L’« inventoire » des archives
Tout chercheur en a rêvé, l’IMec l’a fait ! On pourrait le dire ainsi. Qu’il soit professionnel ou dilettante, que sa curiosité le pousse vers l’histoire littéraire, l’archéologie des idées, l’aventure intellectuelle ou le passé des maisons d’édition, le dit chercheur disposait jusqu’à présent du riche fonds et des collections de l’IMec (Institut Mémoires de l’édition contemporaine) sis à l’abbaye d’Ardenne (Calvados), une sorte de Thélème en pleins champs près de Caen ; mais ces archives et collections (plus de 700 entrées) n’étaient présentées que dans un environnement d’interrogation unique. Si important que soit un centre de cette nature, il ne correspond plus tout à fait à sa vocation (conserver/communiquer) s’il ne peut accorder leur pleine visibilité à ses trésors. C’est chose faite grâce à Mnesys.
Conçu par Naoned, forme bretonne de la ville de Nantes mais surtout expert numérique spécialisé dans la gestion et la valorisation du patrimoine culturel, ce logiciel avait déjà fait ses preuves dans des centres d’archives départementaux à Saint-Lô et Caen, aux archives municipales de Poitiers ou dans celles de la région Limousin. En effet, il couvre l’ensemble des besoins d’un service d’archives public : collecte, description des documents, traitement, communication…
Déjà, et pour la première fois, le catalogue des imprimés est accessible qu’il s’agisse des revues ou des précieuses bibliothèques personnelles des auteurs notamment.. Désormais, les inventaires sont progressivement consultables sur le Portail des Collections de son site. Les notices descriptives des archives, imprimés et périodiques peuvent être interrogées de plusieurs manières : simple, bibliographique, thématique, par le cadre de classement….
Outre les fonds très sollicités de l’écrivain Jean Genet et du philosophe Michel Foucault qui attirent nombre de chercheurs venus des universités américaines notamment, de même que les papiers de Louis Althusser qui suscitent actuellement une intéressante initiative, on notera ceux d’écrivains aussi divers que Christine Angot, Tahar Ben Jelloun, Emmanuel Bove, Serge Doubrovsky, Sylvie Germain, Georges Hyvernaud, Irène Nemirovsky, Robert Sabatier ou Alain Robbe-Grillet, des philosophes, des sociologues, des éditeurs ainsi que des historiens tels que Jean-Pierre Vernant, Georges Duby, Jean Chesneaux, Fred Kupferman, et ceux plus récemment arrivés du grand théoricien de la modernité Paul Virilio, du passeur de mémoire Alain Decaux, du sociologue Jean Baudrillard, de l’historien de l’art Georges Didi-Huberman, de l’éditeur Jean-Jacques Pauvert etc ce qui ne donne qu’un faible aperçu de la richesse et de la diversité des papiers conservés à l’IMec. De l’extérieur, pour tout lecteur qui ne connait que les livres, cela peut paraitre très « vieux papiers », froid, désincarné ; c’est méconnaître les émotions, stupeurs et tremblements que peut provoquer ce type de recherche, tant le goût de l’archive peut donner parfois le vertige à celui qui trouve enfin (le document, la lettre, l’information, le signe) surtout s’il ne les cherchait pas vraiment.
Un blog est même consacré par les archivistes à l’actualité des collections : en cette période de commémoration de la première guerre mondiale, on peut y lire des billets sur « Les petits héros de la grande guerre » recueil de nouvelles publié par Hachette dans sa collection « Bibliothèque des écoles et des familles » ; ou encore sur les lettres de l’arrière, notamment celles des collègues, reçues à partir de 1915 par les employés des éditions Larousse mobilisés et envoyés au front.
Lorsque Nathalie Léger, sa directrice générale, a lancé ce chantier de réinformatisation de ses fonds, elle n’ignorait pas le risque encouru par tout projet de reprise et donc de migration de données archivistiques. Mais plutôt que le spectre de leur perte, c’est la perspective de leur amélioration et de leur restructuration qui a prévalu. Celle de leur réinvention en quelque sorte.
Dans une récente livraison des Cahiers de l’Imec (No 10, Automne 2018), un article y fait écho indirectement à propos d’un stage de futurs comédiens et d’un séminaire de metteurs en scène dans les murs de l’abbaye d’Ardenne, à deux pas des fonds de Robert Abirached, Samuel Beckett et Patrice Chéreau. Consacré au « Béguinage des inventeurs », il joue subtilement tant sur la polysémie du mot « béguinage » (petits logements individuels et espaces communs réunis autour d’un jardin en pays flamands depuis le Moyen Âge) que sur celle du mot « invention » (concevoir quelque chose de nouveau, mais aussi mettre au jour ce qui était enfoui). Tout cela pour dire que les milliers de documents conservés à l’IMec attendent en permanence leurs (ré)inventeurs :
« Un fonds d’archives n’est pas qu’un « conservatoire », c’est aussi un « inventoire ». Sans création, la mémoire est peau morte, sans mémoire la création est sans os ».
Tant le néologisme que la métaphore sont signés d’un homme de qualité qui avait voué sa vie au théâtre, Jean-Loup Rivière. Ce fut son dernier article.
(« L’IMec à l’abbaye d’Ardenne » photos Passou)
1 308 Réponses pour L’« inventoire » des archives
Michon de l’Herne, Pierre Michon va être content de bénéficier d’un titre de noblesse flambant neuf.
Caulerpa, je prends note mais le subjonctif present m’a toujours paru plus elegant. Bien que, après que, pendant que , suivis du present de l’indicatif? Je n’ai jamais su, DHH devrait intervenir pour d’éduquer.
@Caulerpa
que signifie le sigle LSP sans doute familier aux grammairiens professionnes mais obscur pour moi et sans doute bien d’autres
pas idée du budget de ce « Voleur », dear Bérénice. les décors sont soignés, les étoffes d’une munificence communicative. Belmondo ne joue pas Belmondo, c’est une réussite, peut-être la sienne. peu d’acteurs parviennent à distancer leur personnage, Bette Davis l’a fait dans « Yes, Voyager ».
@23.28, Je vous verrais bien assise à côté de lui, déguisé en Bruno Ganz. Belle journée à vous.
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19505478&cfilm=2682.html
Qu’est-ce qu’un « profil Tinder » au juste ?
@ berenice
l’indicatif est le mode de l’action reelle ,le subjonctif celui de l’action pensée
c’est ce qui explique l’indicatif avec après que et le subjonctif avec avant que
voyez
LSP blog des correcteurs du monde :Langue Sauce Piquante!
On vous recommandeLSP
UNE page récente avec plein de blogs de « langue » pour les gens qui n’ont que des reproches sur celui ci
http://correcteurs.blog.lemonde.fr/
un commentaire au hasard des correcteurs:
* Le président Macron lui-même, utilisant alors un « nous » sinon de majesté du moins de modestie et reconnaissant publiquement qu’il regardait ailleurs ? Dans ce cas, se sentant un peu seul, il semble appeler à l’aide un « nous » du genre nounou, jugé réconfortant.
Un « nous », donc, rassembleur ou émietteur ? Il est des « nous » bien vagues.
Sigles et acronymes, misérables raccourcis.
(suite) Je précise, pour lever tout malentendu, que c’était la dernière phrase du texte de Sérotonine. Florent-Claude craint tellement de mourir seul et désespéré qu’il a encore besoin de s’accrocher aux branches d’un christ aimant, malgré l’ingrate surdité des hommes à son message d’espoir. Il s’apprête à plonger dans le vide du haut de la tour de Choisy, ce qui ne devrait durer que 4 secondes et demie d’après ses calculs, sauf s’il lui poussait des ailes, alors il serait sauvé.
raccourci?
plus c’est long, plus c’est bon n’est pas une vérité universelle
« plus c’est long, plus c’est bon n’est pas une vérité universelle »
Écrire tout de suite Langue Sauce Piquante aurait été plus élégant, mais vue la forme de vos post il est évident que vous n’êtes pas ami-e de l’élégance. Vous pouvez vous éviter une inutile question en cherchant la définition [d’élégance] sur votre source habituelle : Wiki.
si vous alliez sur des sites d’écrivains et analystes, vous auriez pu ne rien demander sur moix
vous auriez pu faire le dandy en proposant:
Le métier d’écrivain
par Amos Oz
Entretien-fleuve exclusif avec Amos Oz, l’auteur d’«Une histoire d’amour et de ténèbres» mort des suites d’un cancer. Hommage au membre de notre comité…
pour le pizzaiole d’images
L’ALLURE BRUMMELL QUI ALLIE SAVOIR-FAIRE ET EXCELLENCE DES MATIÈRES À L’ÉLÉGANCE NATURELLE ET DÉCONTRACTÉE
@renato
j’ai cherché avant de poser cette question .
cependant je ne suis pas allée sur wiki mais sur GOOGLE qui ne m’a rien donné d’utile pour le développement de LSP.
je sais que ma prose est,comme vous le soulignez inélégante, mais j’essaie toujours d’être précise dans ce que j’écris ;c’est une des causes ,pas la seule sans doute,de la lourdeur de mes phrases
à la demande du pizzaiole,de l’histoire sur wiki
. Par exemple, il possédait des chevaux, mais pas de carrosse. Membre du cercle du prince George, « Beau Brummell » y faisait impression par son élégance discrète, ses fins commentaires. Le soin scrupuleux qu’il apportait à son hygiène corporelle et dentaire quotidiennes, ainsi qu’à son rasage, devinrent célèbres. il ne sortait jamais sans être impeccablement lavé et rasé, poudré, parfumé, arborant beaucoup de linge fraîchement lavé et parfaitement amidonné, vêtu d’un manteau parfaitement brossé, de coupe impeccable, de couleur unie bleu foncé, et paré avec une cravate savamment nouée. Au moment où Pitt imposait une taxe sur la poudre à cheveux en 1795 destinée à aider à subventionner la guerre contre la France, Brummell avait déjà renoncé au port de la perruque pour se faire couper les cheveux « à la Brutus », comme les Romains. En outre, c’est à lui qu’on doit d’avoir orchestré la transition de la culotte moulante du xviiie siècle au pantalon de couleur sombre emblématique des habitudes vestimentaires masculines modernes. Dès le milieu des années 1790, « Beau Brummell » fut la première version du « people », de l’homme n’étant essentiellement connu que pour le seul fait d’être connu, qui, en tant que ministre de la mode et du goût, imposait ses diktats à la noblesse, aux puissants et aux belles femmes.
