) et puis on repart, sans plus de curiosité que cela pour la ville d’aujourd’hui.

Je me demande l’effet sur la population locale, d’être assimilée ainsi au cri de ce tableau, à jamais écartelée sous l’oeil électrique d’un dieu impuissant ?

(j’ai fait l’idiote, devant le tableau. Je vais mettre la photo sur mon blog, histoire d’exorciser mon malaise)

JC..... dit: à

J’ai vu longuement Guernica, le tableau, à NYC, je ne me souviens plus exactement où ?! Pollock, et des tas de tartineurs de couleurs, peuvent aller se rhabiller …

Je ne sais pas où il dort, ce putain de tableau.

Sergio dit: à

Doré comme le lingot qui sort du coffre ça permet de voir venir… Ou le pare-chocs, sinon…

JC..... dit: à

Ceci dit, les franquistes avaient une bonne raison de bombarder Guernica aidés de leurs potes nazis et les ritals de mon idole Benito Mussolini : c’était la guerre d’Espagne.

Et une œuvre de commande, une, pour Pablito !

JC..... dit: à

J’ai fait l’idiote, devant le tableau. (Trouillefou)

C’est bien de tenter de réduire les domaines où vous faites l’idiote. Quel exemple pour nous tous…

Réussirez-vous ? Pas sûr !

la plume de ma tante dit: à

J’ai relevé sur le site du Quotidien d’Oran un commentaire sur des propos qu’aurait tenu Sarkozy en visite en Tunisie a propos de ‘…cette anomalie géographique qui a fait que la Tunisie soit «malheureusement » enclavée entre l’Algérie et la Libye…’

Il ne manque pas de chutzpah l’ex (et possible future) p’tit président…après avoir mis la Lybie à feu et a sang avec son copain aux chemises sans taches, il verse des larmes de p’tit crocodile sur la Lybie et plaint le sort de la Tunisie en se s’en prenant a l’Algérie…doit y avoir un nom pour ce genre de comportement, mais j’oublie et j’ai pas le morale a chercher…

JC..... dit: à

Il est exact que notre Agité a cassé, avec l’aide de ses potes occidentaux, dont l’épouvantable Lévy la Belle Chemisette, l’admirable démocratie de mon ami Kadhafi, un Saint Homme le caresseur de ses délicieuses amazones libyennes aux treillis en saillie voluptueuses.

Mais depuis lors, le service après-vente…. euh… est purement local, non ?

christiane dit: à

Merci Lavande.
Quelle aventure ! La psychanalyse sous les feux de la rampe. Un psychiatre-comédien jouant le rôle de J. Lacan. Des comédiens jouant le rôle de vrais malades. Voilà un beau terrain de partage en ces temps où « la folie » n’est plus ni honteuse ni cachée. En ces temps où la parole peut soigner, où des cliniciens sont à l’écoute de la souffrance des uns et des autres.
Je ne m’étonne pas, après avoir lu ces deux articles que vous ayez joué à guichet fermé.
Ici, théâtre et psychanalyse sont le quotidien de l’espace commentaires… Le rôle du clinicien est très prisé. Les malades entrent et sortent après avoir posé leurs délires, leur hargne, leurs désirs, leur souffrance. Un petit théâtre off, en quelque sorte…
Sur un autre plan, votre témoignage est vraiment à sa place, Pierre Assouline évoquant souvent les spectacles de théâtre qu’il a aimés à L’Atelier, au Lucernaire…et ailleurs.
Cette page – réservée en principe à Jean Lacouture – est devenue rapidement, comme d’habitude une agora où s’échangent ce qui tient à cœur des uns et des autres. Et votre post qui a eu du mal à nous parvenir était attendu comme l’a dit Attila.

J’ai juste été révoltée de lire les commentaires abjects de NYC et de JC à propos de Jacques Chesnel, si discret. Parfois la méchanceté est gratuite. Le jazz c’est sa passion, 50 ans de sa vie. Qu’il soit ou non dans l’air du temps ne justifie pas les posts de ces deux épouvantails qui n’avaient pour but que de blesser.
Alors pour Jacques le moineau espiègle (car il aime bien ferrailler avec un certain M. Court…), ce haïku de Sazanami :
« Les moineaux volent
d’épouvantail
à épouvantail »

JC..... dit: à

Quittons nous sur un regret sincèrement simulé !

Aaaah ! si les Français, pieds noirs compris, n’avaient pas déconné un maximum, voulez-vous me dire quel département français aurait pu rivaliser avec l’algérie française ? …

LA CORREZE ! Mais vous êtes fous !…ou subventionnés … vilains petits canaillous !

