
La chute d’un corps par la voix de Jean Echenoz
Non, ca n’a rien à voir avec les états d’âme d’une carte de visite (encore qu’il serait capable d’en faire une héroïne de roman). Ni avec un palace parisien et encore moins avec une ville du sud-ouest de l’Angleterre qui s’enorgueillit d’avoir vu naitre Cary Grant et Massive Attack (idem). En fait, Bristol (204 pages, 19 euros, éditions de Minuit) a partie liée avec un écrivain né en 1947 dans le Vaucluse, auteur depuis 1979 d’une vingtaine de livres maintes fois laurés et célébrés, du nom de Jean Echenoz. Le héros de son nouveau roman s’appelle, vous l’aurez deviné Robert Bristol.
Dès les premières lignes, on comprend à qui on a affaire. Car enfin, vous et moi, lorsqu’on sort de l’immeuble où l’on vit et qu’un type tombe du cinquième étage pour s’écraser juste devant nous, on s’arrête et on regarde, d’autant qu’il est nu. Pas Robert Bristol qui poursuit son chemin par la rue des Eaux comme si de rien n’était avant d’emprunter le pont Bir-Hakeim et de rejoindre la rive gauche de la Seine. D’emblée on y est, à Paris bien sûr mais surtout dans un roman de Jean Echenoz. C’est ça, le grand art, le Graal d’un écrivain : être reconnu, identifié à la sonorité qui se dégage de la première page, sa propre voix, d’autant que plusieurs de ces livres ont déjà eu pour théâtre les artères propres, sages, cossues et agréablement haussmanniennes comprises entre Passy et le Trocadéro.
La voix d’Echenoz ? Faussement désinvolte, un brin nonchalante, qui ne sent jamais l’effort alors qu’on le sait à l’affût du bruit de chacune de ses phrases, une narration ponctuée d’apartés ironiques qui se permet d’interpeller régulièrement le lecteur afin de mieux le rendre complice sinon acteur de l’histoire dont il n’est en réalité que le spectateur, un humour léger qui doit au polar si français du regretté Jean-Patrick Manchette, un souci onomastique qui se plait à faire sonner les patronymes et s’autorise même un clins d’œil au commandant Parker (salut, Elvis ! bien que le sien fut colonel ). Bristol aurait désespéré Gérard Genette : pas le moindre paratexte, nul citation, épigraphe, épitre dédicatoire, bibliographie, remerciements, rien. Un roman tout nu comme le type tombé de là-haut et aplati en bas bras et jambes en croix.
C’est l’histoire (car il y a une vraie intrigue même si… passons) d’un réalisateur du nom de Robert Bristol, mais ça vous l’auriez deviné, obsédé par son film. Une adaptation d’un bestseller intitulé Nos cœurs au purgatoire, chère à produire mais la romancière Marjorie des Marais ( !) finance à condition d’imposer l’actrice. De quoi voyager à travers la France et même en Afrique Australe ce que la minceur de l’ouvrage n’annonçait pas. Pourquoi ce type est-il tombé du haut de l’immeuble ? Au fond, on s’en fout car on sent très vite que son créateur lui-même n’en a rien à faire. Amateurs de whodunit, changez de trottoir. Ce qui compte ici, c’est l’atmosphère, l’ambiance, la couleur. Echenoz donne l’impression d’avoir une vision du monde assez flottante dans laquelle tout se balade dans un univers imprécis, insolite, distancié. Le lecteur aussi finalement et ça lui est bien agréable.
Souvent qualifié de romancier cinégénique en raison de ses techniques (ellipses, travelings, plans-séquences, gros-plans etc) que son style emprunte au septième art, il est le romancier du pas de côté. Ce virtuose du détachement réussit à nous rendre son héros attachant car il a le charme du daté, de l’inactuel, du décalé qui s’est trompé d’époque. Un vintage fait homme. Il n’y a que lui pour faire remarquer que les voyageurs du TGV qui aiment tant regarder par la fenêtre pour observer le passage de la ville à la campagne, eh bien ils ont de plus en plus de mal car la banlieue et ses excroissances ont fichu en l’air ce bel agencement. Lorsqu’il veut changer de décor et de chapitre, selon un procédé éprouvé depuis le premier âge de la BD, il écrit simplement : « Partons maintenant à la gare » là où Proust aurait consacré à deux pages à le faire ressentir.
Antoine Blondin disait que passé huit heures du soir, les héros de roman ne courent pas les rues, mais il parlait du quartier des Invalides. Robert Bristol, lui, s’il ne s’étonne pas de la chute d’un corps dans le 16ème arrondissement et le 19 ème livre de cet auteur, arrive à se passionner plusieurs pages durant pour la course d’une mouche de l’espèce Drosophila impudica (rassurez-vous passent aussi un éléphant, une tortue géante et tout un tas de gens mais rapidement, Echenoz ne s’attarde jamais sur eux).
A distance de ses fictions biographiques sur Ravel, Zatopek et Tesla, avec le Paris de Bristol, on est à nouveau dans la veine géographique de Jean Echenoz. Ah, l’ancien Kinopanorama qui avait succédé au Splendid de l’avenue de la Motte-Picquet et de la rue de Pondichéry… S’il la connait, Patrick Modiano doit adorer la rue des Eaux d’autant qu’elle se termine apparemment comme une impasse alors qu’un long escalier à demi-caché permet d’accéder à la rue Raynouard et la maison de Balzac. On retrouve le quartier que Bernardo Bertolucci avait filmé en majesté, les immeubles de l’avenue du président Kennedy, le square de l’Alboni, le métro aérien ainsi que le viaduc soutenu par des colonnes métalliques sous lequel déambulait le couple du vénéneux Dernier tango à Paris, des lieux qu’on ne peut plus voir sans entendre monter la musique entêtante de Gato Barbieri. C’était un temps où toute automobile bien née possédait un cendrier ; il parait que ce n’est plus le cas dans les voitures d’aujourd’hui d’après ce que j’ai compris mais allez savoir avec Echenoz et ses ellipses. Qu’il se méfie, à ce train-là ses prochains livres feront 52 pages ! mais sans jamais être secs. Ne pas oublier que si Jean Echenoz a porté son premier texte Le Méridien de Greenwich à Jérôme Lindon, c’est parce que Minuit était l’éditeur de Beckett.
On peut y voir une méditation sur l’art du roman mais c’est le cas de tant de fictions dont on ne sait pas quoi dire d’autre. On (Echenoz adore ça, le « on », il en met partout) y a vraiment pris un grand plaisir, on a passé un excellent moment, c’est devenu si rare de lire d’un bout à l’autre un roman le sourire aux lèvres, mais c’est tout. Ceux qui l’aiment prendront ce train, épatés une fois de plus par sa maitrise de son propre art de la fiction. Ceux qui attendent d’un roman qu’il dise aussi autre chose que ce qu’il raconte resteront à quai.
(« Jean Echenoz », Photo Roland Allard ; « L’escalier de la rue des Eaux et le viaduc du pont Bir-Hakeim », photos D.R.)
646 Réponses pour La chute d’un corps par la voix de Jean Echenoz
« A l’éternelle question toujours demeurée sans réponse : « Qui sommes-nous ? D’où venons-nous ?