Caulerpa, les deux animateurs de la Langue Sauce Piquante sont soupçonnés d’avoir « trollé » la rdl pendant des années, en empruntant la défroque de plusieurs internautes particulièrement provocateurs et intolérants, à multiples visages. Ce soupçon ne pourra jamais être vérifié, bien sûr, mais disons que les deux correcteurs possèdent le « profil » requis pour ce genre de jeu : la culture générale, la connaissance du monde des lettres, l’acidité du professionnel de l’ombre, le sens de la moquerie et… un très léger sentiment de supériorité, comme celui qui doit animer le marionnettiste par rapport à ses créatures, non ?
Perso je n’ai jamais pu m’empêcher d’avoir comme un sentiment d’admiration par rapport au troll capable de jouer plusieurs personnages, de faire croire à leurs existences, d’enfumer son monde. Et un sentiment d’horreur, évidemment, devant ce que le trollisme signifie de mépris de l’autre, de négation de la souffrance psychologique qu’un harcèlement peut provoquer, et de flou quant à la frontière entre amusement et jeu pervers touchant à la folie.
Je sais parfaitement, en écrivant ces lignes, qu’on va me rétorquer que je suis moi-même « le troll de Christiane », puisque je me suis laissée aller à qualifier cette dernière de façon fort peu charitable. Sauf que non. D’une part, je ne la harcèle pas : elle peut venir ici et écrire ce que bon lui semble, je ne réagis pas systématiquement, comme le troll le fait. Ensuite, si je lui cause des désagréments même psychologiques, je ne fais que me réparer d’un dol que j’estime gravissime, (même si tout le monde hausse les épaules !)) : l’invention pure et simple de propos que j’aurais tenus. Enfin,je ne suis ni assez intelligente ni assez perverse pour me cacher derrière un quelconque anonymat. Et puis je ne joue pas à ce genre de jeu pervers. Christiane me porte tout simplement sur les nerfs, voilà tout – nous sommes loin ici du trollisme attribué, à tort ou à raison, aux deux compères de la langue sauce piquante…
Jazzi, j’ai pensé à toi hier au soir, en lisant un enième article consacré à Houellebecq.
Jusqu’à présent, tes « goûts de » sont tous consacrés à des domaines positifs et concrets. Le goût de la marche ou du cinéma, du café ou du rêve…
Mais si tu veux coller à la littérature de ton temps, à savoir une époque d’effondrement généralisé d’une civilisation, il te faudrait changer de focale…
Je te propose d’étudier un « goût du venin ». Car il existe aussi , dans la littérature, une catégorie d' »écrivains du venin ». Et de Céline à Houllebecq, tu aurais de quoi faire…
Non ?
On pourrait rajouter Sade, évidemment, et pas mal d’autres « ophidiens » à la liste… Ceux qui manient la langue bifide et plantent leurs crochets là où ça fait mal..
DHH, mon post de 11 h 00 n’était pas pour vous, mais pour le/la goujat-e qui s’est reconnu-e à 11h 11.
les dernières nouvelles de moix sur le point:
Des caméras de France Télévisions aux barbelés de Pyongyang. Yann Moix a beau avoir renoncé à son poste de polémiste dans l’émission On n’est pas couché sur France 2 (il est présent dans l’émission de Thierry Ardisson sur C8), l’homme sait toujours manier l’art de la controverse. Pour preuve, sa décision d’aller enseigner l’été prochain le français au sein de l’université Kim Il-sung, située dans la capitale nord-coréenne. Une ville qu’il commence à bien connaître puisqu’il y a séjourné en compagnie de son comparse Gérard Depardieu à l’occasion des soixante-dix ans du régime. « Ils ont besoin d’enseignants, alors, je vais donner des cours de littérature française », a calmement annoncé Yann Moix sur BFM TV, jeudi 20 septembre. Son autre projet : faire traduire des ouvrages d’écrivains nord-coréens en français.
apprenez le pizzaiole qui m’avez une fois demandé une pizza que je n’en fais pas;ce n’est pas moi la toque ni le toqué de ce blog avec qui vous rivalisez ;jevous ai signalé suffisamment de sites d’auteurs dignes de ce nom pour ne plus vous rappeler qu’il n’y a pas que la malveillance au nom du people!
quant à Madame DHH,elle s’imagine à tort ,donc, que nous avons les mêmes intérêts:elle n’a jamais indiqué beaucoup de sites,même de porno où elle détiendra bientôt une palme!
« à la demande du pizzaiole,de l’histoire sur wiki »…
Déjà cette noble expression en dit long sur la personne, mais puisque le/la goujat-e adepte du copier-coller semble ne pas comprendre, voyons sa source préféré, c’est à dire Wiki : « La notion d’élégance se trouve dans de nombreux domaines spécialisés. Une solution à un problème technique, une démonstration mathématique, une écriture peuvent être élégantes, quand elles sont simples par rapport à d’autres ayant le même effet, n’utilisant que des éléments nécessaires à leur propos, « dont les éléments sont harmonieusement disposés, de façon que l’esprit puisse sans effort en embrasser l’ensemble tout en pénétrant les détails».
RAPPELà madame DHH qui se reconnait plus qu’à son tour
L’HYSTÉRIQUE EST UN(E) ESCLAVE QUI CHERCHE UN MAITRE SUR QUI RÉGNER
je n’ai pas indiqué wikipedia que je sache !j’ai suffisamment de sites à consulter dans différentes langues;
cela dit,il est trop facile de blamer wikipedia qui peut rendre service sans injures mal fagottées
@caulerpa 11h42
quels seraient ces intérêts que j’aurais l’outrecuidance d’imaginer partager avec la personne de grande culture que vous êtes ?
@ D’une part, je ne la harcèle pas : elle peut venir ici et écrire ce que bon lui semble –
Non cela ne s’appelle pas du harcèlement, tout au plus du sado-masochisme éclairé. Par pitié, Ch., ne répondez pas à cette malade, elle n’attend que cela pour exister car elle s languit de votre absence !
Son soupir est quasi désespéré. Si votre silence la tue, ne vous en culpabilisez pas, nous vous soutiendrons, martine et moix.
madame DHH NESAIT PAS CHERCHER ET CONSEILLE AUX AUTRES DE FAIRE DES RECHERCHES on trouve dans google LSP GRAMMAIRE LE BLOG DES CORRECTEURS DU MONDE§
BONNE JOURNEE
« … jevous ai signalé suffisamment de sites d’auteurs dignes de ce nom… »
Vous êtes vraiment une pauvre personne, on ne peut que compatir. Cherchez plutôt à soigner la mis en page de vos posts, ce sera déjà faire preuve d’un brin d’intelligence.
À propos, vous signalez avec beaucoup de retard, toujours très daté, il faudra vous mettre à jour, cher Monsieur ou Madame… peu importe.
Caulerpa si on tape « LSP » dans Google (c’est la seule information que vous aviez fournie) on ne trouve PAS de référence au blog des correcteurs du Monde.
Bonjour Claude Bahia, pour info, cette analyse inquiétante sur la situation brésilienne qui vient de tomber sur un site assez prestigieux, et que j’ai trouvé bien intéressante. J’ignore qui en est l’auteur.e. Bien à vous,
https://laviedesidees.fr/L-ascension-de-l-extreme-droite-au-Bresil.html
Je crois qu’en fait je n’ai pas bien compris ce que c’est qu’un troll.
C’est quelqu’un qui écrit sous pseudo ? C’est le cas de pratiquement tout le monde ici. Pour certains (Jazzi, Clopine, Wgg, Raymond, Paul Edel) on connait leur vrai nom à cause de leur blog ou à cause de leurs activités (livres, DVD…)
C’est quelqu’un qui change de pseudo ? C’est fréquent aussi. En général on reconnait assez vite le style ou les obsessions de chacun.
C’est quelqu’un qui dit des méchancetés, qui s’acharne sur quelqu’un ou qui délire ? Alors ça ne manque pas par ici. Pauvre Passou, il est submergé par les trolls !
partager avec la personne de grande culture que vous êtes ?
c’est trop poli pour être honnête,ce genre de compliments ironiques sur la RDL§PORTEZ VOUS BIEN!et bonne journée!
Le personnage des légendes scandinaves bien à part, Lavande, un troll est un intervenant, généralement anonyme, qui entrave le déroulement normal d’une discussion en envoyant des messages provocants, irritants ou hors sujet. Ici, en RdL, nous sommes tous, + ou -, des trolls.
j’avais entendu parler de mot clef;donc
https://www.google.com/search?rlz=1C1CHBF_frFR769FR769&ei=On80XNyFErKPlwTkmoL4DA&q=L.S.P.+grammaire&oq=L.S.P.+grammaire&gs_l=psy-ab.3…517968.522746..524027…0.0..0.177.1332.0j10……0….1..gws-wiz…….0i71j0i19j0i30i19j0i8i30i19j0i8i10i30i19j33i22i29i30j0i22i30j33i160.2vQHr9UiKOI
vous trouvez m^me
le vrai/faux LSP | Langue sauce piquante
correcteurs.blog.lemonde.fr/2013/07/01/le-vraifaux-lsp/
1 juil. 2013 – J’essaie de me figurer ce qu’était en 1799 un classe de jeunes gens apprenant la grammaire générale à l’école centrale de l’Ardèche.
et LSP est l’entée suivante
Lavande dit: 8 janvier 2019 à 12 h 05 min
excusez moi lavande, j’ai dû arriver ici après vous, je ne savais pas ce qu’était un troll sur internet,mais je hais les conversations qui stagnent ,faute d’une culture ou d’une recherche suffisantes ou des « obsessions » singulières;alors savoir se servir de google est bien précieux
entrée
Voilà à 12 h 54 min un bel exemple de mauvaise éducation, ou alors ce n’est qu’un inculte, et par dessus le marché incapable, qui découvre un monde via le réseau : déprimant.