A demain.

JC..... dit: à

« J’ai juste été révoltée de lire les commentaires abjects de NYC et de JC à propos de Jacques Chesnel, si discret. Parfois la méchanceté est gratuite. Le jazz c’est sa passion, 50 ans de sa vie. Qu’il soit ou non dans l’air du temps ne justifie pas les posts de ces deux épouvantails qui n’avaient pour but que de blesser. » (Sœur Christiane)

Christiane, je vous aime, je suis fou de vous, de votre jugement si sûr, si binaire.

Acceptez toutes mes excuses : je n’attaquerai plus jamais votre ami épouvantail, la Rillette Chesnel !….

Il y a des monuments sur lesquels on NE DOIT PAS cracher. Même s’ils le méritent par leur suffisance inepte…

Sinon le vivre-ensemble cesse d’être mensonger et devient franc.

Widergänger dit: à

Le tableau Guernica se trouve aujourd’hui au musée du Prado à Madrid, où j’ai pu l’admirer en 2013.

Sergio dit: à

christiane dit: 23 juillet 2015 à 17 h 25 min
Cette page – réservée en principe à Jean Lacouture –

Surout que c’est pas le genre de gars qui est resté inactif… Il en était pratiquement à un bouquin par semaine ! Faut produire, quand même… Et alors là lui des billets ça lui en ferait…

Sergio dit: à

JC….. dit: 23 juillet 2015 à 17 h 39 min
Il y a des monuments sur lesquels on NE DOIT PAS cracher

Si le truc fait quatre cents mètres de haut… Faut gonfler ses poumons !

christiane dit: à

@JC….. dit: 23 juillet 2015 à 17 h 39 min
Ce n’est pas à moi que vous pouvez présenter des excuses mais à Jacques Chesnel. Vous pouviez « l’accrocher » sur d’autres terrains mais ce n’était pas sympa de le faire sur sa passion…
Enfin je ne vous comprendrai jamais !

Si vous n’étiez qu’une rafale, j’aurais copié pour vous ce haïku de Bashô :
« La rafale d’hiver
s’engouffra dans les bambous
et se calma »

Mais vous, c’est un ouragan qui se déplace et sévit en permanence !!!
Que faudrait-il pour vous calmer ? cet autre haïku de Buson ?
« Rosée blanche sur la ronce –
une goutte
sur chaque épine »

puis vous glissez et disparaissez :
« Le serpent s’esquiva
mais le regard qu’il me lança
resta dans l’herbe » (Kyoshi)

Vous avez dit binaire. Comme c’est bizarre…
« Changement d’habits –
le corbeau est noir
le héron est blanc » (Chora)

Widergänger dit: à

@Lavande
Je comprends votre mauvaise humeur contre ceux qui dénigre le festival d’Avignon après avoir pris connaissance de votre compagnie et de sa pièce sur Lacan.

Bravo ! Très bien ! On ne peut que vous encourager à poursuivre dans cette bonne voie. Apparemment c’est une vraie réussite cette pièce sur Lacan.

La régolte vronde..... dit: à

…. on en a marre des Cadres du Parti Culturel des Vieux, on est au numérique du troisième millénaire ! Pensez par vous même !

Widergänger dit: à

C’est une pièce d’autant plus méritoire qu’elle donne une image — semble-t-il — très humaine de Lacan, qui passe souvent pour un monstre, voire pour un fou lui-même, comme le disait la méchante Elisabeth Roudinesco.

Widergänger dit: à

Pour ma part, j’ai toujours eu envie de mettre de vrais fous sur une scène de théâtre.

Le théâtre étant à mes yeux un genre à l’agonie, j’ai toujours pensé que seuls les fous seraient susceptibles de lui redonner un peu de vigueur par une tentative de visualiser sur une scène de théâtre leur théâtre intérieur.

Faudrait écrire une pièce sur Hölderlin dans sa tour à Tübingen, visité par Michel Tournier et Deleuze. Ça pourrait être très drôle…

furgole dit: à

Paix à cette âme tristement représentative d’une certaine forme d’intellectualisme français, aussi clairvoyant que le Journal Le Monde qui titrait « Pnom Penh libéré » quand les khmers-rouges y étaient entrés. Complaisance à l’égard de tous les totalitarismes de gauche, qu’un bref mea culpa rétrospectif fit oublier, par une intelligentsia gaucharde elle aussi très complaisante, car, c’est bien connu,les crimes ne sont jamais commis que par l’autre bord.
En finale, en bon chrétien de gauche, il contribua pour sa juste part au suicide collectif et mémoriel de notre continent.