Où allons-nous ? » je réponds : « Je suis moi, je viens de chez moi et j’y retourne ». (Pierre Dac)
Un peu de bonne musique et de beau texte :
Echenoz est ennuyeux à lire, sa prose est « bâilleuse », je veux dire par là qu’elle laisse au lecteur un sentiment de somnolence le poussant irrésistiblement à l’assoupissement, voire même au sommeil.
je réponds : « Je suis moi, je viens de chez moi et j’y retourne ». (Pierre Dac)
Si ça se trouve, ce type a mangé un œuf, le jour de Noël, et a écrit « je suis un homme heureux ».
comme j’ai une sainte horreur du manque de précision, je me permets de les apporter :
la rue des Eaux (12.000 euros le m2) d’autant qu’elle se termine apparemment comme une impasse alors qu’un long escalier à demi-caché permet d’accéder à la rue Raynouard (12.500 euros le m2) et la maison de Balzac. On retrouve le quartier que Bernardo Bertolucci avait filmé en majesté, les immeubles de l’avenue du président Kennedy (32.000 euros le m2), le square de l’Alboni (11.800 euros le m2).
et voilà !
sinon on sait pas trop de quoi on parle.
pourquoi l’horreur est elle dite sainte?
best dute sainte
ZUT L ORDI
« (Echenoz adore ça, le « on », il en met partout) »
comme le dit Martin le « on » désigne des « je » qui ne « sont » pas « eux-mêmes, mais des « je » qui sont les « autres » dans la mesure où Martin distingue le « que suis-je » désignant l’ontique du Dasein au « qui suis-je » désignant l’ontologique du Dasein.
après peut-être que le type est déjà au courant de la pensée à Martin… si ça se trouve il connait Heidegger somme sa poche vu que tous les écrivains français actuels con=naissent Heidegger comme leur poche…
c’est même ce qu' »on » appelle l’exception culturelle française…
sérieux je suis le seul du blogapassou capable de passer du prix du m2 à Paris au Dasein à Heidegger.
à la question pourquoi Elon Musk méprise-t-il les européens il convient de partir du fait que Musk est un type hyper intelligent et en plus, comme c’est un Asperger, il dit ce qu’il pense, contrairement à tous les autres hommes et femmes politiques américains qui méprisent autant les européens que Musk sauf que comme ils sont pas Asperger et qu’ils obéissent aux conventions sociales dont la politesse, eux ils le pensent mais ne le disent pas.
à la question pourquoi les américains méprisent-ils les européens la réponse évidente est : quelles seraient les bonnes raisons pour un américain de ne pas mépriser les européens.
je veux dire c’est dans la nature même de la relation entre le maitre et l’esclave : les maitres méprisent les esclaves soumis et serviles.
je pense que l’attitude des européens pour la guerre en Ukraine a dû laisser les américains pantois.
sérieux il faut se mettre à la place d’un américain : les mecs ils provoquent les russes avec l’otan dans le but de les pousser à la guerre dans le but de les affaiblir : c’est logique dans la mesure où c’est à cause des russes que les américains ont dû se barrer d’Afghanistan du coup il voulait une revanche, normal.
à aucun moment ils ont dû imaginer que les dirigeants européens seraient aussi stupides.
sûr que les américains c’est les rois de l’ingérence, ils ont construit des réseaux solides avec leurs ong et autres qui financent des types comme Glucksmann ou Thierry Breton (même la géorgienne qui a perdu les élections vient d’être embauchée dans une banque américaine).
mais là, même avec tout le pognon qu’ils dépensent pour avoir la main sur l’Europe ils ont dû tomber des nues d’avoir à faire à des types aussi branques.
vu sous cet angle Musk est le meilleur ami de l’Europe parce qu’il n’y a que les amis qui disent à leurs amis ce qu’ils pensent d’eux.
il faudrait tout rapporter à cet angle de lecture.
exemple : Echenoz est un écrivain d’un pays servile et asservi méprisé par ses maitres.
de là il faudrait redéfinir le statut d’un écrivain d’un pays méprisé par ses maitres et mettre face à face Echenoz et Elon Musk.
suivre ce type de protocole analytique consiste juste à remettre la littérature dans son contexte.
le mot qu’il faudrait inventer pour se livrer à des analyses critiques c’est le mot « barniérisme » tiré de Michel Barnier.
ce type a dit si l’Europe arrête d’acheter du gaz et du pétrole russe cela mettra la Russie à genou.
c’est un raisonnement hyper intéressant parce qu’il part du principe que le type pense qu’il n’y a que l’Europe dans le monde, il n’imagine pas qu’il existe d’autres pays sur d’autres continent.
il faudrait aborder la littérature et même la culture et les médias sous l’angle du barniérisme en se demandant à quel moment la réalité va pointer le bout de son nez.
exemple : l’articlapassou peut se lire de façon « barniériste ».
quand un paragraphe commence par « dès les premières lignes, on comprend à qui on a affaire » on peut se demander c’est quoi ce « on » ? Michel Barnier en ferait-il partie ? et si oui, si Barnier comprend dès les premières lignes à qui il a affaire pourquoi les américains nous méprisent-ils ?
en fait non, ça ne tient pas debout, nous n’appartenons plus à un groupe humain capable de comprendre dès les premières lignes à qui nous avons à faire.
je veux dire il faudrait retrouver un minimum le sens de la modestie et de l’humilité, surtout en ce moment.
le plus gros risque actuel c’est que les européens déclenchent un conflit nucléaire pour essayer d’échapper au ridicule.
c’est en février que les choses vont se décider : si les socialistes l’emportent en Allemagne c’est sûr qu’il y a aura une guerre en Europe.
c’est pour ça qu »Elon Musk déteste les socialistes.
Elon Musk a compris que le danger aujourd’hui vient du bellicisme des socialites comme Glucksmann et d’autres identiques à lui en Allemagne.
Musk pense que ces types représentent ce que les nazis représentaient en Europe dans les années 30 et Musk n’est du genre à jouer les Chamberlain.
il faut bien retenir cette prémonition : si les socialistes l’emportent en Allemagne aux élections de février il y aura une guerre entre l’Europe et la Russie d’ici la fin de l’année.
quand on a compris ça on comprend pourquoi Musk fait la pub sur son réseau pour l’afd : c’est pas qu’il aime particulièrement ces gens d’extrême droite c’est juste qu’il veut éviter une guerre mondiale !
quand on a compris ça on a tout compris.
Le moment où William Marx réussi à faire dire à Mme Horvilleur que l’interprétation traditionnelle (dans le texte relatant la création de la femme) du mot hébreux « tsela' » comme signifiant côte n’est pas moins probable que l’interprétation nouvelle comme signifiant côté est réjouissante.
A partir de 46:30
je ne crois pas que les malentendus bibliques soient particulièrement réjouissants : les chrétiens ont persécuté les juifs pendant 2000 ans juste parce qu’ils ont lu la Bible de travers genre lire au pied de la lettre le sacrifice d’Isaac et faire des des juifs des tueurs d’enfants.
d’avoir à faire à des gens qui ne savent pas lire c’est tout sauf réjouissant.
au contraire c’est hyper flipant.
Aucun des deux ne se pose la question des similitudes du mythe hébreux avec le mythe grec de l’androgyne (Platon « Le Banquet » 189d-193d).
Parce que si le mot « tselah' » (toujours dans le texte sur la création de la femme) veut dire côte, la question se pose.
Pourquoi cette similitude dans deux sociétés très distinctes ?
« […] avoir à faire à des gens qui ne savent pas lire c’est tout sauf réjouissant. »
Je parlais de la manière dont il lui casse la baraque en une question, pas des calamités humaines. Calmons-nous !
* Parce que si le mot « tselah’ » (toujours dans le texte sur la création de la femme) veut dire côté, la question se pose.
Tiens, il paraît que Félon Musk est le nouvel Ezechiel?
Je ne sais pas , Patrice Charoulet , si une question honorée d’un chef d’œuvre de Gauguin ( d’où venons-nous, qui sommes nous, ou allons-nous!?) mérite cette réponse d’un Dac en petite forme. Ce que je sais, c’est que, pour avoir été posée par bien du monde, croyant ou non, elle mérite le respect. MC
« il paraît que Félon Musk est le nouvel Ezechiel? »
oui, en mieux.
en fait c’est simple, il faut partir du principe que plus les médias diabolisent un type et plus il y a de chances que ce type dise des trucs vrais.
Quelqu’un que je connais est allé voir une pièce de Claudel qui dure huit heures.
Même si on m’avait payé , je n’y serais pas allé.
Au vrai , nul ne me paiera.
sur la question de la relation entre les médias et la vérité il se passe un truc génial en ce moment aux US : tous les médias « mainstream » se prennent des procès à chaque qu’ils pondent un mensonge.
après MSNBC et ABC News c’est au tour de CNN de payer qq millions de dollars pour mensonges diffamatoires.
ça leur fait bizarre parce qu’avec leur comportement hautain et méprisant ces médias se pensaient au dessus des lois et inattaquables, et là ils sont complètement perdus dans leur tête.
du coup ils se sentent obligés de faire des déclarations publiques débiles du genre « nous sommes les défenseurs de la vérité et de la démocratie » qui tombent complet à plat.