Son chat sous le bras :
Clopine dit: 8 janvier 2019 à 11 h 22 min
j’ignore tout de ce soupçon et je pense que LSP A CHERCH2 0 COMPRENDRE SON PUBLIC TOTENTIELet lui a fourni des « armes » (arguments)on a traité les gens de petis joueurs (vous peut-être aussi dont j’ai vu le nom ,connu sur LSP;vous en êtes au règlement de comptes?vous n’en finirez pas alors ;portez vous bien,le nez dans les coquelicots ou le myosotis:you can forget me!
potentiel
via le réseau : déprimant.
je crois que la « déprim »est assez répandue en occident ;
Dans son hors-série numéro 196 (janvier / février 2019) Sciences et Avenir a interrogé le psychiatre Patrick Hardy, de l’hôpital Bicêtre, pour mieux cerner ce qu’est le « burn-out ». Interview.
c’est aussi sur sciences et avenir
éducation voir google!
Non, Lavande, vous ne pouvez assimiler la majorité des internautes aux trolls. Car ces derniers ne viennent sur les blogs qu’animés d’intention de nuire, délibérément. Et les plus pervers d’entre eux adoptent des stratégies longtemps préméditées. ce qui n’a rien à voir avec les batailles, coups de gueule, réactions intempestives, mayonnaises diverses qui sont aussi (et hélas, aussi pénibles que les trolls, parfois !) l’apanage des blogs. Mais qui ne peuvent en aucun cas s’apparenter à la démarche de quelqu’un qui, en toute impunité et masqué, vient s’amuser délibérément aux dépens d’autrui. Ce que j’ai subi, d’autres et moi également, pendant des années ici. Et qui « tombait » sur ceux qui s’avançaient. Seules étaient épargnées les personnes qui « restaient à leur place » (entendez : dans l’ombre et la plus grande discrétion…) ; je ne me souviens plus des noms mais un TKT, par exemple, n’est certes pas parti à cause des disputes et des procès. Mais bien à cause du harcèlement d’un troll, qui ne laissait passer aucun, je dis bien aucun de ses commentaires sans, encore une fois dans le silence terrible de la majorité (et nous étions une poignée à dénoncer les faits), être conspué de la plus vile des manières.
Si vous ne voyez pas la différence, c’est peut-être que vous avez toujours fait partie des, je ne dirais des « prudents de l’ombre », ce qui pourrait être péjoratif, mais au moins de ceux qui n’apparaissaient pas en pleine lumière ?
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surLSP
@caulerpa
Vous n’avez peut-être pas compris, donc, puisque repetitio est mater studiorum, votre post du 8 janvier 2019 à 12 h 54 min est un exemple de votre manque de respect du lecteur, et c’est ce qui fait de vous un-e parvenu-e mal élevé-e.
@Janssen J-J dit: 8 janvier 2019 à 11 h 56 min
Bonjour, JJJ,
vraiment vous lire est un plaisir. Vous êtes tellement vivant, vous enflammant comme de l’amadou. Aujourd’hui, c’est à vous que je m’adresse, (pas à Passou car il ne changera pas de point de vue sur Michel Houellebecq. Après tout, il y a comme ça des allergies, des répulsions instinctives qui font partie de certains costumes d’honnête homme.) Donc, j’en reviens à vous. J’ai beaucoup apprécié votre coup de gueule – coup de cœur à propos de Sérotonine. J’attendais pour y faire écho que ma libraire préférée mette le livre en vitrine, signe qu’elle l’avait reçu. Sa vitrine est si minuscule coincée entre la cage à canaris, son tourniquet chargé de vieilles cartes postales que j’aime regarder et la presse qui envahit son minuscule refuge. Je dis « libraire » tant elle aime parler avec ses clients – les habitués du bas de la rue – des livres qu’elle a lus et que nous avons lus.
Sérotonine, donc. Elle l’a commencé et aime ce qu’elle y trouve. Je l’ai commencé et j’aime ce que j’y trouve. Nous nous sommes promis d’en parler !
J’ai lu votre survol du livre avec cette insistance à y noter de l’humour et du désespoir. Ah, c’est bien du Houellebecq et en même temps quelque chose de très nouveau…
Quelle écriture raffinée, presque précieuse puis froide et clinique. De longues phrases musicales qui agissent comme un objet hypnotique et le réveil, brutal. Cet homme écrit en musicien. Ce qu’il décrit a la virtuosité de certains tableaux de François Boucher : écarter la gravité par quelques touches de frivolité. Bien sûr Florent-Claude Labrouste n’est pas Renaud et Yuzu n’est pas Armide, ni Vénus. Camille ? Mais ce Houellebecq libertin peint aussi avec volupté le monde qu’il traverse et cela sans se départir de l’outrage aux bonnes mœurs par cette obsession répétitive des culs, chattes, bites et autres plaisirs récurrents d’écriture. Un vrai polisson du XVIIIe siècle. Mais le fond du roman est triste, mélancolique dans ces cent premières pages. Cette idée de disparaître sans laisser de traces m’a rappelé Villa Amalia de Pascal Quignard quand Ann Hidden, désabusée, vide son appartement et disparaît.
Voilà un personnage border-Line entre la vie et le vide, sans intention de suicide. Le « treizième » sera le lieu ou philosopher tranquillement entre sa bouteille de calvados et ses cigarettes (hôtel fumeurs requis). Ce 13e, il le décrit avec une précision déroutante comme tous ses itinéraires. Il regarde tout, note tout comme si ça le reposait de penser car il pense tout le temps.
Tenez, JJJ, pour vous une phrase cueillie page 97 : « […] les qualités intellectuelles n’ont guère d’importance dans une relation amicale, encore moins évidemment dans une relation amoureuse, elles ont peu de poids par rapport à la bonté du cœur[…] »
Voilà, une première moisson pour vous, intraitable et sentimental JJJ.
je ne répondrai plus à ceux qui n’ont pas conscience de parler d’eux en dénigrant les autres;si sur ce blog,la langue est le latin,il y a logtemps qu’il a été enseigné qu’on parlait grec à l’université,et par des maîtres autorisés de l’université qui avaient fait le tour du monde (universitaire-honoris causa)et pouvaient citer des classiques en entier dans la langue d’origine ;ce blog est un blog de prétentiards qui ne sont pas sortis de leur ego trip de bad boys
Ah ! Madame ou Monsieur caulerpa, contrairement à vous qu’insultez sous couvert de pseudo, j’écris ici sans masque ; quant à vos réponses, je m’en passe aisément.
onn’avait pas encore eu cette précision sur ce blog:elle est dans le point
et Houellebecq lui-même, comme nous l’avait confié à l’époque le prieur de l’édifice religieux – se ressourçait dans la somptueuse abbaye Saint-Martin de Ligugé près de Poitiers, l’un des principaux personnages de Sérotonine est un croisé chrétien version XXIe siècle. La novation de ce livre est d’ordre spirituel, comme en témoignent magistralement les dernières pages, en faisant in fine de ce roman un grand livre sur notre époque. Michel Houellebecq est sans doute, peut-être, un prophète. Mais pas celui que vous croyez.
« intraitable et sentimental JJJ »
😮😒😩
renato dit: 8 janvier 2019 à 13 h 37 min
trop tard, je l’ait d’abord ;vous voulez avoir le premier mot-être le premier:à votre âge!,et le dernier mot dépêchez vous de lire moix qui aurait appris l’hébreu et de le citer in extenso expressis verbis etc on s’en fout
je l’ai d’abord dit ! et stop!
https://www.google.com/search?q=main+de+stop&rlz=1C1CHBF_frFR769FR769&tbm=isch&source=iu&ictx=1&fir=AOMp2XMz0jGJOM%253A%252CT-JJ3D3oUu1oOM%252C_&usg=AI4_-kQg8_C_s9uElouKQbS76I5WQE9llw&sa=X&ved=2ahUKEwiDkbqkm97fAhUMWxoKHVrkAl0Q9QEwAXoECAYQBg#imgrc=AOMp2XMz0jGJOM:
Vous avez vraiment un problème, caulerpa, vous êtes sûr-e des qualités professionnelles du psy que vous consultez ?
je ne prétends pas être d’extraction noble comme beaucoup qui disent leur expérience dès l’école comme fils de comte et d’architecte mais les tard venus ,comme celui qui balance desimages sur ce blog sont souvent infects;c’est vrai que les femmes ne s’y trompent pas et que le divorce les soulage de ces narcisses impotents
sur ce blog quand on en vient à parler de consultation de psy, on est déjà un macchabée :pouah!
pour se renseigner sur un-e psy ,il y a leurs publications,les écoles, même la toile peut vous aider !il y en a qui ne sont pas remis de leurs histoires avec leur beau père
« … femmes ne s’y trompent pas et que le divorce les soulage de ces narcisses impotents »
Votre conjoint-e a demandé le divorce ?
D’une part, je ne la harcèle pas : elle peut venir ici et écrire ce que bon lui semble, je ne réagis pas systématiquement, comme le troll le fait.