Le Japon est une ile..... dit: à

Nous prendrons le chemin des haïkus érotiques, un jour, dans un an, ou demain, peut-être.

Attila dit: à

Passou, je crois vraiment qu’il faudrait revivifier une République du théâtre, on est trop peu informé ici en cette discipline artistique et culturelle ? On nous dit que le théâtre est mort, mais il semble que le cadavre bouge encore !

Le Japon est une ile..... dit: à

« Rentré trop tôt le mari
découvre que son épouse
a quatre jambes »

ANGELA..... dit: à

Widergänger dit: 23 juillet 2015 à 18 h 14 min
« Pour ma part, j’ai toujours eu envie de mettre de vrais fous sur une scène de théâtre. »

Keine politik, bitte ….

christiane dit: à

@Le Japon est une ile….. dit: 23 juillet 2015 à 18 h 21 min
« Les melons ont si chaud
qu’ils ont roulé
hors de leur cachette feuillue » (Kyorai)

Freud, Sigmund..... dit: à

Lacan, Jack, est une singularité française totalement inutile….

bref dit: à

Guernica est une grosse escroquerie et Picasso pas net/net dans cette affaire, mais bon c’est comme tout le reste

Lavande dit: à

Rose 15h32: à l’époque des vraies présentations de Lacan, on demandait l’accord des patients pour les présenter au groupe de médecins. Il semblerait qu’en général ils étaient contents qu’on s’intéresse à leur cas et à leur problème. Bien sûr les noms ne sont pas donnés, même si 40 ans ont passé.
Vous êtes étonnée du fait que j’aie pu voir une vingtaine de spectacles mais cette année je suis restée quinze jours (rôle de caissière oblige!).
Les années précédentes pas plus d’une semaine. Au début nous campions sur l’ile de la Barthelasse comme vous, puis un petit hôtel dans Avignon. Au fur et à mesure que la maladie et le handicap de mon mari se sont aggravés, le standing de l’hôtel a beaucoup monté (!): pas facile de trouver des hôtels accessibles en fauteuil roulant!
Depuis que je suis seule (ou avec ma fille) je continue à aller dans un hôtel pas trop cher dans Avignon. C’est moi qui ne suis plus capable de camper, surtout avec la chaleur!

Widergänger dit: à

Au Prado, on peut voir aussi un tableau peu connu de Boticelli sur L’histoire de Nastogio degli Onesti (tirée d’un conte de Boccace), pendant de la fameuse Naissance de Venus, au yeux de Didi Huberman. L’une ne peut se comprendre sans l’autre

Un théâtre de la cruauté, dont Didi Huberman a tiré un livre « Ouvrir Venus » : »l’humanisme médicéen, dans la longue durée de son histoire, révèle ici toute son ambivalence, déjà notée par Aby Warburg : entre la Vénus des Médicis du musée des Offices et la Vénus des médecins du musée anatomique de Florence (1781) »;
http://www.franceculture.fr/oeuvre-ouvrir-vénus-nudité-rêve-cruauté-de-georges-didi-huberman.html

Pour un théâtre de la cruauté.

Widergänger dit: à

Angela ?

Du bist’s wirklich ?

christiane dit: à

@Widergänger dit: 23 juillet 2015 à 18 h 14 min
« Le coeur de l’Homme est un os froid. je suis fou furieux. je casse les meubles, je hurle jusqu’à l’épuisement, dans ma cellule. Je les insulte avec des mots que je n’avais jamais employés. Personne ici, ne veut entendre ma parole, et je refuse l’esclavage auquel ils veulent me réduire.
L’extrême de la douleur est irreprésentable, comme la jouissance, c’est le désordre absolu, c’est une faute. Il faut la masquer, la douleur, lui donner un air d’artifice et en même temps lui interdire cette parole inarticulée qui est la sienne. Autenrieth finira par inventer un masque de cuir. »
p.115 Cours, Hölderlin ! Jacques Teboul (roman/seuil)
Celui qui a dit NON !

bref dit: à

widangeur guenica est à reine sofia, pas au Prado! heureusement parce qu’à côté du tres de mayo il ne serait pas à son avantage

Widergänger dit: à

Oui, en effet, Christiane, c’est justement ce qu’il serait passionnant de montrer/monter si on parvenait à écrire une pièce sur Hölderlin. Montrer ou essayer de montrer cette part de douleur qui refuse la représentation. Faire ainsi progresser le théâtre d’un minuscule iota… Je pense que ça vaudrait la peine de s’y coltiner.