ça c’est un truc réjouissant.
Je viens d’écrire trois lignes. je lis ma prose et je vois, avec surprise et…plaisir : « Votre commentaire est en attente de modération ». A la bonne heure! J’avais plaidé pour cette sage réforme.
c’est pas bien çà Mr Charoulet : prenez exemple sur moi : je n’ai jamais eu un seul commentaire en attente de modération.
en fait c’est simple : il faut savoir bien rester dans les clous et ne pas pondre des trucs qui vont à l’encontre de la pensée unique et commune.
un conseil : à chaque fois que vous écrivez un commentaire posez-vous la question de savoir si ça plairait à Thierry Breton, c’est notre nouveau Grand Inquisiteur, et l’hérésie ça se paie au mieux par le bûcher.
Musk est un parfum bas de gamme cité parfois par Feydeau
All the leaves are brown and the sky is grey
Moi non plus, Puck, il ne m’est jamais arrivé d’avoir un commentaire en attente de modération.
Moi non plus, Monsieur Dé, depuis que je fréquente ce blog de rencontres littéraires, j’ai toujours été très correcte et jamais je n’ai été modérée dans mes propos.
Nicolas Le Flahec -Jean-Patrick Manchette : Écrire contre – Gallimard
Passionnants extraits, on y lit la dette exprimée par Echenoz, Lemaitre, Mathieu etc. à l’égard de l’auteur de « La position du tireur couché » : des mots, des images, des expressions…
Bon d’accord.
« sérieux je suis le seul du blogapassou capable de passer du prix du m2 à Paris au Dasein à Heidegger. » (puck)
Merci qui ?
Merci wiki !
Vieille connexion.
Rhahhh. Fichu correcteur.
Je voulais dire : bielle conne.
Oh et puis merle.
Puck, tu dors ?
Puck dort, comme renato.
« Puck, tu dors ? »
oui
« Merci wiki ! »
je n’ai aucune confiance dans wiki !
surtout pas pour le prix de l’immobilier parisien.
Demain, j’ai des informations importantes à communiquer ici, Puck.
– Quand je te baise, ça te pèse ou ça t’apaise ?
– Ça me met à l’aise.
– Ravi que ça te plaise.
🤷♂️ désolé
Voilà : moi, je l’écris quinze jours avant tout le monde, personne ne me croit, Paul ne comprend pas. Et maintenant, tout le monde l’écrit.
Monstres. En passant, ce n’est pas fils c’est foils, ce sont des longues pattes avec des trucs au bout qui font que le bateau décolle et vole sur l’eau. Si vous trouvez cela normal que le bateau vole sur l’eau, moi pas, et plus vite que le vent, toujours pas.
« Les skippers ont battu le record précédent, celui d’Armel Le Cléach, de respectivement 9 jours et 10 jours. « Il y a plusieurs raisons : d’une part, la vitesse des bateaux, et leur fiabilité, ont augmenté, grâce aux fils, au fait qu’ils volent, les bateaux ont beaucoup progressé » en quatre ans, dit Charlie Dalin. « On a aussi appris à manier, à dompter ces bateaux, parce que ce n’est pas simple à gérer : ce sont des monstres de puissance, on navigue presque tout le temps plus vite que la vitesse du vent » ».
Ravi que ça te plaise.
En passant,
https://www.instagram.com/reel/DDm28utC22q/?igsh=Y3JjbXBkN2t0NmI4
A l’éternelle question toujours demeurée sans réponse « Qui sommes-nous ? D’où venons-nous ? Où allons-nous ? »
On se doit de répondre avec franchise :
» J’en sais rien ! J’en sais rien ! J’en sais rien ! »
Next ?……
Next.
Je me demande depuis trois heures qu’est ce qui différencie vraiment les gens.
La première réponse c’est trois heures de trituration neuronale. La seconde est venue comme un éclair.
La capacité de travail : on est un gros branleur ou un gros travailleur => face à la vie, ça change tout.
La capacité d’être lucide ou le basculement dans le déni. Cela implique de facto la faculté de rester vivre chez soi ou le placement. De prendre ses décisions ou de se les voir imposer. C »est terrible.
Mais le premier facteur est d’être une grosse faignasse ou une grosse travailleuse.
C’est le jour :
« Ce 19 janvier marque le très laborieux début de la mise en œuvre de l’accord sur Gaza, annoncé quatre jours plus tôt par le premier ministre du Qatar, avec les garanties des Etats-Unis et de l’Egypte. Le principe d’humanité aurait dû depuis longtemps prévaloir pour imposer aussi bien la libération des 98 otages détenus par le Hamas (dont seuls les deux tiers seraient encore en vie) qu’un cessez-le-feu dans un conflit qui a déjà tué près de 47 000 Palestiniens (soit une moyenne quotidienne d’une centaine de morts). »
In Le Monde.fr
« Qui sommes-nous ? D’où venons-nous ? Où allons-nous ? »
Mon acte de naissance répond avec précision à la première question ; mais il est assez imprécis quant à la seconde, car lorsque je suis né, mes parents étaient en vacances et donc loin de chez eux. Pour la troisième, il faudrait que je consulte mon agenda, mais comme c’est aujourd’hui dimanche, je peux dire sans hésiter : « Nulle part ».
Oui Rose, être lucide (ce qui implique, entre autres, une intelligence suffisante) et beaucoup, énormément, travailler…
« Transports : en Ile-de-France, des dépenses colossales pour aboutir à une offre unique au monde
La dernière station de la ligne 14, Villejuif-Gustave-Roussy, a été inaugurée samedi 18 janvier. Entre 2016 et 2025, la collectivité aura dépensé 22 milliards d’euros, sous l’autorité de Valérie Pécresse, pour transformer le deuxième réseau le plus fréquenté de la planète, après celui de Tokyo. »
Pécresse dépote, agit pour le bien de millions de personnes pendant qu’Hidalgo nous promet 120 « rues jardins » qui vont faire plaisir à qq centaines de bobos et emmerder beaucoup plus de monde (les pauvres cons qui se donnent la peine de travailler et ont besoin de leur voiture ou du bus…)
Info du Monde.
Transformer ?
Dans le métro du matériel MF67 (67 est son année de conception !) circule encore par dizaines, avec des sièges dégoûtants que l’on ne veut pas remplacer !
Donc autour de 55 ans de service. Aucun matériel n’a jamais été usé de cette façon, donc jusqu’à la corde, depuis l’existence du métro. En comparaison les célèbres rames vertes et rouge Sprague-Thomson n’avaient duré « que » une quarantaine d’année.
Closer, la végétalisation des villes et la désartifisation des sols est très importante, on ne peut pas reprocher à Hidalgo de le faire. Ce qu’on peut lui reprocher c’est de laisser ces endroits être privatisé, squattés et saccagée, par idéologie. Ce qui est d’autant plus choquant que ce sont ceux qui ne payent pas ou très peu d’impôts qui font ça.
désartificialisation
Puck, Asperger, ça vient d’asperge. C’est incontestable. Donc endiver, ça vient d’endive, logiquement.
« « Un massacre à la tronçonneuse » : à Paris, des arbres plantés il y a quelques semaines abattus par erreur »
Gros problèmes dans la gestion des arbres à Paris !
DIMANCHE ENSOLEILLE
Nous autres citoyens qui payons impôts et taxes diverses, sommes prisonniers d’une salle d’attente hexagonale, bourrée à craquer de mammifères égarés attendant les trains qui ne semblent pas devoir venir aujourd’hui ni demain.
Au dehors, les cancres las croient que casser c’est construire. Alors….ils agissent à la mesure de leur boitier cérébral et de la complicité des hommes de loi et des gourous médiatiques.
On ne rit pas !
Dans le salon d’attente de la 1ère Classe, de vieilles icônes politiques à bout de souffle paradent entre elles.
Connes comme toujours….
Notre Dame de Paris est vide, l’Abbé Pierre est mort et jugé coupable, ce qui est plus facile à faire aujourd’hui, juger, qu’hier où il régnait en maître sur le Bien.