>Clopine
si.
vous le faites et systématiquement.
La dernière fois, tout le monde vous a dit que vous étiez pénible.
Vous ne lâchez jamais le morceau.
Je finis par croire que c’ est votre manière à vous de vous rendre intéressante.
D. c’ est avec ses menus : c’ est bien plus passionnant à mes yeux.
renato dit: 8 janvier 2019 à 13 h 59 minallez interpréter les voyages de votre beau père en images!
si vous avez tel besoin de parler de lui, ne vous occupez pas des autres;allez chez les grecs
Rose. Non. Savez-vous ce que signifie « systématiquement » ? Les derniers posts de Christiane, sur Breton tenez, n’ont reçu aucune réaction de ma part. Merci de vérifier…
D. c’ est avec ses menus : c’ est bien plus passionnant à mes yeux.
eh bien laissez la! tout le monde dira et alors ça change le menu que vous concoctiez?
Caulerpa
J’aimerais comprendre pourquoi, à la suite de quel événement, de quel post mal interprété j’ai suscité chez vous cette antipathie qui débouche sur un comportement trollesque tout à fait gratuit mon égard,
Vous ne ratez pas une occasion de relever mes insuffisances, vous tournez en dérision mon goût de la grammaire, vous ne supporterez pas l’idée que nous pourrions avoir des intérêts communs , vous raillez ma maladresse à trouver des textes de référence, et même vous suggérez en majuscules que je serais hysterique .
Pourquoi cela vous intéresse-t-il tellement de vous en prendre si continûment à moi pour me rappeler ma médiocrité, comme certains naguère ici qui ,au nom d’exigences culturelles élevées nous refusaient à moi et d’autres toute légitimité pour intervenir ici ?
Croyez que je ne vous ai pas attendu pour connaître mes limites ; tant dans ma vie personnelle que professionnelle j’ai toujours accepté les critiques quand elles étaient constructives et j’ai apprécié les remises en question auxquelles elles m’invitaient.
Mais quand ces critiques sont acrimonieuses et surtout gratuites, car venant de gens qui me jugent sans me connaître, non seulement elles ne m’atteignent pas mais elles discréditent définitivement ceux qui les formulent, quels que soient par ailleurs leurs mérites leur culture ou leurs talents
Aussi votre harcèlement loin de me blesser ne fait que susciter une interrogation, celle que je formulais au début de mon post : Pourquoi m’avez-vous élue comme souffre-douleur ?
Mon beau père ? et quand j’ai parlé de mon beau père ici ? Vous êtes vraiment une pitoyable personne, caulerpa, vous devriez vous faire soigner, vous en avez grand besoin.
Mais évidemment, Rose, vous pouvez aussi ne pas me croire, affirmer tranquillement que je réagis « systématiquement » aux propos de Christiane, encourager cette dernière à avoir des hallus, me mettre sur le dos la responsabilité de tout le différend (est-il besoin de redire ce qui, chez moi, me paraît impardonnable de la part de Christiane ? Non, n’est-ce pas ? Ou bien ne voulez-vous tout bonnement pas l’entendre, et surtout ne pas considérer que, à ma place, vous seriez vous aussi parfaitement indignée ? Car je vais avoir du mal à croire que vous ne le seriez pas, voyez-vous, connaissant votre susceptibilité (d’ailleurs légitime, soit dit en passant;..)
La société virtuelle de la Rdl bouillonne ce matin comme le contenu d’une casserole.
renato dit: 8 janvier 2019 à 14 h 10 min
SI VOUS N’AVEZ PAS DE MEMOIRE CHERCHEZ.?MOI?JE M4EN MOQUE DE VOS INTERPR2TATIONS DES VOYAGES DE CELUIque vous avez appelé votre beau père, sa maitresse et si vous avez inventé,c’est votre affaire,pas la mienne stop,stop,stop.
IL EST VRAI QU4ON APPELLE BEAU père,le mari de la mère qui n’est pas le père!
Sur les autres projets Wikimedia :
beau-père, sur le Wiktionnaire
Le terme beau-père peut désigner, dans une famille :
le père d’un des conjoints, pour l’autre conjoint ;
le parâtre, le nouvel époux de la mère, pour les enfants d’un mariage précédent.
savez vous qui a dit:« Faites valoir votre droit de penser, car même penser à tort est mieux que de ne pas penser du tout ».
« En outre, c’est à lui qu’on doit d’avoir orchestré la transition de la culotte moulante du XVIIIe siècle au pantalon de couleur sombre emblématique des habitudes vestimentaires masculines modernes. »
Un crime, qui fit dire aux femmes de l’époque : « Désormais on ne saura plus ce que les hommes pensent de nous ! »
clopine
je ne crois pas être aussi susceptible que cela.
non je ne dis pas tout ça.
j’essaie de voir en ne m’en pas mêlant : il y a inimitié et vous remettez incessamment des brandons sur les braises.
caulerpa, renato ne parlait pas de son beau-père mais de son père. Présentez-lui vos excuses !
« … vous avez appelé votre beau père, sa maitresse et si vous avez inventé,c’est votre affaire,pas la mienne stop,stop,stop. »
Voilà que vos compétences de lecteur se révèlent nulles, pitoyable personne. J’ai employé, et j’emploie habituellement, l’expression « mon BON pére », ce n’est même pas une nuance.
clopine
sur Breton, étaus en vacances. Ai lu christiane renato et paul edel à partir de nadja.
ai vécu telle inimitié au boulot et bouillon de rage.
Plus tard, la fille en question s’est désolée de m’avoir ratée. Moi pas.
une drole d’histoire de chat
Antique painting specialist Dr. Bendor Grosvenor was repairing a painting by John Michael Wright, when his cat attacked, leaving him with additional repairs costing as much as the painting itself.
Je me suis longtemps demandé ce que Clopine pouvait bien reprocher à Christiane.
Moi, je trouve que, par certains côtés, elles sont très semblables.
Je crois que ce que Clopine ne supporte pas chez Christiane, c’est la vision chez elle de ses propres « défauts » ?
Merci de le rappeler, Jacques.
renato dit: 8 janvier 2019 à 14 h 56 min proove it avec la date, le fil!
ça arrive à tout le monde de faire un lapsus signifiant!
enfin caulerpa repentez-vous.
un gadin dans un virage à la place arrière du teiporteur à moteur à explosion.
+ un placage au demie arrière gauche c’est beaucoup en onze ans.
du triporteur
@Jazzi
a ^propos de votre poste sur le pantalon :
vous qui connaissez si bien Paris avez vous observé les statues des maréchaux sur la façade du Louvre le long de la rue de Rivoli?
pour certains d’entre eux on comprend bien ce qu’ils pensent
je dis proove it avec la date et le fil!
après,je verrai!
« ça arrive à tout le monde de faire un lapsus signifiant! »
Voulu vous souveniez donc de votre beau-père par le biais de mon bon père ?
rose dit: 8 janvier 2019 à 14 h 59 min
qu’estce que ça veut dire et que me voulez vous?
J4AI CONNU LES PROFS fous du petit prince et ils ont publié ;appelé le fils antoine,et divorcéaprès avoir emmerdé les autres sur leurs histoires de psy!
je ne m’occupe pas de vos histoiresalors foutez moi la paix
Ou le pauvre Victor Noir, au Père-Lachaise, DHH, ou encore le maréchal Ney, en haut de l’avenue de l’Observatoire…
http://www.paristoric.com/index.php/paris-d-hier/statues/autres-statues/3620-la-statue-du-marechal-ney
L’idée leur vint en même temps : indignés des persécutions dont Big Bang Maboul, le boxeur de flics, faisait l’objet de la part de Macaron et de ses sbires, Gilet John, Gilet Johnni et Gilette Johnnette décidèrent de créer une cagnotte de soutien au héros de la subversion, dernier en date. Dès les premiers jours, les résultats dépassèrent leurs plus folles espérances . Les sommes recueillies dépassèrent largement le million d’euros. La khonnerie ambiante étant ce qu’elle est, on ne voyait pas pourquoi on s’arrêterait là, mais les trois compères étaient de l’espèce des modestes. Ils n’avaient rien d’un Carlos Goshn ni d’une Chantal Jouanno.
» Qu’ils sont cons, ces gilets jaunes, surtout les vieux retraités qui, apparemment, sont ceux qui ont donné le plus. Ils ne se sont pas doutés un instant que leur fric allait servir à un autre usage que celui auquel ils le destinaient. » « Bien fait pour leur gueule », ricana Gilet Johnni. « Je connais des banques, au Luxembourg, qui feront fructifier notre avoir. En attendant, si on se payait des vacances ? A la neige ? en Suisse ? Zermatt, par exemple. » » En voilà une idée qu’elle est bonne, s’exclamèrent les deux autres.
Et d’ouvrir une boutanche de champe, à la santé des cocus.
« je dis proove it avec la date et le fil!/après,je verrai! »
Vous dites ce que bon vous semble, mais c’est vous qui avez mis le beau-père sur la table et c’est donc à vous de porter la preuve de vos dires.
Dr. Komplex :
renato dit: 8 janvier 2019 à 15 h 03 min
surement pas ça n’a rien à voir;je ne fonctionne pas de cette manière simpliste;alors je n’ai rien à faire de vos histoires de bad boy toujours à la remorque occupez vous de faire des commentaires que vous pouvez retrouver et remontrer à leur place sans vous désavouer
Bien vu, et merci Ch… Les crises de rage ne sont jamais loin des crises de sentimentalité. Je sais bien que c’est pas très viril à reconnaître, mais depuis le temps qu’on ne se refait pas, j’ai dû apprendre à m’en accommoder. La passion m’a toujours été furibarde, et pour pouvoir écrire un brin j’ai besoin de me forcer le tempérament. A vrai dire, j’aurais aimé vivre à « l’âge du furieux ». Tenez… voici le lien d’un beau livre d’un de mes potes pas mal exalté, Pierre Lepère, hélas trop injustement méconnu, mais peut-être pas de Marc Court, lui qui connaît tout.
https://www.amazon.fr/LAge-furieux-1532-1859-l%C3%A9gende-litt%C3%A9rature/dp/2729116362
Je vous le répète caulerpa, vous avez mis le mot sur la table, entre personnes civilisées c’est à vous de porter la preuve de vos dire.