Widergänger dit: à

Oui, en effet, j’avais cru me souvenir que c’était au Prado. Enfin, peu importe. Toile très impressionnante encore aujourd’hui.

Lavande dit: à

Widerganger,, il y a cette année dans le IN un spectacle d’un artiste très original, Pierre Meunier, conçu en illustration d’un texte écrit par une jeune femme autiste de 28 ans qui ne communique pas par la parole mais écrit des textes bluffants.
« Forbidden di sporgersi »
Je n’ai pas pu avoir de billet (complet!) mais les critiques et les retours sont très enthousiastes.

les amis de la rillette dit: à

nous levons notre verre de Bordeaux à la santé de notre ami

Widergänger dit: à

Faire hurler un comédien sur une scène littéralement comme un fou pendant un moment interminable, ça doit être très impressionnant. J’aimerais bien voir ça un jour.

Lavande dit: à

Pierre Meunier fait partie des gens qui se coltinent à la lourde tâche de faire progresser le théâtre d’un iota! Ça existe !

Widergänger dit: à

Mais tant mieux, Lavande ! Tant mieux. Je m’en réjouis !

Lavande dit: à

« Faire hurler un comédien sur une scène littéralement comme un fou pendant un moment interminable, ça doit être très impressionnant. J’aimerais bien voir ça un jour. »
Ça aussi ça existe cette année: ça s’appelle le roi Lear et j’apprécie moins.

Widergänger dit: à

Non, pas à la manière du Roi Lear !

Une autre forme de cri. Un cri pur, la douleur pure, celle qui n’a pas de nom ni d’histoire. Ce serait tout autre chose que du Shakespeare. Faire sentir ce qu’est la folie jusqu’à faire peur. Seul le théâtre en serait capable.

Widergänger dit: à

Parfois il m’est arrivé de sentir ce que pourrait être la folie en écoutant attentivement Robbe-Grillet quand un journaliste le contredisait. Il prenait alors un timbre de voix très particulier qui avait à voir avec la folie. Et ça faisait vraiment peur. Sur ses films c’était pareil, paraît-il. C’est Arielle Dombasle qui l’a dit parfois. Robbe-Grillet lui faisait peur. Elle parlait de ça. Faudrait un super comédien pour jouer ça, et en plus fort encore.

Attila dit: à

Un iota ou deux. Le théâtre de Sade, joué à guichet fermé à Charenton, c’est ça que j’aurais aimé voir ! Peter Brock a tenté de la montrer, au cinéma, avec l’inoubliable Glenda Jackson…

Widergänger dit: à

Un psychiâtre avait dit un jour d’ailleurs à Robbe-Grillet que, s’il n’avait pas eu ses bouquins à écrire comme soupape de sécurité, il serait devenu un fou criminel. Je veux bien le croire…

Attila dit: à

Remember Antonin Artaud, sur la scène du Petit Colombier…

Attila dit: à

Dans le théâtre de la folie, ne pas oublier cette grande folle de Copie !
https://video.search.yahoo.com/video/play;_ylt=A2KLqIQ7IrFVKmcAIzf7w8QF;_ylu=X3oDMTBzM3UzbjRzBHNlYwNzcgRzbGsDdmlkBHZ0aWQDBGdwb3MDMTA-?p=Copi+Théâtre&vid=36d85fea6200d5d79232b3cb5d32518d&turl=http%3A%2F%2Fts3.mm.bing.net%2Fth%3Fid%3DWN.DaYqEXjQTJyh6rEj9VId%252fA%26pid%3D15.1%26h%3D225%26w%3D300%26c%3D7%26rs%3D1&rurl=http%3A%2F%2Fwww.dailymotion.com%2Fvideo%2Fx20rnj_le-frigo-de-copi_creation&tit=Le+frigo+de+COPI&c=9&h=225&w=300&l=118&sigr=1210ug8uc&sigt=10g0gs0eq&sigi=12mkb7orv&age=1179612280&fr2=p%3As%2Cv%3Av&fr=aaplw&tt=b

Jacques Chesnel dit: à

Remember Pierre Brasseur dans KEAN de JP Sartre en 1953

Widergänger dit: à

Marche ?

Widergänger dit: à

Il a des sautes d’humeur ce blog…

Widergänger dit: à

Peter Weiss

Widergänger dit: à

Peter Weiss, Marat Sade

Widergänger dit: à

J. Bau.drill.ard

Widergänger dit: à

La pièce de Peter Weiss, Marat Sade à Charenton, traduit par Bau.drill.ard.