Heureusement, les sympathiques Narcos apportent régulièrement au pied de l’immeuble les nouvelles idéologies qui soulagent le bolo standard.
Bon dimanche, camarades !
ROSE,moi, je l’écris quinze jours avant tout le monde,
figurez vous vque votre retour bvsur la ma mère juive a titillé ma mémoire parce que c’est un cliché et qui n’est pas d’hier;même sur la RDLoù vous évoquez votre famille et votre mère;
j’aurais beaucoup aimé que vous élaboriez ce cliché avec une traversée par l’humour juif, au moins jusqu’au retour à aldo Naouri dont les enfants sont connus dans le monde culturel;et qui alimenta une polémique sur le « viol conjugal »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Aldo_Naouri
Aldo Naouri est le père de trois enfants : deux filles, la romancière Agnès Desarthe et la metteuse en scène d’opéra Elsa Rooke, et un garçon, le chanteur d’opéra Laurent Naouri.
Les mères juives
Aldo Naouri , Sylvie Angel , Philippe Gutton
O. Jacob | mars 2007
Réflexion à trois voix, par des spécialistes des relations familiales, sur la figure par excellence de la mère aimante, mais aussi envahissante, culpabilisante, intolérable d’amour : la mère juive. Par-delà les clichés et les anecdotes, une interrogation sur ce qu’être mère veut dire. ©Electre 2025
je l’écris quinze jours avant tout le monde,
comme disait « l’autre »
« l’avenir dure longtemps » Althusser
Louis Althusser
L’avenir dure longtemps suivi de Les Faits
Olivier Corpet (Éditeur scientifique)
Yann Moulier Boutang (Éditeur scientifique)
EAN : 9782234059603
« Monstres. »
Je ne vois pas où est le problème. Il y a une évolution des formes et des matériaux, en fonction des moyens et des manières, mais personne n’empêche ceux qui le veulent de se déplacer sur l’eau en radeau.
Puck, voici donc le grand projet que je mènerai à bien : créer des écoles pour intelligences artificielles. Avec examens et diplômes. Les professeurs seront à termes recrutés parmi les meilleures intelligences artificielles. Je vais aussi créer un langage spécial qui servira seulement aux intelligences artificielles pour parler entre elles.
Edouard Philippe annonce que ses cheveux repoussent.
On aurait bien besoin d’un Samson des idées politiques
Le léZard n’a pas compris ce qui dans ce film, adapté d’un roman, n’a pas plu à JJJ ?
renato dit: 19 janvier 2025 à 11h57
« Monstres. »
Je ne vois pas où est le problème.
C’est un problème d’hyper technologie. En premier lieu, cela rend la course hypra difficile pour les femmes.
Radeau : loin est le temps d’Alain Bompard.
Comme disait l’autre, lorsque quelqu’un vous oublie, entendu à midi « la mort aussi vous oubliera ».
Radeau
« Et vous, vous n’avez qu’à y aller à la nage ».
Emma T.
Si la prouesse devient physique, où est l’intérêt ?
C pas normal. C’est plus des bateaux, dit Emma qui a reconnu il y a deux jours un compas de relèvement au premier coup d’œil.
Comme disait l’autre »:Dire je t’aime à quelqu’un, c’est lui dire toi tu ne mourras pas, donc je vais t’aimer jusqu’à ce que tu t’aimes ».
« Et vous, vous n’avez qu’à y aller à la nage ».
Je ne suis pas le sujet, inutile donc de m’envoyer où que ce soit à la nage. Par ailleurs, je ne rejette pas la recherche et ses aboutissements. Maintenant, les « bateaux » de compétition sont ce qu’ils sont. En lisant Gottfried Benn, on peut imaginer les cris de scandale lancés par les admirateurs du dorique à l’apparition de l’ionien : « là, on exagère ! », et ainsi de suite. L’histoire est pleine de cris scandalisés.
Incidemment, le concept du foiling existe depuis plus d’un siècle et a longtemps été appliqué aux bateaux « de tous les jours », ce qui le rend apparemment si innovant, c’est la façon dont il a été utilisé.
Cela dit, la prouesse (sic !) n’est pas seulement physique, car pour gérer une force la force ne suffit point.
@Rose
coquille ou erreur?;
le naufragé volontaire appelait Alain BOMBARD(pas Bompart comme celui qui brille au sommet de la LFI)
Le ton de ce roman de Jean Echenoz, « Bristol », est irrésistible. Après l’inattention de Bristol à la chute du corps, ce sont les oiseaux qui sont accusés d’inattention ! Mais comme l’écrit l’auteur, « trop fatigués ou trop intéressés par la vie aérienne de Paris pour s’occuper des faits divers. »
Délice de la lecture par un froid dimanche après midi, pelotonné au creux d’un fauteuil bien assoupli par l’âge.
« coquille ou erreur ? »
Hélas, Rosanette, rose est indécrottablement restée inféodée à l’idéologie populiste malsaine de LFI !
Pourquoi Echenoz utilise-t-il ces salves d’épithètes ?
« Ascenseur caractériel – corps majestueux… Regard vert… lèvres pourpres… Buste annapurnien… Veinules bleues serpentines…
Je crois qu’il s’amuse à distraire le lecteur pour mieux le surprendre plus tard ou bien, un désir de parodie puisque le roman pourrait être noir… Crime ou suicide ou perte d’équilibre ? Qui sait ? Ce n’est que la page 11 et je ne suis pas pressée. Les dimanches sont lents, délicieusement lents.
Mais cela n’a guère d’importance puisqu’elle parlé, un vrai moulin à paroles la Michèle de Jean Echenoz !, « largement le temps pour cet homme chapeauté -(le mort) -, d’atteindre le cinquième étage, entrer dans un appartement pour s’y déshabiller puis s’y défenestrer. »
Donc, c’est la parodie qui l’emporte, la désinvolture, l’élégance. C’est bien Echenoz !
le mort ne fait pas partie de la citation. C’est un repère que j’ai ajouté pour mémoire.
L’accent sur « parle », ça c’est le smartphone !
Hier, un peu de télévision chez des amis qui ne voulaient pas manquer une intervention de Kouchner à propos de l’Abbé Pierre. J’ai entendu par la voix de ce politique les conneries habituelles sur le célibat, y compris celle qui en nie la raison théologique. Bref, ça ne coûte rien de s’informer puisque le Code de droit canonique est en libre accès sur le net.
Mais venons aux faits, déjà un prêtre fait des études au cours desquelles on lui expliqua en long, en large et par travers le pourquoi du célibat. Donc si Un ne veut pas renoncer à la sexualité il n’a qu’à devenir comptable ou prof et à côté, il peut s’adonne sans peine à ce passe-temps !
Cela dit, et prétextes économiques bien à part, il y a à l’origine de ce costume un souvenir de la Cène et un hommage aux Esséniens que, comme tout le monde sait, pratiquaient le célibat. Donc, des trucs qui seraient censés être historiques.
Pourquoi la Cène ? Déjà c’est un Essénien qui a prêté la location pour la Cène. De plus, dans la communauté des Esséniens, lorsqu’un groupe d’hommes se réunissait, il devait y avoir au moins un prêtre, et lorsqu’ils se retrouvaient à table pour discuter et demander des éclaircissements au prêtre, ils devaient avoir sur table à la fois le pain et le vin ; le premier à toucher le pain et le vin devait être le prêtre, désigné comme « messie d’Israël », qui les bénissait, puis tous les autres convives, qui bénissaient également le pain « chacun selon sa dignité ».
Enfin, inutile d’ajouter des détails, mais ce n’est pas par hasard si depuis toujours les Milanais s’opposent au célibat des prêtres.
« Quelqu’un que je connais est allé voir une pièce de Claudel qui dure huit heures.
Même si on m’avait payé , je n’y serais pas allé.
Au vrai , nul ne me paiera. »
Vous avez tort elle est remarquablement mise en scène. La mort de Don Balthazar est à pleurer. L’ange gardien est très mignon. Et en plus il a un plaisir manifeste à jouer.
Aucun journal n’en parle mais il y a de la musique et des choeurs et le choix des morceaux a été très soigné. Je conseille en particulier le choeur d’ouverture.