ça, c’est écrit par MOIX
De guerre. Aux mots pourris et anonymes déjections internautiques, nous avons répondu par des mots d’écrivain. Je hais Internet.
Voilà que ma bonne fée me protège de la stupidité ambiante : mes mots ne sont pas anonymes…
renato dit: 8 janvier 2019 à 15 h 29 min
vous pouvez ontinuer longtemps à vous autociter!pour qui vous prenezvous de quémander comme ça un statut d’é&crivainà relire? incapabele que vous êtes de retrouver vos salades de vie privée et poussé à croire que quelqu’un s’y reconnaitrait ? CHRISTIANE ,elle, se recite parfois selon les commentaires de rose vous êtes avec vos 72 ans dépassé (les vieux scnocks de LSPdit-elle)je n’ai pas de temps à vous consacrer portez vous bien
Merci, JJJ,
« l’âge du furieux » ! de Pierre Lepère est tentant. C’est commandé. Je vous dirai mes impressions.
« A vrai dire, j’aurais aimé vivre à « l’âge du furieux » »
Il n’y a pas âge révolu du furieux, JJJ. Les temps actuels s’y prêtent bien, il n’y a qu’à voir ici même !
vos mots le pizzaiole sont insignifiants;si vous prenez vos radotages de famille pour de la littérature, allez vous faire solliciter ailleurs,après avoir dit que c’était tellement mieux en italie,la littérature qu’avez vous à faire de
boitiller en français ?sur ce blog la flatterie servile est odieuse;vous en voulez votre part! vous avez des chances, mais n’attendez rien de mon côté
caulerpa est une superbe furieuse. Dommage qu’elle ne sache pas écrire !
Vous n’êtes pas simpliste, caulerpa, vous êtes une pitoyable personne plutôt primaire, de là vos airs de pseudo-cultivé. Vous avez mis le mot sur la table, c’est à vous de porter la preuve que je l’ai employé.
Cela dit,
— je me auto-cite comme bonne me semble ;
— jamais cherché le « statut » d’écrivain, cela redit sur ce fil même.
savez vous qui a dit:« Faites valoir votre droit de penser, car même penser à tort est mieux que de ne pas penser du tout ».
là vous ne dites que mon droit en affirmant que vous pensez:ce qui reste à prouver
« penser à tort est mieux que de ne pas penser du tout »
Le contraire me semble préférable et fait moins de dégâts collatéraux !
— je me auto-cite comme bonne me semble ;allez vous faire corriger par qui ça chante!je ne lis pas vos excréments
Respirez un coup caulerpa et faite le point sur la carte de votre océan en bourrasque : où et quand j’ai di « que c’était tellement mieux en italie » ?
Comment faites-vous pour ne pas lire renato et le citer, caulerpa ?
2019 à 15 h 48 min pour le management,il y a des titres requis,et vous ne les avez pas repliez vous sur vos amis d’ici ou de votre bordel préféré je ne voudrais pas être de leur nombre,les pauvres!
M.RD. RELISEZ VOUS SI VOUS NE SAVEZ PLUS CE QUE VOUS AVEZ ECRIT? GARDEZ VOTRE CHAUVINISME DE PROVINCIAL!
Auto-citation
« Formidables les ratés ! Sens commun ? Nada, car ils se sont persuadés que le monde ne peut pas exister indépendamment d’eux ; ainsi, en manque d’arguments, ils se cachent derrière les mirages d’une identité fantasmée. Bon, on ne peut évidemment pas compter sur ce caractère distinctif de la pensée qu’est l’attitude critique, c’est-à-dire la qualité plus importante dans la pratique de la science et des arts, car ils en sont dépourvus, ce qui explique l’aigreur de ceux qui ont raté la marche. Donc, tout comme leurs héros, ils sont incapables de philosopher — et en conséquence, de discuter : pas d’arguments solides ni d’objections cohérentes, jamais — ; ils ne savent qu’éructer insultes, assertions dogmatiques et quelques informations mal comprises : que d’équivoques par inadvertance ! Au fond, ce ne sont que des trolls pitoyables qui ne savent pas faire la différence entre réalité et apparence, et il serait dommage de ne pas les nourrir, car on perdrait quelques magnifiques occasions de sain et légitime amusement… »
« savez vous qui a dit :« Faites valoir votre droit de penser, car même penser à tort est mieux que de ne pas penser du tout ». »
La philosophe et mathématicienne grecque Hypatie, ayant vécu à la fin du 4e et au début du 5e siècle après Jésus-Christ, était l’une des femmes les plus admirées d’Alexandrie, et également l’une des plus détestées.
caulerpa, il me semble que vous n’avez pas les titres requis pour prétendre vous identifier à Hypatie d’Alexandrie !
je tiens à rappeler que l’un des thèmes du billet était archives ,avec la mémoire!
on m’ a parlé aujourd’hui d’une dame qui ne savait plus à midi qui elle avait vu le matin,je ne sais pas son age mais ça vous guette,de ne plus vous souvenir du billet juste au dessus;naguère ce blog parlait d’alzheimer:peut-être que ceux qui ne savent plus rien de Moix devraient s’inquiéter;je ne suis pas médecin mais ces maladies neuro dégénératives attaquent avant 50 ans dit-on!
8 janvier 2019 à 16 h 01 minqu’estce que vous en savez,on ne se connait pas, monsieur,je ne vais pas dans vos pédiluves
un exemple:La cause de la SLA est inconnue. Elle touche les deux sexes et son incidence augmente avec l’âge à partir de 40 ans.
un auteur connu en est mort avant 60 ANS
En tout cas, et ironie bien à part, l’on m’accuse de quelque chose sans en porter la preuve, c’est un procédé archaïque, c’est à dire précédent à l’invention du droit. Et ça sur un blog fréquenté par des gens cultivés, ce n’est vraiment pas rassurant. Inutile d’attacher un wagonnet à ce post.
Jazzi 14 h 57 : nooooon, au secours ! Accorde-moi cependant cette essentielle différence : moi, je n’ai pas d’hallus, et ne vois pas de fellation et d’empalement là où il n’y en a jamais eu.
Sinon, après tout, je m’en moque.
CE QUE DIT LE BILLET/
sans mémoire la création est sans os ».
Qu’est-ce que ça serait si tu ne t’en moquais pas, Clopine !
Ciel, caulerpa est une trollesse !
Sinon, après tout, je m’en moque.
bien sur clopine, les gens rabattent le connu sur l’inconnu et deviennent incapables d’apprécier les différences!ce n’est pas « rien »les différences;
je ne suis pas partie prenante de votre conflit avec christiane et ne crois pas bon de m’en mêler;vous êtes très différentes n’importe comment;vivez votre vie selon vos tentations la RDL NE ME TENTE PLUSvous étiez son caractère le plus attachant,avec un sens aigu du quotidien,et de le négocier ;persévérezsans vous laisser piéger,même par les meilleures causes,restez femme,mère avec votre fils bien doué:je vous raconterai l’anecdote qui m’a le plus appris:c’était à un colloque sur l’écriture et C.Malabou s’interrompit brièvement;alors, sans attendre l’instant question, J?Derrida du fond de la salle prit la parole pour contester;C.Malabou lui intimale silence en disant »j’ai un fils »et par la suite, je l’entendis dire qu’elle ne s’assiérait jamais plus à côté de lui;j’ai continué de lire les lives de Malabou;cette histoire m’est apparue très symptomatique deslimites de l’amitié d’autant plus que Derrida écrivitune politique de l’amitié où l’histoire qui le touchale plus-et qui me toucha beaucoup-est celle de son séjour en prison oùson compagnon de cellule le « restaura »,lui qui avait connu bien des universitaires ,et beaucoup partagé avec eux;
portez vous bien Clopine,et vous et les votres;bonne chance!
t: 8 janvier 2019 à 16 h 33 min
j’en ai rien a troller de vos histoires de pédiluves monsieur!soignez vous les mycoses, les slas et le reste chez vos bons médecins
lire les livres!
oui, je préfère inventer cette boutade « j’en ai rienà troller »que deme perfectionner dans vos langues venimeuses et avilies par des désirs incontrolés de vous-mêmes
clopine, je vous signale un livre que j’ai lu:CATHERINE MALABOU
Changer de différence. Le féminin et la question philosophique
qui explique ma précédente réponse;il est un peu ancien mais a des échos sur la toile
bien à vous et courage
Version imprimable Augmenter police Diminuer police
Dans son dernier ouvrage, Catherine Malabou analyse deux postures problématiques : celle d’être femme d’abord, et d’avoir toujours à résister aux formes de violence sociale ou théorique qui cherchent à anéantir son être ; celle d’être philosophe ensuite quand le « phallocentrisme » philosophique empêche Arendt, Weil ou de Beauvoir d’en revendiquer le statut. À l’impossibilité de la femme de se constituer en sujet propre répond la vacance d’une pensée proprement féminine en philosophie. En s’interrogeant plus précisément sur le passage du féminisme traditionnel au post-féminisme issu des gender studies et de la queer theory, Catherine Malabou cherche autant à relever les apories du débat entre essentialisme et anti-essentialisme qu’à tracer l’espace d’un nouveau combat pour l’émancipation féminine.
ce n’est pas dans les cordes de DHH qui s’imagine incarner avec christiane la femme enseignante,
malabou enseigne
Wouah, Jazzi, tu as raison,je me le demande moi aussi. Bon allez, tentons de prendre tout ça à la légère. Après tout, notre bon hôte doit s’arracher les cheveux, de voir la cour de récréation de son établissement dans cet état. Mais vu que l’inspecteur ne dit rien…
Caulerpa, eh oui, faut avoir la peau à peu près aussi dure que celle d’un caïman pour venir barboter dans ce marigot. Bon départ et à vous revoir entre les lignes !