Désolé mais ce dernier nom est censuré ici, je ne sais pas pourquoi. Une autre bizarrerie de ce blog.

lola dit: à

Sans superlatif: »l’inoubliable Glenda Jackson » dans « marat sade ».

Sergio dit: à

Malraux il arrive à avoir des cheveux que d’un côté ça c’est encore coriace…

le vicaire dit: à

furgole dit: 23 juillet 2015 à 18 h 14 min

LeMonde est un journal subversif. Vous vous faites du mal à le lire . Votre charité admirable, qui vous fait tenter de ramener de malheureuses brebis dans le droit chemin, risque de vous perdre. Devriez entre deux prières, en rester au figaro qui est lui-même très à gauche hélas
Triste époque

daniel dit: à

17 h 24 min
il l’a fait descendre parce qu’il en savait trop sur ses magouilles électorales entre autres

Widergänger dit: 23 juillet 2015 à 18 h 14 min
« Pour ma part, j’ai toujours eu envie de mettre de vrais fous sur une scène de théâtre »

la paire JC et furgole

Attila dit: à

Etonnante toile de Botticelli, WGG, on dirait qu’il est en 3D !

Widergänger dit: à

« La file d’attente des cerveaux débranchés », écrit cette auteure autiste Babouillec.

Belle expression qui rend bien compte de notre monde contemporain !

ami sincère dit: à

Freud, Sigmund….. dit: 23 juillet 2015 à 18 h 40 min
« Lacan, … est une singularité française totalement inutile…. »

totalement inutile pour les tarés de ton espèce c’est sûr

Widergänger dit: à

Oui, c’est une série de toiles de Botticelli qui donnent de la Renaissance une tout autre image. Elle se trouve au sous-sol en plus dans le musée du Prado, dans un coin peu visible. Tout le monde passe devant sans les voir et sans se douter une seconde qu’elles sont de Botticelli.

descriptif dit: à

christiane dit: 23 juillet 2015 à 18 h 00 min
« un ouragan qui se déplace et sévit en permanence !!! »

plus exactement un tordu qui tourne en rond dans sa cellule

Widergänger dit: à

 » Et nous les faiseurs du monde dans ce dédale arbitraire, sommes- nous libres, amicalement reliés, ignorants des autres ou dans la file d’attente des cerveaux débranchés ? » (Babouillec)
_______
Très beau ! Grande question !

Widergänger dit: à

Oui, c’est une série de toiles qui fait peur, bien sûr. Un théâtre de la cruauté, déjà sadien à souhait. Il y a du Sade dans les contes de Boccace !

Widergänger dit: à

Chez Marguerite de Navarre aussi. Dans l’Heptaméron. À relire.

Widergänger dit: à

La phrase de Babouillec me plaît beaucoup par ailleurs aussi parce qu’on y lit le regard vierge d’un enfant. Ce « dédale arbitraire », c’est le regard d’un enfant.

Les fous m’ont toujours intéressés parce qu’ils s’en tiennent aux choses telles qu’elles sont, sans les recouvrir de cette pensée qui nous cache ce qui nous angoisse au plus profond de nous-mêmes sans que nous en soyons vraiment conscients. Parce que nous l’avons oublié, en devenant adulte. Le fou est celui qui n’arrive pas à oublier. Le caractère arbitraire de notre existence est en effet le fond de tout angoisse humaine. Le fou est celui qui n’arrive pas à s’en accommoder. D’où son intérêt pour le théâtre comme un révélateur.

Être « branché », c’est bien ça le grand enjeu de l’art, être branché sur cette angoisse. C’est ce que Heidegger d’ailleurs appeler : eksitence.

La spécialiste de la psychose, Gisela Pankow, s’est d’ailleurs beaucoup inspiré de Heidegger pour penser la psychose.

C’est vraiment de ça dont parle cette autiste, Babouillec.

Widergänger dit: à

Un fou est toujours celui qui est trop intelligent pour sa capacité nerveuse à la supporter. Son système nerveux central, en quelque sorte, n’est pas à la hauteur de son intelligence. D’où le fait que ça disjoncte quelque part.

Pluton dit: à

L’État planifie en ce moment de lourdes taxes « climat » qui pourrait peser 30 centimes d’euros par litre de carburant en 2020. Les Français, déjà bien appauvri apprécieront cette version inédite du socialisme, et s’en souviendront bien entendu. Quant à l’industrie française déjà bien fragile, cela terminera de l’achever.

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