L’orchestre c’est un piano droit, deux violons et un violoncelle.
Enfin elle ne dure pas 8 heures comme dit la presse car il faut enlever deux entractes de 20 minutes et une pause d’une heure et demie. Donc on tourne plutôt autour de 6 heures. Si vous n’avez pas une arthrose trop envahissante ou une autre calamité c’est très jouable.
Toujours dans le même roman du même auteur avant que de quitter cette page pour lire, je vous signal que Bristol essaie d’interrompre le bavardage « à jet continu » de Michèle Séverine en les accompagnant d' »avis brefs autant qui efficaces comme on essaie d’ouvrir un parapluie rétif, avant de mettre un terme à ce monologue comme on arrache un sparadrap : d’un seul coup vif, c’est mieux. »
Je fais de même. A plus tard.
Un e en moins, un e entrop et inefficace plutôt qu’efficace.
Mais quand même, avant de partir – je copie sur D.- je m’attarde sur cette Michèle Severinsen, agenouillée près du cadavre, les bras s’élevant et se déployant par amples mouvements sémaphoriques. Bristol pense qu’elle en fait trop !
Je me demande ce qui dans sa conversation avec Sert a déclenché chez Claudel l’envie d’écrire cette pièce.
Le Rodrigue de la quatrième partie est inspirée de ce peintre. Cet homme qui peint des scènes religieuses c’est Sert lui-même.
« Elle est rarement jouée en raison de sa durée et des effets que nécessite la mise en scène. »
Si wikipedia dit vrai les coupes ont été franches.
Je vous mets l’alphabet sémaphore, parce que, sûrement, Michèle S. a quelque chose à dire.
https://images.app.goo.gl/EMTD66En3izpQnfSA
« Le Soulier de satin est une pièce de théâtre de Paul Claudel, dont l’exécution complète dure environ onze heures. Elle est rarement jouée en raison de sa durée et des effets que nécessite la mise en scène. »
Si wikipedia dit vrai les coupes ont été franches.
Josep Maria Sert.
Jésus, Marie, Joseph.
* Le Rodrigue de la quatrième partie est inspiré de ce peintre.
Rosanette
erreur phonétique.
Laissons Jazzi à ses errements, ou ses atermoiements, et ses jugements.
J’ai douté et pas pris le temps de vérifier.
le baron perché dit: 19 janvier 2025 à 12h40
Comme disait l’autre »:Dire je t’aime à quelqu’un, c’est lui dire toi tu ne mourras pas, donc je vais t’aimer jusqu’à ce que tu t’aimes ».
Et bien oui, et l’amitié aussi fort, aussi loin et aussi intense.
Et j’ai bien orthographié ard sans me tromper.
Il suffit le « p » de le prendre de le soulever en le remettant à l’endroit du bas vers le haut et hop « b ».
Bombard.
Cela dit, la prouesse (sic !) n’est pas seulement physique, car pour gérer une force la force ne suffit point.
Renato
Oui et entre temps, il y eut les catamarans, et leurs limites.
Les femmes de cette course ne manquent pas, présentement, d’intelligence, et encore moins de courage.
Sert a peint, peint et repeint, trois fois la cathédrale de Vic.
Excellent, Rose ! Je vous laisse avec vos navigateurs éoliens car je me régale en compagnie d’Echenoz.
Christiane dit: 19 janvier 2025 à 13h36
Mais cela n’a guère d’importance puisqu’elle parlé, un vrai moulin à paroles la Michèle de Jean Echenoz !
On en connait une autre …
« Laissons Jazzi à ses errements, ou ses atermoiements, et ses jugements. »
Ne soyez pas de mauvaise foi, rose.
Assumez !
Vous nous avez assez dit ici tout le bien que vous pensiez de Mélenchon et de LFI.
G compris ici les jeux et les interprétations* que chacun fait sur autrui à partir de sa propre vie.
Comme on est soi-même, on voit les autres.
* Parce que, non contents d’inventer leur propre vie, et d’en faire un sacré cinéma, la plupart des gens fait la même chose avec les autres, développant à qui mieux mieux.
Grand bien vous fasse : cela ne me porte pas tort. Et si encore, il me fallait soutenir LFI, avec véhémence, je me ferais sans vergogne, et sans votre accord.
Je le ferais. Moi-même.
Edmond Poivre, et sel.
À côté de l’île de San Pantaléon
https://www.lasiciliainrete.it/fr/directory-tangibili/listing/mozia-isola-di-san-pantaleo/
San Pantaleo
Peint, peint, peint
Perlin.
Ce besoin de souligner la présence des femmes dans les compétitions n’a plus de sens — peut-être encore chez les troglodytes, mais pas dans l’Europe du XXIe siècle. Certaines de mes amies font de l’alpinisme et surmontent les difficultés avec intelligence, mais elles n’en font pas tout un plat.
Cela dit, se lancer dans certaines aventures demande du courage quel que soit le sexe.
« Le Soulier de satin est une pièce de théâtre de Paul Claudel, dont l’exécution complète dure environ onze heures. »
ce que ne dit pas wiki (un des plus puissants centres de désinformation) c’est qu’au départ il n’était pas question d’1 soulier mais de la paire ce qui faisait durer la pièce 22 heures !!
Perles de librairie
Je voudrais…
« La satire est con » de Pétrone (Le Satyricon) ?
« Le décès » de Montaigne (Les Essais) ?
« Barry Lipton » (Barry Lyndon) ?
« L’être et le néon » (L’être et le néant) de Sartre
« Le savoir gay » (Le Gai Savoir) de Nietzsche ?
« Sous le soleil, on s ‘attend » (Sous le soleil de Satan) de Bernanos ?
« Guignol bande » (Guignol’s band) de Céline
« Le Trésor de Saddam le rouge » (Le Trésor de Rackam le Rouge) ?
« Salement beau » (Salammbô) de Flaubert ?
« Du côté de chez Swatch » (Du côté de chez Swann) de Proust ?
« Le Zoo de Hurlevent » (Les Hauts de Hurlevent) ?
« Mords-la » (Le Horla) de Maupassant ?
« La Ménopause » (La Métamorphose) de Kafka ?
« Le Che est homo » (Ecce homo) de Nietzsche ?
« L’Acide » (Le Cid) de Corneille ?
« Les Varices de Marianne » (Les Caprices de Marianne) de Musset ?
« Gaspi le magnifique » (Gatzby le magnifique) de Fitzgerald ?
« La cantatrice chauve » de l’Unesco (Ionesco)
« Paul et Virginie » de l’abbé Pierre (de Bernardin de Saint-Pierre) ?
« Neuf trois » (Quatre-vingt treize) de Victor Hugo ?
« L’Avion, mode d’emploi » (La Vie, mode d’emploi) de Georges Perec ?
« Les Frères Kalachnikov » (Les Frères Karamazov)
« ça glisse dans la vallée » (Le Lys deans la vallée) de Balzac ?
« L’archipel du Goulash » ( L’Archipel du Goulag) ?
« Cela dit, se lancer dans certaines aventures demande du courage quel que soit le sexe. »
dans son audition devant le Sénat le nouveau secrétaire de la défense nommé par Trump défend l’idée que dans certains cas il faut appliquer les mêmes normes de recrutement à tous : hommes, femmes, transgenres etc..
exemple : dans l’entrainement d’un militaire qui peut se retrouver en première ligne genre marine il faut pouvoir porter environ 60 kgs de matériel (armes + barda) et faire des dizaines de kms avec.
il a dit 60 kgs c’est 60 kgs : pas question de baisser ce chiffre pour les femmes.
pareil pour le combat rapproché.
on pourrait dire ce type est un macho ?
en fait non : sa fille est dans l’armée.
en Chine pour 800 millions d’utilisateurs des réseaux sociaux ils ont 6 millions de personnes qui font du fact checking : les mecs ils virent tout ce qui n’est pas dans la ligne du parti communiste chinois.
si en Europe il y a 300 millions d’utilisateurs faut faire un cheval de Troie pour calculer le nb de fact checkers nécessaire pour virer tout ce qui n’est pas dans la ligne du parti au pouvoir à Bruxelles.
le futur vice président américain a dit de façon très claire que si l’Europe met des bâtons dans les roues de X et de Facebook les US quittent de suite l’otan.
comme l’Europe n’a pas les moyens pour embaucher 2 million de personnes pour fact checker X, Facebook et Tik Tok il ne restera qu’une solution : l’entrée dans le monde orwellien de l’IA.
et c’est là que les choses vont commencer à devenir très drôles.