(Jazzi, mon « goût du venin » ne te tente pas ?)
<@caulerpa
encore une bêtise me concernant
je ne peux m'imaginer incarner la femme enseignante; c'est un métier auquel j'ai renoncé à 27 ans et dont je parle à l'occasion parce qu'il me laisse des souvenirs gratifiants
DHH j’endirai encoreune pour que vous puissiezles compter:vous vous imaginez incarner LAfemme celle qui est la mère qu’on dit l »éphémère » avec vos lumières contre la dépression et tout le saint frusquin « à l’occasion »comme la cuisine et le reste comme si clopine n’avait ps assez remachétoutes ces questions,vousêtes comme les hommes qui prétendent s’y connaître enfemme et féminin ils savent, ils savent tout -c’est de leur mère,leur soeur la copine et la copine de la soeur oh les gratifications!mais vous n’avez pas reproché au traducteur de Kafka (tweet)dene pas l’aimer en béarnaise ou au poivre peut-être alors vous les aimez comment ,vous, les auteurs, moix par exemple qui a même appris l’hébreu ….
Je vous avoue que je n’en ai rien à troller ni des soupçons sur LSPque vous n’avez pas su trouver :c’est pas gratifiant la recherche mais conseiller si surement; encore une bêtise , faut croire que je vous ai détournée de MALABOU comme deARENDT?
Portezvous bien madame et apprenezà concevoir la « différe/Ance »ça peut servir encore dans votre carrière de recherches de gratification et d’adoration! bonsoir
Voyons, Ed, vous savez bien que c’est si souvent la même chose…
ça,c’est vrai on a même eu une enseignante de maïeutique!mais elle n’a pas dit si c’était en institution!ça me tue et me rappelle un homme que j’ai croisé un jour dans une bibliothèque et qui me raconta que lorsqu’il avait dit « doctor »son interlocutrice avait compris teacher;c’était un juif de « nulle part », plutôt pitchi poï qu’odessa ,
je ne sais plus et il rentrait dans le pays par lequel il voulait être adopté, assez assuré de lui et son droit, finalement ça s’est fait après des difficultés administratives;n’importe donc; je ne l’ai jamais revu, cet homme qui se reposait en bibliothèque;
ah j’ai retrouvé un univzersitaire dont Derrida partagea la chambre:c’est Genette qui le raconte
ET Derrida parle de Genette dans Glas,vous pouvez
vérifier!vous ne perdrez pas votre temps;
bonsoir
au fait Clopine; Derrida a été caïman à normale!
Pour le grand débat national entre gilets jaunes et gouvernement, j’apprends que ce dernier va faire construire par le groupe Vinci un immense rond- point.
Caïman – nom commun. Surveillant ou enseignant de l’École normale supérieure. Au XIXème siècle, surnom donné à un surveillant qui ressemblait à un caïman.
et le lien où je l’ai vérifié
https://www.ens.fr/des-campus-au-coeur-de-paris/traditions-et-particularismes/petit-vocabulaire-l-usage-du-normalien
Dites, Caulerpa, et si vous alliez prendre l’air frais et une bonne promenade, pour vous calmer les nerfs
@caulerpa
vous ne m’avez détournée de rien ;la philo c’est pas mon truc et je ne connaissais même pas le nom de malabou et malgré un tentative je ne comprends rien à Derrida,mais je connais son nom
je ne parle que de ce que je connais et à cet égard vous avez tort de considérer comme l’expression de ma suffidsance d »ignorante donneuse de leçon ce que j’ai pu dire sur l’effet du manque de lumière sur la sécrétion de sérotonine et sa conséquence le Sad un des types de dépression
sachez que ce que j’en dis procède de plusieurs années de lecture de ce qu’on découvrait peu a peu expérimentalement sur cette maladie et dont il était rendu compte dans les livraisons mensuelles de l’American journal of psychiatry, à une epoque où la connaissance de ces maladies était en France embourbée dan le verbiage psycho psychanalytique
Crache ton venin.
Album mythique.
cher monsieur: 8 janvier 2019 à 18 h 24 min
je ne demande à personne sur ce blog de jouer les infirmier-e-s( de culture livresquesans formation de terrain:non gratifiante)ni de déplacer une culture de carnaval en littérature vous avez peut-être des lumières :fairtes en part aux personnes infichues de citer un auteur spécialisé !je ne suis pas votre serviteur
https://www.cairn.info/revue-tiers-monde-2006-3-page-547.htm
. Le premier ouvrage traitant spécifiquement de ces rapports a été écrit et publié, à partir de recherches faites à Salvador de Bahia dans les terreiros [1]
[1]
– Nom donné au lieu où se déroulaient et se déroulent toujours…, par le médecin légiste Raymundo Nina Rodrigues. Publié en français à Salvador même en 1900, son titre, L’animisme fétichiste des nègres de Bahia. Dégénérescence et crime. Atavisme psychique et paranoia, donne une idée claire de la vision marquée de préjugés que son auteur avait des cultes en question, à l’instar de la plupart de ses contemporains appartenant à l’élite nationale.
, il existe jusqu’aujourd’hui une très forte tendance à aller chercher la rémission de ce qu’on appelle, communément aujourd’hui, les « maladies des nerfs » ou « maladies nerveuses » dans des systèmes symboliques à teneur religieuse.
On ne parlera pas ici du catholicisme qui, bien qu’il soit la religion déclarée au recensement de l’an 2000 par 73,77 % de la population, a dans les trente dernières années beaucoup rationalisé sa doctrine et, exception faite de quelques groupes du Renouveau Charismatique, ne développe pas jusqu’à présent de rituels à visée spécifiquement thaumaturgique. De ce fait, un grand nombre de ceux qui se réclament du catholicisme se rendent, pour soulager leur mal-être, dans les cérémonies de l’un des trois autres courants.
Don’t feed the Troll
… perspectives…
« La vision et l’énigme. Paysages urbains contaminés ? Défoulements sévères, c’est compliqué de savoir ce qui vient en premier ; the voyage out : où adviennent les choses qui importent ? Peu importe, “I had my vision”. Ce n’est pas surprenant qu’une certaine photographie récente révèle parfois une réalité qui présente la même consistance qu’un plat de nouilles trop cuites, soutenue par une structure métaphysique orpheline de sens et de but (concevoir un projet c’est adopter un point de vue sur la réalité, et la métaphysique n’y a pas de place ; après l’on peut argumenter en grimpant sur une vitre : c’est un sport pour celui qui argumente et un divertissement pour le spectateur). Vers 1970 un photographe plutôt bon — René Burri — m’a dit n’avoir jamais cru qu’en se plongeant dans le flux du réel il en aurait pleinement justifié l’existence même si en vertu et par la force de l’image, sa valence éthique s’était donnée comme organiquement intense, car le réel n’étant pas un univers narratif, mais la situation étant ce qu’elle est, une symétrie imparfaite il ne s’agit pas de suivre une histoire, mais de se laisser transporter par une histoire, de coïncider avec les événements qu’elle suscite — Les emersoniens Nature et The Conduct of Life serpentant sous la surface — ce qu’à l’époque me ramena à l’admirable ambition de Pierre Menard : «produire quelques pages qui coïncident, mot par mot et ligne par ligne, avec l’œuvre originale» — point de greffe : en 1993 Susan Sontag observa que «l’activité photographique est un événement en soi» —. L’expression «pévénement en soi» est ambiguë, dira un observateur superficiel ; mais l’ambiguïté est une richesse et l’idée est merveilleuse, car le photographe se soumet à «la mystérieuse obligation de reconstruire littéralement le réel», l’on ne retrouve pas dans l’image une enquête relative à ce que réellement advient, mais son origine, ce qui donne une image infiniment plus riche du réel, une nouvelle naturalité : un autoportrait indirect pour être à l’aise dans le monde. À partir de l’image, on perçoit que l’artificialité de l’humain, de sa praxis, se nourrit de l’histoire — usages, règles, formes de vie ; définition pragmatique de l’action, et de… À chaque jour sa peine suffit ; ici, il aurait dû être question de Considerations by the Way, le septième ou huitième essai, il me semble, de The Conduct of Life, ne jamais interrompre la recherche du chemin possible — catastrophe de la mémoire et destruction de la logique narrative, il faut décider vite, rien de plus simple que la complication du discours : il suffit d’organiser les souvenirs de lecture selon une méthode proche du processus d’assemblage d’un cocktail : respect de la recette bien à part — goût, tendances : quelle est la dose exacte de chaque liquide ? —, il y a la question de l’état d’esprit et celle de la glace. Parler de l’état d’esprit occuperait trop d’espace, et en un sens ça nous ramènerait à la symétrie imparfaite, je me limiterais donc à la glace. Moi, je préfère refroidir le verre avec de la glace puis la jeter et commencer l’assemblage, cette méthode présente l’avantage de ne pas diluer les divers liquides garantissant ainsi le bon taux alcoolique du breuvage. »
La connexion ED n’est pas sécurisée, en conséquence le clic sur ces 2 initiales en MAJ rouges nous détourne du droit chemin. Le silence de D. en est d’autant plus effrayant. Il est vrai que Caulerpa a rempli à lui tout seul 62,7% des commentaires du présent billet, et ce n’est pas fini, nous enlevant le plaisir de la confection du repas du soir. GS’A, j’ai oublié de sous souhaiter une belle année, avec beaucoup de cartes bleues retrouvées, et la vente de quelques-unes de estampes bien trempées enfin reconnues à leur juste prix. Ce soir, la journée ayant été faste, je n’ai pas râlé contre le RER C qui m’a encore fait perdre une heure. Car je me suis plongé dans l’Abyssin, le 1er roman du diplomate académicien. On m’avait toujours dit qu’il était intéressant. Et cette fois-ci, je ne pouvais plus y couper. Tchin à tous avec un bon whisky sur le rock et quelques graines.