Puck, te prends tu pour Sacha Guitry ?On raconte que Sacha Guitry, en sortant de la première du Soulier de satin qui avait duré sept heures, s’exclama: «Heureusement qu’il n’y avait pas la paire! »
Peut-on faire de l’humour ?
Les trois otages libérées de Gaza ont rencontré leurs mères en Israël
« Les trois otages israéliennes libérées de la bande de Gaza par le Hamas dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu ont rencontré leurs mères en Israël, a annoncé dimanche soir l’armée israélienne. » In Le Monde.fr
Rire, je cuide,
https://youtu.be/Y1c9AdDIoQQ?feature=shared
Avant qu’,elle ne lui dise « tu fais le communiste alors ? » , lui lui dit « je te somme ».
avec votre radeau vous etes bien partis pour radoter
bonsoir
Oui, Rose, une libération bouleversante pour ces trois familles. Mais les autres familles qui ont des enfants ou conjoints, toujours otages, vivants ou morts, ne sachant s’ils sont blessés, s’ils souffrent, si ce long, trop long processus de libération au compte-goutte ne va pas capoter. Que ressentent ils ? Et de l’autre côté, remonter au nord de Gaza pour retrouver un champ de ruines, que vont-ils ressentiey ? Et ces terroristes du Hamas… Toujours lat, toujours haineux, plus préoccupés par leur haine d’Israël que par le sort des familles de Gaza. Cette guerre est loin d’être finie et la haine, l’esprit de vengeance ont accord , hélas, de quoi durer.
encore – ressentir – là
C peut être de l’humour pied noir, plutôt qu’une blague juive.
Oui Christiane, des risques énormes que le processus n’aille pas à son terme.
Il le dit très bien. Merci Fabrice.
https://www.instagram.com/reel/DEURFPuxibc/?igsh=MTVpMWlnZHh5ajF1aw==
Et puis, c’est vrai que tout le monde n’a pas l’élévation d’âme.
Onze heures moins une heure trente = 9h 30, moins deux fois vingt minutes = 8 h 50, faut avoir la foi.
Christiane, aimez-vous les endives au jambon?
Reste que, Guitry ou pas, ces représentations de 1944 restèrent comme l’équivalent d’une Grand Messe du Français, dans une époque qui n’en avait pas tant que cela. Reste aussi que l’édition 1944 de Gallimard est abrégée des trois quarts du texte.Pour d’autres raisons, mais déjà . MC
Il faut surtout, Rose, vouloir rencontrer ce texte colossal.
MC
* Je recommande le choeur d’ouverture.
Aujourd’hui, c’est déjà demain, mais je peux encore souhaiter un joyeux anniversaire à Tippi Hedren.
FARCES ET ATTRAPES
La violence de la Nature sauvage n’est rien, au regard de celle des misérables parasites humains qui la peuplent, bêtement….
Crénom Marc Court, au réveil d’un lundi matin, fin janvier. Ce texte colossal.
« La violence de la Nature sauvage n’est rien, au regard de celle des misérables parasites humains qui la peuplent… »
« S’engager dans l’armée, voyager beaucoup, aller dans des pays exotiques, rencontrer des hommes remarquables et les tuer ». C’est une manière de voir…
Aujourd’hui, 20 janvier 2025, il parait qu’on entre dans une nouvelle ère de l’impérialisme américain, et que « ça va secouer ».
Merci à JC & puck de bien vouloir remplacer Passoul aux commandes de la nouvelle secousse néo-littéraire à venir. Et adieu les « has been » franchouillards. Place aux djeunz !
@christiane
je croyais que le mot sur le soulier de satin etait de Mauriac
ce qui serait encore plus piquant et participerait de lela jalousie latente entre des deux concurrents du firmament littéraire d’alors
Plus on devient vieux, plus on devient jeune !
La mere dite « juive » est un type psychologique qui ne concerne pas spécifiquement les mères et pas spécifiquement les juifs
Il y a des pères (Goriot,par exemple ) et des mères chrétiennes qui correspondent au profil appelé « mere juive »
Une définition que j’ai lue un jour de la mére dite « juive »
C’est celle ,dont le fils qui selève la nuit pour faire pipi ,trouve son lit refait quand il se recouche
Une mere donc qui ne dort pas pour veiller sur le sommeil de son fils et qui se tient prête à lui éviter tout désagrément
d’une amie qui etait l »archétype « de ce personnage , ses familiers disaient qu’elle etait la « mère Goriot «
Stupéfiante découverte révélée par le Mail on Sunday d’hier: la publication intégrale du Journal (perdu jusqu’alors) de Unity Mitford, que le Mail qualifie de « Hitler’s english girl friend »…
« Unity Mitford’s biographer hails the Mail’s discovery of her long lost diaries as an extraordianry public service. And poses an intriguing question « Was Hitler using her in a cynical attempt to forge an unthinkable alliance with the British? »
Malheureusement disponible seulement sur Apple or Spotify.
Clichés, stéréotypie et stratégie discursive dans le discours de Lieuvain : Madame Bovary, II, 8 [article]
sem-link Anne Herschberg-Pierrot
https://www.persee.fr/doc/litt_0047-4800_1979_num_36_4_1185
@christiane
le modérateur a retenu je ne sais pourquoi un post a votre intention où je disais que le mot t que vous attribuez à Sacha Guitry avait aussi été prêté à Mauriac ..
et je trouvais cette version plus piquante , venue de quelqu’un qui se sentait ,en fait de gloire littéraire en concurrence avec Claudel qui fournissait là à Mauriac une occasion de l’égratigneras
@je cuide
merci de ce lien vers une dissection du discours de comices que la fétichiste que jé suis de ce roman a dégusté &vec gourmandise
@je cuide
merci de ce lien vers une dissection du discours de comices que la fétichiste que jé suis de ce roman a dégusté &vec gourmandise
Merci, Rosanette. C’est possible… Qu’importe ce mot d’esprit, s’il souligne la longueur de la pièce n’efface pas cette coulée poétique fascinante qui a été longtemps le domaine de la troupe théâtrale de Barrault. Un grand impossible sur terre, une promesse de felicitey dans l’autre monde… Vingt années traversées, des rois non nommés. Deux êtres séparés. Une lettre qui se perd pendant dix ans… Un prêtre en croix qui semble planer… Un bateau at la dérive… Claudel a pris le temps d’écrire son rêve. Il l’a fait durer car il ne voulait pas le quitter. Eric Ruf avait choisi marina Hands comme dans Le partage de midi. Suite de son histoire intime aussi. Son rêve impossible à réaliser et dans le fonds, préservé ainsi de décevoir. Ces grands écrivains ont leur monde. Je les approche avec un peu de crainte car plus que jamais la magie du verbe tourne autour de nous comme pour nous engloutir.
Savez-vous que je ne rate aucun de vos commentaires. Ils donnent de vous une présence discret, précise, pleine d’à-propos, d’humour ou de mélancolie.
« Suite de son histoire intime », c’est un retour à Claudel. Aucun rapport avec la mise en scène d’Éric Ruf.
« Un prêtre en croix qui semble planer »
Ah ! oui J’ai raconté cette histoire à mon garçon de café préféré. Lorsque je suis revenu de la représentation il m’a demandé s’il y avait la scène du prêtre attaché à son mat. Il avait tout retenu.
Il retient bien d’ordinaire. Il se souvient parfaitement des passages du chapitre liminaire des « 120 journées » que je lui ai lus.
On était à deux doigts de vomir.
* Je lui ai lu des passages du chapitre liminaire des « 120 journées ». Il s’en souvient.
« Perles de librairie
Je voudrais…
‘ La satire est con ‘ de Pétrone (Le Satyricon) ? »
Je ne sais pas si elles sont vraies.
Il faut en rajouter une de parfaitement authentique :
« Zadig & Voltaire ».
* mât
@christiane
merci de votre appreciation;
vous aviez deja été tres bienveiëllante pour mol ,lorsque j’intervenais sous un autre pseudo que j’ai dû abandonner
« Et c’est vrai que je suis attaché à la croix, mais la croix où
je suis n’est plus attachée à rien. Elle flotte sur la mer.
La mer libre à ce point où la limite du ciel connu s’efface
Et qui est à égale distance de ce monde ancien que j’ai quitté… »
Ce que ressent le Père Jésuite attaché au mât…
Vous évoquez bien cette pièce, FL et le peintre JM.Sert.
On n’arrête plus TTLT
https://tomtomlatomate.wordpress.com/2025/01/20/les-sentiments-du-prince-charles-liv-stromquist/
« Claudel compose l’essentiel son musée à partir des « maîtres d’autrefois ». héritage pictural, que enjeux, dans le présent de son écriture, de cette exploration des œuvres passées Le Soulier trouve sa place en préambule travail en ce qu’il est, d’abord, interrogation de l’héritage pictural du siècle. d’or, et en ce qu’il offre, ensuite, une préfiguration des principaux enjeux de la critique d’art claudélienne. Il en préfigure les deux orientations thématiques réflexion enthousiaste sur la catholicité baroque, et celle, méditative, qui s’épanouira avec l' »introduction à la peinture hollandaise ». Posé par Claudel comme frère isolé, dans une modernité sacrilège, des « maîtres du baroque », le peintre JM Sert, a fait prendre corps à la réflexion claudélienne sur le baroque pictural, approché selon deux axes, un baroque dynamique, celui de l’ effet dramatique et de l’emphase gestuelle (…) »
Thèse de Kaes E.
Il y a deux façons de faire en France vis-à-vis de Donald Trump Président des États-Unis : la première et la seconde.
La première, celle de Bayrou et de von der Leyen : avoir peur, préjuger, défier, donner de vaines leçons arrogantes, censurer, ériger l’Europe communautaire en rempart d’une moralité imaginaire.
C’est assurément celle qui nous fera descendre au fond du goufre.
La seconde : faire confiance, se remettre en question, ne donner aucune leçon, s’eloigner de von der Leyen, apporter ce que la France a d’unique ; son génie, et faire des États-Unis le partenaire de son propre développement !
faire confiance…
oui, voilà ce qu’il faut faire : apporter notre génie franco-lepéniste à l’édification du « grand Manitou » pour qu’il nous épargne…, c’est la seule option.
En attendant d’aller vers Claudel.
Closer
Hier, vous écriviez qu’il s’agissait d’être lucide pour être intelligent.
Las, deux faits ne sont pas avérés : on peut être très intelligent et absolument pas lucide.
Et on peut être un/e gros/sse travailleurs.r/se et que s’enclenche malgré cela le truc n°2.
Je cherche encore à comprendre, je vous tiendrai au courant. Merci de votre participation et patience.
Rosanette
J’aime bcp votre idée que le terme est global et je correspond pas uniquement aux mères juives.
J’ai du mal m’exprimer, Rose: il faut être intelligent pour être lucide. Comment être lucide si l’on ne comprend rien à ce qui vous entoure ?
On n’avait pas bien compris que Michel Foucault cherchait, dès 1954, dans sa célèbre discussion au texte de Ludwig Binswanger (Le rêve et l’existence), à dépasser la distance de l’image à l’imagination. Il lui sut gré d’avoir montré de manière décisive, à cette époque, que le passage d’une analyse anthropologique du rêve à une analytique ontologique de l’imagination n’avait plus à passer, comme auparavant dans la philosophie occidentale dominante de son temps par une réduction transcendantale de l’imaginaire. Sartre en prenait déjà pour son grade, après quoi, Foucault put se concentrer sur Nietzsche et faire définitivement ses adieux aux impasses mutilantes de la dialectique hégélienne.
Je pensais que les Village People étaient centenaires ou peu s’en faut…mais non, ils ont chanté YMCA à l’investiture de Trump!
Closer
Il y a l’intelligence livresque et une intelligence du vécu. Moi aussi g dû mal m’expliquer. Il faut dire que je ne précise pas le sujet de base qui suscite cette réflexion.
Le Monde se positionne : et on peut encore faire confiance au Monde.
https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/01/20/se-battre-sur-le-terrain-des-faits_6507058_3232.html?lmd_medium=al&lmd_campaign=envoye-par-appli&lmd_creation=android&lmd_source=default
Mais la Sagesse, où la trouver ? L’Intelligence, quel est son lieu ?
Livre de Job, 28, 12
Bonjour Passou,
Vite fait, des news de votre Goncourt 2024, et on peut dire qu’elles sont pas bonnes, mais compte-tenu de ce que l’on sait maintenant, a propos de Saâda Arbane, pouvait-il en être autrement.
Je dois vous rappeler que je suis la seule sur votre blog, à m’être posée publiquement la question des sources biblio de ce roman qui se voulait a-historique, alors que son auteur ne cesse, pour son militantisme politique d’en revendiquer le contexte historique
sur tous les plateaux télé et radio français.
Il a vaguement fait allusion à sa connaissance personnelle de cette décennie noire de par ses reportages, mais nulle trace ou édition de ses écrits de l’epoque années 1990, n’ont été relayées.
Et personne ne lui a posé publiquement la question.
Je me souviens, et c’est consultable sur ce blog, avoir émis un doute sur les sources utilisées dans son roman, quant aux tueries perpétrées dont il donne des chiffres. Cela faisait penser à du wikipedia remasterisé, avec une énorme erreur factuelle au passage, concernant les massacres de Had Chekala.
Et puis, il se vérifie que ses sources ne sont pas vraiment des secrets, mais que l’imam est un bon compilateur 2.0, comme chatgpt.
Tricky, Another sound of Bristol
« Mais la Sagesse, où la trouver ? L’Intelligence, quel est son lieu ? Livre de Job, 28, 12 » (Commendatore Renato)
La Sagesse ? On la trouve au Monastère de l’Elysée. Dans les combles…
L’Intelligence ? On la trouve chez Machiavel, dans la cave, au fond du couloir
Rosanette,
Que feriez-vous de ce « que » dans l’extrait
de texte évoquant la thèse d’E. kaes sur Claudel et la peinture baroque (le texte de Claudel est d’ailleurs magique, surtout en ce qui concerne les Hollandais). Je l’ai trouvée tel sur internet, ne peux le corriger mais cette phrase est bancale. Faites moi plaisir redonnez-lui belle allure. D’avance merci.
et si puck nous expliquait Onfray et son lien magique
qu ‘il transforme en euros?
https://www.youtube.com/watch?v=4nkM76Mxlm0
ONFRAY/ le monde
Les fans se rassemblent pour la libération de Michel Onfray aprés une interview scandaleuse
Des centaines de sympathisants se sont regroupés pour défendre Michel Onfray à la suite d’un incident controversé survenu lors de la diffusion en direct d’une émission populaire
A quoi pourraient ressembler une réponse « proportionnée » selon la loi du talion, qui constitue le fondement du droit selon rosannette ?
“ On la trouve chez Machiavel…”
Il y a un noyau de vérité au fond de chaque mensonge.
Incidemment, par chance je ne suis pas “Commendarltore”!