« (Jazzi, mon « goût du venin » ne te tente pas ?) »
Ce n’est pas dans mes goûts, Clopine. En revanche, un « Goût des furieux », selon JJJ, ne serait pas pour me déplaire…
J’ai croisé mon éditrice aujourd’hui, et nous avons échangé nos voeux. J’étais passé rendre le jeu d’épreuves du « Goût du printemps » avec mon BàT, qui sortira en librairie de 14 mars prochain…
au fait jzzm, je crois que le houellebecq vous a battu à plate couture dans la description de la rue Ste-Rosalie, proche de chez Ch., qui débouche sur la rue Abel-Hovelacque, dans le 14e ou le 13e, je sais plus trop. J’ai l’impression qu’il pique pas mal de ses idées ‘descriptives’ sur ce blog, m’a-t-il souvent semblé. Senlis, Coutance, Falaise, Nez de Jobourg, Niort, finirions par en avoir le tournis. Et la description émerveillée du splendide centre Leclerc de Caen et du Carrefour Market de Carentan, sublime forcément sublime. « J’ai l’impression que vous êtes en train de mourir de chagrin » lui dit le docteur Azone page 316. Et là, on éclate en sanglots à sa place, car lui, F-C L en fut totalement incapable, incapable de donner un sens à cette impression.
LA PSYCHIATRIE : UN SECTEUR CORROMPU
INTRODUCTION
Depuis des décennies, les psychiatres et les psychologues revendiquent l’exclusivité du domaine de la santé mentale. Les gouvernements et les compagnies d’assurance privées ou publiques leur allouent des milliards de dollars chaque année pour traiter les « maladies mentales »
renseignez vous
Cette immunité a permis aux psychiatres et aux psychologues de commettre beaucoup plus que de simples fraudes financières. La liste de crimes commis par ces « professionnels » s’étend de la fraude, aux abus sexuels, en passant par les mauvais traitements sur les enfants, les agressions, les homicides involontaires et les meurtres.
L’expérience a montré qu’il y a beaucoup de criminels chez les praticiens de la santé mentale. C’est pourquoi la Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme (la CCDH) a établi sur le site http://www.psychcrime.org une base de données sur tous ceux qui ont été condamnés et emprisonnés.
J’ai lu un mauvais papier dans le Canard enchainé, sur Sérotonine, JJJ.
En revanche, l’hebdo 1, lui consacre entièrement son nouveau numéro, que je reçois en ligne. Voilà ce que la jeune et jolie Agathe, spécialiste es Houellebecq, nous dit de son dernier roman !
https://www.youtube.com/watch?v=fD8VxgGxknA&feature=youtu.be
^^
https://www.franceculture.fr/personne-catherine-malabou.html
Ride the snake
https://www.youtube.com/watch?v=JSUIQgEVDM4&feature=youtu.be&t=273
« Caulerpa a rempli à lui tout seul 62,7% des commentaires du présent billet, et ce n’est pas fini »
Faut résister, car elle vise certainement le 100% !
C’est la définition parfaite du troll, élément qui vient pourrir un blog en tout anonymat et impunité…
moix fait parler de lui et prend la parole sans ambiguité sur le gout et la responsabilité
non messieurs c’est vous qi êtes demandeur sur moix
je ne cherche pas je trouve comme disait un artiste célèbre
@Paul Edel dit: 8 janvier 2019 à 18 h 07 min
Pour le grand débat national entre gilets jaunes et gouvernement, j’apprends que ce dernier va faire construire par le groupe Vinci un immense rond- point.
Très drôle. Sans l’aspiration au sublime et à l’évasion que le nom de Vinci peut susciter chez certains esthètes qui occupent ces lieux, on imagine sans peine l’agoraphobie et le dégoût que provoque chez eux la simple évocation d’un tel méga-rond-point
Jean Langoncet, Yann Moix a un petit kiki . Rien à voir avec le portrait de Carlos.
S’il faut de grandes entreprises pour gérer le flux des autoroutes et entretenir la voirie tellement sollicitée par les rouleurs infatigables, il faut aussi ménager un espace pour que vivent et peut-être prospèrent les employés communaux qui ont la charge de chemins ruraux, sinon de traverse, parfois salement enneigés en cette saison
vous n’aurez pas le lien
Le philosophe handicapé, auteur d' »Eloge de la faiblesse », pratique désormais la méditation à Séoul. Récit d’une conversion inattendue, à l’autre bout du monde.
encore la corée!qu’estce que vous attendez pour y aller?
@Passou,
maintenant c’est à vous que je vais parler de ce livre de Michel Houellebecq, pas vraiment du récit et des nombreuses et tristounettes aventures du héros cabossé et des gens qu’il rencontre, pas des descriptions des lieux qu’il traverse mais de quelque chose d’impalpable qui m’a fait laisser provisoirement son livre ouvert page 181, à cause d’un passage qui m’a incité à rechercher dans votre livre Vies de Job des éclats établissant comme un dialogue entre vos deux écritures. Mais là, je crois que vous avez creusé plus profondément la question. De plus, il est préoccupé par sa vie, son itinéraire chaotique. Vous, pour la même question, c’est la mort et la souffrance des autres qui vous a conduit à écrire ces lignes.
Je mets donc les deux passages en vis-à-vis l’un et l’autre aux deux extrémités de la lice.
Sérotonine – Michel Houellebecq :
« […] des choses comme ça ne devraient pas avoir lieu, elles ont lieu pourtant, elles ont lieu tous les jours. Dieu est un médiocre, tout dans sa création porte la marque de l’approximation et du ratage, quand ce n’est pas celle de la méchanceté pure et simple, bien sûr il y a des exceptions, il y a forcément des exceptions, la possibilité du bonheur devrait subsister ne fût-ce qu’à titre d’appât, enfin je m’égare revenons à mon sujet qui est moi, ce n’est pas qu’il soit spécialement intéressant mais c’est mon sujet. »
Vies de Job – Pierre Assouline – page 481 :
« La fin n’est pas heureuse, elle est scandaleuse. Comment peut-on dire que cette histoire s’achève pour le mieux alors que les enfants de Job sont morts ? Il en a eu d’autres, et alors ? Il y a une certaine indécence à parer ses nouveaux enfants de toutes les qualités, quand ce n’était pas le cas des petits morts. Les nouveaux ont des noms, ils sont beaux et féconds.
L’Éternel est très fort pour les commencements mais pas doué pour les fins. Il sait envoyer la pluie hâtive et la pluie tardive mais il ne sait pas comment finir. Il devrait pourtant savoir que rien ne console parce que rien ne remplace. »
et page 445 :
« Le Satan instille le doute en Dieu qui met Job à l’épreuve, contrairement à ce que croient tant Job que ses amis, c’est le Satan mû par l’instinct du Mal. Celui qui sépare et dissocie. Le « traître »[…] »
et page 424
« Celan […] place Dieu devant ses responsabilités comme jamais un historien ne saura le faire avec l’auteur d’un massacre à l’échelle d’un peuple. »
—————————————————
Quant aux nombreuses scènes de sexe, n’êtes-vous un des seuls à avoir si bien compris l’univers des toiles de Jean Rustin ? N’avez-vous pas écrit page 395 :
« Pourtant, le scandale n’est pas dans l’explosion bouchère de verges et de vulves, mais dans la forme que l’artiste donne à sa vérité. Un monde artificiel, des gens qui ne font rien, une prise électrique. »
De façon différente, vous questionnez là un bien grand mystère…
Le problème de Moix c’est qu’il tombe amoureux de filles qui sont des enfants adoptées, il se retrouve dans leur quête d’origines et puis il ne supporte pas le quotidien et passe à une autre histoire. Personnellement j’ai un peu de mal avec ce désengagement, la fille lui confie ce qui lui fait le plus mal, il entre en empathie et puis pfuit … qui fait sa thérapie sur l’autre ? Un ami juriste me disait que c’est typique de personnes qui confondent médecin sans frontières et playboy, une confusion qui se solde par des culpabilités complexes. Accompagner quelqu’un dans une recherche des origines n’est pas donné au premier venu, c’est parfois une cruelle désillusion, la personne perd pieds entre en dépression post traumatique; rejette parfois le témoin de ce moment si troublant, nulle érotique dans tout cela. Si l’amoureux n’est pas solide et se défile c’est vraiment le vide. Son laïus sur les femmes de 50 ans mettons que c’est sincèrement ce qu’il pense, c’est son choix … mais nous aussi on a le droit de l’ouvrir et le trouver un peu périmé. Il paraît qu’il part enseigner le français en Corée … on verra. J’ai trouvé un chouette bouquin « la Reine Mage ».