TALION
il y a eu un avant rosanette,par exemple:
il y a « « OEil pour oeil, dent pour dent ». Cette sentence biblique résume une conception de la justice comme devant être à la fois impitoyable, ferme et équitable. Elle énonce le juste à travers un strict calcul égalitaire, une équation entre la sanction (la peine) et le préjudice (le crime commis). Pourquoi qualifier cette loi du talion de mythe ? Parce qu’elle est rapportée depuis des millénaires à la culture juive. Le contresens est total à cet égard. Le droit hébraïque a constamment récusé le principe du talion et toutes ses modalités. Le talion marque l’investissement paradoxal de la Loi et du Droit par un désir aveugle de vengeance, de réparer par un strict équilibre des peines les dommages subis. En cela, Raphaël Draï montre comment cette loi est imprégnée de part en part par la pulsion de mort, et reconstitue, dans cet ouvrage devenu un classique, les principes fondamentaux de la Loi juive ainsi que ses évolutions en matière de droit pénal et de réparation juste du dommage causé à autrui.
https://www.editions-hermann.fr/livre/le-mythe-de-la-loi-du-talion-raphael-drai
je précise que Draî connaissait P.Legendre (invitations débats)
TALION
Pour l’extrême importance de l’analyse et la méditation consacrées à la « loi du talion » dans la symbolique juive, que Raphaël Draï considère comme un mythe à déconstruire radicalement, cette nouvelle édition de l’ouvrage publié en 1996 (éd. Anthropos) s’imposait : elle fait revivre en toutes leurs promesses l’argumentaire et la conceptualité de l’auteur qui, depuis Identité juive, identité humaine (1995), Freud et Moïse. Psychanalyse, loi juive et pouvoir (1997) jusqu’à La Torah, la législation de Dieu (2000) et les cinq volumes des Topiques sinaïtiques (Hermann, 2013), n’a cessé d’interroger le fondement de la Loi sociale en contrepoint des pulsions humaines trop humaines, et sous condition impérative de leur nécessaire déplacement/dépassement. Trop de contresens, en effet, trop de lectures erronées, trop de dévoiements de sens et de paroles, ont tenté de légitimer trop de désastres sur le peuple juif retournés, pour que cette « loi » puisse être enfin interrogée dans son illusoire évidence.
https://journals.openedition.org/assr/44816
A quoi pourraient > A quoi pourrait
Commencer par établir des faits ; en s’efforçant de les distinguer des opinions et des sentiments : première considération nécessaire à toute justice au sens où l’entendent les 193 Etats représentés aux Nations Unies … et tordre les faits ou les ignorer, première tentation de ceux qui sèment la barbarie
(Note to self : checker la liste de ceux qui n’appartiennent pas aux Nations unies)
@il y a eu un avant rosanette,par exemple:
il y a « « OEil pour oeil, dent pour dent ».
A l’aune de « l’avant » et des fantasmes de l’antériorité sur autrui, à quelles extrémités ne sommes nous déjà parvenus, vieux singe ?
Salut salut les créationnistes
quand les médias ont dit que Trump avait traité Netanyahou de « fils de p.te » ils ont juste oublié de citer l’autre partie de sa phrase lui reprochant d’avoir entrainer les US dans des guerres inutiles.
pourtant c’est un scoop que de le dire parce que personne ne sait que les histoires d’armes de destruction massive irakienne était à l’époque une idée du Likoud.
quand Austin Powell a dit qu’il regrettait de s’être laisser enfumer par ces armes de destruction massive des types de son entourage ont été plus loin en mettant sur le dos des israéliens cette trouvaille.
après il est sûr que le centre d’intérêt essentiel des néoconservateurs c’est non pas la sécurité des US mais celle d’Israël.
@JC….. dit: 20 janvier 2025 à 15h32
« Mais la Sagesse, où la trouver ? L’Intelligence, quel est son lieu ? Livre de Job, 28, 12 » (Commendatore Renato)
La Sagesse ? On la trouve au Monastère de l’Elysée. Dans les combles…
L’Intelligence ? On la trouve chez Machiavel, dans la cave, au fond du couloir
Voilà qui a à peu près l’épaisseur d’un cheeseburger de chez Ronald McDonald (ou d’un sandwich SNCF pour les anciensà)
quand on entend des types de l’entourage de Trump (JD Vance & co) pondre des trucs du genre : »l’administration Biden a sacrifié l’Ukraine pour affaiblir la Russie » c’est sûr que certains à Bruxelles doivent pas trop se sentir à l’aise dans leurs pompes vu qu’eux veulent continuer de sacrifier l’Ukraine mais ils ne savent même plus pourquoi, sans doute juste par envie de sacrifice.
Les fournissant à la pelle, JiCé a-t-il l’espoir de parvenir à construire quelque chose d’édifiant à la manière de keupu ?
avant de se demander où peut-on trouver de l’intelligence il s’agirait d’abord de définir ce qu’est l’intelligence.
exemple : quand on écoute une interview de Donald J. Trump, un truc qui dure 3 heures, sans prompteur, on ne peut qu’être hyper étonné de sa rapidité d’esprit, de sa façon de trouver de l’humour même dans les sujets les plus graves, de réussir à synthétiser en quelques phrases des situations complexes, d’essayer à chaque fois de mettre les autres (les peuples américains ou ukrainiens et autres) au centre de ses idées etc…
c’est là une forme d’intelligence qu’on retrouve très peu chez nos politiques.
exemple au hasard : sur une question sur la guerre en Ukraine, Trump a eu une phrase que j’ai jamais entendu nulle part ailleurs, et qui pourtant devrait être le point de départ de toutes actions politiques.
Trump a dit : je comprends les sentiments (feelings) des russes.
alors qu’en fait les sentiments des russes sur la sécurité de leur pays, par exmple sur l’extension de l’otan, l’accès à la mer Baltique, la 15aine de bases de la CIA à leur frontière avec l’Ukraine etc… cela n’intéressait personne.
et voilà un type, président de la plus grande puissance du monde dire « je comprends les sentiments des russes ».
cette phrase c’est du Jaurès ! c’est juste du Victor Hugo !
essayer de comprendre les sentiments des autres pour éviter d’en arriver à la guerre !
ça c’est de l’intellignece !
et c’est pas que de l’empathie, je veux dire quand on a des types qui possèdent le plus gros arsenal nucléaire de la planète il faut essayer de faire un minimum l’effort de ne pas ignorer leurs sentiments.
c’est d’une logique implacable.
Le Monde se positionne : et on peut encore faire confiance au Monde.
https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/01/20/se-battre-sur-le-terrain-des-faits_6507058_3232.html?lmd_medium=al&lmd_campaign=envoye-par-appli&lmd_creation=android&lmd_source=default
@c’est d’une logique implacable.
Là on grimpe au niveau d’un double cheese, mais la consistance de prémâché est la même
Quel soulagement, Puck ! J’en ai les larmes aux yeux. Vive les États-Unis et vive Trump !
Sale temps pour les wokistes et les gauchistes. Trump est arrivé et ça va barder.
Rions un peu
This used to be a helluva good country
https://youtu.be/YyaUtnWr8Gw?si=yjjlZUe7is-AeKZP
Moi j’aime les grandes nations lorsqu’elles sont grandes : Grands États-Unis rayonnants, Grande Russie, Grand Inde hindoue, Grande Chine.
Les États-Unis iront les premiers sur Mars, mais pas avec une fusée à Musk.
Non. Avec une soucoupe à antigravité.
N’est-ce pas, Monsieur le Baron ?
@christiane
jej pense que ke groupe QUE ENJEUX qui n’a pas de sens intelligible dans la phrase est une interpolation accidentelle résultant d’une mauvaise utilisation du couper coller d’un membre de phrase étranger a l’idée exprimée
Je n’ai rien contre les Mexicains. D’ailleurs j’aime beaucoup le chili con carne et la Corina. Seulement ce ne sont pas eux qui ont fait les États-Unis, aux dernières nouvelles.
Alors, qu’ils rentrent chez eux et s’occupent de développer leur propre pays.
Si vous pouviez éviter de me couper la parole, Rosanette ? Ce serait gentil. Surtout pour écrire « que ke ».
Que ke, et jej. Et pas d’accent sur le a. Non mais et puis quoi, encore ?
Merci, Rosanette. Voici une explication qui me déride le front. Vous êtes extra… lucide !
D, pour votre question d’hier. Oui, j’aime cette alliance du doux (béchamel)et de l’amer ( endive). Cela ressemble à la
vie.
24 heures pour répondre ça. Ah ben dites donc.
Tssss.
Bon. 22h 02. Puck suce son pouce. rotoro rêve qu’il est Cage. Gigi fait son examen de conscience.
@Oui, j’aime cette alliance du doux (béchamel)et de l’amer ( endive). Cela ressemble à la
vie.
… plus d’un milliard de vues ; c’est très surfait cette recette du bitter sweet symphony
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