Bérénice, il paraît que Carlos a perdu beaucoup de poids ces derniers temps et que sa préférence pour les asiatiques n’y est pour rien
CHANTAL
vous touchez la question qui fait sa thérapie sur l’autre ?même dans le dispositif professionnel du psy et de son client;certians l’ont écrit du moins
Les illustrations des vitrines inventées par Leila Menchari sont vraiment très créatives, je m’y plonge avec délice.
https://issuu.com/actes_sud/docs/mep_leila_menchari_reine_mage_fr_im
j’ai lu sur la toile que « e, Etty Buzyn, enfant caché dans l’Ain durant la Seconde Guerre mondiale5, est psychologue, psychanalyste et écrivain3. »
c’est la mère de la ministre dont le père vient d’aller avec son petit fils à Auschwitz où il avait été déporté adolescent et dont il est le seul de la famille à être revenu;(nouvel obs)
un autre écriain est allé avec son petit fils où il fut déporté:c’est parait-il plus facile avec le petit fils
« caulerpa dit: 8 janvier 2019 à 17 h 47 min »
Comme un ado.
Vous régressez Et Alii.
Comme un ado.
C’est rigolo.
Il fit la visite du camp accompagné de deux petits-fils, car il pensait qu’avec eux il pourrait évoquer cette expérience sans impression d’échec ou d’indécence. C’est à eux qu’il voulait passer le témoin de la mémoire. Pour Semprun, le témoignage est inséparable de sa valeur de transmission, qui va au-delà du récit de l’expérience, qui comporte le risque de tomber dans l’obscénité, ce qu’il avait perçu dans le récit que lui avait fait en 1961 un survivant de Mauthausen. Selon lui, si le témoignage n’a pas valeur d’enseignement, il n’a pas de raison d’être.
c’est sur la toile;je l’avais lu dans philomag je crois
pour le lien, cherchez:
L’écriture et/ou la vie
Maria Luisa De La Oliva
Dans L’en-je lacanien
Il vaut mieux en effet caulerpa que ce soit le grand – père qui fasse ce trajet et ce retour sur un passé douloureux avec l’enfant, le lien est plus sain et sincère, ce n’est que mon humble avis.
C’est rigolo.eh bien riez!
chantal, le grand père fait le voyage parce que c’est son histoire;autre chose qu’il emmène l’enfant;
je n’ai pas d’opinion , d’une certaine façon;je croisq que cela dépend de l’enfant aussi, desliens noués dans la famille
bonsoir
Alerte : pour cause d’heures supplémentaires et du manque qui en découle, ma chattoune est un gros pot de colle. Je répète : ma chattoune est un gros pot de colle.
JJJ faudrait apprendre à lire. Il n’y a qu’une majuscule dans mon pseudo.
Déjà qu’on ta grillé sur ta liste interminable de livres que tu prétends avoir lu mais que tu as simplement acheté, dans le meilleur des cas.
Hurkhurkhurk
Ed, quand je clique sur votre lien je tombe sur Alerte, et on me conseille de revenir en arrière !
Dactylographe :
C’est vrai on a ça :
« Votre connexion n’est pas privée
Des individus malveillants tentent peut-être de subtiliser vos informations personnelles sur le site http://www.rockandvolk.blogspot.com (mots de passe, messages ou numéros de carte de crédit, par exemple). En savoir plus »
Vous voulez mon numéro de carte de crédit Ed?
Et là ?
Là pas d’alerte, Ed.
@the round trip (en semaine aussi, si)
Quelqu’un veut pirater votre adresse, Ed ?
Mais nan roh. J’ai juste mal copié l’URL ici. C’est réparé.
Typewriter Keys :
https://blogfigures.blogspot.com/2012/03/paul-strand-keys.html
@P.Assouline
je n’ai pas compris les renvois de « rechercher « (sur la RDL)Semprun,ce que j’avais tenté sans beaucoup d’espoir mais là,les renvois étaient tres énigmatiques ;quelle est l’erreur?
RECHERCHE/JE SUPPOSE-quand même! QUE C’EST POUR Costa le grec ?
@J’ai lu un mauvais papier dans le Canard enchainé, sur Sérotonine, JJJ.
Un mauvais papier en effet, càd le papier d’un Jean-Luc qui n’a pas lu le bouquin. J’aime beaucoup Porquet, et il a le droit d’être lassé par ce qu’il estime être une resucée de michel (oui), mais j’ai surtout noté qu’il lui avait quand même concédé une vision juste de la fin des paysans laitiers, sciemment étranglés par la politique européenne mortifère de la réduction des quotas pour cause de surproduction. Pour le Volatile écolo, un hommage bien suffisant. Donc pas un mauvais papier…, mais un papier mal luné. Nuance et bofl. Jzzm, la suissesse normande l’avait déjà signalé à la rdl. Vous aussi, vous aussi comme eD, vous ne lisez pas toujours très bien. Toujours un peu vipérine si tu lui réponds pas, celle-là. Pas envie de répondre à ses injonctions « àlaniche » sur le djeune Gabriel Tallent dont elle écorche le titre en plus. Plus tard, peut-être. C’est qu’elle te donnerait des leçons de morue, la gamine en plus une fois qu’elle en a fini avec la litière de ses chats scrofuleux, un comb’, ça !…
j’ai trouvé à du souci de soi
pardon de ma précipitation à me plaindre!
Hébé, l’échanson,
Je vais acheter un livre.
« Concombres amers »
de Phoussera.
Rigolons, caulerpa.
@21.07, Vous établissez un audacieux parallélisme entre leurs bouquins, Ch., & vous allez nous mettre une pagaille (chapeau !). Cela dit, je ne pense pas qu’il faille tirer des conclusions trop hâtives.
« De façon différente, vous questionnez là un bien grand mystère… » leur dites-vous, in fine. Je ne crois pas que chez eux, la quête du sexe (Zob) ou celle de Dieu (Job) puisse se confondre. Bien sûr, on serait ravi d’entendre une réponse circonstanciée de Passou à cet égard. Mais enfin brefl, je pense qu’il prépare son nouveau billet.
Ah ben si votre seule réponse, c’est de vous en prendre à mon âge, c’est qu’on doit pas être très loin de la vérité…vous n’avez pas lu. Er je vous avez posé la question innocemment la première fois, avec une curiosité bienveillante. En retour, j’ai droit à de l’ignorance puis de l’insulte (« gamine », super). Dans les deux cas, beaucoup de mépris. Bref, je vais continuer comme avant puisque vous vous entêtez à m’insulter : je ne lirai plus vous commentaires.
Avais
Commencez déjà à ne plus singer votre mentor et à reprendre ses fadaises, on y verra déjà plus clair, Aide. Vous gagnerez alors beaucoup à affirmer votre vraie personnalité, indépendamment de ce besoin d’une béquille cassée pour vous affirmer. Conseil d’ami : ne soyez pas toujours dans la quête impatiente et exaspérée d’approbation de votre talent, il est certainement là, en gésine. Mais vous le gâchez par vos signes d’une puérilité que par ailleurs vous n’acceptez pas. J’essaie de prendre des pincettes pour vous le dire, ces derniers temps vous vous étiez améliorée et voilà que vous redevenez hargneuse, retombant dans vos errements.
Allez, dormez-bien ! Moi, j’y vais. Et surtout ne me lisez plus, ma prose ne vous concerne pas, sauf celle-ci…, exceptionnellement.
JJJ, « l’audacieux parallélisme », ben c’est juste n’importe nawack, wouarf. Je vous trouve bien cynique, d’encourager ainsi un penchant déplorable : attraper des mots semblables dans deux textes complètement différents pour faire croire à une pensée, alors qu’il s’agit juste d’une insigne c… Mais bon. Faut bien que tout le monde vive, pas vrai, et il vaut mieux prendre ça « à la légère », encore une fois. Qu’importe, après tout.
Travail d’horloger :
https://blogfigures.blogspot.com/2019/01/john-cage-preparing-piano.html
Tenez, le goujat — caulerpa —, puisque je suis un gentil éléphant :
http://larepubliquedeslivres.com/jacques-drillon-cappella/comment-page-7/#comment-908460
Le lien dans le texte renvoie au livre de l’analyste de mon bon père.
Hurkhurkhurk!
Chère Clopine, si pleine de gentillesse, de bonté, et d’humour… Ah non? il y a erreur sur la personne? Comme c’est étonnant…
9 janvier 2019 à 0 h 41 min
mille excuses je regrette,j’ai du associer en mémoire un autre commentaire;cela dit votre jugement est à l’emporte piècesur des ges que vous ne connaissez pas; un psy italien n’a pas fini glorieusement qui se
recommandait comme chef de bande et a été condamné
c’est autre chose que la fainéantise,de l’escroquerie je crois mais je ne l’ai jamais entendu ni lu;ce n’est pas de lui que se recommandaient les français de ce métier qui ont bien publié;il y a des accidents de parcours dans beaucoup de carrières et votre père n’était pas à l’abri d’une souffrance psychique difficile à prendre en charge par des tiers cela n’excuse pas ma confusion ,votre intense satisfaction de vous même peut-être u peu d’avoir tout surmonté au point devouloir jouer le « bad boy » et qu’on vous réponde tout de suite quant à traiter les gens sans respect, vous donnez le ton;je n’idolatre pas les psysnon plus mais j’en trouve de fort bons lecteurs et solides travailleurs en langues étrangères;
je vous souhaite monsieur de vous réparerassez pour
mesurer votre pensée aux plus talentueux d’entre eux par des oeuvres à la hauteur de vos prétentions
de survivant d’un naufrage;
por moi, je me recouche,j’ai mis quelqu’un à la porte pour ces excuses ,sitôt lu votre lien;
je ne m’associe pas aux clans qui se forment sur la RDL que ce swoit à propos de la religion ou d’un auteur, et je vérifie mes sources ,autant que se
peut; ce fut une agréable surprise pour moi de relire d’anciens billets qui passaient très bien le temps;la RDLne représente pas pour moi ce qu’elle reorésente pour beaucoup, peut-être à cause de la qualité des billets ;et je ne veux pas de blog;donc portez vous au mieux dans vos combats;et beaucoup de chance à vous
que ce soit;s’il y a d’autres fautes de frappe,regrets désolés;ma fatigue l’emporte
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